Millésime d`exception pour le Ski-club de Châtel-St
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Millésime d`exception pour le Ski-club de Châtel-St
3 5 GRANGES (VSE) D’ici à juin 2011, HID Global biffera soixante-quatre emplois 26 MARS 2010 – NO 11 FR. 1.70 Sa franchise pointée du doigt, le centre Viva réagit en toute sérénité m le SKI CHÂTEL-ST-DENIS SERVION 8 MONT-PÈLERIN Le jeans s’expose sous toutes ses coutures 6 MÉMENTO - CINÉMA AVIS MORTUAIRES VEVEYSE – RÉGION D’ORON – JORAT essager J.A. 1618 Châtel-Saint-Denis HUMEUR Millésime d’exception pour le Ski-club de Châtel-St-Denis Avec Marie Monney et Célia Meyer, le Ski-club de Châtel-St-Denis s’est offert trois titres romands en ski alpin. Des performances qui reflètent la qualité de la relève. T out comme le ski suisse, le ski châtelois est plein de promesses. L’illustration la plus éclatante s’appelle Audrey Chaperon, jeune compétitrice engagée dans les courses internationales juniors FIS. Elle ne cristallise pas tous les espoirs du Skiclub de Châtel-St-Denis pour autant. Car d’autres athlètes poussent au portillon avec des carres bien affûtées. C’est le cas de Marie Monney et de Célia Meyer qui ont raflé trois titres de championne romande cette saison. «Trois titres romands d’un seul coup, c’est quelque chose d’exceptionnel. On peut dire que la saison 2009/2010 est un excellent millésime. D’autant qu’elle n’est pas finie, puisque six jeunes athlètes sont qualifiés pour les finales du Grand Prix Migros ce week-end à Schönried», s’enthousiasme Louis Monney, entraîneur et président de la commission technique du Ski-club de Châtel-St-Denis. Toute proportion gardée, les deux couronnes de Marie Monney (slalom et géant OJ1) et celle de Célia Meyer (géant OJ2) ressemblent aux exploits olympiques. «Ce sont L’uranium s’appauvrit, Bill Gates s’enrichit Aussi retraité qu’il puisse l’être, l’ancien patron de Microsoft Bill Gates n’a rien perdu de son esprit d’entreprise. Sa société TerraPower, qui a pour ambition de développer un réacteur nucléaire de nouvelle génération, s’est rapprochée du japonais Toshiba. L’information a fait le tour du monde après avoir été révélée par le quotidien Nikkei. Le développement d’un petit réacteur de type TWR (pour travelling wave reactor) n’a rien de nouveau puisque les premières recherches remontent aux années 50. Par rapport aux technologies classiques, le TWR consomme presque exclusivement de l’uranium appauvri. La petite quantité d’uranium enrichi chargée lors de la construction ne servirait qu’à faire démarrer la réaction en chaîne. La centrale devrait alors être capable de tourner pendant près de cent ans à l’uranium appauvri, dont les stocks naturels sont considérables. Toshiba et TerraPower espèrent commercialiser leur nouveau réacteur d’ici à 2020. Entre le savoirfaire du conglomérat nippon et la fortune du milliardaire américain, le TWR est entre de bonnes mains. Il révolutionnera indéniablement le nucléaire, mais ne résoudra de loin pas toutes les équations. Car, bien que sa technologie promette de produire moins de déchets naturels, elle en produira quand même. Et elle pose une nouvelle inconnue, celle de la fiabilité d’une construction conçue pour supporter des réactions nucléaires pendant un siècle. Pour Toshiba et TerraPower, l’enjeu économique est colossal. En quête de puissance nucléaire civile, les pays émergents sont la cible toute visée du projet. En bons cobayes, ils découvriront une énergie améliorée du siècle passé, alors que l’Occident se tourne vers d’autres horizons pour en sortir. Reste à prier, pour leur sécurité, que la fiabilité des centrales TWR ne dépende pas des systèmes d’exploitation Microsoft… Yves-Noël Grin des médailles qui récompensent la course d’un seul jour et non les résultats de toute une saison. Comme au JO, il s’agit de produire son meilleur ski à un moment précis, avec tout ce que cela suppose en termes de pression», explique Louis Monney. Bon reflet de la relève Ces performances ne tiennent pas du coup d’éclat pour autant. Elles traduisent les excellentes prédispositions de la relève châteloise. En témoignent les qualifications de Célia Meyer, Maxime Richoz et Robin Chaperon aux championnats de Suisse OJ1 et OJ2. Ou encore l’intégration de sept skieurs dans le cadre de SkiRomand. A cela s’ajoutent les titres fribourgeois remportés aussi bien par les toutpetits que par leurs aînés. De toute évidence, le facteur chance et l’argument générationnel n’expliquent pas à eux seuls la montée en puissance des skieurs châtelois. «C’est tout le travail accompli depuis plusieurs années qui commence à payer avec, comme point de départ, la mise en place d’une structure performante pour les jeunes compétiteurs en 2002», constate Louis Monney. Encadré dès 7 ans Et s’il est un homme directement impliqué dans ce processus de formation, c’est bien lui. Ses compétences, le Châtelois les doit à son expérience au plus haut niveau, Intégrée dans les structures de Swiss-Ski, Audrey Chaperon illustre la qualité de la formation dispensée par le Ski-club de Châtel-St-Denis LDD pour avoir côtoyé des Didier Cuche, Paul Accola et autres William Besse entre 1996 et 2000 comme entraîneur national d’abord, comme responsable des descendeurs et du groupe combi, ensuite (Le Messager du 24 novembre 2006). Son savoir, il a choisi de le mettre au service des jeunes en restructurant le groupe compétition du Ski-club de Châtel-St-Denis en 2002. Aujourd’hui, l’encadrement comprend huit entraîneurs qui prennent en charge près de 40 enfants dès l’âge de 7 ans. Préparation physique dès la fin août, camps ou entraînements sur neige bihebdomadaires, tout est pensé pour faire évoluer les jeunes skieurs attirés par la compétition. L’objectif pour le ski-club, c’est de leur apporter les bases nécessaires pour aller plus haut. Dans cette optique, l’entrée de jeunes espoirs à Ski-Romand sonne comme une réussite. Et l’intégration d’Audrey Chaperon dans les structures de Swiss-Ski comme la concrétisation d’un rêve. «Mais, à un certain moment, il faut que les athlètes prennent eux-mêmes la décision de s’engager. Et s’ils préfèrent arrêter, tant pis, tempère Louis Monney. Le plus important, c’est qu’ils prennent du plaisir sur les skis.» Yves-Noël Grin Robin Chaperon 14 ans Châtel-St-Denis Intégré à Ski-Romand pour la deuxième saison consécutive, Robin est un habitué des podiums. L’an dernier, il s’est adjugé les médailles d’argent des championnats romand et fribourgeois tout en se hissant à la 2e place du classement romand (Coupe Raiffeisen). «C’est un garçon très persévérant qui a fait d’énormes progrès au cours des deux dernières saisons. C’est avant tout un excellent slalomeur au style très sûr», commente Louis Monney. Pour viser plus haut, il estime que le jeune Châtelois devra avant tout parfaire sa présence physique: «Il est nécessaire que Robin gagne en force et en puissance pour progresser.» YNG Maxime Richoz 13 ans Châtel-St-Denis Deuxième saison également pour Maxime Richoz dans l’encadrement de Ski-Romand. Après avoir remporté le championnat et la Coupe fribourgeoise en 2009, le Châtelois a connu une saison plus contrastée en raison de plusieurs abandons. «Il a eu passablement de malchance cette année, relève Louis Monney. Il faut dire que c’est un skieur qui a un grand talent naturel, mais qui prend énormément de risques sur la piste.» Ce qui lui fait dire que le jeune athlète a un bon potentiel qu’il s’agira d’affiner encore: «Il doit améliorer la qualité de ses entraînements pour se montrer plus sûr pendant les courses.» YNG Les propulser plus haut Quatre jeunes skieurs sous la loupe Marie Monney 13 ans Châtel-St-Denis La jeune Châteloise termine sa première saison dans les structures de Ski-Romand. Après plusieurs qualifications pour la finale du Grand Prix Migros, les deux couronnes romandes (OJ1) qu’elle vient de décrocher en slalom et en géant ont une saveur particulière. «Ces deux médailles sont importantes, elles vont lui permettre de franchir un palier supplémentaire», glisse son entraîneur de papa, Louis Monney. Qui estime qu’elle a l’avantage d’être régulière dans ses résultats et travailleuse. «Mais elle doit encore améliorer sa technique sur les skis, surtout au niveau de sa coordination et de sa vitesse de mouvement.» YNG Publicité Célia Meyer 13 ans Châtel-St-Denis Après avoir remporté la Coupe fribourgeoise et le championnat romand en 2009, Célia a récidivé en s’adjugeant les titres romand et fribourgeois en géant (OJ2) cette saison. Très à l’aise en slalom également, elle fait partie des cadres de Ski-Romand depuis quatre ans. Pour Louis Monney, Célia est une compétitrice par excellence: «C’est une bête de course, si vous me passez l’expression, qui est capable de se surpasser en compétition. Et sa progression a été remarquable au cours des deux dernières saisons.» Ses points faibles? «A mon sens, elle doit fournir davantage de travail encore, notamment pour sa préparation physique.»YNG messager e Hebdomadaire d e l a Ve v e y s e , de la région d’Oron et du Jorat Publicité UN ABONNEMENT DE FITNESS C’EST L’ASSURANCE-MALADIE LA MOINS CHÈRE ! <wm>10CAsNsjY0MDQ20DUyMbI0MQcAiCvIPw8AAAA=</wm> <wm>10CEXKIQ6AMAwF0BOt-b-ljFFJNrUggHACgub-igSDeO71Hi74LHU96hYEDUkHLUMOU4jRg-5SMAaUUBAzJodmp8W_U21pBxpwgvJc9wtmpYGZXQAAAA==</wm> •A 2 min.de la sortieVevey (A12) •Accès facile • Grand parking à disposition WW.GOLDGYM.CH Case postale 112 – 1618 Châtel-St-Denis 021 948 20 20 – [email protected] Route Industrielle 2 / 1806 St-Légier tél. 021 943 55 77