Attentifs, Ensemble - Ici-Même
Transcription
Attentifs, Ensemble - Ici-Même
Attentifs, Ensemble Au renard : «Voici mon secret. Il est très simple : on ne voit bien qu’avec le coeur. L’essentiel est invisible pour les yeux». Ils sont là. Invisibles, immobiles. Aux aguets et bienveillants, attentifs et ensemble, vous pisterez et débusquerez les invisibles dans la ville, ceux que l’on ne voit pas, plus, trop, pas assez, à la folie. Ils sont là, immobiles pour ne pas qu’on les détecte, tapis dans la pénombre du tunnel, assoupis sous les cartons, aux commandes d’une bétonnière, agrégés au parpaing, sous la plaque d’égout, trahis par une fissure du mur ou par le bruissement du lierre… Prenez garde qu’ils ne toussent, ils feraient trembler le feuillage, le mur, craqueler le sol. Tendez l’oreille, ils ont quelque chose à nous dire, sur eux, sur nous. dr. Benedetto dr. Benedetto Pitch «Attentifs, Ensemble» propose une maraude dans la ville, en petits groupes à la rencontre des invisibles. Le spectacle offre une succession de scènes distribuées dans la ville, vraisemblablement 6 scènes de 10’. Empruntant aux techniques du body painting, les corps des invisibles sont littéralement camouflés, fondus dans leur environnement par trompe l’œil. La peau, les vêtements, les accessoires sont peints et façonnés du même fond que le décor urbain, diluant la forme de la silhouette. L’arrivée des spectateurs active les scènes et des prises de parole. Puissante et poignante, la parole des invisibles s’appuie sur un texte original nourri par des témoignages et des enquêtes. Dans le contexte des attentats et de l’état d’urgence qui en résulte, les dispositifs de contrôle et de surveillance se sont étendus à un appel à la vigilance de tous. Message diffusé dans les transports en commun des métropoles, « Attentifs, Ensemble» est l’un des marqueurs emblématiques de cet appel à la vigilance pour la sécurisation de nos existences. Propos Injonction paradoxale, l’appel à la vigilance permanente nourrit suspicion et défiance, tandis que dans le même temps, autour de nous s’accroit désaffiliation et exclusion dans l’impuissance générale. Comment devoir prêter plus d’attention au bagage abandonné quand tant de gens sont invisibilisés quotidiennement. Sans vouloir mettre terme à terme en parallèle sécurité publique et exclusion, on ne peut que relever l’exceptionnalité de la mobilisation des moyens de coercition et de contrôle en espace public, y compris dans la mise en scène sécuritaire qui affecte les manifestations culturelles en espaces publics, tandis que l’organisation urbaine repousse dans les marges une partie de la population. Et enfin, comment ne pas voir que les attentats et l’état d’urgence ont pour conséquence de stigmatiser et reléguer précisément une partie de la population, celle là même qui manquait déjà de visibilité dans la construction de la collectivité dont elle est pourtant partie prenante. dr. Pol Úbeda Hervàs dr. Quand des moyens conséquents et anxiogènes sont mobilisés pour protéger la fête ou les rassemblements culturels, il n’est pas inopportun d’opposer à la culture du soupçon celle de la curiosité et de l’empathie. A cette fin, « Attentifs, Ensemble» veut mettre en visibilité ceux qui ne se voient pas, plus, trop, pas assez, à la folie. Derrière la terminologie des invisibles, il faut entendre ceux que la résignation ou la sanction économique privent d’accès au droit comme des cœurs urbains ; ceux que qui se protègent des prédations en se dissimulant, les exclus, sans papiers, les minorités sexuelles, ceux que la ville accidentée ou les regards découragent, les handicapés mais aussi ceux que l’on ne voit plus du fait de la banalisation et de la normalisation de la fonction, cantonniers, égoutiers, ouvriers, bénévoles, l’ensemble des playmobils et soutiers de l’organisation urbaine et sociale. Tout ce monde a ses modes d’apparition ou ses stratégies de dissimulation ou de disparition, selon. Dans un double mouvement, il s’agira de repeupler notre regard des invisibles et de passer de la suspicion à l’attention bienveillante. Il suffira de marcher dans la ville, regarder, écouter. Toute la lumière sur la ville du futur First Life Le grand BOOM en avant Chronoclub Démarche de la compagnie Infiltrées dans le quotidien, les principales créations du groupe Ici-Même se sont tout d’abord appliquées à contrefaire et à déconstruire ses sujets dans des dystopies sophistiquées : les doubles langages de l’équipement urbain (la zone pilote de mobiliers urbains coercitifs de « Toute la lumière sur la ville du futur», 2001), les mirages de la mobilité sociale (la formule immobilière retorse et les maisons-parkings de «Chronoclub», 2004), la manipulabilité des pratiques créatives virales (la découverte du streetbooming une nouvelle génération de happening aussi médiatique qu’apocryphe, « Le Grand Boom en Avant », 2007), l’addiction aux technologies de communication (le vrai faux jeu « Allô, IciMême », 2010). Faux équipementiers, faux agents immobiliers, faux locataires, fausse pratique urbaine, faux réseau social, faux jeu virtuel… la compagnie devient faussaire du quotidien pour interroger les réalités établies, les manières apprises, les simulacres, et tout ce qui s’énonce et s’impose au nom du sens des réalités. La manière d’opérer de la compagnie vise à déplier et éclairer sans manichéisme la complexité de la gestion urbaine et de l’organisation collective. Après une longue pratique de l’infiltration du quotidien, la compagnie tire d’une série de créations en territoire plus immédiates et frontales, le désir d’immerger les spectateurs dans des réalités plus documentaires : aventures en réalité augmentée, First Life inscrit le public dans des lieux réels (ou reconstitués) en offrant le point de vue subjectif d’un personnage. Equipé d’un smartphone et d’un casque, le spectateur est guidé par une vidéo, traverse des lieux, participe à des scènes entre réel et virtuel. La saga First Life met notamment en exergue les péripéties et la condition d’un demandeur d’asile, d’une travailleuse sans papier, d’un adulte handicapé frappé de troubles de la personnalité. La première motivation de First Life avait été de rendre visible la condition des plus fragiles : «si nous parlons de la condition de gens différents de nous, nous le faisons pour montrer que nous faisons bien partie du même monde. Nous proposons des expériences d’identité pour montrer et pour déconstruire les crises d’identité actuelles». Avec «Attentifs Ensemble», la compagnie entend poursuivre sa démarche d’exploration du réel et de valorisation des invisibles cette fois dans une nouvelle démarche théâtrale, libérée des technologies et non moins documentée. dr Liu Bolin Forme «Attentifs, Ensemble» propose une maraude dans la ville, en petits groupes à la rencontre des invisibles. Le spectacle offre une succession de scènes distribuées dans la ville, vraisemblablement 6 scènes de 10’ devant des “invisibles”. Indétectables, cachés, ou tout simplement oubliés, parfois en groupe et la plupart du temps isolés, patiemment immobiles, les invisibles sont agrégés à leur environnement comme des caméléons. Une fois débusqués, peut-être dénoncés, ou trahis par un mouvement ou un changement de lumière, les invisibles lézardent, se détachent imperceptiblement de leur environnement. Ils prennent vie, se dévoilent dans leur univers et livrent leur témoignage. Dr. Liu Bolin dr. Desiree Palmen La parole des invisibles Redonner la parole, c’est redonner la capacité d’agir. Puissante et poignante, la parole des invisibles s’appuie sur un texte original nourri par des témoignages et des enquêtes. Coursier, femme voilée, sans domicile, égoutier, graffeuse, agent de sécurité, mannequin… relatent leur condition, leur vision du monde et ce dont ils sont témoins. Le travail de l’acteur relève d’un mode vériste. • Les invisibles : - Un agent de sécurité et son chien - Un ouvrier et sa pilonneuse - Des mannequins en plastique vivants en vitrine - Un sdf et son trousseau de nuit - Un handicapé perché - Des coursiers enchevêtrés - Une femme voilée dévoilée - Le business des hittistes (ceux qui tiennent les murs) - Le vieux parkinson qui fait tout trembler autour de lui. Texte original de Mark ETC sur le mode du témoignage, nourri de : Baldwin James, Nobody Knows My Name : More Notes of a Native Son, New York, Dial Press, 1961 ; trad. fr. : Personne ne sait mon nom, Paris, Gallimard, 1963. Beaud Stéphane, Confavreux Joseph, Lindgaard Jade (dir.), La France invisible, Paris, La Découverte, 2006. Becker Howard, Outsiders, Paris, Métailié, 1985. Bourdieu Pierre (dir.), La Misère du monde, Paris, Seuil, 1993 et Points, 2007. Certeau Michel de (dir.), L’Invention du quotidien, 2 vol., Paris, Gallimard, 1980. Charrin Eve, La course ou la ville, Seuil, 2014. Diallo Fatimata, Sous mon voile, Seuil, 2015. Geffroy Stéphane, à l’abattoir, Seuil, 2016. Gomez Pierre-Yves, Le travail invisible : enquête sur une disparition, François Bourin, 2013. Jablonka Ivan, Le corps des autres, Seuil 2015. Jounin Nicolas, Chantier interdit au public, la Découverte, 2009. Le Blanc Guillaume, L’invisibilité sociale, PUF, 2009. Le Blanc Guillaume, Dedans, dehors. La condition de l’étranger, 2010. Le Men Ségolène et Abélès Luc, Les Français peints par eux-mêmes. Panorama social du XIXe siècle, Paris, Dossiers du musée d’Orsay, 1993. Michon Pierre, Vies minuscules, Paris, Gallimard, 1984. Rancière Jacques, La Nuit des prolétaires. Archives du rêve ouvrier, Paris, Pluriel, 2012 Rosanvallon Pierre, Le parlement des invisibles, Seuil, 2014. Rosanvallon Pierre, Le Peuple introuvable. Histoire de la représentation démocratique en France, Paris, Folio-Histoire, 2002. Tourette Lucie, Jounin Nicolas, Marchands de travail, Seuil, 2014. Lifshitz Sébastien, Les invisibles, film documentaire, 2012. dr. Peter Thwaites dr. Dans les mots des invisibles Dr. Liu Bolin 1/Apparition Saurez-vous les trouver ? Invisibles pour se soustraire aux moyens de détection, pour survivre au contrôle ou aux prédations ou encore, banalisés par leur fonction, ils sont immobiles pour ne pas se faire repérer. Empruntant aux techniques du body painting, les corps des Invisibles sont littéralement camouflés, fondus dans leur environnement par trompe l’œil. La peau, les vêtements, les accessoires sont peints et façonnés du même fond que le décor urbain, diluant la forme de la silhouette. Avant de se confier, les invisibles devront être débusquées. Adoptez le bon point de vue. Dr. Liu Bolin Références plastiques De Klein aux performances de Liu Bolin, les arts visuels mobilisent régulièrement le corps peint pour traiter de sa sa relation à l’environnement. Des défis absurdes de Desiree Palmen aux cassetêtes illusionnistes de Benedetto Bufalino, des corps noyés dans les motifs de Cecilia Paredes aux corps picturaux d’Alexa Meade, de la fusion aux éléments naturels chez Edmond Thomenn aux camouflages urbains kitsch de Trina Merry, sans oublier les pubs maniéristes de Peter Thwaites, entre camouflages politiques, rêveries décoratives ou quêtes cosmogoniques, les intentions et modes de réalisation diffèrent. Nourris par ces héritages visuels, « Attentifs, Ensemble » retient de ses inspirations l’attention à l’environnement et déplace la référence vers la recherche du mouvement, la construction d’univers habité et l’obsolescence du tableau qui aura un début, un milieu, une fin. 2/Action L’arrivée des spectateurs active les scènes après un certain temps d’attente. Les Invisibles s’animent par des mouvements très lents et investissent leur espace avant de témoigner. Le mouvement peut aussi être provoqué par un élément vivant constitutif de la scène, tel que chien, chat, oiseau, vent, eau. Les corps apparaissent peu à peu, se détachent avec d’infinies précautions. Quand les mots viennent, on ne sait plus si c’est l’impact de la parole ou la vibration de la bouche qui anime le corps. Puis par moment, bouche béante, plus rien ne sort. Par autre, c’est débit à flux tendu. Mobile quand tout devient immobile autour de lui, en confiance, selon sa situation, l’invisible prend ses aises, se déplace, déplie son espace, agit. Tantôt attirant, séduisant, tantôt repoussant ou monstrueux, l’Invisible dérange. 3/Issue L’issue tient à la situation décrite, l’histoire, le comportement du public, ou encore, l’intervention d’un comédien embusqué. Selon leur condition et leur personnage, les Invisibles finiront seuls, accompagnés, dispersés.Il s’agit de renvoyer à notre propre regard. De quoi avons-nous peur ? Peur de notre ombre, de notre transpiration ? De l’inconnu, de perdre notre temps ? L’invisible est imprévisible mais l’ennemi est peut-être de l’intérieur… Plusieurs fins possibles : -l’invisible absorbé par les logotypes -l’invisible surexposé par la lumière ou la combustion -l’invisible karchérisé de l’extérieur par un comédien qui dilue le corps et le décor -l’invisible délité par le vent (soufflerie) -l’invisible dispersé dans une tornade de feuilles activée par des souffleurs -l’invisible est des nôtres. Welcome. Dr. Liu Bolin Contagion. ENSEMBLE Une issue -scène finale- pourra être de faire rentrer collectivement les spectateurs dans un tableau commun : -Par contagion d’une couleur (s’habiller, se couvrir) -Par insolation du public devant un mur pigmenté. En chiffres et en pratique • Représentations 2 représentations sur une amplitude de 2h30. Les artistes seront visitables dans leur univers deux fois par jour : au petit matin et à la tombée du jour. Le but est d’offrir deux ambiances différentes et des personnages différents. A la tombée de la nuit, la visite pourra se faire à la lumière de lampes de poche. • Jauge prévisionnelle : 500 personnes / jour si deux sessions (matin et soir). Le public est convoqué par groupe de 50 toutes les 30 minutes. Il se déplace à pied à l’échelle d’un quartier à l’aide d’une carte de la ville. Il est autonome et libre de son point de vue. • Les lieux La création pourra combiner 6 tableaux pré-définis et des tableaux originaux spécialement créés pour les lieux. Echelle urbaine : angle d’immeuble, mur de 50m Le mur La bouche d’égout La vitrine La banque Le sous-marin Le graff La grille Le véhicule • La distribution Composée de 6 artistes la distribution pourra être renforcée par des volontaires amateurs. Jusqu’à une vingtaine, maquillés, habillés par la compagnie. La perfection est atteinte non pas lorsqu’il n’y a plus rien à ajouter, mais lorsqu’il n’y a plus rien à retirer. Antoine de Saint-Exupéry dr Liu Bolin Mise en œuvre Ecriture originale à partir d’enquêtes et de témoignages Recherche plastique autour des tableaux vivants -Dessins et esquisses des rendus souhaités -Etudes techniques et tests corps / fonds -inclusion de comédiens -Réalisations de fonds, faux murs pour la tournée -Fabrication costumes et accessoires objets ordinaires, objets usuels, objets professionnels qualifiants. Répétitions -Répétitions texte, jeu -Répétitions avec accessoires, costumes -Répétitions et chorégraphie des corps peints dans le décor Recherche autour d’un final incluant les spectateurs dr. Desiree Palmen Calendrier PREVISIONNEL • janvier-mars Ecriture des témoignages Premiers repérages, photographies Recherche plastique tableaux vivants • mars-avril Répétitions Dr. Liu Bolin •13, 14 mai 2017, Théâtre Brétigny Avant-première • été-automne 2017 Personnages scénographie complète répétitions complète et finale Texte original et mise en scène Mark ETC Distribution (en cours) Sylvain BORSATTI Céline LAURENTIE Céline NAJI Jacques NORGEVILLE Maquilleurs Guillaume Béal, Geoffroy Dubois chef décorateur Angelo Zamparutti costumière Olga PAPP Production Emmanuelle PY Ici-Même Ici-Même est conventionné par la ville de Paris et par le Ministère de la Culture (Drac-Idf). La compagnie ICI-MÊME consacre ses créations hors les murs aux thématiques du devenir urbain depuis 1993. Spectacles infiltrés dans le quotidien ou dispositifs immersifs aux frontières du réel et du virtuel, installations, protocoles d’exploration, films, éditions, les créations d’Ici-Même questionnent la place de la ville dans l’homme (…ou l’inverse). Equipe Attentifs, Ensemble Sylvain BORSATTI Associatif Chronoclub (2003) Médiateur Show-room (2005) Amateur Le grand Bègle (2006) Dark Le grand Boom en avant (2007) La gravité est ailleurs (2007) Plusieurs rôles Allô Ici-Même (2010) Welcome to Bouillewood (2010) Extension du domaine de la hutte/ Apéricubes 1-2-3 et Fruits de la croissance (2010) Générator Airpost 1,2,3,4,5 et Qui décide du sens du vent ? Plusieurs rôles First Life Aux armes etc, First Life histoires d’A, First Life 6 aventures à Fontenay-sous-Bois. Comédien et régisseur général. Aprés avoir été tour à tour maraicher, horticulteur, marin, facteur, coursier, dispatcher, cuisinier, Sylvain BORSATTI rencontre en 2004 le groupe ici même. Depuis 2010, il collabore avec Nataska Roublov dans le cadre de performances corporelles en intérieur, mais aussi en espace Public. Il accompagne aussi la street artiste SURFIL dans différents projets de peintures et collages en exterieur. Passionné par l’espace public, il est photographe de rue, effectuant quotidiennement de longues ballades photographiques. Captant l’évolution des paysages urbains et de leurs habitants, il est aussi spécialiste de street art. Spécialité qui lui vaut le surnom de photografeur fou. Mark ETC Auteur, metteur en scène. Il écrit et met en scène les spectacles et dispositifs du groupe Ici-Même (conçus principalement avec Eric Ménard et Nataska Roublov). Ses premières réalisations personnelles empruntent à Chris Marker le récit en image fixe. Accueilli par le CICV-centre Pierre Schaeffer il produit des vidéos art (Plans sur la comète), des hypertextes, des dramatiques sonores, des dispositifs en espace public. Il fonde Ici-Même en 1993, des ateliers de construction en 1995, une scop en 1999. Il est artiste associé au Théâtre Brétigny avec la compagnie Ici-Même depuis 2012. Il est titulaire d’un Dea d’esthétique et de sémiologie des arts visuels (Université la Sorbonne nouvelle Paris 3 et Sorbonne Paris 1). Céline LAURENTIE ci-dessus : Forum Chronoclub, (2016) First Life Aux armes etc, Théâtre Paris-Villette Comédienne et marionnettiste. Woyzeck, d’après Büchner, mes de Eram Sobhani, Théâtre de l’Etoile du Nord. Performances avec Sophie Dufouleur et Emeline Thierion Quelqu’un va venir de Jon Fosse projet personnel, dans le cadre des Montois Fairy Times, Château de Montois. L’Ombre & la suite... les histoires de Nora, mise en scène de Dominique Birien, compagnie de la Mine d’or Motus et Bouche Cousue, conte de fée bilingue français/LSF Paris Pieds Nus, long-métrage de Dominique Abel et Fiona Gordon. First Life Aux armes etc, Théâtre Brétigny Céline NAJI Performeuse Gymnaste de formation, elle s’intéresse plus généralement au corps et à l’espace et métisse diverses disciplines comme l’acrobatie, l’aérien, le jeu d’acteur, l’intervention en milieu urbain et la danse contemporaine. Elle participe à différentes créations avec Ilotopie (depuis 2000), Artonic (1999, 2003), Roberta danse, Délices Dada (2009), la compagnie Nö (2003,2008), Ma belle manivelle (1999, 2000), la compagnie Les Allumettes (1996). Cahin caha, Shoomaka, L’oeil en boite. Jennifer chronolocataire Chronoclub (2003) Plusieurs rôles Allô Ici-Même (2010) Plusieurs rôles First Life et First Life Mars, Reporter, Show-room (2005) Extension du domaine de la hutte/ Fruits de Marseille. (2013-2016) Amateur Le grand Bègle (2006) la croissance (2010) Pink Le grand Boom en avant (2007) Juliette Airpost 2,3,4,5 et Qui décide du La gravité est ailleurs (2007) sens du vent (2011-2016) Jacques NORGEVILLE comédien Rompu au théâtre-forum. Nombreux rôles cinéma, TV, publicités. Impliqué dans des actions de transmission et de formation théâtrale des adolescents et adultes via sa pratique du jeu de rôles et de l’improvisation. Promoteur Chronoclub (2003) Plusieurs rôles Allô Ici-Même (2010) décide du sens du vent ? Promoteur Show-room (2005) Extension du domaine de la hutte/ Apéri- Plusieurs rôles First Life et First Life Mars, Amateur Le grand Bègle (2006) cubes 1-2-3 et Fruits de la croissance (2010) Marseille. (2013-2016) JackBoom Le grand Boom en avant (2007) L’Ombre Airpost 4,5 et le ciné-parcours Qui Bibliographie Articles sur Ici-Même René Solis, Aurillac en pleine forme, in Délibéré, mardi 23 août 2016. Camille Tidjditi, Promenades virtuelles et sensorielles à Aurillac, in Le Monde, vendredi 19 août 2016. Clémentine Gallot, Aurillac Chahut les compagnies, in Libération, samedi 20 et dimanche 21 août 2016. Valérie de Saint Do, First Life, in Stradda Hors série, octobre 2015. Valérie de Saint Do, First Life, in Stradda Hors série, octobre 2015. Maud Le Floch et Pascal Ferren, First Life, parcours-spectacle, in Plan Guide Arts & aménagement des territoires, étude nationale pour le Ministère de la Culture et de la Communication, p462, mai 2015. Maud Le Floch et Pascal Ferren, Chronoclub fiction sur l’habitat et la mobilité, First Life, in Plan Guide Arts & aménagement des territoires, étude nationale pour le Ministère de la Culture et de la Communication, p182, 183 mai 2015. Julie Bordenave, First Life, in Stradda n°18, octobre 2010. Charlotte Smith, Urban surprises : Ici-Même, secret agent on the streets, in Total Theater magazine vol21 issue 02, summer 2009. Anne & Julien, Ici-Même faussaires Patentés, in Graf it n°19, juillet-septembre 2006. Cathy Blisson, Motivé, in Télérama n°2944 du 14 au 20 juin 2006. Alix de Morant, Ici-Même Paris, in Scènes urbaines 01, 2002. Gwénola David, Pratiques mobiles Un nouvel art de ville, in Mouvement n°17, 2001. Violaine de Montclos, la subversion à l’assaut des villes, L’événement du jeudi n°28, 25-31 mai 2000. Patrick Sourd, Ici-Même c’est là que ça se passe, in Nova mag, janvier 1997 Thomas Hahn, Performeurs à la rue, in Cassandre 38, 2000. Elena Dapporto et Dominique Sagot-Duvauroux, focus Ici-Même in les arts de la rue portrait économique d’un secteur en pleine effervescence, la documentation française, 2000. Entretiens Edith Rappoport, Exagérateurs de réel, in Cassandre 89, 2012. Samuel Wahl, De l’autre côté du miroir, interventions invisibles in Cassandre 68, hiver 2007. Gwenola David, Mystifications urbaines, entretien avec Mark Etc, in La lettre d’information de l’Onda, automne 2005. Articles, tribunes, contributions Mark Etc, Autoroute 4 voies, dazibao in Stradda Eté 2016 Mark Etc, La vie rêvée des marges in Projections décembre 2015 Mark Etc, Je ne suis pas Eric Zemmour in Pour Charlie 2015 Mark Etc, Petits arrangements avec la réalité, in Stradda n°05 juillet 2007 Mark Etc, Du tiers état au tiers secteur, message de l’état tout puissant, in Le Passant ordinaire n°37, 2001. Mark Etc, Nouveaux domaines, nouveaux publics, quelle action culturelle pour les mutations urbaines, in Le Passant ordinaire n°32, 2000. ICI-MEME ICI-MÊME 23 rue Ramponeau 75020 Paris [email protected] Production / Diffusion Direction artistique Mark ETC [email protected] [email protected] 06 20 73 74 95 Agenda : blog.icimeme.info Réalisations : icimeme.info/indexhibit.php Explorer : icimeme.info Emmanuelle PY Louise productions Vidéo : vimeo.com/icimemeparis Photos : flickr.com/photos/icimeme Presse : icimeme.info/files/icimeme-firstlifepresse-aurillac.pdf facebook.com/icimeme.actus instagram.com/icimeme twitter.com/icimemeparis