N°6 : avril 2013 - Ministère de l`Industrie

‫وزارة اﻟﺼﻨﺎﻋﺔ واﳌﺆﺳﺴﺎت اﻟﺼﻐﲑة واﳌﺘﻮﺳﻄﺔ وﺗﺮﻗﯿﺔ اﻻﺳﺘﺜﻤﺎر‬
Ministère de l’Industrie, de la Petite et Entreprise
et de la Promotion de l’investissement
Bulletin de veille
N°
6
du Secteur Public marchand industriel
du 30 avril 2013
Ac tu a l ité s
Sommaire
Développement industriel LE CONTRAT DE PERFORMANCE DE LA
SGP CHIMIE-PHARMACIE (GEPHAC) SIGNE
En ve rtu du con tra t de pe rfo rma nce signé le
2 8/04 /2 01 3 au siège du MIPMEPI en tre la SGP
GEPH AC et le min istère de l’Ind ustrie, de la
PME et de la p ro motion de l’investisse men t, 4
EPE (GIPEC, ENA VA, TO NIC Indu strie e t EN AP)
s’e nga gent à au gmenter leurs chiffres d’a ffa ire s et le urs pa rts de
ma rché s, à se positionne r à l’in terna tional et à crée r de nou veau x
em plois.
Elles so nt d e ce fa it te nu es à l’obligation de résultats a près a voir
bé né ficié d’un pla n de dévelop pe men t s’é ta la nt su r 4 a n s (20 1320 16 ) qu i p ré vo it u ne cro issa n ce d u C A de 9 % .Le s filières vont
réa liser d es bén éfice s leu r pe rmetta nt de gén érer le urs resso urce s
prop res p our hon orer le s cré dits con tra ctés a up rè s de s ba nq ue s
et fina ncer le urs progra mme s de dévelop pement (mise à n ivea u
de s é quip eme nts, fo rma tion…).
Un mon ta nt de 50 milliards de dinars e st allou é à la
modernisa tion e t à la réa lisa tio n de 15 n ouvea ux projets a u profit
de la filière «chimie-pha rma cie, ind ustrie du pa pier e t de la
cellulose, ve rrerie et pein tu re», a annoncé à ce p ropo s le ministre
de l' Ind ustrie, d e la PME e t de la P ro motion de l' investisse men t,
M. C hérif Ra hma ni, lors de la cé ré monie de signa ture de ce
contra t.
Actualités
1
Développement industriel LE CONTRAT
DE PERFORMANCE DE LA SGP CHIMIE-PHARMACIE (GEPHAC)
SIGNE
Entrée en Bourse des EPE POUR
D’AUTRES SOURCES DE FINANCEMENT
DJELFA LANCEMENT DE PLUSIEURS UNITES INDUSTRIELLES
Groupe COSIDER REALISATION DE DEUX
NOUVELLES LIGNES DE METRO
Partenariat industriel
2
SONELGAZ-ENEL (Italie) VERS LA
FABRICATION DE COMPTEURS INTELLIGENTS
Réhabilitation des activités de
l’entreprise ERIAD (Alger) LES MOULINS
DU TELL FACE A LA CONCURRENCE
Focus sur la production nationale 3
SGP INDELEC : FILAMP (MOHAMMADIA) VA
PRODUIRE DES LAMPES BASSE CONSOMMATION
Entrée en Bourse des EPE POUR D’AUTRES SOURCES DE FINANCEMENT
Sur instru ction du Premier ministre, un pro jet d’introdu ction en Bo urse d’entrep rise s p ubliques de ta ille moyenn e
est e n cours de co ncré tisation. «No us a vo ns in struit les dép artements ministé riels d u se cte ur é co no miq ue e n vu e
de déga ger un certa in no mbre d’entre prises de ta ille moyen ne, éligible s à une ouvertu re d u capital pa r le bia is de
la Bourse», a indiq ué p our sa pa rt le ministre de s fina n ce s en ma rge d ’u n sé mina ire o rgan isé jeu di pa r la CO SO B
sur les a van ta ge s de l’in tro duction en B ou rse. La liste de s en treprises éligibles se ra e xa minée pa r le Con seil de s
pa rticipatio ns de l’E tat (C PE) qui va d écider de l’ou verture du ca pita l de s entre prises séle ctionnée s e n ve rtu de s
cond ition s énon cé es pa r la loi su r l’in troduction en Bourse . L’o uvertu re du ca pital se fera «à ha u teur de 2 0%» ,
selon le ministre de s finan ce s qui a éca rté toute idée de «p riva tisa tion».La nou ve lle déma rche veu t inciter le s
en treprises p ub liques à rechercher d e nou vea ux m ode s d’inve stissement. « L’idée e st de d ema nder a ux
en treprises publiq ue s de comme ncer à financer une pa rtie de leu r plan d’in ve stissement pa r l’a ppe l a u ma rch é
finan cier», précise le ministre qui a joute qu e «les e ntre prise s pu blique s on t bénéficié de ressource s pu blique s
da ns le cad re de l’a ssa in isseme nt fina ncie r, elles o nt des ressources fina nciè re s da ns le cad re d e leurs rela tion s
ba nca ires, ma is il fau t qu ’elle s aillen t à la reche rche d e source s de finan ce men t alterna tives».
BULLETIN DU SECTEUR PUBLIC MARCHAND N°6 30 avril 2013
DJELFA LANCEMENT DE PLUSIEURS UNITES INDUSTRIELLES
A l' occa sion d'une visite du ministre d e l'Ind ustrie, de la PME et de la Promo tion de l'in ve stisseme nt, M. C hérif
Rahmani à Djelfa, des u nités industrielles o nt é té rela ncée s a vec l’ob je ctif d e génére r plus de 8 00 emplois. Il
s’a git :
-d’une filiale ENIE qu i p ro du it de s équip eme nts médica ux électroniq ue s (Aïn Ou ssera ),
-d’une no uvelle unité d e tra nspa le tte s et de sou s-tra ita nce ,
- d'une unité du groupe de l' in du strie du pa pier et de cellulose, (Ha ssi Ba hba h).
Au chef-lieu de la w ila ya , le ministre a présid é une cé ré mon ie de lan ce men t de s tra va ux de réalisa tio n d'une
cimente rie pour un in vestisseme nt d e 2,7 m illia rds de DA.
C ette u sin e de vrait enta me r son a ctivité e n 20 14 e t créer 2 16 poste s d'e mploi. Sa réa lisation devra it égaleme nt
a méliorer la distribu tio n du ciment da ns la wila ya, don t les besoins son t e stimés à 1 20 .0 00 ton ne s pa r a n. A u
nivea u de la zon e in du strie lle d e la wila ya , le ministre a donné le co up d'e nvoi de la réa lisa tio n d' une un ité d e
tra nsforma tion mé ta lliqu e, po ur un investisse ment de 4 ,5 millia rds d e DA, a ve c en perspective la créa tion de 15 0
emplois dire cts. C ette w ila ya d ispo se de 2 2 zone s d'a ctivité.
Groupe COSIDER REALISATION DE DEUX NOUVELLES LIGNES DE METRO
Selon le ministre des tra nspo rts, l’in stalla tion du systèm e inté gra l de l’extension d u métro d’Alge r est e n bo nn e
voie, les ma rché s rela tifs au x études des tu nne ls a ya n t été a ttribué s. Cette extension p ré vo it en effe t des tunnels
a lla nt de Haï El Ba dr vers El Ha rra ch e t Aïn Na âd ja et d e la Gran de-P oste jusqu ’à la pla ce de s Ma rtyrs. D’a u tres
tun ne ls sont prévus à pa rtir d’E l Ha rra ch jusqu’à l’aé ro po rt, d e Aïn Na âdja jusqu ’à Ba ra ki e t de la pla ce des
Ma rtyrs ju squ’à Ch eva lley, Dély Ibra him, Ch éra ga, O uled Fa yet e t El Achour.
La réalisa tio n de s ligne s El Ha rra ch-aé ropo rt d’Alge r sur 9 k ms e t Aïn Na âd ja -Ba ra ki sur 4 kms a été co nfiée a u
gro upe CO SIDER .
Partenariat industriel
SONELGAZ-ENEL (Italie) VERS LA FABRICATION DE COMPTEURS INTELLIGENTS
Le groupe SO NE LG AZ et l’italien ENEL ont sign é en a vril de rn ier, un protocole gé né ra l de coo pé ra tio n da ns les
doma in es d ’a ctivités des de ux sociétés, en pa rticulier da ns la distribu tio n de l’électricité. Selo n les terme s de ce t
a ccord, le s deux sociétés e t leu rs filia les vont « mettre e n œuvre des solu tio ns inn ova n te s a fin d’a méliore r le
fon ctionnement des ré seau x de d istribution tout e n optimisa nt le s co ûts d’e xploita tion, de maintenan ce e t d e
gestion ». Da n s ce ca dre, de s écha nges de visite s techn iq ue s seront fa vo risés pou r mu tua lise r les sa vo ir-fa ire et le s
expériences selon le gro upe SO NELGAZ qui précise que le s princip au x axes de coopération visent notamment à
évaluer les technologies et les synergies po ssibles, à identifier les solutions p our faire face à des défis
technologiques et à tester de s solution s à travers des projets pilo tes tant en I talie qu’en Algérie.
La socié té italienne ENE L est reconnue co mme é ta nt pionn ière des technologies de réseau, grâ ce à se s 40 million s
de co mpteu rs intelligents déjà installés a u niveau international et les système s les plus a va ncé s en ma tiè re
d’a utoma tisation e t de ge stion d e ré sea u de p ro ductio n d’é nergie re nou ve lable s.
Pour ra pp el, le Co nseil d es Pa rticipa tion s de l’Eta t a au to risé le tran sfe rt à titre gra cie ux d e l’EPE Appa reils d e
Me su re e t de C on trôle (AMC ) rele va nt d u po rtefeu ille de la SGP EQUIP AG, a u pro fit du group e SO NELGA Z
(Ré so lu tio n N °0 5 du 1 5 ma rs 2 01 0). L’EPE AMC, filia le du group e SO NE LGA Z de vrait b énéficier d’un p ro gra mm e
d’investissement p ou r a ssurer sa mo de rn isa tion et son développe ment.
2
Ré habilitation des ac tivités de l’entreprise ERIAD (Alger) LES MOULINS DU TELL FACE A LA CONCURRENCE
La réha bilita tion du secte ur pub lic initiée pa r les p ou vo irs p ublics se con cré tise : l’entrep rise ERIA D a bénéficié des
me su re s d’a ssainisse ment né ce ssa ires lui p ermettan t de rela ncer le s a ctivité s d e se s filia le s.
L’u ne d e ses filia le s, Les Moulin s du T ell Blida, présen te a u de rn ier salon DJAZAGRO , dispo se de deux u nités d e
produc tion :
1 . une minoterie qui est a ujou rd ’h ui en a ctivité p ou r so n prop re co mpte, ap rè s a voir fo nctionné e n offra nt de s
presta tio ns de tritura tion a u secteur privé. « l’entreprise suit toujo urs le s orien ta tion s du ma rché e t la
demand e de la clientèle a vec la mise en pla ce d’un con ditio nn eme nt plu s a dap té de 1 Kg et 5 Kg dé jà
disp on ib les sur le ma rch é et qu i seron t suivis de sa cs de 10 k g», on t p ré cisé les responsa ble s de l’E RIAD B lida.
2 . une semoulerie à l’a rrêt depuis 2 01 2 en ra iso n de la vé tu sté de ses équ ipe men ts, qui a bénéficié d’une
envelo ppe fina ncière de stinée à la mod ernisa tio n de l’o util de p ro du ction e n vu e de la reprise de se s a ctivité s.
Cette reprise devra it interve nir e n 20 14 après l’a ch èveme nt des tra va ux de ré no va tion . T oujo urs da ns le ca dre
de la réha bilita tion de l’entreprise, l’unité pâtes alimentaires repren dra ses a ctivités a près l’a cquisition de s
équipe men ts nécessa ire s,. L’unité produit a ctuelle men t 3 0 00 qu intau x pour d es ca pa cité s réelles d e 4 00 0
quin ta ux pa r jo ur. L’entre prise a ccorde u ne gra nde impo rtan ce a u co uple qualité /p rix des p ro du its e n vu e
d’un meilleur positionne men t sur le ma rché na tional.
UNE AFFAIRE DE METIER
L’u nité de Blida «p ossè de un savoir-fa ire da ns ce d oma ine qu i se tra nsmet de gé né ra tio n en géné ra tio n et
grâ ce à la qualifica tio n de se s ou vriers, le s p ro duits q ui so rtent de l’unité so nt con cu rrentie ls».
C ependan t, le s mé tie rs des moulins risquen t de dispa ra ître (meu nier e ntre au tres) si d es effo rts ne sont pa s
déplo yé s a fin de les p ré se rver. U n ra pp ro ch eme nt a ve c les cen tre s de forma tion e st d onc nécessa ire a fin d e
permettre le recruteme nt e t la forma tion des Jeune s da ns cette filière.
ERIAD Blida pou rsuit sa conquê te du ma rché à tra vers la mise en pla ce d’un résea u de d istrib ution plus éla rgi.
De s p oints de ve nte sont bientôt o pé ra tio nnels à B lida , Belcourt , Hu ssein-De y e t Ko uba.
Pour ra pp el, l’ERIAD d’A lger a en ta mé son p ro ce ssus de réha bilita tion à tra vers le red éploie men t de se s filia les
dont ce lle des Moulins de Corso q ui a ré ce mment con clu u n partenaria t avec le Groupe Benamor sp écia lisé da ns
l’a groalimenta ire.
Focus su r la production nat ionale
SGP INDELEC : FILAMP (MOHAMMADIA) VA PRODUIRE DES LAMPES BASSE CONSOMMATION
FILAMP, filia le d u grou pe ENIEM, est insta llé e à Mo ham ma dia . C ré ée pa r l’ex SO NELEC en 197 9 pou r fab riquer
des la m pes, l’en trep rise a bénéficié de plan s de cha rges con sé qu ents qui lui ont pe rmis penda n t quelq ue s
temp s de réalise r d’a pp ré cia bles chiffre s d’affaires.
FILAMP est sp écialisée da ns la fa b rication de s la mpes é le ctriq ue s à inca nd escence à l’a ide d’une techn ologie
mode rne de ve nue universelle . E lle fa briq ue e n série s de s p roduits sta nda rds le s plu s dema ndé s et su r comma nd e
les p rodu its spé cifique s. Tou s ses p ro duits son t vendus sur le ma rché com me étan t de s bien s de stiné s à la
con so mma tion de masse qui visent les ména ges, les ad ministra tio ns et le s en trep rises.
Pour ré pondre a ux be soins du ma rch é na tional, l’en trep rise vien t de la nce r u n a vis d’a ppel d’offres p ou r la
p roductio n de la lampe à ba sse con so mma tion (LBC ), a ve c un e op tio n p ou r le pa rtena ria t à tra ve rs la créa tio n
d’une société mixte a ssocia nt un technologue d u do maine de s LBC.
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BULLETIN DU SECTEUR PUBLIC MARCHAND N°6 30 avril 2013
UNE CONCURRENCE DELOYALE
Depu is l’ou ve rture du ma rché e t la suppressio n de la valeur a dministrée e n 200 1, FILA MP re ncontre de s
p roblème s d ’é co uleme nt d e se s p ro duits en ra ison de la concurrence d éloya le qu i sévit, provoquan t la mé ven te
de se s p ro duits sur le ma rché na tio nal.
Ma lgré l’existen ce d es normes a lgé rienne s référen cé es a u nivea u de l’IANOR et de no rmes interna tiona le s s e
ra ppo rta nt au x p re scription s de sé cu rité, le s prod uits co mme rcia lisés so nt ca ra ctérisé s pa r une a bsence totale d e
respe ct aux no rme s. Le s p ra tiqu es fra udu le uses se son t généra lisées. Le prod uit a in si qu e l’étiqueta ge n e so nt pa s
confo rme s : le mê me p ro duit peut ê tre ve nd u sous d ifférente s a ppella tio ns leu rra n t le co nsomma teur croya n t
a vo ir a ffaire à de s prod uits diffé rents.
Un e a ction en vue d ’e xe rcer un meilleu r contrôle a été tentée en 2 005 suite à une con vention signé e e ntre
F I L A M P e t le C A C Q E.
VERS LE RENFORCEMENT DU CONTROLE DE LA QUALITE
Les exp erts so ulignent à cet é ga rd la recrude scen ce du ma rc hé in fo rmel qui min e toute initia tive de s en tre prises
p roductrices d’a méliorer leurs pa rts de ma rché. Le s en ga gements d e l’E ta t vis-à-vis d e l’Union eu ro pé enne en
ma tiè re d e pa rtena ria t écon omique, l’a ccep ta tion des standa rds de l’O MC et d e l’O rgan isa tion Mond ia le de s
Do ua ne s (O MD) impliq ue la mise en pla ce d’une stra tégie nationale de va nt con tribu er à ré duire l’a mpleu r du
phén omène d u co mmerce info rmel dans notre pa ys. Le s spécialistes e stimen t qu ’un plan d’action national
s’a vè re né ce ssaire qui de vra p re ndre en comp te e ntre a utres la n écessité de mise en o eu vre de m esures telle s
que :
1 . l’a llégement de s cha rge s fisca les et pa ra fiscale s de s entreprise s afin de maîtrise r la proliféra tion du co mmerc e
in fo rm el en A lgérie et encou ra ge r son in té gra tion dan s le circu it légal,
2 . des fa cilita tio ns dan s les procédu re s d oua niè re s pa r l’in sta uration de circu its simplifiés,
3 . l’ho molo ga tion d es la bora toires d’EPE pou r a ssu rer le co ntrô le de conformité des produits imp orté s et
rédu ire les déla is d’a tten te.
FILAMP n’a pa s résisté à la concurre nce sa uva ge de s la mpes impo rtées. La p ro du ction n’e st p lus ren ta ble e t
né ce ssite d es me su re s de red ép loieme nt vers de s prod uits à plus forte va le ur a jo utée . Les gra nd s grou pe s
interna tionau x comme Ph ilip s, Sieme ns, qui o nt maintenu la prod uctio n de s la mpes, on t p ro cé dé a u la nceme nt
de nou vea u x prod uits tels que les la mpe s ha logène s, les la mpe s ba sse con so mma tion, les la mpe s LED e tc...).
PROFITER DES MESURES DE RECADRAGE DES ACTIVITES COMMERCIALES
Il y a lieu de rele ver le s récentes mesures p rises pa r les pou vo irs p ublics visa nt un recadrage des activités
d’importation de matières pre mières et de revente en l’état à tra vers les mesures énoncée s da ns le décre t N °
13 -1 41 du 1 0 a vril 201 3, qui mo difie le d écre t N°0 5-45 8 du 30 no vem bre 20 05 fixa nt le s mo dalités d ’exe rcice de s
activité s d’impo rta tion de ma tiè re s prem iè re s, prod uits et marcha ndises d estinés à la re ve nte en l’éta t.
Le s sociétés comm erciale s so nt tenu es "de disposer d'in fra structures de sto ckage et de distribution appropriées,
aména gé es en fon ction d e la na tu re d u volume e t d es nécessités d e sto cka ge et de p ro te ction des ma rchan dise s,
ob jet d e leurs a ctivités, et fa cileme nt co ntrô la bles pa r les services habilités ; d' utiliser des moyens de tra nspo rt
adap té s a ux spé cificité s de le urs a ctivités ; prendre les me su res nécessaires pou r le contrôle de la con formité d u
produit impo rté p réalab le ment à son a dmission sur le te rritoire na tiona l conformé ment à la législation et à la
régle men ta tion en vigu eur ".
INDICATEURS U : MDA
Il y a lieu de n oter que FILA MP a contribué en
Années
Chiffre d’affaires
Effectifs
20 11 pou r 2 % au C A global de la SGP IND ELEC .
2011
140
104
2012
96
104
4