Oeuvres complètes - Halloween et Tromal

Transcription

Oeuvres complètes - Halloween et Tromal
La Louve effrenée
Oeuvres complètes
Musicaleffrenée
A L'Ombre Elle
Aquarelle sur papier St-Armand et encre de Chine; création spontanée de la Louve 2011
En musique par le truchement de Youtube the great Gare du Nord - Marvin and Miles
Live
Pour Toi beatiful soul - For You belle âme where ever you are...
A L'Ombre Elle
L'Ombrelle
Une white ombrelle
Une soft pink jarretelle
A L'ombre de la crazy elle
Une ondine vachly frêle
Un désir obvious en elle
La blue vague en aquarelle
A tout coloré derrière elle
You're just a Crazy Blues and You jazzed me on tout à fait dinguouze
Trottinant deeply en elle
L’obscène montée belle
Du sans cœur cruel désir
Sans vouloir se ressouvenir
Des odieux hush fastidieux
Soupirs des déplaisirs
Des after pieux d'voeux
You're just a Crazy Blues and You jazzed me on tout à fait dinguouze
Une jouissance dense
Sur ton souvenir danse
Et redanse sans cesse
Sur cette souvenance
En chevauchées immenses
Aux confins de ces reins
En perpétuelles chutes sur fesses
Jazzy bluesy louvy blacky sweetie déesse
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You're just a Crazy Blues and You jazzed me in tout à fait dinguouze
"Prier Dieu de connaître sa volonté chaque jour et lui demander la force de
l'exécuter s'avèrent une pratique peu commune pour l'égo ce baladin peu commode
lorsque trop boursoufflé voilà une dure pratique suivant la théorie; dégonfler cet
orgueilleux ballon à sa juste mesure." La Louve 23 mai 2011 - 00.16
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À Travers Bois
Blues sauvage avec strings sounds ravages for the magic men en peine à haut voltage...
À Travers Bois
Sous-titre
Bois de Travers
Dans une course effrénée
À travers vers et bois
Et hautes marées éloignées
Je m'y suis nue baignée
Dans ces eaux troublées
Aux liquides et chimiques
Anesthésiants thrills épiques
Take me again and shut up l'Éric
Je fonds en ton tréfonds en rebonds so damn bons yeahhh! again c'est si bon!
Entre deux notes cyniques
Et blafardes d'arpèges soniques
Pour les oreilles de mon âme so british
And so much french when I'm selfish
Don't worry baby tomorrow I'l be Irish
And in my cati-wolf eyes you'l see the sea
This is a gift from my Grand-Pa in Germany
Et tu sais une québécoise sait être grivoise
Entre les vers ça boit de travers à Val-D'Oise
Je refonds en ton tréfonds en rebonds so damn bons sans ton bourbon et reprends-moi
donc y' a pas d'bouchon qui détonne le ton...
(Bis)
Dans une course effrénée
À travers vers et bois
Et hautes marées éloignées
Je m'y suis nue baignée
Dans ces eaux troublées
Aux liquides et chimiques
Anesthésiants thrills épiques
Take me again and shut up sweetie kick
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Mmm! Kind of a drag with this bitchy cutie mouse in mine tiny winy house...
de la Louve effrenée de belle musicalité...
"An old Dixie tune is like an oldie Cherry Coke; never too late to feel and taste it
baby." (Mistyblues on the G road 2012 the Year of the Dragon-Blues ).
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Absolutely Tea
°°°°
Musique: Chopin, Fantaisie Impromptu
°°°°
Absolutely Tea
Absolument Thé
La lune d'e septembre hors foule
La lune de septembre hors foule
Est pourtant so so full full
Oui! Absolument thé
Yeah! it was absolutely tea
Et y avait d'la houle sous la pluie
Il jouait elle dansait pieds dénudés
Avec son sourire détaché enivré
Une pure et douce sentimentalité
Entre ces deux âmes s'était nouée
Permissive et géante comme les marées
Absolument thé en double sirotée musicalisée
En oubliant sans juger
Tout humain non musicalisé
Une lueur au fond de ses yeux trop bleus
M'a fait découvrir la lune en rayons moelleux
Et l'astre fatigué s'est couché
Sans hésiter pour laisser
Place au matin en épopée automnale
Le pianiste en jouissance paroxysmale
Lui lance des œillades inestimables
Et elle danse encore immuable insaisissable
Absolument thé en double sirotée musicalisée
Et le lendemain soir a débuté stylisée
Une nouvelle saison avec l'amour renaît
En lin coton ses jupons ronds et longs
Son piano blanc aux noirs candélabres
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Les reflets de la lune sur le portrait
Grandeur nature de l’énigmatique Napoléon
Nous y avons vu flamber mille feux autour
Autour des doux sons amoureusement sonatés
Jusqu'à la fantaisie impromptue et somptueuse
Du dieu Chopin entre deux chagrins d'âme torturée
Absolument thé en double sirotée musicalisée
de la Louve effrenée de belle musicalité
°°°°
"La recherche du bonheur est la recherche de nous-mêmes. Le bonheur est
différent pour chacun de nous ; il est différent comme les vocations : identique et
uniforme, il serait sa propre négation."
[Jean Prieur] Extrait de Les Maîtres de la pensée positive.
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Again and Again
Again and Again
Again and again
Le vin délivre
Again and again
Le vin délivre
Relivre sa lie
But vivre et laisser vivre
until the last pipi
entre deux lits
En flagrants délits
touche pas sa béquille
il fourmille frétille
comme une anguille
Hééé! touche pas sa béquille
en déni vachement il titille
ignorant sa terminale de vivre
tu vois il scintille
et phoque de mer les peccadilles
Again and again
Le vin délivre
Again and again
Le vin délivre
Yes rame dans ton bateau ivre
Bacchus le portera aux nues
again and again
you touch the sky again
The House of the rising sun
entre deux pichets de fun
Have a drink on Me
keep it taste it obviously
Elle préfère le jus bluesy
des sons jamais too spicy
lorsque simply elle misty
always again and again
my poor little friend
ok ok elle s'entourloupe
d'oranger de cantaloupes
Putois she feels good putois
Loin yes loin de toi alcool putois
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Again and again
Le vin délivre
Again and again
Le vin délivre
All right vis ta pain
loin de l'alcool tu vas vivre
promises promesses ça délivre
God will do the rest sans givre !
Nota Bene : This is for 'The Archives' ; keep it cool c'est meilleur between two maux de
coeurs sans coeur...
❤❥❤
"Il y a tout d'abord la littérature de la connaissance, et secondement, la littérature
de la puissance. La fonction de la première est d'enseigner ; la fonction de la seconde est
d'émouvoir. "
Thomas de Quincey
❤❥❤
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Amour Épistolaire
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☆`♥ ´☆`¤º°°¨¨°☀
Amour Épistolaire
Épistolaire d'Amour
Grandiose de prose en Osmose
Plus durable que l'apothéose
Des charnels de sans-sens
Nous voguons vers l'encens
De nos verbes illicitement
Perçus comme un brin cul-cul
En ces pourtours l'envie tue
Au diable les mesquins déchus
Que de nettes métamorphoses
Aux confins de nos stances
En moult balances never rances
Perpétuellement en instance
De se renouveler avant l'été
De nos ballets entrechoqués
De sonorité sur vélin de papier
Platonique mets ta physique
Sur l'endos de la gimmick
Point de cruelles mésalliances
Dévergondées ou sages cadences
En argot slow ou en style badaud
Tout semble sonore et non sot
Nous voguons entre les doux vers
De soie ou d'alexandrins en airs
Courts via les longs bleu-de-mer
De bateaux aux tire-bouchons verts
Haletante je m'y perds sans ta semence
Aux subtiles et envoûtantes fragrances
Reviens me couvrir de ton alphabet de jouvence
Je te couvrirai d'onomatopées en latence de défaillance
de La Louve effrenée dite Marquise des Loups en ce 26 décembre 2012
"Le pire aîné musical-érotique que j'eusse connu fut le Baron de Lustucru lorsqu'il
me proposa un cunnilingus d'astreinte face à mes vers; 'pas pour un sous terre à
terre'susurra-t-il assouvi par ma secousse d'orgasme et sans l'ombre d'un verre via le
sous-verre, nous poussâmes la gamme de nos rames jusqu'au piano avec nos deux égos
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en écho et ceci sans Graphy en Mi..."
Kakemphaton allongé en G de la Louve effrenée de belle musicalité in
Tease Me once Tease me Twice sans Advice.
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Angelot
Angelot
Angelot versatile et fébrile
De mes rêves adolescents
Au-delà de ton âme d’Homme-Enfant
Je me repose en tes eaux
D’une rivière de sons et de mots
Qui coule en bannière fière
Angelot versatile et fébrile
Sur une toile non délurée
Dessous le lin si fin enfin
Se meurt un ego gonflé de trop
De nos flammes en folie oh si
En voie de trépasser pour mieux ressurgir
Et faire rougir tous les amants non épurés
Car cette éminente passion cache la pureté
Dans sa voluptueuse et charnelle beauté
S’éloigner l’un de l’autre fait souffrir
Car de nos mots furibonds giclaient le délire
A en oublier nos jalousies de satyres
Imaginaires qui nous freinaient
Et augmentaient nos sots de maux
Effaçant d'emblée nos mots trop beaux
"La Louve 2010 in groovin' Mode au-delà des modes qui briment l'Exode des
sens en transparence dense."
«La créativité surgit de l’inconscient, du conscient, du déjà-vu, de l’imaginaire
débonnaire et fécond lorsque le Feu sacré est inné.» ( la Louve, 3 novembre 2006).
« Dérisoire est le geste de copier la nature puisqu’il suffit de la saisir en soi-même et de
la transposer spontanément après l’exercice de la Contemplation et l’écoute de ses voix
et voies intérieures." (La Louve, 3 novembre 2006).
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Anima Animus
Merci musical à Eric Clapton et à tous les magic men qui ont su l'entourer -Rambling on
My Mind Have You Ever Love A Woman
Just for You de la Louve...
Anima Animus
Animus Anima
Pour toi beau troubadour Animus
Trottinant lascivement de nuitée
Vivant flottant sur Uranus
A l'effigie d'un nautilus affamé
Entre deux lazy-crazy versus
Pliant colliers savons et bagages
Entre deux ou trois Jazzy_touchy de rages
Animus dis tu entends l’Angelus avant l'adios de nos osmoses?
Depuis que tu as déposé les armes
Tu sais combler au centuple ton Anima
Avec tous ces tercets bleutés-dorés
La réjouissance des mots résonnés
Sans la raison rompant ainsi le charme
Aux moindres confins de l’alma
Sans résistance aucune ni imbroglio en fa
Surgissant de nulle part que de l’eau-de-là
Anima tu es privilégiée d'entendre le son des vers et toi Animus? Inch' Allah entre deux
damn Sol Ré Mi Fa
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Apollon du Beuvron
Apollon du Beuvron
Une simple réponse Apollon
A ta missive estampillée du Beuvron
L'Oraison via l'obscène Rigodon
Et j'me barre en deux ou trois Tons
Tu t'abreuves de toutes mes chansons
Vilain garçon au yeux grivois fripons
Sautons et petit patapon ferons...
J'me débande seule le ruban grisant
De ma platine coquine en voiles d'antan
J'me concocte une toune full hard Rock v'lan
En pensant à Ta Flûte de pan toi le Paon
De mes heures aux cent minutes bon!
Sautons comme les moutons et petit patapon ferons...
C'est vachly bidon ton numéro 0 zéro 0
Tu fuis bravo par ton pouvoir d'exacto
Ta rengaine me frôle le sein gauche oh!
Elle atteint mon âme d'élite sad gigolo
De mes chocs-notes via mes chassés-croisés d'mots
Je m'accommode de tes humeurs sautées hôôô
Et le tout se vautre bien bas sur mon nombril chaud so chaud...
C'est la limonade de la diantre de volupté jusqu'au bas-dos trop chaud
Sautons comme les moutons et les violons nous entendrons jusqu'à l'aube, valsons sans
Oraisons bel Apollon du Beuvron.
de La Louve effrenée de belle musicalité le jeudi 7 juin 2012 -
****
« Fais bien et ne crains point les hommes ;
N'écris pas et ne crains point les femmes. »
Proverbe russe
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Apostrophe
Musique: Jimi Hendrix - Born Under A Bad Sign
°°°°
Apostrophe
En catastrophe
se place l'apostrophe
dans un but énergique
géostrophique
lier un mot mystique
Angéliquement
se pose les trémas
sur un mot extra
et angélique
littérairement
La dive virgule
se place ici et là
lorsque la phrase circule
par çi par là oh! La!
pour mieux inspirer et halte là!
Un peu à la façon d'un cobra
Un tout petit tiret
pourtant discret
avant un point d'exclamation
en vue d'ondes feu-follet
brisant ainsi la loi du lacet
et sans aucune friction ou mention
les trois petits points font le point
Lascivement une majuscule
se tortille près d'une minuscule
en voie de devenir italique
à en perdre la rotule
nul doute la ponctuation est magique
Succinctement la parenthèse
se gonfle d'orgueil
comme les guillemets en coq l'oeil
à en faire rougir la blanche feuille
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sur son socle entouré de cerfeuil
vers l'épilogue d'une mini-thèse
Et le diantre de point virgule
sait sans rechigner expliciter
sans trop stupidement forcer
la note se frotte et renote en hercule
la signification exacte du mot renoncule
Et doucement sans sourire
le sérieux point d'exclamation
saura épater la Galerie Zébrions
à faire torsader les embryons du rond point
sans aucune autre notification ou delta-rire
épiloguons ici à la ligne un final point
De La Louve
°°°°
«La lecture est un acte d'identification: si nous comprenons ce que nous lisons, c'est que
les sentiments exprimés sont déjà en nous.»
Madeleine Chapsal
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Armure ou Armature
Armure ou
Armature
Une noire ceinture Blues pour armure
Munie d'un tigré d’œil antiordure
Un ruban noir perlé violet en soie pure
Pour bandeau antibitch en svelte posture
Un cuiré d'pantalon so tight noir et rose
Pour aplanir les choses moroses
Entre ces poses qui indisposent
lentement à petites doses
L'égo en écho des blessures
Des échelons des outre-mesures
De toutes les têtes grosses
Des corps devenus ossatures en fosses
Richissimes communes ou Artistoes
Souris aux intempéries et vis ta vie en survie sans envies
Multiformes j'te forme
Toi ma portée hors-normes
J'me réforme en homme
Des tas d'écueils en feuilles
These English testing music m'effeuillent
Le cœur en accord de l'âme et l’œil
Soirées grisantes d'hiver ou d'automne
Douces musicales et pas monotones
Tu es le perfect spécimen androgyne impur
Et tes yeux de loup-louve sont ta plus belle parure
Keep on blues in with your Art mûr et Art mature
Souris aux intempéries et vis ta vie en survie sans envies ni déni sur ton moi profond en
rebonds
****
❤❥❤
" Sacré de feu ou stigmate écarlate à jamais accolé dans l'âme de celui qui en est
récipiendaire à toujours; un jour Blues, always Blues. "
La Louve effrenée in G groove
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❤❥❤
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Assonances Toniques
Voix magnifique d'Amaury Vassili et les Petits Chanteurs de la Croix de Bois; les
paroles de ce grandiose d'Hallelujah sont de Leonard Cohen.
Pour Toi en toute Amitié aux mille et une vérités sans faux fuyants harassants je t'offre
ces vers venus de mon univers sans alcool aux verres ou aux bouteilles qui ont su
brimer les plus belles de mes plages vermeilles; voici Assonances Toniques.
Assonances Toniques
Toniques d'assonances
Magiques rondes
Assonances toniques
Monde à part des immondes
Plateformes furibondes
Étrange mappemonde
Et la musique avec Dieu guérit les maux les plus cruels jusqu'au dernier jour de notre
terrestre séjour
Déni indéniable
De ce toi instable
De ce que tu fus
En perpétuel rut
Courant les jupons
Les plus fripons
Et la musique et le pardon savent réconforter sans séquelle aucune.
Mea maxima culpa
Pour tout ce béant tralala
Déblatéré à ton effroi
Ayant sonné le froid glas
En démentielles entrechats
En valsant mes dentelles sur ce drap
I apologized so be fair and don't forget to sing and sing for ever and ever
°°°°
"Le savant étudie les autres, le sage se connaît lui-même." (Lao Tseu).
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Au Bord de l’Ouanne
Douchy - L'Ouanne - France
`♥ ´☆`¤º°°¨¨°☀
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Au Bord de l’Ouanne
L’Ouanne et ses Bords
En ce jour de l'Assomption
C'est au bord de l'Ouanne
Que j'ai revu en nostalgie
Mes années diaphanes
Dans une autre Vallée
Au loin de l'autre côté
De l'océan d’où je vins
Sans peur ni doute
Rejoindre mon destin
Oui coûte que coûte
C'était un pluvieux de soir
En cette terminale d'année
Aux refrains parfois noirs
Parsemés de quelques notes
Claires et joyeuses en histoire
Ta fougue mêlée de tristesse
A vouloir faire mieux express
Ton empressement à me plaire
Ta rêverie se faisait réalité
Et je ne t'ai pas perçu déçu
J'avais cette foi si précieuse
Et de Dieu et de toi très ému
Puisque ma vie je lui avais confiée
S'enfuirent un à un les ennuis
Vinrent les inoubliables ces moments
Présents intrinsèques beaux
Que l'authenticité seule peut donner
À nos rêves épars la pure réalité
Pierre de lune bleutée spacieuse
Que chaque journée est à refaire
Différemment pour émotionnellement
Stabiliser avec Dieu sans hésiter
de MDLoups La Louve effrenée en ce Jour de l'Assomption 2012
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"Vivre sans attente aucune du soleil ou de la lune peut s'avérer une sacrée belle
vie jour par jour sans trop de lacunes via les étoiles ascendantes filantes descendantes
débandantes."
Renée Sances in Slowly Blues in Stances
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Automnal Elixir
Automnal Élixir
Sie Und Er
Vous envahissez mon âme rebelle
pas toujours belle
Avec tant de fougue sensuelle
Lors de mes élucubrations matinales
En ritournelle de feux secrets
pas toujours discrets
Quel automne beau avec vos tercets
Se juxtaposant comme des aimants
via mes libidinaux de serpents
m'encerclant et me sarclant
Et s'amalgamant à mes rebonds trop lents
En matinées ou soirées automnales
Soyez heureux à toujours
Car le bonheur vous sied à ravir
Votre verve enchante ô troubadour
Depuis tant de lunes pleines
Nonobstant les vipères en devenir
Qui par leur automnal élixir
Tentent d'amadouer le Blues en détour
Afin de me voir loin et fuir en déveine
la fuite sera inutile
entre deux sibylles
mon âme demeure accolée aux vers
sans la peur qui désespère
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Automne-Hiver
Automne-Hiver
Automne de feu en romance
Automne en somnolence
Automne de feu en romance
Automne en somnolence
Léthargique romantique
Visions chimériques nostalgiques
Émancipation de la chair
Sans soucis des cœurs écorchés
Lacération Blues égocentrique
Aveuglé par son reflet énigmatique
Négligeant cet Écho fantastique
Zip! les feuilles dégringolent et caracolent
Zoay et Zardas voyagent en fiacre laconique
Quels veinards ces amoureux de la Coupole!
Sourires et fous rires! quelle sérénade rythmique!
Et l’automne passe se délasse
Se lasse et passe les buses échasses
Survient l'hiver entre deux chasses
Moins dense la cadence et les airs
L'hiver en chasse tout se délasse
En mal de réminiscence plus claire
La Louve for a new exodus sur les vieilles douves in 2011
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2010-12-31
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Bal-Scandale en Suisse
Œuvre d'Antoine-Jean Gros. Lieutenant Charles Legrand. c. 1810. Oil on canvas. The
Los Angeles County Museum of Art. Lo
°°°°
Musique: Symphonie Pastorale de Beethoven
°°°°
Bal-Scandale en Suisse
Scandale de Bal Suisse
de la Louve effrenée
Tout un hunk of crazy love
Tout l'Canton en recause
Du bouquet musical up above
Deux corps en perfect osmose
De touchers en soupirs
Aux extrémités du saphir
De son auriculaire de doigt
Le baron frôle la marquise
En redondance de coït
Dans cet écrin étroit
Il susurre "I feel at home"
Sweetie you are my môme
En nudité belle au big bal
Totalement décontracte
Ce fut l'avant dernier acte
Après leur triomphe en G spiral
Et toute l'assemblée muette
Reluque le duo hautain et obsolète
People jaloux et envieux de leur bonheur
Les amants partirent en calèche à 12 heures
de la Louve effrenée Marquise des Loups à l'âme rebelle
°°°°
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"Tu es homme, je suis ton éternel erratum en plusieurs tomes." (La Louve
effrenée 30 juillet 2011).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-12-10
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Bataille et Ripaille
°°°°
Bataille et Ripaille
Ripaille et Bataille
°°°°
( A toi toujours ma Zoé en souvenir de nos chevauchées délurées)
Louange-moi¸
Bataille-moi
Griffaille-moi
Sur le jaune de la paille
En souvenir humorisés
De nos ripailles
Sucrées salées
Du don de soi
En soupape voilée
De la Renaissance via la Romance en balance
Joue-moi so low so slow
Aussi heavy que ce Blues Chicago
À fleur de nos loups d'peaux
Ces vieux jeux aqua d'eau
En quatre et douze temps
A very table contre temps
Battons la cette mesure
En immense lente démesure
À faire craquer la toiture
De la Renaissance via la Romance en balance
Ce morceau so slow
De ton nord-est de tempo
Cette catharsis aristotélicienne
Méditerranéenne ou Amérindienne
Trifluvienne avec antennes
J'me perds avec ces mots
Bordéliques aristocratiques
En raz-de marée alpha
En groove d'harmonica
Méphisto beta organza gamma
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De la Renaissance via la Romance en balance
Batifole-moi en symphonisme
Jusqu'au paroxysme avant-avant-gardiste
De nos concerts orgasmiques
Entre-deux pauses survolant l'érotisme
Oubliant les chamailles hystériques
Balayant d'une note les anachronismes
De ces soli bourrés d'anarchisme
Ultra cold maso-féministe
Jusqu'au masculin cacophoniste
De la Renaissance via la Romance en balance
Mi Ré Fa Ré
Sans stopper! Feu!
A big hunk quoi!
Les yeux bleutés
Mi langoureux
Mi narquois
Tu piges alors tu rédiges
Ou tu figes avec ta tige
Mi RÉ Fa do ré émoi
Zoé allez familiarise-toi en moi
entrer]De la Renaissance via la Romance en balance
Rejoue- moi
Ces émois en solo
Avec bémols de toi
En piano et en saxo
Guitare au dos
En exæquo de ban-douille
De la Renaissance via la Romance en balance en transe
Allez presto dérouille
Nous avons la répète en bateau!
Viens j'ai ce qu'il te faut
Un résonateur et un tonneau
Hééé' Résonne-toi accorde-toi
D'un ton plus chaud plus bas
Oui plus bas que le do du dos
Oui juste plus bas allez fais l'saut!
[entrer]De la Renaissance via la Romance en effervescence de transe
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°°°°
____
De votre aut'heure diurne ou nocturne une autre fleur sauvage de La Louve effrenée de
belle musicalité dorée cuivrée bien assonée pour bien vous aimer.
°°°°
"Il y a mieux encore que le calme de la solitude : la présence silencieuse de l'être
aimé, tout près. On est seul, en sachant qu'on pourrait ne pas l'être." (Claude Roy).
°°°°
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Bavarois de Charivari
Bavarois de Charivari
♥´☆`♥ ´☆`¤º°°¨¨°☀
Une rouge fleur d'aubépine
Un crazy bavarois de charivari
Quoi de plus obviously sweetie
Entre deux longs versets vachly Inn
Gourmandes lèvres fier sourire
Un deux subtils clins d'œil
Via une franche œillade
Sans aucune mascarade
Il s'avançait sûr de lui
En lui offrant ce présent
Inopportun et gentil
En hommage à ses écrits
D'aujourd'hui et d'antan
Elle remercia et rougit
Il déposa le joyau-magie
Sur son pantalon de daim
Et sa bouche fit le baise main
Puis vers Forgensee il s'enfuit
Sur un cheval blond à son effigie
♥´☆`♥ ´☆`¤º°°¨¨°☀
"Les silences donnent à la musique la respiration cosmique qui sait la faire vibrer
d'âme à âme pour faire sonner mieux la note magique qui suit en beauté
rythmique."
La Louve effrenée de belle musicalité
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2012-11-23
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Blanche Pulsion
Blanche Pulsion
Pulsion Blanche
Moue de proue des aiglons
Sous le voile et le ceinturon
Une érotique de souvenance
Une rectangulaire de partition
De cette blanche pulsion
Éjaculée en un demi temps
Note pâle sur l'ombre du soir
Bien accolée à la perle noire
Moue de proue de femme
Corps et âme en flammes
Ta peau tactile se pâme
Jusqu'au voluptueux toucher
De la caresse quémandée
En trois volées surexcitées
Le ballet bien rôdé et centré
En jarretelles tringlées
Moue de proue ô fou charisme
Ta libido s'offre le paroxysme
De tous les musicaux de prismes
Ta vulve se hisse et hurle un vœu
Tes seins se pointent aux cieux
Sans débander ton corps est chaud
Ce batteur te rejoint en sons beaux
Battements synergiques en cœurs à deux
de la Louve effrenée de belle musicalité et bien-nommée Marquise des Loups à l'âme
rebelle so belle...
****
"Relis tes ratures et poursuis tes rêveries note par note sans dessus dessous et
frotte-toi sur la gamme ahurie en oubliant d'épater la galerie." (La Louve effrenée
de belle musicalité).
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Blues Tempo
Blues Tempo
Rêves so chauds
Entre jambes et seins beaux
De nous deux sans quiproquo
Aux allées et longues venues
Venant des spatiales de nues
Deux femmes ou plus se meuvent en chaque femme et s'étalent sur tes stalles de désirs...
Des copeaux de souvenirs
Aux débandades de lyres
Juxtaposant nos cheveux
En épars de sombres feux
Deux femmes ou plus se meuvent en chaque femme et s'étalent sur tes stalles de désirs...
...
Nos vulves en octaves
Jouissives exiguës conclaves
Se remémorent tes aurores
Où ton phallus de velours
Nous a octroyé désir plus amour
Aux goûts de miel de multiflores
"Deux femmes ou plus se meuvent en chaque femme et s'étalent sur tes stalles de
désirs; il est primordial de les charmer toutes pour assouvir tous les désirs de ces
nombreux hommes en toi."
(Élucubration du deux novembre 2011 de La Louve effrenée de belle musicalité;
marquise des Loups à l'âme rebelle so belle).
°°°°
"Partout se présentaient.... et des balustres en marbre, et des stalles sculptées par
les Charpentier et les Dugoulon." [François-René de Chateaubriand, chevalier
Breton in Le Génie du Christianisme, ou Les Beautés de la Religion Chrétienne]
°°°°
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"L'éternelle erreur consiste à prendre le libertinage pour la liberté."
[Gerard Kornelis Van Het Reve]
Extrait de: En route pour la fin
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Bohème d’Âme
♥´☆`♥ ´☆`¤º°°¨¨°☀
Bohème d’Âme
Âme bohème
Si clone il y a
De toi et moi
Quelque part
Quelle oeuvre d'Art
Ce sera toujours la fête
Bene noté dans mon pense-bête
J'ai accolé ton poème
À mon âme bohème
Poème magique
Poème libérateur
Poème fleur bleue
Sans vœux pieux
Poème mystique
Là où Dieu unit ses loups
Jusque dans l'éternité des fous
Des crazy noctambules poètes doux
Bohème d'âme entre deux tisons never ronds via les flammes...
♥´☆`♥ ´☆`¤º°°¨¨°☀
Si clone il y a
De toi et moi
Quelque part
En ce bas monde sans méchef
Ce serait vachly sympa
Ils adapteront derechef
Notre maniera detre
Dans tous les thés de salons
Malfamés grimés guindés ou non
Nous serons la coqueluche
De toutes les fanfreluches
Jamais au grand Jamais
Clonage n'aura autant de jais
Charbonneux pour leurs yeux
En état de devenir vieux jeux
Nonobstant leur jeune âge
Voire leurs sages jeunes âges
Bohème d'âme entre deux tisons never ronds via les flammes aux elfes et elfines pas de
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trop volages ni sages...
♥´☆`♥ ´☆`¤º°°¨¨°☀
La Louve effrenée de belle musicalité en ce lundi 13 janvier 2015
" Les années passent et la musique enlace nos âmes au fil des ravages aux
mauvais sillages des amours vraies outrepassant la cage des mauvais présages de l'âge.
"
La Louve effrenée de belle musicalité
♥´☆`♥ ´☆`¤º°°¨¨°☀
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Born Too Soon
" The day I was born the moon turned fire red and the..." (Jimi Hendrix).
".... and please don't ever forget that I'm a voodoo child too et que la nuit où je
suis née la lune devint fire-rouge..." (la Louve effrenée).
Born Too Soon
Et la lune this wild soul sister
A ouvert ce transis de coeur
Aux souffrances et peurs
En transes des folles leurres
Ici ou ailleurs hééé! le violon pleure
Dis tu entends sa clameur
This moon was born too soon
For this young blood sans coeur
Juxtaposant nos tourments
Musique à l'avant-plan
Des ironiques de contre temps
La lune mon âme soeur
Dévore nos ridicules de peurs
Nous amants des mots francs
Noirs et blancs en délits flagrants
Et la Lune soul sister moon
A ouvert ce drôle de coeur
Au souffrances et peurs
En transes des leurres
D'ici ou ailleurs elle m'effleure
La lune ma fool soul sister
M'a découvert au travers les rumeurs
Que cette lune was born too soon
For this magic man au coeur de raccoon°
° Raccoon: Chat sauvage; appellation commune en Kanada de raton-laveur.
A song in this thursday mornin' on January the 27 2011; Just for You de mistyblues la
louve en musicaleffrenée de musicalité..
« Plus je tourne et retourne cette idée que Dieu peut communiquer la pensée à la
matière, plus elle me paraît vraie. » (Voltaire),
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Brandade de Citrouille
Brandade de Citrouille de la Louve effrenée au son de la guitare et de la voix de Térez
Montcalm avec**E penso a te ***.
Brandade de Citrouille
Citrouille de Brandade
Aux confins so fins d'une Halloween de soirée pas de trop déguisée et nullement
aiguisée avec jus bizarres et brandade meringuée à la citrouille, fallait voir leurs bouilles
avec leurs bonnets tout à fait désuets; un peu beaucoup sur le côté vachement déposés.
Brandade à la citrouille, oui, dans ce pays nommé Wolfmoon Island; là où vivaient ces
bonnes gens c'était de la brandade et non de la tarte. Suivons-les de près, très près en
longeant l'allée de cyprès droits et laids sans attrait au mystérieux Château de l’Églefin.
Anyta aux pattes fines et grosses breloques ici et là s'avançait d'un pas burlesque
équestre et avec grâce elle savait nous imposer sans tergiverser ses nichons quelque peu
poltrons voire lassés paumés de ne point se faire souvent pelotonner.
- Tu as du feu dis Anyta ? minauda Solyne aux intonations si aiguës pointues qu'en se
fermant les yeux nous croyions entendre une enfant de douze ans; peuchère c'est qu'elle
faisait bien le double cette gaie-luronne friponne mignonne.
- Non, je ne fume plus depuis hier et je t'en prie ne me cause pas de clopée defumée; ça
me donne des hauts via des bas le cœur et d'inutiles vapeurs.
Giuseppe à la perruque blonde immonde, foulard rouge noué un peu dénoué, bottes
noires bien mises jusqu'aux genoux ronds, dents blanc-mange, épaules bien en vues
avec épaulettes anti-squelette bien vautrées dessous un veston bleu-roi pâlot, ma foi il
faisait belle mine et illico il enleva son Stetson Hat de London à plume de Zurich et
vicieusement il zieuta l'Anyta en l'enveloppant obscènement de ses yeux de loup affamé
de longue date indéterminée. Son panta-court bleu-clair bien moulant lui donnait un air
sadien-louvien étonnant...
- Quelle chaleur dans ce living-room, n'est-ce pas bella mia... Tu as du feu ? J'ai
abandonné la clope la semaine dernière et j'ai un craving so fou just now !
- Bordel de feu, du feu, toi aussi tu veux du feu ! Suis-moi nous irons manger de la
brandade à la citrouille et après du feu oui du feu nous trouverons du feu...
- OK! Je te suis à pas de loup pour la branlade enfin la brandade...
Et ce duo en manque ou craving depuis moins d'une lune pleine mangèrent de la
brandade à la citrouille et ce à deux ou trois reprises; gourmands gourmets ils en avaient
sur le menton, elle sur les nichons, lui sur la culotte près de l’arbalète toute prête à
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s'allonger et c'est ainsi que le désir ce cunégonde au masculin entra en ligne de compte
et sans acompte, sans réfléchir ou fléchir le genou droit il baissa son blanc chemisier
tout de go, lui mordillant goulûment les seins qui attendaient grossièrement en jumeaux
cette baboune (bouche) de jouvenceau, il lui attrapa la croupe; grains de beauté ici et là,
pas besoin de loupe, son ventre blanc sans corset avec ou sans baleine le requinqua en
double appât pour lui fouetter les pulsions au maximum de leur summum et v'lan nul
besoin de rhum et il la prit là sur le long sofa moelleux de couleur orange-brûlée, un feu
de paille maybe baby but, mais, Héééé! l'Anyta gémissait en triple boucle au son de la
jazzy d'musique sans s'occuper des autres convives en mal de vivre et vachly ivres.
Jamais au grand jamais brandade à deux ne fut plus succulente; un vrai régal de feu
meilleur et supérieur à la tarte cit-rouillée tant dégustée prise au préalable en photo au
Resto des Trois Sots; quoi de plus rigolo qu'un souvenir aussi rococo pour recoller dans
un very big Album titré Has Been Bum demi-cinglé.
sans suite...
MDLoups bien nommée La Louve effrenée de belle musicalité le 30 octobre 2013
"Le pire aîné musical-érotique que j'eusse connu fut Lustucru lorsqu'il me proposa
un cunnilingus d'astreinte face à mes vers; < pas pour un sous terre à terre > susurra-t-il,
assouvi sans l'ombre d'un verre au sous-verre vert.&quot;
(Kakemphaton allongé en G de la Louve effrenée).
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
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British Arc-en-Ciel
Pleine lune du 9 novembre 2008; Quartier Soho, London, England.
°°°°
Peter Green's Fleetwood Mac - The Green Manalishi (With The Two Pronged Crown)
°°°°
British Arc-en-Ciel
Un British Arc-en-Ciel
Dans une fenêtre de mer de train
À la porte de Londres en essaim
Un soleil éclatant mille couleurs de miel
Un British Arc-en-Ciel frôlant mes ailes
Les yeux bleus délavés incrédules
Une heure de moins à la pendule
Des gens pressés comme ailleurs
Et la vie bat ici en folle clameur
Un British Arc-en-Ciel en dividende belle
En cette île d'Angleterre
Que mes aïeux ont côtoyée
La terre tourne et la lune pleine erre
Sa sphère en éclairant ces rues un peu austères
En ce neuf novembre bien cahoté
Une pleine lune en Angleterre me donne envie de déployer mes ailes
°°°°
«La colère est pareille à un cheval fougueux ; si on lui lâche la bride, son trop d'ardeur
l'a bientôt épuisé.»
(William Shakespeare) - Henri VIII
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-09-07
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Calvaires Divers
Au sons magiques de la musique et des paroles de Peter Green
****
De la Louve effrenée de belle musicalité des mots du coeur en toute amitié pour vous
lecteurs diurnes ou nocturnes...
Lorsque décembre revient je ressens avant ce seize balèze ta main dans ma main en ce
matin là tout là-bas là-bas so loin tout ça et ce poème revient encore et encore so fort so
far hanter mon âme via ma peau et sa fleur et ce sans rancoeur...
Calvaires Divers
Divers calvaires d'hivers so verts
Épousailles psychiques mystiques
Épousailles sans trous ni failles
Ni aucun cruels de faux risques
Outre ces désirs hyper cyniques
Au creux de toi en usurpant la règle de trois
A pérennité en G préfixes
Aux mille délires en suffixes
Via les divers calvaires
De ces hivers austères
Au creux de toi en usurpant la règle de toi à moi
Épousailles troublantes mystiques
Épousailles sans peau de fausses failles
Ni aucun cruel lascif de coït à risque
Outrance danse d'obscènes désirs cyniques
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Au creux de toi en usurpant la règle de nous avec foi
Emmitouflés dans leurs strophes
En duel d'orgasmes bénéfiques
Où se joue perfecta adagio
Ces obscènes de rythmiques
Aux double tambourins monophoniques
Au creux de toi en usurpant la règle de nous avec foi sans douter de nos joies
Épousailles irradiantes psymystiques
Épousailles sans peau de nos psyfailles
Ni aucun cruel toucher à tout psyrisque
Oh que Si! we are cut deeply to the bone
A outrance avec ces désirs psycyniques
Sur une péniche verte on the lovely Rhône
Au creux de toi en moi en usurpant la règle de nous avec foi sans douter de nos joies à
jouer et à jouir avec coït et sans psycoït...
****
de la Louve effrenée dite Marquise des Loups rebelles à l'âme so belle in Through True
Decibels...
&quot;Relis tes ratures et poursuis tes rêveries immatures note par note sans dessus
dessous et frotte-toi sur la gamme ahurie en oubliant d'épater la cynique de galerie
maléfique.&quot; (La Louve effrenée de belle musicalité).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2014-01-21
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Carrelages infâmes
&#10084;&#10085;&#10084;
Carrelages infâmes
Infâmes de carrelages
&#10084;&#10085;&#10084;
La nuit suivait son long cours
Tout comme la rivière in Rockamadour
SiFrêle s'y baignait en cavalcades tout autour
Des rochers en cœurs losangés allongés
Délaissant les zanamours énamourés
Trop lourds voire pas assez courts
&#10084;&#10085;&#10084;
LaLunA rosa sans or argent ni agent
Se peaufinait tortueusement un chemin lent
Paraffiné de mousse vert pousse en brindilles
Pas de trop en moult tape à l’œil qui brille
Juste ce qu'i faut en pointes diamantées étonnamment
Avec au coup de pied un pendentif d'étain et d’onyx
Le lacet de cuir noir brun scandait le phœnix
Douzième vie de SiFrêle so pêle-mêle remix
&#10084;&#10085;&#10084;
Œil qui brille n'est pas toujours sain
Lorsque la brillance est artificielle sans faim
Véritable de l'Amour avec ou sans écrin
Elle s'y baignait en cavalcadour
Sur le dos de sa chute via sa chatte d'Amour
En léthargie de jouer avec des violons autour
Des croches si blanches et noires sous le miroir
Bien en zigzags jusqu'aux culminants de points désarmants
Aux soniques et toniques d'accents too much bandants
&#10084;&#10085;&#10084;
La nuit suivait son long cours
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Tout comme la rivière in RockAmadour
Elle s'y baignait nue en cavalcadour
Délaissant les zanamours énamourés
Trop lourds voire pas assez courts
Avec des sacrées d'ondes qui bifurquent lourd
Tout cet accent grave gavent les jaloux sourds
Aux cavalcades de pierres so bleues aux détours
&#10084;&#10085;&#10084;
Mon épée ne sera pas ton épée
Puisque la mienne et son épopée
Sait l'âme doucettement toucher
Entre deux carrelages infâmes
Là ou sa tête et son cœur de dame
Se crochetèrent là où le point brûle sans came
Ces infâmes de carrelages
Éminent présage d'entre les âges
&#10084;&#10085;&#10084;
Et ce furent ses mots derniers
Peut-être ses plus beaux deniers
Pour certaines âmes belles so belles
Voltigeant ici et là très près d'elle déferlent
Cyprès mélèzes pins le vent s'en souvient d'Elle
Petite elle de nulle part claudiquant parmi les gazelles
Et le mois doux si doux s'en est aussi allé loin d'elle SiForte SiFrêle...
Et le mois doux si doux s'en est aussi allé loin d'elle SiForte SiFrêle...
Between deux tempêtes de grêle il y aura la pelle...
&#10084;&#10085;&#10084;
&#10084;&#10085;&#10084;
&quot; Mon épée ne sera pas ton épée puisque la mienne d'épée sait l'âme toucher
uniquement entre deux carrelages infâmes...&quot;
La Louve effrenée de belle musicalité in Carrelages infâmes
&#10084;&#10085;&#10084;
&quot; Il y a tout d'abord la littérature de la connaissance, et secondement, la littérature
de la puissance. La fonction de la première est d'enseigner ; la fonction de la seconde est
d'émouvoir. &quot;
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Thomas de Quincey
&#10084;&#10085;&#10084;
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Cauchemardesque Rendez-Vous
La Princesse au Feu sacré de Wojtek Siudmak d'origine polonaise.
°°°°
Musique Gare du Nord - Sold My Soul
°°°°
Cauchemardesque Rendez-Vous
Un satané d'rendez-vous
foule de cauchemars d'ex
a tourné au vinaigre aigre-doux
car cauchemardesque
au huit rue de West Sussex
full of désirs de flèches
orientées sur la '' flesh''
juste la bigame ''game''
des chics femmes en &quot;flame&quot;
et le fric en briques
de ces honteuses de cliques
Hic! oui le kick! (sic) ça me rend sick
Dans un excès d'expérience
quelque peu yes fugace
agaçant ainsi l’Ignace
que je suis peu loquace
en pensée de galerie-chasse
méli-mélo un peu trop solo
dans ma caserne rétro
mais vraiment de trop
Puisque j'aime bien le nouveau
monde avec la Raymonde
cette nouvelle flamme ronde
palpable autant que la Cunégonde
née pour le partage des croches
et des rondes sur une table cinoche
sans panties ou cordes moches
qu'illico presto je flush flush
Hush! Hush!
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Et vous le peuple en délire
qu'un petit rien ne sait faire rire
Hush! Hush!
Qu'avez-vous en reproche
à me galvauder la sacoche
plein de psaumes et d’effiloches
qui me pulvérisent et effarouchent
les cheveux en quatre natoches
Bigrement je vais de ce pas
entrer en true sacerdoce
car les féminines de nanas
m'offrent une peur atroce
nouant ainsi ma libidinale de poche
pourtant née pour se dévergonder
en exécutoire de totale liberté
Totally! Totally! Totally!
comme les poèmes de poètes nés
en absence de cold vulgarité
ou de remontrances en latence
j'me barre v'la ma chance
d'homme par pure prudence
j'm'en balance
de ta phoque de mer de cadence!
de La Louve
°°°°
&quot;Les grands artistes sont ceux qui imposent à l'humanité leur illusion
particulière.&quot;
[Guy de Maupassant] Extrait de Pierre et Jean.
~~~~
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Chacun son Truc
Le Saut number seven de la Louve effrenée de belle musicalité...
Chacun son Truc
Vachly obvious not a bit bandant
Ton truc ne sera jamais mon truc
Vachly obvious not a bit bandant
Ton truc ne sera jamais mon truc
You're a bad boy and I'm a bad girly
So don't y'a think it's better for you to see
Vu la marquante différence
D'antan en sweet démence
Ni ma crazy fugue ta fugue
Just because you're just hugues
And I'm a wild louve in surfugues
Petite-fille d'annick and sir walterhugh
But somethin' is vachly sure cutie pie
You'll sundenly miss a lot this is no lie
Inside of this damn and incredible truc
Most of the time on mode bandant en chantant
V'lan v'lan rataplan v'lan v'lan bandant en enchantant
(Bis and Bis four times; there's no kind of délits or crimes but it's only for the damn
rimes).
Play it in G groove as an heavy Blues and than you'll feel real good sans adjuvant
atrophiant le cerf-volant so that it can makes you move for good!
La Louve dite Marquise des Loups, création in France, Arles, Mars 2012
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Champtonsceau
Un Sot Sceau
Entre deux trots pas beaux
Par delà les champs
Un sot passe son sceau
Sans rien du tout dessus
Ni dessous en vue
Entre deux amants je mens
Pénis de phénix au vent
All ô ha! quel bon temps v'lan!
En le voyant chantant œuvrant
Marchant en se dandinant en guitare hihan!
Entre deux champs tu prends
Branle-bas de combat
Sans se justifier ni le haut ou le bas
Car inexistant entre quatre temps
Une pareille arbalète avec string se branlant
Entre chaque jouissance elle danse
Jouissances en souvenance
Le rendez-vous est en furieuse latence
Un coup deux coups de juste pendule
Et le voyageur nu arbitrera ma tarentule
Jusqu'au crier grâce encore de grâce!!!!
La Louve effrenée entre deux virées musicales synthétistes biennales!
« Plus je tourne et retourne cette idée que Dieu peut communiquer la pensée à la
matière, plus elle me paraît vraie. » (Voltaire),
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Chanelouve
(Photo artistique anonyme).
&#9734; &#9829; '`&#9829;' &#9734;` ¤ º ° ¨ ¨ ° ° &#9728;
Chanelouve
Chanelouve entre deux douves
Pourléchait et léchait les vitrines
Soudain une divine tambourine
Dans son cœur très fort résonnait
En langueur douce désormais
Son prénom sonne et resonne
Comme an oldie gramophone
Ses yeux tristes songeurs et rieurs
Demeurent encore en son gai cœur
Un prince un duc ou un baron
A minuit toutefois elle confond
Il la touchait et au corps
Et au cœur jusqu'aux tréfonds
De son âme en mal de sons profonds
Sa musique acoustique
Ou électrique quasi celtique
Serpentait en son aujourd'hui
Depuis son hier sous les pluies
Des malsains effets de serres
Le grand manitou changea l'air
Des sombres notes éphémères
Pour les transformer en un géant concert
Aux notes à toujours indélébiles en leurs âmes
Via de bienfaisantes vibrations qui désarment
de la Louve effrenée de belle musicalité
&#9734; &#9829; '`&#9829;' &#9734;` ¤ º ° ¨ ¨ ° ° &#9728;
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« La faim chasse le loup hors du bois. » (Proverbe Sioux).
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Chassés-croisés non désaxés
Colibri canadien à gorge rubis face à un mandevilla
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&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
Chassés-croisés non désaxés
Un colibri au bec mignon gentil
Passait par là ce fameux mardi
Un colibri au bec mignon gentil
Battant des ailes colorées et frêles
Miroitait ses moult couleurs belles
Du jaune au vert quasi rosies bleuies
Étendue nue aux nues sur un vert bain de soleil
La Lucyole se frottait entre deux rayons
Bons so bons et bougeaient ô merveilles
Ses deux fesses bien bombées bronzées
Aux languorous sounds bien jazzy bluesy en G
Le gourmand colibri suçait à bec perdu ô Hip!
Son mandevilla Mmm! bien bandant cet égo-trip
Tout en tempo magique narcissique sonique
Il eut tout à coup une pensée vachly érotique
Perdre la proie pour l'ombre et ce d'un flip!
Goûter ce nectar évidemment différent
Qu'il imaginait sweetie salé-sucré
Mais la Lucyole bien écartelée
Fut d'un tout autre préavis lorsqu'elle vit
Ce long bec s'avancer sur son roux doux pubis
En plein midi d'elle s'échappa un grand cri
Apeuré le colibri ainsi pantois loin s'en est allé
Morale en spirale astrale causale biennale: À chacun sa sphère et les angles seront bien
axés entre deux chassés-croisés non désaxés et jamais surtaxés ou surexcités entre deux
thés...
MDLoups La Louve effrenée en ce mardi 7 mai 2013
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Chat Tigré Noir
Et de la Louve effrenée de belle musicalité entre deux Blues virées
Chat Noir Tigré
Tigré d'Chat Noir
Un miroir à deux contours
Un entonnoir un écumoire
Un lendemain d'bord de Loire
Bien autour quelques vautours
Un chat noir tigré en boule s'épanche
Et rêve à sa chatte blanche
Ma clope se meurt se déhanche
Et mon obsession en fa demeure
Je vais de ce pas en ré marcher
Histoire de dégonfler décompresser
La nicotine sans cœur m’écœure
J'me désespère sais plus quoi faire
La clope et cette Zoé
Me coupe le reste de souffle
Le cœur se meurt et me tortille
Ouf! à pleurer je dessouffle
Hier je me suis juré
De n'y plus mettre les pieds
Dans son maudit escalier
En étire-bouchon qui vrille
Au plafond trop rond
J'me désespère sais plus quoi lui faire
Mais me v'la again accroc
Ou un peu marteau
Cette gazelle me hante
Son rictus me décante
Mon esprit se retorsade
Ma libido se remansarde
Et je respire la divine fente
De son horrible foulard de soie
Couleur forte moutarde
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J'me désespère sais plus quoi me faire
Deux heures et plus d'attente
Je la vois en bas ça me tente
Noirs talons sans aiguilles
Alors tout bas je tousse
Elle glousse sa marche lente
De plaisir je me réjouis
Comme une carotte de nuit
Je me languis de cette fille
Pouf! Je plonge dans le noir
De son peignoir trop noir
Quel score ce scorpion
Je refais le pion trop pion
Avec tous les saints
En supplication je refeins
D'être bien bene bien
J'me désespère j'me barre la peur me flaire
____
&quot;Il faut vivre comme tout le monde en étant comme personne.&quot; (Jean
Cocteau).
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Chimère musicale
Chimère Musicale
Musicale de Chimère
Sans dessus dessous
Un morceau un peu fou
Entre deux mystères de Vous
Sans changer le courroux
De nos blessures du dessous
Une force herculéenne soudaine
Pour raviver la veine de cet Artout
Maniera de tout changer en ébène
Anima Animus soufflent les oriflammes
De nos histoires infâmes en miroir
Quasi dérisoires avec l'âtre du soir
Nos âmes bien accolées en Quidam
Eviscération des envieux griffeux plagieux
Stop and stop tous ces tabous trop pieux
La chimère au paroxysme se dégriffe
Et devient la réalité des touches bleues
de votre aut'heure dans la nuit La Louve effrenée en ce printemps tout neuf du 20 mars
2016...
****
&quot; Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point. &quot;
Kind of an adage Mode philosophique from Blaise Pascal in Pensées de Pascal
****
&quot;Les silences donnent à la musique la respiration cosmique astrale qui sait la faire
vibrer d'âme à âme pour faire sonner mieux la note magique qui suit en beauté
rythmique sonique.&quot;
La Louve effrenée de belle musicalité
****
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Clef de Sol
CLEF DE SOL
Ce musicien au regard narquois et filou
Sa guitare avec partitions le suit partout
Son corpus est gracieusement épanoui et réjoui
Envoûtée elle s'enroule en ré majeur autour de lui
Depuis des lunes aux sens du toucher
Et il oublie sa musique rocky bluesy fa-si héééé!
Pas elle grrrr! une merveille sans pareille vermeille
Son désir augmente en ré mineur aye oille heille!
Et tout de go un jour lune pleine et de soleil
Hivernal en Renaissance immense il s'est coulé
Jalousement succinctement au creux d'elle sans demander!
Sous lui elle a tant désiré le surcombler
Puérile incapable de songer de les voir resuccomber
Elle dansa sans narguer la joie d’être à ses côtés
Son dos ses fesses elle a lacéré en volupté resucée
En transe de danse bien déhanchée immergée
Il se coule en elle comme une vague émancipée!
Déchaînés, martelés! Heéééé! ils coulèrent à pic
Au détriment de l'aimant effervescent de cette Clef de Sol
Et de son tambour à basques réhymené*
Oui! Déjà en pensée bien ancrée! ô course épique
Lui, haletant, battant la mesure à contre-temps et indompté!
Elle vaincue comme une naufragée en bémol elle s’extrapole
La douceur de la couleur de ses yeux si près des siens ô hyperbole!
Sa taille de guêpe androgyne la butine et la caracole
La fait onduler des hanches en farandoles belles et folles!
Au son de d'un Blues en cache parfois grivois
Sans la toucher de par son âme jadis cent fois,
Il avait déjà tout pris d'elle tel un maître-roi
Et puis souvent la nuit comme ça il s'est recoulé et renoué
Plus encore au creux d'elle sans redemander
Puisque leurs âmes en redemandent d'eux à satiété
De plus belle sa Clef de Sol caracole et se coule en elle hééé!
De ce concerto aux mille et un rappels à foison d'elle
Autour de la Musique leur maîtresse aux grandes ailes
Ils voguent au détriment de tous ces jets d'encriers rebelles
Hééé! don't stop it's Just a Crasy Blues une torride party
De fesses in distress de culminantes ivresses heavy duty
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*Réhymené: Hymen nouveau; euphémisme louvien permissif en poésie.
La Louve 2011 Year of the Bronze à chacun son Bonze
« Plus je tourne et retourne cette idée que Dieu peut communiquer la pensée à la
matière, plus elle me paraît vraie. » (Voltaire),
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Complicité de l'Âme
Diane chasseresse, par Auguste Renoir (1867)
Musique de Youtube
Fragmento do filme &quot;O Segredo de Bethoven&quot;
Fragments of the &quot;Bethoven secret&quot;
Pour Toi que tu sois de la Louve en chemin jour par jour sur les vieilles douves
Complicité de l'Âme
Soul to soul
Âme à âme
Dans les yeux de l'âme
Nos regards se soûlent
Jours en longueur infâme
De big big défoule so full
En tandem de flammes
De nos fibres en synergiques alarmes
À notre insu du moindre sursaut
Qui se trame en soubresaut
Et les white boules
De neige s'enroulent
Comme la mer en houle
Sur les jours en allonge
Comme nos nuitées
Embrumées secouées
Embuées de nos songes
En surdoses d'assez assez!
Trop trop long sans toucher
Nos bouts de nez et doigts gelés
Je te tu me rejoins
En pensées très agencées
En recoins si loin
De nos éloignés de chemins
Illico yes direction vers ton île
Loin des sursauts des villes
Pour le respect de notre Amitié
Ce bonheur en première
Sans au fond de l'eau se sombrer
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Parmi les cactus en rictus
Agaçant notre roman
De l'itinéraire lent
De moi à démarrer
Et pourtant
Bien clairement écrit
Et tout aussi transcrit
Dans ce grand livre
De notre vie d'ibis en hibiscus
Se dessine lentement
Ce départ en avant
Toujours sans hésiter
Je te tu me rejoins en pensées
Avant cette arrivée
Bien entrelacés amore
De nos dolce copier-coller
Sur nos deux cœurs
Accolés aux similaires de valeurs
Oblitérées à toujours eternally
Par l'infini truchement
De nos âmes en divine complicité
____
____
Yeah! Takin' a Ride without aggressive sides
Les goûts des kool heures musicales ne sont pas à discuter mais à cultiver aux
intervalles.&quot;
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Confrère Fièrement Soeur
Merci à la douce mémoire de Pierre Bachelet en voyage éternel dans un ailleurs
meilleur... avec C'est sûr Elle est d'Ailleurs.
Voici de la Louve effrenée de musicalité belle un refrain nouveau pour tous les poètes
d'hier ou en devenir puisqu'en latence depuis trop longtemps...
Confrère Fièrement Sœur
Fier Confrère-Sœur
Sœur de votre âme
En dolce trop dolce douces pages
Sans gare s'écrier d'la marge
Puisés dans l'âme vers un encrier moderne
Sans s'épuiser les mots en âge nagent
Sans virgules brulantes en berne
Pour étioler batifoler atrophier
La sonorité riche respirée
Sœur de l'âme ou frère le pareil au même surgit de la pureté d'un cœur
Votre âme consœur
Ou votre âme confrère
Plaît-il aux fausses normes
Que les mots soient conformes
Ou mal captés par les sur-hommes
Pluie neige ou levant soleil du réveil
Les jours s'écoulent doux vermeils
Lorsque se régénèrent les vers
En strophes rosacées disparates
Sans trop d'insanités terre-à-terre
Consœur de l'âme ou confrère le pareil au même surgit de la pureté du coeur
Sans clameur qui brime le cœur
Du plus que parfait trop meilleur
Les Odes en urgence de l'ombre veulent sortir
Pourtant souvent en instance de mourir
Cachées ici et là à l'arrière d'un rocher
Plus que beau souvent dans son entité
O strophe en veilleuse du devenir
Étale-toi dans toute cette chaleur béatifiée
En rebondissant en baume bien au-dedans
Des âmes tourmentées pour les restaurer
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Et à toujours des meilleurs jours les faire espérer
Consœur de l'âme ou confrère le pareil au même surgit de ce cœur
La Louve 2011 pour votre nouveau bonheur en mot à mot sans sursaut aucun
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Consécration Blues
Merci à Doro et ses magic men pour ce magnifique Whenever I Think of You (Live in
Germany 1993).
... et de la Louve ce refrain sans fin...
Consécration Blues
Une Blues de Consécration
Et le Blues depuis longtemps
En son âme somnolait fainéant
Et le Blues depuis longtemps
En son âme rêvassait fainéant
La lueur d'une chandelle
En amont percuta le bord de ses ailes
Retourna le joyau en son âme belle
Les stigmates indélébiles du Blues
A jamais depuis ce douze
En naissance où tout s'est joué
Sur sa vie en extension bleutée
En retour des atours une Blues de romance en renaissance
En amont de ses ailes devenues frêles
Retourna en son âme belle cette ritournelle
En pléiade sons d'ailleurs pour son cœur
Meurtri depuis trop de nuits en délits
Flagrants mécréants de sons discordants
Au-delà des temps de cette partition majeure
Au tempo bagotté de peurs aux fétiches mineurs
Toutes les mosaïques de sa vie se sont accolées
Une à une à la vitesse de l'éclair trop clair
Entre deux fool full moon sans nuage
L'ingénue décida de ne plus recroqueviller
Ses états voire ses ébats en arts d'arc-en-ciel
La foudre ne vint pas effacer ces éclats
De Blues marquèrent à toujours
La louve en double tours tout autour
Au détour des atours somnolait une Blues de romance en véritable renaissance
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Conte gouttes de Jazz
Conte Gouttes de Jazz
Jazz goûté conté
Maniera detre ouvre la voie
Un bouquet de groove ça gaze
Avec mille et une gouttes de Jazz
Entre une et deux croix
Superposées inimaginées
Des superficielles de voix
La lumière surgit réirradiée
Der jasager dans la nuit
Jusqu'au matin blême
Pas l'ombre d'un répit
Pour ces doubles vies
Funambulant sur deux fils
Aussi fragiles que subtils
Aimantées sont les ondes jazzées
Semblant planer flotter
Floues bien au-delà des tissus
Des mesquins mensonges
Des plus que parfaits
En matière d'éponges
Où l'émotion s'avère tabou
Entre deux big bajoues
Et se pointe hâtivement
Deux narcisses timidement
Est-ce permissif en hiver
Ce présage sans sérif d'hier
L'espérance se pointe en force
Là où le temps beau balaiera les détorses
De ces saisons aux variantes introrses
De la Louve effrenée de belle musicalité en ce 12 janvier 2015; l'année de la Gitane de
SanFinze
****
&quot; Stigmate écarlate à jamais accolé dans l'âme de celui qui en est récipiendaire à
toujours; un jour Blues, always Blues. &quot;
La Louve effrenée in G groove
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Cornets glacés for Voyages
Thanks to Youtube for this excitante Beautiful Agony de Jean-Michel Jarre -
For You and your friends a little serenade aux intonations non maussades.
Cornets glacés for Voyages
Désirs so damn midoroses
Between the langueur of two blue poses
Sature et Çadure jouent leur style sans fil
Musicalement causant draguant dans l’vent
Les mystérieux provocateurs d’agents
Et leurs dragées drageonnant l’omniprésent
Des obsessionnels blancs-becs
Apolitically and too much incorrect
Carnets ou cornets de tordus sans torts
Dedans et au travers les rocailleuses rivières
Tortueusement sinueuses à changer de bords
D’Outre-Mer à Outre-Manche d’hier
Ou aujourd’hui en Océan Indien c’est idem
Pas b’soin d’outre nager le requiem pachem
Crazy You don’t be satire between two j’taime
You’re right all the time and I haven’t got tort
And for musick’s sake la louve is not en Ores
Et Déjà ne sait pas simuler l'accord
From la Louve this is a rengaine sans gaine for all the Wolfs of this Wonderful Wild
World
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Couleurs des Heures
Une autre élucubration de la Louve just for You in this moi de mai en vers so vert
Couleurs des Heures
Kool Heures
Bleu ciel en plein midi
Rouge tomate en soirée
Jaune clarifié à minuit
Violet timbré en nuitée
Soie et dentelles
Sont tes Blues ailes
J'me damne les aisselles
Avec tes tire d'ailes
Tu es ma rousse Zoé
Pour l'éternité colorée
En Mi Fa Do Ré Ré Ré hééé!
Bleu ciel en plein midi
Rouge tomate en soirée
Jaune clarifié à minuit
Violet timbré en nuitée
Tu veux que j'te trousses
Mais v'la que tu tousses
Alors tout doux j'me pousse
Un peu plus sur la housse
De ce canapé en mousse
Je rebanderai en douce
Et pis y a encore mon pouce
Ton bouvier des Flandres
Me reluque du coin de l’œil
J'sais plus si j'vais te trousser
A bien y songer j'vais m'barrer
Et demain j'vas reviendre avec la feuille
De partitions sans méandres
Bleu ciel en plein midi
Rouge tomate en soirée
Jaune clarifié à minuit
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Violet timbré en nuitée
Et me v'la rat-ça-zié Zoé
Just for You de la Louve en toute simplicité grande à vous y laisser prendre et vous
rendre dingue entre deux tours de partitions jazzy-bluesy sans fausses notes qui
rougnottent et sauraient vous octroyer la bougeotte.
&quot;Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé&quot;. (Alphonse de Lamartine)
Nota Bene:
____
Groove in G - Playing For Change mon coup de musique vachly rythmique à entendre
right now tout de suite pour vous plaire entre deux phases stoïques.
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Coups de Plumes
Coups de Plumes
Plumes au cou Amore
Coups de Plumes
Plumes aux coups d'Amore
Trois plumes d'osmose
Deux feuilles de lauriers embringuées
Youpi l'ail en gousse mauve-rose
+ Lavande séchées émiettées
- L'alcool pour nous anesthésier
Ou nous transformer voire robotiser
youpi! La sacrée recette
De ta cruciale tisane verde verte
Bleutée mentholée ô un délice
Paille sans faille et soupçon réglisse
Ton corps accolé sans stress
Ta bouche sensuelle se fait gonflée
Tes mains avides sur mes fesses
à en faire bander les draperies hupées
Ta dolce clef de sol sur-gammée
Ce crazy jazzy low saxophone
Et le bain de rosée mousse
En ondines de sexy secousses
Et la trompette qui résonne
Bien au-dessus de la trombone
Tu défais les longs noirs lacets
De mon blanc ocre chemisier turque
Deux baisers impurs so purs sur ma nuque
Je me retourne moi la louve eunuque
saltimbanque aimantée extrêmement
Et ton phallus frôle mon velvet criquet
En quémandant incommensurablement
Pas besoin de préambule
Tu es déjà dans ma sweetie bulle
Tu enveloppes ce SurMoi aux anges
Et je suis réceptive bel archange
Ta missive aux coups de plumes
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Et nos ardeurs chassant la brume
C'est le présent non pas des Hiers
Mais l'Aujourd'hui entre deux vers
Surprends-moi again and again
Both of us are lost in a sacrée veine
Me voilà la reine de ta wild rengaine
de la louve effrenée en ce 12 septembre 2012
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
&quot;Une grandiose histoire d'amour so glamour à en perdre son &quot;latin via son
train on a december matin là où la neige en arpège tombait comme dans un conte de
Renayge.&quot; (La Louve effrenée de belle musicalité en G).
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Crazy Joker
Thanks to youtube for this magnifique joyau intitulé Nothing Compares to You with
l'incomparable Sinéad O'Connor -
Et de la Louve just for You another new-crew...
Crazy Joker
The world is in perpetual Poker
Am I a soul so-long writer
Or kind of a crazy lazy joker
Guess it yes you really burn
Cause mine sacred fire will turn
You on and on shot by shot
Without any gun so damn hot
Behind the back yard spot
Fly me around the moon so soon
Quand les fresques polytiques
Et les jeux artystiques se frôlent
Les jeux de rôles trop drôles
S’amalgament selon la rythmique
Nothin’ else to prove on the vieilles douves
It’s strictly forbidden for la louve
En résurgence tellement dense
De la mer fière via la terre immense
Full of existential desires de sir-haines
Pas tout à fait en pure haleine sur l’arène
Fly me inside the moon I’m in the mood this noon
&quot;La loi du plus fort entre deux butors me donnera toujours tort.&quot; (La Louve
effrenée en wild musicalité).
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Croisades et Rade
Croisades et Rade
Les voyageurs des diantre de croisades
Se classent un peu à l'effigie fade
Des joyeuses de putains d'la rade
Ils en connaissent la montée contre
Mais impossible de voir leurs montres
Et de différencier le vrai du contre
Courant des renaissances en romance
Jusqu'aux puissants orgasmes cosmiques
Musicaux astraux et dithyrambiques
Menant jusqu'aux promesses inconscientes
Jamais voulues ni plus ni moins perçues
D'un éternel amour psychique à toujours en transe
Par-deçà les montagnes du Nord ou de l'Est
Du Sud via l'Ouest et ses Blues Fest
Et par-delà les dix vagues des mers vert Dante
Dieu seul sait réunir à nouveau les fous amants
Dont les escapades furent leurs survies d'antan
Seuls les Fous de Bassans de l'île Rouzic
Connaissent le secret des addicts de la musique
Et le cœur de certaines louves jamais épique
de la Louve dite Marquise des Loups à l'âme rebelle so belle
&quot;L'absence diminue les médiocres passions et augmente les grandes, comme le
vent éteint les bougies et allume le feu.&quot; (Maximes, François de La
Rochefoucaud).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2014-03-25
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Cryptides
Cryptides
Cryptides en latence
Outrepassant l'anse
De ma voile en transe
Des multi-démences
Cryptiques somatique
Énonçant la diptyque
Jouissance océanique
Aux confins des cirques
Prélèvements tertiaire
Atrophiant les binaires
De phrases en deux Ères
Quasi abruptes ô hémiptères
Sphénoïdales abdominales
Vulve et péninsules spatiales
Pénis avec testicules féodales
Beauté naturelle sans dédales
Seins à faire descendre
Tous les saints en esclandre
Via les méandres de la foi
Qui ne possède aucune loi
Sauf de croire sans voir
Ce Dieu de l'enfance
Ou d'une nouvelle croyance
Que l'on invente en histoire
D'un ou deux soirs
Afin de mieux se faire voir
Entre deux miroirs noirs
Où se vautre le désespoir
La Louve for a brand new exodus in 2011
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D'un Pieux d'Loup Blanc
Musique: Gare Du Nord Marvin & Miles Sex 'n' Jazz sur Youtube.
D'un Pieux d'Loup Blanc
de la Louve effrenée de belle musicalité
D'un Pieux d'Loup Blanc
Bien collé sur un Aigle d'antan
À l'autre bout du tempo du temps
Goupillant pas à pas les apôtres
Des musiques verdissant d'idoles
Des Blues so slow qui caracolent
aux Rock pesants en sons métallisants
En double croches vachly grungy folles
Quémandant les rouges jaunes flammes
Du sacré feu des musiciennes âmes
Propulsant au néant les vénielles de fautes
Immortelles d'un vieux loup blanc
Voguant vers l'autre bord de l'océan
This is a blues Romance so please keep the cadence dense
En douce peine hurlée pleurée chantée
En amont des futures joies cachées
Tu rejoues la cadence océane des fées
En amalgame de sonorités bleutées
Aux mille et un panacées effarouchés
Sur les vagues mauves violacées
Où nos premiers pas Blues se sont accolés
Avec tes maux cachés bien calfeutrés
Enrubannée fut la charade des mots non singés
Montent en falaises hautement obsolètes
Près du rempart des eaux douces encascadées
Des rigoles bretonnes en Franche-Comtés entrelacées
Jusqu'à la Bavière via ce Füssen aux eaux bleues verde
This is a Blues Romance so please keep the jazzy-bluesy cadence dense
°°°°
&quot;Le talent n'est presque rien et l'expérience, que l'on acquiert à force de modestie
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et de travail, est tout&quot;. (Patrick Süskind)
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Daddy's Blues Goupil
Photo de Daddy's petite wolfe effrenée; René de son surnom Goupil
Daddy's Blues Goupil de petite louve effrenée...
Daddy's Blues Goupil (version 2)
On a wild & hot july's night
So damn madly bright
On a wild & hot july night
So magnificently bright
With the fool full moon
Petite Louve came along
Daddy played & sang So Long
And at this moment instantly
I survived to this chocked birth Héééé!
I thank you Daddy for this music Héééé!
I survived to this chocked birthnight day Héééé!
I thank you Daddy for this music of you bien ancrée
In mine soul and body héééé!
Slide guitar solo (trois minutes 56 secondes).
On a wild & hot july's night
So damn madly bright
On a wild & hot july night
So magnificently bright
With the fool full moon
Petite Louve came along
Daddy prayed played & sang So Long
And at this moment héééé! instantly
I survived to this chocked birthright day Héééé!
I thank you Daddy for this music of you bien ancrée
In mine soul and body héééé! hééé!
Créé par la louve effrenée for a heavy slow Blues; avec un long solo de wild slide guitar
pour bien dorloter le morceau entre deux blancs de thés Héééé! La Louve n'est pas
jalouse du Blues! If you can play this, well go ahead sans culpability!
____
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Dans cette mansarde
Dans cette mansarde toilée
Dans cette toilée de mansarde
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
Je reviens chaque soir
Retrouver le calme
La sérénité sans drame
Sans ces guerres noires
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
Mes doigts dansent
Sur ce clavier froid
Man âme a besoin de toi
Rivière imagination dense
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
Qui suis-je sans la foi
En ce Dieu d'amour
Qui n'est pas vengeur
Et qui fait reculer ma peur
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
Tu n'es pas punisseur
Toi l'Invisible coeur
Lorsque ma foi faiblit
Augmente la je supplie
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
C'est par l'intermédiaire des êtres humains que la foi se manifeste...
Votre aut'heure dans la nuit La Louve effrenée en ce onzième jour d'avril 2016
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
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&quot;La musique chasse la haine chez ceux qui sont sans amour. Elle donne la paix à
ceux qui sont sans repos, elle console ceux qui pleurent.&quot;
Pablo Casals
Artiste, Compositeur, Musicien, Violoncelliste (1876 - 1973)
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
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Débandade et Mansarde
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
Débandade et Mansarde
Mansarde et Débandade
Ton départ s'est joué tard
Tu as piqué for ever ma vie
Comme tu a pické ta guitare
Wild and sweet quelle symphonie
Dans la nuit des Award
Quatre heures et douze clics
Coupant comme du diamant
Ton coeur en pique nique
Ton archet encore présent
Dans mon antre so vivant
J'en redemande de ton flanc
Sur mes hanches en battant
La mesure de nos démesures
En laissant nos sens jouir sans armures
Sans perdre ce désir insensément violent
Et si doux comme un shenouk de vent
Tu as susurré claquant nos ventres
Jusqu'aux plus abjectes dialectes
Sans sens nos sangs se sont figés
Sans fausser le courant vagué ourlé
De nos corpus devenus dingues obsolètes
Bien accolés et devenus pourpres et dorés
Sous la lumière ambrée tamisée
Trois fois rien tu m'as dit en souriant
I feel at home tu as déliré à demi-cinglé
Et moi éberluée j'ai eu foi en toi
Comme si tu étais le plus pur des choix
Et de toute ma vie de femme je louvoie
Non et à toujours je n'aurai nul regret
De tous ces instants aux mille feux-follets
A la revoyure tes yeux pervers m'ont dit
Et de cela aussi je hurle ce désir sans déni
de la Louve effrenée bien nommée Marquise des Loups à l'âme rebelle so belle
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&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
&quot;Le pire aîné musical-érotique que j'eusse connu fut Lustucru lorsqu'il me proposa
un cunnilingus d'astreinte face à mes vers; 'pas pour un sous terre à terre' susurra-t-il
assouvi sans l'ombre d'un verre.&quot;
(Kakemphaton de la Louve effrenée).
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Déconnexion des Psychotropes
Musique: Jimi Hendrix - Power of Soul
°°°°
Déconnexion des Psychotropes
Suppression du faux-vrai
Totale-Déconnexion
Balivernes en retrait
Mystère ou rejet
La jonction belle se fait
Mais le faux-fil se défait
Ma tête se ré éclate
En migraine saine à forme plate
Soixante courts jours
Sans aucun amour
Je vis à sec tout l'tour
Soixante nuits à nu
Sans Bacchus et le grand cru
J'me remets J'me remets
Slowly doucement en question
Et en hyper sons
De musique ultrason
Je re prie le manitou l'esprit
De mes années
Tendres de piété
Eh oui le monde je revis
Sans aucun artifice
Je redoute même le dentifrice
Au brio trop blanc de fluorure
Qui atrophie de l'âme la dorure
Déconnexion des psychotropes
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Beta Alpha Gamma amorphe
Je fus pour trois décennies
Adieu les angoisses avec la pluie
Peut-être maybe baby
de la Louve
°°°°
«Le serment d'un amoureux n'est pas plus valable que la parole d'un cabaretier : l'un et
l'autre se portent garants de faux comptes.»
[ William Shakespeare ] Comme il vous plaira.
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Deep In my Soul
So Deep In my Soul
So Deep In my Soul
The Blues is so deep in my soul
Et au corps en accords
The Blues is so deep in my soul
Et au corps en accords
Hééé! Can you feel that Blues
Ou est-ce juste une partouze
De notes qui cahotent
Over la disgrâce de la flotte?
Tout à fait prête pour ce Blues
Qui sait réconforter l'aorte
Et y a l'amour des sons qui bougent
Je te donnes ma partition forte
Et tu me pick ça sur ta guitare
jusqu’à l'aurore en tintamarre
J'me languis en G
Tu pars comme un enragé
De again and again recommencer
Et j'me frotte sur ta note
Yes la note la plus forte
Jusqu'aux wild délires de la clé
De ta so damn belle de Blues portée hot
The Blues is so deep in my soul
Et au corps en accords
The Blues is so deep in my soul
Et au corps en accords
Hééé! Can you feel that Blues
Ou est-ce juste une partouze
De notes qui cahotent
Over la disgrâce de la flotte?
Deep In my Soul; un Slow Blues, création du quatre décembre 2011 de la Marquise des
Loups dite la Louve effrenée de belle musicalité and more; she's crazy about the
lake-shore...
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&quot;Relis tes ratures et poursuis tes rêveries immatures note par note sans dessus
dessous et frotte-toi sur la gamme ahurie en oubliant d'épater la galerie des
indécis.&quot;
(La Louve effrenée de belle musicalité).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-12-04
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Délires bleutés-violacés
Délires bleutés-violacés-enlacés-lacérés
Magnat en fusion électrique
Délires épiques
Fantasmagoriques
Survol angélique
Au sommet fantastique
Délires érotiques
Fantasmagoriques
Des Arpèges trop rythmiques
Frôlant l’indécence
Sans turbulence
Aucune en déclic
Au bord de l’interférence
Des Réminiscences
En cadence romantique
Irrésistiblement mystique
De ces nuitées in romance
De ce feu de bois aux flammes lyriques
À toujours vivra le songe archangélique
Outre passant la félicité adjacente
D'une magistrale langoureuse chevauchée
En territoire jouissivement hémisphérique
Jusqu'aux délires sarcastiques violacés-lacérés-enlacés
Entrecoupés de deux Pasodoble De Sangre Olé Olé!
La Louve effrenée for a new exodus in 2011
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-01-28
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Dentelles de Chaînes
Merci gracieux aux sensuels Whitesnake pour ce Still of the Night tout aussi sensuel;
heureux bonheur métallisé en sons pour accompagner cette nouvelle Ode de la Louve
effrenée voici just for You entre deux exodes.
Dentelles de Chaînes
Chaînes en Dentelles
Chaînes de dentelles
Pour vos aisselles
Chaînes de dentelles
Sous mes aisselles
Jusqu'à ma vulve
Avec une panoplie d'ulves
Pour la protéger en ombrelle
Jusqu'à votre érection belle
S'ajustant bien dans le velours d'elle
Ahhh! Chaines en dentelles
Les ulves s'enroulent faisant augmenter les pulsions belles
Votre sphinx comme un ouragan
Se meut en enlevant lascivement
Les ulves à l'orée de cette alcôve d'elfe
Votre écrin porteur d'élixir comme un ouragan
En propulsant ses atomes effervescents
Les ulves délicieux protecteurs ventouzes
Se rebiffent en octroyant la force à l'érecteur
Et l'érection se fâche et se meut avec ardeur
Votre sphinx enfin gambade désarme gagne la bataille derechef
En enlevant lascivement les ulves jalouses jalouses!
Ahhh! Chaînes de dentelles
Les ulves se sont déliées jalouses de votre force d'Adonis à les enlever
Velours de chaleur à la vulve
De se mouvoir à votre cadence axée
Velours candeur de chaleur de la vulve
De se mouvoir lentement obscènement
Sans cesser la chevauchée avec les temps
Des heavy sons outrageusement médusés héééé!
Au long tempo de votre cadence axée
Sur les douze temps de ces sons métallisés
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Votre muselière m'éclabousse en profondeur en Ré
Jusqu'au nirvana de la résolution jamais inégalée
Songes hivernal des sirènes relacées en mal de chaînes dentelées
Ahhhh! Dentelles de chaînes aimantées de points croisés via le pourchassé!
Le plateau régénère en deux sphères jusqu'au retour du recommencement déjà prêt et
latent.
For You where ever you are qui savez si bien faire monter la sève de mes rêves entre
deux trêves qui s'élèvent au lieu de baisser inerte et mièvre; moments magiques des
âmes cosmiques qui se rejoignent entre deux courses musicales d'épic en épic.
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Des Alouettes aux Pies
Musique: Peter Green - Need your Love so bad - live in the studio
°°°°
Des Alouettes aux Pies
Des pies aux alouettes
Se laisser conter
Mille et une florettes
Par un gentilhomme né
Aux allures belles artistiques
Et aux longs cheveux décoiffés
Ses éclats de rire résonnent sur les prés
En double virée de clés
Adoubée de croches attitrées
A capella la Sérénade Automnale Blue Cordes
S'élève jusqu'au ruisseau joli qui la borde
En airs débonnaires délurés
La magnifique Centaurée noire *
Sera à toujours reine près des Boires
En toute sa vie de fleur demeure cachée
Au creux des bras cachottiers de la Loire
°°°°
&quot;L'amitié est une douce chose ; heureux qui trouve un cœur où son cœur se
repose!&quot;
Louise Colet ; Fleurs du midi, À madame *** - Paris 1834.
~~~~
&quot;Pratiquer le non-mentir et dans le doute le non-abstenir de tir avec brulantes
flèches de désirs de vivre la paix du cœur musicalement et plus encore.&quot;
(MdLoups).
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Des Ombres
L'Envol de l'Art de la Louve effrenée 1995
°°°°
Des Ombres
Serties de divines lumières
Ondulaient félinement les ombres
Magiciennes de la musicale prière
En blanches vagues bleutées et sobres
D'une longue traînée de pinceau
L'atmosphère derechef change
De ton et se pointent bien droits deux roseaux
Sous les nénuphars étranges
Une transe vacillante
Se promène allège
En de multiples sortilèges
Et le peintre se change en archange vaillante
La toile étonne comme la gamme
Les couleurs de terre et chaudes surgissent
Les oiseaux verts roses et or se réunissent
Au moindre tressaillement la création s’amalgame
La poussée est au nirvana
Les ombres deviennent lumière
Et le relief devient maître et fier
Le déjà-vu surgit car tout dans l'âme était là
La Louve marquise des Loups rebelles
°°°°
«La vie est une ombre qui marche, un pauvre acteur qui se pavane et se trémousse une
heure en scène, puis qu'on cesse d'entendre.»
[ William Shakespeare ] - Macbeth
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2014-05-14
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Désir Blanc in Bavière
Photo du château de Neuschanstein en Bavière immortalisée par la Louve effrenée le 5
juillet 2011
La Bavière dans toute sa beauté féérique magique!
Musique par le truchement de Youtube: Rory Gallagher - A million Miles Away
Just for You where ever you are...
La Bavière (Allemagne)
Blanc Désir in Bavière
En plein midi mes noirs jupons
Fripons trop longs virevoltèrent
Ici et là étalés en fines lisières
Au bord de l'eau over there in Bavière
Je me glissai émue sur la bruyère
Mon égo marteau en fut dingue ô
Il arriva derechef à califourchon
Sur sa jument le pantalon bien rond
Il était sans bas là pas las
Un saut deux sauts so sots
Le voilà right through bien en bas
Arbalète raide nette prête à sauter
La gringalette obviously effrénée
Que je suis quasi épuisée
Des contes écourtés trop épurés
Il m'a cambré illico la taille
La sweetie - obscène de canaille
Je le mordis de ça de çi en catimini
Jusqu'à la moelle de ses vertes bretelles
Que j’effilochai avec mes gantés de doigts
Qui pianotaient sur son poitrail de roi
La jument henniiii jalouse
Au centuple de ma non-blouse
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Elle se plia la garce de race en deux
Se mit à genoux y englobant la queue
Qu'elle nous balaya de plein fouet
Sur nos faces longues de carême
Voire quasi blêmes de désir
Atrophiés sonnés par un tel barème
Nous nous regardâmes
Anéantis nous nous rhabillâmes
Meurtris contrits mi-débandés
A en faire frémir la jument satyre
La trop satanée vicieuse chevaline
D'un bond rebond en un éclair
Galopant loin de nos folâtres ondines
De désirs blancs à nouveau très bandants
Plus encore voire trop galopants effarants
Nous nous re-déshabillâmes nous ré-enroulâmes
En hurlant oh yeah si tard et si fort la gamme
Que la montagne en écho au cent et un jams
Rehurla en many yodle incrédules vachly marrants
Nos wild corps et âmes re-sonnés époustouflés
En prirent pour leurs cuvées et tout ça en G
Sans pour l'instance d'un soupir cesser de valser
La morale de cette fable en vers quasi de verre est pure et simple; soyez toujours à
l'écoute de vos phantasmes et désirs soient-ils noirs ou blancs menez-les en suggestion
forte à bon terme sans vous occuper des juments qui ont le dos ou le ré qui piquent tout
l'temps.
____
Groove in G - Playing For Change à découvrir sur Youtube ;)
Le cul des femmes est monotone comme l'esprit des hommes. [Guy de Maupassant]
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-08-19
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Deux à la Une sur les Dunes
Au son de la musique Mignonne allons voir si la rose
Un sonnet étonnant dédicacé Ode à Cassandre; poème de Pierre de Ronsard créé en
1545 qui inspira la magnifique composition musicale de Guillaume Costeley musicien
organiste compositeur.
Mignonne...
´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
Deux à la Une sur les Dunes La Louve effrenée 28/12/13
Sur les Dunes à la Une
Bien noté au crayon de plomb HB dans son agenda jaune bouton d'or de Val D'Or en
Abitibi au QC; en Canada: &quot;départ le 30 juillet pour Genève&quot;... et pourtant
c'est bien au bord de la mer qu'elle se pointe derechef avec pour bagage un sac orange et
bleu à franges de cuir brun roux.
Bien entendu ils étaient tous là, pas las tous aux alentours de cette piscine intérieure un
peu à l'extérieur; swimming pool peu commune en forme de viole de jambe. C'est à la
toute dernière minute que Vyvolyne dite Petite Elle changea son itinéraire. Un peu
confuse elle arrivait à l'improviste comme ça à La Grande Motte; sans savoir pourquoi
elle avait refusé l'invitation par courrier postal du couple de pianiste Lea et Léo
Sabourein; en conclusion hâtive, personne ne l'attendait. Elle habillée jusqu'au cou avec
un collier de petites pierres bleues semi-précieuses comme à l'accoutumée, et tous, eux,
ces convives volubiles aux allures décontractées avec quasi rien du tout sur le corps y
compris le maître du bar-piscine qui se trémoussait en mini mini-short vert lime, en
douces secousses avec ses longs verres à pieds juchés de mousses blanches jaunâtres
écrasant les bières rousses sur plateaux noirs et blancs. Charmant panorama.
D'autres plus élégants et bandants portaient à merveille le paréo rose, orangé ou
bleuté-mauve; lui le désinvolte 200, 000 volts à la bronzée de figure de pure race mâle,
yeux bleus ou gris perle, pas moyen de savoir percevoir; le soleil innondait de par toutes
ses fenêtres géantes et tout compte réglé la couleur de ses yeux tirait ironiquement sur le
bleu du bleuet; ce petit fruit qu'elle affectionnait de trop jadis en Canada et ce avec avec
gourmandise câline. Altier dans son port de tête un peu têtue sans doute aucun. Il la
toisa direct dans au plus profond de ses yeux d'Elle petite Elle, avec un sourire
certainement narquois et elle sans préambule aucun en eut envie de surprendre en
flagrant délit de narquoisie cet homme idem habillé en paréo vieux rose brodé de
mutiples roses mauves. Tous autour d'eux certains causaient l'allemand ou l'anglais sauf
lui et peut-être d'autres... Les Sabourein n'étaient point visibles bizarrement...
Tant pis pour eux...
Un timbre de voix connu par son ouïe à elle so touchy… Mais elle ne savait reconnaître
où quand et comment elle l'avait entendu ce sacré timbre timbré...
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- Vous arrivez de loin avec ce bel accoutrement de princesse amérindienne?, j'aime
bien me laisser surprendre ainsi < lui dit-il suavement >.
- Trop loin, dit-elle, et j'espère que mon invitation tient toujours pour les Sabourein
sinon je suis trop lasse pour repartir.
- Repartir alors que vous êtes à peine venue sourit-il encore plus narquoisement. Il la
devinait donc...
Et c'est alors que le pianiste au noir piano se mit en branle doucettement avec
Mignonne allons voir si la rose de Pierre de Ronsard ; elle n'en revenait pas, ce pianiste
chantait à merveille en français le poème du grand De Ronsard.
Goulûment et d'un trait elle buvait ce punch à l'orange-ananas glaçons ronds non
alcoolisé offert par l'homme au paréo vieux rose; il avait des yeux langoureux qui
inspiraient l'amour à double tour et sans détour.
Dans un autre ailleurs peut-être aux confins d'un rêve érotique angélique elle avait
connu cet homme ou dans une île débile au cent et une partitions de Blues ou de Jazz...
- Voilà mon frangin jumeau identique qui élucubre De Ronsard au piano, musicalement
et vocalement c'est un as sublématique! Venez à l'arrière-plan du pavillon; j'ai un coin
bien à moi sur les dunes où nous aurons tout le confort et la tranquilité du bord de mer
par ce temps de canicule nous sommes tous à fleur de peau au plus haut niveau...
Incrédule une force indescriptible lui triturait l'âme au point culminant de lui dire :
- Mon plus grand désir en ce moment est de vous surprendre sans vous le dire avec des
mots muets comme ça tout de go par terre dans le sable et ce n'est pas une fable; je suis
d'une nature sauvage et ma libido est en nage... Mais rien ne vous y engage et de refuser
pourtant serait un mauvais présage; c'est la lune pleine depuis quatre du matin et brider
ses émotions n'attire rien de bon lorsque l'astre décide qui aura son cadeau aux mille
rebonds, il est de toute prépondérence de se laisser guider par nos terrestres d'attirances
denses.
Amusé, déconcerté voire déstabilisé il sourit apeuré avec un rictus enfantin...
- Vous croyez vraiment que c'est une bonne idée que de vouloir sauter un pédé ?
- Vous êtes d'un naturel plutôt gai je l'avoue mais &quot;quand même&quot; le mot
pédé est un peu dépassé voire iodé vous ne trouvez pas?
Sans entendre ni attendre sa réponse aux mille ronces, elle toucha efflleura et retoucha
avec ses deux mains les cheveux de cet homme qu'elle connaissait depuis cent ans dans
son coeur. Sur son front elle dessina une rose et sur son nez la queue, sur ses yeux elle
dessina des feuilles, il ferma les yeux, ébahi et dérouté par tant de simplicité authentique
sans aucune préméditation ou provocants minaudages de femmes volages connues jadis
et naguère. Il ressentait un désir intense jusqu'à ce jour inavoué à lui-même; celui de se
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laisser aimer par une femme pas comme une autre, de se laisser apprivoiser sans
pavoiser ou fanfaronner comme il avait toujours l'habitude de vivre depuis qu'il avait
découvert l'amour disons-le avec joie gaiement distribuée sans toujours y vraiment
méditer penser et agir avec Dieu...
- Et votre rose car c'est bien une rose que vous me dessinez là, dit-il les yeux fermés,
elle aura des épines à porter n'est-ce pas ?
- C'est avec un tendre baiser qu'elle lui répondit, chaste et fraternelle elle fut sans le
contredire elle dit:
- Oui ce sont les épines qui m'attirent et j'en suis toute bouleversée car il n'y aura jamais
de roses sans épines quelle que soit son rosier d'espèce... Je m'en confesse je prends
souvent mes désirs pour des réalités... Et j'en suis peinée mais davantage excitée... Tout
comme en littérature de fioritures, tout ce qui est hors normes me redonne la naturally
forme non diforme via le ton dussé-je en perdre le fond.
Ils se sont assis là sur le sable émouvants ils étaient comme des enfants devenus
adolescents sans songer que leurs réciproques de destinées s'apprêtaient à se transformer
pour quelques heures quelques mois ou plus encore et ce coûte que coûte peu importe
leurs disparates de routes sinueuses, ils regarderaient dans la même direction sans peurs
ou doutes des lendemains aux goûts de cendre via certains méandres. Il avait à nouveau
les yeux fermés bien allongé sur le dos il se laissa surprendre doucement par Elle petite
Elle bien étalée sur lui, elle bougeait à peine laissant les vibrations en mouvance de
leurs corps authentiquement en symbiose vivre l'amour au paroxsyme de douceur sans
performance de cadence via la décadence dense des sens jusqu'à la complète plénitude
de communion en certitude à toujours de non vicissitudes for ever and ever.
de La Louve effrenée de belle musicalité in Deux à la Une sur les Dunes
´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
&quot; Toute plume a sa raison d'être et de renaître et non de paraître repaître entre
deux hêtres nus en état de réexume sous l'écume de l'enclume. &quot;
MDLoups in Stratégie de Plumes
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Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2013-12-30
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Deux Chevreuils
Musique: ABBA - Lay all your love on me
°°°°
Deux Chevreuils
Trois lièvres près des feuilles
Deux loups
Un peu fous
Deux chevreuils
À la queue blanche
Quelle planche!
L'eau du bain au romarin
Sur tes épaules et tes reins
Tes prunelles en mille étincelles
Me font des signes éternels
Ta main belle dans la mienne
Et nos cœurs purs en accords
De lumineux Blues en chaîne
Parsemant le décor du nord
Une muette promesse
De passer l'éponge
Sans feinte ni détresse
Et nous touchons l'extase
Au milieu des sans phrases
une rêverie aux mille accords
Pour redonner le ton à ce songe
Et l'orgasmique prélude
S'attarde en clameurs
Balayant toutes peurs
Et ses suites en vapeurs
Jusqu'à l'épilogue allongé en langueur
Se prolonge en multi-fleurs
La rêverie se fige et demeure
Doux songe éternel où rien ne meurt
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de la Louve
°°°°
«Le Temps ressemble à un hôte du grand monde, qui serre froidement la main à l'ami
qui s'en va et qui, les bras étendus, embrasse le nouveau venu.»
[ William Shakespeare ] - Troïlus et Cressida
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-09-06
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Deux Crazy Dés
Deux Crazy Dés
de la Louve effrenée à toujours de belle musicalité...
Un ouragan entreprenant
Failli noyer cette compo
Une partition sur un piano
Une lampée bleutée
Sur ton beautiful faciès
Et je renoue en fadiez
Avec monc sax décontenancé
Trainant là un peu vieux rosé
Un chiffon blanc crème très dentelé
Bête à dégonfler mon égo boursoufflé
Ouais une histoire un peu cinglée
Groovée en G denommée Deux Crazy Dés
Deux dés quasi outrepassés
Sans véritables origines
Se sont un jour croisés
Entre une protocolaire soirée
Et un herboriste séché de déjeuner
À la multiflore naturalisée jersey
Avec dentelles et jarretelles fines
Deux Crazy Dés notés Ré
Près d'un lac non habité
Un solo mono molo de saxophone
Aux idées martelées ensilées
Sans téléphone qui résonne
Et brise derechef le big fun
Et pleure pleure les nuages à satiété
Sur ton imper bleu-mauve perméabilisé
Trainant là un peu vieux rosé
Un chiffon de tout son long étendu blanc très dentelé
Bête j'ai chialé à désouffler mon égo trop boursoufflé
Ouais une histoire un peu craquée giclée cinglée
Groovée en G dénommée Deux Crazy Dés Hééé!
°°°°
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&quot;Par l'art seulement nous pouvons sortir de nous, savoir ce que voit un autre de cet
univers qui n'est pas le même que le nôtre et dont les paysages nous seraient restés aussi
inconnus que ceux qu'il peut y avoir dans la lune.&quot; (Marcel Proust, A la recherche
du temps perdu).
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Deux Dés
Jimi hendrix Backstage Saville août 1967
Une élucubration entre deux coups de pinceaux pour te raconter mes histoires en
Loire...
Deux Dés
Un ouragan entreprenant
Failli noyer cette compo
Une partition sur un piano
Une lampée bleutée
Sur ton Apollon d'faciès
Et je renoue en Fa Dièse
Sur avec sax décontenancé
Un chiffon blanc dentelé
Sur ta guitare entrebâillée
Bête à rebrailler bien débrailler
Ouais une histoire un peu cinglée
Shucks you are the best Jimi never mind the rest!
Deux dés quasi outrepassés
Sans véritable origines
Se sont un jour croisés
Entre une protocolaire soirée
Et un herboriste séché de déjeuner
À la multiflore naturalisée jersey
Avec dentelles et jarretelles fines
Un chiffon blanc dentelé
Sur ta guitare entrebâillée
Oh yes une story non notifiée
Shucks you are the best Jimi never mind the rest!
Deux dés notés Ré
Près d'un lac non habité
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Un solo de saxophone
Aux idées ensiéclées
Sans téléphone qui résonne
Et brise derechef le big fun
Et pleure pleure les nuages à satiété
Sur ton imper mauve perméabilisé
Sur ta guitare entrebâillée
Bête à rebrailler bien débrailler
Yeah! Shuchs! juste le goût de chialer héééé!!!
Shucks you are the best Jimi never mind the rest life is just a big fest!
Where ever you are sweetie, la louve te dit bye bye love and I pray the Lord up above
to sing again your crazy songs not in vain in the rain.
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-05-07
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Deux Fleurs en Coeurs
Deux Fleurs en Coeurs
Deux Coeurs en Fleurs
Deux cœurs battant la mesure
Sans contre cœur ou peur d'usure
Deux cœurs battant la chamade
Sans démesure d'outre mesure
Deux âmes belles et quasi pures
Deux cœurs en hivernale de saison et oubliant la raison...
Se furent accolées en battements lents
Leurs pouls en synchronisme fou
Absent des fougueux de contretemps
Qui biaisent les rides des valsantes océans
Sur le sable des plages en mouvement
Deux cœurs en hivernale de saison et oubliant la raison de leur déraison...
Deux cœurs éloignés au fil du temps
De par les marées et les grands vents
Bon an mal an toujours enfants
Oubliant les autres cœurs vociférant
Constamment en attente de faux courants
Deux cœurs en hivernale de saison oubliant la raison de la déraison de leur
incommensurable passion encore en pâmoison...
de Marquise des Loups à l'âme rebelle so belle...
&quot;En un mot, la poésie ne peut exister sans l'émotion, ou, si l'on veut, sans un
mouvement de l'âme qui règle celui des paroles.
[ Paul Claudel ]
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2014-03-25
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Deux Vers Solitaires
Deux Solitaires de Vers just for You and your Sweetie love
Deux Vers Solitaires
Deux Solitaires de Vers
Vers plus que solidairement solitaires
Deux vers solitaires
Entre trois strophes
Et deux œufs estragonophes
Perdus en catastrophes
De poésie solidairement binaire
Les convers faisant la paire
Se racontent leurs déboires
Non ce n'est pas la mer à boire
Ni de la Loire toutes les futures boires
Mais le vers à William de poire
Je bats des ailes et je refais ma sale-up aux enchères
Un des vers penauds et solitaires
S'invite au creux d'un poème libertinaire
Au vu au su des insupportables
De critiqueux littéraires
En mal dans leurs big panses
En transe aimant se complaire
Au sein de leurs avides cercles protocolaires
Je bats des ailes et je refais ma sale-up aux enchères
Le vers solitaire et solidaire
En responsabilité tertiaire
Se tortille la pointe sonore
Dans le tourbillon poétique
Les gagnants s'honorent
Et se félicitent en clique
Les perdants s'ouvrent les pores
De peau pour bien ressentir leurs mots
Ou pour mieux embobiner leurs maux
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Je bats des ailes et je refais ma sale-up aux enchères
Vive les anges qui passent les soirs d'hiver
Ils sont utiles et futiles comme les vers
N'est-ce pas ma très chère
Du haut de votre chère chair
On ne badine pas avec les solitaires de vers
Car lorsque réfugiés au diable Vauvert
Ils survoleront nuitées jours vos sphères
Où que vous soyez crèchés sous verrouillères
Je bats des ailes où le bât blesse votre fesse Your Own Altesse
Ad mare usque a mare avec Noé Chantier ou Noméie-Homélier vous en déplaise pauvre
Blaise; je vous baise le fadiez et je tombe au bas de ma chaise vachly balèze oups! j'y ai
perdu mon noir & rose de Fez; quelle sordide histoire obsolète à faire rougir votre crazy
arbalète.
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Groove in G - Playing For Change une plus que belle de composition musicale astrale
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DIMANCHE BLEU DE JUIN
de la Louve
DIMANCHE BLEU DE JUIN
Pièce de Théâtre musicale astrale en deux actes décontracte (s) qui se rétractent la
cataracte no matter of fact sans échec et mat
ACTE PREMIER
Samedi le quatre juin beau temps je vais au resto all alone Au creux du Vent... Ce fut
charmant et dégustant Armand... Pointes de salade et rasade de pâtes à l'ail. Resto avec
cuistot marseillais près de la Chute du Parc des Amoureux sans marais mais attrait pour
les touristes évadés mais piégés.
Chaque dimanche again and again je retourne sur les dits lieux du crime langoureux
pour une promenade all alone vers les chutes du Parc des Amoureux sans amour à
rebours dont je laisse me frôler le tour tout autour à Val-David. Wonderful site situé à
30 kl de la Vallée de Saint-So. Yo! Jos! I feel so down...
En passant par le Val-D’Ombre je remarquai une énorme roche rosée nuageusement
bleutée. Un chêne sans gland qui pend antique ou centenaire m'attira ainsi
sensuellement ravissant. Ouille! Man! I felt so mollusque sans œuvre ni pieuvre à créer!
Lascive et quasi grise sans en savoir le pourquoi au-dedans de mon profond de moi
quasi-coït, je m'y suis assise ébahie avec tant d'appétit sur un non moins big cailloux
bleuté et brillant comme des diamants irradiant dans le vent. Je me retrouvai pantelante
et croassant entre mes dents comme une grenouille que je suis parfois et souvent avec
deux connaissances de longue et de courte date pour le second qui fumaient haletants et
souriant-toussant de l'herbe bleue. Et en se juxtaposant d’emblée par-devant!
En diagonale terreuse et pompeuse ces deux mecs se passaient la pipette blanchette en
mal de pichenette qui reflète des ronds bleus aux allures douteuses et pulpeuses. Vu
l'extérieur endroit de la fumerie je ne fis point de scène et me dis-je après tout, voilà
sans doute aucun une des dernières cènes qui fume en hyène sans mécène obscène
puisque je n'y touche point de la langue ou de la lèvre qui relève. Puisqu’en grève
mièvre je suis depuis plusieurs pleines lunes mièvres!
Oh! L'effet bœuf! Ou œuf se faisait sentir en satyre qui s’attire le pire sans rire! Un
lièvre bizarre passa deux fois sans tintamarre avec un jarre bleuté-rosé, il avait sûrement
soif d’eau pure! Je le vis ma foi avec des yeux un peu enfumés voire voilés mais n'en fis
pas de cas puisque l'on me surnomme Bianca.
Adagio et frivole sans faire de trop la folle qui colle en si bémol.
Je me hasardai à humer normalement sans gourmandise aucune cet air que je me devais
de respirer pour bien raconter mes élans d'âme qui bisent et défrisent certains humains
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non préparés à ces élucubrations sans tête mais avec queues parfois bleues de musique
qui groove la louve.
...Tout d'abord et à bâbord...
J'ai causé un peu avec eux avec réserve non réservée mais toquée innée, je leur
expliquai que je suis une personnalité très attachante parce que folle à lier et voilà
soudainement qu’altièrement mes reins se cambrent doucement en forme de méduse qui
ruse et quasi en candélabre sans devenir pour autant macabre ni affable. Quelle fable
affable!!!
&quot; Ô Magie black bleutée me dis-je déjà mise et soumise! Que dis-je! &quot;
La dive fumée hédoniste est venue se pourlécher la bavure jusqu'à mes naseaux
sensuellement ouverts en transe qui danse sans aucun mal en cadence.
Son éminence vous devinez bien que j'ai causé en pas de deux pour rire ni frire et me
cuire la mire une bonne demi-heure.
Les mecs jasaient se jazzaient entre eux, lascifs et dégourdis comme un élixir qui
chavire sans cuire. Pire! Elmire! L'un en boxer luxuriante d’abstraction et torse nu
roussi du soleil d'hier (j'en fus vraiment émue et tordue) et l'autre en blue jeans délavées
sans être vraiment lavées, j’en fus cinglée..
Lavez, lavez, sachez vous tamponner «Chanta l'un des merles rieurs et baragouineurs,
au faîte d'une épinette.&quot;
Ils se sont éclatés aux larmes et moi zitou; je m'enlisais dans la gadoue du père Lanoue
sans bajoue qui joue le Blues sans blouse ! Je fis la moue, ils furent secoués jusqu'aux
genoux, et ils se lancèrent de la boue! Hou!
Flyée ou bourrée nature je le suis alors imagine when I'm a little bit givrée (par la force
des choses écloses Rose) heureusement vers trois heures et la demie (comme par un
hasard divin qui vint) le ciel s'est couvert le chapiteau et mon cerveau ce baladin s'est
ouvert illico et v'lan j'ai pris la poudre d'escampette en pensée Colette de peur de
craquer de trop sur mon radeau et de les mettre à l'eau sans chapeau, fantasme de toute
une vie: Deux mecs plaisants et délinquants qui m'admirent dans leur mire qui vire!
Quel érotique plaisir! Mmm! Je m'en suis réjouie avec gourmandise sans bise qui frise
et prise la chemise.
Vu mes neurones à fleur de peau et à fleur d'eau sans crapaud ni drapeau m’sieur
Campeau des eaux bleues j’en redemandais sous mon bandeau isubito presto!
Ah! Et la voix dedans me dit lentement que ces beaux hommes présents gratuits du
grand Manitou m'enflamment et rament de plus bel leur came sans jam (selon la pensée
de plusieurs je suis sage? Mon œi! Ouf! Je fus sauvée par les nuages! Est-ce possible?
Je vous jure sur la bible lecteurs que cette aparté fut une heure exquise et uniquement
jouissive au bord de la dérive!
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Imaginez-moi avec la clope aux herbes insérée dans mon bec cul-sec de bianca et
l'inhalation complète et frette nette sec en dedans! Non! Non!
Me répétais-je, en nage non sage, tenons-nous en aux miettes Arlette! Foi de girouette,
je ne connais pas de trop ces mecs, évitons la pirouette qui saurait les alanguir sur la
carpette verte!
Munie d’une cravache verte et me connaissant depuis belle lurette, j’aurais su leur
mettre bien à plat leurs gigantesques quéquettes.
Et...
Lorsque j'ai chanté et joué de la Air Guitar (simulation du véritable organe qui plane et
fait planer les geais bleus un peu à l'effigie de certaines femmes face à la jouissance
craquante d'un orgasme accompli brillamment par un vrai ti-mâle).
Et c'est alors que je chantai sans fausse note ni garçonne qui flotte cet air des jeunes
dames sottes: Crottes! Phoque de mer la botte de foin à l'arrière-train qui geint et feint le
malin!
Enfin satisfaite je chantai sans me soucier de leurs panaches en cache et leurs micros
trop haut!
- Oh! Yeah! Y a trop de beau gars! Attachez-moi! Retenez-moi! (pied de poule qui
foule et se défoule le moule qui coule!)
Grande parleuse p'tite friteuse, l'habit ne fait pas le moine mais attire parfois ledit moine
du Côté de chez Swan de Proust; j’ai lu le chef en oeuvre d’un trait et vous?!
Narquoise et joyeuse…
Mes jeans patchées en dentelles (my dear author fais pas le matamore qui mord Hector)
et mon chandail à fleur d'eau ont su les émouvoir jusqu'au pochoir ou près de leurs
mouchoirs en mal de recevoir une fière histoire d'Ô.. Ô Canada Emma! V'La le trépas
qui a bigrement le pas!
Comme qui dirait l'autre. Ce fut délirant et je vous assure ces mecs en ont eu pour leurs
pipées (d'herbe bleue)... Et les rats d'eau douce firent des ronds dans l'eau à m'en
damner le lumbago exhactos coupant et chiant dear gigolos sans pipeau à restaurer au
bord de l'eau!
PAUSE MOROSE
qui déchausse
Mais tout bon conte a sa côte de crottes qui se frottent, alors lisez-moi bien ça sans
dégât!
Deux commères passèrent près de nous et humèrent l'herbe tendre en me zieutant le flan
jalouses et incrédules... Elles se mirent à fracasser l'herbe verte de leurs pieds
endimanchés en talons de bains de cul...
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-Ti-Mine et Fifine s'en vont au marché je me suis mise à chantonner sans les avoir
vraiment remarquer.
Dans un murmure impur elle dirent d'un trait frais mais laid:
- La bianca fait une folle d'elle avec ces deux jeunes mecs! (votre âge quoi, à peine 44
as qui basassent!) Quelle dévergondée! Et en plus elles s'est coiffée avec des nattes la
pétardeau! (pas pédalo) et elle s’est insérée une casquette japonaise en plus! Quelle
fraise! Et des jeans patchées en dentelles de Chantilly! Quelle chipie! Elle fait chier
cette paumée sûrement camée qui n’aime que picoler avec le premier basculé!
ACTE DEUXIÈME
Listen ou read it well lecteurs en délire It's not the end yet! Smoke a bougie en charpie
et la suite vous sera révéler en quatrain sans entrain ni refrain ou raisins de pain!
Le plus rigolo fut lorsque Guy (prénom non fictif) dit tout de go à Mark (un écrivain
soit-disant en peine d'amour ou d'orgueil depuis un mois:(:prénom non fictif) :
- Bianca est hors pair (sans père) (sans jeu de mots) elle a un beau style Spa?
- Hum!Hum rétorqua Mark, elle est craquante et croquante... Je me la taperais bien en
quarante! Sans jeux de mots fais pas le sot passe-moi ton chapeau!
Mon ego fut flattée et ma rate bien dilatée, alors, susurrais-je évasive et lascive sur le
qui vive près de la rive sans endives qui salivent:
- Yeah! Des lichettes en compliments directs! !Encore! Encore! Voilà deux beaux
scores Éléonore du Vercors!
Vérité vraie lecteurs et voyeurs! Ces mecs m'ont oubliée pour deux longues minutes en
jacassant comme des coqs (bandy? maybe baby:) Et moi pas à pas. I mean je ne les ai
point oublié et pas plus édulcorée que ça car je rouspétai illico:
- Oui elle a un beau style baveux et prenez garde les mecs: Qu'y s'y frotte s'y pique
lorsque ça clique, c’est vachly électrique, dis tu aimes la Musique?!
Ce fut la fusion de rire aux larmes cette fois-ci et de nous trois enflammés jusqu’aux
toits. Et cette fois-ci bien alanguie de Guy, je remis ma casquette et mes sandales noires
pâles. Pour le reste ce fut peine perdue puisque jamais je n'ai retiré mes fringues
dingues, l’amour tout habillé sait parfois rassasier.
D’un coup de pédale deux fois avec sa bicyclette pas bête le cute Guy enfourcha
fébrilement son vélo mollo et divergea un peu vexé de l’épilogue écourté du dimanche
bleu de juin vers la piste cyclable mais visiblement aimable sans fable.
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La nana qui fut moi s'est replanqué sur son dos tout l’arsenal de son sac à dos
épiscopal... À pieds secs, elle marcha une deux trois quatre vers sa Buick le Sabre1990
rouge vin bien dépeint.
Et Mark le troisième protagoniste hédoniste demeura pantois bien évasé sur le banc vert
et campagnard, un vrai bagnard quoi! Beau mec mais prisonnier de sa peine pas encore
estompée malgré toute l’épaisseur de la bleue fumée mais disparue au loin bien haut
par-dessus les sapins qui se dandinaient heureux mais insatisfaits. Quel gringalets ces
conifères verts!
En clair, bien chers lecteurs en pleurs avec pour bannières et ornières votre grand flair
de phoque de mer; lorsque le feeling de ce dimanche bleu de juin passa en fumée, la
nostalgie fut présente chez nos trois âmes sensibles et puériles au plus haut point. Le
trio se sentit tellement triste à en pleurer et chacun de leurs côtés ils se retrouvèrent avec
eux-mêmes, un peu abandonnés dans ce mirage volage qui apaise, dénoue les remous
sans les guérir ou les amoindrir de trop au trot.
L'immoral concret qui dégrise de l'histoire:
Vive le Blues sans fumée... Et honni Blues qui Bleu y pense en transe de semence dense
via une louve en démence de danse.!
°°°°
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Draguons sans Contrefaçons
Draguons sans Contrefaçons
Sans Contrefaçons Draguons
Panthère pâle couguar ou futé dragon
Communiquaient leurs diverses façons
De comprendre l'amour et ses sphères
De braire et plaire sans trop déplaire
Aux intendants et aux obscènes étalons
Du Château des Trois Bourgeons
Où s’enliassait d'ennui le Baron de Beau-Suçon
Draguons sans façons et pourléchons-nous …
Trois mégères se trémoussant au trot austères
Par un douze de beau juillet tout chaud
Passant près du Lazy Crazy Ruisseau
Un peu gonflées en leur égo via leur gosier gros
Les ânesses de dames prudes adjugèrent
Sans réflexion aucune dans l'onde claire
La belle bien couchée sur l'herbe verdi d'été
Draguons sans façons et pourléchons-nous en notes jusqu'au diapason de l'érection des
sons…
Derechef l'Éliane diaphane bien étendue
Sans caleçons longs sur la pelouse sans rut
Les fesses bien vautrées sur ses jupons écrus
Pourquoi cette vamp est-elle ainsi flambant nue
S'exclama d'une voix aiguë la toute première
Et la seconde s'écria: tu as vu ce gros derrière
Et la troisième humide et émue à s'y plaire se tut
Draguons sans façons et pourléchons-nous en notes jusqu'au diapason de l'érection des
sons de nos dingues de violons
de la Louve effrenée de belle musicalité...
****
&quot;Je meurs entre les bras de mon fidèle amant,
Et c'est dans cette mort que je trouve la vie.&quot;
Hortense des Jardins in Sonnet, Jouissance
&quot;I die in the arms of my faithful love,
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And it is in this death that I find life.&quot;
~~~~
&quot;Pratiquer le non-mentir et dans le doute le non-abstenir de tir avec brulantes
flèches de désirs de vivre la paix du cœur musicalement et plus
encore.&quot;(MDLoups).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2016-04-07
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DUC ET MARQUISE
de la Louve
DUC ET MARQUISE
Marquise et Duc
Par un soir de lune pleine, Anasthasia-India Marquise de son titre et belle brune
lunatique aux hanches obscènes se promenait sur les dunes by the sea près de Riviera
Plage. Elle ondulait de la croupe et ressentait en elle le désir monter plus haut que la
fièvre du samedi soir des années folles de sa mère jadis et naguère Marquise Bellavance
qui lui a enseigné comment aux mecs faire ses avances et les faire devenir en transe
jusqu’à la panse sans qu’il pense plus haut que leurs diantre de ganses.
La lueur de l’astre en cadastre la faisait voir plus loquace. Ses pieds nus quasi vus
faisaient sembler aux sirènes ou aux vaches-marines qui flottent dans les eaux
bal-morales en températures hivernales… Ses hanches tout à fait orientales se laissaient
suivre par le savant mais autodidacte va et vient princier de cet homme en délire
d'amore sortit de nulle part et too much volubile avec ses mains en délicieux frôlements
de doigté plus que touchy, sans romance aucune il a pris cette marquise et ceci sans
banquise... Le Duc Chevrier de Rémillard de son titre la prenait si bien le coquin; par
secousses fermes et douces sans frousse aucune; voluptueusement il pénétrait lentement
en elle, comme qui dirait en bon soldat bien ancré su le sable encore chaud oui debout
sur la plage bien déserte et désuète. La lune sans nuage désormais savait les recouvrir de
reflets d’argent bleutés irréels.
Le duc de Rémillard était svelte et très racée de son corps. Il était authentiquement
amoureux de cette Marquise...
Leurs rencontres se faisaient à tous les soirs de pleine lune vers cette heure tardive.
Leurs émois étaient purs, beaux et voluptueusement érotiques. Ainsi à chaque tombée
de nuit sans même lui toucher à des kilomètres lumières d'elle il se coulait lentement
dans son antre à elle si réceptive lorsque l’amalgame de l’autre sait lui donner la fièvre
en trois secondes. Rien en ces moments ne savait stopper ses désirs! Ce Duc était d’un
naturel si formidable et d’une sensualité palpable à vingt mètres nonobstant ce cœur
qu’il ferme de peur de la soif d’attachement qui est reliée aux grandes passions
amoureuses et qui savent parfois se transformer en roman d’Amour pas banal et vachly
respectable!Lorsqu'ils se retrouvaient la lune pour bannière, le grand manitou, divinité
solennelle de la Marquise et aussi louve depuis sa naissance en ce juillet ou la lune
pleine et rouge-feu la gratifia d’emblée de ce Sacré de Feu qui demeurera à pérennité en
elle.
Le Chenouk un vent si doux et luxurieux les enveloppait de sa brise chaude et
doublement fiévreuse se tressaient leurs épidermes en cette nuit où le loup possédé du
similaire de Feu Sacré hurle sa louve disparue en d’autres sphères lunaires ou solaires
ou bien il entend par l’oreille de l’âme pleurer ou plutôt hurler sa solitude extrême
lorsque celle-ci ne désire plus revenir dans la tanière de celui qui ne sait pas faire lustrer
son poil de femelle écorchée à l’âme. L’incompatibilité avec certains êtres, se côtoyant
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régulièrement voire vivant pourtant ensemble depuis tant d’années quasi-lumière fait
songer que rien sur terre ne semble vraiment normalement constitué. Et il appartient à
chacun de nous de faire bifurquer ou de provoquer ce destin parfois trop cruel lorsqu’un
homme ou une femme se languit d’amour pour son âme sœur qui hurle sa vie dérisoire
en trois Chapitres exécutants! L’Enfance, l’Adolescence et l’Adulte. Tout dit-on se
décide avant l’âge six ans. Alors entre trois et cinq cinq ans India Marquise indécise
s’était fait voler son rêve et de cela aujourd’hui encore elle semblait encore en souffrir.
Sans emphase, sans baliverne, sans ritournelle il savait en redondance lentement
pénétrer en elle de la plus érotique manière jamais reçue d’un amoureux. Il demandait
doucettement sans réclamer vraiment car primo de toute son âme et de sa suave de peau
dont toutes les pores appelaient en multitude de désirs sa peau de louve comme le duc
savait si bien la héler mais si intellectuellement et aussi charnellement. Si tel était son
désir de la prendre comme une louve perdue depuis un siècle ou plus et reconquise
comme le mérite une Marquise des Anges sans langes elle deviendrait Marquise des
Loups puisque lui était Duc des Anges; tel serait désormais l’acquiescement fiévreux de
cette Marquise en flagrant délit de passion orageusement multidimensionnelle!
Le sable de la plage déserte pour témoin oculaire recevait cette prise d’otage amoureuse
plus que le nom commun de baiser puisse le laisser sous-entendre. Ils ne faisaient pas
l’amour ni ne baisaient ensemble chaque nuit en ce bord de mer magnifique mais ils
vivaient en diapason d'unisson et en effervescente symbiose une complémentarité
puissante et royalement compatible à cette grandiose attirance de leurs âmes
similairement pures et diablotines aussi et ceci bien au préalable de s’être accouplés tel
un loup en liberté de choisir cette louve qui lui était destiné bien avant sa naissance à
lui; peu importe puisqu’ils se sont reconnus depuis leur séparation non voulue il y a de
cela cent douze ans. Et la légende dit qu'à chacune des pleines lunes les deux amants
mi-loups mi-sirènes se retrouvent ainsi sous la lune sans le plein consentement de leur
volonté réciproque.
°°°°
&quot;Les hommes ne sont pas très différents à propos des choses qu'ils considèrent
comme mauvaises ; mais ils ont d'énormes différences d'opinion sur ce que l'on peut
excuser.&quot;
[Gilbert Keith Chesterton]
Extrait de Illustrated London News - 23 Octobre 1909
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Éclipse de Bal
Tristan et Iseut
****
Éclipse de Bal
Bal des Éclipsés
Dans un autre ailleurs
Le tempo est meilleur
Tout un esclandre
Pour mieux t'entendre
Susurrer je veux te prendre
Aux vues de tous pantois
Quel éclat aux mille voix
Ce fut et toute la Suisse
En causa dudit bal ô Éclipse
Le fil d'Ariane en beauté
S'est laissé tisser retisser
Jusqu'au bout de sa volupté
Prêt à recommencer
Nos vers par terre à terre
Tant éjectés en éclat de verre
En ondées folles entrecroisées
De moult caresses sur tes fesses
de la Louve marquise des loups à l'âme rebelle so belle...
****
&quot;La poésie est le miroir brouillé de notre société. Et chaque poète souffle sur ce
miroir : son haleine différemment l'embue.
[Louis Aragon] Extrait de Chronique du bel Canto.
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Écrevisse Crayfish
Écrevisse Crayfish
Musica de Youtube: Nazareth - Love hurts
Just for You where ever you are so good so far la louve a tes yeux en souvenance
Écrevisse Crayfish
Les vices des uns hééé!
Les vices des aut'
Les vices des uns hééé!
Les vices des aut'
c'est comme l'écrevisse
ça se mange sans faute
mais l'décortiquement est lent hééé!
Lent l'décortiquement pour le peu
de chair à déguster dedans hééé!
de tout mon être je veux
extirper ces bestioles internes
ces défauts nuisibles aux yeux
du coeur pur et de l'âme sereine
Les vices des uns hééé!
les vices des aut'
c'est pas ma faute
je laisse le temps se dérouler
tout comme l'écrevisse
j'me regarde dedans ô hisse
j'suis pas sans ces vices en sévices
mais l'décortiquement est lent hééé!
non c'est pas vrai que j'mens fiche
oui j'vais la décortiquer c'te crayfish
Les vices des aut'
c'est comme l'éthanol
un doux esprit de vin
dont les chemins n'ont plus de fin
le parcours est progressivement lent
alors réfléchis prends ton temps
avec ton ami l'alcool avant d'reboire
ou d'gober c'qui gèle le logis et sa folle
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penses-y c'est juste des déboires
( Beat Boogie Woogie Blues de la louve sans shoes )
°°°°
Jimi Hendrix ou James Marshall né le 27 novembre 1942 - décédé le 18 septembre 1970
(à 27 ans) Alcool et les autres drogues
____
Yeah! Takin' a Ride without aggressive sides
Les goûts des kool heures musicales ne sont pas à discuter mais à cultiver aux
intervalles.&quot; (La louve 2011 for Le Monde en Questions).
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Edelweiss so Wise
Edelweiss so Wise
So wise d'Eldelweis
&#10084;&#10085;&#10084;
So wise d'Eldelweis
entre deux jardins de lin
jade montée sur deux blizzards d'lézards
multidisciplinaires full Art
là où le chanvre so fin
de nos cerveaux mi-Dieu mi-malin
Ces chanvres de prés
en moult grains vachly radins
de pléiade de réminiscences
de non-sens en sur-cadences
Et se cambrent enfin sans fin
tes inassouvissables d'désirs
qui se mirent pantois malins
dans ma spicy tire-lyre
toute à la une stylisée
Edelweiss so Wise
de tes yeux mi-bleuets
mi-angel mi secrets
aux iris grivois discrets
tout en ombre et lumière
sans l'ombre d'une bière
ô subtile protection so fière
de l'ion de ses intentions
wenn sie wollen
dans les entrechats du pollen
Hénaurme manipulation
du chatoiement alléchant
de ce charmant minois
authentiquement charmant
donnant prenant donnant reprenant
la clef de sol des champs sans adjuvant
Donnant envie de chanter
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and play an obscene Blues in G
à en faire se jalouser les giroflées
là au beau milieu des rivages inespérés
du solfège en ondes d'ondulées
En attente d'opiniâtres opiacées
de plantes verdâtres éthérées
quasi séchées déchiquetées
donnant la vie et la reprenant hébétée
à ne plus savoir où se vautrer
entre deux séances de stances immenses
prévues déboutées à l'échéance-créance
&#10084;&#10085;&#10084;
« Il y a tout d'abord la littérature de la connaissance, et secondement, la littérature de la
puissance. La fonction de la première est d'enseigner ; la fonction de la seconde est
d'émouvoir. »
de Thomas de Quincey
&#10084;&#10085;&#10084;
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Effronteries libidinales
Colifichets de la Louve effrenée de belle musicalité...
****
Effronteries libidinales
Libidinales d'effronteries
Surdoses hormonales létales
Corde mi grave de guitare en moins
Wild tambourin venant de loin
Là où toutes les libidinales
Se croisent s'extasient
Se stylisent et se gratifient
En tintamarre de Vague Art
Exaltation folle de la Rhythmic Art
Au delà des expertises en faisant fi
Des libidinales d'effronteries
Toutes les libidinales se croisent se tordent pour enfin s’agglutiner en disparates noises
littérairement ou musicalement triviales selon certains esprits instables sans jugeote
aucunement respectables ils sont autour d'une table à fables...
Entre deux silly charades
De mots non secrets en bravades
Aux confins d'une mansarde
Les effronteries libidinales
Se tordent en moult jérémiades
Écartelant les règles sémanticales
Aux consonantes voyelles pétardes
Via tous les érotiques spasmes grammaticaux
Émoustillants lents désopilants faux
Toutes les libidinales se croisent se tordent pour enfin s’agglutiner en disparates noises
littérairement ou musicalement triviales selon certains esprits instables sans jugeote
aucunement respectables ils sont autour d'une table à fables...
Surplombant d'une mine de crayon Safran
D'un opale vert jaune moutarde
Les vers s'énervent et tardent
Se figent en bave blafarde
Ö miraculeuse imaginaire
De rivière aux mille et un diamants
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Tu surgis débonnaire luminaire
Puis en un long jet discret
L'éjaculation apparaît et naît
Derechef un immortel bienfait
Pour l'âme et le corps en accord parfait
Toutes les libidinales se croisent se tordent pour enfin s’agglutiner en disparates noises
littérairement ou musicalement triviales selon certains esprits instables sans jugeote
aucunement respectables ils sont autour d'une table à fables...
de la Louve effrenée de belle musicalité en ce premier août 2014
&quot; Les libidinales en prennent et en surprennent plus d'un individu en déveine
dépassant la quarantaine; souvent il y a neuvaine et puis vient d'un coup sec la
cinquantaine via la soixantaine avec ses aventures hautaines. &quot;
MDLoups in Introspection in Sion
****
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2014-08-27
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Elfines and Elfe
Elfines and Elfe
Elfe and Elfines
It was twelve o'clock
Down by the lazy Loch River
It was twelve o'clock
Down by the lazy Loch River
Blue so blue sky up above
I sang my short prayer
To God untitled simply
Love only Music
Love indencently Music
With Blues vib pick
Give me another day
To live and sing with authenticity
Sur sa guitare colorée d'un bouquet de sweet elfines* aux chapeaux fleuris
d'églantines…
Sunny side of Bichback
Make me feel return back
To taste this Blues so slow
The guitars piano and saxo
With a contrebass Sirarcho
En accord so much mucho
With this sound so classico
Always dans l'temps de Sachmo
Avec nos crazy mots archichauds
Sur sa guitare colorée d'un elfe sensuel se déhanchant avec ses mocassins blancs frangés
verde and the damn sound so chaud de son doré d'saxo.
• *NOTA BENE: Elfine est parfois le féminin d'elfe; attesté dans Bescherelle 1845,
Bouillet 1859, Guérin 1892, Larousse 19e-20e et Quillet 1965.
****
~~~~
&quot;Musique ô Musique tu octroies des ailes à voler et virevolter au-dessus des
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aisselles de mes pensées en moult chassés croisés effrénés parmi les elfines and elfes
déjantés.&quot;
(La Louve effrenée de belle musicalité in Hééé! hééé! Faites-moi groover! in G).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2014-08-26
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Entre Binaire & Ternaire
Entre Binaire et Ternaire
&#10084;&#10085;&#10084;
Allez joue La ta vie belle
Entre le binaire et le ternaire
Allez joue La ta vie belle
Entre le binaire et le ternaire
Dis OUI tu joues avec moi
La voilà ma veine ma foi
Allez joue La ta vie belle
Je m'entends chanter sans sanglot
Long mais juste hurler ce qu'il faut
Pour que mon âme s'accole à ton tempo
&#10084;&#10085;&#10084;
Allez Hop ! Allez Hop !
Tu refais ta salope
Again and again
Entre deux clopes
Tu as d'la peine
You feel like a cyclope
Vive la France !
All the rest on s'en balance !
Vive la France !
Le reste du monde que Si
On s'en balance en Mi
&#10084;&#10085;&#10084;
Allez joue La ta vie belle
Entre le binaire et le ternaire
Allez joue La ta vie belle
Entre le binaire et le ternaire
Dis Yeah ! Tu joues avec moi
La voilà ma veine ma foi
Allez joue La ta vie belle
Je m'entends chanter sans sanglot
Long mais juste hurler ce qu'il faut
Pour que mon âme s'accole à ton tempo
&#10084;&#10085;&#10084;
De votre aut'heure dans la nuit le lundi 16 mars 2015 -
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&#10084;&#10085;&#10084;
&quot;Tout l'monde le sait le chiffre douze est un nombre pentagonal et surtout qu'un
douzain s'avère un poème de douze vers! Est-ce assez clair très chers consoeursôfrères
so fiers entre deux proses entre lacérées de verdâtres lierres ? &quot;
(La Louve effrenée de belle musicalité en G).
&#10084;&#10085;&#10084;
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2015-05-26
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Entre Flammes et Louve
Entre Flammes et Louve - Oktober 2014 YvyClodyo's photo immortalisée ici en France
dans la Chaumine Les Loups-aux-Bois
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
Entre Flammes et Louve
Et les flammes s'enflamment
à l'effigie des femmes
en état omniprésent latent
de soif d'attachement
du besoin fortifiant
d'un autre être hors temps
ou d'un autre ailleurs
qui rime avec bonheur
peu importe la bonté de son cœur
let's drink a green tea
parfumé de jasmin pour en faire fi sweetie
Les elfes surgissent des flammes via des tisons jamais en terminale d'extinction
Et les flammes bleuissent
se tordent et rougissent
à l'effigie des femmes
et aussi des hommes
avec un bouquet de larmes
sans aucune rame
dans leurs barques
en latence dense souffrant
du besoin apparent constant
de louange de compliments
leurs talents jaunissent
hors et dessous les normes
peu importe où ils pissent
un jour ou l'autre ils débarquent
et cassent le rude bois de leurs gueules
tristes et moches en mode dégueule
Les elfes surgissent des flammes via des tisons jamais en terminale d'extinction
Subtiles écorcheuses lancinantes
de peines via ces jalouses gens
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gonflées de haine et d'envie
malsaines outrepassant le temps
de leurs carapaces de crasse
et verdissent ces doubles faces
en ces piètres creux espaces
où tous vers et refrains se lassent
sans la Rivière du Jazz
qui découle du Blues en masse
macérant ainsi toutes les vilenies
des malencontreux contretemps
de l'absinthe aux mille et une complaintes
ils se barrent entre deux stratégies
Les elfes surgissent des flammes via des tisons jamais en terminale d'extinction sur le
verbal
La Louve effrenée de belle musicalité le samedi 15 novembre 2014
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
&quot;Relis tes ratures et poursuis tes rêveries note par note sans dessus dessous et
frotte-toi sur la gamme ahurie en oubliant d'épater les sots de la galerie aux mille
mépris.&quot; (La Louve effrenée de belle musicalité).
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2016-04-24
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Entre Loup et Louve
Au sons vachly bons de la Musique de
christian7433560 sur Youtube et titrée Heavy Blues-Rock
****
(A Blues métallisé with an obscene groove in G).
Création parolière de la Louve effrenée dentelière de quêpière chère entre deux
stagiaires.
Entre Loup et Louve
Entre Loup et Louve yeah louve
Y'a L'amour du son qui groove
Entre Loup et Louve howlin' in G moove
Y'a L'amour du ton qui s'love & groove
Comme entre le damné d'Blues
Et mes damn plumes de blouse
Que tu tirailles jusqu'aux entrailles
Histoire de savoir s'il y'a ripaille
Héééé! please don't think twice
And take my own musical advice
I've got the theme and the rhythm
So let me show you who's the howlin' louve is
So let me show you who's the howlin' louve is
Come on over babe c'est dans mon âme ce Blues so Blues that you feel obviously
partouze & dinguouze
T'as pas b'soin d'me défringuer
J'en ai pas honte d'ma chair but keep it slowly
Come on over sweetie héé! take it easy
You're so selfish keep it cool cool selfish
I'm vachly silly and more a crazy bitch
No matter what you play I'll sing as a fool
Héééé! don't you think twice
And take my musical advice
I've got the theme and the rhythm
So let me show you who's the howlin' louve is
So let me show you who's the howlin' louve is
Entre Loup et Louve yeah the howlin' louve
Y'a L'amour du son qui s'love & groove
Entre howlin' Loup et Louve in G moove
Y'a L'amour du ton qui s'fond que j'louve & groove à fond
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Come on over babe c'est dans mon âme ce Blues so Blues that you feel partouze
obviously partouze & dinguouze I love you
(A Blues métallisé with a groove in G ; création furibonde de la louve effrenée de belle
musicalité le 21 déembre 2011...).
&quot;Relis tes ratures et poursuis tes rêveries immatures note par note sans dessus
dessous et frotte-toi en boucle croche sur la gamme ahurie en oubliant d'épater la
galerie.&quot; (La Louve effrenée de belle musicalité).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2014-11-10
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Entre Louve and You
Entre Louve and You
Hééé! c'est pas tout de laisser
La booze tomber
Hééé! c'est pas tout de laisser
La booze tomber
Y'a à remplir ce béant d'trou
A l'effigie de la Louve and You
Entre la louve and you
Y'a à remplir ce béant d'trou
Entre la louve and you
Vive les Blues douves
With such a crazy louve
Kind of a trou for you
Que l'alcool a laissé for you
Dieu maybe will fill it up if you try
Hard sans rationaliser the invisible spy
Come over baby try it
You won't regret it noooo!
Héééé! cesse de tergiverser the wind blow
Spread your broken wings
Retouch your golden wildy strings
Fais pas skier la louve
You see elle danse encore sur les vieilles douves
De sa petite enfance héééé!
En swell transparence héééé!
De danses en contredanses yeahhhh!
With God pour bouclier héééé!
Copyright here la louve effrenée; for a Blues-Rock on hot sounds métallisés.
On a Blues tempo let's go for the show with la Louve effrenée 2011 have you got
somethin' more to say sweetie baby ?
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2015-01-07
Page 128
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Épines et Rose
****
de la Louve effrenée de belle musicalité
Épines et Rose
Rose et épines
La rose et ses épines
Piquent lorsque mal cueillie
La rose épinée à Pâques va éclore
Hume et touche la bella flore
Et ce printemps nouveau surgit
Epousant la forme de bizarreries
Balayant sauvagement les pages de Ludivine
La nuit et le petit jour se retrouvent là où la rosée musquée a des épines
Et les épines déjà font fi
De la rose et son bouton petit
Entre deux ou trois ondées
Archi symphonisées
La peur et la crainte se dissolvent avec Dieu lorsque la demande est sincère
Une libellule geai bleu d'hier
Une violine en vieux pull bleu d'hiver
Un lézard jaune-vert fier
Une grive brunâtre un merle noir
Moult prières de soir en soir
Et la peine via la douleur se tasse
S'écrase passe et tout se concasse
Et la douleur passe et s'espace
De soubresauts gros en peines lasses
Dieu tel que chacun sait le concevoir; croire sans voir en acte de foi
Le poète trop souvent est mal lu
Mal vu mal entendu
Jamais il ne semble rendu
La terre est-elle un bon repaire
Pour ce fou braque un brin dinguouze
Rarement admis dans les partouzes
Des plus que parfaits en pantoufles de verre
Dans sa volonté réside notre paix puisque sans Dieu il n'y pas de paix intérieure
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De La Louve effrenée de belle musicalité; elfe funambule sur un mince fil d'avril en l'an
2014
****
&quot; La seule arme des enfants contre le monde, c'est l'imaginaire. &quot;
Paul Verlaine in L'Art poétique.
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2016-05-03
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Érudit en Déni
Wolf River (Tennessee) Jeff Buckley ( 1966-1997); rivière où le musicien compositeur
interprète a terminé son voyage terrestre dans une noyade tragique; il avait 30 ans...
Résultante éminente de l'alcool et des autres drogues.
&#10084;&#10085;&#10084;
Érudit en Déni
Déni d'érudit
Un déni un défi
aucun sursis
une histoire noire
endimanchée brouillée
truquée falsifiée
d'une autre magie
plutôt blanchie
là et ici sur le tapis
il se roule en boule ébloui
par sa folle maîtresse
des cheveux aux fesses
félin aux allures tigresses
en constant déni
face à la vie et l'ennui
Roule-toi en boule jusqu'à la déboule de tes songes en houle...
Des pages sans âge
des vers de verre
aux liquides unfair
people à deux et trois visages
souvenance encore sans rage
des mélodies pleines d'images
d'une louvienne de Riviera
aux torrents blafards
non sens sans rivage
dont l'imaginaire se barre
en retournant au phare
là-bas là-bas so far
au paradis sans suffrage
ni loi sur les marivaudages
en disparates de saccages
face aux masques en nage
so across les marécages bas
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Roule-toi en boule jusqu'à la déboule de tes songes en houle jusqu'aux printemps en
défoule...
de La louve effrenée en ce deuxième jour de décembre de l'an 2014
&#10084;&#10085;&#10084;
&quot;A mari usque ad mare.&quot; &quot;D'un océan à l'autre.&quot;
Devise nationale du Canada
&#10084;&#10085;&#10084;
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Eternelle Idylle
Mecri grandiose à Phil Lynott que je vénère en ces sphères célestes où le bonheur
éternel le survole sans bémols- Still In Love With You Baby (1985 Version)
Éternelle belle Idylle
Idylle gracilement belle en Éternité
Tam-Tam ravage sauvage
Et son plumage te rendent hommage
Toi le dragon septillion de mes rêves
A toujours en mon âme s'élève
Depuis que tes ailes frêles et belles
Se sont posées sur mes musicales dentelles
Reprends-toi dans tes émois avec ses je t'aime entre guillemets
Ta beauté intérieure renaît
De ces cendres en simili retrait
Ton prénom mon prénom se renouent
Au noyau central de mon eternam vital
Tu ressurgis transis entre deux sonnets
Pour mieux me faire capter les tercets
Se reprendre entre deux méandres une symphonie astrale à réentendre
Ta coulée en moi fut plein d'émoi
Je te re-désires entre deux élixirs
Reprends-moi slow-moi jusqu'à l'ivresse
Délivre-moi de ces attentes sans bassesses
Rends tes armes elles sont sans charme
Donne-toi entre deux sottes armures
A l'infini de notes j'enclaverai les fistules
Les recoins de ta grotte avec cupule
Réjouissons-nous encore jusqu'en éternité de nos ébats à satiété
Une éternelle idylle sans fil
D'Ariane coupé mutilé broyé
Avant la terminale jamais débutées de nos étés
En plusieurs pleines fool full lunes
Page 133
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Assoiffés de nous en grandes chevauchées
En feu seront nos corps bien endimanchés
De belle échauffourées frôlant les rutilantes opacités
Idylles de nous à perpétuité en pâmoison bien essoufflés ébouriffés bien assouvis...
La Louve effrenée 2011
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-02-09
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Fairy Roses
And de la Louve effrenée
One two three a wild pensée...
Fairy Roses
Les roses dites fairy
For my Self I and Me
D’Arles ou d’un autre ailleurs
Sur Marseille Yes à la bonne heure
De cette bonne Mère
Aux allures voluptueusement fières
Croissants demi-lunés sans beurre
Salés sucrés beurrés ou non je m’effleure
Au Château de Saint-Trophime
Du Baron de Langevin originaire de Nîmes
Où les rimes savent éjaculer des images
À en faire roussir les plus que parfaits de sages
Aux pourcentages de Riffs érotico-lasso
Prédateurs-narrateurs des voluptueux soli
Lasciviously épicés dont je suis accroc
Absolutely obscene dinguo-swinggo
Ou dinguouze jazzy bluesy misty
As you wish cutie bitch selfish sweetie
Pianistiquement il sait aussi nous enlacer
From la Louve effrenée en muscalité musquée-rosay
« Plus je tourne et retourne cette idée que Dieu peut communiquer la pensée à la
matière, plus elle me paraît vraie. » (Voltaire).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2014-08-26
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Fioles et Batifoles
Fioles et Batifoles
Batifoles en Fioles
Love is a credence
Et balance toi Zizzi
Pour le reste de ta vie
Entre deux rots kiki
Come on come on come on I feel you down
Enjoy yourself
Avec les crazy elfes
Que tu préfères
En te sacrant des amants
Perturbateurs d'aimants
Come on come on come on I feel you down between two résonateurs en pleurs
Shake les fesses Jackie
Et juste en bas du nombril
Tatoue-toi un rouge cœur joli
Même si ton thé beautiful roux
N'a pas tari ta toux
Come on come on come on I feel you down between two résonateurs en pleurs de hurler
ton Blues
Hey! Crache ton sable
Remonte ton col minable
Et reviens musicalement
Sans te prendre le choux blanc
Pour ces petits riens d'antan
Come on come on come on I feel you down between two résonateurs en pleurs de hurler
ton Blues entre Deux Parts Touzes sans Flouzes
LLEffrenée de belle musicalité le 7 octobre 2014 11:30
&quot; Instruisons-nous mieux; nos idoles valent mieux que la fiole et autres batifoles.
&quot;
MDLoups in Feux sacrés or Sacrés de Feux
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Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2014-10-10
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Flamme M'Dame Brune
****
Flamme M'Dame Brune
Brune Dame en FLamme
Mystérieuse sans fard et blanche flamme
Barque à roll rocquante sans real rame
J'me noierai avec ou sans toi et toit
Ma dame de pique cœur douce Toi
Sauras-tu entendre les notes du Blues en surcroît
Ma Zoée folle des âtres carmines
Cuisse folâtre dâme soeur in
Vibrante fleur bleue d'extase
Aux désirs infâmes
J'enflamme et me sous repâme
Entre deux hot & slow Jazz
Et mon saxô noir et or s'étonne
Malotru en rumeur je donne
Aux murmures boulimiques des notes
Claires adagio forte sourdes
Mon antre brûlant belle gourde
J'oublie les bémols d'ouate molle qui flotte
Triple ou molto soupirs de l'aorte
Je termine en sourdine pour vous brune M'Dame
Et laissez ma vulve se gonfler en spasmes
Et laissez cahoter ma libido Zen à l'habituel
Mais toute pêle-mêle à votre vue ô perverses ailes
de la Louve
°°°°
«Les hommes sont hommes, et les meilleurs s’oublient parfois.»
William Shakespeare in Othello
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2013-11-02
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Fleur D'Épine
Photo par la Louve effrenée: Vins de Saillon en Suisse
****
Création estivale de La Louve effrenée de belle musicalité
Fleur d'Épine
épine de fleurs
Fleur d'Épine que nul ne mine
Joyeux petit Bourg de Suisse
Où les blonds blés se hissent
Parés pour la faux sans porte-à-faux
Naturelles beautés du très-haut
Les fleurs d'épines se crissent
Et se fanent entre deux prémisses
Fleur d'épine entre deux fleurs d'aubépines
De couronnes entrelacées et fines
Tenaille et entaille son origine
De Montreux à Genève
Longeant ce joyau trop beau
Sur un cheval sans selle ni lasso
Lac Léman bleu-verdi des célestes rêves
Stoppant derechef à L’Auberge du Soleil
0 Bursins dans le Canton de Vaud
Délices pour papilles vermeilles
Face au lointain ouaté Mont-Blanc
Se rozaçant comme un amant au soleil couchant
Avec vin de Saillon pour blason d'antan
Fleur d'épine entre deux couronnes d'aubépines
Survolera l'âme à toujours en Ré jusqu'au levant
De cet ange de passage survolant la fleur de ses rêves
°°°°
&quot;Pop eut l'air d'un chien simplet face au chat sans aiguille.&quot;
( Kakemphaton spontané de La Louve 20 juillet 2011).
____
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2014-12-02
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Fleur d'Étoile filante
Fleur d’Étoile filante
La louve ou Fleur d'Étoile filante
S'invente des soleils rouges dès la brunante
De la musique avant toute chose notait Verlaine
Pour la Louve un jour sans note la désenchante
Ma vie à moi c’est la musique clamait Charlebois
La Louve une musicale de Fleur d'Étoile filante
Au firmament du perpétuel coït de ses mots
Observe cette louve entre deux délinquants de sanglots
Découvre-la sur les voluptueux rochers de ces eaux
Hier elle a vu en sons une érotique de rengaine
Sortir de l’ombre cet Imaginaire débonnaire
Fais vibrer en musique ses mélodies à la chaîne
Des mots à profusion de sons cachés venant d’un repaire
Des œuvres féodales astrales effrénées
N’attends pas que la fleur d'étoile se sur-noie d’ennui
Dans ces diurnes de nuitées aux peines lacérées
Entre dans son univers des millénaires de nuits
L’extase la plus douce est de battre la mesure
Déjà elle entend en écho la cithare au son du mur
Et son tambour à basques dans l’azur de ses ramures
Des sons endiablés d'élans érotisés l'air s’enflamment
Et elle redansera autour des lascives de flammes
Les rythmes en Jazz et Blues Duo conclave
Jouissances triplées provenant des âmes
Ils renversent d’une giclée et frôlent le cœur
En atrophiant tout de go la rancœur folle des peurs
En réminiscences du Bel Ange qui a semencé les ardeurs
De cette Louve ou cette filante d'Étoile de Fleur
Blues en musique: Red House; Guitare et voix le sultan de la guitare Jimi Hendrix mon
ami joli sans suffixe.
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2010-12-18
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Fleur sauvage en Volupté
La Volupté m'effleure
Eternally effrenée la Louve
In perpétuels hips moove
En musique si si scénique
En vers qui ré cliquent
L'avenir n'est plus aux verres
Mais aux serres de fer
Retour éminent du flower power
Hééé! I need some air
Le pouvoir des fleurs
Revient en double-coeurs
Et le salaud d'Ego Trip
Sera vachly chocolate-chip
Au point culminant-chiant
Donc ne saura être branlant
Hééé! come in my savon-roman
To feel the heat of the beat
Si je refais ma damn sale Up
En retripant sur le push-up
Le risque est de me rejouir
En triple nick avec ou sans Eric
Hééé! what a dirty trip-trick
Et le salaud d'égo trip
Valsera avec ou sans sons
Le bonheur est au plafond
Let's have a trip top so rebond
The Moon dance is vachly dense
One more time ô bis!
I'm in the mood to piss hisse!
Eternally effrenée la Louve
In perpétuels hips groove
En musique sonique tonique
En vers aimantés qui cliquent
L'avenir n'est plus aux verres
Mais aux vers en serres de fer
Le Pouvoir des bleues de Fleurs
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Revient en double douceurs
Et le salaud d'Ego Trip
Vachly epic Hip hip hurry chip
Hééé! Crazy thing organise tes guitares de strings!
Le hungry point culminant
Ne saura plus être branlant
Si je refais ma damn sale Up
En retripant sur les push-up
Le risque est de se réjouir
En triple nick avec ou sans Eric
Hééé! what a dirty trip-trick
Valsons avec ou sans sons
Le bonheur est au plafond
La volupté m'effleure le cocon
So voluptueux ce jazzy son with Satchmo the great and Ella the magnifique; can you
hear the sound of the beat with his groovy heat?
°°°°
Pourquoi la Poetry imagée?
- Pour donner plus de poids à la senteur parbleu là où la fleur se meut et non se meurt la
louve effrenée vous offre son coeur sans rancoeur ! :ohoh
La Louve effrenée 2011 Year of the Bronze et à chacun son Bonze ou sa Bonzesse.
:ohoh
« Plus je tourne et retourne cette idée que Dieu peut communiquer la pensée à la
matière, plus elle me paraît vraie. » (Voltaire),
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-02-02
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Fool Full Moon
&quot;Frontispice de L’Histoire comique contenant Les États et Empires de la Lune;
Le Narrateur s'élève dans les cieux grâce à des fioles de rosée.&quot;
Bibliothèque nationale de France
****
Fool Full Moon
R & R song de la Louve
The fool full moon
Sait me jouer me déjouer à double tour
De l'âme à l'enveloppe
I do believe it so soon
Héé! you Guys so glamour
I just feel You like Pénéloppe
Please écrasez vos clopes
Et pervers in G sera le ton de ma tune
Dance in redundancy and feel the heat of the beat!
The fool full moon
Sera à toujours mon gardénal
Pour apprivoiser mes désirs d'animal
Venant des voies vachly astrales
I feel it goood so &quot;everybody C'mon&quot;
As Elvis sang &quot;I was born to rock&quot;
Ne me contrariez pas mer de phoques
Dance in redundancy and feel the heat of the beat!
[bis][/bis two or three times; selon votre vigilance de degré]
****
&quot;Musique ô Musique tu me donnes des ailes à voler et virevolter au-dessus des
aisselles de mes pensées en moult chassés-croisés.&quot;
(La Louve effrenée de belle musicalité; extrait de : Hééé! hééé! Faites-moi groover! in
G).
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Gaîté faussée en Candélabre
Gaîté faussée en Candélabre
Candélabre de Gaîté faussée
&#10085;
Outre les lumières
Il existe non austère
La foi en toi en soi
En ton Art never so far
Et en Dieu before sans dard
Never can win sur la conscience ou la voix dedans...
La démesure en cyanure
L'imbus de soi en rouge mercure
L'abus de toi en enfant roi
Apitoiement vilain de soi
Never can win sur la conscience ou la voix dedans avec ses revers de vers...
Via le ressentiment
Mystiquement grand
Bien au-delà des temps
Ou tempo de ton ego géant
&#10085; Never can win sur la conscience ou la voix dedans avec ses revers de vers à
soie...
Risorgimento à lueur
D'un candélabre en sueur
Aux reflets de tes peurs
En quarantaine de leurres
Never can win sur la conscience ou la voix dedans avec ses revers de vers à soie se
baladant sur toi à travers toi...
&#10085; Se meut et se meurt aux nues
Toute authenticité belle
Et tes yeux d'enfant rebelle
Malencontreusement à demi-disparus
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&#10085; Never can win sur ta conscience ou ta voix dedans avec ses revers de vers à
soie se baladant sur toi à travers toi voire par-dessus en Toi sur ton chemin de croix il y
a une louve qui se broie il y va de soi no time to lose réveille-toi...
&#10084;&#10085;&#10084;
De vot'aut'heure dans la nuit La Louve effrenée de belle musicalité
&quot;... Partout entre deux atouts là où se vautre l'homme l'hommerie sort de son lit en
flagrant délit de trahison à court ou à long terme...
Le mensonge immonde et son goût de cendre profite tant bien que mal à tout l'monde...
Trahison ici et là entre deux mensonges fats c'est ainsi que l'être humain devient las
jusqu'à ce que sonne le glas... &quot;
La Louve effrenée in
Litanies louvienne péri-automnales astrales
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Page 146
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Gammes Heptatoniques de L’Amitié
Gammes Heptatoniques de L’Amitié
Sie Und Er
DO
Une amitié naissante
Se doit d’être réciproque
Sans ridicule équivoque
Ou arrière-pensée latente
RE
Similaire à l’amour
Absent de minauderie autour
Ou farfadets vilains dessous
La magie amicale absout
MI
L’amitié vraie ne quémande pas
Ne se désiste pas lors du trépas
Elle aime sans vouloir changer l’autre
Ou le réformer à son image d’apôtre
FA
La farandole de cette amitié
Se veut durable ou de courte durée
Selon la force de ces atomes en symbiose
Nul ne sait sa longévité de vie en rose
SOL
Solidifions nos propres forces
Dont le but sera de prolonger
Son éventuelle épopée
Car fragile souvent est l’amitié
Sans escarmouche corse
LA
L’étonnante latitude
Sans servitude hébétée
Ou mesquinerie cachée
Servira de certitude
SI
Syllabique à chaque pas
Amical absent d’appâts
Menant vers la muselière
Mesquine et prisonnière
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DO
Domino et Écho se lièrent d’amitié
Au risque de s’éloigner
Ils furent tout de go ancré
À vivre une parfaite authenticité
La Louve in groovin' Mode sans faire fi des modes elle brode.
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Gesticule en Renoncules
Gesticule en Renoncules
Allez glisse-toi petite bulle
Brodée d'invincibles cellules
Sous les satinés draps de tulle
Allez silencieuse mâle mule gesticule
Tes voluptueuses tentacules
En sensuelles femelles renoncules
Et pan pan résonne ma flûte de paon
Mon arbalète obsolète de sultan hannhan
M'étonne en corps et me surprend
Car tu sais la rendre gaie en un moment
Et pour longtemps dans l'antre au-dedans
Etalon ou Moribond voilà une joyeuse de partition
Et se redéhanchent et rebasculent
Tes idées rouges violine d'Hercule
Toi la coquine rouquine Zoé plus funambule
Que ces minaudeuses valseuses en transparence d'ovules
De mes nuits folles en énormes B majuscules
Et en onomatopées peaufinées mauves libellules
Prestement sans serment qui pullulent
Collent et accolent tes fesses cosmiques
Sur mon nombril en état de grâce scénique
Orgasmons together nos orageux poèmes
Jusqu'à l'érythème obscène du matin blême crème j'aime
Etalon ou Moribond voilà une joyeuse de partition avec Ions
****
De la Louve in slowly but surely obvious Blues moovin' groove
&quot;Rien ne justifie la tentative d'imiter; ça brime la musicalité dans toute l'essence
de sa tonalité émancipée; dans tous les domaines artistiques demeurer soi-même
provient d'un feu really and totally sacré.&quot; (La Louve effrenée de musicalité).
Page 149
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Gitanesque Fresque
Merci à Anouar Brahem pour sa musique magique intitulée Parfum de Gitane...
Musique pour accompagner les battements de mon coeur de louve aux pléiades d'odes
titanesques gratifiées par mon Créateur; dédicace à Toi où que tu sois sur cette terre en
mal de renaître en vers.
For You where ever you are in this wild world so sad without music aux accents
toniques magiques for this heart and soul of mind and yours aux alentours.
Gitanesque Fresque
Fresque en Gitane aux moult couleurs carnavalesques
Fresque au sons toniques
Accentuant les battements
De ce cœur rythmique
En flagrant délits désarmants
De toi entre mes odes épiques
Renaissance dense fresque gitanesque
Misanthrope ou pâle langoureux cyclope
Une louve en plein essor sans matadore
Éclaboussant la toile de lin so damn fin
Gitanesque fresque s'étalant à bon port
Entre deux soyeux musicaux d'essaims
La Louve s'agite jusqu'à la transe l'hysope
Une âme gitane sait reconnaître son destin
Renaissance en fresque jusqu'à l'ivresse en sons outrepassant la rythmique
Une lune grosse un refrain sur nos chemins
Des vers sans verre entre deux couleurs bleutées d'étain
Une lumière fièrement belle dans tes suaves sonnets
Où s'étale ton âme entre deux retours à rebours de tercets
La fresque la plus belle fut de toute émanante souvenance
Tes ailes frêles entourant les miennes idem en voie d'effervescence
Magiques assonance de nos âmes en turbulence en cette hivernale nuit de cadence trop
dense mais salvatrice en renaissance.
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So long to Gigolo le chat tigré anonyme rencontré entre deux rimes sans escrime pour
mieux vous frôler la cyme sans tomber dans l'abîme des virtrioliques d'hyperboliques de
rimes....
For You de La Louve avec Dieu son ultime Bonze en ce quatorzième jour de février
2011
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Got Hot Hard Heavy Blues
Clairvaux les Lacs sous la pluie- Haut-Jura; vue du balcon de la mansarde, photo de la
Louve 23 juin 2011
Musique: Dave Brubeck & Paul Desmond - Stardust
°°°°
Thinking about you I made a Blues Symphony in G sans dorer la mie entre deux si...
Got Hot Hard Heavy Blues
Le Haut-Jura sans mal de mer
La truite citronnée meunière
Tarte aux pommes miellées
Au Prélait de resto en effet
Avec ses multiples attraits
Menant aux deux lacs Masclu
Détonant midi sans vers à soie
Aux impensables vues de nues
Via les Rousses entichées de toi
En bas de laine ou de fine soie
Got Hot spicy crazy hard heavy Blues
Just for a wet dream in white blouse
Screamin' and screamin' again this Blues
I'll never apologize cause I still love the Blues
Of your obscène silly débile as mine confuse
When this impromptu de stardust m'empoussière
Complètement le mal constant incongru de la chair
Qui a su goûter délecter au suprême degré tes airs
Langoureux en symbiose avec tes mains d'hiver d'hier
Got the wild silly crazy Blues and I don't think it's unfair
°°°°
&quot;Un mot et tout est perdu, un mot et tout est sauvé.&quot;
(André Breton).
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Guitare en Blues
Guitare en Blues
Le sable chaud sur la Dune
Tes strophes me frôlent une à Une
Psyché et soma ne font qu'un Saturne
Convergence érotique vers la Lune
Éloignés des oraisons déréglées
Loin de la foule en grand délire
La prolongation ô titanesque désir
Savoir longuement aimer et goûter
Nos soupirs de loups s'entremêlent
Nos désirs de toujours s'effleurent
Cette guitaristique transe des heures
Ne s’achève pas et je m'emmêle
Ma raison se perd en vers
Ta psyché en oraison sans raison enveloppe
Mon soma en déraison de raison de repaire
Tout tournoie et devient cyclope
Chaude fusion dolce rires
À fleur d'âmes et peaux s'alanguir
À fleur d'eau et encore retenir
Ces orgasmiques plaisirs
Revenir en double douceur
Sans promesses de bonheur
Renouer l'innocence de l'enfance
Reprendre l'effleurement de la danse
Et ce Blues langoureux
Sait alanguir nos ébats
Sa cadence nous émeut
En symbiose de combat
Trêves de basses minauderies
Notre désir émancipé
Accolé et bien ressoudé
Désormais revit en musique
En d'autres lieux cosmiques
Jadis et toujours notre amitié
Brûlait de ses feux sans fausseté
Faisant fi des jaloux apeurés
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Sans renoncer à nos jeux d’encriers
Nous prolongeons à toujours nos étés
La Louve in groovin' mode for a new Exode
Thanks to Frank Marino & Mahogany Rush, for this magnifique version of I'm a King
Bee, in Ottawa, Canada 1998.
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Guitare en Blues
Pour tous les amants des mots une élucubration en soupirs longs au trot ou au galop de
la Marquise désormais bien assise (Zen) pour vous égayer la cerise et vous faire oublier
vos bêtises via vos sottises...
de la Louve
Guitare en Blues
Le sable chaud sur la Dune
Tes strophes me frôlent une à Une
Psyché et soma ne font qu'un Saturne
Convergence érotique vers la Lune
Éloignés des oraisons déréglées
Loin de la foule en grand délire
La prolongation ô titanesque désir
Savoir longuement aimer et goûter
Nos soupirs de loups s'entremêlent
Nos désirs de toujours s'effleurent
Cette guitaristique transe des heures
Ne s’achève pas et je m'emmêle
Ma raison se perd en vers
Ta psyché en oraison sans raison enveloppe
Mon soma en déraison de raison de repaire
Tout tournoie et devient cyclope
Chaude fusion dolce rires
À fleur d'âmes et peaux s'alanguir
À fleur d'eau et encore retenir
Ces orgasmiques plaisirs
Revenir en double douceur
Sans promesses de bonheur
Renouer l'innocence de l'enfance
Reprendre l'effleurement de la danse
Et ce Blues langoureux
Sait alanguir nos ébats
Sa cadence nous émeut
En symbiose de combat
Trêves de basses minauderies
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Notre désir émancipé
Accolé et bien ressoudé
Désormais revit en musique
En d'autres lieux cosmiques
Jadis et toujours notre amitié
Brûlait de ses feux sans fausseté
Faisant fi des jaloux apeurés
Sans renoncer à nos jeux d’encriers
Nous prolongeons à toujours nos étés
Just for You de La Louve effrenée Marquise des Loups in groovin' mode for a new
Exode
°°°°
&quot;J'ai été longtemps un jeune conformiste et sans doute formiste était-il de
trop.&quot; (François Bayrou).
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Héééé! Fais-moi groover in G
Héééé! Fais-moi groover in G
Héééé! Fais-moi groover in G
It's the fool full moon of december
Héééé! Fais-moi groover in G
It's the fool full moon of december
La dernière de la 2011 d'année
It will be a smart delight
So c'mon don't like to fight
One two I do love you
Oui! Three four five
C'mon and let's Jive
The Blues jusqu'à l'aube
The thrills I've got for you
Are just out of sight
I'm your BLues môme
So c'mon don't like to fight
Héééé! Fais-moi groover in G
It's the fool full moon of december
Héééé! Fais-moi groover in G
It's the fool full moon of december
La dernière de la 2011 d'année
C'mon it will be the best Blue Jive virée
De la Louve effrenée la bien-nommée marquise des Loups à l'âme rebelle so belle... le
10 décembre 2011
&quot;Le pire aîné musical-érotique que j'eusse connu fut Lustucru lorsqu'il me proposa
un cunnilingus d'astreinte face à mes vers; pas pour un sous terre à terre susurra-t-il sans
l'ombre d'un verre.&quot;
(Kakemphaton de la Louve effrenée de belle musicalité).
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Hémistiches
Hémistiches
&#10084;&#10085;&#10084;
D'hémistiche en hémistiche
Il avançait le petit homme
Il avait peur en somme
Qu'elle s'en fiche
Pourtant elle en rêvait
De ses doux hémistiches
Lui en doutait c'est vrai
Alors il fit des acrostiches
Bourrasques et ouragans
Plein de mauvais temps
Bourré par les nouvelles vagues
Il s'enfuit sans bruit vers un pays sans vent
Les acrostiches
Les hémistiches
Il s'en fiche
Et d'un autre Art il s'entiche
de votre aut'heure dans la nuit La Louve effrenée de belle musicalité...
&#10084;&#10085;&#10084;
&quot; Les souvenirs provoquent parfois beaucoup de chagrin, mais une fois qu’ils ont
été réveillés vient ensuite une sérénité très étrange. Parce qu’on a planté son drapeau au
sommet du chagrin. On l’a escaladé.&quot;
Sebastian Barry in Du côté de Canaan
&#10084;&#10085;&#10084;
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Hermana Del Alma
LOUIS-MICHEL VAN LOO: DENIS DIDEROT (1713 – 1784)
Écrivain et philosophe/Writer and philosopher
Merci à Roberto Carlos en musique et en voix pour son magically Hermano Del Alma
Et pour toi de la louve cher hermano del alma de l'Art dans toute sa musicale de portée
pour aujourd'hui et demain voici ce refrain en vermillon de chanson.
For You hermano del alma
Avec un simple tambourin pour apparat
Juste avec la voix de mon âme pour toi
Hermano del alma mon coeur est en joie
Ne crains pas ô que non mon aura
D'un autre siècle entre deux Fa
D'Hermana del alma entre deux sonorités via la route des beaux décibels
Sur cette belle ronde terre
Pas plus ronde en terre ni mer
Que la Joconde en dolce prières
Mais aussi ronde que la lune
Dans son énigmatique volupté diurne
Entre deux musicales géantes d'urnes
Remplies raz-le-bord de l'amour de Dieu
Pour nous diriger vers son royaume en cieux
Pour toi hermano del alma entre deux subtils de La
Ton hermana del alma la louve te raconte en ses vers sans verre aucun entre deux
sonorités via la route des beaux décibels; un décibel étant égal à un dixième de bel,
donc un dixième du bel amour de la sœur de l'âme qui sait s'acheminer un jour à la fois
vers la liberté intérieure sans trop de peurs.
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Histoire vécue
Création spontanée de La Louve en Mode groove in France 2010
A tous ceux qui souffrent du mal de l'âme dont les souffrances s'avèrent un long
calvaire sans retour jusqu'au jour de la prise de conscience que leurs vies deviennent
incontrôlablement invivables....
Histoire vécue
Histoire survécue
Ma vie c'était un enfer
Jour par jour
le poids était lourd
Mes mensonges
Un long calvaire
Un long calvaire où le feeling du premier verre s'avérait désormais outre-terre
Une trainée de poudre
De ressentiment
Je traînais sur mon dos
De l'apitoiement
Plein mon coeur mes os
Un long calvaire où le feeling du premier verre s'avérait désormais outre-terre
Mon âme tourmentée
Se mourait au-dedans
De critique de jalousie
De commérage d'envie
Un visage à deux côtés
Un long calvaire où le feeling paradisiaque du premier verre s'avérait désormais
outre-terre
Aucune confiance en toi
Pas même en moi
Un jour j'me sentais inférieur
Un autre jour supérieur
L'alcool m'enlevait la vie
Un long calvaire où le kool feeling illusoire du premier verre s'avérait désormais
outre-terre
Et j'ai capitulé; cessé de résister
Baissé les bras; j'ai demandé
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Sincèrement, sans espoir ni réserve
De reprendre un jour cet alcool rapace
Avec lequel j'étais dégueulasse
Un long calvaire où le kool feeling éphémère du premier et des autres verres s'avérait
désormais une souvenance en démence
J'ai demandé honnêtement sans réserve
De m'enlever cette obsession de boire
A ce Dieu de mon enfance la trêve
Dans un but de réparer mes déboires
Terminé en miracle ce long calvaire où je ne pouvais plus vivre avec ni sans ce rapace
alcool dont l'obsession fut enlevée de mon âme par Dieu en lui demandant humblement
cette grâce
Si la lumière au bout de ce tunnel te semble irréelle, dis-toi qu'hier j'étais comme toi
incrédule et lorsque cette soif d'alcool et autres substances furent disparues j'en suis
venue à croire que oui, Dieu tel que je sais le concevoir est toujours là pour moi; si je lui
demande l'impossible alors moi je saurai vivre le possible.
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Histoires Fléchettes
Histoires Fléchettes
Fléchettes d'Histoires
Skiffle me Gee
don't you feel the obscenity
baby deer in the air
seems that you don't care
with this accent a tiny bit chantant
maybe sans aucun faux fuyant
brimant le white pale so blanc
L'histoire s'avère noire
et vachly blanche le soir
lorsque flesh & bones s'accoquinent
entre deux vers à boire
always with déboires
via l'eau et en ajout la fine
une histoire bucolique
un tantinet mélancolique
d'enfièvrement alcoolique
L'histoire aux moult fléchettes
se laisse choir dans l'noir sans reboire
pour pincer les cordes lyrenettes
des dards aux multi plectres
se croisent et se repoussent
puis s'éjectent en petits spectres
lascivement hénaurmes
la chair sous toutes formes
Mignon so mignon de Rib Steak
Héééé! You can't anymore feak
across the Blues Lake
What a gourmand d'cake
between two or one corn flake
What a silly kick
avec falsy crazy stick
What a silly d'kick
Persistant et magique
So époustouflant voire sick
Les fléchettes d'histoires
s’émulsionnent le soir
entre deux sommiers
sans somnifères orangers
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et s'éjaculent via la vulve à l'aube
sous un vieux pommier ou pêcher
interdiction formelle aux xénophobes
bof! tous les stylets sont acoustophobes
Hééé! Cricket just need music not a prick
get out of my namenick
La Louve effrenée le vendredi 24 octobre 2014
&quot;I'm in flagrant délit de délires so come on over and step in theese flames on the
right foot.&quot; (La Louve effrenée de belle musicalité in G).
&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
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Humain Body & Divine Divided Soul Falaise sans Malaise
&quot; Tout ce qui vit possède une âme et même le plus abrupte des rochers en
transmission perpétuelle de choses belles... &quot; ( La Louve 2011).
Âme Divine Divisée - Divine Divided Soul
Croire sans Voir nonobstant les Déboires de la Gloire
Quelle magnifique et simple philosophie de vie terrestre dotée du détachement émotif
face aux êtres et aux choses et à la non-possession puisque rien n'est acquis à l'homme
et surtout sa vie prêtée en toute gratuité pour ce beau voyage sur la planète terre, mode
ce vie magistral; en grande partie organisé par les faux pas, les erreurs et les contusions
ou brûlures internes antérieures et savent faire se tourner sans rationaliser vers une
puissance supérieure à soi-même; être suprême offrant aux mortels immortels que nous
sommes ici-bas la vraie félicité.
Le passé en somme n'est pas un fardeau accablant et sans y vivre en constante plaie
nocive qui serait la pire des leurres via les pleurs mais ne pas le renier; l'oublier
totalement serait malveillant puisque cet hier pourrait s'avérer une puissante arme douce
pour ce demain en devenir; tout cet hier se nomme Expérience et balayer complètement
ce passé serait une erreur puisque notre expérience devient notre force et notre espoir
lorsque la nuit n'est plus noire avec la divine Lumière qui sait sans doute aucun éclairer
ceux qui se sont laissé blesser soit par ignorance ou par manque de foi qui lorsque
celle-ci devient inébranlable tout semble se concrétiser sans forcer la note ou essayer de
faire entrer un morceau du casse-tête de notre vie et rebelote tous les morceaux forment
le plus beau des paysages paranormaux!.
Un peu à l'effigie de la relation d'aide ou ce bon vouloir aider de trop près; beau geste
altruiste trop souvent égoïste et pouvant nuire parfois voire à toujours à celui qui en a
besoin vivant dans le déni de sa déchéance ou de sa vie aux incontrôlables de gouffres
permissifs; échappatoires géants pour conserver la non-ouverture d'esprit. Par
conséquent aider à l'écart ou en retrait avec cet attrait que l'on a acquis jour par jour et
qui ne sait pas faire de nous un être humain parfait ou exceptionnel mais authentique et
heureux de vivre en transmettant à qui sait le capter sans tergiverser ce bien-être de ces
quelques dons octroyés par Dieu; sagesse infinie nous aidant à devenir meilleur sans
peur ou presque pour ainsi vivre une qualité de vie sereine nonobstant toute l'épouvante
ou la désintégration éminente de ce bel univers.
La sagesse par la grâce sublime de ce Créateur de reconnaître en soi la diantre de
différence entre notre ancien moi égocentrique et égoïste à l'extrême; racines flagrantes
de nos problèmes via les désillusions et les attentes souvent nocives du monde brimant
ainsi le moment présent; seule vérité omniprésente avec Dieu pour Bonze premier.
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Oui, ledit attrait de la sérénité ou la paix intérieure profonde et même dans la tempête
qui parfois se dit émotionnelle plutôt que la réclame belliqueuse ou en donnant des
ordres ou des commandements à tous et chacun sans mettre en pratique ce que l'on
prêche (&quot;Practise what you preach and that will be enough for You.&quot; Me),
servira inconditionnellement pour une saine relation d'amitié ou d'amour sans
double-tour ou d'aide sans fades arrière-pensées. Cet amalgame joyeux et non
douloureux saura porter des fruits et fleurs dont nous ne pouvions imaginer le plus beau
des paniers fleuris lorsque l'emprise mentale et, ou physique savaient mener notre égo
boursoufflé Wink ou démesurément grandiloquent voire vachly démesuré.
Oui, tout ce qui vit possède une âme et même le plus abrupte des rochers en
transmission perpétuelle de choses belles en devenir malgré les deuils distributionnels et
les douleurs du partir souvent pour de plus belles récompenses intrinsèques en chacune
de nos disparates de sphères en hémisphères droite ou gauche selon notre quotidienne
de tâche...
(à suivre sans dérive sur cette Rive).
( Source douce: La Louve, Apologue en ébullitions 2011, with: Humain Body & Divine
Divided Soul - Corps Humain & Divine Âme Divisée, 2011; The Year of the Bronze
via l'Immortelle Pierre Ponce) pour faire connaître son Bonze.
____
&quot;Les goûts des kool heures musicales ne sont pas à discuter mais à cultiver aux
intervalles.&quot;
(La louve effrenée 2011 ).
« Plus je tourne et retourne cette idée que Dieu peut communiquer la pensée à la
matière, plus elle me paraît vraie. » (Voltaire),
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Hymne Polyphonique
Oeuvre d'Art - Work of Art : Polyhymnia, muse de la musique sacrée et de la danse.
****
Hymne Polyphonique
Tonique Sonique des Champs
Sans jérémiade ni bravade tu sarcles le sol vieux
Et danse et danse pioche et sans jamais mal y pense
Ta tunique aux cent plis et tes rigides souliers de bœuf
Les pores de ta peau de lait pourtant se rebiffent à ce jeu
En toute transe dense avec ton âme elles se recensent
Et vers le firmament aux cieux se lèvent tes yeux bleus
Pour quémander une autre fois la vraie de vraie cadence
Des anciens dimanches aux vifs pas en union de latence
Trois pas devant et deux pas derrière le contretemps...
Hardes vieux rose avec au-dedans de ta main la grappe
Beauté magique parfois réconfortante et toutefois maligne
Les enfants chétifs aux ondes frêles à toujours rechignent
Lorsque devenue vin enfin elles se transforment en taches sur la nappe
Et aussi en fiel dans les cœurs des êtres au triple frappes
Danse et redanse sans toutefois brûler aucune étape
Relis tes vers et ne t'enorgueillis point ils s'avèrent éphémères
Et pourtant ils traverseront le tempo des temps et des ères
Trois pas devant et deux pas de danse par derrière...
Pioche et repioche jusqu'à l'aube tes vermeils de vers
Et ensemence la terre en rang bien droit au double semis
Prie et espère la moisson belle sans inutiles et futiles dénis
Remets ta volonté déchaînée à l'unique et divin Créateur
Celui qui n'a pas tout de go brossé ce grand et bel univers
Celui qui bien à l'endroit sans passe-droit a stylisé ton cœur
Ouvert aux intempéries intermitentes des indecently pillages
Des petits ou grands barons tous ainsi réunis en leurs sarcophages
Aux confins de leurs îles sans idylle ils meurent ainsi debout sans âges
Trois pas devant et deux pas derrière en répétant jusqu'au dernier sacre des temps so
lents et nonchalants ta sérénité de prière via les mécréants et leurs indécents de chants...
de la Louve effrenée de belle musicalité en ce 18 juin 2012...
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&quot;Fontaine je veux boire à toujours de ton eau au seau estampillé du sceau des Arts
envers et contre les sots...&quot; La louve ou MDL in G groove in Roman blanc
d'Antan
****
« Apprenez vos théories aussi bien que vous le pouvez, puis mettez-les de côté quand
vous entrez en contact avec le vivant miracle de l'âme humaine. » de Carl Gustav Jung
psychanalyste
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Illusion d'optique
L'intervention des Sabines, Jacques-Louis David, 1799, Musée du Louvre, Paris.
Historiettes en poèmes de la Louve sans givre en trois volets pour vos matins blêmes
crème en jour de carême...
Illusion d'optique
Mille feux sur l'eau
Pour une histoire d'eau
Tout un imbroglio chaud
Une haute forme de chapeau
Et une paire de talons hauts
Très haut juchés sur leurs pots
J'ai par eau-mission
Pêché et péché sous un pêcher
Pour parasol en si bémol Deucalion
Entre deux séances denses
J'ai tenté ma chance en transe
C'était une bassiste
Je suis un ou une saxophoniste
Un peu impressionniste existentialiste
Et très impressionnable j'existe
Les disparates de talons aiguilles
Me font depuis longtemps frétiller
Comme une double longue anguille
Et les bottes de cow girl me font nager
Dans les eaux troubles la furie en vrille
La Zoé un peu ailleurs pour une nuitée
Devin comme un aiglefin en étuvée
Et fine comme une paraffine de couche
A découvert mon escarmouche
Qui pourtant fut de si brève durée
De quelques jours d'affiliée
En arbalète prête bien arc-boutée
Avec la Louve effrenée de musicalité à suivre sans givre qui saura vous brimer l'endive.
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Immoral Trépas
Photo : Femme lisant Le Sommet de l'Echelle, vers 1920 © Bettmann / CORBIS
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Immoral Trépas
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Jadis vivait l'Iris
Au château d'Anaïs
Elle plia bagages un deux
Chemin demi-tortueux
Clairs de lunes sans feu
Pour trouver le sentier
Menant vers l'amitié
La pluie le soleil la neige
Tout cela semblait pareil
Les jours s'allongeaient
L'Iris rejoignit l'Elphège
De doux repas avec vitrail
De nombreux jours d'ail
Au lit et de moult gambas
Dégustées sous l'oeil de Nadège
Une reine-chatte sans sortilèges
Entre deux tangos-sambas
Le tout devint sensas
L'amitié wild battit quatre As
L'amour vit toujours so class
Un immoral et indécent d'trépas
Entre deux exotiques de plats
Pas de soucis si l'on perd le pas
Savoir bien vivre en accord
Bon an mal an en cadence
Sans procréer ou obtenir de score
Ni battre aucune génisse record
Ceci équivaut aux lingots d'or
De toutes fortunes en stupid balance de corps
La Louve effrenée de belle musicalité pour MDLoups 14 février 2013
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« L'humour ne s'apprend pas. C'est comme le Jazz, une cadence intérieure. On l'a ou on
ne l'a pas. »
Guy Bedos in Vers l'Avenir - 1972
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Immortalize
Théodore Géricault autoportrait.
°°°°
Immortalize
Immortelle aux ailes frêles
Et aux vers de jeux intemporels
Dans son œil bleu-grisé d'Ariel
Et les mots de petite elle
Seront à toujours immortels
Doucereux sont les sonnets
Épineux sont les versets
Épurés sont les tercets
Des trois rois de cœur
Le plus pur de cœur se meurt
Immortelle seront les âmes
Qui se baladent entre les infâmes
Le plus beau résonne en soli de flammes
Soyons aux aguets de cette lune grosse
De septembre l'astre sonne la prose
En vers de verre et de faïence rose
de la Louve
°°°°
&quot;L'oeil, songez à lui. Il boit la vie apparente pour en nourrir la pensée. Il boit le
monde, la couleur, le mouvement, les livres, les tableaux, tout ce qui est beau et tout ce
qui est laid, et il en fait des idées.&quot;
(Guy de Maupassant; extrait de Un cas de divorce).
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Impresario impressionniste
Rompre la Dormance Acrylique sur toile de la Louve effrenée en 1999
Impresario Impressionniste
Impresario Impressionniste entre deux Bateaux
Je m'écarte avec des cartes
Le Joker me fait battre la patate
L'As me rend dingouze concaze
Le Coeur me donne toujours l'heure
Le Pique me ressemble en acoustique
Le Trèfle me rend elfe et me pique
Le Carreau me floue le plus beau
Et la Reine tout l'temps me peine
La plus belle plage de ma vie fut dans ton ciel-de-lit
Déraisonnable petit Moi
Je retrouve ce vieil égo
Et lui cause en émoi
De se recroqueviller illico
Sinon il aura ma peau hoooo!
Je m'évapore sans tendre tare
Les glandes sudoripares
Tes sensations furent et sont encore miennes
Ton souffle m'effleure en quatre temps
Trois mouvements lents avec ton sang
Qui semble couler dans mes veines
Tu as coulé en moi ta peine ta joie
Et à toujours j'aurai en latence ton désarroi
Cet ancien moi d'impresario impressionniste
Me ramène derechef à ma musique fabulatyste
Hhééé! Can you feel this music entre deux rythmiques d'épic with Gloria Gaynor titréeI Love You Baby ?
La Louve pour votre cadence entre deux séances de mauvaise chance; si ta vie se joue
avec le jeu, si tu ne sais plus vivre avec ni sans le jeu, demande à Dieu tel que tu le
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conçois de bannir de ton âme cette obsession mentale constante désarmante et
destructrice.
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In the Mirror - Face au Miroir
In the Mirror - Face au Miroir
In the Mirror - Excelsior
Face à face
Face au long Miroir
Pour un soir trop noir
ou deux sans Toi
Elle le sent le voit
Lui le désir qu'elle boit
à satiété jamais assouvi
Au risque de saliver la lie
Face au long Miroir de ton Perchoir
Son ombre en pénombre ambré désiré
Lui scie la peau le bas ventre puis tenaille
à tant désirer le désir flou saugrenu
entre parenthèses immensément vues
Elle sent venir la grisaille de l'entaille
Sur son cœur rosacé bleuté de faïence
Entre deux Sauternes de déviances
Les jarretelles bien épivardées tringlées
Face au long Miroir de ton Perchoir via ton Avatar
La désir au préalable psychique
Puis petit ou grand désir physique si chic
Le désir par l'âme en charme se trame
Se nomme en deux tomes la Lionne infâme
Jusqu'à trépas le désir sera cosmique
Ne le repousse pas bêta c'est l'imaginaire
Et sa loi obscène gamma mène à l'orgasmique
Passion du Plaisir littéraire jamais téméraire
Face au long Miroir de ton Perchoir via ton Avatar d'Art
Jouissance de l'égo trip archaïque
Comme la nuit des tempo rythmiques
&quot;All alone am I ever since you're goodbye&quot;
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Jouissances frénétiques à devenir sadiques
Ou en mouvement théorique psychanalytique
Justification mâle ou femelle c'est identique
And let me go lover let me fly yes fly so high
Way up high in your crazy obvious lascivious sky
de la Louve effrenée de belle musicalité
&quot;Le pire aîné musical-érotique que j'eusse connu fut le Baron Lustucru lorsqu'il
me proposa un cunnilingus d'astreinte face à mes vers; pas pour un sous terre à terre
susurra-t-il sans l'ombre d'un verre.&quot;
(In Kakemphatons érotiques de la Louve effrenée de belle musicalité).
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Innamorata with Erotica
Work of Art of an Anonymous human body en créativité so famous accolée ci-dessus
pour le plaisr ultime de l'âme via les yeux ou vice versa sans le vice à outrance et ses
sévismes denses.
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
Le Plaisir érotique...
Le plaisir érotique à tous prix a tout pris de mon âme jusqu'â mon corps en flagrant délit
de lit; pis sans dépit j'me hasarde à t'offrir des pissenlits sans hardes au risque
foudroyant de trépasser pour une impie chez le &quot;human body&quot; ou l'être
humain jamais en possibilité d'accord avec la théorie du plaisir érotique dont le
comportement (ou action d'un être vivant) sexuel n'est pas toujours en association au
coït vaginal (ou autre) mais plutôt avec le diantre désir du plaisir érotique; ledit plaisir
possiblement intense (pour certaines gens) provient de la stimulation du corps et ses
moult zones érogènes; notons sans faux bonds in rebonds la joyeuse stimulation du
pénis, du clitoris et du vagin (ou autre). Ce va-et-vient lent, au trot ou au galop aurait en
soi un but ultime qui se nomme orgasme ou communément par assonance certaine
lointaine nommée &quot;point d'orgue&quot; et s'avérant de toute évidence vachement
érotique lorsqu'il ne se meut pas en bogue de phoques de mer via les slugh (lancer) de
plumes d'oies d'oreillers bleutés non béatifiés...
Innamorata with Erotica
With you beautiful je suis so enamourée
De plaisirs érotiques de la tête aux pieds
Come on cover me and forget your self-pity
Je délire ton nom comme un samouraï
Jubile son sabre entre deux vils écorchés
Erotica come on over me sans te désister
Et je saurai t'orgasmer mes soie de fils phantasmés
De l'Ariane obscène aux sensuels bras de Morphée
Refrain sans parole aucune sonne instrumental
Verre sans liquide at all résonne ornemental
Nos énamourades en fa majeur furent-elles une leurre entre deux brèves nuitées?
I'll never forget these greatful prises de fesses en sauvage d'érotisme enamouré...
With you je suis une toquée so enamourée
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De plaisirs érotiques de la tête aux pieds
Bite me over there again and again
And don't stop your slowly wet rengaine
Mon corps en prière appelle la big veine
De ton gourmand de spongieux de corps
À toujours et à jamais sans déveines
Ce parfait salaud rejouera en ré ce Never End
Just because la vaginale et clitoridienne
N'est point en prière de supplication ou de peine
We are both of us innamorata with Erotica
So beautiful sweetie take your time in this etcetera
de la Marquise des Loups à l'âme rebelle so belle...
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
« Il ne faut écrire qu'au moment où chaque fois que tu trempes ta plume dans l'encre un
morceau de ta chair reste dans l'encrier. »
de Léon Tolstoï
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Innocence en Reviviscence
Acinonyx jubatus
&#9734; &#9829; '`&#9829;' &#9734;` ¤ º ° ¨ ¨ ° ° &#9728;
&#9734; &#9829; '`&#9829;' &#9734;` ¤ º ° ¨ ¨ ° ° &#9728;
Innocence en Reviviscence
Reviviscence d'Innocence
Innocence des intenses de stances
En instance de wild so wild de retrouvances
Au fil des mots plus que bourrés d'errances
En reviviscence ô yeah ô so goood sans sens
Ö double synopsis en volupté d'innocence
Martelant pas à pas les high réjouissances
So in the heart and soul out with no no sens
Sang bon sang au cinq ou six sentences de sens
Au fil d'eau bullée d'une reviviscence elle perdit son indéniable non naïve d'innocence
Nos double encensée d'innocence
Nos incredible tactiles-insensés de bô sens
Nos états d'âme et nos Moi too denses
En perpétuelles voies de recrudescence
Tous ils dansent encore dans la balance
De nos supranormales so hyperboles d'vibrances
Nous loups et acinonyx jubatus en concordance
Jusqu’aux indélébiles d'ivresses vraies en délivrance
Au fil d'une reviviscence d'ô combien il perdit son innocence mêlée de délinquance
La fulgurante attirance-phobie du suspense
Des moult et moult infragrances
Pulvérisées et humées with arrogance
Entre les deux brèves conséquences
D'une romance avec interférences
Où la bêtise humaine mourut d'ambiance
Pour le temps d'une ou deux lunes full of démence
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En octroyant aux coupables la dive espérance
Reprendre l'Opus de l'Acinonyx jubatus aux troublantes fréquences
Au fil des reviviscences de lui elle perdit la romance de l'innocence mais jamais la
cadence et sa fidèle contredanse...
La Louve effrenée
&#9734; &#9829; '`&#9829;' &#9734;` ¤ º ° ¨ ¨ ° ° &#9728;
&quot;Le mot n'est pas signe, mais nœud de signification.&quot; (Jacques Lacan).
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Intimidante d'Intimité
Intimité intimidante
Intimidante d'Intimité
Ça me plaît en double spin
Lorsque tes vers s'érotisent
Et servent de balises
Entre deux gin gin-fizz
Tu t'acoquines à ma terrine
Full of gentle notes gamines
Ma grandiloquence se tasse
Et j'te rejoins en fadiez
Oh what a swell casse
Avec ce Moi so chaud ça fesse
Varlope-moi c'te gamme jusqu'à l'aurore
Avec feux d’artifices sonores
Ma vulve s'émeut en double croche
En latente d'attente de ton wild phallus
Je devine tu veux illico que j'le suce
Avec ma bouche en cul d'poule russe
For sure c'est clair idem d'l'eau d'roche
Et tout de go après tu prends mon écrin
L'écartèle avec délices ô sweet prémisses
Je déraille au fond de mes bénies d'entrailles
Tu craques au superlatif de semailles
Tu m'enveloppes et me varlopes ô hisse!
Je hurle à l'unisson de ton va et viens so louvien
de la Louve effrenée de belle musicalité
&quot;Ö, Grand Esprit, aide moi à ne jamais juger un autre avant d’avoir chaussé
ses mocassins pendant au moins trois lunes d'affilée.&quot;
(Sagesse amérindienne).
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Ivy-Clodyo
Photo d'Ivy Clodyo le 12 juillet 2014
&#10084;&#10085;&#10084;
Ivy-Clodyo
&#10084;&#10085;&#10084;
Ta vie s’effrite
La mienne se mite
En petites larves confites
Who really cares ?
Nobody's shares
Le chacun pour soi
S'avère un honneur de choix
Sauf en exception notoire
Certains humains compatissent
A une douleur frôlant le précipice
Avec Dieu pour témoin ils élargissent
Le cercle des âmes belles
Oubliées dans leurs séquelles
Outrepassant les voyelles
Et les jupons de dentelles
&#10084;&#10085;&#10084;
Ta peau de sweet Loup
On a triturée et retriturée
Entre deux sang de prises
Inexorablement cinglées
Voire abjectement dénudées
De toute décence humanisée
Tes hurlements so fous
Je les entends de ce coma
Qui heure par heure aura ton soma
Mais ton âme belle so belle
Rejoint Dieu déjà quasi déjà
Mon cœur te suit mon âme bêle
Et hurle comme la louve démentielle
Que je suis sans ton ombrelle
Shucks! c'est en mourant par ce corps
Que tous nous nous éveillerons dès lors
A la vie éternelle à tire-d'aile de ta petite Elle
Vers Dieu s'envolera cette âme immortelle
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Guide mes pas terrestre ce n'est qu'un Au-revoir
Avec mon tambourin je te rejoindrai un de ces soirs...
To You Yvy-Clodyo en ce mercredi le 17 février 2015
&#10084;&#10085;&#10084;
Panis Angelicus à toi Le poète, psychologue, musicien guitariste, harmoniciste, jardinier, photographe et plus
encore Ivy Clodyo (1966-2015) a terminé son voyage terrestre le Mercredi 24 février à
18:20...
&#10084;&#10085;&#10084;
&quot; La soif d'attachement s'avère à toujours le fil basic de toute dépendance via
d'autres maladies chroniques. &quot;
MDLoups à l'âme rebelle in Sorry l'ton tu me confonds
&#10084;&#10085;&#10084;
&quot;Le lecteur de la poésie n'analyse pas, il fait le serment de l'auteur, son proche, de
demeurer dans l'intense. &quot;
Yves Bonnefoy in Entretiens sur la poésie ~
&#10084;&#10085;&#10084;
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2016-02-07
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Jive in Montreux
Jive in Montreux
Musiciens sérieux entre cat' yeux
Jive the beat in this big Montreux
Fiesta's Jazz so good so far je pars
Ou j'me marre yes il se fait tard
La soif tenaille yeah soyonss canailles
Sirotant au snobinard Sinatra's Bar
Un lait de coco avec longue paille
Paille à son longuement attendue
Just before the Hawaiian ripaille
Fichtre I was so vachement détendue
Face à face le beautiful lac Léman
Les sons vibraient nacrés smoothly
Des pieux sans voeux Sonne in Germany
Ville belle belle de Füssen so Deutsch
Tu as comblé mes vœux inavoués
Au ruisseau beau Le Ronay
La nature si pure en do ré mi
Benvenuto au Camping du Marais
En Haut-Jura roulons molo ho-ho hooo
En jazzant de doux sauts slow low low
De notes avec ou sans vins fous
Pour calmer les wild remous roux
De nos amours trop filous en redoux
Lorsque reviendra la mi-août
Où tous les minous seront en Joux
Le Louverain big Congrès conventionné en Suisse
Les 19- 20- 21 Août yes proclamons-le ce wild blitz
Les Geneveys- sur- Coffrane que si si j'te ferai la bise
Par télépathiques déclics de nos âmes accouplées eternally
&quot;L'Union fait la Force&quot; yes avec ou sans prémices
Si près des cyprès via l'énorme précipice
A l'autre bout d'la piste gigantesque ils se hissent
Un vrai funky truly repère de pairs d'artistes
En voie de brand new fucky crazy lazy pistes
Aux talentueuses formes et sons hypersomnistes
Sans obvious de peanuts somniféristes
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Je Jive tu Jives il Jivera en deux temps trois Jutras
I already feel so vache ready for a match maybe baby
C'est là qu'la louve se cache so obviously basically
Pour plus d'un et cent taureaux faire simply skier voire chier
So Shut up and let's Jive till the moon daignera croiser l'soleil hééé!
°°°°
°°°°
&quot;Les mots sont des symboles qui postulent une mémoire partagée. &quot;
(Jorge Luis Borges)
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Johann-Nydorian de Müller
&#9829;´&#9734;`&#9829;
´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
CHRISTMAS
2014
SHORT
STORY
>
De La Louve effrenée de belle musicalité
Pour tous ceux dont la peine et la peur font trop mal à leurs âmes belles en ce jour de
Noël 2014...
´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
Petit conte de Noël entre deux tarentelles
De la Louve effrenée de belle musicalité
Just for You entre deux bayous
Johann-Nydorian de Müller
Il soupira et se retourna sur son tabouret de velours rouge, regardant par la fenêtre
entrouverte; l'air de juillet sentait bon les fleurs de lavande et les rosiers semblaient
déployer le plus éclatant rose rouge de ces fleurs écloses.
Plus beau que jamais en pleine maturité de son demi-siècle sur terre Johann-Nydorian
de Müller revint en face de son piano et toucha lestement ce clavier en débutant la
Sérénade qu'il aimait le plus; celle que sa princesse chérissait tant et tant ; elle était aux
48ième printemps de sa vie déjà…
Tout ça semblait lointain à l'effigie d'un grand train sans fin...
Et le temps passa et l'oubli d'un grand chagrin semblait s'enfuir et sournoisement
sporadiquement revenait pourtant surtout vers l'avent de Noël ; l'hiver un hiver pas
comme les autres avec des soubresauts étonnants dans ses tumultes spirituels émotifs
via le physique qui semble stupidement tournoyer comme dans un étrange de cirque.
Noël bientôt dans moins de deux jours; un jour comme les autres pour certains et pour
d'autres une pléiade d'achats souvent bien intempestifs... Pour d'autres c'est un sauveur
enfant qui est né pour sauver le monde... Pour le prince du piano Johann-Nydorian de
Müller c'était une réminiscence triste ce 25ième jour de décembre était la date de la
terminale du voyage terrestre de sa divine princesse Ludwigia; son âme sœur; sweet
hermana del Alma.
Minuit sonnait dans la crypte de Sainte-Thérèse de Lisieux, seul il assistait à cette
messe de minuit là où jadis ils étaient venus tous les deux chanter le sauveur enfant né
et en ce Noël pas comme les autres le miracle s'opéra en chantant et pleurant, là debout,
il ressentait une grande paix dans son âme et près de lui à genoux chantant elle aussi il
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la vit avec sa longue capeline à capuchon de vert velours, oui, une autre hermana del
alma, elle se retourna vers lui, deux larmes de joie sur ses joues de femme à l'âme belle,
il n'avait pas peur, elle était envoyé par Ludwigia pour calmer sa tristesse, il le sentait là
en son cœur, c'était certain, il lui sourit et il toucha son frêle bras, puis sa main, elle se
leva, debout à ses côtés elle continua de chanter à pleins poumons ce Gloria in Excellis
deo et il est né le divin enfant jouez Haut-Bois résonnez Musettes...
Depuis trop de pleines lunes il réveillonnait seule face à cette cheminée de pierres
qu'elle aimait tant; ce soir Frénésie la petite irlandaise buvait avec lui ce délicieux punch
fruité pas de trop sucré; c'était l'épilogue de l'an 2014...
Ave Maria gratia plena
La Louve effrenée le 22 décembre 2014
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
&quot;Chacun de nous exprime calmement et clairement ses sentiments; gratifiante
résultante éminente des non-ressentiments.&quot;
La Louve effrenée de belle musicalité
Voici pour vous tous aux quatre coins du Monde les trois vœux de la Louve effrenée en
cette terminale d'année 2014 via l'année 2015 :
Santé spirituelle - Santé mentale - Santé physique
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Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2014-12-28
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Jours et Nuits
Jours et Nuits
Avec la Louve effrenée de belle musicalité vot' aut''heure diurne ou nocturne...
Les étoiles en voie diagonale
La lune juchée sur un piédestal
Les rayons de soleil en or spiral
Me donnent en cadeau l'inspiration
Des musiques en tons Blues
Et Jazz en comptant jusqu'à douze
Je re-tonne à mon sax cet air
Plus que tertiaire en sons
Mais binaire en émotions
Jours et nuits oui je revis
Du matin blême aussi
je n'ai plus peur en dépit
Des mesquineries des faux amis
Au soirées de feux où la lune luit
J'me surprends à jouer
Sans jamais m'essouffler
Cet homme heureux nouveau
Vous ne le verrez plus comme un sot
Se sauver de son pire ennemi Lui
Entre deux piètres whisky
Avec le mal de l'âme en clapotis
Je suis libéré de ces obsessionnelles soifs
Qui me déchiraient à faire périr ma pensée
Jusqu'aux os j'étais en totale ruine
Et cette maladie nommée alcoolisme
Mortellement m'entrainait en folie de prismes
Merci mon Dieu encore et à toujours
Pour cette géante libération divine
Qui m'aide à vivre mieux chaque jour
En délectant le moment présent
Même si tout n'est pas comme je l'entends
°°°°
&quot;Ce qui compte à propos d'un chef d'État n'est pas de savoir si quand il a quitté le
pouvoir, la cité était plus ou moins puissante que quand il est arrivé, ce qui compte c'est
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de savoir si quand il est parti, il a laissé les citoyens plus moraux que quand il est
arrivé.&quot; (Aristote).
~~~~
&quot;Pratiquer le non-mentir et dans le doute le non-abstenir de tir avec brulantes
flèches de désirs de vivre la paix du cœur musicalement et plus encore.&quot; (La
Louve effrenée de belle musicalité).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-08-19
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Jump C'mon
&quot;Dignus est intrare.&quot; ; &quot;Il est digne d'entrer.&quot;
Formule empruntée à la cérémonie burlesque du Malade imaginaire de Molière, et qui
s'emploie toujours par plaisanterie, quand il s'agit d'admettre quelqu'un dans une
corporation ou une société.
****
Jump C'mon
de la Louve effrenée de belle msuicalité
Sweeter than You
Nulle part j'ai vu
Un homme as You
So selfish so fleshy
As I am but I want your IQ
Easy Hopin' that you're ready
To take me twice or more maybe baby
Hééé§ c'mon take it easy slolwly/b]
Can't you feel the beat of my heart right now
I just want your prick
The rest it's your trick
Au-delà des briques
De vers vers tes pairs
Pour me sauter envers
Et contre basse-moi so fair
Can't you smell the pheromones of mine right now
Oh! ô que si c'mon jump me
Tout le reste m’indiffère que si
Jamais tu oses si près tu verras
L'osmose so rose entre deux poses ah!!!
Please sois franc et prends-moi en fa ahhhh!
C'mon jump on my chords en accords so forts till the end of the night tomorrow or next
week c'mon jump!
de La Louve marquise des Loups à l'âme rebelle so belle
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****
&quot;Pratiquer le non-mentir et dans le doute le non-abstenir de tir avec brulantes
flèches de désirs de vivre la paix du cœur musicalement et plus encore.&quot;
(MdLoups).
&quot;Soyons indulgents au sein de notre bienséance en latence; histoire de valoriser
notre non-connaissance dense.&quot; (MdLoups).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-11-16
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Just a Crazy Blues - 1Just a Crazy Blues
Extrait d'un simple jet du célèbre Just a Crazy Blues made in France 2010 par La Louve
Marquise des Loups.
° &quot;Bluesin' rockin' jazzin' You sweetie untill the fool full moon will turn blue,
yeah! I will slowly rock you crazy thing, lucidement sans rien d'autre que l'ivresse de tes
fesses et tes hanches en balance de danse via la transe with a sweet & pure grenade's
juice for me only because I surely know that you prefer the cherry juice's kind not too
new sometimes, à l'occasion, for a simply change, yes, ouiii, pourquoi pas une telle
distraction; histoire de t'assumer et de savoir vivre à fond l'abstraction des minables de
quand-dira-t-on de béton... Come on! Sensual bitch, I'll cover your timides et craintes
absurdes et place à la musique crazy kick, je vais t'faire voir entre deux moonlight beats
la partition en éclosion de ce satané Blues conservé vachement inédit sur l'autre rive
simplement pour nous balancer en langueur de langueur bien au travers d'une lueur
rouge qui bouge en une constante chaleur de sueur chaudes et tièdes dans une duouze de
chatouze en amalgame de douze; yes chiffré douze bien accolé en lettres; you know
darlin' that I can break the phoque de mer de rules, douze en mesure de Blues chiffrées
marvelous for our souls en rage de dolce and wild ravage qui sait faire trembler le
plumage de nos haut-le-corps sauvages en so damn goood totally nage...
- Mmm! Sweetie I think, je pense que j'ai loupé cette page!....&quot;
- Sortilège peut-être Zorro... la lune sait te faire sauter ces pages...
°°°°
JUST A CRAZY BLUES - Volet Premier
L'Ange le blues la romance
LAnge le Blues et la Romance
&quot;L'expérience est inépuisable comme la balance dans une équation équitable aux
confins d'un refrain affable et stable aux intervalles musicales picturales.&quot; (La
Louve in mode groove 2010).
Pré-en-Bulle
Où que tu sois, Toi, You, She or Him, Elle ou Lui, si en lisant ces lignes tu te sens
frustré, choqué voire insulté; en suggestion simple: analyse-toi en regardant sans fuite
dans cet au-dedans qui est le tien et il est fort probable qu'en résultante belle tu sauras
découvrir ne pas du tout connaître cette personne qui est Toi et son nombril pas
vraiment petit.
Et comme l'a si bien noté Socrate dans son carnet mauve pâle: &quot;Cherche en
toi-même, tu y trouveras toutes les solutions.&quot;
Voici un Pré-en-Bulle pas trop nul du Narrateur jamais débandant et une vision
musicale biennale des Protagonists voguant parfois in English it's such a thrill pour
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lesdits protagonistes de cette symphonie tout àa fait bien vécue, oui ils furent
superbement assouvis quoique meurtris en mi; mais ils ont su gérer la note sans déroger
du ton Blues sans c*n-fusion ou in-trusion forcée ou falsifiée voire bluffée ou mimée
mais plutôt avec plein consentement d'érection de la gamme via la blanche fluidité à
pro-fusion et ce jusqu'au summum de la noire nuit étoilée narguant ainsi la lune bien
pleine à satiété; Hééé! faut quand même demeurer dans l'ton et ne pas tomber dans
l'rigodon in this wild and sweet réalité-nette pas vraiment sale ou singée sur un autrui
littéraire en mal de braire pour plaire et se complaire voire vomir sa juicy-spicy copie
conforme en trois plis ridicules et sans points virgules de peur de paraître ridicule, oh
boy, ô garçon de salon je fonds; mais lorsqu'elle s'avère prescrite ladite copie-copiée se
conforme à la norme; car vois-tu Mister on me nomme je suis titré voire tiré à l'avance
par le duo étroit en petitesse de fesses nommé Jury, jury ô hisse! prudence!
Que non!! ledit jet fut éjaculé car je craque pour ce mot; que si, oui le redit jet fut
peaufiné mais éjaculé par soubresauts assez hauts; sans haut-le-cœur dévots avec ou
sans pipeau puisque la tambourine (in anglo ici) est l'instrument de prédilection ou
pré-éjection de l'héroïne ci-joint dans cet apologue, éjaculé soit en saute-mouton ou
triple sauts, en longueur et tout ça, sans la connaissance trop abusive élusive du solfège
et des arpèges trop légers pour être entendus à l'oreille nue.
Les arpèges aux multiples élucubrations non sottes via l'orgasmique de musique
cosmique sonique aux accents; n'ayons pas peur des mots: accents toniques; nous
aurons droit pour agrémenter nos libidos un peu à la va comme j'te pousse; ça parle au
diable de Blues dérivant en Rock so hard and smooth and smoother, via le paroxysme
bien installé chez un rarissime de ménage à trois en Lettres pouvant survivre sans dérive
à toutes les intempéries non suggestives en direction de l'autre rive; celle des
nomenclatures pas hirsutes ni trop abruptes des instruments de toutes formes, longueurs,
épaisseurs ou largeurs; ce qui signifie sans psychiatry et j'me tape ici an anglo délit
again juste pour vous dire que je vous aime bien lecteurs.
Oui, yes, vachly high et cet arsenal vous est offert pas trop loin, mais assez près de chez
vous; que ce soit à Ste-Foy in Québec, à Troyes ou Blois in France, ou sur La Côte
d'Amour in Bretagne près d'un wild rocher du Croisic Sauvage, choisis un endroit à ton
choix comme tu le vois ou l'espère entre deux verres, ou deux vers selon ton statut bleu
ou vert, ouais, tu peux choisir Détroit; où les joueurs de hockey ou guérets comme vous
aimez les paillassonner dans vos tympans, oui les joueurs sont sympathiques à l'excès;
de l'aisselle aux orteils avec ou sans filet, du bâton à la rondelle enflammée à force de se
faire tripoter de tous bords et de tous côtés! Héééé! j'suis jalouse (x)! mais, attention à
vos accordéons, faut pas se gourer de trop entre deux joutes de hockey blanchies ou
escamotées et nomen-clôturées trois-trois qui selon les normes normales des hockeyeurs
en chaleur, l'égalité a souvent bien meilleur goût; étirant ainsi une wild joute jusqu'à la
nuitée via ses virées vachement bien arrosées voire saupoudrées de confettis aux
couleurs disparates entre parties nulles, et pourquoi pas, vive le sport; let's drink en
chœur les pt'is coeurs; ça tient en forme pour l'escrime lors du retour au bercail à Nîmes
ou à Montréal toute Cornemuse et Tsambouna se ressemblent.
Le Narrateur n'est pas jaloux ou jalouse du Blues car de ce Ça, il ne se préoccupe pas
puisqu'il en est dinguouze du Blues et de ses suites et n'oublions pas avant de quasi
conclure élégamment ce Pré-Pré-en Bulle, tout en déjouant les perdants, ouais, causons
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zen et de plein fouet, il est de toute importance de noter que ledit Narrateur jamais
menteur ou sournois et dont la déflation de son crazy Moi latente ou pesante (la
déflation) est tout à fait évidente, oui, écris-je, sans litige qui fige la tige, ce damné
Belzébuth à l'état brut sans Ruth et sa Baga fada blondinette, dissension, stop it!
Oh La La! vous vous sentez déjà las?
Pourtant le plus charmant est à venir si vous persistez sans flancher; cet érudit narratif
sait pertinemment que la mise au jeu malgré les diantre de pénalités visant à dégonfler
le Moi en perpétuel Surmoi du joueur pénalisé via les jouissances grandioses qui
suivent avec le Blues est et la résultante sera claire et concise: ce sera à toujours sans
échec qui obstrue la ventilation du jeu et perturbe ainsi les instants joyeux; lorsqu'en
plein centre d'un filet blanc crème, une rondelle noire sait se vautrer et faire jouir aux
larmes entremêlées de rires et de cris déments et souvent démentis, un public
inassouvissable face à ce jeu devenu national et par le fait même viscéral donc à
toujours intouchable.
Do you feel like I do people?
Soyez aux aguets, chers feux-follets, you are the world, so wonderful and wild avec vos
balais ou Mazurkas d'après-midis en love seat bien assis; yes, et je suis le Narrateur en
suggestion ultime et non minime, sachez tendre vos collets bien montés au préalable sur
la table rase et soyez ferme; faites fi de tous colifichets pouvant obstruer vos neurones
cochonnes ou perturber votre jugement du devant dit jugement de valeur ou non, face à
vous-même ou aux autres, nommez-les sans contrefaits de cachotteries et ici je refais
ma sale-up en vous interdisant de maugréer, this is your damn fault if between the lines
you just can't read, well, come on over baby, et soyez vigilants en prenant bien votre
temps, slowly but surely.
Yeah! slow down eventfully, seul en groupe ou avec votre soubrette quel qu'en soit le
prénom, l'importance est ailleurs; puisque vos secrètes de pensées seront toujours axées
vers celle ou celui qui a su vous faire jouir et réjouir en triple boucles voire quadruple et
ceci sans lésiner sur la forme ou le ton, élaborons ces avortons de prémices qui pour
certains s'enlisent.
Allez, venons-en au but direct, loin ou près d'elle ou de lui, vous serez tout de même
satisfaits, pas toujours facile à vivre, je vous l'accorde dans l'désordre, ouais, quelles
séquelles ménestrelles harmonieuses voluptueuses! Yeah! triple boucles au pluriel or
more indépendamment de vos valeurs de parfaits salauds via la marge sale up avec ou
sans jugement aucun face aux ménages à trois mentionnés ci- ou au-dessus avec
candeur ici-joint les lettres constamment désuètes musicalement écrivant avec soie
musicale à l'appui.
L'Ange le Blues et la Romance ou Just A Crazy Blues n'est pas un roman, ni un conte,
ni une fable affable, ni des fragments de justificatifs récalcitrants, ni une biographie en
auto ou à cheval, ni un récit récipiendaire sans chansonnettes, ni une nouvelle vieillie et
de trop abasourdie dans son récit circoncit et maximisé jusqu'à la satiété du surchauffé
des subtiles aberrations visant les adjurations malfamées des souffrants-paumés en mal
de décoder; à cause sans effets de leurs cerfs-volant vachement sur-congelés; vu la
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corde trop petite ou full of nœuds-nœuds indéliables all alone car vachly trop
serrés-collés-frustrés ces pt'its cramés-crampés.
But, mais, wait a second, I found you, so stay here, slow down cutie pie, and have a
toast or a drink on me, et reprenez votre souffle; voilà j'me bats où ça blesse de trop la
grise de matière du ciboulot à vous expliciter qu'ici-gît un Narrateur parfois
railleur-râleur et tout à vous en rougissant de plaisir à vous faire blêmir you and Casimir
du Derrière ou where ever, pour certaines gens dont l'ouverture d'esprit s'avère une
accoutumance réelle, well well, (soupir de satyre), le tour est joué; vous saurez tout
capter sans vous damner de trop et ce en vous en pourlécher les babines (lèvres) de
ti-mine de plomb.
Oui, yes, le temps presse ce citron trop oblong, qu'écris-je? alors lesdites gens dont
l'ouverture d'esprit est comprise sauront y déceler un apologue sans paroles futiles; just
because beaucoup trop ou enough musical dans tout son arsenal chevalin binaural
anticonjoncturel pour les cerveaux en latence de rompre la dormance en interdit total de
flatulence sonore ou insonore visant à empester l'atmosphère romantique brimant ainsi
la Renaissance et ses murs en transparence intense.
Alors me suis-je bien fait lire precious lecteurs parfois satyres?
Alors testing BF or Babe-Flame one two; I love you and three four five; come on, le
smart can you play the Jive on your guitar aux sons soyeux sans outrepasser les
hétéroclites de résonances live qui drive le pancréas et ses suites primesautières?
Les héros en duo bien vautrés ici dans cet heureux apologue sans bogue ne sont
absolutely coupables d'aucun mauvais coup de basse désuet; puisque le jeu fut
intercepté en parfaite synergie avec leur body and soul respectifs; les riffs, les touches,
les soupirs sans frimes, la chevauchée aux mille décibels tant et tant ou so much in
accordailles avec le degré de vigilance de leur grandiloquente de cadence furent à la
hauteur des séquences en redondance et en cadence donc reconnues comme les plus
orchestrales que la musique Blues n'eut jamais connu et s'avéraient langoureusement et
lascivement réglées au quart de tour à chaque détour ou retournement soit en do ou fa
mineur, voire au point culminant des plus magistrales de jouissances sans dissonance
aucune qui brime la cîme sans la ciguë qui tue l'impromptu d'un scénario; rompant ainsi
le charme de la divine de transe voluptueusement gueuse à outrance vous laissant ainsi
coït sans l'ombre d'une mince chance de survivance coincés dans cette balance
immensément dense et frisant la démence!
Absurde! Susurrez-vous?
Que oui, vous y êtes lecteur en chaleur quoique quasi aidé par le Gibraltar de Narrateur
qui lui n'ayant pas de morale; un peu, beaucoup à l'effigie du fameux Ça freudien, ni
d'orgueil démesuré à toute volée puisqu'il se confie en toute honnêteté; l'absurde dans
tout ce long refrain sans lendemain apparent mais latent vivifiant s'en donne à cœur joie
et se fait Roi sans faire fi de quoi que ce soit et surtout de vous big bad one de John ou
Jenny à l'arrière de plan en invités vous zieutez en diagonal ce qui s'avère en somme très
mal and also maybe Du Côté de Chez Swan de Marcel Proust, au fait vous connaissez
j'espère.
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Donc, à partir de ce point-ci, sachez en toute quiétude du cœur, si à priori vous en
possédez encore un cœur viable-ment affable et fiable pour cette divine de fable, oui, ce
pourrait être une fable sans matière de table qui parfois sait désarçonner notre ou votre
liberté; digne mot beaucoup trop galvaudé à la légère de crème ou plus épaisse selon ta
teneur en calories de la tête aux fesses sweet déesse féminin ou masculin c'est
vachement idem pour la rythmique et la biophysique de musique, alors go ahead forte
tête; vous en êtes en mesure de reconnaître cette symphonie pour cordes d'une maîtrise
ultra-brise et oui et essayer de la bien priser ou renifler en tant que l'Absurde; une voie
immensément rude voire absurde!
I Wonder Wonder Who, Who wrote the Book of Love. Too oldie or too youngie you are
to know this hit; le Narrateur sans peurs et sans reproches s'en balance à toujours, I
wrote you this before i'm sure.
En doutiez-vous de cette lecture sans demi-mesures aux intervalles biennales de
l'Absurde, vous spécifiques lecteurs assoiffés d'harmonie sans aucune interférence
certains jours de chance, under and inside this musical de love affair only avec
turbulences dans la balance entre les gracieuses de séquences avec et sans
contre-défenses et quelques trebles en microchemistry à régler par ci par là quoique
indéréglable puisque inégalable mais il n'existe rien sans peine vaine ici-bas avec ou
sans bas rouge à carreaux vert bouteille!
Aille, ouille, ouch! je fouille dans mes absurdités aux confins malins de ce
subconscient; grenier poussiéreux aux souvenirs souvent trop souvent onéreux dans
toute la s**** de portée qu'il sait octroyer surely baby dores et déjà, mais, but, le jeu en
valait la chandelle; en outrepassant toutes les rêvasseries antérieures qui en somme ne
furent que quelques voyelles accolées au beau milieu de cette grandiose de partitions
aux mille et un Ions annotés tout au fond des confins de cette romance sans fin; puisque
indélébile jusqu'à la moelle de ces opuscules de virées et puis soyons réalistes sans
réticence aucune.
Et puis il n'est point noté nulle part ici par qui ou par quel phénomène ou phéromonal
libidinal hormonal de sorts sérialisés, and, et, retenez bien vos souffles avant de souffler
ici et là dans vos écrits ou vos paroles acerbes que cette histoire s'avère cul-cul voire à
l'avance vouée à devenir déchue!
S'il vous plaît maestro des jours chauds, in redundancy because la cadence sait
conserver un Narrateur au frais dans le but précis de réfrigérer l'ardeur constante pour
qu'elle soit avec émoi et bon aloi propulsée de celui-ci au lecteur affamé de plus et plus
encore qu'il ne saura jamais assimiler sans fac-similés édulcorés en instance de son
égoïsme dit éclairé dont la résultante insultante solide s'avérant précaire pour ainsi
mieux savoir se justifier.
En super-prévention, pour le bien-être total du lecteur quand même assidu le voilà cet
écrit for gooood and this is at the same time une synthèse plus que brève visant à vous
situer entre le Blues et le Blues. Lesdits héros furent-ils hypnotisés sans songer à ce
lendemain avec scrable eggs au goût de la déesse en mal de fesses; œufs brouillés à
l'effigie de ses idées (la déesse) second petit dej' so tendrement délicieux et beleive it or
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not lecteurs; prenez bien note que c'est ainsi que leurs destinées respectives déjà
amorcées tissées serrées seraient à tout jamais transposées voire chambardées en mille
et une stratégiques d'embardées parfois entrelardées d'étonnantes échauffourées
heureusement pour leurs survies solidairement musicalisées & stylisées from A to Z?
Voilà une pernicieuse de question à ne plus se reposer entre deux lauriers rose-thé, voilà
qu'il est dévoilé ce secret de longévité face à des cadences bien lévritées; ce qui ne
signifie nullement de les éviter mais de savoir vous faire inviter ici et là pour les
musettes bien visiter.
Just a Crazy Blues is oh! que Oui, Yes, situation délicate aux nombreux stigmates entre
les omoplates...
Bulles de Somnambules mi-funambules
D'Absurde en Absurde de certitude amoureuse dans toute sa digne plénitude.
Yes, please, stop it here, can you really feel the sound of these Jimi's BLues in this
célèbre de page? Well, feel it just a tiny whiny bit more and more; just in case you'd be
in the mood for a musical love affair and the matter of fact, décontract' before l'entract'
sweet cavalier à longues nattes and sans sourciller veuillez détacher ou couper for
goood vos laisses de poppy-toutous coincés vachly filous scorpul-lacés avec ivresse et
come on over here be smart; not platement passifs en sachant mater sans calquer ou
copier vos aberrantes de routines via vos bottines trop trop fines for mine soul's eyes; I
realistically mean classy-thin bottes-in, et, and let's go la gang out of your Bing-Bang
rentre dedans jusqu'aux flancs Han!; just to satisfy your poor thirsty d'assoiffées
d'affamés de désirs sans cadence at all ou véritables musicales de love or peace of tail
transes as you wish.
Mais ici le Narrateur dégueulasse à ses heures s'en balance de vot' minable de short
satisfaction sans transparence; so, let's fly butterfly, sans nothin' and step in or sit down,
or lay there et à vos neurones comme à vos pizzicato selon votre expérience musicale
latente où l'oncle Sam ici saura vous aider à déchiffrer note par note cette partition belle
à l'Absurde de vibrations valant au centuple celles des dunes; allumez-vous ou
éclairez-vous your self par vos damn lanternes bleues si possible to see the light of this
story people people et ce désuet de souhait, je vous le livre avant d'être ivre de joie de
trop dans cette peau narrative pas vraiment chétive!
I'm tellin' you will you feel the wildest thrills that you ever get before in your life; if
you're free completely of your oldie You, Your-Self and You; sachez bien lire entre les
lignes malignes it sounds pour la prononciation d'salon like Sing or Sting; les entrechats
plus que rusés du puissant de Narrateur sans reproche ni peur at all j'te le renote entre
deux pelotes de laine car le Narrateur tricote et puis ça sonne as a gavote près de l'aorte
qui en plus que parfait autour des méfaits de l'a-ri-ane de fil so devil, oui, yes, je me
ré-jouis de ce Narrateur-joueur-cascadeur-boudeur-crâneur-tapageur et surtout joueur
sachant tout tout tout; puisque muni de son appareil, ô merveille!; instrument à clichés
qui savent bouger; il a su tout immortaliser le scélérat à figure de chat aux yeux
démentillement laids au max; pour de mieux en mieux faire jouir les spectateurs vivant
à la petite lueur, morts de peurs, en sueur, en mal de respirer ou plutôt de humer l'inusité
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sans pâ-niker qui sort des normes conformes pas toujours faciles à absorber via la forme
du contenu vachement décousu pour le non bien venu dans les confins malins de ce
wild wild condiment cru solidement sorti des sentiers battus, tordus et ratissés envers et
contre toutes les têtes enflées ou grosses têtes comme vous aimez prononcer sans de
trop vous faire remarquer. Héééé! respirons à fond sans un mot les grognons because les
para-graphes s'avèrent longs longtemps; histoire vécue de bien passer le temps entre
deux tempo (s) ou tempi? Un solo= deux soli pourtant!
Stop la disease sans bise; ça me défrise et me gèle le ventre entre deux partitions
grises... Hééé! Did I told you lately that I love you (Elvis tune) people to write pareilles
insanités sur le temps de my own home work music?
Yes! Yes! Oui! let's have a peace and please ne te laisse pas aller à devenir serious de
trop et abasourdissons-nous Together Again (Country tune de Buck Owens 60&quot;) à
l'occasion pour calmer et non camer le larron ou le lardon en nous sans nous abasourdir
de trop; alors allons y au trot voire au pas c'est tellement plus sensuel qu'au galop;
l'essentiel n'est-il pas de posséder une puissante chaîne stéréo typée et annotée Majesté?
Oui et aussi de savoir et lire entre les lignes et de capter sans rouspéter les interjections
bien notées face à l'absurdité de l'Absurde et de ses bienfaits en volupté innée bien
énoncée tout au long d'une absurde de sensualité exacerbée et par le fait même irradiée
voire transcendée! Hééé! Le but approche!
L'Ange le Blues et la Romance
Pas à pas, à pas de loup
L'ange passa en ce temps là
En ce temps de givre
Où son âme jouait à la dérive
Les douze mesures cycliques
Slow tempo en résonance acoustique
Des yeux du cœur il a perçu qu'entre
Plusieurs fleurs de lysées colorées
En brouillard brumeux so far away héééé!
Des pétales différents près de l'antre
S'ouvraient aux lueurs désaxées enflammées
De la romance à la renaissance
Dépendamment de la non-résistance
A bien se souvenir de la cadence
Sans la mépriser à la seconde transe
La neige lorsqu'elle tombe en arpège
De cristaux sur le cœur du solfège
Sait faire naître un sortilège
Doté d'une pléiade de refrains bluesés
Sans peurs pour mieux dédramatiser
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Les situations les plus sacrilèges
Et main dans la main de bon matin
Sur eux sans bruit sans éclat
Un ange passa pas à pas
Et changea leurs destinées
Pas à pas, à pas de loup
L'ange passa en ce temps là
Yeah!l'important fut qu'il soit passé...
°°°°
&quot;... Well, my arrows are made of desire...&quot; (Jimi Hendrix le magnifique
excentrique).
°°°°
At last, enfin vous savez relaxer sans de trop vous malaxer le bout du nez et vous le
méritez un tantinet; alors attendez-vous à peu si vous voulez récolter un peu
historiquement causant lisant sur votre cuir de canapé bien hupé vachly propice aux
voluptés les plus exacerbées...
PLACE AUX HÉROS
JUST A CRAZY BLUES
Volet I
Chapitre Deuxième
Sie Und Er
Tonight at twelve it will be la full moon and perhaps that's why she was and he was
there... It was a damn december winter day, une dizaine de jours avant la Noël 2005;
saturday the fifteen, quinze heures douze, le soleil était là tout de même dans un ciel
plus bleu que sur les cartes postales laurentiennes in Canada; the Québec's snow was
slowly fallin' down so down as the autumn leaves savent tomber parfois tristement mais
so joyeusement; paradoxe avec équinoxes vu le soleil, tout comme avec la pluie il y
avait arc-en-ciel dans ces deux âmes tellement contraires mais tellement pareilles, deux
adolescents attardés que le monde des adultes avait su brimer de ce qu'ils possédaient de
plus purs leurs coeurs amoureux du vrai du bel Amour sans détours. Et elle la Midoré
des Blues Souches; petit village des Laurentides au Nord de Montréal dans la belle
province du Québec où elle vivait dans cette Tanière léguée par ses parents dont à
l'arrière-plan coulait une étroite et sinueuse de rivière nommée La Rouge Tison, elle, la
Midoré devenue farouche, au-dedans elle se l'appelait bien pour jouer ici et là avec des
instruments marrants calmants just to foolin' around with He ce fameux de prince aux
blues ideas et à la voix so ch-army in both languages: french and english; ways so sexy
for the soul's ears pour cetaines gens à l'esprit ouvert en la matière.
Elle, depuis deux décennies et la demie se complaisait dans la musique classique sans
vouloir revenir aux racines de sa petite enfance et son adolescence par peurs de
retomber dans certains pièges à haut voltige. Volontairement elle s'y enlisait avec
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amour; la musique demeurait son plus grand bonheur terrestre... Jusqu'à ce que par un
hasard inouï elle tomba par erreur sur un musical de forum Linuxien avec Jmi Hendrix
pour thème phénixien. L'enjeu plutôt banal d'une inscription naïve a su marquer sa
destinée et son plan de vie assez mitigé en réelle amitié puisque toujours flouée elle fut
et ce sans exagéré.
Ils avaient conclut musicalement, un rendez-vous doux depuis moins d'un mois au small
and cosy de Café près d'la Gare du Nord. Quel décor! Des skieurs de fond plein la piste
cyclable; ancienne voie ferrée du Train du Nord en terminale bien stoppée depuis 1985;
une magnifique de piste piétonnière de Saint-Jérôme à Mont-Laurier; sentier très bien
entretenu autant pour l'été et restructuré en hiver pour les sportifs nés ou acquis en
ski-country ou de la pédestre de randonnée; toutes les petites gares jusqu'à Mont-Laurier
étaient des restos et des lieux de repos assez spéciaux.
Comme un cadeau permissif du destin sans récifs nocifs en récompense des jours
pluvieux poisseux, ce présent tout entier il était là, grand, svelte, envoûtant, quasi irréel;
des yeux perversement vifs mais tellement blasés comme elle savait les aimer;
visiblement heureux d'être là mais un peu las à ce rendez-vous de campagne reculée par
le tonnerre. Lui, un Dandy adepte des bars en cinq @ sept up set en double de verres et
des huppées de big City-Classy, lui, cet inconnu reconnu et connu depuis des siècles,
celui qui changerait sa vie à elle, et à lui; peut-être il le savait déjà depuis plusieurs
mois, elle, pas du tout; depuis des mois elle repoussait tout de lui, missives, messages
privés etc.; comme un présage de mauvais augure qui perdure et triture ou une prudence
immense; vu sa naïveté du moment devenue très fragile comme une artiste sait l'être
sans applaudissements vibratoires en accord avec son ultime talent: L'authenticité and
absolutly tea ce qui dérange souvent allez savoir pourquoi Dieu seul le sait et le diable
s'en doute.
Prisonnière de la fatalité du sort ce vilain condor, en en cette Tanière elle vivait des
choses inimaginables donc impossibles à raconter à qui que ce soit sauf à lui après que
des flèches de désirs incommensurablement sensuelles projetées par lui réussirent à
transpercer cette armure qui depuis trop longtemps déjà elle savait porter sans même
s'en douter, vivant quasi exclue des autres, recluse oui, sauf pour des artistiques de
besoins nécessaires à gagner sa vie mais tout se passait avant quatre heures du soir sauf
pour exception jamais elle ne sortait jamais le soir venu. Lui, à qui elle se confia en
confusion extrême vu le tragique d'une situation plus que véridique mais pas vraiment
logique. Lui, arrivant comme ça de nulle part, dans sa triste vie à elle, lui, un voodoo
décontracté en apparence mais devenu très nerveux lorsqu'il a vu ses yeux dans cette
première rencontre, des yeux superbes de louve comme il lui a écrit par un soir de
déprime avec ultimes rimes du mois de janvier trop trop givré.
Elle, rebelle dans son âme, sans le laisser paraître de trop; un peu surprise elle lui a dit
d'emblée, sans jouer son solo à la mijaurée un Wow qu'elle ne disait jamais; elle avait
en horreur ce mot; ô lapsus quelle étrangeté tu nous fais dire la vérité parfois mais en
mots toujours aimés!
- Wow! It's you Zorro! Je suis la louve de mon pseudo et toi tu es Zorro alias Azuro le
Blues intello aux multi-fils musicaux spatiaux? Je reviens, je vais dire au revoir à
Antonio au Mousquetaire juste en face.
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Le Mousquetaire est une boutique de disques neufs et d'occasions juste à côté sur le
même étage que le Blues Nordique Café où les amoureux trop fous de la musique et de
la romance en cadence s'étaient rencontrés. Très inquiète de ce rendez-vous maintenant
qu'elle y était à corps et à coeur un peu tordus; nonobstant une désinvolture assez
naturelle, elle en avait glissé quelques bribes évasives à Antonio un collègue artistique
de longue date et propriétaire du Mousquetaire où à l'occasion elle achetait des CD et
bouquins, Tonio, lui un vrai bon gars qui la trouvait très imprudente d'avoir accepté ce
blind date (rendez-vous aveugle ou sans connaître); mais il était venu cet inconnu et elle
le voyait et percevait comme un gentilhomme. Et elle tenait avant de partir à rassurer le
maître disquaire sans rien lui dire de superflus face à cette étonnante rencontre et que
vous soyez pour ou contre les jeux guitaristiques et tambouriniques s'avéraient au trois
quart concrets.
- Allez va la Louve! J'me commande une bière! &quot;répondit-Il nonchalamment
contrarié mais non surpris&quot;; ouais, ouais, une louve se dit-il c'est un peu difficile à
apprivoiser, bizarre j'peux pas la cerner celle-là, bordel de m****, j'me sens déstabilisé.
Calmos Carlos, son magnifique de manteau long à poils de je ne sais quoi est bien là sur
le dos de la chaise ainsi que son petit sac à dos tout en véritable cuir noir; donc pas de
bémol en fadiez elle reviendra et puis je n'en suis pas à une louve près; elles sont toutes
tellement identiques au-dedans.
La contrariété vexée a une résultante vexante pour le lauréat; ça donne soif à l'effigie
d'une grande joie dailleurs, idem pour la clope; bouts ronds, plats, filtrés au goudron
sans estragon; cigarettes Gitane ou Camel classique, Sweet Caporal, Midnight Charm,
Purple Night avec ou sans filtre, ladite clope était annexée aux doigts de musicien inné
qu'il était, il s'est il va sans écrire obligatoirement commandé une bière rousse ou
blonde, elle en a aucune souvenance, son thé à elle était déjà sur la table et tout à fait
déjà bien dégusté depuis un quart d'heure, et puis le nom des bières comme le goût de
ces dernières fantaisies depuis longtemps déjà elle ne s'y reconnaissait plus en ces
domaines d'artifices factices qui ont su tant et tant la blesser jusqu'au fond de l'âme; là
où le mal qu'on ne ressent pas venir se vautre comme une vipère qui sait vous entortiller
jusqu'à vous faire damner dans les flammes les plus brûlantes; puisqu'elles s'installent
sans gare crier avec son arsenal horripilant de peurs multiples, d'angoisses, d'anxiété, de
dépression fatale, de paranoïas et plus encore pour mieux se garer dans le but ultime de
bien y demeurer en progression lente et ce jusqu'à ce que le sujet se dirige lentement
mais sûrement vers la folie ou la mort ou dans une prise de conscience salvatrice;
premier pas vers une libération de cette obsession mentale doublée d'une allergie
physique ou cette soif insatiable; point de non-retour où l'individu ne sait plus vivre
avec ni sans l'alcool, cercle vicieux où le monstrueux déni infernal et pas banal
s'installe. C'est en décidant sans résistance ou sans tergiverser, no joke with that le
smart, yes, sans résistance aucune de décider sans rationaliser de changer son mode de
vie désenchanté devenu jour par jour incontrôlable, l'individu devient de plus en plus
dépressif. Tout changement s'avère possible pour celui qui décide et est ouvert dans son
esprit que la possibilité de vivre heureux sans alcool est possible et joyeusement à long
terme sans problème; une nouvelle vie saura s'amorcer lentement mais sûrement et ce
sera ainsi le début d'une aventure plus que merveilleuse; celle de la liberté intérieure
plus précieuse que celle de détenir un empire.
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Chit! de marde (m****) faut pas tomber dans la psychanalyse; ça gèle le ventre du
lecteur non averti en compréhension autant que le banal estragon avec fines herbes très
spicy (épicé) et ça désorganise un synopsis en bouillonnement d'ultra-sons et tout ça
souvent en provenance d'hyperbares aux sons catharsis les plus désobligeants; menant
droit au point errant du néant récalcitrant béant et tellement chiant entre quatre temps.
Retour aux Héros beaux
- Me revoilà Zorro, tu vois je tiens parole ce fut à peine trente secondes! T'as pas la
frousse devant une louve bucolique ayant encore à apprendre beaucoup de choses de
cette vie? O.K. Baron, me revoilà, lorsque tu auras terminé ton chéri de drink, j'ai une
lettre à poster à une chanteuse qui vit à la montagne à cinquante kilomètres d'ici, tu
viens dis, c'est l'autre côté d'la rue?
Mmm! Vivre et laisser vivre se songe-elle bien éveillée par ces odeurs bannies de son
mode de vie à elle depuis un laps de temps au quasi quart de siècle; une façon de vivre
sans alcool et autres substances qui transforment le comportement, les attitudes et
donnent une dépression perpétuelle du système nerveux central, pour elle une heureuse
orientation salvatrice, choisie et acceptée sans regrets, pourtant elle savait grosso modo
qui il était; il ne lui avait rien caché de ses acrostiches sans lettres: cigarettes, alcool et
p'tites pépées, comme deux aimants savent le faire sans penser, ils s'étaient aimantés
sans leurs consentements. Quel heureux tourment dément!
Et comme un coup de fouet derechef toute l'ampleur de cette crazy situation lui
rebondissait dans l'âme sur le fait accompli et comme un gonzesse en culpabilité
puérile, elle se sentait coincée comme très près d'un rocher, et plus encore collée par un
crabe aux pinces dorées de marbre; toute douceur cache souvent un cœur coupant
comme le diamant!
Et de plus belle la Midoré se la racontait la baliverne; histoire de calmer ses
phéromones de nonne en mal d'aumône pour son salut éminent dans cet autre monde où
elle se sentait avec lui ce Zorro... Indulgence plénière ou rachat des anciennes bévues;
tout était sûrement prévu dans ce parcours de vie étrange qui était la sienne c'te vie
d'ange ou d'arc-ange... Fichtre! dans quel nid de scarabées me suis-je fourrée? Bah!
Après tout, lui et moi c'est pour quelques heures de musique et de causerie seulement;
donc sois calme la p'tite bohémienne au bois dormant depuis trop longtemps et plus
qu'arriérée en différentes sphères d'amitié depuis plusieurs décennies. Mets-toi bien
dans le ciboulot qu'il te désire simplement par curiosité et uniquement pour la
bagatelles. Surtout pas d'effroi! petite toi! Ce magic man semble être un gentleman et
puis sans honte aucune j'ai prié grand-maman Bianca; la p'tite Irlandaise de chanteuse
dont ce sera à minuit l'anniversaire de son décès, et puis non je n'ai pas peur; ce ne peut
pas être plus dangereux qu'à la Tanière où je vis avec ces menaces constantes d'y mettre
le feu avec joie; vu la pyromanie très prononcée de ce locataire si je m'éloigne de trop.
Pour se libérer en ce fameux samedi, ce fut par la chance d'un travail artistique très
payant dont elle lui donnerait la moitié au retour en échange d'une trentaine de cordes
ou stères de bois d'érable; moyen unique de chauffage de la tanière nantie de deux
poêles à combustion lente; l'un au rez-de-chaussée où vivait le locataire Pierre-Paul et
l'autre au living-room du deuxième plancher où vivait la Midoré. Travail au théâtre dont
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elle décida de ne pas participer; vu le fameux rendez-vous déjà planifié et que pour rien
au monde elle ne voulait rater.
Le prestige: première des trois grandes puissances menant le monde avant le sexe et
l'argent qui sait tout acheter, et même je devrais dire surtout les cerveaux psychopathes,
manipulateurs, contrôlants, pervers, sournois. Le plus difficile fut de laisser Chanel; la
chatte Taby bien-aimée de Midoré, amie fidèle des mauvais jours qui perduraient déjà
depuis trop d'heures voire de mois transformés en années, la féline était alors âgée de
dix ans et aimait beaucoup les trucs sucrés alors en sortant elle lui en avait promis un
tout petit de dessert pour son retour. C'est ce qu'elle fit; vu le p'tit déjeuner sucré trop
copieux du lendemain, elle avait tenu promesse en faisant envelopper par l'hôte de la
Renaissance Dense, un homme curieusement surpris et idem pour Zorro d'une telle
demande assez inusitée, mais l'accord et l'approbation des uns et des autres lui importait
peu; était-ce si important désormais pour elle, alors elle mit le cadeau de Chanel dans
son sac à dos et le tour était joué.
- Yeah! Allons y gaiement! lui dit-elle pas rebelle du tout voire pas pantoute (du tout).
Elle, trop craintive à l'habituel face à l'amitié se sentait devenir flexible jusqu'au point
débile; celui de se laisser raconter et croire n'importe quoi.
- J'aime ton Yeah! Sweetie et ton nez qui bouge quand tu souris... &quot;dit-il en
nageant un peu beaucoup à contre courant; comme si une force fantastique inusitée
semblait le pousser à devenir authentique malgré lui.&quot; Et elle, oui, elle le sentait
sincère et elle en était troublée tout au fond de son âme; him, the human
psycho-analyste de tous et chacun, ce bon Samaritain, ce Zorro de toutes et chacune,
analysait cette fois mais dans un mixed up digne des meilleurs DJ de la planète. Et elle
la Midoré avec la soi-disant protection de sa feue mère-grand, ce n'était pas de la
foutaise; mais une nette impression que déjà la force de l'invisible qu'elle nommait Dieu
qui par l'intermédiaire de sa grand-mère en ce jour bizarre de A à Z lui redonnant un
courage fou face à ce passage de vie qu'elle croyait nécessaire pour entreprendre un
nouveau tournant terrestre; bref une renaissance en espérance de jours meilleurs face à
l'Art.
- Oh! Yeah! really lui rétorquait-elle, heureuse comme seule une louve sait l'être quand
une soirée full of decibels flotte dans l'air. C'est vachly swell! Shucks! I feel so well and
how about you crazy horse? Dis, tu as dans ta bagnole une tambourine comme je t'ai
demandé? J'espère...
- Oui, I do feel like you do et comment depuis l'temps que j'te cherches la louve ou
misstea; comme certains musiciens savent te nommer, j'ajouterais ser à misstea... mais
pas dans l'sens péjoratif du mot, non non, plutôt dans l'sens enigmatique du terme
musical endoctrinal, et j'aime ça ce que tu portes comme fringues; et puis tu as de beaux
mocassins mi-jambes, ouf! et doublé en mouton pour l'hiver, c'est pas du toc, smooth
beige leather made in Canada ad hoc? Mais... tu vas être déçue; je n'ai pas su trouver de
tambourine comme tu dis; mais j'ai ma guitare acoustique dans ma bagnole et toi rien de
moins tu m'as dit une Buick 1990 rouge vin! Oups! rien de moins sweetie; c'est que c'est
onéreux à faire rouler ces chevaux vapeurs de c't'envergure, non?
- Mmm! Wild thing comme qui dirait Mick Jagger &quot;you make my heart sing crazy
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thing.&quot; Well, fais gaffe; je griffe et sais agrafer les naf-naf (curieux) juste a tiny
little bit avant de mordre, I mean you are suspicious, faut pas m'chercher de trop Zorro!
Oui, des seventies d'années de mocassins, ou plutôt fin des sixties d'années I think 1969.
Jimi est décédé le 18 septembre 1970, tu le sais mieux que moi, n'est-ce pas? Peut-être
tu vas me croire dingue beautiful, yes sir, ces mocassins quasi neufs à l'époque étaient la
propriété de James Marshall; j'avais à peine seize ans, je te raconterai au cours de la
soirée où se passait le concert de Jimi auquel j'assistai avec mes parents, nous étions
invités par l'entremise d'un musicien-guitariste ami de mon Daddy; c'était après minuit,
un gueuleton bien pulvérisé de Tequila in abundance et de Vodka in recrudescence! oh
yeah! en somme une surboum du tonnerre, des jams ou des bœufs en veux-tu en v'la! Je
vais t'en recauser plus tard. Et simplement parce que tout comme toi? je ne cessais de
les admirer; il s'est planqué pieds nus et Jimi a dit à ma grande surprise d'ado!:
&quot;Shucks I like the way you can manage this tambourine girl and you will groove
better like anyone with these Indian's mocassins, they are yours baby face and try to
keep them for a long way!&quot;...
- C'est ce que j'ai fait je les ai là bien en forme; Zorro tu es la troisième personne à qui
j'en cause, ces bonnes gens à qui j'ai raconté cette histoire vraie n'étaient pas dupes;
croyant à une fabulation de ma part ou un simple mensonge alors je suis demeurée
bouche cousue sur ce sujet et les années ont passées, à quoi bon raconter la vérité sur
certaines choses passées, parfois, je l'avoue un peu étonnantes, mais pourtant possibles.
Après tout avant la vedette il y avait l'être humain en lui, un homme comme certains
autres autres; doté d'une hypersensibilité peu commune, d'une gentillesse et d'une
grande bonté pacifique, des yeux qui vous allaient droit à l'âme. Et pour les mocassins
en prime sans frimes: pas l'ombre d'une odeur qui lève le coeur, rarissime pour un mec
non, pas d'odeur don't y'a think guy?
Lui, plus qu'attentif à cette mirobolante histoire semblait la croire sans avoir vu ledit
scénario des années soixante-dix.
Et puis pensa-t-elle à tire d'elle: un peu radin le magic man, un tambourine 25 euros
(37.$) dans l'top du top; cette demande franche c'était un test mais pas vraiment puisque
sa toubourine à elle était disparue depuis quelques pleines lunes. Après tout je lui aurais
remis ses dollars (euros) well, &quot;l'avarice n'est-elle pas la mère de tous les vices?
&quot;Quoique... Je suis vachement égoïste après tout il a vu à tout; les raisins, les baby
épinards, les jus de carottes et plus encore style la Renaissance dans toute sa
grandiloquence paradisiaque...
- Goody goody for your guitar; possède-t-elle un bon chevalet ta cutie pie? Mine Daddy
Kool so kool me disait cent fois la semaine gravement que les flottants sont préférables
pour le Blues & Jazz et pis que l'adhérence between la table et le chevalet de la damn
gutar se doit d'être impeccablement en synergie parfaite pour transmettre au paroxsysme
les vibrations; un peu à la douce effigie des bodys & souls en accordance quoi? Et pour
faire rouler la Buick, t'inquiète pas, je reçois à perpette des droits d'auteur vachly bien
appréciés. Et puis ça change quoi à ta vie de mec mes moyens financiers?
- Toi non plus, ne t'inquiète pas pour ma guitare, tu ne sers pas déçue sweetie, pour la
Buick, bon, ça va, c'était juste une question qui me tenaillait la matière grise, c'est tout,
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curieux moi? suspicious? Oublie... non, je ne pense pas! mais pour les odeurs (sourire
enjôleur moqueur) Baff! faut pas généraliser; ce n'est pas mon cas sweetie. Les godasses
à franges de Jimi? Tu craques! tu m'niaises (tu te fous de ma gueule)?
- Ben oui, indeed, je craque pour le Blues et ses suites et je possède une libido musicale
exacerbée je le sais; voilà pourquoi little stardust tu es venu par curiosité notable jusqu'à
la vieille gare du P'tit Train du Nord; pour rencontrer le phénomène assez hors norme,
un peu, beaucoup en dehors de la forme de l'homo sapiens en non règle conforme pour
certains classiques de collets montés en mal de mieux ou de pieux contacts amen, j'ai la
bouche pleine de déveines et j'vous lance mes blessures; ça peut alléger ma carrure et ce
mal qui me triture.
- Hééé! Quel sens de l'humour! Oui, tout un défi, ou peut-être un méchant pari avec
moi-même d'être là sweetie, une histoire peu commune même sur les dunes des plus
belles plages que j'ai côtoyées. Mon seul but en fait c'est que tu groove musicalement,
c'est tout!
- Hey! Déconne pas, yes, I know perfectly that you wanted me to groove and that's all
that's it!
- Hééé! Y' a beaucoup neige chez toi la louve! Au mois de janvier ça doit brasser par
ici, non? Et oui pour les mocassins je te crois sur paroles, et pourquoi pas, tout me
semble possible avec toi.
- Yeah! Shucks! Zorro tu craques! En souliers de ville parbleu man; take away your
Madisson shoes and put your Blues shoes on; t'es pas dans l'métro ici, t'es dans l'Nord,
elle tombe depuis hier la neige, alors l'épaisseur est là, tu sembles dans les nuages, oui
c'est vrai, j'oubliais, la neige ça donne soif, alors après la lettre postée, nous irons si tu
veux faire un tour dans un autre bar, ça te va baron de.... et tout ça sur la même rue et à
pieds secs, enfin, presque.
- Bon, en effet sweetie, je ne m'attendais pas à une tempête de neige mais rien n'a su
m'arrêter comme tu vois, et puis loin de ma pensée de découvrir en personne une louve
aussi dégourdie; enfin je veux dire surtout aussi authentique et je veux dire aussi pas les
pieds dans la même bottine ou pire encore dans les mocassins de Jimi! Je t'avoue sans
ironie que ça me déstabilise un peu ce paysage, ce soleil avec cette neige qui tombe en
cristaux tellement beaux et irréels, ce calme dans ce village du Nord où les gens
semblent plus qu'heureux; on dirait que tout l'monde ici est sur les downer ou les
calmants! ouais assez reposant comme village. Et pis toi je l'avoue sweetie tu
m'embarques dans ton cerceau bizzarT avec un big T.
Ce Zorro plus que magnifique, il avait ce timbre de voix que l'on oublie rarement; un
équilibre timbral hormonal vocal vraiment pas banal; à l&quot;effigie d'une vraie bonne
guitare au son soyeux; comparaison un peu désuète mais telle était le fond de sa pensée
secrète à la Midoré; lorsqu'en plein soleil ils se regardèrent bien droit dans les yeux sans
faux fuyants ou fuite en interférence d'absence.
Des sourires authentiques entre quatre yeux de loups qui savent se déchiffrer sans la
psychanalyse avec balizes; ça donne chaud et même sur la neige, et voilà que lui le
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Zorro aventurier jusqu'au fond du coeur en belles chaleurs se sent déstabilisé pour la
seconde fois avec la Midoré et ce jusqu'au point de l'avouer. C'est alors qu'il décide de
lâcher prise et de s'en remettre totalement à son flair d'antan; il y avait de cela très
longtemps, lorsqu'il était enfant et qu'il n'était pas en rage d'esclavage de certains
éléments déclenchant les peurs, les angoisses, les ressentiments, l'apitoiement sur soi ou
sur les autres et toutes ses suites fantômatiques; symboles ultimes d'un énorme mal être
au-dedans ou d'une personnalité hypersensible à l'émotivité démesurée. Pas une tare en
soi mais un certain mal de vivre...
La Midoré ne le jugea pas; elle savait comprendre ce mal puisqu'elle en avait tant
souffert, jadis, hier, yesterday, tellement loin déjà, un quart de siècle déjà; fort
heureusement avec de l'aide elle a su en prendre conscience et sans résistance elle a
voulu changer et décider de devenir heureuse et elle voulait à tout prix ne jamais
l'oublier ce mal grotesque qui déchire au-dedans sans crier gare et qui ne fait aucune
distinction avec l'âge, l'intelligence ou la classe sociale de l'individu né d'une grande
qualit aussi en somme l'hypersensibilité peu commune; non, ne jamais oublier qu'on ne
guérit pas de l'alcoolisme... Travail sur soi de tous les jours et non sur autrui surtout.
Vivre et laisser vivre...
Un ange passa sur la route de la Midoré en littérature-musicale qui a su couvrir les
blessures les plus béantes, une nuit d'hiver où tout semblait irréel, des mocassins de
Jimi, des tableaux anciens sur des murs flottants, une enfant belle, un enfant beau
beaucoup meurtris par la vie mais encore naïfs de demain au réveil incertain. Une
renaissance au sein d'une campagne éloignée des vicissitudes de la ville parfois et trop
souvent débile.
Lui, tout à fait heureux, avant même de plonger ses lèvres sur son cou à elle; quasi
endormie de bonheur après ces tourbillons de sons près des flammes lui redonnant
subtilement le goût de redevenir femme avec lui sans bruit de peurs de réveiller les
morts d'outre-tombe; ceux qu'avant elle, il avait su aimer de toute son âme via son
corps, elle au corps brûlant de désir pour cet ange aux charmes quasi irréels,
paranormaux, une âme de deux mille ans ou plus l'enveloppait la chérissait comme un
joyau. Un homme pas comme les autres, ange ou démon, plus rien ne comptait que cette
extase prochaine.
Comme si c'était une première, comme si la terre avant elle n'avait pas de merveilles,
comme si la femme avant elle n'avait pas eu sa naissance, comme un adolescent à son
premier éveil, il se noya en elle, il se perdit en elle, elle le recevait sans feindre, sans
jouer à l'extase car il et elle devenaient une pure extase, une forme astrale qui devenait
subliminale. il se coulait en elle comme un naufragé vers sa bouée, elle le recevait
comme un baume à la premiére nuitée, elle devenait sa sirène à la queue bleue et or, il
devenait son mentor pour la propulser encore plus loin dans son essor Blues sans pause
acceptée. Ils voguèrent ainsi jusqu'à l'aurore main dans la main sans songer que ce
matin venait pour déjà les éloigner, les meurtrir au confins d'un mauvais sort; celui qui
se rapproche de la mort: le partir.
Pourtant le cœur n'oublie jamais la vérité ni l'authenticité...
Un Ange est passé
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Un.... enfoiré a un jour souhaité
Qu’une Louve redevienne vraiment femme
Le parfait salaud a vraiment désiré
Qu’une indomptable Louve retrouve son âme.
Si proches dans la vraie vie
Ils s’étaient rencontrés dans une gare
Criant effrontément leur ennui so far
Et ce, autant la femme que l’homme oui
D’emblée la Louve s’est tapie dans sa tanière
Traquée par un compatriote entreprenant
Oh oui, elle détestait ô combien ses manières
Mais elle finit par en sortir lentement
Faisant ainsi naître de nouvelles discussions
Effrénées, interminables et prémonitoires
Des mots sont apparus une farouche passion
Partagée et loin d’être dérisoire.
L’Ange s’est follement épris d’elle
Sur la Louve, il poserait ses ailes
Il n’y eut qu’un pas vers la romance
Sans savoir qu’ils perdraient le Nord
Savourant leur réelle innocence
Sans se douter de la destinée leurs corps.
Elle dansant sa joie au son du Blues
Sans retenue et en pleine transe
Lui savourant le spectacle avec sa booze
Comblé de voir sa Louve retourner en ascendance.
Ils se couchèrent au son aimé
Le feu crépitait dans la cheminée
Avait-elle seulement peur d’avoir mal
Lentement, ses pelures se sont envolées
L’Ange et ses flèches de désirs
Finit par trouver la mine sulfureuse
Cadence suave de la musique mènera au plaisir
Lentement afin de rendre la Louve heureuse
Le train souvent laissa aller sa vapeur
Nonobstant le nombre des tunnels
Car avec sa Louve il n’avait point peur
Car avec son Ange elle était encore plus belle
Bien que leurs corps soient épuisés
La Louve balançait ses phéromones
Une expérience que nul ne peut exprimer
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Et que jamais ne pourra vivre une none
Lorsque l’on a atteint le Nirvana
Les jours qui suivent semblent nous lasser
Est-ce que le brasier reviendra ?
Mais l’important c’est qu’un ange soit passé
Him en ce temps là
°°°°
&quot;...Well, my arrows are made of desire...&quot; (Jimi Hendrix le magnifique
excentrique des Vallées de Neptune les plus nacrées.)
Partie seconde
Partie Furibonde
Sie Und Er
Était-ce un apologue fantastique tout ce que le narrateur nous a offert et semble nous
offrir encore. Oui et plus encore, attendez sans attente de cette partie seconde furibonde
et vous serez agréablement surpris voire éblouis ou par le fait m^me contris!
Un bar ou deux et les jeux sont bleus!
Et arrivèrent vers quatre heures dans ce second bar pour n'y rester que le temps d'une
Eau de Perrier petites Bulles pour elle et une autre bière pour lui... Quelques mots
échangés et d'une banalité absurde pour en somme se mieux connaître; voilà toute
l'absurdité de cet étonnant apologue, eux qui se connaissaient depuis des millénaires;
scénario futile puisque sans but utile et c'est alors qu'ils décidèrent avec les yeux que le
temps était venu de passer aux choses sérieuses; le pourquoi de cette rencontre saurait
dans quelques minutes via le quart d'heure devenu des heures se concrétiser et ils
arrivèrent enfin dans cette romantique renaissance quasi fantastique; endroit ordinaire
du dehors et fantasmagorique à l'intérieur; tout simplement à leur effigie quoi!
Les mocassins de Jimi, témoins inaudibles et muets de toute cette randonnée
extra-terrestre savait la guider en douce et l'inciter sans crainte à poursuivre ce
rocambolesque chemin avec cet inconnu qui peut-être s'avérait un ange cornu mais
tellement rempli de beautés intrinsèques ignorées de lui-même mais pas vraiment d'elle
cette Midoré calme et très confiante sans peurs désormais car en ce lieu prédestiné, tout
tracé à l'avance déjà pour elle, c'était écrit et nul était le besoin d'effacer ou de reculer et
de cela elle en était positivement certaine. C'était comme une oeuvre d'art ou une
composition belle: du déjà vu et vécu et tellement facile à vivre!
Et lui le brillant Zorro; maître des artistiques sphères aux disparates axes en plusieurs
domaines idem pour lui; pas plus de peurs ou de redoutes; vu les battements de leurs
cœurs à l'unisson qui désormais se fusionnaient en un seul cœur; seul ce critère comptait
avec ce brûlant désir en similitude au devenir de plus en plus en synergie et se
multipliait aux mille et un battements de cet heureux cœur à en faire frémir les
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personnages sur les toiles géantes imposantes et bien perchées au mur de cette
Renaissance fantastique.
Aussitôt la porte fermée nommée Renaissance; dans cette pièce où bientôt le feu de bois
étincelé par lui accentuerait leur invincible bonheur; tout se concrétiserait en une
flambée immense de pâmoison comme dans un rêve d'amour véritable où l'on se
réveille mais seul au petit jour contrit d'être en éveil et tellement esseulé. C'était la
réalité, le réel, le palpable, le concret, la vérité, ils étaient là enfin seuls. Un rêve, oui un
rêve peut-être... Ou un apologue...
Bonheur immense, il installa la petite chaîne stéréo comme un héros des mille et une
symphonies, et la musique les enveloppa, et la Midoré lui demanda d'emblée sans
vouloir rompre le charme et sans contredit mais inopinément, c'est bêtement ce qu'elle
fit:
- Please Zorro avant toute chose, je tiens à te faire voir ce manuscrit que j'ai griffonné;
au cas où tu déciderais de te te barrer avant.
- Tu craques sweetie! tu le sais que tu me plais! Déconne pas!
- O.K. d'accord, ça va je sors ce trésor et si tu crois que j'ai une chance de publication
alors je te le confie pour ton ami éditeur; sois franc derechef please, voilà le truc et tel
que promis par toi hier en missive; alors tu veux me le lire et ceci à voix haute?
- Oui! Je m'exécute, ah! juste 112 pages, it's nothin' ouais c'est vrai tu es née le douze et
puis... Bon je me lance dans le plus sérieux de l'affaire Louve-Zorro! A pro-mess is a
pro-messe!
°°°°
L'Alcoolisme une Maladie
Pas une Tare ou un Déshonneur
&quot;Renoncer au pire ou au meilleur, souvent illusoire, dans l'acceptation totale; c'est
devenir un être harmonieusement libre. (La Louve, 1994).
La phase terminale de l'alcoolisme s'avère aberrante et nantie d'une souffrance sans
nom; l'individu au prise avec son esclavage ne sait plus vivre avec l'alcool et
paradoxalement ne sait plus vivre sans ledit alcool. Une prison intérieure atroce jour par
jour. Maladie spirituelle, mentale et physique.
Je dédicace ce cadeau à tous ceux dont la maladie alcoolique a su taire périr l'âme et le
corps, à tous ceux, qui par une gratification titanesque furent conditionnellement libérés,
et à tous ceux dont la décision de briser les chaînes d'un esclavage périodique ou
quotidien, ne s'avère qu'une question de temps s'ils ont décidé de changer leurs vieilles
idées ou leurs façons de penser que seuls ils sauront se battre; avec le tyran alcool et es
suites inutile de se battre; c'est peine perdue.
L'alcoolisme n'est pas un honneur ni un déshonneur mais vraiment une maladie et seule
la personne atteinte se doit de le déceler intérieurement, personne ne peut lui
diagnostiquer ce mal; même pas le toubib, étrange, mais vrai... en prologue court il est
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notoire de noter que l'égoïsme et l'égocentrisme sont à la racine des problèmes reliés à
cette maladie d'origine émotionnelle ou psychosomatique, on la nomme parfois maladie
de l'âme ce qui est totalement vrai à 85% d'origine émotionnelle et 15% d'allergie
physique; l'alcool ou autres substances en somme sont en somme que des symptômes
éminent d'un grand désordre d'une personnalité malade ou tordue dotée d'un égo
démesuré au superlatif ou boursoufflé comme qui dirait je ne sais plus quel baron au
juste...
PHASES ESSENTIELLES AVANT L'ABSTINENCE PAS A la DEMIE MAIS
TOTALE:
1- Prise de conscienceSuggestions notables:
Vivre si possible une thérapie voulue d'un mois avec les douze étapes visant la déflation
du MOI en profondeur!
Sinon: avec l'esprit ouvert qui n'est pas une fracture du crâne mais une renaissance,
joindre un groupe d'entraide A.A. dans son quartier et assister à trois réunions par
semaine au moins au début.
2- Brisure totale du déni de la maladie mentale et physique.
3- Briser la résistance de pouvoir s'en sortir seul; si croyant demander à Dieu la grâce
d'enlever cette obsession mentale (85% émotionnel; maladie de l'âme) doublée d'une
allergie physique (15% physique (alcool ou autres substances). Si non croyant alors,
jouer à Dieu et essayer seul, en groupe, à deux. Se ressouvenir à toujours: Maladie
psychosomatique, mortelle, lente, sournoisement insidieuse et incurable.
4- Cesser d'être sur les freins; en diminuant deux jours une semaine un mois;
l'abstinence se doit d'être totale et surtout pas de faux fuyants; tels que les bières sans
alcool avec 0.5 ou 0.2 idem pour les vins, champagnes, cidres etc... Accepteriez-vous
0.5 ou 0.2 de cianure à l'occasion ou chaque matin dans votre café sous prétexte que
c'est seulement 0.5 ou 0.1 ? A bien réfléchir n'est-ce pas avant d egober ces palliatifs qui
en somme sont simplement une justification alcoolique qui dénote que l'individu
abstinent d'alcool est encore soumis à l'alcool et qu'il a moult réserves en son cerveau de
vouloir re-boire de l'alcool. Pourquoi? L'alcoolisme est une obsession mentale doublé
d'une allergie physique. Maladie insidieuse, reconnue par l'OSM (Organisme Mondial
de la Santé), oui en redondance je le réitère; histoire de faire comprendre le sérieux de
mon exposé sous forme de brochure.
5- Capituler devant ce Dieu et cesser de se prendre pour Dieu en lui demandant à
nouveau et aussi de briser toute réserve de re-boire normalement c'est à dire de
retrouver le feeling du premier verre il y de cela cinq dix ou 20 ans ou x temps ??? peine
perdue ridicule et impossible.
6- Lorsque l'abstinence, la capitulation, et la résistance sont bien vécue vient le désir
très fort d'accepter cette maladie qui tout compte fait est moins pire que beaucoup
d'autres maladies terrestres. Pas d'opération, pas de piqûre, pas de médications pour
soigner cette maladie lorsque le sujet cesse de nier, de résister et de vouloir s'en sortir
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SEUL... oui avec Dieu viendra l'acceptation une journée à la fois et une nouvelle route
s'ouvre; celle de la sobriété heureuse et non morose ou bourrue!
Oui, c'est possible de vivre heureux sans booze at all et à long terme puisque la Midoré
notre héroïne taquine s'aventure à pas de louve vers sa 30ième année le douze juin 2011
dans l'abstinence continue de toute cette m****...
Plusieurs approches autres que l'approche A.A. : Un psychiatre, un psychologue, la
course à pieds sept jours, la nourriture à profusion, la sexualité mal dirigée, les
médications prescrites qui s'avèrent en somme de l'alcool sec, les sectes, les cultes, les
religions, le travail sans pause et plus encore ou tout pour s'accrocher à ses vieilles idées
et essayer le plus facile pour devenir abstinent de son geôlier tyran nommé alcool ou
autre substances, enfin tout pour se fuir et pour éviter de se connaître et ne plus se
prendre pour Dieu pour vivre et non survivre...
°°°°
!!!! Et! Stoppant la lecture illico, le Zorro se fache!! la belle canaille sort de ses gongs...
-Tabarnack! J'trouve ça raide ton truc! Tu sors des thèses qui m'donnent la chair de
poule! Je vais aller fumer une clope dehors si t'as pas d'objection la louve; je manque
d'air! Y'a plein de neige dehors, mes souliers sont encore mouillés et puis...
- Et puis t'es vachly grognon Zorro, allez enfile les Jimi's mocassins, c'est une grande
pointure; je me planque deux grosse paires de chaussettes de laine dans ces godasses,
allez don't be nasty, t'es qusi au bout du manuscrit et puis sauf le respect que je ne te
dois pas, tu manques d'oxygène mais pas d'air. Allez cutie pie va en paix et pompe-moi
ça c'te clope et surtout à ma santé et sans culpabilité; ça gèle le ventre et aussi le gland
bien en bas vautré!
- O.K. Merci de ta compréhension ironique sweetie j'y vais et pis tu viendras m'ouvrir la
porte lorsque j'aurai fini je vais faire deus p'tits coups dans la fenêtre ça va?
- Oui, oui allez zi chenapan et grand bien te fesse jusqu'aux flancs!
Lorsque Zorro eut terminé son inspire-expire, j'me tire, il frappa tel que convenu deux
pt'tits coup dans la fenêtre mais... Le décor était sublime, la pleine lune, les épinettes
noires, la neige qui tombait sur les cheveux de Zorro qui lui faisait des signes de venir
lui ouvrir la porte qui se verrouillait automatiquement lors d'une sortie. La Midoré de lui
sourire en faisant non non de la tête et ce par deux fois. Le Zorro souriait comme un
enfant et la Midoré aussi, et elle le trouva tellement beau qu'elle courut dans le hall lui
ouvrir cette porte à l'effigie de la porte de son cœur et c'est à cet instant précis qu'il y
entra vraiment en disant tout contre son coeur bien près:
- Sweetie I feel home with you no doubt! j'vais continuer de lire ton salaud de manuscrit
advienne que pourra, désolé de mon saute d'humeur!
Et la lecture reprit de plus belle avec la voix sexy de Zorro...
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Pas une Tare ni un Déshonneur et non plus un Honneur mais une Maladie.
- Je reprends quelques mots déjà lus pour nous remettre dans l'jus du sujet sweetie, ça
va? Dis-moi yeah! ça va me donner du courage pour continuer et ne pas te sauter right
now, oui là juste dessus le canapé de cuir yes right now!!
à suivre... avec le titre L'Alcoolisme une Maladie
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-09-23
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Just A Crazy Blues - 2 Just A Crazy Blues - 2 L’Ange le Blues la Romance
Chapitre Deuxième
L'alcoolisme une Maladie
Pas une Tare ni un Déshonneur et non plus un Honneur mais une Maladie.
- Je reprends quelques mots déjà lus pour nous remettre dans l'jus du sujet sweetie, ça
va? Dis-moi yeah! ça va me donner du courage pour continuer et ne pas te sauter right
now, oui là juste dessus le canapé de cuir yes right now!!
Et la lecture reprend de plus belle avec Zorro...
L'alcoolisme une Maladie
Pas une Tare ni un Déshonneur et non plus un Honneur mais une Maladie.
Et...
Le wild et sweet Zorro s'avance, lui faire demi-tour, et la prit par la taille bien cambrée
entre ses bras et ils se retrouvèrent tout aimantés sur le sofa de cuir moelleux comme un
gâteau au chocolat; c'est ainsi qu'il a su sans jouer ni guitare ni saxophone; il eut la faim
immense d'essayer de la prendre sans savoir attendre et elle comme une sirène prise
dans son propre filet n'eut rien à dire que ces mots idiots mais quasi beaux dans sa
bouche d'enfant boudeuse lorsque contrariée.
- Crazy horse, tu me fait skier nous sommes venus pour la musique et ce damn
manuscrit qui est de toute importance pour moi, tu l'sais...
- Oui oui sweetie! Quel s**** tu fais! I hate you! Mais tu as raison finissons-en! Tu me
pompes l'air! ce manuscrit c'est bidon! je connais les maisons d'éditions et l'espérance
de vente de ce... enfin de ce...
- Ouache! le Zorro est frustré à nouveau donc il blesse à nouveau la louve qui pourtant
elle sait être gentille. Héééé! fais gaffe j'suis née d'un autre siècle, j'suis pas une louve
facile et puis tiens donc, moi j'me barre! Elle est trop haute ta crazy barre!
Et dans son sac à dos de cuir noir noté Paris, elle planqua son manuscrit, remis ses
mocassins, son manteau de poils et voulant fuir sans réfléchir cette pièce devenue
irrespirable, ses émotions folles virevoltaient; il l'avait blessée dans son âme pas dans
son orgueil la Midoré au tempérament fougueux qui déconnait et le Zorro qui se surprit
à dire sans même songer:
- Don't be silly sweetie! tu es là come on, tu restes et puis bon sens, tu n'es plus vierge
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alors cesse de faire ta mijaurée! Ton manuscrit j'y crois plus que tu ne penses!!! Je te
désire tant j'en deviens dingue! Tu es une allumeuse ma parole!!!
- Non, tu y crois à ce manuscrit, tu me désires Shucks! tu me pompes l'air aussi alors
mets du son plus fort ou augmente le volume en canadien français et phoque de mer le
manuscrit, tu as vachly raison; l'espérance de vente est minable de ce bobard bâtard; vu
la non compréhension des gens face à cette maladie qui n'est pas une tare je le réitère
calvaire! Oublie cette connerie et puis vive la musique le reste c'est de l'esthétique ou de
la gammick! Allez baron place à la musique!!
Et la musique sonna tant et tant et le Blues résonna si bien dans cette étonnante
Renaissance en cadence; outrepassant la plus étonnante des romances sans falsification
aucune sous la lune d'une bribe belle d'un hiver incommensurablement inoubliable; des
demi-heures, des heures musicales quasi inégalables se poursuivaient avec deux âmes
belles en non-attente mais pourtant en authenticité latente pour le Zorro en mal de vivre
sans même le savoir car un peu beaucoup vivant dans sa grandiloquence ou dans sa
propre toute puissance; rien de plus souffrant qu'un alcoolique qui s'ignore ou qui est
dans le déni de cette maladie encore vue en ce siècle aux progrès disparates hétéroclites
et plus encore.
- Sweetie i want you so badly come on ne te désiste pas allez Jazz me this Blues till the
end of the day and after midnight Blues & Jazz me again until the sunrise and again and
again take with a slow hot Blues me again by surprise...&quot;
Et ce fut le repos bien mérité de quelques heures pour les deux guerriers héros... Elle
vachement heureuse au paroxysme de la jouissance, lui vachement étonné et aussi très
heureux et plus qu'étonné de bonheur et assouvi comme jamais; avec nulle envie de voir
venir cette aube aux troublants fantômes violeurs de bonheur... Paradisiaque est un mot
trop simple... Sublissime!!!! dirent-ils en fusion électrifiante!!!!
Et une réalité s'imposait ivres de je ne sais quoi, plus que le sexe... ils se regardèrent
incrédules, les jeux étaient faits désormais et au fer rouge ils étaient marqués voire
stigmatisés à pérennité... Et tout ce sortilège s'était re-fortifié et à leur insu!!!
- La Louve je vais terminer la lecture tu veux? mais avant j'aimerais savoir comment tu
as su que tu étais alcoolique; quels sont les symptômes, tu étais tellement jeune lorsque
tu as cessé de consommer de l'alcool, tu étais juste un peu alcoolique, je veux dire pas
vraiment beaucoup alcoolique alors, comment tu as fait pour le savoir? Et puis moi tu
sais Dieu j'y crois pas vraiment, le grand Manitou oui mais Dieu très peu pour moi ou
trop... Alors ceux qui sont athées ou agnostiques, ils ne peuvent pas cesser l'alcool ou
les autres drogues? Bof! c'est trop ambigu tout ça... Éclaire ma lanterne; elle se refroidit
mais lorsque tu me reluques ainsi elle rougit prête à te faire rougir aussi...
- Bonne question, oui mais l'alcoolisme ne fait aucune distinction avec l'âge ni le
nombre d'années de consommation, ni avec les quantités absorbées par jour, par
semaine, par mois ou année. Les symptômes pour moi furent ceci: incapable de dire non
à l'alcool sans souffrance, incapable de songer à ne plus boire, obsédée par l'alcool au
point de me créer toutes sortes de justification pour boire; fêtes de l'un de l'autre, décès,
mariages, surboums ici et là, je côtoyais des gens qui boivent de préférence; ils faisaient
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partie intégrante de mon cercle d'amis. Pour ta seconde question alors je te réfère à ce
que j'ai écrit over there (là-dessus) et qui se lit comme ceci: 3- Briser la résistance
(cesser de tergiverser ou de résister dans le déni) de pouvoir s'en sortir seul; si croyant
demander à Dieu la grâce d'enlever cette obsession mentale (85% émotionnel; maladie
de l'âme) doublée d'une allergie physique (15% physique (alcool ou autres substances).
Si non croyant alors, jouer à Dieu et essayer seul, en groupe, à deux. Se ressouvenir à
toujours: Maladie psychosomatique, mortelle, lente, sournoisement insidieuse et
incurable.
JUST A CRAZY BLUES
L'Ange le Blues la Romance
Chapitre troisième
- VOLET DEUXIÈME Just a Crazy Blues ou Volet Deuxième sans Barème
Avis concis aux lecteurs en chaleur non conscients du pouvoir des fleurs sans pleurs.
Toute ressemblance marquante avec qui que ce soit dans cet apologue s'avère une
impure de coïncidence des personnages, des faits, des endroits ou plus explicitement le
dénommé usufruit du hasard hagard; ce damn blizzard qui a su marquer l'essence via
l'effervescence en errance des branches disparates de mon arbre artistique et ses
orgasmiques échappatoires de gloire qui mènent au tombeau en ce terrestre trajectoire;
les noms ou pseudos dudit apologue furent l'extraction simple d'un minuscule embryon
extrait lui de même d'une pléiade de métallisés de sons played ou joué slowly in
rebonds aux intervalles quasi astrales car le mot astraux ne saurait s'avérer beau pour un
tel scénario dont l'absence totale de fausseté saurait derechef brimer la partition en deux
portions.
Place aux Héros avec le dernier paragraphe (histoire de vous remettre illico dans l'bain
du Volet Premier avec la Midoré la Louve Vvia le Zorro entre deux soli de Rodéos.
- Bonne question, oui mais l'alcoolisme n'est pas une dépendance mais une maladie qui
ne fait aucune distinction avec l'âge, l'intelligence, le statut social, l'instruction ni avec
le nombre d'années de consommation de bonne ou de mauvaise qualité d'alcool, ni avec
les fréquences ou les quantités absorbées par jour, par semaine, par mois ou année. Les
symptômes pour moi furent ceci: incapable de dire non à l'alcool sans souffrance,
incapable de songer à ne plus boire, obsédée par l'alcool au point de me créer toutes
sortes de justification pour boire; fêtes de l'un de l'autre, décès, mariages, surboums ici
et là, je côtoyais des gens qui boivent de préférence; ils faisaient partie intégrante de
mon cercle d'amis. Une femme est enceinte ou ne l'est pas cher Zorro; il n'y a pas de
petits, de moyens ou de gros alcooliques; il y a des alcooliques that's all; un jour
alcoolique = toujours alcooliques; donc il n'y a pas non plus d'ex-alcooliques pas plus
que d'ex-diabétiques ou d'ex-asthmatiques. Un concombre plongé dans le vinaigre ne
redeviendra jamais plus concombre car le voilà désormais cornichon! Tu piges ou tu
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figes sans litige beautiful Rodéo de star qui sait me faire planer par-dessus les bars?
- Ouais si peu, je pige puis je dépige car il est plus que compliqué ton truc... je ne saisis
pas pourquoi une personne est alcolo et non une autre et surtout pourquoi y a pas de
guérison?
- Tu veux savoir pour toi ou....
- Non! pas pour moi, j'suis pas alcolo pas moi, je sais comment arrêter et puis je n'en
consomme pas des tonnes de bières et de vin, by the way bière, vin champagne cidre ce
n'est pas de l'alcool pur; donc pas de soucis avec ça et si je bois des bières et du bon vin
ce n'est pas toute la semaine, et pas au travail sauf pour des cinq à sept pour le bureau...
Et pas souvent seul... j'ai horreur!
- Oui oui oui Zorro j'te suis à pas de louve, go ahead sans club med...
- Non, ce n'est pas pour moi, mais pour une collègue à moi; une belle brunette qui elle a
un sérieux problème! Elle déconne dans les cinq à sept; elle chiale et change de
personnalité comme tu écrivais dans l'autre chapitre. J'aime ça ton truc sur l'alcool sans
blagues... J'ai lu en diagonale lorsque tu étais aux chiottes; par contre ce bout-ci me
chicotte un peu... Et je te lis ça la Louve qui groove sans booze et qui me lance ses
phéromones que je m'en damne la trombone:
- Yes, l'avenir est aux oreilles de l'âme sans calembours infâmes! Et aux trombones en
mal de head phone vas-y le Zorro je suis toute ouïe grrr!...
- Oui! hééé! tu m'allume et veut m'éteindre; bon continue de m'agacer et ce sera te fête
louvienne sous peu... je te lis cet épilogue en deuxième dédicace pour ton Essai court ou
Communiqué long comme tu me disais au téléphone avec ta voix rocailleuse en
veilleuse et belle à faire damner le plus sot des musiciens...
- Fichtre d'enjôleur! &quot;... tu me plais tu me plais tu m'fais un de ces effets, un des
ces effets vraiment pas ordinaires...&quot; dis tu connais cette tune qui est de Bécaud
ou un autre je ne sais plus...
- Sais pas je n'étais pas né comme qui dirait les couillons lorsque leurs connaissances
musicales sont mitigées limitées. Bon, je lis, sinon je reprends cette Louve en flagrant
délits d'étincelles dans ses yeux bleus délavés couleur ciel en mirabelles très pâles et
deviennent bleu-marin lorsqu'elle se fâche... Bon, faute de te sauter j'saute ici quelques
paragraphes et me dirige ici pour comprendre mieux ce grand bout qui me semble pas
facile ou je dirais sans te faire de peine la louve que &quot;ça me fait chier&quot;
autrement dit, et je lis en essayant de boire tes belles paroles écrites et tout comme le
mot dendrite me débine alors je poursuis ma lecture en buvant ma bière et non pas de
l'eau pure j'trouve ça trop dur!!! Tout de même ta vie doit être plate comme de l'eau
certains jours; spécifiquement lorsque tout l'monde boit et toi tu fais quoi?
- Well, crazy thing je bois aussi tu le vois ton jus de carottes il est super hot; j'en suis à
ma seconde bouteille avec ce mix de jus de pêches et tomates Mmm! so damn good! un
cocktail sympa ets ans dynamite pour moi, je dis bien pour Moi, capito?
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- Yeah! Yeah! Tu fais chier, peut-être je t'envie un peu, sais pas ça me fait tout drôle...
bon sans blague je lis sinon too bad for you sweetie...
Et la lecture se poursuivait dans tout son attrait; le Zorro aux allures vachement
désinvoltes nous le savons ou plutôt tout l'monde le sait est mort de peurs immondes car
dans son Moi profond il existe cette conscience qui elle sait le rattraper à la vitesse du
son qui désormais est à son néant; musique et affaires point de mélange même pour les
anges...
La Renaissance une grandiose de Séance
Concept de Renaissance dans l’Égypte ancienne
et contemporaine-ment une réalité intéressante possible...
Alcoolisme - Renaissance
selon la thèse non balèze de la Louve
L'alcoolisme souvent vu comme une tare, un déshonneur s'avère simplement une
maladie psychosomatique et non une dépendance. L'alcool subtil psychotrope mène à
l'obsession mentale (85%) doublée d'une allergie physique (15%); ledit alcool (vin,
bière, pastis, gin etc.) qui s'avère un puissant narcotique et l'attirance vers ce narcotique
est le symbole éminent d'un grand désordre de la personnalité; l'alcool est un poison
nocif pour l'individu né avec des prédispositions à ladite maladie. Aucun rapport avec
les quantités et les qualités d'alcool ingérées par l'individu atteint dans ses gènes.
Mourir intérieurement pour renaître à nouveau s'avère aussi un concept qui sait me
plaire... Ladite phase de Renaissance, non-utopique au flair de nos sens en
effervescence fait aussi partie intégrante de la Renaissance qui s'avère possible pour tout
être humain en bonne volonté (attention bonne volonté n'a rien à voir avec &quot;de la
volonté pour stopper&quot; de changer sa voie après une prise de conscience menant
illico à l'admission du non-sens de sa vie devenue incontrôlable-ment exécrable; une
renaissance en redondance non-utopique ou sectaire mais un acte non tangible dont le
profond changement de personnalité s'avère intrinsèque et synergiquement physique
menant vers un mieux être provenant de l'âme via le mental et le corps; faisant ainsi
guerre à toutes formes de maladies psychosomatiques dont il va sans écrire savent
toucher et voire détruire l'âme via le cerveau et le corpus.
Toutes les maladies en somme prennent leurs cruciaux de points de départ aux confins
de l'âme tourmentée, d'où les maladies en latence un laps de temps parfois court ou long
selon l'état du système immunitaire.
Choisissons ici en exemple flagrant le cas d'un alcoolique abstinent d'alcool; donc en
voie de rétablissement mais non de guérison puisque l’alcoolisme est une maladie
incurable; pour demeurer abstinent et être heureux sans alcool à long terme, cet individu
ayant su vivre ladite prise de conscience, l'admission de cette maladie mortelle,
insidieuse et très lente en progression sait rendre sa vie incontrôlable donc exécrable via
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ses attitudes; ses comportements, ses jugements face à lui-même ou aux autres et plus
encore.
Selon l'éminent psychiatre-psychologue et plus encore Carl Gustav Jung (voir sur Wiki)
seule une expérience spirituelle saura faire mourir intérieurement pour faire renaître à
nouveau celui qui souffre de ladite maladie de l'alcoolisme; brisant ainsi la résistance de
l'individu dans le déni de sa maladie via la déflation du Moi ou son dégonflement ayant
ainsi conscience que seul il ne saura la libération profonde de cette obsession de l'alcool
sous toutes ses formes (vinaigre et desserts alcoolisés). Vers les années 1940 les
psychiatres Carl Gustav Jung et Harry Tiebout ont beaucoup contribué à la survie de
plusieurs alcooliques détenus en psychiatrie; ce fut le premier pas vers la
compréhension de la maladie de l'alcoolisme qui en somme diffère avec chaque
personnalité donc chaque cerveau mais pourtant similaire puisque vue comme une
maladie de l'âme avant tout à 85% et pour tous; insidieuse, lente en progression,
mortelle et incurable.
La Renaissance existe aussi contemporaine-ment; ce qui en somme n'a absolument rien
de sorcellerie, de chamanisme ou de quelconque de religion ou de culte... Mourir
intérieurement pour renaître à nouveau; yes, oui, sans stress, voilà la Renaissance... Il
serait intéressant de noter que cette Renaissance joue un rôle prépondérant; la résistance
face à la consommation d'alcool s'avère brisée donc l'individu a su capituler devant
l'évidence; jamais il ne sera gagnant avec l'alcool qui est et sera toujours plus puissant
que lui; se battre avec l'alcool est se battre avec des moulins à vent.
La Paix Intérieure
Et la diantre de paix intérieure s'avère un chemin tout comme la foi est un chemin
parfois tortueux; voilà un petit dilemme pouvant devenir complexe aux sweet axes; et
de me répéter sans faire skier tout l'monde de trop que ce n'est pas une théorie mais une
pratique constante et vraiment une journée à la fois; quatre mots trop souvent galvaudés
voire risibles mais comment vivre le moment présent si je ne sais pas vivre jour par
jour?
La paix intérieure ou sérénité ne s'achète pas au Super U (France) ou chez Réno Dépôt
(Québec, Kanada) aucun être humain ou chose, richesse, prestige et pouvoir ne saura
m'octroyer ladite paix intérieure, lorsque le chemin semble se rétrécir, je demande à
Dieu d'augmenter cette foi en lui (antidote à la peur) qui est mienne car je vis sur la terre
et oui parmi certaines gens névrosés etc. et si je suis gratifiée pour aujourd'hui de vivre
une certaine stabilité émotive via la paix du cœur j'essaie de ne pas oublier je le réitère
que c'est en Dieu que je saurai la trouver et ceci sans prévoir à long terme puisque
&quot;rien n'est acquis à l'homme&quot; tout l'monde le sait.
&quot;Suis-je meilleure, suis-je pire qu'une poupée de salon&quot;... comme l'a écrit
Gainsbourg et interprété par France Gal (corrigez-moi si j'me leurre), là n'est pas mon
but, la perfection n'étant point de ce monde; mais je vise non pas à la perfection
spirituelle mais plutôt à une certaine progression spirituelle et ce dans un but
prépondérant: savoir sans trop de blessures ou brûlures internes absorber les vicissitudes
et méandres souvent inévitables de la vie et de savoir m'adapter à toutes sortes
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d'individus qui en effet ne savent pas me correspondre ou parfois ou souvent ne sont pas
en accord mais pas du tout avec mon point de vue mais si je fais un effort et j'apprends à
les connaître ces gens sans vouloir les réformer, oui, accepter leurs opinions, leurs
façons de vivre et aussi leurs croyances ou leurs absences de croyances sauf en eux.
Pour d'autres gens il est préférable vu leurs côtés très paumés voire très pervers (en tous
sens) que je m'abstienne de les fréquenter et mieux encore de m'en éloigner... )
La foi en Dieu (tel que je le c*nçois) qui s'avère un baume pour moi, peut sembler
ridicule pour un athée ou un agnostique; mon but ultime en causant ou écrivant n'est pas
de convertir qui que ce soit mais simplement raconter comment je sais vivre cette paix
intérieure et comment je sais m'adapter à toutes situations ou personnes pas vraiment en
accord ou en approbation avec moi car je ne détiens aucune vérité sauf celle de ne plus
me permettre de douter que la puissance de Dieu qui me soutient chaque jour à la fois
est plus grande que toutes les personnes ou les tâches terrestres qui m'attendent au
détour soit pour me louanger, me narguer ou me blesser; toutes ces options savent me
faire grandir intérieurement donc j'essaierai de vivre avec chacune d'elles (ces options)
et vive la liberté intérieure qui pour moi s'avère une victoire sur moi-même et ce Moi
démesuré bien dégonflé à sa juste mesure saura changer de A à Z mon comportement,
mes attitudes, mes pensées et mon jugement de valeur face à moi-même et aux autres.
En somme vivre libre de toutes substances ou psychotropes est une autre question de
choix de vie qui sait se discuter avec toute personne qui est dotée d'une ouverture
d'esprit certaine; ce qui ne s'avère pas en soi une fracture crânienne mais une des routes
(Crossroads) à parcourir et qui mène en droite ligne vers la paix dite intérieure via
l'extérieur aussi puisque lorsque la forme spirituelle est présente la forme physique suit
aussi; Dieu sait aussi être mon plus grand médecin; dur coup à avaler pour certaines
gens mais pour moi non; voilà ce qui fait nos différences à tous... Vivre et laisser vivre.
Si en l’occurrence je suis libérée de toutes substances liquides ou chimiques qui
atrophient mon âme et blessent ou empoisonnent mon corps au superlatif et
paradoxalement semblent me donner illusoirement une certaine fausse détente et paix
d'esprit tout aussi faussée voire artificielle débile; la véritable paix intérieure,
l'authentique détente sais me faire devenir libre profondément intérieurement donc
m'acheminer sans heurt aucun vers cette fameuse paix intérieure ou sérénité en
redondance écrite.
Et de cela nous pourrions en effet en causer sur papier net pas sale en plusieurs
pages...Lâcher Prise tout aussi galvaudé et prisé sans jeux de mots vilains puisque après
ce lâcher prise je fais quoi? Des oies? alors idem dans mon cas de bianca (un de mes
prénoms baptismaux) je me tourne vers ce Dieu non punisseur ou vengeur et je
m'abandonne complètement à lui; comme j'ai su le faire antérieurement pour des
personnes qui pourtant étaient terrestres et n'avaient nullement ce pouvoir de m'apporter
la divine paix intérieure puisque humaines furent ces belles et bonnes gens.
&quot;Garde ça simple&quot; &quot;Keep it simple&quot; &quot;Garde ça
simple&quot; ; célèbres ultimes mots du Dr. Bob lors de son agonie terrestre à Mister
Bill W.
Pas une théorie seulement mais aussi une pratique.
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Ces quelques points primordiaux suivants ci-dessous sont en somme une route vers
début vers une Renaissance.
° Prise de conscience
° Admission (déflation du Moi volumineux à sa juste mesure)
° Capitulation: grande expérience disciplinaire nécessaire pour vivre l'acceptation de
son abstinence via l'abstinence à log terme et la sobriété émotionnelle one day at a time
ou un jour à la fois psychologiquement causant...
°°°°
- Voilà la Louve j'ai terminé et je laisse la lecture en suspens car j'ai quelques questions
pour toi la louve... Oups! Y'a une annexe ici je la lis et peut-être la réponse sera-t-elle
propice pour le Zorro parfois zéro que je suis....
- Ouf! oUCH! V'la que tu te sous-estimes, pas bon signe; hééé! tu n'as pas à le faire tes
faux amis sauront le faire pour toi crazy horse de mes wet rêves!
Éclats de rires assez fugaces de nos deux comparses quasiment les plus beaux dindons
de la plus belle farce Blues jamais élucubrée.
- O.K. Je relis sans regimber et j'en déduirai le plus facile pour moi; le plus que parfait
érudit de ton lit en ciel étoilé du dimanche au samedi! héééé! je poétise allez la Louve
fais-moi la bise please...
____
L’Alcoolisme une Tare?
L'alcoolisme une Tare a su vous plaire ou vous a horripilé entre deux ré superposés? Pas
vraiment important puisque voici son épilogue vachement unplug:
De la Louve voici une Dédicace fugace à tous les amants aux cerveaux lents de la
Musique algorithmique sympathique non chimique; machins malins sans refrains
vraiment câlins atrophiant et détruisant les trois états du Moi psychiques académiques
rythmiques (l'égocentrisme et l'égoïsme étant la racine de toutes les maladies
psychosomatiques; où le corps et l'âme sont touchés en wild virées) par devant derrière
les salopards de dendrites° en désaccord avec les neurones so damn sans bornes via la
matière grise outrageant ainsi la cerise sur le bord de votre remise au Super ou Hyper U
de votre Région, Département ou Canton selon vos allées et venues entre deux voyages
impromptus du plancher au plafond lorsque vous tournez en rond...
... Héééé! wake up (éveilleons-nous) les zamis! Domani, demain, tomorrow il sera trop
tard pour une partie de dards entre deux lardons vachly bougons (mot cantonnier)
anyway bougeons de là entre deux la et. ré mi do ré mal orga-nyzés..
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° Dendrite définition: Arborescence du neurone sous forme de filament court et ramifié
servant à recevoir et conduire l'influx nerveux (signal) provenant d'autres cellules
nerveuses.
(à suivre sans doute aucun) ; les crazy Blues ne sont jamais terminé lorsque bien joué en
toute authenticité; aucune décennie ou êtres ne sauront les séparer puisque les âmes
belles sont à jamais accolées.
de la Louve effrenée vot'aut'heure dieurne et nocturne entre deux heures taciturnes.
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-09-24
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L'Absence in Obvious Stances
L'Absence in Obvious Stances
Absence sans bon sens
L'absence à l'effigie dense
de l'indifférence rance
en obvious intermittences
Glapit et surgit en Si
et déguerpit en sursis
Comme un glas gonflé
de fausses notes hybridées
désarçonnées bien débandées
L'absence à l'effigie dense
de l'indifférence sans cadence
n'a aucun scrupule et s'élance
sur sa proie comme un boa affamé
SoYeah l'Absence in Obvious Stances
L'absence se répète guette et rejette sa proie comme un Blues sans âme
L'absence trottine dans les veines
et présente de vaines idées
Toutes recroquevillées
Les notes bifurquent obèses
Balèzes gourmandes en Fadiez
Elles claudiquent en apostrophes
Sur des strophes toutes amorphes
S'étalant sur une partition obscène
chiffonnée et entrelacées de chaînes
reflétant une elfe similaire à un vieux chêne
Là où les notes se frôlent en catastrophes
immondes full of tentacules à têtes d'hyènes
L'absence hurle ses décadences et ses non sens
SoYeah l'Absence in Obvious Stances
L'absence belette guette rejette se reflète bête fluette comme un Blues sans âme
L'absence triture le cœur
comme un artichaut vide sans cœur
Le trou est béant jusqu'au dedans
des veines là où le sang coule très lent
L'absence est remplie de big terreur
et de petits hauts-le-coeur
à faire chialer hurler ou délirer
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des milliers de petits jurons
pas plus grossiers qu'un puceron
suçant effrontément goutte à goutte le sang
que seule la prière peut stopper instantanément
Prayer au Dieu non punisseur de son enfance
Calmant l'Absence so rance in Obvious Stances
Cicatrisant l'Absence devenue moins dense
L'absence nous guette fouette avec ou sans casquette comme un Blues sans âme mais
disposé à se reprendre en cadence sans défaillance lorsque s'entend un jeu fluide intense
immense.
La Louve effrenée le 17 juillet 2014
&quot; Tout peut devenir servitude lorsque l'excessivité entre en prépondérance dans
les jeux et scénarios terrestres des individus d'eux-mêmes inbus. &quot;
MDLoups à l'âme rebelle so belle
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2015-01-27
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L'Amour de Toi
L'Amour de Toi
En oraison et déraison
Baltique serpentant
Sur mon cœur
À toute heure
En courants délinquants
Par de là cette marée
Faisant fi de la raison
Aimer à s’en damner
Mélodie de ton cœur
Qui bat sur mon cœur
Et tu redemandes
Et reprends la demande
Je résiste à peine
Et tu frôles mes veines
Combien est cruelle et tendre
Cette soif insatiable
De nous en latence
Depuis ces siècles instables
Je meurs en langueur de l'absence
Trois jours ou quatre mois
Trop long ce temps sans toi
Te voilà je revis en longs sanglots
Tu me prends avec tes yeux sans un mot
Et tu promets avec émoi
La plus belle symphonie
Oui mieux vaut mourir
Que de ne plus s’unir
En odes de nous épris assouvis
De toi à moi en ondes sans répit
De mots pour la vie en survie
« Magistral désir qui sait nous emporter dans un torrent de magnificences inexplicables
nonobstant l’utopie de sa source. »
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La Louve in moovin' groove
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2010-12-17
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L'Ange le Blues et la Romance
L'Ange le Blues et la Romance
La Romance le Blues et l'Ange
Pas à pas, à pas de loup
L'ange passa en ce temps là
En ce temps de givre
Où son âme jouait à la dérive
Les douze mesures cycliques
Slow tempo en résonance acoustique
Son désir angélique fut des plus héroïques
Des yeux du cœur il a perçu qu'entre
Plusieurs fleurs de lysées colorées
En brouillard brumeux so far away héééé!
Des pétales différents près de l'âtre
S'ouvraient aux lueurs désaxées enflammées
Sa candeur diabolique s'entremêlait aux flammes historiques
De la romance à la renaissance
Conditionnellement de la non-résistance
A bien se souvenir de la cadence
Sans la mépriser à la seconde transe
Cet ange la fascinait comme une musique mystique
La neige lorsqu'elle tombe en arpège
De cristaux sur le cœur du solfège
Sait faire naître un sortilège
Doté d'une pléiade de refrains bluesés
Sans peurs pour mieux dédramatiser
Et tous les plus beaux florilèges en souvenance de cette nuit de neige
Effacèrent les situations les plus sacrilèges
Et main dans la main de bon matin
Sur eux sans bruit sans éclat
Un ange passa pas à pas
Et changea leurs destinées
Pas à pas, à pas de loup
L'ange passa en ce temps là
Yeah!l'important fut qu'il soit passé...
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Personne ne se souvient puisque l'ange s'était volatilisé
de la Louve ; extrait de Just a Crazy Blues 2010
°°°°
&quot;Acta est fabula : La pièce est jouée.&quot;
&quot;C'est ainsi que dans le théâtre antique, on annonçait la fin de la représentation.
Acta est fabula, dit Auguste sur son lit de mort, et ce furent ses dernières paroles. La
farce est jouée aurait dit aussi Rabelais.&quot;
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2015-02-02
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L'Aurore
Hommage à Rome et à la Louve allaitant Romulus et Remus, cette fois-ci.
La célèbre sculpture est réinterprétée et mise en scène au coeur même du Colisée.
Copyright Lavazza Calendrier 2009.
°°°°
L'Aurore
Minuit à toi j'me donne
L'aurore me redonne
Le goût de toi
Reviens-moi
Et pardonne
Mes secousses
Aux mille frousses
Je me languis de ta frimousse
De la peau de ton tambourin
Aux cent secousses d'amour félin
Ta peau sur ma peau comme un gant d'chevreau hush!
Dans la chambre
Tes dentelles pêle-mêle
T'attendent ma belle
Couleur vieil ambre
Seront les nouvelles
Courtes ou longues pointes
Pour réchauffer nos craintes
Ta peau sur ma peau comme un gant d'chevreau hush!
Sois certaine Zoé
Que notre chez soi
T'accueillera cet été
En Blues rengaines
Pour toi j'ai cueilli
Des primevères pubères
Au bord de la rivière
Près du rouge pont levis
De tes peurs en catimini
Où nos mains se sont unies
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Ta peau accolée à ma peau comme un gant d'chevreau hush!
From La Louve in groove sur les vielles douves
°°°°
Le meilleur calligraphe n'est pas celui qui ne se trompe jamais, mais celui dont les
ratures conservent un peu de sens et un reste de beauté.
Pablo de Santis Extrait de Le Calligraphe de Voltaire
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-09-06
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L'Encensoir noir
L'Encensoir noir
Noir est l'encens ce soir
Le chat Gigolo dort d'un oeil, je ne dors pas ni d'un ou deux yeux, c'est la pleine lune de
Noel, je la vois par la lucarne de la mansarde. Je regarde l'horloge grand-père, il est
quatre heures du matin. Je fais un voeu secret, et je descends lentement le long escalier,
une odeur d'encens me fait tousser, le feu dans la cheminée se consume... Les reflets
multicolores de la veilleuse font de drôles de spectacles sur les longs rideaux, j'en suis
ébahie, une ivresse indescriptible me frôle l'âme et le corps avec cet encens. L'odeur
vient d'ailleurs vers la porte qui mène à la terrasse... J'avance à pas de louve, attirée vers
les deux portes vitrées, je noue les doubles tentures, j'ouvre la porte de droite, la lune
dans toute sa beauté hivernale me fait face et d'emblée dans son cercle blanc je vois
nettement un homme avec un encensoir noir, il est fascinant avec son chapeau d'antan,
je distingue ses yeux comme s'il était près de moi et puis j'entends sa voix me dire
doucement:
- &quot; Tu as traversé un long tunel, un étroit passage depuis l'autre Noel, celui de
2014, c'était écrit dans la nuit des temps, ces ressources insouçonnées et ton courage te
seront renouvellés et doublés pour l'année nouvelle qui vient, persévère sans douter que
Dieu sera à toujours ton berger et que rien ne saura te manquer tel que prédit dans les
livres, n'aie pas peur de lui demander chaque jour d'augmenter ta foi en lui et un jour à
la fois tu verras ta vie devenir plus douce, moins apeurante comme avant le déchirement
de ce deuil et le trou noir de l'absence, ne t'isole pas surtout va de l'avant, il t'aimait tant,
il désire que tu sois heureuse.&quot;
L'air est doux mais je frissonne avec mon long châle, bien éclairées par la lune les roses
jaune et oranger du petit jardin étaient d'une subtile beauté avec les reflets lunaires;
étonnamment elles ont fleuries cette semaine nonobstant cette terminale de décembre...
Je regarde la géante lune blanche, l'homme n'est plus là, et seul l'encensoir noir
lentement s'estompe et puis disparait. Heureuse je reviens dans le living room et je me
rends compte que mon plus beau cadeau de Noel le voilà; c'est la sérénité ou la paix
intérieure et que ma volonté déchaînée de jadis et naguère s'amenuise jour par jour
vraiment petit à petit et devient un peu plus sensée et mon âme de moins en moins
tourmentée face à ces lendemains sans toi.
&quot;Ö sainte nuit, ô nuit de paix...&quot; je fredonne en montant dans la mansarde.
****
De votre aut'heure dans la nuit La Louve effrenée de belle musicalité le 25 décembre
2015
****
&quot; Oui, allons, la vie ne se perd pas, elle se déplace. Elle s'élance et se transporte au
delà de cet horizon que nous croyons être le cercle de notre existence. Nous avons les
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cercles de l'infini devant nous. C'est une gamme que nous croyons descendre après
l'avoir montée, mais les gammes s'enchaînent et montent toujours, La voix humaine ne
peut dépasser une certaine tonalité ; mais, par la pensée, elle entre facilement dans les
tonalités impossibles, et, d'octave en octave, l'audition imaginaire, mais mathématique,
escalade le ciel.&quot;
George Sand in Nouvelles lettres d'un voyageur
****
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L'Escape
L'Escape
Une escapade
Sans moult parades
Un coeur en chamade
Battant au vent
Le rythme des temps
Dès l'entracte
Un pacte d'arcade
De ces piètres actes
En musicales bravades
Une bleue de pause
Entre deux thés de roses
Une mauve chandelle
Soufflée par elle
Au long court d'une nuit morose
Le Jazz encore se repose
Une escapade
Sans parade fade
Le sax en portée close
Pleurant le refrain
De ce récent solo
Et la gamme enfin
Au détriment
Des bémols nonchalants
Et hurlant sa dose
Tes clameurs au piano
Frôlant en volupté le dos
Une amoureuse escapade
Sans aucune parade
Un coeur en chamade
Languissant de sérénades
De la Louve effrenée pas sad
« Plus je tourne et retourne cette idée que Dieu peut communiquer la pensée à la
matière, plus elle me paraît vraie. » (Voltaire),
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-01-29
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L'Etincelle des Rebelles
Merci aux magic men de Gotthard et à Steve Lee pour ce magnifique Tu Pasion in
music que j'affectionne particulièrement et qui a su m'inspirer ce nouveau refrain de
vers tendres de la Louve effrenée de musicalité d'amore...
L'étincelle des Rebelles
D'étincelles Rebelles en Décibels
L'étincelle des sorciers rebelles
Rebelles orgasmiques d'étincelles
L'étincelle des rebelles ensorcelle
Rebelles en feux follets d'étincelles
Entre deux langoureux de longs soli
Après un trop trop long orage gris
A s'y méprendre entre deux airs tendres et fugaces rebelles
Des yeux en flammes en flamboiements
D'étincelles en décibels flagrantes sonnant de mots
Vers contre vers nous aimantés encore en d'amants
Des mille et un tempo so damn langoureusement slow
En redondance d'orgasmes aux étincelles en recrudescences
Réminiscences de cadences trop denses
Luminescences entre deux folles crazy balances
Voluptueuses chutes de reins en hush & crush de démences
Sur votre insistance sans résistance en instance de deux danses
A s'y complaire entre deux vers pour refrains malins aux étincelles nouvelles pour petite
elle..
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L'Éventail Noir
L'Éventail Noir
Noir Éventail
Il avait des gants de couleur rouge
En lui offrant un noir éventail
Always toqué de sa guitare de noir émail
Surprise! Cet obtus musicien nommé Ail
Dont les doigts magiques
Via ses riffs en mode bouge
Sortait de l'usuelle gamme nette
Pour elle petite elle so freak
Et pas du tout jet set faite
Elle accepte le remercie il la toise
Ses lèvres deviennent grivoises
Elle s'émeut ses yeux la couve
Elle comprend devient gourmande
Sans entendre le bruit des vieilles douves
Et des gens tout autour
Et ses yeux gris bleus en redemandent
De ses obscènes de regards so lourds
Et devant tout ce beau monde
Il cambre sa taille de loup mi-velours
****
La baise sur la joue sans failles
Quel jeu d'canailles
Sa touche le seconde
Et ça gronde à la ronde
Ce tonnerre d'ondes furibondes
Elle monte cette sève maille par maille
Tous deux debout bien debout
La montée se fait au-delà de tout
Il lève sa jupe écossaise
Et lui offre ce pricky toy pas balèze
Mais Ö so juteux dans sa thèse
Se démenant devant derrière
Quelle rivière en furie ce fut
Lorsqu'ils orgasmèrent en rut
Better than a beer en fût
Et de pair sans poser nus
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Et se poser du tout au tout
La cruciale question m'aimes-tu?
MDLoups ou La Louve effrenée en ce 19 juin 2013
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
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L'Ultime Fugue de Célina
L'Ultime Fugue de Célina Droits d'auteur La Louve effrenée, acrylique sur toile, 1997.
C'était en terminale de nuit
L'archangélique dolce Célina s'enfuit
Sur une barque magically phallique
Après une tournée de cirque en cirque
Vingt et un printemps en stylistique
Avec Dieu pour bouclier
Sa jeunesse étincelle d'ivresses
En ces VIP Blues de kermesses
Et les roses champagnisées pleuvent en Ré
Sur l'océan d'amants beaux de sa destinée
Avec Dieu pour bouclier
Trop jeune pour mourir avec failles
Et du fruit de ses entrailles
La Célina laisse une résultante latente
De qui succédera une double rente
Dénommée Bianca et Renata
Avec Dieu pour bouclier
Spectacles des arrosées de dérives
Matins blafards avec fards entre convives
Aux douteuses de gueules gueuses
Entre deux partitions fougueuses
Avec Dieu pour bouclier
C'était en terminale de nuit
La dolce Célina bien aimantée s'enfuit
Au crépuscule son ombrelle elle prit
De Bianca et Renata paginaient deux générations
Elle marqua ainsi leurs chemins de vie ton sur ton
Avec pour bannière des roses-roses en boutons
Avec un seul Dieu pour bouclier elle s'en est allée la bien-aimée...
La Louve effrenée 2011 entre deux virées de wild musicalités en kool heures non
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camouflées.
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La Bavière
Emerald & Ruby ; prénoms fictifs octroyés par la Louve qui à roulements d'auto a su
immortaliser ces deux beautés chevalines dans leurs galops effrénés; c'était en Bavière
en ce chaud juillet 2011.
Musique par le truchement de Youtube: La Bavière de Richard Wagner et de Louis II
La Bavière
Vue par la Louve in Mode Groove
La Bavière so much extra-ordinaire
Terre de plus d'un mystère a su me plaire
All along la longue Route Romantique
Parsemée de craquantes vaches
Aux clochettes so swell d'apaches
I just felt in love as a little child so fair
As I am in these voodoo sandales
Sifflant chantant passant par Graben
Entre ce tandem sans œdème
Jusqu'au Romantiches Stabe
Égalité en beauté jusqu'aux étables
J'ai de mes yeux bleu-de-gris de louve-lynx
Suivi Emerald and Ruby ô quelle chimie
Ce fut le coup de foudre sans contredit
Cette chevauchée vraie sans artifice de feux
A su combler mon coeur au centuple
Via la pure nature enchantement quadruple
Sifflant chantant passant par Graben
Entre ce tandem sans œdème
Jusqu'au Romantiches Stabe
Égalité en beauté jusqu'aux étables
°°°°
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&quot;Il faut, avec les mots de tout le monde, écrire comme personne.&quot; (Colette).
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La Bête Noire de Lud Vic Tramp
Cimetière du Père Lachaise; tombe d'Eugène Delacroix.
****
La Bête Noire
de Lud Vic Tramp
Récit crématoire rétrécis
Selon les ultimes volontés du défunt, toute mascarade fut prohibée autour de son
enveloppe corporelle. D'emblée cette dernière fut transformée en poussière cendrée,
bien tamisée dans une coupe de verre à vin cuivrée, déposée à l’intérieur d’une
mignonne boîte conçue en bois d'olivier sous forme de bouquin à la digne reliure dorée.
En clair, ce fut un coffret bien scellé.
C’est par un temps poisseux du 31 octobre en ce mémorable mardi que se fit la mise en
terre. Tout au fond du cimetière de banlieue Laurentienne se jouait le dernier acte
terrestre de l’oncle Damasse et ceci sans bémol ni trémolo. Lud Vic; filleul bien-aimé,
chapeau haut de forme bien inséré, se tenait droit comme un cyprès. Stoïque, avec un
regard menaçant, sur réel, il se tenait lui aussi très droit portant la croix et ce fut dans
ses longues mains gantées de noir que l’éminent curé Malenfant déposa cet étrange
volume dont Ludovic zieuta et dicta à voix haute l’annotation immortellement réaliste
de l’emballage éditorial:
Ici gît Damasse Bienvenue-Tramp, l’Éditeur. ‘La mort est un acte à un seul
personnage.’ (Montaigne).
Ludovic mit le genou gauche sur la terre froide et déposa doucement son oncle bien au
fond du minuscule trou noir. Une sensation enivrante quasi orgasmique, le fit tressaillir
en partitions multiples et sporadiques! Lud Vic n’est plus! Vic Ludo auteur désormais
sera toujours un Auteur, un Grand; intrinsèquement le processus de transformation s’est
opéré en grandes pompes très au pluriel sans péché véniel mais plutôt mortel aussitôt le
dernier chapitre de l’oncle Damasse bien exécuté; Vic se redressa d’un bond et décida
sans tambours ni trompettes de chanter d’une voix surhumaine voire céleste, un Panis
Angelicus magistralement interprété à en faire damner tous les mortels jamais habitués
à décéder.
À l’arrière plan planait l’écho montagnard à faire hurler les loups de tous les sous-bois
avoisinants. Les quelques personnalités présentes se lorgnèrent tour à tour, subjuguées,
estomaquées, ne sachant que dire ou chanter, ne reconnaissant plus l’indécis et timide
Lud Vic. Prestement, mortellement blême, trêve de réflexion, ces individus névrosés
prirent la clef des champs ou plutôt du cimetière, en courant ça et là parmi les pierres
tombales aux allures quelque peu mortuaires. Le décor lugubre et majestueux qui
accompagnait ces époustouflants personnages semblait digne des plus beaux chefs
d’œuvre du célèbre Belzébuth ou du grand Manitou selon votre vue floue souvent
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flouée par le truchement éminent des artificiels d'enfer galvaudés sous le nom immonde
de paradis artificiels.
Vic Ludo de son nom de plume vivante demeura mortellement seul en cette
métaphysique scène automnale Halloweenienne, dorénavant, l’auteur et l’homme
s’avéraient solidement amalgamés. Le vieil adage sait dire qu’il faut mourir
intérieurement pour renaître à nouveau. Le voilà bien en chair dans une nouvelle peau,
dépourvu de sa bête noire qui s'avérait la Peur, libéré de cette émotion fatale
obsessionnelle et désormais nanti d'une seule et unique obsession; celle d’écrire sans la
crainte de la non-Édition, puisque son oncle avait trépassé et que, sans l’ombre d’un
doute, renchérit-il à voix haute :
- Je suis l’héritier de cette baraque, le futur maître de l’Édition…
Le saltimbanque déroula un ample manteau noir, le mit par terre, y installa son corps
d’auteur mal alimenté, sortit son stylo Water-man bien gorgée d’encre de Chine, déplia
son papier oignon dit vélin sans le malin et se mit en ondes exhaustives pour gribouiller
le second tome de son plus récent roman :
Le Testament remanié de Damasse.
À cet instant précis, le firmament devint rouge sang et ocre, jaune canari et violet De
Profundis vachement approfondis… Et en dix secondes un éclair indéfiniment long
traversa les cieux du Nord, Pays-d’en-Haut désormais devenus bas. Et la foudre
maléfique ou bénéfique résonna tel un requiem bien achevé d’outre-tombe.
L'oncle Damasse se tenait debout pas vraiment en chair mais en os avec un parchemin
long comme un bouleau blanc d'un demi-mètre et se mit à lire vivement sans s'arrêter
pas même un moment entre deux virgules qu'il sautait comme un somnambule quasi
funambule:
***
Cessez tous de rêver! Qui que vous soyez! personne ici-bas ne sera l'héritier de mes
capitaux et intérêts ni de mes biens et immeubles entre deux charivari de bain-marie; j'ai
deux jours avant ma terminale de ballade sur terre tout liquidé; c'est à dire tout octroyé
au Couvent des Sœurs Émancipées des Cantons de l'Est in Québec en canada; celles-ci
ont accepté d'emblée mon humble don; ces dernières étant toutes des auteures
remarquables en tous points, elles n'auraient donc plus besoin désormais de courir les
fichus d’Éditeurs pour transmettre ici et là leurs écrits psychédéliques magnifiques.
Et je signe sain de corps et d'esprit
Damasse Tramp
****
Et c'est ainsi que Lud Vic décida de trépasser car son plus beau rêve venait de s'achever
et aussi de l'achever. Sa bête noire revint en grandes enjambées le faire périr.
&quot;Ne jamais vendre la peau du loup avant de l'avoir tué.&quot; Mortaise! c'était
pourtant son oncle lui-même qui lui avait ce vieux dicton bien griffonné sur un papier
chiffon lors d'un dîner-causerie où un puissant orage similaire à celui-ci se déroulait
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vers la terminale de son ultime été bien arrosé entre deux biftecks édulcorés.
Amen
de la Louve vot'aut'heure diurne ou nocturne
~~~~
&quot;La Mort est un acte à un seul personnage.&quot; (Montaigne).
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La Bourlingue
La Bourlingue
En douce elle m'épingle
Vite vite et serré
Cette luciole en si bémol
Finira la bourlingue
Avec les copains
Aux vœux éméchés
Je me case sur son pieu
Sans Pater Noster pieux
Car sa pulpeuse poitrine
Me ruine la babine
Et mon harmonica
Se balance follement sur le tas
Putain elle se cadence
Sur mon saxophone
En transe du refrain
Jusqu'au xylophone
De ma concupiscence
En mal de blême matin
Elle va me sonner cette catin
Alors je réponds avant la sonnerie
Dans son cacophonique de bruit
Brrrr je me les gèlent
Ces pieds d'orteils
Avec ce manque d'oseille
Voilà que je la trouve frêle
Cette démentielle coccinelle
Bon elle se sauve car trop belle
Mince alors je caille
Et j'me grille en mailles
TTrois autres blondes
Dans ce hideux couloir
Sans véritable urinoir
En attendant qu'elle se repointe
En final top escale
Bon alors je plonge dans le vide sans feinte
Ce temps mort et lent devient ahurissant et de ce pas faisant je me roule une clope car
sans elle je varlope et je deviens amer de cette salope...
De la Louve en grande tournée sur les vieilles douves de sa petite enfance en France.
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&quot; On naît Louve et on le devient vraiment lorsqu'on réentend son train avec Dieu
pour conducteur et soi-même pour simple passager.&quot;
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La Danse des Âmes
LA DANSE DES ÂMES
La lumineuse croisade d’une danse
En transparence du Feu sacré
Sait inonder et irradier sans risée
Le déploiement intense et dense
Du chassé-croisé d’un ballet majestueux
Aux regards hagards des curieux
Dont le cœur endimanché du danseur
Amoureux de son jazzy-bluesy cœur
Battant la chamade bien au creux
De ce gigantesque brasier doré
Dévorant les esprits mal intentionnés
Au détriment de brimer l’espérance bleue
Les jupons ocres et verts virevoltent
Et flottent bien au-dessus des nues
Des pieds nus aux bracelets écrus
Des gitanes sveltes qui escamotent
Toute tentative d’ironie se délie
De la part des spectateurs ahuris
Ébahis de la souplesse et de l’harmonie
Douce entremêlée d’ivresse
De ces bohémiens aux atours
Disparates mais aux similaires
Yeux de velours pour l'amour
Sans détours à toujours à toujours
Ta louve au centre de tes calembours
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La Déconne -1Nu masculin de Théodore Géricault, Musée Bonnat (Bayonne).
°°°°
La Déconne -1-
La ville brille en virée
de tous ses jeux
et j'aime les nœuds
dans ce corps si jeune
devenu si vieux
car trop centré
sur mon nombril simili heureux
alors je ne vois rien d'eux
les vrais plus vieux
dont chaque ride
édifie un apprentissage intrépide
parfois plus solide
que l'académie indéfectible
selon ses hôtes
temporairement axés sur les notes
en pourcentage qui flotte
je radote ces vieux pieux
de voeux que l'on pousse au pieu
des extérieurs propres des mouroirs
sans fenêtres ni miroirs
de peur qu'ils les cassent
sur eux voilà l'impasse
je me regarde dedans
et la voix me dit hé! l'enfant
le pur de cœur aimant
en toi est désormais d'antan
car malgré tes jeunes ans
tu ne sais regarder en dessous
de tes griffés de vêtements
devenus trop petits
ce corps tu le sur-nourris
pour oublier cette souris
au regard torve-fourbe
sous sa louche tourbe
dont le paraître
sait faire bouger ta crête
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de coq en arbalète
La Louve
°°°°
&quot;Je ne comprends pas comment un homme vraiment heureux pourrait avoir l'idée
de faire de l'art; si nous avions la vie, nous n'aurions plus besoin de l'art. Quand le
présent ne nous offre plus rien, nous crions par l'oeuvre d'art, &quot;je voudrais.&quot;
(Richard Wagner, Lettre à Uhlig, le 12 janvier 1852).
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La Déconne 2
Musique: Jimi Hendrix - The Wind Cries Mary
°°°°
La Déconne -2-
T'as oublié le mec mon vieux
que tu ne seras jamais Dieu
parce tu as foi juste en tes yeux
qui sans lui deviennent hideux
nuit par nuit jour par jour
sur ce lit tu survis sans amour
Le vrai le beau tu le repousses
vu ta désormais mauvaise pousse
en herbes de chiendent
aux mauvais penchants
tu doutes de la Zoé
car tu ressens qu'elle te devine
alors tu la vires avec une épine
ouf! je plie l'échine
ça me débine
car je me croyais parfait
sans déficiences vraies
bof! après tout
je suis au bout
de ce tunnel
sans pareil
Bon je vais de ce pas
essayer de reprier sur ce glas
que j'entends sonner déjà
puisque je ne suis plus là
car devenu trop las
sans vraies valeurs
apprises il y beaucoup d'heures
quelle idée aussi que de marcher
avec juste un soulier
sur ces sentiers
avec de faux papiers
de La Louve
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°°°°
«Les hommes, à de certains moments, sont maîtres de leur sort ; et si notre condition est
basse, la faute n'en est pas à nos étoiles ; elle en est à nous-mêmes.»
[ William Shakespeare ] - Jules César
~~~~
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La Gitane de SansFinze
´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
La Gitane de SansFinze
Psst! L'année 2015
Sera celle de la Gitane de SansFinze
Psst! L'année 2015
Sera celle de la Gitane de SansFinze
avec son Ibanez de guitare
Le son rebondira so far
SoYeah! L'année 2015
sera celle de la Gitane de SansFinze
Crazy hips
Sweetie lips
Obvious music kicks
With hénaurmes Chics
Tender and harder picks
Et sonnera le slow Blues number Quinze
De la Gitane de SansFinze
´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
Cuivrée de voice aux accents toniques
Vachly rythmiques polyphoniques
Outrepassant les rules comiques
Des tunes aux variantes héroïques
Fichtre give her a tone bar
Et elle te fera monter planer
Jusqu'à la quinzième star
En en oublier tes nuits de bar
Entre deux chaudes nuitées
Ça pourrait te dégeler le nez
´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
Psst! L'année 2015
Sera celle de la Gitane de SansFinze
avec son Ibanez de guitare
Le son rebondira so wild so far
SoYeah! L'année 2015
sera celle de la Gitane SansFinze
Crazy hips
Sweetie lips
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Obvious music kicks
With hénaurmes Chics
Tender and harder picks
et sonnera son slow Blues number Quinze
sera celle de la Gitane de SansFinze
avec son slow Blues number Quinze
de la Louve effrenée de belle musicalité le dimanche 28 décembre 2014
´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
&quot; La turbulence c'est comme la flatulence; ça se frotte tout le long d'un noir canal,
renote et puis dénote en décadence sans l'ombre d'une stance en noir et blanc ou en
vert-de-gris dense obsédé par le Blues et la danse. &quot;
Renay Sances
´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
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La Louve en Cavalerie
La Louve en Cavalerie
Au trot et au galop
La Louve s'épuise
A faire rimer de trop
Amour avec toujours
Le désir s'amenuise
Lorsque l'objet s'enlise
Entre deux églises
En cavalerie de classe
Elle mime sa chevauchée
Immortelle hors réalité
Les joues roses en chasse
Elle se promet la classe
Déjà elle en trépasse
Le Baron de Mozart
Arrivera à la lune grosse
Pour le baise-main de l'Art
Il la surnomme Carabosse
Elle n'aime pas de trop ce dard
Mais il est si doux en rempart
Une fée il dit voilà un bobard
Comme une forcenée elle se débat
Entre deux séances avec fard
La nuit tombe et son chapeau là
Lui remémore tout de go ce fêtard
Il est beau à l’effigie d'un hussard
Elle doit rompre derechef
Avec ce Baron trop chef-chef
Ce baiser ne changera rien ô non
A sa définitive tardive décision
De ne plus revoir ce joyeux luron
Qui retrousse si bien ses jupons
°°°°
«Qui veut élever en un instant une flamme puissante commence par l'allumer avec de
faibles brins de paille.»
William Shakespeare in Jules César
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La Muse
En musique Nazareth Knockin' on heaven's door
La Muse
La Muse s'amuse sans Ruse
Une muse diffuse
Idéologie et ruse
Rêvassant ici et là
En plein cœur
Des blanches fleurs
Au centre d'un jardin
Dont nulle bestiole
N'a le don de l'auréole
Sur un pétale trop fin
Une muse confuse
Rêvassant ici et là
Semblait soupirer en langueur un grand chagrin
Une beauté recluse
Vint un jour d'octobre
Lui parler d'Amour las
Sans lancer d'opprobre
La muse confuse
Écoutant ici et là
Sans entendre l'éclat
Des vers en poult d'soie
Et la muse comme la buse
Volait et planait son Soi
La muse semblait perdre le fil de lin de son destin
Un bouquet de puffs
Ou d'exagération bof
En plein Salon vive Birkhoff
Après tout les sottes muses
Ont aussi lésé leurs droits
Avec de sots passe-droits
Jusqu'à l'ultime trépas
De leur doigté léger adroit
Et la muse nullement intruse
Se tourna vers une autre Muse
La muse désormais suivrait le fil de son destin
°°°°
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____
De votre aut'heure diurne ou noctune une autre fleur sauvage de La Louve effrenée de
belle musicalité dorée cuivrée bien assonée pour bien vous aimer.
Création du 19 MAI 2011 16:19 heure de la France de mon enfance en transparence de
danse.
°°°°
&quot;Il y a mieux encore que le calme de la solitude : la présence silencieuse de l'être
aimé, tout près. On est seul, en sachant qu'on pourrait ne pas l'être.&quot; (Claude Roy).
°°°°
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-05-20
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La Romance
La Romance
Ton Amour musicalement m’appelle
Vers cette Renaissance
Aux longues tiges d’Ariane
Qui en amont planent
Et me donne confiance belle
Et notre rencontre sera réelle !
Sans ritournelles qui harcèlent
Nos yeux se sont accolés
Tout comme nos âmes d’emblée
Il y a six mois ou deux éternités
Lorsque tes flèches exotiques
Tournaient autour aux pourtours
De mon cœur cosmique
Et vint ce samedi sans contrefaits
Je dansais et virevoltais
Sans pudeur, sans clameur
Bien autour de ton cœur
En ton âme via ton androgyne pâleur
Dont je vibrais déjà à m’en damner en langueur
La musique de ce Blues
Qui envoûte en secousse
A soudé nos âmes errantes
Et notre authenticité désarmante
A su balayer les impies
Qui tout autour festoyaient en esprit
Maléfiques et accablantes
Visant à éteindre ce Feu aux mille jeux érudits
Au matin le départ se fit sans bruit
Un peu à contre courant
Comme au milieu d’un roman
Inachevé, dénudées désenchantées
Les pages semblaient figées d’ennui
Somnolaient le chagrin sur nos aimants
Arrachés, médusés et galvaudés
Dans l’infâme tourbillon de la vie
Qui sait détruire maléfiquement
Les amours en cadences enfin réunies
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La Louve effrenée 2011 year of the Bronze et à chacun son Bonze ou sa Bonzesse.
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2014-05-14
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La Route des Joutes
Musique de Nazareth - Java Blues
P.S. Une superbe de pièce Blues sublimement bien rockée. Désolée au superlatif de riffs
pour ce petit grincement ennuyeux sporadique sûrement occasionné par un mic un peu
sick via un fil peu subtil.
De la Louve
La Joute Déroute
La Route des Joutes
Sommeil ultra léger
Douce et sensuelle épopée
Sur l'étroit et sinueux sentier
De mes énormes encriers
Aux encres bleues d'églantier
Pour un à un griffonner
Des vers d'hier de merisiers
Pour la fragile et forte Aglaé-Zoé
Une amie d'antan évaporée
Aux quatre vents dans une île égarée
Tristounette d'âme au corps émancipé
Nantie d'une double personnalité
Avec la bouteille pour amitié
Et les clopes pour bouclier
Incapable d'au-dedans se regarder
Car elle analyse sans compter
Tous les humains déshumanisés
Alors passe et passera dans l'oubli
Son vrai moi profondément écorché
Et décortiqué en dés à jouer
La joute avec elle m'a bousillé
Et sur la route elle m'a dérouté
Car devant son alcool à elle aussi
Je suis impuissant comme un ovni
Devant un saxophone en plein midi
Jouant mal La Route des Joutes
°°°°
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&quot;Il est toujours possible d'unir une grande quantité d'hommes par les liens de
l'amour, pourvu qu'il en reste dehors pour recevoir les coups.&quot; (Sigmund Freud).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-08-17
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La Route des Lacs
Photo La Louve Juillet 2011 - La Route des Lacs
Musique par le truchement de Youtube; Henri Salvador et sa belle version de Petite
Feur
La Route des Lacs
De l'âme et ses drames
Une terminale en retour bon
Se pointe la Vallée du Hérisson
Du Lac de Chambly en aval
Suinte à flots le Lac de Val
Jusqu'au Relais de l'Éventail
Où tout se joue en franc-corail
Labourant le cœur ce joueur infâme
En mots cruciaux plaît-il qui vaille
La peine de roucouler en caille
Les péripéties jurassiennes
Ont fait en boucles plurialisées des siennes
Pour conserver l'âme sereine
Une prière vaut mieux qu'un verre
Sans pour autant oublier le vers
Entre deux déveines malsaines
A l'arrière de plan des jalousies vaines
Le Saint-Laurent en G infusion verveine
Où le Laucuzon rencontre l'Éolienne
Stop! Et ferme en douce les persiennes
Des inutiles sarcasmes déchirant la chair
°°°°
&quot;Le mot n'est pas signe, mais nœud de signification. &quot; (Jacques Lacan).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-08-03
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La Splendeur
La Splendeur
Sie Und Er
La splendeur de vivre en harmonie à plein temps
Bien autour de la beauté qui chavire doucement
Nos cœurs d’enfants de satyre
Et s’ouvrent nos yeux amoureux de tendresse
Au tempo des Princes en jeunesse
Machinalement nous voguons en liesse
Sans attente en retour
Nous donnons de nos amours
Qui ensorcellent la vilenie des ivresses
Mal lunées délurées jusqu'aux bas-fesses
Elles surgissent hagardes
Et de honte s'enfoncent blafardes
Contrites perverses meurtries
Aux confins de leurs hérésies
Et de leurs désirs quintuplés
Elles se recroquevillent, traquées
Les mal-aimés avancent graciés
Et leurs trésors de tercets dévoilés
Au grand jour devant les grands
Désormais crédules et repentants
Cédant ainsi leurs inquiétudes
En de poursuivre en quiétude
La belle voie des mots
Qui alanguissent les maux
Cumulés sur leurs mémentos
Depuis tant de pleines lunes
Et de soleils brûlants diurnes…
Désormais bien musicalisées
Résonneront leurs érotiques tercets
Enflammés et enrubannés
De magnifiques et voluptueux sonnets
À l’effigie de leurs voix en ardeurs
Et de leurs corps haletants en sueur
Et de leurs âmes en divine profondeur
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Pour toucher le cœur des chœurs
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2010-12-21
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La Swell Calèche
La Swell Calèche
Par un soir de brouillard
Elle monta comme un lynx
Dans sa swell calèche de Tzar
Lui le superbe rouquin Adonisart
Elle svelte longs cheveux épars
Dentelles sur dentelles écrues
Culottes aux genoux quelle vue
Blanche laiteuse sans aucun fard
Le clitoris dur comme une barre
Avec un wild tatoo de sphinx
Entre ses deux seins poires
Il la zieuta en érectile foire
Le sang bien chaud so far
Ses naseaux son oeil de dard
Tout en lui inspirait le sexe rare
Monte allez monte-moi
Ici même nulle part ailleurs
De ton écrin je me meurs
Ton velours ô secret trésor
Tu m'érectionnes sans effort
Le manque de toi me broie
De haut en bas avec effroi
Oui mets à bas ces jarretelles
Ces culottes ces dentelles
Cramponne-toi sur ton lord
Sur moi rassieds-toi encore
Relève-toi bien haut ma cyclope
Et reviens te rebrancher encore
Allez cocher et que ça varlope
Tout droit à l'Othello d'château
Plus vite ma sweetie salope
Under the blue moon sans clope
Elle l'enfourcha cet étalon
Lui prit la taille les fesses sans un mot
Sans un souffle sans chrome
La calèche cahin-caha au trot
Lui redonnait le rythme déjà chaud
De se dandiner en ré à califourchon
Lui pourléchant les cils et les lobes
Mordillant ses lèvres comme une môme
Elle se fit jouir double en attente de son flot
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De jus sucré-salé sur sa rouge vin de robe
Et tous entendirent ce long cri: I feel home
de La Louve effrenée ; all right reserverd here en ce 30 août 2012 à 21:22
****
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
&quot;Le pire aîné musical-érotique que j'eusse connu fut le Baron Lustucru lorsqu'il
me proposa un cunnilingus d'astreinte face à mes vers; pas pour un sous terre à terre
susurra-t-il assouvi sans l'ombre d'un verre.&quot;
(Kakemphaton de la Louve effrenée).
Yes! Deux pleines lunes en ce mois d'août 2012 donc la seconde se nomme blue moon;
ça va briller dans les chaumières ces fripons de rayons so bons qui se reproduiront
seulement en 2015!
Yes! Blue fool full moon!!
NOTA BENE:
&quot;La prochaine pleine lune a lieu :
Vendredi * 31 Août 2012 * 15:58:06 heures
Heure d'été d'Europe centrale (HAEC).&quot;
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2014-12-19
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Langoureux de Blues
La louve création spontanée avec les pigments de la sanguine, du sépia, du fusain en
synergiques mouvements lents du pastel sec tendre de préférence allemand en bâtons
ronds; titré Langoureux de Blues voire Languorous Blues.
Merci so much à Nazareth pour sa musique sod damn goood with this Lady Luck
And from la louve in groovin' mode sans code a crazy gift just for You where ever you
are ce...
Langoureux de Blues
Languorous Blues
Un ultime langoureux de Blues
Entre deux plumes de blouses
Un ultime de langoureux de Blues
With the rhythm of the slide-glisse
And glisse la wild and savage Myosotis
Entre deux plumes de blouses
Quasi devenues dingouzes
Oh! Yeah! nothin' more to lose
Except these damn laces shoes
For sure sweetie again and again
This is a languorous Blues sans bargain
Un ultime langoureux de Blues
Entre deux seins poires sans blouses
Un ultime de lascif non nocif de Blues
With the rhythm of the slide in glisse
Ultimatum avec ou sans rhum
For un ou deux hommes sans gomme
Ou bad bad partitions au bord du fond
D'un verre en forme d'oblong de gong
Annonçant le trémoussement long so long
Trop trop long de la Myosotis ô hisse
Un rhume à Tis ou à Osoym Mmm Gee-Wiz's
For sure sweetie again and again
This is a languorous Blues sans bargain
So check it out your crazy cornet
Si ton lit est défait avec ou sans entremet
Je saurai m'y perdre au comble des versets
____
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Yeah! Takin' a Ride without aggressive sides
Les goûts des kool heures musicales ne sont pas à discuter mais à cultiver aux
intervalles.&quot;
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-03-31
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Le Blues d'la Louve
°°°°
Le Blues d'la Louve
The Louve's Blues
So deep too good sound
Over the damn rebond en Fa
Sensas or better in G n'c'pas
So deep so good sound
Of the the Blues's louve
En over dose des bla-bla-bla
Et vivant le musical joyau de la grosse lune
D'un février avec blancs camélias
Et aux rouges et roses magnolias
En un écho furibond en quatr'accords
Au tournant des vieilles douves
De la belle Breizh d'Armor
Via la sweetie Suisse in excelsior
Come over and Jive the Blues in color por favor
Allez joue le ton Blues à double tour
Sans cesser tes groove
Notes en soli solides insolites
Trait d'union à Treillère-Amour
Cloisons entre deux guillemets sur les sites
Où le soleil et l'émerveillement lévitent
Sur les mamelons hameçons via les bites
Qui ne se posent nulle part faute de candeur
Des cœurs écorchés en mal de bonheur
Et de Blues music obviously so much true
Sans frimes mais rythmiques rimes au-dessous
Et au-dessus des phantasmagoriques Ensolites
Héééé! catch it well this Blues is all for You
Come over and Jive the Blues in color yeah por favor
°°°°
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«C’est quoi la passion ? C’est une attirance irrésistible. Comme celle d’une aiguille
magnétique qui a trouvé son pôle.»
(Madeleine Chapsal in La Femme à l’écharpe).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2016-04-07
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Le Brouillard de l’Âme humaine
Prison de Verre embouteillée en close Sphère
&quot;Le Brouillard de l’Âme humaine.&quot;
L'âme et son brouillard
L'Alcoolisme une Maladie
Une Tare ou un Déshonneur
de la Louve effrenée de belle musicalité bien nommée marquise des Loups à l'âme
rebelle so belle...
Avis aux lecteurs
De la Louve effrenée voici un bref extrait de sa Comédie musicale Just a Crazy Blues ;
pour le bénéfice des lecteurs les personnages sont demeurés tels quels avec les questions
et réponses sur ledit sujet.
Toute ressemblance marquante avec qui que ce soit dans cet apologue s'avère une
impure de coïncidence des personnages, des faits, des endroits ou plus explicitement le
dénommé usufruit du hasard hagard; ce damn blizzard (damné blizzard) qui a su
marquer l'essence via l'effervescence en errance des branches disparates de mon arbre
artistique et ses orgasmiques échappatoires de gloire qui mènent au tombeau en ce
terrestre trajectoire; les noms ou pseudos dudit apologue furent l'extraction simple d'un
minuscule embryon extrait lui de même d'une pléiade de métallisés de sons, played ou
joué slowly (plus lent) in rebonds aux intervalles quasi astrales car le mot astraux ne
saurait s'avérer beau pour un tel scénario dont l'absence totale de fausseté saurait
derechef brimer la partition en deux portions.
Partie première
La phase terminale de l'alcoolisme s'avère douloureuse et nantie d'une souffrance sans
nom; l'individu au prise avec son esclavage ne sait plus vivre avec l'alcool et
paradoxalement ne sait plus vivre sans le ROI alcool. Une prison intérieure atroce jour
par jour. Maladie spirituelle, mentale et physique.
Je dédicace ce cadeau à tous ceux dont la maladie alcoolique a su faire périr l'âme et le
corps, à tous ceux, qui par une gratification titanesque furent conditionnellement libérés
en essayant jour par jour de vivre un mode de vie différent, et à tous ceux dont la
décision de briser les chaînes d'un esclavage périodique ou quotidien ne s'avère qu'une
question de temps; s'ils ont décidé de changer leurs vieilles idées ou leurs façons de
penser ou rêver que seuls ils sauront se battre et gagner avec le tyran alcool et es suites;
inutile de se battre; des milliers ont essayé de jouer ainsi et ce fut et sera toujours peine
perdue; ces essais aberrants mènent soit à la folie, la prison et ses murs durs ou la mort.
L'alcoolisme n'est pas un honneur ni un déshonneur mais vraiment une maladie et
uniquement la personne atteinte se doit de le déceler intérieurement, personne ne peut
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lui diagnostiquer ce mal; même pas le toubib, étrange, mais vrai...
En prologue court il est notoire de bien piger que l'égoïsme et l'égocentrisme sont à la
racine des problèmes reliés à cette maladie d'origine émotionnelle ou psychosomatique;
on la nomme parfois maladie de l'âme, ce qui est totalement vrai à 85% d'origine
émotionnelle et 15% d'allergie physique; l'alcool ou autres substances en somme sont en
somme que des symptômes éminents d'un grand désordre d'une personnalité malade ou
tordue dotée d'un ego démesuré au superlatif ou boursouflé comme qui dirait je ne sais
plus quel baron au juste...
PHASES ESSENTIELLES AVANT L'ABSTINENCE PAS A LA DEMIE MAIS
TOTALE:
1- Prise de conscienceSuggestions notables:
1- Vivre si possible une thérapie voulue d'un mois avec les douze étapes visant la
déflation du MOI en profondeur! Au Québec et ailleurs dans les dix provinces du
Canada ces thérapies sont nombreuses, malheureusement en France (à ce jour en 2014)
il existe une seule (peut-être deux) maison de thérapie existante depuis quelques
décennies (au tout début sous le nom de La Maison de Kate (Barry) - (grâce à elle cette
maison de soins vit le jour) Kate regrettée photographe dont le voyage terrestre s'est
terminé en décembre 2013) et puis sous le nom de Maison de Soins au Château des
Ruisseaux. Il existe bien sûr les cures soit en France ou ailleurs; lesdites cures qui se
passent à l’hôpital et qui ne sont pas tout à fait identiques à une thérapie mais quand
même valables pour certains points tels que soigner le côté physique qui est très faible
en carence vitaminiques et plus encore souvent... Par contre en Suisse ladite thérapie est
possible en certaines maisons ou cliniques avec des thérapeutes adéquats. (Des
recherches Internet sauront vous guider si vous avez décidé de changer de mode de vie).
Sinon: avec l'esprit ouvert; ce qui n'est pas une fracture du crâne mais une renaissance
pour la personne décidée et disposée à joindre un groupe d'entraide A.A. ou Alcooliques
Anonymes dans son quartier et pour bien comprendre le programme il est recommandé
d'assister à trois réunions par semaine et plus si désiré au moins au début.
2- Brisure totale du déni de la maladie mentale et physique.
3- Briser la résistance de pouvoir s'en sortir seul; si croyant demander à Dieu la grâce
d'enlever cette obsession mentale (85% émotionnel; maladie de l'âme) doublée d'une
allergie physique (15% physique (alcool ou autres substances). Si non croyant alors,
jouer à Dieu et essayer seul, en groupe, à deux. Se ressouvenir à toujours: que
l'alcoolisme est une maladie psychosomatique, mortelle, lente, sournoisement insidieuse
et incurable.
4- Cesser d'être sur les freins; en diminuant deux jours une semaine un mois;
l'abstinence se doit d'être totale et surtout pas de faux fuyants; tels que les bières sans
alcool avec 0.5 ou 0.2 idem pour les vins, champagnes, cidres etc... Accepteriez-vous
0.5 ou 0.2 de cyanure à l'occasion ou chaque matin dans votre café; sous prétexte que
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c'est seulement 0.5 ou 0.1 ? A bien réfléchir n'est-ce pas avant de gober ces palliatifs qui
en somme sont simplement une justification alcoolique; ce qui démontre que l'individu
abstinent d'alcool est encore soumis à l'alcool et qu'il a moult réserves en son cerveau de
vouloir re-boire cet l'alcool.
Pourquoi? L'alcoolisme est une obsession mentale doublé d'une allergie physique.
Maladie insidieuse, reconnue par l'OSM (Organisme Mondial de la Santé), oui, en
redondance je le réitère; histoire de faire comprendre le sérieux de mon exposé sous
forme de brochure (pour le besoin de la Comédie musicale).
5- Capituler devant ce Dieu et cesser de se prendre pour Dieu en lui demandant à
nouveau et aussi de briser toute réserve de re-boire normalement; c'est à dire de
retrouver le feeling du premier verre il y de cela cinq dix ou 20 ans ou X temps ???
peine perdue ridicule et impossible.
6- Lorsque l'abstinence, la capitulation, et la résistance bien brisée sont bien vécues
alors viendra le désir très fort d'accepter cette maladie qui tout compte fait est moins
pire que beaucoup d'autres maladies terrestres. Pas d'opération, pas de piqûre, pas de
médications pour soigner cette maladie lorsque le sujet cesse de nier, de résister et de
vouloir s'en sortir SEUL... oui avec Dieu tel que l'on sait le concevoir viendra
l'acceptation une journée à la fois et une nouvelle route s'ouvre; celle de la sobriété
heureuse et non morose ou bourrue et bourrée de palliatifs ou substituts tels que
certaines médications et plus encore!
Oui, c'est possible de vivre heureux sans booze (alcool et autres drogues) at all (du tout)
et à long terme puisque la Midoré notre héroïne (de la Comédie musicale) taquine
s'aventure à pas de louve vers sa 34ième année le douze juin 2015 et ce dans
l'abstinence continue de toute cette m****...
Plusieurs approches autres que l'approche A.A. : Un psychiatre, un psychologue, la
course à pieds sept jours, la nourriture à profusion, la sexualité mal dirigée, les
médications prescrites (parfois non utiles) qui s'avèrent en somme de l'alcool sec, les
sectes, les cultes, les religions aux extrêmes, le travail sans pause et plus encore ou et
tout pour s'accrocher à ses vieilles idées et essayer lune méthode ou un mode vie plus
facile pour devenir abstinent de son geôlier tyran nommé alcool ou autre substances,
enfin tout pour se fuir et pour éviter de se rencontrer se connaître; étape prépondérante.
====
Place au théâtre
++++ Et! Stoppant la lecture illico, le Zorro se fâche!! la belle canaille sort de ses
gongs...
-Tabarnack! (Putain) J'trouve ça raide ton truc! Tu sors des thèses qui m'donnent la
chair de poule! Je vais aller fumer une clope dehors si t'as pas d'objection la louve; je
manque d'air! Y'a plein de neige dehors, mes souliers sont encore mouillés et puis...
- Et puis t'es vachly grognon Zorro, allez enfile les Jimi's mocassins, c'est une grande
pointure; je me planque deux grosses paires de chaussettes de laine dans ces godasses,
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allez, please don't be nasty (s'il te plaît ne sois pas arrogant), t'es quasi rendu au bout du
manuscrit, et puis sauf le respect que je ne te dois pas, tu manques d'oxygène ouais,
mais pas d'air. Allez cutie pie (joli amigo (pas tarte) ), va en paix et pompe-moi ça c'te
clope et surtout à ma santé et sans culpabilité; be careful (sois prudent) ça gèle le ventre
et aussi le gland bien en bas vautré!
- O.K. d'accord, merci de ta compréhension ironique sweetie, j'y vais et pis tu viendras
m'ouvrir la porte lorsque j'aurai fini, je vais faire frapper deux p'tits coups dans la
fenêtre ça va?
- Oui, oui allez zi chenapan et grand bien te fesse jusqu'aux flancs!
Lorsque Zorro eut terminé son double et triple inspire-expire, j'écrase dans la neige et
j'me barre, il frappa tel que convenu deux pt'tits coups dans la fenêtre mais... Le décor
était sublime, la pleine lune, les épinettes noires, la neige qui tombait sur les cheveux de
Zorro; personnage d'un autre siècle qui lui faisait des signes heureux puis désespérés de
venir lui ouvrir la porte qui se verrouillait automatiquement lors d'une sortie. La Midoré
de lui sourire en faisant non non nonde la tête et ce par deux fois. Le Zorro souriait
comme un enfant et la Midoré aussi, et elle le trouva tellement beau qu'elle courut dans
le hall lui ouvrir cette porte en similitude avec la porte de son cœur et c'est à cet instant
précis qu'il y entra vraiment en disant tout contre son coeur bien près:
- Sweetie I feel home with you no doubt! j'vais continuer de lire ton salaud de manuscrit
et advienne que pourra, désolé de mon saute d'humeur!
Et la lecture reprit de plus belle avec la voix sexy de Zorro...
°°°°
L'alcoolisme une Maladie
Pas une Tare ni un Déshonneur et non plus un Honneur mais une Maladie.
- Je reprends quelques mots déjà lus pour nous remettre dans l'jus du sujet sweetie, ça
va? Dis-moi yeah! ça va me donner du courage pour continuer et ne pas te sauter right
now ( maintenant tout de suite), oui là, juste sur ce canapé de cuir, yes, right now!!
(illico, derechef!!!).
Le wild et sweet Zorro s'avança, lui fit faire demi-tour, et la prit par la taille bien
cambrée entre ses bras et ils se retrouvèrent tout aimantés sur le sofa de cuir moelleux
comme un gâteau au chocolat; c'est ainsi qu'il était certain que la partie était gagnée, elle
serait à lui, il avait réussi à la faire changer d'idée et ce sans jouer ni guitare ni
saxophone; il eut la faim immense d'essayer de la prendre sans savoir attendre et elle
comme une sirène prise dans son propre filet n'eut rien à dire que ces mots idiots mais
quasi beaux dans sa bouche d'enfant boudeuse lorsque contrariée.
- Crazy horse, tu me fait skier nous sommes venus pour la musique et ce damn
manuscrit qui est de toute importance pour moi, tu l'sais...
- Oui? oui sweetie! Quel s**** tu fais! I hate you! Mais tu as raison finissons-en! Tu
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me pompes l'air! ce manuscrit c'est bidon! je connais les maisons d'éditions et
l'espérance de vente de ce... enfin de ce...
- Ouache! le Zorro est frustré à nouveau donc il blesse à nouveau la louve qui pourtant
elle sait être gentille. Héééé! fais gaffe j'suis née d'un autre siècle, j'suis pas une louve
facile et puis tiens donc, moi j'me barre! Elle est trop haute ta crazy d'barre!
Et dans son sac à dos de cuir bourgogne griffé Paris, elle planqua son manuscrit, remis
ses mocassins, son manteau de poils et voulant fuir sans réfléchir cette pièce devenue
irrespirable, ses émotions folles virevoltaient; il l'avait blessée dans son âme, pas dans
son orgueil, la Midoré au tempérament fougueux qui déconnait et le Zorro qui se surprit
à dire sans même songer:
- Don't be silly sweetie! tu es là come on, tu restes et puis bon sens, tu n'es plus vierge
alors cesse de faire ta mijaurée! Ton manuscrit j'y crois plus que tu ne penses!!! Je te
désire tant j'en deviens dingue! Tu es une allumeuse ma parole!!!
- Non, tu y crois à ce manuscrit, tu me désires Shucks! tu me pompes l'air aussi alors
mets du son plus fort ou augmente le volume en canadien français et phoque de mer le
manuscrit, tu as vachly raison; l'espérance de vente est minable de ce bobard bâtard; vu
la non compréhension des gens face à cette maladie qui n'est pas une tare, je le réitère
calvaire! (calvaire!) Oublie cette connerie écrite et puis vive la musique le reste c'est de
l'esthétique ou de la gimmick! Allez baron place à la musique!!
Et la musique sonna tant et tant et le Blues résonna si bien dans cette étonnante
Renaissance en cadence; outrepassant la plus étonnante des romances sans falsification
aucune sous la lune d'une bribe belle d'un hiver incommensurablement inoubliable; des
demi-heures, des heures musicales quasi inégalables se poursuivaient avec deux âmes
belles en non-attente mais pourtant en authenticité latente pour le Zorro en mal de vivre
sans même savoir; un peu beaucoup vivant dans sa grandiloquence ou dans sa propre
toute puissance avec un déni plus gros que la baraque; rien de plus souffrant qu'un
alcoolique qui s'ignore ou qui est dans le déni de cette maladie encore vue en ce siècle
aux progrès disparates hétéroclites.
- Sweetie I want you so badly, come on, ne te désiste pas, allez Jazz me this Blues till
the end of the day and after midnight, Blues & Jazz me again until the sunrise and again
and again take with a slow hot Blues me again by surprise...
....
Et ce fut le repos bien mérité de quelques heures pour les deux guerriers héros... Elle
vachement heureuse au paroxysme de la jouissance, lui, vachement étonné et aussi très
heureux et plus qu'étonné de bonheur et assouvi comme jamais; avec nulle envie de voir
venir cette aube aux troublants fantômes violeurs de bonheur...
Paradisiaque est un mot trop simple... Sublissime!!!! dirent-ils en fusion électrisante!!!!
Et une réalité s'imposait; ivres de je ne sais quoi, c'était plus que le sexe tout ça; ils se
regardèrent incrédules, les jeux étaient faits désormais et au fer rouge ils étaient
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marqués voire stigmatisés à pérennité...
....
- La Louve je vais terminer la lecture tu veux? mais avant j'aimerais savoir comment tu
as su que tu étais alcoolique; quels sont les symptômes, tu étais tellement jeune lorsque
tu as cessé de consommer de l'alcool, tu étais juste un peu alcoolique, je veux dire pas
vraiment beaucoup alcoolique alors, comment tu as fait pour le savoir? Et puis moi tu
sais Dieu j'y crois pas vraiment, le grand Manitou oui ça passe mais Dieu très peu pour
moi ou trop... Alors ceux qui sont athées ou agnostiques, ils ne peuvent pas cesser
l'alcool ou les autres drogues? Bof! c'est trop ambigu tout ça... Éclaire ma lanterne; elle
se refroidit... Mais lorsque tu me reluques ainsi elle rougit prête à te faire rougir aussi...
- Bonne question, oui, l'alcoolisme ne fait aucune distinction avec l'âge ni le nombre
d'années de consommation, ni avec les quantités absorbées par jour, par semaine, par
mois ou année. Les symptômes pour moi furent ceci: incapable de dire non à l'alcool
sans souffrance, incapable de songer à ne plus boire, obsédée par l'alcool au point de me
créer toutes sortes de justification pour boire; fêtes de l'un de l'autre, décès, mariages,
surboums ici et là, je côtoyais des gens qui buvaient de l'alcool de préférence; ils
faisaient partie intégrante de mon cercle d'amis. Pour ta seconde question alors je te
réfère à ce que j'ai écrit over there (là-dessus) et qui se lit comme ceci: 3- Briser la
résistance (cesser de tergiverser ou de résister dans le déni) de pouvoir s'en sortir seul; si
croyant demander à Dieu la grâce d'enlever cette obsession mentale (85% émotionnel;
maladie de l'âme) doublée d'une allergie physique (15% physique (alcool ou autres
substances). Si non croyant alors, jouer à Dieu et essayer seul, en groupe, à deux. Se
ressouvenir à toujours: Maladie psychosomatique, mortelle, lente, sournoisement
insidieuse et incurable.
- En somme la louve tu étais juste une petite alcoolique...
- Une femme est enceinte ou ne l'est pas cher Zorro; il n'y a pas de petits, de moyens ou
de gros alcooliques; il y a des alcooliques that's all; un jour alcoolique = toujours
alcooliques; donc il n'y a pas non plus d'ex-alcooliques pas plus que d'ex-diabétiques ou
d'ex-asthmatiques. Un concombre plongé dans le vinaigre ne redeviendra jamais plus
concombre car le voilà désormais cornichon! Tu piges ou tu figes sans litige beautiful
Rodéo de star qui sait me faire planer par-dessus les bars?
- Ouais, si peu, je pige puis je dépige car il est plus que compliqué ton truc... je ne saisis
pas pourquoi une personne est alcolo et non une autre et surtout pourquoi y a pas de
guérison?
- Tu veux savoir pour toi ou....
- Non! pas pour moi, j'suis pas alcolo pas moi, je sais comment arrêter et puis je n'en
consomme pas des tonnes de bières et de vin, by the way bière, vin champagne cidre ce
n'est pas de l'alcool pur; donc pas de soucis avec ça et si je bois des bières et du bon vin
ce n'est pas toute la semaine, et pas au travail sauf pour des cinq à sept pour le bureau...
Et c'est seulement le week-end. Et pas souvent seul... j'ai horreur!
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- Oui oui oui Zorro j'te suis à pas de louve, go ahead (va de l'avant) sans club med...
- Non, ce n'est pas pour moi, mais pour une collègue à moi; une belle brunette; elle a un
sérieux problème! Elle déconne dans les cinq à sept; elle chiale et change de
personnalité comme tu écrivais dans l'autre chapitre. J'aime ça ton truc sur l'alcool sans
blagues... J'ai lu en diagonale lorsque tu étais aux chiottes; par contre ce bout-ci me
chicotte un peu... Et je te lis ça la Louve qui groove sans booze et qui me lance ses
phéromones que je m'en damne la trombone même lorsque je suis Lisbonne:
- Yes, l'avenir est aux oreilles de l'âme sans calembours infâmes! Et aux trombones en
mal de head phone (casque d'écoute) vas-y le Zorro, je suis toute ouïe grrr!...
- Oui! hééé! tu m'allumes et veux m'éteindre; bon continue de m'agacer et ce sera te fête
louvienne sous peu... Je te lis cet épilogue en deuxième dédicace pour ton Essai court ou
Communiqué long comme tu me disais au téléphone avec ta voix rocailleuse en
veilleuse et belle à faire damner le plus sot des musiciens...
- Fichtre d'enjôleur!... &quot;tu me plais, tu me plais, tu m'fais un de ces effets, un des
ces effets vraiment pas ordinaires...&quot; dis, tu connais cette tune qui est de Bécaud
ou un autre, je ne sais plus...
- Je ne sais pas, je n'étais pas né; comme qui dirait les couillons lorsque leurs
connaissances musicales sont mitigées limitées. Bon, je lis, sinon je reprends cette
Louve en flagrant délits d'étincelles dans ses yeux bleus délavés; couleur ciel en
mirabelles très pâles et deviennent bleu-marin lorsqu'elle se fâche... Bon, faute de te
sauter, j'saute ici quelques paragraphes et me dirige ici pour comprendre mieux ce grand
bout qui me semble pas facile ou je dirais sans te faire de peine la louve que &quot;ça
me fait chier&quot; autrement dit, et je lis en essayant de boire tes belles paroles écrites
et tout comme le mot dendrite me débine alors je poursuis ma lecture en buvant ma
bière et non pas de l'eau pure j'trouve ça trop dur!!! Tout de même ta vie doit être plate
comme de l'eau certains jours; spécifiquement lorsque tout l'monde boit et toi tu fais
quoi?
- Well, crazy thing je bois aussi, tu le vois; ton jus de carottes il est super hot; j'en suis à
ma seconde bouteille avec ce mix (mélange) de jus de pêches et tomates Mmm! so
damn good! (tellement bon!); un cocktail sympa et sans dynamite pour moi, je dis bien
pour Moi, capito?
- Yeah! Yeah! Tu fais chier, peut-être je t'envie un peu, sais pas, ça me fait tout drôle...
bon sans blague, je lis; sinon too bad (dommage) for you (pour toi) sweetie...
Et la lecture du fameux manuscrit de se poursuivre dans tout son attrait le Zorro aux
allures vachement désinvoltes, nous le savons, ou plutôt tout l'monde le sait; ce beau
parleur est mort de peurs immondes ; aux confins de chacun existe un Moi profond, il
existe aussi cette conscience, qui elle, sait rattraper son homme à la vitesse du son qui
désormais est à son néant; Mmm! musique et affaires point de mélange même pour les
anges...
Lecture du Zorro:
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La Renaissance une grandiose de Séance
Concept de Renaissance dans l’Égypte ancienne
et contemporaine-ment une réalité intéressante possible...
Alcoolisme - Abstinence = Renaissance
L'alcoolisme souvent vu comme une tare, un déshonneur, s'avère simplement une
maladie psychosomatique et non une dépendance. L'alcool mène à l'obsession mentale
(85%) doublée d'une allergie physique (15%); ledit alcool (vin, bière, pastis, gin etc.)
qui s'avère un puissant narcotique et l'attirance vers ce narcotique est le symbole
éminent d'un grand désordre de la personnalité; l'alcool est un poison nocif pour
l'individu né avec des prédispositions à ladite maladie. Aucun rapport avec les quantités
et les qualités d'alcool ingérées par l'individu atteint dans ses gènes et non plus des
fréquences des consommations.
Mourir intérieurement pour renaître à nouveau s'avère aussi un concept qui sait me
plaire... Ladite phase de Renaissance, non-utopique au flair de nos sens en
effervescence fait aussi partie intégrante de la Renaissance qui s'avère possible pour tout
être humain en bonne volonté (attention bonne volonté n'a rien à voir avec &quot;de la
volonté pour stopper&quot; de changer sa voie après une prise de conscience menant
illico à l'admission du non-sens de sa vie devenue incontrôlable-ment exécrable; une
renaissance en redondance non-utopique ou sectaire mais un acte non tangible dont le
profond changement de personnalité s'avère intrinsèque et synergiquement physique
menant vers un mieux être provenant de l'âme via le mental et le corps; faisant ainsi
guerre à toutes formes de maladies psychosomatiques dont il va sans écrire savent
toucher et voire détruire l'âme via le cerveau et le corps.
Toutes les maladies en somme prennent leurs cruciaux de points de départ aux confins
de l'âme tourmentée, d'où les maladies en latence un laps de temps parfois court ou long
selon l'état du système immunitaire.
Choisissons ici en exemple flagrant le cas d'un alcoolique abstinent d'alcool; donc en
voie de rétablissement mais non de guérison puisque l’alcoolisme est une maladie
incurable; pour demeurer abstinent et être heureux sans alcool à long terme, cet individu
ayant su vivre ladite prise de conscience, l'admission de cette maladie mortelle,
insidieuse et très lente en progression; l'alcoolisme dont les effets ne sont pas stoppés
(donc soumis à l'alcool mentalement et physiquement) sait rendre sa vie incontrôlable ;
donc exécrable via ses attitudes, ses comportements, ses jugements face à lui-même ou
aux autres et plus encore.
Selon l'éminent psychiatre-psychologue et plus encore Carl Gustav Jung (voir sur Wiki)
seule une expérience spirituelle saura faire mourir intérieurement pour faire renaître à
nouveau celui qui souffre de ladite maladie de l'alcoolisme; brisant ainsi la résistance de
l'individu dans le déni de sa maladie via la déflation du Moi ou son dégonflement ayant
ainsi conscience, que seul, l'individu atteint ne saura vivre la libération profonde de
cette obsession de l'alcool sous toutes ses formes (vinaigre et desserts alcoolisés etc).
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Vers les années 1940 les psychiatres Carl Gustav Jung et Harry Tiebout ont beaucoup
contribué à la survie de plusieurs alcooliques détenus en psychiatrie; ce fut le premier
pas vers la compréhension de la maladie de l'alcoolisme qui en somme diffère avec
chaque personnalité donc chaque cerveau mais pourtant similaire puisque vue comme
une maladie de l'âme avant tout à 85% et pour tous; insidieuse, lente en progression,
mortelle et incurable. La compréhension de la courbe crée par le docteur Jellinek; belle
création que cette courbe vachement réaliste et facile à piger.
La Renaissance existe aussi contemporaine-ment; ce qui en somme n'a absolument rien
de sorcellerie, de chamanisme ou de quelconque de religion ou de culte... Mourir
intérieurement pour renaître à nouveau; yes, oui, sans stress, voilà la Renaissance... Il
serait intéressant de noter que cette Renaissance joue un rôle prépondérant; la résistance
face à la consommation d'alcool s'avère brisée donc l'individu a su capituler devant
l'évidence; jamais il ne sera gagnant avec l'alcool qui est et sera toujours plus puissant
que lui; se battre avec l'alcool est se battre avec des moulins à vent.
La Paix Intérieure
Et la diantre de paix intérieure s'avère un chemin tout comme la foi, un chemin parfois
tortueux; voilà un petit dilemme pouvant devenir complexe aux sweet axes; et de me
répéter sans faire skier tout l'monde de trop que ce n'est pas une théorie mais une
pratique constante et vraiment une journée à la fois; quatre mots trop souvent galvaudés
voire risibles mais comment vivre le moment présent si je ne sais pas vivre jour par
jour?
La paix intérieure ou sérénité ne s'achète pas au Super U (France) ou chez Réno Dépôt
(Québec, Canada) aucun être humain ou chose, richesse, prestige et pouvoir ne saura
m'octroyer ladite paix intérieure, lorsque le chemin semble se rétrécir, je demande à
Dieu d'augmenter cette foi en lui (antidote à la peur) qui est mienne car je vis sur la terre
et oui parmi certaines gens névrosées (prises de peurs) etc. et si je suis gratifiée pour
aujourd'hui de vivre une certaine stabilité émotive via la paix du cœur, j'essaie de ne pas
oublier, je le réitère, que pour moi, c'est en Dieu que je saurai la trouver et ceci sans
prévoir à long terme puisque &quot;rien n'est acquis à l'homme&quot; tout l'monde le
sait.
&quot;Suis-je meilleure, suis-je pire qu'une poupée de salon&quot;... comme l'a écrit
Gainsbourg et interprété par France Gal (corrigez-moi si j'me leurre), là n'est pas mon
but, la perfection n'étant point de ce monde; mais je vise non pas à la perfection
spirituelle mais plutôt à une certaine progression spirituelle et ce dans un but
prépondérant: savoir sans trop de blessures ou brûlures internes absorber les vicissitudes
et méandres souvent inévitables de la vie et de savoir m'adapter à toutes sortes
d'individus qui en effet ne savent pas me correspondre ou parfois ou souvent ne sont pas
en accord mais pas du tout avec mon point de vue mais si je fais un effort et j'apprends à
les connaître ces gens sans vouloir les réformer, oui, accepter leurs opinions, leurs
façons de vivre et aussi leurs croyances ou leurs absences de croyances sauf en eux.
Pour d'autres gens il est préférable; vu leurs côtés très paumés voire très pervers (en
tous sens) que je m'abstienne de les fréquenter et mieux encore de m'en éloigner.
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La foi en Dieu (tel que je le c*nçois) qui s'avère un baume pour moi, peut sembler
ridicule pour un athée ou un agnostique; mon but ultime en causant ou écrivant n'est pas
de convertir qui que ce soit mais simplement raconter comment je sais vivre cette paix
intérieure et comment je sais m'adapter à différentes situations ou personnes pas
vraiment en accord ou en approbation avec moi; je ne détiens aucune vérité, sauf celle
de ne plus me permettre de douter que la puissance de Dieu qui me soutient chaque jour
à la fois est plus grande que toutes les personnes ou les tâches terrestres qui m'attendent
au détour; soit pour me louanger, me narguer ou me blesser; toutes ces options savent
me faire grandir intérieurement; donc j'essaierai de vivre avec chacune d'elles (ces
options) et vive la liberté intérieure; cette liberté pour moi s'avère une victoire sur
moi-même et ce Moi démesuré bien dégonflé à sa juste mesure saura changer de A à Z
mon comportement, mes attitudes, mes pensées et mon jugement de valeur face à
moi-même et aux autres.
En somme vivre libre de toutes substances ou psychotropes est une autre question de
choix de vie qui sait se discuter avec toute personne qui est dotée d'une ouverture
d'esprit certaine; ce qui ne s'avère pas en soi une fracture crânienne mais une des routes
(Crossroads) à parcourir et qui mène en droite ligne vers la paix dite intérieure via
l'extérieur aussi puisque lorsque la forme spirituelle est présente alors la forme physique
suit aussi; Dieu sait aussi être mon plus grand médecin; dur coup à avaler pour certaines
gens mais pour moi non; voilà ce qui fait nos différences à tous... Vivre et laisser vivre.
Si en l’occurrence je suis libérée de toutes substances liquides ou chimiques qui
atrophient mon âme et blessent ou empoisonnent mon corps au superlatif et
paradoxalement semblent me donner illusoirement une certaine fausse détente et paix
d'esprit tout aussi faussée voire artificielle débile; la véritable paix intérieure,
l'authentique détente sais me faire devenir libre profondément intérieurement; donc
m'acheminer sans heurt aucun vers cette fameuse paix intérieure ou sérénité en
redondance écrite.
Et de cela nous pourrions en effet en causer sur papier net pas sale en plusieurs
pages...Lâcher Prise tout aussi galvaudé et prisé sans jeux de mots vilains puisque après
ce lâcher prise je fais quoi? Des oies? alors idem dans mon cas de bianca (un de mes
prénoms baptismaux) je me tourne vers ce Dieu non punisseur ou vengeur et je
m'abandonne complètement à lui; comme j'ai su le faire antérieurement pour des
personnes qui pourtant étaient terrestres et n'avaient nullement ce pouvoir de m'apporter
la divine paix intérieure puisque humaines furent ces belles et bonnes gens.
&quot;Garde ça simple&quot; &quot;Keep it simple&quot; &quot;Garde ça
simple&quot; Dr. Bob lors de son agonie terrestre à Mister Bill...
Pas une théorie seulement mais aussi une pratique constante.
Ces quelques points primordiaux suivants ci-dessous sont en somme une route vers
début vers une Renaissance.
° Prise de conscience
° Admission (déflation du Moi volumineux à sa juste mesure)
° Capitulation: grande expérience disciplinaire nécessaire pour vivre l'acceptation de
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son abstinence via l'abstinence à log terme et la sobriété émotionnelle one day at a time
ou un jour à la fois psychologiquement causant...
° Acceptation en profondeur; pas juste dans le conscient mais aussi dans le
subconscient.
&quot; L'acceptation semble être un état d'esprit dans lequel l'individu accepte au lieu
de rejeter ou de résister, il est capable de comprendre, d'être d'accord, de collaborer et
d'être réceptif. &quot;
Dr Harry M. Tiebout
Al-ANON in Un jour à la fois page 135
°°°°
- Voilà la Louve j'ai terminé et je laisse la lecture en suspens car j'ai quelques questions
pour toi la louve... Oups! Y'a une annexe ici je la lis et peut-être la réponse sera-t-elle
propice pour le Zorro parfois zéro que je suis....
- Ouf! oUCH! V'la que tu te sous-estimes, pas bon signe; hééé! tu n'as pas à le faire; tes
faux amis sauront le faire pour toi crazy horse de mes wet rêves!
Éclats de rires assez fugaces de nos deux comparses!!
- O.K. D'accord en accord je lis et j'en déduis le plus facile moi le parfait érudit de ton
lit en ciel étoilé du dimanche au samedi!
-....
____
Epilogue
De l'Alcoolisme une Tare?
L'alcoolisme une Tare a su vous plaire ou vous a horripilé entre deux ré superposés? Pas
vraiment important puisque voici son épilogue vachement unplug:
---Dédicace fugace à tous les amants aux cerveaux lents de la Musique algorithmique
sympathique non chimique; machins malins sans refrains vraiment câlins atrophiant et
détruisant les trois états du Moi psychiques académiques rythmiques (l'égocentrisme et
l'égoïsme étant la racine de toutes les maladies psychosomatiques; où le corps et l'âme
sont touchés en wild virées) par devant derrière les salopards de dendrites° en désaccord
avec les neurones so damn sans bornes via la matière grise outrageant ainsi la cerise sur
le bord de votre remise au Super ou Hyper U de votre Région, Département ou Canton
selon vos allées et venues entre deux voyages impromptus du plancher au plafond
lorsque vous tournez en rond...
... Héééé! wake up les zamis! Domani, demain, tomorrow il sera trop tard pour une
partie de dards entre deux lardons vachly bougons (mot cantonnier québécois) anyway,
(de toute façon) bougeons de là entre deux la et Ré Mi Do Ré mal orga-nyzés..
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° Dendrite définition: Arborescence du neurone sous forme de filament court et ramifié
servant à recevoir et conduire l'influx nerveux (signal) provenant d'autres cellules
nerveuses. (Source: Médical de Dico).
°°°°
&quot;Renoncer au pire ou au meilleur souvent éphémère et illusoire, dans l'acceptation
totale; c'est devenir un être harmonieusement libre. (La Louve, 1994).
°°°°
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Le Château d'Othello
Le Château d'Othello
Le Château d'Othello
Au galop et au petit trot
Abandon total des masques
Le chevalier revient du château
Sa selle bien enfourchée
Sur ce cheval aux flancs non flasques
L'hiver ne sera pas long enamourés
Dans leurs âmes depuis mille lunes
Leurs corps se lieront via Neptune
Où l'amour ne connaît aucune lacune
Deux trois petits détours
Hors de la vue des badauds
Vilains mondains vils et faux
Près d'un sapin et deux cyprès
Et c'est là dans la neige
Qu'il étend son long manteau
Dévêtue de velours vert Nadège
Au corps léger comme un arpège
Au soleil reçoit son bel Hermès
L'effleurement tout doux
De leur peau à peau se noue
Une cosmique de symbiose et le manège
Devient ferme puis obscènement fou
Les lèvres pulpeuses gonflées de Nadège
Sont au point culminant d'aimant
Se languissant d'être frottées elles s'ouvrent
C'est l'inédite valse à quatre temps
Et l'écrin de satin se referme gourmand
En gobant suçant comme une ventouse ce gland
Jusqu'au laisser couler du chevalier Douvres
Le plus symphonique amant de tous les temps
****
For only You de la Louve effrenée de belle musicalité
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****
&quot;Je suis la pipe d'un auteur ;
On voit, à contempler ma mine,
D’Abyssinienne ou de Cafrine,
Que mon maître est un grand fumeur.&quot;
(Charles Baudelaire.)
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Le Château du Marais
****
Le Château du Marais
Sous la lune pleine de ce mois de juillet
Une fenêtre ambrée signa le reflet
D'une longue noire tignasse
Sous un chapeau blanc lait
Accentuant ainsi le ton bleuté du jais
Sous la lune pleine de ce mois de juillet
D'un pas nonchalant il vint vers moi
Nos yeux se croisèrent en émoi
De ce prince tzigane ou roi
Je perçus le pervers regard narquois
De ce chenapan en état de surmoi
Sous la lune pleine de ce mois de juillet
Il mit mes mains dans les siennes
L'éclair en zigzagua les persiennes
Balaya les vitres en griffes d'hyène
Un cœur de feu tournoya obscène
Aux extrémités blêmes de cet ocre filet
Sous la lune pleine de ce mois de juillet
Les éclats de nos cœurs s’énamourèrent
Nos âmes fusionnées s'éclaboussèrent
Désarmés furent nos corps à rebours
Inconsciemment nous montâmes en amour
Incapables de nous dessouder sans gros effet
Songe éminent du souvenir brûlant permanent
D'une lune grosse d'un décembre doux d'antan
de la Louve effrenée en ce 25 juin 2012
****
P.S. &quot;La prochaine pleine lune a lieu :
Mardi * 3 Juillet 2012 * 20:51:54 heures
Heure d'été d'Europe centrale (HAEC).&quot;
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****
&quot;Relis tes ratures et poursuis tes rêveries note par note sans dessus dessous et
frotte-toi sur la gamme ahurie en oubliant d'épater la galerie.&quot; (La Louve effrenée
de belle musicalité).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2015-01-14
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Le Grand Écart
Le Grand Écart
Grand est l'Écart
de la Louve effrenée de belle musicalité
L’École Stacy’s Ballet Bloomfield fermait ses portes à 17 hres heures, sauf les
week-end du mois de janvier 2006. Jenny Bailey enleva ses chaussons et se retourna
d’emblée car elle se sentait surveillée. Bizarre de sensation lorsque nous savons que la
pièce est totalement vide et que soudainement nous savons par un sixième sens assez
développé qu’une autre personne s’y trouve comme ça comme par enchantement.
Détendue comme après chaque prestation de ballet elle s’étira bien au-dessus du trépied
à barres multiples. Décidément cette pratique fut des plus bénéfiques. Enfin après un
mois de constantes pratiques elle avait réussi avec John-John un collègue de danse avec
lequel elle aimait faire les pointes, les chassés-croisés et aussi le grand écart duquel elle
aimait faire car depuis sa petite enfance autodidacte dans la discipline de la danse; elle
savait bouger et accomplir ce grand écart avec une légèreté peu commune. Le visiteur
dans la salle de Ballet était le patron Stacy Nymark un homme bien connu de la région
pour ses nombreux talents: Danseur, musicien et chanteur. Il admirait depuis plusieurs
mois cette fauvette qui était Jenny la rousse… Sa souplesse et son Feu Sacré en la
matière faisait d’elle une danseuse que tous les théâtres mandateraient d’ici peu. Yeux
très vifs, poitrine menue, ventre plat bien sûr à l’effigie de tous les danseurs, le corps
après l’âme pour le danseur professionnel devient l’instrument par lequel toutes les
émotions passent via le public venant des sons géants de la musique. Bien sûr il y a ces
improvisations de danse libre sans musique mais lorsque le Ballet est en ondes la
musique substance paranormale devient primordiale. Elle se retourna et vit Stacy,
depuis quelque temps elle avait cru déceler dans ses yeux verts d’eau une lueur quelque
peu étincelante.
Contrairement à la règle d’usage derechef elle lui fit l’accolade et son toucher face à cet
homme se fit très léger; un effleurement qui semblait très communicatif et aussi très
sensuel. Leur premier contact en somme, il prit ses mains dans les siennes et les effleura
avec ses lèvres. Et lorsque leur premier baiser les surprit, ils en furent vraiment étonnés.
Leurs lèvres se voulaient gourmandes et aimaient se toucher en similitude. La musique
en sourdine faisait entendre Sonate à la Lune. Ils firent quelques pas de deux et Jenny se
laissa cambrer la taille par Stacy qui de toute évidence ressentait le désir monter de plus
belle pour la première danseuse de l’Académie Laurentienne. Comme en elle aussi le
désir montait en flèches, elle fit devant lui ce grand écart qui le laissait toujours très
ébahi venant d’elle. Jambes bien écartées elle le regardait avec désinvolture et lui
ressenti un sentiment de bienvenue immédiate; c’est alors qu’il fit une, deux, trois
pirouettes et fit lui même le grand écart très près d’elle. Et comme dans le ballet La
mort du Cygne, les deux danseurs se redressèrent ensemble les bras l’un de l’autre pour
se retrouver bien accoler au plancher dans les bras bien enroulés, elle sur lui au
diapason de volupté en parfaite harmonie de musique via les vibrations aux confins de
leurs pulsations cardiaques. Leurs respirations devenaient haletantes et leurs désirs qui
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s’avéraient plus que géant en demandait encore et encore de ce flot de suggestives poses
qui savaient les inviter à poursuivre cette ronde folle vers un jardin bien secret puisque
pour eux il s’agissait d’une première. Tout comme au théâtre, une première est toujours
tellement déterminante puisque tellement impromptue et non préméditée. Une première
est en somme la signification de d’autres scènes en devenir un peu technique comme
hypothèse mais tellement réaliste. La randonnée très sensuelle et remplie d’érotisme au
troisième degré savait les inonder de bonheur flagrant; leurs sourires respectifs, leurs
corps bien arqués à la taille l’un vers l’autre! Un vrai spectacle mais authentique! Ils ne
jouaient pas leur danse ils savaient la vivre intensément et très parcimonieusement.
Chichement non! À petites doses ils se gavaient chacun de leurs plaisirs vibratoires.
Leurs mains se touchaient ici et là sans cesse, et les cuisses et le dos, et les fesses, et les
bras, et le cou, et les cheveux et le nez. E tleurs lèvres à nouveau se gavèrent l’un de
l’autre, doucement sans bousculade, sans pression ou performance; histoire de se
remémorer combien ce moment présent pouvait s’avérer important. Lorsque la seconde
pièce de musique débuta, ils étaient en transe déjà! Une montée mutuelle de plaisir les
enveloppa tout entier et ils renonçaient déjà à poursuivre cette folle danse au profit du
plus grand séducteur qui soit du nom d’adonis dieu de l’Amour. Et bien au chaud il
entra en elle comme dans un Ballet russe! Une tempête douce et calmante semblait les
renouer davantage dans leur soma respectif; ils se regardèrent, émus aux larmes car
cette union voluptueuse ou érotique se voulait très distincte de celles qu’ils eurent
vécues antérieurement. Étonnant combien un ou une partenaire différent sait réaliser
une Première de différentes rencontres amoureuses… Plusieurs petits orgasmes eurent
raison d’elle et furent suivis d’un Orgasmique Coup de Blues
Notes importantes reliées à l’érotisme aux lecteurs
Chaque femme est tellement versatile en ce sens et dommage pour la gent masculine
mais un homme sur dix sait comprendre ceci: Certaines femmes pour des raisons
impossibles à élaborer en ces pages ne jouissent jamais, elles sont nymphomanes,
(certains hommes également souffrent de cette déficience parfois temporaire), d’autres
étant simplement vaginales ou bien jouissance seulement par la pénétration c’est à dire
ont un seul orgasme assez percutant et d’autres étant vaginale et clitoridienne peuvent
obtenir quelques petits orgasmes par le simple frottis du clitoris en érection (qui est en
somme à l’effigie d’un très petit pénis miniature) par le va et vient du pénis qui s’accole
bien à la peau et aux parois internes de la vulve interne et aussi en synergie au clitoris
lorsque la compatibilité des deux partenaires est extra sensorielle en similitude les
orgasmes peuvent fluidifier à répétions multiples. Please messieurs ne vous laissez
surtout pas berner par les gémissements et les hauts cris de certaines donzelles qui
prennent souvent leurs désirs pour des réalités orgasmiques; uniquement la succion
intense du vagin sur votre pénis peut définir ou sait démontrer que votre partenaire vit
une véritable jouissance ou orgasme. L’écoute par les sens de la vulve de la femme par
la sensation sur votre pénis est à suggérer fortement lors d’une relation d’Amour
intense.
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Oui, d’un Orgasmique Coup de Blues et dans toute la plénitude du mot. Une succion
indescriptible se fit et enroba totalement le phallus de Stacy en état de nirvana quasi
total; il ressentait son pénis tellement happé par la vulve de Jenny qu’il hurla son
bonheur érotiquement intense jamais en l’occurrence une vulve ne lui aura fait autant
d’effets! De la perversion la plus secrète aux plus obscènes de pensées, aux fantasmes
les plus inouïs, il se sentait bouillonner intérieurement et n’avait qu’une idée saugrenue
mais bien arrêtée; enfoncer en elle davantage son pénis et y demeurer à long terme.
Cette vulve s’avérait comme un temple de haute dimension où son phallus était un Roi
heureux devant tant de confort! Il se sentait à sa place, chez lui comme il a su lui
murmurer de la plus tendre des façons.
- I feel good Babe! I feel at home!
Ces paroles surnageaient à nouveau en elle longtemps après leur brûlant mais bref
baiser près de leurs bolides respectifs; leurs yeux se touchèrent intrinsèquement jusqu’à
l’âme et se joignirent en une compréhension sans paroles d’une promesse d’amour
infini. C’est d’ailleurs ce qui leur octroya la force de partir chacun de leur côté de
paysage; un vers le sud et l’autre vers le nord. Demain, domani, tomorrow serait témoin
de l’authenticité de cet amour en devenir.
°°°°
&quot;Une même chose a différentes faces, selon qu'on la regarde différemment ; et de
là vient que les uns prennent plaisir à tout, et les autres à rien.&quot;
[Baltasar Gracian Y Morales] Extrait de L'homme de cour.
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2014-04-08
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Le Héron et les Mouettes
Par le truchement de Youtube: Type o Negative - Angel
Le Héron et les Mouettes
de la Louve 18 septembre 2006
De cette baie vitrée
Le lac doré à cent pieds*
De ce futon pas rond je sais zieuter
Ce héron big oiseau argenté bien habitué
À contourner ces mouettes blanches
Pas fluettes ni fourbes ni désuètes
De paradis artificiels en esclavage & marivaudages
Sur ce marron quai en planches
Peut-être irons-nous ensemble à la nage
L'été Indien ici est l'heureux présage
Lorsque les âmes savent s'accoler sans se piéger
Les ailes bel Ange de passage
De paradis artificiels en esclavage
De paradis artificiels en esclavage
De paradis artificiels en esclavage & marivaudages
Ce héron semble méfiant et heureux
Ces mouettes aiment sans peurs ce divin lieu
Quel bonheur my love chaque matin
En sachant faire fi d'hier des malins plaisantins
Captant mieux ainsi le moment présent
Réalité ferme demain est vachly loin
Hier se doit d'être dans le néant malin
En n'oubliant point le filon malheureux
De paradis artificiels en esclavage & marivaudages
Planifiant sans sombres recoins
Remerciant le Créateur d'un si bel univers
Que parfois on omet de prendre soin
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En ce siècle un peu pervers
Où les salons n'ont plus de vers
La reconnaissance je pense
Voilà le prépondérant de la renaissance
Merci bel Ange pour ces nuits sans âge
Ni temps où le tempo fit son ravage
De paradis artificiels en esclavage & marivaudages
* À vous de traduire en mètres le mot pieds si cette lecture ne vous enchevêtre voici de
la Louve une autre sérénade pour tous ceux qui désespèrent...
Votre aut'heure diurne et nocturne en toute ténacité la Louve effrenée de belle
musicalité
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-05-18
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Le Mal d'Alma
Merci louvien à François Feldman pour sa voix magnifique via la musique magique
avec Le Mal de Toi
°°°°
And....
Just for You de la Louve; just for You where ever you are here or across the sea...
Le Mal d'Alma
Alma en Mal au trot via le galop des crazy chevaux so beaux...
Le Mal de l'Âme
Plus fort sur terre que tout
Un démentiel bluffeur sans coeur il joue
C'est une vorace-rapace de l'Alma ce mal
Dévastant l'âme à vous faire au trot mal trop mal
Un sombre rapace-vorace toujours fugace
Aux galop aux aguets de sa fragile de proie
Il se vautre au-dedans de toi sans loi
Il dévore le cœur le cerveau le foie
Ne peut supporter des autres le vrai bonheur
Il s'acoquine avec les jaloux envieux-monstres
Aux figures humaines aux multi-peines
Nantis de disparates vengeances et haines
Ce mal de l'âme ne saura s'amenuiser
Sans la demande d'une puissance salvatrice
D'un Dieu d'amour non vengeur-punisseur
Sans rapport aucun avec une église une religion
Ou des sectaires de stupéfiants de lampadaires
La demande de cette libération est inconditionnelle au statut social, l'âge, la richesse, le
pouvoir petit, moyen ou gigantesque grotesque, le prestige et ses litiges via ses spicy
hauts-voltiges; un baume magique pour cicatriser toutes les plaies de l'âme en espérance
d'instance sans résistance d'une vie nouvelle dont la reconstruction s'avère possible un
jour à la fois pour un être humain qui a décidé que sa vie devenait incontrôlable-ment et
inconfortable-ment piètre par lui-même ultime dieu aux voeux vachly trop pieux en
certains pieux (s) dégueus (x).
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Une dédicace hivernale 2011 de la Louve à tous ceux dont le Mal de l'âme sait atrophier
la beauté naturelle de cet être humain en Mal de paix du cœur ou de sérénité belle avec
lui-même.
&quot;Les chemins de la gloire mènent au tombeau.&quot; (?) Anneaux Nîmes à vous
de trouver l'auteur de ce proverbe plus qu'en herbe.
( ? ).
____
&quot;Les goûts des kool heures musicales ne sont pas à discuter mais à cultiver aux
intervalles.&quot; (La Louve).
&quot; On naît Louve et on le devient vraiment lorsqu'on réentend son train avec Dieu
pour conducteur et soi-même pour simple passager.&quot;
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-02-03
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Le Mal de l'Äme
La Louve effrenée création de l'imaginaire débonnaire; SODART 1999; murale neuf
pieds X cinq pieds; huile sur bois titrée &quot;Musique en Feuilles&quot;
De la Louve à Toi où que tu sois avec ou sans vers à soie
Le Mal de l’Âme
Quand dans mon âme
Le mal s'est installé
Je ne l'ai pas vu surgir
Il s'est vautré bien caché
Comme un scélérat
En voulant dévaster
Ce que j'avais de plus cher ici-bas
La paix du cœur la sérénité
J'avais tant soif d'alcool nuit
Et jour et de toutes futilités
Qui surgèlent et rendent bouche bée
Et plus encore lacèrent le nombril
Le temps et son sursis
Quotidien jour par jour
Me donnent la paix en survie
Ne plus avoir soif au détour
Je vais en route vers la musique
Heureux sans l'esclavage continu
De l'alcool poison ou ciguë
Pour un être né alcoolique
Par la grâce de Dieu ô certitude
Me fut enlevée cette servitude
Qui rend l'homme pire qu'une bête
Démentielle et souvent le tue sans en-tête
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°°°°
Annexe sans Sexe
Citation sans Nœuds bidons
&quot;Inutile de se justifier pour écrire le pourquoi et le comment de la raison de
l'inspiration ou de la réalité ou de l'imaginaire; nil n'est besoin à l'artiste, le peintre en
art ou l'auteure en poésie de vers aux pieds comptés ou aux pas libérés de justifier en
redondance une pléiade d'explications dissonantes via les raisons de ces déraisons
plausibles ou non de ces griffonnages ou de l'aller et venir de chaque coup de pinceau
ou de spatules. Une œuvre picturale ou écrite ne s'explique pas; les émotions de l'artiste
ou de l'auteure transposées sur papier ou sur toile vont des yeux à l'âme de celui qui les
reçoit; il appartient à chacun de délibérer sur une œuvre quelle qu'en soit la matière ou
la forme.&quot; (La Louve effrenée in Un Monde à Part 2011.
____
Yeah! Takin' a Ride without aggressive sides
Les goûts des kool heures musicales ne sont pas à discuter mais à cultiver aux
intervalles ici ou à Bâle.&quot; (La louve 2011 ).
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Le Marais
Création spontanée Le Marais (automne) (1999) aquarelle (papier d'Arches) de la Louve
entre chien et loup...
Merci Tromal et Youtube pour cette retransmission belle du grand Claude Léveillée
autodidacte intact acteur-musicien- pianiste- parolier- interprète et gentilhomme sans
bornes: - Les Rendez-Vous Manqués
Et de la Louve s'émouvant an par an sur les vieilles douves de sa douce France pour elle
retrouvée et en latence de vous aimer...
Le Marais
Si je meurs ô à jamais
Loin de Toi et du Marais
Reviens poser tes ailes
Sur ce vinaigrier d'elle frêle
Ancrée en cette belle terre
Où cette enfant aux airs fiers
A chanté joué dansé sa prière
Des Aigles aux Rivières
En ces mots parfois niais
Si ô je meurs ô à jamais
Loin de Toi et du Marais désormais loin
L’Amour ou l'Amitié vraie ne meurt pas; allez reviens sur tes pas et pardonne avec Dieu
sans effroi
Deux Atomes de Rydberg
Se sont un jour accolés
Pour échanger leurs idées
Et fracasser leurs icebergs
Hush ce fut le départ so crazy
Between the dawn of the day hééé!
Entre chiens et loups doux ooouh!
Où la terminale du jour se joue
Jusqu'à l'aurore en chasse du nouveau
Chaque fois en perpétuel renouveau
Si je meurs ô à toujours ou à jamais
Loin du Marais si loin désormais
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Votre auteure diurne et nocturne La louve entre deux musick groove...
« Plus je tourne et retourne cette idée que Dieu peut communiquer la pensée à la
matière, plus elle me paraît vraie. » (Voltaire).
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Le Moment Présent
Le Moment Présent
Quel magnifique présent
Que ce divin moment
Quel soit-il en épreuve
Ou le plus petit bonheur
Plus question que j'me sauve
Pour éviter la douleur
La vivre en confiant ce fauve
À ce Dieu qui en délivrance
Belle m'apprend cette maîtrise
Partout toujours sans souffrir
Cet incommensurable pire
La façon de gérer ces émotions
En trop plein de rébellion en bêtise
En aparté aux versatiles de réveillons
Ne plus noyer mes chagrins rances
Retombées monstrueusement
Décevantes couvrant l'Amour
De ce Dieu tel que je le c*nçois
Et qui un jour à la fois par ma foi
Sait comment prendre soin de moi
Car je lui confie tous ces tracas
Fracas de tous les cas fous
Ou les cruciaux d'emmerdes
Avec lesquels je suis impuissant
Comme avec l'alcool et autres merdes
Je cesse de combattre gens et choses
Car je ne puis changer tous et tout
Sauf moi-même qui s'avère un tout
Donc je deviens en acceptation
Sans aucune souffrance
Ni aucune résistance
Mais en acceptation ferme
Au-delà des ternes termes
En demandant d'augmenter
Cette foi sinon je perds la cadence
Hier est déjà loin, demain encore plus mais le moment présent est ce qu'il y a de plus
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vrai donc je le vis avec attrait!
°°°°
&quot;Qui est guidé par une étoile ne regarde jamais en arrière.&quot; (Leonardo Da
Vinci).
~~~~
&quot;Pratiquer le non-mentir et dans le doute le non-abstenir de tir avec brulantes
flèches de désirs de vivre la paix du cœur musicalement et plus encore.&quot; (La
Louve).
&quot;Soyons indulgents au sein de notre bienséance en latence; histoire de valoriser
notre non-connaissance dense.&quot; (la louve).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-08-12
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Le Poët
Le Rat de bibliothèque' de Carl Spitzweg; huile sur toile - Musée Georg Schäfer
°°°°
Musique: Peter Green - Man of the World
°°°°
Le Poète
Le Poët
Le poète vit sa vie
Souvent en couleurs
En effervescence ô magie
Il s'émeut devant une fleur
Il raconte tout de son cœur
Le poète se meut en douceur
Parfois en langueur rancœur
À l'occasion il lit il pleure
Il apprend à crier sa douleur
Il apprend à se laisser juger
Il apprend avec foi l'humilité
Sans surtout jamais s'humilier
Il dénonce les impies sans pitié
Le poète sait vivre la solitude
Sans la peur de se connaître
Sans fard ou masque en attitude
Il sait reconnaître ainsi le traître
Le poète n'a pas peur de mourir
Intrinsèquement ou corporellement
Car chaque jour avec les mots
Il apprend son destin à écrire
Et avance ainsi vers l'éternel soupir
Avec pour bouclier son Dieu d'enfant
de la Louve
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°°°°
«C’est quoi la passion ? C’est une attirance irrésistible. Comme celle d’une aiguille
magnétique qui a trouvé son pôle.»
- Madeleine Chapsal de La Femme à l’écharpe
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-09-07
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Le Prétendant d'Illusion
Merci à youtube pour le Son inoubliable de Glenn Miller & His Orchestra titré:
Serenade In Blue avec la voix langoureusement belle de Pat Friday tout aussi belle.
Poème en refrain ci-dessous par la louve en dédicace à tous ceux qui souffrent du mal
de l'âme en latence ou en puissance et spécifiquement à ceux qui l'ignorent faute de
savoir ou de déni en soi.
Le Prétendant d'Illusion
Illusions en contorsions
Faux rires en éclosions
Stupides scénarios
Vase clos emprisonnant ton dos
Délires en solo ou en duo
Le château en cartes
Un jour bientôt s'écroulera
Sur tes amas de rires plates
Et tu capituleras ou périras
Illusoires de soirs en vides dortoirs
Question de temps
Ta prison morbide intérieure
Questions d'heures avec leurres
Pour devenir un piètre revenant
Tes os via ton cerveau se meurent
Surrender capitulation
Ta vie est un sordide tandem
Avec la pieuvre de la dive bouteille
En trop funèbre diadème
Pas de sortie autre que l'esclavage en otage tu es le Prisonnier Détrôné
Relève-toi et demande
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Sincerely à ce Dieu d'amour
Tel que tu le conçois en ce jour
Tu ne souffriras plus si tu demandes
De bannir de ton âme cette obsession désarmante
Tu ne sais plus vivre avec ni sans alors fais vite il est encore temps de demander pour
alléger les tourments de cette maladie de l'âme nommée Alcoolisme.
Une louve heureuse de vivre sans la dive bouteille ou autres esclavages pareils
détruisant le plus beau des belles merveilles en arts au soleil...
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-02-07
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Le Rosée de la Reine
A crazy Blues in G for You where ever you are on this rainy tuesday in 22 May joli...
Le Rosée de la Reine
La Reine et son Rosée
Un breuvage craquant épatant
Tout de go créé dans l'vent aux quatre temps
Un breuvage léger comme un arpège en tout temps
Un breuvage épatant craquant non ahurissant
Un breuvage léger comme un sortilège en tout temps
Et v'lan ! En arrière d'la red cravate
Sans attente de la brutale savate
Visant à déconnecter la réalité pour le sad-frimé
Un baptême de l'air à cent lieues
Une crémaillère à pendre en temps et lieux
Par un orage fou-cinglé à se reprendre
Profondément bien au-dedans avec un vers
Ou deux brimant ainsi la reprise de l'onomatopée
La reine des prés se soûlera avec son rosée
Sans oublier d'à votre santé trinquer
Sans pour autant s'anesthésier le ukelélé
Sans déroger des cordes et les picker hard tenderly
Et la matière grise via les pieds gazéifiés
Come on have a drink on her in G
Allez swingez le ce Blues entre deux Blues airs
Just a tiny bit jazzéifié and very much so blusé
A long gUITAR soLo so beau parmi les soli sans anesthésie in déni...
And bis again and again Le Rosée de la Reine this damn crazy Blues in G...
****
&quot;Musique ô Musique tu me donnes des ailes à voler et virevolter au-dessus des
aisselles de mes pensées en moult chassés croisés effrénés parmi les elfines and elfes
déjantés.&quot;
(La Louve effrenée de belle musicalité in Héé! Crazy thing fais-moi groover! in G).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2014-07-19
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Le Ruisseau Enchanté
Le Ruisseau Enchanté
Une histoire qui semble irréelle mais lorsque bien relue pourrait devenir une réalité car
tout ce qui vit sur terre possède ses raisons d’exister même ce qui semble anodin ou
inutile. Un petit caillou, une simple une chenille ou une fourmi qui va son petit chemin
sait nous démontrer que nous avons souvent besoin d’un plus petit que soi et ce en
toutes circonstances.
Par un beau jour d’été, je me promenais près d’un ruisseau dans ma vallée admirant les
fleurs de juillet ici et là, des petits aux gros cailloux, tout m’émerveillait. Lentement
j’avançais à pas feutrés, je ne voulais rien manquer. Un oiseau que je ne voyais pas,
mais entendais au loin par son chant plus que mélodieux, me fascinait tellement que
d’emblée je m’arrêtai et ébahie j'écoutais cet oiseau me fredonner sa ritournelle jusqu’à
la fin si belle.
Le silence se fit, alors je descendis la pente menant au bord du ruisseau et près d’un
petit rocher j’aperçus bien étonnée un jeune homme tout de blanc vêtu assis sur l’herbe
la tête dans les mains, il pleurait d’une façon démesurée. Je m’approchai et lui
demandai ce qui le faisait ainsi pleurer.
- Bonjour, vous avez un gros chagrin ce matin, saurez-vous m’en causer pour que je
puisse vous aider?
- Oh! &quot;me dit-il, &quot; c’est mon papa qui est bien loin et pour toujours, la vie
ici il n’aimait plus avec ma mère et moi alors il a décidé hier, le jour de mes seize ans
de partir pour la grande ville avec sa nouvelle amie Lucette. Je ne peux comprendre
comment il peut ainsi quitter ma mère et je suis bien triste et aussi très en colère.
Je restai sans voix ne sachant trop quoi lui dire n’ayant jamais vécu pareil dilemme.
Lentement je me suis assise sur le petit rocher et inspirant très profondément à pleins
poumons l’air pur de nos belles Laurentides, je regardai vers l’horizon et d’instinct je
songeai à ma mère décédée il y avait à peine un an. Je l’implorai sans plus attendre de
m’aider à donner une réponse à ce jeune homme tellement impuissant devant ces
évènements récents.
Finalement l’oiseau se remit à chanter, mais plus près de nous, sûrement à nos côtés il
était juché, mais impossible pour nous de le voir, pourtant son chant nous frôlait le
tympan…
Le jeune homme enfin l’entendit, illico il cessa de pleurer au son de cette mélodie
presque divine, un tantinet triste mais paradoxalement remplie de joie, un refrain qui
touche l’âme, un peu comme celui d’un violon…
Et je me surpris à lui dire lorsque l’oiseau eut terminé sa sérénade :
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- Ne soyez pas trop triste jeune homme, votre papa n’appartient à personne ni à vous ni
à votre mère. Chacun possède sa liberté intérieure et extérieure. Votre papa est demeuré
seize ans avec vous, c’est déjà beaucoup, désormais sa vie est ailleurs. On ne peut
retenir personne car chacun a droit à sa liberté. Soit de partir ou de rester. Aimez-le
quand même et qui sait un jour vous le retrouverez peut-être, ne croyez-vous pas?
- Oui! «Dit-il» Libre, c’est vrai, un peu comme l’oiseau qui a cessé son chant n’est-ce
pas, libre de chanter et de se taire ou de voler vers d’autres cieux et pourquoi pas, tout
comme moi, un jour si je dois quitter ma campagne, je n’aimerais pas que l’on m’en
empêche et que l’on pleure à mon départ. Oui, je comprends maintenant ce qu’il voulait
dire lors de son au revoir! Ses dernières paroles furent :
- José tu ne dois pas être triste, vis ta vie jour par jour, seul le présent compte vraiment,
car hier n’est plus qu’un vague souvenir et ce lendemain n’est même pas arrivé, alors
pourquoi s’en faire? Sois heureux la vie n’est qu’un voyage et fais le comme bon te
semble en n’oubliant jamais que le bien et le mal existent, c’est à toi d’en comprendre la
différence.
Et José montra de la main le bel oiseau jaune et noir qui s’envolait en chantant plus loin
l’autre côté du ruisseau. Je fus bouleversée de le voir ainsi les yeux mouillés et le
sourire aux lèvres, regardant l’oiseau s’envoler un peu comme si son père une deuxième
fois repartait vers un lieu différent. Cette fois-ci, José compris que rien ne nous
appartient en vérité sur cette terre et que le détachement des êtres et des choses s’avère
primordial dans le but de conserver en nous la liberté intérieure, il est évident qu’il est
préférable de ne prendre rien pour acquis sinon la désillusion sera grande voire bien
pénible.
- Tu sais José lorsque ma mère est décédée, je me suis sentie bien triste et révoltée,
j’aurais tant aimé la voir, l’entendre encore plusieurs années mais je réalise encore plus
aujourd’hui combien notre vie est vraiment tracée. Et à cela nous ne pouvons
aucunement échapper, car voilà notre destinée.
L’oiseau chanta à nouveau, mais tellement lointain fut ce chant en écho que nous
comprîmes qu’il s’en fut vraiment allé car nous ne l’entendions guère plus… Je ne fus
point déçue et José non plus, je lui pris la main, il me remercia avec dans les yeux une
étincelle d’espérance joyeuse. Il me quitta près du vieux puits et me dit comme ça:
- Merci tu es une bonne fée, je ne sais ton prénom, mais tu m’as tellement aidé à
comprendre que le détachement ne signifie nullement ne plus aimer mais au contraire
savoir aimer sans vouloir posséder.
Heureuse, le cœur léger, je continuai ma promenade estivale longeant ce ruisseau qui
jadis m’avait aussi bien vue et entendue pleurer à chaudes larmes, puisque je m’y suis
réfugiée lorsque l’on m’a annoncé que dans quelques mois ma mère décéderait d’un
cancer incurable.
José au loin dans le vallon agitait sa main bien au-dessus; m’assurant ainsi le début de la
cicatrisation d’une blessure profonde née d’une séparation. Je soupirai et regardai vers
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les cieux en guise de remerciement pour cette aide dont je fus en réalité qu’un tout petit
intermédiaire mais tout de même bien nécessaire. Et par conséquent, je compris
davantage que le plus grand bonheur sur cette terre est la joie que l’on sait partager.
Allègrement je me dirigeai vers la Chaumière tant aimée de ma mère...
La Louve in groovin' mode via la renaissance d'un nouvel exode 2011
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2010-12-28
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Le Sentier d'Adonis
Work of Art - Titien: Aphrodite et Adonis - Rubens Oeuvre d'Art ****
Le Sentier d'Adonis
Le Sentier des Adonis
from la Louve effrenée
Bien installée dans cette française de mansarde
Avec joie et regret je repartirais en croisade
Sac à dos et chapeau de paille le coeur en chamade
Les yeux pointés vers une commune belle de Suisse
Bien-nommée Saxon ô fier joyau bien en retrait
Aux confins du paisible canton du Valais
En resuivant de bons pieds le Sentier des Abricots
Là même je resuivrai le Sentier des Adonis
Instant béni où je composai ces verdets d'un trait
Sans me soucier de l'alphabet et de ses bas via le haut
Endroit légendaire où les larmes brûlantes d'Aphrodite
Devinrent florales à la brunante en tristes points de fuites
La belle ne se consolait point à toujours de l'épreuve fortuite
De la brutale terminale terrestre de son protégé vénéré
Ce bel ange aux yeux tristes et doux de ce bien-aimé
Larmes devenues fleurs aux coloris et corolles énigmatiques
Larmes prédestinées à égayer et combler la vue par des pétales
Aux nombreux coloris dans ce sentier aux disparates dédales
Impossible à cueillir à toucher ni déraciner car toxiques
Ce refrain m'est venu lorsque l'âme bien à nue
Je m'agenouillai sur l'herbe douce où je vis de vieux rose vêtue
Avec une couronne d'adonis jaune et rouge Aphrodite et l'étang
Étrange saut dans le temps en soubresauts vifs et lents
Heureux moments de sérénité et de vérités perçues
Gratitude et reconnaissance à Dieu pour ces stimulants présents
Où la nature et la paix s'accolent comme un précieux aimant
Je m'émerveillerai à l'effigie de l'enfant devant les abricots
En repartant le coeur léger tout comme le gai oiseau des eaux
de la Louve effrenée en ce 12 juin 2012...
&quot;Tout pousse en secousse où se vautre un peu de mousse so douce.&quot;
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(Proverbe mistyen-louvien-marquisien)
~~~~
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Le Syndrome des Stilettos
&quot;Relis tes ratures et poursuis tes rêveries note par note sans dessus dessous et
frotte-toi sur la gamme ahurie en oubliant d'épater la galerie.&quot; (La Louve effrenée
de belle musicalité).
Le Syndrome des Stilettos
Le Syndrome des Stilettos
Mein Stetson hat sous le bras
J'avançais dans l'noir par là
Elle m'accompagnait comme avant
Au Cirque de Saint-Amant
Torse et fesses effrontément bombés
Tout à fait arqués bien pointés
Les seins pas tout à fait saints
Les deux pieds bien échassés
De stilettos coupant comme le diamant
Stilettos en mode Ions
Bandeau rose bonbon rond
Mes vers sont libérés
Je ne compte pas les pieds
Et les siens me font penser
Aux vers à soie juchés
Sur un fil haute tension
Lors de ce spectacle éléctron
Hééé! Tu vas tomber attention!
La demoiselle non pucelle
Fit virevolter ses noires godasses
Pour mieux s'accrocher à la limace
A la longue queue pas belle
Et pointue comme une ficelle
V'lan la salope équeutée se brisa sagace
Derechef je fis ou vomis une grimace
Je vis la gonzesse planer tournoyer
Et puis face contre terre s'écraser
J'en fus subjugué en double axel Ré
J'ai su atterrir confit abasourdi sans salive
J'ai empoigné dans mes mains roides et moites
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Les stilettos et les mis sur son aorte vive
Et lentement je retrouvai ma route étroite
De vot'aut'heure dans la nuit La Louve effrenée de belle musicalité en ce 18 février
2016...
&quot;Relis tes ratures et poursuis tes rêveries note par note sans dessus dessous et
frotte-toi sur la gamme ahurie en oubliant d'épater la galerie.&quot; (La Louve effrenée
de belle musicalité).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2017-02-04
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Le Transverse
Le Transverse
La Prose en Poetry just for You between two solis...
Toutes les émotions que l'artiste, le musicien, le peintre, le sculpteur, le comédien, le
chanteur, le compositeur, l'auteur, l'acteur, le funambule, l'ébéniste et plus encore
transposent dans son Art savent rebondir dans l'âme de celui qui sait recevoir lesdites
émotions; l'authenticité de cet Art bouleverse et console celui qui reçoit à des degrés
différents selon l'authenticité idem du récepteur... A contrario de l'authenticité voire de
la haine ou de la petitesse, les bénifices d'un bien-être pour le récepteur s'avère nul sauf
si le transposeur d'émotions est égal moralement au récepteur entre deux clameurs.
Musicalement causant, entendre avec les oreilles de son âme n'est pas une histoire à
dormir debout. C'est un atout majeur pour bien recevoir chaque note jouée via certains
mots beaux chantés au timbre de voix jamais truqué voire falsifié par de disparates de
machines...
***
“S'il peut y avoir une analogie de la poésie avec la grâce, c'est que la poésie est une
grâce.”
De Frère Gilles in Les choses qui s'en vont
***
Et au risque de choquer ou d'entre choquer vos idées la Louve effrenée répond à Frère
Gilles...
- Oui en effet, une grâce à l'effigie de tous les dons reçus de Dieu tel que je le conçois,
grâce qui s'avère possible dans un laps de temps et que je me dois de transposer tout de
go sinon tout s'envole vers le néant ou les limbes, cette grâce dont je me méfie de m'en
enorgueillir; ce serait à mon avis perdre ladite grâce...
***
... Aujourd'hui mercredi this is the fool full moon du 23 mars 2016...
La Rivière Imagination coule à flots entre deux îlots de tourments que la vie sait nous
apporter un jour à la fois; il s'avère prépondérant de se relever de toutes nos blessures
intrinsèques ou corporelles... Oui, écrire c'est un peu se mettre à nu devant un public
parfois imbus obtus ou repus, un lecteur souvent inapproprié à nous capter en
profondeur (rarissime mais possible) ; l'important est d'être soi sans oser imiter (à
moins de savoir le faire à la perfection) ou encore moins plagier entre deux
onomatopées évaporées ce serait se leurrer soi-même intrinsèquement.
Le Transverse
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Le transverse diantre
ce muscle profond traverse
bouleverse et renverse
pas uniquement le ventre
idem mon âme aux cent anneaux
de décibels et libelles vitaux
Dans l'abdomen
tout s'accole et provient
de là le mal le bien
I believe it at last amen
Que signifie les mots
ajoutés sur une mélodie
ou précédés c'est inédit
mais jamais interdit
SoYeah! amore
keep calm and play
your beautiful soul
sans craindre le mixing bowl
du too cold as ice hot people
La Louve effrenée de belle musicalité en ce bouleversant jour de pleine lune du 23 mars
2016...
à suivre vers d'autres pages always en peaufinage; I'm in a wild virage...
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2016-04-10
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Le Vers Luisant
Titanesque de Sylphe aux réservés de droits right here (juste ici) et copier-coller pour
l'éducation plasticienne belle seulement et le bonheur des yeux via lâme ou vice-versa
sans le vice.
Merci Tromal merci Youtube pour la retransmission de ce wild and great tube de
Nazareth untitled Broken Down Angel
For You bel Ange étrange aux ailes farineusement arc-ange une libérée-versifiée
d’élucubration louvienne sans prétention aucune brimant ainsi les reflets de la future
pleine lune pascaline pour rejoindre au-delà des mers vos rosacés de vers tendres jadis
sans méandres et juste pour aujourd'hui redevenus plus tendres pour le bénéfice
secondaire de votre culpabilité béante que seul Dieu tel que vous le concevez saura
amenuiser voire effacer de votre âme et ce en toute gratuité...
Le Vers Luisant
Luisant s'avère le Vers
Le vers s'avère luisant d'atouts valsant chantant
Lorsque l'oreille de l'âme est comblée à satiété
Reluisant les assonances d'antan contemplativement
Le prince des mots digne épicurien Pierre de Ronsard
En est lui-même en son âme inconsciemment hagard
Aux froids confins de son Manoir de la Possonnière
Aux antres géants désormais glaciaux de mystères
Et les mystiques armoires aux étranges odeurs
Indélébiles de thym et de lavande versificateurs
Enveloppes aux pointes diamantées aux effets princiers
Retransmettant vibratoirement du poète les ardeurs
Alléluia!!! Alléluia!!!!
Près de L'Isle verte s'y vautre un rocher
Tout petit mais grand aux mille secrets d’étés
Beaux et chauds où les incorrigibles fous amants
Nantis de tous leurs versifiés d’élans éloquents
Se galvaudaient en vers chavirement perversement
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Reluisant de volupté endimanchée au travers la bruyère
De tous les fleuris de tapis fut naguère reine-mère
Bien accolée à cette pierre engrossée par les siècles
Par vents et battues d'orages aux douloureux mirages
Reflétant souvent des désirs de satyres éhontés
D'atavismes aux délirantes éclipses de contre-siècle
Quadruplant derechef les plaisirs obscènement volages
Alléluia!!! Alléluia!!! Alléluia!!!!
Revenons vers eux entre deux tercets au creux moroses
Rien ne lasse plus qu'une rose jamais vraiment éclose
Pourtant les impatients volent les boutons en pause
Méditation en leurs pétales aux craquelées d'osmoses
Votre trésor bien caché lui ressemble vous Sybelle
Conservez-le joyau bien emmitouflé en vos dentelles
Jusqu'au jour béni de Dieu où ce jumeau de votre coeur
Séduira votre âme sans jamais quémander vos faveurs
Alléluia!!! Alléluia!!!! Alléluia!!! Alléluia!!!!
Bel ingénue porté aux nues par ta Sybelle sois heureux en ton âme; l'Amour ou l’Amitié
authentique a su avec Dieu tel que tu le conçois en ta foi te redonner l'espoir de vivre ce
mal de l’âme jour par jour sans pour cela trop souffrir. (La Louve effrenée de musicalité
belle en ce quatrième jour d'avril de l'an 2011).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-04-18
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Les Grands Remous
LES GRANDS REMOUS
sie und er
Les Grands Remous Cent ans Avant brûlaient en latence
Les rendez-vous fous imaginés de nous
En ce mois d’août arrogant et doux
Le désir lent et violent aux remous troublants
De nos deux cœurs vacants en suspens
La pureté cinglante de nos humeurs écloses
S’amalgamant de désir à la candeur de nos peurs
Frôlant l’insolence de ces lucides nuits de mélancolie
Parmi ces amères et nombreuses pauses moroses
Nos retrouvailles haletantes de cette attente
Puérile, sage, timide et intransigeante
Similairement comme si un vilain génie
Atrophiait nos douces pulsions latentes
Nos corps se fusionnent en un fabuleux désir
Mais la raison sans émotion les ignorent une à une
Et l’extase revient et perdure jusqu’au délire
De l’oubli au creux des remous de toutes ces lacunes
Viens! Révèle-toi! Effleure-moi! prends-moi en G
]
Jusqu’à satiété de nous, narguant cette ode des sens
Car j’en boirai jusqu’à la sublime ivresse de toi
Et de ta masculine beauté fière et intense
Déjà je ressens cet amour infini de nous
De cette auguste magie remplie de remous
Ce goût de toi, ton sourire, ta voix
Ce doux repaire de ta vie en moi
Car lorsque viendra la douleur du partir
Triste nous déraisonnerons de ne plus sourire
Dans ces mots le désir soupire et nous inspire
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Espérant encore ce dangereux flot de remous de satyre
À toujours cet amour des mots de nos rêves
Reviendront puissants s'ennoblissant sans trêves
Perdurerons nos mots de faïence plus éloquents que l’absence
Nos lèvres assoiffées seront secouées d’une muette transe
Renouer avec les remous de nos violentes tendresses
En gémissant impunément et ardemment de ces ivresses
°°°°
Les Grands Remous Cent ans Après ne seront jamais désuets
Désormais je viendrai à toi fière et recluse
Tu me regardes et je me hasarde
À te parler non plus comme une muse
Je me désiste et pars ailleurs blafarde
Tu me repères et me rejoins narquois
Tu m'irrigues d’amour avec tes yeux grivois
Le revoilà ce grand remous de toi pantois
Tu me racontes tout et n’importe quoi
On nous regarde hagards et jaloux
De toutes parts mais ces sots nous les ignorons
Car nous ondulons au creux de ces remous
Voilà que tu m’enveloppes de tes regards furibonds
Enivrée ébahie je me laisse couler de front
Ta fièvre est mienne ignorant les glaives
Nos corps et âmes avides s’effleurent et se rêvent
À toute foulée nos cœurs s’enchaînent
Retiens-moi! Ne m’éloigne pas de tes chaînes
Vois! Les grands remous nous retiennent
À nouveau nous prennent et nous maintiennent
C’était écrit depuis l’origine des temps
Notre amour fou et indompté en grands remous
Je l’ai reconnu, il est venu en moi ardent
J’ai rejeté autour les mécréants trop filous
Et tu as su les enrayer ces vilains complaisants
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Ma vie d’égérie s’éteint et se diffuse…
Viens m’envelopper de ta douce musique!
Je te divaguerai des poèmes sonores et romantiques
Viens! Je me languis de tous ces sons qui médusent
Ne tarde pas! Ma vie sans toi se noie…
Je me languis de toi ma voie…
En redondance de toi je m’atrophie et me languis
Au tournant des milliers de sentences de l’absence
Tes comédies délirantes aux troublantes effigies
Sont dotées de disparates obscènes fragrances
Émanant de notre mystique amour en résonance
Bien au-delà des mots émoussant nos rythmes denses
Dans toute la plénitude de leurs mouvantes essences
Les Grands Remous Mille ans Après ne seront jamais désuets et ils brûleront encore et à
toujours en effervescence.
de la Louve Marquise des Loups aux âmes rebelles
°°°°
&quot;Le vase donne une forme au vide, et la musique au silence.&quot;
[Georges Braque]
Extrait de Le Jour et la nuit
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-09-23
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Les Mots Cahots
La Proie de Wojtek Siudmak d'origine polonaise.
°°°°
Buddha Bar - Bliss- Wish You Were Here
°°°°
Les Mots Cahots
Les Mots Chaos
Sortis illico du cachot
en moult chaos
les mots cahots
un par un coulent
et font de la houle
en masculine fémine semoule
sur les esprits manchots
non aiguisés en tercets ô ridules
voguant en chair de poule
une sinueuse compo maboule
avec indécence se déroule
alors barrez-vous les incrédules
les sons bleus se défoulent
en période de pulsions d'foule
en libidinales strophes de moules
Les faux cils au vent
il marche sans botte d'or
aux talons piquant du nez au sol v'lan
mais riche au-dedans encore
Blues sans blouse se jouant du temps
le canard solitaire glisse au vent
des amants blaguant en deux temps
mijotant un retour par devant
sans attendre les givres givrant
les eaux douces en basculant
les idées de musique athématiques
enroulant nos corpus-syllabus
lacérés écorchés débluesés en rythmiques
en arrière-plans aéronautiques
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despotiques sans alarmes de déclic
pour nos cœurs bio-symphoniques
En avant de l'amont sans pont
une ritournelle bleue en rires
et en pleurs mixés ballotant
que j'écoute sans déroute
v'lan lvan sans flute de pan
s'est volatilisé sans crier ses tourments
sois heureux prince des vents!
la musique Blues me reprend
sans attendre l'autre printemps
Les dos des badauds sur le mi
me chatouillent le culminant esprit
sans roulade de paon pan!
j'admire ces smilies ronds
et mes doigts endoloris
de la clope en cyclope
abandonnée sur la route du Nord
pianotent au pas de souris
les notes sans soucis
résonnent en quatre accords
Une aventure en somme
sais pas vraiment comment
une femme quasi un homme
présage concordant de mon futur temps
a bercé tous mes maux et cahots
ressortis en bleu de doux-violents mots
demain dis tu me dira comment
les rivières côte à côte sans voile ça s'descend?
Bang bang sur la rang bing bang la yousse qui sont tous les raftmen..oh!
Inutile d'essayer de saisir ou traduire la dernière phrase; c'est de l'ancien canayen
français en folklore avec Jacques Labrecque - Les Raftmen&quot; 1949; via les années
50 dites années noires au Québec in Canada
de La Louve vot' aut'heure diurne et nocturne
°°°°
Pour parler à un cheval, il n’y a pas besoin de mots. C’est uneétreinte charnelle qui
alimente nos rêves. Bartabas.
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-09-02
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Les Mots Cahots
Musique: Buddha Bar - Bliss (Wish you were here)
°°°°
Les Mots Cahots
Les Mots Chaos
Sortis illico du cachot
en moult chaos
les mots cahots
un par un coulent
et font de la houle
en masculine fémine semoule
sur les esprits manchots
non aiguisés en tercets ô ridules
voguant en chair de poule
une sinueuse compo maboule
avec indécence se déroule
alors barrez-vous les incrédules
les sons bleus se défoulent
en période de pulsions d'foule
en libidinales strophes de moules
Les faux cils au vent
il marche sans botte d'or
aux talons piquant du nez au sol v'lan
mais riche au-dedans encore
Blues sans blouse se jouant du temps
le canard solitaire glisse au vent
des amants blaguant en deux temps
mijotant un retour par devant
sans attendre les givres givrant
les eaux douces en basculant
les idées de musique athématiques
enroulant nos corpus-syllabus
lacérés écorchés débluesés en rythmiques
en arrière-plans aéronautiques
despotiques sans alarmes de déclic
pour nos cœurs bio-symphoniques
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En avant de l'amont sans pont
une ritournelle bleue en rires
et en pleurs mixés ballotant
que j'écoute sans déroute
v'lan lvan sans flute de pan
s'est volatilisé sans crier ses tourments
sois heureux prince des vents!
la musique Blues me reprend
sans attendre l'autre printemps
Les dos des badauds sur le mi
me chatouillent le culminant esprit
sans roulade de paon pan!
j'admire ces smilies ronds
et mes doigts endoloris
de la clope en cyclope
abandonnée sur la route du Nord
pianotent au pas de souris
les notes sans soucis
résonnent en quatre accords
Une aventure en somme
sais pas vraiment comment
une femme quasi un homme
présage concordant de mon futur temps
a bercé tous mes maux et cahots
ressortis en bleu de doux-violents mots
demain dis tu me dira comment
les rivières côte à côte sans voile ça s'descend?
&quot;Bang bang sur la rang bing bang la yousse qui sont tous les raftmen...&quot;oh!
Inutile d'essayer de saisir ou traduire; c'est de l'ancien canayen français en folklore avec
Jacques Labrecque - &quot;Les Raftmen&quot; (1949; via les années 50 dites années
noires au Québec in Canada ).
de La Louve
°°°°
&quot;Pour parler à un cheval, il n’y a pas besoin de mots. C’est une étreinte charnelle
qui alimente nos rêves.&quot;( Bartabas).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-09-06
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Les parasols Sauverois
°°°°
Les parasols Sauverois
De Petite Elle so louve lorsque le Blues est là
Dans un respire je te soupires Toi aussi loin que tu sois
Premier Avant-Dire[
Depuis quelques semaines vous osez survoler le florilège érotique de la Louve; voyage
en ultra-sons des amours en transparence ou en concupiscence frôlant parfois l’absurdité
de la vie et ses désirs irréalistes sournois qui parfois nous mènent vers des sphères
paradisiaques ou consternées.
Qui n’a pas eu l’euphorie de vivre ces joyeuses péripéties brodées de folies amoureuses
sera sûrement un peu égaré dans ce terrain vaste qu’est l’amour qui irradie
spécifiquement lorsque utopique puisque inabordable! L’érotisme est un ciel de lit
envoûtant dont il est important de vivre chaque instant lorsqu’il passe sur notre chemin
de vie.
Il est sympathique de noter que tous les faits, personnages, prénoms, noms de ces récits
sont absolument fictifs et puisés au hasard fulminant de l’imaginaire fécond de
l’auteure. Pourquoi un tel florilège érotique je le réitère avec bonheur, oui ce florilège
érotique et souvent musicalisé, imagé, et griffonné à absurde? Douze bonne raisons sans
raison raisonnable et à vous de les trouver, qui que vous soyez, je m'en préoccupe un
peu mais pas vraiment!
Et pourquoi pas ? La Louve étant née le douze; voilà me semble-t-il une bonne raison
sans contrefaçons nous lui donnerons raison, allez soyez fripons et surtout pas de jurons
ça dénote et fait cahoter la liberté d'expression via la controverse c'est vachly
déconcertant au printemps.
L’érotisme n'est jamais vulgaire en soi ou en toi; n’est-il pas une forme d’expression
corporelle thérapeutique; alors coucher sur papier tout ce que l’inconscient de chacun
espère ou sait rêver parfois sans même en avoir la souvenance.
Après le Roman, l’Essai sérieux mais pas jeu vieux, les Contes pour Tous, les Recueils
de Poésie, l’auteure la Louve s’est bien amusée littérairement à délirer sans retenue
aucune toutes ses élucubrations érotiques parfois teintées à absurde.
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Que le lecteur soit de sexe masculin ou féminin? il va sans écrire que les deux seront
servis à souhait avec les narrateurs versatiles brisant ainsi la monotonie de l’Ariane de
fil un enjeu subtil!
Pour certains ce petit amas d’histoires peut sembler anodines car pas assez érotiques à
leurs goûts plus salés, pour certains ces histoires sembleront invraisemblables et pour
d’autres ce sera le un quart de ce qu’ils ont vécu eux en histoires farfelues ou érotiques.
À chacun ses rêves… et sa trêve sans grève d'écriture ou de pages blanches qui triturent
le clito littéraire-musical ou le clilittmus (euphémisme amarrant de la Louve effrenée)!
Note concise aux lecteurs:
Les Parasols Sauveurois (en hommage à Saint-Sauveur; Vallée dans les Laurentides au
Québec in Kanada ou Adanak ou Canada; d'autres disent Eskimie enfin chacun sa
taxidermie.
Prologue sans bogue
Cette histoire non vécue se déroule en 2004 au travers d’un courant d’air chaud, par un
après midi ensoleillé! C’est un printemps tout neuf…
Voilà les quelques lignes sentencieuses que par un hasardeux dimanche j’ai lu entre
deux jus de gazon, ce fut, j’insiste à vous en faire-part, par un hasard certain au sein du
journal de bord de Michael le beau mec de brume...
DEUXIÈME AVANT-DIRE
Littérairement causant pour vous …
Le premier narrateur de cette élucubration est big voire plus grand que le personnage;
c'est un Je! Donc, tenez-vous à carreaux et mettez-vous bien sous la capine (chapeau)
que le narcissisme s’avère un péché véniel mortel.
L’autre narrateur plus petit mais bien en chair se vautre sous un parasol orange et vert…
Avez-vous Mirelilla-Luna?
Vous nagerez dans des eaux troubles et doubles, entre la première et la troisième
personne, de l’indicatif présent au passé pas toujours simple, du futur luxurieux à
l‘imparfait du subjonctif dégueulassé; ledit imparfait sait me disjoncter et
paradoxalement sait rejoindre les plus que parfaits dans toute la plénitude des Lettres
Belles, well, so what? alors hurlez pas de trop les intellos marteaux; je vous en ferai
grâce pour le dessert de ce narrateur vicieux voire extrâordinaire!
Ne sortez pas vos loupes pour y danser le Houang-ho, ce circonflexe d’accent dégradant
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pour vous sur le A ci-dessus fut apposé en toute liberté littéraire dans le but ultime de
me plaire et de vous faire scier des voyelles dans le parcours incommensurable de mes
illégitimes phrases longues passablement longtemps tout l'temps et puis ça vous ennuie
alors moi doublement je m'en réjouis.
Installez-vous confortablement sur une table de préférence propre! Oui j’ai bien dit une
table! Les voyeurs, les compères Lustucru et les commères non lubrifiées vous abstenir
serait peine perdue, vous avez tout à gagner à y venir et en grand nombre omniprésent et
veuillez sans préambule, ni bulle aucune coller votre postérieur bien au centre et ce au
premier rang! Pour les autres pas d’importance votre minimale présence sera bienvenue
et pour vous, le long Communiqué excentrique sera tronqué au troisième degré binnaire
au doublé de NN… À vous d’en décortiquer la lecture pendant l’entracte…
ACTE PREMIER
18 mai 2006
(Ayez souvenance encore que cette pièce fut inspirée sentencieusement dans un journal
de bord).
Soleil éclatant, depuis six heures du mat. Ma libido sait faire des siennes, je me languis,
mais je sais attendre pour mieux me la rendre jouissive au paroxysme du gouffre…
Comme l’annotait si bien mon copain de Lettres préféré de la semaine durant
exclusivement, sauf les jours fériés durant il sait me pomper l’air par le biais bien
rondelet d’un courriel érotiquement cybermatté:¨L’occasion fait le larron¨ notait-il hier.
Voilà donc ainsi son anonymat bien conservé puisque des larrons et des occasions il en
pleut ici et là de toutes les couleurs sans pleurs qui m’effleurent. Suffit de conserver un
esprit bien louvé; ce qui n’a aucun rapport annuel ou sexuel avec la fracture du crâne
édulcorée.
Sans me presser de trop, j’enfile mes hardes assez gaillardes et je déguerpis
promptement avec un but ultime en tête; chasser un gibier de bon augure et me le mettre
sous la dent au plus tôt. Ma faim est gigantesque et j’en ai une conscience morale
affaiblie voire absente. Je déambule un peu comme un somnambule sur une corde raide
dans les rues de cette Vallée de scarabées qui se trouve forcément mienne ainsi qu’aux
autres depuis plusieurs lunes.
Je me dirige vers le premier resto et mon choix se pose sur celui que j’ai le plus en
horreur, mais comme un aimant, les maudits parasols jaunes et verts à chaque printemps
m’attirent le dedans de la coupole! Alors complètement obsédée de pensées érotique
électriques.
( histoire de freiner cette libido incorrigible; faudrait bien que je me tape des cours de
croissance personnelle ou de sexo 1140 ; suggestion jalousement ordonnée par une
auteure lorentzienne dont je saurai taire pour l’instant le nom), pour ma survie
intellectuelle voilà que je pénètre dans le couloir étroit à ciel bleu pur et guiboles bien
connectées au sol et étroitement ouvertes; quelle toile obsolète Renoir le grand en aurait
faite de c'te scène.
Face à face, debout, seins bien pointés en dignité, je grogne et me cogne sur Purcella,
une belle rousse naturelle aux longs cheveux bouclés, lustrés et bien flous, la féministe
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est bien roulée, sensuelle, 35 ans à peine 27 au regard, un peu baveuse, beaucoup
décontractée, guitariste et chanteuse; elle manipule aussi les tam-tam, le tarot et à foison
les hommes qui savent sans entraves la frôler de près. Elle sait vous tourner le sang avec
des légendes indiennes qu’elle s’efforce de bizuter dans ses ballades assez hagardes et
nasillardes… Donc d’un accord commun, phéromones dilatées et soporifiques nous
décidons de nous placoter ça derechef sur la terrasse bien vautrées au-dessous d’un
parasol vert tendre et jaune canari.
Elle fumait laconiquement un long cigarillo au rhum et je la zieutais au superlatif de
riffs sans guitare en mordillant sauvagement ma verte pomme.
Bien enfourchées sur les chaises agréablement dures de L’Introverti Café de la rue
Principale à Saint-So, nous filions la parfaite cadence amicalo sensuelle, et allegretto
tout allait bougrement bien lorsque Vlan! Grrrr! Bff! Pouf! Bif! Grrrr!
Similairement à une vraie tigresse sauvagesse, cette garce rousse me grattouille
d’emblée la menotte! Je lui tire la couette carotte brûlée et avec sa courroie de sac à
main léopard entrelardé voire tâcheté, elle me fouette la main! Souin souin!
D’un coup de doigt roide et sec, je lui époussette la frange, je sue, je pue resue et elle,
n’en pouvant plus, et moi non plus, je craque, elle me claque, je me range, ça la
dérange, elle relève sa salopette rose à taille trop basse qui me dépasse, prestement je la
baisse cette saloparde de nippe sans oublier ses fesses qui sortent et la baise de travers
sur le sein gauche mais pas idiot, je me frotte voilà que ça m’excite vivement et j’ai une
envie folle de savourer prestement du jus de carottes, crotte, elle dénote, je salive, j'me
re-frotte et rebelote elle s’étire et lyre comme une satyre en délire, je me retire sans rien
dire vu que jadis j’eus ouïe pire.
Ouf! V’là que tout flotte! Son dessus de bras en rien ne m’inspire mais je me dis presto
que j’ai dores et déjà vu et humé pire! Je reprends le dessus et mon souffle, et je me
rends à l’évidence, je suis une auteure professionnelle et bien au-delà des aisselles; je
vous refilerai mon sublime de conte courtement titré Duracel; for heaven's sake a real
jewell witth two LL.
En sueur, voilà ma lueur d’espoir! Elle se lamente en Jéricho de trompettes, ça
m’entraîne à vachement jouir et fichtre j’en ai plein la mire de cette sève dense de
satyre!
Il y a lieu de me réjouir et je me languis bien à l'avance de son formidable coulis salé
d’élixir!
Et la voix dedans rompit le charme et me dit comme ça :
- Allons fillette tu n’en es pas à une humidité près, sois calme! inspire par le nez,
puisque l’ultime choix tu n’as pas et donne-lui sa claque elle le mérite bougrement la
biche, car félinement elle se gratte la patte… Pas de baratin, pas de protocole Anatole,
je décolle mon Si Bémol et on oublie tout le gratin sauvereois bien vautré sur la terrasse
via la crasse voire les autres pouffiasses en mal de garces; à chacun sa tasse de thé et les
salopes du café seront bien gardées.
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D’une dame deux coups on se les étirent ces quatre nichons gonflés à bloc jusqu’aux
mamelons quasiment ronds, tout prêts à se faire avaler à la demi jusqu’au trépas du
Tandem Ergo de sœur Ange-Pierrette de notre enfance, dans le temps des litanies
nocturnes du dortoir de Saint-Ciboire du Sacrement; souvenirs fantasmagoriques et
orgasmiques-liturgiques du Chic Lachine Couvent-Au-Vent perdu sur la But-Ô-Cat
Vents; dortoir de prédilection que seuls les noirs corbeaux bien érectionnés osaient
visiter fréquemment tout au long de l'année faute de pieu ailleurs dans la commune ou
le village de l'Osthensoire.
Fin de l’Acte Premier
Héééé! Vous avez une envie folle de :
Vous avez une envie folle de :
Cigares, cigarettes, chocolat, de la gomme et des peanuts (cacahuettes) …
Non! Pensez-y même pas!
Rien de tout ça …
Quel enfoiré vous faites devant l’inconnu, ça ne mord pas la page blanche! Tournez
donc!
ENTRACTE qui contracte et concilie un pacte
Communiqué
de la louve l’excentrique Ö en voilà tout un cirque
Vous êtes tous invités pendant l’entracte à venir déguster un jus de gazon car c’est ce
que l’on vous servira aime ou aime pas, ta gueule et gobe le ton jus, sinon le preneur de
son saura te faire sauter les bretelles. D’accord les manches de pelles littéraires saucées
dans les redondances des onomatopées et des pléonasmes désarticulés et anachroniques
qui entrechoque en un sensuel déclic.
Puisse ce deuxième acte vous stimuler le point J (Jouissance) sensuellement et vous
dilater la rate très largement. Culs terreux et non spongieux, prière de vous abstenir de
revenir car vous pourriez ainsi au dépend de votre face longue lui faire voir un Hostie
de bon Show voire faire sourire vos lèvres débandées ce qui saurait en moins de deux la
dérider un brin votre babine (bouche) de clown et la rendre dorénavant belle à reluque
sans craquer.
Vous reviennent en grandes pompes…
À chaque printemps et…
ET Quand?
À
L’Acte deuxième
De cette pièce à l’index sera programmée des cataclysmes voire des branle-bas de
combats d’ici-bas et des raz-de-marée pourléchés en volupté macérées.
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ACTE DEUXIÈME
Et que ça saute les crapaudes!
D’un bond de chatte en chaleur et en pâleur je te la prends en main et en fesses et la
couche illico sur la table ronde, j’en perds ma bavette de nichouette! Elle n’a pas de
bobettes c’te pichounette! Ouche! Ouche! (Pas ouch mais ouche) Elle me fout la bombe
sans bobette avec salanguette de fusée et me voilà pompette, elle, quasi rougette la
Gieorgette!
-- Une cravache! Donnez-moi de l’oxygène et une cravache verte!
Ah! La vache elle me fait devenir chienne, elle attend que je la perpètre mienne!
Sacrifice! Ou elle est ma chaîne de communion première??? Sous la table c’est évident!
Je me reparle ou perle phoque de mer je me repère !
- Ah! Pis m**** la chaîne, omettons-y l’accent grave en causant, après tout ce colifichet
verdâtre n’a jamais su m’enchaîner vraiment puisque je suis une manouche innée.
Vive le cou et le St-So libre! Ça me délivre l’amen et enfin c’est la lichette et la Pucella
gracieusement en pète! Son beau petit cul de bonne je flatte et repourlèche et le voilà en
moins de vingt coups de languettes ce saltimbanque rassasié et triplement réjoui de
s’être fait passer une mirobolante savonnette aussi Jet Set et spécifions le sans tambours
ni trompettes, dégorgeant ainsi sa vulve trop à l’étroit sauvegardée vachly dans ses rosés
pantalons fourrés. Faut dire que la gonzesse depuis longtemps elle les a dans l’aluette
les mecs et leurs maudites trompettes frettes (froides)! maintenant je le sais elle ne sera
jamais avides de mecs.
Et le charme cette fois s’avère vraiment rompu! Voilà une voix de mâle en rut qui râle!
-- Alors pas de gêne les p’tites dames! La taponette, la savonnette, la lichette et après ce
sera quoi, les Parasols Sauveureois peut-être vous emporterez dans vos beaux bras bien
serrés?
Mince alors! Le patron des Parasols Sauveureois et de son Introverti Café. C’était
Jean-Louis le français de la France qui est le prénom de sa copinette. Elle, je lui ferais
plus qu’une lichette, je saurais bien lui étirer le clito dans le but d’en faire une pénis à
perpette, ce serait du jojo pour le pt’it mec de la Francette spa les lecteurs lectecettes ?!
Je le réitère, j’ai cet Introverti Café en aversion mais je m’y rends souvent car les
Parasols m’agacent l’intérieur de la coupole! Et pis le Jean-Louis ce cutie maudit
français sexy m’aiguise et me décrise le clito en crise libidinale aigue (pas crisse mais
crise, c’est différent et plus marrant dans cette situation-ci dessus annotée).
-- Hey! Ma poule j’te cause!
-- Une chaussette monsieur Jean-Louis because (parce que) ma copine et moi …
Réponse intransigeante et réconfortante…
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Et je reluque ma montre qui n’est pas sur mon bas de bras… Ça me fout le trac lorsqu’il
s’égare mon tic-tac.
-- Ouais, nous sommes en retard pour le bain tourbillon chez le père Griffon…Et puis
monsieur Jean-Louis ça fait un bail que je suis douée pour les langues le saviez-vous
donc ? !…
D’un pas de deux…
C’est une sauvette, nous courons comme des ni-chouettes, des vraies bout de ciboulettes
raides et vertes dans des pommes de terre purette.Une veine immense nous n’avions pas
de brouette!
Nous avons su déjouer le beau Jean-Louis grâce à nos airs de choux navets pas cuits et
le beau bonhomme tellement abasourdi et étourdi de nos entourloupettes a voulu nous
rattraper mais pour lui pas moyen de courir car elle était gigantesque sa quéquette, tout
timide et gêné il était le gracieux restaurateur français de la douce France de son
enfance.
Dessus son hot pénis, il a posé sa casquette de Marseille, bourrée sa pipe jaune canari
d’archaïque tabac Alouette, ça faisait bizarre une sournoise d'arbalète, et il a continué de
passer sa lavette-chiffon sur la table de la super scènette… Plus il frottait, plus la table
devint nette et v’lan! D’un coup de poignet il a fait roussir sa veinette devenue reinette
sur la tablette et ttttartinettennnn le V’la qu’il s’arquebuse sur la chaisette, incapable de
retenir ses gouttelettes, la pression fut si forte dans sa burette qu’il en perdit la languette
d’un de ses basquets acheté il y dix ans en France chez le big et huppé Lafayette.
-- Ah! Ah! Pis phoque de mer et reremerde les basquet’s, ça valait bien son pesant d’or
c’te trempette! Ze best! You bet! I’ve never been so Net! Même avec Intranet! Et Vive
le français libre qui s’époussette !
L’Épilogue me bogue
Mais je vous l’offre en prime !Big besogne !
Pas besoin de vous ouvrir le cervelet à décortiquer, extraire ou démembrer ma créativité
érotiquement lettrée ; Ici-gît la synthèse et la morale éclatantes de cette histoire délavée.
Synthèse et Morale amorales
Si je postule que les girls ont pris la poudre d’escampette c’est qu’elles n’en avaient rien
à branler du grand mec à casquette.
Et si je re-postule que le mec s’est fait une tendinite en draguant effrontément la table
rondelette, c’est que pour lui grand bien sera, puisqu’il retournera avec sa Francette;
selon lui c'est une plus que parfaite!
de la Louve efferenée
Fin ---- The End----
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°°°°
&quot;Il y a de la musique dans le soupir du roseau ; Il y a de la musique dans le
bouillonnement du ruisseau ; Il y a de la musique en toutes choses, si les hommes
pouvaient l'entendre.&quot;
[George Gordon, Lord Byron]
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2014-04-04
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Les Trois Barons d'Imbroglios
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
Les Trois Barons d'Imbroglios
Imbroglios des Trois Barons
Nuitée plus qu'entamée
De cette mondaine de soirée
Aux allures endimanchées
Les uns et autres en ont bien retiré
Un délectable joufflu de dîner
Bien parlementé et bien arrosé
De Ricard glacé bien accordé
Aux glaçons en phalliques sphères
V'lan en l'air leurs noires guêpières
Et leurs bleu-poudre de jarretières
V'lan en l'air leurs perruques poudrées
Virevoltèrent au plafond bleu et rond
Libidos gonflées tétons érection-nés
Les phéromones full vino des duchesses
Via les testostérones des Barons
Font des acrostiches ô holy bitch
Aux yeux vachly and classy cochons
Au diable les couverts du boudoir
Entre deux érections obscènes bien vues
Sur les culottes quasi déculottées
Encore froissées et entachées
De brandades de morue bien fourrées
La nuit s'étire les Barons se rhabillent
Assouvis et repus de volupté d'elles
La mondanité de ses trois Imbroglios
De Barons aux formules trois H deux O
Leur donnent des high aux culs et aux ailes
Champagne au corps et à l'âme
Ils étaient charmants et non infâmes
Les Duchesses ces belles gourmandes
En veulent encore jusqu'au petit jour
De ces Apollons d'Imbroglios aux bites friandes
Mi-figues mi-raisins de va-et-vient sans amour
Mais de désirs non-stop sans dé-languir tout autour
D'une nuit noire avec cervelles grises et gelées de papilles
Les orgasmiques secousses furent les plus lascives de Tour
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de la Louve & Marquise des Loups à l'âme rebelle so belle...
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
Bonus du printemps 2012
Impromptu avec le Baron de Lustucru bien nu
&quot;Le pire aîné musical-érotique non lymphatique que j'eusse connu fut le Baron de
Lustucru, je tombai sur le cul lorsqu'il me proposa un cunnilingus d'astreinte face à mes
vers; &quot;pas pour un sous terre à terre&quot;, susurra-t-il, assouvi par ma secousse
d'orgasmes aux cent et un pléonasmes vicieusement intégrés aux délires en cataplasmes
sans sarcasmes, Ö Allez Hop là! en ré rageur big bad coeurs; je refis (passé simple) en
revenant (infinitif présent) à nouveau ma sale up...
Et c'est alors que derechef tout de go illico au petit trop et sans l'ombre d'un verre nous
poussâmes la gamme right on vers l'orgie musicale du moment et ce jusqu'au piano en
battant la mesure démesurément for sure assurément avec nos deux égos en double-écho
sans Graphy ni Eastanssy pour atrophier nos bigames de symphoniques de
parties...&quot;
Que si, à suivre avec Cuivres & Vox Populi ; tout un inédit! Héé! where are the bad
boys? That's what I'm lookin' for; this is a new spring tout neuf don't cha think?
Au Québec en Canada ils disent que c'est en mars de terminale que les érables
coulent.... Anyway les littéraires de Pot, je craque pour le sirop d'érable, tout l'monde le
sait ou presque... But who cares? - I just don't care.
(Kakemphaton étiré de la Louve effrenée in Such a beautiful Trésor and it's up to You
Mylord).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2016-03-24
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Libellules
Portrait pleins pieds d'Auguste Toulmo
Pour toi cette chanson des Libellules; où que je sois mon cœur te suit de midi à minuit
sans répit voici de la louve une sérénade aux mille et un tours d'âme pour ne pas laisser
mourir la flamme de nos jeux d'encrier parfois infâmes...
Libellules
Remise à l'heure juste des pendules
Des grenouilles en marais
Et des libellules aux ailes vertes de craie
Ajoutant à leur fabuleuses farandoles
Une romantique danse acrobatique
Près des rouges lucioles fantastiques
Sans peur des brunes tarentules
Mon coeur te suit de midi à minuit sans répit
Les crapauds chantent aux grenouilles
Leurs histoires d'eau avec quenouilles
Un plongeon dans la mare aux pigeons
Et hop les voilà en accordéon
En accord de multiples façons
Tordues en hameçon de Besançon
Croassant tout bas des ancêtres morts au front
Mon âme t'appelle entre deux voyelles
Les corbeaux bleu-noir pullulent
Jalousant sans aucun scrupule
Ce mois d'août en redoux
Ces batraciens s'aimant comme des fous
Parmi les ronces et les chardons
Aux magnifiques fleurs bleuets-bleues
À l'effigie de leurs yeux trop amoureux
Ma joie s'orgasme en lascive syntaxe entre deux marasmes qui désaxent.
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°°°°
&quot;Le savant étudie les autres, le sage se connaît lui-même.&quot; (Lao Tseu).
&quot;Rien ne justifie la tentative d'imiter; ça brime la musicalité dans toute l'essence
de sa tonalité émancipée; dans tous les domaines artistiques demeurer soi-même
provient d'un feu really and totally sacré.&quot; (La Louve effrenée de musicalité).
____
Groove in G - Playing For Change; un opus à entendre entre deux méandres!
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-05-09
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Liberté Crystalique Symphonique
LIBERTÉ CRYSTALIQUE SYMPHONIQUE
Liberté Crystalique Symphonique
Une page poétique merveilleuse
Se tourne radieuse
Mystique et stoïque
l'Élégantia Poetia
Se remeut ailleurs avec Dieu
Outrepassant les Mers de Feux
Aux accents hyper toniques
Unissant les vers volcaniques
Des amants fous à lier des mots
Et de l'ultime liberté
Crystallique symphonique
En soubresauts sporadiques
S'entre Choque la rythmique
Calfeutrée stratifiée moyennageuse
Fa Do Ré Mi diapason de La
Et la foi pour bouclier
S'espace en basculant l'âge
D'une solide rampe bleue
Au-delà des nuages sait voler
En liberté crystallique
Le papillon aux couleurs chaudes
Aux pourtours thématiques
Ce poète inné en marée haute
Plonge dans les eaux claires
Et son âme belle nage
Propulsant des étincelles
De volupté magique
Aux quatre coins oblongs
Du globe sporadiquement lunatique
Se pointe un Blues Arc-En-Ciel
Oblitérant certains jeux cyniques
En éclosion chaotique-épique
Tape à l'oeil heavy-duty-flashy-kitsch
Belle de loin oeil badoin
Mais loin de la beauté authentique
Désormais revolera sans peur du gong
Des envieux et des hystériques
Le poète racé aux vers magnifiques
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En hommage et remerciement à Ivan De Keyser (Yotuwan)pour ce blog aux multiples
facettes et amis littéraires... Ivan travaille sans relâche depuis plusieurs pleines lunes;
les Lettres et les Arts s'avèrent pour lui un tremplin inestimable que nulle richesse et
éphémères ou illusoires artifices ne sauraient remplacer en son âme d'élite innée.
Longue vie à ton Feu sacré Ivan de Keyser; ta détermination et ton authenticité sauront
te mener à bon port avec musically accords!
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2015-08-20
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Longue Solitude Martelée
Antoine-Jean Gros, gravure de Massart d'après le portrait du baron Gérard
Musique: A Whiter Shade Of Pale - Procol Harum
°°°°
Longue Solitude Martelée
Solide solitude
bien martelée
par la pluie
de l'ennui
des ruisseaux de ma vie
balafrée de blessures
sans dorures
Aux rayures
des bavures
d'une dépravée
délurée
visant mon porte-feuille
sans aucune feuille
Emporte la pluie
martelant la solitude
je m'habille de noir
c'est à voir sans croire
alors sortez vos mouchoirs
quelle libellée d'histoire
J'vis en contreplaqué
mes amours effacés
énervés surdosés surrêvés
et quoi encore
voulez-vous dégager
de cet espace vitalisé
Mes clopes mouillées
jamais ne furent fumées
sans se sécher
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les bouts filtrés
bien à fond étaient bons
ils furent pourléchés
Mmmm! bonne dégustation
jusqu’au fond du tronc
brave conquistador d'l'aut' bord
qui a marqué mon Art
ent'deux assauts d'char!
Robotisé érectionné
jusqu'au second palier
j'suis monté monté hééé!
et j'ai touché d'mon pied l'mur ciselé
aux couleurs d’Écosse caramélisées
Et là sur mon lit
payé bien à moi
réelle étendue une nana
que je ne connais pas
ni d'ici ni de là ha!!!!
La bella se prend
sans doute pour moi
devrais-je saurais-je
ressortir et pour entrer
alors maybe frapper
pour m'annoncer
Ou demain reviendrais-je
j'hésite et lévite
j'me tire une chaise
et allège j'm'imagine
copulant la gagamine
L'admirant en diapason
près de mon tapis rond
la fumée de ma clope
se laisse faire des demi-ronds
tu parles d'un dessin fripon
quasiment carrément cochon
Solitude ou similitude laisse-moi deviner ton prénom
de la Louve
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°°°°
« Son crâne était ouvert comme un bois qui se fend. »
(L'attribution à Victor Hugo ou à Alexandre Dumas est erronée, il s'agirait en effet
d'Adolphe Dumas).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2014-04-08
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Loup sans Louve
Un Loup sans Louve
Par une nuit câline pas mâline
Ton âme belle féline pas mâline
Par une nuit câline trop féline
Ton âme belle féline trop câline
Un loup hurlant sans louve
A transpercé d'un croc l'armure
De mes colorées d'ramures
Sans louve un loup a froid trop froid
Je me suis collée à toi sans effroi
Des vents maudits
Des sens interdits
Ont hurlé à la louve oui!
Qu'elle demeure là et ici
Des vents trop mal maudits
Des sens trop trop interdits
Ont hurlé à la louve oui!
Sans loup une louve a froid d'effroi
Des notes des Blues
Des sons en ventouzes
Des métallisés so damn heavy
Des plumes en ramages
Des tam-tam doux sauvages
Loups et Louves savent se hurler
Deux loups en haut-voltage d'esseulés et de bon aloi
Pour une éternité en virée
Pour deux nuitées en mi do ré
De boisé en boisé bien luné
Loups et Louves savent se retrouver
Et acoustiquement se rouler et s'enrouler
Par une nuit câline trop mâline
Ton âme belle trop féline
Par une nuit trop trop câline
Ton âme belle trop féline
De loup sans louve pas mâline
A transpercé d'un croc l'armure
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De mes colorées d'ramures
Ont su croiser leurs parures en dentelles de flèches sans flesh
Les amours de loups sont une légende à entendre et comprendre sans rationaliser; l'âme
saura bien la capter cette légende.
A Mare Usque Ad Mare mon coeur te suit sans ennui
____
Yeah! Takin' a Ride without aggressive sides
Les goûts des kool heures musicales ne sont pas à discuter mais à cultiver aux
intervalles.&quot; (La louve effrenée 2011.
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2012-06-07
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Loups à l'âme rebelle
Les Loups à l'âme rebelle so belle
&#10084;&#10085;&#10084;
Loups et louves
à pas feutrés
se côtoient
avec désarroi
ou grandes joies
&#10084;&#10085;&#10084;
Les vicissitudes de la vie pullulent entre deux libellules...
&#10084;&#10085;&#10084;
Les arnaques s'amoncellent
entre deux ficelles
sur papier rose-craie
de paradis artificiels
paraissant tant concrets
&#10084;&#10085;&#10084;
Les vicissitudes de la vie pullulent entre deux libellules somnambules...
&#10084;&#10085;&#10084;
La &quot;rivière du déni&quot;
coule et recoule
et ils roucoulent
sans songer in the déni
que la vie tient à un fil
&#10084;&#10085;&#10084;
Les vicissitudes de la vie pullulent entre deux libellules somnambules funambules aux
ailes de tulle...
Votre aut'heure dans la nuit - 2013 -&#10084;&#10085;&#10084;
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2016-04-19
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Loups-aux-Bois
Loups-aux-Bois
Loups-aux-Abois
Tu varlopes mon vert-de-gris
De long pull entre deux séries
De jeux et scénarios interdits
En ce pays nonobstant le temps gris
Ton crazy gourmand de prick
En redemande sans attendre
Que je redésire mon sweet kick
So big of you and I so chic!
Tu soulèves mes lèvres baby
Avec le revers de ta main
So tenderly so much too obviously
Je mords ton doigt pas malin
Et la redescente au ravin
Se refait ô plus que parfait
D'accord an accord sans fin
Lentement entre chaque couplet
La montée se fait plus sonore
Le sang devient so chaud ô l'ivresse
Se dresse et se redresse ô kermesse
Ton ventre écrase mes fesses bicolores
Sous la lueur jaune et bleue du candélabre de l'Est
La Louve effrenée de belle musicalité bien nommée MDLoups le 06 mars 2013
****
« Un roman est comme un archet, la caisse du violon qui rend les sons, c'est l'âme du
lecteur. »
Stendhal
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2013-11-23
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Louve de Caractère
Geranium Johnson’s Blue (image puisée sur la toile effrénée).
****
Comédia musicale astrale biennale automnale...
Louve de Caractère
Caractère de louve en suave de groove
Louve de caractère entre deux sphères
Yesiree ! Y'a du power flower dans l'air
Louve de caractère entre deux sphères
Yesiree ! Y'a du flower power in the air
Sachons battre au bon temps l'tambourin
Avec le timbre de voix timbré sans aigrefins
De la louve effrenée en suave de groove
With God every day pour bouclier nothin' to prove
Good grief ! Just groove ! Only groove !
Deux critères s'imposent à la pause sans pose; be your self wolf's elfe sans risque
d'attraper un ictère passant du jaune au pâle de vert sans libres vers avec verre à boire
les déboires entre deux histoires sans gloire inspire et crache le dragon et espère le ton
des tons...
Let's love au lieu d'être aimé
Aimer sans never renoter ni tergiverser
Des larmes ou des regrets en Ré
Mission non possible des péchés
Mortels véniels voire pulvérisés
Dans les limbes avec les vautours
Louve un jour louve toujours
Don't be sad blue angel true amour
The music of us will never fade away
Just because it will be à toujours
La plus truly belle partition de page d'Amour
Deux critères s'imposent à la pause sans pose; be your self wolf's elfe sans risque
d'attraper un ictère passant du jaune vert sans libres vers avec verre à boire les déboires
entre deux histoires sans gloire inspire expire et espère...
Allez hop ! La Louve refait sa salope! Sans flop! En choeur big soul's brothers and
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sisters ; cette musicale de comédie saura vous réjouir sans gémir so let's go et vivez la
votre vinaigrette sans alcool si vous en avez envie; le citron vert sera utile sans ennui !
Let's fly way up high directly through the sky entre deux Johnson's Blue don't worry
you will never get blue sweetie You !
Let's fly way up high directly through the sky entre deux Johnson's Blue don't worry
you will never get blue sweetie selfish You !
With the redundancy it's always stronger obviously for ever and ever marvelously just
like flower power should be in the garden of your Eden paradis d'étoilées de pluie
(bis entre deux blue mauve iris)
Louve de caractère entre deux sphères
Yesiree ! Y'a du power flower dans l'air
Louve de caractère entre deux sphères
Yesiree ! Y'a du flower power in the air
Sachons battre au bon temps l'tambourin
Avec le timbre de voix timbré sans aigrefins
De la louve effrenée en suave de groove
With God every day pour bouclier nothin' to prove
Good grief ! Just groove ! Only groove !
Deux critères s'imposent à la pause sans pose; be your self wolf's elfe sans risque
d'attraper un ictère jaune tournant au vert sans libres vers avec verre à boires les
déboires entre deux histoires sans gloires inspire et crache le dragon et espère de
meilleurs tons sur tons...
Let's love au lieu d'être aimé
Aimer sans menotter ni tergiverser
Des larmes ou des regrets en Ré
Mission non possible des péchés
Mortels véniels voire pulvérisés
Dans les limbes avec les vautours
Louve un jour louve toujours
Don't be blue sweetie angel amour
The music of us never fade away
Just because it will be à toujours
La plus truly partition d'page d'Amour
Deux critères s'imposent à la pause sans pose; be your self wolf's elfe sans risquer
d'attraper un ictère jaune tournant au pâle vert sans libres vers avec verre à boire les
déboires entre deux histoires inspire et expire le dragon de tes poumons exprime tes
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douleurs en oubliant le pire tu vivras le meilleur entre deux clameurs de tumeurs dans
l'imaginaire des bluffeurs sans cœur.
de la louve effrenée de belle musicalité en ce rainy 25 août 2014; the year of The Prince
d'Ozz entre deux Blues buzz...
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2016-03-03
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Love Me like a Wolf
A little autumn song just for You
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&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
Love Me like a Wolf
Love your long Paraboots
Love your acoustic guitar
Love your long Paraboots
Love your acoustic guitar
Love your hair so long so flair
Love mine Blues roots so roots
Je craque for you you
Don't you just wanna do it
Je chanterai le Blues for you
Don't you just wanna play it
Yeah! this kind of Blues in G
(bis two times).
Cover mine soul with music
With your guitar so acoustic
Till the dawn of the damn day
I will sing for you my cooly dandy
Let us lay in our words & sing
Without a tiny guilty feeling
Je craque en ré for you you
Don't you just wanna do it
Je chanterai le Blues for you
Don't you just wanna play it
Yeah! this kind of Blues in G
(bis two times).
from MDLoups La Louve effrenée (remastérisé on October the 15 2012 at four o'clock
in the mornin'...).
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&quot;Il s'avère primordial de ne point couper le fil en quatre; Ariane sera désarçonnée
et notre imaginaire en serait ainsi pénalisé voire débandé.&quot; (La Louve effrenée in
At Midnight Hour).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2012-11-07
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Magistrale Normandie
Oeuvre magnifique Jupiter et Antiope (fragment) de Watteau
En musique par le truchement de Youtube avec Zimerman jouant Chopin: Barcarolle
Op. 60
Pour toi de la Louve des impressions toutes chaudes de ce beau périple sur les petites
routes de la Magistrale Normandie en ce onze mai 2011...
****
Magistrale Normandie
Face à la Manche
Haut perché in falaise balèze
Mon sac à dos se déhanche
Sans aucun without malaise
La Haute-Normandie
La forêt m'enchante la mer aussi
Me racontent des récits
En déjà vue l'image surgit
En Basse Normandie
Où cet aïeul Gaston
Vogua en mer de France in Bignon
Au port de Dieppe jusqu'à Québec
En Canada avec son pas-tek
Au château de Robert le Diable
De ripailles en ripailles
Les ouailles se sablent fièrement
Le champagne entre quatre temps
Sur Orbec ou sur Québec
Chacun bât de l'aile
Sous leurs aisselles
En contretemps très secs
Au Moulin Clipin
J'ai pieuté en musique
Le Gentil Pote Surdoué (GPS)
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M'a menée jusqu'à cette clique
ô magistrale Normandie
Jusqu'au matin blême
Tambourin et voix
En harmonie avec toi
Ont su hurler sa blueszem
Sans Calvados
Sur mon do via mes os
Nous avons joué sans compter
Les couleurs de nos années
Pian pian le piano
Sans faire débander d'la guitare
Les argentées de strings so far
Frôlant le bleu indigo so bô mio
Direction Deauville
En passant par Trouville
Un cadeau beau de rhododendrons
Dans un vieillot de chaudron
Au Café Mirabeau
J'ai tambouriné mon solo mio
Et chanté hééé! entre deux Eaux
Perrier et San Pellegrino
Yes Hommage à la dolce vita
En ce magic Deauville trop bô mio
Tu sirotais ton Kusmî Tea de Paris
Breuvage vachly sweet and spicy
°°°°
&quot;Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé&quot;. (Alphonse de Lamartine)
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2016-04-16
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Marraine de Coeur
Marraine de Coeur
Coeur de Marraine
Outrepassant la chaleur
De deux corps en sueur
Divaguent les vagues
De cette marraine de coeur
Nommée sans peurs
Un jour de pluie sans tag
Tic toc l'arnaque des heures
Marraine de Coeur tout un honneur
Et grandit jour par jour
Ce troublant troubadour
Aux mille et deux tours
Dans son balluchon d'amour
Quel épisode sans anamour
Deux coeurs effilés écorchés
Par la vie se sont effleurés
En marchant dans un chemin
Montré du doigt par les échevins
Marraine de Coeur heureux d'bonheur
Eberluant ainsi les mijaurées
Et tous les affamés malfamés
En mal de désir jamais comblé
Surestimant leurs petitesse
Ces humains manquent de politesse
Vu leur déshumanisation d'étroitesse
D'esprit via leur simple maladresse
Marraine de Coeur équivaut à la confiance sans transe
MDLoups nommée La Louve effrenée en ce mercredi le 10 avril 2013
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****
« On déclame contre les passions sans songer que c'est à leur flambeau que la
philosophie allume le sien. »
de Marquis de Sade
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2014-03-25
Page 351
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Matinale de Chevauchée animale
Chevauchée matinale animale
Matinale de Chevauchée animale
Après la lune grosse venant
Ce jour de soleil en levant
Où en couchant tendrement
Sur papier vélin dessinant espérant
Un crazy baron ou un duc vilain
En mal de pâmoison en ce matin
De l'entre cadence des moissons
Aux blés mûris fleuris de bouts ronds
Aux lèvres pulpeuses et juteuses
Quémandant la ration quotidienne
D'une émulsion en latence non vaine
Les phéromones sont nombreuses
Et son corps se languissant de la gueuse
Bien gonflée de plaisir à déborder
Et en double ou triple joufflue de prisée
En reprise elle saura en reprendre
Sur l'autre sens en le dansant bien tendre
Béni-oui-oui sans hésiter il la prend
En trois volets bien distincts
Puisqu'il en avait grand' faim le malin
Le premier sera long d'une excitation folle
Et de toutes ces paroles éjectées en paraboles
Le second un lascif de soupir dans l'temps
Le troisième une renversée animale d'instinct
Tout ce scénario beau se nappait aux chutes du Rhin
de la louve effrenée dite Marquise des Loups à l'âme rebelle so belle...
****
&quot;Le pire aîné musical-érotique que j'eusse connu fut Lustucru lorsqu'il me proposa
un cunnilingus d'astreinte face à mes vers; pas pour un sous terre à terre susurra-t-il
assouvi sans l'ombre de verre.&quot;
(Kakemphaton de la Louve effrenée).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2012-03-07
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Mensonges et Menottes
Dami's Work of Art
****
Mensonges et Menottes
Menottes de Mensonges
Un vers de plus bousillé oublié
Sur un piano ô touche pianissimo
Bien caressée au bas du do
Un verre de sombres giclées
En gouttelettes non désirées
Là où la prose prend sa pose
La rose éclose aux pétales d'osmose
Mystique symbiose en silences symphoniques
Et lancinante s'allonge la pause amphigourique
Mensonges et menottes rythmiques
Aux poings de l'âme s'expirent
Et du corps en cruel sauts ternes
Il traînait ses longues bottes
Qu'il a abandonnées en soupirs avec l'aorte
De ce cœur aux battements en fa
So lents so fast means arrhythmia
Terminé les dévergondés de beat atypiques
Un vers de plus bousillé oublié
Sur un piano ô touche pianissimo
Vers la chute de reins du do
Un verre de sombres giclées
En gouttelettes non désirées
Là où la prose prend sa pose
Et lancinante s'allonge la pause
Et effervescente sera la pause
Où se meurt toute vilaine chose
Et parfois de bien belles roses
de la Louve effrenée de belle musicalité...
&quot;Faire mal à l'autre dards sur dards so far it's no good at all; voilà où souvent la
haine dans l'amour entre, ô enjeu de jouissance par inadvertance inconsciente.&quot;
(Mistyblues).
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Métaphore encore encore
Métaphore encore encore
Encore encore Métaphore
Métaphore encore bravant la mort
Et encore ça me subjugue encore
Outre passant de loin les onomatopées
Se vautrant entre deux strophes nées
Un jour de pluie où tout semblait grisé
Et soudain tout est devenu rosé bleuté
Métaphore encore bravant la mort et obscénément se tord...
La joie de vivre est un centaure
En voie d'extinction parmi les météores
Comme un Terre-Neuve en mal de Labrador
Sans son maestro bien nommé Melkior
La joie se réinstalle au noyau central du corps
Provenant de l'âme en totally accord
Métaphore encore bravant la mort et obscénément se tord entre l'érotisme l'altruisme...
Le désir se dénoue entre trois vues floues
Dans les bras d'Héliodore avec vue sur Poitou
Et aussi un tantinet sur Limoilou
En surplombant la Garonne débordant au bout
Et semble prête à éjaculer en seconde foulée
Via le tunnel profond de cette wild Giroflée
Métaphore encore bravant la mort et obscénément se tord entre l'érotisme l'altruisme et
le tantrisme...
de La Louve effrenée de belle musicalité en ce 12 février 2016
****
&quot;Adieu, mon frère, mon ange, mon oiseau, ma mignonne adorée, adieu tout ce que
j'aime sous ce triste ciel, tout ce que j'ai trouvé sur cette pauvre terre…&quot;
Lettre d'Alfred de Musset à George Sand
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Mirage Bleuté-Violacé
Mirage Bleuté-Violacé
Le mirage m’apostrophe
Comme une sonorité amorphe
Au sein d’une strophe
L’étau s’est resserré
Endimanché et s’est évaporé
Éloigne-toi!
Le mirage de ta névrose
A désarmé le Dieu génie
Tes contradictoires dénis
Ont brimé mes élans moroses
Au détriment de toute chose
Ne reviens pas !
L’amour toujours tu causes
Sans même connaître la cause
Des blessures projetées ailleurs
Imbues de toi et de tes peurs
De tes délires je devins auteure
Épure-toi !
Ce mirage n’a pas duré
Car ton secret à l’automne fut dévoilé
Et si l’âme n’a pas de sexe
Homme ou femme en annexe
Sauront furtivement s’enivrer
Épargne-moi !
Tu reviens à pas feutrés
Au sein de mes nuits voilées
Sans ardeurs érotisées de volupté
Ah! Reprends ce que tu as effleuré
Délivre-toi à moi reviens-moi
Ta sauvage réminiscence
Me hante en folle désespérance
De cet absence de sens unfair
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Jusqu'au tragique du non-sens!
In groovin' mode hyper-sphères
Sans faire fi des modes repères
Ta louve brode son exode en transe
Vers la dérive de l'absence de cadence
Reviens-moi avec tes refrains en latence
Pour qu'en triple boucles je me rebalance en transe dense
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Mon Chant Chaud
Mon Chant Chaud
So chaud mon chant
Mon Chant Chaud
Mon chant chaud
So chaud de chant
Son sang so chaud
Entourloupa mon chant chaud
Too chaud de chant
Son fluide de picking so haut via l'bas
Me virevolta en cent
Et un volts de sang chaud
Bizutant entre deux paons
Aux couleurs sans peur de tons
Et aux formes de rhizotomes
So obviously filiformes hors de normes ohhh!
Calle-toi bien au creux de mon écrin sans fin j'te sens vachly bien; &quot;feel at
home&quot; you said it...
Son browny de beau teint
Entre mes reins ça déteint
En culminants points d'interjection
Aux rythmes so slow vachement
Notés collés avec stop d'interdiction
Son hoochie coochie d'refrain rebonds
Entre deux bluesy jazzy d'rimes sans frime
Son browny de teint
Entre mes reins ça déteint so bien
Tatous fous a for ever and ever lien
Son saxophonique de delerium sans trémas de coit
Sur mon chant chaud so chaud oh! Ohhhh!
Pas question de conserver mon sang froid
Avec son crasy d'refrain au chant chaud
Calle-toi bien au creux de mon écrin sans fin j'te sens vachly bien; &quot;feel at
home&quot; you said it bad boy, c'est malin putain, can't forget your crazy d'refrain !
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De La Louve effrenée bien nommée MDLoups le 25 février 2014 in 2014 l'Année du
Big Blues Buzz
****
&quot; En tandem de femme-louve, j'en suis bouche bée pour ne point écrire gueule bée
ce qui serait la littérature saccager à outrance de revoir l'étrangeté de la Louve
par-dessus des draps bleutés violets satinés surplombés. &quot;
MDLoups in &quot;L'étrange thé que tu bois me fait aboyer à satiété&quot;
****
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Mood for Jive
Mood for Jive
Mood for Jive
Lets' go sweetie Michael
Sortons nos pelles so swell...
Lets' go sweetie Michael
Sortons nos pelles so swell...
Sans absinthe aucune
Un amoureux de baiser just one
Pour parfaire notre navigation
Avec nos chapskas d'Avignon
Winter time I do smell
Zero heros One two
I do love you,
Three Ô four
I feel vachly wild encore...
Ö que si si ré timing Five
I'm in the mood for Jive
Be sure it's true when you say farewell
J'ai le sacré de béguin
Pour toi mon pretty frangin
Blue note par ci par là
Et mon coeur rebat rebat en fa
Via la nomade de transe
De mes fibres musicales
So denses what a cadence!
In perpétuelles romances
For twenty four Stances
I forget our obvious de balance
Angel of passion in freedance
But you come in back again
And I'm hopin' that marginal
Love affair will never end fall
So eternally we will play
The same Jive night & day
MDLoups the Louve effrenée in Jive for You le sept décembre 2012
****
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Mots Feux-Follets
De Thomas Couture Œuvre magistrale titrée Tzigane
°°°°
Musique: IL RITORNO DEGLI DEI
°°°
Mots Feux-Follets
Feux Follets d'Mots
Tous ces maux
Amenuisés ou biffés
Par les damnés mots
Refoulés et déblatérés
Sans trop songer
Au coeur du déferlement
De cours d'eau en cours d'eau
Avec le coeur gros
Mots de désolation en coulée
Lâchement échappés en folle volée
Panier de mots oblitérés
En ivresse mentale étalée
Sans le souci de se demander
Le pourquoi de ces futilités
En flèches acerbes pointées
Vers une amitié d'amour en montée
Les mots corrosifs dits à tort
N'ont aucun ressort
Sur les élans des coeurs morts
Mais font mal au dedans
Des amants bien vivants
En synchronismes aimants
En latence de cadence
Se collant au tournant de la danse
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D'un nouveau soleil se levant
Sans la peur des méchants
Peut-être inexistants
Histoire banale de saisir
Le meilleur du pire
De nous toi belle saphir
Pierre bleue de mes délires
De nous deux belle Cloé-Zoé
Sans cachoterie d'exodus
Ou vilaine escroquerie
Pouvant nous blesser
Au-dedans de nos corpus
En orgasmiques jouissances en chorus
Et nos déjeuners à l'eucalyptus de miel
En oubli des goûts de fiel
Sur nos coups de griffes vermeilles
Deux âmes tendres écorchées
À vif sur le vif aux allures délurées
Au centuple de volupté irradiée
À devenir ensemble meilleurs au-dedans
Sans trébucher ou redonder
Aux quatre vents en encens
Toutes nos erreurs passées
En parachute blanc projetées
Ces erratum seront à jamais éjectées
Pour dans la mer verte se noyer Hey!
Et nous sans rougir ou prêcher
Ce don de la foi pour bouclier
Sans oublier de pardonner
Ces mots à la centaine de maux dramatisés
Par deux têtes de pioches entêtées
Avec le temps savoir accepter
De voir se faner la mauve orchidée
Pour mieux la voir renaître au second été
de la Louve
°°°°
«Pour leurrer le monde, ressemble au monde ; ressemble à l'innocente fleur, mais sois le
serpent qu'elle cache.»
[ William Shakespeare ] - Macbeth
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Neck Kiss
Neck Kiss
Mon sommeil tu enveloppes
Ton auréole de prick m'escalope
Et j'entends ton dolce souffle
Dans mon cou et je m'essouffle
A la chaleur de tes gourmandes
De lèvres en voie de baiser
Cette nuque aux cheveux relevés
Comme au début de chaque nuitée
Et obcènement tu quémandes
Une demande ô profondes landes
Aux sillons blonds et vert tendre
Comme ton foulard de soie d'Ambre
Et la houle se fait folle et soûle
Et l'amour nous enroule
Tu me frôles so foolishly et m'enrobe
Prisonnière de toi obviously sans dérobe
Good heaven ô Lord up above
Tu soulèves mes fesses et me love
Ma vie se dénoue jusqu'aux secrets
De ma vulve en état de méfaits
Internes brûlures tu entres discret
Et tellement bene hurlant mon prénom
Tu me varlopes so damn profond
Deeper than the deep blues sea
Since this day full of flames ton cœur me suit
Et la houle se fait folle et soûle
Et les remous se font doux et roulent
Tu souris me reprends en si peu de temps
J'élabore en disant lentement encore
Tu reviens de plus en plus fort
Pour sans honte rehurler mon prénom
A en faire tomber tous les plafonds
Se poursuis la descente aux tourments
Désaxants de te perdre aux quatre vents
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Troublants scénarios aux mille et deux feux
Assouvie sur ton ventre j'ai repris la descente
De ses voeux pieux prononcés à la tombée
De cette blanche neige suave et effrontée
Pour mieux nous réjouir et à toujours souder
Nos deux âmes à pérennité
Et la houle se fait folle et soûle
Et fait chavirer nos coeurs en boules
Just for You de la Louve effrenée en ce 24 novembre 2012
****
&quot;Vivre sans attente aucune du soleil ou de la lune peut s'avérer une sacrée belle
vie jour par jour sans trop de lacunes via les étoiles ascendantes filantes
descendantes.&quot;
Renée Sances in Crazy Blues in Stances
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Noirceur blanche
Blanche et Noire
Côté Jardin secret discret
Une histoire de miroir
Note blanche
Croisant la noire
Pochette ou planche
Une histoire de miroir
Note blanche so blanche
Croisant la noire si ré noire
Pochette ou répète la planche
Ton image blanche flotte
Et puis en loge elle renote
La blanche vachly blanche note
Sous une noire en Blues elle se frotte
Shucks! Yeah! Testing two times two
Les yeux sont filous et flous
Ton image flotte
Sur les Blues pochettes
Désuètes et puis renote
La damn dame blanche note
Sous une ivoire de si ré noire
Testing again one three two
The Blues is too much flou
But the music loves You
And that's all I need from You
La Louve effrenée 2011 the year of the Bonze et à chacun son Bonze ou sa Bonzesse
avec ou sans fesses; là où le bât blesse sans tresse ni stress avant la Blues Kermesse.
« Plus je tourne et retourne cette idée que Dieu peut communiquer la pensée à la
matière, plus elle me paraît vraie. » (Voltaire),
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2016-01-22
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Non Regrets de Grès
Anonymous Work of Art
****
Non Regrets de Grès
Terre cuite en haut pot
Fleurs séchées dans l'eau
Ton prénom beau résonne
Et le glas en G sonne et résonne
Si à toujours loin de toi je meurs
Conserve la souvenance sans peur
Que tu as parsemé les aubes des rancœurs
Des plus luxuriantes fleurs...
En mon âme alanguie de cette vie
Dans tes mains aux longs circuits
M'octroyant d'invincibles courants
D'or et de bleutés musicaux de diamants
Si à toujours loin de toi je meurs
Conserve la souvenance sans peur
Que tu as parsemé les aubes des rancœurs
Des plus luxuriantes fleurs...
Jusqu'aux tréfonds de nos déveines
Nous avons su réjouir ces beatiful peines
Pour deux nuitées dans ton astrale arène
Les séquences me firent des prés petite reine
Si à toujours loin de toi je meurs
Conserve la souvenance sans peur
Que tu as parsemé les aubes des rancœurs
Des plus luxuriantes fleurs...
À toujours dans ton musical de cœur
Tu auras la clameur du mien de cœur
De l'âme je serai à pérennité ta sœur
Oubliant le pire en conservant le meilleur
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Si à toujours loin de toi je meurs
Conserve la souvenance sans peur
Que tu as parsemé les aubes des rancœurs
Des plus luxuriantes fleurs...
de Marquise des Loups dite La Louve effrenée de belle musicalité...
****
« Les plus désespérés sont les chants les plus beaux. »
Alfred de Musset
( http://www.youtube.com/watch?v=TG9tYDIemdw )
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November Ray
Anonymous Work of Art - Oeuvre d'Art Anonyme
Musique et voix: Chet Baker avec son magnifique Body & Soul.
****
November Ray
Rayon de Novembre
Il faisait nuit, ses cheveux de jais et son visage basané reflétaient l'image très précise
d'un loup sous la lune grosse en ce novembre froid à glacer nos veines. Il attendait celle
que son cœur avait choisie entre mille et une courtisanes ou aristocrates bien nées. Sans
nom protocolaire, sans titre austère, il l'aimait cette femme étrange à l'effigie d'un ange
venue d'ailleurs, personne ne savait exactement d'où, oui, il l'aimait d'amour véritable et
à en perdre la raison… Petite main innée, elle confectionnait tous ses vêtements et ceux
de la Duchesse mère, elle était aussi dentelière, musicienne harpiste nantie d'une voix
sans frime aucune et en ce château des Pays d'en Haut, elle était femme de chambre et
soi-disant promue depuis longtemps dores et déjà première dame de compagnie chez la
Duchesse Lamydoyle de Pontargions...
Ils ne s'étaient point revus depuis les hautes trahisons du Duc de Pontargions ; un petit
cousin à lui, jaloux depuis toujours du Prince dit le &quot;Poêt au fouet de satin&quot;,
le petit cousin envieux malicieux avait découvert cette douce liaison avec Bichalou sans
malice aucune, elle mordait seulement pour légitime défense mais avait désormais un
mal fou à se faire respecter avec les racontars du Duc Rayno Loysya du château de
Grande-Allée et nonobstant ses bontés elle avait à cause de lui la réputation d'une
personne inhumaine et on la surnommait la rousse bewitch aux yeux pâles ; vu les
nombreux cas de guérisons mentales ou physiques était-il dit que par la seule imposition
des mains, elle savait rendre la santé ou guérir des blessures déclarées incurables par de
nombreux médecins réputés… Certains disaient d’elle qu’elle était trop belle donc
sorcière de naissance et qu'elle ensorcelait tous ceux qu’elle côtoyaient, d’autres
affirmaient qu’elle était possédée du démon ou de Belzébuth en feignantt de croire en
Dieu et pis encore d’autres étaient positivement certains qu’elle appartenait à une secte
très loin de l’autre côté du Mont Gotthard et les ont-dit affirmaient qu'elle avait déjà
séjourné plusieurs années aux confins de la montagne de l’Horeb avec une vingtaine de
disparates de musiciens de petites tailles avec une grande âme; tous sans exception
aucune, disait-on, furent ses amants et plus encore étaient perpétuellement en
admiration devant elle lorsqu'elle chantait et dansait aux sonorités magiques de leurs
instruments; amoureusement ils l'appelaient aussi la sweet rousse bewitch aux yeux
pâles.
Elle arriva sur un âne marron-gris et grisé d'entendre depuis une heure la Bichalou
chanter de refrains en refrains tout au long du trajet vers celui que le destin avait pour
elle désigné et de cela elle ne se défendait point; bravant tous les temps et les gens
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malséants, elle écoutait son cœur battre juste à la pensée de cet Apollon de Prince
toujours en érectile beauté dans ses rêves les plus érotisés en volupté quasi péchés
mortels ces rêves démentiels en ce mois de réminiscence aux morts… Elle croyait en
Dieu la Bichalou et aussi en l'Amour sans détour et sa conscience n'était point prude
lorsqu'elle se revoyait entre ses bras d'acier aux pourtours de velours; ses mains
tactilement preneuses savaient parcourir sa peau ici et là partout sans jamais devenir
faux ses touchers pianistiques l'avaient stigmatisée, elle, l'infidèle qui n'avait jamais su
aimer longtemps sans se lasser.
Son corps à lui savait recevoir les caresses sans rester passif ou inerte, ils se voyageaient
ainsi des heures de près ou de loin jusqu'à la prise de l'un ou l'autre en état de
suffocation mutuelle, ils se complétaient tant et tant qu’ils eurent peur autrefois de ce
trop grand Amour, leur séparation dura plusieurs pleines lunes et ce soir ils se
rejoignirent en état de forte fièvre amoureuse.
Il entendait son rire sur la colline et sa chanson belle fendait l'air en rebondissements
intenses dans son cœur amoureux… Elle était là, c'était écrit en son âme et conscience:
plus jamais il ne la laisserait partir, elle reviendrait avec lui, ils vivraient près de ce lac
qui était sien et de cette montagne qu'elle aimait tant, elle et son âne; il supplia Dieu de
lui accorder cette grâce avant de quitter ce voyage terrestre où tout est tant et tant
éphémère et illusoire… Souvent il aspirait à l'autre monde avec elle pour l'éternité si la
vie osait encore les séparer de la sorte…
- Byrchroi de la Grange me voilà avec Ânônymes beau, enfin je te retrouve ! Quelle
longue route jusqu'à toi bel Apollon de mes vers en éclats de verre tout verts…
- Mon adorée ma sirène des eaux pures, ô bella mia, amante de mes veines en déveine
lorsque tu n'es plus là je meurs à délirer toutes mes peurs…
- Elle se laissa prendre comme ça tout de go sans un mot en descendant de l'âne, il la
glissait doucettement en un demi-temps il avait troussé ses longs jupons et sa petite
veste bavaroise tomba, tout virevoltait, la Bichalou avait horreur des longues ou petites
culottes sauf en temps très froid… Il ouvrit son pantalon de daim et d'instinct non feint
le phallus de Byrchroi en amoureuse de furie avait rejoint son écrin de satin; là où il
faisait si bon se vautrer ; le diablotin se gorgeait de plus belle au contact de ce joyau que
jamais il n'avait su oublier nonobstant le temps; ce gobeur violeur de souvenirs de sa
Bichalou de saphir aux seins poires d'élixir pointant droit vers le ciel puisque bandés au
septième cieux… Il avait déboutonné à une vitesse folle les nombreux boutons bleus
poudre de sa robe pour suçoter goulument et effrontément ces seins pleins d'érotisme
lascif; ces nichons tout à fait effrontés à la tétine rousse pouvaient sans contredit faire
rougir tous les saints du paradis en plein midi.
- Le chapeau fruité-fleuri de la belle ingénue tomba et ses longs cheveux se déroulèrent
sur ses épaules déjà nues car l’Apollon devenait gourmand il voulait tout gober d’un
coup de sa belle gueule.
- Leur union était lascivement suave sous la lune pleine, enchaînés là, debout et soudés,
animalement ils se léchaient le nez, la gorge, l'oreille gauche, droite, il lui cambra la
taille, et de ses mains il enveloppa la chute de reins de sa maîtresse aux belles fesses de
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déesse ; deux félins en coït émancipé quasi irréel en latence d'orgasme aux retenues
émues dans le but de laisser perdurer l'extase en plusieurs phases, deux corps et âmes en
union quasi sacrée, des orgasmes simultanés semblèrent s'éjecter en un seul et même
hurlement; ils étaient en voie de crier grâce et c'est avec une gratitude immense sous la
lune jalouse et jaune, que leurs cris mutuels rebondirent en un écho grandiose parmi les
montagnes au vert étonnant et détonnant avec les rayons lunaires et ces deux amants
fous sous le plus somptueux de lampadaire octroyé par un créateur géant ; ce Dieu qui à
nouveau les avaient réunis en cette mémorable nuit de novembre; la plus belle de leurs
vies…
Un loup au loin hurla et avec l'écho des montagnes, une meute complète eut-on entendu,
c'était le plus beau des présages; tous les loups étaient leurs alliés!!!!
Ce rayon de lune de novembre était aussi le plus beau présage de leurs retrouvailles...
- Merci mon Dieu pour ce cadeau!!!! C’est à l’unisson qu’ils remercièrent…
C'est ensemble qu'ils prièrent en signe de reconnaissance envers ce Dieu de leur
enfance, celui qui ne punit pas, et qui n’est pas vengeur mais miséricorde en son pardon.
- Non! Bichalou plus jamais tu ne me quitteras, tout est planifié, tu reviendras avec moi
cette nuit même au château de Luna Dolce Rosa ma grand-mère t'attend, elle sait tout et
son accord elle m'a octroyé… Après tout chaque prince a droit à sa harpiste-poêt
particulière, le piano blanc je retoucherai avec toi à mes côtés pour chanter danser; ce
sera la vie en rose et plus ce sera notre hypotypose et je défie tout et chacun de venir
contredire cette partition que déjà j'ai en mon âme et titrée Rayon de Novembre ou
November Ray ! Tu es mon rayon de lune Bichalou et je t'interdis d'en douter! Tout
l’avenir est à nous et à Ânônymes ton âne préféré.
***
Hypotypose de conte terminé le 17 novembre 2011 just for You de la Louve effrenée
dite Marquise des Loups à l'âme rebelle so belle à tire d'aile...
****
&quot;Personne ne peut savoir si le monde est fantastique ou réel, et non plus s'il existe
une différence entre rêver et vivre.&quot;
[Jorge Luis Borges]
&quot; Je suis un fidèle infidèle.&quot; (Albert Camus).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-11-19
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Obsédée Vermicelle
Merci musicall à David Bowie pour cet unforgettable Let's Dance vraiment inoubliable.
De la louve voici an obvious de serenade just for You where ever you are crazy thing
aux multi guitar's strings
Obsédée Vermicelle
Vermisselle d'Obsessions
Obsédée tutti frutti vermicelle
D’odes crazy duty vermeilles
Entre deux exportés de vino blancs
Avec ou sans touchy touchés de gants
Tout semble adéquat entre deux rythmes lents
Les battements d’un sacré d'cœur sont-ils arc-hi sans cœur?
Obsédée musycale mate
Via l’effrenée de sonate arystocat
Entre deux chamades zones
Write and sing on the beat so sad
Without you but so magic to sing alone
Sanctions clementines in soledad
Les battements d’un sacré d'cœur sont-ils arc-hi sans cœur?
Charmeuse ou croqueuse de torrents
Aux doubles amusants d’accents
Aigus graves ou de circonflexes
En accentuant sans plan sur les Blues de réflexes
Tourbillonnant entre quatre obscènyques de temps
Les battements d’un sacré d'cœur sont vachly archi sans cœur
La Louve effrenée de musicalité bien arlésiée entre deux blancs thés menthé-gingembré.
« Plus je tourne et retourne cette idée que Dieu peut communiquer la pensée à la
matière, plus elle me paraît vraie. » (Voltaire)
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-03-14
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Ocre Magie Automnale
Oeuvre de Rodrigez Sioux Scout
Ocre Magie Automnale
L'automne en phénix patience
Éperdu de tant de finesse
Et de mots de faïence
Qui perdurent et laissent
Au cœur d’une piètre sagesse
Un lambeau de cœur en cadence
Les outardes s’attardent ou meurent
En longues et démentielles virées
Jusqu’aux confins de la Vallée
Que de leurres en automne apeurent
En volées les oiseaux rassemblés
Saltimbanques débonnaires
Aux écrits de primevères
Soyons passionnés jusqu’aux jours
Des arrêts de nos odes d’amour
Entrelacées d’amitiés délurées
L'hiver venu nos vers seront lus
Jusqu'au nouveau printemps venu
Par les amants des mots enchantés
Se nourrissant de strophes écrues
Aux versatiles broderies sonorisées
La Louve 2011 The year of the Bronze
~~~~
&quot;O, Grand Esprit, aide moi à ne jamais juger un autre avant d’avoir chaussé
ses mocassins pendant au moins trois lunes.&quot;
(Sagesse amérindienne).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2014-03-25
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Oktober Moon
Oktober Moon
October Moon
Gonflée de lune d'octobre
Tu délies les fantasmes déments
Fool foule de désirs ambivalents
Deux pairs d'As quatre Rois il chope
Éjaculant des cinglées de strophes
Avec une ondée d'onomatopées
Pleine d'ondes humides salopes
Planant bien au-dessus altières
D'une satanée vermoulue de bière
Aux allures pas trop fières
En terre v'lan te voilà par devant
Ou plutôt beaucoup par derrière
Jusqu'aux fond des artères
Où se vautrait la sonorité non émotionnellement sobre
Avec le dos de la cuillère
De ses années lumières
Où il virait ses nuits sans dessus
Dessous au sein des créations crues
De lui de son véritable et unique cru
Séduisant avec ses mots d'hier
Les émules aux pieds de verre
Et aux tétons avec tétines écrues
Prémoulues et décemment nues
Arc-boutées sur la divinité
Et ses multitudes de mots sacrés
Par petits points tous exclamés
Une histoire vraisemblablement belle
Aux condescendantes ultra-voyelles
Entourloupées de vibrantes consonnes
A en rendre jalouses toutes les nonnes
De son île ombrée aux tristes pentagones
de La Louve effrenée dite MDLoups le 30 octobre 2012
****
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&quot;Les silences donnent à la musique la respiration cosmique astrale qui sait la faire
vibrer d'âme à âme pour faire sonner mieux la note magique qui suit en beauté
rythmique sonique.&quot;
La Louve effrenée de belle musicalité
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2016-03-20
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On the Platine
&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
Sur la Platine
On the Platine
Sur la Platine
On the Platine
Préférable que ça spin
Sa vie en dépend
à chaque instant
Comme un alligator
béat il se tord
Sur la Platine
On the Platine
Préférable que ça spin
Don't stay with her; just Romeo her...
Sur la Platine
On the Platine
Entre deux érotiques de sports
Aux multiples bâtons forts
Mercedez et Jaguars
Se croisent en pavoises
Et la revoilà grivoise
au superlatif de noises
Sur la Platine
On the Platine
Préférable que ça re-spin
Don't stay with her; just Romeo her jusqu’à l'épuisement de ses pleurs...
La Louve effrenée le venredi 24 octobre 2015 à 16:20
&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
&quot;Vivre sans attente aucune du soleil ou de la lune peut s'avérer une sacrée belle
vie jour par jour sans trop de lacunes via les étoiles ascendantes filantes
descendantes.&quot;
Renée Sances in Crazy Blues in Stances
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&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2014-10-24
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Ondes Folles
Ondes Folles
Folles Ondes
de la Rivière Imagination
de la Louve effrenée
Les ondes folles et les notes les plus rebelles que nous savons ou imaginons souvent
inconsciemment puiser au-dedans, bien au-dedans de notre âme, encore faut-il être
croyant en cette âme éjecteure de précieux tempo de mots en ré ou en do ou en G peu
importe le morceau, ces copeaux au fil d'ores et déjà de soi savent s'éjecter voire
s'éjaculer de cet alcôve précieux aux tréfonds de nous mêmes; que nous soyons sereins
ou non, bons ou méchants ou plus exactement souffrants ou non souffrants en notre âme
et conscience vachement et totalement en cadence nous saurons balancer ce que depuis
longtemps nous avions de plus précieux; toute cette éclosion belle à venir pour l'avenir
en immortalité s'est imbibée des plus authentiques ou non authentiques d'émotions de
celui qui les portaient en lui, et ce, depuis des siècles; toutes ces émotions enfouies au
grenier d'un Soi s'avérant le tout de la personnalité comprenant le conscient et
l'inconscient; dites émotions saines ou malsaines qui savent par un miraculeux parcours
intrinsèque se coucher laconiquement soit sur un parchemin de papier à long chemin,
soit sur un papier de haute ou de basse, de classy classe ou pourquoi pas sur de simples
écorces de bouleaux québécois-canadiens (ces écorces s'avèrent splendides); jadis et
naguère petite elle; bien-nommée marquise des loups à l'âme rebelle y laissa glisser ses
écritures de créature androgyne retirée volontairement et involontairement de la foule
aux grandes houles, oui, elle œuvrait sans relâche sur ces écorces plus que belles
griffonnant avec son âme avec quelques ratures parmi ses fioritures, oui sans répit, la
marquise a par monts et par vaux pas toujours beaux su les transposer de son âme à la
surface bien peaufinée de la première écorce du bouleau pour recevoir les plus secrets
de ses états d'âme...
Secrets pas toujours captés, souriez-vous, peu importe: &quot;Écrire c'est se
ressouvenir.&quot; a noté Gérard de Nerval...
Écrire sa musique ou ses mots cela se passe bien au-delà de la raison et plus au-delà de
la planète terre; un vrai de vrai de sortilège octroyé soit des déesses Thalie; muse sans
ruse de la poésie bucolique et de la divine comédie ou le théâtre comique ou peut-être
s'agit-il de la muse Terpsichore; patronne incontestée de la danse et du chant ou
Euterpe; muse enguirlandée d'infuse musique avec son souffle subtil à la flute et parfois
peut-être d'Erato la brillante soprano soufflant de nuitée en nuitée ses érotiques de vers à
la marquise, vers souvent lus à l'envers par certains pervers... Plusieurs gens aux
savantes idées croient dur comme fer sans misère, que de toutes ces déesses androgynes
via le créateur musical ou littéraire saura jaillir le plus inédit des chefs-d’œuvres; ce
saltimbanque saura naître comme ça, tout d'un trait, d'autres élucubrations d'attraits
disparates s'avèrent plus rétives; parfois il est nécessaire d'y revenir douze fois... Oui et
si par un hasard heureux c'était Calliope la beautiful mère d'Orphée aux mille et un
baisers charnels; avez-vous souvenance encore du bel Orphée; ce fameux musicien et
prince très charmeur avec sa lyre en voie de tire la lyre pour enjôler les animaux dits
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sauvages. Quel présage ce serait!
La réponse demeure souvent une mystérieuse de secousse pour le créateur pourtant
n'est-ce pas la divine dividende de récompense de ce grand trésor que je nomme la
Rivière Imagination ou l’Âme tout court du poète ou du musicien en composition folle.
Et ce fantasmagorique de cirque se passe à l'insu des petites gens trop imbues d'elles
mêmes pour un tantinet d'instant songer qu'écrire une partition ou son jumeau
homologué en vers émulsifiés ne saura jamais se faire sans transes énormes et parfois
avec quelques souffrances denses; pas tout l'temps ou aucunement une sinécure que
d'écrire ou composer des opus via des cumulus de phrases en mille et une extases et
pour sur nullement un hasard so far; que ce soit souvent à l'aube que bien en fusion, ou
au crépuscule, les plus grandes idées élucubrées s'entrechoquent pour ainsi mieux
choquer ou plaire à ceux qui savent sans déplaisir aucun rejoindre en pensées et toute
simplicité celui connaît ce mal étrange qui sait lui donner ce plus grand bien à l'âme via
le corps; un peu beaucoup à l'effigie de l'union de deux êtres au paroxysme du désir;
lorsque la fusion se fait houleuse et gracieuse; et c'est ainsi qu'à l'unisson nos deux âmes
se rejoignent et puis nos deux corps s'enflamment à faire hurler les loups en rondes
pâmoisons... Disjonction ou interjection en multiples émulsions belles quoique parfois
rebelles.
Pas de fusion sans confusion me direz-vous... Vous n'auriez pas tout à fait tort et non
plus tout à fait raison... La passion souvent consume mais impossible de s'arrêter
puisque tout est vital pour le créateur.
Amour et Trahisons
Trahisons d'Amour
Nos plus basses trahisons nous les oublions à en faire virevolter toutes nos promesses,
ici et là; que de mensonges, ce fut un songe! Et les songes n'ont pas d'épilogue; ils
rongent ce qu'ils plongent dans l'autre monde; celui de l'extase sans artificieux d'enfer
puisque le mot paradis serait crazy; la vraie d'extase qui enveloppe à l'infini ce que nous
sommes; des atomes de chrome sans répits ni mépris puisque trop épris de rêves à rêver
et pourquoi pas; lorsque l'être humain ne rêve plus il sèche comme un noyau de pêche
au soleil...
Non! ne dis rien, sois au aguets de tous ces guets entrelardés de vices cachés pour mieux
nous épier, nous déchirer, nous éloigner puis nous retrouver plus démunis de tous nos
regrets en sombres secrets.
Les soirées de feux entre deux jeux d’encriers d'enfants gâtés, jamais rassasiés; trop
permissifs furent tes ébats de chat tigré en volupté obscène à en oublier ton et mon
identité de balafrés, d'écorchés vifs que tu es, que nous fûmes, que nos sommes encore
entre deux tercets aux sons d'anges cornus, quel singulier secret entre nous deux ce
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vieux brasier ressuscité renflammé comme un volcan perdu aux flancs de ses encens
acres évaporés aux quatre coins du globuleux de globe terrestre! ô cœurs écœurés et
mécontents fussiez-vous jadis contents entre deux amants?
Oui, tu le sais, tu le connais ce grand secret de nous, immortellement touchés, trop
désuet ce secret... Stigmatisés à toujours nous le sommes, nonobstant les amours folles
et belles qui suivirent nos déchirures à tire d'elle et des vautours tournant autour d'un
simple amour ou d'un amour simple qui vit le jour entre deux tours d'ivoire
machiavéliques aux confins des donjons de certains châteaux sans nom où se vautraient
bien cachés les archangéliques de soubrettes et de Lord psychotiques à en faire trembler
les stylistiques de causeries des ducs et duchesses bien poudrés dans leurs salons et
leurs cigares ronds...
Tu envahis mon âme, tu transportes mon corps jusqu'aux flammes de tes tisons en
perpétuelles éclosions; tu me reprends, tu me repousses en secousses farouches et
douces jusqu'au retour en calembour, avec lascives poses et tes soupirs endoloris, tu
reposes ta griffe sur mon cœur en accroche-cœur! à la bonne heure, tu le ressens en ton
âme bien au fond que de toi je me languis jusqu'au mépris de tout ce qui n'est pas toi;
bel canto, jusqu'à me cajoler le dos via la chute de mes reins, en osant compter les
battements de ce cœur en vagabondant mes pleurs lorsque je me réjouis encore et
encore de toi dans cet écrin étroitement lié à toi, cet écrin que tu reprends en susurrant
en sourdine: &quot;sweetie no doubt at all I do feel home&quot;...
Et tu me reprends entre deux amantes de partitions toutes griffonnées et raturées
jusqu’aux bouts et recoins de ce satané papier; témoin de tes ondes et odes les plus
folles visant le plus sacré de nos vers prédestinés à s'amalgamer en toute obscénité
purement dénudée.
Oui, à toujours de ce qui nous rassemblent et nous ressemblent; un amas de pensées
toujours plus insensées; tu les entretiens ces pensées, et ce jour et nuit sans jamais te
lasser puisque ta jouissance se fait dense juste à me narguer entre deux autres
pénombres &quot;the dawn of the day&quot; revient et j'accours à sa rencontre en
attente folle de la nuitée où tes ailes se reposent encore sur mes ailes en pleines
tempêtes émotionnelles nous voguons comme deux naufragés sans bouée aucune; que
nos âmes pour ne plus couler à pic puisque nos corps se sont ressoudés et tant soudés
qu’aucune tempête de pluie ne saurait les dessouder; nous flottons au large des mers en
furie et rien ne saura nous arrêter voire nous alarmer outre mesure; l'ancre de notre
réunion s'est fracassée sur les rochers; désormais nous serons en mer; bien enroulés en
vivant l'amour nuit et jour pour l'éternité! Perspective assez joyeuse, jamais fatigués,
jamais peinés, toutes les muses à nos côtés, chaque vers en voie de se regrouper aux
strophes symphonisées.
&quot;Et tournent les violons.&quot; jusqu'à faire roussir nos éperons de mer en
grandes pompes bien plurialisées et au diable l’échauffourée!!! Repeat after me, allez
répète après moi, la plus belle des tentations s'est enroulée en toute foulée et s'est ainsi
qu'osèrent se défouler au centuple nos refoulements les plus encombrants depuis la nuit
des temps et tempos bien psalmodié entre deux concerto(s), ouais et lequel fut le plus
beau; les deux furent sublimes et inégalables voire jamais égalés puisque à toujours
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mémorisés puis qu’indélébiles en nos cornegidouille de cahiers bien révisés.
Les contes romancés sans aucune queue ni tête ont parfois beaucoup à nous apprendre;
lorsque l'ampleur du non-sens du scénario est venu s'installer dans son petit coin de ciel
d'eau la marquise était déjà décisive sur la façon de procéder pour bien élucider le
quiproquo de ses mots en voie de dégénérer en maux si elle ne décidait point dans
l'immédiat de faire taire tous les médias face aux dilemmes complexés et voire utilisés
tout au pourtour ou contre tout le château d'Othello et ses chevaliers aux brillantes
armures décorant les murs et ceci jusqu'aux plafonds parfois bien ronds sculptés
d'angelots furibonds; fussent-ils témoins entre deux angélus de tout conventuel
branle-haut de débats via le corpus. &quot;Desinit in piscem.&quot; : &quot;Finit en
queue de poisson.&quot;
Le lendemain soir à sept heures...
à la Gare des Poètes...
La mine ravie de la Marquise se transforma en gémissements lents et en sourdine elle
lui susurra juste &quot;salut&quot; et lui &quot;enfin&quot; sur le quai gai de cette
gare trop froide pour les recevoir; eux, brûlants suffoquant et délirant de mille feux de
se revoir, se retoucher, se rehumer, se toucher ne fut ce que le bout du nez comme les
esquimaux...
Octobre revint enfin ce fier malin... Après tous ces jours trop longs, ces mois, ces
années en léthargie d'eux-mêmes et de leurs suaves et indescriptibles ébats; jamais bas,
ni las; puisque à toujours en états de renouer de se recoller par leurs âmes jamais
séparées aussi loin fussent-ils de corps, c'était écrit en leurs écrits jamais épuisés mais
toujours émulsionnés par le truchement effervescent de leur créativité aux mille et une
couleurs de plus en plus teintées d'authenticité...
La marquise était nue sous ce manteau de lynx, les soirs d'octobre dans la Vallée de la
Louve sont tellement frisquets, mais &quot;quand même&quot; elle portait à ravir ses
longs bas bavarois achetés à FÜssen en Bavière, des bas de couleur rouge vin à carreaux
verts olive; concoctés de laine vierge; pièce artisanale qui montait jusqu'aux genoux...
Elle portait aussi ses fameux de mocassins tant célèbres; ceux de Jimi. Sur ses cheveux
était déposé un bandeau de perles amérindienne; les perles étaient de couleur jaune
orangé et bleu de Prusse...
Le baron savait qu'elle était nue dessous ce manteau; les phéromones de la marquise ne
sauraient jamais le tromper même à des millions de kilomètres il savait la capter dans
tous ses états d'âme. Si près d'elle, c'était un jeu d'enfant pour lui.
Il la désirait tellement, debout dans cette gare d'égarés mal garés, il ouvrit doucettement
ce manteau tout doux à rebords de cuir beige; c'est ainsi qu'il l'avait rêvé sa marquise en
retrouvailles, cent fois, mille fois; debout et nue aux vues et sueurs de tous et toutes
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dans cette gare sans bagarre. Il était en érection et elle ne faisait aucune objection, son
pénis entra doucettement et se glissa dans cet écrin étroit tant désiré depuis ces mille et
une nuits d'attente en latence de la savourer âme et corps sa déesse à lui; lui le roi des
imbéciles dociles d'avoir tant tardé à lever les amarres sur son île de plaisantins entre
deux pêches en filets désuets; sans aucune pêche miraculeuse mais toujours en prise de
petits mulets copistes-plagiaires donc sans imaginaire aucun, petits mulets bien fluets
voire niais.
Et la foule augmenta par dizaine les entourant en cercle aussi vicieux qu'eux; les
écorchés vifs des démentiels de tourbillons qui les séparèrent aux détriment de leurs
vies en voie de s'éteindre. Leurs ébats étaient multicolores; pleins feux du jaune au
rouge, du bleu au vert, de l'oranger strié au rosé non liquéfié!!! Une pléiade de
couleurs... Oh!!!! Oh!!!! Ohh!!!! jaillissaient de toutes parts et de nulle part les timbres
de voix disparates, l'accord de leurs corps s'avérait majestueux à l'effigie d'un ballet aux
ondes folles et frivoles en caracoles immenses; entre leurs accords tout a fait en accord
les trains nombreux passaient mais rien ne les arrêtaient eux les poètes maudits;
désormais la gare devenait le théâtre des amours trahies par le temps et les immondes
envies des habitants terrestres en mal constant de compétition équestre, en mal de
véritables bals orgasmiques obscènement pudiques qu'eux ne sauront jamais vivre....
Et la voix puissamment nasillarde traversa la salle d'attente rebondit sur le quai de cette
gare témoin orbiculaire du couple le plus osé de La Vallée de la Loue en totale et
synergiques orgasmes jamais vécus d'eux en voie de faire décliner les regards des
voyeurs époustouflés!!!! Enfin sans les avoir vus, ils entendirent dans un écho bizarre
ces paroles quasi pour eux en paraboles:
- Bonsoir, ici Brenda Dee, directeure organisateure de BBG ou Big Blizzard aux
Gotthard. Les passagers gagnants du spectacle automnal le plus impromptu qui soit sont
priés de se rendre dans l'immédiat au début de l'allée trois où vous attend le train
numéro 12, tous vous êtes invités à venir vous joindre à l’équipe du Journal Le Poids
des Mots; le PDG a su vous choisir, parmi tenez-vous bien: 12, 000 concourants!!!
Vous êtes les 92 choisis et ce en toute conscience professionnelle! Cette randonnée
musicale se fera en toute convivialité avec champagne au bar pour vous détendre et
vous préparer en douceur à vous rendre sans méandres au spectacle magistral en la
mémoire du regretté Steve Lee au Mont-Gothard en Suisse en cette nuit d'Halloween
du 31 Octobre 2011 les déguisements seront obligatoires; à bientôt de nous retrouver!!!!
Le voyage fut des plus magnifiques!!! L'arrivée des plus gastronomiques!!! Et
l'ambiance full of music de tous genres et les costumes des plus ravissants!! Quatre
d'entre eux furent choisis pour leur artisanale de confection et aussi pour l'originale de
désinvolture scénique des concourants tout à fait sexy. La rumeur artistique chuchota
que les quatre costumes se sont laissé enfiler par deux personnages seulement; les deux
héros de Amour et Trahisons ou Trahisons d'Amour revêtirent tour à tour deux heures
chacun les costumes gagnants!!! Les choisis furent photographiés et ô dilemme
complexe lorsque ce fut l'heure de la nomenclature des gagnants!!!
Inspiration immédiate pour la marquise des loups qui derechef opta pour un nouveau
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titre: Bal-Scandale en Suisse... (à suivre).
°°°°
&quot;La liberté consiste à vouloir que les choses arrivent non comme il te plait mais
comme elles arrivent.&quot; (Épictète, Entretiens).
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Only An à Revoir
Just for You where ever you are in this wild wonderful wise world...
Only An à Revoir
Don't want to say adios than
To this paradisiaque endroit
Switzerland heaven of lands
St-Gingolph honey ô havre de joie
Signe du souple double destin
Entre deux Gothard de refrains
Retour par la Haute-Savoie
Entre deux voix via la bonne voie
In Switzerland hééé!
The Wild Beat Café héééé!
In catimini en G ou do ré
Au coeur du beau Valais
Tout à fait conique en Cône
Le long du vert-gris Rhône
Tout en longitude d'effets
Près des abricotiers & pêchers
En rang d'oignons bien plantés
Jusqu'au yacht club de Genève
Là où s'achève le sweet rêve
Enchantement de musique câline
Notes en soubresauts denses
Rassurent et contrebalancent
Mes jupons longs et fripons
La rocailleuse de rive en amont
Se riant du vent au son bougon
De vagabonde en obscène décadence
Don't wanna cry t's only an à revoir
Yes I don't wanna cry à bientôt de te revoir...
°°°°
Ils ont volé nos mots et ils les ont tués. Ils tuent tout ce qu'ils touchent. Et à nous il reste
ce qui n'a pas de mots. Ce qui est. L'inexprimé. Le miracle. (Christiane Rochefort, Une
rose pour Morrison)
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Opus de l'Acinonyx Jubatus
Photo Work of Art : Léopard
&#9734; &#9829; '`&#9829;' &#9734;` ¤ º ° ¨ ¨ ° ° &#9728;
Opus de l'Acinonyx Jubatus
Trois temps deux sots mouvements
Lents ou prestement déroutants
Pour un léger contretemps infâme
Carrément incohérent indisposant
Ainsi va la portée des dés via la gamme
Opus iodé en toute hilarité de clarté
Balayant de ses notes les calamités
Des belliqueux souffrant de callosités
Dans l'âme via le cœur et ses affiliées
De douleurs de déroutes à redouter
Et le magicien Créateur de tout ce qui vit
De la mouche à la travailleuse fourmi
De l'enfant à l'homme perdu dans la nuit
Apporte la paix et efface les traces
Des outrages aux mirages des oublis
Vivra l'Opus de l'Acinonyx Jubatus des indécis
Et le piano résonne la paix de là-bas à ici
de la Louve effrenée in Mon Avril 2012 in France
&#9734; &#9829; '`&#9829;' &#9734;` ¤ º ° ¨ ¨ ° ° &#9728;
&quot;La terre se couvre d'une nouvelle race d'hommes à la fois instruits et
analphabètes, maîtrisant les ordinateurs et ne comprenant plus rien aux âmes, oubliant
même ce qu'un tel mot a pu jadis désigner&quot;. (Christian Bobin).
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Peine Vaine
Flirt et jalousie, de Haynes King (1831-1904)
De la Louve en flagrant délit de vous aimer à tout vous raconter à satiété!
Peine Vaine
Une Zoé toute éberluée
De tant d'ananas et oranges futiles
Parmi un tristounet de décor
Sans musique aux vibrants de Blues accords
Dandinages de nanans aux styles vidanges
Et moi comme un tarlet édulcoré
J'ai une demi-heure en bandade sombré
Pour deux gonzesses sur-voltées
Avec leurs minois sans charmes
Quasi dépassés aux pourtours séchés
Mal pourléchés étaient leurs nombrils
Tatoués et percés en vrilles sans thrills
Et vint la débandade et la noyade dans la Rade assommant ainsi l'goulet du tarlet
(malotrus).
Et v'la qu'ma Zoé sans rien dire
M'a refilé le jour d'après une douche revanche
Avec ses yeux louveux et ses Blues de hanches
Elle m'a un oeuf envoyé dur cuire
Et v'lan elle a décroché par musicale télépathie
Un androgyne de mec avec une géante de Batterie
Aux sons sauvagement métallisés heavy duty
Putain d'condom jaloux je lui ai fait une arrière-scène
En oubliant que je fus moi aussi similairement obscène
Dans mes lapsus j'entremêlais mes cunnilingus au point d'oublier mon vice versa le
versus
Et la justification mâle m'est venue
Ombrageant ainsi ma vertu
Désolée ma Zoé j'suis trop confus
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Juste un homme jaloux de vous
Et pardonne-moi ces mots drus
Ce fut pour moi une moche partie de cul
Avec vous c'est tout à fait haut en absolu!
Et veinard que je fus la Zoé dans mon panneau d'salaud est retombé jusqu'à s'en damner
l'clito
De la louve entre deux Blues groove; histoire de mieux vous faire devenir dingouze
entre trois parlouzes
°°°°
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Perles de Vers
Thanks to Tromal and Youtube pour la retransmission impeccable de ce beautiful
Midnite Man with Calvin Russell en voyage éternel depuis le mois de mars 2011... Son
immortalité belle saura nous faire vivre les sons les plus réconfortants qui soient...
Et voici en élucubrations sans prétention quelques vers sans verres qui briment mon
âme d'auteure envers et contre les heures.
Perles de Vers
Vers Perlés
Vers Parlés
Nothin' will be lost really
Tes délices en vers so tenderly
Déferlés de strophes en strophes
Bougent de là comme un ange
Frôlant de volupté la mésange
I feel so strange with your wild wild wings bel ange
Perles de soyeux lascifs vers
Aux axes concassées des sphères
Pieux amoureux rutilant pervers
Aux sonorités gazéifiées déliées
Et vaporeusement bluezéifiées surliées
I feel so strange with your wild wild wings bel ange
De verrières en rizières
Avec ou sans tes ut de verres
Aux disparates tons de verts
Du tendre flou au trévert foncé
Héé! Je m'y suis slowly défoncée
I feel so strange with your wild wild wings bel ange étrange
Et enfoncée à en tergiverser
Tant de larmes sexy-perlées
Nacrées outre-maquillées
Sans songer qu'après l'été
Surgit à fond de train l'Hébété
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I feel so strange with your wild wild wings bel ange étrange qui dérange
L'Hébété en deux Modes
Sacralisées scandalisées revampées
Pour mieux me ressouder à recapter
Visant à me récapituler via me recapturer
Yeah! Voilà un Passeport for the eternity
I feel so strange with your wild wild wings bel ange étrange qui dérange la frange
I feel really body and soul strange
With your wild wild wings bel ange étrange
Dis tu sais que tu déranges la frange
De ces cancaniers au double-visage?
Yeah! I feel en nage sur ta plage sans rage
Mmm! Sottise! what a crazy ravage
For these people in marivaudages
La Louve effrenée de belle musicalité sans trop vous bouscularizer en ce 18 avril 2011.
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-06-04
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Petit Goupil
Petit Goupil
ô Mein Papa
Daddy dix ans déjà à cette heure
Tu vois je grandis enfin
Désormais je ne pleure plus ce refrain
Depuis ton voyage vers cet ailleurs
Merci pour ta musique
En legs so damn Politique
Tu m'as tant appris
Des joies et des erreurs de la vie
Merci pour cette foi
En Dieu sans détour
Qu'avec tant d'amour
Exemplaire je te dois
Avec émotions Conte Partiro
J'ai chanté à ton dernier soupir
Et ce grandiose Panis Angelicus
Avec Dieu j'ai accepté les cruels délires
De cette maladie d’Alzheimer ex-voto
For You Petit Goupil en ce trois novembre 2011 de la Louve marquise des Loups
rebelles à l'âme belle so belle...
&quot;Les goûts artistiques musicaux et leurs couleurs en genres disparates ne sont pas
à discuter mais à cultiver jour par jour avec une ouverture d'esprit sans certains détours
qui briment l'Amour humain.&quot; (La Louve).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2014-11-17
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Picking Phantasms
Work of Art Photo ; Louise Brooks 1930
Heavy Slow Blues
Création en ballon du deux avril 2012
Picking Phantasms
Phantasms & Picking
Nos accords so damn sensibles
En magically délinquance de suspense
Avec nos cordes raides extensibles
Trop trop top in slow démences
Au détriment des ridiculous de cibles
Tu joues sur ma joue ta crazy descente
Sur des cordes graves et lentes
Historique auto-dérision de rythmique en G
Note-le bene baby j'te suis sans déraper
En ce marginal de beat freaky crédencé
Tous ces délicieux ô odieux de picking
Se sont laissés draguer sans jogging
En confabulant des toquées d'truly love affair
So strange thrills aux fils de soie et de fer
Je m'offre en grande portée l'auto-hypnose
Mimant ainsi la symbolique de l'Osmose
(bis)
Tu joues sur ma joue ta crazy descente
Sur des cordes so graves et too lentes
Historique auto-dérision de rythmique en G
Note-le bene baby j'te suis sans déraper
En ce marginal de beat freaky crédencé
de la Louve effrenée
« Il ne faut écrire qu'au moment où chaque fois que tu trempes ta plume dans l'encre un
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morceau de ta chair reste dans l'encrier. »
de Léon Tolstoï
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2012-11-23
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Piédestal Astral
Marin Marais &quot;Les Couplets de Folie.&quot;
°°°°
de la Louve
Piédestal Astral
Astral de Piédestal
D'emblée entre deux songes en virées
Blues & Jazz sans shoes ni nulle booze
Il s'est recroquevillé dans sa partouze
Aux confins d'un amas de notes bleutées
Apostrophe-moi en émoi de toi sur moi
Ses pupilles sortaient de leurs orbitaires
De jeux semblaient tour à tour mi-verts
Et puis tout d'un ton devenaient jaunes terre
Une rythmique de fiction sintérisée sénaire
Me cloua sur place entre deux fadiez de calvaire
Non! ne portez point de jugement téméraire
Retiens-toi entre deux toits de joie de coït
Les blanches et noires à pleins poumons
S'éjectèrent en toutes giclées sénaires
De sons inhumains quasi louviens
Du piano en mal de trouver son do sien
Et se propulsant sur un mur ou deux au plafond
Censure-toi sinon j'aboie avec toi et hurlerai sur toi
Des couleurs du pourpre au ocre
Et du bleu au rouge pomme d'Adam
Sans son Ève toute nue non médiocre
La gamme se dandinait hop jazzante
Et l'introduction se terminait hilarante
Jusqu'à la terminale pas banale top bandante
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La jouissance est dense entre deux strophes de cadence non amorphe...
de la Louve effrenée de belle musicalité, onze octobre 2011
°°°°
«Un esprit sensible ne convient pas à qui porte une épée.»
[ William Shakespeare ] - Le Roi Lear.
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-10-16
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Placebo et Marybô
Placebo et Marybô
Marybô et Placebo
Un ruisseau plutôt beau en été
Elle vit juchée sur son rocher
Bien nue elle s'y est vue
Étendue dans l'eau aux nues
Possédée du diable cette rigole
Selon les quand-dira-t 'on
Celle que l'on disait folle
N'a plus peur des caméléons
Arcs en cieux déposés
Marybô a un jour décidé
De ne plus combattre
Gens et choses d'ailleurs
D'ici ou plus loin que Montmartre
D'Italie via l'Espagne à La Châtre
Des placebos en palliatifs
Plein d'amour et des riffs
Elle ajouta pour ses amants
Aux cœurs purs et tendres élans
La musique pour bannière
A corps et âmes de verre
Ou de soie ils s'aimèrent
Sans aucune pensée amère
La jouissance se prolonge
Et n'est nullement un songe
Lorsque deux âmes s'amalgament
En contretemps avec la gamme
Et des pléonasmes trop infâmes
Brimant aux détours les orgasmes
Et leurs splendeurs sans marasmes
de la Louve effrenée d ebelle musicalité bien nommée Marquise des Loups à l'âme
rebelle so belle
****
&quot;La beauté est vautrée dans l’œil&#65279; qui regarde et dans les pensées qui se
hasardent à s'entrechoquer aux tréfonds d'une fausse conscience prude et
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blafarde.&quot; (La Louve effrenée de belle musicalité).
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Plume au Vent
A brand new year in wild délires ! All aboard! Vive 2013; l'année du Blues en fadiez ou
du Fadiez Blues for 2013!
Plume au Vent
Vent à la Plume
Written for a Jitterbug with a truly hug
De l'autre bout au goût ou dégoût du monde
À l'effigie de la plume au nord-east vent
De l'autre rebout vicieux coût du monde
À l'effigie de la plume rebelle nordique d'antan
La phoenix sans Félix se balance dans l'temps
Two three four tout contre le tempo encore
Ô what for mylord so damn too lord
We have to forget our obvious de score
So grandiose in our balivernes de word
Allez come on John viens te trémousser sur mes raides fortes cordes
Plume au vent en avant de toutes choses ou personnes ça sonne non morne!
Can you feel my soul & body jazzéifiés
Dans l'Blues real Blues des autres années
Et d'aujourd'hui je sais le hurler sincerly
Swing me up or down way over behond
Without your junk noise's Bitter Lemon
Leave it there on the table just right on
I want so damn hard to swing & Jitterbug
With you crazy great thing till I just bug
Fichtre Ö La La and way up! Grrr! Good grief!
This nude portrait of you as a wild Sioux chief
Plume au vent en avant faisant fi de toutes choses ou personnes ça resonne !
Right there in mine plexus solaire
Via le nombril around the rest in sursis
Libido so on over flow so hot en stimulis
Mamelons roux en very haut voltage
Se pointant hors sphères off the bôcage
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En moult désopilantes jivy séquences
Under the starlights en trois dimensions
Imagine us sweetie babe and enjoy it slowly
Jusqu’au petit matin derechef la partition inachevée
Reviendra sans cesse nous hanter à toujours recomposée
Plume au vent en avant faisant fi de toutes choses ou personnes ça resonne en double
croche so l'fun via les arpèges so fort en braise!
Just for You where ever you are de MDLoups La Louve effrenée en ce 16 janvier 2013
&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
Petite leçon de Jitterbug? Alors come on and hit that Jive till the clock mark five!
&quot;Again and please... Practise... And then you are&quot;... to go for writing a
bunch of few love words or dancing and playing with a Jitterbug girl or boy, or maybe
with your préféré de toy ;)
&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
&quot;Chacun de nous exprime ses sentiments; gratifiante résultante éminente des
non-ressentiments.&quot;
La Louve effrenée de belle musicalité en chassé-croisé
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2013-01-17
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Poêt au Fouet de Satin
Poêt au Fouet de Satin
Le Fouet de Satin du Poêt
Des vers pervers dans l'air salin
De son exigu de bel écrin
Flottaient encore au petit matin
Le Poêt au fouet de satin
Passait avec sa belle au matin
Il jouait du pipeau
En composant un morceau
Aux tons grivois so chauds
Entre deux temps il chantait
Sa voix au loin résonnait
Il venait puiser son eau
Au puits du Long Éjoue
Au cou son âne portait grelots
Et le poêt au fouet de satin
Caressait de l'autre main
Les fesses de sa Bichalou
Sans corsage à contre sens sans selle
Bien accroupie ses hanches voluptueuses
Se dandinaient en fortes rondelles
Et le poêt en érection sulfureuse
Faisait descendre la sweet vicieuse
De Bichalou pour le reprendre au licou
De son phallus languissant du damn bijou
La Louve effrenée de belle musicalité
de la Louve effrenée de belle musicalité dite la Marquise des Loups à l'âme rebelle so
belle...
****
****
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&quot;Asinus asinum fricat.&quot; : &quot;L'âne frotte l'âne.&quot;
Se dit de deux personnes qui s'adressent mutuellement des éloges outrés.
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2016-03-24
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Port de la Lune
Merci à Gotthard et ses magic men - avec la voix de Steve Lee et What I Like
Et pour Toi de la Louve ce nouveau refrain...
Port de la Lune
Lune sur le Port
Une ballade solitaire
Entre la lune et Elle
Et le Port de la Lune
Avec tous ses éclats de verres
La belle Gironde
Et ses ondes furibondes
Mon âme te rejoint en deux cardinaux de points
La lune quasi pleine
Ton cœur si près d'Elle
Lui frôle ses frêles ailes
Pourtant tu es là à peine
Elle ressent ta déveine
Et elle prie pour toi sereine
Mon âme te rejoint entre deux apostrophes sans strophes je suis ton hermana del alma
La belle Gironde
Et ses ondes furibondes
Me cause de toi en ondes
Dans ton carré de verre
Sur ta platine et ses Jazzy airs
Toi si bien éclairé par la lune ronde
Mon âme te rejoint et avec Dieu je suis tienne sans peine sur le port de ma vie via la
tienne
La Louve effrenée pour Toi à chaque lune pleine pour te griffonner la plus simple des
ritournelles.
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-02-17
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Portées Aux Nues
Oeuvre titanesque dans toute sa mystique magnificence Callisto - Titian
Musica de Youtube: Jim Diamond - I Should Have Known Better
De la Louve pour tous les magic men and women de la terre y compris les chanteurs
puisque la voix s'avère un instrument plus que géant.
Portées aux Nues
Nues dans Toutes leurs Portées
Et tous les arpèges
S'effleurent sans liège
Et tous les arpèges
S'effleurent sans piège
Portées aux nues elles se dénudent
Aux p'tites blafardes d'heures
Y' a ton lion-démon de cœur
Et tous les soyeux arpèges
Me soûlant sur mon siège
Portées aux nues les prudes se dénudent
Aux grandes heures
Y'a ton Groove In G
Qui me fait monter
En flèches et non en flesh
Can you feel this Blues sketch
Portées aux nues elles se dénudent les prudes
Aux heures vachly fades
Je ne suis plus jamais sad
Y'a ton wild Groove In G
Qui me fait monter en ré
Portées aux nues elles se dénudent les prudes with this Groove in G en long Prélude
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En ce 22 avril 2011 La Louve s'est mise à nue d'un fil; histoire de vous raconter que
toutes les portées authentiques mènent aux nues.
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-05-09
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Pour l'Amour de la Musique
Pour l'Amour de la Musique
Pour l'amour de la musique
et de tes airs hypersoniques
j'ai révisé mes notes
outrepassant les mots
et les plages fortes
aux couleurs d'eau qui tremblote
pour l'amour de ta crazy love de musique
je me suis laissée flotter aux quatre vents
de tes virgules aux points cyniques
à en faire se redresser mes libidinales
ioniques ironiques rythmiques
hyperstatiques océaniques cosmiques
Pour l'amour de la musique
et de tes airs hypersoniques
je me suis refaite tigrée d'chatte
à en oublier les dates
du crazy d'calendrier d'Zermatt
aux hurlements de louve
always en instance de groove
à en faire gémir les vautours
qui n'ont jamais osé capter
en double croche notre Ré
rédemption au damné de pourtour
de cette sinueuse de partition
éternisée à toujours inachevée
titrée Pour L'Amour de la Musique
****
de MDLoups dite La louve effrenée en ce 16 novembre 2013 ce Pour L'Amour de la
Musique que je dédicace à Marie-Andrée ma mère dont le 17 novembre sera
l'anniversaire de naissance.
MDLoups in Lafay Lassyion
****
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NOTA BENE : La prochaine pleine lune a lieu :
Dimanche * 17 Novembre 2013 * 16:15:48 heures
Heure normale d'Europe centrale (HNEC)
****
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Pour Loup so Loup
Missive sans givre qui atrophie le coeur des loups et louves via les grives...
En ce jour du 19 mars 2014 je me rappelle que c'est la fête (catholique) de Saint-Joseph;
mon père lui demandait souvent des faveurs, moi pas; ma mère Marye-Andrée so class
ne croyait elle en rien sauf en elle-même; elle me chantait lors de ma tendre enfance
ceci:
&quot;St-Joseph à bicyclette- Petit Jésus dans le panier- St-Joseph va trop vite arrête!
Pt'it Jésus va tomber - &quot;
Il va sans écrire que ce fameux de saint me dégonflait vachly les nattes puisque moi le
petit Jésus j'y croyais ferme idem sans le voir et je l'aimais bien et ne voulais pas qu'il
tombe...
***
Pour Loup so Loup
Huit heures vingt du mat
Je me dénatte
Et j'écris comme une dingue
Au lieu de passer au flingue
Des gélules ou de l'alcool
Qui gèlent en ondes folles
&quot;Les dés sont jetés&quot;
Tu m'as dit jeudi dernier
Ce matin tu passes au bistouri
J'imagine ton coeur de loup
Battant moins fort sous ces coups
Il bat sûrement slowly ton coeur
Sur cette table froide et roide ô terreur
Avec tout autour des gens affables
Non bonnes gens ce n'est pas une fable
Je hurle à Dieu en entendant Willie Nelson
Je chante à tue tête ! ma tambourine résonne
Face à la fenêtre ouverte il y l'église d'antan
Revoyant les primevères et narcisses blancs
Que tu avais mis au sol pour ce printemps
Que ta volonté soit faite mon Dieu guérisseur
Et non la mienne déchaînée avec la peur
Rien n'est acquis à l'homme pas même sa vie
Jour par jour voilà un quotidien de sursis
de MDLoups la Louve effrenée de belle musicalité in Les dés sont jetés en ce printemps
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insolent
***
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Pour qui Ou Pour Quoi L'Art?
Séquence septième & prise douze du film Pierre Blues Bleue Black tourné et retourné in
France dont l'action se déroule en 1942 dans un moyenâgeux d'Château dénommé Pierre
Bleue...
Extrait du scénario dudit film:
&quot;- Hey! Page blanche entre deux planches Shucks! où est l'Ange que j'le dérange;
j'ai le tambourin qui me démange jusqu'aux confins des hanches?...&quot;...
- Tabarnak.... Est-ce c'te wild thrill' que l'on nomme Hipshot? Yes! Come on over
sweetie I do feel hot for a snap shot of an all night long music affair!... Oups! V'la un
damn string qui caracole, attends faut que j'le recolle sur ma guitare qui devient fofolle
lorsqu'elle te zieute la fiole&quot;.
...
Source: (Extrait en biais du synopsis dudit film avec et sans rimes qui dé-griment les
âmes souffrant du syndrome en chrome de la sous-estime via la surestime en or via
l'escrime de la folie aux abords du tribord).
°°°°
En musique vachly sonique et tonique par l'heureux truchement de Youtube Nazareth Moonlight Eyes
°°°°
De la Louve en préambule de groove with chics formatés d'Extraits minimes de Cornets
de Voyage Bleu in France for Radio-Canada.
Por Que - Pour Qui - Pour Quoi L'Art?
Désespérément ou heureusement comme un marin errant au soleil levant, il vogue
nonobstant son expérience pertinente parfois dans des eaux troubles ou claires selon sa
matinée de chance ensoleillée, ou sa bonne étoile bien près de sa lune blanche et ronde...
Qui est-t-il? Lui ou Elle...
Cet artiste ou écrivain? Personne et toute une pléiade de gens à la fois. Gens, pas
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personnages car il sait jouer seulement au théâtre, en écrits de fiction ou avec les
personnes un peu curieuses ou fourbes dont l'ultime but est de le blesser ou de lui
découvrir des failles puisque cet artiste semble tellement différent et bien ou en paix
avec lui-même. L'artiste ou créateur dérange souvent autour de lui, soit dans un salon où
la conversation neutre et futile semble pour lui un poids immense sur son âme. Soit, il
aime la solitude et ne sait en avoir peur mais si l'âme en paix il a alors il sait aussi
tremper son enveloppe corporelle dans la démesure d'un bain de foule en défoule so
full, où tous ces gens l'indiffèrent ou le touchent lorsqu'ils défilent sous la pluie ou au
soleil en état de bonheur, de tristesse ou de détresse, peu importe, nul être terrestre ne
sera jamais suffisant à lui-même et ne pas s'isoler signifie faire face à la musique de
cette foule géante et dans cette dernière, sauf exception, certains humains savent toucher
ses fibres artistiques que trop souvent il fut obliger de blinder ou refouler; soit pour
gagner sa vie ''normalement'' ou faire plaisir à l'entourage familial; car ne pas bosser de
neuf à cinq sur un emploi stable et valorisant peut paraître suspect et cela même en
2007.
Tout pour suivre ou vivre sa voie tracée depuis sa naissance dont il sera en mesure
d'expérimenter pour devenir serein au centre et au détriment du monde qu'il n'a pas en
horreur puisqu'il sait les capter peut-être trop; être et non paraître mais véritablement
être ce qu'il est; voilà tout un exploit car être soi-même sans jouer ou vouloir plaire à
tout le monde il l'a appris par cœur comme un perroquet et il sait parfaitement que d'être
aimé sans préjugé défavorable se nomme une triste mission impossible. Pour vivre
heureux à la mesure dont nous pouvons l'être sur terre il est préférable pour lui de se
laisser guider par son Art en évitant les pièges de l'autosatisfaction ou de la justification
de ses créations en essayant d'expliquer la signification de telle strophe en poésie ou
phrase en prose ou le pourquoi de telle couleur à ce firmament qu'il a su peindre en ce
soir d'hiver où la terre entière et les chagrins semblaient plus grands que son cœur
pouvaient les porter.
S'il (l'artiste) a choisi ce métier extraordinaire sans vraiment le choisir et ceci au risque
de déplaire à ses contraires ou aux personnages défilant dans sa vie quelque peu en
retrait lorsqu'il a cent et une créations à offrir au fil du temps qui trop souvent lui
semble bien court. L'artiste risque de régresser en son Art et de s'étioler comme une
fleur sans eau lorsque par vanité ou désenchantement il ose songer qu'il est non lu ou
entendu, l'artiste ainsi habité par le don des Arts poursuit sa route ou sa vie un peu en
déroute puisque de lui souvent on doute; soit en lui refusant certaines portes menant à
être reconnu ou en lui disant carrément qu'il est nul et qu'il est peine perdue de continuer
dans cette voie. Celui dont le besoin d'écrire ou de pratiquer une discipline connexe est
plus fort que celui de se nourrir ou courir est une réalité quasi mystique voire
inexplicable par celui dont le besoin vital et salvateur pour lui peut paraître pour
certaines gens moins paranormaux, (il est intéressant de noter que le mot paranormal
dans le texte ci-joint ne signifie pas ésotérisme ou autres sciences connexes mais
simplement une façon de décrire les gens dotés d'un sixième sens très développé), un
bizarre d’échappatoire, de fuite nocive ou de vicieux de palliatif quasi anormal.
Sait-on jamais ou toujours pour qui ou pourquoi un poète, un auteur ou écrivain décide
d'écrire, de peindre. de danser ou de jouer d'un instrument à sa convenance. Il extrapole
ses états d'âme et sa ligne de pensées ou son idéologie souvent pour sa survie
intrinsèque et inconsciemment celle de certains autres humains ouverts émotivement ou
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émotionnellement à ce que le créateur libère en Arts par le truchement de ses pensées
secrètes, ses amours, ses bonheurs, ses peines, sa mort physique ou intérieure, ses
fantasmes où toutes ses fibres littéraires ou artistiques ainsi déchaînées se mettent en
marche sans l'ombre d'un doute sur son talent lorsque ce dernier don est inné.
La peur du quand-dira-t-on s'estompe illico lorsque la transe de l'Art survole son âme
d'élite, c'est alors l'ultime paroxysme; l'orgasme fantasmagorique où la magie
mystérieuse de son imaginaire s'entremêle impudiquement (pour les consciences prudes
à l'absurde), sans songer au plan ou à la réalité parfois trop cruelle ou belle selon les
jours et les gens qui passent ironiquement sur sa route et savent oser le lire ou le voir
dans un flou dérisoire ou en sens contraire par une grâce extraordinaire et possible tel
qu'il est lui le fou des mots ou des notes dans toute son authenticité dérangeante pour
plusieurs personnes, lucidité énorme sur la société souvent maladivement prisonnière
d'un mal encore plus grand que celui de l'Art ou de l'Écriture...
Mais qui en cause ou qui osera écouter intensément ses refrains ou ses mots sans se
moquer? Les amoureux des Arts seulement on le devine bien sauront reconnaitre son
authenticité... Cette dite lucidité flagrante mal perçue face à cet étrange créateur, cet
humain en idéologie pourtant pas si utopique; en reprise, cette lucidité déconcertante sur
tout ce qui vit ou survit, lucidité froide, acquise parfois avec souffrances et humilité.
Être capté en écriture, en peinture, en musique, en danse ou en paroles n'est pas une
sinécure ou une peur de vivre ou gagner sa vie comme monsieur tout le monde qui aussi
se donne entièrement à son métier, sa profession ou sa vocation, à chacun sa voie ou sa
destinée et heureusement que tous les habitants de la terre ne sont pas artistes ou
boulanger car nous serions inondés de pain, de livres, de tableaux et de partitions de
musique. L'artiste en lui qui soit-il, œuvrant dans l'ombre ou sur la sellette aura une
satisfaction immense à chercher à aimer plutôt qu'à être aimé constamment et surtout à
pratiquer son Art énergiquement envers et contre personne nécessitant ainsi un mode de
vie anti-animosité ou apitoiement envers lui-même en offrant sans trop attendre des
autres ou de compter les retours d’applaudissements ou d'ovation.
Le créateur d'Art, spécimen différent, et souvent mal vu voire non écouté ou non lu
lentement et à fond; faute de temps pour tous où la majorité des gens souffrent de petite
paresse intellectuelle agrémentée de moquerie pour tout ce qui est différent. Certains
autres individus non réceptifs sont en déni ou en rejet total soit par crainte de la réalité
parfois ou toujours désarmante venant du créateur qui inconsciemment sait toucher
leurs âmes malades ou tourmentées au superlatif. Voilà sans tromperie aucune l'un des
plus ingrats métiers du Monde indéniablement les moins rentables ou les moins bien
rémunérés financièrement pour celui qui se met à nu artistiquement causant et ose
exposer sans calcul ou masques à frime ses élucubrations vraies sur papier ou autres
supports d'Arts quelconques...
QUE SERA, SERA, qui vivre verra en redondance Écrire, peindre, jouer, danser sont
des métiers plus que des passions momentanées et non des rêveries pour fainéants
comme certains individus peuvent le clamer mais pour son créateur une voie
inexorablement solitaire lors de ces épanchements merveilleux ou douloureux et que
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sans l'ombre d'un doute pour ceux qui le vivent avec puérilté mature ( paradoxal mais
nécessaire en Arts ) s'avèrent un baume qui parfois fait mal à l'âme lorsque l'on espère
trop longtemps de la compréhension totale ou une attente du lecteur, de l'auditeur ou du
regard méfiant ou moqueur de l'observateur vu la non compréhension ou la peur des
personnes dont l'ouverture d'esprit face à ces disciplines soit complètement inexistante.
En clair, sans s'y complaire en arrogance ou en supériorité d'excellence, le créateur vit
en perpétuel processus de transformations, à l'effigie de tous les êtres terrestres. Son but
ultime n'est pas de changer le monde mais de changer sa propre façon de penser ou de
vivre avec lui-même et avec les autres; avec lui-même, hôte principal de toute sa vie
durant, en harmonie heureuse, jour par jour en laissant braire autour de lui les incrédules
ou les ignorants de la vraie beauté non falsifiée, laisser dire ou vivre autrement, dis-je,
pour lui et ses créations en vue de vivre plus intensément la discipline artistique via la
création en devenir de son choix pas je le réitère, véritablement choisi.
Fin de la première partie
(à suivre sur une autre rive sans dérive).
Archives de la Louve in 2007
Votre aut'heure diurne et nocturne en toute ténacité La Louve effrenée de belle
musicalité colorée cuivrée.
°°°°
&quot;Il y a mieux encore que le calme de la solitude : la présence silencieuse de l'être
aimé, tout près. On est seul, en sachant qu'on pourrait ne pas l'être.&quot; (Claude Roy).
____
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-05-29
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Poussière de Lune
Poussière de Lune
Parcelle de dés étoilés hééé!
J'me suis miré sur le dos en ré
Sans du tout que non songer
Dans cette big big lune
Bigrement empoussiérée
C'était par un dimanche d'été
J'ai griffonné d'un éclair en jet
Ces Deux Crazy Dés en un sifflet
Allez viens plus près me raconter
Tes idées bleues endimanchées
Sans oser réciter ces préambules
Déracinés et outrepassés
Visant à percer crever ta bulle
Sans quémander j'ai demandé
À ma Zoé la partition des Deux Dés
Soi-disant elle l'avait égaré
Bon sang ne sait mentir
En vieil adage j'ai ouï-dire
Et v'lan j'ai humé la culpabilité
Me poignarder me tenailler
Après tout c'était moi le taré
Le coupable des Deux Crazy Dés
°°°°
«Le temps est le maître absolu des hommes ; il est tout à la fois leur créateur et leur
tombe, il leur donne ce qu'il lui plaît et non ce qu'ils demandent.»
[ William Shakespeare ] - Périclès
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-08-12
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Préjugés Éducoloriés
Préjugés Éducoloriés
Savoir éducolorier les préjugés
Préjugés défavorables sur tout ce qui vit
Piètres jugements de valeur
Ô salope trompeuse ironie
La vie terrestre est courte parfois
Soyons tous avant la fin unis
Sombre trop sombre utopie
Sur cette boule en anarchie
L'homosexualité n'est pas un choix
De vie différent des plus que parfaits
En projection de leurs attraits
Triste idéologie que cette voie
Crier sa Foi n'est que parole
Inutile de causer en paraboles
D'égocentrisme atrophiant l'aorte
Blindant l'âme barbouillée de tabous
Ladite Foi sans les œuvres
S'avère une Foi morte avec remous
Le Moi ou le Surmoi qui se frotte
Aux préjugés en signe de pieuvre
Ou de fric chic quelles eaux-fortes
Miss duodénum Perfection
Liée à Mister so much Perfect
S'amalgamant en haut de game* infecte
Puisque tout à part eux semble vil
Outre leurs so cute nombrils
Rompant ainsi le charme de la Poésie
Tout est dans l'allure
Le reste s'avère only foutaise
Balivernes flasques en mortaise
Péjorativement gobant toute thèse
L'émancipation peut s'avérer opinion pure
La respecter avec l'Amour non impur
Préjugés sur les ridules
Bizarre de conception ridicule
Vieillir en ce siècle semble une tare
Et l'ouverture d'esprit une tarentule
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Les alcoolos semblent d'affreux rigolos
Pourtant vous sirotez trois Ricard Pernod
But ultime du décontracte de solo en duo
Préjugés trop souvent malveillants
Au sujet des ados dits jeunes
Pourtant certains sont vaillants
D'autres sont artistiquement
Géniaux en leurs voies rêvées d'antan
Réalisant pas à pas leurs plans
Le véritable voyage en Soi
Sait dégonfler le Moi
En route vers la lumière
Est souvent en amont de la rivière
Pourquoi blesser autrui
Voilà un dangereux boomerang
Car l'Amour n'est pas le bagne
Visant exclusivement le bing-bang'
Pour mieux éjecter sa hargne
Face à la terre entière
*Game en anglo: Jeu et non gamme.
La Louve 2011 l'année du Bronze avec son Bonze
____
Yeah! Let's take a music wild ride with la Louve without your aggressive sides please!
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Près d'un Ruisseau
Rigole du Diable
°°°°
°°°°
Près d'un Ruisseau
La Marquise des Loups
Une femme trop lasse assise
Près d'un platane de cent ans
Un oiseau sur cette branche
Et son refrain beau change
Du tout au tout ce dimanche
La belle dame rêvasse s'épanche
Se remémorant les avalanches
En souriant des jours de brise
Prise par surprise entre deux bises
Au musical Relais Louis XI
En cette Ère de Bronze
Un hôte charmant sans pose
Des chœurs purs d'enfants
Et tout l'monde en cause
De son ombrelle pâle en dentelles
De l'aubépine de couronne magenta
Portée en diadème sur ce front las
Ses opinions politiques
Furent notées catastrophiques
Sans aucunement argumenter
Elle s'est donnée avec volupté à satiété
Au premier comte venu à ses pieds
Lui raconter des mots étranges
Son prénom beau fut Lou-Ange
Sa passion folle devint un double échange
Entre ses longues et blanches phalanges
de La Louve
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°°°°
&quot;D'un amour sans alarmes, on doit toujours s'alarmer.&quot;
Jean-Baptiste Rousseau in Les filets de Vulcain, Cantate XI - 1729.
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Prose d'Osmose with lady d'Abandart
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
Prose d'Osmose with lady d'Abandart
Lady d'Abandart's Prose d'Osmose
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
Récit non aigri aux Feuilles d'Automne empaquetées à la tonne dans le but ultime
d'exportation vive à la Sorbonne entre deux magnificences de manigances d'unfair
agences oubliant malencontreusement en toute quiétude la sainte et saine bienséance...
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
L'Andropause et la Ménopause
Lady D'Abandart nomma ainsi sa première guitare; une small Ibanez en coeur qu'elle
chérissait au-delà de tout amant en voie de devenir désarmant en tourments à contre et à
corps courants via ses hétéroclites de misfits ou de border lines de délires pour les non
avertis au naturel ou ancrés à perpétuité dans le tinted music love affair en mal de selles
vu le colon mécontent tout l'temps du tempo so slow alors je te propulse un invisible
arrow vu mon désir in high temperature risin ô ô ô but I can't stand your authentic Chic
Freak...
Tous et chacun venait la visiter tout espacially to see and play with this Lady
D'aband'art's guitar... Un joyeux joujou pour ces musiciens tout à fait désuets pour la
norme des gens ordinary branchés; culminant parcours de vie que celui de cette Lady
D'Abandart un peu beaucoup extravagante spécifiquement aux alentours de la lune
grosse via la pleine et à chaque jour suffit sa déveine, non what a stupid adage, elle n'y
croyait pas de trop puisque l'adversité pour elle s'avérait un profond retour en
elle-même; histoire de ne pas broyer du noir mais plutôt d'y voir clair très clair et c'est
ce que cette précieuse aurore fit naître chez elle en ce fameux sirupeux de matin où cet
ange tombé du ciel surement se mit à lui jouer ce fameux de titre que la veille elle lui
mit entre ses sweet and slow mains de magic man...
Des jets de mots accolés un à un et trois à trois à une vitesse folle à son effigie à elle la
Lady D'Abandart qui d'ordinaire n'était jamais satisfaite; ce soir-là juste au regard
perçant de Stylivamp; musicien pianiste de renom et musicien guitariste pour les privés
de rebonds; elle seule savait son véritable prénom indéniablement prédestiné à faire
courir toutes les garces et putains mâles de la colonie artistique et plus encore oh! Yeah
ça perfore! Quelle anti-métaphore! Une chanson bourrée aux as de prosopopées à faire
damner toutes les onomatopées en voie de se pointer.
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L'andropause et la Ménopause de certains de ses amis la rendait hors de cause puisque
sa jeunesse se perdurait à en rendre jalouse les plus incrédules et non douées du real
Blues; minis-poses ou mini-pauses aux pensées bleues mauves d'osmose via la verve
latente ou éclose qui osera déflorer le joyeux prince en état de grâce ou de symbiose
avec la gamme et ses fruitées de notes; en remontant et descendant lentement puis
ardemment les touches d'un piano blanc avec sur le devant une seule rose mauve pour
faire se réjouir la clef de sol entre deux precious bémols en flagrant délit de caracoles...
Grrrr! Yes! je me l'accole cette farandole; histoire de faire craquer toutes les hyperboles
en voie de se blanchir avec deux noires bien ancrées sur la partition dudit prince
semi-puceau mais pas sot; en mal de jouer ce MistyFits tout à fait stylisé voire adapté à
lui compositeur en voie de devenir dingue et accroc de tous ces mots en apostrophes
and he said so low: &quot;don't you know that I adore your sweetie métaphore, encore
ô encore de ton corpus et tes lapsus por favor my lady d'Abandart&quot; minaudait-il
entre deux coups de langues sur les gambas qu'il venait de faire sauter sensuellement
dans le beurre à l'ail persillée Hééé! Aille aille aille tu m'fais jouir Stilyvamp quand tu
bouges de là avec ton plat sur le rebord du lit tout rond...
Nous dégustions nos fruits de mer comme deux ados en mal de terre cuite; vu le rouge
vin de la descente de lit en coton de satin tout à fait fortuite qui se mit martel en tête à
queue de prendre la fuite! Outch!... Ouille!
...
Ce fut à ce moment précis que nous nous ramassâmes sur le tapis avec notre thé blanc
sur le camp... Et à nouveau ce parfait salaud de mes deuzes de nattes rejoua ce morceau
et sa composition musicale devenait de plus saloparde et lascive mais pas de trop
puisque le Blues ça peut monter en vrille au-delà de la chenille et personne ne saura s'en
plaindre sauf les malins aux traditionnelles de mains en jeux moins câlins donc
beaucoup moins osés en osmose. Faisons la pause please les cordes via le manche
s'enlisent!
Le fin gourmet gourmand s'endormit et dans son sommeil le bel insatiable en
quémandait encore de sa Lady D'Abandart d'Outre-Mer via la svletie Manche en Outre
Scéance de danses sans oublier la contrebalance si nécessaire à la mise en stances via la
real ou réelle cadence.
Dès son réveil quasi vermeil, tout ébouriffé de la tête aux pieds le bel Adonis avec
ardeur de si bonne heure se mit à rejouer en G ce dolce Blues à moitié dénudé; yes sir
c'est ainsi que naquit le fameux MistyMisfits bien zieuté par ses yeux non démaquillés
et encore barbouillés de koal bleuté foncé de l'Orient de l'autre côté de l'océan... Hééé!
Can you hear that sound with your soul's ears?
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
MistyMisfits
One two three no déni!
MistyFits I bet my bite
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tromal.net
Tea for three no fight
MistyFits for ever bite
Tea for three no fight
Wanna taste your chatte
Wanna touch your nattes
Forget me not ou une rose
Pénètre-moi par osmose
Jusqu'à la damn apothéose
Laisse-moi gober ta prose
Faisons nous damner à l'os
One two three no déni
MistyFits a bit I bet my bite
Tea for three without fight
MistyFits for ever bite
Tea for three no fight
Never felt so damn good
Cover me so better than food
Repénètre-moi par osmose
Jusqu'à la damn apothéose
Allez! sans culpabilité ose ose
Feel indecently to good purpose
Change ma guitare d'épaule
Want to find this wild pinhole
Frotte-toi sur ma cuisse et remiaule
(instrumental de guitare solo)
et bis les deux couplets sans sifflet faux.
Allright reserved here @ ; tous droits réservés La Louve effrenée for Plumes et
Enclumes, France, Automne 2012
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
&quot;Une grandiose histoire d'amour so glamour à en perdre son &quot;latin via son
train on a dolce September matin.&quot; (La Louve effrenée de belle musicalité).
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Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2012-12-19
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Quatre Heures chez Steve
Quatre Heures chez Steve Auto Body Parts
&quot;Butterfly me sweetie and spread your dolce wings on my body so swing entre
deux strings on mine crazy d'Ibanez guitar I do feel so cougar so gooood so far! This
élubration louvienne is just for You! héééé!&quot;
India-Luna est en retard, il est onze heures et le matin en même temps qu’un épais
brouillard est enneigé et triste au possible. Et comble de malheur son auto Volvo 1999
semble à plat because, elle ne le sait pas. La moue elle fait car elle doit se rendre au
Conseil de la Culture pour 14 heures. Sa journée débute bien mal, elle examine dans son
carnet d’adresse d’ordinateur tous les garages des alentours et elle choisit le numéro
d’un de ceux-ci au hasard. Elle téléphone donc à Steve le garagiste le plus près de sa
piaule et 15 minutes plus tard le voilà qu’il se pointe avec une remorqueuse plus grande
que son stationnement sur la rue des Pins.
Le mec est blond et vachely wild ! Des yeux de fauves et une tignasse de bohémien ;
cheveux longs épars, sur les épaules et sans style précis, un vrai bohème quoi ! Elle
connaît ce mec depuis quelques années mais jamais comme ce matin elle ne l’avait vu
de cette façon. Lorsque, souriant il frappe à sa porte, lui sollicitant la clef de son bolide,
alors elle plonge son regard dans le sien comme ça histoire d’oublier un peu cet hiver
qui est à peine amorcé mais qui semble plus sombre que tous les autres antérieurement
depuis huit jours.
Histoire aussi d’oublier temporairement Jocelyn le bel amour de sa vie présente qui sans
vouloir lui expliciter la vraie raison est en période de réflexion prolongée sur leur
relation amoureuse-musicale. Un quiproquo démesuré s’est infiltré entre eux tel une
toile d’araignée gigantesque. Des paroles comme ça écrites ici et là sur un forum et dans
une converse msn à deux ou trois la questionnant tour à tour une possible idylle entre
elle et Juan et c’est dans un moment de tristesse qu’elle daigna répondre n’importe quoi
histoire de ne pas raconter leur merveilleuse histoire d’amour si belle et si pure. Trop
belle en somme qui aurait l’esprit assez ouvert pour croire pareil roman savonnant ?
Alors le Steve semblait vivre aussi de la tristesse, ce fut comme une entente entre deux
personnes qui désiraient ne plus songer que la vie est ainsi faite et que lorsque la
romance est trop belle il y a anguille sous roche juste comme ça bien exprès pour nous
ramener sur terre !
Comme le disait si clairement Juan lorsque India-Luna dépassait les bornes soit en
paroles ou en écrit :
- Héhé! Heureusement que je suis cartésien pour deux ! Alors tu m’as écrit …« Ta
gueule alors je m’en vais ! »…
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Pour lui cette justification banale semblait bonne puisqu’il voulait réfléchir sur eux.
Juan avait besoin d’air car la peur l’envahissait face à ce nouvel amour un peu incongru
dans sa vie hyper mouvementée.
Peur de trop aimer cette femme parfois imprévisible selon lui et aussi peur qu’elle
s’attache à lui de trop vu sa spontanéité d’enfant et son amour si authentique lorsqu’elle
aime. Elle ne sait jouer, il aime, mais à la fois cela entraîne une forme de réciprocité
lorsque l’un des deux sait jouer aussi franc qu’India sait le faire. Et même en période
grande créativité elle n’a pas besoin elle de trouver mille et une justifications pour
s’éloigner de lui. Mais lorsque l’amour fait des siennes il est important de faire des
concessions et surtout d’aimer l’autre tel qu’il est ou pas du tout.
Pour une connerie pareille la veille de l’an nouveau le beau Juan s’est servi de ce faux
alibi et des autres écrits pour s’éloigner d’elle en coupant durement tous contacts
possibles par l’âme à demi seulement puisque le courant passait désormais
difficilement, par l’écriture sauf par des bribes de politesse inouïes, par ligne
téléphonique avec restriction de minutes. Toute cette mascarade semblait si anodine et
inutile aux yeux d’India car elle ne demandait en somme qu’à aimer et être aimer
authentiquement.
- Alors tu viens India ? Ton auto est déjà sur la remorqueuse alors amène–toi au garage
si tu veux que j’examine la malade.
- Dac. Je monte dans ton camion, espère-moi le temps que j’apporte ce sac à dos.
Les garages pour India s’avère une vraie horreur et c’est ce qu’elle en a. Humidité,
odeurs nauséabondes, ambiance sans musique ou presque, conversations loufoques et
mécaniquement abjectes. En somme, très peu pour elle, ces coins quasi mortuaires.
Mais réparation oblige ! Heureusement il y a les yeux de Steve qui savent la rassurer de
tout ce tintamarre dont elle n’a vraiment pas besoin en ce lundi de grande tristesse pour
son âme à la vague que je te pousse!
- Dis, India, tu viens au deuxième chez moi dans mon loft c’est beaucoup plus
confortable qu’ici, mon homme de confiance va s’occuper de ta bagnole il va me
téléphoner lorsque terminé, je ne te ressens pas à ton aise ici, alors tu viens prendre un
thé vermeil ?
- Ouais une idée sensas ! Sauf le respect pour toi et ton métier je t’avoue que je ne suis
vraiment pas la groupie des mécanos et leur environnement mais pas du tout ! Merci de
cette attention alors je te suis de près.
Le loft était sympa. tout traînait ici et là: Partitions de musique, bouquins ici là et
blouson de cuir, blue jeans, manteau à franges en daim, grandes murales de rock ici et là
et une sublime photo de Robert Plant couvrait quasiment tout un pan de mur. Étonnant
ce loft de Steve qu’elle n’imaginait vraiment pas comme ça en privé. Une double
personnalité vachement intéressante elle découvrait grâce à son auto en panne! Mmm !
Un lundi pas si bleu-gris que ça peut-être…
La femme est comme la chatte, elle est à qui la soigne ! Vieil adage anonyme qu’elle se
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remémora soudain, son copain prenait l’air car il trouvait la symbiose trop difficile à
vivre alors qu’elle-même se sentait très bien là-dedans quoique certains soirs ils
exagèrent vachement l’heure de leurs visites nocturnes à leur pieu respectif.
En clair, ils dormaient bien tard mais dans leurs respectifs de pieu.
- Formi! J’aime ton ultra son! Il y en a partout dans les trois pièces! C’est plus
qu’enrobant! Ouais, c’est beaucoup mieux que dans ton garage c’est la première fois
que j’imagine un garagiste autre que dans le local où il bosse, tu saisis ?
- Tu ne fais pas seulement l’imaginer, je suis vraiment là ! Attends, je vais sous la
douche installe-toi et après je vais enfiler d’autres fringues qui n’ont rien à frôler avec
les garagistes.
Les meilleures élucubrations de Led Zep sonnaient vachly wild avec des trucs à
sonorités pareilles ! Quelle veine d’avoir et invitée de monter chez lui…
- Oh ! Yeah! Bien organisé le mec! Oh! Oh! Que vois-je? Pas vrai je rêve!
- Yeah! Absolutoire! Un tambour à basques!
Une tambourine noire (tambourin ou tambour à basques) reposait sur une petite table
ronde en acajou; et avec quelques battements de cœur audible sous son chemisier
pourpre, India prit celle-ci et la sonda bien au rythme, aux sons des basques et à la
légèreté de bois des Andes, d’Afrique ou d’ailleurs, peu importe, cet instrument souvent
vu comme un accessoire bizarre (sauf par les musiciens) la rendait heureuse lorsqu’elle
en jouait en dansant. Et elle se mit à virevolter avec ce bijou signé Africa Nanadoum…
Et elle remercia manitou de vivre ces moments aussi musicalement magiques. Pour
certains ce sont les voyages autour du Monde, pour d’autres ce sont les Musées, les
Églises etc. et pour d’autres qui au cours de leurs nombreuses autres vies ont bien
voyagé dans ces sphères dites terrestres préfèrent voyager au pays de leur corps et âmes
histoire de vivre vachement bien le moment présent sans songer vraiment à hier ou
demain.
Et c’est alors qu’elle vit s’avancer ce Steve tout à fait méconnaissable ! Bleues jeans
très délavés avec une chemise vieux rose sans aucun bouton et attaché par un nœud près
du nombril. Une casquette anglaise blanche de coton clôturait le tout ! Il se mit à
onduler des hanches d’une façon très artistique, pieds nus il semblait heureux au plus
haut point. Ébahie de le voir ainsi India jouait et dansait de plus belle au comble du
bonheur ultra musical que ce dernier venait de lui procurer en plus de la sonorité
superbe, de la tambourine et de l’acoustique de ce loft dont elle n’avait jamais
soupçonné l’existence après toutes ces visites ci-bas au Garage Steve & Baird depuis
quelques années; Baird, si elle avait souvenance était le frère cadet qui de ce fait entra
soudainement par la porte arrière. Il zieuta les deux danseurs, sourit gentiment et sans
dire un mot, il se rendit à la salle d’eau.
Formidable musique et grandiose heure à retenir ! Ils dansaient heureux d’être au
diapason musical, sans contrainte aucune; la musique sait devenir un lien gigantesque
pour deux personnes aux mêmes goûts musicaux.
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Et Baird arriva en jeans coupés et bien frangés à mi-cuisse, il portait un mini chandail
blanc en un grand V bien échancré à l’avant. Il était pieds nus aussi et dansait autour
d’eux d’une façon vachly wild! Mmm! Il faisait de sa danse une cour assidue à India qui
vivait la plus palpitante histoire musicale amoureuse. Leurs âmes et leurs corps
s’unissaient frénétiquement comme s’ils se connaissaient depuis une pléiade de pleines
lunes.
Tous les trois sur le grand lit, ils étaient en repos, heureux et satisfaits musicalement,
mais après la musique et encore avec une faim seconde se fit sentir comme un volcan
trop longtemps étouffé; Steve baisa la main d’India d’une façon tellement sublime
qu’elle en fut sensuellement remuée. Bien évidemment les modes changent tant et tant
mais les émotions hommes-femmes, elles, demeurent les mêmes et le baise mains des
siècles antérieurs signifiait souvent beaucoup autant pour celui qui donne que celui qui
reçoit. Parfois il suffit de peu de choses pour faire fuser un désir déjà en ébullition pour
une personne sensible aux émotions des autres.
Baird était aussi sensuel que son frère lui mordilla le lobe de l’oreille pendant que Steve
savait la caresser partout où ses mains le conduisaient. Il devenait de plus en plus fébrile
et Baird en fut excité au plus haut point car ce trio s’amalgamait parfaitement et sans
aucun bémol. Tous leurs sens s’hybridaient en un tourbillon sans limites.
India femme-enfant à perpette avait une envie folle de ces deux hommes qu’elle
découvrait à ce jour même! Un désir fabuleux de les prendre à la façon d’un homme lui
monta au corps comme une fièvre immense. Primo, ce formidable Don Juan blond qui
avait su la conquérir en si peu de temps! Tout de même, elle n’était pas aussi facile
d’approche que cela cependant… Brûlant de désir pour lui, elle s’agenouilla entre les
deux jambes de Steve et elle le frôla jusqu’à la taille. Elle se coucha sur lui très
lentement, sa jupe ample se releva par ce fait, elle ne portait aucune petite culotte alors
le feeling fut des plus envoûtants pour elle et lui. Elle l’effleura avec tout son corps et ce
félinement, elle mit doucement ses mains en dessous de sa tête et aima de plus en plus
son arôme, son désir augmentait de secondes en secondes et elle ressentait qu’ils la
désiraient tous les deux autant et vachement fort.
Il avait enlevé son blue jean et chandail avant de s’allonger et un tout petit string noir il
portait, ce fut pour elle, un jeu d’enfant de faire basculer la pièce de vêtement nuisible à
leurs ardeurs.
Bien lentement avec la montée de son vertigineux désir, elle se bascula bien au-dessus
de son pénis bien gonflé d'appétit de se faire basculer de par dessus et de se faire
prendre par cette vulve en complète pâmoison de le pomper en douce par cette mine
sulfureuse à souhait !. Le ruissellement érotique augmentait de secondes en secondes et
ce fut le délire total pour ces deux inconnus d’à peine trois heures passées et qui dans un
sublime enlacement se juxtaposaient à profusion en douce et sauvage synergie! Et la
musique devenait gaiement complice d’un tel accouplement ; sans bouger de trop mais
très lascivement elle savait ainsi connaître l’autre et aussi il pouvait lui aussi la capter
formidablement bien au-dedans d’elle. Elle se berça ainsi plusieurs minutes bien
arc-boutée sur son phallus qui savait lui procurer une pléiade de petites jouissances
sublimes tout au long de cette voluptueuse chevauchée sur lui.
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Bien installé à la droite de ce couple Baird caressait intensément la nuque, le dos et la
chute de reins via les fesses d’India. Ce trio en montée vertigineuse vers un plaisir des
plus érotiques se complaisait authentiquement ! Pour India c’était une première et elle
vivait en somme ses fantasmes les plus secrets !
Leurs étreintes devenaient grandioses et le moment présent était si enchanteur pour eux
parfaits inconnus mutuels et que l’aventure venait ainsi de placer côte à côte au sein
d’un loft de célibataires pas vraiment endurcis. Deux ou cinq minutes après cette
escapade au-delà du réel vint leur jouissance en similitude qui fut comme un cadeau
offert d’emblée par la vie et sans restriction aucune ou promesse terrestre que l’on tient
souvent par crainte de voir l’autre s’enfuir dans des bras plus sensuellement érotiques
que les siens.
Lovin' You à toujours bel Amour
~~~~
&quot;Le meilleur calligraphe n'est pas celui qui ne se trompe jamais, mais celui dont
les ratures conservent un peu de sens et un reste de beauté.&quot;
[Pablo de Santis] Extrait de Le Calligraphe de Voltaire
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2016-04-07
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Ramifiées de Strophes
Merci à Gotthard avec ce Falling indélébile en musique so much tonique...
And just for You de la Louve entre deux groove ce Ramifiées de Strophes
Ramifiées de Strophes
Strophes Ramifiées
A l'effigie des rameaux
Jamais en lambeaux
Strophes ramifiées
Colorées et sonorisées
En tempo disparates
Comme un bouleau
Entre deux rameaux
La lune devient blanche
Entre deux branches
En coloris nacrés quasi ocrés
Ombre des aimants
Ou véritables personnages
Contre ou pour ce pourcentage
De toquade ou de désir persistant
En rétrograde de bravade ou de fanfaronnade
L'amour est-il dupe des fanfaronnades et des bravades outrepassant la cascade?
La Louve effrenée 2011 entre deux groove où de mystérieuses portes s'ouvrent...
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-03-01
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Remise en Forme
Remise en Forme
Remise en Forme
Forme en Remise
de l’Âme, des Humérus via le Corpus
Raphael-Artois s'occupe de remise en forme pour ces dames et messieurs de basse
forme. Par un beau vendredi du mois de juin vers midi Louise-Anna se rend au centre
aquatique Number Four pour y retrouver la forme perdue en cours au milieu de ses
feuilles hors normes. Le ton et le fond de ses problèmes, elle se l'avoue et son cœur se
noue proviennent d'un surcroît de gestes intellectuels via le désarroi de son corps sans
prouesses via la vraie ivresse des sens en hardiesse et la prise de conscience se fait et le
mal de son être elle le détient dans tous ses recoins. Donc prenant le diable ou le mal
par la queue, elle décide après un appel téléphonique sonique de frapper à cette porte où
en entrant en sourdine elle entend une musique quasi mystique...
Le beau Tchadien à la peau d'ébène la reçoit à bras ouverts en voyant sa mine contrite et
lui dit de s'installer bien à plat ventre sur la table de massage. La doucette se fait svelte
et rampe à ventre raz-la-table. Dès que le beautiful professionnel mit les mains sur sa
nuque tout bascula pour l'ingénue, en un tour de corps il l'enveloppait par-ci par là, le
dos, la chute de reins, l'arrière-plan des cuisses et des jambes, les omoplates, en somme
tout ce corpus en exodus en recevait pour son compte quasi un conte. Plus le temps
filait, le plus la dolce belle se ravigotait...
En oubliant l'heure de la remontée sur terre la petiote en avait le gosier desséché et la
petite mini-culotte bien trempée, c'est alors que Monsieur Raphael-Artois très
suavement lui demanda s'il y avait gêne pour elle de se mettre à nue sans nulle retenue.
En état de choc so choc elle n'en fut pas choquée et susurra que non ô que non; donc le
gentleman masseur lui pria de retirer sans attendre le méandre, oui sans litiges de retirer
sa dentelle blanche quasi coquille d’œuf depuis les effleurements fermes tout à fait
surprenants de ce magnifique maître massant.
C'est alors que vint l'extase du thérapeutique de toucher au summum de sa vérité; c'est à
dire de réconforter l'âme via le corps entre deux points bien soudés. Les épaules en
prirent leur joie, et que de bonheur les bras et leurs humérus en état de grâce furent
revivifés au superlatif.
- Vous avez une très belle âme que j'ai su capter par le toucher uniquement. C'est en
donnant que l'on reçoit et de vous j'ai beaucoup reçu.
- Et vous de même Raphael j'ai aussi ressentie votre âme belle par le truchement de vos
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mains des plus thérapeutiquement authentiques. Merci et soyez assuré de mon retour
prochain.
Une séance de thé à la menthe fraîche suivi d'un petit concert à la cithare tout aussi
thérapeutique par ledit masseur acheva ainsi en beauté la plus grandiose des routes de
l'Art de masser en transposant ainsi chez le client l'Art de recevoir en toute simplicité
sans réciproquement frimer.
Le point fort de cette démarche de remise en forme nous incite à croire que tout est
possible pour celui que la pensée positivement honnête poursuit au même tempo que
l'exactitude de la pulsation rythmique de la personne dont le toucher s'avère à 100% en
totale connexion avec l'âme en éveil et le corpus inactif et confiant du receveur second.
De La Louve effrenée la bien nommée MDLoups le 7 juin 2013
****
****
En Théâtre Antique la terminale de la représentation se disait ainsi : &quot; Acta est
fabula. &quot; et Auguste l'a soi-disant murmuré avant de trépasser... &quot; La farce
est jouée. &quot; aurait paraît-il susurrer Rabelais.&quot;... Et la MDLoups de
répliquer : &quot; Le jeu vaut plusieurs chandeliers et l'acte bien joué de l'éclairer.
&quot;
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Repos Libidinal Hivernal
Repos entre deux Odes; la Louve aquarelle sur papier d'Arches entrer deux groove sur
les vieilles douves...
Merci musical à Paco de Lucia pour son magnifique Entre dos Aguas
Et pour Toi de la Louve en cet hiver 2011...
Repos Hivernal
Entre deux subtiles d'odes
Sur papier bleuté non roulé
Entre deux nouvelles odes
Bien au-delà des Concordes
Odes redécorées magnétisées
Venant de toi et enrubannées
De volupté à faire redamner
La clitoris-sienne rengaine
Avec la jalousie des persiennes
Des antan de jours en déveines
Entre deux étonnantes subtiles d'odes
Sur papier bleuté figé non roulé
Repos amalgamé du souffle beau de toi
Entre deux odes au replis fou-narquois
La Louve se retrouve en jeux grivois
Pour toi only toit de mes archaïques
De demeures en Tanière ou en sphères
So near La Loire ou Le Loir so beaux
Entrecoupés d'arbrisseaux hivernaux
Je m'y retrouve sans givre et m'y repère
Entre deux folâtres-subtiles d'odes
Sur papier oignon bleuté non roulé
Raconte-toi sur tes voluptueux sonnets
N'épargne point le je au détriment des jets
Puritains aux athlétiques versets bêtes
Jamais capté car beaucoup trop compté
Pied par pied d'alouette quelle défaite!
Le je cet invincible fou au sommet de sa faîte
Puisqu'il démontre souvent une âme limpide
N'ayant aucune peur d'apprivoiser sa solitude
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Entre deux subtiles florales d'odes
Sur papier oignon bleuté non roulé
Entre deux subtiles d'odes en prénoms griffonnés
Sur l'eau et de ça par de là le temps
Sur ce courant d'eau non gelée
En ondines plus que fines dentelées
Nous remémorant soudain qu'à toujours
Nos âmes seront en belles jouissances accolées
Bien soudées et de cela à pérennité
N'ayant aucune peur d'apprivoiser cette certitude
Entre deux libidinales d'odes nuptiales
Sur papier vélin bleuté-rosé un peu froissé
Entre deux vertigineuses d'odes en concaténation
Sur papier vélin non vilain violacé bien entourloupé d'ions
De croches blanches so belles et lascivement noires
Sur l'eau en guise de plaisantins et subtils de miroir
Cyprès balèzes du mystérieux sépia de terroir
Témoins oculaires de tous les sots de déboires
Entre deux phéromonales d'odes féodales
Sur papier vélin bleuté-rosé un peu froissé
Repos Hivernal entre deux Odes is just for You from de la Louve where ever you are
entre deux gares ou en parterres de vers avec ou sans verres en ce quatorzième jour de
février de cet an deux-mille-onze; année du Bronze for le monde.
Gérad DeNerval a noté un jour dans son carnet aux nombreux sonnets: &quot;Écrire,
c'est se ressouvenir.&quot;
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Respectissime de Prosrimes
Leading the People par Eugène Delacroix 1798-1863
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Respectissime de Prosrimes
Prosrimes so Respectissime
Ils œuvrent en secret la nuit
Vénérant la plume d'aigle en sursis
Les moins nantis et les gentils
De survie les yeux emplis de buée
Sans aucun éclat ni bruit
Guidés par leurs sens insensés
Ils griffonnent des sonnets inédits
Osés prosés rosés rimés synchronisés rythmés
En sourdine s'éclate la sonorité
Souvent incomprise ou vue erronée
En passant par Alis la Ruelle
Des disparates sonates d'Intellectuels
Par un bel ensoleillé de mercredi
En ce février douze encore frisquet hardi
J'ai rencontré les âges diversifiés
Toutes nationalités plus ou moins réjouies
De se côtoyer sans verres en vers ou en récits
Nature alizé de vent et magnolias boutonnés
Me firent saisir encore toute la portée
De la notion géante d'authenticité
Partout toujours voilà sans déroger
Respectissime va de pair avec honnêteté
Mots galvaudés en deux volées plurialisées
Amour paix et respect ne riment pas avec fausseté
de la Louve effrenée de belle musicalité
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&quot;L'imagination est l’œil de l'âme.&quot;
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Joseph Joubert in Pensées
&quot;Imagination is the soul's eye.&quot;
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2012-08-03
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Rêves Humides d'Hybride
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Rêves Humides
Wet Dreams d'Hybride
Quoi de plus doux et humide
Qu'un wet dream d'Hybride
Je m'y suis nue baignée
Arrosée jusqu'aux tétées
De ta bouche ensalivée
De me prendre en léchées
Sans freiner ni stopper
Pour un mini poil sur ta langue
Félinement envoûtante et bilingue
Toi et moi sans hardes ni fringues
Enroulés désaxés à nous rendre dingues
Vautrée sauvagement par only toi
J'ai capitulé sans résister à ta loi
Au creux de ce noir dolce love seat
De fauteuil en souple cuir what a damn beat!
Quoi de plus doux et de plus louvoïde
Qu'un wet dream vécu sans fard insipide
Toi le fougueux amant nommé Hybride
Maître après Dieu de mes rêves androïdes
de la Louve effrenée
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&quot;Chaque langue voit le monde d'une manière différente.&quot;
Federico Fellini
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2014-03-25
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Rivage en Nage
Rivage en Nage
Hénaurme est ma peine
Tant et tant de futilités
En moi m'enchaînent
Hénaurme est ma peine
Tant et tant d’égoïsme
En moi se déchaîne
Seul Dieu peut calmer ma peine
Cette hénaurme peine
Balayant toutes les blanches pages
De mes ans diamantés en clivage
Pour sept bougies multicoloriage
Surrender capitulation profonde
Pour éterniser ces ondes furibondes
Des mots qui amenuisent les maux
Pour tous les vieux mi-sages et sages
Nous laissant l'Amour vrai en rehauts
Toi mon ami trésor sœur ami frère père
Je m'étiole sans Dieu au bord du rivage
Pourtant au large la mort fait son ravage
En ces guerres et maladies d'engrenages
Souffrances humaines d'esclavage
J'entrevois l'essentiel de cette terre
Merci à Dieu pour cette force sans âge
Octroyée jour par jour pour vivre ce passage
Qu'étais-je avant Dieu pour bouclier
Et votre arrivée dans mes vers
Bravant la crainte du verre à l'envers
Soudain l'hénaurme peine devient la Sireine
Que jadis tu as inventée ô confiance non éphémère
Pour ce voyage terrestre avec Dieu sans peine
Sans âge demeurera le rivage de notre divin partage
De La Louve effrenée en ce deux juin de l'an 2014
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&quot;Relis tes ratures et poursuis tes rêveries immatures note par note sans dessus
dessous et frotte-toi sur la gamme ahurie en oubliant d'épater la galerie des
indécis.&quot;
(La Louve effrenée de belle musicalité).
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Rivière Imagination
Rivière limpide de mon Imagination
J'me méfie des épousailles entre canailles
Et des têtes à claques à chapeaux de paille
Leurs sexy body guards me frôlent la maille
Et derechef je cambre lascivement la taille
Ohhh! Yeah!!!!
Rivière Imagination s'y coule en pleine chamaille
J'en rêve à m'en damner de ces mots en semailles
Rivière Imagination me propulse sans failles
Où les fleurs d'eau vivent en rocailles
Te revoilà entre deux la do ré mi!!!! Hééé!
Sire venez vous couler dans ces eaux d'émail
Profonds Méandres de la Rivière Imagination aille!
Une page volage à la demie qui me tenaille
Pour mieux jouir entre deux partitions bleusailles
Tout est une question de surmoi!
Leurs sexy body guards me frôlent la maille
Et derechef je cambre lascivement la taille
Où la rivière Imagination me propulse sans failles
Où les fleurs d'eau vivent en rocailles
Et se frôlent la tige ensemble au vent sans litige
La Louve 2011 Year of the Bronze à chacun son Bonze
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-02-01
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Rue de la Guinguette
Rue de La Guinguette
La mi-août c'est un peu fou
Entre deux Qi Cha d'remous
L'air tiède doux pas chaud
M'excite la fleur de peau
Sur l'écriteau un peu haut
Est inscrit Rue de la Guinguette
Est-ce un jour de nationale de fête
Je m'y hasarde l'œil filou
Le Blues & Jazz me guettent
J'en meurs d'envie sans devinette
Ces genres de musique me scient la crête
Je les ressens comme un étau low
De délivrance de l'échafaud
Des cafards en multi-morceaux
Je n'en veux plus ça me grattent le dos
Douze piaules alignées en rectangles louches
Sur cette rue en sac de cul incongru
De laquelle sort ce Son long?
Ce jeu fluide martelant mes hanches
De bohémienne yeux bleus sur peau blanche
Farouche de souche and born to sing along
Je capte je pige et je fige sans dessous nue
Quasi prête à faire pipi ébahie j'me touche
Boulimique de musique je fonds enclin
De jouissances denses quasi obscènes
Entre deux notes il miaule le refrain strong
Je sonne number twelve à mi-porte
Au creux de mon être near my heart y'a l'aorte
Ses ébats musicaux me portent
Au septième ciel et mes frêles ailes
Se déploient félines je danse en transe
Sa guitare noire diabolique épique
Il maîtrise d’aplomb sans un faux bond
Déjà ils m'enchaînent se frottent
Ses longs doigts sur ces cinglées d'cordes
Mon cœur se noue de boue et se dénoue haaa!
En battements mécréants fast low so hot
Je deviens lucide livide je pousse la puerta
Un divin salaud pas nu mais presque là
Se languit de recommencer ce chien d'refrain
Je rejouis en double vachly croche outch!
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Impudique il me zieute et pousse le son à fond
D'instinct son timbre redingue jusqu'au fond
Au plus profond de mon fond en nage donc
Et sans une fausse note ô point d'orgue hé!
Il me comble à satiété en triple bouclée
L'effrénée d'virée sans de son Blues bifurquer
De La Louve effrenée la bien nommée MDLoups en ce 21 août 2013
****
&quot;Vivre sans attente aucune du soleil ou de la lune peut s'avérer une sacrée belle
vie jour par jour sans trop de lacunes via les étoiles ascendantes filantes
descendantes.&quot;
Renée Sances in Crazy Blues in Stances
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Ruth à Baga
Ruth à Baga
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
Dédicace fugace à
Ruth à Baga
One more time babe entre tes draps...
Dédicace fugace à
Ruth à Baga
Je chante plus ou moins
Mais le Blues me retient
Je suis jaloux plus ou moins
Je dessine tout et rien
Sur ta superbe de chute de reins
De déesse ô je fais des hyperliens
De couleur bleue et rose un peu pâle
Plus ou moins j'allonge et je rectifie
Au péril de ma double-faible vie
En ciel de lit orangé estompé
Que je retouche en saumon
tendre au bout du poisson mâle
Un air de Slow Blues
Sur nos voluptueuses de chansons
Avec les blés du mois doux en saison
Au bout de nos multi-secousses
Sans aucune fourbe trahison
Sous le moelleux d'édredon
Moins ou plus je suis jaloux
Mais on s'en contrefout partout
De plus en plus je suis fou fou
Je suis tout à fait plus plus jaloux
Jaloux de tes reins à la chute
En pâmoison de double-rut
Toi the androgyne sexy Ruth
Perle belle irradiant ma vie
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En Do Ré Mi sans trop de Si
Avec une rutilante panoplie
De bleus ou de mauves chiffons
Fichons-nous en carrément
Mauves ou bleus chiffons
Se déliant carrément en bataillon
En forme de haute hutte zut chut!
Je sais encore jouer de la flute
Sans me soucier des obstacles
Des notes d'hérésie blêmies
À la flotte en déclin souin souin
en dénote je me re-souris
Éventail et tourniquet
Semonces et chalumeau
Je me fiche fiche fiche
en triple de ces fétiches
Oui je m'en fiche sans poids chiche
T'as vu Ruth je m'affirme et je m'affiche
En craquant l’allumette
Je vois une belette
Un peu trop vachly fluette
Sur deux pattes elle secrète
Des essences d'amulette
Quel magnifique conte désuet
Je me raconte un secret
Chatouillant ainsi la luette
De ma gorge sèche sèche
Sans bastard d'eau-de-vie
La détruisant sans préavis
Ma gorge se noue ahurie
Et elle devient aigrie rêche
Cette garce de pimbêche
Bis & Rebis ce long Refrain malin jusqu'à l'orgasmique rythmique sans fin...
Alors en sevrage
Sauvage je m'entoure
De tes épinales ou spinales d'images
Belle crazy et cruelle amour
De musiques désuètes
Et d'instruments obsolètes
Faisant se retourner les pitchounettes
Elle se dandinent en spirales de marionnettes
Aux manies simplettes mais nettes
Comme des robots en bois d'épinette
Lorsque je joue ma guitare sans fard
Alors elles ont le regard hagard
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Et moi je les ignore fort car je craque
Only for you et ta chute de reins
Allez embarque dans ma barque
Je vis heureux avec la musique autour
Allez viens t'asseoir sur mes genoux belle troubadour
En reluquant profondément mes yeux de vautour
Dévorant lentement tes délavés d'yeux bleus velours
J'te fournirai les triples avantages de ce funky rocky retour
Droits réservés de paroles à La Louve effrenée bien nommée MDLoups allias
Cray-Puscule Somnanbule cie in December 2006 l'année des Suffixes entre deux
préfixes
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
&quot; Le Québec au galop d'un Océan à l'autre; là où la Musique et ses Couleurs
lettrées surplombées se vautrent me voilà bien-nommée apôtre et musicalement vôtre
sans plus de préambule autre que mes délires d'astro-notes aux refrains qui flottent sur
vos belles calottes glaciaires tertiaires ou incendiaires well je m'y perds.&quot;
(La Louve effrenée de belle musicalité in La Calotte se frotte between two notes).
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨
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Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2014-03-26
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Sacré Pur Désir
Désir
Risée en ré de ces désirs en duo derrière le do
Désir tu es sans coeur
Tu dépasses les peurs
Désir tu es sans coeur
Tu dépasses toutes les peurs
Et la rose des quatre vents
Qui transportent l'incongru de temps
Tout l'temps en tempo un désir
Émulsion littéraire
Du désir de complaire
En ébullition exemplaire
De musicales sphères
Tout le jour et la nuit des désirs
Machination du destin
Ou du mécanisme de défense
Assujetti aux interdits malins
Des refoulements en transe de redondances
Pour le meilleur souvent le pire des désirs
Langueur du désir infâme
Orgasmique Traversée radieuse de l'âme
Vers les étonnantes fusions
Ou confusions en excursions
Ton âme est une corolle en désir
De nos artistiques armes
Un regard d'encrier qui désarme
Les désirs du Blues Roman
En d'un sweetie-crazy apologue absurde-ment géant
Éternellement adjacents
La pâmoison en foison de cruels-voluptueux de désirs
Désir tu es sans haut-le-coeur
Tu dépasses toutes les bétonnières peurs
Again la faim de toi qui re-tenaille
Une coupure une fêlure une entaille dans la maille
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Désir tu es totally sans haut-le-coeur
Tu dépasses les tentacules de peurs
De ces battements de nous renaissant en choeur
Allegria tous les désirs qui se mirent sur la myrrhe entre deux sourires via les soupirs de
ta lyre je me ré-étire
La Louve 2011 en l'année du Bronze à chacun son Bonze!
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Salamandre et Lézard vert
Salamandre et Lézard vert
Lézard vert & Salamandre
Toi l'anarchiste-bédéiste tu ânonnes
Elle s'étire se bidonne se tâtonne
Jusqu'au bout du paroxysme
Des étranges synchronismes
De gestuelles qui cartonnent
Ovulant un pur et lent cynisme
Ta luciole se meut en nonne friponne
Épivarde-toi de bon aloi et vis la loi de trois du Soi en chacun
Plexus solaire bien conforme ouvert
Aux inspirations expirations d'air
En éjaculant slowly de triple vers
Aux formes difformes de sonores d'ovaires
Indécemment perpendiculaires
Bien prêts à ovuler bombés et fiers
La toquée se hasarde avec sa partition
Nouvelle sans âge sombre et claire
La voilà adulée hommagée quadraire
Par la ribambelle de pairs c'est clair
Ne détonne pas de trop en réalité c'est un wise show ces mers de vers d'la terre
La peur majeure des rides
De sa jeune quarantaine se joue
Elle se chiquenaude les joues
De son air hautain-austère
Et fort probably too unfair
Tu ne vois pas son âme perfide
Tu as la mine so nigaude
Par devant ses marivaudes
Peu importe elle fait bander
Salamandres et lézards verts
Dans ta tour d'ivoire tu sais créer
Un beau bouquet de chimères
Et v'la encore le paraître ton new maître
Écartèle les pattes et gratte ta natte ce sera vachement bath
La Louve effrenée ou MDLoups le 05 mars 2013
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&quot;Fontaine des Arts estampillés de ton sceau je veux boire à toujours de ton
artistique d'eau au seau envers et tout contre les sots qui savent alimenter ma passion
entre deux hérons gris-perle...&quot;
La Louve ou MDLoups in G groove in Roman rouge vin d'Antan
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Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2013-03-26
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Sapho de l'Ilot
Sapho de l'Ilot de L'îlot Sapho ; création de 1999 à l'acrylique effleuré de rehauts de
gouache (avec parcimonie histoire de combler l'harmonie) de la Louve effrenée en
musicalité colorée en si midoré lasolfa.
&quot;Pour toi où que tu sois sur la terre devenue à l'envers de nos vers entre deux
verres de préférence à l'envers envers et contre toi et moi en désarroi; non tu n'es pas
différent (e) tu sais aimer différemment; voilà l'essence de ton refoulement; déploie tes
ailes entre deux tempo et vis à fond ce temps d'aimer il t'appartient...&quot; (Source
douce: Extrait de Je vis mon Homosexualité sans Refouler de la Louve effrenée de
Musicalité, Editions Fool Full Moon 2011).
Sapho de l'îlot
Musicalité colorée midoré
A lasolfa en fleurs de lit déluré
Tapis de mousse entre deux thés
Rosé de ciel en guitare fleur de lysée
Terre de bonheur entre deux refoulées
But ultime combler et harmoniser
Take her way out over the clouds and howl her name louder and louder...
Une chevauchée ensoleillée sur un rocher
Des cheveux éparpillés entre deux volées
D'oiseaux bleu-blanc-rouge magentés
Des mains liées entre deux ricochets chauds
De flambées argentées aux brûlants soubresauts
Yes! Love her and take her deeper than the deep blue sea
La montée enfiévrée s'annonce et ponce
Les dos entrelacérés d'ongles devenus ronces
Des fesses sans laisses totally abandonnées
A leur maestro créateur de l'îlot Sapho
Pour le bonheur de deux cœurs en fleurs d'ô
Permissivité sans culpabilité d'aimer
Avec volupté et authenticité sans brimer
Oui! Sans culpabilité aime-la à satiété ta Midoré, oui à en faire damner les rochers
témoins de cet amour sans rien d'ombragé!
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Satin de Salin
Vivaldi : La Follia
°°°°
Satin de Salin
Salin de Satin
Iode d'air salin désir d'ondine
En câlins de satin d'odes divines
Parchemins et par vaux faux
Via les tours aux si belles faîtes
En montées de décibels traîtres
Le saxo résonne bêle et grêle
Ces lointains Blues et vieux Jazz
Des années avec les gens raz
De son pays de froidure frêle
Entourloupée par les mots entre deux oh la la vous êtes beau sans kimono!
Ses longs doigts dansent au piano forte
Elle sait déjouer les jeux adagio
Des mesquins marrons de requins
Aux dents de scies en ancres fins dessins
Notes noires en petites menottes
En blanchissant les croches d' hier
En grelotant la muse se frotte
À sa veste À carreaux aux rebords
Chauds et la musique des vertes eaux
Camoufle tout ignorant les tribords
Des bémols de sabord où les primevères
Entourloupée par cette résonance dense aux accents toniques son coeur balance la
cadence
En latence d'ascendance des rivières
Où elle si petite vécut blanche et fière
Sans songer qu'un jour la mer si fière
Elle brosserait un paysage avec bruyère
Sur son petit cœur trop grand en verre
De non sonnet anarchisant vainement les vers
Bien envers et contre tout courant nouveau coulant vers...
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Entourloupée par les mots et les couleurs des sons entre deux oh la la vous êtes beau
avec votre pipeau et votre satiné vieux-rose de kimono!
de la Louve
&quot;La poésie dérange ou agace le non initié, parfois elle transforme l'humain de jour
en jour; libérant ainsi son âme de certaines interférences dues aux refoulements de
l'enfance amalgamés aux années; lesdits refoulements deviennent denses et rances
atrophiant l'âme désormais absente de transparence.&quot; (La Louve 2009).
°°°°
&quot;La Poésie est l'expression, par le langage humain ramené à son rythme essentiel,
du sens mystérieux des aspects de l'existence : elle joue ainsi d'authenticité notre séjour
et constitue la seule tâche spirituelle.&quot; (Mallarmé).
« (...) Qui parle autrement que tout le monde risque de ne pas plaire à tous ; mieux, de
passer pour obscur aux yeux de beaucoup. (...) (Malarmé).
&quot;L'attrait de cette poésie tient à ce qu'elle est vécue comme un privilège spirituel :
elle semble élever au plus haut degré de qualité, moyennant l'exclusion de la foule
profane, cette pure joie de l'esprit que toute poésie promet.&quot; (Selon Mallarmé,
Paul Bénichou, Gallimard, 1995).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-09-06
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Saut d'un Sot
Thanks to Youtube for this sweet and delightful Strange Sensation - (No Quarter) with
Robert Plant le magnifique et les magic men qui savent l'entourer et nous entourlouper
au paroxysme avec leurs wild wild sounds so damn phantasmagorick...
And from la Louve another délirium just for You where ever you are sur cette wild terre
en voie de se défaire pour mieux se parfaire...
One two three a wild pewee...
Saut d'un Sot
Le Sot en Sauts
Les Sauts du Sot
Le Péril du Sot
A l'orée du château beau de Chambord
Un géant de magnolia étonne le plus fort
Le sot ivre fit un saut deux sauts vers la cime
Son corps frêle et rebelle de rime en rime
Pour rejoindre en temps moindre l'énigme
Et le vers à soie il vit poindre sans rechigne
Naïf le soyeux lui tendit la queue tout un signe
Croyant puérils les sautes-d'humeur du sot
Aux souffrances blafardes et rances d'un mime
Le magnolia aux fleurs odoriférantes
Fit chanceler l'intrus au nez rouge pointu
Incapable de dire non sans souffrances
Au verre fatal qui flouait son talent dense
Inhabile à faire tomber ce fil de soie
Dont il aimait pourtant le vert tendresse
Donc seule la chute fatale était le but
Ivre à se chavirer et se retrouver sur le cul
Il s'en est râpé-dupé-torturé les deux fesses
Qui veut broyer l'autre se broie
Et qui demeure acerbe-narquois
Ne deviendra jamais vraiment roi
De ses propres hurlements sans joie
Mais de toute évidence se renoiera
Dans sa propre vomissure quel éclat
Pour un plus que parfait en double état
Démentiel en déniant le pluvieux ciel
De lit de ses délits en perpétuels duels
Conflits intrinsèques aux imbroglios de fiel
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From la Louve effrenée en musicalité non sporadique
« Plus je tourne et retourne cette idée que Dieu peut communiquer la pensée à la
matière, plus elle me paraît vraie. » (Voltaire).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-04-19
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Second Carnet d'Ancrage
Second Carnet d'Ancrage
La Croisette se Marre près de la Mare aux Amarres
de la Louve
Avis Aux Lecteurs Non Tarés : Soyez réguliers et continuez de vous marrer sans
chuchoter…
Cheveux cuivrés face au vent, j’admire les montagnes bleutées, ébahie du paysage
Laurentien in Québec en Canada, je m’agenouille nue de partout sur la plate-forme du
ponton pendant que Bozo le guitariste, cheveux aux fesses et blond comme les blés,
bien hâlé partout autour il boit de l’eau pure mais je sens ses pensées vachly impures et
ça me torture. Le soleil, ce galvaudeux maraudeur me surplombe les fesses et certaines
gens moelleusement installées sur d’autres pontons zieutent de biais en notre direction
et disent tout haut que c’est bien de boire de l’eau lorsqu’il fait chaud! Je suis d’accord,
ils n’ont pas tort car l’eau purifie et j’ai raconté ce tout et rien à Victor, mais le voilà
mal intentionné sur l’autre bord, lui, il aime ça lorsque ça mord et sans me répondre il
espère depuis plus de deux heures un poisson petit ou grand, déterminé et sans se rendre
compte qu’il n’a pas d’hameçon, il persiste et n’en démord pas et y consacre tout son
temps sans calculer le temps qui file comme une aiguille en absence de son chat.
Hugo, svelte et beau mâle très roux de chevelure, extravaguant et bien moulé du devant,
il se fait dorer sur le dos, pénis au vent, puis sur le ventre, postérieur vers les cieux bleus
et généreux en ensoleillement ce fut écrit avant, à plat ventre sur le dur ponton, ce gars
sait vraiment conquérir les planches! Et moi la débutante, je le badigeonne d’huile
d’olive Irénée de la troisième pression à froid, car il espère accoster sur le très bord du
Lac Manitou à deux heures trente. J’ai mis mon chapeau de paille haute-forme car son
honneur le maire de Saint-Poitou sera présent avec son ânesse de maîtresse qui fesse et
blesse en haut du bas vu la jupette de la soubrette courte et rose-saumon qui est fendue
de tout son long. Tous les poissons de cette eau douce seront sûrement attirés vers ce
vêtement indécent quoique charmant lorsque bien assis sur le banc blanc.
Pour ma part, j’accompagne trois copains des Arts. De vrais bons amis marins et
marginaux qui s’avèrent en forme spirituelle et morale très varlopantes (sans
conscience). Ces hommes me plaisent; ils savent comment bander les cordes et
lorsqu’elles deviennent raides nettes et froides, nous les catapultons dans le lac à tour de
bras et bien bas sans songer de trop à nos bas que nous ne portons pas. Tous les quatre
ensemble nous aimons bien le faire, c’est rigolo, excitant et vachement bath
(formidable). Je m'en réjouis à outrance nonobstant votre jalousie, ça alors mes p'tits
cœurs après neuf heures je m'en contrebalance.
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Le Ça de Freud qui n’a pas la morale dominante ni apparente, on évite ça parce que
c’est comprimé comme des œufs sur le plat et c’est ce qui fait que l’on devient las et
prêt à sonner le glas au bout du mât de cette croisette. Rien de pire que de porter
toujours les identiques bas, changer souvent, voilà qui donne le goût de s’en procurer
plusieurs paires visant à bien saisir le ton et la forme comme en Lettres, il est préférable
de s’accommoder des pairs puisque ceux-ci seront nos détecteurs d’éventuelles lumières
à la Consécration première qui déblatère les artères littéraires.
Pas moyen de dormir sur ce ponton car trois mecs, ça bougent de là. À fond de train
d’enfer. Et c’est accroc de recommencer plusieurs fois et moi j’aime bien les voir se
tortiller en essayant de faire entrer leurs hameçons au centre de la queue de ces gros
vers dégueulasses, lesquels pour rien au monde je ne saurai toucher la tignasse.
Lorsqu’il a le ver à l’envers, lui le Victor, il me fait sembler à un somnambule sans
bulle, il regarde autour mais ne voit rien, alors il oublie même pourquoi il est là et si tant
las.
Incrédule, alors je lui fais voir ma tarentule et sa bouille et plouf! Le conquistador, il a
tout laissé tomber à l’eau d’un bloc vers la coque, un vrai rafiot ce Vicky. Mais il a de
belles cuisses et cela me grattouille la bouille, tout cet amas de mouches autour de son
flambeau qui éclaire tout le ponton. Et v’là que le troisième copain, vous savez Roger,
celui qui a le beau gros nez aquilin, je vous en ai causé le mois dernier et vous en fûtes
extasié, du moins semblant vous le fussiez de l’être sans le paraître de trop.
Voici chers liseurs, pour vous tout de go, quelques agrumes de mer et de parterre à vous
larguer le sèche-mains par terre. Soyez attentifs aux prochaines phrases car toutes les
voyelles se marrent entre elles et toutes les consonnes en elles rebondissent et résonnent
sans pour autant raisonner de trop en phonèmes paranormaux via L’extra sensoriel de
numéro.
Je suis dit-on la vache-marine, sirène ou femme-poisson qui sait les assembler comme
bon lui semble, je suis craquante et craquée, quoique ce soit sans importance lorsque
nous voguons dans une eau aussi troublée. Pour vous les bons liseurs d’aventures extra
marines, je sais pitonner voire nager sans m'envaser et je plonge en transe jusqu’au bout
de l’anse et en cadence faisant fi des romances et des saltimbanques qui dansent aux
confins de cette mare quasi noire et tout ça sans foire.
Rigolez bien sans vous retenir la panse, car je sais vous apprécier en délire vers ces
points de fuite répugnants et d’anguille en anguille barreuse qui méduse jusqu’à la
berge bien au-delà des sables mouvants et dérapant ainsi cahin-caha jusqu’au quai hors
de la brume des quatre vents.
Et le matin vint blême et faible comme nous tous d’ailleurs car la nuit fut blanche et
presque sans sommeil vu la lune si clairement jaune en son socle haut et fier.
- Lucette : Dis Roger, tu veux me badigeonner?
- Roger : Bon je vais voir si le poisson mord bien et je reviens.
- Lucette : Et toi Bozo tu es en pause de guitare alors tu veux appliquer l’huile de coco
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sur mon dos et sur mes jambes illico?
- Bozo : Non désolé, je vais dormir un peu à plat ventre sur les planches; après tout
bordel, nous sommes dimanche non....!
- Lucette : Alors toi Victor dis-tu veux m’huiler partout sur le dos sans jeu de mots?
- Victor : Mais dis donc je ne suis pas à ton service, je me repose et je vis ma
vie-naigrette en rosé!
Interloquée et un peu peinée, elle ne se fit bronzer qu’à l’avant-plan tout en songeant
combien tout au long de la nuit passée gentils et avenants furent ses copains. Mais elle
se souvint des paroles si vraies de sa mère :
- Camaro mère de Lucette : Ma fille ne donne pas trop de toi-même car l’abus sait
monter vite au cœur de celui qui recevra de toi à profusion.
Et la Lucette revint bien déçue de son petit voyage Laurentien, ses copains eux furent
bien heureux et bien satisfaits voire bronzés jusqu’aux aisselles, avec en bandoulière
une demi-douzaine de truites arc-en-ciel pour leurs fiancées qui les attendaient
fébrilement à l’arrière-plan de l’Église au Café-Bistrot-Brasserie Les Beaux Avenants.
La morale peu banale de cette vieille nouvelle transformée en récit pour se prolonger en
roman d'antan pourrait se lire à tire-d’aile au deuxième degré binaire ou au sens figuré
un peu oblique ou en angle mort sans séquelle qui sait geler les pucelles et réchauffer
les vieilles ailes.
de la Louve Marquise des loups aux cœurs rebelles...
~~~~
«La lecture est un acte d'identification: si nous comprenons ce que nous lisons, c'est que
les sentiments exprimés sont déjà en nous.»
Madeleine Chapsal
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2016-04-07
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Sensations aux Ultrasons
Fresque gigantesque de Draper Herber James titrée Ulysses and The Sirens
Merci à Tromal et à Youtube pour la retransmission de tous ces joyaux musicaux dont
celui-ci d'Antonio Vivaldi: Opera&quot;ARGIPPO&quot; RV 697, Act 2 - Aria
(Zanaida) &quot;Io Son Rea Dell'Onor Mio.&quot;
°°°°
De la Louve en ce 30 mars 2011 just for the two of You ce titre chaudement créé:
Sensations aux Ultrasons
Par de là les océans en-vaguées
Par tous ces temps aux tempos délurés
La barque aux folles giclées scéniques
Poursuit son voyage gracieusement utopique
En montées spasmodiques de rythmiques
And the soul's of the beat en redemandent
Jusqu'à se reprendre avec honorables d'amendes
Alléluia! Alléluia!
La langueur des instants magiques-mystiques
Demeurent nonobstant certaines pluies maussades
Et le sifflement des vents aux multiples rebuffades
Le désir se languit entre deux voluptueuses chamades
En leurs cœurs enfiévrés dans ce précieux décor
Corps Inassouvis mais conquis à l'avance sans aucun remord
Mirobolantes tempêtes émotionnelles encéphaliques
Alléluia! Alléluia!
Les jouissances se rassemblent et se ressemblent
En orgasmiques cadences denses avec aisance
Faisant frémir membres et écrins en transes immenses
De recevoir tout au fond bien au creux le bonheur
En double portion quelle troublante cuisante puissante chaleur
Ces sensations sans repos aux ultrasons° trop trop bons
Varlopées de giclements lents triplés de notes quadruplées
Alléluia! Alléluia!
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°°°°
° Définition ultrason
On appelle son une sensation enregistrée au niveau du système nerveux central, et qui
a son origine dans des vibrations sinusoïdales du milieu extérieur, soit aérien, soit
liquide. Ces vibrations sont transmises jusqu'à l'oreille interne (seule structure de
l'oreille des poissons) et sont transformées en un influx nerveux que le système nerveux
central interprète comme une sensation sonore. Chez l'homme, seules les vibrations
sinusoïdales suffisamment intenses et dont la fréquence est comprise entre 15 Hz et 20
kHz donnent lieu à des sensations sonores. Les vibrations plus lentes (plus graves)
peuvent être appelées infrasons, les vibrations plus rapides (plus aiguës) sont les
ultrasons. Bien entendu, la notion d'ultrasons varie d'une espèce à l'autre (et même, dans
une plus faible mesure, d'un individu à l'autre). Par exemple, le chien
&quot;entend&quot; des sons bien plus aigus que l'homme; ce qui est son pour le chien
est déjà ultrason pour l'homme. Il faut donc introduire une notion de relativité.
Chez les poissons, la discrimination des hauteurs est généralement très réduite vers
les aigus et ne dépasse guère 800 Hz, sauf chez les Cypriniformes, chez lesquels ce seuil
supérieur peut s'élever jusqu'à 7 kHz, voir quelquefois 13 kHz!
Enfin, les poissons privés d'oreille continuent de réagir aux sons de basse fréquence
(environ 16 à 100 Hz).
Les fréquences basses se déplacent loin dans l'eau. La vitesse du son dans l'eau est
influencé par la salinité, température et pression. Voir le lien ci-dessous.
(Source de la définition d'ultrasons: aquaportail.com)
Life is a wild Cinémascope aux ultras-sons vachly intimes lorsque les rimes
s'érectionnent s’émulsionnent et s'éjaculent sans frimes en faisant fi des escrimes. (La
Louve effrenée le 30 mars 2011 dans sa cage à images soniques toniques volages).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-03-31
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Sensations troublantes
Sensations troublantes
Sur le pallier de mon coucher
Un petit rouge-fire de panier
Une missive en traînée au fond
La souvenance dense d'un prénom
Tu étais si loin au creux de tes refrains
Un trio pâlot sur une nette photo
Kind of a numéro alcolo pas vraiment rigolo
Ton prénom si beau en tristounet d'oubli se tarit
Non pas pour la vie pardi en un éclair il ressurgit
Cet inachevé d'inédit en flagrant délit de rebondit
Aux confins malins de la vie en tourbillonnement constant
J'y suis pour tout et pour rien pour sûr
Une ancienne talqueuse de béante de blessure
En ré-ouverture sulfureuse engourdissante
De sensations démentielles troublantes
J'ai tant prié joué chanté dansé pour oublier
Ton ultime vœu pieux fut réalisé
J'ai presque tout d'un bloc intrinsèquement exterminé
Quoique le coeur ce soyeux maraudeur galvaudeur
Est nanti d'une mémoire immortelle sans peurs
Sois heureux mon cœur te suit sans oubli le pardon est salvateur sweetie ange
J'ai tout pleuré alors je souris aux anges vu ma position d'archange désormais sans
frange
Till the twelve of never I'll be your man & woman à toujours crazy ange
La Louve effrenée en musicalité colorée pour vous aimer sans rien cacher en aparté.
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-02-19
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Sensual Elixir's Sounds
Just for you where ever you are on this Wise Wild Wonderful World from la Louve
effrenée des musicalités colorées enflammées d'amore.
Sensual Elixir's Sounds
Elixir Sensuels de Sons
Sounds so underground what a wild elixir
Marvelous feelin' hé!!! can you feel it near
Sounds so underground what a wild elixir
Marvelous feelin' hé!!! can you feel it near
No booze for our choose no booze for our choose
Strange thrills over the hills without dirty pills
Across the sea and the mountains chills
Wanna go higher and higher with these elixir's Sounds
Wanna feel the sensual guitar
Beside the groovin' obvious bass
Wanna feel the sensual guitar
Beside the groovin' obvious bass
Across the white piano of your black dos
Magistracy hot & spicy these sounds héééé!
Goin' way down deeper in soul of my wolf own
Don't stop! hé! défense de stopper héééé!
Ce serait la débandade en quatre épopées héééé!
Wanna go higher and higher with these sensual elixir's Sounds
Check it out! Groovin out!!!! Elixir! Yeah!!!!
Again and again wanna drink these sounds
Check it out! Groovin out!!!! Elixir! Yeah!!!!
Again and again wanna drink these sounds
Till I'll have enough till you'll don't stop it Yeah!!!!
For ever and ever for my own soul I've found
Wanna feel your body & soul deeper in mine rebound
While these crazy spicy sounds turned around
Lay your soul on my own elixir's Sounds till the twelve of never with Her!
Dedicate and gave it right now to the one I love untill this renaissance in such a high
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cadence via la balance de tous mes sens! Hééé! Insensé!!!! Yeah! Indeed en Ré! with la
louve musicaleffrenée; votre auteure diurne et nocturne vous dit merci, thank you so
much!
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-12-22
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Sirène Nerèsi
Magnifique oeuvre de John-William Waterhouse untitle Mermaid
Merci à Youtube avec Anita O'Day et sa wonderful voice with When Sunny Gets Blue.
Et de la louve ce refrain sans fin pour toi où que tu sois en ce monde aux heures
furibondes...
Sirène Nerèsi
Prière du matin avec ou sans chagrin
Demander humblement au Créateur du Monde
Cette prépondérante sérénité vitale nécessaire
Pour accepter certaines choses immondes
Impossible de changer les sottes vilenies du monde
Demander le courage de changer en moi ces dénis
Brimant parfois souvent ma vie en quotidien de sursis
En sachant discerner la vraie ou la fausse sœur-amie
Ou la future âme-sœur parfois de trop en rancœur
D'elle-même donc incapable de capter mon cœur
Jouissances permissives indélébiles du mieux-être et non du paraître mieux en me
prenant pour Dieu
Cible d'étonnants quatre temps
Non détonants entre les temps trop gris
Nerèsi la sirène m'a dans un songe prédit
Que ce matin viendrait où tout serait blême
Demeurer toi-même sans blasphème
Sera ta force ta voie belle et ton emblème
Mais tu feras des envieux et des suspicieux
Sur ta vraie nature fragile et forte de tempérament
Poursuis ta route parcours de foi et de doux jeux
Ne te retourne pas deux fois sur la souffrance
De celui qui te condamne en déniant sa démence
Mes fougues bohèmes ont su faire trépasser le joug de tes frêles chaînes de tes dentelles
belles en aquarelle...
Ces fibres littéraires octroyées d'heure en heure
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Par ce Dieu non-punisseur qui amenuisent les peurs
Fils corrosifs détruisant en ton âme l'effervescence
L'écriture sera ta plus authentique et pure jouissance
Avec la musique pour amie de la danse à la lune
Louve n'hésite plus bouge de là tu es née deux fois
Allez va et jouis sans culpabilité aucune sur les dunes
Poursuis sans crainte ta route sans déroute
Et redemande au Créateur d'augmenter ta foi
Chaque jour au soleil levant pour abolir le doute
Qu'il n'est plus là pour calmer ton désarroi
Sois toi-même sans blesser ou chavirer les lois
Ton âme belle attira la mienne et vice versa sans le vice et sans faire fi des séquelles j'ai
écouté ta symphonique ritournelle pianistique à titre d'aile...
La Louve en ce deux mars 2011 votre auteure diurne et nocturne entre deux pauses qui
reposent l'âme des sens interdits où tout semble moins gris juste pour aujourd'hui
simplement.
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-03-03
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Sirènô de Berges Nô
Sirènô de Berges Nô
Sur une note qui flotte
La louve s'y frotte
En nage elle nage
Dans ce brouhaha d'âge
Prise au surlonge faux-filet
Des doux appâtas jamais las
De ses nageoires en ça
Enlace-toi au profond de ces eaux en bleutées de vagues so damn dragues
Elle fait les cent pas
De deux et de trois
Au détriment des eaux
Entre deux loups de peaux
Jusqu'au delirium des faux
Des vils requins des arcs-en eaux
Frétillante des crocs des arcs-en-sots
Quelle histoire d'eau entre deux rots
Enlace-toi au profond de ces eaux en bleutées de vagues so damn dragues
====
&quot;Rien ne justifie la tentative d'imiter; ça brime la musicalité dans toute l'essence
de sa tonalité émancipée; dans tous les domaines artistiques demeurer soi-même
provient d'un feu really and totally sacré.&quot; (La Louve effrenée de musicalité).
&quot;Nothing justified the attempt to imitate; this adversely the Musicianship in any
gasoline from its tone emancipated; in all artistic fields remain itself comes from a fire
really and totally sacred.&quot; (The Louve unbridled of musicianship).
&quot;Nichts rechtfertigt den Versuch der Nachahmung; das waren die musicalité in
Benzin der Schärfe fast; in allen künstlerischen Bereichen weiterhin selbst aus einem
Scheinwerfer nur and totally heilig.&quot; (Die louve du von musicalité).
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====
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-08-12
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Slow Blues-Buzz
Slow Blues-Buzz
Slow Blues-Buzz pour le Prince D'Ozz
&#10084;&#10085;&#10084;
Dores et déjà l'an 2014
Poursuit son slow Blues-Buzz
Dores et déjà l'an 2014
Poursuit son slow Blues-Buzz
Un tempo à donner illico chaud
Body and soul en retour au bas du dos
Sans faire fi en Fa La Do des badauds so low
Je t'enchante sans pose ni pause et tu entends sans bon sens mon sang qui ne sait mentir
sauf en urgence de délires...
La lutte chute sans accrocs les cordes
Se confondent en un jeu fluide et s'accordent
À pleins feux sans fausses rampes
Démoniaques arnaquant la lampe
De nos musicaux latéraux d'ébats
Charmant cortège de solfège jamais las
Hééé! Slow Blues-Buzz pour le prince D'Ozz
En cette déconcertante d'année 2014
Ce Blues-Buzz sans pose me rend toute chose, j'ose et sans contrefaçons elle explose
l'osmose du timbré de son de cette apothéose...
Dores et déjà l'an 2014
Poursuit son slow Blues-Buzz
Dores et déjà l'an 2014
Poursuit son slow slow Blues-Buzz
Un tempo à donner chaud so chaud
Body and soul en retour au bas du dos
Sans faire fi en Fa La Do des badauds so down low
Je t'enchante et slowly je hurle ce couplet pas de trop laid puisque sans méfaits de
refaits ou timbre de voix contrefait et ça te plaît...
&#10084;&#10085;&#10084;
&quot; Play and sing your soul - Joue et chante ton âme; c'était écrit sur ce papier jauni
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entre deux séchées de blue roses brunies. &quot;
MDLoups
&#10084;&#10085;&#10084;
Et comme qui dirait les gens d'outre-Rhin (selon Edelweiss) &quot;tief ins Herz
getroffen&quot; ou &quot;en plein dans l'coeur&quot;.
&#10084;&#10085;&#10084;
De MDLoups ou la Louve effrenée de belle musicalité en dédicace à Mary-Andray sa
mère décédée le 22 Janvier 1989
****
&#10084;&#10085;&#10084;
&quot; Stigmate écarlate à jamais accolé dans l'âme de celui qui en est récipiendaire à
toujours; un jour truely Blues, always sincerly Blues. &quot;
La Louve effrenée de belle musicalité in G groove
&#10084;&#10085;&#10084;
****
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2016-03-19
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Soirée mondaine
Soirée mondaine
mondaine de Soirée
Soirée mondaine
Quelle dérisoire déveine
Outrepassant les arènes
De vos sottes fredaines
Crucial est le moment
De vous redévoiler
Comme un beau paon
Au plumage de musicalité
Les Erreurs humaines
Entraînent des reines de peines
La jalousie fait mal olé tolé
A lire sur le front du forcené
Trop d'hypocrisie
Tue les fréquentations
Malsaines du sympa d'salon
Au Café Sante Fe Sitangye
Le plus hardi semble démuni
de la Louve effrenée de belle musicalité...
****
&quot;Auri sacra fames ! &quot;: &quot;Exécrable faim de l'or.&quot;
Expression de Virgile (l'Énéide, III, 57).
En prépondérance sonique selon certains littéraires téméraires : &quot;Exécrable soif de
l'or.&quot;
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-12-04
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Soleil levant devant
Soleil levant devant
Devant le soleil levant
&#10084;&#10085;&#10084;
Sans not at all piper mot
J'me récolte un Jazz so slow
Sans not at all piper mot
J'me récolte un Jazz so slow
Pas moderne pour deux trots
Au pas du Loup that I know
Although nobody to talk
Well God is on my side walk
Every night mornin' or every noon
Espacially lorsque s'endort the purple moon
I don't want to stay before the soleil levant
He's the one pour réchauffer mon blanc flanc
&#10084;&#10085;&#10084;
Sans not at all piper un mot
J'me récolte un bluesy Jazz so slow
Sans not at all piper un mot so close
J'me récolte un bluesy Jazz so slow
The sound of this magically music
Can make me feel again so alive
No more sadness I hear this bluesy Jazz
Carquefou ou Douchy via Villejuif
I don't care no sickness I feel the Jive
Again and again the beat of the Disco
My heart is a tambourin sans nul frein
And my soul is a grungy Blues refrain
Go away Death with your sour no sweet suif
I'm alive till the twelve of the end who knows
Et bis entre deux bâtons de noire réglisse aux confins du Monde je me reglisse...
... Sans not at all piper un mot
J'me récolte un bluesy Jazz so slow
The sound of this magically music
Can make me feel again so alive sans arsenic
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&#10084;&#10085;&#10084;
Le Lundi 25 mai 2015 de La Louve effrenée de belle musicalité bien nommée vôtre vot'
autre heure dans la nuit...
****
&quot;... Le soleil enfin se lève pour l'élève terrestre en reconstruction intrinsèque via
l'enveloppe corporelle that was born in Québec and full made in Austria antre deux
musically sagas...
- Maybe baby... with the music every thing is possible; Dieu sait faire l'impossible;
j'oublie la prise et je le laisse agir entre deux plumes de satyres visant à brimer les sweet
délires... &quot;
MDLoups a shorty extrait de Soleil Levant devant
****
&#10084;&#10085;&#10084;
&quot; Qui va lentement arrive plus tôt.&quot;
Hogy Carmichael
****
&#10084;&#10085;&#10084;
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2015-06-14
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Solis de Folie
Solis de Folie
Folie en Solis
&#10084;&#10085;&#10084;
Entre deux solis de folie
Me venant de vous en mini sursis
J'ai effrontément accolé mes vers
Pudiquement et soyeusement pervers
Au détriment des factices impies
Je me pose sans honte en tenue d'hier
Espérant divaguer entre les mers
La beauté filiforme difforme de la vie
Nonobstant les crazy ennuis
De savoir revivre oui vivre j'en suis ravie
&#10084;&#10085;&#10084;
Aucune attente sauf la confiance en ce Dieu qui a tout pouvoir...
&#10084;&#10085;&#10084;
Il pleut des troublantes notes
Aux moult saltimbanques
De dolce sensuelles renotes
Vos yeux le repers de vos sons
Tout s'avère de sweetie goody ton
De l'âme aux doigts so grivois
Via les touches de la simple Foi
Dans votre musique je me noie
De gratitude où règne votre exactitude
Entre deux turpitudes you are la similitude
De mes petites incertitudes
&#10084;&#10085;&#10084;
Aucune attente sauf la confiance en ce Dieu qui a tout pouvoir sur nos destins incertains
et la longévité de nos vies terrestres...
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&#10084;&#10085;&#10084;
de La Louve effrenée de belle musicalité en ce 25 mars 2016...
&#10084;&#10085;&#10084;
****
&quot; Une fleur qui boit uniquement de l'eau aura l'avantage sage à laisser se
développer et à se réaliser en petites ou grandes quantités les secrets de son âme en
musicales de flammes. &quot;
La Louve effrenée de belle musicalité in Jardin intérieur & extérieur de la Louve in G
groove
&#10084;&#10085;&#10084;
***
à suivre dans la Mansarde toilée chez Tromal...
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Solitaire de Calvaire
Solitaire de Calvaire
Calvaire de solitaire
Volet I
Seul avec mon long sax
J'me refile un crucifiant cafard
Loin loin du connard d'bar
D'axe avec ou sans Max en axes
J'me reconnecte aux Arts
Le Do reclaque et me refax
Son Ré non sous tension me zappe
Et me stimule la Sol de clef
Quelle solidaire de claque
Matter of fact ça refrappe
La musique et la sweetie Zoé
Voilà my own destiny héééé!
La liberté qu'est ce que c'est?
Je vomis spontanément all alone
Serais-je un spongieux d'clone
À la voix cuivrée rauque
Dans ce tourbillon glauque
En cet espace infâme
Je me repâme l'âme
Et dans une longue barque
Aux arnaques qui craquent
Je rame avec une lame difforme
En apothéose de flammes
En somme je me réforme
Maybe baby je deviens un homme
Mirage sans âge j'hallucine
Une femme boa avec tête de sardine
Zoé flotte comme une marmotte
Au-dessus du craquant de lit avec hotte
Et bizarrement la Zoé me surplombe
Et alors le torse me bombe
Au fol survol de son ombre
J'imagine ses petits seins poires
Aux boutons marrons hors normes
Je m'étire me touche et me marre
Quelle balafre sur mon ego rare
En ce mémorable damné d'soir
Aux enlacements mauves sombres
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Paranoïaque électrifié dans un état noir
Une trop longue allée de hauts cyprès
Si près de mon moi hautain m'effraie
Et je deviens oui du foin en bottes
La voix Blues de Zoé
Résonne détone résonne
Comme une fausse trombone
Aux faux airs d'un bel automne
Au centre de ma Sorbonne
J'me surprends Moi à prier
Les genoux trop pliés
Comme en pitié de piété
Et face contre terre j'exagère
Oubliant my self pity*
Je crie au Père une liberté
En lui mandatant dans ma prière
Sans trop souffrir je me repère
Vers une possible libération alcoolisée
Dégonflant ainsi mon usuelle immaturité
Capitulation surrender sans tergiverser aucune larme = Liber libertin libertaire
libertarienne yes Liberté up-scène
Calvaire Solitaire (ou à deux solidaire)
Volet II
La liberté c'est y une notoriété
Ou un diplôme d'excentricité
Je délire des incommensurables
Paroles vides de sens de fables
Je capitule j'me mets à table
Y' a rien de vraiment gratuit
Mon papa à moi m'l'a jadis dit
Je crache du sable
J'ai des sueurs froides
Ma vie est une sueur froide
Et chaude so chaude à satiété
J'me désintoxique sans me blâmer
Because j'me désintoxique
Sans la maudite complicité
Des autres buveurs en accord d'acuité
Seul sans escorte énigmatique
Un port graphique est né
Une lumière bleue unique
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tromal.net
M'enveloppe l'âme sans simagrées
Et le corpus tout partout me pique
Sans artificiels d'paradis sataniques
Bourrés de mosaïques calligraphiques
Démographiquement roides
Maudites sueurs plus froides
La blonde en mousse gît
Inerte hébétée sur le parvis
Non déballée en double rangée stylisée
En douze identiques copies
Depuis au moins six nuits
De la boire que Non nulle envie
Étrangement sans arrêt depuis
J'écris sans trop d'ennui
Ou maux de cul ou de cœur en débits
Aux points de fuite inédits
Ce magique sursis d’Ariane de fil se suit
Ce morceau est beau j'en chiale d'envie
Je pleure really je m’épie souris blêmis et ris
J'enregistre mes soli de clapotis endoloris
Démo non démoniaque pour un agent averti
Et Pater Noster °° je remercie
Car le pire est désormais cuit
Avec les carottes en nouvel appétit
Je revis libéré de mes araignées
Désalignées et déstabilisées
Au dedans de ma ligne de vie
C'est t'y ça la vraie liberté?
Ne plus avoir cette soif d'alcool
J'me réponds Oui en Si bémol
Le fugitif de moi-même est enfin né
Et asteure***essaie de la conserver
À long terme cette abstinence via sobriété
Émotionnelle heureuse sans maugréer
Sans juger ou envier les autres obligés de consommer
Leurs peurs déniées ou leur mal de vivre refoulé
*- Self pity (anglais): apitoiement
** Pater Noster (latin): notre père
*** Asteure: Dialecte québécois: dès l'heure ou maintenant
Je dédicace ce poème social-convivial à mon oncle Yvon S. décédé des suites de
l'alcoolisme en l'année 1991; Yvon un ingénieur intelligent qui n'a pas eu la chance
voire la grâce de comprendre ce mal de l'âme qui sournoisement et insidieusement a su
le mener aux douloureux Delerium Tremens* ainsi qu'aux atroces Syndromes de
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Korsakoff °° souvent galvaudés et ridiculisés à tort; l'alcoolisme est une maladie
mortelle, insidieuse, sournoise, lente et progressive, yes, oui, l'alcoolisme, mot
redondant et strident pour certaines oreilles n'a pas de distinction avec l'âge, le rang
social ou l'intelligence de l'individu atteint. Peu importe les quantités, les qualités, les
fréquences de l'alcool ingurgité.
* Delerium Tremens: (latin) Délires avec agitation de l'âme.
°° Syndromes de Korssakoff: Bien explicité sur Wikipédia
****
&quot; Mon cœur de louve so louve te suit sur ces vieilles douves qu'un jour à la fois je
retrouve en cette France imprégnée jusqu'à la moelle d'arrogance parfois rance ; cet
étonnant pays tant aimé dès mon enfance... &quot;
MDLoups in Printemps so insolent d'un verdict so cynique
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2014-09-17
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Sommeil Vermeil
Sommeil Vermeil
Vermeil de Sommeil
Tes lascives de sweet poses
M'indisposent et m'opposent
A ce que je nomme osmose
Jusqu'aux délires de ton rire
Je me repose sans te maudire
Non je n'ai pas sommeil
Ta peau a un reflet vermeil
Ce feu qui hante nos veines
Ne saura s'éteindre sans déveine
Ta langue touche le bout de l'écrin
Et puis s'enfonce en secousses
Jusqu'aux subtils de confins
De ce que tu nommes ma free mousse
No doubt so damn really rousse
J'ai une envie folle que ça dure
Et tout dans ma peau se triture
Tu me tiens sous ton joug
Je suis ivre de ta fougue
Ta langue gourmande me prend
Toute entière c'est désarmant
Je chavire jusqu'au navire
De tes bras qui m'attirent
Sur ton corps par-dessus
Je me balance bien assise
Sur ton phallus qui m'enlise
A faire frémir nos deux culs
Sommeil en éveil du dragon en rut
de la Louve effrenée de belle musicalité
****
&quot;La vie est un sommeil, l'amour en est le rêve, Et vous aurez vécu, si vous avez
aimé.&quot;
(Alfred de Musset).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2012-08-03
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Sonne la Cloche
Sonne la Cloche
Sonnet et Cloches
Cloches pascales Sonnez
I'm not the perfect nurse
So keep your own damn purse
I'm am the silky wolfy Blues
Just don't care to loose
Hey! your love is just booze
Drink your little funky juice
Grand bien te fasse Pouss-Pouss
Qui se gave de trop à la chasse
Sait perdre royaly sa place
Wolf or not
I know well to trotte
I love really good the Fox-trot
I do manage it au moyen trot
Loup ou non avec ou sans jalons
Tu es désormais just one second
Sa vie était moche
Et sonne la diantre de cloche
Il était fatigué des Paques non fleuries
So damn mal sonnées a priori
Au creux d'un ciel gris sans lit
Sans sonnets sans encoche
Il s'est épris de quelques pissenlits
de la Louve effrenée de belle musicalité en ce 5 avril 2014 Happy birthday à toi BB
Blanche Bailey grand-mother bien-aimée
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2016-03-23
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Soubresaut
&quot;Et soudain j'ai flairé un danger étonnamment la prise conscience me fut enfin
octroyée.&quot; (La Louve effrenée de belle musicalité pour votre félicité en
élucubrations sonorisés).
Musica de Youtube: Evil Ways - Santana [Live at Woodstock 1969]
Soubresaut
Sot Sobre
Sobre Sot
Va t'en sobre sot
Elle a crié ce soir là
Et voilà que ce soubresaut
Me rend soudain très las
Je la revois bavant nageant
Dans son alcool
Pour se traîner à genoux
Vers moi pour me crier haut
Vas-t'en sobre sot!
Mon coeur saigne encore de ce dégoût
Car je la croyais folle
Mais aujourd'hui je sais ses souffrances
Car de cette eau de mort
Et non de vie elle menait un combat
en se battant pour stopper d'ingurgiter
Ce poison qui la tenait debout
Puis très vite à genoux
Hurlant sa peine et ce vouloir de stopper
Qu'elle ne savait pas
Puisqu'elle n'avait pas foi de demander
À ce Dieu qu'elle croyait vengeur
Ou même pire punisseur
Non! Dieu est amour
J'ai dit avec peine à son coeur sourd
Il sait enlever l'obsession insensée
De cette maladie sans répit
Qui font de tous les êtres chavirer
Le meilleur d'eux-mêmes
À toute pernicieuse volée extrême
De leurs vies au matin blême
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Demande on m'a dit à celui qui a tout pouvoir
De faire de toi un homme aux mille espoirs
Jour par jour heure par heures accolées
Me revoilà un humain sensé
Je vis enfin avec moi l'honnêteté
Car sur les tas de fumier
En vers ou en prose et avec tous
Les plus belles fleurs poussent
Ce matin je demande d'éloigner ce soubresaut
Car il a décidé d'être heureux le sobre sot
____
Yeah! Takin' a Ride without aggressive sides
Les goûts des kool heures musicales ne sont pas à discuter mais à cultiver aux
intervalles.&quot; (La louve 2011 for Le Monde en Questions).
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Soul's Dancers
L’Amour des Âmes, peinture à la détrempe, 1900, de l'artiste peintre belge Jean Delville
(1867-1953),
Musée communal des Beaux Arts d'Ixelles
°°°°
Soul's Dancers
de La Louve Marquise des Loups rebelles; Soul's Dancers fut griffonné for You le
douze à douze heures en ce mois d'août 2011 pas trop doux...
Les voiles blancs transparents
Furent du temps d'antan
Belles folles en retombées
Enfin toutes aux alentours dénudées
Les âmes impures ou pures voltigent
A l'effigie des mauves bleutées de tiges
Liées à pérennité sans sexe ni âge
En une multitude de gestes non obscènes
Âmes sans armes ni armures vaines
Là où leurs archangéliques de pas se ramifient au trépas
Au diapason de leurs corolles
Elles se biaisent en transe
En harmonie jouissive elles dansent
Enchaînées sans aucun nœud ni chaîne
Vertigineuses danses folles
Aux rythmes des fous hymens
Désormais absoutes de peines
Les beautés éternelles se déchaînent
Âmes sans armes ni armures vaines
Brimant l'Amour des symphoniques reines
Là où leurs archangéliques de pas se ramifient au trépas
°°°°
Page 481
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«L'amour contient tout juste ce qu'il faut pour l'éteindre.»
(William Shakespeare).
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Spatial Synthétiste
Lac à Danya (louveteau de la louve) in winter à St-Jovite-Tremblant, Québec KanadaAquarelle création de la louve 1999
Spatial Synthétiste
En flagrant délit
De couleurs rosies ou cramoisies
Ta palette te suit
Sois-lui longtemps fidèle
Voilà le miroir d'une âme belle
En faisant fi des étincelles
Qu’elle lance aux impies
Avides d’acerbes mots maudits
Démarque-toi
Sans malsaine cupidité
Raconte ta foi sans l’imposer
Car ce don sera ta douce loi
Reviens à celle de ton enfance
En oubliant ses lacunes immenses
Laisse braire qui que tu sois
Sous l'insulte rance
Demeure stoïque
En songeant que leurs souffrances
S'avèrent leurs forces qui piquent
En voulant abaisser l'autre
Ils se flagelleront un jour ou l'autre
Toi le spatial synthétiste
Remercie Dieu en gratitude
Pour ce joyau de salvatrice béatitude
La Louve 2011 effrenée de musicales couleurs théâtrales interminables
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Ständchen
De la Louve effrenée Récit de novembre conté avec ses trois côtés pudiques garnis de
musiques atmosphériques...
Ständchen
L'Île de Fraueninsel ou L'Île des Femmes était déserte en ce matin un peu brumeux
d'automne en prologue; sœur Leah s'y promenait avec pour ultime compagnie son chien
Kosak; un superbe bouvier bernois de sept ans, un bien fidèle ami après les récents
événements un peu malencontreux pour la demoiselle surnommée sur l'île la joyeuse
Fräulein Sérénade disparue depuis déjà trois longs mois.
La Commune de Chiemsee précisons le s'avère en somme une trilogie d'îles. Le Lac de
Chiem fut creusé par un énorme glacier et est par conséquent le plus grand lac de
Bavière et vu en Allemagne comme le troisième plus grand lac; nous découvrons trois
îles magnifiques sur ledit lac…
L'Île de Fraueninsel; nous imaginons à notre guise sans balise aucune le couvent des
nonnes pouvant aussi se nommer Frauenchiemsee.
La seconde île nommée Herreninsel; endroit même où vers 1878 l'un des châteaux de
Louis II de Bavière y fut construit et nommé aussi Herrenchiemsee; ledit château est
une copie intégrale quoique en plus grande surface du grandiose château de Versailles...
Et la troisième île nommée Krautinsel n'a point d'habitants humains...
Ständchen ou Sérénade fit son entrée d'une façon plutôt étrange un douze juillet chez les
nonnes de L'Île de Fraueninsel; il était environ quatre heures dix du matin lorsque sœur
Leah ou Leather; une des plus matinales âmes du couvent était à lancer le grain aux
poules et coq du poulailler lorsque ô apparition, soudain elle vit bien assise sur une mini
botte de paille une fillette aux longues nattes de couleurs blond-roux. La petiote n'était
pas du tout craintive et dit en chantonnant un bonjour en français tout en quémandant de
ses deux mains nanties d'un anneau serti de petits rubis miroitant étrangement avec la
lueur du fanal de sœur Leah, la fillette fixait de ses yeux d'un ton bleuet ces quelques
grains car elle avait grand faim lui dit-elle:
- Bonjour ma sœur, je suis fatiguée et j'ai tellement faim…
- Oui, et tu es arrivé comment, dis-moi?
- Je ne sais pas, oui je sais, dans une grosse barque avec un toit bleu blanc et rouge…
- D'accord tu es française et est-ce que tu sais causer l'allemand?
- Non, j'ai cinq ans, aujourd'hui c'est mon anniversaire à moi au couvent des U… Je ne
sais plus où… Les religieuses avaient des robes comme toi... mais bleues pas
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blanches… je me suis endormie juste avant de goûter à ce beau gâteau d'anniversaire.
- Allons toutes les deux au couvent pour un bon petit déjeuner et après nous verrons
comment procéder à ton retour vers l'endroit d'où tu viens…
Toutes deux elles entrèrent dans la vaste salle à dîner tout de bois de chêne; la radio
clamait des concerts matinaux comme à l'accoutumée et cette Sérénade pour cordes se
fit sublimement entendre et la petite se mit à danser éblouie par l'assonance de cette
divine composition et chantait qu'elle se nommait aussi Sérénade…
Et c'est ainsi que la petite prit son envol de jeune fille; surnommée Soleil de Bavière ou
Ständchen dite Sérénade par sœur Leah depuis son premier matin au couvent…
Leah apprit à coudre, à lessiver, à chanter juste, ça elle savait, à danser, ça elle savait, à
jouer du piano, de la harpe et de la cithare, ça elle ne le savait que d'instinct mais sans
théorie aucune car elle avait en horreur tout ce qui sortait de l'instinctif… Une âme
rebelle dans un corps de demoiselle frêle, quelle histoire à titre d'aile et comme un
oiseau de grands cieux bleus, à ses dix-huit années terrestre, elle s'envola et personne ne
savait où par un douze de juillet, comme à son arrivée, quelle étrangeté! Tout le couvent
en fut bouche bée et déconcertées et peinées furent les nonnes car aucune d'elles
n'avaient eu de nouvelles de la jeune fille depuis trois lunes nouvelles…
Ce fut par un soir de pleine lune que Ständchen amerrit sur l'Île de Krautinsel;
profondément endormie au fond d'une barque bizarre, elle ne s'aperçut pas qu'on la
soulevait doucement pour la déposer dans une chambre aux volets mauves et aux
rideaux ocres, c'est bien au creux d'un lit à baldaquin de bois d'acajou aux accessoires
verts émeraude qu'elle s'éveilla au petit matin par les rayons chauds d'un soleil
éblouissant.
****
Le mini château de Kolapieng dominait fièrement; construit savamment sur une butte de
rochers assez grandiloquents avec aux alentours de la verdure plutôt belle et fleurie à
souhait… Douze chambres, trois étages deux petits donjons, deux cuisines, deux
living-rooms, trois salles d'eau dont une avec bains bouillonnants; Sérénade s'y
prélassait en chantant avec des mots bien à elle le cher refrain inoubliable de son
enfance: Sérénade pour cordes D'Antonin Dvorak …
Aucun humain sur cette île cela semblait un horrible non-sens puisque les châtelains de
ce château étaient au nombre de sept et le prince de Johan-Nydorian de Müller y naquit
par un soir de novembre en terminale; athée, d'une gentillesse exquise ce prince apprit
un jour du mois d'août que les nonnes de L'Île de Fraueninsel hébergeaient une jeune
fille nommée Sérénade, il ne pouvait supporter cette idée et souvent à la tombée de la
nuit il voguait sur son bateau en forme de coquille de noix espérant ainsi s'approcher de
la grille y entrer et kidnapper ladite jeune fille qui aux dires de ses loyaux sujets était
belle comme la rosée de juillet. La pleine lune lui octroya une force incroyable; il brisa
le portail et sa multitude de chaînes, fit taire le chien qui aboyait sans cesse et à une
vitesse folle le prince regarda le chien dans les yeux et vivement avec un chiffon blanc
dont la bête fut attirée il lui parla en déposant le tout sur ses naseaux; le chien devint
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impuissant et s'allongea comme une masse pour dormir les quatre pattes bien en l'air…
L'homme plus que décidé avançait en titillant sur des cailloux puis sur une pelouse au
long sentier et entra facilement dans ce château aux mille et un contes incongrus par les
habitants de son château. Il monta comme poussé par un guide invisible le long escalier
en marbre rose et noir, contourna l'imposante statue en bronze de Marie mère de Jésus
en la regardant intensément et en se disant que c'était là sûrement la réplique de la belle
de ses rêves. Une porte s'ouvrit et la jeune fille sortit en pleurant qu'elle sortait d'un rêve
incongru, elle stoppa derechef lorsqu'elle vit le prince de son rêve et lui dit incrédule:
- Vous arrivez d'où exactement Monsieur?
- De l'île de Krautinsel vous êtes Sérénade?
- Oui, on me nomme aussi Ständchen en allemand; j'ai plusieurs mères; elles sont toutes
nonnes et sont très bonnes pour moi…
- Je sais et moi je vous aime sans vous connaître depuis longtemps et je vous incite à
venir avec moi dans mon château…
- Mais c'est insensé, je dois rêver encore doux Jésus aidez-moi; il n'y a pas âme qui vive
en cette île de Krautinsel.
- Taisez-vous, de grâce ne parlez point si fort, petite beauté sotte, vous allez éveiller vos
protectrices, allez je vous fais l'accolade frontale…
Le prince Johan-Nydorian de Müller aimait commander; arrière petit fils du duc de
Mountbatten, hautain et fier de lui, musicien et poète, il baisa le front de Sérénade et
promptement mit sur sa bouche et son nez le bout de tissus blanc qui illico endormit la
jeune fille; il la prit dans bras et avec la vitesse de l'éclair, amoureux fou, nanti d'une
force herculéenne peu commune, il descendit et refit à contre sens avec plus d'assurance
cette fois-ci le même trajet qui le mena à sa coquille de barque et y déposa tout au fond
sur la longue cape de velours vert émeraude la belle endormie qui se croyait au paradis
et enlevée par un ange aux boucles brunes et ce fut dans cette somnolence gigantesque
qu'elle devint l'hôte permanent du prince.
C'est ainsi que se passa l'enlèvement le plus inusité du siècle et jamais résolu pour
personne puisque trois décennies passèrent sans que personne ne sut vraiment où et
comment Ständchen vivait.
Fin du Tome premier
Pour La Louve effrenée in MDLoups November Literacy's Balloon.
À suivre en un conte de Noel 2014: Prince Johan-Nydorian de Müller
****
Intermède musical...
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&quot;Voir ou revoir, entendre ou réentendre; tout s'avère un à revoir dans le but ultime
de mieux voir et entendre avec les yeux et les oreilles de l'âme certaines stances
sérénadées.&quot; (La louve effrenée de belle musicalité).
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Suaves d'Entraves
Suaves D'Entraves
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&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
Entraves Suaves
Et vinrent en mauvais nombres
Grandiloquants avec la pénombre
Infâmes en blâmes les moult entraves
Suaves et cinglées cinglantes
De nos toquées de poetry gourmandes
La voix so suavement délirante
De ta mièvre bouche andante
Ô tiny pénombres près de l'âtre
Juxtaposant nos blue notes mi-ombres
Planants et pédants décombres
De mégots et d'eau-de-mort sombres
En totale éclipse d'oubli for the Sixty Katacombe
Poetry poétiquement correcte et jamais obsolète sans fée verte
Une à une sous la lune
Une histoire à boire sans gloire
Devenue brune comme la poire
Vautrée à long terme en armoire
Historia scellée un peu diffuse recluse
À l'eau de rose morose quasi ivoire
Faisant des jaloux en Vaucluse
L'Interférence en réminiscences
De nos reprises de turbulences
Nos deux corps élancés reformés
Par des rayons cupidonnés effilochés
Et tout à fait soudés indisloqués
En mille et un tours de sol de clef
Una solide romance sans bonne fortune
Aux intonations rauques diurnes
Kind of a delirium punché stylisé-nocturne
Poetry poétiquement correcte et jamais abjecte sans fée verte
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Nous épiant par les carreaux
Des fenêtres du Roi Marteau
The fool full moon so bitch
Entre les flocons blancs so kitch
Mais tellement obscurément déments
Ton auréole sertie de faux diamants
M'a abasourdie presto sur-le-champ
De notre musicale bataille de pinceaux
Et de plumes de toutes catégories
Confondues en petits coups slow so slow
I do feel again obviously at home with this Intro
Poetry poétiquement always correcte et never délirée avec la fée verte
de MDLoups le 17 décembre 2012 in Reminiscences in High Voltages
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&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
&quot;I'm in flagrant délit de Blues Jazz and Heavy Sounds métallisés in délires so
come on over and step in these flames of mine on the right foot.&quot;
La Louve effrenée de belle musicalité in Silly Romances vachly Denses
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Sunday métallisé
Mein Sunday métallisé ! Prose en osmose de cause et vous serez en toute chose vous
poussière à mon effigie trop peu de choses vraiment moroses, ô peuple en délirium
tremens sachez me lire tout ces mots n'effleureront point votre chère tirelire...
Hééé! My mother told me : &quot; tu es révoltée &quot; ! Non momy, lui dis-je, entre
deux répliques avec litiges assurés...
- Mother, lui redis-je : &quot; Of course survoltée de décibels so belles je suis et pas
juste sous les aisselles under the influence of love, no, non, que non; it's vachly pire que
ça (si Sigismund Freud savait tâter ça sans bander alors ce serait sympa...)... Passons
outre la family et croquons dans le vif dudit sujet : amore.
Si si signor entre deux croquants de cigares j'me mare so far dans vot' mare aux canards
que j'aime vivants jamais autrement. Habituée depuis ma tendre enfance aux rivières,
aux lacs, aux ruisseaux, voire aux mers de là-bas so loin dores et déjà là sans Fadiez
balèzes, ouais, là où je suis née entre deux contes de fées aux dragoons and monsters so
big...
Quelle jouissance que l'intellectuelle de masturbation ! La femme toute femelle belle
soi-elle, sait, grâce à son cerveau (qu'elle n'a pas dans les entre-jambres à l'effigie de
l'homme) ouais sait vivre deux choses en même temps émoticône wink suis-je
nymphomane, cleptomane, mélomane ou simplement renatemane voire féministe
puriste shintoiste ou bien taoiste... ? Vous n'êtes point sur la bonne piste aucune de ces
réponses, seriez-vous raciste ? ! Pssst ! Let's go for some poetry en Louberté...
Sunday métallisé... Poetry en Louberté
Mein sunday is vachly métallisé
So good for the soul écorchée
I pray just for the rime
SoYeah! Is it a crime
Or Ou un bout de défi
En flagrant délit de lit
D'eau rond petit patapon
Let's go to the Spa so long
And I will show You sweetie
Maestro how I musically
Swing between two or one rockabilly
So damn good entre deux coeurs malaxés
I wanna dance on this killing floor
Of Jimi Hendrix and more
Secoue-toi entre deux tongues
de vot'aut'heure dans la nuit entre deux jours de pluie La louve effrenée en ce 21 février
2016 in France...
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&quot; Stigmate écarlate à jamais accolé dans l'âme de celui qui en est récipiendaire à
toujours; un jour Jazz & Blues and Rockabilly, always Jazz & Blues and Rockabilly.
&quot;
La Louve effrenée de belle musicalité in G
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Sweet Impromptu d'Wolf
Sweet Impromptu d'Wolf
Wolf so Sweet & Impromptu
Sweeter than You
No one it's impossible
Sweeter than You
No one it's impossible
I feel You as a wolf
A sweet impromptu d'Wolf
De nulle part on this earth
Venu to tease mine libido & flirt
With mine soul and crazy heart
Flow me with your erotic words
Take me deeply with your lazy chords
Again and again man take me higher and higher up above the selfish moon
Sweeter than You
No one it's impossible
My Christmas prayer
Sweetie wolf & silly band
Is to make you understand
That the truly friendship land
Is not the constant arrows
And either the damn shows
To look goody and paraître
Au big top ou au faîte du hêtre
But a best regards without shadows
Flow me with your erotic words
Take me deeply with your lazy chords
I feel and wanna keep You as a wolf
Cause You have a wild place in my Stand
You the sweatiest impromptu d'Wolf
Again and again man take me higher and higher up above the selfish moon
Création du 21 décembre 2011 de Marquise des Loups à l'âme rebelle so belle à tire
d'aile...
Les goûts artistiques musicaux et leurs couleurs en genres disparates ne sont pas à
discuter mais à cultiver jour par jour avec une ouverture d'esprit sans certains détours
qui briment l'Amour humain.&quot; (La Louve).
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Sylphe Musical Astral
Médium d'expression; fusain et rehauts de pastel sec; création spontanée de la Louve
effrenée en 1997 titrée Una signifiant Petite Lune en Amérindien.
Merci pour ce joyau en musique orgasmique au superlatif avec les incredeble magic
men Jean-Pierre Danel et Louis Bertignac et la magic woman Beverly Jo Scott au
timbre de voix authentique for the Blues et ce dans toute sa divine incandescence, ledit
joyau so beau est titré This Incredible Fortune to be Two. Ho Yeah! What a Blues!!!!
Et de la Louve voici pour toi ce refrain louvien, yes sweetie just for you où que tu sois
entre deux rois ou trois reines en peine de verveine en in-fusion sans trop de con-fusion
mon coeur te suit sans déveine ni in-trusion dans tes wild Ions...
Sylphe Musical Astral en Riffs
Musical_Astral de Sylphe en Riffs
Entre deux longues pauses
Too much moroses sans osmose
La vie sans joie de toi bat ses états
La peur l'angoisse les revoilà las
Le sylphe lui se retient de lassitude
Entre deux éclats mats de plats fats
De vers en laine ou de proses en latence
Stoïques en léthargiques foultitudes
De chagrin égocentrique tétant le Red Rose
Le doux sylphe se retient à en perdre haleine via l'inspiration éclose bridant l'osmose
La souffrance goulûment en transe
Orgueil et retenue crue en descente
Des orgasmiques portées aux nues
Au-delà des histoires sans cadences et rances
Le sylphe se retient sans toutefois voir sa voie
Entre deux éclats de voix en croix latentes
Hééé! Quand dira-t-on de soi du noir en broie
En fil de lin fin de coton ou de soie la faim se noie
Le sensuel de sylphe se retient au risque de perdre la reine de son jeu d'étrennes
Le sylphe revient en force et retrouve sa voie
Entre deux éclats de troublantes voix
Pour reprendre en double cette sirène
Oubliée sur une scène obscurément lyrique
L'indescriptible jeu de bouches en touches
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Reprend sa force en double croches farouches
Le sylphe et la vache marine quelle idylle
Une liberté tonale inégalable ô sensuelle sibylle
Divine richesse rythmique en synergies orgasmiques
Le pouvoir de la musique ressurgit lumineux et le gueux des gueux entre sans frapper
en nos âmes étonnées de tant de douceur et d'effroi en sa diantre de portée aux nues de
nos accords multicolores so damn forts!
La Louve effrenée in groove en cette terminale de février 2011 bien sonné pour vous
étonner sans de trop détonner et vous affoler hééé! You, can you feel the Blues and the
délires colorés spontanés griffonnés dits surannés pour les non-prévenus au fil des
années bronzées plastifiées?
____
Yeah! Takin' a Ride without aggressive acerbes de sides
Les goûts des kool heures musicales ne sont pas à discuter mais à cultiver aux
intervalles.&quot; (La louve 2011 votre auteure diurne et nocturne.
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Tam-Tam Ravage Sauvage
Many thanks to Gotthard for this beautiful and authentic morceau musical-vocal titré
Eagle qui sait toucher this touchy and savage âme qu'est la mienne en musique via les
autres branches connexes des Arts...
Just for You where ever you are here or across the sea from la Louve effrenée de
musicalité colorée évanescée.
Tam-Tam Ravage Sauvage
Sauvage de Ravage en Tam-Tam
Tam-Tam ravage wild sauvage
Au plumage entre deux âges
Tam-Tam ravage sweetie sauvage
Au plumage en nage entre deux âges
Pas vraiment devenue trop sage
Savage and so damn New-Age
En son lumineux ramage à franges
Cuir dentelles velours in crazy franges
Plumes au vent d'elle en ritournelles hééé! bues-moi en métallisés de sons so good!
Take her away in your music wings
Don't ever let her be without
This sounds in so damn strings
Proud she is where ever she sings
With the grace of God over the rings
Of the human bêtise en perpétuelles hantises
Music her music her and never mind the show-bizzzz
Plumes au vent d'elle en organelles hééé! bues-moi en métallisés de sons so good in
rebonds!
Plumage ravage sauvage
Above these poor clam-age in cottage
Plumage ravage sauvage sans maraudages
She's above the wild and sweet clam-age
Des petites puissances en non-sevrage
Atrophiées par leurs peurs immenses de souffrir
S'ils abandonnent leurs booze en mal de rire
Pour un bonze salvateur pour la récupération
De leur présent instant en un meilleur devenir
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Plumes au vent d'Elle en organelles phéromones can you feel them? Hééé!
Blues-moi en métallisés de Sons fous!
So good in rebonds deep in the soul
Deeper than the deep blue sea so fool
Yes, oui, héééé! the rest of the earth without You
Is a calembour en rebours de l'amour
Flow your wings again on this neck of her
That you've kissed so damn well sans peurs
Plumes au vent d'elle en organelles phéromones can you feel them with this music in
beat so swell? Hééé!
Alors &quot;Fly Eagle Fly&quot; and set you free...
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Tam-Tam Ravage Sauvage
Suggestion de lecture avec la guitare et voix de Jimi Hendrix - Catfish Blues
°°°°
Tam-Tam Ravage Sauvage sans Esclavage
(Histoire érotique rêvée).
En plein midi, j'ai contre-balancé mes soucis; j'me suis assise près du piano blanc et la
musique m'a vachly sur-prise en haut de gamme car de toutes les notes de ma vie en
renotes je n'ai jamais rien ressenti d'aussi pur et simple, fichtre je suis derechef tombée
dans les limbes; histoire de bien saisir l'âme de ce dithyrambique de magic man qui près
de mon hublot sans numéro jouait sans le savoir ou je ne sais la composition note par
note de mon Daddy cool so cool parti pour l'autre monde vers une autre échauffourée
musicale furibonde sans fausses notes en partitions...
Et c'est alors que d'un bond de louve en pensées immondes, je suis arrivée sur la
passerelle pattes de velours cachées, prête à griffer comme un chat tigré ce malotrus
venu de toutes parts d'Arts pour briser ma solitaire d'inspiration du moment si
puissamment brisée en deux morceaux aux tempéraments assez beaux quoique un peu
slow pour un dimanche sans bandeau au bord de l'eau dans ma spacieuse de péniche
Suisse, yes, dans ce pays joli où je vis depuis plusieurs années; péniche bien ancrée
entre deux vaisseaux pas vraiment gros et un peu bateaux voire badauds.
Shucks! Quelle vision! Un adonis avec rien sur les cuisses! Et encore moins sur la
poitrine mais quelle échine il avait pour tenir à bras le corps une guitare de cet
envergure sans avatar et pseudo en signature; cet instrument fire-rouge me cloua sur
place et sans le griffer ou même y songer, je m'avançai en douce pour mieux zieuter ce
qu'il avait sur le gauche de pouce, le son au max poussé plus qu'hypothétiquement
hypnotique pour les oreilles de mon âme en mal d'éthique et de real music me cloua sur
place en redondance et sans que ce fut ma pensée, je me surpris à le cadencer sans le
regarder; les battements de mon cœur coordonnaient sans méfaits avec chaque Blues de
riffs bien posés de l'âme aux doigts, mon super Moi en demeurait pantois et c'est alors
qu'il se coucha pour laisser place à ce vrai moi sans tralala ou faire semblant. Quelle
chevauchée immaculée dans une conception outrecuidancée mais non outrepassée vu le
standing de sa vivace perspicacité!
C'était le &quot;heaven's sake&quot; que jélucubre souvent; histoire d'écrire dans un
style ampoulé-pédant sans péter les normes de la crazy d'forme au cas ou y' aurait
quelque part en lecture des tyranniques de critiques littéraires, vous les connaissez vous
ces sympathiques ratés, you know what I mean?
Alors after le choc amoureux musical, l'analyse entre en jeu et sans attendre la libidinale
de transe tout comme L'intro en terminale se fit choir en silence dense et ceci entre deux
spirales bleues délavées; c'est à dire de mes yeux en furie de cette lèse-composition
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violée ou volée telle était mon interrogation en dévergondées de pensées...
-- Salut Good mornin' &quot;Je suis suisse&quot; osa-t-il gémir sans rougir, mon
prénom est Braise et toi?
-- Moi, je suis québécoise et française; une longue histoire et mon prénom est Tison et
sans savoir pourquoi je poursuivis sans remord de mensonge en mensonge ironiquement
tiré au sort... Well, c'est vachly hot ta compo go ahead et oublie-moi j'aime et j'écoute...
-- Ce n'est pas ma compo... toute note rejouée, elle appartient à un génie dont je ne sais
le nom, je l'ai trouvée au bord du Lac Rond à Ste-Adèle P.Q. in Canada; j'étais en visite
chez des copains musiciens au Chanteclerc Hôtel, j'ai marché comme un dingue ce jour
là avec un vague à l'âme infâme, puis après un drink au T'J's Bar j'ai continué de
marcher jusquà la rue Grenoble et une force irrésistible me ramena sur le chemin du Lac
Rond... Et près d'un bouleau blanc, bien étendue sur l'herbe, une partition jaunie, j'ai
zieuté le tout, incrédule j'ai marché au trot jusqu’à l'Hôtel Chanteclerc et monté à ma
chambre pour retrouver ma guitare et j'ai joué ce morceau sans peine comme si je l'avais
toujours connu... jouissance totale!
- Bon, ça va pas, please pas d'romance, j'm'en balance comme de l'an 40 de ton histoire
abracadabrante, tu sais que c'est de l'usurpation de compo! ce morceau titré The Blues
Louve fut composé musicalement par mon père le grand René et moi j'ai accolé les
paroles...
- Ah!!!! Pssstt! la Tison tu as des preuves?
Incrédule comme une tarentule de salon, le bel adonis me regardait du haut de sa
grandeur allongée, parce tout de go comme ça il sétait vautré de tout son long sur la
passerelle, jambes écartelées comme un roi en voie de se faire sauter; il était encore plus
beau le sauvage de dieu!!! Il me faisait bander l'clito et ce sans même être gentil!!! ah!
l'salopard, j'en avais envie de ce Braise au plus profond de ma chair dont je ne donnais
pas chère si illico presto sans attendre je ne l'me la faisais pas mienne sa furie sûrement
crazy; mienne yes, oui, et ce pour un jour, pour un soir, une nuit seulement ou plus
maybe; pas le temps de badiner j'étais en presto d'urgence de me taper un mec comme
lui!!!!
- Héééé! Le hot Brasier j'vais t'en foutre des preuves, my name is Tison et puis j'te veux
sans contre façons, hééé! &quot;fais pas l'c*n et passe-moi tes vibrations&quot; et sans
te mentir beau satyre, I need some love express, ce serait prépondérant que j'me fasse
jouir, tu seras mon élixir; j'me sens dépérir, j'ai envie toi au superlatif de riffs.... Je veux
monter ta carcasse de star en mal de: faut que ça brasse et écrase-moi avec joie... Allez
babe couche-moi ça c'te guitare, je vais la remplacer pour douze minutes car j'suis née le
douze.... et puis la lune tout l'monde le sait était fire-rouge à l'effigie de ta guitare! Alors
y faut que ça bouge de là entre deux fa; j'ai le mi qui s’ennuie alors prête-moi ta clef
d'sol, j'la goberai en G....
--- Hey! sourit-il vachement sensuel sa gueule d'amour en me murmurant d'un trait
&quot; Well well mon numéro de loft à Zurich et dans le Valais c'est aussi le douze,
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étrange coïncidence non? Yes, come on over baby and cover me; I need it too what a
coïncidence!!!! et en G grrrr! j'ai hâte de ressentir ça c'te prise en G...
-- je vais t'en monter une de ces coïncidences, foi de Tison sans houblon tu vas rebondir
en mi ! dis, tu veux rebondir en mi?
Le sweetie Braise n'eut pas l'temps de répondre car je m'étais jetée dessus à corps joint
avec un plaisir malin je lui enlevais ce rose boxer en un clin d'oeil, je déconnais je
voulais tant le monter cet étalon de race que j'avais une envie folle de le baffer en
double avec ma bouche pour avoir eu l'indécence de tarder à venir juste ici près de ma
sweet cadence de péniche en constante danse... Yes, ouiiii mon string rouge so bing se
tassa derechef pour laisser sa furie entrer en catimini mais vachly in dans cet antre que
depuis une bonne semaine je me réservais bien en forme pour un adonis de sa forme et
entre deux mouvements de va-et-vient obscènes et lascifs, je me relevais totally hors de
sa délicieuse de sphère pénistale (euphémisme louvien lascif); j'en mourrais de le
reprendre mais je me sacrifiais douze longues secondes; histoire de bien le punir et de
l'entendre gémir et de me supplier de revenir le prendre à nous fendre l'âme!!!! alors ô
jouissance ce fut lorsque sa voix se fit haletante je me frottais sans attendre sur ce pénis
gonflé à bloc prêt au max à se faire prendre en flagrant délit d'érection!!! Ho!!!!ah! le
double cochon; il était plus près et prêt que jamais je n’aurais osé espérer!!!! je le sciais
cet étalon c'était certain et c'était aussi pour mon plus grand bien; il bougeait bien, pas
de trop juste comme il faut; aux rythmes des flots berceurs et sans clameur aucun c'était
encore plus dinguo, je le montais en grande cadence, me relevais en triple boucle,
m'allongeais sur sa furie en mal de again and again, me relevais, m'allongeais en
grandes pompes plurialisées; c'était l'paradis, l'enfer et l'purgatoire en survol, la
débandade pas question jamais nonnnn, jamais, j'voulais que ça dure jusqu'à la triture de
nos membranes via nos dentrites en acolytes de pompes yes, ouiiii ça violonait vite, moi
d’habitude so slow fox et non trot!!!! yes, ouiiii!!! et tous les saints du ciel nous
accompagnaient!!!! Ahhhh!
Le parfait salaud jouissait à en fendre l'air et ma vulve tellement heureuse so vachly
heureuse de s'envoyer en l'air à ciel ouvert au diable Vauvert car la péniche par
inadvertance s'était elle aussi mise en marche ou plutôt au trot!!!! c'en était trop!!!!
Comme une garce plus que satisfaite, je hurlai et fut entendue jusqu'à Montreux ; on me
l'a ensuite raconté lors d'un surboum de music party....
Yes!!! Quelle jouissance dans la nuit en similitude avec lui!!!!Oups!!!! nous étions en
plein soleil!!!! quelle merveille ces yeux de chats so catfishhhh!
-- Braiseeee! Tisonnnn! ô synergique et orgasmique musique de nos corps en accords so
damn right!!!!
Quel concert!!! Deux craqués d'ados attardés nous étions sautés en démence de
transe!!!! complètement ivres de jouissance sans bienséance!!!! Bonheur Orgasmique
synergie quand tu sais nous donner ce bien-être sans paraître mais en totale
communion!!!!
Yes, les jaloux nous étions dans l'ton so shut up and read again, vous avez manqué le
meilleur car je présume que vous étiez dans toutes vos ardeurs Wink.
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- Ouais tu avais raison sweetie Tison! toute une prise en G... G pour garce ;)
de la Louve effrenée de belle musicalité; votre aut'heure diurne & nocturne en toutes
saisons en pages étoilées collées serrées ***..
Bonjour amants fous de la musique; à écouter sans culpabilité en boucles plurialisées le
beautiful Catfish Blues avec Jimi le magnifique.
°°°°
&quot;Le cul des femmes est monotone comme l'esprit des hommes.&quot;
(Guy de Maupassant; extrait d'une Lettre à Flaubert - le 3 Août 1878
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2012-12-10
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Tambourin et Lutrin
Tambourin et Lutrin
Lutrin et tambourin
Une mer de vers
Un océan d'antan
Dans le temps d'hier
Avec tambourin
Et bambou de lutrin
Aujourd'hui entre deux pluies
De soleil levant via le couchant
Sans lutrin avec tambourin
Pour voir briller tes yeux d'enfant
Avec Dieu pour bouclier sans déni
Demain si près si loin
Sans raison de pleurer
Ni de craindre le final point
De la rivière imagination
Toujours en refus d'eau troublée
Et subito revient le lutrin
En arrière-son le tambourin
Résonne comme un damné
En symbiose cambrée rythmée
Des Blues aux violons timbrés
Et bien accouplés sur un timbre déchiré
En ce 21 ième jour du mois d'août 2014 de la Louve effrenée de belle musicalité
&quot; Prier Dieu de connaître sa volonté chaque jour et lui demander la force de
l'exécuter s'avèrent une pratique peu commune pour l'ego ce baladin peu commode
lorsque trop boursouflé; voilà une dure pratique suivant la théorie; dégonfler cet
orgueilleux ballon à sa juste mesure.&quot;
La Louve effrenée de belle musicalité le 23 mai 2011 - 00.16
****
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2014-12-29
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Temps Lent
Temps Lent
Le temps trop lent
Défile en longueur
Non d'une pipe machinalement
Je fume ma clope
Quelle ivresse ce cyclope
Ça triture mon gosier en sueur
La luciole se lève
Nonchalamment
Les deux pieds devant
Je deviens fainéant
Avant d'être grand
Donc je me gare devant
Je feins d'être ivre mort
Elle a du remord
Et me frôle à nouveau
Mais encore plus près
je me retiens et plus haut
Son bustier perd le nord
Putain je devine son trésor
Elle fait mine de tomber
Et je prends grand soin
De la recevoir sur mon épaule
Sa toison plus que rousse
Me donne une double frousse
Alors sans attendre je glousse
Quelle histoire je suis piégé
Comme un rat dans un coussin
De la louve pour toi où que tu sois entre deux bourgeois gentils homme ou femme l'âme
n'a pas de sexe.
&quot;Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé&quot;. (Alphonse de Lamartine).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-05-09
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Temps Mort
De la louve just for you Baron ou Duc where ever you are j'suis toujours en accord pour
te plaire avec la gamme sans game unfair.
Temps Mort
Turbulence entre les actes
Les visages à deux faces
Connectent et font un pacte
Aux triples entractes
J'ai en fixation une garce
Gai d'apparence j'me farce
Ou simule la gaieté en masse
J'suis un fier gaillard au Bang Bar
En plus cette luciole
Se bouge la fesse folle
V'la que son regard me frôle
Trop hé! j'me sens en tôle
La salope j'la désire
Et la voilà debout elle s'étire
Le temps est mort au Bang Bar
Entre deux bières
Le temps est mort
Enterrons son corps
Pour vivre en paix alors
Jirais jusqu'à Val-Disère
Le temps est mort au Bang Bar
Cette luciole se tord
La meilleure partie du corps
illico je joue au dard
J'me sens déjà dans son velours
J'me sens tout drôle
Est-ce ça l'amour
Alors ça vaut pas l'détour
Le temps est mort au Bang Bar
J'veux pas jouer de rôle
Car le théâtre m'enrôle
Je ne suis plus seul au bar
Sur le mini-tabouret laid
L'autre luciole se bouge le furet
Ébahi j'me sens gris à l'instar
Et v'la que s'allume mon phare
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J'ai l'choix j'me colle ou j'me barre
Le temps est mort au Bang Bar
Et la louve entre deux groove de métallisés de sons t'offre ses secrets d’alcôve d'ici et
d'outre-tombe sans que son torse se bombe et retombe et tout ça sans votre permission.
&quot;Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé&quot;. (Alphonse de Lamartine)
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Terre mal aimée
Terre mal aimée
Ô Toi notre terre mal aimée
Impuissante devant tous ces assauts
L'espérance non utopique de ta survivance
Sait nous hanter depuis des lunes en redondance
Vers un but ultime s'unifier pour mieux retrouver
La magie disparue des montagnes enchantées
Le bonheur sublime des grandioses forêts diversifiées
Les ritournelles de tes mers, lacs rivières et ruisseaux
Impatiente ô terre de repêcher tes droits ancestraux
Et sans délai amenuiser la résultante de tes maux
Aussi pas à pas de toutes parts la roue réinventée
Lorsque les essences de nos engins trop agités
Sauront sagement s'estomper de ces noroîts hémisphères
L'authentique renouveau de ta beauté ô terre
A jamais nos survivants sauront royalement te conserver
de la Louve effrenée le 27 avril 2004
Dix ans déjà et qu'en est-il de mieux maintenant ?
&quot;A mari usque ad mare.&quot; &quot;D'un océan à l'autre.&quot;
Devise nationale du Canada
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The Angelus
Musica de Youtube: Scorpions - Send Me An Angel
Bonus Before The Angelus
Et sans retenue je m'y suis slowly
But so surely laissée recapturer
Jusqu'aux moelleux pourtours
De nos vers érectionnés perlés
Parlés chantés dansés orgasmés
I feel so down low at midnight that I could scream at the moonlight
Sans de trop se larmoyer se louvoyer
En subtils arrows of desires versant
Sombrant délirant chantant entremêlant
Nos versus versa le verre libéré hééé!
I feel so gracious at the Angelus that I could scream Be-Bop-A Lula sans mousse
Can you hear this in ré
Nos plus éclatantes de vers virés
Libertés édulcorées-champagnizées
Such a tender and sweet ivresse
A ne plus craindre aucune bassesse
I feel so bitch that I could scream Be-Bop-A- Lula et je m'en fiche
I feel so bitch that I could scream Be-Bop-A- Lula et je m'en fiche
Lorsque la lune belle et grosse
Nous fera redemander de nous en hausse
Le paroxysme d'Ut entre deux subtiles tonalités
Sonority pure belle sans note fausse
Résonnera jusqu’à' à la quasimodo en ré hééé!
I feel so garce that I could scream Aloha Be-Bop-A Lula via la planète Mars
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°°°°
For your pleasure another treasure de La Louve in full carême to keep in shape way
down deep inside my soul the sacred music flame (19 avril 2011).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-05-09
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The Blues in my Soul
Le Blues In My Soul
Qui de mieux qu'Éric Clapton ce magnifique musicien-guitariste pour nous jouer et
vocaliser ce beautiful How Long.
I always feel the Blues as thunder near the river!
Je ressens le Blues comme le tonnerre après l'éclair près de la rivière bleue de mon
enfance; pour moi le Blues c'est plus qu'un genre musical; c'est un élan d'âme, un
immense feeling qui ne s'apprend pas, soit en jeu, en danse, en voix ou en écoute... ça se
vit intensément!
Oui, il existe des techniques et des moyens de capter le Blues, il y a des écoles de Blues
mais enfant de la balle je le suis et je n'ai point d'oreille lorsque le jeu de l'âme se pointe
en douce par la génétique.
À chaque fois je ressens le Blues des grands tels que Jimi Hendrix SRV, BB King, Eric
Clapton, les deux Hooker etc. Hendrix en Blues (Red House, Voodoo Chile, My Train
A Comin etc.
Oh! Yeah! Comme un immense courant chaud qui revient à chaque Blues...
La première fois lorsque je l'ai reçu en sons ce Blues mais pas juste avec les oreilles, ce
courant magique fantastique m'a foutu la trouille immensément et une envie folle de
chialer m'a parcouru et sait encore me parcourir du bout des cheveux jusqu'aux bout des
orteils.
Puis, ce bonheur trop grand je m'y suis habituée mais jamais rassasiée; Assise sur une
caisse à son, avec ma petite tambourine (tambourin) concoctée maison, je battais avec
amour la mesure à temps et contre temps en chantant et aussi en dansant aux sons des
guitares, le Ukelee et l'harmonica de mon Daddy et de mes oncles.
Et ces kermesses et tombolas où j'accompagnais toujours mon père et où jouaient une
pléiade d'amoureux fous du Blues; ils savaient m'apporter la plus grande récompense
jamais reçue: Le respect de la Musique et toutes ses suites car je suis vachement
d'accord avec Paul Claudel pour cette sublime citation:
« Tous les Arts sont les enfants de la Musique qui se perdent souvent en l'oubliant »
Chez nous tout était occasion pour taper le boeuf! Toutes les musiques en genres
disparates; Classic Classico, Blues, Jazz, chanson française, américaine, irlandaise,
allemande bavaroise, Rock de tous genres... Bref la Musique!
J'avais quatre ans et ce tempo je l'entendais déjà depuis ma naissance puisque lorsque je
suis née en ce douze juillet de grande canicule, la lune était fire-rouge et mon père jouait
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sur sa guitare ce Blues titré How Long Blues; chez mes parents la musique fut plus
importante que l'argent ou autres fantaisies...
La Louve in groovin' mode qui ne sait faire fi des modes pour atteindre son Musical
Exode one day at a time!
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2014-12-28
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Théâtre des Champs-Élysées
°°°°
Théâtre des Champs-Élysées
Champs-Élysées de Théâtre
de la Louve effrenée de belle musicalité...
Autre siècle des jeunes pages
Des vers sans aucune blanche page
La sophistiquée de maisonblanche
De Montaigne avenue franche
Et la Seine fière se déhanche
Paris lumières s’enclenche
Un regard del alma entre deux mots
De sobres sous-entendus
Un verre vert à moitié bu
Une lumière bleue sur son dos
Et la folle rivière imagination
Se recoule sur la Louve in G groove en sons
L'irréel trop réel de ces personæ
Rebondit de la sonata del luna
Jusqu'à leurs bohémiennes de psychés
Nos souffrances se sont croisées
Trop tard toutes les clefs Blues sont tournées
I'll never forget ces hivernales de nuitées
Pour mieux se toucher en un clic
Et renouer nos hypersoniques
De désirs jamais au grand jamais
Désirés ou même rêvés c'est vrai
Puisque vécus à nous stigmatiser entre deux tercets
Lovin you is a burnin' fire and I need this obvious and hot couplet
de la Louve effrenée de belle musicalité et Marquise des Loups à l'âme rebelle so
bellle...
Théâtre des Champs-Élysées fut élucubré for You le huit novembre 2011 à 5:12...
°°°°
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&quot;Ceux qui répriment leur désir, sont ceux dont le désir est faible assez pour être
réprimé.&quot;
[William Blake] Extrait de Le mariage du Ciel et de l'Enfer.
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2015-01-14
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Tison Ardent
From la Louve to You entre deux trains ou bateaux in groovin' mots
Tison Ardent
Comme tu respires
Tu mens et m'inspires
Tout l'temps tout l'temps
Alors j'entends et j'attends
Tes nouveaux crescendo
Mensonges sans espéranto
Tison ardent très ardent
Tu m'brûles tout l'temps
Alors je prends mon temps
Ö hisse le voile de ta toile!
Deux trois quatre c'est plate
Tu me flattes la rate et la datte
J'me débats comme un diablotin
Dans l'eau bénite et j'me gratte
Et puis tu m'injures avec cyanure
Et m'jures que tu m'trouves fin
Comme une toile de beau-lin
Ö hisse les paramètres de ton démesuré d'Orgueil qui brime l'oeil!
Et moi je n'ai pas foi en toi
Et tes confidences écarlates
Tison ardent tu m'prends
Et tu m'brûles tout l'temps
Et là en ce crucial moment
J'nai plus pour toi le temps
Allez va au Diable Vauvert
Voir si j't'écris des slow vers
En tisons ardents verts so verts
Ö hisse les voiles de tes masques en cascades déferlant sur ton véritable Toi
La Louve te frôle l'âme entre deux coups de rame sur ta rivière imagination juste pour
aujourd'hui en flammes.
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&quot;Rien ne justifie la tentative d'imiter; ça brime la musicalité dans toute l'essence
de sa tonalité émancipée; dans tous les domaines artistiques demeurer soi-même
provient d'un feu really and totally sacré.&quot; (La Louve effrenée de musicalité).
____
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Ton Archet joue faux
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
Ton Archet joue faux
Ton Archet joue faux
Comme un Rigoberto
Qui n'aime pas l'eau
Delà ou de très ailleurs
Please ne prends pas peur
Au son de ton joujou usé
Je vais changer d'archet
Et tu verras ta libido monter
Jusqu'au plafond
En attente de mon lascif de G
Au point culminant de s'exciter
Ton archet joue faux Elphège
Et moi j'me prends le dos
En instance de ta prise so low
Entre deux fa et v'la ré mi
Qui se pointe sur mon arpège
Le supernaturally d'salaud
M'a écartelée illico sur la chaise
Et le violon en a pris un fadiez
Et voilà que de volupté je gémis
A faire craquer la gamme so slow
En oubliant ton archet hey! oh! oui
IL rejoue sensually vachly formi
de la louve effrenée dite Marquise des Loups...
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
&quot;Je suis la pipe d'un auteur ;
On voit, à contempler ma mine,
D’Abyssinienne ou de Cafrine,
Que mon maître est un grand fumeur.&quot;
(Charles Baudelaire.)
&#9829;´&#9734;`&#9829; ´&#9734;`¤º°°¨¨°&#9728;
&quot;L'excessif s'avère à l'occasion un sublissime de stimulant pour les riffs.&quot;
(La Marquise des Loups).
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Nota Bene
La prochaine pleine lune a lieu :
Jeudi * 8 Mars 2012 * 10:39:30 heures
Heure normale d'Europe centrale (HNEC)
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Ton Image
Rachat
Imagine-toi en chat
Imagine-les en rats
De l'eau-de-là
Imagine-toi et blah blah blah sur un tempo de cha-cha-cha
Imagine-toi en chat
Imagine-les en rats
De l'eau-de-là
Imagine-toi et bla bla bla sur un tempo de cha-cha-cha
Imagine-toi en chat
Imagine-les en rats
De l'eau-de-là
Imagine-toi et blah blah blah sur un tempo de cha-cha-cha
De non-sens
En mauvais sang
Je les ressens
Sans bons sens
Imagine-toi en chat et cha-cha-cha sur un tempo de blah blah blah chaaaa
La Louve sur la rive 2011; l'année du Bronze et son Bonze
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-01-25
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Tonight Mind & Body
Tonight Mind & Body
Tonight I need
To feel your soul I need
Obviously you I need
Near mine soul magisterially
Closer so closer in this body
That you felt home
Don't we both regret
The last part that I went away
It was wrote in our books I bet
Don't you regret this imbroglio hééé!
En majeur de do you felt home
Tonight you I need
To feel strongly your soul
To feel you deeply I need
Near closer right mine soul
Deeply in this louve's body
That you felt home hééé!
It was more than tenderness
A blue tear on mine heart felt
Reminds me your heart beats so hard
Reminisce how sweetly strongly
You took me truly & felt home so deeply
Tonight I need
To feel your beautiful you I need
To have your sensual body
Near mine music soul eternally
Deeply inside mine music body
You and I felt too much home
For heaven's sake I pray the Lord hééé!
To recover my soul cause it's to heavy!
La Louve in groovin' mode for a brand new exode 2011
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2014-05-14
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Touch of Jazz in Florilège
Colifichets en vers sans verre de la Louve effrenée de belle musicalité in G Groove.
Touch of Jazz in Florilège
Florilège de Jazz in Touch
Le plus long de cortège
Fut celui du spicy slow solfège
De nos silly crazy désirs florilèges
Entre deux obscènes d'arpèges
Il voyagea et voyage encore le beau sot de piège
Nos florilèges s’énamourèrent ô piège
Voilà le salaud d'sortilège
Le moins ou plus sot d'sacrilège
Et le plus high so haut de siège
Et vive l'ampoulée d'blanche-neige
Et le piano noir pâle de Nadège
Au rond banc en velours beige
Et les murs capitonnés de liège
Nos florilèges s’énamourèrent ô le crazy piège
Paso doble ou la Rumba
Be-Bop Tango hormis l'Cha-cha-cha
Boléro Blues en quatrain jazza
En mal ou en bien tout se hérissa
Nous voilà en beau Lambada
Hennir soit en Jazz ou en Java
Sait atrophier la libido bah!
Tout casse tout s'encrasse idem les bas
Nos florilèges s’énamourèrent entre deux pièges
J'y pense sans fracas d'tracas
Entre deux rosy-cosy satinés d'draps
Nadège se pourlécha les babines
Avec le Son d'Elphège entre deux fines
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Sans eau ni punch so chaud oh! Lala Mama Mia
Et nos plus beaux de florilèges so beaux se désagrègent
Next Step for a brand new florilège et Vive le Pep ô Rony Rosa Rosy Roxy grrr! she's
so foxy this lady....
de la Louve le neuf octobre 2011
°°°°
&quot;Vous êtes comme les roses du Bengale, Marianne, sans épines et sans
parfum.&quot;
(Alfred de Musset).
~~~~
&quot;Pratiquer le non-mentir et dans le doute le non-abstenir de tir avec brulantes
flèches de désirs de vivre la paix du cœur musicalement et plus encore.&quot;
(MdLoups).
&quot;Soyons indulgents au sein de notre bienséance en latence; histoire de valoriser
notre non-connaissance dense.&quot; (MdLoups).
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Tour Eiffel sur Diadème
Tour Eiffel sur Diadème
Diadème sur la Tour Eiffel
&#10084;&#10085;&#10084;
Vue sur la Tour Eiffel
En cette matinée surréelle
Bel ange sans détour
Bien capté ton poème
Ton réveil spirituel se poursuit
Avec tes expériences sensorielles
Jour par jour en joyeux sursis
Avec la tour Eiffel comme diadème
Extrême sur mon cœur lourd
A pleuré un hénaurme je t'aime
Entre deux tours à toujours
Les roses de Ronsard
Sont fanées sous les dards
Du pluvieux de vent
En ce janvier malfaisant
Pour les pervers bienfaits
Des plus que parfaits
Les vinaigriers dénudés
De leurs moult beautés d'orangés
Mêlées de jaune moutardé
Ils ploient sous les histoires d'Ö
De la France sans chapeau
Ni aucun gants beaux
Jusqu'au bout des nattes
Se vautre ma puérile naïveté
Cet infantile angélisme accentué
A contrario du scepticisme prôné
Le Dieu Sauveur entend ton cri
Dans ces eaux noires troublées
Où nagent les requins sans bruit
Les sphères multi-célestes
Aux musiques jamais doublées
Jouent la renaissance de ta vie
Dans le creux de l'âme de mon ouïe
Tes souffrances immenses
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Seront allégées en cadences
Entendues et vues bel Amour
Par Dieu et c'est au grand jour
Qu'il te récompensera en secret
Là où le bien triomphe du mal fait
&#10084;&#10085;&#10084;
de la Louve effrenée de belle musicalité en ce mercredi 28 janvier 2015
&quot; Un piccolo sans picoler voilà le secret de la longue durée d'un concert bien
mesuré en battements timbrés gingembrés. &quot; MDLoups in Un Piccolo sans Picoler
P.S. Le Piccolo s'avère ne l'oublions pas l'instrument le plus aigu dit-on d'un orchestre
symphonique; un étonnant de timbre vachly pénétrant, c'est ce qui fait que l'on puisse
l'entendre bien par-dessus le tutti.
&#10084;&#10085;&#10084;
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Tout en Nage
Tout en Nage
Tout En Âge
Missin' the louve's poetry
That's what you sang eventually
Missin' the louve's poetry
That's what you sang eventually
Héééé!!! no doubt baby!
Et la bride s'est enfin débridée
Et la bride s'est enfin débridée
Sans jeu aucun ton âme à nue
Tu es venu entièrement nu
Rien dessous ou dessus
Tout en nage et en âge
Sans âge avec ta crazy lover's rage
De falsifiée de sagesse de faux sage
Le piano la guitare la contrebasse!!!! sans par-dessus! l'âme à nue!!
Tout en nage et en âge
Sans âge avec ta crazy lover's rage
De falsifiée de sagesse de faux sage
Avec tes partitions inachevées
Nous avons coïté dansé coïté dansé
Sur la feuille nos meilleurs adages
De voluptés innées sans jamais désarçonner
Nos idées entremêlées en spirales
Oubliant la psyché et le bien et le mal
Au paroxysme de l'analyse de l'animal
En nous jusqu'aux tréfonds de nos personæ
Et de nos so buena ou so good de karmas
Such a wild thrill to cover you sweetie
With mine body and voice so damned slowly
Never been so damn took prise comme une bitch
En reprise et prise du bec aux plumes sans kirsch so kitch
Le piano la guitare la contrebasse!!!! sans par-dessus! l'âme à nue! sweetie selfish!
de la Louve effrenée de belle musicalité bien-nommée Marquise des Loups à l'âme
rebelle so belle...
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&quot;Le pire aîné musical-érotique que j'eusse connu fut Lustucru lorsqu'il me proposa
un cunnilingus d'astreinte face à mes vers; pas pour un sous terre à terre susurra-t-il sans
l'ombre d'un verre.&quot;
(Kakemphaton de la Louve effrenée).
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Trop ou Assez
Musique: Whiter Shade of Pale - Annie Lennox
Trop ou Assez
Assez ou trop
J'sais pas
me rassasier
en ego sceau
j'ssuis sot
avec l'eau de là
ou l'au-delà
des trépas
j'entends le pas
premier ooooh! hé! Zoé!!!
t'es dans mes pensées
machées
sans papier
insipide l'ad...
l'adn en bedaine
fade
miroitant au poète
une partie désuette
en dénigrant
ses camaradoux
et retourne la roue
en écureuil de proue
en mixant le tout
de l'ad...
insipide Adélaide
oui l'adn en bedaine
et je vivrai ma quarantaine
sans ego voyage splen!
Ouiiii! Cuiiii! reviens zoé
j'vais apprendre à t'toucher
à' t' caresser
sans à MOi en Surmoi de dose
la chose penser
slash! la goulash!
me fait le smach!
et scratch le match
encore le splash!!!!
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J'me cache et me catch
de la Louve
°°°°
&quot;Les silences servent la Musique comme les mots l'Art.&quot; (Faidit).
~~~~
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Trop Tard
Musique: Gare Du Nord - Tom's Song
°°°°
Trop Tard
Me v'la trop tard
Zoé s'est barrée
Sans crier gare
Sur l'autre rive in Ohio
Ou bedon dans l'nord so far
Ou ben dans l'sud plus haut
J'suis lividement hagard
Avec mon saxo dans l'dos
J'me sens vide de sang
Ça pas d'bon sens
J'gare ma citroën
Près de l'arrière scène
Trop calme je suis sans faire de scène
Car j'me croyais son éternel mécène
Top là! J'craque
V'la une arnaque
J'en reviens pas d'ce départ
Trop longtemps parti
J'la ressentais à moi pour la vie
Elle a fait demi tour
Et s'est arrêtée au P'tit bar
Sans même apporter son fard
Et son blue köal ultra rare
Elle est sortie comme un furet
Sortant du bois un jour de pluie
On m'la dit au Faubourg
J'y suis entré comme un robot sans blouse
J'me suis assis nothin' to loose
Y avait un Band Blues j'ai gobé d'la booze
Impossible de noyer c'chagrin
J'l'ai simplement arroser d'un double
Ça m'a fait zieuter trouble
Le son heureusement était bon
La musique c'est un hyperlien
Vers la guérison
On y jouait du slow Blues
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C'était Câline de Blues
Du grand Gerry Boulet
Ça m'a foutu l'cafard d'un trait
Et en même temps
Ça m'a rebomber d'amour
Pour écrire un refrain court
Sur un vieux papier d'un jet
Trop tard hélas
Alors adios ma Zoé
Faut que j'me tasse
Avant que ça brasse
De trop dans mon ciboulot
Y faut que j'boive un pot
T'es plus là hé hé hé
C'est un cauchemar dis-moi
Que c'est pas vrai c'te départ
Moi j'revenais avec un anneau
Pour ton annulaire si beau
Car dans mon coeur
T'as une place de choix
Zoé allez fais pas la gueule
Reviens-moi reviens-moi
Désormais j't'emmènerai
Partout en tournée
Au diable el mondo
Ce qu'il peut penser
Après tout c'est toi ma muse-clé
Ma genius de petite fée
Mon copain et ma réalité
Ma lovely viens tu ne seras plus seule
de la Louve
°°°°
«Le corbeau critique la noirceur.»
[ William Shakespeare ]
~~~~
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Troublant Désir
Mouette à tête Noire (et oiseau inventif à queue épineuse) aquarelle sur papier d'Arches.
(La Louve effrenée 1997).
Just for You where ever you are between two crazy desires
Troublant Désir
Désir Troublant
Toi toujours You
Always You
Mon soyeux Voyou
Mon gardénal j'avoue
Obvious viscéral de loup
Au coeur de la nuit
Tu me suis et me fuis
Tu m’épouvantes
Entre deux béates d'attentes
Obvious viscéral de loup
Tu m'apostrophes
Entre deux mini-strophes
J'me vire me recroqueville
Entre deux filles
Obvious viscéral de loup
La nonne et la sale-up
Entre le duo de deux
Mon cerveau salaud varlope
Entre les vœux pieux des deux
Qui s’échappent et se chopent
Obvious viscéral de loup trop trop loup
°°°°
&quot;Le désir est souvent la passerelle de l'amour... L'essai est marqué, il faudrait
alors, comme disent les rugbymen, le transformer.&quot; (Pierre Dehaye).
&quot;Et cet Amour naissant du Désir; brigand satyre vachly teaser se doit d'être
peaufiné sinon il se voltigera et v'lan l'amour seul demeura las…&quot;
(La Louve effrenée Marquise des Loups).
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Un Grand Trou
Musique from youtube: Jimi Hendrix - Hear My Train A Comin'
°°°°
Un Grand Trou
Un grand vide
Un grand trou
Sans alcool je vis
Depuis dix jours longs
Sensation d'abandon
Un peu livide
L’impatience se lit
Sur mon front
Il me manque mon gourou
L'alcool ce rapace filou
À long terme je pense
Pas si facile à gérer
Une grande tristesse m'envahi
Signe d'une colère refoulée
Ceux que j'aime je veux blesser
Mon égocentrisme resurgit
De prier j'oublie
Que seul je vais désespérer
Et ce vide immense
Ce rand trou inouï
Je dois le combler de lui
Ce Dieu de puissance
Saura régénérer ma vie
À nouveau je l'implore
D'extirper le goût et l'obsession
De cet alcool bouffeur de raison
Et d'amour sain en oraison
de la Louve in grrovin' move
°°°°
«Pour un noble coeur, le plus riche don devient pauvre, quand celui qui donne n’aime
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plus.»
[ William Shakespeare ] - Hamlet.
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Un Hiver de Rêves
Tromal's Work of Art
Musique: Piano Sonate au Clair de Lune de Beethoven par Fratermalou (77) so doux...
Un Hiver de Rêves
Rêves Divers
Trop rêver apporte une douce trêve
Aux perfidies blêmes et aux glaives
Qui entrecoupaient nos jeux d'enfants
Au pays de nos vers aux verves d'antan
Et d'aujourd'hui vêtus de dentelles
Et velours d'émeraude vert d'ô âme belle
Strophes par strophes sans fausse honte
Jusqu’à la neige et ses fontes
Jour par jour ta prière montera aux cieux
Et sera exaucée entre deux mondes malheureux
Il suffit de peu de chose; la foi en ce Dieu invisible sans lueur morose
Oui! En toi mon amitié n'est point feinte rance
Sois confiant demain ne sera pas vaine peine
Oui! ô âme belle que la tienne sans déveine
Que la tienne s’ennoblisse sans piètre résistance
Sans dénis malsains qui depuis tant de lunes
Piégeaient tes bleus sonnets à double détour
Forniquant les strophes en mal être d'amour
En martelant tes atours couleur prune
Engloutis dans le sable blond en instance
De latence sur ton imaginaire de faïence
Il suffit de peu de chose; la foi en Dieu sans lueur morose
Un autre hiver de roses pauses en rêves
Et ton bonheur ne sera plus inutiles rêveries
Mais un quotidien rempli d'enamourêves
A toujours séjourneront dans ton cœur
Autrefois de pierres devenu pur en sursis
Quotidien avec le nom de Dieu sans rancœur
Sans les étouffements de crainte ou peur
Deux fils corrosifs brimant la divine valeur
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Des êtres et des choses terrestres d'ici
Il suffit de peu de chose; la foi en Dieu sans lueur morose enlaidissant toute chose...
de la Louve effrenée de belle musicalité dite Marquise des Loups à l'âme rebelle so
belle...
****
&quot;Relis tes ratures et poursuis tes rêveries immatures note par note sans dessus
dessous et frotte-toi sur la gamme ahurie en oubliant d'épater la galerie avide de piètres
minauderies.&quot; (La Louve effrenée de belle musicalité).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-12-19
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UN LOUP-MARIN SUBTIL - VOLET CINQ
UN LOUP-MARIN SUBTIL - VOLET CINQ
subtil de loup-marin
Terminale de la pièce théâtrale d'Umberto
- Suis-je amoureuse de cet homme dont toutes les femmes raffolent en secret et
par-devant?
Si tel est le cas, si le motif de votre masculine répartie est sexuel, il serait préférable
d’adagio m'aligner la croupe et d'attendre mon tour marginal; puisque votre harem sire
s'avère quelque peu grandiose voire magistral! Suis-je à vos yeux Diane la chasseresse
ou la courtisane civilisée de vos fantasmes latents inavoués? Le questionnement sur soi
peut devenir érection via jouissance parfois, songez-y sir! Et de ce délit, vous auriez
moins l’impression de duper votre dulcinée… Aurais-je droit à un numéro du chacun
son tour? Ou devrais-je vous rémunérer? Dommage ni l'un ni l'autre de ces items ne
savent et ne sauront m'attirer dans votre envoûtant capteur de dames blanches.
Trêve de manipulations lascives et quelque peu perverses (bien que clairement
sensuelles de votre part), je tiens à vous informer que vous êtes un des plus merveilleux
goujats qu’en permissionnaire je suis dotée de connaître. Votre jouissance doit s'avérer
phénoménale lors de tous ces branle-bas de combat que vous savez m'offrir en douce
depuis deux vingt-quatre heures d'affilées, fuselées par le truchement de vos missives
éhontées. Seriez-vous à votre insu quelque peu misogyne? À tant causer de l’amour,
clamant aimer la femme ou toutes les femmes, parfois il y anguille sous roche vaseuse
ou vice versa via un vice profond et lancinant.
Désolée d’avoir fait votre connaissance
de Michelle de Fender Surprenant
****
Alors, ébahie Jessie de lui remettre ses feuillets, encore sous l’emprise de cette riche
écriture et de ce style prodigieux, sans restriction aucune elle lui dit derechef :
- Mais voilà des écrits magnifiques! Oui ne tardez plus, il faut sortir de l’ombre,
avez-vous accès à Internet à votre domicile?
- Non, habituellement je vais à la Bibliothèque municipale…
- Alors sans tarder voici l’adresse de cette maison d’Éditions, je suis positive que votre
style hors plume saura leur plaire. Cette maison est différente en ce sens que tous les
manuscrits sont vraiment lus et appréciés à leurs justes valeurs. Et puis quel hasard
céleste! Présentement ils sont à la recherche d’auteurs lymphatiques littérairement; c’est
à dire pouvant écrire sans que l’on puisse différencier leur écriture du féminin masculin.
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Est-ce que vous saisissez ce que je vous raconte?
-Oui! Bien sûr! J’ai failli me suicider à cause de ma manière d’écrire un peu ambiguë
pour certaines gens; comme si j’étais une femme et en d’autres temps un homme. Et
puis heureusement j’ai tellement lu différents style de bouquins en littérature que j’ai
appris que l’écriture au féminin n’existe pas sauf pour les auteurs tarés ou incapables de
concevoir que l’être humain en général puisse s’avérer androgyne et que ceci ne signifie
pas malade; lorsque je débute mes écrits je ne songe pas avant de déclencher une
avalanche de mots en me disant : Bon est-ce que j’écris en homme ou en femme
aujourd’hui? Diantre non! Cela va de soi et je ne m’en formalise plus désormais! Mais
que je vous fasse lire quelques feuillets griffonnés par moi, sans déconner ou avoir peur,
je n’en reviens pas! Et moi qui vous ai tant causé de soucis et deux fois par surplus!...
C’est incroyable combien vous, enfin combien tu es altruiste, pardonner comme ça, sans
avoir aucune crainte ou de te méfier de moi! Tu sais deviner les gens comme ça sans
jamais te tromper?
- Non! C’est à dire que parfois il m’arrive de faire des erreurs, je suis un être humain,
mais ce que l’on nomme flair, intuition ou divination pour d’autres n’est peut-être en
somme qu’une simple ouverture d’esprit de ma part ou savoir être attentive à tout ce qui
vit, souffre, naît et meurt. Je ne me considère pas parfaite et ne le serai jamais, mais je
vise à ce que ma qualité de vie s’améliore en douce. Je pratique le vivre et laisser vivre
et essaie de ne pas faire vivre à mon entourage ce que je vis. Chacun son métier avec ses
goûts et actions. Non, lorsqu’une personne que je ressens droite et authentique sait
m’ouvrir son cœur sans arrière-pensée alors si je peux l’aider tant mieux. J’ai réalisé
combien ta souffrance était plus grande que cette méchanceté inexistante. Je te suggère
d’attendre mon compagnon et nos invités, je saurai expliciter à tout ce beau monde ta
vraie nature et ce dont tu es doté. N’est-ce pas?
Umberto devint cramoisi. Pas besoin de répondre puisque la troupe entrait en riant et
volubiles ils étaient tous. Ils enlevèrent leurs souliers sur le paillasson et entrèrent dans
le grand salon; Jessie et son invité, papiers en main furent surpris de tout ce tumulte.
Les nouveaux arrivants stoppèrent devant le couple debout face aux tableaux avec
chacun une liasse de feuillets blancs. Lynda la première prit la parole:
-Bonjour Jessie, ça va? Tu sembles contrarier ça va? Nous avons eu un appel de l’agent
Bernier, une histoire invraisemblable une ignoble farce!
-Oui! Mais ça va, tout est au poil! Ouais pour monsieur Bernier, tout est réglé! Il
s’agissait d’une erreur! Voilà je vous présente un collègue culturel et littéraire, Umberto
Paterson, nous avons vraiment fait connaissance et son parcours culturel me semble des
plus intéressants. Aucune consécration ou popularité n’a été faite à son égard mais il a
un talent naturel prodigieux, le feu sacré quoi!
Et les Lombardos d’être hébétés lors de la résonance du nom de cet invité un peu
spécial. Pour Éric ses pupilles se sont agrandies lors de la vue de l’individu dont le
gabarit et la figure ne lui étaient pas vraiment inconnus. Ses yeux parlaient pour lui et
demandaient des explications plus concrètes à Jessie qui répondit sans tarder à cette
requête notoire.
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- Éric ne soit pas contrarié outre mesure, Umberto n’est pas celui que l’on croyait. Il n’a
rien de malin en lui; l’histoire de la guitare est du passé et bien réglée désormais.
Passons à table, Henriette nous a concocté avant sa sortie pour le week-end un de ces
buffets froids inégalables, tout est au frigo! Nous ferons la chaîne pour tout installer sur
la table de la salle à dîner et je vous raconterai à tous laquelle de pointe d'erreur il y a
vraiment sur Monsieur Paterson.
Pour vous madame et monsieur Lombardos je vous en prie nous discuterons aussi du
sujet qui vous préoccupe tout en dînant. Allons la soirée s’annonce aux confidences
surprenantes!
Tous adoptèrent l’idée à l'unisson sauf que les Lombardos intimidés et un peu en état de
heurts se sentaient mal à l’aise face à cet homme dont le nom firent rebondir leurs
cœurs. Polis, ils offrirent leurs aides respectives à Jessie avec Éric Lynda et Stephen.
Tous avaient une hâte fébrile de connaître ce que Jessie nommait bizarrement pointe
d'erreur…
Le buffet froid en effet s’avérait des plus succulents. Hors d’œuvres hors pairs,
croissants aux amandes et saumon fumé, olives noires, fromage Suisse et sauce tartare,
jus d’abricot et carottes fait maison, tomates, laitue, concombres, radis, ananas, petits
muffins aux noix et raisins. Le thé blanc nature faisait honneur pour tous. Jessie et Éric
ajoutèrent un quartier de citron dans leurs tasses quasi au même moment. Ils se
regardèrent simultanément et un éclat de rire fit comprendre aux invités que la minute
qui venait serait pour tous et chacun une découverte. Surtout pour les Lombardos. Jessie
se leva et revint avec la guitare Nationale dans son caisson brun. Elle déposa ce dernier
sur un tabouret près de la table et l’ouvrit délicatement. Elle sortit la guitare et émue au
plus haut point elle se leva et fit le tour de la table avec ses yeux qui parlaient pour elle.
La tristesse qu’on savait y lire fit pâlir Éric et les invités.
- Tout d’abord je vous dois à tous et chacun des excuses. Éric, toi en premier lieu, tu ne
sais pas tout de moi! Je ne suis pas celle que tu crois. Ma vie est en somme un énorme
mensonge. Tout a commencé à ma naissance je crois, lorsqu’on m’a menti sur mon lieu
de naissance. Ce ne fut nullement dans les Laurentides mais en Bavière; je suis arrivée
ici à l’âge de deux mois puisque la fille que mit au monde ma mère, enfin la femme de
mon père mourut à la naissance; oui cette petite fille du prénom déjà choisi de Jessie ne
vit pas le jour; mon père lors d’un voyage quelques mois auparavant en Bavière devint
amoureux fou d’une jeune chanteuse bavaroise du prénom de Bianca et c’est alors que
je devins inconsciemment l’enfant de l’amour. Lorsque l’enfant mourut la femme de
mon père sombra dans une démence irréversible; pour elle sa fille vivait toujours. Mon
père, selon Henriette, car c’est bien évidemment d’elle que je sais tout ou que je croyais
tout savoir jusqu’à l’arrivée cet après-midi de Umberto!
Tous alors se retournèrent incrédules vers ce Umberto! Et Jessie vivement de reprendre
son histoire de peur d’en perdre le fil d'Ariane, elle continua de plus belle, avec dans la
voix des trémolos qu’Éric lui-même ne lui connaissaient pas. Tous étaient à nouveau
figés; les yeux rivés sur celle qui avec tant d’humilité déployait sans fausse honte ainsi
son jardin le plus secret, sa vie en somme.
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- Oui, ceci est difficile pour vous, et croyez-moi, encore plus pour moi mais se sera
bénéfique pour moi et certains de vous lorsque ces aveux si lourds en mon cœur seront
parachevés.
Donc, selon Henriette une lettre qu’elle détient dans une voûte avec son testament
contient la preuve que je suis Jessica la fille unique de Célina-Joyce de Bavière. Elle a
écrit cette lettre à mon père lui mandatant de venir chercher cette enfant; sinon elle
ferait dans l’entourage de mon père un puissant scandale.
Mon père aimait la paix et la justice et aussi sa femme qui berçait jour par jour une
poupée du prénom de Jessie-Fleurette. Et c’est ainsi qu’il partit un matin et revint cinq
jours après avec moi-même. À peine deux mois, mais j’eus un choc climatique, jamais
je crois je n’ai su m’habituer à la froidure du Nord de Montréal, ni aussi aux grandes
chaleurs de la Californie. Dans mes veines coulent un sang que je ne saurai pas renier.
La Bavière en somme j’y ai toujours rêvé; n’émigre pas qui veut en ces terres
paradisiaques et y faire un simple voyage m’aurait causé plus de chagrin qu’autrement.
Alors j’ai vécu d’oubli et de chimériques mensonges qui avec le temps ont su
m’octroyer la bipolarité en mon être, c’est à dire quelque peu schizophrène; deux
personnalités distinctes s’éveillèrent en moi, l’une venait de la Bavière et l’autre des
Pays-d’en-haut à Saint-Sauveur Chemin du Grand Ruisseau dans les belles Laurentides
québécoises.
Cette femme de Bavière que fut ma mère et mourut dans un incendie criminel au beau
milieu de toutes ses œuvres en peinture était peintre-artiste; un seul tableau fut retrouvé
intact, il se trouvait chez l’encadreur de la région pour être déposé ensuite dans une
galerie. Toujours selon les notions d’Henriette; elle les tenaient d’une amie de ma mère
qui lui écrivait régulièrement. Depuis environ trois ans plus rien, cette personne n’a
donné signe de vie. Je pense que depuis ce jour de séparation d’avec ma mère
biologique je suis atteinte jusqu'à la moelle, et la réparation n’étant plus possible
puisque cette Jessica qui était ma mère n’est plus de ce monde…
Et Umberto s'écria!
- Non, tu as raison Jessie mais une de ses œuvres existe encore, elle est à Montpellier en
France. Une œuvre qui pourrait s’amalgamer à la tienne, ce grand format sur bois juché
tout en haut de la cheminée. La première fois que je fus en contact avec ce sujet, je fus
saisis des émotions bizarres rebondissaient en mon âme. Et aujourd’hui encore lorsque
je vis cette œuvre je fus encore plus bouleversé… Maintenant j’en suis positif depuis
que tu as prononcé son nom dit Bailey; Jess B. Bailey au bas de la toile et c’était à
gauche. Ce fut le seul voyage en Europe que je fis avec mon père, il avait reçu deux
billets aller-retour d’un monsieur de Californie plus un gros montant d’argent. Aussi
loin que je me souvienne j’avais à peine dix ans, ce fut en échange du papier chiffonné
avec des écritures musicales, un long feuillet écrit recto verso. J’ai cru comprendre que
mon père vendait quelque chose dans le but de payer mes études et aussi de faire un
voyage important pour moi en Europe. Je comprenais mal ce que signifiait ceci puisque
jamais il n’a voulu que je fasse mes études en art. Et puis…
-Umberto je me dois de t’interrompre car voici que par un hasard plus que mystérieux la
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personne en question voici Monsieur Lombardo que je ne t’ai pas présenté
antérieurement, et voici son épouse Guerty. Est-ce que tous les deux vous reconnaissez
le regard du jeune garçon qui vous avait paru tellement frêle et inoffensif le fameux jour
de la pénible transaction?
-Oui! Pour ma part mais pas simplement parce que vous le mentionnez, lorsque je suis
entré dans le salon nos yeux se sont rencontrés en premier lieu et puis ce fut vers Guerty
que ses yeux se posèrent n’est-ce pas Umberto et Guerty?
- Oui c’est certain, après quasi un quart de siècle, les êtres changent mais le regard non
voilà un item indélébile la puissance du regard voilà tout un discours, honnêtement je ne
sais pas pourquoi je vous ai tant regardé tous les deux, nos rencontres c’est évident se
sont imprégnées dans nos subconscients et logent depuis ce temps aux confins de ce
grenier. Et voilà que tout resurgit comme ça à nos simples contacts et histoires; tout un
rodéo que la vie, n’est-ce pas Madame Guerty?
- Oui! Un rodéo qui parfois fait des bleus au cœur et au corps! Et votre père comment
va-t-il?
- Il est décédé d’alcoolisme chronique, avant ses 57 ans; sa fin fut atroce, il fut
hospitalisé, il a vécu le delirium tremens ou délires avec agitation de l’âme, ses mains
furent attachées au lit, il a vociféré et crié jusqu'à sa mort, des gens qualifiés en la
matière ont tenté mais en vain de l’aider, mais jamais il n’a pu admettre qu’il pouvait
être atteint de cette maladie. Pour lui l’alcoolisme ça signifiait les vagabonds qui
traînaient et couchaient dans les parcs et qui buvaient constamment. Oui sa fin fut
atroce mais je l’assistai et priai pour son âme jusqu’à la fin, je ne lui en veux pas, tout
compte fait il m’a forcé à me débrouiller plus jeune peut-être que certains autres
adolescents. Pour les arts il avait partiellement raison, à moins de posséder une épatante
fortune et de colossaux contacts le chemin culturel englobant l’écriture est quelque peu
tortueux sans parler des jaloux, des envieux et des snobs de ces métiers respectifs. Non,
tout compte bien fait, mieux eut valu que je ne fus pas impliqué dans ces milieux trop
jeune, c'eut été ma perte à tous points de vue. Mon expérience est de longue date mais
dans l’ombre. Me voilà prêt comme me l’a si bien fait comprendre Jessie pour me
confronter avec la réalité des maisons d’éditions et des galeries d’Art.
- Oui! Umberto! Et je peux vous certifier tout le monde que ce jeune homme est doté
d’un réel talent et de cela nous reparlerons éventuellement. Mais je dois terminer avec
mon histoire de guitare. Donc. Je serai brève, cette guitare n’est pas celle de mon père,
car une semaine après sa mort par pure contradiction et revanche de l’éloignement de
ma mère et moi, j’ai vendu cette guitare à un homme de Californie, il travaillait
temporairement au Cirque de la Lune, collectionneur et musicien il m’offrit trente-cinq
mille dollars, j’acceptai croyant vraisemblablement me libérer d’un poids sur le cœur et
d’oublier à jamais que mon père fut ce musicien hors pair.
Je me suis dupée moi-même énormément et regrettai par la suite mon geste impulsif et
infantile. On ne se défait pas des souvenirs puisqu’ils savent s’imprégner tout au fond
de nous-mêmes et parfois à jamais. Cette seconde guitare, je savais qu’elle n’était pas
celle de mon père puisque sa vente fut opérée par moi-même. Trois guitares de marque
Nationale furent crées en 1940, un luthier de Ville de Brossard sur la rive sud me l’a
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confié à l’époque. Celle de mon fut père achetée de main seconde sur la rue Beaubien
coin Liège à Montréal au Québec en 1942 et l’autre que voici que j’ai acquise dans un
encan à Buffalo dans la province d'Ontario en Canada, un an après la vente de l’autre, la
vraie ou celle de mon paternel. Je la parai de rubans, j’ai repeins les lettres. Enfin
beaucoup d’énergie superflues je dépensai pour rien en somme. Une erreur dont j’ai
encore un chagrin fou d’ailleurs car j’ai dû mentir à tous et chacun sur cette guitare qui
désormais est entre les mains d’un étranger qui peut-être ne l’a pas conservée ou donnée
toute l'attention que l’instrument méritait.
Depuis une dizaine de minutes Stepheno était sorti de la pièce sans bruit, le voilà qu’il
revenait avec un caisson noir, plus grand que celui d’un violon mais de même format. Il
en sortit une guitare, similaire à l’autre dont Jessy venait de faire l’historique.
- Voilà la troisième guitare de la même famille, le père de Lynda et moi, enfin notre
père était un adepte de ce genre de guitare… Il l’a acheté dans un encan silencieux, il y
avait ce prénom ou surnom à l’intérieur, regarde Jessie… Allez! Ne te sens plus
coupable!
- Goupil! C’était le surnom de mon père! Alors tout s’explique! Ces guitares ont su
nous réunir! Le destin parfois rapproche les êtres aux similaires ressemblances ou voies
connexes. En effet je ne vivrai plus de culpabilité face à cette guitare vendue par
vengeance.
- Alors tout est bien nous ferons l’échange si tu veux, ton humilité à tout nous raconter
ça voilà qui prouve ton regret. Tiens Jessie cette guitare est désormais tienne!
Et ce soir-là toute la Chaumière de l’Edelweiss brillait de toutes ses petites lumières. Et
Mine de rien la chatte se pourléchait les babines. Elle se félicite donc ce soir de deux
choses bien accomplies; primo d’avoir bien délecté son petit bol de lait, secundo d’avoir
fait la paix avec ce bizarre d’Umberto qui semble-t-il est dorénavant le copain de sa
maîtresse. La belle chatte tigrée releva la tête au son du téléphone et reluqua Jessie.
-Oui, agent Bérubé tout va sur des roulettes! Ah! Oui, vous avez épinglé le gringalet qui
s’amuse à faire du chantage par courriels! Une femme? Et grâce au cyber-détective
Stephen M. Leroux?
Et Jessie de se retourner vers Stepheno…
- Oui! Jessie mon véritable nom est Maufetta-Leroulx, je suis l’enfant adoptif des
Mayfair, en effet Lynda je ne suis pas ton frère. Je l’ai ressenti tellement puissamment
lors de nos retrouvailles et surtout lors de ce typhon et de notre escapade sous ce rocher
et nos larmes s’entremêlant à l’eau de mer. Par le truchement de mon métier et de ces
enquêtes cybernétiques j'ai développé des contacts mondiaux me permettant d’y aller à
fond concernant ma propre identité car constamment de doutes planaient en moi. Après
maints et maints recherches, j’ai découvert que Louis Mayfair a engendré une seule
enfant et c’est toi. J’en ai eu la certitude ce matin seulement, je vous réservais la
surprise à tous… Sans savoir que Jessie aussi avait des confidences ultra secrète à nous
divulguer. Donc pas de culpabilité pour nous ma sweetie Lynda.
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Certaines voies se croisent uniquement pour que le mot sort soit crédible mais pas
vraiment explicable. Parfois le déroulement d’une existence visionnée bien au ralenti
lorsque l’on fait marche-arrière sait nous démontrer qu’une à une toutes les pierres
d’achoppement se posent en douceur sur un parcours de vie. Nul besoin de contraindre
ce dénouement, tout arrive tel que prévu au moyen de cette nous sommes tous Like a
Star in Heaven (chanson de MDLoups) ; étoile fabuleuse qui se nomme la destinée de
Dieu.
The End
&quot; Tout ce qui vit possède une âme; voire le plus abrupte des rochers s'avère en
transmission perpétuelle de choses belles.&quot; ( La Louve 2011).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2016-03-31
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UN LOUP-MARIN SUBTIL - VOLET Deux
Eté Indien en octobre, Laurentides, Québec en Canada
UN LOUP-MARIN SUBTIL - VOLET 2 Subtil de Loup-Marin
DEUX AUTO-STOPPEURS PRIS EN CHARGE
Et de toutes parts j'eus vraiment la frousse; une auto jaune moutarde périmée stoppa
bien collée sur ma cuisse, il me semblait que j'étais jaune de partout, j'hallucinais sans le
savoir évidemment, quel bizarre de bonhomme il était ce gaillard au chapeau très haute
forme; un conducteur à la tête difforme ou filiforme nous toisa simultanément et nous
dit sans grand enthousiasme qu’il se rendait dans les Laurentides plus précisément à
Piedmont. Notre sourire sûrement niais le rendit heureux et c’est alors qu’il nous
concéda l’autorisation de devenir ses hôtes.
Je n’en avais pas vraiment envie vu la tête de ce conducteur, elle semblait tellement
énorme comparativement à ses épaules. Je n’eus pas la force ou l'audace d’en faire part
à Éric...
Combien de temps dura ce sommeil? tout le trajet pardi!!! Et la voix d’Éric me rassura
de plus belle quoique il causait lentement et d'une façon protocolaire très hautaine:
- Merci monsieur de toutes vos bontés, votre patience pour nous deux nous sommes
quasi rendus dans la Vallée de Saint-Sauveur!
À cette assonance de la Vallée de Saint-Sauveur ! Enfin j’ouvris les yeux ainsi que mon
esprit vachement contrit et je compris que nous étions sains et saufs. Quel bonheur !
Éric le gitan; artiste et très humain bel homme me donna joyeusement un fraternel
baiser que j’appréciai beaucoup. La raison à nouveau me revenant, je savourai à pleine
capacité ma lucidité. Un peu comme lorsqu’on revient d’une longue et soi-disant
incurable maladie. Tout se terminait drôlement bien et je décidai sans plus de songerie
aucune que désormais les voyages ne formeraient pour aucune considération ma
délinquante jeunesse. Je n’irai plus en Californie, ni ailleurs; pourquoi chercher plus
loin, ce qui est si près de soi ? Enfin, pour du travail du moins.
Beau Québec ! Ô! Ma patrie, je te fais une promesse, je saurai te visiter et de fond en
comble. Il y a tant à découvrir ici, les contrats type-clients, on me les proposera ici ou
pas du tout. Ou bien j’opterai pour un autre métier. Pourquoi pas, une idée géniale me
traversa inopinément la matière grise. Je voulais en faire-part à Éric et c’est alors qu’en
me retournant vers lui, je n'apercevais personne; le beau gitan s’était volatilisé d’une
manière tellement véridique que je causais vraiment seule en marchant bien lentement à
pieds secs sur cette route montante et communément appelée la Côte de Piedmont…
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Ladite route me semblait longue jusqu’au viaduc au-dessus l’autoroute quinze. Ce n’est
qu’à l’entrée de la Vallée de Saint-Sauveur que je compris formellement que si le tout
s’avérait un vilain songe, il me fallait me rendre le plutôt possible à ma petite fermette
sur le Chemin du Grand Ruisseau. La bonne Henriette; femme formidable m’avait
quasiment vu naître et elle sera bien heureuse avec mon chat tigré surnommé Mine de
rien, de me revoir surgir comme ça sans crier gare.
Face à l’église de Saint-Sauveur prise en photos régulièrement par les touristes, une
voiture taxi roulait en douce. J'optai pour deux signes latéraux à la dame qui le
conduisait.
Deux kilomètres encore de chez moi, ça alors je suis crevée un vrai roman!
- Oui ! Bonjour Madame! s'il vous plaît je vais au 1212, Chemin du Grand Ruisseau, au
Lac Bianca, la Chaumière de l’Edelweiss…
- Yes Mamzelle de suite!!!
UNE ARRIVÉE IMPROMPTUE
Les longues épinettes qui longent la grande allée menant au Lac Bianca près de La
Chaumière de l’Edelweiss sont parsemées entre deux de magnifiques mélèzes; ce qui a
pour but d’octroyer un regard plutôt fantasmagorique lors de la saison automnale à ce
coin de paradis dont je suis la digne propriétaire depuis le décès de mon père. Ma joie
mêlée d’une indescriptible hâte me fit accélérer le pas. J’eus soudain au fond de moi
une très grande précipitation, celle de coucher sur papier ou sur les noires touches de
mon clavier d’ordinateur, toute cette saltimbanque épisode de l’opération Jade 12. Je ne
fus nullement surprise de fredonner cette magnifique chanson de l’auteur compositeur
Jean-Pierre Ferland (Le petit Roi, paroles et musique de Jean-Pierre Ferland); un des
plus grands de tous nos Don Juan de compositeurs chanteurs de refrains québécois :
- « Dis boule de gomme serais-tu devenu un homme ?.»
Homme ou femme. Désormais je ne saurai plus voir la nature humaine comme à
l’habitude. Ces étonnantes péripéties au pays de la chaleur annuelle ont vraiment changé
ma conception de l’individu quel qu'il soit.
Le sentier serpentin me semblait plus étroit, moins charnu, j’avançais avec la hâte
fébrile d’un enfant revenant chez lui après une journée d’école épuisante, mais tellement
remplie d’émotions multiples entremêlées. Je m’emmêle tellement souvent encore
lorsque je me revois enfant puérile et trop naïve et souvent me repliant de trop sur
moi-même. Ma tendre enfance fut une partie de cache-cache face à mes parents dont la
seule appellation Arts de toutes catégories savait les faire frémir de peur. « Un monde
de fous » me disaient-ils; &quot;tu gagneras ta vie avec un vrai métier ou une
profession mais les Arts c'est une chance sur mille.&quot;... Ils n'avaient pas tort...
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Voilà le pourquoi de l'apprentissage et réussites de plusieurs métiers et professions à
mon parcours de vie...
Cette chaumière de quatre chambres en mansarde a su me voir grandir corps et âme.
Deux cheminées savaient orner la Chaumière de l'Edelweiss: Un âtre immense et
imposant façonné de pierres des champs aux couleurs disparates; cheminée bien
implantée en plein centre de la salle de séjour et une autre tout érigée de briques
antiques au sein de l’immense bibliothèque habillée d'épaisses tentures de brocard vert
émeraude aux attaches jaune or côté sud, un boudoir peaufiné en atelier. Et beaucoup de
fenêtres tout autour. Et des tableaux partout puisque la chaumière entière s’avère un
atelier.
Je me revois enfant fière de mes trois ans, nattes dans le dos, petite robe de dentelles ou
à carreaux. Je savais être heureuse sans artifice aucun et lorsque parfois certains adultes,
des visiteurs amis des parents consommaient des trucs alcoolisés ça me donnait la
frousse au cœur ou ajoutait un soupçon de crainte dans ma vie tellement neuve. Leurs
comportements se transformaient sous l’effet de l’alcool et mon âme hypersensible
savait en souffrir déjà. Je me sentais tellement impuissante face aux adultes ; leurs
façons de causer, de rire très fort, et l’alcool... Quelle odeur désagréable se dégageait de
leur haleine lorsqu’ils avaient bu. Ma mère mourut des suites tragiques de l’alcoolisme
avant ma douzième année.
Maladie honteuse pour plusieurs et mortelle à l'insu de plusieurs lorsque les effets ne
sont pas stoppés, et de ce décès personne n’en recausa.
Quelques années plus tard, je décidai de faire des études afin de saisir le sens profond de
cette maladie qu'est l'alcoolisme; dans le but bien précis d’aider ceux qui en souffrent et
leur donner l’espoir de vivre heureux sans alcool.
Près de la tonnelle garnie d'églantines aux couleurs plus que magnifiques et odorantes,
vivait un énorme cerisier d’automne, particulièrement vert de ses feuilles en été. Je me
connaissais intrinsèquement romantique quoique seul un humain plus que perspicace
sache le deviner, attendu que je savais paraître lointainement froide voire snob. Depuis
les cinq dernières années, ma vie culturelle s’amenuisait en douce, laissant plus de place
à cette profession découverte entre parenthèses surprenantes, Lors d’un vernissage assez
distinctif dans les Laurentides. Soirée mémorablement épuisante lorsqu’un copain de
longue date me demandant de lui fournir par le truchement d’un amoncellent de notes
manuscrites plusieurs renseignements plus ou moins anodins à mes yeux. Face à un mec
bizarre d’apparence et probablement non conforme aux yeux de ses voisins de pallier.
Ce monsieur artiste ne se mêlait jamais aux commérages du bon voisinage. Il résidait
dans un loft moderne froid et blanc, aux confins des glorieux condominiums près du
très achalandé Mont Saint-Sauveur.
Je débutai donc comme flic après le cumul d’un mignon diplôme en criminologie dans
ce métier quelque peu aux antipodes des Arts pour moi, mais délicieusement alléchants
comme feelings et rétribution.
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Fausse route ou non, je me laissai convaincre sans trop de heurts d’accepter cette offre
de 180 trucs trois zéros et de voyager en douce vers cette Californie dont les
innombrables visions culturelles pourraient sans doute m’être profitables. Vu ma facilité
d’emmagasiner les images et de les faire jaillir sur toiles ou autres surfaces lorsque je
m’y attendais le moins. Je fus, dis-je, introduite dans ce milieu sans expérience véritable
mais avec les contacts et le culot au toupet, je devins promptement cette brillante
journaliste-flique et ceci dit sans trop d’efforts surhumains.
Perdue dans cette rêverie de jour, j’avançai ainsi, heureuse et lunatique au possible je
délectai ainsi ces moments tant espérés, revenir au bercail de La Chaumière.
Au détour sans m'en douter m'attendait...
Une paire de bras herculéens m’y attendait au bout de l’allée et sans mon assentiment.
Mon étonnement mêlé de crainte se changea en folie furieuse lorsque je reconnu ce mec
aux allures de vedette. Celui qui dans sa trop grande gentillesse eut daigné sauver ma
vie!
Je suis allergique depuis mon état embryonnaire aux rejets de toutes formes. Et cet
homme s’était joué de moi en m’abandonnant au pied de cette pente quelque peu
abrupte; et voilà que ce mec se vautrait chez moi et ignorante en matière de cause à
effet, je me dis qu’à la suite de toutes ces péripéties vécues, il me restait le choix de
croire que ma bonne étoile saurait m’éclairer à nouveau.
- Belle journée pour la grande arrivée n’est-ce pas mia Fleurette ?
- Que faites-vous chez moi l’artiste ?
- Je vous y attends depuis une demi-heure. Je suis revenu avec un bon samaritain qui
passait lorsque vous étiez aux toilettes de ce petit dépanneur. Je vous savais loin de tout
danger de récidive de toutes ces émotions malsaines. Alors grande fille comme vous
êtes, vous voilà saine et sauve. Nous avons une ressemblance commune Jessie, nous
sommes imprévisibles n’est-ce pas ? Le but ultime de ma visite; causer de toute cette
histoire racontée dans votre journal de bord que j’ai trouvé par terre en descendant de
l’auto à Piedmont, vachement intéressant ce journal d’ailleurs ! Quoiqu’un peu
équivoque cette histoire à dormir debout, un collier en quatre exemplaires similaires
mais un seul véridique avec étoile et bla bla bla... Décidément la littérature et moi ne
formons nullement un couple, donc presto petite madame et racontez-moi l’histoire
détaillée. L’intonation de votre voix saura soit me convaincre ou me laisser froid.
Invitez-moi à entrer dans votre Chaumière et ne prenez surtout pas vos grands airs
culturels, ça me nargue et survolte mes fibres de culturiste né.
En d’autres temps, en d’autres lieux, j’eus soudainement souvenance encore d’avoir
vécu ce moment loquace. Je reprenais du poil de la tête. Le long, très long discours de
cet hercule colossalement bien bâti et lisant trop facilement dans mes pensées, me
courrouçait énormément. Le petit et grandiloquent monsieur me réitéra très gentiment
l’invitation au sein de mon humble chaumière.
- Quelle bonne idée de m’inviter ainsi dans votre chaumière culturelle, j’ai une envie
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folle de contempler vos œuvres picturales. Les éloges des uns et des autres ne me
suffisent pas, je veux voir l’ensemble de votre œuvre, quel bonheur ! Un vernissage
unilatéral, personne pour obstruer ma vue de connaisseur. Car voyez-vous chère Miss
O’Briend, alors le hasard sait provoquer les artistes tels que vous ; Je suis détenteur
d’un endroit superbe du nom de la Galerie Les Invivables à Ville de Brossard sur la
Rive Sud de Montréal. Vous au Nord et moi au Sud et vlan ! Nous, deux associés,
quelle romanesque histoire n’est-ce pas ?
- Bravo ! Sens des affaires, de l’humour, de la culture et quoi encore ?
- De l’amour Miss Fleurette, je désire vous épouser et en blanc pur surtout !
- Quelle parodie ironique que ce scénario ! « Passage de faux artistes »! Vous
connaissez ce film aux personnages mal fagotés et aux humours hermétiques ?
- Aucune réponse ne vint… Sauf son corps à côté du mien…
Inévitablement cet adonis m'embobinait de très près, trop près, son haleine de lavande
me subjuguait et m’envoûtait au troisième degré binaire. De telle sorte que je ne savais
pas lui résister plus que ces longues douze secondes d’un supplice incommensurable,
plat et lourd. Dans ses bruns bras de fer blanc, voilà que je ressentais un torrent
immense m’envahir. Majestueusement ébahie par ses indélébiles taches de rousseur, je
sus les voir toutes et tellement de près… Aussi près que la pupille du grand jeune
homme me semble un immense château, pas de cartes, mais d’amour. Ouf ! Je glissais
lentement, comme dans un gouffre quasi délicieux aux odeurs plus que changeantes et
aux sons plus que célestes. Et la conscience ne sut revenir à sa rationalité vraie, puisque
l’inconscience à nouveau me sauta dessus. Je m’énervais, je pleurais, je hurlais et je
m’éveillai dans mon lit à baldaquin. Au centre de ma petite mansarde jonchée de
tapisserie moyenâgeuse. Des dentelles ocres pâles et vaporeusement déposée aux six
petites fenêtres de la pièce la plus mignonne de ce petit patrimoine que mes parents ont
joyeusement baptisé la Chaumière de l’Edelweiss lors de mon arrivée dans ce monde
laurentien.
Et ma chatte Mine de rien me regardait d’un air gentiment bête, mais heureuse tout de
même de me revoir!
- Oh ! La ! La ! Je reviens de loin, et cette fois-ci... Était-ce un rêve ? Ce mec aux
cheveux cuivrés ? Cette haleine de lavande, ces dents similaires à des perles ?
Et sans plus de causerie aucune avec moi-même, je m’endormis à nouveau sans oublier
de susurrer son prénom juste avant de sombrer dans l’abîme d’un sommeil réparateur
profond.
Quelques heures plus tard…
Un son doté d’un étonnant vibrato d’une autre époque carillonnait et me rappellait en
douce cadence que j'étais à l’intérieur de la Chaumière et bien au chaud au creux de
mon lit. J’aperçus du haut de ma mansarde une auto bleue et blanche stationnée devant
l’immense balançoire près des gros érables quasi centenaires. Le carillon retentit à
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nouveau et je décidai de mettre mon long pull over de fine laine bleue tout en
descendant l’escalier en colimaçon, œuvre artistique d’ébénisterie. Me voilà près de la
porte de l’entrée principale, ma chatte au creux de mon épaule gauche ouvrant de ma
main droite mais pas idiote tout le monde le sait, la porte de bois de chêne d’une beauté
antique originale.
- Bonjour monsieur l’agent ! comment allez-vous ce matin ?
- Vraiment bien Miss O’Briend ! Vous voilà de retour de ce fameux contrat en
Californie et puis comment aimez-vous le métier de flic?
- À vrai dire, pas de trop; des emmerdes, des tensions et en plus des trucs bizarres se
produisent depuis mon retour. Comme par exemple hier, quelqu’un, enfin un homme,
un artiste du nom d’Éric le gitan ou son homologue s’est installé impunément sur ma
terrasse. Il a patiemment su attendre mon retour. Je n’ai guère apprécié cette visite
impromptue.
- Oui, en effet ce type est d’un sans gêne sans borne.
Et le Éric de se pointer...
- Ah ! Vraiment et pourquoi serais-je aussi sans gêne ? J’ai fait une honnête proposition
à Miss O'Briend, où est le mal ? Bizarre, ses sentiments à mon égard hier soir étaient
bien différents! N’est-ce pas J. - Fleurette ?
Le beau prince musclé à la tignasse cuivrée se pavoisait près de la balançoire de mes
jeunes années, comme ayant de toute sa vie connu cet endroit. Ses remarques devant
l’agent Poirier me firent rougir jusqu'à la racine de mes cheveux caramel. Sidérée, sans
réponse véritable, je me surpris à dire sans honte ses ignobles mensonges :
- En effet agent Poirier, je vous racontais des boniments, une blague quoi ! Je connais
depuis plusieurs années cet homme et sous peu nous serons associés culturellement. Je
vous présente Éric Le Gitan, auteur-compositeur. Le Blues québécois il sait interpréter
de façon magistrale, un véritable J.J. Cale, mais de chez nous ! Assez spectaculaire ce
récent disque laser titré « Le Saint-Sauveur Blues! »
- Enchanté ! Ah ! Jessie-Fleurette s’avère une de vos bonnes copines et vous saviez son
retour prochain, donc vous l’attendiez avec impatience ?
- Pour sûr ! Et plus encore, nous avons voyagé ensemble lors du retour des U.S.A.. Elle
et moi c’est la synergie parfaite, nos deux cultures se lient admirablement bien !
Davantage que la synergie, j’ajouterais la symbiose ! Voilà un rapport intellectuel etc.
- Oh ! Ça va Éric, tu craques ! N’en mets pas de trop !
- Bon ! Miss Jessie, midi trente ! Mon heure de lunch est terminée. Salut à vous deux et
bon après-midi.
- Salut agent Poirier ! Je vais passer au bureau plus tard. J’ai à causer avec votre patron,
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le chef Langevin. Alors à demain jeudi, merci et au revoir !
UN HOMME ÉTONNANT
- Eric ! Tu es gonflé à bloc ! Tu espères quoi au juste ?
- T’épouser parbleu ! Petite fleur si blanche et pure ! Hier pour toi c’est déjà aux
oubliettes ?
- J’aimerais bien ne plus me souvenir ! Pourquoi moi ?
- Et pourquoi pas toi ? Peintre, flique, auteure, musicalement effrénée, tout me plaît en
toi ! Tu sais m’impressionner, me désarçonner, me déstabiliser et me stabiliser ! Je
t’aime quoi ! Sorcier, ça n’a rien de sorcier. Pourquoi tu ne veux pas faire un bout de vie
avec moi ? Je ne sais pas te plaire ?
- Là n’est pas la question, un second mariage pour moi, s’avère irréel, inimaginable !
C’est de la folie, un jeu pour adolescents. Je n’en ai nulle envie, absolument pas du tout
! Le charme s’il existe, sera rompu, si contrat de ce genre il y a. Demeurons copains
c’est tellement plus sensuel. On peut tout raconter à un copain, à un amant ou un mari
non ! Les fantasmes les plus osés, les désirs les plus profondément érotiques. Avec le
contrat à vie tous ces secrets seront brimés, atrophiés, impossible de les raconter car lors
des prises de becs l’autre se sert de cette confidence comme d’une massue pour te foutre
en boîte. C’est le chaos... Demeurons copains et oublions la romance d’hier, tu veux ?
- Pas du tout ! Allez Hop ! Dans mes bras tu as su me plaire dès notre première
rencontre !
Il était trop tard pour me désister, m’enfuir ou lui octroyer une baffe à ce triple mufle
d'adonis. Voilà que je me laisse soulever en douce et décide de capituler dans toute la
signification du mot. Parce que tous mes moyens sont désormais sans défense, je me
sens tellement désarmée face à cet homme. Que je me dis qu’après tout, pourquoi pas
un mariage en blanc ! Allons-y gaiement comme disait mon père ! Cet homme après
tout a joyeusement sauvé ma vie, je lui dois donc une partie de cette vie. « Qui ne risque
rien n’a rien » … Vivre à deux, c’est comme un jeu de hasard, se connaître plus ne
change rien. Nous essayerons de ne pas laisser l’habitude du quotidien venir s’installer
et tout bousiller des moments magiques.
L’ETE INDIEN
22 octobre 2000
L'été indien en octobre au Québec dans les Laurentides.
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La chapelle Sainte-Thérèse bâtie en bois rond, fut bâtie en 1945 au beau milieu du Lac
des Becsies Like a Star @ heaven de la Vallée de Saint-Sauveur. La légende chrétienne
dit que Sainte-Thérèse de l’Enfant-Jésus symbolise la patronne des lieux. Une centaine
de places accueillent les gens nommés fidèles, les dimanches ou autres jours de fêtes.
Mais la petite église n’était pas remplie en ce samedi du 22 octobre de l’an 2000. Un
mariage en toute intimité se vivait : Le révérend, les deux témoins et les épousés.
Like a Star @ heaven Lac des Becscies
Dans ce décor champêtre, le spectacle automnal s’avérait des plus merveilleux en
couleur et en douceur. Quasi-irréel, puisque ladite chapelle savait trôner fugace au
centre de ce lac laurentien comme dans un songe ou un conte de la fée Carabosse. Tous
aussi spectaculaires, les mélèzes, vu de loin en cette fin d’octobre que l’on nomme Été
indien au Québec. Ces arbres hors du commun ajoutaient un côté fantasmagorique au
paysage, en l’honneur de leur magnifique couleur orangé un peu violent et métallique,
donnant un contraste éloquent aux épinettes et sapins d’un vert frôlant le noir mystère
… Un peu comme les yeux d’Éric…
Éric Langevin dit le gitan de son nom de scène. Boucles blondes cuivrées dorées,
mi-longues. Complet blanc laiteux de cachemire doux, similaire au blanc de la longue
robe de J. Fleurette. Cette dernière portait une jupe vaporeuse et circulairement ondulée,
des sandales tout aussi blanches se pointaient hors de la robe dont la mousseline de
plumes aux poignets et au col. Il n’y avait à découvert que la figure rayonnante et les
longs cheveux de l’épousée. Le capuchon aussi agrémenté de légères plumes blanches
et mousseline recouvrait entièrement cette tête heureuse.
Toute cérémonie connaît sa terminaison, l’Angélus sonne en écho ses douze coups de
midi. Les deux embarcations ramenant les épousés, les témoins et le révérend
revenaient lentement entourés de spectateurs éminents ; La faune vermeille, les oiseaux,
les écureuils, tous semblent en accord avec le déroulement de ladite cérémonie. La
berge ensablée et déserte reçut en première classe la Jessie-Fleurette suivant le bel
adonis aux longs cheveux bouclés. Le couple d’amoureux aurait semé l’envie si
l’atmosphère eut différé de lieu et de spectateurs. Certaines gens disent: « Vivons
cachés vivons heureux. » Vieil adage parfois vraiment réaliste pour certains.
Logiquement, vu la non-résidence laurentienne de cet auteur-compositeur. Ce dernier
opta de vendre ses propriétés sur la Rive-Sud de Montréal et Laval et décida de
s’installer dans les Pays-d’en-Haut dans les Laurentides. Il décida ainsi de venir habiter
au sein de la Chaumière de l’Edelweiss. Son désir le plus profond étant de vivre avec
celle dont le charisme inconscient avait su l’envelopper dès les premiers moments de
son acceptation à le faire monter dans cette rutilante Trans-Am, lors de son incroyable
mésaventure en Californie.
L’étrangeté de cette rencontre, l’absence de désir de plaire de Jessie-Fleurette mêlé à
l’implacable destinée, eurent tôt fait de le rassurer face à l’honnêteté de la jeune femme
dont la trentaine saurait se terminer à l’été... Resplendissaient sa force morale et sa
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beauté extérieure; reflétant ainsi l’âme de cette dernière. Éric avait 31 ans et sa maturité
étonnait chaque jour davantage Jessie. Pour elle, la plus grande qualité de cet homme
s’avérait son sens de l’humour.
Irrémédiablement le destin ce quidam à l’œuvre constamment sait comment surprendre
ses sujets. Ainsi chaque vie possède sa petite route tracée dès la naissance d’un
individu. Déjoué ce destin ou tout est permis, parce que prédit s’avère partie remise ;
Vu que tout est déjà décidé avant que l’embryon soit existant..
EN CE FAMEUX SAMEDI DU 3 NOVEMBRE 2001
Le courrier non dépouillé, fut déposé à la hâte par Jessie-Fleurette sur le piano blanc.
Désireuse de répondre au téléphone en entrant dans la pièce aux fauteuils de velours vin
et bouclé or. Une multitude d’instruments musicaux juchés ici et là, des tas de partitions
de musique sur le guéridon et la longue table dont l’utilité se nommait : Compositions
musicales. Au bout de la vaste pièce, un chevalet gigantesque pouvant contenir trois
toiles vierges aux formats plus larges que haut. Des tubes de peinture à l’acrylique, à
l’huile, à l’aquarelle, des papiers d’Arches et japonais s’entassaient sur une table très en
longueur. Le couple savait œuvrer ensemble sans trop de heurts via leurs travaux
artistiques qui savaient s’amalgamer d’une merveilleuse complicité quasi mystique.
Petite fleur, surnom utilisé par Éric, l’artiste Jessie, douée d’un sens inné des couleurs
savait brosser ses œuvres surtout en atelier. Transposant ainsi une pléiade de paysages
laurentiens, de montagnes, de lacs, de couchers et de lever de soleil. Soit de déjà-vu ;
D’où l’émergence étonnante des personnages ou d’autres œuvres qui surgissent sans
crier gare, enfouies depuis l’enfance aux confins du grenier des souvenirs
communément nommé inconscient. Un peu comme un compositeur musical sait le vivre
; Sans plan, le tout se déroule vite et bien, sans songer, puisque le tout s’avère écrit
intrinsèquement et ne demande qu’à poindre de l’ombre et jaillir comme un volcan !
Donc, Jessie regarde cette enveloppe bleue très pâle, aux rayures bleues et rouges.
L’effet saisissant la secoue au-dedans de sa chair. Incrédule, elle ouvre avec un coupe
papier de bois d’ébène, magnifique sculpture venant d’Afrique, offert par l’oncle
Maurice, il y a de cela un bail. Et son étonnement s’accentue. Incrédule elle s’écrie :
- Ah ! Une lettre de France ! Montpellier ! Jean-Marc Sologne ! Ahurissant !
Une lettre de quelques lignes seulement que Jessie-Fleurette lit et relit en marchant très
vite autour du piano de son enfance.
Bonjour ma fleur sauvage,
Voyage heureux pour moi au Québec. Je serai de retour au Québec ce samedi trois
novembre 2001, bien entendu je vais chez toi en premier lieu …
Hâte fébrile de te revoir. Bons baisers à bientôt. Marcus…
- Quel insolent ce mec ! Divorce à l’amiable depuis dix ans déjà. Tout ça ne signifie pas
pour moi les dîners, visites etcétéra. Et nous sommes samedi le trois ma parole ! Et le
spectacle d’Éric se déroule ce soir au Patriote de Sainte-Agathe rue de Saint-Venant !
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Quelle folie ! Revenir au Québec et pour combien de temps ?
Sept heures trente déjà ! Oh ! Mais je dois faire vite si je veux être à l’heure à
Sainte-Agathe pour le Blues spectacle d’Éric.
Et petite Fleur sait qu’elle sera en retard, alors elle va plus vite dans l’allée des longues
épinettes. Son auto est là ainsi qu’une autre aux phares halogènes. Certainement
aveuglants puisque pointées effrontément sur elle. Elle n’y voit rien, le conducteur
éteint les phares et se place face à elle, incrédule et toute stupéfiée.
- Bonsoir ma fleur d’eau sauvage !
- Jean-Marc ! Bonsoir ! Oui c’est vrai, j’ai reçu ta missive, je suis heureuse de te revoir
mais comme tu vois, c’est un départ et je suis en retard. J’ai un nouveau compagnon de
vie et je vais sans tarder rejoindre Éric. Il donne un spectacle au patriote de
Sainte-Agathe-des Monts. Voilà pour lui une première en Blues à cet endroit. Depuis
dix ans il offre des spectacles partout. Et c’est dommage J-M. Mais je dois partir
immédiatement !
- Oh ! Mais voilà qui est sympa. J'y vais avec toi, ce sera formidable, dis ?
- Hum ! Bon, pourquoi pas ! Esméralda s’est désistée, voilà son billet, et puis Éric
n’aime pas lorsque je me ballade seule le soir spécialement en auto. Allez va garer ton
auto de location près de la balançoire. Je saurai t’attendre ! Mais fais vite de grâce !
Songeuse, Jessie le regarde venir et de cette démarche sensuelle elle sera toujours en
admiration. Décidément, ce mec ne me laissera jamais indifférente. Au fait, lorsque
nous avons eu le béguin pour un être, quel soit-il, la mort seule peut vraiment nous
séparer. Parfois les souvenirs de certains êtres sont vraiment indélébiles en nos
mémoires. Et l’après vie sait nous les ramener en pensée comme ça inopinément, à
l’improviste sans que nous nous y attendions le moins du monde
. Une musique, un parfum, un paysage, une intonation de voix ressemblante, un profil,
une démarche. Et l’âme devient plus fragilisée en ces doux moments nous rappelant
soudain que l’être aimé n’est plus et ne reviendra jamais sur terre.
SOUVENIRS D'ANTAN; UNE DÉCENNIE DÉJÀ
Dernière rencontre avec Jean-Marc Sologne. Le beau-père de ce dernier l’accompagne,
on me prie gentiment de m'asseoir à l’arrière de la voiture, je ne possède pas d’auto. Je
suis fauchée comme les blés, pas le temps d’être soupe au lait, ma nouvelle vie sera
difficile, et aussi bien de me mouiller et glisser tout de suite dans l’humilité.
Une pléiade de merveilleux et pénibles souvenirs savaient lui restaurer la mémoire. Cet
homme elle avait su l’aimer à une folle allure. Envers et contre toutes ces personnes
cupides de leur bonheur d’une transparence évidente. Nonobstant ses parents à lui tout à
fait contre leur union dès l’éclosion de cet amour contre nature, vu l’âge de Jessie. De
quinze ans l’aînée de son beau-fils. Ce beau-père, mesquin, était jaloux d’elle au plus
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haut degré ! Il avait su lui démontrer sans pudeur aucune, une haine dont elle n’avait
jamais compris ou plutôt ne voulait comprendre la véritable raison. Leur difficile
séparation dont la cause se vérifiait pour une partie monétaire mais surtout familiale.
Leur rupture brutale par ce soir de janvier ou la froidure est à son paroxysme au
Québec. Ce bris d’union fut pour son beau ou second père une joie immense voire un
triomphe heureux En outre, quelques semaines plus tard, Jean-Marc daigna pour me
rendre service venir me chercher à la porte de mon loft du temps près de
Saint-Sauveur-du-Lac. Louis-Paul Hémond de nationalité Suisse-Romande, époux de sa
mère Claudine (pour qui je développai une grande empathie). Donc son beau-père
accompagnait Jean-Marc soi-disant, que son auto s’avérait défectueuse.
Ne possédant pas de voiture à cette époque, j’acceptai donc ce service de l’ex-amoureux
et de son chaperon. Un peu chagrinée, Jessie décide de refermer psychologiquement et
physiquement ce vieil agenda des jours antérieurs.
SPECTACLE DE BLUES ENDIABLÉ AVEC ÉRIC LE GITAN
LE 3 NOVEMBRE 2001
Théâtre Le Patriote de Ste-Agathe-des-Monts in Québec.
Le Patriote de Sainte-Agathe ! Quel canton merveilleux ! Salle de spectacles à
l’acoustique plus que parfaite pour célébrer le Blues endiablé de son artiste de
copain-mari. Fort agréablement le Patriote faisait salle comble ! Neuf heures moins le
quart et la foule impatiemment clamait fortement cette idole. Jamais assise à l’avant lors
des spectacles, Jessie-Fleurette attendait avec une hâte fiévreuse la vedette de son cœur.
Assise en hâte à l’arrière complètement, vu l’heure avancée, oubliant Jean-Marc
tellement heureux d’être au Québec près de la première femme de sa vie.
Pas facile d’oublier un premier amour pour certains, surtout lorsque ce dernier fut des
plus passionnément merveilleux ! Sans hypocrisie aucune, Jean-Marc ne pouvait éviter
de poser sur elle un regard des plus amoureux. Quelques années ont eut raison de sa
folle jeunesse, son amour pour elle s’avérait différent, moins naïvement innocent.
Moins insouciant, plus pausé. Aujourd’hui, il savait la voir avec plus de discernement.
Mais trop tard hélas il était revenu, l’homme avait évolué et la femme aussi. Désormais
la page pour elle était vraiment tournée et le bouquin bien refermé, malgré sa grande
admiration pour lui, il le ressentait bien fort. Mais l’homme n’est-il pas un perpétuel
chasseur de certains types de femmes ?
La foule en délire, les battements de tambours, les harmonicas, les guitares, les basses
électriques et à cordes, les violons, les saxophones, les tambours à basques et la batterie
ultra sonique, les choristes et tous les réflecteurs. La magie du Blues et sa grandiose
luminosité musicale débuta dans un charme langoureusement endiablé ou nul amant
authentique de cette sonorité ne fut épargné en émotions multiples. Le son
fabuleusement ajusté enveloppait subtilement le grand théâtre et chaque personne
présente. Tous et chacun furent transportés corps et âmes dans le monde magique et
réconfortant de la musique. Le temps comme à l’accoutumée lors des spectacles d’Éric
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s’envolait trop vite hélas !
L’entracte fut des plus émancipées ; toutes les jeunes et moins jeunes femmes
émoustillées au point culminant, haletantes et les yeux flamboyants se ruaient en rang
d’oignons au comptoir des rafraîchissements. Certaines femmes en pâmoison complète
avaient une envie folle de rencontrer leur idole blonde, essayant de contourner les
hommes de sécurité postés à tous les angles de l’amphithéâtre via le long couloir
menant aux salles d’eau.
Il y avait de l’orage dans l’air tout au long de cette deuxième partie présentée d’une
façon magistrale de la part de tous les musiciens et chanteurs.
Et ensuite pour ainsi dire à sa conclusion qui fut des plus cinématographiques. Une
émeute subitement et dûment perpétrée en moins de deux éclata comme une patte de
lion d’un coup de griffe sur une proie attendue depuis une heure! Le tout théâtre
chavira. Tout revolait d’ici, de là, ailleurs, partout, les hauts cris, les enjambées, les
musiciens, les guitares, les sacs à mains des unes, les programmes et les gants des
autres, les instruments de musique se volatilisaient en bouts de bois ou de fer, similaires
à des fusées à la vitesse du son sans jeu de mots aucun. Impossible de fuir par la porte
arrière le tout était bloqué par une multitude de chaises et de tables venant de nulle part.
Les lumières tout d’un trait furent propulsées dans le néant le plus total et le plus
indescriptible. Et la grande noirceur vint !
ET VINT LE 4 NOVEMBRE 2001
Et placidement je me retrouvai dans les chiottes...
Sans dessus dessous ignorant par qui et pourquoi, je m’étalai de tout mon long sur ce
plancher abjectement sale et je regardai inconsciemment ma montre-bracelet que
j’appose rarement à mon poignet mais qui ce soir-là me fut d’un utile soutien pour me
situer dans le temps. La pleine lune de novembre; énigmatique à souhait a su traverser
la fenêtre en forme de losange et me donner brillamment l’heure juste : Minuit et trois
minutes précises…
Je nageais en plein polar louvien ! Ma vie de flique n’était sûrement pas terminée. Mes
antennes paranormales voire anormales pour certaines gens du milieu culturel, flairaient
le coup monté, en clair sur la pénombre, plus que l’émeute ordinaire.
- Oh! Ça parle au diable ! «Me dis-je en nage à l’intérieur de ma longue veste de daim
frangé.»
- Me voilà à l’intérieur des toilettes pour hommes, foi de Fleurette ! Et tout ce peuple en
délire, se ruant vers la sortie ! Je vais laisser se disperser ces rigolos, sinon je risque de
me laisser engloutir d’un seul coup de gueule par ces sauvages mercantiles en voie de
décadence totale.
C’est alors qu’un objet bizarrement disposé ou indisposé vint m’effleurer la corporelle
d’enveloppe. Un triple saut d’un sujet mâle complètement à poil, m’imposant sa nudité
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totale sans pudeur aucune. L’oiseau rare braqua sa paire de gros yeux vers ma direction
mais sans me voir. Puisque dans un angle tout à l’opposé du rayon de lune, l’éclairage
naturel ne savaient démontrer qu’un mur tapisser de longues reprographies de photos
d’artistes multiples. Douce raillerie du sort sans doute, près de moi celle d’Éric le Gitan
qui narquoisement me lançait des œillades furibondes. J’en fus ravie et chavirée. Ce
mec s’avérait une vraie beauté mâle. J’en fus soudain très remuée et songeai combien
nos corps savaient se désarmer mutuellement. Entre lui et moi, c’était paradisiaque et
sans compétition aucune. Chacun sa sphère, quoique y entrer ne s’avère pas une
intrusion mais une douce passion. Et la voix dedans; celle qui d’ordinaire sait me
remettre sur la bonne voie, en bonne sonorité loquace me dit :
- L’heure n’est pas à la romance. Allez grouille tes méninges et concentre-toi sur cette
créature avant que madame la lune ne fasse demi-tour.
Ce beau bonhomme cherchait en vain quelque chose. Assez habile, à la manière d’un
chimpanzé en bonne forme, il grimpa d’une enjambée leste la colonne du fond et arriva
sur une tablette de bois rond. L’homme descendit aisément une valise en forme de
boîtier à guitare. Style celle qui appartenait à mon père, une fameuse guitare 1940 de
marque Nationale-New-Yorker, une petite antiquité nommée slide guitare. Un joyau
musical très convoité par les connaisseurs. Mon allure ébahie aurait invariablement su
en en faire frissonner plus d’un, mais personne ne le vit; attendu que nous étions deux
seulement dans ces vilaines salles d’eau.
Irrationnellement plein la besace, je savourais la scène tout en la repoussant, n’en
croyant pas ma vue. Cette guitare s’avérait celle de mon père ! Nul doute là-dessus ! Le
même coffret marron de cuir usé avec ses rubans rouges et verts posés par moi-même
lors d’une fête familialement heureuse, il y avait de cela deux décennies.
L’individu ouvrit le caisson et nulle guitare n'était couchée à l’intérieur. Pas de surprise
de sa part, car il sortit des vêtements à la hâte et les endossa. Des trucs de madame, une
perruque et vlan ! Il décide de partir, se reprend, vu le son de la cloche qui résonne et il
sort un minuscule téléphone cellulaire de sa poche. Avant de répondre le voilà qu’il se
cause tout bêtement.
- Bon, la guitare, je l’ai mise dehors près du vieux puits. Le caisson m’a servi à mettre
les guenilles et la perruque pour me barrer. Et ce maudit téléphone qui sonne.
- Allo ! Qui êtes-vous ? Oui ! Pardon ? Je vous ai sauvé la vie moi ? Et vous m’offrez
une prime ? Bien sûr je retiens l’adresse : [email protected] Alors, d’accord je vais
écrire. Ah ! La pile est à plat ! Et puis je dois aller aux chiottes et en vitesse, je vais
planquer tout le bataclan sur ce comptoir.
À la sauvette, le type déjà endimanché entra dans une cabine, se recroquevilla sur un
siège, tout heureux d’y trouver sa libération, tandis que moi incrédule mais mûre pour
l’escapade de nuitée pendant que le bruit de la chasse d’eau saurait assourdir mes élans
de départ. D’une pierre trois coups, j’attrapai le caisson de mon papa, l’appareil
cellulaire du mec et ses clefs. Le tout bien gentiment déposé juste pour moi sur le petit
meuble tout en bas du vaste miroir en forme de losange. Un heureux nuage passa,
noircissant la très puante salle d’eau et c’est ainsi que je filai à train d’enfer vers ce
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vieux puits si bien décrit par cette crapule pas vraiment laide mais totalement inconnue.
À ma grande surprise, ce puits se trouvait plus près du Théâtre le Patriote que je ne le
croyais. En une demie minute ou moins me voilà face aux cailloux des champs près du
vieux réservoir d’eau; chef-d’œuvre datant sûrement du début du siècle dernier.
Inconsciemment ou instinctivement, je regardai à l’arrière de ma personne, aucun être
visible ne s’y trouvait, la lune à sa pleine grandeur m’éclairait magistralement et j’en
fus fort aise. Les pierres d’une beauté rare, témoins singuliers, semblaient me cligner de
l’œil. Un peu d’un commun accord avec le geste que je devais accomplir en toute
vitesse car le gobeur de guitare devait sans doute avoir terminé ses besoins naturels…
Forcément les efforts à trouver l’objet ne furent pas difficiles, ni vains, puisque je me
trouvai invraisemblablement nez à manche avec la slide guitare Nationale 1940 de mon
père à moi ! Un songe n’eut été plus surréaliste. J’osai m’en approcher à la vitesse du
son, je lui tendis la main, elle se laissa prendre d’un jet, elle ne causa pas et pour cause
je lui dis :
- Heu! Petite ! Viens, le temps presse, entre dans ton caisson. Ce salaud sera à nos
trousses dans moins de deux si je m’égare en émotions sensuelles et impures.
Nul doute, voilà que je tenais bien près de ma poitrine la guitare en question, les rayons
de l’astre nocturne lui rendait bien ses couleurs d’origine: Noire aux rayures jaunes et
bleue-turquoise, aux chiffres romains vert-turquoise et agrémentée d’une rayure rouge
au centre. En l’an 2004 cet instrument vaut une petite fortune, ayant eu plusieurs offres
de musiciens connaisseurs désireux de l’acquérir…
À travers les herbes brunâtres et humides en cette automnale de nuit inouïe, je me
dirigeai lestement vers mon bolide qu’étrangement je ne savais retrouver. Peut-être
était-ce dû à l’énervement des émotions précédentes palpables au noyau central de mon
être, désormais habitué depuis quelques mois à une vie plus sereine, exempte
d’émotions insalubres ou malsaines...
Ironiquement j’ai oublié Jean-Marc Sologne, cet ancien amoureux qui pour ses
retrouvailles amicales n’avait pas eu de chance avec la Québécoise que je suis et pour la
seconde fois. Je suis peut-être marquée par le destin et… Dans un bruissement d’aile,
cette immonde chauve-souris me frôla le toupet bronzé de reflet doré-cuivré sous les
rayons du soleil ou de la lune. J’eus un soubresaut quasi humidifié vu la longueur du
volant-oiseau passant… Présage ? Je ne me posai nullement la question en cette nuit
surprenante et je continuai ma ballade nocturne et solitaire jusqu’à nouvel ordre
intrinsèque.
Bien garée, elle était cette 1990 Buick rouge vin, près d’un énorme pin. Le vent du
nord-est, frisquet à souhait me fouettait les joues. Le caisson et sa guitare sous mon bras
gauche mais pas idiot, je déambulais comme une Fanfreluche. Machinalement je mis la
main droite dans la poche de ma longue veste de daim brun. Heureuse à souhait, je
tenais le sauveteur, ce trousseau de clefs inertes appartenant à ce fourbe personnage
incognito. Perplexe, mais sainement rassurée face à mon retour à la Chaumière de
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L'Edelweiss. La portière non verrouillée me fit de l’effet, je m’introduisis au-dedans de
ce météore, mien désormais pour quelques heures indéterminées.
Brillamment je démarrai l’engin sans aucun problème. Tout à fait normalement, un peu
comme s’il eut été mon bien depuis une mèche. Je fis un grand demi-tour dans l’allée
ou avenue Saint-Venant du Patriote, longeai avec musique à l’appui, la haie de longs et
épais thuyas. Je décidai d’emblée de tourner à gauche au bout de la sortie en forme d’Y.
Un regard dans le rétroviseur me fit voir en projection, grandeur nature, à environ deux
cent mètres, une bonne femme à la longue jupe de gitane, aux longs cheveux noirs,
blouson jaune orangé, les deux mains levées vers les cieux noirs étoilés. Essayant de
courir mais perdant pieds, voilà que la Bohémienne aux grands yeux noirs se retrouve
soudainement face contre terre. Je ne vis pas la conclusion de cette pièce fortement
théâtrale ; Attendu que je filais à vive allure sur le chemin menant à Saint-Adolphe
d’Howard. Adios Amigo. Que sera sera « me dis-je » sans l’ombre d’une infraction
dans mon intérieur !
Allègrement en bonne forme spirituelle et physique, je mijotai un plan du tonnerre pour
retrouver cette personne à la longue jupe noire. La disparition de mon auto me laissait
songeuse mais pas de trop. Le Lac-des-Sables majestueusement désert et d’une beauté
irrationnelle saurait voir plus tard d’un bon œil cette divine aube se lever sans moi.
L’’heure sur le cadran quelque peu solaire cochait une heure quinze minutes.
Malgré ce mois de novembre bien implanté, le paysage était sublime, je savoure
intensément ces minutes, lorsque la ballade en auto me permet soit de réfléchir, d’être
zen, ou bien d’écouter mes tubes préférés. Ces temps-ci j’opte pour le Blues sans en
forcer les allures musicales, cette musique sait accorder à mon âme une sereine capacité
d’être heureuse. Les chanteurs de Blues voix et musique m’apportent le complément de
toutes les musiques regroupées. Sans musique je n’ai jamais pu imaginer ma vie
puisque dans ma petite enfance j’écoutais passionnément les résonances enchanteresses
de la guitare de mon père.
Au gré du Chemin Curé Adam faisant, et tournant la Pontée Papineau, je retrouvai par
la droite le Chemin du Grand-Ruisseau. Une belle route campagnarde menant à la
Chaumière étrangement illuminée en cette nuit mouvementée. Ces lumières de nuit me
ramenèrent quelques années antérieurement lors du départ terrestre de mon père,
railleusement un trois novembre.
- Pourquoi ces lumières sont-elles toutes activées ?
Mon auto placidement garée à sa place habituelle semblait me reluquer bizarrement face
à mon infidélité à lui avoir fait fausse route. Sans effort, j’en conclus que Jean-Marc
s’avérait le conducteur qui eut ramené le bolide.
Agile de nature, je sortis vivement de l’auto substituée emportant avec bonheur le trésor
récupéré aussi facilement.
Deux heures sonnèrent à l’horloge grand-père lorsque je pénétrai dans le petit hall étroit
de la chaumière, je fus étonnée par l’ambiance du grand salon ; Musique classique en
sourdine, chandelles et buffet froid sur la table ronde, un vrai festin m’attendait et
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sûrement Jean-Marc fut le grand complice de toute cette cérémonie.
HOME SWEET HOME
Près de l’âtre, il y a le porte-bûches en fer forgé d’antan. Je dépose cette guitare dont
mes jeunes années furent tellement imprégnées ; l’assonance unique de celle-ci sera
indélébile à jamais en mon âme. Mine de rien la chatte tigrée confortablement installée
sur le bras du fauteuil vieux rose fait un bond joyeux lorsqu’elle m’aperçoit.
D’apparence, cette dernière ne faisait pas ses dix ans de vie. Quoique la somnolence
désormais elle savait vivre. Le grand salon était chaleureux comme d’habitude, mais un
bizarre d’aura semblait y planer….
Fatiguée à l’extrême, je me laissai tombée sur le long fauteuil de velours vert émeraude.
Je fermai les yeux en quête de reconstruction interne face à ces dernières heures des
plus insolites voire démentielles.
- Bonsoir, est-ce que vous êtes Miss O’Briend ?
Une voix chaude, un peu caverneuse, aux intonations graves, un timbre de voix
similaire quoique plus traînante. Du déjà entendu, il y avait de ça quelques années. Mes
yeux forcément s’ouvrirent et la ressemblance avec son père me fit cabrioler en rogne
avec je ne sais quel personnage.
- Bonjour monsieur ! Vous ais-je invité ?
- Mon nom est Jean-Gilbert Sénécal, fils de feu Jean-Laurent dit Skoukasian.
Rassurez-vous, aucun lien autre que d'être son fils biologique, ce qui nullement ne fut
mon assentiment. La personne qui m'a introduit chez vous s’appelle Jean-Marc Sologne
dont je fis la connaissance au Théâtre Le Patriote de Sainte-Agathe, Après cette
déplorable émeute, il était tellement inquiet à votre sujet, nous sommes venus ici, lui
dans votre auto, moi à ses trousses dans le but de l’aider. Lorsqu’il m’a dit votre nom, je
me suis souvenu de cette sordide histoire racontée par un copain, près de l’aéroport. Et
voilà que sans hésiter, je lui ai prêté mon auto pour se rendre à la station de police dans
le but de signaler votre disparition.
- Oh ! Bien sûr, la ressemblance extérieure s’avère phénoménale avec votre père !
La phase du dossier californien consistait à rédiger un deuxième tome suite à
l’opération Jade 12 et subtilement je me dis qu’après tout, je me trouvais chez moi et
mon avantage numérique devait se lire à l'interne de mes pupilles desquelles aucun
regard malveillant ne savait se soustraire lorsque délibérément je savais immerger les
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yeux d’une personne aussi futée soit-elle.
- Vraiment ? Je vais tenter de vous croire sur parole ! Une pléiade d’emmerdes m’est
tombée dessus dans le cœur de cette émeute. D’ailleurs je me dois de téléphoner
immédiatement à l’agent Bernier, je suis arrivée avec une auto appartenant à un fourbe,
il est encore au large à Sainte-Agathe-des-Monts. Vous voyez cette guitare ?
Lorsque je me levai et sortis la guitare de son boîtier, Jean-Gilbert devient troublé et
moi survoltée sans savoir la raison exacte de mon énervement subit. La fatigue me
gagna davantage. Et tous ces mensonges me tuaient…
- Cette guitare appartenait à mon père et le kidnappeur je ne sais comment s’est
introduit ici à mon insu. Cet homme propriétaire du marron bolide à l’extérieur posté
sous le grand pin. Je dois vraiment téléphoner à l’agent…
Et le carillon résonna en douce…
- Bonjour, agent Bernier, voilà de la télépathie rationnelle, veuillez entrez !
- Bonjour Miss O’Briend, je suis à mon début de journée. Monsieur Sologne est venu
me raconter toute l’histoire de cette éprouvante nuit. Son inquiétude m’amène
présentement ici, racontez-moi ce qui est survenu lors de l’émeute…
Derechef Jessie-Fleurette lui narra tout l’ahurissant historique digne d’un film
québécois habilement scénarisé en avalanche…
- Et cette fameuse guitare est-elle vraiment la propriété de votre père ? Avez-vous
vérifié son manque à sa place habituelle ?
- Non, mais je peux le faire immédiatement…
Et je revins estomaquée… Puisque ladite guitare gisait nue bien appuyée sur le mur
intérieur du porte-manteau et bien évidemment sans son boîtier.
Incongrue la situation; cet instrument musical rarissime en 2004 ne portait pas le ruban
bleu blanc rouge de ma jeunesse si bien enroulé autour du manche aux nombreux
boutons, lors d’un voyage en France ; invité par un groupe de musiciens français, mon
père a su faire une prestation admirable, j’étais âgée d’à peine dix ans, je fus le témoin
oculaire de ce merveilleux feed-back face au son inégalable qui provient de la slide
guitare dont le nom français m’échappe.
Aux États-Unis, depuis environ une décennie l’auteur compositeur Jeff Healy sait en
jouer. Cet homme non-voyant dans la jeune trentaine sait l’utiliser soit assis ou en la
déposant sur ses genoux. Ou sur une petite table appropriée. L’effet ricochet qui sonne
particulier provient d’une petite barre assez lourde que mon père nommait un fer ou
tone bar en anglo. D’autres se servent aussi d’un fer mais jouent de cet instrument
debout et avec une guitare électrique ordinaire. Un vrai connaisseur sait en entendre la
différence…
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La slide guitare de son nom premier ¨guitare Hawaïenne¨ parce que jouer à Honolulu ou
Bora-Bora. Bien sûr, les îles Hawaï sont reconnues pour leurs guitares aux sons plus
qu’envoûtants. Et aussi les musiciens du peuple polynésien savent aussi en jouer
merveilleusement.
C’est alors que je pris la guitare dont les couleurs s’avéraient identiques. Je descendis
l’escalier en colimaçon, peu fière de moi. Je nageais en plein mystère dans des eaux
troubles voire vaseuses. Ce fil d’Ariane quelque peu décousu me donnait sans jeu de
mot du fil à retordre. Je me sentais frileusement désemparée.
Heureusement l’agent Bernier fut d’une grande compréhension à mon arrivée, il me
sourit tout bonnement comme si ce déroulement semblait normal…
- Alors Miss O’Briend, voilà en toute connaissance de cause son sosie identique je
pense.
- Mystère et boule de neige ? Oh ! Que non ! Cette guitare n’est pas celle de mon père
quoique quasi similaire elle ait été substituée, celle que j’ai su récupérer par hasard à
Sainte-Agathe, vous voyez ces boutons rouges et en plus non initialée on devrait y lire
G.O’B.
- Oui, mais la peinture c’est un détail on peut l’ajouter et…
- Non agent Bernier, voilà les initiales sur celle-là près du foyer… Et inexistante sur
celle du porte-manteau !
- Bonheur de musicien ! Votre père vous a guidé et protégé lors de cette trouvaille
spectaculaire, énigme digne d’un roman de l’illustre J-F. O’Briend..
L’arrivée de Jean-Marc Sologne a su faire détourner nos têtes en un semblable
mouvement…
- Enfin te voilà petite fleur sauvage ! J’ai reconnu cette auto garée sous le gros pin.
Est-ce que ce crétin a disparu? Cet énergumène fréquentait le même lycée que moi à
Montpellier en France, je ne me souviens pas de son nom véritable. Mais je sais par des
copains que sa vie bascula très jeune, lors du décès subit de sa mère, une chanteuse
d’opérette lyrique. Le père du jeune homme sombra dans l’alcool et le petit jeune
homme commença par de petits vols de disques, cassettes de l’époque et même
d’instruments de musique dans les grands magasins. Puis le beau ramdam de mec
effectua plusieurs vols à main armés. J’ai par hasard appris sa citoyenneté canadienne et
qu’il avait fait l’acquisition d’un chalet à Sainte-Lucie des Laurentides. Une Buick Chat
Sauvage à son effigie d’où son surnom le Chat Sauvage des Pays-d’en Haut.
Les femmes en sont folles à lier, vu sa gueule d'artiste nonchalant, ses cheveux mi-longs
d’un noir bleuté et ses yeux d’un bleu acier ont toujours joué en sa faveur. Lui, il
semble ignorer son charme, il vit comme dans un monde à part. Lors de l’entracte de la
soirée Blues au Patriote, je l’ai croisé dans le corridor menant aux toilettes, il y avait
beaucoup de monde, il n’a pas su me voir, j’ai attendu son retour de la salle d’eau, j'ai
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suivi son parcours, il s’est dirigé vers la fameuse Buick que sûrement il a fait venir
d’Europe, il est incapable de s’en défaire. Il a ouvert la valise arrière et a sortit un genre
d’étui de couleur foncé dont je ne pouvais distinguer la véritable identité. Il semblait
inquiet voire désireux de revenir. Je retournai lentement vers mon siège et n’osai causer
de ce mec à petite fleur vu son bonheur si évident d’assister à cette soirée Blues. Et c’est
incroyable Jessie, tu reviens avec son auto ! Dis, est-ce que tu le connais ce mec ?
- Agent Bernier j’en ai ras-le-bol de raconter, j’ai besoin de repos, je me fie sur vous
deux pour savoir où se niche Éric, quelle nuit ! À plus tard ! Allez ! Je monte aux cieux
de mon lit !
- D’accord Jessie à plus tard !
Et L’agent Bernier servit de narrateur plus grand que le personnage à Jean-Marc
Sologne. Le protagoniste quelque peu tardif devint livide lorsque l’agent mandata son
aide dans l’ombre dont l’ultime but était de retrouver le tortionnaire kidnappeur de
guitare. L’historiette fut dûment racontée à Jean-Marc.
Sans plus tarder l’agent fit un appel à la Sûreté du Québec mettant ainsi dans le secret
tous les agents de Laval jusqu’à Montébello en Outaouais, des éminentes disparitions
d’Éric le Gitan et de Stéphane de Landreville. Ces deux personnages faisaient désormais
l’objet d’une recherche intense sous le joug de tous ses confrères.
- Donc Jean-Marc, je vous souhaite une bonne journée, voilà ma carte et celles de
plusieurs agents, vous serez une grande aide pour nous, n’hésitez pas, la présente
opération se nomme Honolulu. Au fait, nous réservons une surprise à miss O’Briend
pour la remercier d’avoir su mener à bien l’opération Jade 12 en Californie. Le fameux
collier du même nom fut une brève énigme pour elle, sa perspicacité fut formidable
pour une novice. D’ailleurs nous avions testé ses compétences
antérieurement sans qu’elle sans doute formellement.
- Ça va ! Je serai derrière vous avec l'auto du mec de Landreville jusqu’à la station de
police et un de vos confères saura me ramener ou plutôt je ferai une ballade santé
jusqu’au centre village ou ville. Depuis que j’ai quitté la Vallée beaucoup de
changements se sont produits ! J’ai l’impression que St-Sauveur devient un havre
enviable pour les crapules et allez savoir pourquoi, ils sont pourtant facilement
repérables, vu leurs différences notables d’avec les résidents et aussi des touristes
habituels !
Par conséquent à onze heures précises en ce dimanche matin du quatre novembre 2001,
le tout Saint-Sauveur brillait sous les rayons étonnants d’un soleil ardent peu commun
pour ce mois frisquet et sombre à l’habituel et communément appelé le mois des morts
au Québec.
Jean-Marc Sologne ne reconnaissait plus de trop le petit centre aux quelques boutiques
jadis, celui-ci fait désormais son triple en locaux divers et en boutiques diversifiées.
Tout en espérant revoir le Copa Disco Club, style boîte de nuit ou il a su œuvrer comme
super DJ il y a quelques années où la musique Disco résonnait de tous ses hyper sons.
Pour lui c’était une des plus belles pages de sa vie, lorsque sa petite fleur québécoise
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savait venir l’entendre faire des super mixtes ! Elle dansait jusqu’au petites heures, sans
porter attention à personne sauf au son et à celui qui pour elle était son héros doté d’une
super nature comme elle disait.
Jean-Marc, nostalgique à souhait, mais heureux d’être là, cherchait sans trouver
l’ancienne discothèque, un homme était à ranger des banquises de bois pour la froide
saison et lui raconta que depuis quelques années déjà le Copa Disco Club fut
métamorphosé en une énorme boutique d’articles de sport pour tous.
Un peu triste Jean-Marc marcha en retrait et décida d’entrer au petit resto nommé
Jazzez Blues, endroit bien emménagé, fauteuils confortables, vue imprenable sur les
montagnes au travers d’éminentes baies vitrées teintées bleu-ciel. Repas ultra légers,
ultra son feutré et réunissant le mélomane averti de musique Jazz & Blues.
Soyons réalistes, nonobstant les légendes, la Vallée de Saint-Sauveur est un centre de
ski très fréquenté durant les sports d’hiver par une multitude de gens des quatre coins de
la planète, on y voit des individus nouveaux tous les jours et ça tout au long de l’année.
Les gens aiment venir dans cette Vallée parce qu’ils savent y découvrir un autre style de
vie assez calme sans trop de pollution autant atmosphérique que sonique.
Songeur et vachement impressionné par les nombreux changements réalisés dans cette
Vallée unique du temps de ces amours en pleine effervescence et pourvu de son plus
grand sentiment amoureux jamais vécu préalablement avec sa petite fleur sauvage
amoureuse passionnée, elle savait sans s’efforcer se fondre dans la peau de toutes les
femmes. Ses nuits torrides avec elle, il savait se les remémorer : Fougueuse, charmeuse,
cette petite fleur savait le faire vibrer jusqu’à la moelle des os. Non, décidément cette
femme serait toujours sienne fondamentalement. En somme la séparation eut lieu à
cause de mon beau-père et de ma mollesse face à lui ! Quelle englue parfois que les
familles !
Un tintement de chaudrons et un haussement de voix assez particuliers sortirent
Jean-Marc prestement de ses rêveries d’antan…
- Non, monsieur, nous ne sommes pas autorisés à vous laisser entrer dans ce local…
La voix un peu nasillarde provenait de l’arrière petite salle munie d’une petite table de
billard et vers la gauche un ou deux ordinateurs pour les internautes.
Le ton haussait davantage de la part du type d’une manière peu ordinaire, histoire de
faire comprendre à son interlocuteur qu’il n’était pas, mais pas du tout le bienvenu.
Jean-Marc quelque peu perplexe laissa tomber le Journal de Montréal sur la table ronde
et s’avança à petits pas, il longea le hall aux cent et un tableaux d’une modernité
flagrante et plus il savait se rapprocher des deux personnages plus la voix du dernier
arrivant se fit claire et concise à son ouïe ! Le mec au ton rauque et puissant ne s’avérait
nullement son homme, c’est à dire l’homme qu’il cherchait. Il s’avança, reluqua
l’homme de plus près. Malheureusement il y avait erreur sur la voix et par le fait même
sur la personne.
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à suivre au volet trois
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UN LOUP-MARIN SUBTIL - VOLET QUATRE
UN LOUP-MARIN SUBTIL - VOLET QUATRE
subtil de loup-marin
LES JOYEUX LURONS
Un voyage au Québec…
Henry Lombardo en plus de posséder cette villa musicale lui servant de studio
d’enregistrement, avait aussi acquis pour un montant risible quelques décennies
auparavant un magnifique Atoll ou chalet polynésien nommé Mia Setiaroa, un chapelet
d’environ onze îlots… Endroit féerique et indescriptible, lui et Guerty y vivaient
environ cinq mois annuellement. Le Québec ils aimaient bien, mais le climat un peu
moins, habitués aux grandes chaleurs, ils avaient beaucoup de mal à vivre les temps
frais et surtout l’hiver québécois. Par contre de ce voyage ils en avaient une envie
folle… C’est alors qu’ils se retrouvèrent à Saint-Sauveur dans les Laurentides chez
Jessie-Fleurette O'Briend.
En effet les deux femmes se connaissaient plus par l’entremise de courriels (e-mails), et
Jessie fut heureuse de les recevoir dans sa Chaumière, ce fut de belles rencontres, des
confidences sans fin, de la voir ainsi transformée fut tout un choc ! Jessie n’en revenait
vraiment pas ! Les deux femmes n’en finissaient plus de causer; les deux guitares côtes
à côtes semblaient identiques sauf par les initiales et les rubans, pour une personne
non-observatrice c’était à s’y méprendre. Une troisième réplique se trouvait sur la
planète.
- Jessie-Fleurette, merci encore d’avoir su me dire mes quatre vérités sur ma façon de
vivre etc. Toi Éric quel bonheur avec tes concerts !! Et de permettre à monsieur
Lombardo de faire la promotion de son CD en jouant lors de son concert de samedi, ce
sera du tonnerre !
- Oui ! D’autant plus que tu vas en préambule avec Éric aussi chanter Lynda, j’ai bien
hâte de t’entendre ce sera mémorable j’en suis certaine !
Le concert Blues et Rock eut lieu tel que prévu au Patriote de Sainte-Agathe en ce
fameux samedi. Salle comble, fans en grand nombre, comme à l’accoutumée, c’était
l’euphorie totale pour les accrocs du Blues et du Rock. Une énorme sécurité faisait
honneur aux musiciens, Lynda arborait un trac fou, qu’elle vivait d’une bizarre de
manière, elle causait sans cesse disant des stupidités invraisemblables, identique à une
sotte, mais tel était son état d’âme.
Finalement le couple Lumbardos monta sur scène en compagnie de leurs guitares
respectives… Et joyeusement ils introduisent Lynda Mayfair fille du fameux musicien
de Blues surnommé Mayfair the Dreamer, compositeur unique de cette œuvre inédite.
Coup d’éclat impressionnant simultanément; avec une grande fougue elle débuta à
capella La grande Fugue de Célina … Et puis les Lombardos très impressionnés
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enchaînèrent magistralement la mélodieuse composition du défunt musicien. Justice de
droits d’auteur lui était enfin rendue et publiquement en plus de s'avérer divine. Lynda
avait les larmes aux yeux et riait comme une enfant !
Une ovation percutante et debout signifiant l’appréciation de la grandeur de l’œuvre
laissèrent nos trois lurons très fatigués mais tellement satisfaits de l’œuvre aussi bien
dévoilée. Et ce fut Éric le Gitan qui très ému aussi continua le spectacle, jouant
divinement d’une guitare Gibson à deux manches acquise en Arizona quelques cinq ans
auparavant.. Soirée illustre pour tous… Vers minuit trente tous ces personnages
musicaux sortirent enchantés de ce nouveau tube lancé d’une si éloquente façon…
Toutes les belles Laurentides et leurs dignes habitants sauront-ils en causer en
conséquence ?
Et le lendemain matin
Sur le Chemin du Grand Ruisseau…
Tout le monde était sorti faire des courses sauf Jessie qui s'était offert une superbe de
grasse matinée... Au sein de la de la Chaumière un courriel dormait aux confins de
l’ordinateur de Jessie-Fleurette. Un bonheur de temps à autre sait se pointer en double
voire en triple au tournant d’une vie. Tout comme les malheurs souvent ils arrivent en
boules qui roulent. En plus des charmantes retrouvailles avec la véridique Lynda
Mayfair et une partie de l’obscure énigme de la guitare jumelle résolue, après s'être
laissée glisser dans son bain bouillonnant elle passa voir dans son atelier les courriels
reçus depuis la veille. Sans attendre davantage, sa surprise fut grande lorsque incrédule,
elle lut d’un trait cette missive au ton positivement formidable :
&quot;Ville de Laval, Les éditions Son de Cloche,
Bonsoir Miss O’Briend,
Oui, vous avez deviné votre candidature est retenue pour publication ainsi que pour
mise en scène!!
Le comité de lecture a lu avec attention vos deux textes soumis. Érotisme non
grotesque, sensualité percutante, réalise étonnant, humour flagrant, ton dans le ton…
Vous êtes l’heureuse détentrice d’une bourse de trente-sept mille dollars non
imposables, d’une publication internationale et d'une éventuelle possibilité de pièce
théâtrale et plus encore ô surprise!.
ET, EN PLUS D’UNE PUBLICATION D’UN BEAU LIVRE ARTISTIQUE
ILLUSTRANT L’ENSEMBLE DE VOS ŒUVRES EN PEINTURE EN SIMILITUDE
AVEC VOS POÈMES.
Les consécrations et honorifiques adulations tardives en Lettres ou en Art s’avèrent
quelquefois prodigieuses voire ahurissantes. Le terme artiste multidisciplinaire fait
parfois sourire certaines gens au rationalisme belliqueux et acerbe et vous avez su par
votre détermination et votre feu sacré inné faire fi de toutes ces embûches inimaginables
tout au long de votre parcours de vie culturelle.
En clair, nonobstant quelques petits mots anodins votre petit ouvrage vous fait lauréate
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de cette littéraire parodie double.
Nous communiquerons sous peu avec vous dans un délai de trois jours.
Veuillez recevoir, madame O’Briend, l’assurance de nos compétences littéraires les plus
attentives.
Pour Les Éditions Son de Cloche
jp pour le directeur
État de choc littéraire pour cette femme aux sentiers culturels multiples… Jessie relisait
pour la deuxième fois à haute voix cette lettre quasi utopique venant d’une maison
d’éditions. Mais elle ne rêvait pas, la vérité pure en lettres noires sur blanc papier gisait
aux confins de cette machine qui pour certains peut paraître infernale ou un gouffre et
pour d’autres lorsque utilisée à bon escient peut devenir un outil merveilleux aux
facettes multiples et intéressantes. Elle imprima en trois exemplaires la missive en
réalisant combien une candidature retenue pouvait changer l’estime de soi littéraire
d’une personne ayant œuvré depuis des lunes dans ce métier si difficilement accessible
pour la moyenne des auteurs au Québec. Jessie savait désormais combien la
reconnaissance des pairs via le public sait augmenter le reflet de l’auteur ou de l’artiste.
Beaucoup d’appelés mais peu d’élus dit le vieil adage et il suffit de se pointer avec ses
écrits, ses fresques ou ses musiques en feuilles griffonnées au bon endroit, au bon
moment face à face avec la bonne personne et hop ! L’ascension littéraire ou culturelle
s’ajuste parfois au gré du vent.&quot;
LE DÉLIT NE PAIE PAS
Un second courriel doté d’une adresse bizarre lui fit une bizarre de sensation
intérieure…
- Qu’est-ce que c’est ?
« Jessie la fleurette,
Demain vers quinze heures à l’arrière-plan de votre maisonnette dessous l’énorme pin
vous déposerez 8, ooo. $$$ ou la fameuse guitare de type Nationale 1940. Et
cette-fois-ci aucun chat ne sera de la partie je vous le certifie.
Soyez discrète et seule
Un gringalet en attente. »
Jessie eut un soubresaut en terminant sa lecture…
- Mmm!… « se dit-elle » Cliquons à droite sur cet en-tête de cyberlettre, zieutons
Propriétés et Détails et… Mais oui, je ferai examiner ce cyberjarguon par Stephen dit
Sthephano le frère de Lynda Mayfair, il saura en peu de temps découvrir la provenance
de cette lettre maléfique. Heureusement différents corps policiers possèdent désormais
des équipements informatiques adéquats et efficaces pour contre la cybercriminalité.
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Sans plus attendre, elle oublie sa bonne nouvelle d’édition prochaine et décide de ne
surtout pas se faire du sang d’encre pour ce gringalet à la gomme… D’emblée elle
compose le numéro du téléphone cellulaire (portable) de Lynda Mayfair de son appareil
téléphonique posé sur le bureau près de son ordinateur. Notamment aucune tonalité ne
sait lui résonner à l’oreille. Soucieuse, Jessie se lève et se rend au grand salon-galerie et
intercepte l’appareil brun et vert de style colonial, elle écoute ahurie. Il n’y a aucune
tonalité à nouveau ! Elle se rend à sa chambre, agrippe son petit appareil près de la télé,
idem discrétion absolue. Tout est au calme plat. Son calme à présent est moins certain,
elle ressent un frisson à la nuque se sentant épier par derrière, se retourne en
vrombissant, car le gringalet est là et bien là, aucun doute possible, dans l’encadrement
de sa porte ! Comme le fou du roi ! Dérision sublime, elle fait mine de se pencher et
d’un croche-pied sublime fait tomber cet homme qu’elle a reconnu en ce Umberto
Paterson le fils du fourbe qui a si vulgairement volé la désormais célèbre composition
musicale de La grande Fugue de Célina. Jessie se sent de taille; l’individu semble
confus, une forte odeur d'un parfum à l'odeur de camomille embaume à plein la petite
mansarde doublement témoin en moins d’un mois des bizarreries de cet homme épuisé
et effronté !! Une fois n’est pas coutume mais une seconde cela en est de trop pour sa
patience angéliquement suave. En plus de s’introduire chez elle à nouveau, ce gonflé
personnage bousille son système téléphonique et sait salir ses mignonnes descentes de
lit avec ses gros bottillons bourrées de boue.
- Hey! Who do you think you are mister *? Pas déjà sorti de prison et vous revoilà chez
moi ! Et ce courriel… Vous êtes une journée d’avance le mec !
- Pardon? Ouch! Mama mia! Mes os de jambes! Ouille ! Me voilà handicapé j’en suis
certain… Ouille ! Je ne peux plus me lever aidez-moi, je vais partir, je peux vous le
promettre ! Un courriel ? quel courriel ? Je ne sais pas votre adresse !
L’homme abasourdi d’être aussi maltraité par une femme n’en revenait absolument pas;
à genoux par terre, impossible pour lui de se lever, cette jambette et ce coup de pied de
bottine tout terrain savait lui causer un mal fou, cette aventure lui octroyait un sacré
méli-mélo au cerveau, fractures aux deux jambes, migraine affreuse, l’homme se sentait
démuni prêt à chialer… Et c’est ce que le gringalet sut faire. Il sanglotait à faire
trembler les murs de cette mansarde sans se préoccuper de son look vachement baroque
et incongru. Cheveux noirs d’une texture peu ordinaire, yeux dans l’eau. Peine réelle ou
simili ?
Jessie redevenue calme à l’extrême ne ressentait aucune compassion ni haine pour cet
homme inintéressant qui savait lui arborer que des problèmes. De nombreuses pensées
et notes antérieures lors de ses multiples cours cumulés en relation d’aide lui vinrent à
la mémoire en un subit dialogue intérieur.
Quelle tuile ! Mais pas vraiment insurmontable ce dilemme, cet individu souffre de
dédoublement de la personnalité, allons-y mollo, les personnes bipolaires sont parfois
imprévisibles voire surprenantes au superlatif, il suffit de dire oui pour qu’elle s’arquent
boutent abruptement dans le déni le plus abject possible, une dame avertie en vaut une
autre avec pareil phénomène. Sans songer de trop vraiment; le temps présent n’était pas
aux rêveries subliminales aléatoires, subtilement elle se devait d’agir avec ce
personnage plus que spécial. Bien sûr les bénéfices secondaires pour un tel malade
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s'avèrent souvent de grande intensité. Il est primordial d’user de tous ses moyens
paranormaux pour bien repérer l’intermittence positive de ce sujet envoûtant et
extrasensoriel au superlatif!
- Qui croyez-vous être monsieur ?
Elle eut aussi en souvenir que les jeux et scénarios des individus aux prises avec
diverses pathologies peuvent en un peu de temps dérouter voire faire vivre l’enfer à une
personne non qualifiée. À la première perception, ce sujet énigmatique peut paraître
anodin et embarrassant à tous points de vue évidents, mais Jessie eut soudainement une
idée plus que lumineuse…
Elle eut en somme un réflexe de survie authentique.
Illico elle jeta en paroles dramatiquement ses pensées les plus secrètes :
Oh ! Je crois que je vais me sentir mal, Umberto, s’il vous plaît, aidez-moi, allez me
chercher de l’eau… Oh ! Voilà ce téléphone qui sonne à présent, ah ! Je croyais celui-ci
débranché ! Répondez! S’il vous plaît, je ne puis bouger, je me sens vraiment mal en
point ! Un bizarre de courriel précédent le vôtre m’a culbutée sans dessus dessous !
Quelle journée ! Je devrais dire deux courriels (e-mails). Je vais vous raconter…
Et comme la première fois lors de l’intrusion du mec lors de la prise de griffes avec la
chatte déchaînée, Jessie devint volubile et nantie d’une apparence étourdissante bien
apprêtée. Cet Umberto plus serviable que malin, avait un besoin viscéral de se sentir
utile. Un puissant appétit d’être serviable et qu’on ait le mandate pour lui offrir son
aide. Ses yeux s’illuminèrent, et soudainement plus de maux de jambes ni fractures
aucune, guérison totale ! Il se leva comme Lazare sous la demande de Jésus dans
l’histoire de la célèbre bible… Ce fut une réelle première victoire, elle, quasi désarmée
douze minutes auparavant… Elle s'étonnait elle-même de la réminiscence aussi facile
de toutes ces notions en criminologie et en relation d’aide acquises à l’université en ses
années antérieures d’études. L’individu en question s’avérait le parfait cobaye pour
mettre à profit la fameuse analyse transactionnelle tant controversée.
- Vous êtes vraiment gentil, je vous ai sous-estimé avant cette deuxième rencontre. Tout
ce baratin pour une guitare bidon, en effet cette fameuse guitare Nationale New-Yorker
1940 est un faux absolu en reproduction, l’originale création fut vendue, il y a de cela
quelques années, je raconte à qui veut l’entendre que cet instrument se veut le véritable
engin musical. Mais, voyez-vous, je suis une sacrée menteuse innée. C’est plus fort que
moi, à tous les jours de ma vie je me dois d’inventer quelques sornettes, parfois petites
et sans importance et d’autres fois très judicieuses voire très sérieuses.
Trois seules répliques de ces guitares existent au Québec, la troisième fut réalisée par un
fameux luthier en reproduction, avec de plus de cinquante ans de métier, il va sans dire
que l’œuvre crée est impeccable… J’adore depuis ma tendre enfance faire pédaler mes
proches en leur inventant des scénarios à dormir debout pour moi mais toujours très
crédible pour eux à tout coup, je sais les emberlificoter intensément ! Ma plus grande
hantise c'est qu’un jour ils découvrent la vraie Jessie-Fleurette. Songez-y, je serais
portée à néant dans leur estime et répudiée d’eux je serais immanquablement. Allez
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aidez-moi à me sortir de cet arnaque qui perdure depuis déjà trop longtemps. Vous serez
alors mon ami !
Un transfert d'affect ou de souffrances et l’authenticité! Voilà le secret pour débuter une
relation d’aide avec ce genre d’individu… Jessie par expérience antérieure en fut
consciente à nouveau : plausible et véridique, cette méthode vieille comme la terre
fonctionnait systématiquement.
Les yeux de cet Umberto en premier lieu s’illuminèrent autant que ceux d’un enfant qui
enfin trouve son semblable en un ami, en quelque sorte son miroir ! Et cet homme se
transfigura soudain, sa figure à l’habituel impassible et morose devint accessible à
sourire, sont teint quoique brun mais blême s'éclaira très vite aux sons de toutes les
gentillesses et délicatesses de la femme, il la sentait si triste. Un peu comme lui,
lorsqu’il mentait en fraudant ou en dérobant des choses qu’il ne voulait pas obtenir le
moins du monde; une force quasi infernale le poussait à exécuter sur-le-champ ces
stupides larcins qu’il ne voulait pas effectuer ; comme si un second lui-même démentiel
et inconstant se permettait de lui ordonner d’agir à sa place ? Quelle lutte constante de
tous les jours ! Tant de fois ce destin emmêlé d’imbroglios dévastateurs savaient le faire
souffrir.
Et cette femme se racontait, heureuse de lui dire qu’elle se vérifiait similaire, une
pareille à lui au féminin ! Inconcevable mais vrai ! Il se sentit soudain compris et pas
aussi seul au monde, comme sur un immense tremplin au bord d’une falaise, au mois de
juillet près d’un sous-bois à la mousse d’un vert tendre et doux, il plongea vite et bien
en faisant confiance pleinement à ce tremplin, sans la connaître davantage il lui confia
que depuis sa tendre enfance son père l’avait habitué à mentir et voler pour gagner leurs
vies.
- À chaque fois je sentais que je m’enlisais davantage, j’étais malheureux, mais un peu
comme dans un cercle infernal, je tournais en rond sans cesse sans jamais sortir de
ridicule rond de feu ou les braises me brûlaient l’âme indéniablement.
Je me surprends à vous dire tout ça, car jamais même à ma propre personne je ne me
l’étais avoué. Vous êtes la première à qui j’en cause, mon père jamais n’a eu de
confidences au sujet de mes élans d’âme et de leurs résultantes ahurissantes. Tant de
fois j’ai voulu mourir, anéantir moi-même cet homme infernal que suis devenu
lentement mais sûrement. Et de savoir que vous vivez tout ça dans votre intérieur sait
me rassurer, il me semble que je pourrais éventuellement guérir si je pouvais en causer
souvent de toutes ces péripéties de falsifications ou de cambriolages que je ne peux
admettre mais que je sais existantes, sauf pour les histoires que je raconte sans cesse
comme vous le faites pour vous sortir du pétrin. C’est exactement ce que je fais
moi-même.
Sommairement je rencontre une personne à ma ressemblance. C’est inimaginable ! Oui
je vais devenir votre ami et cette fameuse guitare à présent n’a pour moi aucune
importance vue sa reproduction et aussi que voyez-vous ce serait très mesquin de
dérober la guitare d’une amie ! Ce serait comme un peu me frauder moi-même !
N’est-ce pas ?
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Or, cette hypothèse plus que réaliste voire simpliste plût à Jessie qui venait de gagner la
deuxième étape thérapeutique avec ce patient imposé à elle-même par la vie mais en
voie de guérison probable... La dernière étape cruciale et véridique consistait à ne pas
laisser son imagination dépasser la limite de degré de vigilance d'Umberto.
En outre, ce dernier semblait d’une naïveté incontestable lorsque mis en confiance
absolue par une personne similaire à lui, son double en somme n’est jamais au préalable
passé sur sa route avant cette heure fastidieuse, éberlué, il l’était encore mais tromper sa
confiance il ne fallait sous aucune considération car ce genre personnalité ne saurait
absoudre ou plutôt ne pouvait absolument pas pardonner la tricherie puisqu’il en était
lui-même un spécialiste champion averti !
Ouf ! Tâche ardue mais réalisable pour une amante indomptée des âmes humaines;
selon Jessie, l’âme humaine et ses divergences notoires ont toujours captivé celle-ci au
plus haut des sommets, la relation d’aide se veut sans attente de voir l’autre se rétablir
totalement mais d’amenuiser sa souffrance intrinsèque, cause légitime de tous ces
malheurs… peu à peu le reste vient dans 95% des cas…
Et c’est avec cette ébauche d’une nouvelle amitié basée sur une banale relation d’aide
que ces deux personnages colorés descendirent au grand salon de la Chaumière et
suivait bien fière la queue bien en éventail, la chatte Chanel qui très perspicace flairait
que sa digne maîtresse avait comme à l’accoutumée fait le tour de tous ses violons
d’Ingres pour ressortir grande gagnante en demeurant authentique, devise que depuis sa
naissance la chatte devinait chez sa maîtresse et amie. En toute confiance les trois
personnages dignes d’un roman louvien (doux) polarisé frôlant le fantastique eurent tôt
fait de descendre l’escalier dont la rampe sculptée sou forme de boa savait donnait le
ton aux raretés incomparables de cette Chaumière hors de l’ordinaire.
Deux messages téléphoniques figuraient sur l’afficheur; Umberto tellement éberlué de
sa nouvelle sœur de l’âme fut incapable dans la mansarde de répondre à temps lors des
quatre brèves sonneries musicales de l’appareil.
- Alors cher hermano del alma ou frère de l’âme, je vais écouter ces messages, peut-être
sont-ils importants?
- D’accord mon sauveur, tu permets que je te nomme ainsi ?
- Sauveur ? Hum ! Non, je n’aime pas de trop, un guide peut-être, mais pas sauveur,
non, je me sentirais piégée pour continuer et de cela je n’ai aucun temps, je saurai
t’aider à l’écart; ma vie est très remplie, tu sais, les arts, l’écriture, la musique d’Éric et
maintenant j’ai des invités spéciaux qui viennent de la Californie. Ils sont ici depuis
quelques jours, ils font des courses aux Galeries des Monts à Saint-Sauveur. Au fait tu
peux souper (dîner) avec nous si tu le veux, j’expliquerai à Éric que tu n’es pas vraiment
mesquin et que de cette fameuse guitare tu n’en as rien à jouer. Ça te va ?
- Ça me va pour le guide mais pour le souper et la rencontre de ton copain enfin ton
époux et tes invités des U.S.A. je vais y réfléchir pendant que je vais lorgner ces
chefs-d’œuvres en peinture… Tes œuvres à toi si je ne m’abuse, n’est-ce pas ?
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- Oui ! En effet voilà une partie de l'ensemble de mon œuvre. Ici dans la Chaumière
voilà des inédits ou presque, seulement quelques personnes ont eut le loisir de les
zieuter.
Et Jessie décide alors d’écouter ses messages téléphoniques. Le premier :
&quot;Bonjour madame O’Briend, ici Bell Canada nous tenons à nous excuser du
contretemps que la perturbation de nos lignes téléphoniques de Saint-Sauveur à
Saint-Adolphe ait pu vous causer. Ce fut au-delà du nombre de tous nos techniciens,
l’ampleur de cette panne fut des plus notoires et… Bla bla bla….
Le second : Bonjour miss Jessie, ici l’agent Bérubé, malencontreusement le fameux
Umberto dont l’opération guitare était son dada a été libéré conditionnellement suite au
procès qui s’est déroulé au palais de justice sur la rue Laviolette à Saint-Jérôme. Faute
de preuves véritables, l’homme en question sait se balader désormais sans ressources
humaines pour contrer ses souffrances. Il a refusé la relation d’aide proposée, ignorant
sans doute lui-même être atteint d’un mal profond quelconque. Soyez aux aguets miss
O’Briend car il récidivera sûrement dans votre coin de paradis. L’appât du gain face à
votre guitare rarissime ainsi que la paix entourant votre home. N’hésitez surtout pas à
me ou nous contacter à toutes heures soit du jour ou de la nuit. Au revoir.&quot;
Jessie supprime alors les deux messages et fait d’un trait une recomposition face au
second message. Lorsque la voix de la boîte vocale se fit entendre elle composa le poste
231 et dit comme ceci :
Citation:
&quot;- Bonjour, ici J-F. O’Briend du Chemin du Grand Ruisseau à Saint-Sauveur, cher
monsieur, merci de vos brillantes et réalistes affirmations qui sont présentement à
l’œuvre et à l’épreuve de mes quelques moyens. Tout va pour le mieux et je serai
demain dans la matinée à dix heures précises à votre domicile, munie d’un dossier
explicitant ledit sujet. Une œuvre grandeur nature je saurai aussi apporter faisant foi de
ma créativité spontanée. Ci-inclus aussi le numéro de mon téléphone portable :
(450) 612- 3066. S.V.P. pour confirmation du rendez-vous suggéré, veuillez laisser un
message.&quot;
Et Umberto n’en finissait plus d’admirer les toiles à l’huile, acrylique, aquarelles,
pastels, fusains de tous formats, formes et couleurs. Soit réaliste, abstraction figurative,
figurative ou figurative abstractive, la palette de l’artiste s’avérait très émotionnellement
permissive ; En ce sens que nul besoin eut-elle de copier la nature, les choses ou les
êtres, les observer et les aimer était son seul critère pour savoir leur donner vie sur la
toile ou le papier réservé à cet effet.
Une œuvre à l’huile brossé sur bois et de très grand format principalement savait le
bouleverser ainsi, il admirait d’ailleurs cette fresque pour la deuxième fois puisque lors
de sa première et accablante visite, il avait malgré le grand tumulte aimé voir cette
scène surréaliste d’une grande luminosité et doté d’un calme inexplicable. Jamais il
n'aurait pensé aimer à ce point une œuvre artistique, son amour des arts plus jeune dans
sa petite enfance il fut obligé de le freiner à cause de sa vie de saltimbanque avec son
père. Vers l’âge de douze ans, il lui en avait causé comme ça, qu’il aimerait peindre
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mais son père un névrosé né, pris de panique à se retrouver seul, lui raconta que tous les
peintres, musiciens ou autres artistes devenaient complètement dingues à force de
pratiquer leur art. Jamais jusqu’à ses dix-huit ans il n'osa en reparler… La musique
aussi l’attirait, il se souvenait lors de ses huit un jour de juin très chaud en Californie ils
étaient chez un client, son père faisait le débroussaillement à l’arrière-plan de la maison
d’un richissime musicien dont il avait oublié le nom, sa compagne une gentille dame lui
avait donné du gâteau au chocolat, de ça il avait le souvenir vraiment frais à la mémoire.
Son père vers le milieu de l’après-midi avait soif d’eau et le boyau ne fonctionnait pas,
donc il sonna à la porte arrière de la véranda mais personne ne répondait. Son père
poussa la porte de moustiquaire et j'avançai instinctivement, il appela mais en vain,
personne ne vint, il se rendit au lavabo et but deux verre de suite et m’oublia dans le
coin et lors de sa sortie je le vis saisir un papier gisant par terre, une longue feuille
bizarre avec des clefs de sol et des fions ici et là des deux sens de la feuille. Il plia en
deux les parties le document, le replia en quatre et l’enfoui dans son portefeuille
brun-rouge. Et il sortit sans même me voir…
Ma sortie se vit vite et en douce, j’étais jeune et très curieux de savoir de quel papier
important il s’agissait, car mon père n’avait rien d’un homme de lettres ou de paperasse
au contraire tous ces griffonnages quelconques à l’habituel savaient l’ennuyer au plus
haut point. En plus qu'un jour de Noël lors de mes dix ans je lui avais confectionné une
carte illustrant un arbre, un chien et un enfant près d’une montagne, sur l’autre partie
vierge un poème d’environ douze strophes remplissait la page. J’en étais si fier car il fut
créé en état de grâce, je le sais, je m’étais levé la nuit d’avant le 25 décembre pour le
mettre sur le long papier beige payé deux dollars chez le libraire. Et pour ma première
création vraiment réussie visant à la remettre à la personne que j’aimais le plus au
monde, ce fut toute une déception pour ma première remise d’œuvre enfantine et ma
dernière aussi…
Mon père ne vint pas souper j’étais seul et triste pour cette veille de Noël et vers deux
heures du matin lorsque j’entendis son pas dans le couloir je me levai tout fier de lui
remettre mon présent, il fut surpris et fâché de me voir à cette heure debout. Je lui remis
ce grand papier carton, étonné il ouvrit le tout, le regard embrumé par l’alcool, louchant
un peu lors de ces moments que je n’aimais pas, et nerveusement me dit :
- Qu’est-ce que c’est que ces stupidités ? Ne me dis pas que tu écris des poèmes ?
Voyons donc c’est stupide ! Ce genre d'écriture ce n'est pas pour les gars mais pour les
filles ! Ne me dis pas que tu vas devenir homosexuel ? Je ne veux plus jamais voir des
balivernes pareilles chez nous, est-ce que tu as compris ? Il recula de deux pas faillit
tomber à la renverse et lance comme fou le cadeau tant travaillé au bout du couloir et se
dirigea vers sa chambre en parlant seul. J’eus un chagrin fou de ce fichu Noël. Il dormit
toute la journée et le lendemain il avait comme d’habitude tout oublié. J’avais honte car
ses paroles étaient tomber comme des pierres pointues sur mon cœur d’enfant. Des
niaiseries et juste les homosexuels qui écrivaient des poèmes et…
Et je me repliai tellement sur mon sort de bon à rien que pour trois ou quatre ans je n’ai
pu dessiner ni écrire rien. Un blocage immense une dame m’a dit lorsque j’osai lui
raconter qu’un homme (je n’osai lui dire mon père) avait fait ces remarques à l’égard de
mes deux créations. Elle fut bien étonnée et me dit comme ça de pardonner à mon père
que l’alcool avait rendu bien malade. Elle m’encouragea à continuer c’est à dire
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recommencer à nouveau sans jamais me laisser brimer par qui ou quoi que ce soit,
surtout par centaines gens malveillants qui désiraient ma perte ou défaire mon style soit
en écriture ou en peinture. Puisque depuis ces années je n’avais fait aucun croquis ou
poèmes je fus obligé de me refaire la main et les neurones.
Petit à petit je repris confiance en moi et à tous les jours après mon petit travail de
camelot, je griffonnais sur toutes sortes de surfaces des petits paysages, des figures et
des animaux qui bizarrement savaient m’étonner et me calmer intérieurement.
Ironiquement une semaine après cette dame mourut d’un bête accident, lors de son
rendez-vous dominical à l’église de son patelin, un chauffard l’a heurté de plein fouet et
la fit basculer au creux d’un fossé. J’eus beaucoup de chagrin car elle fut mon premier
contact m’incitant à me confier.
Et Jessie lui dit tout de go:
- Et voilà que plusieurs années plus tard vous arrivez comme ça sur ma route ou plutôt
j’arrive…
Voilà Miss Jessie quelques écrits, j’ai confiance en vous. Vous pouvez les
regarder…Cette façon enfantine de lui faire voir ses créations eurent vraiment un effet
boomerang sur le cœur de Jessie! Cet homme n’avait pas de malice...
Ces poèmes créés par Umberto savaient émouvoir Jessie, après cette lecture plus
qu’attentive, elle décide de lui remettre l’adresse de courriel de sa maison d’Éditions de
Laval... De nature plutôt sympathique et altruiste, c'était pour elle un réel plaisir d’aider
cet homme qui elle en est vraiment convaincue maintenant par l’embrasement de ses
écrits était vraiment sincère.
- Umberto, votre façon d’écrire sait me plaire au plus haut point, ce serait dommage de
laisser s’étioler un pareil talent. Je vais vous aider à vous faire connaître, car dans le
milieu des lettres ou de la peinture, le chacun pour soi est à l’honneur sauf si l’on a
beaucoup de pognon ou d’importants contacts culturels ou littéraires.
- Ah! Oui! Voilà, ici dans un autre portefeuille, une feuille avec d’autres écrits, tenez,
c’est la première fois que quelqu’un lit mes poèmes… Je me sens bizarre…
- C’est tout à fait normal, au début l’accord et l’approbation des autres est très important
voire primordial puisque votre estime de soi s’avère très faible car personne n’a jamais
reconnu votre talent, la reconnaissance chez l’artiste ou l’auteur voilà un point crucial…
Ah! Voici un excellent titre le Mirage…
Je suis heureuse de vous lire, trop souvent aussi en ce milieu l’égocentrisme règne en
roi maître, rarissime sont les auteurs ou les peintres qui savent aider leurs pairs
inconditionnellement, tout est calculé via une arrière-pensée.
D’autres écrits se trouvaient dans le petit cartable… Trois ou quatre pages tapées avec
une simple machine à écrire lui fit comprendre la patience de cet homme de lettres qui
savait œuvrer dans l’ombre sans personne pour le faire valoir à sa juste mesure.
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Et Jessie lut cette lettre faisant partie de la pièce théâtrale qu’il avait écrite l’an dernier
et qu’il conservait à la maison, ces écrits dont lui causait Umberto antérieurement elle
était curieuse de les lire un jour mais pour l’instant elle saurait en lire des bribes et le
tout serait suffisant pour qu’elle puisse juger de la pertinence du style, de la tournure
des phrases et de la richesse de la sonorité.
Et elle lut avec attention les écrits du fameux personnage qu’était ce Umberto.
Longue missive en annexe d’une pièce théâtrale (d'Umberto Patterson)*
Citation:
Cher petit franc-tireur,
Me voilà (selon vous) maîtresse des mots... (prof ou amante?) Ou alors du tombeur de
ces dames, voilà tout un amalgame d'emmerdes pour moi à l'horizon! Mais Zut!
Rien à faire, le sort qui en est jeté est au port et pas d'attache, si la pression devient trop
lourde pour ma vie artistique, je me cacherai là où ailleurs et à la bonne heure, je saurai
me tirer à l’Anglaise et pour de bon! Je suis aussi la maîtresse de mon sort avant Dieu,
ne l’oubliez surtout pas sire.
Sinon près de vos tentacules envahissants je m'étiolerai comme une fleur sans eau.
Puisque selon lui, ce franc tireur, et à ses yeux enjôleurs, je suis quasi sans tache! Une
vraie perfection quoi! Quelle tâche horrible me guette et sait m'attendre à ce tournant
détonnant étonnant... Je suis à fleur de peau et vous l'avez deviné et c'est tant mieux!
Les pots de fleurs souvent sont moyennement fragiles, certains d’entre eux s’avèrent
plus que corsés, un peu comme certains cafés du genre, ils sont délectables jusqu’au
dernier corpuscule. !
J’ai ressenti fortement aux confins de votre missive antérieure une vive et rustique
arrogance, votre ouverture d’esprit vivement disparue et votre cœur désormais aussi
coupant que le diamant. Quel petit franc tireur vous faites! J'aime bien ce mode
d’expression subtil dévoilant à votre plus grand effarement votre immonde ego
irréfutable.
Votre personnalité subtile et non épurée a su me dicter l’éloignement car pareille amitié
unilatérale saurait croquer petit à petit mes énergies culturelles et littéraires… Vous
affirmez en interrogation subtile cette impertinente phrase et je cite : «…. Il n’y a
qu’une femme en amour pour écrire pareils mots que je sois formidable et plus, moi si
petit et nouvellement arrivé dans ce métier n’ose être aimer d’une forme d’amour telle
que celle-ci de votre part…»
Question indirecte mais écumeuse voire prétentieuse…
Une copine littéraire à moi m’a formellement affirmé que vous recherchiez par vos
ruses infuses une mamelle… Je n’ai pas osé le discerner en ce dimanche de vernissage
de mes œuvres en peinture, mais désormais je sais qu’elle a su pressentir juste!
Dommage! Au bout du chemin vous y perdrez et la face et la maîtresse de ses mots qui
vous faisait tant rire, Je doute encore de ses rires, puisque j’ai réussi fort heureusement à
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dévoiler votre jeu double voire triple avec toutes celles dotées de vous ouvrir quelques
portes ici et là… Vous savez aimablement bien les flatter au moyen de vos mielleuses
paroles au bon endroit… Je vous plains plus qu’autre chose.
Pour ma part je saurai par cette disgrâce amicale devenir plus élaborée en écriture voire
moins soucieuse des mesquineries d’autrui puisque celle-ci fut en toutes mes heures
littéraires le dépassement des hautes fréquences malsaines.
Un auteur ne se forme pas dans l’ouate et le trop plein de lui-même, l’épuration, les
sacrifices, les déboires, les insuccès, quelques succès, beaucoup d’abnégation et
d’écoute sauront le mener à bon port. Non pas de la gloire ni des reconnaissances
humaines ou les flatteries souvent biaiseuses des hommes ne font qu’empirer cette
fausse personnalité.
Mais la pérennité de l’amour vraie pour l’écriture sera magique et salvatrice pour
l’auteur via le vrai lecteur. Car il en existe des faux qui lisent comme ça sans
comprendre de trop mais le j’ai lu peut tellement faire sympathique aux oreilles de
certains.
AMORE, AMOUR, LOVE... LES MOTS D'AMOUR EN ultime TRANSPARENCE
VIA LEURS MAUX EN DOUBLE CADENCE...
- L'Amour selon le vieil adage de la chanson dit-on est enfant de bohème... Et n'a pas de
loi! …
-Pensée intime automnale de Jessie…
Soyons aux aguets! Voilà me dis-je; un bandit avec attrait !
Question Piège sur Piège...
N'est-ce pas? Sur ce sujet souvent galvaudé à tort et à raison... Et plus
encore par la gent masculine....'' Aznavour cet arménien-français l'a chanté à nous de le
répéter: …«'Reste, reste encore sur mon corps, assouvie, décoiffée par mes mains...'.»
Aille! Ouille! Comme un cactus! L’Amour ce saltimbanque désaxé et souvent paumé...
Nous retourne à l'envers pareillement à un lapin que les vilains savent déshabiller
lorsque tué! Quel sacrés assassins ces chasseurs de gibiers innocents et purs de cœurs…
Diane Dufresne l’incomparable chanteuse et peintre québécoise l'a chanté
immortellement : …« Ne tuons pas la beauté du monde….» (Paroles grandioses de Luc
plamondon).
Devrais-je vous chanter ou vous prendre sauvagement en flagrant délit d’amour chemin
vous faisant couvrir de flatteries mielleuses face à vos écrits non-littéraires, (puisque
l’énonciation du ‘ non-littéraire ’ fut écrite par vous jadis, par vous n’est-ce pas ?) car
vous ne faites que vous désennuyer en écrivant! Vous l’avez proclamez aussi!
Amore excusa me peut-être avec ça? L'amour tapis j'ai horreur!
L’amour sans fondement, l’amour qui quémande constamment, l’amour malsain sur le
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quel on peut essuyer ses bleus au cœur, ses doutes constants de soi, ses ratures littéraires
alors deviennent de brillantes thèses en vers! Et à votre insu, je me tape un de ces Blues
langoureux dans mon ordinateur en transe, tout en vous racontant mes élans d'âme
présents et ceci en délicieuse transparence de volupté éclairée... Suis-je claire et concise
ou trop blanche et pas assez impure? De grâce maestro ne me concocter surtout pas une
thèse sur la pureté, naïve à l'extrême je saurais m'y perdre à jamais pour ne pas dire
toujours...
Réciprocité effervescente il y a, je pense, il n'y qu'un homme en amour pour se
complaire ainsi à pomper l'air d'une maîtresse littéraire aussi blanche et pure selon vos
mielleuses flatteries que je puisse l’être. Admettons que je sois passée sur votre route
pour éclairer votre âme fière et pure mais pas aussi innocente que vous le laissez écrire
depuis quelques pleines lunes... Désormais vous aurez sûrement l’occasion de renouer
avec une au plusieurs dames aux tendres cœurs ouverts. L'amour chanté selon le
merveilleux Michel Pagliaro est un jeu dangereux!
- «T'es comme une fusée! Tu me fous la bombe...&quot; (chante-t-il) quel
auteur-compositeur quelle voix du tonnerre! Un couple d'amoureux fous étonnants à se
jeter par extraordinaire et sa femme Stephen, une formidable auteure et terre! Je ne
saurais les envier car je sais les aimer! Voilà toute la différence sire.
La vraie question de la missive... Saurais-je y répondre? NON!
Rassurez-vous, je ne me défilerai pas, j'en rage comme une goupille en cage de vous
faire voir combien je suis sage lorsque je suis en nage!
Question époustouflante! Attachons nos lettres pour qu'elles s'accolent et se torturent
davantage! Les semailles et les moissons sauront à tout jamais me faire jouir à foison!
Cette semaine divine automnale nous offre
la chance de nous exprimer! Elle sera mémorable bel canto Del Amore pour la gent
féminine et aussi pour la gent masculine puisque tous et chacun nous sommes
androgynes.
Sachons nous exprimer en amour comme en haine sans fausse honte car tout ce qui ne
s'exprime pas en paroles ou en lettres s'imprimera pour un bail intrinsèquement...à ces
éminentes terminaisons, remettrez ainsi d'emblée deux points en terminaison de
littéraire, je le ressens déjà, car ma petite virgule bien en forme peut se hisser insolente
et en transe elle saura insolemment vous combler en vrombissant doucement un refrain
bien au-dessus de votre inoubliable torture qui perdure et muni de votre ligne
horizontale point d'interrogation...
à suivre sans dérive pour le number 5
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UN LOUP-MARIN SUBTIL VOLET TROIS
UN LOUP-MARIN SUBTIL VOLET TROIS
SUBTIL DE LOUP-MARIN
LES ROSES MOROSES IN CALIFORNIA
La belle Californie au climat merveilleux durant le mois de novembre se veut des plus
enivrantes; spécifiquement pour les gens dont le pays se vérifie quelque peu frisquet
voire froid. Les roses moroses au jardin de la Chaumière de l’Edelweiss seraient
jalouses de la roseraie extraordinaire de Lynda Mayfair en Californie. Celle-ci savait
désormais en prendre soin passionnément tout au long de l’année. Un maillot noir et
vert d’eau l’habillait formidablement bien. Ce chignon très haut juché, petites lunettes
fumées et paréo assorti lui octroyaient un air coquin des années cinquante.
Une lettre gisait sur la table octogone...
Cette lettre datait d’environ dix-huit jours puisque sans adresse précise nonobstant le
code, ou plutôt le zip, cette missive eut l'opportunité d’amerrir d’une façon un peu
loufoque; le facteur, un bon copain de longue date lui avait remit cette enveloppe. De
couleur lilas, à l’endos, trois roses savamment superposées savaient sceller l’enveloppe
d’un triangle romantique un tantinet psychédélique. Une adresse notée par le
truchement d’une fine écriture tissée serrée, un peu comme celle de son père…
- Stepheno... tu ressembles tant...
Depuis la réapparition de son collier de jade, ce bijou ne quittait plus son cou. Depuis
ces fameux événements, sa vie fut des plus chambardées. Faisant suite à une prise de
conscience sur elle-même. Elle décida de vivre une thérapie à Hazelden Manoir.
Son père s'était marié en secondes noces avec Esther de Landreville et de cette union
naquit un fils; Stepheno dont elle ne connaissait que le prénom puisque sa mère
demanda le divorce deux mois après la naissance du garçon. Du moins c’est ce que son
père lui raconta puisque elle vécut quelques années dans un pensionnat privé. Lynda
dont l’absence se prolongeait à Winchester en Angleterre n’eut pas le bonheur de
connaître son demi-frère et elle en fut chagrinée. Puis un jour, un télégramme au nom de
son père décédé depuis quelques années lui appris la mort de cette étrange belle-mère
aux yeux languissants et tristes; une très jolie femme, un peu voire beaucoup effacée;
elle disait sans cesse oui à son père, ne voulant sans doute pas le contrarier. Rarement
elle donnait son opinion et parlait seulement pour répondre à son interlocuteur quel qu'il
soit. Une grossesse difficile et un accouchement très long lui octroyant en prime une
sévère dépression, pernicieusement la mélancolie post-partum de cette femme encore
selon son père fut des plus dramatiques. Toute la maisonnée devint triste, le jardin, la
roseraie, l’étang, même les oiseaux savaient s’éloigner du Manoir aux Roses.
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En ce Manoir aux Roses il y émergeait en ce temps là un climat malsain, quasi
contagieux, mon père devint aussi triste et le bébé très pâle ignorait le sourire.
Lorsqu’un jour de juillet en canicule elle fit sa valise, mon père n’en fit pas un ictère,
car le tout se régla d’un accord commun, moyennant une assez grosse fortune à
l’avantage de la mère et de l’enfant. Elle lui promit que très bientôt il aurait de ses
nouvelles et qu’elle reviendrait souvent avec ce fils. Elle ne tint pas parole, lapida toute
sa fortune en laissant à son décès des petites dettes ici et là.
Cette enveloppe aux reflets mauves pâles dans les mains me fut remise par le facteur; la
missive s'avérait la responsable de toutes ces pensées d’un hier tumultueux dont Lynda
se projetait inconsciemment dans l'temps. Au coin gauche de l’enveloppe un nom et une
adresse annotée :
Stepheno de Landreville, 440 Chemin de la Chaumine Saint-Adolphe D’Howard JOT
2BO - Québec, Canada.
Heureusement, un acte notarié confirmait le lien de parenté... Donc son frère enfin sera
bientôt près d’elle, incroyablement elle a toujours cru en lui, le sang paternel identique
coulant dans leurs veines y était sûrement pour beaucoup. Ce frère qu’elle ne
connaissait que de nom Stéphano de Landreville; son père, enfin, leur père avait daigné
convoler en justes noces avec Esther de Landreville. Elle savait par la lettre que celle-ci
décédée depuis le mois de septembre 2001 avait en héritage maternel gratifié son fils de
petites dettes ici et là. Heureusement, un idem d'acte notarié par sa mère savait le libérer
de toutes les dettes contractées par celle-ci.
- Ah ! C’est le nom de mon demi-frère ! Quelle fine écriture ! Un peu comme celle d’un
enfant. Délicatement avec un pincement au cœur Lynda fit sauter le rebord de
l’enveloppe d’un coup de bâtonnet à rosier.
- Oh ! Ce papier est parfumé après plus d’un mois de voyages ici et là…
Puisque son frère ignorant l’adresse précise tenta sa chance postale connaissant
seulement de nom la région et le code. La missive arriva comme ça, par un hasard plus
que mystérieux. Cette fine écriture sans nulle aération lui faisait songer à celle de son
père ; Cet homme merveilleux lui manquait tant et tant depuis son funeste départ. Sa
bonne humeur, son sens inné de l’humour, sa musique en guitare. Ses suggestions
subtiles dont le but ultime justifiait son bonheur, enfin cet amour inconditionnel que fut
le sien, comme seul un authentique père sait offrir. Par soubresauts étranges ce chagrin
revenait lui frôler l’âme, pourtant longtemps après le grand trou béant que ce deuil eut
laissé en elle.
Pas facile de vraiment se consoler des grands chagrins, certaines gens ne savent que
s’en distraire et ce tout au long de leur existence.
Lynda Mayfair très maladroitement avait cru quelques années durant noyer ce grand
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chagrin dans l’alcool, plus spécifiquement la Téquila. Avec la dive bouteille, lentement
elle se rendant à l’agonie intérieure. Un matin au goût de cendre de plus dans son
existence morbide lui fit prendre une extraordinaire prise de conscience sur son identité
devenue sienne. Elle sut comprendre dans un grand élan bénéfique qu’elle aspergeait
seulement sa peine et ne saurait jamais la noyer. Cette thérapie à Hazelden Manoir fut
vécue honnêtement face à elle-même avec une résultante plus que flagrante, ce qui lui
permit de se connecter avec une personne qu’elle connaissait très mal, elle-même. Aux
autres, elle savait démontrer une autre personnalité, à certains autres une autre...
Durant sa thérapie pendant 32 jours, ce travail à l’intérieur d’elle lui fit voir son
égocentrisme, racine ignoble de ses nombreuses souffrances, l’obligeant à consommer
de l’alcool. Elle apprit jour par jour à vivre sans alcool et à ne pas fuir la douleur ou le
chagrin quels soient-ils ! Elle apprit à se connecter avec ses émotions saines et d’en
balayer les malsaines ce qui l’emmena plus profondément à faire la connaissance
d’elle-même et de vivre cette acceptation. Savoir être authentiquement soi-même peut
s’avérer dérangeant pour certaines gens mais rien n’a su la stopper dans sa démarche
vers la félicité, son bonheur à elle.
Le papier à lettres de qualité lui plût, trois roses similaires à celles du rebord de
l’enveloppe se couchaient en douce près d’une mini-photo d’homme.
- Hum ! Mon demi-frère ! Photo un peu floue mais il me semble un bel homme ! Je
t’aime sans te connaître dores et déjà, car voilà, je peux enfin apposer un visage sur ce
prénom de Stepheno tant pleuré depuis mon enfance.
CHAPITRE SEPTIÈME
Une dernière lecture viendrait sceller ces textes qui pour elle s’avéraient un tremplin
important pour sa vie littéraire et culturelle. Bien installée jambes croisées à l’indienne,
la récitation à voix haute du premier récit sous forme de pièce débuta :
PREMIÈRE COMÉDIE LYRIQUE
EN DEUX ACTES
Les Parasols sauveureois
Par J-B. O’Briend...
Et cependant se déroulait un...
DRAME SATYRIQUE VÉRIDIQUE AU QUÉBEC
Jessie fière d’elle après cette relecture fit un salut à son père dont la photo encadrée était
posée à côté de la grosse boule cristallin qui servait de lampe. Tu vois papa, je te confie
ces textes, essaie d’ouvrir l’esprit de ce comité de lecture, car cette publication est très
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importante pour ma vie littéraire. Sans la reconnaissance nous sommes mis au rancart
dans ce milieu et surtout du public qui a besoin de noms connus et reconnus, tu le sais.
- Voilà la Jessie- Fleurette, clique sur Envoyer en pièces jointes vers le destinataire…
Une trentaine de pages pour cet appel de textes et vlan !
Jessie venait à peine de terminer la projection cybernétique de ses textes aux Éditions
Son de Cloche, qu’un bruit étrange mêlé d’un miaulement à haute intensité la fit se
lever d’un bond. En toute hâte elle grimpa l’escalier menant à sa mansarde, la porte était
entr’ouverte, alors elle vit une scène abominable : C’était Mine de rien la chatte aux
prises avec un homme assez costaud. La fenêtre ouverte laissait voir un bout d’échelle
prédisant que l’invité surprise était furtivement grimpé là-haut dans un but pas vraiment
amical. La belle chatte dérangée dans son sommeil n’a certainement pas apprécié cet
étranger fouillant ainsi dans les hardes et trésors de sa maîtresse. Qui a dit que seul le
chien savait être le gardien d’une chaumière ? Un fouillis immonde régnait dans la
chambre. Le sang perlait sur la figure de l’homme ainsi que sur ses mains et sur ses
bras.
- Que faites-vous chez moi Stephen de Landreville ?
Jessie avait reconnu le mec à la jupe des toilettes du Théâtre le Patriote de
Sainte-Agathe.
- Ah ! Je suis content de vous voir la bouille ! Rendez-moi la guitare usurpée de votre
part et occupez-vous de ce chat tigré timbré sinon je ne réponds plus de son gabarit.
Elle sourit intérieurement songeant qu’elle avait grâce aux rayons lunaires eut le
privilège de voir plus que son faciès. L’individu hagard criait de plus belle et devenait
hystérique. C’est alors que Jessie songea que la maîtrise de soi devenait primordiale
pour calmer cet homme. D'instinct ludique elle devint volubile mais causa très
calmement.
- Oui ! Vous avez parfaitement raison, ce chat n’est pas gentil du tout, nous saurons lui
régler son compte en temps et lieux, allons monsieur de Landreville, venez descendons,
soyons réalistes, nous causerons de la guitare plus tard; cet instrument se trouve dans le
pavillon près du garage. Je saurai vous asperger les égratignures de peroxyde
d’hydrogène sinon il y aura infection !
Le bonhomme éberlué du ton calme de Jessie semblait se calmer aussi. Il se reluqua
dans la grande glace qui faisait partie intégrante d’un mur et en conclut l’affirmative
pour cette invitation de la descente vers le grand salon.
- D’accord ! Mais tenez parole sinon ce sera votre fête ma chère.
Ironiquement l’anniversaire de Jessie s’avérait à minuit ! Quelle situation choquante et
la damnée guitare s’étendait bien en évidence pourtant dans le coin gauche mais pas
idiot de la chambre ! Le matin même Jessie avait négligemment déposé dessus
l’instrument musical son long châle noir. pièce originalement crocheté avec amour par
sa tante Marie-Paule pour un anniversaire il y a plusieurs années. Sur une des planches
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de chêne posées jadis par son père, l’innocent instrument juché narquoisement semblait
lui faire un clin de notes par les losanges vides du châle. C’est alors que Stephen de
Landreville décida de descendre au salon. Par un certain hasard la guitare par ce fait
même demeurait tout à fait invisible. Voilà une bonne raison pour demeurer calme
puisque ce point marquait pour Jessie une avance sur l’homme vraiment désarçonné et
plutôt intrigué malgré ses souffrances.
Le grand salon désormais sombre, vu l’orage en prévision qui se mijotait une façon
d’éclater; l’air devenu lourd comme cette satanée imposture, comment retenir cet
homme sans qu’il y ait de la casse ? Jessie se posait intérieurement la question tout en
marchant machinalement sur le grand tapis des Indes, dont les immenses orchidées ne
lui avaient jamais paru si grandes et si belles. L’adrénaline à son paroxysme lui fit
déceler en cette œuvre d’une rare beauté, le travail incommensurable de ces gens qui
savent œuvrer sur des pièces artisanales pareilles en ce pays. Quel paradoxe ! La culture
en tête et la vie qui ne tient qu’à un fil, enfin sa vie, insidieusement non sans tristesse.
Jessie revint sur terre après cette minute culturelle et bien doucement elle s’adressa au
visiteur vraiment mal en point :
- Veuillez prendre place sur le canapé monsieur de Landreville; je vais chercher la
lotion en question pour désinfecter ces égratignures ainsi qu’un petit cognac histoire de
vous ravigoter un peu.
Ce deuxième choix n’eut pas lieu de plaire à l’homme. Son regard se fit quelque peu
angoissé au milieu de ce salon d’artiste. Entouré d’œuvres picturales de toutes
catégories, formats et styles, ses yeux se promenaient d’un paysage surréaliste à un nu
extravaguant pour surplomber des chutes envoûtantes entourées de fleurs d’eau
sophistiquées. Il se retourna vers la cheminée oubliant ses blessures, l’homme eut un
choc en regardant l’immense œuvre d’art surplombant l’âtre; saisissant pour son âme fut
ce tableau à l’arrière-plan dramatique ! Quasi-grandeur nature dans un flou rosé inouï,
deux personnages peut-être des jumelles ou deux sœurs. Deux guitares tout au bas de
l’œuvre. Il se sentait comme dans un étau, mais curieusement heureux. Ce sujet
mystérieux savait ajouter à l’œuvre un secret doté d’une totale éclipse du cœur. Un
hymne pictural à la musicalité et aux sons disparates.
La chatte tigrée un peu penaude mais fière d’elle et flairant d’instinct le danger
s’éloigner de sa maîtresse s’était retirée sous le petit guéridon. Ayant pour ainsi dire une
vue imprenable sur le tout salon et spécifiquement sur l’humain aux odeurs bizarres qui
s’était octroyé la permission de fureter et virer sans gêne toutes les hardes, les peluches
et surtout d’avoir oser lui signifier à elle la chatte de la maison, que sa présence n’était
pas de mise dans cette chambre en lui flanquant un de ces coups de pieds au flanc
gauche mais pas idiot. Mine de rien qui approchait sa décennie terrestre n’a vraiment
pas su apprécier l’insulte avec voie de fait sur l’animal.
Un seul miaulement fut audible mais venu d’outre-tombe, et son saut ultra performant
conjointement avec le tour de force du félin se déroula comme l’éclair venu des cieux
qui sait électrocuter son objectif ! Indéniablement sortie de ses gongs animaliers, la
chatte atterrit sur l’homme et son visage à la physionomie ébranlée. Le premier point
d’atterrissage fut le nez et les joues et le front via le menton. Le beau bonhomme
d’instinct de survie masculin tout aux aguets fut-il, posa sa main gauche vraiment idiote
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sur sa figure désormais méconnaissable et quelque peu ensanglantée et tuméfiée. La
chatte aux griffes non hypothéquées fit en sorte que ladite main fut de par ces griffes
alertes bien descendue et éliminée.
- Bas les mains sale humain ! « Semblait-elle miauler !»
Et ce fut à cet ultime moment que Jessie fit son entrée dans la mansarde.
L’HONNÊTETÉ RÉCOMPENSÉE
Jean-Marc Sologne décida soudain de rebrousser chemin vers la Chaumière ayant
fortuitement oublié son téléphone portable sur le guéridon du grand salon. Dès son
arrivée près des pins, la pièce antique attira son attention.
- Bizarre l’échelle verte est posée à la fenêtre ouverte de la chambre de Jessie!
La moustiquaire gisant par terre l’intrigua davantage…
- Étonnant ! Les rénovations et la peinture sont pourtant terminés.
Jean-Marc longea la roseraie, enjamba le buisson de mûres sauvages y trouvant son
compte pour quelques éraflures aux bras. Ignorant le pourquoi et qui fut monté ainsi
jusqu’à la mansarde, le français d’origine grimpa d’une virée tout en haut de l’échelle.
- Oh ! Oh ! Du grabuge ici !
La mansarde il traversa sans bruit et s’avança lentement près de la petite salle d’eau.
Des voix en sourdine provenant d’en bas lui firent comprendre que Jessie était indemne.
Délicatement les treize marches de l’escalier furent descendues et de l’endroit ou il se
trouvait les quelques paroles perceptibles le mirent à moitié au courant de cette visite
qui sortait de l’ordinaire. Prêt à sauter sur l’intrus, Jean-Marc se tenait en haleine.
- Allons Monsieur de Landreville, tout va bien, à la bonne heure, demeurez calme et
cessez de bouger, soyez raisonnable et laissez-vous soigner, nous causerons de cette
guitare dans moins de deux !
- Ah ! Quelle souffrance ! Ce chat est un monstre ! Et puis cessez de m’appeler
Monsieur de Landreville ! Mon nom est Umberto Paterson, je suis d’origine italienne
par ma mère, je ne possède que les papiers d’identité du Stéphen de Landreville en
question, je ne le connais pas ce gars. Je sais qu’il habite à Saint-Adolphe et…
La souffrance rendait le bonhomme assez bavard et voilà qu’il se racontait sans fausse
honte explicitant ainsi un peu l’histoire.
- Oui ! Je suis du type filou, par hasard, j’ai usurpé des papiers d’identité négligemment
oubliés dans un mini sac en cuir sur la banquette avant d’une auto. La portière n’était
pas verrouillée dans ce stationnement du Théâtre le Patriote. Ces objets étaient en ma
possession depuis peu le fameux soir de Blues à Sainte-Agathe des Monts. Au fait ce
gitan, Éric quel musicien fantastique, j’ai loupé ce concert mais j’entendais quand
même… Aille! Ne frottez pas de trop, ça surchauffe ! Oui ! J’ai loupé la conclusion de
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la moitié, vu mon boulot ! Aille ! Attention à mon nez !
Jessie plus que lucide et bien à l’écoute savait que là-haut on marchait, elle était
consciente que ce serait soit Éric ou Jean-Marc qui allait faire intrusion dans le grand
salon et que l’inattendu se produirait. Et ce fut Jean-Marc qui descendit le colimaçon
d’escalier en toute douceur. Le personnage quelque peu égratigné faisait pitié à voir
quoique complètement de dos à Jean-Marc. L’homme continuait de plus belle ses
litanies délirantes, c'était comme si une montée de fièvre lui passait dans tout le corps.
Et en moins d’un soupir, le type s’évanouit d’une façon quasi théâtrale. Il glissa
lentement de tout son espace corporel comme ça sur le tapis jonché d’orchidées. Au
septième ciel Jessie le laissa choir tenant encore l’iode et les bouts de gaze blanc à la
main gauche devenue un peu idiote voire molle. Ses vœux libéraux furent exaucés
puisque le tout se déroulait sans voies de fait. Jean-Marc lui, causait avec un agent de la
Sûreté du Québec, par le truchement du téléphone sans fil.
- D’accord agent Bérubé, sans délai, car cet homme va sûrement sortir de sa léthargie
dans peu de temps. Nous attendons votre arrivée, surtout pas d’avertisseur ni de bruit,
ceux-ci auraient un effet néfaste sur la paix de la Chaumière.
En moins de sept minutes, trois agents en civil dans une voiture Chrysler Le Baron gris
fusil se pointèrent silencieusement à l’arrière-plan de la maison. L'escouade tactique
arriva un peu comme un cheveu sur la soupe qui sait s’étaler pour épater ou horrifier les
convives, sauf que cette fois-ci un seul invité fut vachement remué à son réveil.
L’homme se réveilla en bougonnant et délirant ces quelques mots un peu étranges :
- Oui ! À 90 kilomètres à l’ouest de Las Vegas. Et… l'État du Nevada, Au Chicken
Ranch! bordel… L’élevage de poulets ? Mais non ! Foutaise Blaise ! Je termine le
premier tome d’un roman…
Tout un charabia ! Les trois agents l’entouraient et attendaient son réveil total pour le
menotter. Le supposé Umberto Patterson ouvrit les yeux et vit tout ce beau monde
autour de lui. Ses pupilles plus que grandes de stupéfaction firent un demi-tour à gauche
et un demi-tour à droite. Les trois hommes et Jean-Marc ne lui inspiraient pas
confiance. Et la Jessie il reconnut et c'est alors que son sang tourna au bleu royal
sûrement, puisqu’il devint pourpre et marine sur sa figure tout à la fois. Il se leva d’un
bond, vif comme un chevreuil du printemps en pleine campagne, il traversa d’un jet le
grand salon, mais ce qu’il n’avait point vu existait encore… La chatte Mine de rien était
bien installée en boule au bout du salon. Fatalité du sort! Le mauvais garnement perdit
pied en s’accrochant primo dans un bout de carpette déplacée par la chatte dont la
mauvaise habitude existait depuis fort longtemps. Faire virevolter le bout du petit tapis
lorsqu’elle était joyeuse. Et secundo il perdit pieds pour de bon lorsqu’il trébucha sur la
chatte qui dans un miaulement strident termina de lui remettre en mémoire tout le
funeste de la présente situation. Face contre terre, le petit monsieur fut des plus faciles à
coincer par les agents qui de toute éventualité se remémoreraient sans nul doute cette
brillante prise au bout d’un humble salon de campagne.
Jessie en fut quitte pour une bonne inspiration, elle but d’un trait un grand verre d’eau
de Perrier, offre un verre de scotch à Jean-Marc. Et elle s’assied sur le tabouret près du
piano. Elle déride quelques notes et fait un clin d’œil à son copain de la France et se mit
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à rire nerveusement.
- Après la pluie le beau temps. Mieux vaut en rigoler que de faire la baboune (gueule).
Mais nous ne sommes pas au bout de nos peines hermano del alma (frère de l'âme).
- Oui, et surtout que nous voilà déjà à la date de mon retour là-bas, le temps file ! Je
dois rentrer en Europe.
En quittant le grand salon, Umberto Patterson se retourna, il leva bien haut ses mains
menottées et dit comme ça d’un air hagard :
- Je m’en balance de votre vieille guitare, il n'y a plus personne qui veut jouer là-dessus,
une guitare qu’on pose sur les genoux, c’est passé de mode et kitch ! Complètement
ridicule, aujourd’hui les sons des guitares ne sont plus de ce genre, on les obtient
autrement avec la guitare sèche. Alors salut la compagnie archaïque!
Jessie rit de plus belle car son départ lui fit froid dans le dos. Quelles souffrances
vivaient en cet homme ! Au fait, la guitare dans sa chambre elle se devait de l’enlever
aussitôt et de lui trouver une autre cachette, quelle fable; cette guitare obsessionnelle
commençait à la faire valser intérieurement, pas moyen de la faire passer aux oubliettes.
Éric arriva sur l'entredeux de la sortie de l’escouade et du brigand au bout de l’allée, un
peu troublé, il entra dans la Chaumière et y trouva Jean-Marc qui quelque peu fatigué et
lui raconta l’histoire mirobolante du fameux invité mystère.
-- Oh ! « dit Éric. » Jessie est monté à la mansarde, alors j’y vais immédiatement.
Pendant ce temps Jean-Marc se préoccupa de l’échelle dehors, avec un pincement au
cœur il en fit le rangement dans le garage. Son départ pour la France était pour ce soir;
sa tristesse augmentait mais tel était sa ligne de vie. Jessie désormais n’était plus libre et
pour tout le monde il était préférable de repartir en Europe, là où sa mère vivait encore.
Après avoir mis de l’ordre dans sa mansarde, Jessie décida d’apporter dans l’atelier la
fameuse guitare ancienne tant convoitée…
- Viens ma vieille relique, on te veut, on te renie et je vais te trouver un endroit spécial,
allez hop ! Avec ton sosie et comme tu n’es pas toi non plus la vraie …«
mâchonna-t-elle.»
L’atelier vers trois heures était rempli de soleil, une brise d’une douceur palpable
caressa le cou et les cheveux de Jessie. Elle ouvrit un grand bahut dont le siège s’ouvrait
d'une façon discrète, impossible de discerner l’ouverture. Heureuse, elle déposa la
guitare et s’en fut ouvrir son ordinateur.
Alors voilà l’accusé de réception de la part de la maison d'Éditions concernant mes deux
textes.
&quot;Madame,
Nous accusons réception de vos écrits et dès qu’une décision de notre comité de lecture
sera prise nous vous aviserons.
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Bien à vous…
La Direction des éditions Son de Cloche&quot;
- Bon, alors tout arrivé à cet établissement, le comité de lecture fera son travail… À plus
tard pour la réponse.
Like a Star @ heaven Like a Star @ heaven Like a Star @ heaven
CHAPITRE HUITIÈME
LES BIENFAIS D ELA CAMPAGNE
À Los Angeles une propriété aux allures artistiques située sur la route de Corniche
Malholland Drive faisait fière allure parmi les innombrables palmiers et cocotiers plus
qu’imposants. Ses châtelains, un couple dans la jeune soixantaine y vivaient depuis une
quinzaine d’années. Sans enfants, et très à l’aise financièrement les Lombardo étaient
des musiciens de Blues incomparables et renommés aux États-Unis. Retirés du Show
Biz depuis quelques années, ils continuaient néanmoins d’auto produire des albums
Blues qui savaient se vendre au-delà des frontières.
Ce fut par un mardi matin vers huit heures qu’ils firent monter dans leurs Porches 2001
ces deux jeunes dans la trentaine munis de bizarres de sac à dos et de vêtements quelque
peu défraîchis. Lui, tenait dans sa main gauche un vieux boîtier brun de guitare un peu
plus gros que celui d’un caisson de violon. Elle, une jolie blonde au teint bronzé, portait
un petit fourre-tout sur son bras droit, sa casquette bleu-marine lui seyait bien et sa
longue jupe arc-en-ciel lui donnait un air de gitane. Tous les deux semblaient tellement
épuisés lorsque les Lombardo les virent sur le bord du long Boulevard menant à leur
propriété à environ trois kilomètres, ils n’eurent aucune hésitation à arrêter leur auto et
les faire monter.
- Bonjour ! Nous sommes Guerty et Henry Lombardo, nous sommes musiciens et
habitons tout près voulez-vous monter, vous semblez fatigués, pouvons-nous vous aider
?
- Bonjour ! Merci ! Oui nous sommes exténués, je suis Stephen de Landreville et voilà
ma copine. Enfin ma demi-sœur Lynda Mayfair. Nous avons été dévastés par un typhon
et depuis nous faisons de l’auto stop. Notre but est encore inconnu. Nous sommes
encore sous l’état de choc. C’est un peu comme si nous fuyions pour aller au bout du
monde…
- Je vous comprends ma femme et moi avons vécu pareil sinistre il y a plusieurs
décennies. C’est indescriptible ! Un deuil de tous ces biens et ses souvenirs. La fuite est
le meilleur oubli de tout ce qui fut avant. Venez nous vous offrons l’hospitalité
indéterminée, le temps de votre réhabilitation intérieure !
- Merci ! Nous acceptons répondit Lynda tout illuminée et quasi transformée, les yeux
plus lumineux !
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- Allons venez les amis, suggéra Guerty avec une gentillesse peu commune, nous nous
entendrons à merveille, j’en suis certaine malgré nos divergences d’âge.
- Oui ! D’accord vous êtes nos secouristes ! « Répondit Stephen. »
Voilà qu'allègrement le cabriolet vert pommette démarra dans toute sa majestueuse
carcasse… Nos quatre personnages détalèrent ainsi vers La Licorne Musicale; super
studio d’enregistrement adjacent à une demeure des plus baroques et inimaginables de
maison jamais imaginée d'eux. Lynda et Stephen en furent estomaqués dès leur entrée
en ces lieux mi-campagne mi-ville puisque retiré du bruit mais près des grands centres.
Dans ce château d’un autre siècle, les Mayfair se sentaient heureux depuis une
quinzaine; tout en cet endroit reflétait l’art. Le paysage d’une féerie sans bornes, deux
piscines, une intérieure et une extérieure aux formes inouïes de guitares. La
bibliothèque plus large que longue invitait aux délices de la lecture avec une vue
imprenable sur la mer. L’atelier d’art attenant à la pièce précédente présentait des
œuvres d’une rare beauté exécutées par Guerty quelques années antérieurement. Au
rez-de-chaussée se trouvait le Studio d’enregistrement. Rouge et noir sur deux murs de
liège peints et tout de pierres des champs érigés pour les deux autres murs. L’acoustique
d’une formidable sonorité se révélait des plus sophistiquées et plutôt avant-gardiste. Les
jeunes gens médusés lors de leur entrée et première écoute des sons furent extasiés au
point d’en perdre la voix, ils vivaient la pure extase ! Ils furent ainsi dans leur bulle
quelques douze minutes sans pouvoir exprimer verbalement leur ravissement.
- Alors les amis, êtes-vous prêts à entendre notre plus récent duo de guitares ? Voilà
notre CD inédit tout chaud La Méduse en est le titre, primeur à vous deux et nous en
sommes ravis ! En voici la pochette de ce CD. Une Méduse aux contrastes violents
créée par Guerty, mais au lieu des serpents se sont des portées musicales.
- Quelle œuvre en peinture splendide ! « Dit Lynda » Formidable Guerty ! Les amants
de la musique auront droit à l’œuvre visuelle et auditive, j’ai hâte d’entendre votre
composition en dualité.
C'est alors que le son merveilleux se fait entendre ici et là simultanément aux extrémités
du vaste studio, céleste à tous points de vue; ce duo de guitares était sublime, le frère et
la sœur étaient toutes ouïes toutes oreilles. Mais soudain le refrain pour Lynda n'était
pas inconnu; au cours de son enfance elle a su l'entendre sur la guitare de son père, elle
se souvenait de cet air, c’était la composition de son paternel ! Par hasard un jour de
novembre la musique en feuilles avait disparue comme par magie. Son père fit des
recherches dans tout le Manoir aux Roses mais en vain totalement. Puis il laissa tomber
et fut incapable de la rejouer. Et la composition fut désormais aux oubliettes, plus
jamais elle n’en reparla avec son père et plus tard vint la maladie. Inopinément voilà
que ce refrain se faisait entendre tant d’années plus tard et supposément c’était la
création musicale des Lombardos !
Oui, oui plus le refrain se faisait entendre, plus Lynda se remémorait l’œuvre, et tout à
coup jaillit en son cerveau le titre et puis les paroles : « Célina et les Roses » Des roses
pour te plaire, des roses pour me faire pardonner. Cette chanson, elle l’a tant et tant
fredonnée! Quelle plaisanterie ignoble! Lynda croyait vraiment rêver, les Lombardos de
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si braves gens. Inconsciemment toute revivifiée et méconnaissable, elle chanta très fort
pendant que Stepheno et le couple Lombardo étonnés se retournèrent d'emblée vers elle.
Évidemment, son frère beaucoup plus jeune qu’elle et ayant très peu vécu au Manoir ne
pouvait connaître cette composition musicale de leur père. Elle seule en savait la
provenance et les paroles.
Lorsque cette dernière pièce instrumentale fut terminée Stephen applaudit et cela en
toute sincérité. Lynda elle, demeura muette, perdue dans ses rêveries d’autrefois. C'est
Stepheno quelque peu penaud qui se décide à causer sur un ton un peu triste.
- Allons, je pense que ma sœur est fatiguée, cette mélodie a su la bouleverser et malgré
la beauté de ce merveilleux concert nous allons nous retirer dans le petit pavillon
d’invités. Veuillez nous excuser, ma sœur est demeurée bien fragile depuis cet affreux
dimanche en quinze. Merci encore et à demain.
- D’accord répond Henry Lombardo, nous comprenons bien vos sentiments
mademoiselle Lynda. Ce refrain nommé Extase vous a vraiment touché l’âme à ce que
j’ai vu, vous chantiez en improvisant des paroles ! Quel bonheur Miss Mayfair, nous en
reparlerons demain.
L’homme un peu pâle et troublé n’eut pas le temps de terminer sa phrase, la jeune dame
défaillait en s’appuyant sur Stepheno; ce dernier a fort heureusement la veine de la
recevoir dans ses bras.
Guerty très ébranlée par la situation présente courut prestement chercher un tissu
humide pour éponger le front et la nuque de Lynda. Stepheno la transporta sur le long
canapé près du piano. Son inquiétude face à cet événement grandissait. Il avait hâte de
se retrouver seul avec sa sœur, car il ressentait une tension dans l’air. Un indéfinissable
trouble planait dans la pièce pourtant des plus sophistiquées, il lui offre de l’eau fraîche
qu’elle but lentement.
Doucement Lynda devint un peu mieux. Elle ferma ses yeux fatigués à l'ultime point.
Elle ouvrit les yeux et supplia son frère de la ramener dans sa chambre au petit Pavillon.
Quelques dix minutes plus tard Stepheno et Lynda se sont installés confortablement
devant une petite cheminée dont les bûches artificielles crépitent au son d’une musique
de Vivaldi. Les mots étaient vains pour cette première demi-heure de retour avec
elle-même.
- Quelle soirée ! Que d’émotions musicales n’est-ce pas Lynda ? Cette partition
musicale a su t’impressionner au plus haut point, une ressemblance avec une autre
partition peut-être ?
- Non ! Stephen ! Cette composition n’est pas celle de Monsieur Lombardo mais de
notre père il y a de ça une trentaine d’années. J’en suis positive, je me suis remémoré
immédiatement les paroles au son de cette pièce instrumentale. Tout un choc, je ne
saisis pas le pourquoi de ce mensonge, les Lombardo sont tellement gentils pour nous.
J’en suis toute chavirée et je ne sais plus comment agir. Dois-je me taire ? Non je ne
saurai pas ! Ceci est un rapt de partition, au nom de notre père, je ne pourrai me
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dissimuler la vérité Stepheno.
- Quel dilemme ! En effet voilà une fameuse situation ! Tu as vécu tant d’années avec
Monsieur Mayfair, notre père dis-je, tu ne peux pas faire erreur. Je te crois sur parole.
Réfléchissons ou plutôt, la nuit porte conseil, demain nous aurons certainement une
vision autre que celle-ci et de cet étonnant chamboulement.
- Tu as raison, allons dans nos chambres respectives et en effet demain est un autre jour
et sera tout autre, bonne nuit !
Bonne nuit ! Tout sera tellement clarifié demain, c’est certain et nous trouverons la
bonne réponse au comment ou non agir…
Pendant ce temps les Lombardos eux ne trouvent pas le sommeil, car le malaise de
Lynda pendant la prestation de la dernière pièce instrumentale avait remué en eux de
vieux souvenirs. Ils devenaient inquiets et dans une mutuelle entente, ils décidèrent
donc que dès le lendemain ils causeraient de ce contretemps avec les Mayfair. Ils
formuleraient la vérité telle que vécue. Vingt-quatre ans auparavant un dénommé Luigi
Paterson leur avait vendue cette partition sans nom, inscrite sur un vieux feuillet
musical. L’homme avait soi-disant un besoin urgent de fric pour les futures études
artistiques de son fils de sept ans. Et eux croyant bien agir eurent foi en lui.. Ils étaient
certains que ce Paterson fut le créateur de l’œuvre et qu’il vendait ainsi ses droits
d’auteur avec la fameuse pièce de musique. Les Lombardos payèrent une grosse fortune
pour cette pièce. Ils prirent soin d’entreposer la partition des années durant et ce n’est
qu’en 2001 qu’ils décidèrent de la jouer sans même en changer un ré ou un fa… Mais
comment miss Mayfair en connaissait-elle si bien l’air et surtout les paroles… Oui !
Demain ils en reparleraient !
MON AMI MON FRÈRE
Finalement c’est pendant le déjeuner que l’explication des Lombardos eut lieu. Henry
d’une nature honnête raconta l’histoire de la partition telle qu’elle s’est présentée, il y a
de cela trente ans. Ce fameux Luigi Paterson avait emmené son fils ce fameux matin, il
était chétif, semblait mal nourri et la compassion envers cet enfant eut raison de tout…
- Oui ! Miss Mayfair je fus vraiment touché droit au cœur par les yeux de cet enfant, de
grands yeux bleu-acier entouré d’une tignasse noire en liberté, un être très marginal. Le
père venu pour débroussailler l’arrière terrain ne m’inspirait pas vraiment confiance
mais je fus vulnérable devant cet enfant et Guerty de même.
- Umberto! « Murmure Guerty » Oui! Je me souviens c’était son prénom, un enfant au
regard si triste et troublant. Je lui ai offert du gâteau au chocolat et il a dévoré avec
appétit. Ses yeux en disaient long, il avait l’air tellement malheureux.
- Oui ! C’est cela « rétorque Henry ». Et sans hésiter, j’ai offert 25, 000$ U.S.$ à cet
homme qui m’en demandait 40, 000$ Canada. En me jurant être le compositeur, j’étais
un peu naïf à l’époque, je débutais dans le milieu musical et sans même le connaître j’ai
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accepté. Tout ça à cause de cet enfant dont les yeux si tristes eurent un effet boomerang
sur ma sensibilité. Je me rappelle combien ses mirettes brillèrent, dès la réception du
chèque. Et vous Miss Mayfair comment se fait-il que vous connaissez cette œuvre ?
- Cette composition est de mon père monsieur Lombardo, j’en ai plus que souvenance
de cet air qu’il a tant travaillé à la guitare chaque soir. Cette fameuse partition toute
raturée mon père l’a égarée et jamais retrouvée. Les paroles furent apposées sur une
autre feuille en ma possession des années durant dans la bibliothèque près de la serre.
Bien sûr tout a disparu au passage du typhon. Des Roses pour Célina en était le titre
premier, le second fut La grande Fugue de Célina; Célina était le prénom de mon
arrière-grand-mère décédée à l’âge de vingt-deux ans d’un mal inconnu des médecins
de l’époque. C’est certain que lorsque j’ai entendu cet air hier, ma vie a basculée et les
souvenirs de mes dix ans aussi. Non ! Vraiment, ces Paterson, mon père peut-être se
souviendrait. Pour ma part, je ne les connais pas. Mais alors, cette mélodie oui ! C’est
du Mayfair tout entier !
- Moi ! Si ! Je le connais cet Umberto Paterson ! De plus, ceci grâce à la technologie et
mon métier de cyberdédective, je vais vous divulguer quelques secrets concernant cet
oiseau rare. Installez-vous bien, l’histoire vaut la peine d’être entendue! La terre est si
petite grâce à la cybernétique. Croyez-le ou non, cet individu a su usurper mon identité
en s’emparant de mon auto avec mes pièces d’identité au grand complet que j’ai pour la
première fois de ma vie oubliées dans mon sac en cuir sur la banquette de mon auto à
Saint-Adolphe d’Howard au Théâtre le Patriote. L’individu s’est lui-même trahi
lorsqu’il a daigné répondre à la sonnerie de mon téléphone cellulaire. J’ai composé mon
numéro et demandé tout simplement :
- Qui êtes-vous ? Je suis Anatole, je vous dois la vie et un assez gros montant en argent
canadien, dites, vous possédez une auto j'espère? !
Le poisson a mordu à l’hameçon plus audible que visible et innocemment il m’a
divulgué son nom et son adresse provenant d’un ordinateur public..:
[email protected] et innocemment il a aussi parlé de sa fameuse Buick 1990 de
couleur rouge vin d'origine et qui était un vrai charme d'auto!!!
En outre. La saloperie de pile s'est mise à plat derechef, sûrement mutée à son plus bas.
Mais avec l’adresse de courriel (e-mail), vu mon poste de cyberdétective je savais très
bien que dans une heure ou moins le fameux [email protected] me soit dévoilé
dans toute son entité. Par conséquent, c’est ainsi que tout le parcours de vie de cet
homme sur la plate-forme me fut révélé.
En effet, cet Umberto Paterson de mère italienne et de père américain était recherché
autant au Canada, qu'en Europe ainsi qu’aux Etats-Unis pour fraudes multiples, vols de
matériels d’informatique, de bris de contrat et j’en passe. N’ayant point le temps de
m’occuper de son cas, je décidai de refiler le dossier aux agents secrets des Laurentides;
ce voyage prévu depuis plusieurs mois pour les États-Unis me tenait à cœur pour les
retrouvailles avec ma demi-sœur. Voilà pour l’histoire invraisemblable du bel Umberto.
Enfant il fut témoin de l’échange de cette fameuse partition moyennant ce faramineux
montant U.S.A. Dès sa capture nous saurons l’ultime dénouement de ce rapt musical
inouï ! Serais-je en mesure monsieur Lombardo d’effectuer un appel interurbain au
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Québec; depuis une dizaine de jours il y assurément un nouveau développement face à
cette opération nommée Honolulu?
- Bien sûr Stephen ! Allons faites votre appel dans les Laurentides ! J’ai hâte d’écouter
la fin de cette histoire. Heureusement que vous êtes venus sur ma route tous les deux !
Cette mélodie n’étant pas la mienne, ma voix intérieure m’a souvent fait savoir de la
mettre aux ordures cette satanée de composition si grandiose, mais j'en étais incapable !
Voilà une grave erreur de ma part dont vous seuls êtes au courant avec Guerty. Merci de
votre compréhension, j’ai commis un vil outrage, similaire à un plagiat ! J’en suis
tellement honteux ! Saurez-vous m’absoudre tous les deux ? Surtout vous Lynda !
L’œuvre intégrale de votre père, quelle mauvaise action de ma part, saurez-vous me
pardonner ?
- Oui ! Monsieur Lombardo, je vous pardonne et mon père ferait de même, vous aurez à
ajouter sur votre CD la mention de la source et l’année de cette composition. Vous et
Guerty avez sans condition sauvé nos vies en nous hébergeant ainsi sans nous connaître
; voilà un échange plus que banal, nous sommes tous les quatre dans le secret ! Si par
hasard cet Umberto décide d’user de chantage face à cette mélodie, il sera pantois,
puisque la source et la date de ladite composition seront dûment annotées ! Dormez en
paix tous les deux, je suis tellement heureuse d’avoir entendu La grande Fugue de
Célina par vos deux guitares que le reste est déjà dans l’oubli pour moi.
- Merci au centuple ! Je vous serai éternellement reconnaissant pour votre sens de la
gratitude envers nous ! Nous acceptons le pacte à une condition; voulez-vous interpréter
avec votre magnifique voix sur disque La grande Fugue de Célina ? Nous referons
l’enregistrement avec vous aujourd’hui même si bon vous semble, sauriez-vous nous
accorder cet honneur ?
- Oui ! J’accepte pour vous et surtout pour la mémoire de mon père, il a eu tant de
chagrin lors de la disparition de la musique en feuilles. D’ailleurs j’ai créé une œuvre de
grand format à l’huile sur bois intitulée Musique en Feuilles. Lors de notre fuite après le
fameux typhon j’avais dans mon grand sac à dos ce petit album de photos d’œuvres.
Toutes mes créations s’avèrent détruites, mais j’ai en souvenir ces photos qui les
immortalisent. Voyez cette première photo, voici l’œuvre en peinture Musique en
feuilles et la seconde, voilà une œuvre à l’acrylique sur toile, un très petit format cette
fois-ci, il s’agit de Célina et les Roses ou La grande Fugue de Célina…
- Formidable ! À l’intérieur de la pochette du disque nous ferons insérer les photos de
vos œuvres en ayant soin d’y apposer de brefs parcours de vie de vous et votre papa
avec sa photo si vous en possédez une. Nous avons à notre service un excellent
infographiste, le tout sera admirablement lithographié, je vous le confirme Miss
Mayfair.
Lorsque Henry Lombardo eut conclut l’entente musicale avec Lynda, Stepheno revenait
de la pièce qui servait de bureau d’affaires aux deux musiciens. Son sourire en disait
long !
- Excellentes nouvelles du Québec ! Le cher Umberto a fait des siennes au cours d’un
concert Blues dans les Laurentides. Usurpation de guitare, entrée par effraction chez
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une Miss O’Briend; il est désormais à l’arrière des barreaux au centre de détention de
Saint-Jérôme. Je pense que le voilà démasqué et bien pris au piège. Une histoire de chat
vite racontée; ça m’a tout l’air que c’est grâce à une chatte tigrée Mine de rien de son
pseudonyme que l’homme fut mis en boîte ! Le plus électrifiant de l’opération fut cette
fameuse guitare Nationale 1940. Vous savez Henry, celle que les musiciens nomment
steel ou slide guitare. La guitare que notre père jouait aussi, n’est-ce pas Lynda ? !
- Oui, et saviez-vous que je me suis vraiment documentée sur ce sujet, aussi incroyable
que cela puisse se dire, trois guitares similaires seulement furent crées en cette année
1940 de type Nationale New-Yorker. Et figurez-vous que j’ai entrevu Miss O 'Briend il
y a quelques années, Pierre-Luc un de mes cousins jumeaux identiques avait usurpé
mon nom et apparence en m’imitant à la perfection lorsque je consommais de l’alcool,
une parodie de moi en somme. Ensuite Pierre-Luc et Pierre-Yves eurent des démêlés
avec la justice à cause de cette affaire dans leur luxueuse demeure de Laval-sur-le-Lac.
Ils eurent à purger une sentence de six mois de prison et l’un d’eux m’envoya une lettre
me racontant toute l’histoire. Miss O’Briend fut un peu l’ange qui passa sur ma route
pour m’éclairer sur moi-même; elle vint passer un week-end ici lors de la remise du
fameux collier de grand-mère York. Jessie est une femme étonnamment clairvoyante,
car malgré le talent de comédien et la ressemblance marquante avec la vraie Lynda,
Jessie-Fleurette flairait quelque chose d’inusité, elle m’en a fait part, même si elle n’a su
m’apercevoir que quelques minutes. Pierre-Luc tenait à garder le secret. Moi pas, j’ai
horreur des mensonges ! Je serais très heureuse de la revoir ! Et aussi ce sera dans le but
de m’excuser de la part des cousins. Nous allons sympathiser car nos enfances
musicales se ressemblaient quelque peu. Nos deux pères guitaristes et compositeurs,
deux guitares nationales NY ! Quel hasard ! J’aimerais tant la revoir cette Miss
O’Briend, n’est-ce pas Stephie?
Et Henry Lombardos de répondre :
- Eh ! Bien miss Lynda vos vœux seront exaucés ! Nous irons tous dans les Laurentides,
Guerty et moi n’y sommes pas allés depuis 1987. Nous apporterons tout le tra la la et
ferons là-bas un peu de promotion pour notre CD. Qu’est-ce que tu réponds Guerty ? Et
vous deux qu’en dites-vous ?
(à suivre dans le Volet quatre)/b]
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2016-03-31
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UN LOUP-MARIN SUBTIL volet un
UN LOUP-MARIN SUBTIL- VOLET 1
Subtil de loup-marin
DÉDICACE PERSPICACE
Je dédicace à mon père le Grand René cette histoire fictive dont les personnages, les
noms, prénoms s’avèrent existants dans l’imaginaire fécond de mes fibres littéraires.
Toute ressemblance quelconque s’avère indéniablement le fruit d’un hasard certain.
Merci grandiose aux authentiques gens de Lettres qui ont su lire entre les lignes de ce
que je qualifierai à toujours ma survie intrinsèque après Dieu : La littérature via la
peinture et la musique.
AVANT-DIRE
D'Un Loup-Marin subtil
Ce polar louvien est narré au tout début sous forme de journal intime nous introduira
chez la brillante journaliste flique aux yeux de lynx, Miss Jessie-Fleurette O’Briend.
D’origine irlandaise, cette dernière fut mariée avec le célèbre flic français Jean-Marc
Sologne, un jeune homme très séduisant, natif de Montpellier en France. Comme tous
les contes de fées, la conclusion se fit voir et un divorce à la française parachuta en
Amérique du Nord c'est à dire right in California notre héroïne littéraire quelque peu
connue du public français et américain mais très appréciée de l’élite intellectuelle
québécoise.
L’enjeu: la récupération d’un collier de jade; bijou de famille, une relique d’un siècle
antérieur, objet ancestral d’importance capitale, puisque Miss Lynda Mayfair, la
propriétaire unique avait gracieusement osé signer un contrat aux chiffres assez
volumineux avec Johnny Alford et Miss Jessie O’Briend.
Le fameux collier de jade, colifichet verdâtre aux propriétés soi-disant guérisseuses de
certaines coliques rénales. De fausses blondeurs en rousseurs véritables, nous aurons
droit à l’exclusive visite du Shoukasian’s’Heaven; une superbe de brasserie aux
couleurs or et bleue.
«Je fus la seule qui osai réagir à cette entrée magistrale, je fis clignoter mon œil droit
vers l’œil gauche de miss Mayfair et celui-ci fit le même mouvement prestement vers
les deux miens. Je devinai sa grande soif matinale et j’appuyai doucement sur la tétine
couleur violacée. »
Volet Premier
PREMIÈRE PARTIE
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CHAPITRE PREMIER
UN GRAND ROUQUIN AUX FAUSSES ALLURES SPORTIVES
24 avril 1999 (Journal intime de miss Jessie-Fleurette)
Je vais de toute évidence raconter ce malheureux incident à miss Lynda Mayfair.
Aujourd’hui dimanche, il fait un temps poisseux et je reverrai Alford; ce mec pourrait
se comparer à un bloc de glace, ce paumé m’annonce avec un sourire ironique le
refroidissement du trop blond Findly Mark…
25 avril 1999
Heureux événement! Ce matin, il y a eu une rencontre seconde avec Alford, ce grand
rouquin aux fausses allures sportives. Il essaie courageusement de me gratifier d’une
leçon d’éthique, je la refuse inévitablement, car je n’en ai rien à danser. Et je décide ou
plutôt nous décidons de nous promener sur l’étincelant pavé du Sunset Boulevard en
Californie. Nonobstant le port constant de ma canne ou plus exactement celle de mon
grand-père maternel de son prénom d’assonance espagnol Mendoza, mon allure
décontractée via l'acceptation et non la résignation de ce léger handicap semble lui faire
oublier l'incessante claudication de ma jambe gauche pas vraiment idiote.
04 mai 1999
Le temps ce galvaudeux insolite a su me jouer un vilain tour; je dois filer à l’Anglaise
sans terminer ma page de journal quotidien car me voilà en retard. Je me sens nerveuse,
comme disait souvent maman, quand tu n’as pas de trouble tu en cherche. Elle avait
sûrement raison, les mères définitivement en savent plus long que nous. Ce métier me
semble quelque peu ambigu. Ais-je bien fait de m’exiler et pour combien de temps
encore? Tout pour être heureuse dans les Laurentides et … Bon, pas d'apitoiement c'est
nocif pour le nombril, je dois partir.
05 mai 1999
Hier je portais un tailleur marron et jaune canari. Ledit tailleur griffé Yves
Saint-Laurent, tissus moelleux, confection exquise, nonchalamment fendu sur les côtés
et ceci sur un assez long parcours. Alford en zieuta ironiquement les fentes sans même
draguer avec les immortelles jaunes de mes bas noirs.
- Chère madame O’Briend, on m’a tabassé une fois de trop à cause de ce blond
mielleux, j’en ai ma claque et j’ai l’honneur de vous informer que ce boulot ne
m’intéresse plus.
Cette façon quasi obscène, voire rustre de me lorgner me donna une envie folle de le
gifler; une manière saine de lui remettre la matière grise en circulation normale. Je me
désistai en douce, ayant souvenance que l’agressivité pouvait à l’occasion signifier peur.
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J’inspirai longuement et très lentement par le nez. Illico sur-le-champ, je lui fis
comprendre que le fameux collier de jade appartenait à Miss Lynda; cette blonde
décolorée qui sait se taper une Tequila Sunrise le lundi matin vers huit heures et quart et
se croît obligée de se faire poser des ongles acryliques rouges dans le but ultime de
paraître plus féminine, foutaise.
- Oui ! Alford! ! Des ongles aussi rouges que votre porte-tabac !
Au son du mot tabac, Alford ouvrit doucettement l’objet ventru, il en fit sortir
amoureusement de bruns voire marrons morceaux d’herbes, les palpa, les tritura, et les
fit lentement se reposer sur un papier blanc coquille d’œuf et puis c'est avec une lenteur
amorphe que sa langue rose bonbon en pourlécha bizarrement son contour et puis sans
me demander mon avis, je reçus sauvagement une fumée bleuie. Puis une odeur fade me
rappelant la pipe de mon grand-père me fit sursauter et songer inopinément que Linda
Mayfair s’avère la fille de feu Louis Mayfair; un célèbre hypnotiseur et musicien de Los
Angeles.
Et puis tout de go, nous nous dirigeâmes vers la brasserie. Sur la porte, bien visible, une
inscription en lettres gothiques or et bleue sait me remémorer ces mignons petits
collants, gratification heureuse lors d’un travail scolaire primaire bien réussi: bien, très
bien, excellent. Ledit travail me léguant en prime un ange sympathique aux ailerons
bleu-ciel et aux cheveux de couleur or pur. Et pour faire honneur à monsieur Fats
Domino, je me surprends à fredonner d’une voix dietrichienne un Blue Heaven
narquoisement endiablé. Un long, trop long de couloir nous introduit à la brasserie, cette
dernière ne sait pas me plaire, nonobstant ses couleurs angéliques.
La cigarette de Johnny Alford se consumait sans attrait dans un cendrier aux formes
féminines plurielles, le dernier nuage convergeant bien droit entre une paire de seins
réciproques, pointant aux septièmes ciels leurs tétines d’un brun voire marron ambigu.
Similaire modus operandi via la manière érotique de mandater le valet de céans.
Comme si nicotine allait de pair avec tétines, l’incroyable Alford toucha l’une d’elles
avec son index ganté de rose saumon fade couleur préféré des putains d'la Rade in Paris.
Quelques minutes s’écoulèrent seculurum et amen un mec aux allures surnaturelles, tout
de blanc vêtu, nous demande solennellement la table des matières de nos préférences
liquides.
Les dix minutes semblent longues pour Alford; aussitôt le cocktail déposé sur la table
ronde il sait grogner un merci sec et tente de siroter goulûment dans cet énorme verre
givré dont le contenu s’intitule dry Gin.
- Formidablement sec! &quot;Rigole-t-il dans un élan.&quot;
J’eus un doute immense sur la sécheresse de cette consommation alcoolisée, car lorsque
cette dernière a su atterrir entre la fente de mon tailleur marron et jaune, le liquide entra
en contact conscient avec les immortelles jaunes de mes bas noirs. J’eus alors un
soubresaut puisque les fleurs semblaient se dresser sur leurs tiges; c’est à ce précieux
moment que l’immonde personnage sait me dire laconiquement :
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- Désolée ma beauté, je suis dans un tel état, tout ce suspense me rend dingue.
Cette justification mâle sait faire renaître en mon Surmoi une dose de courage
additionnelle et la voix dedans me dit comme ça :
- Allez fillette, tu n’es pas à une humidité près, sois ferme et prête à toute éventualité.
J’avais l’impression d’être coincée dans une de ses trappes à homards que l’on voit en
grand nombre sur le bord de la mer dans la magnifique province du
Nouveau-Brunswick en Canada. Piégée mais vachement heureuse de l’être et
paradoxalement nonchalante, je ne voyais pas si mal il y avait ou si le bien-être me
gagnait lascivement lentement.
Shoukasian apparut dans toute sa luminosité de blond artificiel …
- Un autre blond fada me dis-je sans joie aucune.
Les joues saillantes, les yeux verts; un être irréel, sans sexe, le parfait robot impassible,
sans émotion aucune; l’éminent prototype du mec intangible et invincible. De ce
sordide d'être humain inhumain émanait indéniablement une aisance totale, indécente,
voire choquante! Ses yeux verts, ornés de mini pupilles, daignèrent rencontrer
respectivement les nôtres, et leurs réactions s’avérèrent nulles; en ce sens que nous
étions là mais tout à fait inexistants; en clair sans pénombre nos présences fussent sans
importance.
Oui! Un grand Rouquin aux fausses allures sportives.
Je tentai de lui narrer l’épisode des cigarettes avec messages, dites clopes (cigarettes)
captées dans le chapeau du moribond Findly Marc.
Mais Alford me devança d’un mot et explicita à ce faux blondinet et ce avec un délai
moche, que son but ultime, enfin le but précis se nommait collier de jade, un bijou de
famille, une relique d’un siècle antérieur, objet ancestral, d’importance capitale, puisque
miss Mayfair a daigné poser sa candidature sur une feuille contrat au nom d’Alford et
moi-même. Ledit contrat stipulait quatre billets aux terminaisons de trois zéros pour
chacun de nous évidemment le gros lot nous serait octroyé lors de la trouvaille du
colifichet verdâtre.
- Monsieur Shoukasian, résolus-je de chuchoter.
Et à l’instant même, miss Lynda Mayfair fit une entrée des plus fulgurantes, dans toute
sa narquoise coquetterie de chatte en grande chaleur, elle toisa Shoukasian du coin de
ses yeux pers à l’étincelle féline.
De nouveau, l’impassibilité marbrée de ce Shoukasian à la gomme sait me fouetter le
sang et derechef sans bon sens. Son vigilant robotisme ne diminuant nullement devant
la beauté plastifiée de miss Mayfair.
Alford eut un rictus voilé quoique quelque peu perceptible aux yeux de lynx qui
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s’avèrent les miens. Je fus la seule qui osai réagir à cette arrivée magistrale. Je fis
clignoter amicalement mon œil droit vers l’œil gauche de Miss Mayfair et celui-ci
clignota prestement vers les deux miens bleus de gris et ce depuis ma naissance.
Instinctivement, je devinai sa grande soif matinale et j’appuyai doucement sur la tétine
couleur prune et violacée, tout naturellement sans arrière-pensée aucune.
- Une double Tequila Sunrise, glapit miss Lynda.
- Quel chic fantasmagorique d’être tous là! N’est-ce pas? «Reclapait-elle.»
UN CACATOES BLANC DANS UNE CAGE OR ET BLEUE
L’intelligence aura toujours son importance, il ne fallait pas rêver ! L’enjeu sans
redondance étant bien évidemment la récupération d’un collier plus ou moins alléchant,
vu ses nombreuses qualités précieuses. Shoukasian retira une feuille bleu-poudre de sa
poche vert-tendre et me mandatant de ses yeux verts moins tendres, le crayon que je
savais tenir dans ma main gauche, mais pas idiote. Ce crayon de cuir véritable aux
délicates rayures or, munies d’un dessin unique quasi distractif, frôlant ingénument la
figuration picturale; une feuille aux rayures noires et or en relief, œuvre d’art brossé sur
la hauteur du minuscule support. Le crayon, objet de classe plus que parfait, prêté aussi
aimablement par monsieur Shoukasian ne l’oublions pas pour quelques moments lors de
l’entrée époustouflante de miss Lynda Mayfair.
C’est alors qu’un cri strident et démoniaque fit se retourner deux têtes féminines. À
l’arrière-plan, élégamment juché dans une immense cage or et bleu, un colossal oiseau
d’une beauté fastidieusement blanche, aux rarissimes plumes bleues et or; le tout salon
semblait de glace comme dans un conte des mille et une nuits. Toute la galerie semblait
épatée au paroxysme! La scène obscène sans intégrité aucune fit monter en mon
intérieur féminin un immense frisson malsain et plus encore, lorsque ledit oiseau hurla à
nouveau ! Cette fois-ci le cri devint audible :
- Loup-marin s’ouvre! Loup-marin se ferme !
L’horrible malaise auditif se tut et nous en fûmes très à l'aise. L’acoustique de cette
brasserie angéliquement satanique me fascinait au plus haut point! Mon âme d’auteure
se troublait désespérément implorant un miraculeux revirement du présent moment. À
une vitesse vertigineuse, des vœux pieusement illogiques se figent instantanément aux
confins les plus élogieux et pas trop gris de mon cerveau; peine perdue, en vain les
litanies puisqu’une matière intolérablement étrangère, inusité me remettait d’emblée sur
la planète terre.
Puis quelque chose d’insolite, de doucereux, d’une rousseur éclatante frôla
langoureusement ma cuisse et ceci en quelques secondes de l’heure normale de l’Est. Je
réalisai d’emblée qu’il s’agissait d’une tête et nul doute ne me vint celle du flic le plus
réputé de Beverley Hills : Alford de son nom et Johnny de son prénom. Le sang giclait
d’une lenteur irrationnelle inouïe, de cette bouche ironique, et ce bien au deçà de la
mort, puisqu’elle rougissait sans fausse honte, les immortelles jaunes de mes bas noirs,
gracieux bas filets offerts un soir d’octobre par tante Marie-Paule. Les immortelles de
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fleurs tourneraient-elles à l’oranger ?
Me voilà en connexion parfaite avec moi-même, certaines gens disent groundée,
d’autres ancrée au sol, optons pour la connexion, vocabulaire précis et rétrograde
oblige.
Lors de ces réflexions des neurones je sais inspirer très longtemps par les orifices de
mon appareil nasal et d’une manière logiquement rationnelle, j’en déduis très
froidement sans émotion aucune qu’après la mort, il y a la vie différemment vécue et
que sûrement Johnny Alford se devait de la vivre sa vie en froideur et non en rousseur!
Son sang chaud se refroidissant et mon sang froid en augmentation eurent raison de ma
déraison et me laissèrent perplexe. Fière de moi, je décide ainsi de tourner la page
Alford et de me centrer en toute gratuité sur les deux autres personnages un tant soit peu
protagonistes bien malgré eux.
CHANTAGE, INSPIRATION, EXPIRATION
&quot;Lynda émit un de ces&quot;
- Oh! Y en a marre!!!!
Des plus gutturaux qu’une brasserie de ce genre pouvait entendre…
Et puis, la grande dame à la Tequila Sunrise a su régurgiter en jets récusables le liquide
et ceci avec une délicatesse quasi insolite. J’en fus horriblement émue, car en
l’occurrence mon tailleur marron et jaune absorba le tout et ceci d’un seul trait sans mon
acquiescement libre.
La sentence fut jetée délibérément sans juge aucun: Cette garce baissa d’un degré
hiérarchique dans mon estime intellectuelle et dans ma mémoire aux mille et un méga
dont je fus dotée dès ma naissance.
J’inspirai lentement, par l’orifice nasal, expirant ensuite tout aussi lentement par
l’ouverture buccale, laissant s’échapper ainsi toutes les funestes vibrations de ces
malencontreux instants.
Shoukasian, d’une beauté cadavéreuse demeurait imperturbablement de marbre. Je n’en
fus guère étonnée. Je décide sans nulle songerie de déposer une dernière carte en lui
soufflant d’un ton pertinemment cinglant :
- Je savais que vous contrôliez Lynda Mayfair. J’ai la preuve flagrante de votre
implication, allez, donne-moi le collier monsieur Shoukasian !
Toute ma vie durant, j’ai su impunément jouer au cartes et avec le plus futé des hommes
ou des femmes et sans pour autant ressentir de culpabilité. Dès mon adolescence, j’ai
décidé que pour aucune considération on ne saurait me mandater dans le but d’exécuter
des travaux dont je savais pertinemment n’avoir aucun talent inné ou acquis pour les
rendre à terme décemment. De cette mission je me tenais responsable jusqu’à l’âme et
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déterminée à rendre viable in extremis ma réputation de flique plus que parfaite en tous
points de fuite.
Le chantage bien intentionné amalgamé à la vérité peut s’avérer un atout plus que
précieux; surtout lorsque la fierté entre en ligne de compte bien alignée aux côtés
alléchants d’une promotion des plus enviablement offerte à la gent féminine.
UN LOUP-MARIN TRÈS DOCILE
Ce chantage haut voltage plutôt réussi eut pour incidence jouissive de m’octroyer un
peu plus de flegme dans tout le sens allongé du terme…
Ma vanité policière s’en trouvait charmée à son point culminant. Savourant déjà une
victoire des plus facilement gagnée, laissant ainsi l’appât des honneurs me distraire.
Fort heureusement je remarquai le trop sûr de lui Skoukasian; homme de peu d’astuce,
un brin démonté de ses grands chevaux, ne devinant nullement mon subterfuge féminin.
Cet homme devenait délicieusement un peu plus nerveux, le petit monsieur leva
inconsciemment un, puis deux sourcils, sa bouche de métal aux rictus vicieux
exagérément déplaisants trembla quelque peu mais assez pour que j’en savoure son
dérèglement involontaire.
Voilà qu’un objet luisant, mince et long frôla ma botte léopard c*nçue sur mesure
expressément pour me plaire. D’un geste vif et précis, ma canne à l’extrémité aimantée
se colla en ventouse sur l’étonnant objet aux scintillantes allures Hip! Hop ! Et hop! ô la
la, le truc inusité eut l’ingéniosité fastidieuse d’atterrir dans cette main gauche mais pas
idiote qu’est la mienne. Grand bien saura lui faire.
- Oh ! mais y a du flingue là-dessous! N’est-ce pas mon bel ami ?
Et ce mec dégueulasse n’a pas su me prévenir gentiment que le crayon-plume possédait
un silencieux vachly refroidisseur.
- N’est-ce pas, petit prétentieux robotisé ?
Invariablement décidée, j’eus une arrière-pensée assez positive lorsque je fis la
découverte troublante que ce satané objet silencieux s’offrait à moi sans retenue aucune.
Quel bonheur! Pernicieusement et dans un but précis, je lui donnai en douce des
caresses plus que sensuelles, la résultante vint sans attente trop longue puisque que le
temps ce saltimbanque devait s’avérer en secondes aussi long que les jambes de ce
démoniaque personnage. Vivement je vis que le joujou cosmique et pas comique de trop
s’ouvrait au beau milieu de la feuille allongée et si artistiquement repoussée. Et ce fut
en effet de cette simple mais fascinante façon que le sésame s’ouvrit. Je m’en
réjouissais fébrilement lorsque mon plaisir solitaire fut vachement interrompu par un
étrange sanglot !
Lynda Mayfair éclata alors d’un sanglot prolongé et bruyant, comme seule une gonzesse
qui a soif d'alcool sait le faire. Pour une paix bien méritée, je lui racontai comme ça
inopinément que sous peu la bouteille entière serait sienne. Elle goba l’alléchante
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promesse et se tût d’emblée tout comme une enfant à qui l’on promet un biberon.
Trêves de compassion, je décidai d’agir à haute vitesse, histoire de rassembler le plus de
données possibles et retrouver au travers de toutes ces multiples icônes enchevêtrées le
damné collier de jade et surtout sans plus de causerie aucune.
En effet, voilà que je me surprends la première et que je hurle très fort, histoire de lui
flanquer la trouille à ce blondinet savant. Je ne sais pas attendre sa réaction d’automate
libéré, puisque mon ou mes degrés de vigilance s’avèrent ainsi minimisés et quelque
peu survoltés. Noblesse voire vanité obligent, alors je lui administre un coup de canne
sans tambour ni trompette aucun, vaniteux de naissance (un peu à ma ressemblance) il
sait tout de même jouer avec son col bien roulé de laine d’Angleterre, couleur vert
pomme surette en le faisant paisiblement enrouler en demi-tour. Quelle compilation de
haute tension je me tapais!
Et voilà que je vois cet objet tant convoité, ce colifichet bienheureusement installé
miroitant sobrement autour de ce cou superbe et altièrement hautain.
Pourtant, indiscutablement, ce bijou de jade se vautre narquoisement au creux de ma
main gauche mais pas idiote. D’instinct, je lui trouve un charme certain, mais pas au
point de hurler à pleins poumons comme le fait présentement l’oiseau moqueur à la voix
plus spécifiquement détestable :
-Loup-marin se ferme, loup-marin s’ouvre. Et bis cette stridente voix se perpétue à
satiété !
Et la plantureuse Lynda Mayfair de s’étendre de tout son long corps de déesse mal
léchée. Un peu comme au cinéma, voilà que s’ouvre tout de go, laissant glisser
inopinément un objet identique à celui qui se trouvait aux confins un peu humidifiés de
ma main gauche mais pas vraiment idiote. Le collier, enfin son triplet étonnant,
provenait de son minuscule sac argenté, ledit sac de soirée mal réussie brillait de tous
ces feux ainsi que mes neurones quasi polarisés sur tout ce qui se nomme bijou.
Quel chaos ! Quel délire ! « De me murmurer la voix dedans !.»
Soudain en un roulement tambour, j’ai la chatoyante idée de m’approcher de la cage or
et bleue, sans jeu de mots inconsciemment, une peur bleue sait envahir mon esprit via
mon corps, à la vitesse de l’éclair du plus terrifiant des orages, je décide de faire passer
dans un autre monde ce jacquot aux allures infiniment grotesques.
Silencieusement de toute évidence, voilà que je me plais à écrire ces cinq lettres sur son
dos de chevalet : SALUT Le crayon-plume fait son effet de serre et le bel oiseau titube
sans une note, satisfaite et repue, je sais le remercier gracieusement en un salut japonais,
frôlant ainsi l’indécence moribonde.
J’ouvre lentement la cage dorée du défunt mercantile à plumes et j’y palpe un coffret
aux tendances poilues, des poils de loup-marin comme certaines bottes d’appellation
similaire. Invraisemblablement en l’occurrence un quatrième et éventuel collier de jade
serpente lascivement dans son écrin de velours bleu de gris, quelque peu conforme à la
couleur des yeux de mon défunt de père, ladite ressemblance m’enchante et me chante
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de revenir sur terre. Bonne enfant voilà que je m’efforce de vivre le moment présent et
vraiment dans toute sa plénitude absolument incongrue.
Quelle blague du tonnerre immonde ! Ma libido policière en prenait pour son compte; la
véritable jouissance au stade électrisante de résolution approchait sporadiquement.
Entre chacune des pierres, soigneusement et minutieusement montées en double W, une
petite étoile argentée servant de preuve flagrante que l’objet s’avérait l’originale pièce
joaillière ancestrale sentencieusement convoitée.
Dès le départ de la course, je savais que sans étoile argentée bleutée Like a Star @
heaven annexée le colifichet s’avérait du toc ou du faux jeton. Comment ces triples
idiots n’ont-ils eut vent de l’existence étoilée ?
Énigmatique question à élucider en un lieu différemment positionné…
J’eus souvenance encore du moment présent et de sa trajectoire achalandée, mes esprits
policièrement alertes et suspicieusement intègres se remirent en cabale de nouveautés
bienfaisantes. En forme délicieusement âme et corps, j’appuyai en douce sur la tétine
aux allures douteuses, en guise de cloche d’appel cette dernière subtilement bien
reproduite valait son pesant de chair pour celui ou celle en quête de nichons
délectablement moelleux, mais pas de trop. Sous la forme de poires, quasiment une
œuvre d’Art sculpturale, à s’y méprendre autant au regard qu’au toucher…
Involontairement aussitôt je me laisse prendre à ce jeu dangereusement existant en de
pareilles circonstances plus qu’atténuantes, je m’étonne à appuyer en redondance sur
l’objet plus que sensuellement revampé, au risque de paraître nymphomane, je redouble
d’impatience en repalpant la digne œuvre d’art dans toute sa magnificence débonnaire.
Le plateau a su venir illico, rompant le charme en secousse, le mec en blanc concassé se
présente glorieusement et la moue semblable aux vierges éhontées, glorieusement je lui
offre mon sourire le plus narquoisement salaud et simultanément dans un ultime salut
royal. Instantanément je mandate fermement :
-Une bouteille vierge de Tequila et une bouteille aussi virginale d’eau de Perrier, et que
ça bouge de là en vitesse. La soif est à nos pharynx Mister…
Je suis hautement fière de lui causer de la sorte, en soulevant ma canne, dans le but de
lui faire comprendre qu’une flique saturée en vaut deux.
CHAPITRE DEUXIÈME
RANDONNÉE AU CLAIR DE LUNE
Lynda Mayfair et moi, les deux bouteilles vierges, le collier de jade et sa trilogie
usurpatrice vrombissant gaiement l’air californien et vlan nous filons à toute allure vers
des cieux plus bleus, direction Las Vegas.
Miss Mayfair possédait un luxueux condominium. Piscine luxueuse en forme de cœur,
bien implantées et accolées sur un muret de pierres des champs, un amas de plantes
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exotiquement vertes. Tout autour des gigantesques fleurs d’orchidées sensuellement
épanouies aux quatre coins de la vaste salle d’eau bleue turquoise. Cette invitation pour
le week-end saurait me faire grand bien autant pour la psyché que pour le soma.
Nonobstant l’exubérance de cette femme étrange à la personnalité double, j’acceptai
avec joie, songeant que la natation saurait me préparer à recevoir le fruit de mon travail.
Cette rémunération octroyée, je rêvais d’une belle année sympathiquement allongée sur
la terrasse ou dans la verrière de ma Chaumière in Canada. Une heure ou deux durant la
matinée et les heures qui suivraient seraient remplies de Belles Lettres et de Beaux-Arts
; Une pléiade d’idées littéraires entremêlées d’aquarelles foisonnaient aux confins de
mon ciboulot depuis quelques pleines lunes. Toutes ces idées devaient jaillir au plus
vite, sinon l’essentiel s’évaporerait irrémédiablement dans le néant, ce dont je serais très
chagrinée. Pas question de travailler ici les couleurs. Mon Québec me manquait, à
hurler aux quatre vents!
Miss Mayfair n’ignorait pas qu’en plus de posséder le titre de journaliste je suis une
flique du tonnerre. Ce qu’elle ignorait c’est que je suis une sacrée auteure et que je
saurai brillamment la décrire un de ces quatre sur papier, avec bien sûr un nom fictif et
pigé au hasard de mes songes connards. Je décide alors de la questionner comme une
vraie femme:
- Miss Lynda, je n’ai pas vraiment saisi le pourquoi de ce faux jade dans votre sac à
main, pourriez-vous me causer en toute confiance de sa signification propre et
particulière...
Je n’eus pas la chance de terminer ma question d’importance professionnelle à mes
yeux, je me tournai vers cette capiteuse blonde et je compris très vite que la
conversation serait unilatérale pour quelques kilomètres et plus. Miss Lynda se
prélassait dans les bras puissants de monsieur sommeil parfois nommé Murphy ou
Morphée pour les intimes.
Trêves de causerie inutile, je lorgnai la bouteille de Tequila, évidemment cette dernière
en était à son demi-parcours. La chanson américaine Sun Down me vint tout à coup à
l’esprit et je la fredonnai en toute liberté de notes, lorsque au même instant j’eus le
souvenir fortuné d’une suggestion amicale de mon paternel le grand René. Et je l’ai
mise en action de suite.
C’est alors que je fis la mise en place du rétroviseur de mon cabriolet obsolète; le tour
de force bien effectué avec ma main gauche mais pas idiote, vos doutes sur ce point sont
évidemment nuls.
LYNDA MAYFAIR TÊTE À CLAQUES
Étonnamment, je découvre tout en savourant mon eau de Perrier que la dive bouteille
s’avère aussi à son demi-contenu. Décidément les effets se faisaient voir bien différents.
Mais son choix de vie et le mien aussi distincts soient-ils me ramenaient en mémoire le
formidable slogan du mieux être tout le temps: Vivre et laisser vivre. Plusieurs idées
parallèlement sages me trottinaient dans le cerveau et entre autres cette phrase
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magnifiquement citée d’Alexandre Pouchkine : «Plutôt les illusions qui nous exaltent
que dix mille vérités.»
Lentement et lourdement, la tête de miss Lynda vint se blottir contre ma cuisse droite,
celle-ci semblait d’une moiteur extrême; vu la chaleur torride de cet aride désert. Six ou
sept heures de route désertique seraient sans doute nécessaires pour accomplir
l’itinéraire de cet incommensurable trajet.
Et je vis et compris soudain que cette bique se payait les services d’un perruquier qui
s’avérait un astucieux d'artiste en son métier. Tout de même, la perruque se laissait
doucement manipuler par ma main droite pas maladroite du tout. Je l’imaginai en
fantasmant, sans fard, fond de teint et rouge aux lèvres. Et ce super de beau mâle aux
boucles brunes naturelles d’origine firent dresser à nouveau les tiges des immortelles
jaunes de mes bas aussi noirs que mes idées du présent moment.
Quel bonheur! Aux confins de l’enveloppe corporelle de cette étonnante simili suédoise
se vautrait un homme, un vrai de vrai ? Bien sûr, sans doute aucun puisque, question de
voir le dénouement de cette sarcastique mascarade, j’osai baisser cette robe gris-souris
sans pour autant ne pas oublier de voiler cette authentique bestiole du prénom similaire
à la colorée de robe.
J’eus sans fausse honte une envie folle de le prendre en vrac et de le faire crier grâce à
ce dégueulasse salaud de comédien ! Mon grand orgueil démesuré coincé entre un
ultime flagrant délit de viol sans consentement et d’une pulsion plus grandiose que la
police elle-même, je fus heureuse d’apprendre que mes émotionnables pulsions ainsi
bridées sauraient augmenter toute la fierté d’une femme en devoir de profession.
Cette délurée de Lynda, «soit me dis-je» cet adonis possède une de ces têtes à claques
d’une magnificence incomparable. La prise du corps n’eut pas lieu malgré la position
d’arrêt de mon cabriolet. Elle ou il s’étire félinement sans réaliser la disparition de ses
longs cheveux blonds-caramélisés.
Quelque peu confus, le mec se redresse en faisant inconsciemment capituler l’érection
des superbes tiges des immortelles jaunes de mes bas noirs. Eh oui ! Sans doute aucun
je ne suis pas à une humidité près … Et de sa main gauche quelque peu idiote, l’adonis
caresse langoureusement ses boucles brunes. Qui a dit que les brunes ne comptent pas
pour des prunes ?
Et de mon timbre de voix aux intonations involontairement rauques voire sensuelles, je
sais promptement lui dire un tantinet sèchement :
- Cessez la plaisanterie ! Miss Lynda, ne chercher plus cette immonde moumoute, elle
fait la toile désormais sur le pavé de ce long tunnel ensablé à l'effigie de votre
spongieux de cerveau.
- Bravo petite fleur sauvage des Laurentides ! Quelle flique perspicace vous faites mais,
ma parole ça ressemble étrangement à un viol, voilà qui n’est pas joyeux de trop,
profiter du sommeil du juste pour…
- Shut up! Taisez-vous ! Vous augmentez ce taux d’adrénaline déjà trop élevé par cette
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chaleur d’enfer. Vous sentez le vieux tonneau d’Allemagne, vous vous biaisez de ma
gueule d’Irlande et fichtre ! Enlevez complètement cette ordure de robe, c’est à faire
gémir un fakir! Camoufler un tel corps de mec sous des hardes de bonne femme, j’ai
une folle envie de vous baffer!
Et avec une sacrée pudeur mêlée d’indécence quasi obscène, il se dénude complètement
cet homme superbe, oui ! Remarquablement sculpté, comme certains hommes au temps
de mes années folles, lors de mes conquêtes de discothèques des années 80’; Moments
chaleureusement indélébiles au plus que rempli grenier de mes souvenirs tellement
précieux; amalgames coincés vitam eternam en cet inconscient élogieusement
intelligent qui sait faire jaillir un souvenir aussi lointain dans l’arrière-temps soit-il et au
moment le plus impromptu au fil du temps.
Beau tout autour, voilà qu’il sait me zieuter au plus profond de mon âme pouvant ainsi
lire l’admiration sans borne qu’il m’inspirait en tant qu’homme. Paradoxalement,
histoire de me faufiler en douce en jouant ainsi à la roulette ruse, je regardai les aiguilles
de ma montre-bracelet, minuit moins deux minutes elle m’annote. Je rougis comme une
puérile d'écolière. Cet usurpateur de sexe sait entretenir la longévité de mes instincts et
ça me plaît énormément.
Et l’autre jour vient.
25 juillet 1999
Un seul nuage au tableau, tout ce maquillage horrible, bien sûr, la bouteille d’eau de
Perrier saurait servir d’eau de toilette. C’est ainsi qu’habilement je lui lance le petit
format d’huile pour bébés dans le but d'enlever le plus absurde de la mascarade, tout en
regardant avec une gêne certaine les hardes gris-souris gisant d’une façon étrange sur le
pallier de l'auto. Plus il frotte, plus il nettoie, le plus ce salaud me fait envie … Et voilà
que je m'ahuris moi-même, je ne veux plus ou ne peux plus résister, vlan ! sauvagement
voire sadiquement, je lui lance un et deux gigantesques jets d’eau de Perrier.
Lentement, sans malice aucune, il m’enlève la bouteille et continue sensuellement ce
délicieux bain de minuit, ayant pour témoin occulte, la lune à son plein format, la
chaude nuit, et moi, vachement impuissante devant cet aimant incongru me larguant à la
vitesse du son, ses atomes crochus au centuple me frôlaient un à un corps et âme, me
propulsant ainsi sur une pente cruellement dangereuse et presto je me surprends à sentir
intensément ce désir outrageant et merveilleux solidairement et conjointement
pernicieux à m’en damner.
Et sans retenue aucune voilà que je sais m’y complaire lascivement et cette chaleur
débonnaire coule le long de mes veines, mon sang d’encre tournoie, le désir pour cet
homme s’accentue fabuleusement. Au plus que profond de mon être, j’ai une envie de le
prendre comme seul un homme en érection profondément gigantesque sait le faire …
Pourtant que diable je suis une femme et flique en plus !
Voilà que le beau salaud soulève lentement la banquette arrière et sort d’une valise
noire un chemisier vieux rose, un short-short tout aussi coloré, une paire de sandales
style Saint-Tropez et intégralement, sans se douter du dard pointu de la phrase, il
m’explique sans tendresse audible :
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- Désolée, ma petite fleur sauvage, jamais vous ne saurez, nonobstant tout votre charme
bohémien ou amérindien ou autrichien ne rien prendre de l’homme que je suis. Aucune
femme n’a su y parvenir, vous saisissez?
Et sans plus attendre, je démarre le cabriolet sans me rendre compte que les immortelles
jaunes de mes bas noirs frôlent le paroxysme de volupté … faute de pain disait ma
mère, on mange de la galette.
En guise de palliatif, je pianote intensément sur le rebord de la porte noire de cette
rutilante Trans-Am des années folles ou seventies (for me) ; vu l’hiver non existant en
ce chaud pays, le wild car reluit de parts et d’autres comme un nickel neuf bien
empoussiéré parbleu. Et de plus belle, je pianote la cinquième Nocturne de monsieur
François Frédéric Chopin.
- Quelle nuit délicieuse, n’est-ce pas Miss Mayfair ?
- Ça va, ne soyez pas sarcastique, mon prénom est Peter ou Pierre Luc, mon véritable
nom s’avère aussi Mayfair et ma cousine a pour prénom Lynda et l’étonnant collier de
jade…
Je retombais sur mes pattes, un peu comme une chatte en vapeur, qu’un soir de pleine
lune, un vilain personnage saurait mesquinement lancer d’un deuxième étage. Une
étrange retombée quelque peu économique point de vue sensations me dicta comme
dans un mauvais rêve ces mots paradoxalement ternes:
- Pierre Luc! Daignerez-vous m’expliquer le pourquoi du faux collier dans le…
- Arrêtez ! Miss O’Briend ! Voilà un auto stoppeur, il est sûrement mort de fatigue dans
ce bled ensablé, allons ! Nous le faisons monter n’est-ce pas ?
UN NOUVEAU VENU POSE SA GRIFFE
Et la belle canaille de poursuivre:
- Vous allez loin comme ça ? … Belle nuit pour la ballade n’est-ce pas ?
- J’aimerais aller le plus loin possible, quelle nuit étourdissante, de faux amis à moi
m’ont gratifié de cette ballade nocturne. Je me présente, je suis Éric le Gitan, chanteur
de musique Rock, je réside à Laval, au Québec, plus précisément au Canada, vous
connaissez ? … Vous êtes monsieur ?
- Pierre-Luc, et voici miss Mayfair et toi ? Éric chanteur de rocky musique, bien sûr,
boucles blondes longues ondulées, complet rose et noir, évidemment je te reconnais,
allez ! Amène-toi l’artiste !
Le chanteur en question avait un port altier, un super sourire éclatant, une tête à faire
damner un saint ou un sein; ses magnifiques boucles déferlaient en ondes claires, et
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c’est alors que je ressentis un haut-le-cœur de jalousie, je compris à l’instant que mon
rôle de protagoniste principal tenait à sa fin; vu les préférences du charmant Pierre-Luc,
le nouveau venu prendrait sans doute une place prépondérante auprès de celui-ci. La
vedette du grand Jet-Set québécois me salua avec une courtoisie théâtrale et Pierre-Luc
daigna me présenter au nouveau survenant de nulle part avec un sourire narquois.
Soudainement fatiguée à l’extrême-onction, je fis un ultime bond de chatte désarçonnée
et me dirigeai vers la banquette arrière. Et intérieurement je fredonnai « Oh! Quelle nuit
» de Sacha Distel, la liberté intérieure reprenait enfin sa place ! Apaisement total de
l’esprit et du corps ! Alléluia! thanks God!
- Voici petite fleur, une gracieuse copine à moi, une fille plus que parfaite, pas d’alcool,
pas de tabac, pas de...
- Salut Éric, mon prénom est Jessie-Fleurette et je me plais bien avec le nom de ma
mère O’Briend. Le pays de cette dernière se nommait l’Irlande, j’habitais le Québec
depuis ma tendre enfance, mais une peine de cœur ou d’orgueil m’a parachuté au pays
des stars, j’ai accepté un poste temporaire... Musicalement parlant, ton dernier tube
Androgyne à deux Faces, superbe en musique autant qu’en paroles ! Excellent travail
mon vieux ! Félicitations !
Le petit malin gloussait de plaisir, son ego de vedette jouissait d’une façon apparente à
outrance, mais ce tzigane aux yeux noirs me plaisait systématiquement sans raison
vraiment précise, il me semblait bigrement sympathique. Décidément les mecs aux
cheveux longs auront de toute époque ma préférence manifeste et ce depuis mon âge de
raison. Éric enchaîna avec dans la voix un timbre voluptueux inné :
- Ah ! vous, I mean, tu connais mes tubes! J'en suis ravi, mon but est de revenir au
Canada le plus vite possible; je me dois d'être en spectacle dans une huitaine de jours.
On m’a dépouillé totalement, j’étais en visite chez Jean-Laurent Sénécal pour un
soi-disant contrat avec la WNYC télévision, le salaud en question avait comme
pseudonyme Shoukasian, quel tordu ce mec, un vrai satyre !
---Oh ! La -La ! Était-ce au Shoukasian’s Heaven ? Une brasserie or et bleue à
l’acoustique sataniquement céleste ?
- Oui ! Ce ciel (Heaven) damné m’a conduit aux enfers de Dante les plus sordides, à
sec, me voilà à sec. Je n’ai plus un rond, cette ordure de Shoukasian a su me faire
découvrir combien naïf je suis.
Quelle tuile, j’ai loupé deux concerts à cause de ce traquenard… 568, 000. $ … Et le
quatre mai prochain, je suis programmé pour un concert au théâtre Saint-Sauveur dans
les Laurentides, Quel emmerdement ! 825, 000. $ cette fois-ci et la sauvegarde de mon
titre. Dites Pierre-Luc, accepteriez-vous de me rendre service ? Conduisez-moi à
l’aéroport et prêtez-moi le fric pour le retour du billet, je téléphonerai à mon cousin au
Québec et l’on vous assurera du remboursement intégral avec une prime en surplus.
- Non, je regrette, mais j’ai en tête une meilleure idée : Nous irons tous les trois au
Québéc en Canada. Mes fibres musicales ont besoin de musique Rock québécoise ces
temps-ci et j’ai ouïe dire que le théâtre Saint-Sauveur possède une acoustique épatante
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ainsi qu’un jeu d’éclairage savamment avant-gardiste. Qu’en pensez-vous petite fleur
aux blancs pétales ?
- Formidable ! Excellente idée patron, mais j’y décèle un bémol, c’est que j’aimerais
bien obtenir mes 184, 000$ sur l’opération Jade, votre mémoire aurait-elle subit une
surdose de chaleur, doublée de Tequila ?
- Chère petite irlandaise, tout sera au poil bien avant notre arrivée à l’aéroport.
Et c’est ainsi qu’allègrement le joyeux trio prit la direction opposée qui menait à
l’aéroport. Loin de moi la pensée de ce voyage impromptu J’étais fébrilement heureuse,
excitée et ravie de revoir mon beau pays, et surtout ma petite Vallée de Saint-Sauveur,
petit village des Laurentides au Québec que l’on nomme depuis l’an 2003 : Ville de
Saint-Sauveur… Revoir toutes ces beautés terrestres, quitter cette cuisante chaleur,
fantastique au début du séjour, mais harassante avec la prolongation. Toutes ces pensées
positives donnèrent des ailes à la rose et noire de Trans-Am. Machinalement ma main
gauche vraiment pas idiote tapota doucement le rétroviseur. Cette fois-ci mes pensées
musicales me firent songer à ce grand artiste auteur-compositeur du Québec que
j’admirais depuis fort longtemps et joyeusement je me surprends à fredonner avec une
intonation Blues, ce refrain vachement réconfortant et réconciliant avec la planète
entière :
- «Tu pars en voyage, tu déménages quelque part.(Parole et musique de Claude Dubois
1969).»
CHAPITRE TROISIÈME
DEUX YEUX VERTS ET DES JOUES SAILLANTES
27 août 1999 (8 : 00 heures A.M.)
L’avion ne décolla que ce matin; because la tornade dont je ne sais d’où. Toutes mes
idées de chatte chaleureusement affectueuse s’étaient glorieusement estompées avec la
venue du blond chanteur québécois et je remarquai que ce mec s’avérait un blond légal,
un pur, un tatoué comme disait ma mère dans le but ultime d’énoncer la vérité.
- Un tatoué ! Oui, en effet Jessie, mais comment le savez-vous ? Je possède
indéniablement une étoile bleue avec de petites pointes jaunes. Eh ! Oui sur le pied
gauche.
Nonobstant ma surprise, j’eus la répartie facile et j’inventai rapidement cette légère
contrevérité :
- Gauche mais sûrement pas idiot, n’est-ce pas ? Oh ! Ce n’est pas tellement malin, je
devine ce tatouage à cause d’un don, chut ! Il ne faut pas causer trop haut, je suis un peu
sorcière, c’est l’héritage de ma grand-mère la petite irlandaise.
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- Ah! Oui! je m’en doutais un peu, vous êtes tout à fait sensationnelle, vous êtes
l’inspiration idéale pour une future chanson. Dites, vous possédez aussi le don de
rédiger, aimeriez-vous travailler avec moi ? Dans une vue antérieure vous étiez ma
muse et alliée, c’était écrit cette rencontre de ce siècle en voie d’extinction.
Brillante idée ! La chanteuse québécoise Belle Gazou s’est promenée entre Mozart et
Jagger (Chanson de Belle Gazou 1989) dans un de ses tubes et moi je ferai la navette
entre Chopin et Éric le Gitan blond. Pourquoi pas ! Je te certifie ma petite comète
blonde, le tout fera des étincelles sur scène. Allez Éric je te fais la bise, dis, tu veux me
parler de ce Jean-Laurent ? Est-ce qu’il a déjà vécu en Canada ?
Curieusement la réponse de se faire entendre à l’arrière plan ! Et en plus à gorge
déployée!
- Oui ! Il a déjà vécu au Canada, et c’est avec fébrilité qu’il a hâte d’y revenir en chair et
en os!
Éric et moi avons eu un soubresaut en conjointe collaboration, cette voix fielleuse de
l’arrière-scène semblait projetée d’outre-tombe. Synergiquement nos têtes firent
demi-tour et de la cime de son inexplicable grandeur cadavérique, Shoukasian de son
véritable prénom Jean-Laurent daigna nous saluer froidement. Ses joues saillantes
semblaient plus pâles. Était-ce une poche d’air ou un manque d’oxygène qui me fit
chanceler ou bien les yeux scabreux du nouvel arrivant ? Je n’osai répondre à mon
interrogatoire intérieur et fit une moue désinvolte qui ne fit aucunement bonne
impression au noble énergumène.
Heureusement Éric eut tôt fait de me devancer en paroles :
- Cette retrouvailles me déplaît au superlatif de riffs et je vous incite à retrouver votre
siège monsieur Jean-Laurent, votre scénario intérieur et vos manipulations exhaustives
m’ayant mis au pas, nul besoin de réitérer vos étranges élucubrations. Le plus grand
écart de votre démoniaque ballet s’est avéré un chassé-croisé d’un mémorandum
grotesque et invraisemblable.
- Attention mon petit, votre gosier de chanteur pourrait se laisser fredonner la gamme en
deux volets, le second ayant pour titre le fameux Requiem inachevé de Mozart.
Les yeux verts devinrent soudainement jaunes comme ceux d’un reptile, il serait
intéressant d’annoter que la seule vue d’un tel invertébré a toujours su laisser un frisson
d’horreur sur ma nuque d’intellectuelle innée.
Les yeux du monstre à figure humaine eurent lieu de me transporter dans un temps
archaïque, celui des animaux préhistoriques. Redevenus verts, les yeux aux mini
pupilles énigmatiques m’envoûtèrent tout en m’horrifiant simultanément; aussi
microscopiques que furent ces pupilles, elles englobèrent pernicieusement les miennes.
Fébrilement, comme seule une naufragée perdue dans une eau gluante sait le vivre; je
demandai humblement l’aide d’un Esprit universel que je nomme Dieu et sûrement plus
puissant que le mien mon esprit en pareille circonstance.
Abruptement, je sentis mon sang tourner royalement dans ses conduits, et ce fut
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l’apparition soudaine du déjà vu; je nous sentais perdus… et pourtant à cet instant
précis, mon esprit s’ouvrit d’une façon mystérieuse.
- Monsieur Shoukasian, enfin Jean-Laurent …
J’entendis alors le son de ma voix comme celui provenant d’une autre personne; cette
voix me parut rassurée, alors bien assurée de moi, je fis une pause, dans le but ultime
d’être bien captée par mon interlocuteur. De plus en plus à l’aise, je continuai sans
trêves :
- Au préalable de cet intéressant vol matinal cher monsieur Jean-Laurent, j’aimerais
vous présenter mon copain Pierre-Luc, il est d’une nature plutôt timide, serait-ce
possible de l’emmener avec nous ?
La réponse ne se fit jamais entendre et cette présente scène saurait sans doute aucun se
graver très profondément bien au creux de mes mémoires intérieures dont la rédaction
se terminerait sûrement un de ces quatre matins; lorsque les années s’avéreraient
suffisamment riches d’expériences aux multiples confidences d’auteurs non-tombés en
voie d’éloignement de la faune littéraire. Dores et déjà la relève des non-tombés
littéraires ferait sa place bien ancrée et décidée à rédiger beaucoup mieux que leurs
prédécesseurs un peu vieillots voire vieux jeux à leurs yeux. Place à la relève et abattons
les autres, ils sont de la vieille école, ils ont déblayé le chemin alors maintenant qu’ils se
tassent en groupe.
PLUS SUBTIL QU’UN LOUP-MARIN AMÉRICAIN
UN LÉOPARD QUÉBÉCOIS
Et la fauvette aux tresses brunes daigne se déganter primo, secundo, elle pose sur le
pare-brise ses lunettes teintées aux contours colorés jaune et noir, tertio, elle ouvre la
portière de sa Caravelle blanche des sixties d'années. Et aussi féline qu’un léopard de
brousse; elle s’achemine vers nous, sans nous regarder Éric et moi, elle fit un bond
avant vers Jean-Laurent. De ce dernier, elle touche et ouvre le veston couleur moutarde
de Dijon, très élégant d’ailleurs ce veston, dont je sais d’emblée reconnaître la coupe et
le style du formidable couturier québécois Jean-Claude Poitras, donc, notre héroïne en
retire prestement un objet luisant qui s’avère la copie conforme d’une flèche
amérindienne. Telle une Diane chasseresse elle venait d’atteindre sa cible avec un seul
javelot. Une autre paire d’yeux de lynx en somme. Je me sentis soudainement deuxième
avec ce don so damn bon.
Une marre de sang quasi noir sur ce complet pastel indique le troublant épilogue du
comédien ravageur.
- Ouais ! Ça devait se terminer ainsi; je fus flouée et renflouée par ce salaud qui a su de
toute son existence traîner son beau cul mâle aux spectacles les plus ignobles qui
existent. !0 x 100, 000. ? voyez-vous ça ? Voilà ce qu’il a comme dette envers moi !
Plus tard toujours plus tard, il me racontait sans cesse des boniments… Et vous qui
êtes-vous ? Ses amis? non sûrement pas ?
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Tout se déroula excessivement vite, je n’eus aucunement le temps de répondre, agitée la
belle brunette pour qui les brunes comptent pas pour des lunes dit instantanément :
- Jovette est mon prénom, ne me surnommez surtout pas Jojo ou Vévête, ça brime mes
émotions, si vous avez envie de monter dans ma Caravelle, soyez à l’aise. Je suis
crevée, voulez-vous conduire cette bagnole ? Elle naquit en 1965, une véritable relique
quoi !
Je remarquai qu’elle s’adressait à moi, honorée, sans peur et sans reproche, je lui dis
vivement :
- C’est chouette, je suis Jessie-Fleurette O’Briend, voici Pierre-Luc et Éric.
Sans plus de présentation mondaine, tous les cinq nous roulons à basse allure vers la
sortie, confortablement installés dans la blanche Caravelle lorsque ce policier à la
moustache rousse et au complet marine et rouge nous interpella avec un franc sourire;
en vrai gentilhomme il nous mandata les pièces d’usage:
-Permis de conduire et immatriculation, s’il vous plaît madame ?
C’est alors qu’il jeta un regard furtif sur la banquette arrière.
- Oh ! Est-ce votre copain qui dort à l’arrière banquette ? Ça ne va pas ?
- Monsieur l’agent, comme à l’habitude mon fiancé a outrepassé la dose normale de sa
bouteille de Tequila.
Et sans plus de causerie, je sors la bouteille plus que vide.
- Regardez la bouteille est totalement démunie.
- Oh ! Yes! Indeed, il a arrosé son retour en Canada.
- C’est ça monsieur l’agent !
L’agent pris connaissance de mon permis de conduire et me le rendit ainsi que le petit
papier bleu-poudre réservé aux immatriculations de tout conducteur en règle. Je les
remis à Jovette puisque bien à elle.
- Ça va, tout est en règle, bon retour tout le monde !
- Merci monsieur l’agent et bonne journée.
Mensonges vilains plus que nécessaires. Pour terminer l’opération Jade 12, pas question
d’en informer tous les agents du Québec immédiatement, pas pour le moment du moins.
Cette Jovette me semblait mûre pour la relation d’aide en deux volets : L’Admission via
la Capitulation et vlan via l’Acceptation et non la triste résignation.
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Je ressentais vraiment me rapprocher du but ultime et mes nouveaux copains semblaient
du même avis puisque dans l’espace de trente secondes nos trois cœurs vécurent leurs
battements de cœur à l’unisson. Ces deux hommes savaient me plaire davantage.
Bizarrement Jovette me dit alors :
- Je vous invite chez moi, je possède une maisonnette à Laval-sur-le Lac, vous
connaissez ? Connaissez-vous la route pour vous y rendre ?
- Si ! Et la détente sera parfaitement appréciée, merci de votre invitation, nous
acceptons avec joie Jovette.
Cet acquiescement de ma part se prononça sans qu’il n’y ait aucune consultation avec
les mecs; j’étais positivement certaine de leur désir sincère de relaxation.
L’arrivée chez Jovette se fit doucement. À sa demande par bouton électronique; une
porte immense peinte en rouge aux reflets métalliques insolites s’ouvrit lentement, nous
roulions perpendiculairement dans ce vaste garage, et la trajectoire se poursuivit pour
une bonne demi-minute avant que la Caravelle blanche soit garée à sa place, tout à côté
d’une superbe Porches jaune canari très foncé.
L’air pur devenait rarissime, une odeur biscornue flottait lourdement dans cet immense
souterrain, moisissure ou litière de chat, je n’eus aucun discernement pour différencier
ces nauséabondes d'odeurs. De toute façon je m’en foutais éperdument; j’avais les
guiboles* en accordéon et je n’aspirais qu’à la découverte prochaine d’un fauteuil plus
ou moins confortable et peu importe sa forme et sa couleur.
* Guibole : Dialecte français, dont la signification est jambe.
UN FILET DE LUMIÈRE AU BOUT DU TUNNEL
Fatigués au plus haut point du voyage, vraiment semblables à des zombies, nous nous
retrouvons au premier pallier du château et non de la maisonnette telle que spécifiée par
cette belle Châtelaine brune lors de son invitation. Ledit pallier recouvert de moelleux
tapis gris perle impressionnait par son effet à triple dimension ; À chaque pas effectué,
il semblait que je m’enfonçais étrangement un peu pareillement à une marche dans le
sable chaud. Tous les fauteuils de couleur gros bleu, sauf un plus petit, de style love
seat, donnant un relief étonnant; cet endroit au stylisme personnalisé indéfinissable me
donnait froid à l'âme. Ce tout petit fauteuil me plaisait à l'extrême; il était recouvert de
tissus léopard, et ce, dans toute son entité.
Subjuguée à l’extrême je le fus ! Remarquable cette Jovette, ce félin fauteuil lui seyait à
ravir ou bien était-ce le contraire ? Était-ce Jovette qui seyait bien au fauteuil ?
Sans plus de philosophiques questionnements, je m’installe lentement face à cette
princesse des îles lointaines. Pierre-Luc lui, décida d’opter tout bonnement pour la
gauche et Éric bon enfant culturel se cantonna à droite.
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Je suis de celle que l’on peut duper à l’occasion, il y va de soi, mais sans fausse vanité
aucune, ceci il faut savoir l’effectuer brillamment et avec doigté. Miss Jovette caressa
doucettement ses nattes brunes et chuchota suavement de sa voix de blueswoman
sensuelle :
- Comment allez-vous tout le monde ? Bienvenue dans ma maisonnette de luxe, soyez à
l’aise, détendez-vous, contempler le plafond si le cœur vous approuve, voyez ce ciel
bleu étoilé, peint en trois D spécifiquement par mon copain Gary, pour le bonheur des
invités. Alors, je sonne Jean-Jacques, faites vos jeux pour vos rafraîchissements
préférés.
Ladite demande fut promptement accomplie et d’une façon très élégante. La bouche de
Jovette d’une sensualité enivrante mais vulgaire fut avantagée par un sourire quasi
enfantin, lorsque tout à son service, un homme d’un âge certain s’avança en douce.
Immuable, il nous salua, son regard vide nous toisa, un à un, tous les quatre. Ce même
regard devint tout à coup très profondément inquisiteur, sans haine ni affection, d’une
politesse noble et sans reproche.
Je fus la première à lui faire part de mon désir sans vraiment prendre garde au protocole
:
- Une boisson à l’orange, pamplemousse et citron et aussi une double portion de
glaçons, s’il vous plaît monsieur Jean-Jacques.
Je décidai sans culpabilité aucune de profiter du présent moment et de me laisser
bichonner…
En écho Pierre-Luc et Éric décident de s’affirmer en grandes pompes mais sans
originalité :
- La même boisson deux fois s’il vous plaît mon ami !
Et Joyeusement Jovette de répliquer :
- Pour moi se sera une Tequila sunrise, un double, please Jean-Jacques !
C’est alors que Pierre-Luc reprit d’un ton confusément repentant :
- Je me désiste ! J’opterai plutôt pour le même truc que miss Jovette, j’ai une soif
incroyablement vraie.
Comme dans un film à haute tension cinématographique : Un temps, deux mouvements
et Hop ! La ! Héééé! Pst !
Vivement lestes les longues nattes de la fauvette brune virevoltèrent en planant en
surprise capillaire sur le somptueux tapis… Et je compris simultanément cette étrange
impression du déjà vu lorsque mes yeux de lynx se sont posé pour la première fois dans
la profondeur des yeux de cette pulpeuse Jovette. Cette dernière semblait surgir d’une
comédie musicale inédite, cette Jovette s’avère aussi un homme, tout comme Pierre-Luc
et … Incroyablement le frère jumeau identique de celui-ci.
Soyons réalistes ! Quelle brillante mascarade ! Hum! Hum ! Tequila et yeux félins et en
double bien sûr ! Je me pilotais vers l’extase totale ! J’étais sidérée et éblouie. Ces deux
mecs ont vraiment su me tenir en haleine intellectuelle et physique. Sensuellement sans
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rancune, je les gratifiai de félicitations pertinentes :
- Messieurs, votre double scénario sait me transporter dans les mille et une nuits d’Ali
baba, et je ne peux que vous admirer davantage. Vous cher Pierre-Luc, et vous de même
chère Jovette, votre prénom véritable s’avère sûrement tout aussi élégant ?
- Pierre-Yves est mon prénom de répondre le beau duc.
Pierre-Luc le premier avala d’un trait son liquide alcoolisé à la Tequila. Les glaçons
résonnèrent en un bruit étrange lors de leurs accolements, me remémorant l’épilogue
d’un concert lorsque chacun des auditeurs a su vivre intensément une sublimation
bénéfique.
C’est alors que Pierre-Luc se prononça d’une façon pondérée sur un juste ton.
L’explication s’imposait derechef !
- Jumeaux identiques nous le sommes en effet, quoique Pierre-Yves soit mon aîné de
deux minutes. Le lait démaquillant et tout son kit deviendra un atout sérieux, n’est-ce
pas mon frangin (frère). II s’avère primordial que ces messieurs/dames puissent admirer
nos troublantes ressemblances corporelles.
Le second Pierre-Luc, en somme Pierre-Yves, se leva prestement et d’une démarche
tout aussi féline que son double ego se rendit vers un vestibule ensoleillé bordé d’une
pléiade de plantes mixtes aux couleurs exotiques, tombant entremêlées des lourdes
jardinières toutes de cordes tressées. Une pure merveille avec ce soleil et ce plafond
bleuté de Prusse brossé par l’artiste Gary. Et ces étoiles en plein ensoleillement ajoutait
une illusion d’optique assez originale voire phénoménale.
Soudainement cette maison, je la contemplais lentement en la percevant très
agréablement, onctueusement installée dans le bleu d’un sofa et voilà qu’une euphorie
indescriptible et progressive me submergeait peu à peu. Le breuvage aux agrumes fut
doublé d’un puissant narcotique aux tendances tranquillisantes, j’en eus vaguement
conscience, car j’étais absolument incapable de me lever de ce fauteuil dont les bras
gigantesques semblaient démoniaquement sur ma poitrine se refermer. Illusion ou
hallucination, mon cerveau analysait sans résultante le tout salon dans son ensemble.
Depuis combien de pleines ou filets de lunes étais-je dans cet état? Une éternité passait,
depuis toutes ces minutes ou ces heures peut-être.
RETOUR ARRIÈRE ET
MÉMORISATION SALVATRICE
Je décidai et ceci tout à fait inconsciemment de ne point bouger et d’une manière encore
plus inconsciente de bien écouter. Soudainement, j’eus souvenance de cette formidable
citation Shakespearienne : …«Ce qui me nuit, c’est cette maladie de ne pas écouter.»
Involontairement et innocemment sans doute, je souris. Face à moi, deux lèvres
gourmandes et ironiques eurent la même fantaisie. Les lèvres savamment dessinées
appartenaient à Éric le gitan. D’une gentillesse sans bornes, il s’adressa à moi :
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- Ma chérie, dommage, les petits agrumes du Canada semblent vous réussir tant bien
que mal, est-ce que vous êtres contrariée ou désorientée? Le mal du pays sans doute ?
Coup de maître ou de traître… Ex abrupto.
Je le vis se lever à une vitesse vertigineuse ! Faire tomber d’un trait, d’un pied, d’une
main les deux jumeaux. Ces derniers se recroquevillèrent lentement et semblèrent
s’évanouir comme l’ancien moi d’un alcoolique actif ou encore sous l’emprise
étouffante de l’alcool lorsque ce même individu décide un jour de capituler sans réserve
aucune de reboire à nouveau, chemin ultime le menant à l’acceptation de son
alcoolisme, maladie lente, sournoise, progressive et souvent mortelle.
J’étais par la force des choses uniquement spectateure, même les applaudissements
s’avéraient pour moi impossibles puisque l’on m’avait ignoblement imposé cet état
comateux. Un retour arrière d’un quart de siècle ou presque me mit en mémoire
combien cette situation pouvait s’avérer obsédante et pénible, nonobstant cette ignoble
léthargie, paradoxalement je compris combien précieuse était cette lucidité constante de
l’esprit, Sans paradis artificiel aucun.
À nouveau j’implorai l’aide de l’Invisible cet Etre supérieur à moi-même qui un jour me
sortit de l'ornière de l'alcool et ses suites, le suppliant de me gratifier à nouveau de cette
raison, avantage inestimable d’une importance capitale en ce siècle ou les peurs et les
angoisses, fils corrosifs destructeurs bouffent indéniablement les humains.
- Allons petite fleur sauvage, le cauchemar s’achève, courage tenez bon, je vais sonner
pour la venue de Jean-Jacques, sa collaboration nous sera d’un précieux secours.
C’était la voix d’Éric et celle-ci semblait venir de très loin, comme si nous étions au
sein d’une vallée du Tyrol. Musicienne de l’âme et des doigts via ma voix, une envie
folle de danser me tenaillait les veines, courageusement mais sans véritable conviction,
je décidai de me lever pour m’exhiber savamment mais en vain… Lourdeur et fou rires
me torturaient le dos en duo.
Je vis s’avancer l’homme de service, mon air hagard ne sembla pas lui déplaire. Éric lui
dit tout de go que mes pieds étaient ensanglantés, cette fois-ci, le mec parut surpris, moi
non, du moins je le pensai sagement. Malgré la lente torpeur qui m’enveloppait tout
entière, j’eus la force inouïe de faire voir avec mon index ce fameux tendon d’Achille;
incontestablement le sauveteur de ces instants malencontreux.
Jean-Jacques s’approcha très près de moi, puis se baissa d’un mouvement vif vers mon
pied. C’est à ce précieux moment qu’Éric fut très bref dans ces démonstrations
martiales. En deux temps, trois mouvements, Jean-Jacques fut formidablement allongé
sur un canapé de couleur poire aux fleurs en relief gros-bleu de Prusse. Le self-défense
d’Éric a su faire honneur à quatre personnages importants : Pierre-Luc, Pierre-Yves,
Jean-Jacques et moi-même.
Les deux jumeaux et le personnage central étant éliminé, deux protagonistes
demeuraient désormais le point culminant du récit plus qu’énigmatique. Éric me prit
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dans ses bras, je ne résistai pas, je me sentais transporter corps et âme; un peu comme
dans une grande saga Hollywoodienne… Nul est le besoin d’annoter ici notre sortie en
vitesse première, direction future les belles Laurentides patelin éminent de mes amours
culturels.
Laval-sur-le- Lac ce n'était quand même pas le bout du monde via Saint-Sauveur: la
fuite se fit à pieds secs; histoire de bien dégeler nos cerveaux vachly congelés; enfin, le
mien du moins... L'auto stop était de toute évidence notre porte de sortie la plus
efficace...
Par conséquent, je me surprenais moi-même à marcher comme ça côte à côte avec Éric
qui causait au téléphone avec une voix étrange :
-Oui ! À Laval-sur-le-Lac c’est exact ! Faites vite, sinon les trois oiseaux s’envoleront,
des personnages un peu mêlés avec leurs identités. Légitime défense lieutenant, je vais
vous laisser mes coordonnées. Oui, c’est bien dans cette résidence cossue, oui, 457, rue
des Outardes, tout au bout de l’allée de thuyas. Merci ! Nous prenons l’air, car nous
l’avons échappé belle…
Plus il discutait, le moins je saisissais le sens de tout cet imbroglio...
à suivre au volet deux
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2016-03-31
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Un Parfait Salaud Misogynaire *
Leonardo Da vinci
°°°°
Musique JULIEN DORE -BAIE DES ANGES°°°°
Un Parfait Salaud Misogynaire *
de la Louve
J’avais à peine 15 ans et cette brune qui ne comptait pas pour des prunes à mes yeux
m’attirait magistralement et démesurément. Elle avait sûrement plus de deux fois mon
âge et je m’en foutais éperdument car le désir ne différencie pas le temps qu’un être
humain sache vivre sur cette terre. Tout en elle me plaisait. Sa façon de parler anglo,
franco, de marcher, de gueuler, de jouer de la tambourine, de danser, d’écrire, de
peindre, de déconner et surtout de me faire ressentir sans le dire que j’étais un parfait
salaud misogynaire et alors de sourire et de me dire :
- &quot;Tu saisis Don Quichotte ? Alors please ta gueule me disait-elle en souriant
sensuellement et prends ta guitare pour cette année et plus car c’est tout ce qu’il te sera
permis de prendre ! &quot;
Je ne connaissais pas ce Don Quichotte de nom de musicien, mais si elle m’appelait
ainsi, ce devait être un big Shot de la guitare, alors je m’y mettais avec toute mon âme;
tel que me l’avait appris mon maître sur le bord de la Rivière Bianca près des Chutes
aux Bleuets à Brébeuf dans les Hautes Laurentides in Québec en Canada. Lorsque j’ai
eu sept ans et que j'ai découvert comme un diamant caché cette guitare acoustique ou
sèche un peu sale près d’un énorme chêne d’au moins 112 ans! Un trésor d’un million
de dollars ou d'euros n’aurait su me combler davantage; cet instrument premier pour
moi contribua en quelques sorte au développement de ce que l’on nomme les mains
magiques car bien sûr en plus d’être un don, la pratique constante est un atout plus que
nécessaire en musique tout comme dans chaque discipline artistique dailleurs.
* Le mot mysogynaire est l'euphémisme de ce poète et dramaturge et provient du titre
Le Misogynaire et du poème du même titre ; recueil de poèmes du regretté
Raymond-Marie Léger décédé accidentellement le 16 novembre 2002 dans les
Laurentides au nord de Montréal. Je suis certaine que dans cet autre ailleurs il est
heureux du titre choisi par sa consœur qu'il aimait avec authenticité; avec amitié pour
faire vivre ce récit que je lui dédicace dans cet autre ailleurs : Un Parfait Salaud
Misogynaire.
En guitare, les doigts quasi ensanglantés du début deviennent cornus et de ces critères
essentiels la magie peu à peu commence à opérer lorsque la détermination et la
persévérance s’avèrent prépondérante. Je travaillais pour elle cette déesse ensoleillée, au
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fait, elle m’avait embauché pour distribuer des petites cartes d’invitation pour son Big
Vernissage et Lancement Géant de trois manuscrits. Ce serait une grosse surboum et des
copains musiciens à elle viendrait chapeauter la grosse fête voire le Big sheffle avec un
vingt minutes d’excellent Blues. J’avais quelques pièces instrumentales à mon actif dont
cinq déjà de mes compositions. Donc je serais de la fête comme jeune musicien
compositeur-interprète qui fait ses premiers sauts pas sots avec public inconnu je
l'espérais fortement pas sot de trop en musique. Sunny Fair qui était son nom me
draguait mais tellement subtilement qu’exclusivement moi, très petit futé savait
décoder. Deux mois que cette drague durait. J’étais à plat de jouissances solitaires car
chaque jour, c’était pareil, elle savait me faire raidir ici ou là dans ce saltimbanque
d’atelier où tout ressentait la sensualité extrême. Et je suis retourné aux études après cet
été de petit travaux à la Galerie en Dentelles…
Vers l’âge de seize ans, je suis retourné à nouveau ; histoire d’amasser des sous pour me
payer une moto. Drague simulée similaire, elle m’allumait et tout filou que j'étais je
savais vachement bien l'allumer aussi; j'étais un parfait salud inné tout autant qu'elle
sinon plus car durant l’année antérieure j’ai eu la veine de pratiquer le coup de la
sauterelle sur la colline avec quelques nanas de mon âge. Mais bizarrement cette
blueswoman comme la surnommait ses copains musiciens savait me traverser l’échine
en ondes érotiques assez insolites. Un feeling ultra hot que je ne ressentais avec
personne et qui me donnait envie de fuir et de rester pour la vie…
L’inaccessible pour tous est un tremplin vers la jouissance et cette femme qui se voulait
quand même loyale savait sans causer de trop me faire comprendre que nous pour le
peau à peau ce n’était que partie remise ; histoire simple et concise de ne pas avoir vivre
de vilaines d’histoires. Mon anniversaire devait tomber un samedi du mois d’avril, le
temps était à la tempête de neige de je ne sais quel saint et je fus obligé de crécher chez
elle… Ce fut the sweet swiss night pour elle et moi ! Un vrai film en trois dimensions
des plus fleurs bleues, des plus sauvages et des plus doux. Son lit était étroit et nous de
même car nous ne faisions qu’un et sans forcer la note puisque nos guitares étaient plus
qu'accordées! Nos mouvements coordonnaient tellement que nous étions surpris et
ébahis de tant de similitude. Au début de ma chevauchée lente et intense sur elle, je
croyais qu’elle exagérait sa plénitude mais je le ressentais si fort bien au creux d’elle ce
sublime bonheur des sens que je savais qu’elle ne feignait pas ce divin Nirvana qui
perdurait sans vouloir s’estomper alors. J’avais une seule idée en tête, celle de la voir
sourire et d’être heureuse, je ne me reconnaissais plus, moi, que je croyais misogyne
inné ; vu mon attirance plutôt mitigée pour la gent féminine.
Quelques vaines et humiliantes tentatives entre 14 et 17 ans me firent mijoter quasi
inconsciemment un ultime plan de vengeance d’adolescent en perpétuel conflit avec
mon horrible ennemi : Moi-même et le désir que forcément je me devais de blinder et
déblinder comme bon me semble: j’étais l’artisan premier de ce refuge en personnages
multiples ; histoire de souffrir le moins possible, vu mon égocentrisme et mon
narcissisme mâle assez fulgurants et perceptibles à mes naseaux de juvénile dragon en
chaleur via la rancoeur mais bien tempéré pour ne pas en vérité me faire repérer de trop
par ces chasseuses dites couguars de jeunes mecs en manque de sensations extra
orgasmiques. Chasseuses qui pour ma peau déjà en quête de l’inaccessible trouvait trop
faciles ces déesses magnifiquement insipides. Je me délectais ici avec Sunny car
celle-ci, déesse véritable à mes yeux et à ma peau plus que réceptive et tactile ne serait
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jamais facile elle, même après s’être donnée corps et âme mille et une fois car la
première chevauchée fut des plus attendues et de cela je saurais m’en souvenir
jusqu’aux heures les plus incultes de ma vie d’adulte. Puis passèrent sur ma route
quelques donzelles sautées par moi et vivement retombées sur leurs pattes fines
d’elles-mêmes. Ces quelques bribes asexuées furent pour moi plus pénibles que
jouissives véritablement; ces quelques engrenages sans grand enthousiasme m’ayant
alors vainement laissé sur ma faim de jeune mâle en rut notamment c*nçu pour haleter
et attiser beaucoup plus de délectations charnelles à l'égard et par égard d’une femme en
particulier, celle que depuis tant de mois j’avais tant en tête, en âme et en trois accords
et corps avec ou sans décor encore. Mais ce que je vivais semblait bien réel sauf que je
me sentais dans un rêve profond et je me disais sans me le dire; mon cerveau semblait
flotter avec une substance si étrange et inhabituelle que malgré tout, l’idée saugrenue
me frôlait la matière grise me harcelant que tout était pour se terminer et que je saurais
bien m’éveiller sous peu. Mais notre pensée peut tout et celle-ci fut exaucée sans
quarantaine de songerie. En effet, lorsque je m’éveillai, jeune homme de bien, moi
l’intellect en musique au superlatif de cause, ce fut auprès d’elle… Inouï mais
véridique, nos ébats reprirent à mon premier toucher avec mes lèvres encore brûlantes
de désir sur sa nuque tout aussi ardente de me recevoir à nouveau et davantage plus
intense qu’au long court de cette nuit quasi blanche mais combien extravagante en
ardeurs qui crève le cœur car souvent le bonheur et ses montées immenses en adrénaline
ou en phéromones de parts et d’autres sont parfois de courants momentanés. J’étais prêt
à débarquer du bateau car je ressentais déjà la houle et je n’ai pas le pied marin
totalement. L’immersion fulgurante en elle se fit douce et sauvage à l’effigie de nos
deux corps en rencontres sublimes, fut secoué par un urgent peau à peau électrifiant et
sans limites qui se réalisait radieusement tel que prévu dans le plan de mon cerveau
joyeux d’avoir réussi la plus belle conquête de mes rêves. Je ressentais la sève enivrante
et délectable du parfait salaud misogynaire inné que j’étais et celui qui dorénavant grâce
à ce trophée incommensurable bien assouvi à mes côtés je savais que je le serais et
davantage je jouissais de ma réussite et mes confrères aussi lorsqu’ils seraient au
courant de mon aventure.étonnante. Tout comme la pratique de la guitare ou du banjo
via le violon ou le piano près de son violoncelle, la pratique de faire languir une femme
serait ma devise nouvelle. Oui ! Ainsi doué pour la satisfaire et la faire monter au
septième ciel en une délicieuse séance seulement ! Je me reconnaissais des talents
immenses de récupération instantanés après toutes émotions fortes mais cette fois-ci j’ai
eu quelques difficiles moments à passer au travers car la difficulté de m’en remettre
s’avérait ardue; cette sweetie bitch me fascinait et m’intriguait davantage qu’avant notre
virée rocambolesque au pieu et de la ressentir si belle et si jeune à l’horizontale de ligne
me fit l’aimer encore plus qu’hier et tous les autres jours, mois et années depuis sa
rencontre. Une réelle poupée de porcelaine mais douée d’une force douce et fortement
sauvage en similitude…
Une parfaite s**** quoi Wink mais toute bonne chose a une fin même la faim tire aussi
sa fin des romantiques pages et je vivais dans la peur constante du demain ! Diantre!
J’avais 17 ans et trois quart moins un mois avant la majorité et désormais je serais le
seul à décider quand, où et comment ma ou mes palmes seraient mises Knock Out et
que je les verrais jouir et devenir blafardes pendant que moi n’ayant nullement envie de
jouir je saurai bien simuler comme une femme cette jouissance inexistante car avant
elle, je n’avais jamais su me couler en une femme puisque j’ai toujours simulé, vu mon
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dégoût hors fantasmes pour la femme que je n’aimais en réalité pas mais pas du tout
sauf pour l’étudier, la cerner et l’embaucher pour un travail quelconque artistiquement
causant. Un genre de pacte avec le nouvel homme que je devenais ou plutôt le même
parfait salaud misogynaire mais très amplifié puisque que rassasié et conquérant de la
plus belle prise après la Bastille quelques années auparavant ma venue sur terre. Bandes
magnétiques ou non je fus propulsé sur la voie lactée des grands avec un bagage ultra
concurrentiel face à mes confrères masculins: Je pouvais désormais être le patron de ma
nouvelle vie et obtenir toutes les femmes que je désirerais à l’avenir puisque la réussite
en matière de conquête s’avérait tout à fait étonnante! Une femme comme elle et j’étais
enfin dans son lit! Je me voyais avec toute l’insolence rance de ma jeunesse, le
conquérant de cette dame lady-clé que tous comptes faits je considérais dorénavant
comme trop âgée pour moi, que dirait mon frère et les parents! Sans compter les amis
des cinq @ sept dont les doubles verres métaient si chers et les collègues masculins et
féminins du bureau. Holà les moteurs en chaleur stop it and exit toi par là!!! En réalité
l’inaccessible étant passé de date ou périmé, je ne voyais plus de challenge auprès d’elle
alors l’intérêt était alors désormais minime. Je me sentais le plus fort des deux alors elle
pouvait se rhabiller en soubrette la ‘patronne’ je venais de gagner le plus grand pari
avec tous ces personnages intérieurs qui me hantaient depuis ma tendre enfance. Le
romantique, le space cowboy entre deux toy(s), le timide pervers contrôlant, le
gentleman et le parfait salaud misogynaire qui en somme aimait la femme en général
tant que celle-ci ne se donnait pas entièrement. Quel était son prénom déjà ? Sunny !
Elle ensoleillait ma vie mais l’envahissait aussi et de trop intérieurement alors il me
fallait agir vite et durement sinon je ne pourrais plus briser ces chaînes de si peu de
temps mais qui me blessaient déjà. Et tous ces protagonistes de roman qui se vendent
mal à l’accoutumée des modes se vautraient en moi, pauvre Blaise, petit timide que je
suis à mes saloperies d’heures de Skid-Zoo-Frénésie ardue et mercantilement subtil.
V’la t’y pas que depuis que je fréquentais cette vache-marine (sirène) tous mes hôtes
intérieurs se la disputaient mais vachly subtilement mais aussi vachly sexuellement,
alors le héros que je suis en prenait pour sa claque d’accroc que je suis devenu de cette
cybernétique de télé-roman saga de musique, le héros dis-je, en gobait pour ses belles
grenades. Les cinq hommes qui vivaient en moi étaient disparates mais similaires car
tous étaient à l’extrême-onction pervers, sans cœur ou âme ou presque (façade immonde
de la souffrance et de la non-acceptation du rejet de toutes formes depuis la naissance).
Pourquoi ais-je en plus de moi ces cinq vautours qui m’escamotent la vie jusqu’à
l’absurde idée de vivre en tous chacun d’eux et surtout de les massacrer au plus haut
point et de m’enfuir avec cette crazy garce qui me fait cet effet de la détester et de
l’aimer en me roucoulant et en me sciant en elle et en recoulant en elle jusqu’à ce
qu’elle me hurle comme une femme louve:
- Grâce Baby Angel !
Une femme comme elle qui bramait Stop! Tout ça parce qu’elle ne me voyait pas
comme un petit Don Juan timide. Faux-semblant et faux-fuyants semblent s'amalgamer
aussi paradoxal que ceci puisse sembler. Désormais elle n’était plus l’inaccessible car
elle réagissait comme pas une et fondait sous mes doigts, la parfaite femme renard me
désirait depuis plusieurs mois mais tellement différemment de moi; elle c’était le désir
viscéralement lent, lancinant et devenu mielleusement pénible, moi c’était un grand
pari, avec mon Moi profond et ses invités belliqueux et souvent ennuyeux, cet autre
personne en moi parfaitement romantique qui se faisait considérablement harcelé par ce
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mesquin métèque au cheveux laqués et pas vraiment aux quatre vents des jours d’antan.
Un clan malin dément, oui, je vivais dans un clan! En cette première nuit avec elle, je
me perdais alors en complète déconnexion du monde entier ; lorsque celle-ci ou
moi-même fit un geste si simplet et enfantin alors que nos deux mains se sont jointes
l’une dans l’autre ; ce fut magique et organiquement érotique à nous scier en deux corps
et âme. Nous sommes demeurés ainsi une demi-heure ou une heure, personne le sait.
C’est alors qu’elle s’allongea délicatement sur moi et en accolant toute sa grandiose
effervescence sur la mienne. Étonnant combien tout prestige, préjugés ou classes
distinctes, âges sont évincés lorsqu’un épiderme sait bien s’accoler à un autre épiderme,
tant que le big rush perdure la magie soutient l’aventure et c’est ainsi que le plus beau
des scénarios jamais formulés en ma tête ou aux confins des têtes de mes confrères aux
vies intrinsèques distinctes mais parfaitement ressemblantes pour assouvir leurs bas
instincts sur la femme de mes rêves qui semble être castrateure pour plusieurs de mes
personnages; à mon âme et mes yeux, elles le seront toutes castrateures ces femmes
puisque ma mère que j’adore le fut et l’est encore. Donc avec toute femme qui absorbe
ma pensée logique et émotionnelle je me sens étouffé, deviné ou castrer comme avec la
Mama qui m’a enfanté ou qui a eu soin de l’homme que j’essaie de devenir en marchant
aisément dans l’adolescence jusqu’à 25 ans où je deviendrai un adulte en voie de
s’accomplir. Dilemme complexe car toute sexualité consommée, je me sens comme un
androïde ou une espèce de robot sans émotions percutantes sur la conscience et je me
reblinde jusqu’au désir prochain si ce dernier n’est pas atrophié par un mot ou un geste
de travers par la personne convoitée.
À l’effigie d’un million d’humains sur la boule terrestre, suis-je un simple psychopathe
introverti et jamais découvert par personne ; soit un musicien épiphénomène névrosé
vivant avec mille et une peurs toutes plus envahissantes les unes que les autres, ou bien
soit un mec c*nçu avec une bi-polarité flagrante pour moi seul et que personne ne sait
deviner ou une énorme Ski-Zoo-Frénésie immonde que le toubib décela il y a de cela
quelques années comme clairsemée et non dommageable pour moi ou qui que ce soit.
Cette femme je la haïssais et l’aimais tant à la fois d’avoir su s’introduire dans ce
monde paranormal qu’est le mien depuis ma venue sur terre. Peut-être est-ce ça
l’Amour, le supérieur dont on galvaude les effets salvateurs et libérateurs. Elle était
accouplée sur moi et me limait comme si j’étais une donzelle et elle le mâle chasseur et
conquérant, je passais par le plus haut des voltiges virevoltantes jamais vécues et
pourtant plusieurs petites minettes se sont essayé en ce sens et ce fut le plus ordinaires
des voyages érotiques. Avec elle, c’était l’extase constante tout au long du périple, je
me sentais flotté, désarmé, hypnotisé aux quatre coins de mon être! Tant et tant que je
délirais des paroles inaudibles pour moi mais sûrement compréhensibles pour elle qui
devenait de plus en plus s**** en me limant de plus en plus profondément en elle et
aussi lentement et lascivement que jamais je le ressentais incongrûment personne ne
saurais le faire après elle. J’étais coincé, traqué et prisonnier de ce big PCP ou
Psychique, Cosmique et Physiologique Amour ; celui qui passe une seule fois dans le
contre courant d’une vie ! Et lorsqu’il cavalcade cet Amour il ne choisit pas l’âge des
concurrents ou des élus de passage. Fusion symbiotique extra sensorielle magistrale ou
confusion intro sensorielle démentielle ? Le cartésien que je suis se posa maintes et
maintes fois la question depuis que j’ai volontairement et malignement éloigné de moi
ce grandiose amour qui semblait vouloir s’introduire de trop au centre de mon moi
profond et de mes multiples personnages incrustés en moi depuis la nuit des temps. Une
bataille de tous les instants se percutait en moi ; c’était l’anarchie totale entre mes cinq
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protagonistes et moi le héros quasi déchu vu ma soif d’attachement aussi flagrante pour
une femme autre mais similaire à celle qui m’a enfanté. Similaire pas en âge mais en
force morale et physique. Elle envahissait mon âme et désormais mon corps et en
synergie des plus débilitante alors je devais d’agir vite sinon elle aurait ma peau en
moins de deux autres mois. Bien en clair, cette femme avait tout découvert de ma vie
intérieure et ne le disait pas vu mon déni perpétuel, mon ego gonflé voire boursoufflé à
l’extrême; un Moi démesuré quoi! (n'était-ce pas la source de tous mes maux et
problèmes intrinsèques?) et bêtement de peur de demeurer en trappe je ne voulais pas
voir toute la beauté en elle, ni son ouverture d’esprit aux autres, elle n’en discutait mot,
mais je la ressentais si forte, moi avec l’alcool ou autres substances pour façade ou
béquilles (peut-être voire positivement aussi la source de tous mes maux) et elle avec un
jus d’orange, de grenade ou de carottes ou simplement de l’eau distillée accompagnée
de raisins sans pépins et de bébés épinards…
Fin The End until les prochaines pages délirantes; histoire de vous rendre la vie plus
charmante entre deux... Pour certains ce petit amas de délires peut sembler
invraisemblable et pour d’autres ce sera le un quart de ce qu’ils ont vécu eux en
histoires farfelues ou érotiques…
À chacun ses rêves...
~~~~
&quot;Pratiquer le non-mentir et dans le doute le non-abstenir de tir avec brulantes
flèches de désirs de vivre la paix du cœur musicalement et plus encore.&quot;
(MdLoups).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-09-14
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Un Phare So Far
François Gérard [ 1770-1837] - Juliette Récamier
Citation:
&quot;La belle Juliette Récamier inaugure une liaison avec Chateaubriand ; d’abord
elle est fière d’orner son salon d’un nom prestigieux, puis elle est follement éprise, pour
la première fois de sa vie. Elle avoue à une amie : ”Il était impossible à une tête d’être
plus complètement tournée que l’était la mienne du fait de Chateaubriand. Je pleurais
tout le jour”. Elle lui consacra toute la fin de sa vie avec un dévouement absolu.&quot;
Musica from Youtube: Santana - Flor D'Luna (Moonflower)
Et de la Louve une heureuse tristesse en vous sachant confus d'être loin mais si près de
mon âme en ivresse de vermillons de vers pour combler vos pauses moroses altières.
Un Phare So Far
So far ce Phare
So so far ce phare
En Bavière
Je le vois pourtant
Plus loin là droit devant
So so far ce phare
Loin de la mare
En Bavière
Je m'y approche lentement
Un jour à la fois
En escaladant la Foi
Sans trop de tourment
Mais un peu maladroitement
Priant pour ma vie en tournant
Comme un automate
En plein entracte
Dans un cul-de jatte
Je me me secoue
Entre deux scoubidous
Hey! Me voyez-vous?
Vers toi en Bavière
Le Jazz so lazy me rejase
De mes anciennes phrases
Je m'y reconnais maigrelet
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Entre deux tercets
Vers toi en Bavière
So far away ce phare
Et pourtant je m'y suis vu
Il y a cent ans ou plus
Les cheveux clairs épars
Les yeux heureux et l'âme à nue
Vers toi en Bavière
So far so near ce phare
Me fait plusieurs signes
Avec ses rouges feux
En forme de blanc cygne
Attends-moi en Bavière
So so near ce phare de pierres
At last enfin prêt
De m'y rendre sot so près
Voilà j'y suis pour toi exprès
Sans la peur du retard
It was so so far ce phare
Mon coeur est accolé là en Bavière
°°°°
____
De la Louve so good so far entre deux phares visant ainsi à peindre les roses-cendrés de
nénuphars de notre grand écart.
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-05-09
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UNA & JEAN-MARC (2)
CHAPITRE DEUXIÈME
UNA & JEAN-MARC
de la Louve
UN TRIANGLE EN CERCLE
La couette so chouette rose saumon de grand format semblait plut petite et moi très
grande, j’en fus chagrinée sans savoir pourquoi? Ma vie antérieure quelle fut-elle? Je
me sentais flottée entre le plafond et le plancher un peu comme une droguée ou une
femme qui avait bu des trucs alcoolisés.
Mais je sentais comme une fièvre immense de partout. Comiquement je vis
Johnny-Mark qui se leva, je le suivais des yeux, il était entouré comme dans un nuage
blanc et je l’entendis vaguement Il parlait au téléphone et se rapprochant du lit il dit
d’une voix calme :
- Oui, monsieur le pharmacien je suis arrivé vers dix heures et lorsque je suis entré dans
la chambre elle délirait, je me suis approché d’elle, j’ai tâté son pouls, il battait très fort.
Elle semblait rêver, puis elle s’est levée et m’a giflé en baragouinant que j’étais un
mufle et que c’était bien fait pour moi, que le mec qui é tait au lit avec elle avait su la
faire jouir et… Bon d’accord, du froid pour faire baisser la fièvre, pas du chaud,
heureusement que je vous ai téléphoné car je croyais qu’il fallait l’emmitoufler, vu ses
sueurs froides bizarres! Bon ça va avec du bouillon de soupe au poulet et des Tylénols
(ce qui n’a aucun rapport avec le Tyrol) et beaucoup d’eau, d’accord, merci!
Et Johnny qui s’approchait à pas lent, pour me battre peut-être, c’est alors que je
m’enfouis complètement sous la couette de lit. Diantre! Oh! Oui que ce lit était grand en
dessous d’une pareille couverture de lit. Et couleur blafarde qui me donnait des
haut-le-cœur et pas à peu près. Je me recroquevillais de plus en plus en position fœtale,
retour au fœtus position de l’œuf dans le ventre de la mère, tel que dans mes bouquins
de psychoses. Et c’est alors que je me suis mis à rire mais rire insolemment, puis
désespérément je me suis mise à pleurer et gémir!
Quel supplice je vivais! Mais! Où étais-je? Cet ignoble rustre de geôlier qui
m’interpellait par mon prénom. Quel effronté personnage, me parler ainsi pendant que
je mourrais à petit feu sur mon socle dans un immense tipi beige rosé! Oh! Que je
haïssais le beige rosé cuivré! Et en plus des maux de cœur, l’envie de pipi me tenaillait,
je me hasardai à soulever la couverture un peu humide, Ah! Bien sûr j’ai tellement
forniqué avec cet italien chaud lapin, tout est trempé…
- Una… C’est moi mon ange d’amour! Je suis là pour rester… et il y a mon CD tout
chaud, vois la pochette avec ta photo sur la guitare!
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- Claudio, où est Claudio?
- Claudio? Qui est Claudio ?
- C’est le voisin d’à côté, tu sais le beau mec qui demeure au rez-de-chaussée de chez sa
mère? Il était ici avant ton arrivée, non? Tu l’as vu près de moi, ah! Mais j’ai tellement
mal à la poitrine... Elle va s’ouvrir ma poitrine est en feu, mais que m’as-tu fait avaler?
- Rien ! Oui tu-es très malade, tu as une pneumonie, j’ai téléphoné au pharmacien car le
samedi soir sept heures tout est fermé, clinique... À moins que nous allions d’urgence à
l’hôpital Saint-Jérôme?
- Non, non, je vais aller mieux, oui c’est ça beaucoup de liquide, oui du jus d’orange et
du bouillon de poulet... Claudio… Tu sais lui et moi ce fut toute une virée sexuelle, une
histoire de cul en somme. Et j’ai terminé ma nouvelle pour la revue Pimbêches, et aussi
des poèmes érotiques, j’ai hâte que tu vois ça! Oh! Que j’ai mal au-dedans de ma
poitrine! Mais te voilà revenu! Et puis comment as-tu aimé l’amour à trois?
- À trois? Mais quand? Mais oui, ne t’énerves pas, allez écoute la musique, je vais
demeurer comme ça près de toi tout de suite après que j’aurai terminé de causer à
nouveau avec le pharmacien. Je vais aller chercher le sans fil, je reviens.
Et Johnny vraiment inquiet revint bredouille car la pharmacie était fermée. Et tel que le
pharmacien lui avait dit, la fièvre baissait très lentement et elle dormirait de plus en plus
en plus et cela signifierait qu’elle était hors de danger.
Une pneumonie qui en somme aurait pu lui coûter la vie. Johnny se sentait coupable
d’avoir dû partir si longtemps. Mais tout était terminé désormais il ne repartirait plus
loin de son grand amour. L’argent, le matériel superflus ne valait pas la peine de s’exiler
et de perdre ainsi la seule femme vraiment aimée de toute sa vie. De cette absecnce il
tirait la plus grande leçon!
Et Johnny se dirigea vers le bureau de travail d’Una..Un amoncellement de documents,
un gros cartable rouge noté avec des lettres noires : Pour publications éventuelles à la
Revue Pimbêches… Il prit dans ses mains l’immense cartable et l’emportât dans la
chambre, s’installât dans une grande chaise bien bourrée et confortable. Il alluma la
lampe torchère antique et zieuta son amour qui dormait, sa respiration semblait bien
normale et il en était vraiment content.
Le manuscrit lui parut soudain dans toute sa splendeur littéraire. Una était une sacrée
auteure, tout de même! Méconnue, pas reconnue ou hommagée voire dédommagée par
les grands de la littérature.
Pourquoi? Parce que ce milieu hermétique ne sait réussir qu’aux audacieux avec
contacts multiples. Et elle qui œuvrait dans l’ombre ne savait pas vraiment se vendre en
terme d’affaires… Mais tout allait changer, il était là et puis le manuscrit étant terminé
il deviendrait son agent, il irait lui-même frapper aux portes éditoriales et ses écrits
seraient publiés…
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(Extrait du Roman d'Una La Clef de Sol prose-poésie varia).
LA CLEF DE SOL
Ce musicien de l’Âme au regard narquois et filou
Sa guitare avec partitions le suit partout
Ou presque Fiou!
Son corps est gracieusement épanoui et réjoui
Envoûtée, je m'enroule en Re majeur autour de lui
Depuis des lunes, sans le toucher
Et il oublie sa musique Rocky-Bluesy Fa-Si!!! Héééé
Pas moi grrrr!
Son désir augmente en Re mineur depuis des lunes
Et tout de go, un jour de Soleil
Hivernal en Renaissance, il s'est coulé
Jalousement au creux de moi sans demander!
De lui j'avais tant désiré le sur combler,
Puérile, incapable de songer de nous voir succomber
Je dansai sans narguer ma joie d’être à ses côtés
Son dos ses fesses je veux lacérer
En transe de danse bien immergé
Il se coule en moi comme une vague émancipée!
Déchaînés, martelés! Heéééé! Je et Il coule à pic
Au détriment de l'aimant effervescent de sa Clef de Sol
Et de mon tambour à basques réhymené*
Oui! Déjà en pensée bien ancrée!
Lui, haletant, battant la mesure à contre-temps et indompté!
Moi, vaincue comme une naufragée en Bémol qui s’extrapole
Son odeur d'Homme-Enfant me rend folle!
La douceur de la couleur de ses yeux si près des miens!
Sa taille de guêpe androgynaire me butine et me caracole…
Me fait onduler des hanches en farandoles belles et folles!
Au son de du Blues parfois grivois
Sans me toucher de par son âme jadis cent fois,
Il avait déjà tout pris de moi; tel un maître narquois
Et puis, souvent, comme ça il s'est recoulé et renoué
Plus encore au creux de moi sans demander
Puisque nos âmes via nos yeux en redemandent de nous à satiété
De plus belle sa Clef de Sol caracole et se coule en moi et…
De ce concerto aux mille et un rappels en ritournelles
Autour de la Musique notre maîtresse aux grandes ailes!
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Nous voguons au détriment de tous ces jets déments rebelles
* Hymen nouveau; mot louvien - permissif en poésie -
Mon fol amour à la taille fine et aux boucles brunes et une louve enfin délivrée de son
joug, foi de Bianca, nous serons accolés sous la lune, c'était écrit en l’an 2006!
La Tour Eifel s'illuminera sous nos gémissements et nos hardes de daim s'envoleront
bien haut balayé par le vent fou de nos soupirs en synergie... Et de tous ces gens qui
nous indiffèrent nous danserons la valse des poètes en Re et Fa majeur et en Blues de
refrain de Do mineur... Ils seront tant et tant jaloux que leurs yeux se détourneront
incapables de voir deux corps ainsi enroulés et fondus de bonheur!
Les plus grands amants de mes rêves furent supposément gais... et jamais triste avec
leur musique! je les aime encore tout autant nonobstant leur vie ailleurs... It was before
and I decide again and again to be fair and fair so fair...
But le temps est révolu... Je n'y tiens plus et deviendrai la muse et plus peut-être pour
qui je serai sa reine musicale-érotique.
I have the music in me et le sens de l'humour inné alors les orientations ne me laissent
pas roides ni froides comme certaines anglaises demeurées froides comme glaise. Une
de ces anglaises aux regards froids et niais. Mais quelque chose de plus fort que le
paraître unis certains couples pourtant disparates voire plates. Combien les gens ne
savent pas deviner! et les gens jugent et causent sans comprendre que les mots de l'âme
sont d'une force herculéenne et peuvent balayer un trône!
Oui! Ce Charlot d'ailleurs ne deviendra probablement jamais Roi car il ne saura
abdiquer pour sa dame aux Camélias. Comme dans l'opéra. Son cousin fit de même il y
a quelques décennies. Pas aussi frisquets qu’on peut les croire ces anglais.
&quot;L'attrait vaut mieux que la réclame&quot; dit le vieil adage de Bob & Bill entre
deux tuiles immangeables et invivables.
Et le tout pays ne sait pas les dessous de ce couple erotico et vitam eternam or externat
etcétéra amen accolés en proséiifiés de tercets sonnets assonés!
FIN - THE END
Of a Wet Dream
°°°°
&quot;Conjecturer et savoir exactement sont choses différentes.&quot;
[Eschyle] Extrait d'Agamemnon
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UNA ET JEAN-MARC (1)
UNA ET JEAN-MARC
CHAPITRE
PREMIER
Ton départ pour Toronto s’est effectué il y a déjà trois mois, tes occupations musicales
ont su te propulser là-bas pour terminer cet enregistrement de CD et aussi dans le but
ultime de conclure ce film commencé avec ta tribu d’acteurs il y dix mois. Autant de
mois depuis que nos deux vies se sont croisées à notre insu. Tous les soirs ou presque je
reçois tes appels téléphoniques depuis cet envol culturel. Le courriel tu n’aimes pas de
trop, alors j’aime bien le son de ta voix chaude et magnifique. Je me languis tant de toi
et j’aspire à ce que tu me griffonnes pleins de sensuelles missives.
Trois mois sans toi, sans tes mains caressant mon corps qui se temporise jours après
nuits. Voilà que c’est tout un bail d’attente pour moi si ardente! Peut-être cette longue
absence aura-t-elle raison de cette éminente passion que nous vivions avant ces
changements artistiques dans ta vie d’homme célèbre. Lors de ton départ, fait à la hâte
par ce samedi matin brumeux, j’entends encore tes paroles enjôleuses et joyeuses, un
peu comme si t’éloigner pour tout ce laps de temps ne savait te causer aucun chagrin.
- Ma chatte d’amour, ne sois pas si triste, trois mois et des poussières, c’est pas la fin du
monde, ce n’est pas la vie entière! Allez! My crazy love, viens au creux de moi!
Et de ta façon inégalable tu m’as collée au mur, tu as pris mes deux poignets que tu as
baisotés un après l’autre, tu les as posé bien à plat au rempart. Inerte, sans voix, j’étais
heureuse, tes yeux dans mes yeux, j’étais incapable de bouger; Alors ta bouche a frôlé
mes yeux, mes cheveux, mon nez et s’est posé doucement. Et sauvagement sur ma
bouche. Nous étions en symbiose parfaite, en état amoureux similaire car derechef nous
nous sommes dirigés vers ce grand lit à baldaquin à la couette vert d’eau; témoins
occultes de tant d’ébats amoureux depuis que nous nous sommes aperçus toi et moi aux
confins de ce Café Jazzé & Bluesé. Depuis, à tous les quatre jours ou plus parfois, tu
arrives comme ça sans crier gare avec ta guitare sous le bras et ton énorme
porte-documents où tu as entassé pêle-mêle un amas de feuilles aux allures
douteuses.mais vachly amoureuses.
Et ces soirées me rendaient tellement heureuse, mon extravagante libido en a pris pour
ses comptes depuis nos accolades! Nos amours commencent toujours
intellectuellement; Tous les deux à l’unissons, les mots les plus fous, nous biffions,
recommencions les phrases les plus luxurieuses que la langue française puisse
propulser! Nous feuilletions ensemble tes nouvelles compositions musicales, je te
suggérais certaines paroles pour tes langoureuses mélodies Blues. C’était la fête à
chaque fois, sans artifice aucun, notre authenticité et nous, des jus, des tisanes et nos
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corps complètement saturés de sentir nos esprits qui s’accolaient et n’en finissaient pas
de se réjouir; Finalement nos corps gagnaient enfin la partie, jaloux au centuple du
complet idéal de nos idées d’écriture. Nos sens en pâmoison grandiose se soudaient
comme dans les plus fous des grands remous de tous nos fantasmes les plus secrets!
Et la veille de ton départ nous étions simultanément au paroxysme du degré de vigilance
de notre désir et intensément virevoltaient les amoncellements de notes de toutes sortes
visant à écrire une pièce théâtrale érotique de toi et moi en alliance intellectuelle et
physique. Tout un bal non masqué!
Tout ça me fut octroyé divinement et puis enlevé! Car ton départ me bouleversait
tellement!
- Goujat, double salaud, tu sais me procurer les fantasmes les plus incroyables de toute
ma vie de nana! Et désormais me voilà bien seule…
Je me surprends à causer toute seule… Je m’égare et me répète: pourquoi tous ces jours
sans toi? Hier soir au téléphone en direct du studio d’enregistrement de Toronto tu m’as
dit que sous peu tu serais avec moi..
- Je deviens dingue Johnny; trois mois et plusieurs jours. C’est délirant! Je crois que te
hais autant que je t’aime!
Et voilà que j’écris comme une paumée et sans arrêt depuis ces longs jours. Mon roman
est terminé, et deux autres manuscrits… Mon caractère est impossible. Je déconne avec
tout le monde, je deviens ridicule. Tu me hantes jour et nuit! Et ta guitare noire dans le
coin gauche de la chambre, cet instrument semble sans cesse me narguer sans toi…
Et voilà que le carillon retentit! C’est toi ! m**** et je n’ai que mon long pull en tricot
noir sur moi!
Et Una d’ouvrir la porte d’un trait!
- Ah! C’est toi… Le voisin de la maison de gauche… Ah!
- Oui! C’est moi! Excuse-moi de sonner comme ça le soir, mais j’ai un sérieux
problème avec mon auto, est-ce que tu as un truc pour survolter ma batterie ? L’hiver
cet engin est au pire et cette batterie est…
- Ta batterie? Survolter ta batterie? Bof!!!
- Non, oui, la batterie de mon auto est à plat et je dois me rendre au Bourbon Jazz
Blues’S Bar pour mon boulot, je travaille à dix heures comme bassiste avec le groupe
Septième Lune Blues…
- Bon alors! Viens dehors… Non, attends, je vais aller chercher mon manteau…
- Oh! Alors je vais attendre et …
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- Pourquoi est-ce que tu me regardes de cette façon?
-Je te vois surprenante et désirable… Una c’est ton prénom n’est-ce pas?
- Oui! C’est ça et toi Claudio Valencia, tu es italien? Ta mère m’a croisé à la poste il y a
deux mois, elle m’a dit que tu habitais son rez-de-chaussée depuis un an, bizarre je ne
t’ai pas vu souvent.
- Oui! Par mon père je suis italien, mais ma mère biologique était suédoise, celle avec
qui tu as parlé est ma belle-mère, la femme de mon père qui s’est remarié après le décès
de ma mère en 1995.
Et tout s’est passé comme l’éclair multicolore avant le coup du tonnerre; Moi qui à
l’habitude suis réservée avec les mecs que je ne connais pas et surtout les musiciens
avec qui je suis plutôt branchée culture vu leur côté macho qui clôture ma virginale
tambourine de manouche. Cependant deux fils se sont certainement touché dans mon
cerveau et c’est alors que je disjonctai soudain; La pulsion sexuelle fut très forte face à
cet homme, aucun préambule ne fut nécessaire, ni parole, ni toucher, je me ressentis
instantanément branchée cul. Vachly cru me direz-vous mais bandant à l’extrême ce
regard de loup et d’homme-enfant à la fois, androgyne de mes rêves.
Cet homme aux longs cheveux blonds cuivrés et aux yeux bleu-acier m’a pris tout de go
dans ses bras comme seul un mec qui a envie follement d’une femme sait le faire.
Spécifiquement avec une gonzesse dont les phéromones savent fulminer l’appartement
à cent degrés à la minute!
Je n’ai pas résisté, vu que ce besoin si fort d’être caressée me tenaillait et me rendait
complètement insensée depuis deux pleines lunes et notamment à l’aurore, la branle qui
ébranle quelques minutes c’est bien mais une femme en a marre au bout du compte.
- Tant pis pour Johnny : quiconque va à la chasse perd sa place !
« me dis-je égoïstement »
Et j’oubliais tout sans peine, sauf que cette belle tignasse blonde et cet accent suédois
me rappelèrent dans la minute que ce n’était pas Johnny aux longues boucles brunes...
mais….
Trop tard! Fichtre! J’étais étendue sur le lit vert d’eau, mon long pull tricoté s’était
relevé et Claudio m’embrassait allegretto partout sur les cuisses, sur le ventre, je
gloussais de plaisir fantasmagorique et minaudais des idioties invraisemblables. Mes
yeux fermés me donnaient l’impression que toute sa vie durant cet homme s’était ainsi
ardemment pelotonné dans mon lit. Claudio que je ne connaissais ni d’Ève ni d’Adam
était un super amant! Et dire qu’il demeurait à deux pas depuis des lunes…Bizarre
parfois! Que de temps perdu toute seule!
- Good Grief! You are my special angel! Mmm I feel to love you so badly baybe!
Je l’entendais vaguement baragouiné en anglais, en italien, puis en suédois, je crois!
Mais je m’en balançais éperdument qu’il soit mi-italien et mi-suédois! Quel beau
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mélange tout de même cet homme : Racé, magnifique et avec beaucoup de classe! Et
chasseur comme pas un; je devenais de plus en plus sale-up et de cela j’en avais
bigrement conscience, mouillée à l’extrême ma chatte vaginale l’implorait en humidité
profonde, ouf! Quel contact!.
J’en eus des frissons de bonheur intense, je jouissais sans qu’il ait même touché ma
vulve! J’étais en état de grâce percutant, soudain cette envie folle de crier s’accéléra et
c’est alors qu’il me prit d’emblée, ce fut électrisant! Autant de grands remous qui nous
emportaient en synergie magistrale, sans anicroche aucun, ça relevait de la science
fiction ou du vaudeville! Cet accolement fut quasi apeurant tant c’était délicieux pour
tous mes sens! Il avait baissé son pantalon, à mon insu, bravissimo, quel incroyable
frôlement! Puis sans permission aucune, il entra dans mon jardin discret comme un
grand, sans me brusquer et sans être doux de trop. Je savourais au maximum son phallus
dans mon intérieur de femme en manque de passion depuis tous ces longs jours via les
nuits. Septique de tout ce bonheur des sens, j’étais certaine de vivre éveillée une rêverie
inouïe quasi utopique! La peur de m’éveiller me tenaillait, des larmes perlaient aux
coins de mes yeux et je les ressentais coulées dans mon cou et sur ma bouche, goût salé!
et sucré!
Son pénis était brûlant de bonheur, grossi au superlatif, je le ressentais jusqu’aux
confins de mes veines et de mon antre devenu plus que réchauffé! Mon cœur battait la
chamade à fendre l’âme! Quelles sensations étranges! Tandis que ses superbes
va-et-vient me rendaient dingue au plus que parfait des culminants voyages intérieurs
jamais accomplis, je me dis d’emblée que ce que l’on nomme le Nirvana devait
sûrement être cela! Il stoppa d’un trait tout ce roulis roulant de sorcier et me regarda
intensément, ces yeux tellement narquois me zieutaient d’un regard hypnotisant, je
fondais lascivement davantage à en devenir si petite, il me prenait si bien cet homme
que je me demandai d’emblée ce que j’avais fait de ma vie avant lui! un homme
inexorablement magnifique dehors et au-dedans!!
Deux rencontres fortuites de merveilleux amants en moins d’un an, est-ce possible me
demandais-je sans vraiment réfléchir car j’étais il va sans dire givrée d’érotisme
sublime; cet homme a sûrement mis du gardénal ou des substances hallucinogènes dans
mon verre! Mais quel verre nous n’avons rien bu, nous sommes allés au lit à baldaquin
illico?
- Encore! Again! Don’t stop it Claudio! Crazy you! Fichtre tu bouges de là !!! Oups!
Yeah! Shucks!
Cet homme était absolument gracieux, et plus encore, il murmurait des trucs
romantiques comme dans les films à l’eau de rose, tel que:
- Such a long time! Il y a longtemps que j’avais envie de toi, mais jamais tu n’as fait
attention à moi et puis il y avait ton copain le mec à la guitare, he’s such a good looking
guy, no doubt that you are so fair... But this is the end that fair play game! I’ve got you
under my skin from now on and no bull shit lady, it’ts not only for a one night stand!!
Et je criai si fort… Cette jouissance sublime vint aussi ardemment et puissamment
qu’un volcan lorsque au paroxysme du trop plein il sait en douce et de longue haleine
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crachouiller son écume de mer comme un stagiaire en effervescence il se coulait
merveilleusement en moi… Mon hymen disparu depuis longtemps semblait avoir
ressurgi et s’être refermé et ouvert et devenu virginal à nouveau, et ce Claudio qui
jouissait en symbiose avec moi!
Complètement ahuris nous étions! Ouf! Un vrai Apollon! Et il s’agrippait à mes mains
qui n’en finissaient pas de bouger et il les retenait car je les mordillais mes mains
comme une enfant, ému il les mouillait avec sa langue et les embrassait longuement et
ce prince épicurien me murmurait les délires les plus fous que jamais je n’avais
entendu!
Avec autant de mots craquants et passionnants : Que j’étais la plus belle petite garce
qu’il n’avait pas sautée depuis plusieurs années et même jamais, que désormais il ne me
laisserait pas lui faire faux bond... Et bla bla bla et le plus il causait et le plus je craquais
et lui mordillais les lobes d’oreilles. Ce salaud des mille et une nuits bougeait davantage
son pelvis et me collait au matelas d’une manière brutale et douce à la fois. Il me tenait
en otage et je me sentais au centre d’un Éden en quarantaine d’amour. Et sa voix de
bluesman reprenait de plus belle:
- Never been so good! You are the most! I feel at home in your sexy tambourina body!
&quot; Délirait-il! Sardanapalesques étaient ses états sexuels!&quot;
- You are so bitch in your body and soul! I just can't believe it really happen sweetheart!
Pareilles élucubrations me faisaient planer au centuple et plus rien au monde ne
comptait… Fichtre! que je me sentais bien avec ce mec, c’était comme si je le
connaissais depuis toujours! Un autre moi qui ne ressemblait à personne d’autre avant
lui!
C’était jouissif au plus haut point, cette façon qu’il avait de me baratiner ces tas de
phrases sensuelles. Et à nouveau, ce fut la jouissance pour moi! Je hurlai si fort qu’il en
fut soudain bien étonné, il me fit tout doucement à l’oreille un :
-Chut! Cute lover! Una you make me crazy... Il me berçait comme dans une danse
contemporaine, c’était magiquement luxurieux mais pas vulgaire du tout… Pas du tout !
Et comme toute bonne chose a une fin, c’est à ce super instant que Johnny-Mark entra
dans la chambre que je voyais à l’envers totalement parce que j’étais comme par magie
descendue à contre-courant, la tête sur le pied de lit à baldaquin sur la descente de lit en
léopard. J’avais certainement bonne mine car sa physionomie me semblait tout
illuminée. Peut-être était-ce à cause de ma position si opposée à lui. Quel retour à
l’envers!
Oui, c’était bien les pieds de Johnny que je voyais. Quel mufle et quel toupet bronzé il
avait cet homme! Tous ces jours si loin et une heure de bonheur je me tape avec un
adonis et le voilà qu’il se repointe. D’un bond de chatte en rogne je me suis levée et je
lui ai foutu une baffe à ce dégueulasse de personnage absent de tout ce temps!
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- Les absents ont toujours tort, beau musicien de mon cœur. Tu vois ce beau prince et
bien il a su me faire jouir et c’était vachement bath! Et fais gaffe, sans commentaire,
mon angelot artistique!
Johnny ne fit pas gaffe et ne fut pas fâché, il me regardait avec émerveillement des
pieds à la tête en remontant et descendant et doucement il rétorqua amusé comme pas
vraiment étonné:
- Claudio! Mais je le reconnais, c’était un joueur de basse à corde au Lion D’or Jazz &
Blues l’an dernier, à Sainte Agathe des Monts!
- Oui! C’est vrai! Mais oui, il me semblait t’avoir vu bien avant aussi…
Et aussi invraisemblable et hilarant que je pouvais me l’imaginer dans tous mes
fantasmes; Ces deux hommes avaient communément une magie plus que sympathique,
ce qui eut lieu de me procurer un jubilatoire plaisir insensé. Toute ma vie durant, enfin
depuis ma puberté, je fantasmais à deux mecs qui sauraient se plaire et me plaire.
Je me croyais dans un autre monde; l’édredon jaune tendre sur mes épaules me servait
de long châle. Deux hommes pour me récompenser de toutes ces affreuses nuits de
jeûne.
Johnny se déshabilla en douce, sa taille de guêpe que j’aimais tant me fit frissonner de
bas en haut, une envie folle de le rebaffer me passa par la tête mais aucun geste ne vint.
Une fois n’est pas coutume, «me dis-je» en flagrant délit de désir absolu! J’avais une
envie folle de ce mâle narquois aux boucles brunes et aux yeux rieurs, mais ma
vengeance face à son absence ne semblait pas vouloir s’estomper. C’est alors qu’en
l’occurrence, belle manouche que je suis depuis ma naissance, je décidai de mettre à
exécution une petite punition à ce Johnny à la gomme de baloune; pénitence dont
j’ignorais encore le sentiment puisque je ne l’avais nullement planifiée.
Et c’est alors que la voix dedans me dit aussitôt : &quot;Allez donzelle Una, sois calme,
tu n’es pas à une tiédeur près.&quot;
- Claudio darling, you are so sweet.
- Johnny, s’il te plait lover boy, tu veux appliquer pour un autre CD de Blues, le tien
peut-être, car il est sûrement enregistré n’est-ce pas? Depuis toutes ces pleines lunes
loin d’ici!
« Sussurrais-je, de ma voix la plus bluesy qu’une vraie femme à musiciens possède
innée.»
- Bien sûr Una crazy love, mon CD est tout chaud, tu as, enfin nous aurons la primeur,
le titre Ma chatte d’Amour en Blues…
Je gloussais de plaisir à l’extrême Tous ces bonheurs en trio! Je me retournai vers
Claudio complètement câlinée…
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- Come on, sweet darling, need you again…But … Étends-toi, je meurs d’envie de te
prendre, lentement, doucement sans bouger de trop, juste avec le rythme de nos sens et
de nos cœurs qui battent à l’unisson. Et toi tu ne bougeras pas, demeure inerte
impassible, comme un sultan, oui comme ça! Oh! Que je te désire en moi, au creux de
moi par-dessus toi! J’ai envie de toi et tu me plais, tu me plais, salaud, tu me fais un de
ces effets, mais vraiment pas ordinaire…Toi! Ô toi, ça alors tu ne ressembles à
personne…Je vais te couler en moi et longuement…
Pas ordinaire en effet, avec la musique des guitares et ce CD tant attendu avec la voix
rauque et chaude de Johnny; En sourdine cette musicalité englobait toute la pièce. De
partout on savait l’entendre, tout autour avec le super système de son. acquis il y a
quatre mois par le truchement de Johnny. Ouf! Une sacrée expédition quasi
paradisiaque; En ondes folles et délurées mon corps ondulait du dedans mais sans
bouger; toutes mes fibres charnelles les plus érogènes ressentaient toute la détente
organique que ces ondulations intrinsèques savaient apporter à Claudio. Ainsi pelotée
bien au-dessus de lui je ressentais ma vulve se rétrécir et au paroxysme de la luxure, en
synergie avec mon clitoris, ce tambour à basques d’amour aspirait le pénis de Claudio
d’une manière sporadique, lente mais puissante, une doux et puissant siphon hors du
commun. Nous étions soudés comme des ventouses aux confins les plus secrets de la
mer turquoise…
Cette jouissance fut simultanée et d’une force extrême et monumentale… Johnny bien
étendu à côté de nous haletants nous regardait le regard brillant et sensuel. Lorsque
j’ouvris les yeux, il était appuyé sur son coude droit et me regardait d’une manière
amoureuse que je ne lui avais jamais vue auparavant. Il se pencha, m’embrassant sur les
yeux, puis sur la bouche et j’en fus toute chavirée. Pas de jalousie, pas de possession,
quel bonheur! J’étais au septième ciel. L’extase amoureuse la plus totale de ma vie, je
vivais! Je flottais littéralement!
(à suivre pour le chapitre deuxième)
°°°°
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UNE CHEVAUCHÉE INTENSE
Musique: Eric Sardinas Burning Love
°°°°
UNE CHEVAUCHÉE INTENSE
ou Rêverie Illusoire
de la Louve
Une Chevauchée de nuit vachly intense m'a réveillée en sourdine, un peu à l'effigie de la
musique de Hendrix ou d’Éric Sardinas que j'ai tant de mal à mettre en veilleuse même
lorsque mon âme n'est plus à la vague houleuse omniprésente.
La lueur de la pleine lune sur ce rideau ocre et rose si pâle as I’am usely (comme je suis
souvent) me fait songer que jamais nulle personne avant lui n’avait su m’emmener aussi
loin au pays de l’Amour; cet adonis-déesse venu de nulle part me fut tellement
bénéfique soma and (et) psyché que je tiens à vous raconter cet illusoire rêverie en
chevauchée.
Je haletais de désirs incommensurables pour le renouvellement de sa visite nocturne de
trois heures du mat; cet ange-diablotin était peut-être une illusoire de tempête émotive!
Quelle dérisoire de tempête émotive! Quel plaidoyer abject je me devais de batailler
avec my shadow and me (mon ombre et moi). Je me disais que tout ceci était
impossible voire balivernes de l'imaginaire mais lorsque la nuit arrivait...
Saurais-je ou saurons-nous tenir la percussion jusqu’au prochain rendez-vous nocturne?
La nuit tout semble si différent émotionnellement! Puérile et femme je suis, tu le sais et
tu aimes puisque chaque nuit tu reviens. Et pourtant ce n'est que physique car tu blindes
ce cœur de peur d’une secousse de l’Amour... qui en plus d’être enfant de bohème et de
ne point se soucier d’aucune loi, ledit amour sait parfois désarçonner ceux qui en sont
atteints non pas comme d’un mal incurable mais comme d’une merveilleuse chevauchée
intense dont la bienfaisance ne sait se raconter car trop intense! foutaise je divague et toi
de même...
Et différemment ce matin là j’ouvris les yeux sans crainte aucune à l'aube venue, ce
chevalier aux multiples facettes me chevauchait avec son âme et son corps encore et
davantage et nul ne saura dire combien de fois les orgasmiques désirs musicaux en
amalgames physiques démentiels ont daigné se juxtaposer, s'enrouler, se couler et voire
se fondre en je'' et en lui au paroxysme de crier grâce! une rêverie étrange... Rêverie ou
réelle chevauchée?
Étonnamment les rêves en vol de nuit se croisent parfois entre deux êtres qui s’aiment
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psychiquement et physiquement d’une façon pas vraiment ordinaire mais paranormale
et ce au détriment des envieux acerbes et chercheurs de poux qui eux n’ont et ne sauront
jamais connaître pareils désirs réalisés puisque jamais ils ne sauront devenir
authentiques; donc aucun danger qu’ils surgissent ainsi dans nos rêves précieux dans le
but éminent de détruire ces chevauchées intenses de nuit qui savent nous faire vivre en
douce patience de volupté et ce jusqu’à la prochaine rencontre en accords véridiques.
Ultra Faux que les contraires en Amour s’attirent, en amitié oui parfois mais en Amour
authentique non!! Nous sommes les bougres d’idiots qui provoquons et faisons perdurer
leurs soi-disant attirances. Débilité totale que de songer à réunir âme et corps deux
contraires qui exultent leurs passions chacun en leurs divinations singulières !
Sans emphase, sans boniments aucun, sans ritournelle de polichinelle, à chacune de ces
rêveries, nonobstant que je savais que tout était chimère je l'attendais... Il revenait et il
savait en redondance se couler jusqu’à satiété de l’orgasme en coulée en moi et de la
plus érotique manière jamais reçue d’un amoureux. Il demandait doucettement sans
demander vraiment car primo de toute son âme et de sa suave de peau dont toutes les
pores appelaient en multitude de désirs ma peau de louve comme ce duc savait si bien la
héler mais si sensuellement. Si tel était son désir de la prendre comme une louve perdue
depuis un siècle ou plus et reconquise comme le mérite une Marquise des Anges sans
avec franges sans langes (quelle utopie); tel serait l’acquiescement fiévreux de cette
louve en flagrant délit de passion orageusement multidimensionnelle!
Et en cette grosse lune de septembre, il arriva près de moi, se coucha nu de toutes parts
sans fard, il m'abreuvait de ses lèvres douces et fermes et puis il mordillait les lobes de
mes oreilles qui n'entendaient que le son de sa voix belle belle... Et il vint se blottir
harmonieusement en moi lentement doucettement en murmurant des mots dans une
autre langue, en chevauchant comme un cavalier heureux mon antre devenu en feu et de
lui à moi à l'unisson je l'accompagnais de mes hanches en pleines extases... le temps se
faisait indéfini; la chevauchée durait durait jusqu'au crier viens en similitude je vis
l’extase se rétrécir et se regonfler à l'effigie de ma vulve via la grande succion de sa
furie devenue mystiquement envoûtante et quémandeuse de plus encore mais sa furie
d'amour n'y tenant plus il me dit que désormais je faisais partie de son harem, j'en fus
toute heureuse ainsi que ma vulve et il se coula lentement et puis sauvagement en moi
en soubresauts géants, exclusivement irréels et puis très voluptueusement il me léchait
avec sa langue ici et là de la manière la plus merveilleuse qui soit; cette prise fut reprise
et cette longue promenade en moi recommença, une trajectoire tout à fait utopique au
pays de nos corps en unisson animale et amoureuse et en parfait accords.
Rêverie en chevauchée au pays des accords... et je m'éveillai toute rassérénée, différente
et heureuse comme jamais.
Mmm! Carl Jung saurait peut-être m'aider avec ses théories sur les rêves éveillés ou
endormis...
°°°°
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&quot;Nous n'aimons un être qu'aussi longtemps que nous le croyons différent des
autres, et aussi nous ne le croyons différent des autres qu'aussi longtemps que nous
l'aimons.&quot;
[Jacques Deval] in d'Afin de vivre Bel et Bien.
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-09-24
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Une Partie de Cul...
Une Partie de Cul...
Une partie d'cul
Avec toi l'illusionnée
La rêveuse gobeuse
De mes verres
D'ici et d'outre-mer
Une partie d'cul
Pour me prouver
Que j'sais bander
Sans m'ficeler
Avec ton nombril
Pour toute ta vie
Une partie de culminants stratagèmes en notoires de jouissances à l'eau pure...
Yeah! crazy conasse
Une partie d'cul
For one night
So we'll never fight
To keep our love
Toujours up date-class
Un show c'te partie d'cul
Un so chaud de pur cul
Avant que tu périmes
Dans mon cercle d'escrime
Une slow partie d'cul
Car te savoir loin
Me donne mal aux reins
J'te veux tellement put*
Plus plus qu'une bière en fût
Que ça m'serre jusqu'aux seins
Oui il en a aussi l'mec des saints
A prier le soir de juste pour moi
La conserver c'te s**** qui est Toi
Une partie de culminants stratagèmes en notoires de jouissances à l'eau pure...
De la Louve votre aut'heure de détente en ce mardi le 9 août 2011, it's just for You
where ever you are so damn far I'm still at the barre aux mots pas gros...
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&quot;Le cul des femmes est monotone comme l'esprit des hommes.&quot;
(Guy de Maupassant; extrait d'une Lettre à Flaubert - le 3 Août 1878
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2013-07-30
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Une Ritournelle d’Elle
Une Ritournelle d’Elle
La plus belle mélodie entendue
Fut celle de ton vaillant de cœur
En émois éperdus d'elle en couleurs
De tendresse et d'érotiques peurs
De déplaire à la louve inconnue
De ce siècle différemment passé
Cette ingénue aux yeux attristés
De tous ces mirages envolés
Vers des cieux balafrés éhontés
La plus belle mélodie entendue
Fut celle de ton corps à corps
En émois éperdument hagards
De tendresse et de voluptueuse force
Pour me reprendre encore via l'amorce
Survivra à toujours la réminiscence
Du plus puissant des courants denses
Lorsqu'en moi tu as coulé ta vie en transes
Jusqu'aux délires de tes plus belles romances
&quot; L’amour livre une bataille entre les atomes et le fluide amoureux de l’un et de
l’autre en essayant de lui offrir ses rêves les plus fous. Lorsque la magie s’envole le plus
beau viendra; celui de se connaître formellement voire authentiquement.&quot;
(La Louve, 14 février 2006)
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2010-12-20
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UniS SonS
Unisson
Sons Unis
Unisson unisexes en volupté de pâmoison
Unisson en union jusqu'aux tréfonds
De nos blanches et noires de notes
En trépassant de danse jusqu’à l’ivresse
Unisson unisexes en volupté de pâmoison
Unisson en union jusqu'aux tréfonds
De nos blanches et noires de notes
En trépassant de danse jusqu’à l’ivresse
De nos deux corps ragaillardis de caresses
En double et triple coït en récidives de votes
Des seins aux fesses je me colle à ta queue de loup en banderoles frivoles....
Ta queue louvienne se languit
Énormément en érectile de vie
Furtivement cochonne elle revit
D'érotiques soubresauts inédits
Au creux de cet écrin en velours
Intouchable pour les amants stoïques
Mais tout abordable pour le troubadour
Aux hypersensibles d'accents toniques
Aux timbres de voix archangéliques
Aux mains magiques et à l'âme épique
Au corps dur et tendre de lascivité romantique
Nos cris sauvages dans le temps et l'espace résonnent à l'unisson sans contrefaçons ni
faux-semblants acidifiants la libido....
Des talons aux fesses ta vie de loup se hisse
Une coulée méritée aux belles hardiesses
Bien au fond de ce velours d'écrin vin et or
Tu as dénoué mes cuivrées de tresses
Tu es le maître de céans de ce jazzy de corps
En fusionnement acoustiquement électrique
Nos orgasmes se meuvent et se recroquevillent
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En une assuétude peu ordinaire via l'extra scénique
Ton pénis se dresse en démentielles prouesses et ne veut plus quitter l'écrin qui te retient
en unis sons...
Création érotique en ce 20 décembre 2011 just for You sweetie Loup; création
spontanée de la Rivière Imagination de la Louve effrenée de belle musicalité;
bien-nommée Marquise des loups à l'âme rebelle so belle....
&quot;Le pire aîné musical-érotique que j'eusse connu fut Lustucru lorsqu'il me proposa
un cunnilingus d'astreinte face à mes vers; pas pour un sous terre à terre susurra-t-il sans
l'ombre d'un verre.&quot;
(Kakemphaton de la Louve effrenée).
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Vie sans Remord
Photo de la Louve Beautiful Switzerland July 2011 Les Bains de Saillon au coeur du
Valais
Musique magnifique par le truchement de Youtube: Suisse Champêtre
Vie sans Remord
Vis sans Remord
La vie sans remord reluit
Lorsque nous humons la mort
Sur soi ou tout autour
Laissant survoler les vautours
Mourir sans aucun dépit
Ni regret sur ce dernier sort
Mourir là au-dedans
Bien avant pour vivre
En oubliant le satané pire
Voilà le meilleur renaissant
En écoutant délirer la lyre
Des faux-fuyant en délirant
Sans aux autres se justifier
Tout l'temps des pires calamités
Offertes aux poudrés d'invités
De cette terre à pérennité
Vautrée limitée en tant qu'éternité
Sans sacrilège aucun labouré
Demeurons soi-même sans lacérer
L'autre ce prochain souvent ulcéré
Soyons tous aux doux aguets
Rien n'est acquis pour ceux
Dont la folle obsession reluit
Encore et pour les autres aussi
En chœur vivons aujourd'hui
En paix partout ou à Montreux°
C'est du pareil similaire au même
L'avant crépuscule s'avère blême
Sans ce Dieu d'amour ô bouclier suprême
====
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° Montreux est une commune suisse du Canton de Vaud, située dans le district de la
Riviera-Pays-d'Enhaut.
&quot;Ce n'est pas avec des idées que l'on fait des vers, c'est avec des mots.&quot;
(Mallarmé).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-08-03
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Visage Sage
Artémis &quot;qui éclaire la route aux carrefours de la vie...&quot;
&quot;
Citation:
&quot;La déesse sagittaire est enfin appelée par Homère Artémis khrysêlakatos, « à
l’arc d’or », et par Hésiode iochéairê, « l'archère »6. Chez Homère, l'arc se dit
&#946;&#953;&#972;&#962;
/
biós,
qui
se
rapproche
de
&#946;&#943;&#959;&#962; / bíos, « la vie ». C'est pourquoi, Artémis, encore appelée
« la radiante », est aussi celle qui guide les égarés, les étrangers, ou les esclaves en fuite
au cœur de la nuit. Aussi Artémis porte-t-elle en latin le nom de Trivia, « celle qui
éclaire la route aux carrefours de la vie ».
Citation:
Dans
la
mythologie
grecque,
Artémis
(en
grec
ancien
&#7948;&#961;&#964;&#949;&#956;&#953;&#962; / Ártemis) est la déesse de la
chasse, et une des déesses associées à la Lune (par rapport à Apollon, qui est le dieu du
Soleil). Elle est assimilée dans la mythologie romaine à la déesse Diane. Ses attributs
sont la biche, l'arc, le carquois et les flèches.
Voir en détails sur Wikipédia.
Et de la Louve une élucubration via les sons qui savent redonner à l'âme la grandeur des
belles heures divines.
Visage Sage
Sage Visage
Au loin ce visage sage
Si près du rivage
Ses yeux si bleus
Me dévorant davantage
Je l'ai vu et reconnu
C'était toi mon mirage
Mon lendemain incongru
Ma plus belle page
Allez! Viens ne crains pas
Je suis ton âme sœur
Et ton invincible douceur
Jusqu'au trépas
Sois confiant
Je t'aime déjà
Depuis un siècle je t'attends
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Ta candeur en ardeur
Me plaît tant
Enfin tu es là!
Le soir tombe sur nous
Nous irons nous cacher
Aux confins des rochers
Comme des filous...
Et ils dormirent ainsi deux nuitées
Car depuis longtemps
Ils attendaient ce temps
Des retrouvailles bleutées
Ludique et authentique
Ils se racontent des vers rythmiques
C'était écrit depuis la nuit
Des grands érudits
Qu'un jour leurs mots
Seraient juxtaposés
Puisque leurs vies
Depuis longtemps
Se cherchaient
Ils vivaient près de ce ruisseau
Où l'été n'a pas de fin
Et le soleil brille sur l'eau
Et l'amour reluit
Un paradis éternel sans lendemain
Et l'orage éclata tout d'un trait
Le vent souffla si fort!
Quel méfait!
Leurs mains se cherchaient
Mais en vain
Leurs voix se perdaient dans le lointain
Et l'éclair d'un sombre rouge-violet
Traversa le ciel apeuré désormais
Mille et un oiseaux s'envolaient
Et résonnèrent d'emblée
Les foudres au sommet
Dans la nuit ce grand cri désespéré
Car ils se cherchent à nouveau
Plus fort encore que l'an dernier
Leur amour est si grand et beau
Et c'est par un hasard divin au bord de l'eau
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Près des roseaux
Et des nénuphars dorés
Que leurs mains se sont retrouvées
Heureux comme des enfants beaux
Élucubration louvienne pour Toi où que tu sois sur cette terre en désarroi tu as dans
mon coeur une place de choix.
°°°°
&quot;L'absence diminue les médiocres passions, et augmente les grandes, comme le
vent éteint les bougies et allume le feu.&quot; (François, Duc de La Rochefoucauld).
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-05-09
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Vivre avec L'Art
Vivre pour l’Art
«La créativité surgit de l’inconscient, du conscient, du déjà-vu, de l’imaginaire
débonnaire et fécond lorsque le Feu sacré est inné.&quot;
(La Louve).
Vivre pour l’Art, la peinture, l’écriture et la musique peut sembler une rêverie ou de
l’inconscience puérile en ces temps si difficiles pécuniairement causant et trop axés sur
les procédés matérialistes. Les mots et les couleurs pour de nombreux créateurs
s’avèrent une survie intrinsèque salvatrice. À chacun sa sphère, il serait intéressant de
noter que chaque artiste sculpteur, auteur ou peintre qui besogne dans l’ombre, soit pour
le lecteur ou le collectionneur d’œuvres est un peu à sa façon un artisan de la paix. Son
but ultime est d’apporter à ces ‘’preneurs’’ d’œuvres quelques bribes de romances et de
rêves, nonobstant les quelques notions de tristesse heureuse qui se glissent à l’intérieur
de certains ouvrages, tout à chacun saura tout de même y découvrir une joie certaine.
Le plus merveilleux pour un artiste est de découvrir son style sans avoir eu à subir trop
d’influences. L’influence d’une idole ou d’un professeur peut faire éteindre ou brimer le
Feu sacré qui habite l’authentique amant des mots et des couleurs. Il est primordial de
trouver sans tarder sa voie, son style, ses sujets, ses formes, sa manière personnelle et
unique, voilà tout un joyau que de se découvrir! Il tient à chacun de le conserver intact
ce chef-d'œuvre avec ferme intention de ne laisser quiconque s’intercepter entre la
lumière et lui l’Artiste.
Vivre pour l’Art en ce siècle signifie s’authentifier aux odes du devenir.
La vie de La louve est un heureux triangle de Lettres, Musique et Peinture. Elle sait
faire fi du snobisme littéraire et culturel et ses objectifs flagrants sont simples: apporter
à chaque lecteur ou visualisation de ses œuvres picturales, le rêve, l’espoir et l’abandon
total à croire en ses possibilités culturelles. Si le thème prépondérant de ses poèmes
s’avère l’amour des êtres, de la musique et de la nature, par le fait même, elle sait aussi
en démontrer subtilement d’autres sphères connexes telles les injustices émanant de
certains court-circuits humain.
La poésie ne se lit pas comme un roman. Ingurgitée à petites doses, peu à peu le novice
saura s’apprivoiser à cette lecture dont les fibres rationnelles se doivent d’être bridées;
c’est à dire ne pas chercher à comprendre ou analyser si l’auteur a vécu ceci ou cela.
Puisque la poésie s’avère de grandes pulsions; comme une œuvre en peinture, la poésie
dérange, bouleverse les yeux d’abord et l’âme ensuite car elle s’imprègne et transforme
ainsi la pensée de celui qui la reçoit. La Louve perçoit l’écriture la musique et la
peinture comme de grandes pulsions, du déjà-vu, des grandes poussées fantastiques
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insoutenables lorsque latentes et non exprimées; dites pulsions provenant de
l’inconscient et qui savent rejoindre l’individu dont l’ouverture d’esprit s’avère prête à
capter toutes créations comme un cadeau précieux dont l’objectif prépondérant visera à
transformer sa vie.
La Louve in groovin' mode 2010 en Renaissance dense for a new Exode.
Copyright© (Tous droits réservés) : La Louve effrenée : 2011-01-07
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Wolfmoon et Liberté
En musique par l'heureux truchement de Youtube with Traffic ce sentationnel Freedom
Rider
Just for You and your lover where ever you are voici de la Louve in groove le 18
Septembre 2006:
Wolfhound et Liberté
Liberté du Loup et la Lune
Ô Matin grisé-bleu
À l'effigie de tes francs yeux
Et de ta royale and dolce** voix
En caresses de joies
Venant de toi only toi
Au soleil levant en Amour Bleu
Poèmes géants so bô
Tercets divins of You en accrocs
De l'âme en multi-rescue*
Outrepassant la diantre raison
Futile et bien piètre mission
Pour vous poète en Passion
de Nous au soleil couchant
Avec ou sans juxtaposition
Mystérieux et doux fluide
De l'ultime poésie en éclosion
Sans besoin constant de pâmoison
Des uns et des autres en ébullition
Pour toi au soleil dormant
Une magistrale liberté lacérée
Des vers de soie en assonance
Dépourvus de rationalité
Décalcifiant ainsi la sonorité
Des odes non-sens en tabous évaporés
Extrapolons toi et moi sans férocité
Pour Eux la poésie en magistrale liberté
Hé! Hé! Wenn Sie wollen***
* Anglo: Rescue: Sauvetage
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** Italien: Dolce: Doux
*** Deutsch:Ween Sie wollen: Si vous voulez...
Votre aut'heure diurne et nocturne avec La Louve effrenée de belle musicalité
____&quot;Là où il y a trop d’orgueil, il n’y a plus de sagesse.&quot; (Anonyme).
°°°°
Citation:
&quot;Wolfmoon ou La Lune Wolf est une pleine lune qui se produit en Janvier. Son
nom vient de faim de loups en meute qui hurlent en dehors des villages de Native
Americans. Cette pleine lune est également connu comme la Lune ou de la Vieille Lune
Après Yule.
Full Moon de nom remontent aux Amérindiens de ce qui est maintenant le nord des
États-Unis et de l'Est. Les tribus gardent la trace de la saison en donnant des noms
distinctifs de chaque lune pleine récurrents. Leurs noms ont été appliqués à tout le mois
dans lequel chacun a eu lieu. Il y avait une certaine variation dans les noms de la lune,
mais en général, les mêmes étaient en cours dans toute la tribus algonquines de la
Nouvelle-Angleterre dans le lac Supérieur. Les colons européens ont suivi cette
coutume et ont créé certains de leurs noms propres. Depuis le mois lunaire est environ
29, 5 jours de temps en moyenne, la pleine lune dates changement d'année en
année.&quot;
(Citation de Wikipédia).
Votre aut'heure diurne et nocturne avec La Louve effrenée de belle musicalité
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Index
A L'Ombre Elle ............................................................................
À Travers Bois .............................................................................
Absolutely Tea .............................................................................
Again and Again ..........................................................................
Amour Épistolaire........................................................................
Angelot.........................................................................................
Anima Animus..............................................................................
Apollon du Beuvron .....................................................................
Apostrophe...................................................................................
Armure ou Armature....................................................................
Assonances Toniques ..................................................................
Au Bord de l’Ouanne ...................................................................
Automnal Elixir............................................................................
Automne-Hiver.............................................................................
Bal-Scandale en Suisse ................................................................
Bataille et Ripaille .......................................................................
Bavarois de Charivari .................................................................
Blanche Pulsion ...........................................................................
Blues Tempo.................................................................................
Bohème d’Âme .............................................................................
Born Too Soon .............................................................................
Brandade de Citrouille ................................................................
British Arc-en-Ciel.......................................................................
Calvaires Divers ..........................................................................
Carrelages infâmes......................................................................
Cauchemardesque Rendez-Vous..................................................
Chacun son Truc..........................................................................
Champtonsceau............................................................................
Chanelouve ..................................................................................
Chassés-croisés non désaxés .......................................................
Chat Tigré Noir............................................................................
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p. 24
p. 25
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p. 34
p. 36
p. 38
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p. 43
p. 46
p. 48
p. 49
p. 50
p. 52
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Chimère musicale ........................................................................
Clef de Sol....................................................................................
Complicité de l'Âme.....................................................................
Confrère Fièrement Soeur ...........................................................
Consécration Blues......................................................................
Conte gouttes de Jazz...................................................................
Cornets glacés for Voyages .........................................................
Couleurs des Heures....................................................................
Coups de Plumes..........................................................................
Crazy Joker..................................................................................
Croisades et Rade ........................................................................
Cryptides......................................................................................
D'un Pieux d'Loup Blanc .............................................................
Daddy's Blues Goupil ..................................................................
Dans cette mansarde....................................................................
Débandade et Mansarde..............................................................
Déconnexion des Psychotropes ...................................................
Deep In my Soul...........................................................................
Délires bleutés-violacés...............................................................
Dentelles de Chaînes ...................................................................
Des Alouettes aux Pies.................................................................
Des Ombres .................................................................................
Désir Blanc in Bavière.................................................................
Deux à la Une sur les Dunes .......................................................
Deux Chevreuils...........................................................................
Deux Crazy Dés ...........................................................................
Deux Dés......................................................................................
Deux Fleurs en Coeurs ................................................................
Deux Vers Solitaires ....................................................................
DIMANCHE BLEU DE JUIN......................................................
Draguons sans Contrefaçons.......................................................
DUC ET MARQUISE ..................................................................
Éclipse de Bal ..............................................................................
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p. 95
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p. 99
p. 101
p. 102
p. 104
p. 109
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Écrevisse Crayfish .......................................................................
Edelweiss so Wise ........................................................................
Effronteries libidinales ................................................................
Elfines and Elfe............................................................................
Entre Binaire & Ternaire ............................................................
Entre Flammes et Louve ..............................................................
Entre Loup et Louve.....................................................................
Entre Louve and You ...................................................................
Épines et Rose..............................................................................
Érudit en Déni..............................................................................
Eternelle Idylle.............................................................................
Fairy Roses ..................................................................................
Fioles et Batifoles ........................................................................
Flamme M'Dame Brune...............................................................
Fleur D'Épine ..............................................................................
Fleur d'Étoile filante....................................................................
Fleur sauvage en Volupté ............................................................
Fool Full Moon............................................................................
Gaîté faussée en Candélabre .......................................................
Gammes Heptatoniques de L’Amitié ...........................................
Gesticule en Renoncules ..............................................................
Gitanesque Fresque .....................................................................
Got Hot Hard Heavy Blues..........................................................
Guitare en Blues ..........................................................................
Guitare en Blues ..........................................................................
Héééé! Fais-moi groover in G.....................................................
Hémistiches..................................................................................
Hermana Del Alma ......................................................................
Histoire vécue ..............................................................................
Histoires Fléchettes .....................................................................
Humain Body & Divine Divided Soul - .......................................
Hymne Polyphonique...................................................................
Illusion d'optique .........................................................................
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Immoral Trépas ...........................................................................
Immortalize ..................................................................................
Impresario impressionniste .........................................................
In the Mirror - Face au Miroir ....................................................
Innamorata with Erotica..............................................................
Innocence en Reviviscence ..........................................................
Intimidante d'Intimité...................................................................
Ivy-Clodyo....................................................................................
Jive in Montreux ..........................................................................
Johann-Nydorian de Müller ........................................................
Jours et Nuits ...............................................................................
Jump C'mon .................................................................................
Just a Crazy Blues - 1-.................................................................
Just A Crazy Blues - 2 - ...............................................................
L'Absence in Obvious Stances .....................................................
L'Amour de Toi ............................................................................
L'Ange le Blues et la Romance ....................................................
L'Aurore.......................................................................................
L'Encensoir noir ..........................................................................
L'Escape.......................................................................................
L'Etincelle des Rebelles ...............................................................
L'Éventail Noir.............................................................................
L'Ultime Fugue de Célina............................................................
La Bavière....................................................................................
La Bête Noire de Lud Vic Tramp.................................................
La Bourlingue ..............................................................................
La Danse des Âmes......................................................................
La Déconne -1- ............................................................................
La Déconne 2...............................................................................
La Gitane de SansFinze ...............................................................
La Louve en Cavalerie.................................................................
La Muse .......................................................................................
La Romance .................................................................................
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tromal.net
La Route des Joutes .....................................................................
La Route des Lacs........................................................................
La Splendeur................................................................................
La Swell Calèche .........................................................................
Langoureux de Blues ...................................................................
Le Blues d'la Louve......................................................................
Le Brouillard de l’Âme humaine .................................................
Le Château d'Othello...................................................................
Le Château du Marais .................................................................
Le Grand Écart ............................................................................
Le Héron et les Mouettes .............................................................
Le Mal d'Alma..............................................................................
Le Mal de l'Äme ...........................................................................
Le Marais.....................................................................................
Le Moment Présent ......................................................................
Le Poët .........................................................................................
Le Prétendant d'Illusion ..............................................................
Le Rosée de la Reine....................................................................
Le Ruisseau Enchanté..................................................................
Le Sentier d'Adonis ......................................................................
Le Syndrome des Stilettos ............................................................
Le Transverse...............................................................................
Le Vers Luisant ............................................................................
Les Grands Remous .....................................................................
Les Mots Cahots ..........................................................................
Les Mots Cahots ..........................................................................
Les parasols Sauverois ................................................................
Les Trois Barons d'Imbroglios ....................................................
Libellules......................................................................................
Liberté Crystalique Symphonique................................................
Longue Solitude Martelée............................................................
Loup sans Louve ..........................................................................
Loups à l'âme rebelle...................................................................
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tromal.net
Loups-aux-Bois ............................................................................
Louve de Caractère......................................................................
Love Me like a Wolf .....................................................................
Magistrale Normandie.................................................................
Marraine de Coeur ......................................................................
Matinale de Chevauchée animale................................................
Mensonges et Menottes................................................................
Métaphore encore encore ............................................................
Mirage Bleuté-Violacé.................................................................
Mon Chant Chaud........................................................................
Mood for Jive...............................................................................
Mots Feux-Follets........................................................................
Neck Kiss .....................................................................................
Noirceur blanche .........................................................................
Non Regrets de Grès....................................................................
November Ray..............................................................................
Obsédée Vermicelle .....................................................................
Ocre Magie Automnale................................................................
Oktober Moon..............................................................................
On the Platine ..............................................................................
Ondes Folles ................................................................................
Only An à Revoir .........................................................................
Opus de l'Acinonyx Jubatus.........................................................
Peine Vaine..................................................................................
Perles de Vers ..............................................................................
Petit Goupil..................................................................................
Picking Phantasms.......................................................................
Piédestal Astral............................................................................
Placebo et Marybô.......................................................................
Plume au Vent..............................................................................
Poêt au Fouet de Satin.................................................................
Port de la Lune ............................................................................
Portées Aux Nues.........................................................................
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tromal.net
Pour l'Amour de la Musique........................................................
Pour Loup so Loup ......................................................................
Pour qui Ou Pour Quoi L'Art? ....................................................
Poussière de Lune........................................................................
Préjugés Éducoloriés...................................................................
Près d'un Ruisseau.......................................................................
Prose d'Osmose with lady d'Abandart.........................................
Quatre Heures chez Steve............................................................
Ramifiées de Strophes..................................................................
Remise en Forme .........................................................................
Repos Libidinal Hivernal.............................................................
Respectissime de Prosrimes.........................................................
Rêves Humides d'Hybride............................................................
Rivage en Nage ............................................................................
Rivière Imagination .....................................................................
Rue de la Guinguette ...................................................................
Ruth à Baga .................................................................................
Sacré Pur Désir ...........................................................................
Salamandre et Lézard vert...........................................................
Sapho de l'Ilot ..............................................................................
Satin de Salin ...............................................................................
Saut d'un Sot ................................................................................
Second Carnet d'Ancrage ............................................................
Sensations aux Ultrasons.............................................................
Sensations troublantes .................................................................
Sensual Elixir's Sounds................................................................
Sirène Nerèsi................................................................................
Sirènô de Berges Nô ....................................................................
Slow Blues-Buzz...........................................................................
Soirée mondaine ..........................................................................
Soleil levant devant......................................................................
Solis de Folie ...............................................................................
Solitaire de Calvaire....................................................................
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Sommeil Vermeil..........................................................................
Sonne la Cloche ...........................................................................
Soubresaut ...................................................................................
Soul's Dancers .............................................................................
Spatial Synthétiste........................................................................
Ständchen.....................................................................................
Suaves d'Entraves ........................................................................
Sunday métallisé ..........................................................................
Sweet Impromptu d'Wolf..............................................................
Sylphe Musical Astral ..................................................................
Tam-Tam Ravage Sauvage ..........................................................
Tam-Tam Ravage Sauvage ..........................................................
Tambourin et Lutrin.....................................................................
Temps Lent...................................................................................
Temps Mort..................................................................................
Terre mal aimée...........................................................................
The Angelus .................................................................................
The Blues in my Soul....................................................................
Théâtre des Champs-Élysées .......................................................
Tison Ardent.................................................................................
Ton Archet joue faux....................................................................
Ton Image ....................................................................................
Tonight Mind & Body ..................................................................
Touch of Jazz in Florilège ...........................................................
Tour Eiffel sur Diadème ..............................................................
Tout en Nage................................................................................
Trop ou Assez...............................................................................
Trop Tard.....................................................................................
Troublant Désir ...........................................................................
Un Grand Trou ............................................................................
Un Hiver de Rêves .......................................................................
UN LOUP-MARIN SUBTIL - VOLET CINQ...............................
UN LOUP-MARIN SUBTIL - VOLET Deux................................
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UN LOUP-MARIN SUBTIL - VOLET QUATRE.........................
UN LOUP-MARIN SUBTIL VOLET TROIS................................
UN LOUP-MARIN SUBTIL volet un...........................................
Un Parfait Salaud Misogynaire *................................................
Un Phare So Far..........................................................................
UNA & JEAN-MARC (2) .............................................................
UNA ET JEAN-MARC (1) ...........................................................
UNE CHEVAUCHÉE INTENSE .................................................
Une Partie de Cul... .....................................................................
Une Ritournelle d’Elle.................................................................
UniS SonS ....................................................................................
Vie sans Remord ..........................................................................
Visage Sage..................................................................................
Vivre avec L'Art ...........................................................................
Wolfmoon et Liberté ....................................................................
Index ............................................................................................
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