L`organisation des étudiants de la London School of Economics et le
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L`organisation des étudiants de la London School of Economics et le
Centre d'Information sur les Renseignements et le Terrorisme 13 janvier 2010 L'organisation des étudiants de la London School of Economics et le Queen Mary College ont décidé d'un jumelage avec l'Université Islamique de Gaza. L'Université Islamique est un bastion du Hamas, une base terroriste et un centre de fabrication d'armes. Elle est aussi un centre important d'endoctrinement islamique radical. 1. L'organisation des étudiants de la London School of Economics (LSE) a adopté un projet de jumelage avec l'Université Islamique de Gaza, le bastion politique et militaro-terroriste du Hamas visé par Tsahal durant l'Opération Plomb Durci. La décision a été prise à l'initiative de la cellule palestinienne de l'Union des Étudiants de la LSE.1 Suite à la décision de la LSE, le 8 décembre 2009, le Queen Mary College (qui dépend de l'Université de Londres) a lui aussi adopté un projet de jumelage avec l'Université Islamique.2 2. Le 13 décembre 2009, la cellule palestinienne du LSE a publié un communiqué sur sa page Facebook annonçant que la décision avait été prise le 26 novembre 2009, soit trois ans après le jumelage de l'organisation des étudiants avec l'Université AlNajah de Naplouse. (Note : Pendant la campagne terroriste palestinienne [la seconde Intifada], l'Université Al-Najah était un bastion du Hamas et de nombreux terroristes, y compris des terroristes suicide, y étudiaient.)3 Le communiqué précisait également que l'Université Islamique a été attaquée par l'armée de l'air israélienne et a subi des dommages estimés à 15 millions de dollars et n'est toujours pas reconstruite à cause du "siège" de 1 http://www.maannews.net/eng/ViewDetails.aspx?ID=246181 . http://www.facebook.com/notes/the-islamic-university-of-gaza/lse-students-union-twins-with-islamic-university-ofgaza/196604850799 . http://joti2gaza.org/2009/12/06/lse-students-union-votes-to-twin-with-the-islamic-university-of-gaza 2 http://www.studentrights.org.uk/2009/12/breaking-news-queen-mary-twin-islamic-university-gaza 3 En Mars 2007, l'organisation étudiante de l'Université de Manchester a également incité à un jumelage avec l'Université Al-Najah. Voir l'article de Yonathan Dahoah-Halevi “The covenant between the University of Manchester and the ‘university of suicide bombers in Nablus.’" (Jerusalem Center for Public Affairs, 14 mars 2007). 012-10 2 Tsahal autour de la bande de Gaza. De plus, selon le texte du communiqué, une salle du nouveau bâtiment de l'organisation des étudiants de la LSE devrait être nommée en mémoire d'un étudiant de l'Université Islamique tué par Tsahal [pendant l'Opération Plomb Durci].4 Le communiqué de la LSE sur Facebook annonçant le jumelage avec l'Université Islamique 3. Pendant des années, l'organisation des étudiants de la LSE (LSESU) a organisé des activités pro-palestiniennes et anti-israéliennes. Elle comprend également dans ses rangs une "cellule palestinienne" puissante, dont les membres sont en majorité britanniques et non nécessairement palestiniens. Un étudiant israélien ayant récemment terminé ses études à la LSE a déclaré que pendant l'Opération Plomb Durci, les étudiants israéliens s'étaient "sentis menacé." La cellule palestinienne a organisé une série d'évènements de protestation, le principal étant "l'occupation du Vieux Théâtre" (une salle d'amphithéâtre) mais également des négociations avec la direction de l’université selon une liste de doléances (la condamnation d'Israël, l'envoi d'aide humanitaire dans la bande de Gaza, l'octroi de bourses aux étudiants palestiniens). L'administration de l'université a évité d'évacuer les étudiants occupant le Vieux Théâtre, où ils sont restés pendant dix jours (lire le document contenant la liste des doléances en Annexe). 4 http://www.facebook.com/notes/the-islamic-university-of-gaza/lse-students-union-twins-with-islamic-universityofgaza/196604850799. 3 4. Le jumelage de la LSE et du Queen Mary College avec l'Université Islamique de Gaza marque un nouvel accomplissement de la campagne anti-israélienne militante menée sur les campus britanniques, et caractérisée par des manifestations, des activités de protestation, de la propagande anti-israélienne ainsi que des initiatives de boycotts universitaires d'Israël et des universités israéliennes. Ces dernières années, plusieurs universités en Grande-Bretagne sont devenues des foyers d'activités d'éléments gauchistes et islamiques radicaux, dont le Hamas, qui possède une large base de soutien en Grande-Bretagne.5 En prenant les universités pour cible, le Hamas a réussi à dissimuler ses conceptions radicales-islamiques (comme sa négation de la liberté individuelle, de la démocratie, des droits de l'Homme et son idéologie anti-occidentale, anti-libérale, et antisémite). Etudiants pro-palestiniens de la LSE à une manifestation contre Israël 5 Un rapport détaillé sur les activités islamiques radicales dans les universités britanniques a été publié par le Centre for Social Cohesion, un groupe britannique non-partisan traitant de questions sociales au Royaume-Uni. Le soutien au Hamas dans les universités apparaît aux pages 15, 27, 30 et 32. http://www.socialcohesion.co.uk/files/1231525079_1.pdf. 4 L'Université Islamique de Gaza : foyer de puissance politique et militaro-terroriste du Hamas d'où des activités terroristes sont effectuées 5. L'Université Islamique de Gaza n'est pas uniquement une institution universitaire éducative. C'est un bastion politique du Hamas auquel le mouvement recourt largement pour son aile militaro-terroriste. Le 28 décembre 2008, au deuxième jour de l'Opération Plomb Durci, l'armée de l'air israélienne a attaqué le centre de recherche et de développement des armes du Hamas, situé dans les laboratoires de l'université. Dans ces laboratoires ont notamment été produites des roquettes utilisées par le Hamas pour attaquer les habitants de l'État d’Israël. ﻃﻼب ﻓﻘﻂk ( ﻣﺒﻨﻰ اﻟﻘﺪس1-1 ) ﻃﺎﻟﺒﺎت/ ﻃﻼبp ( ﻣﺒﻨﻰ اﻟﻘﺎﻋﺎت اﻟﺪراﺳﻴﺔ اﻟﻤﺪرﺟﺔ2) ﻃﺎﻟﺒﺎت/ ﻃﻼبm (ﻣﺒﻨﻰ ﻃﻴﺒﺔ3) ﻃﺎﻟﺒﺎت/ ﻃﻼبc (ﻣﺒﻨﻰ اﻟﻤﺨﺘﺒﺮات اﻟﻌﻠﻤﻴﺔ,4) ﻃﺎﻟﺒﺎتl ( ﻣﺒﻨﻰ اﻟﻠﺤﻴﺪان5) ﻃﺎﻟﺒﺎتn ( ﻣﺒﻨﻰ اﻟﻤﺪﻳﻨﺔ اﻟﻤﻨﻮرة6) ﻃﺎﻟﺒﺎت/ ﻃﻼبD ( ﻣﺒﻨﻰ اﻟﻤﻜﺘﺒﺔ اﻟﻤﺮآﺰﻳﺔ7) ﻃﺎﻟﺒﺎت/ ﻃﻼبB ( ﻣﺒﻨﻰ اﻹدارة وهﻴﺌﺔ اﻟﺘﺪرﻳﺲ8 اﻹﺛﻨﻴﻦ، اﻷﺣﺪ، ﻣﻔﺘﻮح أﻣﺎم اﻟﻄﺎﻟﺒﺎت " اﻟﻔﺘﺮة اﻟﺼﺒﺎﺣﻴﺔ " أﻳﺎم ) اﻟﺴﺒﺖ ( اﻷرﺑﻌﺎء، )ﻣﻔﺘﻮح أﻣﺎم اﻟﻄﻼب " اﻟﻔﺘﺮة اﻟﺼﺒﺎﺣﻴﺔ " أﻳﺎم )اﻟﺜﻼﺛﺎء ) ﻃﺎﻟﺒﺎت/ ﻃﻼبT ( ﻣﺮآﺰ اﻟﻤﺆﺗﻤﺮات9) ﻃﺎﻟﺒﺎت/ ﻣﺒﻨﻰ آﻠﻴﺔ اﻟﻄﺐ ) ﻃﻼب10) ﻃﺎﻟﺒﺎت/ ﻃﻼبA ( ﻣﺒﻨﻰ اﻟﻘﺒﻮل واﻟﺘﺴﺠﻴﻞ11) ﻃﺎﻟﺒﺎت/ ﻃﻼبI (ﻣﺒﻨﻰ ﺗﻜﻨﻮﻟﻮﺟﻴﺎ اﻟﻤﻌﻠﻮﻣﺎت12) ﻃﻼب ﻓﻘﻂQ (ﻣﺒﻨﻰ اﻷﻧﺸﻄﺔ اﻟﻄﻼﺑﻴﺔ13. ﻣﺴﺠﺪ اﻟﺠﺎﻣﻌﺔ14 - Photographie aérienne de l'Université Islamique de Gaza. Le bâtiment n°4 (surligné en jaune) abrite les laboratoires (du forum étudiant de l'Université Islamique). Dans ces laboratoires étaient fabriquées des .ﻣﻠﻌﺐ اﻟﺠﺎﻣﻌﺔ15 ﺟﺪول ﻟﻠﻄﻠﺒﺔ اﻟﺠﺪد ﻳﻮﺿﺢ ﻟﻬﻢ أآﺜﺮ armes pour le Hamas. 6. L'Université Islamique est un centre important de l'activité politique du Hamas depuis près de trois décennies. Cette institution "universitaire" offre un refuge pour l'activité des hauts responsables du Hamas dans la bande de Gaza, qui y occupent les fonctions d'enseignants et d'administrateurs. L'institution représente un "élevage" de la future génération de leaders politiques, militaro-terroristes et civils du Hamas ; elle parraine également des activités sociales du Hamas (prêches, collectes, rassemblements). De plus, elle sert de centre aux activités militaro-terroristes du Hamas. 5 Implication militaire du Hamas à l'Université 7. La branche militaro-terroriste du Hamas, les Brigades Izz al-Din al-Qassam, mène un large éventail d'activités dans les murs de l'université : elle y stocke des armes, y recrute des membres (y compris des auteurs d'attentat-suicide), organise des réunions secrètes ainsi que des formations, et profite de la faculté des sciences physiques et de ses laboratoires pour développer et fabriquer des armes (dont des roquettes à longue portée destinées à être tirées sur les civils israéliens), exploitant le fait que la connaissance experte et le matériel chimique sont aisément disponibles dans les laboratoires universitaires. Le Hamas a envoyé des étudiants impliqués dans la fabrication d'armes en Iran, en Syrie et au Liban pour une formation supplémentaire. 8. Pendant les confrontations violentes qui ont opposé le Hamas au Fatah (et les forces de sécurité loyales envers Mahmoud Abbas) en 2007, l'Université Islamique a servi de base pour les activités des Brigades Izz al-Din al-Qassam ainsi que des étudiants soutenant le Hamas contre les supporters du Fatah et de l'Autorité Palestinienne : A) Fin Janvier 2007, les forces de sécurité loyales envers le Fatah et Mahmoud Abbas ont envahi l'université et ont saisi d'importantes quantités d'armes stockées sur place. L'opération, considérée par le Hamas comme l'attaque d'un de ses bastions, a mené à une escalade de la confrontation et le Hamas a répliqué en attaquant des installations centrales des forces de sécurité de l'Autorité Palestinienne ainsi que des bureaux de son administration. B) Le 16 mai 2007, à la veille de la prise de contrôle de la bande de Gaza par le Hamas, des confrontations violentes ont opposé les deux côtés, au cours desquelles le porte-parole de la présidence (loyal envers Mahmoud Abbas) a accusé les Brigades Izz al-Din al-Qassam de tirer des obus de mortier depuis l'intérieur de l'université sur la résidence du Président dans la ville de Gaza. Il a ajouté que le Hamas avait "transformé l'Université Islamique en un camp militaire" (Site Internet Dunia Al-Watan, 16 mai 2007). C) Le 12 novembre 2007, un grand rassemblement a été organisé au centre-ville de Gaza pour marquer le troisième anniversaire de la mort de Yasser Arafat. Les manifestants ont profité de l'évènement pour exprimer leur soutien à Mahmoud Abbas ainsi qu’au Fatah, et dénoncer le contrôle de la bande de Gaza par le Hamas. Après le rassemblement, des affrontements ont éclaté entre des activistes du Fatah et les forces de sécurité du Hamas, ces dernières ayant ouvert le feu, tuant six personnes et en blessant au moins 150. Les activistes du Fatah ont affirmé que les heurts ont débuté lorsque des membres armés du Hamas ont pris position sur les 6 toits de l'Université Islamique et ont ouvert le feu sur les manifestants. Mahmoud Abbas a qualifié l'événement de "crime cruel" et a déclaré trois jours de deuil dans toute l'Autorité Palestinienne. Incident à l'université durant les heurts qui ont opposé le Hamas au Fatah en Mai 2007 (Dunia AlWatan, 15 mai 2007) 9. L'université, en plus d'être une partie intégrante de l'infrastructure terroriste du Hamas, est aussi un centre de « lobotomisation » islamique radicale et d'endoctrinement des étudiants dans le but d’atteindre les objectifs idéologiques du mouvement (comme le combat contre les "infidèles," l'Occident et les Juifs, l'établissement d'un Etat palestinien islamique et la mise en place d'un code islamique dans la société palestinienne). Des étudiants et des activistes du conseil étudiant qui suivaient des cours à l'Université Islamique ont été recrutés dans des activités terroristes, y compris des attaques suicide. Par exemple : A) Hussein Hassan Abu Nasser - Terroriste du Hamas de Jabaliya. Il s'est fait exploser dans un camion près de la frontière égyptienne le 25 mai 2001. Il étudiait dans le département d'études islamiques à l'université. The suicide bomber B) ' Abd Al-M'uti Al-Assar - Terroriste du Hamas de Khan Yunis. Mort dans une attaque suicide près d'un barrage routier de Tsahal à l'Ouest de Khan Yunis le 29 mai 7 2001. Il étudiait l'ingénierie à l'Université Islamique. Il a effectué l'attaque avec Ismail Ashur, un autre étudiant de l'Université Islamique. The suicide bomber C) Ismail Bashir Khalil Maasawani - Résident du camp de réfugiés de Shati, il s'est fait exploser avec une voiture piégée près d'une position de Tsahal au Nord de la bande de Gaza le 22 juin 2001, tuant deux soldats de Tsahal et en blessant gravement trois autres. Il était en quatrième année d'éducation à l'Université Islamique. The suicide bomber D) Nazef Ayish Muhammad Nazer - Résident de Jabaliya, le 9 juin 2001, il s'est fait exploser avec 50 kilogrammes d'explosifs à côté d'un bus transportant des résidents des implantations à Kfar Darom. Il travaillait comme journaliste au journal estudiantin de l'Université Islamique. 8 The suicide bomber Hauts responsables Islamique du Hamas issus de l'Université 10. La plupart des postes de l'université, des conférenciers aux fonctions administratives et au personnel auxiliaire, sont occupés par des membres du Hamas ou des personnes lui étant affiliés. Le Hamas prend les décisions de l'université et formule ses politiques. La plupart des hauts responsables du Hamas dans la bande de Gaza avaient ou ont des postes importants à l'Université Islamique : le défunt cheik Ahmed Yassin (le fondateur du mouvement), le défunt Abd al-Aziz Rantisi (qui donnait des cours dans le département médical et dans celui des sciences), Ismail Abu Shanab (membre du conseil d'administration et chef du département de sciences naturelles), Ibrahim alMuqadeh et Salah Shahedeh6 (doyen des étudiants et conférencier pendant les années 1980). 11. De nombreux hauts responsables du Hamas de la bande de Gaza ont étudié à l'Université Islamique : A) Ismail Haniya, le chef de l'administration de facto du Hamas, y a étudié la littérature arabe. Il occupait les fonctions de secrétaire du directoire et celle de président du conseil étudiant. 6 Salah Shahedeh a orchestré plusieurs des attentats suicide commis par les étudiants de l'Université. 9 Ismail Haniya à l'Université Islamique de Gaza B) Khalil al-Hayeh, haut responsable du Hamas, était le vice-président du conseil étudiant. Il a ensuite occupé les fonctions de vice-président du syndicat des employés et y a enseigné la loi islamique. C) Mahmoud al-Zahar, membre du groupe qui a fondé le Hamas, a donné des cours de médecine. D) Nizar Riyan, haut responsable du Hamas tué dans l'Opération Plomb Durci, y enseignait la loi islamique. E) Ismail Radwan, porte-parole du Hamas, a enseigné des matières islamiques et était le président du syndicat des employés. F) Musheir al-Masri, haut responsable du Hamas, est titulaire d'une maîtrise en loi islamique et occupait les fonctions de vice-président du conseil étudiant et enseignait à l'université. G) Ayman Taha, haut responsable du Hamas, était le président du conseil étudiant à la fin des années 1990. 10 ANNEXE Les doléances des étudiants ayant "occupé" le Vieux Théâtre de la LES durant l'Opération Plomb Durci à l'initiative de la Société Palestinienne LE VIEUX THÉÂTRE EST MAINTENANT SOUS OCCUPATION Pourquoi sommes-nous là ? À partir de 16h le 15 janvier, le Vieux Théâtre est sous occupation. Nous sommes une coalition d'étudiants de la LSE issus de différents contextes. Nos objectifs sont de faire prendre conscience du massacre en cours à Gaza et de la complicité de la LSE. Bien qu'étant censément une université progressive, la LSE a refusé de publier un communiqué condamnant l'attaque ou le bombardement de l'Université à Gaza ou de réaliser une scission d'actifs de BAE Systems, une société qui arme Israël. L'Université SOAS a entamé l'occupation il y a deux jours exigeant les mêmes demandes. La nuit dernière, l'administration de SOAS a accepté toutes leurs requêtes et l'occupation a pris fin. La majorité de la LSE a démontré son opposition à l'occupation israélienne maintes fois. Il est temps d'agir collectivement et d'exiger que l'administration de la LSE écoute les demandes des étudiants. Plus de 1000 Palestiniens ont été tués dans les attaques les plus récentes sur Gaza – dont un tiers d'enfants. Une université fondée sur les principes de justice sociale ne devrait pas être liée à de telles atrocités des droits de l'Homme. Aucun dégât ne sera infligé aux biens - c'est une protestation pacifique. L'occupation est menée démocratiquement avec des réunions régulières. Que pouvez-vous faire ? REJOIGNEZ-NOUS - Si vous êtes d'accord avec les objectifs de notre occupation ou que vous voulez faire preuve de solidarité, venez nous rejoindre, même pour un court moment. Contactez par courrier électronique le directeur de la LES Howard Davies pour dire que vous supportez l'occupation [email protected] NOS DEMANDES 1) Déclaration 11 La LSE doit publier un communiqué condamnant l'attaque israélienne sur Gaza et exigeant un cessez-le-feu. La LSE est une institution fondée sur les valeurs fabiennes qui furent avantcoureurs de l'ordre du jour des droits de l'Homme de la politique moderne. La LSE doit réitérer ces valeurs et condamner la criminalité étatique. Ce n'est pas une question de politique, c'est une question d'humanité. Une déclaration condamnant la violence israélienne est entièrement conforme aux principes de fondation de notre université. 2) Scission d'actifs La LSE possède actuellement des investissements dans BAE Systems, une société qui selon la Campagne Contre le Commerce des Armes) (caat.org.uk) fournit des armes et des munitions à l'armée israélienne. Cela signifie que notre université est directement financée par la guerre israélienne à Gaza. La LES doit effectuer une scission d'actifs de BAE immédiatement. 3) 5 bourses entièrement financées pour des étudiants palestiniens. Dans une université aussi diverse et internationale que la LSE, les étudiants palestiniens sont insuffisamment représentés dans le corps étudiant en comparaison à d'autres groupes. 4) Journée de collecte. L'administration de la LSE doit faciliter une "journée de collecte" durant laquelle des urnes seront placées dans chaque cours et séminaire afin de recueillir de l'argent pour l'aide médicale aux Palestiniens. 5) Livres et Ordinateurs. La LSE a un excédent de £ 26 millions et a la chance de pouvoir régulièrement investir dans de nouveaux équipements. Tous les ordinateurs ou livres devant être donnés à la fin du Carême et du troisième trimestre doivent être offerts à l'Université et aux écoles bombardées de Gaza. 6) Amnistie. La LSE a une histoire fière d'activisme d'étudiant. Les étudiants se sont unis pour faire campagne contre l'apartheid, les guerres en Irak et en Afghanistan et plus récemment autour de la scission d'actifs du trafic d'armes. Tous les étudiants ont le droit démocratique de protester pacifiquement et les étudiants ne devraient pas être empêchés d'exprimer leurs avis par crainte [d'un châtiment].