Dossier Traquandi Hartung - Comité Professionnel des Galeries d`Art

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Dossier Traquandi Hartung - Comité Professionnel des Galeries d`Art
communiqué
de
presse
À double détente :
Gérard TRAQUANDI, en regard de Hans HARTUNG
09 07 16 > 03 09 16 / vernissage le samedi 9 juillet à 18:00
En 2008, la Fondation Maeght consacre une exposition à Hans Hartung. À cette occasion, Gérard Traquandi révèle à Catherine
Issert les affinités existantes entre son œuvre et celle de Hartung. De ce dialogue est née l’idée d’imaginer une exposition qui
mettrait en regard leurs pratiques ; huit ans plus tard, la voici : l’exposition À double détente sera présentée à la galerie Catherine
Issert du 9 juillet au 3 septembre 2016.
Lorsque les tableaux de Hartung regardent les œuvres de Traquandi, des connivences d’ateliers, des gestes, un certain
regard sur la matérialité du monde émergent pour créer un dialogue artistique et esthétique fort. Les abstractions traversées
de mouvements glissants de Traquandi croisent les gestes lyriques et dynamiques de Hartung ; leur rencontre génère des
sensations faites de couleur et de rythme qui nous amène au cœur d’un monde naturel vibrant et profond. Tous deux sont des
peintres du geste, du faire : leurs tableaux émergent d’une approche sensuelle et processuelle de la peinture. Si Hartung, fasciné
depuis l’enfance par les manifestations météorologiques comme les éclairs, cherchait dans ses œuvres à traduire l’énergie et les
rayonnements de l’univers, Traquandi en conserve une approche plus humaine. Sa fascination pour le paysage l’amène à créer
des peintures dans lesquelles une roche, des fleurs, une plante ressurgissent sous forme de traces ou d’empreintes.
Le rapport au temps qu’entretiennent les 2 artistes est semblable dans leur approche du processus. Tous deux travaillent
patiemment leurs fonds sur de grands formats, qui de par la lenteur du procédé acquièrent une profondeur intérieure qui « pose » le
tableau. Par dessus ces fonds savamment travaillés sont apposés des gestes rapides dans un temps très court. Cette « double
détente » est précisément ce qui construit, pour chacun de ces peintres, l’œuvre. Pas de repentir possible avec cette technique :
soit le tableau existe, et cela dans un instant décisif et un espace précis, soit il n’est pas. Pour Hartung, cela se joue dans « les
miracles de ces passages presque imperceptibles où la pureté des couleurs reste intacte mais où elles se fondent (…)1». Pour
Traquandi, c’est un moment où l’œuvre le dépasse : «quand un tableau est beau, il n’a pas d’auteur 2».
1
2
Hans Hartung, l’œuvre ultime, Galerie Sapone, 2007
Contact, trace, tracé, Baldine Saint Girons, in Gérard Traquandi, œuvres – 01.2009, 04.2012, Editions P.
2 ROUTE DES SERRES - F - 06570 SAINT-PAUL - T 33(0)4 93 32 96 92 - [email protected] - www.galerie-issert.com
texte
À double détente :
Gérard TRAQUANDI, en regard de Hans HARTUNG
En 2008, la Fondation Maeght consacre une exposition à Hans Hartung. À cette occasion, Gérard Traquandi révèle à Catherine
Issert les affinités existantes entre son œuvre et celle de Hartung. De ce dialogue est née l’idée d’imaginer une exposition qui
mettrait en regard leurs pratiques ; huit ans plus tard, la voici : À double détente sera présentée à la galerie Catherine Issert du
9 juillet au 3 septembre 2016.
Lorsque les tableaux d’Hartung regardent les œuvres de Traquandi, des connivences d’ateliers, des gestes, un certain regard
sur la matérialité du monde émergent pour créer un dialogue artistique et esthétique fort. Les abstractions traversées de
mouvements glissants de Traquandi rencontrent les gestes lyriques et dynamiques d’Hartung ; leur rencontre génère des
sensations faites de couleur et de rythme ; elle nous amène au cœur d’un monde naturel vibrant et profond.
Deux caractéristiques principales réunissent les pratiques de ces peintres : le rapport à la nature et le rapport au temps.
Hartung et Traquandi sont tous les deux des amoureux de la nature : ils y puisent leur inspiration, non pas en la représentant
littéralement mais en s’appropriant ses phénomènes. Hartung disait : « Une plante qui pousse, la pulsation du sang, tout ce
qui est germination, croissance, élan vital, force vive, résistance, douleur ou joie peut trouver son incarnation particulière, son
signe, dans une ligne souple ou flexible, courbée ou fière, rigide ou puissante, dans une tache de couleur stridente, joyeuse
ou sinistre.1» Ce à quoi Traquandi répond : La présence physique, le rapport physique entre la nature et la peinture, ça j’y tiens
énormément.2» Il s’agit donc pour ces deux peintres d’exprimer le dialogue entre naturel et culturel en passant à la fois par le
signe et par la matière. En cela, ils reviennent aux origines étymologiques de la peinture, zoographia, en grec, que l’on pourrait
traduire comme « l’écriture du vivant ».
Hartung était fasciné depuis l’enfance par les manifestations météorologiques, notamment par les éclairs, qu’il dessinait
frénétiquement dans des cahiers que son père nommait les « Blitzbücher » de Hans (les livres des éclairs). Dans sa peinture,
cela se traduira plus tard par de grands gestes spontanés, qui sont l’expression « des tensions atmosphériques et cosmiques,
les énergies et les rayonnements qui gouvernent l’univers 3». Ce tracé libre et rythmé ne figure pas le phénomène naturel mais
cherche au contraire à en exprimer la force, l’essence. « Cette richesse de connaissances, cet accord avec la nature me sont
depuis toujours nécessaire. Quand je partais seul en excursion c’était pour vivre la nature. Pour la comprendre, pour ne pas
la trahir par ma peinture.4» Cette immersion sensorielle dans un environnement aura une influence forte sur sa pratique : pour
Hartung, il ne s’agit moins de représenter que de ressentir et de faire ressentir : « il s’agit d’un état émotionnel qui me pousse
à tracer, à créer certaines formes afin d’essayer de transmettre et de provoquer une émotion semblable chez le spectateur.5»
Cela se traduit par des toiles abstraites souvent qualifiées de lyriques, d’informelles ou de tachistes. Refusant les règles esthétiques
des constructivistes et des suprématistes, qu’il juge inhumaines, Hartung veut réintroduire le psychisme et la sensibilité dans
la peinture abstraite. Car dans sa pratique, l’absence de figuration ne provient pas d’une volonté intellectuelle de rompre avec
le passé, mais d’une logique personnelle qu’il juge naturelle. Par conséquent, Hartung est souvent présenté comme un peintre
guidé par l’instinct. Pourtant, l’artiste fut également influencé par les sciences et les innovations techniques : nombre de ses
œuvres ont été pensées en s’appuyant sur les mathématiques, notamment sur le nombre d’or, grâce auquel il trouve l’harmonie
dans certaines de ses compositions.
Hans Hartung, Autoportrait, p. 251-252, éditions Grasset, 1976
Entretien entre Gérard Traquandi et Philippe Dagen dans Le Monde, 13 février 2002
3
Entretien de Hans Hartung dans Libération en août 1988
4
Hans Hartung, Autoportrait, p. 76, éditions Grasset, 1976
5
Entretien entre Hans Hartung et Charles Estienne, 1947
1
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Gérard TRAQUANDI, en regard de Hans HARTUNG
Pour Traquandi, la nature est avant tout un vocabulaire familier, inscrit dans son quotidien. Grand marcheur, le peintre observe,
dessine et ramène de ses excursions nombre d’éléments qui lui serviront par la suite à composer ses œuvres. Cette prospection,
directement liée à l’expérience physique du peintre, inscrit sa pratique dans le présent, dans l’ici et maintenant, tout en lui
donnant une certaine intemporalité. Alors se pose la question de la représentation : « Le paysage est tout à fait particulier par
rapport à la figure ou aux objets. Ce n’est pas un face à face. Lorsque je peins la montagne, je réalise quelque chose qui se
déplie autour de moi.6» Cette démarche lui permet d’appréhender l’espace du tableau comme un plan – posant ainsi la question
de la limite, de l’ensemble et du détail – et comme un monde à part entière : « L’expérience du paysage se fait plus que jamais
en le traversant, en le pénétrant ; le paradoxe du peintre, c’est de mettre à plat cette pénétration.7» Cette façon d’être à la fois
au dedans et au dehors se traduit picturalement par une oscillation constante entre figuration et abstraction, entre le fond et
la forme. Ainsi, le peintre se détache des figures naturelles pour en garder l’essence même. De ses tableaux se dégage une
sensation duplice, à la fois picturale et pouvant être minérale, aqueuse, lumineuse, florale…
Tout comme Hartung, Traquandi élabore sa pensée esthétique à partir de son expérience personnelle. Sa vision est toutefois
plus mondaine que celle de Hartung, qui tendait à l’universalité ; son rapport à la nature est à hauteur d’homme. Rien d’étonnant
lorsque l’on considère les époques dans lesquelles chacun de ces artistes évoluent : le lyrisme de Hartung s’inscrit dans le
modernisme des années cinquante et de ce fait, cherche à résoudre la question de l’homme face à son destin et à l’univers.
Traquandi aborde quant à lui ces questions avec un scepticisme tout à fait contemporain : ses recherches ne sont pas en quête
d’une Vérité.
Le rapport au temps qu’entretiennent les deux artistes est semblable dans leur approche du processus de travail : plusieurs
temps composent leurs protocoles. Une des premières étapes consiste à travailler en dessin le trait qui donnera les figures
picturales : c’est un travail sur le motif pour Traquandi, qu’il considère comme un repère et qui lui permet de se détacher d’une
esthétique convenue. Pour Hartung, la recherche graphique vise avant tout à libérer le geste discursif en s’appuyant sur le
hasard, la vitesse, la spontanéité. Ce temps de l’étude alimente par la suite les compositions picturales, mais peut également
produire des œuvres : lithographies, gravures…
Ensuite, tous deux travaillent patiemment leurs fonds sur de très grands formats, qui de par la lenteur du processus acquièrent
une profondeur intérieure qui « pose » le tableau. Par dessus ces fonds savamment travaillés sont apposés des gestes rapides,
qui scellent alors l’œuvre dans un temps très court. Cette « double détente » est précisément ce qui construit, par chacun de
ces peintres, l’œuvre. Pas de repentir possible avec cette technique : soit le tableau existe, et cela dans un instant décisif et un
espace précis, soit il n’est pas.
Hartung expliquait très clairement sa démarche : « En peinture, on fait un signe énergique, qui doit être l’expression de quelque
chose. Et il doit être le plus juste possible… J’aime que le geste soit définitif et je reviens rarement dessus (…). C’est cette
improvisation sur la toile, cette spontanéité qui donne le rythme, l’intensité.8» Cette justesse du geste, qui pourrait sembler être
le fruit d’un hasard heureux, est bien sûr issue d’une longue pratique. Car ce que Hartung ne précise pas ici, c’est que pour
nombre de ses pièces il travaillait en reportant point par point, selon la technique de la mise au carreau, ses petits formats
exécutés spontanément sur papier. Ce n’est qu’à partir des années soixante qu’il put abandonner cette technique pour libérer
totalement son geste. Comme souvent en peinture, ce n’est qu’en conséquence d’un travail long et laborieux que le geste peut
Anne Kerner, 29 juin 2013, « L’œil d’Anne Kerner sur Gérard Traquandi, au cœur du monde », article pour www.ouvretesyeux.fr
Gérard Traquandi, Notes d’atelier, 1998, www.documentsdartistes.org
8
Entretien de Hans Hartung dans Libération en août 1988
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Gérard TRAQUANDI, en regard de Hans HARTUNG
être improvisé tout en donnant une si impressionnante sensation de maîtrise : « La quantité c’est aussi une assurance de qualité.
Plus on peint, plus on travaille longtemps, beaucoup, plus on atteint à la force d’expression, au dépouillement, à la rigueur.9»
Chez Traquandi, cette double détente naît du rapport instinctif que l’artiste entretient avec les matières, que celles-ci soient
naturelles ou picturales. Ses fonds sont comme des linéaments dans lesquels s’imprègnent les pigments ; ils possèdent une
profondeur qui nous amènent au delà ou au travers du tableau. Ils sont, comme disait Pierre Schneider, des « fonds sans fonds 10»,
qui creusent dans le plan du tableau pour nous mener vers un infini abyssal. Par dessus, les figures naissent par l’instantanéité
d’une empreinte : légèrement creusée dans la matière, la trace devient motif. Fantômes d’éléments naturels, ces figures, ou
plutôt ces absences, ces creux de nature, organisent le plan du tableau et lui donne son unicité. Comme chez Hartung, cette
spontanéité est en partie une illusion : elle est en réalité le fruit d’une longue observation du monde et de patientes études des
peintres que Traquandi affectionne ; comme Il Pontormo, Cézanne, Pollock ou encore Bazelitz. Les signes qu’il apposent sur ses
toiles sont donc référencés : « Si, par exemple, je peins un arbre, je ne vais pas partir de l’arbre, mais réinterpréter l’image qu’en
ont donnée les peintres classiques.11» Traquandi renouvelle donc des gestes séculaires et assume son attachement particulier au
baroque et au maniérisme. Il n’est pas pour autant tourné vers le passé : si la nouveauté et l’inédit l’intéressent moins que la (re)
découverte des potentialités toujours renouvelées qu’offrent la peinture et le tableau, il s’inscrit totalement dans une démarche
esthétique actuelle qui célèbre de nouveau le faire et le processus ; il renouvelle à sa manière l’action painting12 de Hartung.
Hans Hartung et Gérard Traquandi appartiennent tous deux à des époques différentes ; de ce fait ils se positionnent en fonction
des problématiques de leurs temps respectifs. Mais fondamentalement, ce qui réunit ces deux artistes dans leurs pratiques, c’est
l’amour de peindre, comme acte et comme médium, ainsi que leur amour du monde. Ontologiquement, ils participent de ce vieux
combat toujours en cours et perdu d’avance. Hartung disait : « L’art me paraît un moyen de vaincre la mort. Un signe sur un
rocher, un trait gravé et notre esprit remonte à la Préhistoire : "Ici, un homme a vécu."13»
Pauline Thyss, juin 2016
Hans Hartung, Autoportrait, p. 212, éditions Grasset, 1976
Pierre Schneider, Petite histoire de l’infini en peinture, éditions Hazan, 2001
11
« Gérard Traquandi, un ange sur l’épaule », Olivier Cena, Télérama, 2008
12
En 1947 Charles Estienne définit la peinture des peintres lyriques ou informels comme « peinture de l’action », expression qui deviendra
action painting ou gestual painting et définira la pratique de Jackson Pollock, Sam Francis, Franz Kline…
13
Hans Hartung, Autoportrait, p. 244-245, éditions Grasset, 1976
9
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visuels
&
reproductions
À double détente :
Gérard TRAQUANDI, en regard de Hans HARTUNG
Gérard Traquandi, Sans Titre, 2012, 230 x 410, cm
photo © Xavier Martinez, courtesy Gérard Traquandi et galerie Catherine Issert
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Gérard TRAQUANDI, en regard de Hans HARTUNG
Gérard Traquandi, Sans Titre, 2016, 190 x 140 cm, photo © Denis Prisset,
courtesy Gérard Traquandi et galerie Catherine Issert
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À double détente :
Gérard TRAQUANDI, en regard de Hans HARTUNG
Hans Hartung, T1989-E44, acrylique sur toile, 180 x 180cm, 1989, courtesy
galerie Sapone et Fondation H. Hartung & E. Bergman
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Bio
graphie
Gérard Traquandi
né en 1952. vit et travaille à Paris et Marseille.
SÉLECTION D’EXPOSITIONS PERSONNELLES
2016
• À double détente : Gérard Traquandi, en regard de Hans Hartung, galerie Catherine Issert, Saint Paul de Vence
2015
• Musée des Beaux-Arts de Rennes
• After dark, Galerie Laurent Godin, Paris
2014 • Dessins, Galerie Laurent Godin, Paris
2013 • Les jours, Galerie Laurent Godin, Paris
2011 • Galerie Laurent Godin, Paris
• Hôtel de région, Marseille
• Château de Jau, Roussillon
• Rue Visconti, Paris
2010 •Galerie Catherine Issert, Saint-Paul de Vence
2009 • Galerie Laurent Godin, Paris
2008 • Avec les Maîtres, Musée Cantini, Marseille
2007 • Institut Français de Berlin, Berlin, Allemagne
• Art Paris, Galerie Laurent Godin, Paris
• Artothèque Pierre Tal-Coat, Hennebont
2005 • Galerie Laurent Godin, Paris
• Musée des Beaux-Arts, Valenciennes
• Maison Européenne de la Photographie, Paris
• Chapelle des Capucins, Aigues-Mortes
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Gérard Traquandi
2004 • Galerie Athanor, Marseille
• Centre d’Art de Bouvay-Ladubet, Saumur
2002 • Le Rectangle, Lyon
• Galerie Confluence(s), IUFM, Lyon
• Galerie Georges Verney-Carron, Villeurbanne
2001 • Fiac 2001, Stand Galerie Item, Paris
2000 • Gérard Traquandi, Yves Oppenheim, Galerie Barbara Farber, Trets
• 8 peintures de Gérard Traquandi autour du rideau de scène, Musée des Tapisseries, Aix-en-Provence
• Entre Chien et Loup, Galerie Daniel Templon, Paris
1999 • Musée Départemental de Gap, Gap
1998 • Galerie Daniel Templon, Paris
• Boukamel Contemporary Art, Londres
• Galerie Noirhomme, Bruxelles, Belgique
1997 • Œuvres sur papier, Bibliothèque Nationale de France, Paris
1994 • Musée des Jacobins, Morlaix
• Galerie Pailhas, Marseille
1992 • Galerie Zabriskie, New York
• Centre Culturel Français, Palerme
• Pavillon Français, Exposition Universelle, Séville
1991 • Galerie Pailhas, Marseille
1990 • Centre d’Art Contemporain, Castres
• Galerie du Triangle, Bordeaux
• Editions Item, Paris
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Gérard Traquandi
1988 • Galerie Riverin-Arlogos, Montréal
• Galerie Samia Saouma, Paris
• Galerie Art Actuel, Liège, Belgique
1987 • Musée Cantini, Marseille
1986 • Institut Français, Naples, Italie
• Galerie Samia Saouma, Paris
• Galerie Arlogos, Nantes
1985 • Galerie Saluce, Avignon
1984 • Galerie Arlogos, Nantes
• Galerie Le Chanjour, Nice
1983 • Musée Ziem, Martigues
• Galerie Gaston Nelson, Villeurbanne
SÉLECTION D’EXPOSITIONS COLLECTIVES
2016
• La règle et l’intuition, carte blanche à Gérard Traquandi, Abbaye de Montmajour
2015
• Entre eux et moi, Galerie Catherine Putman, Paris
• Eyes-Mind-Brain, Galerie Unosunove, Rome
2014 • Le dessin, un genre?, Galerie du 5ème, Marseille, France
2013 • Moi & les autres, Galerie Catherine Issert, Saint Paul de Vence
• L’île de Montmajour par Christian Lacroix, 2013, Abbaye de Montmajour
2012 • Moi & les autres, Galerie Catherine Issert, Saint Paul de Vence
• Au bonheur des fleurs : le règne végétal dans la photographie, Pavillon des arts populaires de Montpellier
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Gérard Traquandi
2011 • Musée Magnelli, Vallauris
• L’objet photographique une invention permanente, Maison Européenne de la Photographie, Paris
• Art Bruxelles, Belgique
• Drawing now, salon du dessin contemporain, Paris
• Armory Show, New York, Etats Unis
ACCA, cycle 3, BLAIS, CASTELLAS, PESCE, SCHIESS, TRAQUANDI, Galerie Catherine Issert
2010 • Mémoires de paysages, Fondation Vasarely, Aix-en-Provence
• Armory Show, New York
2009 • Eros, Galerie Jean-François Meyer, Marseille
• Moi et les autres III, Galerie Catherine Issert, Saint Paul
• Salon du Dessin Contemporain, Paris
• Art Paris, Grand Palais, Paris
• FIAC, Grand Palais, Paris
2008 • FIAC, Grand Palais, Paris
• Art Brusells, Bruxelles, Belgique
• Art Paris, Grand Palais, Paris
2007 • Singuliers et pluriels, Galerie Catherine Putman, Paris
2006 • Roger Pailhas, L’art d’une vie, [mac] musée d’art contemporain, Marseille
• FIAC, Galerie Laurent Godin, Paris
2001 • De la couleur, Musée de Troyes, Troyes
2000 • De l’appétit, des vanités, Bibliothèque Aragon, Choisy-le-Roi
1999 • Peintures n°1, Gérard Traquandi, Harold Schouten, Alliance Française de Rotterdam
• État(s) des lieux,Anticiper le printemps, Musées de Chateauroux
• Hypothèses de collection : Frac Paca, Musée du Luxembourg, Paris
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Gérard Traquandi
1998 • Tableaux de (T)Rêve, Espace Ripert, Bollène
• Dérives Botaniques, Centre Culturel de la Communauté française, Le Botanique, Bruxelles
• La cuisine de l’art, Fondation d’art contemporain Florence et Daniel Guerlain, Les Mesnuls
• Château d’Auvers, Auvers-sur-Oise
• Heureux le visionnaire, 40 estampes et 40 artistes, Centre Culturel de Villefranche sur Saône
1997 • Heureux le visionnaire, Maison Levanneur, Centre national de l’Estampe et de l’Art Imprimé
1996 • Petits et grands papiers, Musée Ziem, Martigues
• Les visiteurs du soir, Arc et Senans
• Impressions libres, exposition itinérante organisée par l’AFAA
1995 • Estampes de Richard Serra et Gérard Traquandi, Item éditions, Ecole Régionale des Beaux-Arts, Rouen
• Barie Cooke, Gérard Traquandi,Gérard Verdjik, L.A.C. Sigean
• Présences, art contemporain en France, Centre Borschette, Bruxelles
• Galerie Debras-Bical, Bruxelles, Belgique
1994 • Mémoires, Musée des Tapisseries, Aix-en-Provence
• Logo non logo, Thread Waxing Space, New York
1993 • Musée Matisse, Vence
• Cinq artistes de France, Galerie Nichido, Tokyo et Nagoya
1983 • Grandi Onda, Atra Studio, Milan, Italie
• Dessins, Galerie Karl Flinker, Paris
• Trans-figuration, ARCA, Marseille
• L’après-Midi, CNAC, Paris
• 13 peintres et sculpteurs, Hôtel de Ville, Paris
• Marseille art présent, Marseille
• Douceur de l’avant-garde, Rennes
• Lieu du Corps, Gardanne
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GALERIE CATHERINE ISSERT
ouvert du mercredi au samedi
de 10:00 à 13:00
et
de 15:00 à 19:00
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À venir :
Mode d’emploi
Benjamin Sabatier
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