PROCES VERBAL DU CONSEIL MUNICIPAL DU - Livry-sur
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PROCES VERBAL DU CONSEIL MUNICIPAL DU - Livry-sur
PROCES VERBAL DU CONSEIL MUNICIPAL DU 8 OCTOBRE 2014 date de convocation: 30 septembre 2014 Nombre de Conseillers : En exercice: 19 présents : 14 votants : 19 (dont 5 pouvoirs) L’an deux mille quatorze, le huit octobre à vingt heures trente, légalement convoqué, le Conseil Municipal s’est réuni à la Mairie en séance publique sous la présidence de Monsieur Michel LE MAOULT, Maire, M. LE MAOULT, Maire Etaient présents M. GERVAIS, M. DUCAT, Mme GUIEBA, M. DAGRON, Adjoints Mme GODEFERT, M. BOULAY, M. DENIZON, M. ARNULF, Mme GEOFFROY, M. SIMON, M. CHANTOISEAU, Mme BECHIKHI, Mme DECANTE / Absents excusés Mme TEZZON donne pouvoir à M. DAGRON Pouvoirs Mme DETHIENNE donne pouvoir à Mme BECHIKHI Mme BERTON donne pouvoir à Mme GEOFFROY Mme MANDY donne pouvoir à Mme GODEFERT M. PERRIER donne pouvoir à Mme GUIEBA Il a été procédé, conformément à l'article L 2121-15 du Code Général des Collectivités Secrétaire de Territoriales, à l’élection d’un secrétaire pris dans le sein du Conseil. M. BOULAY séance ayant obtenu la majorité des suffrages, a été désigné pour remplir ces fonctions qu’il a acceptées. I APPROBATION DU PROCES VERBAL DE LA SEANCE DU 23 MAI 2014 Le procès-verbal de la séance du 27 juin 2014 est approuvé à l’unanimité. II DESIGNATION DU SECRETAIRE DE SEANCE Vu le Code Général des Collectivités Territoriales et notamment son article L 2121-15, Après en avoir délibéré, le Conseil Municipal, à l’unanimité, désigne M. BOULAY en qualité de secrétaire de séance. III INFORMATIONS GENERALES M. le Maoult informe notamment : Des démarches administratives en cours pour l’arrivée du nouveau médecin, De l’objectif de réalisation de logements locatifs sociaux pour la période de 2014 à 2016, il faudra qu’un dossier soit agréé pour au moins 15 logements, Mme GUIEBA précise que la rentrée scolaire s’est bien passée avec création d’une 3ème classe à l’école maternelle et ouverture d’une 5ème classe à l’école élémentaire. IV LISTE DES DECISIONS DU MAIRE Décision 2014/06 relative à la convention pour l’accès à la déchetterie par les ST avec le SMITOM. Décision 2014/07 relative à la révision du loyer maisonnette (M. GROLL). Décision 2014/08 relative au contrat avec ECS pour le nettoyage de l’école élémentaire. Décision 2014/09 relative au contrat d’entretien des chaudières avec Mr PAILLET, plombier. Décision 2014/10 relative à la convention d’enlèvement des déchets de jardin avec le SMITOM pour le Domaine d’Artémis. 1/13 V AFFAIRES SCOLAIRES – Rapporteur M. Le Maoult 1/ Service d’accueil exceptionnel : fixation d’un tarif pour l’année scolaire 2014/2015 POINT AJOURNE Mme Guieba informe qu’elle a appris le 22 septembre que les enseignants seraient réunis pour une ½ journée de concertation dans le cadre de la réforme des programmes le 13 octobre au matin. La conséquence de cette concertation est donc une fermeture de l’école le matin. Cela entraîne des problèmes pour les parents qui travaillent. La commission scolaire a donc réfléchi à une garderie exceptionnelle pour l’ensemble des 8 classes. Madame l’Inspectrice de l’Education Nationale a appelé cet après-midi 8 octobre pour informer que la matinée de concertation est annulée. Mme Guieba propose d’ajourner ce point inscrit à l’ordre du jour dans la mesure où la commission scolaire va revoir intégralement la question des tarifs. Le point sera présenté au Conseil Municipal ultérieurement. M. Le Maoult estime « très cavalière » l’organisation de cette réunion par l’Education Nationale. Mme Guieba précise que l’Association des Parents d’élèves de l’élémentaire a saisi l’Inspection sur cette question. M. Dagron estime anormal que les parents aient à payer pour cette garderie alors qu’ils ne sont pas responsable de cette situation. L’Etat devrait financer les communes pour ce service. M. Le Maoult informe qu’il a saisi l’AMF dans ce sens en demandant à l’association comment procéder pour envoyer à l’Education Nationale la facture correspondant au coût du service. M. Dagron demande que le Conseil Municipal vote une motion qui appuie cette position. Mme Guiéba précise que beaucoup de communes n’avaient pas prévu de système de garderie. M. Le Maoult estime que dans un tel cas, soit nous ne faisons rien, soit nous organisons une garderie en associant financièrement les parents. La commission scolaire va réfléchir à cette question. MOTION relative à l’organisation d’une garderie exceptionnelle Considérant que le Ministère de l’Education Nationale a décidé de fermer les écoles en raison de l’organisation des journées de consultation des enseignants sur les programmes de maternelle et le projet de socle commun de connaissances en primaire et au collège, Considérant que Madame la Rectrice de l’Académie de Créteil et Madame la Directrice Académique des Services de l’Education Nationale de Seine et Marne souhaitaient réunir tous les enseignants le lundi 13 octobre au matin, Considérant que la commune a été contrainte de réfléchir à une organisation afin de ne pas pénaliser les parents qui travaillent et ne peuvent faire garder leurs enfants, Considérant que ce cas de figure va se reproduire compte tenu que le Ministère de l’Education Nationale souhaite de toute façon réunir les enseignants, Considérant que l’organisation d’une garderie exceptionnelle représente un coût certain pour la commune, Considérant que l’Etat doit couvrir financièrement cette charge, Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, par 18 voix pour et une abstention (M. Boulay) : • DEMANDE que ce type de situation où les communes sont contraintes d’organiser des garderies exceptionnelles soit assimilé à la mise en place du service minimum d’accueil (SMA) utilisé en cas de grève et qui est financé par l’Etat. 2/ Garderie du soir : fixation de pénalités en cas de retard Modification du Règlement des Services Périscolaires Sur présentation de Madame GUIEBA, Adjointe, Vu la délibération 2014/55 relative à la réactualisation du Règlement des Services périscolaires, Considérant qu’il y a lieu d’intégrer au Règlement des Services Périscolaires une disposition relative à une indemnité de retard. Considérant qu’il a été constaté que des parents viennent chercher leurs enfants au-delà de l’horaire maximum autorisé assez régulièrement. Cela oblige le personnel à rester, sans qu’il puisse être facturé une indemnité de retard. La Commission Scolaire réunie le 3 octobre propose d’intégrer au Règlement des Services Périscolaires un article 5 Indemnités de retard rédigé comme suit : 2/13 Au-delà de l’horaire de fermeture de la garderie, en cas de retard de la personne en charge de récupérer le ou les enfants, la famille concernée recevra un 1er courrier de rappel. Si un 2ème retard est constaté, la famille concernée recevra un 2ème courrier de rappel. En cas de récidive, il sera alors facturé à la famille une indemnité de retard de 15 € pour chaque enfant. Le Conseil Municipal à l’unanimité : • APPROUVE la modification du Règlement des Services Périscolaires telle que proposée par la Commission Scolaire, • DIT que cette modification du Règlement est applicable à compter du 3 novembre 2014. VI FINANCES – Rapporteur Mme Geoffroy 1/ Budget communal : décision budgétaire modificative n°2 Madame GEOFFROY, Conseillère Municipale Déléguée, donne les motifs des modifications à apporter au budget communal 2014. Il y a lieu de modifier le montant de certains articles du budget primitif en sections de fonctionnement et d’investissement. La décision budgétaire modificative n°2 se présente comme suit : Dépenses Désignation FONCTIONNEMENT D 61521 Entretien de terrains D 6237 Publications D 6237 Publications TOTAL D 011 Charges à caractère général D 6413 Personnel non titulaire D 64168 Autres TOTAL D 012 Charges de personnel D 022 Dépenses imprévues de fonctionnement TOTAL D 022 Dépenses imprévues de fonctionnement D 023 Virement section d’investissement TOTAL D 023 Virement section d’investissement R 7713 Libéralités reçues TOTAL R 77 Produits exceptionnels TOTAL Diminution de crédits Augmentation de crédits Diminution de crédits Augmentation de crédits 6 000.00 600.00 9 400.00 16 000.00 3 500.00 3 500.00 3 500.00 3 500.00 25 400.00 25 400.00 12 400.00 12 400.00 3 000.00 3 000.00 28 900.00 31 900.00 INVESTISSEMENT D 165 Dépôts et cautionnements reçus TOTAL D 16 Remboursement d’emprunts D 2031 Frais d’études TOTAL D 20 Immobilisations incorporelles D 2135 124 Travaux local techniques D 2138 105 Travaux bâtiments D 2152 103 Acquisitions matériels mobiliers Recettes 301.00 301.00 16 000.00 16 000.00 5 500.00 3 000.00 930.00 3 000.00 TOTAL D 21 Immobilisations corporelles R 021 Virement de la section de fonctionnement TOTAL R 021 Virement de la section de fonctionnement R 10223 TLE TOTAL R 10 Dotations fonds divers réserves R 165 Dépôts et cautionnements reçus TOTAL R 16 Emprunts et dettes assimilées TOTAL 9 430.00 12 400.00 12 400.00 13 000.00 13 000.00 331.00 331.00 25 731.00 TOTAL GENERAL 28 731.00 25 731.00 28 731.00 Ces modifications ne changent pas l’équilibre du budget. Vu le Code Général des Collectivités Territoriales, Vu le Budget Primitif 2014, Le Conseil Municipal, à l’unanimité : APPROUVE la décision budgétaire modificative n°2, Budget commune, telle que précisée cidessus. M. Le Maoult informe qu’environ 10 platanes situés à l’école maternelle vont être abattus car leurs racines commencent à atteindre les constructions voisines. D’autres essences moins invasives vont être plantées. 2/ Service de l’Eau : A Fixation de la durée d’amortissement d’un bien Sur présentation de Madame GEOFFROY, Conseillère Municipale Déléguée, Considérant que la Trésorerie, après avoir examiné l’inventaire du patrimoine canalisations, nous demande d’amortir un bien acquis avant 1950, Considérant que la valeur de ce bien s’élève à 30 344.22. €, Considérant qu’il est possible, dans la mesure où il s’agit d’un bien ancien, de l’amortir sur une durée maximale de 5 ans. Le Conseil Municipal à l’unanimité : • FIXE la durée d’amortissement du bien sur une période de 5 ans, soit un amortissement de 6 068.84 € par an. B Décision budgétaire modificative n°1 Madame GEOFFROY, Conseillère Municipale Déléguée, donne les motifs des modifications à apporter au budget Service de l’Eau 2014. Il y a lieu de modifier le montant de certains articles du budget primitif en sections de fonctionnement et d’investissement. La décision budgétaire modificative n°1 se présente comme suit : Dépenses Désignation FONCTIONNEMENT D 023 virement à la section d’investissement TOTAL D 023 virement à la section d’investissement D 6811 Dotations aux amortissements Diminution de crédits Augmentation de crédits 6 465.00 6 465.00 6 465.00 Recettes Diminution de crédits Augmentation de crédits TOTAL D 042 Opérations d’ordre entre sections TOTAL INVESTISSEMENT R 021 Virement section de fonctionnement TOTAL R 021 Virement section de fonctionnement R 281531 Amort. réseau adduction d’eau TOTAL R 040 Opérations d’ordre entre sections TOTAL TOTAL GENERAL 6 465.00 6 465.00 6 465.00 6 465.00 6 465.00 6 465.00 6 465.00 6 465.00 0.00 6 465.00 0.00 Ces modifications ne changent pas l’équilibre du budget. Vu le Code Général des Collectivités Territoriales, Vu le Budget Primitif 2014 Service de l’Eau, Le Conseil Municipal, à l’unanimité : APPROUVE la décision budgétaire modificative n°1, Budget Service de l’Eau, telle que précisée ci-dessus. C Subvention au Comité des Œuvres Sociales de Livry sur Seine Sur présentation de Madame GEOFFROY, Conseillère Municipale Déléguée, Vu le budget communal 2014, Vu la délibération 2014/12 relative à l’attribution des subventions pour 2014, Vu la ligne « crédits non affectés » prévue au Budget, Considérant la demande formulée par le COS de Livry sur Seine, Le Conseil Municipal à l’unanimité : • APPROUVE le versement d’une subvention exceptionnelle au COS de Livry sur Seine pour un montant de 344.25 €, • DIT que cette subvention sera prise sur « les crédits non affectés » qui s’élèvent à 1000 €. D Réactualisation de la redevance due par les opérateurs de communications électroniques (France Telecom) Sur présentation de Madame GEOFFROY, Conseillère Municipale Déléguée, Vu le Code général des collectivités territoriales et notamment l’article L.2541-12, Vu le Code des postes et des communications électroniques et notamment l’article L.47, Vu le décret n° 2005-1676 du 27 décembre 2005 relatif aux redevances d’occupation du domaine public, Considérant que l’occupation du domaine public communal par des opérateurs de télécommunications donne lieu à versement de redevances en fonction de la durée de l’occupation, des avantages qu’en tire le permissionnaire et de la valeur locative de l’emplacement occupé. Considérant que les tarifs maxima fixés pour 2006 par le décret n° 2005-1676 étaient les suivants : Pour le domaine public routier : 30 € par kilomètre et par artère en souterrain. 40 € par kilomètre et par artère en aérien. 20 € par m² au sol pour les installations autres que les stations radioélectriques. Pour le domaine public non routier : 1 000 € par kilomètre et par artère en souterrain et en aérien. 650 € par m² au sol pour les installations autres que les stations radioélectriques. Considérant que ce décret a également fixé les modalités de calcul de la revalorisation à effectuer chaque année, en fonction de l’évolution de la moyenne des 4 dernières valeurs trimestrielles de l’index général relatif aux travaux publics (TP 01). Le Conseil Municipal à l’unanimité : • FIXE pour l’année 2013 les tarifs annuels de la redevance pour occupation du domaine public communal due par les opérateurs de télécommunication respectivement comme suit : 5/13 Domaine public routier : - 40 € par kilomètre et par artère en souterrain. - 53,33 € par kilomètre et par artère en aérien. - 26,66 € par m² au sol pour les installations autres que les stations radioélectriques. Pour le domaine public non routier : - 1 333,19 € par kilomètre et par artère en souterrain et en aérien. - 866,57 € par m² au sol pour les installations autres que les stations radioélectriques. • DIT que ces montants seront revalorisés au 1er janvier de chaque année en fonction de l’évolution de la moyenne de l’index TP 01 de décembre (N-1), mars (N), juin (N) et septembre (N), conformément aux dispositions du décret du 27 décembre 2005. • INSCRIT annuellement cette recette au compte 70323. • CHARGE Monsieur Le Maire du recouvrement de ces redevances en établissant annuellement un état déclaratif ainsi qu’un titre de recettes. VII TRAVAUX – Rapporteur M. DUCAT Convention pour l’installation de la télé relève avec GRDF GRDF nous a transmis un projet de convention pour l’installation et l’hébergement d’équipement de télé relevé. GRDF s’est engagé depuis 2009 dans la mise en œuvre du déploiement du télé-relevé pour ses 11 millions de clients particuliers et professionnels. GRDF vise un double objectif : - développer la maîtrise de l’énergie par la mise à disposition plus fréquente de données de consommation, - améliorer la qualité de la facturation par une facturation systématique sur index réel et la suppression des estimations de consommation. L’offre de base de GRDF est sans surcoût pour les clients et consiste en une information mensuelle des clients et mise à disposition des données quotidiennes sur le site internet du distributeur. Les principales caractéristiques de la convention sont : - Durée : 20 ans, reconduction tacite par périodes de 5 ans. - Conditions financières : GRDF s’engage à payer une redevance annuelle de 50 € HT par site équipé. Il y en a 3 à Livry : l’Eglise, les 2 châteaux d’eau. - la commune s’engage à mettre à disposition de GRDF les emplacements nécessaires pour l’installation d’un ou deux coffrets et 1 à 4 antennes radio (hauteur environ 30 à 45 cm). M. Ducat signale que ce point avait été ajourné lors du Conseil Municipal du 27 juin dernier, il avait été demandé des informations complémentaires. Peut-on utiliser l’équipement de VEOLIA Eau pour cette télé relève ? M. Ducat s’est renseigné, les 2 équipements VEOLIA – GRDF sont incompatibles. Des questions subsistent : si une décision de démolir les châteaux d’eau est prise, l’équipement installé par GRDF devra être enlevé à ses frais. De plus, l’équipement électrique des châteaux d’eau peut être vétuste, or GRDF prévoit une mise aux normes aux frais de la commune contre une redevance de 50 € / an … Ce point est à nouveau AJOURNE compte tenu du grand nombre d’incertitudes et de contraintes imposées par la convention transmise par GRDF. VIII ENVIRONNEMENT – Rapporteur M. Le Maoult et M. Perrier 1/ Approbation de la Convention Ville de Melun (vente d’eau en gros) Sur présentation de Monsieur le Maire, La commune et la Ville de Melun ont conclu en 2011 une convention de fourniture d’eau en gros qui arrive à échéance le 31 décembre 2014. La Ville de Melun a transmis à la commune un projet de nouvelle convention. Celui-ci tient compte du nouveau contrat de DSP de distribution d’eau signé avec VEOLIA Eau en mars 2014 qui s’applique à compter du 1er janvier 2015 pour 10 ans. Il prévoit en option pour économiser la nappe phréatique de Champigny une solution alternative à partir de l’eau de Seine. 6/13 Une filière de traitement spécifique pour une eau de surface serait alors construite sur le site de Boissise la Bertrand. Cette opération nécessite la levée de l’option par la Ville de Melun au plus tard le 31/12/2015. Dans ce cas, le contrat de DSP serait prolongé de 10 ans. (31/12/2034). Le prix global du mètre cube d’eau (part VEOLIA + part Ville de Melun) s’élèvera au 1er janvier 2015 à 0.3964 € HT pour la solution de base. Part de la ville de Melun = 0.0483 € HT/ m3 Part Délégataire VEOLIA Eau = 0.3481 € HT /m3 Il s’élèvera à 0.6286 € HT dans le cas d’une levée d’option. Part de la ville de Melun = 0.0483 € HT/m3 Part Délégataire VEOLIA Eau = 0.5803 € HT / m3 (si option levée avant le 31/12/2015). Le prix du mètre cube d’eau vendu est aujourd’hui de : 0.5512 € HT. (Valeur août 2014) Le Conseil Municipal à l’unanimité : APPROUVE les termes de la convention de fourniture d’eau par la Ville de Melun CHARGE M. le Maire d’examiner la question de la RODP. AUTORISE M. le Maire à la signer ainsi que tout document nécessaire à son application. et M. Boulay demande si le volume d’eau gratuit qui est attribué à la commune de Livry en échange d’une occupation de son territoire par les champs captants est maintenu dans la nouvelle convention. M. Le Maoult précise qu’il s’agit de l’ancienne RODP équivalente à 25 000 m3 d’eau soit 12 000 € / an. Aujourd’hui, la ville de Melun n’a pas réintégré cette RODP dans la convention. Dans le domaine de l’eau, la commune a perdu 7 000 € de ristourne annuelle, 30 000 € de taxe foncière et 12 000 € de RODP. M. Boulay demande que ce volume d’eau gratuit soit reconduit compte tenu de la surface importante du territoire de la commune consacrée aux champs captants. Il faut trouver une solution pour que la RODP historique soit prise en compte. 2/ Service de distribution d’eau potable / VEOLIA EAU : Présentation du Rapport Annuel du Délégataire 2013 M. Le Maoult, Maire, présente la synthèse du rapport transmis par VEOLIA en mettant en évidence les éléments suivants : - Quantité distribuée : Volume m3 Produits Importés Distribués 2008 2009 2010 2011 2012 34 553 61 300 95 853 18 878 89 627 108 505 386 131 631 132 017 0 120 125 120 125 0 107 388 107 388 2013 0 96 611 96 611 (- 10 %) Consommés 89 149 83 678 99 841 104 177 94 754 90 053 (- 9 %) (- 5 %) Rappel des données communales : 765 abonnés, 777 compteurs (contre 770 en 2012), 738 branchements et 12 km de canalisation. - Concernant l’évolution des volumes vendus : Pour le client municipal : 585 m3 (contre 1 024 m3 en 2012) Pour les clients individuels 78 170 m3 (contre 86 366 m3 en 2012) - Les volumes consommés ont sensiblement diminué en 2013. (- 5 %) - Le rendement du réseau en 2010 s’était « stabilisé » à 76.2 %. En 2011, après une très importante campagne de détection des fuites, ce rendement a atteint 87 %. En 2012, il a progressé pour atteindre 88.5 %. En 2013, il s’élève à 93.5 %. A noter : le Grenelle de l’Environnement préconise un taux moyen de 85%. - Qualité de l’eau Le taux de conformité microbiologique est de 100%, le taux de conformité physico-chimique est de 100% (contre 75% en 2008). L’eau distribuée à Livry est classée « très bonne qualité ». 7/13 - Qualité des installations / Améliorations à prévoir Les diamètres de canalisations sont globalement bien adaptés pour répondre aux besoins d’alimentation et de défense incendie de la commune. Travaux réalisés en 2013 : 11 réparations de fuites (29 en 2012). 69 changements de branchements en plomb. 8 compteurs remplacés. Remise en état des poteaux d’incendie. 8 branchements neufs réalisés. Améliorations à prévoir : Renouvellement des canalisations rue des Chanois, avenue de la Gare et rue de la Mare Chaiseau. - Prix de l’eau Pour une facture portant sur 120 m3, le prix ressort comme suit hors abonnement : Le 1er janvier 2013 à 4.456 € TTC La part délégataire a augmenté de 2.33% On notera que la part communale a augmenté afin de financer les travaux de changement des branchements en plomb. Le 1er janvier 2014 à 4.539 € TTC La part délégataire a augmenté de 0.16% On notera que la taxe de l’Agence de l’Eau (Préservation des ressources en eau) a diminué de 93%, elle passe de 9.41 € à 0.60 € pour 120 m3. Globalement avec l’abonnement compteur, le prix du m3 d’eau a augmenté de 1.25% entre 2012 et 2013. Vu le Code Général des Collectivités Territoriales Vu le compte rendu d’activité 2013 du service de distribution d’eau potable établi par le délégataire, VEOLIA Eau, Le Conseil Municipal, à l’unanimité : PREND ACTE du rapport retraçant la réalisation du service de distribution d’eau potable en 2013. IX URBANISME – Rapporteur M. Dagron 1/ Terrains dits des PRESSOIRS : vente des parcelles AB 121, 123, 127, 128 et 131 à INVEST 77 Sur présentation de Monsieur DAGRON, Adjoint, Considérant le besoin de financement des investissements communaux, Considérant que la convention de partenariat signée avec le groupement LA MAISON ABORDABLE le 20 mars 2014 a été résiliée le 28 avril 2014 en raison du non suivi de celle-ci par l’aménageur, Considérant que des négociations ont alors été menées auprès de différents investisseurs pour une cession des terrains non viabilisés avec transfert du permis d’aménager, Considérant la proposition d’acquisition de Monsieur BLEE représentant INVEST 77 adressée le 8 septembre 2014 pour un montant de 456 0000 € TTC, Considérant que cette proposition correspond au projet d’urbanisation communal, à savoir la signature d’un compromis de vente avec transfert du permis d’aménager déposé par la commune puis d’un acte de vente sans clause résolutoire relative à la vente des terrains par lot, Considérant que le prix de cession des terrains s’élève à 456 000 € TTC et concerne les parcelles cadastrées : AB 121, 123, 127, 128 et 131 pour une surface d’environ 2 562 m², situées rue des Chanois. Considérant que le permis d’aménager a été délivré le 23 septembre 2014, le panneau d’affichage a été posé sur le terrain le 29 septembre 2014. Vu l’avis du Service France Domaine en date du 25 novembre 2013, Considérant que cet avis a estimé les terrains au prix du m² viabilisé alors que ceux-ci ne le sont pas, Considérant que le prix moyen du m² constructible non viabilisé s’élève aujourd’hui sur le secteur à environ 180 € TTC (correspondant à une fourchette de prix entre 170 € et 185 €), 8/13 Le Conseil Municipal à l’unanimité : APPROUVE la cession des parcelles cadastrées AB 121, 123, 127, 128 et 131 pour une surface totale d’environ 2 562 m², situées rue des Chanois, à INVEST 77 représenté par Monsieur BLEE, au prix total de 456 000 € TTC, AUTORISE le transfert du permis d’aménager PA 077255 14 00001 à la société INVEST 77, AUTORISE le Maire à signer le compromis de vente suivi de l’acte de vente ainsi que tout document nécessaire à la réalisation de cette cession. M. Dagron précise que le panneau d’affichage du permis d’aménager indique 6 lots (5 lots à bâtir et 1 lot voirie). Pour le prix de cession, il indique qu’en 2013, des promoteurs sollicités proposaient autour de 300 000 €. Cette proposition actuelle est donc correcte car très proche de ce qui était escompté dans le budget annexe. M. Ducat demande que ERDF soit tenu informé de ce projet.. INVEST 77 prendra contact avec ERDF. 2/ Acquisition des parcelles AB 132, 426 rue des Chanois et AE 153 rue des Uselles Sur présentation de Monsieur DAGRON, Adjoint, La commune souhaite se porter acquéreur des parcelles AB 132 d’une surface de 396 m² et AB 426 d’une surface de 26 m² situées rue des Chanois dans le cadre de la succession de Mme Jeanne BERTON. Ces 2 parcelles permettent un accès au Sentier rural des Rémonnes ainsi qu’à la future zone d’aménagement des Rémonnes. Il a été proposé le prix de 30 € du m² pour la parcelle AB 132 (soit 11 880.00 €) et un prix symbolique de 1€ pour la parcelle AB 426 frappée d’alignement. Les héritiers, Mr et Mme JOACHIM, ont signifié leur accord pour cette cession à Maître CHARRIER, notaire (courrier du 12septembre 2014). Par ailleurs, la commune souhaite également se porter acquéreur de la parcelle AE 153 située entre la rue de la Mare Chaiseau et la rue des Uselles, d’une surface de 455 m². Cette zone est classée N. Cette parcelle n’appartient que pour moitié à la succession de Mme BERTON. Le notaire est donc chargé de contacter les autres propriétaires pour transmettre la proposition de la commune qui s’élève à 1 € du m². Le Conseil Municipal à l’unanimité : APPROUVE l’acquisition des parcelles cadastrées AB 132, AB 426 et AE 153, DIT que les prix d’acquisition sont de 30 € du m² pour la parcelle AB 132, l’euro symbolique pour la parcelle AB 426 et 1 € du m² pour la parcelle AE 153, AUTORISE le Maire à signer tout acte se rapportant à ces acquisitions, PRECISE que les crédits nécessaires sont inscrits au budget primitif 2014. 3/ Convention de mandat d’études avec la SPL Melun Val de Seine Aménagement Sur présentation de Monsieur DAGRON, Adjoint, La commune a approuvé par délibération 2013/28 du 27 mars 2013 la convention d’intervention foncière avec l’Etablissement Public Foncier d’Ile de France portant sur le site dit LES PIERROTTES, zone 2AU du PLU. La commune et l’EPFIF ont donc convenu de s’associer pour conduire une politique foncière sur le moyen terme au sein du périmètre défini dans la zone des Pierrottes. L’EPFIF achète pour le compte de la commune les terrains aux différents propriétaires, pour ensuite les rétrocéder à la collectivité. Une procédure de Déclaration d’Utilité Publique (DUP) pourra à ce titre être mise en œuvre si des propriétaires expriment leur désaccord pour vendre leurs terrains. La commune est actionnaire de la Société Publique Locale Melun Val de Seine Aménagement. Les missions de la SPL sont la mise en œuvre des opérations d’aménagement, de construction et de développement définies par ses actionnaires publics. Monsieur DAGRON a demandé au Directeur Général de la SPL d’étudier la mise en place d’une convention permettant de disposer assez rapidement d’une étude de faisabilité urbaine pour l’aménagement du secteur des Pierrottes. En effet, il y a lieu de disposer le plus rapidement possible d’un outil permettant la définition de la stratégie urbaine sur l’espace des Pierrottes de 2,2 hectares. 9/13 La mission confiée à la SPL comprend 3 étapes : Réalisation d’un diagnostic permettant de cerner l’ensemble de la problématique et les enjeux du projet. Délai : 2 semaines. Présentation de 2 à 3 hypothèses de composition urbaine. Délai : 3 semaines. Analyse du scénario retenu à un niveau AVP afin de confirmer la faisabilité économique du projet. Délai : 3 semaines. Le coût total de l’étude s’élève à 13 070 € HT, soit 15 684 € TTC. Le Conseil Municipal à l’unanimité : • APPROUVE les termes de la convention de mandat d’études avec la SPL Melun Val de Seine Aménagement – étude de faisabilité urbaine – opération Pierrottes, • AUTORISE le Maire à la signer ainsi que tout document nécessaire à son application. M. Dagron précise que d’ici fin 2014, l’étude prévue par la convention avec une approche plus fine concernant le problème des eaux pluviales sera disponible. M. Le Maoult informe que les études portant sur cette zone seront à terme prises en charge par les futurs aménageurs. M. Dagron ajoute que la commission Urbanisme a donné un avis favorable à la réalisation de cette étude par la SPL. X CAMVS – Rapporteur M Gervais 1/ Avis concernant le projet de schéma de coopération intercommunale arrête par le Préfet de Région le 28 aout 2014 Vu la loi 2014-58 du 27 janvier 2014 de Modernisation de l'Action Publique Territoriale et d'Affirmation des Métropoles « dite loi MAPTAM », Vu plus particulièrement, les articles 10 et 11 de ladite loi, Considérant, que le Préfet de Région a transmis à la commune une carte sur le projet de schéma de coopération intercommunale regroupant la Communauté d'agglomération Melun Val de Seine avec la Communauté de communes Seine Ecole pour former un territoire d'un seul tenant et sans enclave de 125 420 habitants ce qui est dérogatoire au seuil des 200 000 habitants, Considérant que le projet proposé par le Préfet de Région ne s’accompagne pas d’études ou de projections financières, économiques et sociales permettant une vision éclairée des conséquences de ces regroupements, Considérant que le calendrier proposé pour ce projet ne permet pas aux élus locaux un examen réfléchi, Considérant que le SAN de Sénart avec qui la CAMVS partage dès aujourd’hui de nombreux enjeux (transports, hôpital, habitat, patrimoine paysager, pôle aéronautique de Villaroche…) semble, à ce jour, encore réfléchir à son devenir. Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l’unanimité : • EMET UN AVIS DEFAVORABLE au projet de schéma régional de coopération intercommunale proposé par le Préfet de Région, • et PRECISE qu’il n'est pas opposé pas au regroupement de la Communauté d’Agglomération Melun Val de Seine avec la Communauté de Communes de Seine-Ecole proposé dans ce projet de schéma. M. Gervais procède à la lecture du projet de délibération transmis par la CAMVS. Les délais sont trop courts pour réfléchir à un projet ambitieux et la position n’est pas arrêtée au sein de l’Agglomération. Le Préfet de Région a tranché dans un 1er temps en fusionnant la CAMVS et Sénart. Le schéma est arrivé et ne tient plus compte de cette position. La CAMVS reste telle quelle avec Saint Fargeau Ponthierry en plus. Les élus de Sénart semblent mal à l’aise dans le nouveau projet. M. Gervais précise qu’il est contre ce projet de schéma car il n’a pas été discuté et il n’y a pas eu d’études sur les conséquences économiques d’une éventuelle fusion avec Sénart. M. Dagron procède à la lecture d’un texte qu’il a préparé sur le sujet : « La réforme territoriale va se traduire par le regroupement de régions, la probable disparition des conseils généraux en 2020 et la création de métropoles. Cette réforme menace à terme l'existence même des communes qui sont déjà intégrées, comme nous, dans une intercommunalité. Le gouvernement met en avant l’attractivité des territoires ainsi que leur compétitivité par la mutualisation accrue des moyens humains et financiers. Les dotations de l'État ont été gelées et seront réduites de 11 Mds d'ici à 2017, soit un cumulé de 28 Mds d'€. Ceci met en cause le fonctionnement de l'échelon communal. Il va nous falloir développer nos projets avec moins de ressources publiques, dotation d'état, subvention départementales et/ou régionales. La déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 pose le problème de l’action publique et de son contrôle par le peuple. Cette action est au cœur des libertés fondamentales. Pour une répartition juste et consentie de la contribution à la dépense publique, le texte fondateur ajoute : "La société a le droit de demander compte à tout Agent public de son administration" La légitimité de l’organisation des collectivités territoriales, communes, départements, régions, au sein de la République, est fondée sur cette base. Les collectivités ont eu un essor particulier depuis la loi de décentralisation de 1982. Elles ont su librement décider de coopérations intercommunales entre elles, pour nous SIGUAM, DAM … aujourd'hui substituées par la CAMVS. Une légitimité de chaque niveau qui doit tout à la souveraineté populaire, même si la crise politique, économique et financière ne nous incite plus à y prendre part. Les bouleversements profonds induits par les différents textes de la réforme territoriale nient le besoin fondamental d’appuyer l’action publique sur une maîtrise citoyenne. Quelques mois après les premières élections d’assemblées intercommunales au suffrage en partie direct, de nouvelles fusions d'agglomérations sont proposées. L'ouest de la Seine et Marne se découperait en 3 ou 4 intercommunalités allant de 340 000 à 533 000 habitants pour celle devant accueillir Sénart, qui serait rattaché à une unité urbaine de plusieurs intercommunalités de l'Essonne (jusqu'à Arpajon). Melun-Val de Seine fusionnerait avec la Communauté de communes Seine École. La CAMVS, la Communauté de communes Seine École et Sénart ont mené conjointement depuis plusieurs années la réflexion sur la cohérence du développement et de l'aménagement de nos territoires. Nous ne pouvons donc que douter de l’efficacité et de la qualité de la nouvelle organisation présentée ce soir pour notre population. Que devenons-nous avec nos 120 000 habitants face aux grosses intercommunalités de l'ouest de la Seine et Marne ou du Grand Paris ? Ce projet de regroupement des communes est un acte technocratique qui ne tient pas compte des réalités de notre région. S'il était retenu, il remettrait en cause le rôle de nos communes et leurs cohérences territoriales. En fait de tout ce qui s'y rattache et fait la vie des habitants. Le sujet est grave, le projet imposé par l'état nous tombe dessus sans avoir un tant soit peu retenu les modifications apportées par les sénateurs aux textes présentés. Je suis de ceux qui pensent que tout texte de réorganisation territoriale doit être soumis à la consultation des électeurs. Voilà pourquoi je vous ai transmis un appel aux élus et citoyens de Seine et Marne pour vous en proposer la signature. A ce jour nous sommes 4 à l'avoir paraphé. En conséquence je voterais contre le texte proposant cette réorganisation. » M. Le Maoult estime que le bassin de vie est Melun –Sénart et non Melun – Fontainebleau Le rapprochement avec Sénart, déjà amorcé dans de grands projets (Hôpital, Villaroche, tzen …) paraît naturel même s’il y a des questions financières à analyser (l’endettement de Sénart par exemple). La future Agglomération n’aura que 110 000 habitants au sein de l’Ile de France. M. Le Maoult n’est pas pour le projet tel qu’il est présenté dans ce schéma. Le rapprochement avec Saint Fargeau Ponthierry ne pose quant à lui aucun problème. 11/13 2/ Adhésion au groupement de commandes des services de communications électroniques du SIPPEREC Sur présentation de M. Gervais, Adjoint, Le diagnostic des systèmes d'information des communes réalisé à l'été 2013 par la CAMVS a montré une grande disparité entre les communes dans l'organisation de la téléphonie au sens large, notamment dans les tarifs obtenus par ces communes auprès de leur opérateur de communication. Le coût des frais de télécommunication pour les 14 communes et la CAMVS est d'environ 950 000 € par an. Grâce à un premier groupement de commandes à l'initiative de la CAMVS, une diminution sensible des frais de communication a pu être obtenue. Parallèlement, la commune de Melun a initié son adhésion à un groupement de commandes plus vaste, coordonné par le Syndicat intercommunal de la périphérie de Paris pour les énergies et les réseaux de communication (SIPPEREC). Melun estime à 40 % les économies générées par ce processus, principalement grâce aux tarifs obtenus mais aussi grâce au travail de réorganisation réalisé en amont. Le SIPPEREC dispose d'une expérience unique en la matière puisqu'il a lancé sa première consultation en 1999 et s'apprête à fédérer plus de 190 collectivités (communes, communautés, OPH, départements, région) dont 14 collectivités de Seine-et-Marne pour une 7ème consultation à lancer dans les prochains mois, pour un marché qui débutera en mai 2015. Ce groupement de commande permet d'accéder à des prix «grand compte» dédiés aux collectivités, à une organisation qui garantit la fiabilité technique et juridique du processus, à une grande souplesse par la souscription de lots en fonction des besoins locaux, à la force d'un réseau public. L'adhésion à ce groupement de commandes permet non seulement de souscrire à des services de «Voix- Données Fixe-Mobile», objets de la prochaine consultation, mais aussi – au fur et à mesure du lancement des nouvelles consultations – à des offres dans le domaine des outils de relations avec les citoyens, des services d'accès et de protection/vidéo protection, des services et équipements numériques éducatifs. Le territoire Melun Val de Seine n'étant pas le niveau pertinent pour obtenir les conditions les plus avantageuses de la part des opérateurs, il est proposé de s'inscrire dans la consultation «Voix-Données Fixe-Mobile» en adhérant au groupement de commandes du SIPPEREC. L'économie induite, même si la mise en place des nouveaux abonnements demande un important travail, peut raisonnablement être estimée de -20 à -30%. Le processus d'adhésion a été précisé par le SIPPEREC. Même si les télécommunications entrent dans le périmètre de la mutualisation, il nécessite une délibération d'adhésion de la part de la CAMVS et de chaque commune membre, avant le 31 octobre 2014. Les frais d'adhésion demandés à notre ensemble territorial sont de 16 355,40 € par année, il est prévu que seules la CAMVS et les 4 communes les plus importantes versent une cotisation. Ces frais pourront être reventilés par la DMSI dans le cadre de sa gestion des abonnements téléphoniques. COLLECTIVITÉ CAMVS (forfait) Melun Le Mée-sur-Seine Dammarie-les-Lys Vaux-le-Pénil Boissise-le-Roi La Rochette Seine-Port Livry-sur-Seine Rubelles Voisenon Boissise-la-Bertrand Montereau-sur-leJard Saint-Germain-Laxis Boissettes HABITANTS 1 40 418 21 083 20 735 10 800 3 674 3 042 1 968 1 941 1 883 1 155 991 TARIF 2400 0,15 0,15 0,15 0,15 0 0 0 0 0 0 0 COTISATION 2 400,00 6 062,70 3 162,45 3 110,25 1 620,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 588 543 426 0 0 0 0,00 0,00 0,00 16 355,40 12/13 Le Conseil Municipal à l’unanimité : • N’APPROUVE PAS l’acte constitutif du Groupement de Commandes pour les Services de Communications Electroniques (GCSCE) annexé à la présente délibération, portant adhésion au GCSCE. (Le GCSCE est l’organisme au sein de la CAMVS qui permet d’adhérer au SIPPEREC). XI QUESTIONS DIVERSES Livre Histoire de LIVRY SUR SEINE – fixation du prix de vente – Sur présentation de M. Le Maoult, Maire, Monsieur le Maire expose que Monsieur Philippe BAILLY, ancien Adjoint, a travaillé pendant quelques années à l’écriture de l’histoire de la commune de ses origines à nos jours. Il a été décidé que la commune prenne à sa charge les frais d’impression du livre « Chroniques Livryennes ». Il y a donc lieu de fixer le prix de vente du livre au public ainsi qu’à l’éditeur et aux libraires. Le Conseil Municipal à l’unanimité : • FIXE le prix de vente au public du livre « Chroniques Livryennes » à 25 € l’unité, • FIXE le prix de vente à l’éditeur et aux libraires à 20 € l’unité, • et PRECISE qu’une partie de la recette tirée de la vente de l’ouvrage sera destinée au financement d’équipements scolaires conformément au souhait de Monsieur Philippe BAILLY. Mme Geoffroy rappelle qu’il y aura courant décembre la remise des cadeaux de fin d’année aux anciens. L’ordre du jour étant épuisé, la séance est levée à 23H40. Michel LE MAOULT, Maire 13/13