présentent un film d`alexis durand brault produit par richard

Transcription

présentent un film d`alexis durand brault produit par richard
 PRÉSENTENT UN FILM D’ALEXIS DURAND BRAULT PRODUIT PAR RICHARD LALONDE SCÉNARISÉ PAR SOPHIE LORAIN ET CATHERINE LÉGER SORTIE EN SALLES : 13 JUIN 2014 Durée : 108 minutes PRODUIT PAR Richard Lalonde – FORUM FILMS INFORMATION GENRE: VERSION ORIGINALE: RATIO: SON: LIEUX DE TOURNAGE: FORMAT DE TOURNAGE: FORMAT FINAL: SORTIE EN SALLES: DURÉE : Drame Française 1 :85 DOLBY SRD Belgique, Arizona et Montréal Digital DCP 13 juin 2014 108 minutes PRODUIT AVEC LA PARTICIPATION FINANCIÈRE DE Téléfilm Canada / SODEC / Fonds Quebecor / Société Radio‐Canada / Crédits d’impôts du Québec / Crédits d’impôts du Canada. DISTRIBUTEUR Les Films Christal / Les Films Séville, des filiales d’Entertainment One CONTACTS : Entrevues : Geneviève Lefebvre / Brigitte Chabot Communications 514‐861‐7870 x222 / [email protected] Communications Les Films Séville : Annie Tremblay / Vice‐présidente communications 514‐878‐4973 / [email protected] Merci de vous inscrire pour télécharger photos, dossier de presse, extraits et bande‐annonce http://medias.lesfilmsseville.com SYNOPSIS Julie, vedette du cyclisme, est à deux courses de gagner la Coupe du monde. C’est l’aboutissement d’années d’effort. Julie aime le spotlight. Son entourage aussi. Encouragée par son entraîneur et son médecin, elle se dope depuis l’âge de 14 ans. Quand son docteur la dénonce, elle réussit à étouffer l’affaire, mais mesure l’ampleur du gâchis… Abus. Mensonge. Trahison. Prise dans un engrenage qui la dépasse, va‐t‐elle réussir à trouver une porte de sortie? MOT DU RÉALISATEUR Montréal, Coupe du monde féminine 2009, je suis invité à la course de vélo suite à mon intérêt, encore embryonnaire, de faire un film sur le cyclisme et le dopage. Je suis là pour observer et pour tenter de comprendre ce que j’y cherche. Comme tous les invités, on m’offre un tour en caravane pour suivre les différents pelotons autour du Mont‐Royal. Je suis tout d’abord surpris par la proximité entre notre véhicule, conduit par un membre de l’organisation, et les coureuses. Je vois très bien la tension entre elles, leurs tentatives de se démarquer et surtout je vois très bien la souffrance physique qu’implique une telle épreuve sportive. Après quelques tours, le chauffeur nous demande si nous voulons aller voir le groupe de tête: évidemment! Qui ne veut pas voir les meilleures...? Il s’engouffre dans un raccourci qui débouche sur l’avenue Mont‐Royal, entre deux pelotons. Soudain, dans une courbe devant nous, une cycliste étendue sur le sol à côté de son vélo. L’officiel arrête sa voiture et s’empare de son walkie‐talkie. Surpris qu’il ne descende pas pour aller voir l’état de la jeune fille, je prends la décision de sortir de la caravane. Il pleut à boire debout. La jeune fille me regarde, en sanglots. Je m’accroupis à côté d’elle. Ne sachant que lui dire, je me présente. Elle me répond la voix cassée : « moi c’est Joséphine ». Je regarde son état physique, ses jambes sont entièrement couvertes de sang, rien de grave, mais deux coupures profondes sur les deux genoux. Le sang rouge dans ce décor gris et orageux dramatise le moment. Tentant de la faire parler, je lui demande ce qui est arrivé. Avec son accent français et sa petite voix, elle me répond : « J’en ai marre, j’en ai marre de ces courses de merde... C’était mon meilleur temps de l’année, je veux rentrer chez moi... Je suis tannée de cette course de merde... C’était mon meilleur temps, je n’ai pas vu le trou... Je ne l’ai pas vu... Il y avait de l’eau... J’ai eu peur...». Par le ton de sa voix et par sa manière de s’exprimer, je me rends compte que j’ai une enfant devant moi. Déçu pour elle et voulant enchaîner la discussion en attendant les renforts, je lui demande à quel rang elle se situait avant sa chute. « 43e » me dit‐elle... Son meilleur temps... Vu son niveau de déception, j’aurais plutôt parié sur une des dix premières... Mon producteur, qui m’accompagne ce jour‐là, marche vers nous avec un parapluie trouvé dans le coffre du véhicule. Il l’ouvre et le tient au‐dessus de nous. Joséphine tremble de froid et pleure de hargne. Elle ajoute, à bout de nerfs : « Je suis trop épuisée pour continuer à faire ce sport de merde ». L’officiel, toujours au walkie, nous confirme que la caravane de son équipe arrive pour la « ramasser »... Joséphine est entrée dans le véhicule aidée d’un entraineur et je ne l’ai plus jamais revue. J’ai réalisé beaucoup de choses à cette fameuse Coupe du monde. L’histoire de Geneviève Jeanson m’intéressait, oui bien sûr, mais je sentais l’immensité du sujet qui ne faisait de cette athlète qu’un symptôme d’une maladie beaucoup plus importante, celle de la performance. L’annonce de ce projet a suscité beaucoup d’intérêts. Lors de nos rencontres avec plusieurs intervenants du milieu sportif ou médical, j’ai vu plusieurs réactions vives et parfois même agressives. Comme si tout le monde se sentait coupable de quelque chose, comme si tout le monde avait ses excuses et ses alibis et voulait nous les expliquer. J’ai compris avec le temps que les plaies laissées par ces mensonges sont douloureuses. La projection de ce que nous sommes sur ces « héros » est forte puisque nous aspirons tous à la réussite et que nous avons très peur de l’échec. Peu importe le milieu, l’être humain se définit aujourd’hui par ce qu’il fait. Évidemment, le surmoi de chacun d’entre nous est formé en bonne partie à partir de cette échelle très aléatoire qu’est celle du succès. Jacques Villeneuve, Guy Lafleur, Annie Pelletier, Gaétan Boucher, Marc Gagnon et Geneviève Jeanson, portent sur eux nos rêves et nos ambitions. Ils ne doivent pas nous décevoir avec un échec, sans quoi une honte nous envahit et une perte d’intérêt survient inévitablement. Ce film en est un de réconciliation, un baume sur une situation qui exacerbe notre société. Une prise de conscience sur la nature humaine et une tentative de rapprochement entre tous ces blessés de la « performance à tout prix ». Ce film est une main tendue pour tenter de se comprendre et de faire le deuil de ce que nous sommes profondément. «LA PETITE REINE » est un film pour nous apaiser, pour accepter les mensonges et comprendre ce qui se cache derrière. ‐ Alexis Durand Brault RICHARD LALONDE, PRODUCTEUR Après des études en littérature et en scénarisation, Richard Lalonde débute sa carrière professionnelle en 1984. Il participe ensuite, à différents titres, à la production de plus de 30 longs métrages de réalisateurs canadiens et étrangers. Par la suite il fonde Forum Films et poursuit son ambition de produire des projets de qualité, signifiants sur le plan culturel et porteurs d’une réflexion sociale. 2003 « A Different Loyalty ». Tournée internationalement, ce film réalisé par Marek Kanievska, met en vedette Sharon Stone et Rupert Everett. La même année, il produit « Elles Étaient Cinq » de Ghyslaine Côté. Le film ouvre le Festival des Films du Monde de Montréal 2004. Le film est nominé pour deux prix Génie et sept Jutra, incluant une nomination pour « Meilleur film ». 2005 « Last Exit », diffusé par CTV Télévision. Réalisé par John Fawcett, ce film récolte trois nominations pour les Gemini Awards 2007 dont celui de « Meilleur film pour la télévision ». 2006, c’est « Ma Fille, Mon Ange ». Premier long métrage d’Alexis Durand Brault mettant en vedette Michel Côté et Karine Vanasse. Laurence Lebœuf également de la distribution reçoit le Prix Jutra dans la catégorie « Meilleure actrice de soutien ». La même année il s’associe à Versus Productions (Belgique) pour « Voleurs de Chevaux » de Micha Wald. Sélectionné pour la Semaine Internationale de la Critique – Festival de Cannes et au Festival du Nouveau Cinéma. 2007, il produit « The Terrorist Next Door », diffusé par CTV Télévision. Réalisé par John Ciccoritti le film a reçu quatre nominations aux Gemini Awards dont celui de « Meilleur film pour la télévision ». 2008, De nouveau en coproduction avec Versus (Belgique) pour le deuxième long métrage du réalisateur Micha Wald. « Les folles aventures de Simon Konianski ». 2009, Lalonde produit « Everywhere » d’Alexis Durand Brault mettant en vedette Patrick McKenna et Julie Le Breton. 2010 amorce la production de « Décharge », le second long métrage de Benoit Pilon documentariste primé et réalisateur de « Ce qu’il faut pour vivre ». 2013 « La petite reine » d’Alexis Durand Brault, mettant en vedette Laurence Lebœuf et Patrice Robitaille. Toujours en 2013, à nouveau en compagnie de Versus Productions (Belgique) il coproduit « Tokyo Fiancée » adapté du roman d’Amélie Nothomb « Ni d’Ève ni d’Adam ». Réalisé par Stefan Liberski le film met en vedette Pauline Étienne sortie prévue à l’automne 2014. Tous les détails sur www.forumfilms.ca
ALEXIS DURAND BRAULT, RÉALISATEUR Alexis Durand‐Brault est le réalisateur derrière plusieurs projets marquants du paysage télévisuel québécois. Ces dernières années, il s’est consacré à la réalisation de la série La galère. Au grand écran, il a réalisé le très populaire film Ma fille mon ange en plus d’agir à titre de directeur photo pour les films Les grandes chaleurs de Sophie Lorain et Elles étaient cinq de Ghyslaine Côté. Il travaille présentement à la réalisation de la série télé Au secours de Béatrice, mettant en vedette Sophie Lorain, destiné au réseau TVA. Parallèlement à son travail à la télévision et au cinéma, il poursuit une fructueuse carrière en réalisation de films publicitaires pour un ensemble de commanditaires prestigieux. SOPHIE LORAIN, SCÉNARISTE Issue d’une famille proche des arts de la scène, Sophie Lorain a acquis sa formation en Angleterre à la Webber Douglas Academy of Dramatic Arts de Londres. Depuis, elle est montée sur les planches à plusieurs reprises, travaillant notamment avec André Brassard dans Le vrai monde, Alexandre Hausvater dans Comme il vous plaira, Robert Lepage dans Romeo and Juliet, Echo et La visite de la vieille dame, Denise Filiatrault dans Les Fourberies de Scapin, Les Belles‐Sœurs et Le Dindon, Yves Desgagnés dans Après la chute et Les trois sœurs ainsi que beaucoup d’autres grand noms du théâtre québécois et international. Au cinéma, elle a tourné dans Maman Last Call du réalisateur François Bouvier, dans Mambo Italiano d’Émile Gaudreault et dans Les Invasions Barbares de Denys Arcand. Elle a incarné Alice dans L’Odyssée d’Alice Tremblay de Denise Filiatrault et a participé à plusieurs longs métrages tels que, Quai #1 de François Bouvier, Loss of Faith de Allan Goldstein, Les Amoureuses de Johanne Prégent, Un Hiver de tourmente de Bernard Favre et C’t’à ton tour Laura Cadieux de Denise Filiatrault et Avant que mon cœur bascule de Sébastien Rose. En 1998, elle enchaîne avec trois longs métrages de langue anglaise soit: In Self‐defense de Sydney Fury, Home Team de Allan Goldstein et Who Gets The House de Tim Nelson. Elle s’est fait connaître à la télévision grâce à ses rôles dans les séries Scoop, Urgence et Omertà, mais c’est son rôle dans la série Fortier qui demeurera son plus connu du grand public et en fera une de ses comédiennes favorites. Reconnue tant par le public que par ses pairs, Sophie Lorain est d’ailleurs lauréate de 10 prix Métrostars et de deux prix Gémeaux. Depuis maintenant plusieurs années, Sophie Lorain travaille à titre de réalisatrice sur différentes productions télévisées comme La Galère I‐II‐III et IV, Nos été IV et Un homme mort. Elle a également signé la réalisation de son premier long‐métrage, Les Grandes Chaleurs mettant en vedette Marie‐
Thérèse Fortin. Pour son travail de réalisation, elle sera d’ailleurs nommée aux dans la catégorie «meilleure réalisation» aux Gémeaux pour la série La Galère II‐III ainsi que pour la série Fortier. Sophie Lorain travaille également à titre de conseiller à la scénarisation ou script‐éditeur. Elle a de plus agi à titre de producteur sur la série Le p’tit monde de Laura Cadieux 1‐2‐3 ainsi que comme producteur associé sur la série Fortier. Elle tourne présentement la série télé Au secours de Béatrice, réalisé par Alexis Durand Brault. CATHERINE LÉGER, SCÉNARISTE Catherine Léger a été scénariste pour les séries La job et Toc toc toc à Radio‐Canada. Pour le théâtre, elle a écrit Princesses (Théâtre d’Aujourd’hui, 2011) et Opium_37 (Théâtre de Quat’Sous, 2008), qui ont toutes deux été publiées chez Leméac en 2011 ainsi que Voiture américaine, pièce lauréate du Fonds Gratien‐Gélinas en 2006. Sa dernière pièce J'ai perdu mon mari sera créée cet été au Théâtre À tour de rôle, à Carleton‐sur‐mer. Elle est actuellement en résidence d’écriture au Théâtre La Licorne et en développement sur différents projets de long‐métrages. LAURENCE LEBOEUF (JULIE ARSENEAU) Née le 13 décembre 1985, Laurence Lebœuf a sûrement hérité de la génétique familiale puisque ses parents, Diane Lavallée et Marcel Lebœuf, sont tous deux des comédiens reconnus au Québec. Dès l’âge de 11 ans, Laurence fait ses premiers pas dans le métier dans la populaire série télévisée, Virginie. En 2004, elle décide d’apprendre l’anglais et obtient rapidement un rôle dans la série 15/Love; son interprétation est si réussie qu’elle lui vaudra un prestigieux prix Gemini. Depuis, Laurence Lebœuf alterne avec bonheur les rôles en anglais et en français et ne cesse de s’attirer les louanges des critiques. Au fil des ans, Laurence a eu l’opportunité de donner la réplique à des acteurs aussi talentueux que Donald Sutherland, Mira Sorvino, David Duchovny, Karine Vanasse, Juliette Lewis, Maxim Gaudette, Max von Sydow, Max Thieriot et bien d’autres. Et elle a également mis son talent au service d’auteurs et de réalisateurs connus comme Paul Sorvino, Kevin Tierney, Fabienne Larouche, Christian Duguay, Sylvain Archambault, Jean‐Marc Vallée et Érik Canuel. On a pu la voir dans plusieurs films québécois tels que Ma fille, mon ange d’Alexis Durand Brault, Les pieds dans le vide de Mariloup Wolfe, Le torrent de Simon Lavoie et Lac Mystère d’Érik Canuel. Actrice avant tout, Laurence n’hésite pas à s’engager tout aussi activement dans les causes qui lui tiennent à cœur. À preuve, c’est une ardente défenderesse d’un moratoire sur les gaz de schiste au Québec; Centraide a bénéficié de ses efforts lors d’une grande collecte de fonds, elle était la porte‐parole de la 43e édition de la Marche 2/3 d'Oxfam, Habitat for Humanity a pu compter sur son aide pour construire des maisons au El Salvador et elle est ambassadrice de Habitat pour l'humanité Province de Québec. PATRICE ROBITAILLE (JP) Diplômé du Conservatoire d’art dramatique de Montréal en 1998, Patrice Robitaille a joué au cinéma, à la télévision et au théâtre, en plus d’avoir participé à la scénarisation de divers projets. Patrice fait maintenant partie intégrante du paysage de la télévision québécoise depuis plusieurs années. On a déjà pu le voir évoluer dans une série de rôles diversifiés à la télévision. Au cours des années il a joué dans La Vie la vie, Grande Ourse, Temps dur, Rumeurs, François en série et dans la série Miss Météo. Il a de plus marqué l’imaginaire québécois en incarnant le personnage de Steve, un membre du fameux trio de superhéros dans la série Les invincibles. Récemment, il a tenu la tête d’affiche dans la série Prozac réalisée par François Bouvier et diffusée à V. On a pu le voir également dans les séries Les Boys, 30 vies, Toute la vérité, Les beaux malaises et Les pêcheurs. Dès sa sortie du Conservatoire, il est tout de suite très présent sur les planches de nombreux théâtres de Montréal. On l’a vu s’illustrer dans Huis clos, Le retour et La tempête, toutes produites par le Théâtre du Nouveau Monde. Auparavant on l’a également vu dans Cheech et Les hommes de Chrysler sont en ville produites par le Théâtre la Licorne et dans La nature même du continent produite par le Théâtre d’aujourd’hui. Plus récemment, il a joué dans Le prénom, pièce produite par Juste pour rire et La Vénus au vison à la compagnie Jean Duceppe. Après avoir coscénarisé et joué dans différents courts et moyens métrages, Patrice Robitaille a participé à titre de coscénariste à l’un des projets ayant marqué le cinéma soit le film Québec‐Montréal. Le film culte a remporté le Jutra du meilleur scénario et qui lui a valu une nomination pour le prix du meilleur acteur, en plus du prix du meilleur scénario et du prix spécial du jury au Festival international du film francophone de Namur en Belgique. Depuis, sa carrière au cinéma à titre de comédien n’a pas dérougi. Il a fait partie de la distribution des films Le survenant d’Érik Canuel, Saint‐Martyrs‐des‐Damnés de Robin Aubert, Délivrez‐moi de Denis Chouinard et Horloge biologique de Ricardo Trogi, qu’il a également coscénarisé. On l’a vu interpréter Butch Bouchard, l’une des légendes du hockey illustrées dans Maurice Richard de Charles Binamé et reprendre le rôle de Ron qu’il avait joué au théâtre dans le film Cheech de Patrice Sauvé. Patrice Robitaille interprète une variété de rôles qui démontre un grand registre d’acteur, ainsi il est touchant dans le film de Francis Leclerc Un été sans point ni coup sûr, et hilarant dans le rôle qu’il tient dans le film Cadavres du réalisateur Érik Canuel. Plus récemment, on l’a vu dans la première réalisation du scénariste Ken Scott, Les doigts croches, dans Le poil de la bête de Philippe Gagnon, dans Y’en aura pas de facile de Marc‐André Lavoie, Frisson des collines de Richard Roy, ainsi que dans le film Bunker de Patrick Boivin et Oliver Roberge. DENIS BOUCHARD (ALAIN ARSENEAU) Denis Bouchard est auteur, comédien, metteur en scène et directeur artistique. Il a joué dans une trentaine de pièces de théâtre, dont Bousille et les justes, Les Fridolinades, Bang dont il est l’auteur et plus récemment Ça se joue à deux. À la télévision, il personnifie Lulu dans Lance et Compte et Marc dans Toute la vérité, rôle pour lequel il a reçu en 2012, l'Artis de rôle masculin, télésérie québécoise. Il a aussi incarné le sympathique Hugo dans Annie et ses hommes, rôle pour lequel il s'est mérité plusieurs prix Artis et Gémeaux. Au cinéma, il a joué dans plus de vingt‐cinq films dont Histoires d'hiver et Les matins infidèles pour lequel il a remporté le prix Guy‐L’ Écuyer ainsi que le Bayard d'Or au Festival de Namur en Belgique. Il a assuré la mise en scène et la direction artistique de plus de cent spectacles, dont Garou, Stéphane Rousseau, Antony Kavanagh et Grégory Charles. Il a aussi conçu le spectacle de l’OSM soulignant le centenaire du Canadien de Montréal. Il assure la mise en scène de la pièce Ladies Night qui connaît un succès fort appréciable. De plus, il a travaillé à la conception de la version concert de l’opéra rock Notre‐Dame de Paris présenté en Ukraine, Russie, Paris‐Bercy en 2011, à Beyrouth en 2012 et en Russie en 2013. Denis Bouchard a également fait la mise en scène du spectacle de Daniel Lavoie (Québec, France, Russie). Il travaille présentement sur l'opéra rock Mozart, en version concert. JOSÉE DESCHÊNES (SUZANNE ARSENAULT) Diplômée du Conservatoire d’art dramatique de Québec, JOSÉE DESCHÊNES a toujours été attirée par le théâtre. Cofondatrice de la compagnie de théâtre Niveau Parking de Québec, on a pu la voir dans plus de soixante‐quinze productions au fil des ans. Dans les dernières années, on a pu la voir dans Fleurs d’acier, Par‐dessus la jambe, Enquête sur le pire, Lentement la beauté, Appelez‐moi Stéphane, Le vrai monde pour ne nommer que celles‐là. À l’été 2009, elle a joué au théâtre du Vieux‐Terrebonne dans Oscar, pièce qui a été reprise à Québec à l’automne 2012. Dernièrement, on a pu la voir à La Licorne dans la pièce Au champ de mars et chez Duceppe dans la pièce Du bon monde. Malgré son amour pour le théâtre, c’est réellement à la télévision que la comédienne a été révélée au grand public grâce à son rôle de Lison (Creton) dans La petite vie. Depuis, elle a joué dans 30 vies, Annie et ses hommes, Mon meilleur ennemi et Tranches de vie. Présentement, nous la retrouvons dans le téléroman L’auberge du chien noir, dans le rôle d’Élaine pour lequel elle s’est méritée deux nominations aux Gémeaux dans la catégorie du meilleur premier rôle féminin. Au cinéma, elle a joué dans le film Le polygraphe (Robert Lepage), Secret de banlieue (Louis Choquette) et Les aimants (Yves P. Pelletier). On la retrouve aussi dans la websérie Émilie. Depuis septembre 2012, elle prête sa voix au personnage Cookie McDougall, dans le dessin animé Faut pas rêver (v.f. Fugget about it) présenté sur les ondes de Télétoon. FICHE ARTISTIQUE JULIE ARSENEAU Laurence Lebœuf JP Patrice Robitaille Denis Bouchard SUZANNE ARSENEAU Josée Deschênes VALÉRIE Mélanie Pilon CLAUDE Jeff Boudreault DR PAUL C. HENRI René‐Daniel Dubois NATHALIE Judith Baribeau FRANÇOIS BOUCHARD Sébastien Delorme PAULINE LEBIGOT Pascale Desrochers JESS Virginie Ranger‐Beauregard CYNTHIA Valérie Chevalier MARIE‐ÈVE Julie Renault‐Roy ALAIN ARSENEAU FICHE TECHNIQUE RÉALISATEUR Alexis Durand Brault SCÉNARIO Sophie Lorain et Catherine Léger PRODUCTEUR Richard Lalonde DIRECTEUR PHOTO Yves Bélanger DIRECTEUR ARTISTIQUE André Guimond MONTEUR Louis‐Philippe Rathé COSTUMES Odette Gadoury CASTING Daniel Poisson et Pierre Pageau DISTRIBUTEUR Films Christal (sous‐distribution Les Films Séville)