Brochure SNAP ® Test
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Brochure SNAP ® Test
Le plus petit laboratoire au monde Les tests IDEXX SNAP® – rapides, exacts et faciles à utiliser Vue d’ensemble de tous les tests réalisables en cabinet Test Agent pathogène / paramètre Espèce Sensibilité* % Spécificité* % 4 IDEXX Angio Detect™ Angiostrongylus vasorum Chien 89,2 – 98,1 99,4 – 100 5 SNAP® Leishmania Leishmania infantum Chien 89,2 – 96,3 99,2 – 100 6 SNAP® 4Dx Plus® Dirofilaria immitis Chien 98,9 – 99,2 100 7 SNAP® 4Dx Plus® Borrelia burgdorferi sensu stricto Chien Cheval 96,7 – 98,8 95 – 100 95,7 – 100 95 – 100 8 SNAP® 4Dx Plus® Anaplasma platys Anaplasma phagocytophilum Chien Chien Cheval 82,9 – 89,2 93,2 – 99,1 89 – 100 94 – 99,2 99,2 100 9 SNAP® 4Dx Plus® Ehrlichia spp. Chien 96,2 – 97,8 92,3 – 100 10 SNAP® Parvo Parvovirus canin et félin Chien Chat 77,2 – 100 94,7 100 97,5 11 SNAP® Giardia Giardia spp. Chien Chat 92 – 96 99 – 100 12 SNAP® Combo Plus FIV/FeLV Virus de l’immunodéficience féline (FIV) Chat 99,3 – 100 99,6 – 99,8 13 SNAP® Combo Plus FIV/FeLV Virus leucémogène félin (FeLV) Chat 92,3 – 100 97,3 – 99,6 14 SNAP® Lepto Sérovars des espèces Leptospira Chien 70,8 – 83,2 76,6 – 96 15 SNAP® Feline proBNP NTproBNP Chat 88,6 81,3 16 SNAP® fPL™ Lipase spécifique du pancréas du chat Chat 87 – 100 90 – 100 17 SNAP® cPL™ Lipase spécifique du pancréas du chien Chien 95,8 – 100 95,8 – 97,4 18 SNAP® IgG Poulain Immunoglobuline G (IgG) Cheval 88 – 95 79 – 100 Cheval Maladies internes Autres infections Germes entéropathogènes Maladies vectorielles Page (chien uniquement) *Ces valeurs peuvent fluctuer selon le test comparatif et la population étudiée ; bibliographie disponible sur demande. Description de la technologie ELISA à partir de l’exemple du test SNAP® de détection des antigènes Conjugué Thrombocytes 1 ’antigène est reconnu et lié, lorsque le réactif L contenant l’anticorps conjugué à une enzyme et l’échantillon sanguin sont mélangés. 2 a matrice est recouverte d’anticorps spécifiques L à l’antigène. 3 e conjugué et l’antigène se lient à un anticorps L fixé à la matrice, formant ainsi un « sandwich ». 4 Le dispositif est alors activé. 5 ’étape de lavage retire de la matrice de support les L conjugués et composants de l’échantillon sanguin non spécifiques et non liés, préparant ainsi l’étape finale 6 e substrat migre alors à travers la matrice déL gagée. Il réagit avec le conjugué afin d’amplifier la présence de l’antigène en vue d’améliorer la sensibilité et d’obtenir une tache bleue, indiquant un résultat clairement positif, sans risque de confusion. Anticorps Exemple d’un test SNAP® de détection des antigènes. GR Étape de lavage = spécificité plus élevée Antigène Les tests SNAP® permettent de détecter les antigènes ou les anticorps potentiellement présents dans les échantillons de sang ou de selles de l’animal. Ces tests possèdent deux caractéristiques uniques qui leur confèrent leur sensibilité et leur spécificité extrêmement élevées : l’étape de lavage et l’étape d’amplification. Amplification = sensibilité plus élevée Les tests IDEXX SNAP® réalisables en cabinet sont basés sur la technologie ELISA (enzyme-linked immunosorbent assay). Cette technologie permet d’obtenir des résultats comparables à ceux des laboratoires d’analyses. La technologie ELISA est considérée comme la méthode de référence en matière de diagnostic en cabinet. En résumé : • La référence absolue de la technologie ELISA = technologie des laboratoires de références IDEXX. • Présente une sensibilité élevée grâce à une étape de lavage et une étape d’amplification. • Deux tests SNAP®, le SNAP® 4Dx Plus et le SNAP® Combo Plus FIV/FeLV offrent une mise en évidence multiple : une goutte de sang permet de détecter de manière exacte, en une seule analyse, un nombre plus élevé de maladies. 3 IDEXX Angio DetectTM Angiostrongylose Maladie recherchée L’angiostrongylose pulmonaire du chien Agent pathogène responsable Angiostrongylus vasorum Hôte intermédiaire Escargots ; hôtes paraténiques : grenouilles, poules (exceptionnellement) ; la possibilité d’une infection directe par les larves L3 infestantes libérées par les escargots est à l’étude. Cycle du parasite Le chien est contaminé par ingestion d’un hôte intermédiaire porteur de larves L3 infestantes qui traversent la paroi intestinale et gagnent les ganglions lymphatiques mésentériques. Là, les larves L3 se développent en L4 puis, en 10 jours environ, entrent dans la circulation sanguine. Elles migrent alors jusqu’au ventricule droit et aux artères pulmonaires où elles poursuivent leur développement. Environ 6 à Le test IDEXX Angio Detect™ Ce test permet de se prononcer, en 15 minutes seulement, sur la présence d’une infestation par Angiostrongylus vasorum. Comparé à la méthode de Baermann, sa sensibilité et sa spécificité sont très élevées. Il permet de mettre le parasite en évidence, même en dehors de la période d’excrétion larvaire. Ce test ne présente pas de réaction croisée avec les autres nématodes. 8 semaines plus tard, les vers adultes femelles commencent à pondre. Les larves L1 traversent la paroi alvéolaire, remontent les voies respiratoires supérieures, sont expectorées avant d’être dégluties et éliminées dans les selles, puis ré-ingérées par un hôte intermédiaire. L’élimination des L1 étant intermittente, des périodes de forte excrétion larvaire succèdent à des périodes d’absence d’excrétion. Cela explique que l’examen d’un seul prélèvement de selles puisse être négatif, malgré la présence de vers adultes chez l’hôte. Symptomatologie Il est important d’inclure l’angiostrongylose dans la liste des diagnostics différentiels chez tous les chiens présentant des symptômes respiratoires, hémorragiques, neurologiques ou des syncopes d’étiologie inconnue (souvent associées à une hypertension pulmonaire). Les symptômes cliniques varient et restent peu spécifiques (perte de poids, toux occasionnelle, boiteries intermittentes, incoordination, manque d’entrain, perte d’énergie, fatigabilité). D’autres manifestations, plus dramatiques, ont également été décrites : dyspnée sévère, coagulopathies, symptômes neurologiques, et même insuffisance cardiaque aiguë. L’échographie met parfois en évidence une hypertrophie et une dilatation du ventricule droit ainsi qu’une hypertension pulmonaire. Un œdème pulmonaire peut aussi se développer. Toutefois, cette maladie peut aussi rester asymptomatique pendant des mois, voire des années. Résultats des examens de laboratoire Neutrophilie (rarement éosinophilie) ; anémie ; rarement, modifications d’autres paramètres de l’hémostase. Suspicion clinique ou dépistage préopératoire chez le chien IDEXX Angio Detect™ Positif Négatif La détection de l’antigène indique la présence d’une infestation parasitaire. Aucun antigène n’a été détecté. La présence d’une infestation est peu probable. Mise en place du traitement. En cas de léthargie et de manque d’entrain, envisager une étiologie cardiaque ou d’autres affections respiratoires. Éviter toute intervention chirurgicale tant que les parasites n’ont pas été éliminés. Les ré-infestations sont possibles chez les chiens friands d’escargots. Informer les propriétaires sur les différentes mesures préventives possibles. En cas d’hémorragie prolongée ou massive, éliminer une intoxication par les rodenticides, une thrombopathie, une anomalie de la numération plaquettaire, une coagulopathie congénitale ou toute cause semblable. En cas de toux et en l’absence de cause évidente de tendance hémorragique : Effectuer un examen de flottation et une analyse de Baermann-Trichter sur les selles prélevées sur 3 jours. 4 Produit IDEXX Angio Detect™ Paramètre mis en évidence Antigènes d’Angiostrongylus vasorum Conditionnement 5 / 20 tests Conservation 2 – 30 ˚C Échantillon à tester Sérum, plasma Durée de l’analyse 15 minutes Témoin positif Témoin d‘ Angiostrongylus vasorum SNAP® Leishmania Maladie recherchée La leishmaniose est endémique en Europe autour du bassin méditerranéen. Son diagnostic est difficile à établir puisque les symptômes sont polymorphes et non spécifiques. Beaucoup de chiens infestés sont asymptomatiques ou ne présentent que de discrets signes cliniques (lymphadénopathie périphérique, dermatite) avec un titre en anticorps faible, voire inexistant. De ce fait, des examens complémentaires sont nécessaires. Agent pathogène responsable Leishmania infantum Quels animaux faut-il tester ? Leishmaniose Vecteur Phlebotomus spp. Symptomatologie Dans 50 à 90 % des cas, des lésions cutanées sont visibles, avec une alopécie symétrique non prurigineuse typique, une hyperkératose, une dermatite exfoliative et une inflammation du lit unguéal s’accompagnant d’une poussée unguéale. Une lymphadénopathie généralisée s’observe chez de très nombreux chiens. Les lésions directes causées par le parasite occasionnent chez l’animal des réactions tissulaires inflammatoires granulomateuses non purulentes. Le dépôt de complexes immuns peut Résultats des examens de laboratoire Augmentation des protéines totales avec hyperglobulinémie ; anémie ; élévation des enzymes hépatiques (PAL, ALAT) ; thrombocytopénie ; urémie ; leucocytose ou leucopénie. Chiens asymptomatiques / dépistage Les chiens ayant séjourné en zone endémique, 3 à 6 mois après une éventuelle exposition ou s’ils présentent des symptômes cliniques compatibles afin de confirmer le diagnostic. Bien souvent, les chiens qui vivent dans les régions endémiques ne présentent que des symptômes discrets non spécifiques et peuvent même rester asymptomatiques pendant des mois, voire des années. Comme leur titre en anticorps est souvent faible, différentes méthodes d’examen doivent être utilisées pour établir le diagnostic. entraîner une polyarthrite, une vascularite, une glomérulonéphrite et une uvéite. Par la suite, le chien peut présenter une atrophie musculaire, une perte de poids, de la fièvre, une léthargie, une anorexie, une hépato-splénomégalie et, plus rarement, une épistaxis. Une diarrhée, des vomissements et un méléna font partie des symptômes digestifs typiquement observés. Chiens présentant des symptômes cliniques SNAP® Leishmania Test SNAP positif Test SNAP négatif Test SNAP positif Refaire le test tous les 6 à 12 mois chez les animaux infestés asymptomatiques (détectés par examen direct) présentant une sérologie quantitative négative. Test SNAP négatif Cliniquement, la suspicion de leishmaniose reste forte. Si la sérologie quantitative est élevée ou que le parasite est mis directement en évidence (par microscopie ou PCR) : hémogramme, biochimie clinique, électrophorèse des protéines, rapport protéine/créatinine avec écarts typiques Confirmation du diagnostic de suspicion Oui Non Traitement Animaux asymptomatiques dont l’infestation est confirmée par une sérologie positive mais faible : Surveiller tous les 3 à 6 mois (examens clinique / biologique / sérologique). Suivi de l’évolution par le renouvellement des examens de laboratoire 1, 3 et 6 mois après. Produit SNAP® Leishmania Paramètre mis en évidence Anticorps anti-Leishmania Conditionnement 10 tests Conservation 2 – 8 ˚C Échantillon à tester Sang (avec anticoagulant) / sérum / plasma Durée de l’analyse 6 minutes Lorsque la sérologie quantitative est négative, considérer les autres diagnostics différentiels. Témoin positif Témoin Leishmania 5 SNAP® 4Dx Plus Dirofilariose Maladie recherchée La dirofilariose est une maladie parasitaire du cœur et des gros vaisseaux. Les parasites se trouvent principalement dans les artères pulmonaires mais, s’ils sont nombreux, ils peuvent parasiter le cœur droit et même la veine cave. En Europe, le parasite sévit de manière endémique dans le pourtour méditerranéen. Agent pathogène responsable Dirofilaria immitis Vecteur Moustique (Culex, Aedes, Anopheles) Quels animaux faut-il tester ? Les chiens et les chats ayant séjourné en zone endémique, 5 à 6 mois après une éventuelle exposition ou pour confirmer le diagnostic en présence de symptômes cliniques compatibles. Peut également être utilisé comme test de dépistage chez les animaux vivant en zone endémique. Si le moment de l’infestation n’est pas connu avec précision, refaire le test le cas échéant. Ce test permet également le diagnostic des infestations occultes sans microfilaires circulantes. Pour un diagnostic complet, associer toujours le test SNAP® à une recherche de microfilaires. Test SNAP® Dirofilariose Faible charge antigénique Le seul test réalisable en clinique qui met en évidence de manière semi-quantitative les Forte charge antigénique antigènes des dirofilaires cardiaques et permet d’apprécier le degré d’infection. 6 Symptomatologie L’atteinte est d’abord subclinique, mais les symptômes se développent à mesure que les lésions vasculaires augmentent, et dépendent du nombre de filaires présentes. Il existe trois stades cliniques : Stade I : Asymptomatique Stade II: Fatigabilité, toux sporadique, anémie Stade III: Léthargie, anorexie, perte de poids ; toux chronique avec, par intermittence, des expectorations hémorragiques ; dyspnée et tachypnée ; syncopes ; bruits inspira- toires ; pouls jugulaire ; stase veineuse périphérique ; ascite ; hépatomégalie ; bruits cardiaques ; insuffisance rénale. Résultats des examens de laboratoire Anémie (absente, discrète ou massive selon la chronicité et la sévérité de la maladie) ; éosinophilie et basophilie (variables) ; formule leucocytaire inflammatoire et thrombocytopénie (associée à une thrombo-embolie) ; hyperglobulinémie (incertain) ; protéinurie (souvent lors d’atteinte chronique et sévère). Chiens asymptomatiques / dépistage Chiens présentant des symptômes cliniques SNAP® 4Dx Plus Test SNAP positif Test SNAP négatif Rechercher les microfilaires (différents tests) ; renouveler les tests 6 mois plus tard. Test SNAP positif Test SNAP négatif Les symptômes cliniques concordent néanmoins avec une dirofilariose. Radiographie, échocardiographie, hémogramme, biochimie clinique, mise en évidence des microfilaires (en cas de recherche antigénique négative, diagnostic différentiel via PCR) Confirmation du diagnostic de suspicion Oui Non Traitement Contrôler 6 mois plus tard par un nouveau test antigénique Produit SNAP® 4Dx Paramètre mis en évidence Antigènes de Dirofilaria immitis Conditionnement 5 / 15 / 30 tests Conservation 2 – 8 ˚C ou à température ambiante (90 jours) Échantillon à tester Sang (avec anticoagulant) / sérum / plasma Durée de l’analyse 8 minutes Refaire un test dans 6 mois Témoin positif Témoin de Dirofilaria immitis SNAP® 4Dx Plus Borreliose Maladie recherchée La borréliose de Lyme est une maladie multisystémique, d’évolution le plus souvent subclinique, qui touche certains animaux de compagnie (chien, chat, cheval) ainsi que l’homme. Agent pathogène responsable Borrelia burgdorferi sensu stricto Vecteur Ixodes ricinus Symptomatologie La borréliose est décrite au mieux chez le chien. Contrairement à l’homme, le chien ne présente pas d’érythème migrant. Après une incubation de 2 à 5 mois, environ 5 % des chiens présentent une boiterie (avec des lésions histopathologiques de la membrane synoviale), 1 à 2 % présentent une atteinte rénale (glomérulonéphrite membrano-proliférative stérile à complexes immuns) et quelques-uns souffrent d’une atteinte cardiaque ou de symptômes neurologiques. Test ELISA à peptide-C6 La mise en évidence des anticorps anti-peptide C6 (l’une des six régions invariables de la protéine de surface immunomodulatrice VlsE) apporte un certain nombre d’avantages par rapport aux tests préexistants (tests ELISA ou IFA sur cellule totale) : elle indique la présence d’une infection active et n’entraîne aucune réaction croisée avec les anticorps vaccinaux ou ceux induits par d’autres spirochètes (comme les leptospires). Le test ELISA Quant C6 disponible auprès des laboratoires IDEXX permet de quantifier avec exactitude les anticorps et semble être corrélé à la quantité de complexes immuns. Les anticorps anti-C6 peuvent être mis en évidence dès la 3e semaine suivant l’infection. Résultats des examens de laboratoire Normaux, la plupart du temps. Les paramètres sont uniquement modifiés dans les cas chroniques en fonction des systèmes atteints. Ainsi, les examens peuvent révéler une anémie arégénérative, une protéinurie et une azotémie en cas de glomérulonéphrite et d’insuffisance rénale. Une augmentation des neutrophiles peut être mise en évidence dans le liquide synovial. Morsure de tique, avant une vaccination ou suspicion clinique SNAP® 4Dx Plus Test SNAP positif Test ELISA Borrelia Quant C6 (uniquement chez le chien) et rapport protéine / créatinine Confirmation par les examens cliniques et biologiques C6 ≥ 30 U/ml Aucune confirmation par les examens cliniques et biologiques C6 < 30 U/ml Traitement ; en cas d’élévation du rapport protéine / créatinine et d’atteinte rénale ; voir aussi la classification IRIS. Envisager une prophylaxie ; examiner la protéinurie tous les 3 à 6 mois ; le cas échéant, faire un test Quant C6 Test SNAP négatif Chez un animal présentant des symptômes cliniques , un résultat négatif permet d’exclure très vraisemblablement une borréliose. Chez un animal asymptomatique , l’infection peut être très récente (renouveler éventuellement le test) ou le résultat négatif peut être attribué à un traitement antibiotique. Contrôler le traitement après 6 mois par le test Quant C6 et le rapport protéine / créatinine (selon les directives de l’IRIS) Produit SNAP® 4Dx Paramètre mis en évidence Anticorps anti-C6 de Borrelia burgdorferi sensu stricto Conditionnement 5 / 15 / 30 tests Conservation 2 – 8 °C ou à température ambiante (90 jours) Échantillon à tester Sang (avec anticoagulant) / sérum / plasma Durée de l’analyse 8 minutes Témoin positif Témoin de Borrelia burgdorferi 7 SNAP® 4Dx Plus Anaplasmose L’anaplasmose granulocytaire canine et équine Agent pathogène responsable Anaplasma phagocytophilum Répandu en Europe centrale et en Europe du Nord. Résultats des examens de laboratoire Thrombocytopénie, anémie normochrome, lymphopénie, monocytose, hypo-albuminémie, augmentation des enzymes hépatiques et de la CRP ; éventuellement protéinurie. La thrombocytopénie cyclique infectieuse canine Vecteur Ixodes ricinus Pathogénie Les germes pathogènes sont disséminés par les neutrophiles ou plus rarement les éosinophiles qu’ils parasitent. Symptomatologie L’évolution est souvent subclinique. Les symptômes peuvent apparaître brutalement après une incubation de 1 à 2 semaines mais ne sont pas spécifiques : fièvre, apathie, anorexie, splénomégalie, douleurs musculo-squelettiques (ou plus rarement articulaires). D’autres symptômes, digestifs, neurologiques, respiratoires ou cutanés, sont plus rarement observés, par exemple une tendance aux hémorragies, une hépatomégalie et une lymphadénopathie. Agent pathogène responsable Anaplasma platys Répandu en Europe sur le pourtour méditerranéen. Vecteur Vraisemblablement Ripicephalus sanguineus Pathogénie Thrombocytopénie (de type cyclique) apparaissant dans les 7 jours qui suivent Symptomatologie Les manifestations cliniques sont discrètes et non spécifiques : anorexie, léthargie, lymphadénopathie généralisée, pâleur des muqueuses et fièvre. Des formes sévères existent avec des hémorragies (pétéchies et ecchymoses) ou une uvéite. Résultats des examens de laboratoire Thrombocytopénie, éventuellement élévation de la CRP. La présence de co-infections (par Ehrlichia canis, d’autres Babesia ou par Hepatozoon canis) peut entraîner d’autres changements des paramètres de laboratoire. Morsure de tique ; suspicion d’une maladie transmissible par les tiques ; surveillance de la prophylaxie anti-tique. SNAP® 4Dx Plus Test SNAP positif Test SNAP négatif Hémogramme, biochimie clinique, électrophorèse des protéines, rapport protéine / créatinine Poursuivre les examens (par PCR entre autres) et refaire un test après 2 à 3 semaines. Co-infection par Borrelia En cas de co-infection par Borrelia et Anaplasma, le chien peut présenter des symptômes cliniques de l’une de ces infections deux fois plus graves que chez un chien infecté par un seul de ces germes. Le test SNAP® 4Dx Plus permet de mettre en évidence ces deux infections simultanément sur un même test, et ainsi d’instituer leur traitement. l’infection (temps d’incubation : de 8 à 15 jours). Confirmation par les examens clinique et biologique ; PCR en temps réel pour Anaplasma afin de différencier A. phagocytophilum et A. platys Aucune confirmation par les examens cliniques et biologiques Si le test est à nouveau négatif, il est peu probable qu’il s’agisse d’une anaplasmose. Traitement Renouveler les examens de laboratoire 1 semaine après ; refaire une PCR à la fin du traitement. 8 Produit SNAP® 4Dx Paramètre mis en évidence Anticorps anti-Anaplasma spp. Conditionnement 5 / 15 / 30 tests Conservation 2 – 8 °C ou à température ambiante (90 jours) Échantillon à tester Sang (avec anticoagulant) / sérum / plasma Durée de l’analyse 8 minutes Témoin positif Témoin d‘ Anaplasma spp. SNAP® 4Dx Plus Ehrlichiose Maladie recherchée L’ehrlichiose monocytaire canine (EMC) est provoquée par un germe pathogène qui pénètre dans les monocytes et s’y multiplie, formant des morulae qui, très rarement, sont visibles au microscope. Ces monocytes disséminent ensuite le germe dans la rate, les ganglions lymphatiques et la moelle osseuse. Le surnom de « tueuse silencieuse » donné à Ehrlichia canis reflète la longueur de l’incubation et la symptomatologie peu spécifique. Agent pathogène responsable Ehrlichia canis Vecteur Rhipicephalus sanguineus Répandu en Europe sur le pourtour méditerranéen. Symptomatologie Cette maladie passe par trois phases : aiguë, subclinique et chronique. La phase aiguë commence après une incubation de 8 à 20 jours, et dure 2 à 4 semaines : les symptômes sont discrets voire inexistants. Cette phase est souvent suivie d’une phase subclinique. Phase aiguë : Fièvre, léthargie, dyspnée, anorexie et splénomégalie. Phase chronique : Hémorragies pétéchiales, ecchymoses ; fièvre avec apathie, anorexie, perte de En cas de co-infection Leishmania/Ehrlichia, le risque de maladie clinique est nettement supérieur. SNAP® 4Dx Plus Options thérapeutiques Le test SNAP® 4Dx Plus met également en évidence les anticorps anti- E. ewingii et E. chaffeensis ; la recherche de ces bactéries n’est cependant pertinente qu’en Amérique du Nord. Au besoin, la différenciation entre ces bactéries peut se faire par une PCR en temps réel. Résultats des examens de laboratoire Thrombocytopénie, anémie, leucopénie, leucocytose et monocytose (en cas de passage à la phase chronique), élévation des enzymes hépatiques, hyperglobulinémie, hypo-albuminémie, protéinurie, éventuellement élévation de la CRP ; dans les stades avancés, pancytopénie et neutropénie (toutes deux de mauvais pronostic), azotémie. Dépistage après un voyage ou suspicion clinique, important chez les chiens avec des antécédents de séjour à l’étranger (« tueuse silencieuse » !). Co-infection avec des leishmanies Pendant les phases aiguës et subcliniques, la maladie répond bien au traitement. Par contre, le traitement est plus difficile au stade chronique. Le dépistage précoce des animaux infectés est donc très important. La présence d’une infection par Ehrlichia canis doit être recherchée systématiquement chez les chiens vivant ou ayant séjourné dans une zone endémique. poids ; lymphadénopathie généralisée, splénomégalie, hypoplasie médullaire, troubles du SNC (méningite), polymyosite, polyarthrite, symptômes oculaires (uvéite, lésions rétiniennes), toux, dyspnée (pneumonie), hypertrophie cardiaque. Test SNAP positif Test SNAP négatif Hémogramme, biochimie clinique, électrophorèse des protéines, rapport protéine / créatinine Refaire un test au bout de 2 à 3 semaines. Confirmation par les examens clinique et biologique (PCR ainsi que IFA pour le titrage en anticorps). Traitement Absence de confirmation par les examens clinique et biologique ; PCR négative sur sang total mais titre élevé en anticorps par IFA : dans ce cas, le traitement est controversé mais recommandé par certains auteurs en raison du risque potentiel d’évolution vers le stade chronique. Si ce test est à nouveau négatif, il est très peu probable qu’il s’agisse d’une ehrlichiose. Il est admis que les chiens ne sont plus infectés lorsqu’après le traitement, il se produit une normalisation progressive de la thrombocytopénie, de l’hyperglobulinémie ainsi que des autres paramètres de laboratoire et signes cliniques. Envisager une co-infection par des leishmanies ; surveiller le traitement par PCR. Produit SNAP® 4Dx Paramètre mis en évidence Anticorps anti-Ehrlichia spp. Conditionnement 5 / 15 / 30 tests Conservation 2 – 8 °C ou à température ambiante (90 jours) Échantillon à tester Sang (avec anticoagulant) / sérum / plasma Durée de l’analyse 8 minutes Témoin positif Témoin d‘ Ehrlichia spp. 9 SNAP® Parvo Parvovirose Maladie recherchée La parvovirose canine est une maladie infectieuse grave. Elle touche en particulier les chiots au cours de leurs premiers mois de vie et entraîne une forte mortalité. Il existe deux formes cliniques de parvovirose. La forme intestinale se développe chez les nouveau-nés ou chez les chiots au moment du sevrage. La forme cardiaque est rare et atteint uniquement les nouveau-nés dépourvus d’anticorps maternels. Agent pathogène responsable Parvovirus canin (CPV) et en particulier le CPV-2 avec ses variants CPV-2a, CPV-2b et CPV-2c. Transmission Le virus se transmet par contact direct avec les animaux infectés qui l’excrètent dans le milieu extérieur (principalement via leurs selles). La transmission est également possible par le matériel souillé ou la nourriture. Symptomatologie Forme intestinale : les animaux infectés présentent de la fièvre, une apathie, une anorexie, des vomissements, une diarrhée hémorragique, un abdomen tendu Forme cardiaque : les chiots atteints développent une myocardite non purulente, pouvant entraîner leur mort brutale Panleucopénie féline Prophylaxie Il existe différents vaccins contre la parvovirose qui sont administrés via une primo-vaccination suivie de rappels. Les chiots non vaccinés ne doivent pas entrer en contact avec d’autres chiens ou du matériel potentiellement contaminé. SNAP® Parvo Les animaux malades présentent une apathie, une anorexie ainsi que de la fièvre, et très souvent des vomissements et une diarrhée. Les examens sanguins mettent en évidence une pancytopénie marquée avec en particulier une neutropénie et une lymphopénie. Test SNAP négatif Test SNAP positif* S’il persiste une forte suspicion clinique, effectuer une PCR ou refaire le test. Traitement PCR ou deuxième test SNAP négatif : effectuer un examen parasitologique des selles. L’infection des chattes gestantes non immunocompétentes peut entraîner chez leurs chatons une hypoplasie cérébelleuse accompagnée d’ataxie. 10 Résultats des examens de laboratoire Thrombocytopénie, anémie, leucopénie transitoire, lymphopénie Chien présentant une anorexie, des vomissements et une diarrhée La maladie clinique s’observe principalement chez les chatons de moins d’un an. Cette affection est essentiellement mortelle chez le chaton de moins de 6 mois. Des études ont montré que le parvovirus félin (FPV) et les souches de parvovirus canin pathogènes pour le chat peuvent être mis en évidence de façon fiable dans les selles des chats par le test SNAP® Parvo. L’issue fatale peut également faire suite à un certain nombre de symptômes, comme une dyspnée, des nausées, un œdème pulmonaire et une ascite. Négatif Positif Poursuivre les examens complémentaires (de laboratoire et d’imagerie) Traitement Produit SNAP® Parvo Paramètre mis en évidence Antigène CPV-2 / FPV Conditionnement 5 tests Conservation 2 – 25 °C Échantillon à tester Selles Durée de l’analyse 8 minutes *Les recherches confirment que ce test présente une spécificité de 100 % ; ce test ne devrait pas interférer avec une vaccination, une interférence qui peut être exclue, le cas échéant, par PCR. Témoin positif Témoin du parvovirus SNAP® Giardia Giardiose Maladie recherchée La giardiose est une parasitose intestinale provoquée par des protozoaires. Les symptômes cliniques s’observent principalement chez les animaux jeunes ou âgés, les animaux immunodéprimés, ou atteints d’infections ou de maladies concomitantes. La giardiose est potentiellement une zoonose. Certains animaux asymptomatiques sont néanmoins excréteurs et constituent des réservoirs du parasite. infectieuse et sont éliminés dans les selles. Les trophozoïtes, mobiles, se fixent sur les microvillosités de l’intestin grêle, réduisant la surface de résorption de la muqueuse et lésant les entérocytes. La malabsorption qui s’ensuit peut entraîner d’autres symptômes comme une anorexie, une apathie, une perte de poids ou une très faible prise de poids chez les chiots. Transmission La transmission se fait par ingestion d’aliments ou d’eau souillés par les kystes, ou par contact avec l’environnement contaminé. Résultats des examens de laboratoire Les résultats des divers examens de laboratoire, y compris l’hémogramme, sont généralement peu représentatifs. Une discrète leucocytose et une anémie sont parfois décelables. Agent pathogène responsable Les kystes de Giardia duodenalis (syn. intestinalis/ lamblia) représentent la forme Symptomatologie La période prépatente est d’une semaine environ. Les lésions épithéliales engendrent des diarrhées récidivantes ou chroniques avec élimination de selles claires, grasses, visqueuses, nauséabondes, parfois chargées de sang ou s’accompagnant de vomissements. Prévalence de la giardiose Les résultats d’un travail de doctorat ont mis en évidence la présence de Giardia dans 22,8 % des selles de chiens et 15,4 % des selles de chats analysés au laboratoire IDEXX (au total, environ 80 000 prélèvements). Chez les animaux âgés de moins de 12 mois, ces résultats correspondaient à 62,5 % des chiots et 53,5 % des chatons. Les co-infections étaient significativement plus fréquentes, en particulier par les cryptosporidies / les coccidies (chiens / chats), les nématodes (chiens) ou Tritrichomonas foetus (chats). Au sein de populations danses de chiens ou de chats (chenils, refuges), l’introduction du protozoaire peut entraîner l’infestation de l’ensemble des animaux. Une étude européenne menée en commun par l’École vétérinaire d’Hanovre et les laboratoires IDEXX (2010), utilisant le test SNAP®, a mis en évidence que 24,8 % des chiens et 20,3 % des chats présentant une diarrhée étaient infestés par les Giardia. Cela démontre qu’il est pertinent de rechercher une giardiose en cas d’entéropathie canine ou féline. Prophylaxie Pour réduire les risques de ré-infestation, il faut effectuer un nettoyage rigoureux de l’environnement, laver le pelage des animaux infestés et, dans les groupes, identifier les porteurs sains et les traiter. Diarrhée aiguë, intermittente ou chronique SNAP® Giardia Test SNAP négatif Test SNAP positif Examen de laboratoire ELISA et examen parasitologique Traitement ; contrôler 5 à 7 jours après la fin du traitement Négatif Positif Poursuivre les examens complémentaires (de laboratoire et d’imagerie) Traitement Produit SNAP® Giardia Paramètre mis en évidence Antigènes de Giardia Conditionnement 5 / 15 tests Conservation 2 – 8 ˚C Échantillon à tester Selles Durée de l’analyse 8 minutes Négatif Positif Optimiser le traitement Témoin positif Témoin de Giardia 11 SNAP® Combo Plus FIV/FeLV Maladie recherchée La leucose féline (FeLV) Agent pathogène responsable Virus de la leucose féline (FeLV ; fam. Retroviridae / gammarétrovirus) Pathogénie Ce virus se multiplie au départ dans les amygdales et les ganglions lymphatiques régionaux. Chez 30 à 50 % des chats, il est éliminé avant l’apparition d’une virémie. La virémie entraîne l’infection des organes lymphatiques et des glandes salivaires. Virémie transitoire : L’élimination du virus est possible (mais rare selon les connaissances actuelles). Plus vraisemblablement, l’infection est évolutive (= excré- teur) ou latente (non excréteur mais une réactivation est possible). Infection latente : Seul le génome viral peut être mis en évidence. La réactivation spontanée (rare) ou faisant suite à une immunodépression peut entraîner une nouvelle virémie ; en cas de gestation, elle peut être suivie d’une transmission verticale. Virémie persistante : Infection évolutive. Transmission Principalement par voie oro-nasale, plus rarement par morsure. La majorité du virus est excrétée dans la salive, le reste dans les autres sécrétions ou excrétions ; la transmission verticale est possible par voie transplacentaire, par le lait ou pendant la période périnatale. Le test SNAP® FeLV est également disponible pour la mise en évidence des infections par le FeLV uniquement. Il peut être utilisé pour vérifier le statut antigénique d’un chat vis-à-vis du FeLV. Il utilise la même technologie et est interprété de la même manière que le test SNAP® Combo Plus FIV/FeLV. L’ADN viral nouvellement synthétisé (ou progénome) peut être mis en évidence dans le sang par PCR environ 1 semaine après l’infection. La mise en évidence des antigènes est possible 2 à 3 semaines après l’infection. Si tous les tests sont négatifs, seule la mise en évidence d’anticorps permet de savoir si le chat a été en contact ou non avec le FeLV même s’il a éliminé le virus par la suite = infection avortée (élimination complète ; ex « chats régresseurs »). Dans tous les cas, ces chats ne représentent pas un risque infectieux pour les autres chats. Les infections latentes ne peuvent être diagnostiquées que par la mise en évidence du progénome du FeLV. 12 Leucose féline (FeLV) Symptomatologie La phase aiguë est peu spécifique : fièvre, anorexie, mauvais état général, lymphadénopathie ou ictère. Puis développement de tumeur immunosuppression et infections secondaires. Résultats des examens de laboratoire Phase aiguë : Leucopénie Virémie persistante : les résultats dépendent des manifestations, avec une anémie arégénérative, une leucopénie, une thrombocytopénie, une hyperprotéinémie, une anémie aplasique, une leucémie lymphoïde ou myéloïde, un lymphome. Prophylaxie Vaccination Dépistage / suspicion clinique SNAP® Combo Plus FIV/FeLV Test SNAP positif Test SNAP négatif Confirmation par un test de laboratoire ELISA Pas de virémie ; PCR pour mettre en évidence le progénome du FeLV dans le sang. Positif Négatif Virémie Faire un nouveau test au bout de 6 puis de 16 semaines Toujours positif après 6 et 16 semaines Virémie persistante (infection évolutive, excrétion virale et maladies associées au FeLV très probables) Le test à 6 sem. est pos. mais devient négatif à 16 semaines. Virémie transitoire (dure généralement 3 à 6 semaines, au maximum 16 semaines). Produit SNAP® Combo Plus FIV/FeLV Paramètre mis en évidence Antigènes du FeLV Conditionnement 5 / 15 / 30 tests Conservation 2 – 8 ˚C Échantillon à tester Sang (avec anticoagulant) / sérum / plasma Durée de l’analyse 10 minutes PCR positive PCR négative Infection ayant régressé ou latente après une virémie transitoire, pas d’excrétion virale, la présence de maladies associées au FeLV est peu probable ; une réactivation avec virémie et excrétion virale est possible à tout moment. Pas d’infection Témoin positif Témoin FeLV SNAP® Combo Plus FIV/FeLV Maladie recherchée L’immunodéficience féline Agent pathogène responsable Virus de l’immunodéficience féline (FIV ; fam. Retroviridae / lentivirus) Pathogénie Ce virus présente un tropisme pour les lymphocytes T, en particulier de type CD4+, mais aussi pour d’autres cellules immunitaires. Après son entrée dans la cellule-hôte, le génome viral est intégré à celui de l’hôte. Transmission Ce virus se transmet principalement via la salive en contact avec les plaies par mor- Immunodéficience féline (FIV) sure. De ce fait, les chats entiers et libres de sortir sont particulièrement exposés. La transmission peut aussi se faire, plus rarement, par voie transplacentaire, par le lait maternel ou lors de la saillie (soit par voie vénérienne, soit par morsure de la femelle par le mâle infecté). Symptomatologie Phase aiguë (dure 2 à 6 mois) : Fièvre, lymphadénopathie, anorexie Phase de latence (dure 3 à 7 ans) : subclinique Phase symptomatique non spécifique (de plusieurs mois à 1 an) : Anorexie, perte de poids, stomatite, symptômes spécifiques des organes atteints SNAP® Combo Plus FIV/FeLV Le test SNAP® Combo Plus FIV/FeLV est le premier et seul test réalisable en clinique permettant de détecter les anticorps anti-FIV gp40 (protéine de l’enveloppe virale), p15 (protéine matricielle) et p24 (protéine du noyau). Pour diagnostiquer une infection par le FIV, les tests plus anciens mettent uniquement en évidence les anticorps anti-FIV p24. Les études actuelles montrent qu’une sensibilité maximale est obtenue lorsque le test permet de détecter les anticorps dirigés contre les protéines p24, mais aussi p15 et gp40 du FIV. Phase terminale (peut durer 1 an) : Infections opportunistes, néoplasies Résultats des examens de laboratoire Phase aiguë : neutropénie, lymphopénie, peu de modifications des paramètres biochimiques cliniques Phase terminale : anémie, leucopénie, thrombocytopénie, azotémie, hyperglycémie, hypercholestérolémie Prophylaxie Castrer les mâles, éviter tout contact des chats FIV négatifs avec des chats potentiellement FIV positifs. Suspicion Verdacht d’une aufinfection FIV-Infektion par le FIV SNAP® Combo Plus FIV/FeLV Test SNAP négatif Le chat est considéré comme non infecté (dans la phase terminale de la maladie, l’immunodépression de l’animal peut entraîner un résultat faussement négatif). En cas de forte suspicion clinique / d’une éventuelle exposition récente : PCR Positif : Négatif : Le chat doit Attendre 8 à être consi12 semaines déré comme et refaire un infecté. test (anticorps, Western Blot, PCR). Produit SNAP® Combo Plus FIV/FeLV Paramètre mis en évidence Anticorps anti-FIV Conditionnement 5 / 10 / 30 tests Test SNAP positif Chat de plus de 6 mois Chaton de moins de 6 mois : présence éventuelle d’anticorps maternels Western Blot PCR Positif : Le chat doit être considéré comme infecté. Négatif : Nouveau test par PCR Positif : Le chat doit être considéré comme infecté. Conservation 2 – 8 ˚C Échantillon à tester Sang (avec anticoagulant) / sérum / plasma Durée de l’analyse 10 minutes Positif : Le chat doit être considéré comme infecté. Négatif : Statut infectieux douteux ; refaire un test dans 6 mois (anticorps, Western Blot, PCR). Témoin positif Négatif : Statut infectieux douteux. Refaire un test lorsque le chat aura plus de 6 mois (anticorps, Western Blot, PCR). Témoin FIV 13 SNAP® Lepto Leptospirose Maladie recherchée La leptospirose Agent pathogène responsable La leptospirose du chien est principalement provoquée par les sérovars de Leptospira interrogans et de Leptospira kirschneri. Pathogénie Une bactériémie se produit après la pénétration du germe via les muqueuses. La production d’anticorps spécifiques entraîne la disparition des leptospires de la circulation sanguine et des principaux organes, mais ces derniers peuvent persister au niveau des reins et du foie et être excrétés dans les urines pendant plusieurs jours, voire plusieurs mois. Le contact avec les chiens représente un risque de zoonose. On ne sait pas encore par quel mécanisme exact ces germes pathogènes entraînent des lésions cellulaires. Transmission Les leptospires éliminés par les urines contaminent le milieu extérieur. Les animaux s’infectent principalement via la terre, l’eau ou les aliments contaminés. Symptomatologie Le plus souvent, l’infection entraîne des lésions rénales aiguës (dans 90 % des cas), suivies d’une atteinte hépatique. Sérovars diagnostiqués Résultats des examens de laboratoire Anémie, leucocytose avec neutrophilie, thrombocytopénie. Azotémie, élévation des enzymes hépatiques, hyperbilirubinémie, déséquilibre électrolytique. Prolongation des temps de Quick (ou prothrombine) et de thromboplastine activé partiel. Baisse de la densité urinaire, glycosurie, cylindres granuleux, discrète protéinurie. Confirmation de la suspicion clinique d’une leptospirose par examen Verdacht auf FIV-Infektion d’échantillons sanguin et urinaire ; lancement de l’antibiothérapie. Les anticorps anti-Leptospira mis en évidence sont dirigés contre les sérovars pathogènes suivants : icterohaemorrhagiae, grippotyphosa, canicola, pomona, bratislava et autumnalis. Le test repose sur la technologie ELISA, particulièrement fiable, et montre efficacement la présence d’IgG mais aussi d’IgM. SNAP® Lepto Test SNAP négatif PCR Négatif Positif Une leptospi- Diagnostic de leptospirose rose est peu ; poursuivre probable. le traitement ; une semaine après la fin du traitement, envisager une PCR pour vérifier l’absence d’excrétion. 14 Les animaux présentent souvent une anorexie, une apathie, des vomissements ainsi qu’une polyuro-polydipsie. S’y ajoutent un ictère, de la fièvre, un abdomen douloureux, des douleurs musculaires (raideur de la démarche), une uvéite, une dyspnée ou une coagulopathie. Produit SNAP® Lepto Paramètre mis en évidence Anticorps anti-Leptospira Conditionnement 5 / 10 tests Conservation 2 – 8 ˚C Échantillon à tester Sérum Durée de l’analyse 10 minutes Test SNAP positif Non vacciné Vacciné Une leptospirose est probable ; poursuivre le traitement ; envisager une PCR pour contrôler l’excrétion. PCR Négatif Positif Une leptospirose est possible ; envisager un test de micro-agglutination (MAT) pour l’évaluation quantitative ou en cas de forte suspicion. Confirmation d’une leptospirose ; poursuivre le traitement ; envisager une PCR une semaine après la fin du traitement pour vérifier l’absence d’excrétion. Témoin positif Témoin de Leptospira SNAP® Feline proBNP Paramètre NTproBNP Maladie recherchée Les cardiomyopathies, et en particulier la cardiomyopathie hypertrophique (CMH), sont les affections cardiaques les plus fréquentes chez le chat. La CMH s’observe typiquement chez les chats mâles, jeunes ou d’âge moyen, mais peut toucher toutes les populations de chat. Il existe une prédisposition raciale chez le Bengale, l’Himalayen, le Persan et le Main Coon. La CMH se caractérise par une Physiologie et pathophysiologie du BNP et du NT-ProBNP Le peptide natriurétique BNP (peptide natriurétique de type B, pour « brain » c’est-à-dire cerveau) est une neuro-hormone, synthétisée sous forme d’une pro-hormone (pro-BNP) dans les cellules musculaires cardiaques auriculaires. En cas d’étirement physiologique de l’oreillette, le pro-BNP est scindé sous forme de deux petits peptides avant d’être libéré : le peptide N-terminal inactif (NT-pro-BNP) et le peptide C-terminal biologiquement actif (C-BNP). Le C-BNP se lie à des récepteurs vasculaires et rénaux pour induire une vasodilatation et une diurèse, s’opposant ainsi à l’étirement myocardique. En cas de cardiopathie, les cellules myocardiques ventriculaires sécrètent également le BNP qui est alors libéré en plus grande quantité, celle-ci étant proportionnelle à la sévérité de la cardiopathie. De ce fait, il est considéré comme un marqueur de l’hypertrophie auriculaire et ventriculaire ainsi que des contraintes s’exerçant sur la paroi cardiaque. Le test SNAP® Feline proBNP ainsi que le test Cardiopet® proBNP mesurent la concentration en NT-proBNP dans la circulation sanguine. Cardiomyopathie hypertrophique hypertrophie concentrique du ventricule gauche entraînant un dysfonctionnement diastolique (perturbation de la relaxation ventriculaire). À mesure que la maladie évolue, l’oreillette gauche s’hypertrophie et la pression intra-atriale gauche s’élève, ce qui aboutit finalement à une augmentation du risque de développement d’une insuffisance cardiaque congestive. De plus, le risque d’apparition de thrombo-embolie (thrombose aortique ou à la bifurcation de l’aorte) est plus important chez les chats ayant une hypertrophie de l’oreillette gauche. Symptomatologie Les chats atteints d’une cardiomyopathie peuvent sembler en bonne santé, même en présence de lésions modérées à sévères, révélées par l’échocardiographie. À l’auscultation, un souffle systolique sternal ou parasternal peut être audible, accompagné ou non d’un bruit de galop ou d’une arythmie. Toutefois, ce souffle cardiaque n’est pas forcément présent chez les chats atteints de cardiomyopathie. De même, un souffle cardiaque peut apparaître chez des chats ne présentant aucune cardiopathie, en particulier des chats âgés. Chats présentant peu de symptômes cliniques mais ayant un fort risque de cardiopathie (souffle cardiaque, rythme de galop, arythmie ou prédisposition raciale) SNAP® Feline proBNP Test SNAP normal Test SNAP anormal Il est peu probable que ces animaux souffrent de cardiopathie modérée à sévère. Indique une augmentation de l’étirement / de la tension myocardique ; une cardiopathie est probable. Quantifier au laboratoire par un test Cardiopet® proBNP ; échocardiographie ; éliminer une possible hyperthyroïdie, une hypertension systémique ou une insuffisance rénale.* *Chez le chat, l’augmentation de la concentration en NT-proBNP peut être secondaire à une hyperthyroïdie ou à une hypertension, ou être la conséquence d’une diminution de son excrétion rénale en cas de forte azotémie. Produit SNAP® Feline proBNP Paramètre mis en évidence NT-proBNP (valeur semi-quantitative) Conditionnement 5 / 10 tests Conservation 2 – 8 °C Échantillon à tester Sérum / plasma Durée de l’analyse 10 minutes Témoin référence Témoin de proBNP 15 SNAP® cPL™ Pancréatite canine Paramètre Lipase spécifique du pancréas du chien (cPL) autodigestion des tissus pancréatiques et des organes voisins et induisent des complications systémiques parfois fatales. Maladie recherchée La pancréatite est fréquente chez le chien. Il est cependant difficile d’en établir le diagnostic du fait de l’absence de spécificité des symptômes cliniques et de la fiabilité restreinte des méthodes non invasives de diagnostic. Les chiens adultes d’âge moyen ou âgés sont particulièrement touchés. La pancréatite a pour conséquence une activation des processus de digestion protéolytique et lipolytique à l’intérieur même du pancréas, ceux-ci conduisent à une Symptomatologie Les symptômes cliniques sont souvent peu spécifiques. Les animaux atteints présentent par exemple des vomissements, une douleur abdominale, une anorexie, une faiblesse, une déshydratation et une diarrhée. Il n’est pas rare que les chiens présentent une pancréatite aiguë (diagnostic histopathologique) qui s’accompagne d’une symptomatologie clinique sévère, mais chez certains la pancréatite peut être discrète, voire subclinique. Les lésions entraînées par la pancréatite aiguë sont en IDEXX Spec cPL™ (test de laboratoire) principe réversibles. La forme chronique s’observe plus rarement chez le chien. Elle est principalement subclinique ou ne s’accompagne que de symptômes discrets. Toutefois, dans ce cas, les lésions histopathologiques sont irréversibles. De plus, l’évolution de pancréatite chronique active s’accompagne de crises répétitives aux symptômes cliniques marqués. Résultats des examens de laboratoire Thrombocytopénie, neutrophilie avec déviation à gauche de la granulopoïèse, anémie, élévation des enzymes hépatiques, azotémie, déséquilibre électrolytique, hyperbilirubinémie, hypo-albuminémie, hypercholestérolémie, hypo- ou hyperglycémie. Chiens présentant des vomissements, une anorexie et/ou une douleur abdominale Contrairement aux méthodes classiques, le test Spec cPL™ mesure exclusivement la lipase spécifique du pancréas du chien. De ce fait, il constitue actuellement la méthode non invasive la plus fiable pour diagnostiquer une pancréatite. Le test Spec cPL™ est effectué pour quantifier les résultats lorsque le test de dépistage SNAP® est positif. Échographie : présence d’une hypertrophie du pancréas ou de lésions échographiques suggérant une pancréatite. Radiographies : exclusion des diagnostics différentiels possibles et des autres anomalies Rien de particulier Obstruction, corps étranger radio-opaque : instaurer le traitement dès que le diagnostic est établi. Examens de laboratoire : hémogramme complet, bilan biochimique clinique (y compris lipase et amylase) De plus, il permet de surveiller l’efficacité du traitement et l’évolution de la maladie, en particulier dans les cas chroniques. + SNAP ® cPL™ Test SNAP normal (le spot échantillon est plus clair que le spot témoin) Test SNAP anormal (le spot échantillon est identique ou plus foncé que le spot témoin) Une Pankreatitis pancréatite sehr estunwahrscheinlich très peu probable. Instituer Behandlung le traitement auf Pankreatitis de la pancréatite. beginnen Quantification par le test Spec cPL™ 201 – 399 µg/l Le résultat du Spec cPL se trouve dans l’intervalle douteux. Continuer à traiter les symptômes cliniques. Vérifier les diagnostics différentiels possibles. Recommencer le test Spec cPL au bout de 1 à 2 semaines pour juger de l’évolution de la maladie. 16 Produit SNAP® cPL™ Paramètre mis en évidence Lipase spécifique du pancréas du chien (test semi-quantitatif) Conditionnement 5 / 10 tests Conservation 2 – 8 °C Échantillon à tester Sérum Durée de l’analyse 10 minutes ≥ 400 µg/l Le test Spec cPL est compatible avec une pancréatite. Spot témoin Témoin cPL SNAP® fPL™ Pancréatite du chat Paramètre Lipase spécifique du pancréas du chat (fPL) Maladie recherchée La pancréatite féline est une pathologie multifactorielle dont l’évolution clinique et le pronostic sont variables. En outre, la fréquence de cette maladie chez le chat est sous-estimée par de nombreux vétérinaires et son diagnostic reste particulièrement difficile. La plupart des chats atteints présentent une pancréatite chronique, la forme aiguë s’observe rarement. Symptomatologie La pancréatite chronique (diagnostic histopathologique) peut évoluer de façon subclinique ou ne s’accompagner que de symptômes discrets. Dans tous les cas, les lésions sont irréversibles. Des Test Spec fPL™ de IDEXX (test de laboratoire) progressions aiguës répétées peuvent se produire et s’accompagnent souvent de symptômes marqués d’apparition brutale. Les signes observés le plus fréquemment sont une léthargie, une baisse de l’appétit et une déshydratation. Par rapport au chien, les signes de pancréatite chez le chat n’incluent que rarement des vomissements ou des douleurs abdominales. Une diarrhée peut se déclencher du fait de la pancréatite ou être la conséquence d’une autre affection digestive accompagnant la pancréatite (maladie inflammatoire chronique intestinale, cholangiohépatite, lipidose hépatique). D’autres symptômes peuvent être observés comme un ictère, de la fièvre ou une masse abdominale palpable. Résultats des examens de laboratoire Bien souvent, on n’observe que peu de modifications ou celles-ci reflètent la présence des affections associées. Résultats possibles : anémie arégénérative, leucocytose ou leucopénie, élévation des enzymes hépatiques, hyperbilirubinémie, hyperglycémie, azotémie, déséquilibres électrolytiques, hypocalcémie. Chez le chat, la détermination de l’amylase et de la lipase sériques n’est pas un outil diagnostique adapté. Chat léthargique, anorexique, déshydraté, qui maigrit, vomit et/ou présente de la diarrhée Échographie : faible sensibilité, forte spécificité lorsque des critères stricts sont remplis Le test Spec fPL™ doit être effectué pour quantifier tout résultat positif obtenu avec le test SNAP®. Il met en évidence la concentration sanguine en lipase spécifique du pancréas du chat et fournit des informations quant à l’état du pancréas. Radiographies : exclusion des diagnostics différentiels possibles et des autres anomalies Rien de particulier Obstruction, corps étranger radio-opaque : instaurer le traitement dès que le diagnostic est établi Hémogramme, biochimie clinique, analyses d’urine, test FIV/FeLV, T4 (chats de plus de 6 ans) + SNAP ® fPL™ Test SNAP normal (le spot échantillon est plus clair que le spot témoin) Test SNAP anormal (le spot échantillon est identique ou plus foncé que le spot témoin) Une pancréatite est très peu probable Instituer le traitement de la pancréatite De plus, il permet de surveiller l’efficacité du traitement et l’évolution de la maladie, surtout dans les cas chroniques. Quantifier le résultat par le test Spec fPL™ Rechercher les affections associées (MICI, cholangiohépatite, lipidose hépatique, diabète sucré) ≤ 3,5 µg/l Intervalle normal 3,5 – 5,4 µg/l Élévation : une pancréatite est possible : traiter et effectuer un contrôle au bout de 2 semaines. Vérifier les diagnostics différentiels. Produit SNAP® fPL™ Paramètre mis en évidence Lipase spécifique du pancréas du chat (mesure semi-quantitative) Conditionnement 5 / 10 tests Conservation 2 – 8 °C Échantillon à tester Sérum Durée de l’analyse 10 minutes Spot témoin ≥ 5,4 µg/l Compatible avec une pancréatite Spot échantillon fPL 17 SNAP® IgG Poulain Déficit du transfert d’immunité du poulain nouveau-né Paramètre IgG Rôle des IgG Le transfert des IgG colostrales est décisif pour la santé du poulain. L’absorption des IgG n’est possible que pendant les premières 18 à 24 heures de la vie du poulain. Si l’absorption des IgG ne se produit pas ou est insuffisante, le poulain risque de développer des infections graves potentiellement fatales. Selon des recherches, 10 à 30 % des poulains souffrent d’une insuffisance de transfert de l’immunité. La mesure du taux d’IgG au cours des 8 à 12 premières heures de la vie du poulain permet de lui administrer à temps une supplémentation en colostrum. En effet, chez le poulain de plus de 24 heures, le traitement par administration d’une transfusion est nettement plus contraignant, coûteux et risqué pour le poulain. Étiologie Différents facteurs peuvent amener à un déficit en IgG. En plus de certaines causes évidentes comme le décès de la mère ou son rejet du poulain nouveau-né, une mise-bas avant terme avec allaitement prématuré ne permet pas de garantir que le transfert des IgG maternels au Le bilan dédié au poulain du laboratoire IDEXX Selon le stade de développement du poulain, différentes pathologies spécifiques prédominent au cours de la première année de vie. Les troubles de certains groupes d’organes (appareils respiratoire, digestif, urogénital), ainsi que les affections ombilicales et les blessures sont fréquentes. Dépassé le stade du nouveau-né, les affections respiratoires et digestives représentent les principaux motifs de consultation chez le poulain en croissance. Les symptômes cliniques sont très souvent peu spécifiques et son état général peut se dégrader très rapidement en l’absence du moindre signe extérieur préalable. C’est pourquoi le bilan adapté au poulain proposé par IDEXX (numération/formule complète, BUN, urée, créatinine, bilirubine totale, PAL, γ-GT, ASAT, glucose, CK, triglycérides, Na, K, Ca, Mg, Fe, Se, protéines totales, IgG) est pertinent et permet d’obtenir une vue d’ensemble des modifications hématologiques et spécifiques d’organe en y incluant le statut en IgG. 18 poulain sera suffisant. Le colostrum de certaines juments peut ne pas être assez riche en IgG. Un poulain trop faible ou présentant une malabsorption intestinale, ne prendra pas suffisamment d’IgG. Diagnostic La mesure systématique du statut en IgG de tous les poulains permet d’identifier à temps les animaux potentiellement en danger. L’emploi d’un test rapide, directement au box, permet d’établir immédiatement le diagnostic et, si nécessaire, de débuter le traitement. Pour plus de sécurité, les IgG doivent être à nouveau mesurées 24 heures après le traitement. Poulain nouveau-né SNAP® IgG Poulain 400 mg/dl 800 mg/dl 400 mg/dl 800 mg/dl 400 mg/dl 800 mg/dl Spot échantillon Spot échantillon Spot échantillon Le spot échantillon est plus clair que le spot témoin correspondant à 400 mg/dl. Le spot échantillon est plus foncé que le spot témoin correspondant à 400 mg/dl, mais plus clair que le spot témoin correspondant à 800 mg/dl. Le spot échantillon est plus foncé que le spot témoin correspondant à 800 mg/dl. Une supplémentation en IgG est nécessaire. Une supplémentation en IgG peut être nécessaire selon la pression infectieuse. Aucune supplémentation en IgG n’est nécessaire. Contrôler au bout de 24 heures. Contrôler au bout de 24 heures. Produit SNAP® IgG Poulain Paramètre mis en évidence Taux d’immunoglobuline G (mesure semiquantitative) Conditionnement 10 tests Conservation 2 – 8 °C Échantillon à tester Sang (avec anticoagulants) / sérum / plasma Durée de l’analyse 7 minutes pot témoin correspondant à 400 mg/dl S Spot témoin correspondant à 800 mg/dl Spot échantillon Du nouveau dans la présentation des résultats de vos tests SNAP® Partout dans le monde, les vétérinaires font confiance à IDEXX. Le nouveau SNAP ProTM vous accompagne dans la réalisation de vos tests SNAP®, et vous permet de les utiliser avec encore plus d’efficacité qu’auparavant. Cet appareil vous garantit fiabilité et simplification des procédures. Petit mais efficace : • Le SNAP Pro™ révolutionne l’apparence des processus des tests rapides, pour une meilleure présentation. NOUVEAU ! • Il est très facile d’imprimer les résultats, sans même avoir à vous connecter à un appareil ou à un ordinateur. Remettez aux propriétaires les résultats des tests réalisés en consultation • Le classement automatique dans le dossier électronique de l’animal permet l’archivage permanent des comptes rendus professionnels. • Grâce à l’enregistrement immédiat dans votre logiciel professionnel, rien ne manquera désormais dans votre décompte de prestations. • Vous avez la possibilité de l’utiliser où que vous soyez. FACILITÉ : Le SNAP Pro™ active automatiquement les tests SNAP®. Introduisez le test, et c’est tout ! SÉCURITÉ : Fiez-vous à un relevé des résultats au moment exact où le test doit être lu. Plus besoin de minuteur. Plus d’incertitude. LISIBILITÉ : L’affichage est facile à lire, clair et agréable à l’emploi et la présentation des résultats est optimale. Les avantages de la technologie SNAP® EXACTITUDE La plate-forme SNAP® possède trois caractéristiques essentielles lui conférant une exactitude inégalée : • Écoulement bidirectionnel • Etape de lavage – spécificité augmentée • Amplification du signal – sensibilité augmentée FACILITÉ D’UTILISATION • Préparer l’échantillon et le placer dans le test • Activer le test SNAP® • Lire le résultat au bout de 6 à 10 minutes FIABILITÉ Grâce à la technologie ELISA, les tests SNAP® fournissent des résultats directement au cabinet d’une qualité équivalente à celle des laboratoires de référence. IDEXX Diavet AG Schlyffistrasse 10 CH-8806 Bäch Téléphone IDEXX Diavet (conseiller technique) : 076 683 88 06 Téléphone Provet AG (commandes) : 0800 55 17 40 E-mail : [email protected] www.idexx.ch/fr Toutes les marques déposées et enregistrées sont la propriété des laboratoires IDEXX, Inc. ou de ses filiales aux États-Unis et/ou dans d’autres pays. 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