le point du jour Dario Argento nous fait passer une nuit
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le point du jour Dario Argento nous fait passer une nuit
Vendredi 29 octobre 2010 - n° 7 Dario Argento nous fait passer une nuit en enfer « Cette année, nous aurons le plaisir de retrouver une connaissance du Festival. Nous lui avions déjà rendu hommage en 1989, lance le président du Cinemed, Henri Talvat. Présent également pour une table ronde, Dario Argento est né à Rome, cette ville où cohabitent le contemporain et l’antique, mais qui est aussi le siège de Cinecitta. Il devient scénariste et collabore par exemple avec Sergio Leone pour Il était une fois dans l’Ouest (voir Flash Festival du jeudi 28, NDLR). Cette passion cinéphilique, on la retrouve dans Bienvenue au jury Antigone d’or… Aujourd’hui, à 17 h, table ronde Dario Argento, à Joffre 1, entrée libre. Puis, à 21 h, à Rabelais, Une nuit en enfer, avec La Troisième mère, J’aurai leur peau !, Le Sang des innocents, Jenifer et The Card Player. …et au jury documentaire Les 20 ans de la Bourse d’aide Depuis hier, les soutenances s’enchaînent. Les réalisateurs parfois accompagnés de leurs producteurs ou de leurs scénaristes viennent défendre devant un jury le projet de film qu’ils ont à cœur de mettre en images. Depuis 1991, le festival aide les films de demain en décernant des Bourses d’Aide au développement pour des projets de longs métrages. En cette année particulière, vingt projets ont été sélectionnés pour fêter ce 20e anniversaire, vingt projets représentant douze pays de la Méditerranée. Pour la première fois, un projet de film d’animation a été retenu, Je vous ai compris défendu par son réalisateur Franck Chiche. Autre projet sortant des sentiers battus : La Dernière fois que j’ai vu Macao de Joao Pedro Rodrigues, qui se situe à la frontière du documentaire et de la fiction. Parmi les porteurs de projets retenus, on retrouve de nombreux réalisateurs venus auparavant au festival présenter des courts métrages. Après La Route du nord présenté en 2008 en compétition, Carlos Chahine revient avec le projet de son premier long métrage La Pommeraie. Autre cas de figure avec Emmanuel Naccache et Stéphane Belaïsch présents l’an dernier au festival avec leur premier long métrage Le Syndrome de Jérusalem. Ils présentent un nouveau pro■ La Place de Dahmane Ouzid jet commun et chacun un scénario en individuel. Amor Hakkar, lui, vient présenter un projet pour la deuxième fois. La Maison jaune avait été sélectionné à la Bourse d’aide en 2003 mais n’avait pas été primé. Le film avait été sélectionné en compétition en 2007. Il vient d’achever l’écriture des Guerres de Myriam. « C’est la première fois que nous présentons le scénario devant une commission. C’est un moment important pour un auteur. Cela nous permettra d’avoir des retours sur notre travail. » Quant à Philippe Faucon, il est cette année membre du jury après avoir été trois fois candidat avec La Trahison en 2001, Dans la vie en 2003, et Les Deux vies d’Abderrhamane pour lequel il a reçu la Bourse de l’association Beaumarchais l’an dernier. Mieux que quiconque il pourra se mettre à la place des candidats. Cette année, parmi la programmation du festival, on retrouve des films ayant reçu une Bourse d’aide à Montpellier : La Fiancée syrienne d’Eran Riklis, Mon trésor de Keren Yedaya, Chaque jour est une fête de Dima El-Horr. Mais preuve que même les films non primés peuvent voir le jour avec La Place de Dahmane Ouzid sélectionné en Bourse d’aide en 2008 et en compétition long métrage cette année. Rendez-vous samedi à 11 h, à Joffre 1, pour les résultats de cette 20e Bourse d’aide au développement. Vous les croisez depuis quelques jours déjà à la salle Pasteur où sont projetés les douze longs métrages en compétition cette année. Le jury remettra l’Antigone d’or au film de leur choix samedi lors de la cérémonie de palmarès. Rappelons que le prix consiste en une aide à la distribution en salles en France (9000 €) et une dotation pour le réalisateur de 6000 €. Cette année, le jury est composé de la réalisatrice Karin Albou. Il y a deux ans c’est elle qui présentait en compétition son deuxième long métrage Le Chant des mariées récompensé du le Prix du soutien technique Eclair Laboratoires. Elle est accompagnée de Mazarine Pingeot, professeur, écrivain et chroniqueuse littéraire et cinéma pour des émissions radio et télé. Elle vient de réaliser un documentaire, Enquête d’auteurs sur la littérature israélienne. Michèle Corrotti est la présidente et fondatrice d’Arte Mare, le festival du film méditerranéen de Bastia. Les deux autres jurés sont Jean-Jacques Bernard, journaliste cinéma depuis 1974, actuellement pour Cinécinéma Classic ; et Michel Reilhac, directeur général délégué d’Arte France Cinéma depuis 2002. ■ Photo © E. Catarina ■ Dario Argento toute son œuvre, par des citations cachées d’Antonioni, de Leone, de Bava, d’Hitchcock, de Tourneur. Cet homme de culture s’intéresse aussi à la peinture et aux livres, spécialement les vieux grimoires qu’il utilise pour ses films. » Petit tour d’horizon des cinq films de cette nuit. D’abord, La Troisième mère (2007). Sarah Mandy, jeune archéologue américaine, se retrouve en possession d'une urne antique. Elle ignore que celle-ci a appartenu à la plus puissante de toutes les sorcières, la Mère des Larmes. Encore plus de sang pour le second film de la soirée : J’aurai leur peau (2006). Pour s'attirer les faveurs de la femme qu'il désire, un marchand de fourrure vole des peaux d'animaux à la fourrure splendide, mais dotées de pouvoirs magiques… Puis, dans Le Sang des innocents (2001), Giacomo Gallo revient à Turin, sa ville natale qu'il a quittée il y a dix-sept ans. À cette époque, toute la ville vivait dans l'angoisse causée par un étrange meurtrier. La mère de Giacomo fut sa dernière victime. Pour ceux qui auront eu le courage de voir ces trois films d’affilée, deux autres sont encore prévus avant le lever du soleil. Jenifer (2005), adapté de la célèbre bande dessinée de Bruce Jones et Bernie Wrighton, est le récit d'une Lolita des temps modernes qui détruit le corps et l'âme de tout homme malchanceux croisant son chemin. Pour les derniers aficionados encore présents dans la salle au petit matin : The Card player (2004). Un tueur en série oblige la police à jouer un jeu dangereux avec lui : si la police perd la partie de poker, une nouvelle victime sera cruellement exécutée et le meurtre diffusé en direct sur l’Internet. Henri Talvat conclut : « En 2005, Dario Argento est invité aux États-Unis pour un programme intitulé « Masters of horror ». Il découvre qu’il peut laisser libre court à sa créativité dans Jenifer et J’aurai leur peau. Il se rend aussi compte de l’apport que peut constituer le numérique pour les effets spéciaux. Ces deux éléments lui permettent une représentation sexuelle plus radicale que l’on va retrouver dans La Troisième mère. » Le Prix Ulysse consiste en une dotation de 3000 € au réalisateur doté par la m é d i a t h è q u e d’Agglomération EmileZola, Médiathèque Fellini de Montpellier. Pour décider lequel des douze documentaristes en lice remportera le Prix, un jury est déjà au travail depuis mardi. Cette année, le jury documentaire est composé de : Emma Baus, critique de cinéma, écrivain et réalisatrice. Elle a consacré une biographie à Boris Vian. Elle réalise son premier documentaire pour la télévision A la recherche des cendrillons russes en 2003. Elle est accompagnée dans cette mission par Laure Pradal, réalisatrice de documentaires depuis 1997. Nombreux de ses films ont été présentés au festival Grandir, Le Miroir, A ton tour Mireille et Le Village vertical. Pour compléter le trio, François Barat, délégué général du Groupe de recherches et d’essais cinématographiques (GREC). Il a par ailleurs réalisé de nombreux films dont Moi, esclave présenté cette année au festival. ■ Photo © E. Catarina C’est une tradition du festival : cinq films d’horreurs du maestro sont projetés en sa présence. Jusqu’à l’aube... La nuit promet d’être agitée. le point du jour Les dédicaces du jour Ouverte pendant toute la durée du festival de 16 h à 20 h, la librairie Sauramps sera le lieu de signatures à ne pas manquer. Aujourd’hui à 16 h, rendez-vous avec Bertrand Blier qui présentera le lendemain son film Merci la vie. Il dédicacera les scénarios de ses films, son livre Pensées, répliques et anecdotes (Le Cherche-midi) et sa pièce de théâtre Désolé pour la moquette… (Actes Sud) qui se joue en ce moment à Paris. Jurée pour les longs métrages cette année, Mazarine Pingeot dédicacera à 18 h, ses romans, Bouche cousue, et le dernier paru Mara. ■ Rencontre courts métrages Aujourd’hui, à 18 h, à Pasteur, aura lieu la projection du programme n°1 de la compétition. A l’issue de la séance, à 20 h, salle Joffre 1, sera organisée une rencontre avec les réalisateurs et membres de l’équipe présents : Damien MacDonald, producteur, sera présent pour Un mardi de Sabine El Chamaa ; Chema García Ibarra arrive d’Espagne pour présenter son nouveau court Protoparticules après le très remarqué L’Attaque des robots de Nébuleuse-5. Gianluigi Tarditi présentera quant à lui Deu Ci Sia. Ils arrivent des quatre coins de la Méditerranée alors allez à leur rencontre pour un débat en toute convivialité. ■ Toi, moi, les autres en avant-première Révélée avec son premier long métrage Regarde-moi, découvert au Forum de la Berlinale 2008, la jeune cinéaste Audrey Estrougo vient présenter à Montpellier son deuxième long métrage Toi, moi, les autres. Ecrit par la réalisatrice et Juliette Sales (Je ne suis pas là pour être aimé), le scénario de Toi, moi, les autres retrace une histoire d’amour compliquée sur fond d’immigration clandestine. "Je ne pense pas que raconter et filmer des histoires d'amour soit mon genre. Mais, en pensant à la manière dont je pourrais allier mes convictions et la forme musicale, j'ai trouvé que ça serait si excitant que je n'ai pas pu refuser" a expliqué Audrey Estrougo durant la préparation du film. "Et le fait que ça chante en parlant d'un sérieux problème social : l'immigration illégale, et bien, c'est ambitieux" a ajouté la cinéaste en précisant que son inspiration la poussait plutôt vers une comédie musicale dans le genre de Across the Universe de Julie Taymor. Toi, moi, les autres raconte la rencontre entre Gab et Leila, deux personnes qui n’auraient jamais dû se rencontrer. Quand Gab renverse le petit frère de Leïla, c’est le choc des mondes et le début d’une grande histoire d’amour. Au casting de cette comédie musicale politique figurent des acteurs de la nouvelle génération, Leïla Bekti (Tout ce qui brille), Benjamin Siksou (Nouvelle Star) et Cécile Cassel (Les Amours d’Astrée et Céladon). ■ Toi, moi, les autres Ce soir, à 19 h, à Berlioz, Toi, moi, les autres d’Audrey Estrougo en sa présence (sortie nationale 23 février 2011, Mars Distribution) Toute l’actualité du 32e Cinémed est dans Midi Libre « Manger, aimer et mourir… » La Grande bouffe ou l’un des films phares de l’histoire du cinéma. Projeté dans le cadre de la rétrospective Marco Ferreri, le film sera présenté par celle qui joua l’institutrice : la comédienne Andréa Ferréol. « La Grande bouffe de Marco Ferreri est l’un des films les plus sordides et les plus vulgaires du Festival de Cannes », lance Ingrid Bergman. « Le Festival de Cannes a connu sa journée la plus dégradante et la France sa plus sinistre humiliation », affirme François Chalais d’Europe 1. « On éprouve une répugnance physique et morale à parler de La Grande bouffe », martèle Louis Chauvet du Figaro. L’histoire est connue : lors de sa présentation à Cannes en 1973, La Grande bouffe choque beaucoup de monde. Son réalisateur, Marco Ferreri, était venu à Montpellier en 1982. En 2010, c’est Andréa Ferréol qui prend la relève. Elle vient présenter le film au Cinemed. « Plusieurs mois après la sortie du film, raconte celle qui n’était alors qu’une jeune actrice débutante, certains restaurants à Paris refusaient de me servir. Un jour, un client s’est même avancé vers moi en me disant : « Je ne resterais pas une minute de plus dans ce lieu tant que vous y serez. » Heureusement pour elle, tourner avec Marcello Mastroianni, Ugo Tognazzi, Michel Piccoli et Philippe Noiret lui permit de continuer une longue ■ La Grande bouffe carrière. Aujourd’hui, à 21 h 30, à Berlioz, La Grande bouffe de Marco Ferreri en présence d’Andréa Ferréol. Vendredi 29 octobre 2010 berlioz 14 h 00 Le Lit conjugal de Marco Ferreri (Italie/France, 1963), 1 h 30 - VF 16 h 00 Louis, enfant roi de Roger Planchon (France, 1993), 2 h 40 - VOFR 19 h 00 Toi, moi, les autres de Audrey Estrougo (France, 2009), 1 h 25 - VOFR 21 h 30 La Grande bouffe de Marco Ferreri (Italie, 1973), 2 h 05 - VOFR www.midilibre.com « La Grande bouffe apparaît comme l’apothéose des idées des deux complices Ferreri-Azcona, résume Henri Talvat, président du Cinemed. On avait déjà vu dans les films précédents que le fait de se nourrir s’accompagnait de connotations symboliques dépassant la notion biologique. Ici, les quatre personnages veulent mourir par excès de nourriture tandis que la femme-ange de la mor t (Andréa Ferréol) appor te le sexe comme un pont vers la mor telle saturation nutritive. Cette pantagruélique bacchanale, en l’honneur de la société de consommation, régresse vers l’oral et l’anal, en un concer t scatologique de rôts et de pets qui témoigne d’une conception physiologique de l’être humain. Elle traduit le nihilisme par tagé d’Azcona et Ferreri. C’est du cinéma « physiologiste », tel que le définissait Ferreri : manger, aimer et mourir. » Grâce au scandale qu’il provoque, La Grande Bouffe devient un succès populaire : 2,5 millions de spectateurs en France… Henri Talvat conclut : « L’œuvre de Marco Ferreri est traversée par un souci permanent des états de l’Homme et un questionnement permanent du langage. On ne refera plus des films comme ceuxlà. » pasteur 11 h 00 Femmes de Méditerranée R. Elkabetz, H. Abbass Le Pain de Hiam Abbass (France, 2000), 18 mn - VOFR 18 h 00 Courts métrages Compétition n° 1 Un mardi de Sabine El Chamaa (Liban/France, 2010), 20 mn - VOSTF Protoparticules de Chema García Ibarra (Espagne, 2009), 7 mn - VOSTF Ombre d'une image de Eman El-Naggar (Égypte, 2009), 14 mn - VOSTF Secrets de José Maria Vaz da Silva (Portugal, 2010), 20 mn - VOSTF Deu ci sia de Gianluigi Tarditi (Italie, 2010), 14 mn - VOSTF Paris monopole de Antonin Peretjatko (France, 2010), 18 mn - VOFR 20 h 00 La Place de Dahmane Ouzid (Algérie, 2010), 1 h 53 - VOSTF 22 h 00 Paradise Now de Hany Abu-Assad (France/Palestine/Allemagne/ Pays-Bas, 2005), 1 h 27 - VOSTF Les Sept jours einstein 14 h 00 de Renos Haralambidis (Grèce, 2010), 1 h 30 - VOSTA de Ronit Elkabetz, Shlomi Elkabetz (France/Israël, 2007), 1 h 48 - VOSTF Courts métrages Compétition n° 3 Le Petit marin de Stéphanie Vasseur (France, 2009), 12 mn - VOFR La Cage de Adrian Sitaru (Pays-Bas/Roumanie, 2009), 17 mn - VOSTF La Chasse aux canards de Rok Bicek (Slovénie, 2010), 23 mn - VOSTF Fraîcheur d'avril de Tornike Bziava (Géorgie, 2010), 15 mn - VOSTF On ne mourra pas de Amal Kateb (France/Algérie, 2010), 20 mn - VOSTF Tasnim de Elite Zexer (Israël, 2010), 11 mn - VOSTF 16 h 00 The Woman with a Broken Nose de Srdjan Koljevic (Allemagne/Serbie, 2010), 1 h 30 - VOSTF 10 h 00 4 Black Suits 12 h 00 16 h 00 Suspicious Minds de Carlos Martín Ferrera (Espagne, 2009), 1 h 24 - VOSST 18 h 00 Documentaires Compétition n° 7 (France - Roumanie) Vies parallèles, une chronique des années cinquante de Henry Colomer (France, 2010), 51 mn - VOFR Le Monde selon Ion B de Alexander Nanau (Roumanie, 2010), 1 h 01 - VOSTF 20 h 15 Elisa K. de Judith Colell, Jordi Cadena (Espagne, 2010), 1 h 12 - VOSTA 22 h 00 Prendre femme de Ronit Elkabetz, Shlomi Elkabetz (Israël, 2004), 1 h 37 - VOSTF rabelais 10 h 00 Y'a bon les blancs de Marco Ferreri (Espagne/Italie/France, 1987), 1 h 38 - VF 12 h 00 Terminus des anges Documentaires Compétition n° 6 (Italie) Ici finit l'Italie de Gilles Coton (Belgique, 2010), 1 h 20 - VOFR de Narjiss Nejjar, Hicham Lasri, Mohamed Mouftakir (Maroc, 2009), 1 h 26 - VOSTF 14 h 30 14 h 00 Le Harem de Mme Osmane Dessins animés Enfants-famille 4 films Princesse Yennega de Nadir Moknèche (France/Espagne/Maroc, 2000), 1 h 40 - VOSTF Potr' et la fille des eaux 16 h 00 Conte de la folie ordinaire de Claude Le Gallou (France, 1986), 11 mn - VOFR de Jean-François Laguionie (France, 1974), 12 mn - VOFR de Marco Ferreri (Italie/France, 1981), 1 h 48 - VOSTF de Henri Heidsieck (France, 2001), 26 mn - VOFR Premier voyage de Grégoire Sivan (France, 2006), 9 mn - VOFR 18 h 00 Touche pas à la femme blanche Un cadeau pour Sélim de Marco Ferreri (Italie/France, 1974), 1 h 48 - VOFR 21 h 00 Une nuit en enfer 5 films de Dario Argento La Troisième mère de Dario Argento (Italie/États-Unis, 2007), 1 h 37 - VOSTF J'aurai leur peau ! de Dario Argento (États-Unis, 2006), 56 mn - VOSTF Le Sang des innocents de Dario Argento (Italie, 2001), 1 h 53 - VOSTF Jenifer de Dario Argento (États-Unis, 2005), 56 mn - VOSTF The Card Player de Dario Argento (Italie, 2004), 1 h 39 - VOSTF musée fabre 14 h 00 Ouverture du Mois du film documentaire Les Complices de Nora Martirosyan (France/Arménie, 2009), 39 mn - VOFR Repérages de Nora Martirosyan (France/Arménie, 2010), 15 mn - VOFR 16 h 00 Expérimental n° 2 Politique en filigrane 6 films Retour sur le passé de Liliana Resnick (Croatie/États-Unis, 2010), 12 mn - VOSD Time of Breadth de Ali El-Darsa (Canada, 2009), 8 mn - VOSTF Being Shot de Guli Silberstein (Israël/France/Royaume-Uni, 2010), 5 mn - VOSD Voyage 110 de Khaled Jarrar (Palestine, 2009), 12 mn - VOSTA Mamanlesturcs ! de Carlo Michele Schirinzi (Italie, 2010), 17 mn - VOSD L'Exil de F. Filiz Isik Bulut (Turquie, 2010), 10 mn - VOSD corum joffre 1 17 h 00 Table ronde Dario Argento corum rondelet 10 h 00 Bourse d'aide 2010 VOFR = version originale en français ; VF = version doublée en français ; VOSTF = version originale sous-titrée français ; VOSTA = version originale sous-titrée anglais (traduction simultanée) ; VOSST = version originale sans sous-titres (traduction simultanée) ; VOSD = version originale sans dialogues Flash Festival - Quotidien d’information édité par le Festival International du Cinéma Méditerranéen de Montpellier. Tél. 04 99 13 73 73 - Distribué exclusivement sur les lieux du festival. Direction : Jean-François Bourgeot - Rédaction : Géraldine Laporte et Sébastien Nègre - Fabrication : Imprimerie du Midi, 34438 Saint-Jean-de-Védas cedex