es - est – ai – ait – aient
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es - est – ai – ait – aient
et – es - est – ai – ait – aient - eh ! – hé ! – CORRIGÉ (1) est 1. Charbonnier 2. Ces deux voisins sont comme chien 3. Ce jardin est très recherchés. 4. La maison pièges. 5. Mon frère bien entretenu ; il est est arrivé pour lui est maître chez soi et chat. est en pleine production et envahie par les rats venu, mais il n' et et est ses légumes sont et des pas resté très longtemps; un télégramme est les souris : ils se rient des chats il a dû partir très vite. La fourmi 7. est excité; regarde-le se ramasser et bondir. Cette rosée est délicate et parfumée. Le menuisier chante et plaisante; il est heureux dans son atelier. Un manteau est agréable lorsqu'il est chaud et léger. Une vieille rue est souvent étroite et tortueuse. Le fleuve est en crue; Il roule des eaux agitées et boueuses. Nous allons suivre un chemin raide et sinueux. Le terrassier est fatigué; depuis de longues heures, il pioche et rejette la terre sur 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. active et 6. industrieuse. Mon petit chat le bord de la tranchée. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. 22. 23. 24. 25. 26. 27. est composée de sapins et de mélèzes. La critique est aisée, mais l'art est difficile. Le rôti, il est vrai, n' est pas très cuit, mais il est tendre et savoureux. Il est déjà tard : prends ton sac et ton manteau et pars pour l' école. Le froid est vif ce matin; le ruisseau est gelé et la route est verglacée. Le jardinier est malade et son travail est en retard : il doit encore tailler les arbres et labourer les plates-bandes. Il faut que les chamois aient bien faim pour venir aussi bas. La guerre s' est poursuivie sur terre et sur mer. Je ne crois pas qu'il ait réussi ses examens. Tu es plus attentive et appliquée que tes frères. Je doute que mes voisins aient pu acheter le jardin et le parc Une dame élégante et distinguée est venue à la maison. Es -tu content de ton livre et de ses images ? Cette forêt Homophones p. 1/4 pf – janvier 2004 et – es - est – ai – ait – aient - eh ! – hé ! – CORRIGÉ (2) est 28. Il 29. Quand le vin 30. Je suis si assoiffé que je boirais la mer 31. Les gens 32. Ses yeux clairs brillaient 33. est bien loin le temps où je bondissais à travers les ravins et les bois. Et ton manteau, où est -il ? Une buse est juste au-dessus de la maison; elle plane lentement; et ses ailes longues et étroites paraissent immobiles. Et elle continue à tourner avec patience et obstination. Toute la basse-cour est avertie; les poules et les canards se sont mis à l'abri; la couveuse s' est réfugiée dans la grange et tous les poussins l'ont suivie. La cour, tout à l'heure animée et bruyante, est déserte et silencieuse. Tous les petits animaux sentent que le danger est là-haut. 34. 35. 36. 37. 38. de retour, le joli mois de mai. est et tiré, il faut le boire. et les poissons. les bêtes, tous avaient fui. et toute sa figure maigre et fine se plissait. Il LES MOLLUSQUES 39. La limace et l'escargot sont des mollusques. L'un colonne vertébrale. 40. La limace 41. L'escargot transporte son logis 42. Les mollusques sont généralement visqueux une sorte de lait. 43. Le colimaçon et est et dépourvue de coquille. est et s'y réfugie à la nuit tombante. et gluants, leur sang ressemble à les salades. est L'huître 45. La pieuvre, autre mollusque, 46. Le soleil plonge dans la mer 47. 48. est La violette et 49. L'aéroport du Bourget 50. Et alors, sacré farceur, que nous prépares-tu encore ? Il est temps que je m'occupe de cette affaire. Rien n' Homophones et un hôte familier des plantes herbacées ; il habite volontiers les laitues 44. 51. l'autre ne possèdent pas de souvent consommée par les gourmets. est équipée de tentacules à ventouses. et le ciel s'embrase une dernière fois. impossible, il suffit de le vouloir à tout prix. la pensée appartiennent à la famille des violacées. est situé près de Paris. p. 2/4 pf – janvier 2004 et – es - est – ai – ait – aient - eh ! – hé ! – CORRIGÉ (3) 52. L'enfant se retourne, bâille 53. Les scorpions 54. Nul n' 55. Ce monsieur et est et s'endort presque aussitôt. les écrevisses sont munis de pinces articulées. censé ignorer la loi. et son épouse sont des touristes. UN BRIN DE CAUSETTE 56. Voici Hector qui revient et qui gare sa voiture. Ah oui. Regarde ! quelle allure quelle prestance ! Il a l'art de se bien vêtir et cela lui réussit. C' foi. Je le trouve fort élégant. Admire, ma chère, ses bottines mais au fond, il est peut-être trop coquet. Crois-tu ? C' dame Lombec. Tiens, en voilà une qui pourrait se taire Chut ! Ce n' est 58. 59. 60. 61. 62. 63. 64. 65. 66. 67. 68. 69. 70. 71. 72. 73. 74. 75. 76. bien vrai, ma et son pull ; quel chic ! Oui, est aussi l'avis de Mabalayer devant sa porte. pas le moment de parler sur ce ton, Monsieur Hector s'approche. Bon- jour, Mesdames, si je viens, c' 57. et est et est juste pour vous dire deux mots. est petit et malingre, mais il est plein de ressources. Quand il est arrivé, il est tombé sur une chaise et il s' est mis à pleurer. Ce veston est vieux et taché, mais il est toujours agréable et douillet. Cet homme est parti comme un fou, sans manteau et sans chapeau. Le chien du voisin hurle et le jour et la nuit. Tu es maintenant l'aîné de la famille; souviens t'en et agis en conséquence. Qu'il ait tort ou qu'il ait raison, il est, et il reste un grossier personnage. Bien qu'il ait une bicyclette et une moto, il est probablement venu à pied. Si tu veux obtenir cette place, il est nécessaire que tu aies de bons certificats. Impossible n' est pas français. (D'après Napoléon) Prends garde, fiston, ce bolet est vénéneux. Hommes et bêtes, tout ce petit monde grouillait sur la place. Point n' est besoin de croire pour espérer. Le chevalier entra en lice et salua le public. Moutarde et vinaigre rehaussent la saveur des viandes. Saurais-tu réciter «Le renard et le bouc» de La Fontaine ? Le chauffage à l'électricité est peu écologique. «La belle et la bête» est une œuvre de Jean Cocteau. «Croire et créer», tel était le slogan de l’Exposition nationale de 1964. Il est absolument nécessaire de partir plus tôt demain. Cet ouvrier Homophones p. 3/4 pf – janvier 2004 et – es - est – ai – ait – aient - eh ! – hé ! – CORRIGÉ (4) 77. Est - on enfin fixé sur la date de cette fête ? et 78. Le ciel se couvre 79. Il n' 80. Croire tout ce que l'on entend c' 81. Le bateau chassait l'eau 82. Il n' 83. et sa voisine pérorent ferme depuis bientôt deux heures. Robert s'approcha du guichet et interpella l'employé. Je ne connais de Zola que «l'Assommoir» et «Germinal». Tout cela est trop beau pour durer longtemps : Le père est souvent malade et la mère est bien faible pour travailler. C' est dimanche : la cour est balayée, le bétail rentré. Le journal est toujours sur la table, taché et froissé. Mon panier s' est renversé; heureusement la bouteille n' est pas cassée. Tout l'équipage est sur le pont. Seule la grand-rue est animée et tout le monde y est sur pied. La menace de la mer est là, constante et tragique. Tout le château est en émoi. La porte du salon est fermée et personne ne répondait à mes cris. Ce garçon est indiscret et curieux. Lorsque j’ ai vu l’accident, j’ ai été comme paralysé. S’il est malade, c’est parce que j’ ai oublié de lui donner des vitamines. 84. 85. 86. 87. 88. 89. 90. 91. 92. 93. 94. 95. 96. 97. est est les nuages se font menaçants. jamais trop tard pour bien faire. et est s'exposer à de sérieux ennuis. la découpait de sa proue. de vrai repos que dans la solitude. La marchande de légumes 98. Homophones p. 4/4 pf – janvier 2004