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76 juillet 2008 SIVOM : 25 ans de services Centre de Loisirs de la Côte du Pont p. 2 et 3 p. 4 Dossier Réforme de l’hôpital public : nécessaire, oui ... Mais p. 5 à 7 L’hôpital ne doit pas devenir une entreprise p. 7 (Le Monde, 24 juin 2008) p. 8 A voir - à écouter - à faire - à savoir p. 9 En bref Agenda des festivités p. 10 p. 10 Sur le site de la Communauté de Communes http://www.cc-ambert.com Vous pouvez vous inscrire à l’Infos lettre du mois de juillet La résidence « Les Mélèzes » compte huit appartements disponibles dès le mois d’août dans le parc arboré du même nom. (contact : 04 73 82 70 46). EDITO Aujourd’hui, votre Hôpital a besoin de vous. Utilisez-le et défendez-le. Le Conseil Municipal a adopté la motion suivante : L’arrondissement d’Ambert par sa situation géographique, doit disposer d’un bloc opératoire et d’un service de surveillance continue au sein du Centre Hospitalier d’Ambert. Afin de répondre à la crise de la démographie médicale, le Conseil prend acte de la proposition de coopération provisoire en anesthésie-réanimation établie pour six mois par les commissions médicales des établissements de Thiers et Ambert. Le Conseil participera à la réflexion engagée sur l’évolution nécessaire des missions de l’Hôpital au sein d’un territoire d’offre de soins élargi au Centre Hospitalier de Thiers et aux établissements qui voudront s’y rattacher. Cette motion correspond à ma ligne de conduite depuis notre entrée en fonctions : - travailler au sein du Conseil d’administration à l’évolution nécessaire du Centre Hospitalier. Elle est en cours et ouvre des perspectives concrètes pour peu que l’Etat tienne ses engagements. - maintenir une vigilance et une pression à l’égard des pouvoirs publics. Vous l’avez démontré ce dernier mercredi de juin de façon remarquable. - informer le personnel et la population en ouvrant les pages de VALDORE INFOS à des points de vue différents. Vous forgerez vous-même votre opinion. Malgré les assurances données sur le renforcement des urgences et l’astreinte (Suite dernière page) SIVOM : 25 ans de services Le SIVOM a 25 ans. Après Henri Rigal, qui a présidé cette structure pendant toutes ces premières années, c’est Michel Dajoux qui est devenu le nouveau président, lors de l’assemblée générale du comité le 30 avril 2008. Nous l’avons rencontré afin de connaître l’évolution de la structure, ainsi que les nouvelles orientations qu’elle risque de connaître. Pouvez vous nous présenter rapidement la structure ? Michel Dajoux : « Le SIVOM a vocation de mettre en œuvre une solidarité de territoire entre les communes de l’arrondissement, cela permet de faire une économie d’échelles pour un certain nombre de services que les petites communes ne pourraient assurer seules. Le Sivom est d’abord, comme chacun le sait, une structure de collecte, de traitement et de mise en décharge d’ordures ménagères sur tout l’arrondissement, mais un certain nombre de services à la carte sont mis en place pour certaines petites communes de l’arrondissement, en fonction de leurs besoins ! par exemple une aide à l’informatisation, la gestion et l’entretien du petit patrimoine, l’aide à la scolarité scolaire, ou bien tout dernièrement mis en place le SPANC (Service Public d’Assainissement Non Collectif). D’autres seront peut-être encore créés, comme l’accompagnement à la dématérialisation des procédures administratives … » « Depuis quelques années déjà, nous nous acquittons d’une taxe* pour l’enlèvement des ordures ménagères. A l’époque vous vous étiez vivement opposé à M. Rigal à ce sujet puisque vous étiez pour la redevance des ordures ménagères*. Quels sont vos projets : taxe ou redevance ? » M. D. : « Effectivement, à titre personnel, j’ai toujours pensé que la taxe n’était pas un système juste. En son temps, lors du choix, j’avais défendu le principe de la redevance, mais les autres communes de l’arrondissement s’étaient prononcées pour la mise en place de la taxe. A présent, les communautés de communes ont pris la compétence « Ordures Ménagères », ce qui a pour conséquence : Premièrement, qu’il revient toujours au SIVOM de décider du mode unique de prélèvement sur le territoire. Le sujet sera soumis à la réflexion des délégués.; deuxièmement, qu’il incombera aux différentes cocom si la redevance est retenue d’organiser sur leur secteur le recouvrement (dans l’hypothèse où les communautés seraient d’accord pour mettre en œuvre ce service, pourquoi pas ?) Il me semble que cette question dépasse le niveau local et qu’elle relève du législateur (il a d’ailleurs 2 été demandé à notre député d’élaborer une proposition de réforme, qu’il a, du reste, présentée à ses pairs … à ce jour non retenue. Il est à noter que le taux de la taxe, 9,34 % est actuellement le plus bas du département. » « Autre sujet important : où en sommes nous de la décharge du Poyet ? M. D. : « Le problème de la décharge vient des nuisances environnementales et olfactives, elles ont généré la création d’une association locale d’une centaine de membres, qui nous demande une certaine vigilance par rapport à ces questions là. De notre côté, au niveau du Syndicat, nous avons créé une commission de suivi de cette décharge. Concrètement, et matériellement, il y a eu depuis deux trois ans la mise en œuvre de gros travaux (d’un coût d’environ 5 millions d’euros jusqu’à présent 4 M ont été investis). L’essentiel des dépenses (1,3 million) à affecter sera investi dans le traitement des lixiviats. Pour réduire l’émanation de mauvaises odeurs, on a mis en place un processus de recouvrement plus rapide des casiers en même temps que l’installation d’un réseau de captage des gaz générés par les produits fermentescibles. En effet, ce captage doit être fait presque en même temps que le recouvrement des casiers avec la terre, car celui-ci augmente cette émanation de gaz nauséabonds ! Cela doit être fait très fréquemment. Ce système devrait amener une amélioration notable des conditions de vie des riverains. » L’action est elle coordonnée avec celle de l’association ? M. D. : « Oui car la nouvelle commission qui regroupe les élus du SIVOM sera en lien constant avec des représentants de l’association. Ce qui occasionnera des rencontres régulières autres que celles officielles avec la CLIS et nous permettra de mieux cerner les problèmes. » « La décharge du Poyet, quel avenir ? » M. D. : « Pour donner des informations claires sur le devenir du Poyet, il faut attendre la décision du Préfet en ce qui concerne l’incinérateur. ». (NDLR : voir notre article ci-dessous). Et comment voyez-vous l’évolution du SIVOM ? M. D. : « Bien que le poids de la section Collecte des OM soit très important dans le SIVOM, cette structure doit rester à « VOcation Multiple » afin de garder une démarche de solidarité. Quand on mutualise, on peut faire plus et mieux, c’est à dire être plus efficace et plus pertinent. Les nouveaux services que pourra proposer le SIVOM seront surtout fonction des besoins de chaque commune » Le centre de stockage du Poyet En activité depuis 1985. Depuis sa création, le site du Poyet s’est transformé : Le site du Poyet est passé du statut de décharge, où l’on enfouissait tous les déchets de l’arrondissement sans distinction, à celui de Centre d’Enfouissement Technique (CET). Le SIVOM de l’Arrondissement d’Ambert a effectué une étude de mise en conformité du site de stockage du Poyet dans lequel la sauvegarde des milieux naturels est préservée, notamment l’eau avec le traitement des jus de décharge (lixiviats) le sol avec la pose d’une couche étanche entre le sous-sol et les déchets l’air grâce à une torchère assurant la combustion du biogaz Depuis le développement du tri et de la valorisation des ordures ménagères, le CET a de nouveau évolué en devenant un Centre de Stockage des Déchets Ultimes (CSDU) où l'on ne peut stocker que des déchets non recyclables ou non valorisables : des déchets ultimes. Le montant important des travaux de mise aux normes a imposé un échelonnement de leur réalisation sur plusieurs années, entre 2004 et 2009. *La taxe fixe le montant de la participation des contribuables à partir des bases imposables à l’impôt foncier. Que votre immeuble soit vide ou qu’il soit occupé, la taxe d’ordures ménagères est la même. *La redevance consiste à payer une somme qui tient compte du nombre d’utilisateurs par unité d’habitation. Elle est établie non plus à partir des taxes foncières mais à partir des listings de la taxe d’habitation. Pas d’incinérateur à Clermont-Ferrand ! Jean Maure suit la Le manque de courage politique, l’absence de solidarité et le coup bas d’une décision ministérielle purement politicienne ont eu raison du projet de VALTOM. Un projet travaillé depuis 10 ans, qui proposait un traitement équilibré, diversifié et moderne des 360 000 T d’ordures ménagères produites sur notre département. Un projet qui avait eu, soit dit en passant, l’aval et les encouragements de toutes les instances publiques responsables. • • Conséquences immédiates : des engagements financiers considérables qui ne serviront à rien, et qu’il faudra bien honorer … mais qui voudra payer ? Un retour à la priorité accordée à l’enfouissement des ordures ménagères … mais qui voudra ouvrir de nouveaux sites d’accueil ? En l’état actuel, et pour ce qui nous concerne, nos objectifs sont clairs. Nous devrons conserver la maîtrise et la gestion du CSDU du Poyet pour en limiter les apports et lui garantir une « durée de vie » de 10 à 12 ans. Nous devrons aussi nous opposer à toutes mesures d’extension (incompatibles avec notre volonté de développement touristique et d’accueil de populations nouvelles). Il nous faudra, dans les mois qui viennent, rester vigilants et mobilisés, pour ne pas faire les frais, ici, chez nous, de décisions dommageables prises ailleurs. Michel Dajoux tournée Nous avons proposé aux délégués qui le souhaitaient de suivre une tournée de collecte d’ordures ménagères sur leur secteur. Il n’est meilleure façon de connaître ce que font nos agents et pouvoir ensuite porter jugement sur un travail trop souvent méconnu. Vous trouverez ci dessous le compte rendu que nous a adressé M. Jean Maure, un de nos collègues élu de la commune de Valcivières. Michel Dajoux Ce matin, j’ai participé à la collecte des poubelles dans le cadre de mes nouvelles fonctions de délégué auprès du SIVOM d’Ambert. Les 14 employés après avoir pointé prennent les clés des camions affectés aux tournées, la nôtre c’est la ligne 5 qui dessert les communes de La Forie, Valcivières, Job, soit un parcours de 120 km. Dès 5 h, départ avec un chauffeur, Franck et un ripeur, Pascal, dans un magnifique camion Renault de 270 CV d’à peine un an. Dans la cabine silencieuse, des équipements dernier cri, dont un écran qui contrôle l’arrière de la trémie, la position du ripeur, un système qui limite la vi(Suite page 4) 3 Jean Maure suit la tournée (suite) (Suite de la page 3) tesse du véhicule à 30 km dès que le ripeur est sur le marche-pied, sans oublier les systèmes de sécurité en cabine, comme à l’arrière à proximité des marche-pieds. Il y a aussi les réglages par télécommande de l’assiette du camion, dans nos pays en pente et aux virages serrés et étroits, c’est indispensable. Un truc pas mal aussi : chaque fois que le chauffeur descend pour aider le ripeur, son siège s’abaisse de 20 cm environ, la remontée en cabine est ainsi facilitée. Jai été impressionné par le chauffeur ! On pourrait me répondre « Normal, c’est son métier, il fait cela tous les jours » Mais quand même !! Combien de marches arrières effectuées dans des rues étroites et montantes ou les rétroviseurs frôlent les murs, ou bien les portières qui rasent les voitures mal garées, une conduite au millimètre et tout au rétroviseur. Vraiment champion ! Le ripeur est lui aussi très efficace, intérimaire, il ne connaît pas trop la ligne, dans la première partie de la tournée de La Forie, il faut rester en permanence sur le marche-pied, descendre, remonter. Les bacs se déversent dans la trémie de 14 m3. La montée sur Valcivières permet au ripeur de monter en cabine. Ce sera un des rares moments au chaud, bien que ce matin, le temps soit clément. Pas un seul bac ne sera refusé, bien qu’aucun ne soit en conformité. Les cartons comme les bouteilles de verre ou en plastique sont présents à chaque fois. Il reste un travail énorme de persuasion et de sensibilisation à faire pour arriver au tri sélectif. Après 4 heures de travail non stop, nous sommes à la Chevaleyre. J’ai promis que nous ferions la pause café à la maison. J’ai bonne mine : Zaza (madame Maure) n’est pas levée, il faut frapper aux volets pour voir enfin la porte s’ouvrir. Heureusement le café était au chaud depuis 4 h du matin. La réputation de Zaza est faite : une dormeuse assurément. La tournée continue sur les hameaux de La Brousse, de Reyrolles, nous allons aussi dans la plaine vers la Tour Goyon. Je découvre tout un tas de hameaux où quelques vieilles carcasses de machines agricoles ou automobiles seraient heureuses de faire savoir que l’enlèvement des épaves est gratuit ! Comment faut-il le faire savoir ? Vers 11 h 30, nous arrivons à la déchèterie, pesée du camion à l’entrée comme à la sortie. Ce matin, la collecte a « rapporté » environ 5 tonnes de détritus. Tout finit par être déversé dans la décharge à ciel ouvert, qu’un compacteur aplanit sans relâche. J’aperçois des cheminées de ci de là, et des conduites où le méthane circule avant d’être brûlé. Là aussi, beaucoup reste à faire avant d’utiliser ce gaz pour chauffer les bâtiments. La tournée se termine par le nettoyage du camion, et le plein de diesel. J’ai beaucoup appris ! En particulier qu’il ne faut pas se méprendre : les gars bossent, la tournée est bien organisée et ne laisse guère le loisir de « se la couler douce ». Il faut en finir avec l’image du petit travail peinard. Ma conclusion, c’est que le temps de travail effectif est plus important que dans telle grande entreprise de production. Une pause-café, c’est tout ! Pas de pause casse-croûte (choix de l’équipe), pas d’alcool ! Nous sommes donc bien loin de l’image d’Epinal et de la caricature. Jean Maure Centre de Loisirs de la Côte du Pont Après une année d’interruption, le Centre de Loisirs de la Côte du Pont ouvre à nouveau ses portes pour l’été et accueille les enfants de 4 à 12 ans, dans les locaux de la Côte du Pont. Géré par l’Etablissement Régional Léo Lagrange Rhône Alpes Auvergne, spécialisé dans l’organisation d’activités sportives et d’éducation, une nouvelle directrice et cinq éducateurs BAFA s’occuperont des enfants pendant juillet août. Renseignements pratiques : - Ouvert du 9 juillet au 29 août 2008 - Horaires d’ouverture 8 h 18 h - Pour les enfants de 4 à 12 ans - Accueil en journée, demi-journée, avec ou sans repas. - Dossier d’inscriptions à retirer en mairie d’Ambert. - Les inscriptions sont prises par semaine d’activités. - Un ramassage en car est prévu sur la commune d’Ambert (les horaires sont précisés à la fin du dossier d’inscription) 4 Contact : 04 73 82 07 60 Pendant les vacances, Isabelle, intervenante plasticienne, mettra en place avec les enfants et l’équipe d’animation des ateliers décoration et bricolage. Programme : Du 9 au 11 juillet : les enfants décoreront le centre de loisirs afin d’en faire un lieu convivial et de partage (jardinage décoration des différents lieux, grand jeux… ) Du 5 au 18 juillet : les hommes des cavernes avec Cromignon et ses compagnons (ateliers poterie, confection de costumes et de fresques rupestres, sortie accro-branche …) Du 21 au 25 juillet : Les Gaulois et les Romains (ateliers découverte des plantes, sortie au jardin pour la Terre à Arlanc, goûter/jeux avec les parents le vendredi 25 à partir de 17 h). Du 28 juillet au 1er août : Le Moyen Age et ses surprises (construction d’un château fort, sortie piscine, sorite inter-centres au château de Polignac …) Réforme de l’hôpital public : nécessaire, oui … mais … L’équipe du Val Dore Infos s’est penchée sur quelques articles concernant la réforme hospitalière et vous en propose une synthèse assortie de quelques interrogations. Par exemple Mme le Ministre nous informe que 90% de la population (contre 80% aujourd’hui) sera à l’avenir à moins de 20 minutes d’une structure d’urgence. Soit ! Mais quid des 10% restants (cela représente pour une famille moyenne, 2 à 3 de ses membres) et qu’appelle-t-on une structure d’urgence? Comprennent-elles toutes les urgences chirurgicales? L’Histoire est un questionnement permanent ! Acceptons ces interrogations ; nous ne devons pas pour autant nous soumettre aux jugements définitifs et péremptoires des spécialistes, même si notre environnement est de plus en plus complexe. Le déficit hospitalier vrai ou faux problème? A– Les montants Le déficit global de la Sécurité Sociale pour cette année est évalué à 10 milliards d’Euros. Les hôpitaux représentent 8% de cette masse globale (800 millions) dont 367 millions sont imputables aux CHU qui disposent a priori d’une ressource de patients importante. Pourtant à y regarder de plus près nous pouvons avoir quelques surprises en ce qui concerne les CHU : « Ils assument des missions d’intérêt général particulières, comme l’enseignement, la recherche et l’innovation. » (Cécile Prieur Le Monde 27 mai 2008) B– Mais qu’entend-t-on par déficit? Dans un autre article du quotidien le Monde, Fabien De Geuser et Olivier Saulpic s’interrogent sur l’entreprise particulière qu’est l’hôpital (service, ouverture et ancrage sur le territoire) qui ne peut répondre qu’à la seule loi du marché et de rappeler « le déficit ne mesure que l’écart entre ce que l’Etat juge souhaitable de dépenser pour les hôpitaux et ce que ceux-ci dépensent effectivement » (Le Monde 27 décembre 2007). Mieux soigner ? A - Les insuffisances de la T2A déjà reconnues par Mme Bachelot ? La T2a c’est la tarification à l’activité, qui a remplacé le versement d’un budget global aux hôpitaux par un financement selon les actes réalisés. Mme Bachelot (Le Monde 28 mai 2008) « dans un esprit de justice souhaite mieux prendre en compte la situation de précarité de certains patients (…). Les patients les plus précarisés séjournent toujours plus longtemps à l’hôpital, ce qui est plus coûteux pour les établissements. Il faut donc veiller à ce que l’accueil de ces patients ne soit pas dissuasif, ce qui serait contraire à nos principes de solidarité. C’est pourquoi je vais accroître les ressources des établissements ayant une proportion importante de bénéficiaires de la couverture maladie universelle (CMU), de l’aide médicale de l’Etat (AME), du RMI ou qui sont sans solution de logement stable et durable. » Cependant cette tarification pose quelques questions : A quand l’opération d’une personne en fin de vie pour accroître l’activité et n’y a-t-il pas risques de dérives ? Les hôpitaux vont-ils tout de même accepter les publics défavorisés, sur la base de cette seule promesse ? Par ailleurs, comme toute entreprise un hôpital à des frais fixes qui devraient être pris en compte. B– Les communautés hospitalières pour une plus grande efficacité ? Dans les cahiers de la compétitivité, supplément publicitaire au journal Le Monde, la déclaration d’Elodie Toustou-Chedize peut laisser dubitatif: « La création des communautés hospitalières de territoire, qui permettra une rationalisation et une mutualisation des moyens de santé, l’affirmation de la place des cliniques privées dans le système de soins et le pilotage rénové de l’hôpital permettront d’atteindre cet objectif ». Ce redéploiement des moyens vers les hôpitaux qui se porteront volontaires pour ces groupements permettra de « faire le tri » dans les établissements et de réaffecter notamment les moins performants, en termes de sécurité et de fréquentation, vers la prise en charge du handicap et du grand âge. « Concrètement, cela signifie que les hôpitaux d’un même territoire vont devoir 5 Mieux soigner? (suite) arrêter ensemble des stratégies médicales communes pour mieux répondre aux besoins de la population », précise Claude Evin, le président de la FHF. « Pour les usagers, la communauté hospitalière de territoire doit représenter une meilleure adéquation de l’offre hospitalière par rapport aux besoins dans un bassin de santé. Ainsi, des établissements pourront plus facilement développer certains services de proximité comme la prise en charge des personnes âgées, les soins de suite et de réadaptation, tout en mutualisant certains plateaux techniques comme des blocs de chirurgie. » C– Une gestion à repenser ? Les cahiers de la compétitivité ouvrent des perspectives intéressantes : « Les directeurs y auront une place centrale et ne seront plus forcément issus du sérail. Ils pourront être recrutés dans le secteur privé de santé, et même d’un secteur autre que celui du monde hospitalier. En charge du projet médical de l’établissement, leurs responsabilités seront étendues et renforcées pour que la structure gagne en réactivité. Et grâce à une plus grande liberté de gestion, ils seront à même de diversifier leurs recrutements et bénéficieront d’une plus grande latitude dans l’organisation de leur logistique. » Mais comme le soulignent Fabien De Geuser et Olivier Saulpic (Le Monde 27 décembre 2007) : « Elle (la tarification à l’acte) néglige le travail de coordination de chacun de ces actes qui n’apparaît pas dans la facturation, donc dans le financement ».(…) D’autre part « mettre une prime sur la réduction des durées d’hospitalisation, peut inciter à éviter l’hospitalisation des cas « complexes » ou « polypathologiques ». (…) Enfin, « La certification » risque « de figer les pratiques pour être en conformité avec les normes de certification au détriment de la créativité et de l’adaptation. Dans le monde du 24 juin 2008 est paru un article qui développe un certain point de vue : « L’hôpital public ne doit pas devenir une entreprise ». En voici un large extrait. Sans commentaires Ce dont souffre l’hôpital public, c’est d’abord de la remise en cause du service public » 6 La commission sur l'hôpital public conduite par le sénateur Larcher a fait, dans un rapport remis récemment au président de la République, une description pertinente des difficultés rencontrées par l'hôpital public. Hélas ! la commission n'a pas fait le bon diagnostic : ce dont souffre d'abord l'hôpital, c'est de la remise en cause du service public au profit de l'activité privée à but lucratif. Le rapport Larcher souligne, très justement, les rigidités de la gestion humaine aussi bien que financière des hôpitaux publics, l'empilement des structures débouchant sur un "mille-feuille bureaucratique" à la française, écrasant de tâches administratives les équipes soignantes qui sont pourtant la raison d'être de l'hôpital. Le remède proposé tient en quelques mesures, qui, quelles que soient les intentions des membres de la commission, nous semblent de nature à aggraver la situation actuelle des hôpitaux : création de communautés hospitalières territoriales (CHT), coquilles vides que chaque département ou région devra remplir, lais- sant craindre un retrait du service public ; obligation de "quotas d'activité sans dépassements d'honoraires" qui ne garantit pas le droit d'accès à des soins correctement remboursés ; volonté de n'avoir "qu'un seul patron" à l'hôpital, le directeur, embauché possiblement sous statut privé ; paiement des médecins hospitaliers à l'acte et intéressement aux bénéfices. En filigrane, une vision essentiellement comptable de l'hôpital public, dont la principale finalité serait la rentabilité financière. (…) Une fausse bonne idée : la rentabilité obligée de l'hôpital public. La réforme de l'hôpital se développe sous la bannière "hôpital entreprise". Nous pensons qu'il est urgent de s'inquiéter de cette fausse bonne idée de rentabilité obligée de l'hôpital public. L'idée qu'un hôpital public se doit avant tout d'être rentable nous semble en effet reposer sur deux erreurs : l'une conceptuelle, l'autre éthique. Le système de santé français est fondé avant tout sur un principe de solidarité. Ainsi chaque personne peut être prise en charge dans un hôpital public et y recevoir des soins de qualité sans supporter des coûts (en dehors du forfait hospitalier) qui rendraient cette prise en charge impossible. Faire d'un hôpital une entreprise "rentable" consisterait à ce qu'il coûte plus à la Sécurité sociale qu'il ne dépense. Par ailleurs, vouloir faire des hôpitaux publics des entreprises "rentables" conduira l'hôpital à privilégier la prise en charge des patients "valorisants financièrement" qui intéressent en priorité les établissements à but lucratif. L'orientation des autres est déjà un problème quotidien. Les exemples ne manquent pas : entre un patient victime d'une fracture simple, et par ailleurs en bonne santé, et un sujet porteur de nombreuses pathologies chroniques (diabète, insuffisance cardiaque ou rénale...) ou un sujet âgé en situation de perte d'autonomie (incontinence, démence, grabatisation...) et atteint d'une affection non curable, le "choix" de la rentabilité sera vite fait. Le choix d'une médecine plus "rentable" aurait quatre conséquences graves : le "productivisme", la sélection des patients, la réduction de personnel et la fin de la complémentarité entre cliniques privées et hôpital public, au profit de la concurrence. Ce scénario catastrophe est la principale conséquence de la tarification à l'activité (dite T2A) qui a pour principe de financer l'hôpital en fonction des actes médicaux qui y sont réalisés. En première analyse, il n'y aurait là rien d'anormal si la codification des actes prenait réellement en compte l'activité de l'hôpital public dans son ensemble. Or c'est loin d'être le cas : ni les admissions en urgence (qui coûtent 60 % de plus que les admissions programmées), ni les admissions des patients précaires (qui coûtent 30 % de plus que l'admission des patients non précaires), ni la gravité et la spécificité de la prise en charge des malades chroniques (en particulier l'éducation thérapeutique), ni l'activité de recours qui est celle de nombreux centres référents de grands hôpitaux, ni la formation professionnelle continue, ni la permanence des soins nécessitant d'avoir à tout moment des lits libres, en particulier en pédiatrie et en réanimation, ne sont pris à ce jour en compte par la tarification T2A. Les missions de service public découpées dans un catalogue à la Prévert ne sont financées qu'à hauteur de 12 % du budget hospitalier. Le prétendu déficit des hôpitaux dépassant 350 millions d'euros a donc été programmé par cette sous-estimation délibérée des coûts. Suivant cette logique, le retour à l'équilibre des hôpitaux nécessiterait la suppression de 20 000 emplois. Pour faire appliquer cette politique d'"hôpital entreprise" et de rentabilité financière a été mise en place une "nouvelle gouvernance". Le dernier avatar de cette "nouvelle gouvernance" est clair : l'hôpital a été organisé en pôles, le plus souvent sans réel projet médical, chaque pôle étant responsable de son budget et devant rendre compte de son activité et de ses dépenses à la direction de l'hôpital. Cette gouvernance nouvelle consiste en pratique à faire endosser par les médecins la politique de restriction budgétaire, et ainsi le choix d'une médecine plus "rentable", avec quatre conséquences graves : le "productivisme", la sélection des patients, la réduction de personnel et la fin de la complémentarité entre cliniques privées et hôpital public, au profit de la concurrence. Pour sauver l'hôpital public, il faut d'abord renoncer à un financement identique entre le secteur public et privé à but non lucratif d'une part, et le secteur à but lucratif d'autre part (la prétendue "convergence publique/privé") dans la mesure où ni les missions ni la structure de coûts ne sont pour l'essentiel comparables. Il ne faut pas introduire le paiement à l'acte et l'intéressement aux bénéfices, qui créeront des conflits d'intérêts et entraveront le travail d'équipe. Il ne faut pas que se généralisent et s'amplifient les dépassements d'honoraires, qui préparent l'entrée des assurances privées dans le système de santé. Notre système solidaire serait alors remplacé par un système mixte, où chacun s'assurerait en fonction de ses moyens, un système non pas à deux, mais à dix vitesses. Marie-Germaine Bousser, professeur de neurologie à Lariboisière, Paris ; Bruno Devergie, praticien hospitalier à Creil ; Alain Gaudric, professeur d'ophtalmologie à Lariboisière, Paris ; Bernard Godeau, professeur de médecine interne à Henri-Mondor, Créteil ; André Grimaldi, professeur de diabétologie à La Pitié- Salpêtrière, Paris ; Gisèle Horoau, cadre supérieur de santé à La Pitié-Salpêtrière, Paris ; Thomas Papo, professeur de médecine interne à Bichat, Paris ; Gilles Pialoux, professeur d'infectiologie à Tenon, Paris, José Timsit, professeur de diabétologie à Cochin, Paris ; Jean-Paul Vernant, professeur d'hématologie à La Pitié-Salpêtrière, Paris ; Dominique Vincenzi, cadre supérieur de santé à Cochin, Paris ; Pierre Volovitch, économiste de santé. Site Internet : http://www.appel-sauver-hopital.fr. Article paru dans l'édition du 24.06.08. 7 DEHBA : « Le temporaire risque de durer... » Notre appartenance depuis 4 ans à la coordination nationale des comités de défense des hôpitaux et maternité de proximité nous a appris que l’air du temps était à la destruction des services publics. L’hôpital d’Ambert, notre hôpital, malgré son éloignement géographique de tout autre lieu de soins n’est pas épargné. Il y a maintenant 2 ans le Directeur de l’ARH a fermé la maternité (c’était provisoire « en attendant de trouver un(e)gynécologue » a t’il expliqué à l’ancien maire…). La transformation de la maternité en Centre Périnatal de proximité n’apporte pas et n apportera jamais les mêmes services qu’une maternité. Qui plus est, en fermant la maternité, on a diminué l’activité de chirurgie et donc fragilisé l’hôpital. Aujourd’hui, ce sont les services de réa (plus exactement Service de Soins Continus) et de chirurgie qui sont fermés la nuit et le week-end, « de façon provisoire », nous dit-on, jusqu’au 31 décembre. Les opérations dites « lourdes » seront effectuées à Thiers. Mais pour combien de temps ? Thiers aussi est menacé dans le rapport du Professeur VALLENCIEN, au titre des 113 hôpitaux devant être fermés, comme dans celui LARCHER, qui, lui en supprimerait 250. Bien sûr, on va faire de petits aménagements : dans un premier temps, on opérera à THIERS qui ENCAISSERA la majorité de l’argent de la tarification à l’acte (passée à 100 % au début de cette année, au lieu de 2012) et on enverra les malades à Ambert en soins de suite. Comment sera financée cette activité sur le site d’Ambert ? Comment dans ce cas de figure, résorber le déficit d’Ambert en 5 ans comme il a été demandé lors du dernier conseil d’administration ?. La fermeture de la maternité devait aussi désendetter l’hôpital (déficit quasi nul à cette époque !)… Puis il y a eu le rapport Clément qui a dû rapporter seulement à son auteur ; maintenant un expert, qui va encore creuser le trou ; auparavant, il y a eu aussi le directeur qui a été maintenu en place le temps qu’il fallait pour organiser le désordre et entre temps l’organisation du « débauchage » des médecins anesthésistes, etc. Pertuis, Carhaix, Lézignan, Clamecy, Nogent, Ivry, Quimperlé, Cavaillon, Champagnole, Lannemezan, Chatillon, , Gérardmer, Vouziers, Cavaillon, Tarare, Granville, Ruffec, Valréas... et des dizaines d'autres localités ont fait ou vont faire les frais de cette politique. Comme eux nous ne voulons pas cautionner cette politique de désertification du territoire au mépris de la population qui y habite et qui paie ses impôts. La population et les élus doivent se mobiliser pour défendre leur hôpital. PAS DE CAUTION DE DEHBA POUR DE QUELCONQUES ARRANGEMENTS VISANT A VIDER L’HÔPITAL PUBLIC DE SON ROLE ENVERS LA POPULATION. Si, à terme, les services de l’hôpital disparaissent, les élus locaux n’en seront pas les responsables, ce sera le résultat d’une décision politique prise en haut lieu, au mépris de la santé des citoyens du bassin d’Ambert. Yvette Degeorges (présidente de l’association) L’Association des Amis des Anes vous propose un Concert au profit du Refuge pour ânes Avec Olivier Ducruix Lionel de Rozario Auteurs - compositeurs - interprètes Samedi 5 juillet Salle des Fêtes d’Auzelles PAF : 12 euros 8 De 14 h à 20 h : exposition « L’âne, source inépuisable de recherche ». RANDO DES 4 SAISONS : l’ETE Dimanche 3 août 2008 Le Centre VTT vous invite à parcourir les superbes paysages des crêtes du Forez, lieu traditionnel de l’estive pour les troupeaux producteurs de la célèbre fourme. Sur les parcours, des ravitaillement composés de produits du terroir vous attendront et à l’arrivée vous dégusterez une délicieuse assiette gourmande. Pour les vététistes, plusieurs parcours selon les possibilités de chacun : 14, 25, 50 km.. Les marcheurs auront le choix entre 13 et 20 kms. Inscription au centre VTT ou au Foyer de Ski des Pradeaux à partir de 8 h. Tarif : 6 euros, gratuit moins de 12 ans. Un cadeau de bienvenue sera offert aux deux cents premiers inscrits et de nombreux lots seront tirés au sort à l’issue des randonnées. Possibilité de location des VTT sur réservation au Centre VTT. Départ entre 8 h 30 et 10 h . Contact : Centre VTT, La Gare, AMBERT. Tel : 04 73 82 68 44 A AMBERT, cet été du 7 juillet au 23 août 2008 : exposition, spectacle, ateliers, heures du conte… HIP HOP ATTITUDE Du 7 juillet au 23 août LE ROMAN DE L’ÉCRITURE Exposition prêtée par la Maison de l’Innovation. Du premier alphabet au traitement de texte, en passant par l'aventure de l'imprimerie ou encore le graffiti, cette exposition aborde l’évolution de l’écriture au fil des siècles. Une sélection d’ouvrages sur la calligraphie (prêtée par la Bibliothèque Départementale de Prêt de Puy-de-Dôme) complète l’exposition. Exposition visible aux heures d’ouverture de la Médiathèque : Horaires d’ouverture Lundi, mardi, mercredi, vendredi : 16 h - 18 h 30 Jeudi, samedi : 9 h - 12 h Contact : 04 73 82 79 85 Mail : [email protected] Mercredi 9 juillet CE PETIT MOT POUR TE DIRE ou le plaisir d’écrire et de recevoir une lettre Spectacle de marionnettes sur table par Jacqueline Sarrazin A 18 h ; à partir de 4 ans ; gratuit Violette aime recevoir des lettres et Tom aime écrire. Alors quand il part à la recherche de la maison de ses rêves, il lui écrit et chaque lettre devient maison entre les mains de son amie… Jeudi 10 juillet ATELIER D’ART POSTAL Atelier de création d’enveloppes animé par Jacqueline Sarrazin. De 10h à 12h ; atelier gratuit ; à partir de 7 ans ; inscription obligatoire (nombre de places limité, matériel fourni) Du 22 juillet au 1er août INITIATION AU GRAFF Ateliers animés par Mike, graffeur clermontois et proposés en partenariat avec le PIJ et l’OPHIS. Pour les 12-18 ans ; inscription obligatoire (nombre de places limité, matériel fourni). du 22 au 25 juillet : ateliers de 3 h : travail individuel (tarif : 5€, chèq’collège63 acceptés) du 28 juillet au 1er août : atelier collectif de 25 h : réalisation d’une fresque (tarif : 15€, chèq’collège63 acceptés) Inscription obligatoire au PIJ (Place du Châtelet à Ambert, 04.73.82.97.43) Les mercredis 23 juillet, 6 et 20 août IL ÉTAIT UNE FOIS Heure du conte proposée par l’équipe des bibliothécaires jeunesse de la Médiathèque. A 15 h ; à partir de 4 ans ; séances gratuites Comme à son habitude le Point Info Jeunes proposera aux jeunes de 12 à 18 ans de s’initier à 2 activités issues de la culture Hip Hop : la danse et le Graff Initiation à la danse Hip Hop avec Djamel du groupe Impact New Style de Clermont-Fd. De 14 h à 18 h. Prix : 20 € Initiation à l’art du graffiti. Ateliers de 3 h animé et encadré par Mike, jeune graffeur Clermontois. De 9 h à 12 h. Prix : 5 €. Initiation à l’art du graffiti : Mike proposera cette fois un travail collectif à un groupe de 8 jeunes dont le but sera la réalisation d’une fresque (dans un quartier de la ville). De 10 h à 12 h et 14 h à 17 h. Prix : 15 € Chèq’collège 63 accepté / places limitées / pas d’inscription sur place Stages organisés en partenariat avec la Médiathèque A. Vialatte et l’OPHIS. En JUILLET et AOUT, le Point Info Jeunes d’Ambert sera ouvert : lundi : 10h-12h/13h30-18h mardi, mercredi, jeudi : 9h-12h/13h30-17h30 vendredi : 9h-12h/13h30-18h fermé les samedis Besoin de faire garder vos enfants ? Besoin de prendre des cours particuliers ? Le Point Info Jeunes met à votre disposition : BABY-SITTING : coordonnées de jeunes gens proposant leurs services et compétences. Les jeunes inscrits ont au moins 17 ans et ont déjà une expérience significative. COURS PARTICULIERS / SOUTIEN SCOLAIRE : coordonnées d’étudiantes pou- vant, de part leur niveau d’études et expérience, donner des cours particuliers dans les disciplines scientifiques, littéraires, langues…., pour des niveaux collège, lycée, université. La base de données est consultable au PIJ ou sur www.espaceinfojeunes.net quand le PIJ est fermé ! Point Info Jeunes – place du châtelet 63600 AMBERT - 04 73 82 97 43 9 oir - à écouter - à savoir - à faire - à voir - à écouter - à savoir - à faire - à entendre Tourisme : VISITES GUIDEES et BALADES Cet été, l'Office de Tourisme du pays d'Ambert vous propose DES VISITES Les Incontournables: - les mardis à 10 h du 8 juillet au 26 août - les vendredis à 10 h du 11 au 25 juillet Cette visite permet de découvrir l'ensemble des monuments principaux de la ville d'Ambert : l'incontournable mairie ronde, le quartier ancien et ses maisons à pans de bois, l'église Saint Jean Baptiste et pour finir la montée au clocher de l'église pour (re)-découvrir la ville à plus de 50 m de haut. Nouveauté 2008: d'Amberitos à l'éclairage urbain : - les vendredis à 10 h du 1er août au 29 août Cette nouvelle visite thématique retrace l'évolution de la ville depuis ses origines gallo-romaines jusqu'à l'arrivée du rail et de l'électricité. Tarifs visites guidées 2008 : 4€ les adultes et 2.50€ les enfants de 6 à 12 ans. Lieu de rendez-vous : Office de Tourisme du pays d'Ambert (4 place de l'Hôtel de Ville face à la mairie ronde). Pour ces deux visites, renseignements et inscriptions obligatoires à l'Office de Tourisme du pays d'Ambert au 04 73 82 61 90 ou par mail [email protected] DES BALADES ACCOMPAGNEES NATURE ET PATRIMOINE Cette année, l'Office de Tourisme du pays d'Ambert innove en proposant 3 nouvelles balades accompagnées thématiques. Ces balades sont encadrées par un guide-accompagnateur de moyenne montagne. "Grand méchant loup? Sur les traces du loup" : mercredi 23 juillet et mercredi 6 août. départ: 14 h Office de Tourisme d'Ambert (approche voiture de 10 mn). Durée de la balade: 3 h (6 km) "Ambert, la Fourme, le Forez" : samedi 26 juillet et mercredi 20 août. départ: 13 h 45 Mairie de Valcivières (approche voiture de 10 mn). Durée de la balade: 3 h3 0 (5 km) Tarifs balades accompagnées nature et patrimoine 2008: 6€ les adultes et 3€ les enfants de 8 à 14 ans. Pour toutes ces balades accompagnées, renseignements et inscriptions obligatoires à l'Office de Tourisme du pays d'Ambert au 04 73 82 61 90 ou par mail ambert. [email protected] "Histoires de légumes" du sauvage au potager : mercredi 30 juillet et mercredi 27 août. départ: 14 h Mairie de Valcivières. Durée de la balade: 3 h (6 km) juillet anime Agréable en toute saison, le parc arboré de la Base de loisirs Val Dore avec son plan d’eau, son étang de pêche, ses aires de jeux et aires de pique-nique, son skate-park… ouvrira ses portes du 1er juillet au 31 août avec une nouveauté cet été : le mini parc pour les moins de 3 ans (aire de jeux avec arches, tunnel, toboggans…). Retrouvez le mini-port avec ses bateaux électriques et ses canoës, les trampolines, les structures gonflables, le mini-golf, le snack… et profitez de la plage ensoleillée où la baignade est surveillée tous les après-midi. De nombreuses animations seront proposées au fil des jours : Concerts en terrasse, ateliers découverte, journées à thème, Carnaval d’été, feu d’artifice… 10 Renseignements : Camping Les 3 Chênes : 04 73 82 34 68 Office de tourisme du pays d’Ambert : 04 73 82 61 90 juillet an Mercredi 9 juillet : Grande « boum » pour fêter la nouvelle saison, animée par Missou Animation. RV à 14h30 sous le chapiteau. Jeudi 10 juillet : Echec et mat ! Venez apprendre les règles du jeu sur un échiquier géant puis affronter un adversaire. RV à 14h30 sous le chapiteau. Dimanche 13 juillet : Grand feu d’artifice dès 22h30 sur le plan d’eau, suivi d’un bal populaire sur l’Esplanade R. Lacroix. 15,16 et 17 juillet. Do you dance tecktonik ? Groupe ados et petits à partir de 10 ans. Encadrement professionnel. Inscription au 04 73 82 34 68 avant le 11 juillet. 15 € l’après midi ou 30 € le stage de 3 jours. RV à 14h30 sous le chapiteau. Vendredi 18 juillet : Deviens jongleur ou échassier avec la Compagnie Moriquendi. Atelier de coordination pour les 3/7 ans, parcours d’échasses et jonglerie pour les 7/11 ans. Sculpture de ballons et animation costumée. RV à 14h sous le chapiteau. + Concert en terrasse « La Ronde des Copains du Monde » à 18h Mardi 22 juillet : La pêche de A à Z : Découvrez la faune aquatique et apprenez les techniques de pêche. Matériel fourni. Inscription jusqu’au 18 juillet au 04 73 82 34 68. RV à 14h30 sous le chapiteau à voir - à écouter - à savoir - à faire - à voir - à écouter - à savoir - à faire - à entendre - à voir - à écouter - à savoir - à f à voir - à écouter - à savoir - à faire - à voir - à écouter - à savoir - à faire - à entendre pays d’Ambert, j’y suis, j’y reste ! portraits croisés. Telle sera la devise des douze passionnés du pays d’Ambert qui ont été choisis cette année comme fil conducteur de la stratégie de relations presse de la ville d’Ambert. Ces hommes et ces femmes amoureux de leur territoire, le feront connaître et apprécier aux journalistes locaux, régionaux et nationaux. Christelle Garcia (OT Ambert), Serge Gonda (Divin Mélange), Aurélie Pascal (La Ronde des Copains), Sandrine Durand (Librairie Tout un Monde), Estelle Aguelon (Atelier de gravure), Damien Berthoulat (Accompagnateur rando), Bridget Weatherly (Train Agrivap), Christophe Baylet (Centre VTT Ambert), Christian Miolane (La Cyclo), Cathy Bouchet (Auberge de Valcivières), JP Fournioux (Aéroclub du Livradois), JM Serre (Libre à toi ULM) … autant de visages qui reflètent le pays d’Ambert, son histoire, son patrimoine, ses richesses naturelles, ses saveurs, ses activités découverte… Le photographe Ludovic Combe a réalisé de magnifiques clichés afin d’illustrer le dossier et les communiqués de presse. Ces derniers seront exposés au fil des rues et des vitrines cet été, ne soyez pas surpris et n’hésitez pas à chercher à rencontrer l’un de ces personnages … il vous fera découvrir votre territoire d’une autre manière… Ensemble baroque SYLENE Concerts des 5 et 6 juillet 2008 L’Ensemble de musique baroque SYLENE : C’est la volonté commune de faire connaître et partager un répertoire très riche et parfois inexploré qui a décidé des musiciens professionnels et amateurs de haut niveau passionnés de musique de chambre baroque, à bâtir SYLENE en 1999. Son objectif est de se produire en concert devant des publics variés et dans des cadres très divers. SYLENE est constitué de deux chanteuses (une soprano et une mezzo) et cinq instrumentistes (un violiste, un claveciniste, deux violonistes, un flûtiste). Le programme interprété cet été dans notre région par l’Ensemble SYLENE propose un nouveau voyage à travers l’Allemagne baroque des 17e et 18e siècles, de Haendel, Telemann et Glück, en passant par des compositeurs à redécouvrir tels que Schein, Schütz, Zelenka. L’ensemble SYLENE se produira en exclusivité le 5 juillet à 20h30 en l’église de Fournols (près d’Ambert), et le 6 juillet à 20h30 au Château de Ravel (entre Thiers et ClermontFerrand). nime Mercredi 23 juillet : Aéromodélisme et compagnie : Voitures, bateaux, avions… Venez avec votre « engin » et partagez avec nous les plaisirs du modélisme ! Survols du plan d’eau. RV à 14h30 sous le chapiteau. Jeudi 24 juillet : Tournoi de ping-pong : Apprentissage, démonstration, match… RV à 14 h 30 sous le chapiteau. + A fond la caisse : Circuit de quads pour les enfants à partir de 5 ans. Encadré par des professionnels. RV à 14 h 30 à la Base de Loisirs. Vendredi 25 juillet : Concert en terrasse avec Sabaly, ambiance africaine à 18 h Mardi 29 juillet : Marché artisanal : Démonstration de savoir-faire, dégustation, vente… pour les enfants, promenades à dos d’ânes. RV à 14 h Mercredi 30 juillet : Grand Carnaval d’été Vêtu de votre plus beau déguisement vous êtes invité à faire la fête avec la troupe « Récré Magic » : clowns, magie, chansons… Récompense aux plus beaux déguisements. RV à 14h30 sous le chapiteau. Jeudi 31 juillet : A fond la caisse : Circuit de quads pour les enfants à partir de 5 ans. Encadré par des profession- faire - à voir - à écouter - à savoir - à faire Tous les mardis du 15 juillet au 19 août : Gym, musculation, step, de 10 h à 11 h (encadrement professionnel). Inscription la veille au 04 73 82 34 68, RV à 9 h 45, tarif 2 €. Tous les lundis du 4 au 18 août: Les rendez-vous CREATION. peinture, modelage et loisirs créatifs. Inscription avant le 18 juillet au 04 73 82 34 68. Tarif 2 €. RV à 14 h 30 sous le chapiteau. MARCHÉ D’ÉTÉ PLACE SAINT-JEAN TOUS LES VENDREDIS à partir de 18 h EDITO (suite) (Suite de la page 1) d’un chirurgien 24h sur 24, la suspicion demeure. Le climat de défiance envers l’Etat est exacerbé par l’accélération des mesures de réduction ou de fermeture des services publics : une classe supprimée brutalement en Maternelle, absence totale d’informations sur le devenir de la Sous-préfecture (le Souspréfet a un rôle clé dans le développement), sur la réduction des effectifs dans la Gendarmerie. Ce que l’on connaît, par contre, c’est la disparition du Tribunal d’Instance en 2010. Comment parler d’aménagement du territoire lorsque d’évidence il est délabré et totalement inégalitaire. Pour être attractives et retrouver plus de population, les petites villes et les communes construisent, mènent des projets, se battent. Elles ne se plaignent pas, elles ne demandent pas la charité. Elles sont résolument tournées vers l’avenir et exigent que l’on cesse de démolir, que l’on devienne plus cohérent et plus solidaire. Alors, bâtir, OUI, mais pas en aveugle. Christian CHEVALEYRE Offre d’emploi. CHARGE(E) D’INFORMATION AU PIJ Le Point Info Jeunes d’Ambert recherche, pour un Contrat à Durée Déterminée de 3,5 mois, une personne chargée de l’accueil physique, téléphonique et renseignement des usagers ainsi que de la mise à jour et du développement des ressources documentaires. Elle sera également amenée à mettre en place des projets en collaboration avec un réseau de partenaires divers : institutionnels, privés, associatifs…. Aptitudes requises : Avoir une expérience significative auprès des jeunes (socioculturelle ou sportive). Capacités d’adaptation et esprit d’initiative recherchés. Être force de proposition. Avoir une bonne maîtrise de l’outil informatique (bureautique, Internet) Conditions : Bac + 2 souhaité. Poste à pourvoir : octobre 2008 Permis B + véhicule personnel souhaité. 35 h/semaine Pour postuler : Envoyer CV + photo + lettre de motivation à l’attention du Président M. CHEVALEYRE Eric : Point Info Jeunes Place du châtelet 63600 Ambert ou [email protected] juillet Sam 5 : Spectacle Grandes illusions, à la salle de la Scierie d’Ambert, 20h30, organisé par le CICA Dim 6 : Course cyclosportive "Les Copains", salle de la scierie d’Amert, toute la journée, organisée par le Cyclo Club Les Copains Jeu 10 : Soirée Contes avec Philippe Picandet, salle d’exposition de la Mairie, à 21h (gratuit) organisé par le CICA Sam 12 : Concours de pétanque - officiel en doublettes à 14h30 sur le terrain de pétanque de Saint-Ferréol des Côtes Spectacle Folklorique avec le groupe Viazanka de République Belarus, salle des fêtes de Champétières, à 21h, organisé par le comité des fêtes et le CICA Dim 13 : Feux d’artifices et bal populaire, Base de Loisirs "Val Dore Loisirs" d’Ambert, à 22h30 Lun 14 : Brocante, place Charles de Gaulle d’Ambert, toute la journée, organisée par l’Itinérant Du 14 au 20 : Festival Folklorique "La Ronde des Copains du Monde" organisé par le groupe folklorique Livradoué Dansaïre Dim 20 : Spectacle Folklorique avec le Portugal, salle des fêtes de Job, à 17h, organisé par le comité des fêtes et le CICA Lun 21 : Spectacle Folklorique avec le groupe Irish Dancing d’Irlande, au Boulodrome de Saint-Ferréol des Côtes, à 21h, organisé par le comité des fêtes et le CICA Mar 22 : Marché de l’Artisanat, centre ville d’Ambert, toute la journée, organisé par l’Itinérant Mer 23 : Balade accompagnée Nature et Patrimoine - "Grand méchant loup" sur les traces du loup. Durée 3 H. Distance : 6 km. Départ : 14 H de l’Office de Tourisme d’Ambert. Inscription à l’OTSI 04 73 82 61 90 Spectacle jeune public "La Petite Planète" (gratuit), 21h place Saint-Jean, organisé par le CICA Jeu 24 :Brocante, cour de la mairie annexe d’Ambert, organisée par le Rotary Club Du 24 au 27 : Rencontre avec le Liban - conférence et exposition organisées par D’un continent à l’autre, salle d’exposition de la mairie Ven 25 : Concert Musique Africaine avec Sabaly, 21h place du Livradois, organisé par le CICA Sam 26 : Balade accompagnée Nature et Patrimoine - "Ambert, la fourme, le Forez". Durée : 3h30. Distance : 5 km. Départ : 13h30 de la Mairie de Valcivières. Inscription à l’OTSI 04 73 82 61 90 Les 26 et 27 : Rallye de la Fourme (Ambert-Arlanc), organisé par le Team Livradois Mer 30 : Balade accompagnée Nature et Patrimoine - "Histoire de légumes, du sauvage au potager". Départ : 14h de la Mairie de Valcivières - Inscription à l’OTSI 04 73 82 61 90 Nocturne du Vélo Club Ambert, Centre ville d’Ambert, en soirée Ciné La Façade semaine du 9 au 15 juillet : Le Monde de Narnia II, La Personne aux deux Personnes, Les Citronniers. semaine du 16 au 23 juillet : Congo River, Le Monde de Narnia II, Ezra. 8 Contact pour les dates et horaires 04 73 82 35 73 http://lafacade. elforia-design.fr/