DEVIS DESCRIPTIF DES TRAVAUX LOT N° 1 PREPARATION DU

PRO - C.C.T.P. - lot n°1 – Juillet 2011
SDIS de la Somme – centre de secours AULT
Maître de l'Ouvrage :
AMIENS AMENAGEMENT agissant au nom
et pour le compte du SDIS de la Somme
1
Travaux :
CONSTRUCTION DU CENTRE DE SECOURS
DE AULT
DEVIS DESCRIPTIF DES TRAVAUX
LOT N° 1
PREPARATION DU TERRAIN - VRD
Textes et D.T.U. de référence
D.T.U. 12 TERRASSEMENT POUR BATIMENT
Les règlements sanitaires et de voirie départementaux.
Articles R. 111-19 à R. 111-19-3 du Code de la Construction et de l’Habitation relatives à l’accessibilité aux personnes handicapées.
Généralités
L’entrepreneur s’informera auprès des services compétents du positionnement des réseaux publics et privatifs existants et
assurera toutes les démarches administratives nécessaires à son intervention.
L’intervention sur la voie publique se fera dans le respect des règlements de sécurité routière et de voirie (installation de
panneaux de sortie de chantier, nettoyage de la route, demande d’autorisations si nécessaire, …).
Toutes les précautions devront être prises aux frais et charges de l’entreprise, en particulier sur rue et propriété voisine, pour
éviter toutes projections de gravats et de poussière.
Les ouvrages voisins existants (voiries et toutes infrastructures publiques, prestations réalisées par d’autres corps d’état, etc.)
qui pourraient être endommagés par l’entrepreneur pendant son intervention, seront réparés à ses frais, selon les règles de l’Art.
La température minimale autorisée pour les travaux de maçonnerie, ne pourra être inférieure à -5°C. (sauf avis contraire
préciser dans le cahier des charges du fabricant ou dans le présent descriptif).
La confection des bétons par temps de gel se fera avec des produits adaptés.
L’entrepreneur assurera les protections contre les intempéries (gel, fortes pluies,...) des ouvrages fraîchement réalisés.
L’entrepreneur doit tous les terrassements, remblais, trous et scellements, résultant des prestations demandées au présent lot.
L’entrepreneur doit tous les matériels de terrassement, de levage, de transport, de fabrication, de nivelage, de compactage,
etc., nécessaires à la réalisation des prestations demandées à son lot.
L’entrepreneur travaillera en liaison étroite avec :
− l’électricien et le plombier, durant les travaux de tranchée technique.
− le maçon durant les travaux d’implantation et de maçonnerie.
Les matériaux et matériels mis en œuvre devront être compatibles avec une atmosphère de bord de mer.
Information au Maître de l’ouvrage
Le Maître de l’Ouvrage doit faire vidanger le séparateur d’hydrocarbures au minimum une fois par an, voir plus si nécessaire.
A cette occasion, le filtre coalesteur du séparateur d’hydrocarbures sera nettoyé.
Les appareils seront remplis d’eau après chaque vidange.
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2
Connaissance des lieux et de la prestation
L’entrepreneur doit constater sur place l’étendue de sa prestation, assurer tout sondage, tout prélèvement, toutes
études nécessaires à la réalisation de sa prestation et en tenir compte dans la remise de son offre.
Il doit respecter toutes les préconisations formulées par le bureau d’études béton, le bureau de contrôle technique, le
coordonnateur S.P.S., la Maîtrise d’ouvrage et l’Architecte. Il doit également prendre en considération toutes les informations qui lui
sont communiquées.
Il doit apprécier très exactement, les prestations comprises dans ses prix, en les complétant, le cas échéant, compte tenu des
prestations des autres corps d’état.
Précautions vis-à-vis des infrastructures existantes
Avant tous travaux de terrassement et de reprise d’ouvrage, l’entrepreneur doit réaliser les reconnaissances de l’assise, de
l’encombrement et du positionnement précis des ouvrages existants conservés (tels que les réseaux publics d’électricité, d’eau) et de
prendre toutes les dispositions nécessaires à l’exécution des ouvrages demandés à son lot.
L’affouillement de fondations existantes est à éviter.
Si nécessaire, prévoir l’étaiement provisoire interdisant tout mouvement des infrastructures existantes en phase de chantier.
Topographie du terrain
lot.
Un plan topographique réalisé par EUCLYD Géomètres Experts est joint au présent devis.
L’entrepreneur se réfèrera à cette étude, pour définir le niveau d’assise et les caractéristiques des ouvrages demandés à son
Etude de sol
Les résultats de l’étude de sol réalisée par un bureau d’étude spécialisé GINGER CEBTP, à la charge du Maître de l’ouvrage,
sont communiqués avec les devis.
L’entrepreneur se réfèrera à cette étude, pour définir le niveau d’assise et les caractéristiques des ouvrages demandés à son
lot.
Dans le cas ou le terrain après terrassement et constatation sur place par le bureau de contrôle technique et l’Architecte,
nécessiterait une modification des caractéristiques des prestations initialement prévus, ces travaux feraient l’objet d’un avenant écrit,
qui sera soumis pour approbation au Maître de l’ouvrage.
Etudes
L’entrepreneur communiquera à l’Architecte (en double exemplaire) et à l’organisme de contrôle technique, pour accord et
validation avant travaux :
•
Les plans d’exécution des ouvrages à réaliser (voiries, réseaux d’eau de pluie, places de parking et circulations avec
pentes, tranchée technique avec profondeur et distance des différents fourreaux, etc…).
• Le cas échéant, le procès verbal de confirmation par essais en laboratoire de l’aptitude au traitement des sols en place en
vu de leur consolidation et les études de traitement qui permettent de déterminer le ou les pourcentages de chaux et/ou liant
hydraulique en fonction de la teneur en eau des matériaux.
•
•
•
•
Les notes de calcul.
Les notices techniques des constructeurs avec les caractéristiques du séparateur d’hydrocarbure, de la cuve de
récupération d’eau pluviale, etc.…
Les notices de fonctionnement et préconisations d’entretien des équipements installés (séparateurs d’hydrocarbure, cuve
de récupération d’eau pluviale, etc.).
Tous autres documents complémentaires pouvant être demandés, pendant la durée du chantier.
Un plan dossier des ouvrages exécutés (plan de recollement précisant l’implantation des équipements et des réseaux mis
en place et un dossier technique) sera remis à l’Architecte en cinq exemplaires, à la fin des travaux.
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Terrassement, nivellement et purge
L’entrepreneur se conformera aux prescriptions du D.T.U. 12. et aux recommandations du bureau d’étude de sol.
Sécurisation des lieux pendant les travaux.
Intervention avec engins mécaniques adaptés, dans le respect des règlements de police.
Terrassement, décaissement et mise à niveau de la plate forme :
•
•
Décapage et mise à niveaux de la plateforme sous le bâtiment en étroite coordination avec le maçon.
•
Profilage et nivellement des zones de terrains à aménager en espaces verts.
Décapage et mise à niveaux de la plateforme sous les voiries (circulations, trottoir, terrasse, aire de lavage,
parkings, …), façonnage des pentes pour écoulement des eaux de pluie, façons de talutage et toutes suggestions
comprises.
Purge des éventuelles poches de sols médiocres (anciens remblais, gravats, déchets évolutifs) ou des éléments pouvant
constituer des points durs (anciennes infrastructures tels que caves, dallage ou fondations par exemple).
Purge de la terre végétale sur toute son épaisseur et purge de toute poche de remblais douteux.
Si existant, dessouchage et purge de la totalité des sols remaniés correspondant à l’emprise des racines.
Vérification par compactage du fond de forme.
Chargement des gravats et des terres non réutilisées pour les remblais, transport et évacuation du chantier. (dépôt en
décharge publique ou sur toute autre propriété sous la seule responsabilité de l’entrepreneur).
Les terres végétales réutilisables pour les remblais seront séparées et stockées à l’extérieur du périmètre du chantier. Ce lieu
sera défini avec l’accord du Maître de l’Ouvrage s’il est localisé sur le domaine public.
Localisation :
•
Sous l’emprise du bâtiment, des infrastructures et des voiries.
Nota :
En cas de remblaiement pour mise à niveau, ceux-ci seront réalisés par couches successives de 0,20 m maximum
avant compression, seront soigneusement compressés à l’engin mécanique et ne devront pas contenir de végétaux, ni de
gravois hétérogènes (ferrailles, motte, gazon, souche, matières organiques seront exclus).
Les terres végétales débarrassées de tous gravats seront mises en dépôt sur le terrain, en quantité suffisante, pour les travaux
d’égalisation et de préparation, avant engazonnement.
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4
Couche de forme
Surcharges d’exploitation :
•
•
•
•
Voiries, compris l’aire de lavage : véhicule de 16 Tonnes / 4 tonnes par essieu.
Remises à véhicules dans le bâtiment: véhicule de 16 Tonnes / 4 tonnes par essieu.
Locaux de stockage dans le bâtiment : 500 kg/m²
Locaux de fonction administrative et de fonction vie sociale dans le bâtiment : 250 kg/m²
Réalisation suivant préconisations du bureau d’étude de sol GINGER CEBTP, d’une couche de forme, sous l’emprise du
bâtiment et des voiries extérieures, d’une épaisseur suffisante pour la mise en œuvre des dallages et voiries.
Réception des plates-formes finies par une série d’essais à la plaque permettant de vérifier l’obtention des critères
habituellement retenus à savoir :
• Module de Westergaard : Kw > 50 MPa/m minimum
• Module d’élasticité EV2 ≥ 30 MPa
• Rapport de compactage EV2/EV1 <2
Résultats répondant aux critères, à soumettre à l’organisme de contrôle technique et l’Architecte pour information.
Compactage soigné de la plate-forme afin de déceler toute zone molle ou tout point dur et purges.
Géotextile non tissé en matériau imputrescible, disposé en fond de fouille et remontant sur les parois latérales.
Sous-couche ou couche de forme en matériau sablo-graveleux, sains, insensible à l’eau, non évolutif et soigneusement
compacté par couches minces avec contrôle de portance et de compactage par essais à la plaque de type LCPC et Westergaard.
L’épaisseur minimale de cette couche de forme sera suffisante pour obtenir au minimum une PF2 (EV2 = 50 MPa)
En cas de rencontre de poches humides, l’épaisseur de la couche de forme sera majorée afin de répondre aux critères de
réceptions.
Ce matériau d’apport pourra être constitué par un matériau sablo-graveleux 0/120 mm, avec un pourcentage de sédiments fins
(passant < à 80 µm) contenus dans ce matériau inférieur à 12% (classe D31 selon le GTR)
Localisation :
•
Sous l’emprise du bâtiment, des infrastructures et des voiries.
OPTION : traitement chaux ciment
Sous réserve de vérifier l’aptitude au traitement des sols en place en vu de leur consolidation. Essais et études à la charge de
l’entrepreneur.
Couche de forme avec les matériaux sablo- argileux du site, traités au liant hydraulique
Y compris préparation, mise en place et compactage avec engins mécaniques adaptés et toutes suggestions.
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5
Tranchée technique
Pour le passage des fourreaux : gaines électriques, de télécom, canalisation d’adduction d’eau, tuyau de raccordement au tout
à l’égout, canalisation gaz, etc...
Espacements entre réseaux définis dans le cahier 1231 du CSTB ou le guide du SETRA.
Fouille en tranchée, d’une profondeur suffisante pour le hors gel. Terres non réutilisées pour les remblais évacuées du
chantier.
Tous les éléments rencontrés à fond de fouille et susceptibles d’endommager les gaines et canalisations doivent être enlevés.
Remblai avec sable fin sur une hauteur minimum de 0,25 m, en pourtour des fourreaux et canalisations..
Pose de grillages avertisseurs, en plastique, modèles réglementaires.
Remblai soigneusement compacté, compris toutes suggestions.
Terres non réutilisées pour les remblais, évacuées du terrain.
Nota :
Le terrassier contactera les entrepreneurs concernés par cette prestation, en particulier l’électricien, le plombier et le lot
PYLONE PORTE ANTENNES, afin de définir le positionnement des différents fourreaux dans la tranchée, en conformité avec la
réglementation en vigueur.
Pour information, les câbles d’antenne ne tolèrent pas de rayon inférieur à 0,70 m, leur longueur doit être inférieure à 25 ml.
Localisation :
•
•
•
•
•
Des coffrets d’alimentation et boîtes de branchement aux réseaux publics d’eau potable, d’électricité, de télécom,
de tout à l’égout, en limite en bordure de rue au bâtiment. (Tranchée technique 1 et 2)
Du bâtiment au pylône radio. (Tranchée technique 3)
Du bâtiment à la citerne gaz. (Tranchée technique 4)
Du bâtiment à la citerne de récupération des eaux pluviales du bâtiment. (Tranchée technique 5)
Du bâtiment au portail (Tranchée technique 6)
Chambre de tirage
Regard, chambre de tirage pour réseaux d’électricité et de télécom, à la sortie du bâtiment et à proximité des infrastructures
spécifiques.
Type préfabriqué, en béton vibré ou en béton armé coulé en place.
Installation sur béton de propreté, compris terrassement, remblai de sable non agressif par couches compactées.
Dalle de fondation et de répartition et rehausses de réglage en béton, si nécessaire.
Section et cloisonnement adaptés selon préconisation des services compétents.
Réservation ou percement des regards et scellement des gaines.
Couvercle
• en fonte pleine ou en tôle striée galvanisée à chaud, classe A 15 - charge admise 15 KN, dans cadre cornière à feuillure,
si localisation de regard dans une zone de circulation piétonne.
• en fonte pleine ou en tôle striée galvanisée à chaud, classe B 125 - charge admise 125 KN, dans cadre cornière à
feuillure, si localisation de regard dans une zone de circulation de véhicules.
Localisation :
•
•
A proximité du bâtiment pour les installations électriques et Télécom
A proximité du pylône radio.
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6
Gaines aiguillées
Nota
L’offre doit comprendre le nombre de gaines ou fourreaux aiguillés conformes à la réglementation en vigueur, nécessaires au
raccordement des installations sur les réseaux publics de la compagnie des eaux, d’ E.R.D.F. , des TELECOM.
Elle comprend également les gaines ou fourreaux aiguillés spécifiques propres au projet suivant le détail ci-après.
L’entrepreneur s’informera auprès le l’électricien, du plombier et du chauffagiste de toutes les informations et suggestions
nécessaires à son intervention.
L’entrepreneur s’assurera que les travaux de remblaiement de tranchée sont réalisés suivant les règles de l’Art :
• respect des distances entre gaines, fourreaux et canalisations,
• remblai en périmétrie des entre gaines, fourreaux et canalisations, avec sable ou matériau compatible exempt de
cailloux ou éléments susceptible de détériorer les installations,
• positionnement des grillages avertisseurs,
• respect des couleurs réglementaires (gaines, fourreaux et grillages)
• etc..
Pour information, les câbles d’antenne ne tolèrent pas de rayon inférieur à 0,70 m, leur longueur doit être
inférieure à 25 ml.
Fourniture et mise en place de gaines ou fourreaux, de section et de couleur réglementaire, dans fond de tranchée, en
coordination avec les entreprises concernée.
• Une gaine aiguillée Ø 100 mm, agréée E.R.D.F., pour alimentation électrique générale (du coffret avec compteur
E.D.F. en limite de propriété jusqu’au disjoncteur ou tableau électrique général).
• Une gaine aiguillée Ø 100 mm, agréée E.R.D.F., pour chauffe-eau électriques (du coffret avec compteur E.D.F. en
limite de propriété jusqu’au relais dans le tableau électrique)
• Une gaine aiguillée Ø 40 mm, agréée TELECOM, pour raccordement sur ligne du réseau public (du coffret France
Télécom en limite de propriété, jusqu’aux prises au standard dans la salle opérationnelle)
• Une gaine aiguillée complémentaire en attente Ø 40 mm, pour installation d’une deuxième ligne téléphonique ou autre
(du coffret France Télécom en limite de propriété, jusqu’à l’intérieur du bâtiment)
• Trois gaines aiguillées Ø 100 mm, de la chambre de tirage au pied du pylône porte antennes jusqu’à la salle
opérationnelle.
• Une gaine aiguillée Ø 40 mm, du pylône porte antennes au tableau électrique (pour éclairage de signalisation
nocturne).
• Une gaine aiguillée Ø 40 mm, de la citerne de récupération des eaux de pluie au tableau électrique (pour pompe de
puisage).
• Une gaine aiguillée Ø 100 mm, pour canalisation d’alimentation en eau potable (de la fosse avec compteur installées
par la compagnie des eaux en limite de propriété jusqu’à l’intérieur de la construction, côté chaufferie)
• Une gaine aiguillée Ø 100 mm, pour canalisation d’alimentation en gaz (de citerne gaz jusqu’à l’intérieur de la
construction, côté chaufferie)
• Trois gaines aiguillées Ø 40 mm, en attente entre le portail et le local courant faibles de la salle opérationnelle
• Grillages avertisseurs, en plastique, modèles réglementaires.
Localisation : suivant plan de masse et instructions des services concernés.
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7
Raccordement du bâtiment au réseau public de tout à l’égout
l’égout.
Pour évacuation des eaux usées et vannes provenant des appareils sanitaires du bâtiment, dans le réseau public de tout à
Façon de pente de 1,5% à 2% par mètre de canalisation.
Boîte de branchement en béton étanche de section intérieure minimum 400X400 mm avec un élément de fond intégré en T
pour PVC Ø 160 mm, façon de cunette ou banquette préformée.
Type B2B de chez BLARD ou similaire.
Sections adaptées aux quantités d’eau devant être collectées et aux diamètres de canalisations à raccorder.
Percement des regards et scellement des canalisation. Joints souples.
Compris fouilles, fondations pour réglage et assise, rehausses, percements et scellements des canalisations.
Canalisations d’eaux usées et vannes traversant le regard, avec ouverture sur le dessus.
Couvercle
• en fonte pleine ou en tôle striée galvanisée à chaud, classe A 15 - charge admise 15 KN, dans cadre cornière à feuillure,
si localisation de regard dans une zone de circulation piétonne.
• en fonte pleine ou en tôle striée galvanisée à chaud, classe B 125 - charge admise 125 KN, dans cadre cornière à
feuillure, si localisation de regard dans une zone de circulation de véhicules.
Mise en place de joints spécifiques dans cadre cornière, en contact avec le couvercle, pour éviter toute émanation de
mauvaises odeurs.
Réseau principal en PVC Ø 160 mm.
Canalisations et accessoires de raccordement en polychlorure de vinyle (P.V.C.) , collées à la colle spéciale ou en fibre
ciment scellé suivant les préconisations du fabricant, compris fouille en tranchée, remblaiement et toutes suggestions.
Diamètres proportionnés au débit d’eau devant passer dans la canalisation (le calcul des sections pouvant être demandé par
l’architecte).
Renforcement des canalisations passant sous voirie.
Stabilisation des canalisations et remblaiement de la tranchée avec sable soigneusement damé.
Nota :
L’entrepreneur s’informera auprès du maçon du positionnement des regards et de toutes les suggestions utiles à son
intervention.
Localisation :
•
•
Regards en nombre suffisant défini après étude, pour récupération des eaux usées et vannes à proximité
immédiate du bâtiment.
Canalisations de raccordement des regards à la boîte de branchement du réseau public de tout à l’égout.
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8
Bassin, noue, puits d’infiltration des eaux de pluie
Pour récupération, stockage et infiltration dans le milieu naturel des eaux de pluies issues des voiries, du bâtiment et des eaux
de ruissellement provenant de la propriété.
Capacité minimum de stockage d’eau avant infiltration : 200 m³
Surface minimum de contact dans les couches perméables (craie blanche, sable, etc.) : 72 m²
Version de base : Puits d’infiltration
Fouille en puits.
Terres de terrassement évacuées du chantier.
Buses en béton type préfabriqué, de diamètre adapté.
Buses perforées en partie perméable (en contact avec les surfaces d’échange).
Buses pleines en partie supérieure non perméable.
Dispositif de répartition.
Tampons ajourés en béton avec armature de renfort.
Gravier 40-80 mm
Regard de visite. Dimensions intérieures 400x400x400 mm. Compris rehausses et toutes suggestions.
Couvercle en béton.
Remblaiement périmétrique à l’aide de craie franche.
Options : Bassin ou noue d’infiltration
Terrassement et façon de talutage.
Terres de terrassement évacuées du chantier.
Dans fond de bassin ou de noue, fourniture et mise en place de galets Ø 100, sur une épaisseur minimum de 0,50 ml et d’un
géotextile non tissé en matériau imputrescible.
Tranchée, canalisations de raccordement, percement, scellement des canalisations et toutes suggestions comprises.
Exécution des prestations à l’aide d’engins mécaniques adaptés.
Localisation : suivant plan de masse.
Version de base : puits d’infiltration pour eau de pluie
OPTION 1 : bassin de rétention et d’infiltration d’eau de pluie
OPTION 2 : noue de rétention et d’infiltration d’eau de pluie
Séparateur d’hydrocarbures avec débourbeur
Pour traitement des eaux de pluie provenant des voiries (circulations, parkings, aire de manœuvre et aire de lavage), avant
rejet dans le milieu naturel par l’intermédiaire d’un bassin, d’une noue, d’un puits d’infiltration.
Equipé de filtre coalesceur parcellaire monolithique et obturateur automatique.
Débit du séparateur d’hydrocarbures compris entre 25 et 40 litres/seconde.
Procédé technique, galva, garantie 10 ans.
Systèmes d’alarme de dysfonctionnements.
Mise en œuvre suivant instructions du fabricant.
Installation hors gel, sur béton de propreté, compris terrassement, remblai de sable non agressif par couches compactées.
Dalle de fondation et de répartition et rehausses de réglage en béton, si nécessaire.
Compris toutes suggestions pour ventilation de l’appareil.
Remplissage d’eau potable avant usage.
Couvercle
• en fonte pleine ou en tôle striée galvanisée à chaud, classe A 15 - charge admise 15 KN, dans cadre cornière à feuillure,
si localisation de regard dans une zone de circulation piétonne.
• en fonte pleine ou en tôle striée galvanisée à chaud, classe B 125 - charge admise 125 KN, dans cadre cornière à
feuillure, si localisation de regard dans une zone de circulation de véhicules.
Localisation : suivant plan de masse.
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Réseau d’évacuation des eaux de pluie de la voirie
Pour évacuation dans le séparateur d’hydrocarbures avec débourbeur, puis après filtrage dans le dispositif de stockage et
d’infiltration.
Façon de pente de 1,5% par mètre de caniveau et de canalisation.
Regards de voirie en béton de ciment et de granulats, compris fouilles, fondations pour réglage et assise, rehausses,
percements et scellements des canalisations.
Sections adaptées aux quantités d’eau devant être collectées et aux diamètres de canalisations à raccorder.
Percement des regards et scellement des canalisations. Joints souples.
Grille en fonte, classe B 125 pour charge admise 125 KN ou classe C 250 pour charge admise 250 KN, mis en place dans
cadre cornière à feuillure. Dimension des trous et fentes < 20 mm.
Caniveaux de voirie en béton de ciment et de granulats, armés, compris fouilles, fondations pour réglage et assise,
obturateurs aux extrémités, percements et scellements des canalisations.
Sections adaptées aux quantités d’eau devant être collectées et aux diamètres de canalisations à raccorder.
Percement des caniveaux et scellement des canalisations. Joints souples.
Grille en fonte ou en métal galvanisée à chaud, classe B 125 pour charge admise 125 KN ou classe C 250 pour charge admise
250 KN, mis en place dans cadre cornière à feuillure. Dimension des trous et fentes < 20 mm.
Canalisations et accessoires de raccordement en polychlorure de vinyle (P.V.C.) , collées à la colle spéciale ou en fibre
ciment scellé suivant les préconisations du fabricant, compris fouille en tranchée, remblaiement et toutes suggestions.
Diamètres proportionnés au débit d’eau devant passer dans la canalisation (le calcul des sections pouvant être demandé par
l’architecte).
Renforcement des canalisations passant sous voirie.
Stabilisation des canalisations et remblaiement de la tranchée avec sable soigneusement damé.
Nota :
L’entrepreneur du lot 2 doit dans sa prestation le curage complet des réseaux intérieurs et extérieurs (Réseaux d’évacuation
d’eaux vannes, d’eaux usées et d’eaux pluviales des lots 1 et 2), avant réception des travaux.
L’entrepreneur du lot VOIRIE informera le lot MACONNERIE de toutes les suggestions susceptibles d’intéresser son
intervention. Il lui remettra les plans des réseaux (DOE) et l’assistera le cas échéant dans les secteurs sujets à précautions
particulières.
Localisation :
•
•
•
Regards avaloirs en nombre suffisant défini après étude, pour récupération des eaux pluviales issues des voiries
de circulation et parking.
Caniveau pour récupération des eaux issues de l’aire de lavage (longueur minimum : 5,00 m).
Canalisations de raccordement des regards, caniveaux, etc, au dispositif de stockage et d’infiltration des eaux
pluviales.
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10
Réseau d’évacuation des eaux de pluie du bâtiment
Pour évacuation dans la citerne de récupérateur d’eau pluviale, puis après remplissage dans le dispositif de stockage et
d’infiltration.
Pour évacuation directement dans le bassin de stockage et les puits d’infiltration.
Façon de pente de 1,5% à 2% par mètre de canalisation.
Regards en béton de ciment et de granulats, compris fouilles, fondations pour réglage et assise, rehausses, percements et
scellements des canalisations.
Sections adaptées aux quantités d’eau devant être collectées et aux diamètres de canalisations à raccorder.
Percement des regards et scellement des canalisations. Joints souples.
Couvercle
• en fonte pleine ou en tôle striée galvanisée à chaud, classe A 15 - charge admise 15 KN, dans cadre cornière à feuillure,
si localisation de regard dans une zone de circulation piétonne.
• en fonte pleine ou en tôle striée galvanisée à chaud, classe B 125 - charge admise 125 KN, dans cadre cornière à
feuillure, si localisation de regard dans une zone de circulation de véhicules.
Canalisations et accessoires de raccordement en polychlorure de vinyle (P.V.C.) , collées à la colle spéciale ou en fibre
ciment scellé suivant les préconisations du fabricant, compris fouille en tranchée, remblaiement et toutes suggestions.
Diamètres proportionnés au débit d’eau devant passer dans la canalisation (le calcul des sections pouvant être demandé par
l’architecte).
Renforcement des canalisations passant sous voirie.
Stabilisation des canalisations et remblaiement de la tranchée avec sable soigneusement damé.
Nota :
L’entrepreneur s’informera auprès du maçon et du couvreur du positionnement des regards et de toutes les suggestions utiles
à son intervention.
La liaison sous dallage intérieur, de la descente d’eau pluviale jusqu’au regard d’eau pluviale, est à la charge du lot
MACONNERIE.
Localisation :
•
•
Regards en nombre suffisant défini après étude, pour récupération des eaux pluviales issues des toitures du bâtiment.
Canalisations de raccordement des regards, citerne de récupération d’eau pluviale, etc, au dispositif de stockage et
d’infiltration des eaux pluviales.
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Récupérateur d’eau de pluie
Pour la récupération des eaux pluviales provenant des toitures du bâtiment.
Eaux pluviales de récupération destinées à être utilisées sur l’aire de lavage et pour les exercices de manœuvres.
Fouille en excavation.
Terres de terrassement évacuées du chantier.
Cuve, modèle à enterrer, d’une capacité de 8 000 litres, en béton préfabriqué ou polyester adapté à l’usage, pour la
récupération et le stockage des eaux de pluie provenant des toitures du bâtiment.
Rehausse et couvercle vissés.
Dispositif de ventilation avec grille anti-moustiques.
Filtre d’entrée de cuve.
Trop-plein de cuve avec clapet anti-retour et grille anti-nuisible.
Dispositif d’aspiration incluant un flotteur, une crépine, un clapet et un flexible à raccordement taraudé.
Pompe auto-amorçante protégée contre la marche à sec.
Raccordement sur ligne d’alimentation électrique laissée en attente par l’électricien à proximité immédiate de la pompe
suivant instruction du présent lot.
Mise en œuvre suivant instructions du fabricant.
Installation hors gel, sur béton de propreté, compris terrassement, remblai de sable non agressif par couches compactées.
Dalle de fondation et de répartition et rehausses de réglage, si nécessaire.
Compris études toutes suggestions de raccordement sur l’installation existante.
Fournir avec l’offre une fiche technique du matériel proposé.
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Caniveaux type CC1
Avec façon de pente, pour canalisation et évacuation des eaux de pluie vers les installations existantes collectives.
Caniveaux double pente de voirie, en béton préfabriqué, compris fouille, fondation de gros béton pour réglage et assise.
Localisation : suivant nécessité, pour canalisation des eaux pluviales des voiries créées vers les regards avaloirs.
Bordures
Bordures de voirie avec circulation de véhicules et parking : type T1
Bordures de voirie avec circulations piétonnes : type P1
En béton préfabriqué, compris fouille, fondation de gros béton pour réglage et assise.
Localisation : suivant plan de masse, en périmétrie des voiries (circulations, parkings, aire de manœuvre et aire de lavage).
Plate-forme - aire de lavage
Surcharges d’exploitation : véhicule de 16 Tonnes / 4 tonnes par essieu.
Purge des poches de sols médiocres ou des éléments pouvant constituer des points durs et reconstitution de la grave de
fondation selon les Règles de l’Art.
Mise à niveau et égalisation de la plate forme.
Grave en béton de cailloux, d’épaisseur adaptée, soigneusement vibrée.
Coffrage des rives.
Dallage en béton armé, soigneusement vibré, dimensions 10,00 m x 5,00 m.
Epaisseur définie après étude.
Profilé avec façon de pente pour récupérer les eaux de ruissellement vers un caniveau central.
Nota :
Le caniveau central est décrit au paragraphe « Réseau d’évacuation des eaux de pluie de la voirie » du présent lot.
Localisation : suivant plan de masse.
Voirie en enrobés
Surcharges d’exploitation : véhicule de 16 Tonnes / 4 tonnes par essieu.
Façon de pente pour l’écoulement des eaux de pluie vers les bordures, caniveaux, regards prévus à cet effet.
Purge des poches de sols médiocres ou des éléments pouvant constituer des points durs et reconstitution de la grave de
fondation selon les Règles de l’Art.
Mise à niveau et égalisation de la plate forme.
Grave en béton de cailloux, d’épaisseur adaptée, soigneusement vibré.
Couche d’accrochage par imprégnation à l’émulsion de bitume et gravillonnage.
Revêtement définitif : enrobés denses 0/10, à chaud, NOIR, à raison de 125 kg/m2, mise en oeuvre soigneusement
compacté à l’aide d’engins mécaniques adaptés.
Critères de réception : flèche inférieure en tous sens à 5 mm, pour une règle de 2 m.
Localisation : suivant plan de masse, ensemble des voiries de circulations et parkings, compris bande d’accotement d’accès
à la voie publique.
PRO - C.C.T.P. - lot n°1 – Juillet 2011
SDIS de la Somme – centre de secours AULT
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Marquage de sol
Préparation des supports, préparation des produits et mise en œuvre suivant préconisations du fabricant.
Dépoussiérage et nettoyage des surfaces à recouvrir.
Peinture pour voirie, destinée à assurer un marquage permanent, compris implantation et toutes suggestions de traçage.
Localisation : suivant plan de masse,
•
•
délimitation des places de stationnement
matérialisation de la place de stationnement réservée et réalisation du sigle réglementaire, selon les règles en
Remblai de terres végétales
Remblai et nivellement avec terres végétales laissées en dépôt sur le terrain, réalisés à l’engin mécanique en pourtour de la
construction et de la voirie.
Parachèvement du profilage du terrain, suivant plan de masse.
Régalage en fin de chantier (avant réalisation des espaces verts).
Terres non réutilisées pour les remblais, évacuées du terrain.
Localisation :
− Zones non enrobés, hors bâtiment.
Panneaux de signalisation
Trous, scellements des poteaux et toutes suggestions.
Finition béton d’arase de propreté.
Poteau en acier galvanisé.
Panneau en métal laqué, aux formats, sigles et couleurs réglementaires.
Localisation : suivant plan de masse,
•
Panneau d’accès réservé derrière la place de stationnement handicapé.
Mât porte drapeau
Matériel compatible avec une atmosphère de bord de mer.
Mise en œuvre suivant instructions du fabricant.
Trous, plot de fondation en béton, armature adaptée si nécessaire, scellement embase et toutes suggestions.
Finition béton d’arase de propreté.
Embase, boîtier d’encastrement.
Mât en aluminium finition laquée blanc, Ø 63mm et épaisseur 3 mm au moins, longueur 7,00 m
Finition au dessus, pommeau synthétique blanc.
Dispositif fixe, œillets de guidage pour levée du drapeau.
Localisation : suivant plan de masse,
Nota :
Non compris : Drapeau, taquet amovible, mousqueton et tous dispositifs non décrit.