Maltraitances Psychologiques et Psychiatriques du 14 mars 2007 à

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Maltraitances Psychologiques et Psychiatriques du 14 mars 2007 à
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Maltraitances Psychologiques et Psychiatriques du 14 mars 2007 à ce jour :
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14 Mars 2007 : Pierre, âgé seulement d’1 an, entendra sa grand-mère paternelle me dire : « si tu pars c’est sans
Pierre, il est à moi. Si tu pars tu ne reverras plus jamais ton fils, c’est moi qui le garderai »
18 mars 2007 : Pierre sera victime du rapt par son grand père paternel et son père, après avoir vu et entendu
son père être violent envers moi me menaçant de mort et me disant que je ne reverrai jamais plus mon fils.
Depuis le premier droit d’hébergement en septembre 2007, Pierre se réveille la nuit en hurlant et me dit avoir
peur d’un homme en noir qui vient le voir la nuit.
Pierre me dit qu’il est enfermé dans sa chambre dans le noir pour dormir.
A partir de ce premier droit d’hébergement, Pierre se mettra à grincer des dents et cela continue encore
aujourd’hui.
Pierre dit « mamie me donne du sirop pour dormir ». Il le répétera à chaque droit d’hébergement.
Après la circoncision (19 juin 2008), Pierre dira : « papi, pénis »
Après chaque droit d’hébergement, Pierre revient apeuré, il se cache sous la table, il est perdu. Il se frappe et
est très agressif, à chaque fois il a besoin de 3 heures pour se calmer et de 48 heures pour reprendre un rythme
de vie normal.
Août 2008 : Lors de vacances de Pierre (15 jours seul avec ses grands parents paternels au camping), Nicolas
Garreau m’a dit à notre arrivée pour le passage de Pierre : « Pierre va au camping avec mes parents, je leur
fais un cadeau, c’est moi qui te donnerait des nouvelles quand je le voudrais, je t’interdis de téléphoner à mes
parents ». En entendant les paroles de son père, Pierre s’est mis à l’écart dans un coin sans rien dire en se
renfermant sur lui-même, baissant la tête.
 Je n’ai eu aucune nouvelle de mon fils durant 15 jours à part qu’au bout de 2 jours Pierre a fait une
insolation et qu’il a été amené en urgence par Sandrine et William Garreau chez le médecin. Aucune
ordonnance n’a été transmise ni traitement.
A chaque passage, Mr Garreau Nicolas, père de Pierre, refuse de prendre les affaires de Pierre au point de dire
pour Noël 2009 : « si tu ne remets pas le sac (de jouets que Pierre avait eu pour Noël) dans ton coffre, il
restera sur la route ».
Mr Garreau Nicolas a la garde de Pierre depuis le 3 octobre 2009 : tous les faits exprimés ci-dessus ont
été multipliés par trois :
Pierre se mord les lèvres à garder des marques. Pierre a besoin de 4 jours pour reprendre une
alimentation équilibrée, un bon sommeil, pour qu’il ne soit plus anxieux ou angoissé, son visage reprend
des couleurs, il n’est plus gris.
Mr Garreau refuse de continuer le suivi pédopsychiatrique de Pierre, qu’il a commencé en novembre
2007 avec le Dr Véniard.
Pierre dit à chaque fois : « je ne peux pas dire, pas parler, car papi, mamie , papa m’interdisent de
parler », « je n’ai pas droit de dire ».
Pierre dit aussi : « si je dis papa et Emilie me tueront », et « papi tuera maman »
Pierre dort entre sa grand-mère et son grand père toutes les nuits. Pierre dit « je dort entre papi et
mamie et mamie me réveille la nuit pour aller faire pipi », « une fois papi a mis son pénis dans la
bouche à mamie ».
« Papi et papa m’enferment dans le local à poubelles sans lumière »
« mamie me met à quatre pattes pour prendre la température »
« papi, mamie, papa m’embrassent sur la bouche »
Lors de son retour des vacances de Noël, alors que son père refuse de prendre les jouets que Pierre a
reçu, Pierre s’est caché dans la voiture et a enlevé ses gants (il faisait très froid) car pour la famille
paternelle Pierre ne doit rien avoir qui vient de moi.
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Pierre est pris à parti par son père comme « bouclier humain » derrière la voiture car Nicolas refuse
toujours de prendre la valise, les jouets ou encore les peluches personnelles de Pierre.
Pierre parle de son enfermement permanent chez ses grands parents paternels : « mamie regarde le foot
l’après midi, je l’ai regarde avec elle, je ne vais pas à l’école ». « je ne fais rien (activités) car ils
n’aiment pas ».
Pierre a parlé : « je ne veux pas mourir » ; « mamie me dit qu’elle préfère me voir mort qu’avec ma
mère » ; « papa dit qu’il tuera ma mère si je suis avec elle » ; « quand papi me fais des bisous dans
l’oreille et me lèche, il me dit de ne rien dire à maman sinon il la tuera ».
Pierre dit : « une fois papi m’a parlé de la foufoune à mamie » ; « pour mon anniversaire, ils m’ont pris
en photo, nu, puis après ils ont dit que c’était la foufoune à nonna »,
nonna étant sa grand-mère maternelle.
Du 15 août 2010 au 22 octobre 2010, toute la famille paternelle refuse que Pierre et moi nous nous
voyons. Et Nicolas Garreau, père de Pierre, refuse que je parle à mon fils car dixit : « las juges n’ont
pas écrit que tu pouvais téléphoner ».