II Réclame d`Agrandissements

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II Réclame d`Agrandissements
JOURNAL DE VIENNE ET DE L'ISERE
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Messieurs les actionnaires sont
co<nvt>qués en Assemblée Générale
annuelle
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le DIMANCHE
S E P T AVRIL MIL NEUF CENT
TRENTE CINQ, à QUINZE HEURES, a u siège social, à GENAS
(Moulin à Azieu), pour délibérer
sur l'ordre du jour suivant :
1° Rapport du Conseil d'Administration ;
2° Rapport des Commissaires des
Comptes ;
3° Approbation des rapjwrts, du
luian et des comptes de l'exercice
1934, et de l'emploi dts bénéfices ;
4° Nomination d'administrateurs
et fixation des jetons de présence
du Conseil d'Administration ;
5° Nomination d'un ou plusieurs
Commissaires des Comptes
pour
l'exercice 1935 et fixation de iettr
rémunération ;
0° Autorisation aux administrateurs, conformément à l'art. 10 de
la loi du vingt-quatre juillet mil
huit cent soixante sept.
Messieurs les actionnaires sont
priés df déposer leurs titres avant
le deux avril, au siège social. Il
leur sera délivré en échange u n
reçu nominatif pour leur admission à l'Assemblée. I/>s récépissés
de dépôt dans les Maisons de banque ou chez les Officiers ministériels peuvent être déposés h la pince des titres eux-mêmes.
Le Conseil d'Administration.
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Adresser les oppositions en l'étude de M® CRETAT. notaire, domicile élu, dans les dix jours du présent avis, à peine de forclusion.
Insertion parue a u Bulletin Officiel des Ventes du seize m a r s mil
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Suivant acte reçu p a r M« CRETAT, notaire à St-Alban-du-Rhône,
le 28 février 1935, enregistré à
Roussillon, le 7 m a r s 1935, vol. 297,
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RENAULT folio 47, n° 247, Madame Margueri C O W I E Z - S O I S V O S C ' . L J f i l l É S , n o u s v o u s g a r a n t i » te BUFFAT, débitante, épouse sé- » o n » l a p a r f a i t e
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parée de biens de M. Jean KOr
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Etude de M* S A URIN-STEH L Y
avoué à Vienne
Place de la République, n° 1
Extrait de demande
en séparation de biens
D'un exploit de M* MANIGUET, huissier à Vienne, <n
date du dix-huit mars mil neuf
cent trente cinq, enregistré, il
appert que :
| Madame BONN Y Simonne,
; épouse de Monsieur Armand
¡LAUVERGNE, demeurant à
| St-Bonnet-de-M;ue (Isère), a for' nié une demande en séparation
i de biens contre son mari ledit
Armand LAUVERGNE, ci-devant cafetier à St-Bonnet-deMure, route Nationale ;
Que M" SAURIN-STEHLY,
avoué à Vienne, est constitué et
occupe pour la demanderesse sur
la procédure de séparation de
biens et sur ses suites.
Pour extrait :
signé : SAURIN-STEHLY.
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35
( p , | n i 1 " A«iij
P a r acte sous seings privés, en
date à Décines-Charp.eu
d u 18
m a r s 1935, dont un exemplaire, enregistré à St-Vallier (Drôme), le 20
m a r s 1935, folio 38, n" 191, a été déposé aux m.nutes de M" I1ROET,
notaire à St-Vallier, le 18 m a r s
1935, M. CARRET Jean-Eugène, cafetier, demeurant à. Décines-Charpieu, a vendu à M. CATV PaulRémy, concierge, demeurant a u
même lieu, un fonds de café-comptoir et jeux de boules, exploité à
Décines-Charpieu, place de l'Ancienne Mairie.
Oppositions a faire d a n s les dix
jours de la seconde insertion, à lu
mairie de Décines-Charpieu, a u
domicile de M. CATY. acquéreur.
Ch. BROET.
Etude de M' Jean QUEREYRON
notaire à Beaurepaire (Isère)
(Deuxième Avis)
Suivant acte s. s. p. en date a
St-Priest, du 1 " m a r s 1935, enregistré A St-Symphorien-d'Ozon, le
4 dudit mois, folio 15, case 10, M.
Charles FONTROBERT, rafetier à
St-Priest, quartier de la Poste aux
Chevaux, a vendu h M. Roger-Joseph PROTAT, représentant, à StPriest, 130, rue Masséna, le fonds
de commerce de café, jeux de boules, exploité à St-Priest, rouit Nationale de Lyon il Grenoble, dénommé » Café de l'Aérodrome ».
Les oppositions s'il y a lieu, devront être faites dans les dix jours
de la présente insertion, au siège
du fonds vendu, domicile élu par
les parties.
Insertion parue au bulletin Officiel des Ventes du seize m a r s mil
neuf cent trente cinq.
Pour deuxième insertion,
R PROTAT.
V E N T E
lp"mi«r
Av
'»>
Suivant acte reçu par M' QUEREYRON, le 18 m a r s 1935, enregistré à Beaurepaire, le 20 mars 1935,
folio 73. case :£28, M. François
NIEWIECKI, coiffeur, demeurant
à Beaurepaire, a vendu ù M. Pierre-Henry LAGOUY, coiffeur et à
Madame
Monika-Cécile-Bénédikta
FILEBORN, son épouse,
demeurant ensemble à Beaurepaire, le
fonds de commerce de coiffeur et
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Les oppositions, s'il y a lieu, seront reçues à Beaurepaire, en
l'étude île M« QUEREYRON, domi- L e » 8 s é r i e » d ' A g r a n d i s s e m e n t » q u e n o n » ' v o u s o f l T r o n »
cile élu, d'ici a u dixième jour nui
suivra ia deuxième insertion.
pour eette vente, sont d'une présentation artistique très
Pour premier avis,
QUEREYRON. s o i g n é e . t.WM I M I I X W E S T E U T I t l l B A T T A B I . E S .
45
Seul, d u groupe, Morvan affec- vouloir assister aux recherches du liane, depuis la scène d u matin,
— Oui. mais ce sont des excur— Oh ! plusieurs... trois pour le et des échelles préparées, les serl'inquiétait.
viteurs groupés restaient graves. tait un air détaché et sifflait, bien garde.
sions permises e t coutumières... moins.
Que signifiait cette insistance ?
— Tenez ! les v'ià ! signala bienUs avaient dégagé l'entrée d u que l'air morose d e ses compaTandis que cette p r o m e n a d e d a n s
— Trois t o m b e r e a u x ? calculaElle n e pouvait s'intéresser à ce
(15)
le fond d'un puits serait absolu- t-il. Allons, le fonds est u n peu puits en coupant les ronces e t les gnons n'eût pour lui rien d'encou- tôt celui-ci. L a demoiselle qu'est
une crâne luronne, a tenu à venir point au fusil du garde, e t ce n'ément ridicule.
: comblé... assez pour que l a ver- orties qui e n défendaient l'appro- rageant.
— Fichu travail ! m a r m o n n a le aussi. A voulait-y point descendre tait certes pas par raison d'écono— Oh ! je proteste !... Ce qui of- mine qui peut s'y trouver soit en- che, et le trou béant dressait sa
gueule noire vers le ciel comme un père Etienne quand la longue é- elle-même chercher mon fusil ! mie qu'elle p r é f é r a i t qu'on le ref r e de l'intérêt e t ce qui a un but terrée.
Pour u n e chouette patronne, a trouve...
chelle f u t en place.
véritable e s t a u t r e m e n t normal
Et puis, n e fallait-il pas, a v a n t monstre vorace e t redoutable.
Alors ?
Après avoir écarté soigneuse— Le démon a un escalier d'hon- promet d'être épatante.
qu'un d a n g e r couru pour le seul toute chose, empêcher la jeune tépar MAX DU VEUZIT
Il se tourna v e r s la j e u n e fille
— Oui, convint le père Etienne.
plaisir de le courir.
méraire de m e t t r e à exécution son ment les pierres branlantes q u i n e u r pour sortir d e son trou, à
eussent pu se détacher d u r a n t la présent, observa P i e r r e en se pen- Elle est ben avenante. Seulement, marchant à son côté. Un rayon de
— Eh bien, justement. Ce vieux ridicule projet ?
puits est dangereux, il pourrait
Après quelques secondes d'hési- descente d u garde-chasse e t luichant sur l'orifice pour voir l'enfi- c'est jeune, c'est intrépide, ça sesoleil, perçant l'épaisse verdure,
s'effondrer.
tation où il envisagea toutes les tomber sur la tête, les hommes fai- lade des b a r r e a u x échelonnés dis- méfie pas. F a u t pas traiter de ra- venait jouer à cet instant sur ses
dotage ce que nos pères disaient. cheveux bouclés e t les nimbait
— Allons donc ! C'est e n f a n t i n solutions, il décida enfin, s'adres- saient, m a i n t e n a n t , glisser les lon- p a r a î t r e d a n s l'obscurité.
Le vieux puits est point u n lieu d'or.
gues
échelles
dont
les
montants,
Mais
Clément
l'éloigna
d'une
sant
a
u
garde-chasse
:
d'éviter
cet
accident...
Vous
exa(Suite)
Que se passait-il d a n s cette chèplaisant où venir se promener.
gérez le d a n g e r à plaisir. Au con— A vos risques et périls, Mor- ajoutés bout à bout avec de soli- bourrade.
re
tête blonde ?
des
cordes,
la
multipliaient
d'une
—
A
ben
sûr
!
concéda
Clément.
— Sacré m ô m e ! Vas-tu t e tai— Eliane ! J e vous en prie !... traire, ça m ' a m u s e r a ! Cela m'évo- van ! Si vous y tenez, soit, allez-y !
Soudain,
une idée jaillit e n son
1 q u e r a la descente au Gouffre d'En- mais prenez toutes les précautions façon continue.
On
doit
pas
rire
d
e
ce
qu'on
ne
re
!...
C'est-y
d
e
s
choses
à
dire
Ne plaisantez pas ainsi, chère pefer... Ça va ê t r e t r è s drôle !
nécessaires.
— Alors. Morvan 9 On est d'at- quand u n des nôtres doit descen- connaît pas !... Les légendes ont cerveau f a t i g u é tite folle !
Une idée ! comment ne l'avait-il
leurs vérités !
dre là-dedans.
Il continua, très m a i t r e d e luitaque ?
— Ce n'est pas une plaisanterie, 1 Elle souriait, semblant se com— Allons, vous en faites pas, fit — Allons, intervint le garde. pas eue plus tôt ? C'était si sim— Bah ! répondit le garde, évarépliqua la j e u n e fille sérieuse- ; plaire à lire sur le visage de son m a i n t e n a n t , à d o n n e r les instrucle g a r d e e n a l l u m a n t tranquille- J'suis tout le temps dans le bois ple...
ment. J'ai réellement l'intention, fiancé ses plus fugitives expres- tions pour que les échelles, la cor- sif, on en a vu d'autres...
Aussi, lorsque les échelles f u r e n t
ment
une cigarette. Y a peut-être et j'ai jamais rien vu d'extrajrdide
de
l'étang,
tout
f
û
t
rassemblé.
—
Faut
dire
tout
de
même
que
sions
de
déplaisir.
de t e n t e r ce petit exercice acroCelui-ci, e n effet, avait peine à
— Il est l'heure d'aller d é j e u n e r , la p r o m e n a d e n'est guère affrio- des rats ou d ' i a v e r m i n e d a n s naire... même de ce côté. Nos pères solidement fixées à la margelle, il
batique qui n'a rien de bien danAujourd'hui, s'approcha d u puits.
cacher son désarroi. A mesure que m a i n t e n a n t , mais q u e tout soit lante... c'est noir pis qu'une cave... l'fond, mais c'est sûrement tout ce étaient crédules...
gereux. j e vous l'assure.
Morvan, assez é m u malgré sa
avec l'instruction, on s'explique
la jeune fille parlait, il se sentait prêt pour la descente... attendez
— Ça n'est rien ! Le principal, que j'y trouverai.
— Mais c'est fou !
bravoure,
s'apprêtait à descendre.
mieux
les
choses...
Mais
v^à
!•'
padécidé à tout plutôt que de la lais- deux heures, j'y serai. J e tiens à y c'est qu'il n'y ait pas de mauvais
— Y a aussi vot' fusil, Morvan !
— Vous oubliez que j e suis une
Sa lampe électrique à la main,
tron,
parlons
pas
de
ça,
il
n'aime
ser descendre dans le puits mau- assister !
gaz
d
a
n
s
ce
trou-là...
Enfin,
puisreprit le gosse, t o u j o u r s gouailleur
alpiniste très entraînée. Ma bonne
dit.
que le papier a brûlé jusqu'au L ' f a n t ô m e est armé, m a i n t e n a n t , pas qu'on jabote sur le vieux puits. u n e longue corde fixée à sa ceintutante, qui n'est p o u r t a n t pas très
re, il allait poser son pied sur le
fond.
faudrait p't'être ben que vous metUn peu silencieux, .'es fiancés
Affectant tout le calme dont il i — Moi aussi, a j o u t a Eliane.
moderne par ailleurs, a la passion
premier échelon quand l a voix de
—
P
a
r
d
i
n
e
!
Le
feu
n
e
pouvait
tiez u n e cuirasse.
s'avançaient sous les çrands pins.
de la montagne et je lui dois, heu- était capable, il d e m a n d a à MorRoger
retentit, n e t t e et autoritaique mieux b r û l e r en allant rejoinRoger avait, malgré lui. le visa- i
Personne encore n e releva la
reusement, mon éducation sporti- van :
re :
XIII
d
r
e
le
diable
qui
habite
là-dedans!
plaisanterie d u petit P i e r r e et le ge crispé dans son e.fort pour pa— Est-ce que le comblement est
ve. Il y a dix ans que j e fais des
DVNS I.E VIEUX Pl'ITS
— Attendez, Morvan
| raître calme. Plus encore que le
Petit P i e r r e essayait d e rire, silence tomba.
ascensions a u t r e m e n t plus rudes commencé ?
L ' h o m m e s'arrêta...
Ils attendaient, m a i n t e n a n t , l'ar- ! résultat problématque de cette
— Oui, monsieur.
que cette modeste descente d e
Autour des vieilles pierres de la mais sa gaité factice ne trouva pas
,
(<1 suivre)
— Combien de t o m b e r e a u x
t r e n t e mètres.
margelle, près des tas de cordages d'écho auprès des d e u x jardiniers. rivée du châtelain q u i avait d i t descente de Morvai. l'attitude d'EFeuilleton du Journal de Vienne
Le Vieux Puits