II Réclame d`Agrandissements
Transcription
II Réclame d`Agrandissements
JOURNAL DE VIENNE ET DE L'ISERE Prêts Hypothécaires CONVOCATION SANS ENGAGEMENT POUR VOUS Demandez à voir les modèles vous renseigner /du et à sur les prix I»laee d e»liremoiit — f I I W I il a toujours en rayon un grand choix des dernières nouveautés en pantalons et culottes pour toutes tailles. Voyez ses étalages et n'hésitez pas, avant tout achat à le consulter. Spécialiste du vêtement pour hommes il peut également faire à votre choix, à des prix très avantageux, un costume de façon très soignée, coupé spécialement pour votre taille. V A I M Ë K I Ë AltriKTIllUJU CHARIOTS ALSACIENS t o m e g a r n i t u r e s u r c o m m a n d e CAGES POUR OISEAUX et A c c e s s - - e s divers CORDERIES • MEUBLES DE ROTIN • ARTiCI - S DE VOYAGE TAPIS - AMEUBLEMENT - CHINE • JAPON "BONNEFOND-VERNAY 4, Passage de i Hòpita;, VIENNE (Isère) t«.: io-« DJfiPOT DES CAFKS r-c h w LAC AM F Messieurs les actionnaires sont co<nvt>qués en Assemblée Générale annuelle pour le DIMANCHE S E P T AVRIL MIL NEUF CENT TRENTE CINQ, à QUINZE HEURES, a u siège social, à GENAS (Moulin à Azieu), pour délibérer sur l'ordre du jour suivant : 1° Rapport du Conseil d'Administration ; 2° Rapport des Commissaires des Comptes ; 3° Approbation des rapjwrts, du luian et des comptes de l'exercice 1934, et de l'emploi dts bénéfices ; 4° Nomination d'administrateurs et fixation des jetons de présence du Conseil d'Administration ; 5° Nomination d'un ou plusieurs Commissaires des Comptes pour l'exercice 1935 et fixation de iettr rémunération ; 0° Autorisation aux administrateurs, conformément à l'art. 10 de la loi du vingt-quatre juillet mil huit cent soixante sept. Messieurs les actionnaires sont priés df déposer leurs titres avant le deux avril, au siège social. Il leur sera délivré en échange u n reçu nominatif pour leur admission à l'Assemblée. I/>s récépissés de dépôt dans les Maisons de banque ou chez les Officiers ministériels peuvent être déposés h la pince des titres eux-mêmes. Le Conseil d'Administration. Amateurs de T.S.F. ! ! ! 1, Cours Brillier — 2 — 10, Rue Poète-Martial Garde-Meuble« — Très duit Ecr. Ag. FOURNI ER, LYON 173. Etude de M* CRETAT, notaire à St-Alban-du-Rhône (Isère) IlientAt VENTE Tona pourrez pour «-51 M 8 " Colomb« 20 20 6 LAMPES Valeur: • a à crédit : 100 Frs à la commande et AVEC LE MINIMUM DE FRAIS : en neu« coi fiant l'emballage, la manutention et le transport de vos meubles, vous vous assurez le concours d'un personnel compétent et consciencieux, disposant d'un matériel a p croprié. GARANTIE ABSOLUE DE TOUS RISQUES. F A H1J1.ES B I N E » I i \ T E W I A L E S 78 Frs par mois. Pour la première fois depuis que la T.S.F. existe, D U C R E T E T offre un récepteur complet pour moms de mille francs. Et bieo que vendu au prix d'un poste miniature, le R 504 es t un grand poste luxueusement présenté lébénisterie en noyer, large cadran à lecture directe), j très musical (grand haut parleur électrodynamique THOMSON), sélectif et sensible (nouveaux bobinages haute fréquence, détection par diode. anti-fading), et surtout impeccablement au point : c est u n DUCRETET SINGER MACHriluoRE TABLE Valeur: 1.450fr. 1 A A ItlU BICYCLETTES D homme ou oame Boulevard de la République Tél. 587 VIENNE Exposition : Hall Salle Berlioz Liqueur des Dames A L I M E N T C O M P L E T Mnttannent Intégralement toute la «ubstanc* du grain. Conviennent è totii, at, peuvent être employées pour tout les usages culinaire*, comme la tarlne ordinaire. En tente dam toutu lu Pharmacies et bonnet Mahom d'Alimentation. Cette liqueur est recommandée à toutes les dames fatiguées par le sang et pour prévenir toutes les maladies auxquelles la femme est exposée : maladie de matrice, perte, stérilité, suites de couches, âge critique, etc... Se vend dans toutes les pharmacies, 10 francs 80, avec un livre qui accompagne chaque lacon Dépôt ii Vienne dans toute« les pharmacies. D E F R A - M C E Ylt;V\F Avis) PENDANT L E MOIS DE MARS n C n.—r. — r. Adresser les oppositions en l'étude de M® CRETAT. notaire, domicile élu, dans les dix jours du présent avis, à peine de forclusion. Insertion parue a u Bulletin Officiel des Ventes du seize m a r s mil neuf cent trente cinq. 6 VITESSES — V a l e u r : 6 7 6 fr. BAYAR0 150 STYLOS PLUME OR 200 COUVERTURES BLANCHES P U R ! LAINE Valeur : 65 fr 8 CARATS. P O I N T E IRRIOIUM Valeur : 75 fr. 2.500 MALLETTES GARNIES DE PROOUITS O ÉPICIRIE Valeur : JS fr. ALBUMS ILLUSTRÉS BENJAMIN RABIER AU TOTAL 6.000 PRIX 360.000 FRANCS qui vous seront offerts par les Cafés E. GÉRY dés aujourd'hui rhoisis-ez votre «•»fr p r r f c r é parmi les c i n q m e l a n g e » » C. G É R Y vendue par l«s magasina «t dépôts II VIENNE, 13, Place de lltt-Me S, 42, Rue de Belori Démonstration et vente : JEAMBRUN D A M E S 4 e t 5 . P l a c e IIAtel-de-Yiile bewa' 1590 fr. VAi.vvr FR. A U X Suivant acte reçu p a r M« CRETAT, notaire à St-Alban-du-Rhône, le 28 février 1935, enregistré à Roussillon, le 7 m a r s 1935, vol. 297, CELT TRE ÎSxt RENAULT folio 47, n° 247, Madame Margueri C O W I E Z - S O I S V O S C ' . L J f i l l É S , n o u s v o u s g a r a n t i » te BUFFAT, débitante, épouse sé- » o n » l a p a r f a i t e Valeur; 17.000 fr. exécution île» a g r a n d i s s e m e n t s e t parée de biens de M. Jean KOr e n i l o n » le.» p h o t o » e n trè» bon état SALLES CHILL, avec lequel elle demeure à A MANSER FRAPPA Roussillon, route Nationale, a venValeur : 4 fe.OOO .ÜOO fr. fr. du à M. Francisque COURRIOL, commerçant, demeurant à Lyon, CHAMBRES FRAPPA A COUCHER place Belfort, n° 4, le fonds de caValeur : A.OOO fr. fé-restaurant qu'elle exploitait h Roussillon, route Nationale, connu sous le nom de •< Café de l'Etoipos t es d e t . s. le ». Valeur : S fr. * (Deuxième Réclame d'Agrandissements ...gagner 3.000 UN VÉRITABLE Téléph. 81 - GEPYj 325.000 F r a n c s DUCRETET Bureau Gare Capitaux à placer sur hypothèque 1" ou 2" rang taux ré- Siège Social : il Gênas (Isère) ROI DU PANTALON 13. MOULIN DE CENAS-AZIEU et ses environs Société Anonyme a u capital de GRANDE VENTE Etude de M* S A URIN-STEH L Y avoué à Vienne Place de la République, n° 1 Extrait de demande en séparation de biens D'un exploit de M* MANIGUET, huissier à Vienne, <n date du dix-huit mars mil neuf cent trente cinq, enregistré, il appert que : | Madame BONN Y Simonne, ; épouse de Monsieur Armand ¡LAUVERGNE, demeurant à | St-Bonnet-de-M;ue (Isère), a for' nié une demande en séparation i de biens contre son mari ledit Armand LAUVERGNE, ci-devant cafetier à St-Bonnet-deMure, route Nationale ; Que M" SAURIN-STEHLY, avoué à Vienne, est constitué et occupe pour la demanderesse sur la procédure de séparation de biens et sur ses suites. Pour extrait : signé : SAURIN-STEHLY. VENTE AGRANDISSEMENT retouche très soignée, livré dans un beau cadre ovale moderne, façon loupe d'orme, dimensions 3 7 > < 4 7 35 ( p , | n i 1 " A«iij P a r acte sous seings privés, en date à Décines-Charp.eu d u 18 m a r s 1935, dont un exemplaire, enregistré à St-Vallier (Drôme), le 20 m a r s 1935, folio 38, n" 191, a été déposé aux m.nutes de M" I1ROET, notaire à St-Vallier, le 18 m a r s 1935, M. CARRET Jean-Eugène, cafetier, demeurant à. Décines-Charpieu, a vendu à M. CATV PaulRémy, concierge, demeurant a u même lieu, un fonds de café-comptoir et jeux de boules, exploité à Décines-Charpieu, place de l'Ancienne Mairie. Oppositions a faire d a n s les dix jours de la seconde insertion, à lu mairie de Décines-Charpieu, a u domicile de M. CATY. acquéreur. Ch. BROET. Etude de M' Jean QUEREYRON notaire à Beaurepaire (Isère) (Deuxième Avis) Suivant acte s. s. p. en date a St-Priest, du 1 " m a r s 1935, enregistré A St-Symphorien-d'Ozon, le 4 dudit mois, folio 15, case 10, M. Charles FONTROBERT, rafetier à St-Priest, quartier de la Poste aux Chevaux, a vendu h M. Roger-Joseph PROTAT, représentant, à StPriest, 130, rue Masséna, le fonds de commerce de café, jeux de boules, exploité à St-Priest, rouit Nationale de Lyon il Grenoble, dénommé » Café de l'Aérodrome ». Les oppositions s'il y a lieu, devront être faites dans les dix jours de la présente insertion, au siège du fonds vendu, domicile élu par les parties. Insertion parue au bulletin Officiel des Ventes du seize m a r s mil neuf cent trente cinq. Pour deuxième insertion, R PROTAT. V E N T E lp"mi«r Av '»> Suivant acte reçu par M' QUEREYRON, le 18 m a r s 1935, enregistré à Beaurepaire, le 20 mars 1935, folio 73. case :£28, M. François NIEWIECKI, coiffeur, demeurant à Beaurepaire, a vendu ù M. Pierre-Henry LAGOUY, coiffeur et à Madame Monika-Cécile-Bénédikta FILEBORN, son épouse, demeurant ensemble à Beaurepaire, le fonds de commerce de coiffeur et pk>i u?t "à' Beaurepah éf ! 'angle 'de AGRANDISSEMENT retouche parfaite, présenté dans joli cadre rectan. la rue Dolomieu et de la rue de gulaire. façon chêne, bordure dorée, dimensions 50x60 la République. Les oppositions, s'il y a lieu, seront reçues à Beaurepaire, en l'étude île M« QUEREYRON, domi- L e » 8 s é r i e » d ' A g r a n d i s s e m e n t » q u e n o n » ' v o u s o f l T r o n » cile élu, d'ici a u dixième jour nui suivra ia deuxième insertion. pour eette vente, sont d'une présentation artistique très Pour premier avis, QUEREYRON. s o i g n é e . t.WM I M I I X W E S T E U T I t l l B A T T A B I . E S . 45 Seul, d u groupe, Morvan affec- vouloir assister aux recherches du liane, depuis la scène d u matin, — Oui. mais ce sont des excur— Oh ! plusieurs... trois pour le et des échelles préparées, les serl'inquiétait. viteurs groupés restaient graves. tait un air détaché et sifflait, bien garde. sions permises e t coutumières... moins. Que signifiait cette insistance ? — Tenez ! les v'ià ! signala bienUs avaient dégagé l'entrée d u que l'air morose d e ses compaTandis que cette p r o m e n a d e d a n s — Trois t o m b e r e a u x ? calculaElle n e pouvait s'intéresser à ce (15) le fond d'un puits serait absolu- t-il. Allons, le fonds est u n peu puits en coupant les ronces e t les gnons n'eût pour lui rien d'encou- tôt celui-ci. L a demoiselle qu'est une crâne luronne, a tenu à venir point au fusil du garde, e t ce n'ément ridicule. : comblé... assez pour que l a ver- orties qui e n défendaient l'appro- rageant. — Fichu travail ! m a r m o n n a le aussi. A voulait-y point descendre tait certes pas par raison d'écono— Oh ! je proteste !... Ce qui of- mine qui peut s'y trouver soit en- che, et le trou béant dressait sa gueule noire vers le ciel comme un père Etienne quand la longue é- elle-même chercher mon fusil ! mie qu'elle p r é f é r a i t qu'on le ref r e de l'intérêt e t ce qui a un but terrée. Pour u n e chouette patronne, a trouve... chelle f u t en place. véritable e s t a u t r e m e n t normal Et puis, n e fallait-il pas, a v a n t monstre vorace e t redoutable. Alors ? Après avoir écarté soigneuse— Le démon a un escalier d'hon- promet d'être épatante. qu'un d a n g e r couru pour le seul toute chose, empêcher la jeune tépar MAX DU VEUZIT Il se tourna v e r s la j e u n e fille — Oui, convint le père Etienne. plaisir de le courir. méraire de m e t t r e à exécution son ment les pierres branlantes q u i n e u r pour sortir d e son trou, à eussent pu se détacher d u r a n t la présent, observa P i e r r e en se pen- Elle est ben avenante. Seulement, marchant à son côté. Un rayon de — Eh bien, justement. Ce vieux ridicule projet ? puits est dangereux, il pourrait Après quelques secondes d'hési- descente d u garde-chasse e t luichant sur l'orifice pour voir l'enfi- c'est jeune, c'est intrépide, ça sesoleil, perçant l'épaisse verdure, s'effondrer. tation où il envisagea toutes les tomber sur la tête, les hommes fai- lade des b a r r e a u x échelonnés dis- méfie pas. F a u t pas traiter de ra- venait jouer à cet instant sur ses dotage ce que nos pères disaient. cheveux bouclés e t les nimbait — Allons donc ! C'est e n f a n t i n solutions, il décida enfin, s'adres- saient, m a i n t e n a n t , glisser les lon- p a r a î t r e d a n s l'obscurité. Le vieux puits est point u n lieu d'or. gues échelles dont les montants, Mais Clément l'éloigna d'une sant a u garde-chasse : d'éviter cet accident... Vous exa(Suite) Que se passait-il d a n s cette chèplaisant où venir se promener. gérez le d a n g e r à plaisir. Au con— A vos risques et périls, Mor- ajoutés bout à bout avec de soli- bourrade. re tête blonde ? des cordes, la multipliaient d'une — A ben sûr ! concéda Clément. — Sacré m ô m e ! Vas-tu t e tai— Eliane ! J e vous en prie !... traire, ça m ' a m u s e r a ! Cela m'évo- van ! Si vous y tenez, soit, allez-y ! Soudain, une idée jaillit e n son 1 q u e r a la descente au Gouffre d'En- mais prenez toutes les précautions façon continue. On doit pas rire d e ce qu'on ne re !... C'est-y d e s choses à dire Ne plaisantez pas ainsi, chère pefer... Ça va ê t r e t r è s drôle ! nécessaires. — Alors. Morvan 9 On est d'at- quand u n des nôtres doit descen- connaît pas !... Les légendes ont cerveau f a t i g u é tite folle ! Une idée ! comment ne l'avait-il leurs vérités ! dre là-dedans. Il continua, très m a i t r e d e luitaque ? — Ce n'est pas une plaisanterie, 1 Elle souriait, semblant se com— Allons, vous en faites pas, fit — Allons, intervint le garde. pas eue plus tôt ? C'était si sim— Bah ! répondit le garde, évarépliqua la j e u n e fille sérieuse- ; plaire à lire sur le visage de son m a i n t e n a n t , à d o n n e r les instrucle g a r d e e n a l l u m a n t tranquille- J'suis tout le temps dans le bois ple... ment. J'ai réellement l'intention, fiancé ses plus fugitives expres- tions pour que les échelles, la cor- sif, on en a vu d'autres... Aussi, lorsque les échelles f u r e n t ment une cigarette. Y a peut-être et j'ai jamais rien vu d'extrajrdide de l'étang, tout f û t rassemblé. — Faut dire tout de même que sions de déplaisir. de t e n t e r ce petit exercice acroCelui-ci, e n effet, avait peine à — Il est l'heure d'aller d é j e u n e r , la p r o m e n a d e n'est guère affrio- des rats ou d ' i a v e r m i n e d a n s naire... même de ce côté. Nos pères solidement fixées à la margelle, il batique qui n'a rien de bien danAujourd'hui, s'approcha d u puits. cacher son désarroi. A mesure que m a i n t e n a n t , mais q u e tout soit lante... c'est noir pis qu'une cave... l'fond, mais c'est sûrement tout ce étaient crédules... gereux. j e vous l'assure. Morvan, assez é m u malgré sa avec l'instruction, on s'explique la jeune fille parlait, il se sentait prêt pour la descente... attendez — Ça n'est rien ! Le principal, que j'y trouverai. — Mais c'est fou ! bravoure, s'apprêtait à descendre. mieux les choses... Mais v^à !•' padécidé à tout plutôt que de la lais- deux heures, j'y serai. J e tiens à y c'est qu'il n'y ait pas de mauvais — Y a aussi vot' fusil, Morvan ! — Vous oubliez que j e suis une Sa lampe électrique à la main, tron, parlons pas de ça, il n'aime ser descendre dans le puits mau- assister ! gaz d a n s ce trou-là... Enfin, puisreprit le gosse, t o u j o u r s gouailleur alpiniste très entraînée. Ma bonne dit. que le papier a brûlé jusqu'au L ' f a n t ô m e est armé, m a i n t e n a n t , pas qu'on jabote sur le vieux puits. u n e longue corde fixée à sa ceintutante, qui n'est p o u r t a n t pas très re, il allait poser son pied sur le fond. faudrait p't'être ben que vous metUn peu silencieux, .'es fiancés Affectant tout le calme dont il i — Moi aussi, a j o u t a Eliane. moderne par ailleurs, a la passion premier échelon quand l a voix de — P a r d i n e ! Le feu n e pouvait tiez u n e cuirasse. s'avançaient sous les çrands pins. de la montagne et je lui dois, heu- était capable, il d e m a n d a à MorRoger retentit, n e t t e et autoritaique mieux b r û l e r en allant rejoinRoger avait, malgré lui. le visa- i Personne encore n e releva la reusement, mon éducation sporti- van : re : XIII d r e le diable qui habite là-dedans! plaisanterie d u petit P i e r r e et le ge crispé dans son e.fort pour pa— Est-ce que le comblement est ve. Il y a dix ans que j e fais des DVNS I.E VIEUX Pl'ITS — Attendez, Morvan | raître calme. Plus encore que le Petit P i e r r e essayait d e rire, silence tomba. ascensions a u t r e m e n t plus rudes commencé ? L ' h o m m e s'arrêta... Ils attendaient, m a i n t e n a n t , l'ar- ! résultat problématque de cette — Oui, monsieur. que cette modeste descente d e Autour des vieilles pierres de la mais sa gaité factice ne trouva pas , (<1 suivre) — Combien de t o m b e r e a u x t r e n t e mètres. margelle, près des tas de cordages d'écho auprès des d e u x jardiniers. rivée du châtelain q u i avait d i t descente de Morvai. l'attitude d'EFeuilleton du Journal de Vienne Le Vieux Puits