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Les Hommes à tout faire, Paris 1974
La Despote aux seins nus, Paris 1979
Nos Maris, ces bêtes à plaisir, 2009
Ces Dames en bottines, 2009
Une Dominatrice rêvée, La Vierge
enluminée, 2009
Poupée mâle, 2010
Maîtresse noire, 2010
Á paraître :
L'Amazone
American SM 1
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L'Esclave des prostituées
Esclaves pour films pornos
Histoire de Dominatrices 1
Histoire de Dominatrices 2
L'Homme esclave
Madame mon Maître (Journal d'un Masochiste)
Maîtresses saphiques
Marché aux esclaves
Marika Moreski
POUPÉE MÂLE
DOMINIQUE LEROY
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All rights reserved. No part of this book may be reproduced in any form, by any means,
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© 2010 by Éditions Dominique Leroy, France pour l’édition numérique.
ISBN 978-2-86688-383-6 (format PDF)
Parution : avril 2010
TABLE DES MATIÈRES
Première de couverture
De la même auteure
Page de titre
Page de copyright
Chapitre premier, LA CAPTURE D’UN LOUBARD
Chapitre II, AU SERVICE DES PUNKS MAÎTRESSES
Chapitre III, ESCLAVES SEXUELS, FIESTA ET DRAME
Chapitre IV, ESCLAVE PAR PUNITION
Chapitre V, HISTOIRE DE MAURICETTE
Chapitre VI, VENGEANCE D’UNE FEMME DU MONDE
Chapitre VII, TRIOMPHE D’UNE DOMINATRICE
Chapitre VIII, RETROUVAILLES DE DOMINATRICES
Chapitre IX, LA NUIT DE L’EUNUQUE
Chapitre X, LES MOTARDES PASSENT À L’ACTION
Chapitre XI, ÉDUCATION ET RÉÉDUCATION
Chapitre XII, LA POUPÉE MÂLE
Chapitre XIII, DRESSAGE AU FOUET
Chapitre XIV, SÉLECTION D’ESCLAVE
Chapitre XV, LES SURPRISES D’UNE PARTIE
Page d’information
Catalogue 2010
Quatrième de couverture
Chapitre VII
TRIOMPHE D'UNE DOMINATRICE
Deux jours suffirent à Lydia pour se mettre au
courant des méthodes de dressage employées par les
Punks Maîtresses. Son zèle, ses dons en la matière
faisaient plaisir à voir. Les idées originales de
contrainte et de servitude foisonnaient en elle, et
Mauricette était, elle-même, surprise de la passion
délirante que la jeune femme mettait à tourmenter
son ancien fiancé.
Ghislain Pécurot, totalement subjugué, asservi à
l'extrême, en était venu à craindre davantage la jolie
fille aux façons si bourgeoises et si distinguées que les
cinq amazones réunies. Mauricette décida donc qu'il
était inutile qu'elle reste plus longtemps à la villa. Elle
reprit le chemin de la ferme des Punks Maîtresses avec
Odette et Béatrice. Par mesure de prudence, et pour
pallier tout regain de virilité de la part du nouvel
esclave, elle laissa Emma et Solange avec Lydia pour
une garde de vingt-quatre heures, qui serait relayée
par Odette et Béatrice.
Cinq jours s'écoulèrent de cette façon. Les
motardes, de retour à la ferme après vingt-quatre
heures dans la villa, faisaient un rapport détaillé de ce
qui s'y passait. Toutes étaient ahuries par le sadisme
raffiné que la belle Lydia étalait.
— Cette fille est véritablement phénoménale,
s'exclama Mauricette sans détourner son regard de
Marchepied à qui elle avait ordonné de nettoyer les
souliers de toutes les filles. L'esclave, agenouillé au
milieu de la pièce, léchait soigneusement les
chaussures et les bottes, l'une après l'autre, pour les
débarrasser des poussières, des traces de boue et de
toutes autres souillures qui entachaient le cuir.
— Vous a-t-elle dit ce qu'elle comptait faire par la
suite ? questionna Mauricette après quelques secondes
de réflexion.
Emma haussa les épaules :
— Ma foi, non !… pourquoi !
— Mais... ce qu'elle fait subir à ce type dépasse le
stade de la simple correction. Ce n'est plus une partie
de sado-masochisme qu'elle lui offre. C'est un
dressage en règle... Un esclavage à perpétuité. Si elle
continue ainsi, dans quelques jours, ce chien sera
incapable de reprendre sa liberté et d'y vivre.
— Dans l'état où elle le met, ricana Emma, je crois
effectivement qu'il est devenu irrécupérable pour la vie
d'homme libre.
— Quelle importance, fit Solange, si elle n'en veut
plus nous le prendrons à vie.
— J'ai une bien meilleure idée derrière la tête,
souligna Mauricette en se levant. Je vais aller là-bas. Il
faut que je m'entretienne sérieusement avec Lydia.
Cambouis fut surpris de voir apparaître les trois
filles dans la grange qui lui servait de garage et de
logis. Il n'avait pas eu le temps matériel de nettoyer
les motos que Solange et Emma venaient de remiser.
Sa maîtresse entra dans une violente colère et se jeta
sur lui toutes griffes dehors. Elle le fit reculer à coups
de grandes gifles jusqu'à une ancienne mangeoire à
bœufs où Solange l'attacha par le collier et les
poignets. Puis les trois filles déroulèrent leurs fouets
et, l'une après l'autre, lui administrèrent une vingtaine
de coups qui lacérèrent ses vêtements déjà en
lambeaux et entamèrent ses chairs noircies de crasse,
de cambouis et de sang coagulé.
Elles sautèrent sur leurs motos sans même prendre
la peine de libérer leur victime pantelante et s'en
furent dans une triple pétarade de leurs monstres
d'acier et de chromes étincelants.
Un tout autre spectacle attendait Mauricette à la
villa de Ghislain Pécurot. C'est Lydia elle-même qui
vint leur ouvrir. Juchée sur des mules à hauts talons
effilés et vêtue d'un micro-bikini de skaï bleu
turquoise, elle était rayonnante et d'une sculpturale
beauté.
— Mauricette, s'écria-t-elle, quel plaisir de vous
revoir ! En peu de jours, j'ai réussi un travail
considérable, vous savez !... Vos amies vous l'ont
certainement déjà dit ?
— Oui, Lydia chérie, et c'est pour vous parler de ça
que je suis venue.
— Alors, attendez. Avant de dire quoi que ce soit,
venez le voir. Il vaut le déplacement, croyez-le bien.
Mauricette suivit la jeune femme à travers la salle
de séjour vers la terrasse arrière de la villa. Elle
admirait la plastique extraordinaire de cette fille, en
songeant que ses mensurations auraient été
compétitives à n'importe quel concours de beauté.
Lydia lui parlait de Ghislain Pécurot et scandait
chacune de ses phrases d'un rire joyeux. Mauricette
ne l'écoutait pas tant elle était surprise par
l'exubérance de la jeune femme.
— En ce moment, il est immobile, fit-elle en ouvrant
la porte vitrée qui les séparait de la terrasse, c'est qu'il
vient de faire la lessive et qu'il me sert de séchoir à
linge.
Elle rit à nouveau. Et Mauricette vit ce qu'elle avait
fait de Ghislain Pécurot. Celui qui, quelques jours plus
tôt, se croyait encore un play-boy et renversait une
motarde avec sa Mercedes, était là, nu, exposé en
plein soleil. Ses jambes étaient maintenues écartées
par une tige d'acier d'un mètre vingt environ, soudée
aux bracelets de ses chevilles. Ses bras, tendus de
chaque côté de son corps étaient, eux aussi,
maintenus par une tige d'acier soudée aux bracelets
de ses poignets. La robe à fleurs, que Lydia portait le
premier jour, et une combinaison très fine séchaient
sur cette tige de fer, suspendues à des portemanteaux de plastique. L'esclave-séchoir tournait le
dos aux visiteuses et ce n'est qu'en le contournant que
Mauricette vit le reste.
Les bas de nylon fumé de la jeune femme séchaient
de part et d'autre du visage de l'esclave, pendus aux
anneaux qui lui traversaient le lobe des oreilles. Le
petit slip de nylon mauve se balançait au bout d'un
autre anneau qui traversait le nez de l'esclave et le
soutien-gorge de la jeune femme était amarré à celui
qui transperçait le prépuce et infibulait le malheureux.
À ce spectacle, Mauricette sentit une onde
délicieuse lui parcourir le bas-ventre. Cette Lydia,
décidément, était de la race des grandes dominatrices.
Elle n'avait rien oublié. Le bout des seins, eux aussi,
percés et munis d'anneaux, servaient à faire sécher
l'un une nuisette, l'autre un long ruban qui devait
servir à nouer les cheveux de la maîtresse.
— Vous avez été vite en besogne, remarqua
Mauricette, vous ne craignez pas qu'il y ait
inflammation
dans
ce
port
d'anneaux
avant
cicatrisation complète ?
— Aucun risque, ma chère. Ces anneaux sont
amovibles. Je les mets et les retire à volonté. Ils se
ferment par un système de vis... Regardez !
S'approchant
de
son
esclave,
elle
fit
la
démonstration, avec l’anneau du nez, de ce qu'elle
avançait, puis elle le referma sans plus prêter
attention à l'esclave-séchoir.
Elle entraîna Mauricette vers des chaises-relaxe où
elles s'allongèrent à quelques mètres de l'homme
immobilisé.
— Qui vous a fabriqué ces petites merveilles ?
s'enquit Mauricette très intéressée.
— Une amie dont la spécialité est, d'ordinaire, de ne
percer que les oreilles des jolies femmes... Si ça vous
intéresse, je peux lui en parler ?
Mauricette eut une moue approbatrice.
— Je vais y réfléchir... Je ne dis pas non.
— Mon intention était d'ailleurs de vous mettre en
rapport avec elle, enchaîna Lydia. J'ai un autre projet
pour ce qui concerne cet esclave... mais vos
connaissances en médecine seront indispensables pour
le réaliser.
Mauricette dévisagea Lydia et eut un haussement
de sourcils.
— Vous m'inquiétez, de quoi s'agit-il ?
— Je veux le faire castrer !
Elle dit cela simplement, comme s'il s'était agi d'une
chose tout à fait naturelle.
— Vous n'y songez pas sérieusement, fit Mauricette
après quelques secondes de surprise.
— Bien sûr que si. Il m'a trahi en tant qu'homme et
je tiens à ce qu'il ne soit plus jamais un homme. Je
veux en faire un eunuque. Petit à petit je le
féminiserai, j'en ferai un être asservi qui sera garçon
ou fille selon ma volonté. Ce sera long, je sais, mais...
— Écoutez Lydia, reprit Mauricette, c'est justement
de cela que j'étais venue vous parler. Quelles sont
exactement vos intentions envers ce type ?
— Mes intentions ?... Je crois qu'elles sont claires.
— Vous avez l'intention de le garder? D'en faire un
esclave là vie ?
— Bien entendu !
— Alors, ma chère, il vous faut l'épouser.
Lydia se dressa d'un bond.
— Quoi ?... Épouser ce chien ?.. C'est hors de
question. Mais regardez-le, ce n'est pas un homme ça,
pas même un animal !.. C'est un vulgaire mannequin,
un pantin une chiffe, un décrottoir a chaussures... Je
marche dessus, je m'assois dessus, je peux même
pisser dessus si j'en ai envie. Et vous voudriez que je
l'épouse ?
— Je comprends votre répulsion, chère amie, fit
Mauricette, et croyez bien qu'elle vous honore, mais il
faut vous rendre à l'évidence : Ghislain Pécurot est un
industriel, un monsieur en vue qui tient, comme on
dit, un rang social. On ne peut pas le faire disparaître,
l'annihiler aux yeux et à la barbe de tous comme le
premier des quidams...
— Est-ce à dire qu'il existe aussi un racisme des
classes dans votre théorie de la domination féminine ?
s'étonna Lydia.
Mauricette eut un léger sourire.
— Non, évidemment pas. Il y a des gens importants
et très en vue qui vivent leur esclavage dans
l'intimité...
— Alors ?
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Pyrénées. Les deux hommes, leurs bêtes à plaisir vont
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« Enchaînez-moi sans attendre et que ma fortune, ma
renommée, ma dignité et tout mon être disparaissent à
jamais, engloutis. Rien ne m'importe : je vous aime et, pour
cela même, il m'est indifférent que vous me haïssiez. »
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POUPÉE MÂLE
« Il y avait là une trentaine de filles, toutes membres du Club
des Punks Maîtresses et toutes, avaient apporté au moins un
homme asservi, de telle sorte qu'il y avait là, totalement
disponibles, des esclaves-coussins, des esclaves repose-pied,
des esclaves tables-basses que les filles utilisaient
indifféremment. »
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Marika Moreski
MAÎTRESSE NOIRE
« Ravie, la gardienne jeta son fouet pour décrocher le
nerf de bœuf. Profitant de ce court répit, l’Anglais se
remit difficilement à quatre pattes pour tenter de se
redresser. Mais il n’en eut pas le temps. Raja fut de
nouveau sur lui… »
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Marika Moreski
MADAME MON MAÎTRE
« Et, dans la rue, s'ils me croisent, je suis un homme comme
les autres, un monsieur tout-le-monde avec ses soucis et ses
problèmes professionnels.
« Mais tout cela n'est plus, dans l'intimité, lorsque paraît
Madame mon Maître ! »
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Auteur : Marika Moreski
Illustration de couverture : Bill Ward
Titre : POUPÉE MÂLE
« Le mâle est une machine ou un objet, comme vous
voudrez, pour lequel il convient de suivre scrupuleusement
le mode d'emploi. Or ce mode d'emploi comporte quatre
règles fondamentales qu'il faut appliquer strictement si l'on
veut que la machine tourne à plein rendement :
La première de ces règles c'est d'imposer la peur par la
sanction. Le mâle doit toujours se sentir à la merci d'une
punition corporelle. Pour la plus petite incartade, la moindre
erreur…
La nourriture du mâle est la seconde règle à laquelle il ne
faut pas déroger. Un homme trop bien nourri s'empâte vite,
devient lent, difficile à manœuvrer. Il perd ses réflexes et
ses réactions et devient une machine qui fonctionne au
ralenti…
Interdire tout soupçon de confort au mâle mais utiliser
son inconfort pour satisfaire vos aises propres est un
théorème qui résume fort bien la troisième règle d'or…
Quant à la quatrième forme de la suprématie féminine,
elle est purement d'essence sexuelle. La femme a un corps
qui est magnifique et qui mérite qu'on lui rende un culte de
tous les instants. Le mâle qui est l'esclave de la volonté de
sa maîtresse doit l'être aussi de son corps. La femme doit
contraindre son esclave à adorer sans cesse tout ce qui est
son corps et tout ce qui y touche ou en découle… »
Éditeur : Dominique Leroy
Collection Le Septième Rayon
Catégorie : Érotisme
ISBN : 978-2-86688-383-6 (format PDF)
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