keziah jones

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keziah jones
KEZIAH JONES
Fort d'un " Black Orpheus " qui a largement dépassé les limites du disque d'or, le Nigérian le plus connu de l'hexagone
nous offre un témoignage en images de ce qu'a été sa dernière tournée ...
Live At The Elysée Montmartre (DVD)(Delabel - 2004) Durée 130' environ
http://www.keziahjones.com http://www.delabel.com
Fort d'un " Black Orpheus " qui a largement dépassé les limites du disque d'or, le Nigérian le plus connu de l'hexagone
nous offre un témoignage en images de ce qu'a été sa dernière tournée en nous présentant un concert enregistré
dans notre Elysée Montmartre tout à la fin de celle-ci, le 1er novembre 2003 … Un bel hommage rendu au public parisien et
plus généralement français puisque du propre aveu du chanteur, c'est celui qui lui sert de repère quand il est question de
porter un jugement sur sa carrière ! Aux côtés de Mister Jones se pressaient ce soir là l'excellent Otto Williams à la basse,
Richard Cassell à la batterie, Zoe Rahman aux claviers, Kevin Haynes au saxophone et aux percus et Tatiana Okou, une
délicieuse choriste … Let's play Blufunk !
On ne reviendra pas sur le charme inexpugnable de Keziah Jones, sur la vélocité de son jeu de guitare et sur ses
talents de chanteur … Et pourtant, il y aurait de quoi épancher tous les superlatifs du tout nouveau Petit Robert et même
reprendre un nouveau verbe qui y fait son entrée en 2004 : kiffer ! Je kiffe Keziah, tu kiffes Keziah, la France entière
kiffe Keziah Jones … De " Colonial Mentality " à " Secret Thoughts ", l'Africain filiforme va nous sortir un concert
exceptionnel avec ses plus grands hymnes dont bien entendu " Rhythm is love ", " Where's Life ", " Kpafuca ", "
Afrosurrealismfortheladies ", " 72 kilos " ou " Beautiful Emilie " et une reprise survoltée du " Machine gun " de Jimi
Hendrix. Le tout sur fond de guitares inspirées et de basses chaloupées avec en prime un sens du rythme que le reste
du Monde, Brésil inclus, envie à l'Afrique … Nous ne saurions nous quitter prématurément sur de si poignantes images et,
dans son immense mansuétude, Keziah Jones nous gratifie de deux documentaires avec sous-titrages dont un
enregistré à Lagos début 2003 et l'autre immortalisé backstage le soir même du concert avant de terminer sur un ultime
bonus qui n'aura d'intérêt que pour ceux qui n'étaient pas encore repus des clips de " Rhythm is love " et " Beautiful
Emilie " … Toute la magie de Keziah Jones sur un seul et unique DVD. Indispensable !
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Generated: 8 February, 2017, 09:14

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