Illustration sur les contenus économiques et commerciales dans les

Transcription

Illustration sur les contenus économiques et commerciales dans les
Illustration sur les contenus économiques et commerciales
dans les Dix Programmes Majeurs de Coopération
Inscrites dans le cadre du Sommet de Johannesburg et
la 6ème Conférence Minitérielle du Forum sur la Coopération
Sino-Africaine
(En décembre 2015)
En décembre 2015, à l’occasion du Sommet de Johannesburg et la 6 ème
Conférence Minitérielle du Forum sur la Coopération sino-africaine, le
Président de la République Populaire de Chine,M.Xi Jinping, a déclaré de
hisser les relations sino-africaines à la hauteur du partenariat global
stratégique
de coopération. Il a initié dix programmes majeurs de
coopération dans les domains de l’industrialisation, la modernisation agricole,
les infrastructures, le service financier, le développement vert, la facilitation du
commerce et des investissements, la réduction de la pauvreté et l’amélioration
du bien-être de la population, la santé publique, les échange entre les peuples,
la paix et la sécurité, ébauchant un plan grandiose pour la coopération
pragmatique sino-africaine et entamant un nouveau chapitre de l’histoire de
leures relations. Dans le secteur économique et commercial, les deux parties
réaliseront ensemble le programme de l’industrialisation, de la modernisation
agricole, des infrastructures, du service financier, du développement vert, de
la facilitation du commerce et des investissements, de la réduction de la
pauvreté et la bien-être de la population et de la santé publique.
Ces programmes de coopration ont été élaborées après concertation aux
différents milieux sociaux de la Chine et de l’Afrique, conformément aux
demandes communes de l’accélération du développement dans des nouvelles
circonstances de la coopération sino-africaine. L’élaboration de ces
programmes s’inspire du principe dit de « sincérité, pragmatisme, amitié et
franchise» initié par le président Xi Jiping, et est aussi fidèle à la juste
conception de la justice et des intérêts, en répondant à la demande actuelle et
à long terme, aussi traditionnelle qu’innovante. Ces programmes envisagent la
jonction des stratégies du développement et les secteurs clés de la
coopération sino-africaine, afin de couvrir tous les pays africains et tous les
domaines de la coopération, de construire la multi-dimention, l’enchaînement
et un système complet du partenariat. La richesse du contenu, les efforts
envisagé d’être employé et l’ampleur de champs d’activités sont tous les plus
importants par rapport aux mesures adoptées lors des sessions précédentes
du FOCAC. L’avancée de ces programmes démontre le ferme soutien de la
Chine à la croissace inclusive et au développement durable de l’Afrique
contribuant à l’approfondissement de la coopération pragmatique, le partage
des acquis du développement et la lutte contre les défis. Ces programmes
vont pousser la coopération sino-africaine à atteindre un nouveau palier et
constituent une force de support au partenariat stratégique global des relations
sino-africaines.
I. Le programme d’industrialisation. La Chine travaillera activement à
développer les partenariats industriels et la coopération sur les capacités de
production avec l’Afrique, et encouragera les entreprises chinoises à investir
et à développer leurs affairs en Afrique. Elle coopérera avec l’Afrique pour la
construction ou la mise à niveau de parcs industriels, enverra des experts et
conseillers de haut niveau auprès de gouvernements africains, établira des
centres régionaux de formation professionnelle et des instituts pour le
développement des capacités, formera en Afrique 200 000 techniciens, et
accueillera 40 000 Africains en Chine pour la formation.
llustration : L’industrialisation est le secteur prioritaire du partenariat
sino-africain à l’avenir, éclairant les perspectives de leur coopération
économique et commerciale. Le développement industriel est exigé par la
restructuration et le développement économique de l’Afrique. Comme défini
dans son initiative «Agenda 2063», le secteur de la manufacture présentera
plus de la moitié du PIB à l’horizon 2063 et embauchera plus de 50% de
nouveaux entrants sur le marché d’emploi. L’Agenda a mis l’accent sur la
valeur ajoutée des marchandises, le professionnisme de la main-d’oeuvre, la
croissance et l’industrialisation. Ayant aujourd’hui une industrie indépendante
et complète, la Chine s’efforce à promouvoir la coopération industrielle où ses
avantages et sa capacité de production pourraient bien répondre à
l’industrialisation de l’Afrique, tandis que cette dernière a un vif désir
d’accueillir la relocalisation de l’excédent de la capacité de production chinoise.
Pour les deux parties, toutes les conditions sont réunis pour commencer leur
coopération dans le domaine. Se référant à l’«Agenda 2063» et la stratégie de
l’industrialisation et du programme de la diversification économique des
différents pays, la Chine encouragera et supportera les entreprises chinoises à
élargir leur investissement en Afrique et promouvra le partenariat industriel et
la coopération sur la capacité de production. S’amorçant par les secteurs clés
de la chaîne industrielle, elle promouvra un développment enchainé de la
coopération industrielle sino-africaine en y créant un environnement favorable
et fournirant des garanties solides. Dans le but de mener à bien cette
coopération, la Chine promouvra en particulier des partenariats suivants dans
le cadre du programme d’industrialisation :
- La construction de la plate-forme de la coopération. La Chine soutiendra les
efforts africaines relatives aux zones industrielles par la création des zones
économique ou par la mise à niveau en commun des parcs industriels
existants conformément aux principes du marché et à travers différents modes
de financements. Elle souhaite faire ces zones la plate-forme démonstrative
pour le rassemblement industriel et la coopération en matière de la capacité
de production, bâtisant ainsi « le nid aux phénix »à l’industrialisation africaine.
- Le suprport à la plannification. La Chine et les pays africains, tous en voie de
développement, ont la même mission du promouvoir le développement et
leurs expériences sont profitables d’une partie à l’autre. La Chine enverra des
experts et conseilers aux pays africains, suivant la demande de ces derniers,
pour fournir l’assistance intellectuelle à la plannification, la concéption,
l’administration et la gestion de leur développement industriel, et elle est prête
à partager tout uniment ses expériences de succès dans son industrialisation
avec les pays africains.
- La formation des personnels administratifs et techniques. Les ressoureses
humaines constituent la clé de l’industrialisation et le facteur critique à la
capacité du développement autonome de l’Afrique. Depuis le sommet de
Beijing et 3e Conférence ministrérielle du FOCAC, la partie chinoise a honoré
ses engagements de former pour l’Afrique, 10 mille, 20 mille et 30 mille talents
de divers profession. Dans les 3 ans à venir, en axant sur l’industrialisation, la
Chine fournira aux pays africains une candidature de 40 mille de personnes
sous forme de formations et séminaires en Chine touchant des différents
secteurs liés au développement économique et au bien-être de la population
africaine, afin d’équiper cette dernière d’une réserve plus riche en technicien et
personnel administratif. Aussi s’engage-t-elle à intensifier la formation
déstinéesaux jeunes et aux femmes africaines.
- La formation en compétence professionnelle. La Chine mobilisera ses
ressources publiques et privées pour créer, conjointement avec la partie
africaine, des Centre de formation professionnelle dans les pays qui peuvent
jouer un rôle de rayonnement dans la sous-région. Elle fournira aux
mains-d’oeuvre africains une formation effective et durable en compétence
professionnelle à travers l’assistance technique, la formation à l’étranger
l’enseignement à distance et etc, afin que l’Afrique possède de ses propre
ressources humaines et qu’elle puisse transformer l’excédent démographique
à un élément réellement avantageux pour le développement.
II.Le programme de modernisation agricole. La Chine partagera avec l’Afrique
les expériences de développement agricole, lui transférera des technologies
agricoles adaptées, et encouragera les entreprises chinoises à coopérer avec
l’Afrique dans les domaines de la culture massive, de l’élevage, du stockage et
de la transformation des produits agricoles afin d’y accroître l’emploi et le
revenu
des
agriculteurs.
La
Chine
mettrea
en
oeuvre
le
« projet
d’enrichessement de la population grâce à l’agriculture » dans 100 villages
africains, enverra 30 groupes d’agronomes en Afrique et établira un
mécanisme de coopération « 10+10 »entre établissements de recherche
agricole chinois et africains. La Chine, très attentive aux mauvaises récoltes
dans plusieurs pays africains dues aux effets de « El Nino », fournira aux pays
touchés des aides alimentaires d’urgence d’une valeur d’un millard de yuan
RMB.
Illustration: La modernisation, la mise à niveau de l’agricultre et de la capacité
du développement agricole constituent la voix importante à l’Afrique pour
assurer la sécurité alimentaire et la croissance économique. L’Afrique possède
des conditions favorables à la production agricole et dans son initiative
l’«Agenda 2063» et dans son Plan du développement complet de l’Agricultur,
la partie africaine a attaché une importance particulière à la productivité
agricole, la production céréalière locale, la modernisation agricole et la
sécurité alimentaire, en souhaitant éliminer la famine et l’insuffisance
alimentaire à l’horizon 2063. Entant qu’une grande puissance agricole, la
Chine est riche en expérience de l’administration et en technique pratique
appropriée aux pays africains dans le domaine de l’agriculture, où la
coopération sino-africaine a déjà une longue histoire et une base solide. La
Chine partagera ses expériences du développement agricole avec l’Afrique et
transferera des technologies adaptées à cette dernière, conformément à
l’Agenda 2063 et les stratégies de l’agriculture des pays africains. Elle établira
une chaîne complète du partenariat sino-africain en agriculture sur la base de
leur coopération traditionnelle afin d’élever le niveau du développement de
l’agriculture moderne en Afrique et faire bénéficier le plus grand nombre de sa
population.Ainsi va-t-elle contribuer effectivement à la sécurité alimentaire de
l’Afrique. A cet égard, la partie chinoise réalisera des projets suivants dans le
cadre du programme de la coopération de l’agriculture moderne:
- Réaliser le « Projet d’enrichessement de la population grâce à l’agriculture » .
S’appuyant sur ses ressources publiques et privées, la partie chinoise enverra
des agronomes ambulants dans 100 villages africains pour populariser les
techniques adaptées d’après la demande réelle du développement local. Elle
promouvra l’entrée au marché des agriculteurs par la mise à leur disposition
des informations ou à travers l’établissement de l’association sectorielle, dans
le but d’élever à la fois la compétence et le revenu des agriculteurs, et élever
ainsi le niveau du développement rural en Afrique.
- Elever la capacité du développement agricole. La Chine enverra 30 mission
d’agronome et d’enseignant pour travailler conjointement avec les pays
africains dans la plannification du développement agricole, et pour effectuer
des
échanges
académiques,
réaliser
des
expérimentation
et
des
démonstrations, fournir de l’assistance en instructions techniques et
enseignement, afin de former plus en Afrique leur propre talents et appuyer la
construction de la capacité africaine en développement agricole.
- Multiplier la coopération dans la recherche scientifique. La technique est la
garantie de la modernisation agricole de l’Afrique. La Chine est disposée de
renforcer sa coopération avec cette première en matière du transfert de la
technologie, de la recherche scientifique et de la formation. S’appuyant sur les
projets de coopération agricole réalisés sous l’assistance chinoise en Afrique,
les deux parties sont priées de proposer respectivement 10 établissements de
recherche agricole pour établir un mécanisme du partenariat, dans le cadre
duquel seront effectué des échanges et coopérations en matière de l’élevage
des graines, l'amélioration de la volaille et le bétail, la prévention et traitement
des ravages causées par les insectes nuisibles, et la prévention et contrôle
des épidémies animales.
La Chine soutiendra l’innovation agricole pour
l’augmentation de la productivité et la valeur ajouté des produis agricoles des
pays africains, ainsi va-t-elle soutenir le développement de l’agriculture
moderne en Afrique.
- Fournir l’assistance alimentaire d’urgence. Due à l’effet « El Nino », plusieurs
pays africains ont souffert de graves sécheresses où la production alimentaire
a fortement diminué. La Chine fournira aux pays touchés de l’assistance
humanitaire en céréale conformément à leur demande, et elle cherchera la
possibilité de coopération avec les institutions internationales pour aider les
pays africains à soulager la crise alimentaire et en assurer la sécurité.
III. Le programme de coopération d’infrastructures. La Chine renforcera la
coopération mutuellement bénéfique avec l’Afrique en ce qui concerne la
planification, la conception, la construction, l’exploitation et l’entretien des
infrastructures, soutiendra une participation active des entreprises chinoises à
la construction des infrastructures en Afrique telles que les chemins de fer, les
routes, l’aviation régionale, les ports, l’électricité et les télécommunications,
afin d’accrôitre la capacité de l’Afrique à s’assurer un développement soutenu,
et accompagnera les pays africains dans la construction de cinq universités
spécialisées en transport.
Illustration: La coopération d’infrastructures constitue non seulement une
tradition de la coopération sino-africaine, elle est aussi le secteur clé pour en
élever le niveau et le changement du mode de la coopération économique.
L’insuffisance d’infrastructures est l’un des obstacles à l’intégration africaine et
à son dévoloppement autonome et durable. L’« Agenda 2063 » a avancé
l’idée de lier les capitaux politiques et économiques des pays africains par des
trains à grandes vitesse et des corridors d’autoroutes, à augmenter l’efficacité
de l’aviation civile, et à renforcer l’industrie portuaire et le transport maritime.
Le Programme du développement d’infrastructures africaines a fixé 4
secteurs clés qui sont l’énergie, le transport, la communication et l’exploitation
des réssources d’eau transfrontalières, y compris un réseau ferroviaire
composé de 4 lignes dans le sens nord-sud et 6 dans le sens est-ouest, un
réseau routière composé de 3 lignes nord-sud et 6 est-ouest. Réjouissant
d’avantages incomparables dans la construction d’infrastructures, la Chine a
approfondi sa coopération avec les pays africains dans le domaine et a établi
le partenariat en terme de construction d’infrastructures interrégionales, créant
des conditions pour renforcer encore d’avantage la coopération sino-africaine.
La Chine soutiendra fermement comme par le passé l’intégration de l’Afrique
et conformément à la perspective africaine, elle mettra en pleine valeur le
mécanisme de groupe mixte de travail entre les pays concernés. En réalisant
une série de projets majeures, elle souhaite approfondir sa coopération avec
l’Afrique dans la planification, la conception, la construction, l’exploitation et
l’entretien des infrastructures, et elle souhaite égalment améliorer par cette
méthode les conditions d’infrastructures et le climat d’affaires en y introduisant
des équipements et techniques avancés, des normes et des services
compétents. Pour cela, la Chine définit comme suivants les secteurs
prioritaires dans le cadre du Programme de coopération d’infrastructures :
- Chemin de fer, route et port. Sur la base de la plannification africaine de son
réseaux ferroviaire et routière et en mobilisant différents modes de
financement et de coopération, la Chine encouragera ses entreprises à
participer activement dans la construction des réseaux ferroviaire, routière et
portuaire en Afrique, en réalisant des projets majeurs avec les efforts
conjugées entre la Chine et les pays africains où elle leur fournira un savoir
faire crédible et des équipements de qualité pour promouvoir la construction
du réseau de transport et la croissance économique tout au long de ces lignes
de transport.
- L’aviation régionale. La Chine poussera en avant, à force réunies avec
l’Afrique, le programme de coopération entre elles sur l’aviation régionale,
conformément aux principes du marché. Les deux parties envisagent à
approfondir leur partenariat en matière de l’investissement et de la gestion en
fournissant des aeronefs civils et en supportant la construction en Afrique des
installations y relatives, tel que les aéroports, les entrepôts de pièces
détachées, des centres de maintenance et les écoles d’aviation; aussi
comptent-elles renforcer la capacité africaine de la certification de navigabilité
et du contrôle aérien, stimulant en même temps la coopération en terme des
produits, de la technologie, de la normalisation, de l’installation concernée, du
service après-vente et de la formation du personnel, en vue d’élever l’efficacité
et favoriser l’interconnexion de l’aviation civile en Afrique.
- L’électricité. En répondant à la demande réelle de la parite africaine, la Chine
soutiendra la construction des projets relatifs à la production d’électricité et à
son transfert et distribution, tel que les centrales hydraulique, thermique,
érolienne, photovoltaïque et de la biomasse, en vue d’aider l’Afrique à se
débarasser des contraintes énergetiques à sa croissance économique et lui
donner une impulsion soutenue au développement.
- La télécommunication. La Chine supportera la construction africaine d’une
société informatique et une économique numérique, en encourageant les
entreprises chinoises à participer à la construction du réseau informatique, à
son exploitation et au service concerné sous les principes du marché, en
élaborant le réseau moderne de télécommunication en vue de promouvoir le
développement de l’Afrique.
- Les ressources humaines et la recherche. La Chine mobilisera ses
ressources publiques et privées pour construire ou rénover 5 écoles
universitaires de transport, comprenant les écoles d’aviation, de voix ferrés et
des routes, où elle s’engage à donner son soutient intégral à l’installation, aux
équipements d’enseignement, au plan du partenariat, à l’assistance technique
et à la gestion. Elle aidera l’Afrique à former systématiquement son propre
équipe professionnelle d’infrastructure en vue d’assurer sa réserve en
ressource humaine et en recherche pour le développement durable des
projets de l’interconnexion.
V. Le programme de développement vert. La Chine soutiendra l’Afrique dans
ses efforts pour renforcer les capacités de développement vert, bas carbone et
durable et mettre en œuvre 100 projets d’énergies propres, de protection de la
faune et de la flore sauvages, de développement agricole amical à
l’environnement, et de construction de villes intelligentes. La coopération
sino-africaine ne se fera jamais au détriment des écosystèmes et des intérêt
de long terme de l’Afrique.
Illustration: Réaliser le développement tout en protégeant l’environnement
constitue l’objectif partagé entre la Chine et l’Afrique. A mesure que l’Afrique
entre dans une phase de croissance rapide, il est important d’éviter la
dégradation environnementale causé par la croissance afin de réaliser un
développement inclusif et durable de l’Afrique, ce qui est aujourd’hui un point
focal auquel font attention les gouvernements et les populations africaines.
Ayant des expériences dans le domaine de la protection environnementale et
du développement vert, la Chine a depuis toujours attaché une importance à la
protection écologique en Afrique. Elle renforcera sa coopération avec cette
dernière en matière de la protection de l’environnement en soulignant aux
entreprises chinoises la nécessité de cette action. La Chine supportera les
efforts africaines dans le développement vert, bas carbone et durable. À cet
effet, dans le cadre du programme de coopération du développement vert, la
Chine collaborera avec l’Afrique dans les domaines suivants:
- L’énergie propre et la protection de faune et de flore sauvages. La Chine
mettrera en oeuvre des projets de l’énergie propre et la protection de faune et
de flore sauvages, y compris la prévention et la réduction des calamité
naturelles, les projets pilotes en protection de faune et de flore sauvages,
l’aménagement du territoire, la surveillance météorologique et l’énergie propre,
en vue d’aider l’Afrique à réaliser les objectifs fixés au Programme 2030 du
développement durable initié par l’ONU
- Le développement agricole amical à l’environnement et la construction de
villes
intelligentes.
La
Chine
réalisera
en
Afrique
des
projets
du
développement agricole amical à l’environnement et de villes intelligentes,
touchant à la recherche, la culture, la production, le stockage et la
tranformation des produits agricoles, ainsi qu’à l’urbanisation, le transport et
les bâtiments bas carbone, le réseau électrique intelligent et le Big Data qui
favorisent la protection environnementale en espace urbaine, en vue de
promouvoir le développement durable de l’agriculture et l’urbanisation en
Afrique, réalisant l’harmonie entre l’homme et la nature.
VI: Le programme de facilitation du commerce et de l’investissement. La chine
mettra en oeuvre 50 projets pour promouvoir le commerce, accompagnera
l’Afrique dans l’amélioration des conditions matérielles et « soft » de
l’investissement et du commerce intra-africain et avec l’extérieur, et entend
mener des négociations avec les pays et organisations régionales africains
sur les accords globaux de libre-échange couvrant le commerce des
marchandises, le commerce des services et la coopération d’investissement,
de sorte à accroître l’exportation africaine vers la Chine. La Chine soutiendra
les pays africains dans leurs efforts visant à renforcer les capacités
d’application de la loi en matière de douane, de contrôle de la qualité et de
fiscalité et développera avec l’Afrique la coopération dans la normalisation, la
certification et l’accréditation ainsi que le commerce électronique.
Illustration: En tant que premier partenaire commercial et source importante
d’investissement de l’Afrique, la Chine s’est toujours efforcé à prospecter des
nouveaux points forts d’augmentation pour leur coopération commerciale et
d’investissement. « L’Agenda 2063 » de l’Afrique a initié le libre échange
incluant tous les pays africains, dont le commece interne présentera 50% de la
totalité africaine, qui occuperait 12% du commerce internationale. La libre
circulation des personnes et des capitaux, des biens et des services sur le
continent africain se réaliserait à l’horizon 2063. Conformément à l’objectif du
développement et la demande réelle de la partie africaine, la partie chinoise la
supportera à élargir son investissement, son commerce tant à l’intérieur qu’à
l’extérieur de l’Afrique et en optimiser la structure. Elle l’encourage à exporter
des produits non-énergetique et à faciliter les processus d’investir et du
commerce. La partie chinoise travaillera ensemble avec la partie africaine pour
un environnement commercial plus efficace et plus libre afin de faire avancer
l’intégration économique de cette dernière. A ce propos, la Chine concrétisera
les mesures suivantes dans le cadre du programme de coopération
commerciale et de facilitation de l’investessement sino-africain:
- Poursuite de l’assistance à la promotion du commerce. La Chine mettra en
oeuvre 50 projet d’aide au commerce selon les différentes demandes des pays
africains, y compris le renforcement de capacité, la mise à niveau des
équipements de contrôle douanier et du transports, et l’octroi des matériaux y
relatifs. L’objectif consiste à enlever les obstacles internes du marché africain
et promouvoir ainsi la coopération commerciale entre la Chine et l’Afrique.
- La création des zones de libre échange. La Chine soutient l’objectif africain
de réaliser le libre échange au niveau de toute l’Afrique. Elle souhaite
prospecter toutes les potentialité de coopération sino-africaine en créant un
mécanisme plus sûr afin de favoriser le libre échange et la facilité commerciale
à travers des négociations des accords sur les échanges des biens et du
service et sur l’investissement. Elle souhaite que la grandeur de son marché
bénéficie aux produits africains et que les entreprises chinoises invesissant en
Afrique soient plus nombreuses.
- La promotion du commerce électronique. Le commerce électronique a une
belle perspective en Afrique et constitue en même temps un facteur crutial
pour la facilitation du commerce et de l’investissement. La partie chinoise
encouragera les entreprises à discuter leur coopération du commerce
électronique du type “internet+” avec les partenaires africains sous principes
du marché, poussant l’Afrique à partager et bénéficier de l’avantage apportée
par la technique informatique et le big-data.
VII. Le programme de réduction de la pauvreté et de bien-être social. Tout en
redoublant d’efforts pour réduire la pauvreté, la Chine accroîtra ses aides à
l’Afrique, et y mettra en ouvre 200 projets dans le cadre du programme vie
heureuse et du programme de réduction de la pauvreté destinée notamment
aux femmes et aux enfants. Elle exemptera les PMA africains des dettes
gouvermentales sans intérêt échuées fin 2015.
Illustration: Face au grand défi de la pauvreté, la réduction de la pauvreté et
l’amélioration du bien-être social constitue un objectif commun des pays
africains, qui envisagent, dans son initiative « l’Agenda 2063 », à réduire le
taux de dysplasie des adolescents à moins de 10% et le taux de maigreur des
enfants à moins de 5% à l’horizon 2025. Alors que la Chine accélère ses
propres efforts pour la réduction de la pauvreté, elle renforcera sa coopération
avec les pays africains en partageant ses expériences et en soutenant les
mêmes efforts de l’Afrique afin d’aider cette dernière à améliorer la vie et le
bien-être de sa population, contribuant également au bien-être du monde
entier. Pour cela, la Chine souhaite intensifier sa coopération avec l’Afrique
dans ce qui suit:
- La réduction de la pauvreté et le « projet de vie heureuse ». La partie
chinoise mobilisera ses ressources publiques et privées pour entamer une
coopération répandue avec les pays africains en réalisant conjointement 200
projets de réduction de la pauvreté et d’amélioration du bien-être, lesquels
pourront faire bénéficier la population africaine, dont l’effet espéré consiste à la
popularité et le bonheur réel. A travers ces projet dit de « Vie Heureuse », la
partie chinoise aidera les pays africains à multiplier leur service publique dans
les régions rurales, à y renforer la formation professionnelle et améliorer
l’environnement et la condition de vie. Ces projets achèveront « le dernier
kilometre » des routes rurales, réalisant le liaison entre les villages africains et
la civilisation contemporaine. La Chine organisera des tours de l’équipe
médicale et des volontaires aux pays qui en ont besoin pour y faire connaître
la population locale la protection maternelle et infantile ainsi que les
connaissances sur l’eau potable. Ces tours visent aussi à former les médecins
et infirmiers locaux, à soigner la santé gynéco-obstétrique des femmes, et à
promouvoir le grandissement sain des enfants. La partie chinoise s’efforcera
aussi à améliorer l’administration et la gestion des écoles par les bias des
écoles primaires, secondaires et de l’éducation professionnelle réalisés sous
l’aide chinoise, fournira des matériaux scolaires et des quotidiens, comprenant
des régimes nutritionnels, de la papeterie, des nécessités quotidiennes, des
livres, des sports et des biens culturels, de sorte que les jeunes africains
bénéficient de l'accès à une éducation de qualité.
-L’ exemption des dettes gouvermentales sans intérêt. Pour alléger le
fardeau des dettes et promouvoir le dévéloppement durable des pays africains,
la partie chinoise exemptera les PMA africains les dettes gouvermentales sans
intérêt échues fin 2015. Elle s’engage à vérifier avec les pays concernés les
détails de la dette issue des prêts sans intérêts dans le plus bréf délais afin de
signer l’accord y relatif et passer aux processus comptable nécessaires.
VIII. Le programme de santé publique. La Chine participera aux éfforts de
l’afrique pour développer les systèmes de prévention et de contrôle des
maladies. Elle soutiendra l’établissement de 20 partenairiats pilotes entre les
hôtipaux chinois et africains, favorisera le renforcement des services de
spécialité des hôpitaux, continuera à envoyer des équipes médicales et à
organiser des activités d’assistance médicale comme l’Action lumière et la
protection maternelle et infantile dans différents pays africains, et fournira à
l’Afrique des antipaludéens à base d’artémisinine. La Chine encouragera les
entreprises pharmaceutiques chinoises à localiser la production en Afrique en
vue d’y accroître l’accessibilité des médicaments.
Illustration: La coopération sino-africaine sur la santé publique a pris un grand
essor ces dernières années. En 2014, suite à l’éclat de l’épidémie d’Ebola
dans l’ouest de l’Afrique, la chine s’est mobilisé en premier pour fournir, à 4
reprises, des aides humanitaires d’urgence, y compris des équiements et
matériaux médicaux, l’établissement d’un centre de diagnostique et de
traitement ainsi qu’un laboratoire biologique, et l’envoi de l’équipe médicale
aux côtés des amis africains pour combattre l’épidémie. Récemment elle a
anoncé une 5e tour de l’aide, visant la reconstruction des pays frappés, qui lui
a gagné globalement la haute appréciation. « L’Agenda 2063 » a avancé
comme objectifs le contôle complet des maladies tropicales et des épidémie
dont Ebola, la réduction de manière manifeste du taux d’infection des maladies
non-inféctieuses, l’augmentation à 75 ans l’esperance de vie en Afrique. En s’y
référant, la partie chinoise soutiendra l’Afrique pour la mise à niveau de
prévention et du contrôle de la santé publique et son développement
autonome. A cet égard, la China mettra l’accent sur les aspects suivants pour
cette coopérations avec l’Afrique :
- L’assistance au centre africain du contrôle des maladies. La partie chinoise
est disposée de mener des efforts conjointes avec la partie africaine contre les
grandes épidémies surgies. Elle soutiendra le perfectionnement du système
de prévemntion et du contrôle de la santé publique pour protéger la population
africaine. Exigé par l’Union Africaine et des pays africains, la construction d’un
centre du contrôle des maladies est sousmise aux études de la partie chinoise,
qui fournira son assistance à l’établissement du système d’information, à
l’accès aux équipements, à la coopération des laboratoires, à la formation et à
l’octoi des bourses..
- La coopération des hôpitaux. Pour aider les hôtaux africains à améliorer la
technique et la gestion, la partie chinoise supportera des coopérations pilotes
entre les hôpitaux chinois et africains, qui proposeront ensemble 20 hôpitaux
où elles intensifieront des coopérations en ce qui concerne l’établissement des
servicess de spécialité, le diagnostique et le traitement, la formation des
médecins et des infirmiers, la maintenance des équipemnts et la gestion
hospitalière.
- L’envoi des équipes médicales. La Chine a effectué d’importante contribution
pour avoir guéri un grand nombre des malades africains à travers l’envoi des
équipes médicales et des Actions lumières, ce qui est hautement apprécié par
les pays africains. Sur cette base de coopération, elle enverra à plus de 40
pays africains des missions médicales de courte-durée composées d’experts
pour fournir des aides médicales tel que l’Action lumière, la protection
maternelle et infantille, le don des équipement et des consommables
médicales, en vue d’offrir à la population africaine un service médical plus
spécialisé et plus précis.
- Fourniture de médicaments anti-paludisme. La fameuse pharmacienne
chinoise Madame Tu Youyou a gagné le prix Nobel 2015 en physiologie ou
médecine pour sa contribution exceptionnelle dans la recherche et
l’exploitation des médicaments anti-paludisme. Depuis des années, des
médicaments chinois à base d’artémisinine ont joué un rôle remarquable
dans la lutte contre le paludisme. Sur la base de ces acquis, la partie chinois
fournira encore 5 millions unité de médicaments anti-paludisme à base
d’artémisinine pour réaliser de nouvelle contrbution dans le combat contre
cette maladie et dans l’intensification de la coopération pharmaceutique
sino-africaine.
- La production pharmaceutique. La Chine soutiendra les coopération
sino-africaines
dans
la
recherche
et
la
production
pharmaceutique
conformément aux principes du marché. Elle encouragera ses entreprises à
localiser la production des médicaments en Afrique afin d’aider cette dernière
à renforcer sa capacité de l’autonomie et du développement durable en la
matière.
VIIII. Le programme d’échanges culturels et humains. La Chine construira
pour l’Afrique cinq centres culturels, et mettra en oeuvre des projets d’accès à
la télévision par satellite dans 10 000 villages africains. Elle accueillera 2 000
Africains pour la formation de diplôme et accordera 30 000 bourses
gouvernementales à l’Afrique, organisera chaque année des visites en Chine
pour 200 chercheurs africains et des séminaires pour 500 jeunes africains, et
formera chaque année 1 000 Africains travaillant dans les médias. Elle
soutiendra l’ouverture de plus de vols directs entre la Chine et l’Afrique en vue
de promouvoir la coopération tourisitique.
Illustration : L’amitié des pays résulte de l’entente amicale des populations.
Les échanges culturels et humains constituent la garantie au développement
durable des relations sino-africaines et à la coopération économique et
commericale. En vue de consolider la fondation populaire et sociale de cette
relation et créer une bonne ambiance à la coopération, d’hériter et faire
prospère l’amitié traditionnelle entre les deux parties. La Chine soutiendra et
promouvra les échanges entre les artistes, les médias, les think-tanks, les
organisations non-gouvernementales, les jeunes, les femmes et les syndicats.
Pour cela, la Chine élaborera des mesures économiques et commerciales
suivantes dans le cadre du programme d’échanges culturels et humains :
- Les centres culturels africains. Pour la mise en valeur de la civilisation
brilliante et la diversification des cultures éthniques de l’Afrique, la Chine
compte intensifier ses échanges et coopérations culturelless avec celle-ci par
la construction de cinq centres culturels afin d’aider l’Afrique à protéger son
patrimoine culturel historique.
- Les projets d’accès à la télévision par satellite. En vue de promouvoir les
échanges culturels sino-africains et enrichir la vie culturelle de la poplulation
ruralle, et en répondant au besoin culturel de cette dernière, la Chine
mobilisera ses ressources gouvermentales et commerciales, pour réaliser des
projets d’accès à la télévision par satellite dans 10 000 villages africains.
- L’éducation de diplôme et les bourses gouvernementales. S’appuyant sur
ses établissements de réputation de l’éducation supérieur, la Chine fournira 2
000 diplôme de doctorat et de master couvant des domaines variées de la
politique à l’économie, en passant par la gestion, la philosophie, l’histoire, la
santé, l’agriculture et les médias, en vue de multiplier les échanges des
expériences et le partage des acquis du développement. La Chine accordera
30 000 bourse gouvermentale aux étudiants africains au lieu de 18 000
pendant les trois dernières années.
- Formation des personnes de média. Pour promouvoir la coopération
sino-africaine entre les médias , la Chine formera 1 000 africains y assurant
leur service, à travers des séminaires en Chine, de l’aide technique et du
service fourni par des sociétés chinoises en Afrique. La formation concernera
la technique de radio télévision, la rédaction de presse et l’éducation en
nouveaux médias.
- La coopération touristique. Le tourisme constitue une industrie émergente
profitant de l’avantage propre des pays africains et un nouveau secteur de la
coopération sino-africaine. La Chine soutiendra les compagnies aériennes à
ouvrir plus de vols directs sino-africains et encouragera ses citoyens à voyager
et consommer d’avantage en Afrique. Elle promouvra la coopération des
investissements dans le commerce du service ainsi que l’exploitation de plus
de produits touristiques entre les deux parties.
Pour assurer la bonne exécution de ces dix programmes de coopération,
la Chine a décidé de dégager 60 milliards de dollars US d’appui financier, y
compris une somme de don et de prêts sans intérêt d’un montant total de 5
milliards de dollars US, une ligne de crédit de 35 milliards de dollars US pour
les prêts à caractère préférentiel et les crédits d’exportation tout en veillant à
augmenter le niveau de concessionnalité des prêts préférentiels, un apport
supplémentaire de 5 milliards de dollars US respectivement au Fonds de
développement Chine-Afrique et aux Prêts spéciaux pour le développement
de PME africaines.
Concernant les aides en don et prêts sans intérêt, la partie africaine est
priée, d’après sa demande réelle, de multiplier ses échanges de vue avec le
Bureau du Conseiller économique et commercial auprès de l’Ambassade de
Chine aux pays africains. Conformément aux priorités relative à l’aide publique
déterminées par les deux parties, la partie africaine pourra soumettre sa
demande détaillé, dans des secteurs variés comme l’industrialisation,
l’agriculture, la protection environnementale, la réduction de la pauvreté, le
service de la santé, la culture et la formation. Les deux parties doivent
renforcer leur coopération dans tous les étapes de la réalisation du projet, de
l’évaluation en passant par les études de faisabilité, négociation et
l’élaboration du contrat, afin de démarrer le projet dans le plus bréf délais et
faire bénéficier la population africaine.
Quant aux prêts à caractère préférentiel et les crédits d’exportation suivant
les habitudes de la coopération des deux parties, le montant des prêts ne se
divisera pas par pays, mais sera utilisé d’après l’état d’avancement du projet
même et selon le résultat d’évaluation des institutions financières. La partie
africaine est priée de bien selectionner les projets de coopération,
conformément à sa stratégie du développement et sa demande réelle, et
notamment dans le domaine des infrastructures,
coopération en matière de
la capacités de production, secteurs prioritaires conclus entre la Chine et
l’Afrique dans les différents programmes de coopération. Il est prié à la partie
africaine de bien vouloir choisir les projets par priorité afin de garantir leur mise
en oevre dans les meilleurs délais. Compte tenue de la situation économique
réelle de certains pays africains et de la particularité de certains projets, la
Chine augmentera davantage le niveau de concessionnalité des prêts
préférentiels et donnera plus de flexibilité à l’intérêt et au délais de
rembourssement du prêt.
Après l’augementation du capital à toirs reprise, la totalité du Fonds de
développement Chine-Afrique(CADfund) a atteint 5 milliards de dollars US. En
ajoutant 5 milliard de USD de cette fois, la totalité de ce fonds va atteindre 10
milliards de dollars US. Actuellement, l’investissement du CADfund en Afrique
se répartit dans des domaines variées tels que les infrastructures, la
manufacture, l’agriculture et les parcs industriels, stimulant d’autres
investissements chinois en Afrique et exerçant des influences positives
économique et social. L’augmentation de capitaux du CADfund donnera un
support plus fort dans la coopération sino-africaine en matière de la capacité
de production, des investissements et du commerce. (Les critères et la
procédure de demande du Fonds de Développement Chine-Afrique est jointe
en annexe I.)
Le capital aux Prêts spéciaux pour le développement de PMEs africaines
était à 1 milliard de dollar US et un apport supplémentaire de 5 milliards le
porteront à 6 milliards de dollars US. Jusqu’à ce jour, les Prêts spéciaux ont
accordé des crédits à plus de 70 projets africains, soutenant des PMEs dans la
culture et la transformation des produits agricoles, la machinerie et le
commerce des petits articles, créant localement l’emploi et contribuant ainsi à
la promotion du commerce à l’extérieur de l’Afrique. L’augmentation du capital
des Prêts spéciaux assurera un soutien financier plus fort au développement
des PMEs africaines et favorisera une plus grandes contribution de celles-ci à
l’industrialisation et la diversification de l’économique africaine.(Les critères et
la procédure de l’application du Prêts spéciaux pour le développement de
PMEs africaines est jointe en annexe II)
Prochainement, la Chine mènera une collaboration étroite avec les pays
africains pour concrétiser d’une façon conciencieuse ces dix programmes de
coopération inscrits dans le cadre du Sommet de Johannesburg du Forum sur
la Coopération sino-africaine. Elle travaillera à élaborer des plans concrets et à
fixer les projets de coopération de concert avec les pays africains et veille à ce
que le suivi s’avance de façon scientifique et régulière pour porter le
partenariat sino-africaine à atteind un nouveau palier et donner d’oxygène
nouveau au partenariat stratégique global entre la Chine et l’Afrique.
Annexe I. Les critères et les Processus de la demande au Fonds de
développement Chine-Afrique
Le Fonds de Développement Sino-Africain (CADFund en anglais) est
l’une des huit mesures pragmatiques annoncées par le gouvernement
chinois au Sommet de Beijing du Forum sur la coopération sino-africaine,
son capital total atteint actuellement au US$ 5 milliards. Depuis son
établissement, le CADFund a investi au total près de US$ 3,2milliards
dans plus de 80 projets situés aux 35 pays d’Afrique dans de très
nombreux domaines y compris l’agriculture : la culture et la
transformation;
la coopération
sur la capacité de production :
l’automobile, la transformation de cuir, l’électroménager, le verre, le
ciment, la pharmacie, etc.; l’infrastructure : la centrale électrique, le
transport maritime, l’aviation; et aussi dans les projets de télévision
numérique, des parcs industriels et commerciaux, de l’énergie et des
mines. La mise en œuvre de ces projets permettra d’encourager des
investissements des entreprises chinoises qui s’élèvent à US$ 16, de créer
1 million d’emplois, d’augmenter la recette des devises étrangères par
exportation de US$2 milliards et de générer des recettes fiscales de US$1
milliard en Afrique. Ces projets, salués largement par les pays africains,
injectent de la vitalité dans la coopération commerciale sino-africaine
d’une nouvelle ère, apportent des bénéfices économiques et sociaux en
Afrique, consolidèrent la base du développement économique de
l’Afrique, renforcent sa capacité d’auto-développement, et augmentent sa
compétitivité dans l’économie mondiale. Le CADFund est devenu
actuellement la plate-forme chinoise principale d’investissement en
Afrique. Le président Xi Jinping a annoncé, lors du Sommet du
Johannesburg du Forum sur la coopération sino-africaine (FCSA),
l’augmentation de US$5 milliards au CADFund dont le capital total
atteindra à US$ 10 milliards. Le CADFund continuera de jouer son rôle
pour soutenir les entreprises chinoises à investir en Afrique, et aider les
projets locaux de trouver leurs partenaires chinois. Toutes les entreprises
éligibles peuvent soumettre leurs demandes de de coopération avec le
CADFund.
Nature de CADFund
Lancé et crée par le gouvernement chinois, le CADFund est un fonds
d’investissement envers l’Afrique. En respectant les concepts « de
sincérité, de pragmatisme, d'amitié et de franchise » et les principes
« d’orientation du gouvernement, de rôle principal des entreprises,
d’opération en fonction du marché et de coopération gagnant-gagnant”, le
CADFund s’efforce à aider l’Afrique à briser les trois goulots du
développement africain à savoir le retard dans les infrastructures, le
manque des personnes qualifiées et le manque des fonds, à accélérer
l’industrialisation et la modernisation agricole d’Afrique et à réaliser son
développement autonome et durable. Autour de “10 grands projets de
coopération sino-africaine”, et conformément aux critères de sélection de
projet dits” la nécessité stratégique, l’équilibre de rentabilité et la
durabilité de développement des institutions”, le CADFund soutient en
priorité les projets dans les domaines des trios réseaux (de chemin de fer,
de route et d’aviation régionale)et l’industrialisation, de la synergie
industrielle et la coopération sur la capacité de production, de la
fabrication des équipements « aller à l’étranger», de l’agriculture, de
l’amélioration du bien-être de la population, et des parcs industriels.
1. Aider les entreprises à résoudre le problème de financement de projet,
et partager les risques d’investissement en Afrique.
2. Valoriser l’avantage du CADFund dans ses connaissances sur les pays
africain et ses environnements d’investissement, et offrir les services à
valeur ajoutée pour aider les entreprises à relever les défis dans leurs
investissements en Afrique.
3. Jouer pleinement le rôle du pont, aider les entreprises chinoises à
découvrir des opportunités d’investissement en Afrique, et trouver des
partenaires chinois pour les entreprises et les projets d’Afrique.
Principes d’application des fonds
Le Fonds de Développement Sino-Africain à travers la participation
en actions, investit en tant qu’actionnaire sans contrôle ou actionnaire
minoritaire dans les entreprises chinoises qui mènent leurs activités
commerciales vers l’Afrique et dans les entreprises et projets investis par
celles dernières en Afrique. Les principaux moyens d’application des
fonds du CADFund sont :
1. Placement en actions : investissements directs aux entreprises et aux
projets en actions ordinaires.
2. Investissement en quasi-fonds propres : investissements en actions
privilégiées, obligations convertibles, instruments de capital hybrides,
etc.
3. Investissement aux fonds : comme le « Fonds des Fonds »,
conformément aux politiques diplomatiques et commerciales de la
Chine pour l’Afrique, le CADFund investit avec une proportion
appropriée de ses capitaux dans d’autres fonds.
Clients adaptés
Le CADFund soutient des entreprises chinoises dans leurs
investissements en Afrique, et aide aussi les projets africains à trouver
leurs partenaires chinois. Toutes les entreprises éligibles peuvent donc
faire une demande de financement auprès du CADFund. Les entreprises
candidates doivent répondre aux critères suivants :
 Bon dossier et bonne capacité de crédit, ou qualité satisfaisante
d’investissement et de financement au minimum;
 Actionnariat et structure de gestion clairs, bilan des actifs et passifs
et relation débiteur-créancier transparents ;
 Possession des technologies propres ou de licence octroyée par
autres institutions;
 Potentiel de développement et rentabilité continuelle;
 Stratégie claire pour le développement des activités en Afrique, et
group de projet doté des expériences africaines;
 É quipe de direction efficace et expérimenté avec une aptitude pour
accomplir l’objectif visé;
 Influence assez forte sur terrain et bonne relation avec le
gouvernement et les entreprises aux pays d’accueil du projet.
Procédure de demande
Le CADFUND reçoit les projets recommandés par le gouvernement
ou les institutions concernées et également les demandes de financement
des entreprises. Les projets vont être stockés d’abord dans sa réserve de
projets. Une fois les conditions nécessaires du projet remplies, le
CADFund va démarrer le processus d’approbation suivant : enquête
due-diligence, évaluation du projet, négociation, rédaction de la
proposition de placement, soumission à la approbation finale. Pour les
projets adoptés, le CADFund va signer des documents juridiques avec ses
partenaires, verser des fonds en fonction du déroulement du projet et
participer à la gestion du projet jusqu’à la sortie de ses investissements
réalisés.
Annexe II
Les critères et les processus de l’application du Prêt spécial pour le
développement des PMEs africaines
Le Prêt Spécial, avec un montant total de USD 6 millards,a été établi
sous le cadre du Forum sur la Coopération Sino-Africaine, dans le
but d’enrichir le canal de financement des PMEs en Afrique, animer
l’économie locale, promouvoir de l’emploi et l’exportation, élever le
niveau de vie des peuples locaux. Le Prêt est spécialement pour
financer le développement des secteurs comme l’agriculture, la
foresterie, l’élevage et la pêche. Il est la mise en exécution des
mesures de FOCAC.
Le Prêt a des caractéristiques :
Contexte gouvernemetal: Le Prêt est l’une des huit nouvelles
mesures du Gouvernement chinois en Afrique. L’aide chinoise
accordée aux PMEs africaines cherche à résoudre la difficulté de
financement, qui reflète la coopération réelle sino-africaine et
renforce le partenariat de coopération sino-africaine.
Caractéristiques commerciales: Il ne s’agit pas de fonds d’aide
gouvernementaux. Conformément aux principes commerciaux, CDB
fixe le tarif de Prêt en fonction de l’importance du projet, de niveau
de crédibilité de l’emprunteur, de résultat de l’évaluation des risques
et d’autres facteurs.
Universalité:En prenant le principe d’«un pays, une politique», et en
fonction de situation actuelle de chaque pays, CDB cherche à mener
le Prêt Spécial dans tout pays.
Flexibilité: Le Prêt Spécial vise à répondre aux besoins différentes
de financement des PMEs, il offre des fonds pour l’investissement
des actifs immobiliers ou des prêts de liquidité; la durée de Prêt ne
dépasse pas 5 ans; la monnaies de Prêt peut être USD, Euro ou RMB
avec un taux d’intérêt fixe ou flottant; le plan de retrait et de
remboursement dépendra de la négociation.
Définition de PME :

Correspondre aux normes de PMEs établies par les départements
concernés locaux

Correspondre aux normes de PMEs locales

Reconnu comme PME locale par les départements concernés
locaux

Se référant aux normes des pays de même situation économique
dans la région et aux normes des institutions financières
régionales concernées
Secteurs supportés:
Secteurs teriaires (circulation commercial, service), infrastructure
(énergie électrique, hydraulique agricole, irrigation, transportation),
industries de base (industries orientées vers l’exportation, plantation,
construction, traitement profond, médicaux et santé, communication)
et autres secteurs (l’économies d’énergie et la protection de
l’environnement, la culture et l’éducation) .
Deux Modèles :
Refinancement :Les institutions financières ou d’autres institutions
admissibles approuvées par le gouvernement du pays hôte seraient
choisies comme plates-formes de refinancement. CDB accorde des
lignes de crédit à ces institutions financières locales, ces dernières
refinancent aux PMEs locales en utilisant les guaranties comme
guarantie de souverain, assurances commerciales, guarantie de
l’institution financière multilatérale, le gage etc.
Prêt direct:
Ce modèle est valable pour les projets matures, qui ont des risques
contrôlables, un vaste potentiel de marché, une bonne influence sur
la vie du peuple. L’emprunteurs ou les actionnaires sont des
entreprises étrangère ou joint-ventures sino-étrangers capables. CDB
accorde le prêt directement aux emprunteurs, les emprunteurs
assument la responsabilité de remboursement.
Dossiers d’application:
Demande écrite, identification de l’applicant, état financier, étude de
faisabilité ou plan d’affaires, contrats et dossier légaux, dossier de
structure de financement et autres documents demandé par CDB.

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