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Bonjour tout le monde. Aujourd’hui, une Une pas comme les autres. C’est pas une Une qui présente le journal, mais une Une avec quelques mots de moi. Alors voilà. Tout d’abord, toutes mes excuses pour le retard de ce numéro, mais bon c’est comme ça, je sais même pas donner d’explications. C’est pourquoi vous trouverez un article sur l’hiver, le froid, mais j’allais pas retaper tout le journal pour quelques mois de retard. A l’avenir, je ferai plus attention. Mais sachez que le journal des vermeilles n’est ni annuel, ni mensuel, ni trimestriel, ni quotidien. Il n’est pas régulier. Le journal des vermeilles comporte des articles divers et variés. Il y a vraiment de tout. Vous pouvez réagir sur des articles, et même en proposer, les écrire vousmême ou simplement proposer des sujets, des thèmes. Vous pouvez aussi proposer des photos. Par exemple, T.M.M.P.L.I est une envoyée spéciale et pigiste. Tourillon Valérie a déjà participé à un article en prenant les photos nécessaires. Bref, ce journal est à vous, pour vous. Ce journal a été créé pour bien rigoler, pour se détendre de sa dure journée de labeur. Je prends plaisir à faire ce journal, même si certaines fois je manque d’inspiration. Quoi qu’il en soit, j’espère que ce journal vous plaira ! La Directrice en chef RYCKEMBSUCH Hélène Bisouxxxxx ! Voici venu le temps où la froidure s'installe, et on a tous envie de rester bien au chaud chez soi… Ou bien si on a enfin réussi à décrocher l'augmentation qu'on réclame depuis trois ans et deux jours à son patron, on a bien en vie de s'offrir des petites vacances. Mais où ?? Un regard par la fenêtre et vous avez la réponse : le temps est propice aux jeux de la glisse, et aux soirées au coin d'un bon feu de bois ! Une seule solution : la montagne. Qui n'a jamais rêvé de voir enfin ces hauts monts enneigés, silencieux et impressionnants ? Alors ni une, ni deux : on passe à trois directement et on loue des skis, on achète une combi fluo, des grosses lunettes de soleil renforcées avec une sorte mousse jaune, et des grosses chaussettes avec des petits sapins dessinés dessus. Vous faites votre valise, et vous partez avec votre conjoint vers la destination tant attendue. Vous êtes enfin arrivés. Le soleil est éblouissant et la neige est plus blanche que jamais. Vous n'avez jamais vu un ciel aussi bleu, ni un paysage aussi romantique. Vite ! Direction les pistes ! Cette année, vous avez choisi le ski alpin, y paraît qu'on s'y éclate. Vous avez, bien entendu, compris cette expression au sens propre. Et là, vous arrivez sur les pistes, tout blanc (non pas la peur, mais la crème solaire spéciale montagne), vous titubez (hé oui, comment marcher droit avec ces satanées chaussures de ski ??!!), vous vous faites remarquer (la combinaison fluo, les lunettes qui vous font ressembler à des mouches, et la démarche gauche). Et c'est à ce moment là que vous remarquez tous les beaux gosses qui vous entourent : les monos. La combi rouge, les lunettes branchées, l'allure de ouf. Même qu'ils marchent normalement, ceux là, avec leur chaussures de ski ! Tout pour plaire. D'ailleurs, Messieurs, votre compagne est déjà sous le charme. Mais pas question de se lancer sur les pistes sans une petite leçon de ski… D'abord, le tire fesses. Comment ne pas se casser la figure, assis sur ce disque de métal qui avance tout seul ??? (enfin, pas tout seul, car il est rattaché à une barre en fer avec un élastique … mais je vous passe les détails, car je ne suis pas une pro en mécanique de tire-fesses). Donc, pour ne pas tomber, il vous faut être sûr de vous et souple sur vos jambes. Il faut vous laisser emporter par cette machine infernale qui fait clac- clac- clac. Laissez vos skis bien parallèles et souriez au beau gosse (un mono, à tout les coups) qui vous tend le fameux bâton. Vous voici enfin en haut d'une piste. Vous jetez un coup d'œil à la descente qui vous attend. Houlala !!!!! Allez, on prend son courage à deux mains, on se lance et… un beau gosse arrive et étale sa science. Ce mono vous dit de mettre vos pieds en canards, c'est à dire en chasse neige (expression imprononçable quand on se met à la dire 4 fois de suite). Au début, vous avez du mal. Le mec en rouge est obligé de mettre lui même vos pieds dans la bonne position, sous le regard admiratif de toutes les filles qui passent par là. Petit à petit, vous progressez, et vous faites votre première descente avec réussite, un sourire de fierté s'affiche sur votre visage. Vous ne résistez pas à l'envie de recommencer cette expérience. Hop ! Vous retournez au tire-fesses, et vous vous dirigez vers la fameuse piste. C'est là que vous vous retrouvez nez à nez avec le fameux moniteur, qui apparemment, a décidé de s'incruster. En l'ignorant, vous amorcez la descente, mais il vous coupe dans votre élan… Vous l'écoutez en lui lançant des regards noirs, et il vous dit qu'il faut tenter les virages. Il vous explique alors que pour tourner, il vous faut prendre appui sur le pied inverse à la direction vers laquelle vous vous dirigez. Par exemple, pour tourner à droite, prendre appui sur le pied gauche. Et vis versa. Bon, vous vous lancez. Après quelques gamelles, vous prenez le coup. Maintenant que vous avez les bases, le journal vous propose un témoignage de skieur. Bertrand Tourneur vous raconte sa première descente, son premier séjour… Témoignage très instructif qui encouragera la jeunesse à se mettre au ski. "Bon, y'en a qui arrivent à avoir leur première étoile. Et ça veux dire quoi ça ? Qu'ils sont capables de descendre des pistes sur les pieds ? Ou qu'ils sont capables de s'arrêter autrement que sur le derrière ? Moi j'ai eu aussi mes premières étoiles il y a deux ans. Mais c'étaient pas les mêmes étoiles (c'étaient celles de Tintin quand il se prend un gadin). Ouaih bon. Ce qui me gène le plus, sur les skis, c'est que ça glisse. C'est assez mal foutu en fait : pas de guidon, ni de volant, pas de freins, possibilité d'avancer que dans des pentes -encore faut-il qu'il y ai de la neige- obligé de faire la queue devant les remontes pentes, obligé de faire attention derrière que les zoulous qui filent ont bien compris que toi tu préférais te casser la gueu.. En plus il faut les louer, les skis. Et puis aussi les bottes, là, les gros trucs en plastique rigide. Et puis il faut les faire régler. Et le réglage, à quoi ça sert, hein ? Je vous le donne dans le mille : à décrocher les skis. A ben c'est génial. Comme tu tombes. Pan, t'es assommé dans la neige, t'en a plein le cou, c'est froid, c'est dur, ça se réchauffe puis ça coule dans les sous-vêtements, mais c'est pas suffisant, non. Il faut qu'en plus les skis se décrochent. Comme ça, t'avais du mal sur les deux alors ils ne t'en laissent qu'un seul, dans le meilleur des cas. Bon et là, t'es pas dans la panade. Ben oui, parce que le ski, lui, contrairement à toi, il aime bien descendre. Et il ne t'a pas attendu. Il est déjà en bas, lui. Toi, en haut de la pente tu te dis merde, comment je va faire ??? Alors tu retires l'autre ski, et tu descend à pieds. Mais avec les bottes rigides, tu manques de te casser la gueu.. à chaque pas, et puis c'est pratique, tu tiens ton dernier ski et les bâtons dans les mains. Tu peux même pas te rattraper au cas ou. Donc tu descends, et là t'es quand même content, ça glisse moins que tout à l'heure. Oui, mais : les autres skieurs, eux n'ont pas l'air heureux parce que tu fais des traces dans la neige. Alors pour se venger, t'es arrivé à 1 mètre de ton autre ski, et pan ! là, ils l'envoient valdinguer 30 ou 40 mètres plus bas. Enfin, t'y est. T'as les deux skis, tu commence à te battre pour les remettre. Mais comme tu as marché avec tes bottes, grave erreur !!!, et ben tu peux plus rechausser... Ben non, faut d'abord dégager la neige et la glace. Bon tu t'exécutes, et tu réessaies. Bingo. Tu as mis le premier. Tu cherches à mettre le second mais tu le cognes légèrement, et il redescend de 2 ou 3 mètres. Bon, pas grave, tu as l'habitude, maintenant. Tu redescends aussi, puis tu t'installes à côté, tu déneiges ta botte. Tu te redresse, puis tu remets le ski. Eurêka ! Ca marche... Tu as donc les deux skis aux pieds, tu te remets dans le sens de la piste et... Tient ??? Déjà en bas ? bon ben je vais remonter. Et galère, et misère, et rage et désespoir..." Bref, le ski, c'est super !!! Pendant les soldes, il faut avant tout faire bonne figure∗ : vous allez être plongés pendant plusieurs heures dans une foule compacte dont vous devez A TOUT PRIX vous distinguer… Notre conseil : portez du rouge, et de préférence dans les cheveux (déstockage massif des mèches rouges chez votre coiffeur préféré). Encore plus in, pour être pure tendance : la boutique White Legend. Sous ce nom de façade, Levis vous fera croire en votre unicité, tout en vous faisant porter le vêtement le plus répandu au monde : le jeans (prononcer djinse). Prévoyez une moyenne de 77€∗ pour ces pantalons déjà usés, effet déjà porté, qui sont de pure actualité. Mais notre guide, l’artiste Effe, nous a emmenés en d’autres lieux où son collègue GRISOR nous plonge dans une ∗ figure, en anglais, signifie chiffre La déduction est comprise dans le prix affiché ∗∗ ambiance technologique. Ici, pour être à la pointe, IL NE FAUT PAS SOLDER ! Ainsi, un plumeau digne du maître d’hôtel Nestor vaut 7€ ; un couteau Bugatti (pour les amateurs d’auto) vaut 30€ ; un poivrier en acier inoxydable : 99€ et un économe 20€, c’est un comble ! En effet, pour l’élite des consommateurs, le must est de faire les soldes au prix fort !! Libre à vous d’adopter cette vogue, mais il faudra faire vite : la date de fin des soldes approche !!! TMMPLI (envoyée spéciale) Hé oui, hé oui… Des fois, c'est pas mal, les trucs qu'on peut trouver dans sa boîte mail, quand on rentre des cours… Vous est-il déjà arrivé de regarder quelqu'un de votre âge et de vous dire que vous ne pouvez pas paraître aussi vieux ? En attendant mon tour dans le cabinet du dentiste, j'ai remarqué son diplôme, accroché au mur, où on pouvait lire son nom. Soudain je me suis souvenu d'un grand jeune homme du même nom qui était dans ma classe il y a 30 ans. Mais à le regarder, je ne pouvais pas imaginer un instant que ce fut lui. Ce vieillard aux cheveux gris et au visage ressemblant au grand canyon ne pouvait avoir été mon copain de classe. Après qu'il eut fini d'examiner mes dents, je lui ai demandé si il avait été à la même école que moi. "Oui" a-t-il répondu. "En quelle année avez-vous eu votre diplôme ? " lui demandais-je. "1971" dit-il. "Pourquoi ? ". "Vous étiez dans ma classe ! " m'exclamais-je. Il m'a regardé attentivement, et là cet enfoiré m'a demandé : "Vous donniez quel cours ? " Qu'est-ce qui est petit, vert, et qui rigole en allant très vite sur les circuits ? Un chou marreur ! Je regarde le ciel, je te vois. Je regarde le soleil, je te vois. Je regarde la lune, je te vois. Mais tu vas te pousser, andouille ??!!!? Un gars est en train de pêcher tranquillement au bord de l'eau lorsqu'il sent la présence de quelqu'un derrière lui. Il se retourne et voit un petit vieux qui lui dit : - Alors, on pêche ? - Ben oui, vous voyez, ça me détend un peu... Et le petit vieux fait demi-tour et s'éloigne. Au bout d'un bon moment il entend à nouveau derrière lui : - Alors, on pêche ? (Toujours le même petit vieux) - Ben oui, ça me change du stress de la vie parisienne vous voyez... Et le petit vieux fait demi-tour et s'éloigne. Un moment plus tard le gars entend à nouveau derrière lui le même petit vieux : - Alors, on pêche ? Là, le pêcheur craque : - Ecoutez, ça fait trois fois que vous m'importunez, ça commence à bien faire !!! Il plie ses affaires de pêche, enfourche son vélo et attaque la grande côte qui mène au village sur la colline où il est en vacances. Arrivé presque en haut de la côte, alors qu'il est déjà en nage sous l'effort, il se retourne pour voir le chemin parcouru, et surtout pour vérifier si le petit vieux si embêtant ne l'a pas suivi. Et là il aperçoit le petit vieux en train de lui faire de grands signes. - Tiens se dit le gars, c'est curieux, peut-être ai-je oublié quelque chose en bas. Dans le doute, il fait demi-tour et redescend la côte qu'il avait eu tant de mal à monter. Arrivé en bas il s'arrête à côté du petit vieux qui lui fait : - Alors, on fait du vélo ? Faites travailler vos méninges !!!! Où se trouve le père ? Un problème de maths ou de géographie, c'est comme on veut: Une mère est de 21 ans plus âgée que son enfant. Dans 6 ans, son enfant sera 5 fois plus jeune que sa mère ! Question : Où se trouve le père ? REFLECHISSEZ, AVANT DE LIRE LA REPONSE... Réponse : - L'âge actuel de l'enfant est X - l'âge actuel de la mère est Y=X+21 - dans 6 ans : 5(X+6)=Y+6 - 5X+30 = X+21+6 - 4X = -3 - X = -3/4 L'enfant est âgé de -3/4 d'an, c'est à dire, -9 mois ! Réponse : Le père se trouve SUR la mère !! Note de Hélène : Moi, j'arrive pas à comprendre le pourquoi du 5(X+6) !!! Au fond, c'est très logique… Je me suis marié à une veuve qui avait de son premier mari une grande fille, dont mon père tomba amoureux et qu'il épousa. Mon père devint ainsi mon gendre tandis que ma belle-fille devenait ma belle-mère puisqu'elle avait épousé mon père. Bientôt ma femme eut un fils qui fut le fils de la mère de la femme de mon père et en même temps mon oncle puisqu'il était le frère de ma belle-mère: voilà donc mon propre fils qui devient mon oncle. La femme de mon père: elle aussi devint mère d'un garçon, qui fut à la fois mon demi-frère et mon petit-fils, vu qu'il était le fils de la fille de ma femme. Bref, ma femme se trouvait être ma grand-mère car elle était la mère de la femme de mon père. Moi, je n'étais pas seulement le mari de ma femme, mais j'étais aussi son petit-fils et comme le mari de la grand-mère d'une personne est appelé grand-père de celle-ci, il arriva que je devins mon propre grand-père. Papi Celui qui trouve comment ça marche, bravo ! Pour ceux qui aiment les casse-tête... 1) Inscrivez sur votre calculatrice tous les chiffres de votre numéro de téléphone se trouvant avant les 4 derniers. 2) Multipliez par 80 3) Plus 1 4) Multipliez par 250 5) Plus les 4 derniers chiffres de votre numéro de téléphone 6) Plus les 4 derniers chiffres de votre numéro de téléphone encore 7) Moins 250 8) Divisez par 2 Est-ce votre numéro de téléphone ??? Mai 2005 Ceci est un numéro du célèbre journal des vermeilles. Ce type de journal n'est ni quotidien, ni mensuel, ni trimestriel. Il n'est pas régulier. Veuillez donc ne pas attendre ni réclamer sa publication régulièrement. Ce journal peut-être lu par tous, et particulièrement par les visiteurs du site lnm. Vous n'êtes pas obligés de le lire, ni de donner votre avis, ni de donner des conseils à la directrice de ce journal.. Mais ça serai quand même bien que vous le fassiez. Je remercie tous ceux qui ont participé à ce journal : TMMPLI, Tourillon Valérie, èffe, entre autres.