Dossier de presse - Compagnie Fabbrica

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Dossier de presse - Compagnie Fabbrica
Dossier
de presse
Résumons-nous
d’Alexandre Vialatte
Du 14 mars au 1er avril 2012
Salle de répétition
© Mario Del Curto
Vidy-L
Main sponsor :
http://www.richardmille.com
Théâtre Vidy-Lausanne
Presse et communication
Sarah Turin/Coralie Rochat
Av. E.-Jaques-Dalcroze 5
1007 Lausanne
Tél. 021/619 45 21/74
[email protected]
[email protected]
www.vidy.ch
27
Du 14 mars au 1er avril 2012
Salle de répétition
Résumons-nous
d’Alexandre Vialatte
Adaptation :
Jacques Nichet
Mise en scène :
Charles Tordjman
Assistante à la mise en
scène :
Pauline Masson
Scénographie :
François Azambourg
Hellène Gaulier
Vincent Tordjman
Lumières :
Christian Pinaud
Costumes :
Hafid Bachiri
Cidalia da Costa
Anne Yarmola
Musique :
VICNET
Maquillage :
Cécile Kretschmar
Sophie Niesseron
Mercredi 14.03. 19h30
Jeudi 15.03. 19h30
Vendredi 16.03. 19h30
Samedi 17.03. 19h30
Dimanche 18.03. relâche
Lundi 19.03. relâche
Mardi 20.03. 19h30
Mercredi 21.03. 19h30
Jeudi 22.03. 19h30
Vendredi 23.03. 19h30
Samedi 24.03. 19h30
Dimanche 25.03. 18h30
Lundi 26.03. relâche
Mardi 27.03. 19h30
Mercredi 28.03. 19h30
Jeudi 29.03. 19h30
Vendredi 30.03. 19h30
Samedi 31.03. 19h30
Dimanche 01.04 18h30
Durée :
environ 1h15
Age conseillé :
dès 12 ans
Genre :
théâtre, comédie
Avec :
Clotilde Mollet
Christine Murillo
Dominique Pinon
Production :
Compagnie Fabbrica
Théâtre Vidy-Lausanne
La compagnie Fabbrica est subventionnée par le Ministère de la Culture – DGCA, le
Conseil régional de Lorraine et le Conseil général de Meurthe-et-Moselle.
Résumons-nous
d’Alexandre Vialatte
Note d’intention
Depuis sa vingt et unième année et jusqu’à sa mort, Alexandre Vialatte (1901-1971) a créé
un genre littéraire qu’il a poussé à la perfection : la chronique. Pour «La Revue Rhénane»,
«Le Crapouillot», «l’Intransigeant, la «Nouvelle Revue Française», «Marie Claire», le «Journal
de l’Est» et pendant les dix-huit dernières années de sa vie pour le grand quotidien auvergnat «La Montagne». Tous les dimanches soir, Vialatte porte sa copie à la Gare de Lyon au
train de 23h15. Alexandre le grand Vialatte parle de tout et de rien. Du temps, des animaux,
d’une pièce de théâtre, d’un film, commente un lieu commun ou un proverbe. Il fera l’éloge
du homard et autres insectes utiles. «Vialatte touche le monde avec un plumeau. C’est
ainsi que l’on devient indispensable (…) Rien ne le fascine autant que le monde en seconde
main, celui qui est lu, approuvé et répertorié par l’écrit. La langue française entraîne tout
le monde dans le même bateau, celui où vogue la chronique.» écrit Jean-Pierre Thibaudat
dans «Libération» en 1987 lors de la sortie de «Eloge du homard et autres insectes utiles».
Alexandre Vialatte parle bien sûr du temps, le perdu et le retrouvé, de la France, de ce dont
nous parlons. «Une chronique, il faudrait la faire pousser comme une herbe dans les fentes
d’un mur, dans les pierres de l’emploi du temps». De lui qui termine toutes ses chroniques
par «Et c’est ainsi qu’Allah est grand» on essaiera de faire un théâtre qui sera comme une
promenade, une flânerie en philosophie, en morale et en humour d’une rare délicatesse.
Un demi-siècle observé, un temps perdu ici retrouvé.
Nous inventerons à partir de toutes ces choses un théâtre-chronique. Nous rirons de nous et
du monde avec des pincettes.
Charles Tordjman
Semaine après semaine...
Semaine après semaine, de 1952 à 1971, Alexandre Vialatte a tenu parole. Sa chronique
hebdomadaire dans un journal régional lui permet d’exprimer une fidélité sans faille envers
une France, celle de son enfance, qui se défait sous ses yeux à force de réformes hâtives :
«On brise tout parce qu’on veut faire du neuf. On a donc l’illusion de pouvoir tout remplacer.»
A la précipitation inutile, ce flâneur oppose le génie de la lenteur, les bienfaits du temps
perdu. Dans sa course échevelée vers le progrès, le monde ne perd plus une minute pour
se perdre… Vialatte prend le parti d’en rire et nous offre une cinglante caricature des «temps
modernes». L’humour de Vialatte sert de merveilleux corrosif pour ronger les conformismes
les plus massifs.
Soixante ans nous séparent de son premier papier et quarante du dernier. Charles
Tordjman nous prépare une surprise quand aujourd’hui, il veut jouer avec tout ce temps-là,
faire entendre la voix encore trop méconnue de Vialatte. En s’asseyant dans son fauteuil,
le spectateur proche du lecteur d’autrefois pourra, à son tour, faire une halte d’un peu plus
d’une heure pour écouter «le bruit du temps», partager les pensées et les rires redevenus
vivants de l’auteur, faire face aux inquiétudes et aux impuissances présentes pour tenter de
les dépasser demain…
Jacques Nichet
Alexandre Vialatte
auteur
Né en 1901, germanophone, il est de 1922 à 1928 secrétaire de rédaction de «La Revue
Rhénane» à Mayence 1, dans la zone occupée par les forces françaises. Il y découvre
l’oeuvre de Franz Kafka, dont il fut le premier traducteur de l’allemand en français. En 1948,
il retourne à Ambert, puis s’installe à Paris (en face de la prison de la Santé). Il écrit, de 1952
jusqu’à sa mort en 1971, les 898 chroniques publiées (à l’exception de 10) dans le journal
quotidien auvergnat «La Montagne». Ses boutades témoignent de son goût du non-sens :
«Le loup est appelé ainsi à cause de ses grandes dents.»
«Je suis un écrivain notoirement méconnu.»
«Pascal aimait tellement l’Auvergne qu’il naquit à Clermont-Ferrand.»
«En Auvergne, il y a plus de montées que de descentes.»
«L’homme n’est que poussière... c’est dire l’importance du plumeau !»
«Sauf erreur, je ne me trompe jamais.»
Il finissait par ailleurs la plupart des articles qu’il rédigeait par la phrase : «Et c’est ainsi
qu’Allah est grand», sans aucun rapport avec le sujet de l’article, mais témoignant parfaitement de son humour particulier et anticonventionnel. Il tenait également dans les années
1960 une chronique régulière dans le magazine «Elle» : «Le Paris des Parisiennes». Ont été
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d’Alexandre Vialatte
publiés d’Alexandre Vialatte : 13 recueils de chroniques (regroupées après sa mort dans le
recueil en deux volumes des «Chroniques de la montagne»), 2 recueils de poésie, plusieurs
volumes de correspondance avec Jean Paulhan et Henri Pourrat, Jean Dubuffet notamment,
la traduction en français de 9 oeuvres de Franz Kafka et de 19 autres oeuvres d’auteurs
divers, ainsi que des chroniques illustrées.
Charles Tordjman
metteur en scène
En 1972, il débute comme administrateur au Théâtre Populaire de Lorraine, dirigé par
Jacques Kraemer. Dès l’année suivante, il partage avec celui-ci la direction du théâtre. Il
passe alors progressivement de la dramaturgie à l’écriture, puis à la mise en scène. Pour sa
première mise en scène, il adapte «La punaise» de Maïakovski (1976). Après de nombreuses
mises en scène, il devient directeur du Théâtre Populaire de Lorraine en 1981.
En 1992, il est nommé à la direction du Centre Dramatique National Nancy Lorraine. Là, il
continue d’affirmer son attachement au théâtre contemporain et sa volonté très marquée
d’un théâtre de service public ouvert au plus grand nombre, à travers de nombreuses créations. En 1996, Charles Tordjman crée le Festival Passages, consacré aux théâtres de l’Est
de l’Europe. En juin 1997, il accueille l’écrivain François Bon qu’il sollicite pour le théâtre.
Avec lui, Charles Tordjman met en scène «Va savoir la vie» avec 27 personnes en situation
sociale précaire (RMIstes, illettrés…). Son compagnonnage avec François Bon, sur le terrain
du travail mené avec les personnes en situation sociale précaire, se poursuit avec «Voix du
peuple» : les textes recueillis auprès des sans-abri de Nancy sont publiés aux éditions La
Nuée Bleue – DNA et Éditions de l’Est dans un ouvrage intitulé «La douceur dans l’abîme,
vies et paroles de sans-abri». En 2004, il crée notamment «Daewoo», de François Bon, qui
a depuis reçu le Molière du meilleur spectacle du théâtre public en région ainsi que le Prix
de la critique décerné par le Syndicat Français de la critique au titre du meilleur spectacle
de la saison. En 2008, il a créé «Vers toi terre promise», tragédie dentaire de Jean-Claude
Grumberg. Il a monté ce spectacle dans la même mise en scène, le même décor, les mêmes
lumières, avec des comédiens israéliens au Théâtre Caméri en Israël en mars 2009, avec
le soutien de Cultures France. Pour ce spectacle, Jean-Claude Grumberg a reçu le Molière
2009 de l’auteur francophone vivant. Le spectacle a aussi reçu le grand prix du syndicat
de la critique pour la meilleure création d’une pièce en langue française. En octobre 2009, il
créé «La fabbrica» d’Ascanio Celestini au Théâtre Vidy-Lausanne. A la fin de l’année 2009,
Charles Tordjman quitte le CDN de Nancy et créé la compagnie Fabbrica. En mars 2010, il
crée au Grand Théâtre de Luxembourg, «Flowers in the mirror» de Li JuChen avec la troupe
de l’opéra de Chengdu, de la province du Sichuan. En mai 2011 il installe à Metz le festival
Passages qui devient une structure indépendante. Il en reste le directeur artistique. Il mettra
en scène en février 2012 «Moi je crois pas» de JC Grumberg au Théâtre du Rond Point avec
Pierre Arditi et Catherine Hiegel.
Jacques Nichet
adaptation
En 1964, alors qu’il est encore étudiant à l’Ecole Normale Supérieure, Jacques Nichet
fonde une troupe universitaire : le Théâtre de l’Aquarium. Six ans plus tard, l’aventure
professionnelle commence. En 1973, un collectif d’une quinzaine d’artistes (parmi lesquels
Jean-Louis Benoit et Didier Bezace) s’installe à la Cartoucherie de Vincennes sur l’invitation
d’Ariane Mnouchkine. Ensemble, ils tentent d’y inventer un théâtre politique à la fois joyeux
et expérimental, toujours à la recherche d’un nouveau langage. Au cours de cette période,
et jusqu’en 1980, Jacques Nichet participe à douze réalisations, dont «Marchands de ville»
(1972), «Ah Q», de Jean Jourdheuil et Bernard Chartreux, d’après Lu Xun (1975), «La jeune
lune tient la vieille lune toute une nuit dans ses bras» (1976), «Correspondance» (1980). Il
réalise également deux films : un court-métrage – «Le Collectionneur» (1981) – et un longmétrage, «La Guerre des Demoiselles» (1983).
De 1986 à 1998, il dirige le Théâtre des Treize vents, Centre dramatique national de Montpellier Languedoc-Roussillon, où il met en scène des auteurs aussi différents que Federico
García Lorca, Denis Diderot, Javier Tomeo, Pedro Calderón de la Barca, Eduardo De Filippo,
Giovanni Macchia ou Serge Valletti. Il présente «La Tragédie du roi Christophe» d’Aimé Césaire au Festival d’Avignon en 1996. En 1998, Jacques Nichet prend la direction du Théâtre
national de Toulouse Midi-Pyrénées, il y poursuit son travail de mise en scène d’auteurs
contemporains (Serge Valletti, Daniel Keene, Daniel Danis, Bernard-Marie Koltès, Svetlana
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d’Alexandre Vialatte
Alexievitch, Georges Perec, Dario Fo) ou d’auteurs classiques (Horváth, Shakespeare,
Sophocle, Erdman, Leopardi). En 2007 il quitte le TNT qu’il dirige depuis 1998. En 2008,
il fonde la compagnie L’Inattendu et monte deux spectacles «Le collectionneur d’instants»
(2008) de Quint Buchholz et «La ménagerie de verre» (2009) de Tennessee Williams. «Tous
ceux qui tombent», pièce radiophonique de Samuel Beckett, sera présentée au Théâtre
Vidy-Lausanne en juin 2012.
Clotilde Mollet
comédienne
Formée au Conservatoire National Supérieur de musique de Paris où elle a obtenu le premier
prix de violon (en musique de chambre) et au conservatoire national d’art dramatique de
Paris (classe de Jacques Lassalle), Clotilde Mollet a joué au théâtre sous la direction notamment de Louis Charles Sirjacq, Jean Jourdheuil et Jean-François Peyret, d’Alfredo Arias,
Jean-Pierre Vincent, Joël Jouanneau, Jean-Louis Hourdin, Jean-Luc Boutté, Hervé Pierre,
Alain Milianti, Catherine Anne, Alain Ollivier, Michel Froehly.
Avec Daniel Jeanneteau et Hervé Pierre, elle a créé «Le gardeur de troupeau» au Havre en
octobre 2000. La même année, elle a joué dans «Bastringue à la gaieté théâtre» de Karl
Valentin, mis en scène par Daniel Martin et Charles Tordjman.
Et, dernièrement, elle a joué sous la direction de Daniel Jeanneteau et de Michel Didym,
Fernando Pessoa : («CAEIRO!») mise en scène collective de Gilles Privat, Cécile Bon, Daniel
Jeanneteau, Hervé Pierre, Marie Christine Soma, Clotilde Mollet. Jean Luc Lagarce : («Juste
la fin du monde») mise en scène de François Berreur. Au cinéma, elle a joué dans des films
de Colline Serreau, Jacques Audiard, Mathieu Amalric, François Girard, Stéphane Brize,
Claire Simon et Jean-Pierre Jeunet.
A la télévision, elle a tourné sous la direction de Marco Pico et de Alain Tasma.
Christine Murillo
comédienne
Au théâtre, elle a travaillé notamment sous la direction de Jean-Paul Roussillon, Jean-Luc
Boutté, Jean-Pierre Vincent, Jacques Lassalle, Claude Régy, Alain Françon, Jean-Marie
Villégier, Jacques Weber, Jean Dautremay, Alfredo Arias, Jean Jourdheuil et Jean-François
Peyret, Bérangère Bonvoisin, Andreï Konchalovski, Maurice Bénichou, Jacques Nichet,
Denis Marleau, Laurent Pelly, Jean-Baptiste Sastre, Michel Didym, Anne Dimitriadis, Christian
Colin, Yves Beaunesne, Denise Chalem, Lucio Mad et Patrice Kerbat.
Au cinéma, elle a tourné notamment sous la direction de Coline Serreau, Paul Vecchiali,
Gérard Oury, Gérard Mordillat, Jacques Fansten, Marcel Bluwal, Caroline Huppert, Fabrice
Cazeneuve, Catherine Corsini, Josée Dayan, Marco Pico, Bernard Sobel, Ariane Mnouchkine, Aki Kaurismäki, Tilly, Christine Carrière, Jean-Pierre Ronssin, Benoît Jacquot, Marie
Vermillard, Romain Goupil, Joël Brisse, Brigitte Roüan, Bruno Gantillon, Joyce Bunuel, Francis Girod, Anne Le Ny et Jean-Pierre Améris. Sociétaire de la Comédie-Française jusqu’en
1988, elle a reçu deux «Molière» : le «Molière du Second Rôle 1989» et le «Molière de la
Meilleure Comédienne 2005» pour «Dis à ma fille que je pars en voyage» de Denise Chalem.
Avec Jean-Claude Leguay et Grégoire Oestermann, elle a écrit «Le baleinié», dictionnaire
des tracas, tome 1, 2 et 3, inspirant deux spectacles : «Xu (objet bien rangé mais où ?)» créé
en 2006 au Théâtre du Rond Point et «Oxu (objet qu’on vient de retrouver et qu’on reperd
aussitôt)», créé en mai 2008 au Rond Point également.
Dominique Pinon
comédien
Il a travaillé au théâtre notamment avec Laurent Fréchuret, Xavier Gallais, Claudia Stavisky,
Valère Novarina, Mohamed Rouahbi, Yannis Kokkos, Michel Raskine, Zabou Breitman (dans
«L’hiver sous la table» pour lequel il obtient le «Molière du Meilleur Comédien 2004»), Renaud
Cojo, Franck Hoffman, Jorge Lavelli et Gildas Bourdet.
Au cinéma, il a commencé avec Arthur Joffé dans un court métrage pour lequel ils ont reçu
la Palme d’or du Court Métrage à Cannes en 1980. Puis il a travaillé avec entre autres JeanJacques Beneix, Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro, Diane Bertrand, Ermmano Olmi, Zabou
Breitman, Manuel.
Théâtre Vidy-Lausanne
Saison 2011-2012
Salle Charles Apothéloz
Du 19 au 30 mars 2012
Le syndrome d’Orphée
La Passerelle
Du 20 mars au 5 avril 2012
Radio clandestine
Chapiteau Vidy-L
Du 27 mars au 5 avril 2012
KKQQ
La Passerelle
Du 23 avril au 13 mai 2012
Séance
Salle de répétition
Du 24 avril au 16 mai 2012
Les enfants de Jéhovah
Renseignements
d’après Vladimir
Maïakovski et
Jean Cocteau
Mise en scène :
Vladimir Pankov
d’Ascanio Celestini
Mise en scène :
Dag Jeanneret
par la 2b company
Concept et musique :
François Gremaud
de Michel Viala
Mise en scène :
Attilio Sandro Palese
de Fabrice Murgia
Mise en scène :
Fabrice Murgia
Théâtre Vidy-Lausanne
Av. E. Jaques-Dalcroze 5
1007 Lausanne
Point de vente :
Payot Librairie
Place Pépinet 4,
Lausanne
Nouveauté, ouvert le lundi !
du lundi au vendredi
de 13h00 à 18h30
le samedi
de 10h00 à 14h00
et de 14h30 à 18h00
(pas de réservation
téléphonique chez
Payot)
du mardi au samedi
de 10h00 à 19h00
Tél : 021/ 619 45 45
Fax : 021/619 45 99
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