Imagiers abécédaires pour quels apprentissages

IMAGIERS
ET
ABÉCÉDAIRES
pour quels apprentissages ?
ANIMATION PÉDAGOGIQUE DU 25/11 / 09
Lisette Bossuet CPC Le Bouscat 2009
IMAGIERS, ABÉCÉDAIRES,
POUR QUELS APPRENTISSAGES ?
Animation cycle 1
Sommaire
I)
LE PROJET ET LES PROGRAMMES.
a) Le projet
b) Sa place dans les programmes
II) IMAGIERS ET ABÉCÉDAIRES POUR APPRENDRE À CATÉGORISER.
a) Mais qu’est-ce que catégoriser et pourquoi apprendre à catégoriser à nos élèves ?
b) Comment fonctionne la catégorisation ?
c) Comment amener les élèves à comprendre la logique de la catégorisation ?
III) DES PISTES PÉDAGOGIQUES AUTOUR DES IMAGIERS.
a) Une proposition de travail à partir de cartes imagier
b)
Des pistes à partir de supports livres « imagiers».
IV) DES PISTES PÉDAGOGIQUES AUTOUR DES ABÉCÉDAIRES.
Lisette Bossuet CPC Le Bouscat 2009
LE PROJET ET LES PROGRAMMES
a) Le projet
Ce projet a pour objectif la production par les élèves d’imagiers ou d’abécédaires alliant un
travail autour de la catégorisation, du lexique et des arts visuels. Ces réalisations feront l’objet
d’une exposition.
La date idéale serait la semaine du 5 au 10 avril
Lieu : 1 ou 2 lieux Espace Treulon à Bruges et/ ou une salle à Blanquefort ou …
Bus à la charge des classes
3X 3heures sont inscrites au plan de formation.
-
3h pour vous permettre de bien cibler les objectifs d’apprentissage liés au travail autour des
imagiers et abécédaires. Pour vous faire découvrir les imagiers et abécédaires mis à
disposition dans la valise de circonscription. Pour vous proposer des pistes pédagogiques
autour d’imagiers (sous forme de cartes, ou d’albums) et d’abécédaires.
-
3heures orientées arts visuels et utilisation des TUIC
-
3heures autour de la présentation des travaux et la mise en place de l’exposition
b) la place du projet dans les programmes.
Que disent les programmes ? « Donner à chaque enfant les clés du savoir et les repères de la
société dans laquelle il grandit. »
« Offrir à tous les enfants des chances égales de réussite »
«L’école maternelle a pour finalité d’aider chaque enfant à s’approprier des connaissances et
compétences pour réussir au cycle des apprentissages fondamentaux »
« L’objectif essentiel de la maternelle : le langage. Car c’est le pivot de tous les apprentissages. »
« L’acquisition du vocabulaire exige des séquences spécifiques, des activités régulières de
classification, de mémorisation de mots, de réutilisation du vocabulaire acquis »
Être capable de
Langage :
« Nommer avec exactitude un objet, une personne ou une action ressortissant à la vie
quotidienne. »
Devenir élève :
« Respect des autres, écoute, aide, coopération, autonomie et savoir dire ce que l’on
apprend. »
Découvrir le monde :
« Reconnaître, nommer, décrire, comparer, ranger et classer des matières, des objets selon
leurs qualités et leurs images. »
Lisette Bossuet CPC Le Bouscat 2009
Ce projet « Imagiers et abécédaires » en s’inscrivant dans les exigences fixées par les
programmes vise deux objectifs essentiels
-
L’acquisition et l’enrichissement du lexique
L’apprentissage de la catégorisation.
I) IMAGIERS ET ABCÉDAIRES POUR APPRENDRE À CATÉGORISER
a) Mais qu’est ce que catégoriser et pourquoi apprendre à catégoriser à nos élèves ?
Pourquoi est il si important de travailler la catégorisation avec les élèves. ? Des recherches
conduites par Sylvie Cèbe et Roland Goigoux partent de l’hypothèse que la réussite scolaire
relève de compétences cognitives transversales. Un enfant réussirait mieux à l’école lorsqu’il
réfléchit à ce qu’il fait, répond moins au hasard, a un comportement organisé et prend de
l’intérêt à apprendre.
CATÉGORISER, consiste à considérer de manière équivalente des objets, des personnes ou des
situations qui partagent des caractéristiques communes.
Il faut savoir que la catégorisation est un des processus psychologiques les plus étudiés car il est
perçu comme un processus de base intervenant dans la plupart des comportements.
Catégoriser va permettre à l’élève de réduire la complexité du monde et de mettre de l’ordre
dans ses connaissances en les subdivisant, en catégories. Ces catégories sont impliquées dans
toutes les activités cognitives : déduire, désigner, représenter, mémoriser, rappeler, apprendre.
Catégoriser permet donc de réussir dans un grand nombre de tâches scolaires.
b) Comment fonctionne la catégorisation ?
On retiendra deux modes de fonctionnement ou type de catégorisation
Taxonomique
=
Les familles
Ce type de catégorisation regroupe des éléments qui se ressemblent
et
partagent des propriétés communes.
Les animaux
Les aliments
Les végétaux
Un autre mode de catégorisation
Schématiques
=
Les thèmes
Lisette Bossuet CPC Le Bouscat 2009
Ce type de catégorisation regroupe :
des éléments qui sont associés dans une même scène ou un même événement de la vie
quotidienne.
Un tracteur, une vache entrent dans la catégorie de la ferme.
Une valise, un billet de train dans la catégorie voyage ou gare
Un enchainement d’événements ou d’actions.
tout ce qu’il faut pour planter un clou : Un marteau, une pointe…
tout ce qu’il faut pour fabriquer un moulinet…
Ce mode de catégorisation n’est pas basé sur la similarité.
Ces catégories se construisent à partir de l’expérience. C’est pourquoi leurs contenus peuvent
varier d’un individu à un autre.
À partir de « rocher, ciré, bottes » un petit Breton pourra proposer d’associer ces éléments dans
la catégorie plage, mais ce ne sera sûrement pas le cas pour un petit Arcachonnais !
Les catégories sont donc fortement contextualisées. C'est-à-dire qu’elles dépendent des
expériences que les élèves réalisent au quotidien. On voit là toute l’importance de notre rôle qui
consistera donc à stimuler les pratiques enfantines, c'est-à-dire à veiller à compléter et à
diversifier les catégories dont l’enfant dispose quand il entre à l’école maternelle.
Il ne faudra pas non plus négliger la prise de conscience par l’enfant des modalités de cette
organisation, c'est-à-dire les procédures mises en œuvre.
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c) Comment amener les élèves à comprendre la logique de la catégorisation ?
Comprendre la logique de la catégorisation, c’est comprendre qu’un même objet est porteur
d’une multitude de relations grâce auxquelles on peut l’apparier avec une multiplicité d’autres
objets.
Savoir catégoriser c’est comprendre qu’une fois qu’on a choisi une relation (une règle de tri) il
est nécessaire de l’appliquer jusqu’au bout du tri sans en changer, sans accepter d’intrus, même
s’il partage une propriété commune avec l’un des éléments de la catégorie.
Exemple Dans la catégorie Véhicule on pourra trouver, camion, voiture mais pas pneu. Or les
enfants ont tendance à agir de la sorte. On dit que leurs catégories sont perméables.
On note également chez les jeunes enfants un manque de flexibilité dans leur catégorisation.
Si l’on travaille une catégorisation par thème (schématique) autour de la ferme, on pourra
trouver « tracteur, vache, fermier, mouton. » Si l’on propose ensuite « les animaux de la ferme »
les enfants auront du mal à enlever le tracteur et le fermier
Ces exemples montrent le manque de flexibilité des élèves dans la catégorisation. En fait, ils
n’arrivent pas à changer de règle, de critère pour catégoriser. Ceci s’explique par le fait qu’ils
n’ont pas compris ce que sont les relations catégorielles même si parfois ils les utilisent avec
succès.
Leur catégorisation s’effectue dès lors qu’on leur propose un matériel qui correspond à des
catégories qu’ils connaissent. Ils réagissent finalement plus au matériel qu’ils ne l’organisent. Ils
se laissent le plus souvent guider par ce qu’ils voient et c’est seulement à l’issue du rangement
qu’ils trouvent la règle qu’ils ont implicitement suivie.
En classe, nous devons donc nous attacher à faire dégager, à faire comprendre, à faire
appréhender la logique des procédures qu’ils manipulent. Certains élèves se contentent de
réussir sans comprendre. Ce qui ne les gêne pas tant que la procédure les amène au résultat
attendu…Mais dès lors que la solution nécessite une modification de la procédure, le problème
devient intraitable. Toute procédure non comprise est forcément inopérable sur le long terme.
Notre objectif sera donc de les aider à comprendre les raisons de leur réussite. Pour cela il
faudra les amener petit à petit à déplacer leur attention du résultat de leur action vers la
manière dont ils l’ont atteint. En d’autre terme, passer de la performance à la procédure.
La plupart du temps, si les enfants savent trier, ranger, il s’agit plus souvent d’un savoir faire,
d’une réussite en acte que d’une compréhension conceptuelle de leur activité. La preuve, ce sont
leurs difficultés à anticiper des tris, à les expliciter en les nommant, à trouver d’autres tris
possibles, à justifier les intrus.
Notre rôle pour aider les élèves à catégoriser sera dons de les amener :
-
à comprendre ce qu’ils savent réussir. C'est-à-dire apprendre progressivement les relations
catégorielles ; pour cela il nous faudra prendre appui sur les catégories qui leur sont les plus
familières. Les amener à prendre conscience des catégories et des opérations intellectuelles
qu’ils utilisent lorsqu’ils se servent des catégories pour trier toutes sortes d’objets ou
d’images. C’est comme cela qu’ils seront amenés à identifier les nombreuses propriétés d’un
même élément, qu’elles soient sémantiques, (la couleur), perceptives (c’est doux),
fonctionnelles (ça roule)
Lisette Bossuet CPC Le Bouscat 2009
-
à choisir à priori une règle de tri et s’y tenir.
Exemple : se mange. On pourra trouver dans cette catégorie « steak et croissant » que l’on
aura pu rencontrer auparavant dans des schémas différents « à la boulangerie » et « à la
boucherie » )
C’est le vocabulaire utilisé (se mange) qui aide à isoler la propriété commune et c’est le
développement du lexique oral qui est support de nouveaux apprentissages.
L’acquisition de termes génériques comme « fruits, légumes » conduit à une meilleure
conceptualisation. Les élèves peuvent ainsi grouper sous une même étiquette des éléments
qui n’ont aucune ressemblance apparente. L’objectif est bien d’amener les élèves à former
des catégories complètement décontextualisées. Des catégories taxonomiques fondées
uniquement sur la similarité, les propriétés communes des éléments regroupés.
II) DES PISTES PÉDAGOGIQUES AUTOUR DES IMAGIERS.
L’imagier a pour fonction de
Représenter le monde
Un même objet
représentions.
Nommer le monde
plusieurs
Etendre les concepts et les
mots pour les désigner.
Ce qui implique de
travailler le lexique.
Des techniques diverses (photos,
dessins)
Tâche pour le lecteur de
reconnaître, décrire, comparer ce
monde avec son environnement
proche,
de
s’enrichir
culturellement.
C'est-à-dire aller vers la
généralisation, monter en
abstraction,
ce
qui
permettra d’utiliser un
mot précis plutôt qu’un
terme générique.
C’est un outil privilégié pour développer le langage, l’enrichissement du lexique
a) Une proposition de travail à partir de l’imagier « catégo » chez RETZ.
Il se présente sous la forme de huit planches d’images (photos, dessins) à découper et
permettant 70 jeux environ.
Des jeux différents sont proposés selon l’âge des enfants. A partir de la MS tous sont
utilisables en jouant sur la complexification.
Construire et découvrir des catégories pour les PS
Lisette Bossuet CPC Le Bouscat 2009
Les exemples entre parenthèses renvoient au diaporama présenté en animation
(Ex.Nommer décrire, le cornet de glace)
Reproduction d’une catégorie existante
Reconnaissance des catégories et leur conservation en mémoire. On pourra proposer des
activités de tri de cartes images en fonction d’une catégorie donnée ou qu’ils peuvent
découvrir. On pourra également demander de retrouver l’intrus ce qui nécessite de
s’entraîner à retrouver les similitudes et les ressemblances.(Ex ce qui peut contenir quelque
chose)
Découvrir une catégorie cachée en réfléchissant sur ce que l’on sait
Associer des cartes Il s’agira d’apparier une carte (l’image de ce qu’elle représente.) On vise
à faire comprendre que toute carte est porteuse de nombreuses propriétés.(ex le verre de
jus d’orange)
Multiplier les associations pour travailler et améliorer la flexibilité
Transposer des associations.
On cherchera à faire maintenir une association à entraîner les élèves à résister à des
associations pièges. (ex. Voiture ou véhicule) On maintient la façon de trier sur des cartes
différentes. On fera varier le nombre de cartes et le choix de la catégorie pour complexifier
la tâche.
Transposer des associations et des relations Par exemple, trouver plusieurs associations
catégorielles entre deux cartes
b) Des pistes à partir de supports livres « imagiers ».
On gardera à l’esprit que dans un livre imagier, contrairement à des cartes, le découpage du
monde est forcément figé selon le principe adopté par l’auteur.
Propositions pour découvrir les imagiers.
•
Laisser à disposition des imagiers apportés par l’enseignant, (classe, BCD , Bibliothèque,
valise circonscription…) Sur ce 1er temps aucune consigne particulière ne sera donnée, il
permettra aux élèves de manipuler les livres et de fixer un vocabulaire propre à l’objet
livre.
•
On cherchera ensuite à faire apparaître les constances :
o ce sont des livres qui ont tous des images.
o Ce sont des livres qui ne racontent pas d’histoire.
o Ce sont des livres où l’on peut trouver des mots, des phrases qui renvoient à l’image.
o Ce sont des livres qui mettent en avant les lettres, l’ordre alphabétique.
Lisette Bossuet CPC Le Bouscat 2009
o Ce sont des livres qui rangent le monde en catégories, par des images
o Ce sont des livres qui utilisent différentes techniques d’illustration.
•
D’autres « livres » seront proposés, on vérifiera leur appartenance possible ou non par
rapport au corpus commencé.
•
On pourra alors chercher à mettre en avant, faire émerger les points communs des
livres mis ensemble. L’objectif sera de tendre vers les mots génériques des
groupements. On pourra ainsi commencer par trier imagier et abécédaires
•
Par rapport aux imagiers et aux critères déjà énoncés, on pourra demander aux élèves
de chercher une image, un mot précis. Ils devront pour cela cerner le sujet pour savoir
où se trouve le renseignement demandé et choisir alors le bon imagier.
Il sera capital de faire oraliser, le langage favorisant la représentation mentale.de faire
nommer, de faire expliciter, de laisser du temps aux élèves pour chercher, se tromper.
Propositions pour produire des imagiers.
On pourra travailler soit sur les familles soit sur les thèmes à partir de photos, de dessins, de
collages, de reproduction d’œuvres ou tout autre procédé et de mots.
On pourra produire des imagiers en choisissant les critères qui les unissent, on
construira ainsi un champ sémantique et la notion de concept
Exemple : les objets de la classe, de la maison.
Réaliser une collection autour d’un objet en particulier : SIÈGE, fauteuil, chaise,
tabouret, canapé, chaise de jardin, chaise de bébé, pouf… (cf Ma famille Ed du
Rouergue*)
Quand les élèves seront familiarisés avec les imagiers d’objets, avec des plus grands
on pourra leur montrer des imagiers pour construire le champ syntaxique et les
engager dans une production
Ex : On choisira un thème : ce que l’on fait dans la classe, et l’on cherchera tous les verbes
possibles (découper, coller, dessiner, écrire,)
Les imagiers des expressions. Les mots abstraits sont difficiles à représenter mais on
pourra mimer, photographier, utiliser des couleurs. C’est le mot écrit qui symbolisera
le concept.
Les imagiers en liaison avec les contes :
On pourra s’intéresser aux mots des contes et favoriser ainsi la mise en place des images
mentales ex carrosse, marmite…aux personnages des contes, fées, sorcières, ogre, géant,
aux lieux, palais, chaumière, château, forêt.
Des imagiers des contes. Choisir un objet qui illustre le conte Ex les petits cailloux,
pour le petit Poucet, la pomme pour Blanche-Neige. Les mettre en scène sur un
support, les coller dans une boîte, écrire, dessiner, coller le nom du conte sur la
boîte. (cf Frédéric Clément, Magasin zin zin.
Lisette Bossuet CPC Le Bouscat 2009
III) DES PISTES PÉDAGOGIQUES AUTOUR DES ABÉCÉDAIRES.
L’analyse des différents Abécédaires produits par les auteurs permet de les classer selon
certains critères. Ces critères pourront parfaitement être repérés, donnés à voir,
présentés aux élèves dans l’objectif d’une production de classe.
Quelques pistes repérées. L’alphabet complet dans l’ordre joue :
Sur la lettre seule Alphabetville* Stephen JOHNSON Ed Circonflexe
Sur les mots entiers qui commencent par les lettres de l’alphabet dans l’ordre.
Abécédire Alain serres, Rue du monde*
Certains proposent à la fois des graphies fantaisies de la lettre et différents mots
commençant par cette lettre. L’alphabet de Selçuk.
Il existe aussi des abécédaires thématiques Les petits mots des sorciers AL Witschger
Casterman (A comme araignée, B comme balai, C comme chapeau pointu…)
L’abécédaire peut également s’intégrer
dans un récit. L’histoire de Monsieur A *, JP Blanpain ed Thierry Magnier
ou prendre la forme d’un dictionnaire ABCDictionnaire des trois petits
cochons*, ouvrage collectif.
Quelques idées de réalisations.
L'alphabet objet
La classe, répartie en petits groupes, inventorie tous les objets de la maison susceptibles de
représenter des lettres. Ainsi, les ciseaux pour le X, le marteau pour le T, le mètre-pliant
pour le M… Chacun se charge de rapporter quelques objets afin de pouvoir constituer
collectivement l'alphabet complet. À la séance suivante, les objets sont photographiés. Les
26 photos peuvent être exposées, donner lieu à un livre, être diffusées sur le site école ou
circonscription.
Abécédaire et EPS. À partir de modèles de lettres en majuscule, représenter la lettre choisie
à l’aide d’objets, les photographier. Travailler ensuite avec son corps, à deux. Tirer une lettre
au sort, la réaliser avec le corps de deux camarades…
D’après le livre « le livre de lettres de Marion Bataille*. Rechercher l’initiale de son prénom,
réaliser SA page à l’aide de lettres découpées, dessinées, faites en fil de laine etc, de
collections d’objets qui commencent par cette lettre que l’on pourra mettre en scène.
Lisette Bossuet CPC Le Bouscat 2009
Quelques visuels de réalisations de classe
Abécédaire des prénoms de la classe ou d’un autre
thème (ex. Sujet traité en découverte du monde
comme le jardin, les insectes…).
Sur la lettre les mots collés se déroulent pour être lus.
Site du Mans
Bannière
Imagier thématique
sur le rond
Formes, effets
plastiques, objets …
Site du Mans
Le livre imagier paravent en très grand
format (60 cm X 110cm)
Thème : l’eau décliné sur plusieurs
panneaux la couleur, les graphismes de
l’eau, l’origine de l’eau, l’eau et la poésie, les
engins flottants…
Site du Mans
Lisette Bossuet CPC Le Bouscat 2009
Sur le site de Mayotte
Lettrines, la lettre et le mot.
Quand le P de pompier s’enflamme
SOURCES
Programmes 2008
CATEGO : apprendre à catégoriser Sylvie Cèbe Jean Louis Paour Roland Goigoux Hatier
Conférence de Sylvie Cèbe
Documents Arcachon Nord Christine RAZET
Lisette Bossuet CPC Le Bouscat 2009