Visualiser - Archives de la ville de Saumur

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Visualiser - Archives de la ville de Saumur
Samedi
27 Août 1938
Année - № 69
ABONNEMENTS
Maine-et-Loire & Limitroplies
Trois Mois . . .
5 fr.
Six Mois
. . .
9 fr.
Un An .
.
.
.
LE
En dehors des limitrophes: 2 2 f ' . E 0
—
INSERTIONS
Annonces, la ligne . 2 . 7 5
Réclames,
—
2 fr.
Faits locaux, — 2 . 5 0
20 r
Journal Politiq^ et Littéraire
D'Intérêt Local, d'Annonces judiciaires <& d'Avis Divers
16 fr.
PARAISSANT
RÉDACTION
&
C/G/ N a n t e s : 1 5 4 - 2 8
GD
ei i ma
11 ne peut s'agir en aucun cas
de ces obstructions philosophiques donl certains doctrinaires
sont friands, mais qui s'appliquei'aient mal à une situation
qualifiée par le Président du Conseil lui - m ê m e de dangereuse et
m ê m e d'assez grave.
L'opinion aura été particulièrement frappée par le passage du
discours où les conséquences néfastes de la loi de quarante heures
sonl longuement examinées.
Constatations qui ne sont point
nouvelles mais qui sont apportées celte fois par le chef au gouvernement bien décidé à remettre
la France au travail.
Le plan nous dira c o m m e n t .
M. Daladier se trouve en présence d'une législation compliquée, où il devra trouver les éléments nécessaires au redressem e n t escompté.
En tout cas la lecture des organes de presse d'un radicalisme
aussi orthodoxe que peut l'être
« L ' Œ u v r e » esl singulièrement
significative.
Sous la signature de M. René
Plard, maire de la ville deTroyes,
et qui revient de loin, car il appartint au parti
communiste,
nous lisons les échos d'un voyage
que le maire de Troyes a fait en
Allemagne.
M. Plard écrit : « La volonté de
travail des Allemands, eile s'affirme partout et à chaque instant.
Cette volonté de travail a refait
de l'Allemagne un puissant pays.
La leçon doit nous profiler. »
Dans le m ê m e article, M. René
Plard rappelle les paroles prononcées par le président Herriot
devant les élèves de l'Ecole de
santé militaire de Lyon : « J e ne
crois pas cT-u surmenage qui fait
m o i n s de victimes que la paresse
et le lâisser-aller. J e crois à la
nécessité de l'efîorl constamment
tendu, y
El enfin, toujours dans «L'Œuvre», commentant les déclarations de Daladier, on peut lire uu
éditorial excellent pouv une fois.
L'auteur de l'article affirme
préférer les déclarations de M.
Daladier devant le micro à certains propos lénilifs que le président du Conseil tenait dix j o u r s
plus tôt sur l'affaire de Marseille.
EttfL ' Œ u v r e » écrit : « Il est entendu qu'il faut respecter le principe des lois sociales, mais il doit
être également entendu qu'il est
stupide, sous ce prétexte, et en
tirant jusqu'à l'absurde les conséquences de ce principe , de
c( tuer ce dont on vit ».
Voici donc un ptîint, et le point
capital, sur lequel l'orthodoxie
radicale est entièrement en accord avec le sentiment des républicains de toute nuance, el en
tièrement en désaccord avec les
tenants socialisles ou c o m m u nistes du front populaire.
Sans épiloguer l o n g u e m e n t ,
nous rappellerons simplement
que depuis le début de l'affaire
des quarante h e u r e s , lous les
gens de bon sens ont écrit et
prévu ce qui devait fatalement
arriver.
On aurait traité d'affreux réactionnaires les parlementaires de
l'une ou l'autre des Chambres
qui n'auraient pas j o i n t leur bulletin à celui des partisans de la
nouvelle mystique.
Devant une situation où la
France, seule avec le Mexique,
suivant la formule du Président
du Conseil, connaît un régime
de paresse, il importe d'agir, d'agir vite, el par tous les m o y e n s
dont un gouvernement dispose.
P I E R R E
LE
E
A U S C H E R .
IL FAUT CONTINUER
M. Daladier, c o m m e ses prédécesseurs,
répétait volontiers que l'accord complet
existait au sein du cabinet q u ' i l présidait.
Malgré cette aifirmation, on n'ignorait
pas q u e l'attitude de MM. Ramadier e t
Frossard n e paraissait pas de nature à favoriser une politique de redressement,
d'ordre et de légalité. Trop ouvertement
ces deux dignitaires regrettaient le front
popidaire et entretenaient ses espoirs.
Dès que MM. Ramadier et Frossard, auxquels appartenait normalement le règlem e n t de l'affaire de Marseille, eurent connaissance du discours vraiment patriotique
et opportun de M. Daladier, ils lui o n t
faussé compagnie.
Les communistes, les cégétistes s'agitent. Il faut à tout prix que les intérêts des
<( masses » passent avant ceux du pays !
M. Daladier s'aperçoit, après des déclarations qui onl obtenu l'assentiment de l'immense majorité des Français, qu'on ne peut
pas redresser la situation avec les hommes
qui l'ont compromise et auxquels les plus
graves événements n ' o n t rien appris.
Nous ne regrettons pas — es_l-V besoin
N 1 S 4 1
MERCREDI
ADiVIlNISTRATION
Téléphone : 1-95
L'énergie de ton du discours de
M. Daladier devant le micro ne
peut prêter à confusion : le plan
qu'il annonce sera un plan d'action.
F O N D É
DIRECTION:
~
4
—
ET
PLACE
GIROUARDRICHOU
SAMEDI
DU
MARCHÊ-NOIR
Les abonnements sont payables d'avance et l'acceptation de trois numéros engage pour une année.
La quittance est présentée à l'abonné
sans dérangement pour lui
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P A R I S ( 2 e ) T é l . R i c h e l i e u 5 1 - 7 6 5 1 - 7 7 2lignesgroup.
de le d i r e — le départ de MM. Frossard et
Ramadier. L ' e n t r é e dans le cabinet de MM.
Pomaret et do Monzie en renforcera l'homogénéité. Et nous pensons que M. Daladier sc trouvera plus à l'aise.
Pour le choix des nouveaux ministres,
il a montré de la décision, qu'il c o n t i n u e !
iTiiainiiiiiiiiiiiiniiiiiiiHiiiinnmn
NOUVELLES
EXPRESS
Après les explications de M. Daladier, le
groupe radical-socialiste
approuve à l'unanimité la politique suivie par le Président
du Conseil et notamment son point de vue
au sujet de l'assouplissement
des 4o heuTes.
A la réunion
du groupe
socialiste, M.
Blum déclare que le parti S.F.I.O. ne doit
pas entraver la tâche du
Gouvernement.
A l'Union socialiste républicaine, on ne
veut pcLs gêner le cabinet et l'on est hostile à la convocation des Chambres.
Mais le groupe communiste
veut demander de» explications pr*c'j>es à M. Daladier.
Les délibérations
de ta délégation
des
gauches n'ont pu aboutir hier. Une nouvelle séance a lieu aujourd'hui à i5 heures.
Le conflit de Marseille parait en voie de
règlement, à la suite d'un arrêté pris par
M. de Monzie.
A Jaffa, une bombe,
lancée au
de la foule, tue i8 personnes et en
quarante.
milieu
blesse
Jm SûMé
trafiquants
quatre
nationale arrête à Paris
d'armes de guerre.
LE
NUMÉRO :
.iiiiiiiiiiiMiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiïmlT
uro et bioet № 1939
U
U
L'équilibre du bugget de 1989, dont l'élaboration se poursuit actuellement, sera
des plus difficile à réaliser.
L'augmentation des dépenses semble inévitable ,tandis que du côté des recettes u n
accroissement n'est guère probabl,è.
Lo problème budgétaire ne trouvera une
solution définitive que lorsque notre activité économique sera redevenue normale.
Les Administrations élaborent leurs propositions de dépenses pour l ' a n n é e prochaine. Après examen du Ministère des Finances, ces prévisions constitueront le projet de budget de l'exercice 1989. Pirojet
dont le Parlement sera vraisemblablement
saisi à la fin du mois de septembre si l'on
veut permettre à la Commission des Finances de la Chambre d'en achever l'étude
avant l'ouverlure de la session extraordinaire.
Quels seront les traits dominants de ce
budget ? Quelle sera l'ampleur des difficultés que le Ministre des Finances devra surmonter dans sa préparation.
Par ailleurs, la question va se poser bientôt de savoir si doivent êlre satisfaites certaines revendications formulées, à la suite
de la hausse du coût de l'existence, en matière de traitements, de salaires, de retraites et d'allocations de chômage.
Bref, il est difficile de chiffrer, ^ l'heure
présente^ et d ' u n e manière exacte, le volume total des augmentations de dépenses
pour le budget de 1989, on peut craindre
qu'il s'élèive à plusieurs milliards
malgré c( la révision stricte de toutes les dé-
penses de l ' E t a t » annoncée par le Ministre
des Finances à l a veille do l a dernière
émission des bons de la Caisse Autonome
de la Défense Nationale.
Nous persistons donc à penser que le
problème budgétaire ne trouvera u n e solution sérieuse et définitive que le jour ofi
le problème des prix sera résolu et lorsque
notre activité économique, grûce à des impulsions plus énergiques, cessera d'accuser
une régression continue.
Léon BARETY.
(Le
Capital)
§§§
Le conflit touristique
franco-italien
L'Italie ayant supprimé les passeports
pour la France, le Gouvernement français,
par une légitime rétorsion, a introduit le
système du visa, ce qui rend pratiquement
fort difficile le passage des Alpes.
Cxitte querelle a jeté une grande perturbation dans les milieux touristiques et
beaucoup de gens se sont affolés. En définitive, ni l a France,
n i l'Italie,
n'ont
grand chose à gagner dans cette histoire,
à tous points de vue déplorable.
(>ù va-t-on si l'on se met à « contingenter » les touristes comme des bétes, des
carottes ou des, navets! Dans l'intérêt des
deux pays, il estj à souhaiter que le conflil
s'apaise rapidement et q u ' u n arrangement
intervienne.
»
*
*
Ou a voulu voir dans la décision du Gouvernement Italien, u n e mesure de caractère politique et les commentaires de certains journaux italiens, très montés contre
la France, pourraient faire croire que M.
Mussolini a voulu <( p u n i r » notre^ pays.
Chez nous, certains sont allés à supposer
que, comme l'Allemagne, l'Italie, en retenant ses sujets, se préparait à de redoulables éventualités.
La vérité est, heureusement, moins tragique.
Redressons d'abord u n e erreur. Aucune
mesure officielle n ' a élé prise e n Italie
contre les touristes se rendant en France.
Il n'y a pas eu d'interdiction légale. On
s ' e s t contenté de « d é c o u r a g e r » pratiqujèm e n t les voyageurs. C'est une nuance.
• *
Quant à la véritable raison, qui a dicté
au gouvernement fasciste, son attitude —
fort déplaisante pour la France — elle sem-ble être surtout financière et économique.
L'Italie surveille très étroitement sa balance des comptes et, pour payer ses achats
de matières premières à l'extérieur, elle a
besoin des devises q u e les touristes étrangers — dont beaucoup sont des Français
— laissent dans la péninsule.
Or, depuis les trois dévaluations du
franc — qui ont m i s la lire à 1,98 — l e courant touristiquO était en passe de se renverser. 11 y avait désormais plus d'avantages pour les Italiens à venir en France,
pays h monnaie avariée, que pour les Français à se rendre en Italie. Et il est de fait
•qu'on avait noté, ces derniers temps, un
nombre considérable de demandes de passeports émanant d'Italiens désireux de
passer leurs vacances en France, afin, 'de
profiter de notre change très bas. I l est
probable que le gouvernement
lialien,
soucieux de l'équilibre de sa balance des
comptes s'est inquiété de ce mouvement.
D'où la décision de Rome qui a appelé
la réplique de Paris.
Au lieu de s'emballer, comme beaucoup
de gens l'ont fait et de jeter l ' h u i l e sur l'e
feu mieux vaut expliquer, car une françhô
explication, peut conduire à un lion accord.
Qnter-France).-
Les erreurs ont la vie dure
Dans le Populaire, lo citoyen .lean l.cbas,
ancien ministre S.F.I.O. s'élève contre le
jirincipe d'un assouplissement aux 'io heures. Il reprend h son conqile le fameux slogan : Failes d'abord
travailler los .'|o
heures.
Voici eu effet ce qu'il écrit :
Pourquoi grossir encore 1 e nombre
d'heures supplémentaires quand la i)lu])art
des établissements ne travaillent pas /10
heures par semaine i*
Pourquoi plus d'heures supplémentaires
dans les industries textiles, par exemple,
quand l'enquête des insiiecteurs du travail
nous apprend que le chômage parliel atteint près de /17 % des ouvriers.
Ce raisonnement imjjrossionne beaucoup
les lecteurs qui ont oublié de réfléchir. 11
est pourtant sans valeur et u n e simple
comparaison suffit à montrer son absurdité.
Supposez une aulo qui u plafonne » à la
vitesse de 60 kilomètres à l'heure. C'est 1q
m a x i m u m que son polit moteur l'autorise
à faire, en ligne droite et en palier. Quelle
sera sa vitesse moyenne sur un long parcours .s 5o~ à l'heure, et peut-être moins.
La voiture sera forcément u en cl>Oiua,go
partiel ».
Et le conducteur vous rira au nez si vous
lui demandez de ((faire travailler ses soixante kilomètres-heures » sur le trajet Paris-Marseille.
n faut être socialislo et lecteur du Populaire, pour s'étonner qu'avec la loi des ,'io
heures, la durée moyenne du travail en
France soil londiée ii 35 heures et parfois
moins. C'est (Confondre tout simplement
vitesse m a x i m m n et vitesse moyenne.
Tartarin dans les Alpes
Trois ministres devaiiMit faire l'ascension
du Mont-Blanc. Deux se dégonflent, Pcc a î r e ! Le troisième, M. J e a n Zay, s'est entraîné. 11 a fait l'ascension ( ? ) du Mont.loli et du Mont-Tondu, montagnes dites
(( 5 vaches » parce que les bestiaux sont
l'aise pour y pâ,turer. Quel exploit!
M. .lean Zay a vainement tenté l'asceiision du Mont Blanc. Bigre 1
Quand il fait beau (( faire le Mont Blanc»
est u n e promenade quo dédaignent les
vrais alpinistes, parce qu'elle est fastidieuse et sans danger.
M. .lean Zay ne se couvrc-t-il pas de ridicule en tolérant que ses excursions e n
montagne soieni célébrées commo des e.xploits!
Tartarin dans les Alps esl toujours vivant.
INFORMATIONS
ylt;
PARLEMENT
Dans les couloirs du Palais-Bourbon,
hmdi, on aperçut peu de députés. Mais ceux
qui s'y rencontrèrent,,
el qui
appartiennent soit au parti radical, soit aux partis
nationaux,
s'accorda.i!ent
pour
approuver
les déclarations de M. Daladier; le remaniement ministériel
ne surprit personne;
tout
le monde était au courani
cfes
positions
prises par MM. Frossard et Daladier, en re
qui concerne la loi des quai'ante
heures.
LE RENOUVELLEMENT
DE
DE NOTRE
FLOTTE
COMMERCE
Dès maintenant,
l'on peut apprécier
les
résultats considérables de l'un des
premiers
Chromque Locâle
веан
décrets-lois que M. de Chappedeluine
a-fuit
adopter par le Gouvernement
: celui
qui,
en vue de favoriser le renouvellement
de
notre
flotte
de commerce,
a
augmenté
dans une proportion
très sensible, la dotation du crédit
maritime.
Les allocations accordées à ce litre pour
bonification
d'intérêts,
du i""' mai au i.')
août 1988, s'élèvent à plus de 3:i millions,
soit par rapport au chiffre de la période
correspondante
de 1987, une
augmentation
de 3 i o % .
LA
Le prix du blé pour la campagne
19881989 a été fixé ù la. somme de 3o4 francs !r
quintal, pour le poids spécificpie d'e
à
LA LOTERIE
En présence
du préfet et du maire,
une
entrevue a eu lien à la Préfecture,
entre un
eprésentant
du Syndicat des ouvriers
de
'Usine à Gaz et le directeur
de la compagnie. Un accord a été conclu décidant
de
soumettre
le conflit à la commission
nationale de conciliation.
Aucune
sanction
ne sera prise.
Le travail a repris
piquet de grève a été
^
NATIONALE
•C'esl dans le cadre des Hospices de Beau
ne, si célèbres pur leur cru renommé,
que
sera effectué le prochain
tirage de la Loterie nationale^ le G septembre.
LE COURS
DES
VINS
La semaine qui vient de s'écouler
n'ap
porte aiiciui changement
sur le marché des
vins. Les cours restent soutenus et on en
regislra [>eu de transaction.
Les
dernière::
pluies ont été favorables ' à la récolte.
§§§
L'ODIEUSE
DUPERIE
Ce qu'il y a d'effrayant
dans la campa
gne belliciste des communistes,
c'est
qu'i,
y a une masse de pauvres diables qui lisent
L'Humunitô et sont convaincus
que celtcci travaille pour la paix. Les affiches
du
parli réclament
aux Français,
qui ont besoin de rester armés, de contribuer
à le
défense des hordes innombrables
de Chinois. Notre argent et nos armes
doivent
partir en Espagne et nous devons voler au
secours des Tc/iécostovaques,
sans
même
attendre
la fin des négociations.
C'est In
folie du suicide et du sang.
POUR LA
TCHECOSLOVAQUIE
On se montre assez surpris dans les milieux biien informés français des
nouvellepubliées jeudi matin par ta presse
britannique an.n.onçant que, au cours de leur
réunion, d'hier,
M. Nevillc
Chamberlain,
lord Halifax el .^ir John Simon avaient décidé que le Gouvernement
brilannicpie
fc
rait proehainemenl
une déclaralion
renouvelasnt les assurances
de l'Angleterre
à la
France au cas où celle-ci serait
entraînée
dans un conflil en vertu des
engagements
•lis-à-vis de la
Tchécoslovaquie.
FEUILLETON de L'Echo Saumurois
№ 19 - 27 Août
de
JANE
de la Société, q u i se tient ii leur disposition pour leur donner ton» renseignements
utiles.
ET REGIONALE
REUNION AMICALE
DES OFFICIERS DE RÉSERVE
MEMENTO HEBDOMADAIllE
Arrondissement
Pharmacies de service :
Ûemain dimanche :
M. BABIN, rue Nalionale.
M. AMIllAULT, rue d'Orléans,
LA GREVE DE L'USINE A GAZ
DE PERPIGNAN EST
TERMINÉE
77 fci/«-
§§§
DOCKERS
Lundi 29 août :
BLE
Bien que les discussions au sçin du Conseil national de l'Office du blé organi.':me indépendant
du tJ-titiislère de
l'Agriculture — ne soient pas publiques,
il a])paraît que
de sérieuses
divergences
de
vues se sont produites
entre ses
membres
qui parviendront
difficilement
à réaliser
une entente
générale.
DES
A Marseille^ les entrepreneurs
de m m w tention aussi bien que les dockers
protestent contre le projet de réglementation
du
travail da Port par voie de décret
rendu
par le ministre des Travaux
publics.
D'autre part, signaile Lo Capital, les délégués mineurs
du bassin d'Anzin se sont
prononcés
pour la grève générale
si leurs
revendications
ne sont pas
acceptées.
§§§
LE PRIX DÛ
SITUATION
NOIILAND
(SUTTB)
La passion de J e a n n o u pour les ileurs
élail infinie. 11 Irouvail loujours le temps
de parer la maison de variétés de roses,
des pi\oiues, d'œillets, do cyclamens. Toutes
les saisons avaient leurs couleurs lendres
ou violentes, toutes parfumaient la demeure aimée où .leaunou avail cru ne jamais
revenir, Conunent, eu dehors des heures
de travail, dans les vignes el dans les serres, il trouvait lo moyen de mettre des
fléurs dans loules les caisses qui égayaient
les fenêtres, ce fut toujours un mystère.
Le petil bureau, al'ienant à ce qui était
aujourd'hui la clunubre de Tliérèse, n'était
jamais sans fleurs ; il y eu avait chaque
jour de nouvelles, des plus belles, des jilus
joyeuses.
Lo dimanche, anniversaire du retour de
J e a n n o u au foyer, Thérèse, assise devant sa
fenêtre, avait posé sur s t s genoux l e UvDs
qu'elle lisait.
Il avait plu, mais le soleil couchant éclaircissait le ciel et u n e douce lumière rosiei
s'étendait sur toutes choses. On sentait que '
immédiatement,
enlevé.
Lo
iiiiiiiiiiiiKiiiiiiniiiimiiniiuiiiim
Après les Manœuvres
Allemandes
L'Allemagne, pour ses manœuvres
annuelles, réunit I million 700.000 h o m m e s ;
Mobilise autobus et c a m i o n s particuliers;
Ulilise tout ce dont elle dispose c o m m e
moyens de Iransjioit publics ou privés;
Fait travailler plusieurs centaines de
milliers d'iiommes à des terrassements et
conslruclions mililaires;
Installe, dans tous les coins du pays,
d'immenses réservoirs de vivres et, pour
les remplir, réquisitionne les récolles.
La France ne doit pas faiblir.
Aucun sacrifice n e doit être refusé pour
maiiatenir l'équilibre entre les forces en
présence.,
Les Français doivent comprendre q u ' i l s
disposent d ' u n e magnifique armée, et !a
démonstration des manœuvres alpines du
Galibier esl là pour le leur rappeler. Mais il
faut sans relâche a u g m e n t e r les moyens
défensifs dont celte armée dispose : avions
et canons anti-aériens, pour décourager les
agressions aériennes et défendre les populations civiles; tanks,
artillerie
louryJe,
ctiars d'assaut, etc., etc...
Cela coûte cher et l ' E t a t doit se procurer
les ressources qu'exigent ces dépenses indispensables.
L'émission des Bons de la Caisse Autonome de la Défense Nalionale a pour objet de les fournir.
L a France réussira à m a i n t e n i r
la
paix, à conserver ses libertés, à sauvegarder le patrimoine et le bien-être de chacun si elle esl forte, donc si elle a porlé à;
un niveau très élevé sa puissance militaire.
Garage demain dimanche :
M. BOUTIN, rue d'Orléans,
ne 8-4 g.
78.
8r,
télépho-
A NOS LECTEURS
D'accord
avec nos Confrères
locaux
nhus sommes
dans l'obligation,
pour
permettre
l'application
des
congés
à
notre personnel,
de, différer
la parution de notre prochain
numéro
du
mercredi
81 août.
Le service
partir du
reprendrez
S A M E D I
3
régulièrement
à
S E P T E M B R E
Nous sommes persuadés que nos lecteurs el] abonnés comprendront
les raisons de cette nécessité.
N. D. L. R.
§§§
Almanach de Saumur
et de Maine-et-LiIre
AVIS
AL'l
COMMEIRgANTS
Ceux des comii érçauts qui auraient des
modifications ou changements d'adresse à
faire apporter à l'édition de notre Almanach-Annuaire pour 1989, sont priés de
nous les adresser sans retard, 4, place du
Marché-Noir.
DECLARATION
D'ASSOCIATION
L'Officiel du 24 août publie :
I I août 1988. Aéro-Club Saumurois. B u t :
encourager la locomotion aérienne dans
toutes ses applications et propager le tour i s m e aérien. Siège .social : 7, rue Bodin,
à Saumur.
BUREAU
DE
m
BIENFAISANCE
La Commission administrative remercie
vivement M. Robert Milliat, sous-préfet de
S a u m u r qui, à l'occasion de la naissance
de son fils Bernard, a fait un don pour les
pauvres.
§§§
DEFENSE PAYSANNE
Saint-Hilaire-Saint-Florent
Il ne s'agit pas de compter sur les autres pour faire l'effort financier indispensable. On demande aux épargnants de souscrire avant qu'il soit trop lard. Il faut que,
tous, ils fassent leur devoir et qu'ils emploient toutes les disponibilités qui ne leur
sont pas immédiatement nécessaires à souscrire aux) Bons de la Défense Nalionale.
Les m e m b r e s de la Société Agricole de
Détense paysanne et coirire les parasites de
cultures de Saint-Hilaire-Saint-Florenl, qui
désirent assister au grand Congrès organisé par le Comité départemental d'action
et de Défense paysanne de Maine-et-Loire,
qui se tiendra à Sablé, le 5 septembre,
sonl priés de le faire savoir au secrétaire
la végéi,alion, repue, élirait voluptueusem e n t ses feuilles sous les seuls rayons que
ce jour ail donnés. Comme les plantes. T h é .
rèse songeait en se baignant dans la pâleur
de tout ce rose, elle songeait à l'itdassable
bonté de ses hôtes, au bien-être dont on
l'entourait depuis sa venue dans c e i i e d ^
meure, à la gêne incompréhensible q u ' e l l e
éprouvait sous le regard de J e a n n o u .
E l elle se pencha sur les fleurs nuigiii;iques.
— J e n'ai aucune raison de me sentir m a l
à l'aise devant ce garçon, se disait-elle, il
m e traite comme sa sœur, je m a n q u e de
suuplicité..
Un coup timide frappé à la porte la fit
sursauter.
— Entrez, dit-elle doucement.
La porte s'ouvrit, mais personne ne par-
la^
Thérèse f i t volte-face et trouva, indécis,
au milieu de la pièce, J e a n n o u Boiscagnes
en personne, J e a n n o u tout rougissant qui
tenait dans ses mains une petite caisse fraîchement peinte el de laquelle s'élançaient,
héraldiques et immaculés, de superbes arums. Il les soignait en cachette depuis des
semaines, les arrosant, les protégeant tendrement contre les mille petits insectes susceptibles de souiller la pureté des coupes
blanches et des longs cœurs d'or.
— C'est pour vous. Mademoiselle, dit-il,
où vais-je les poser ?
—Gomme vous êtes b o n i s'écria Thérèse,
touchée de tant de délicatesse; ces arums
sont les plus beaux que j'aie jamais vus.
J a m a i s encore elle ne s'était Irouvée si
près de J e a n n o u . Le ciel rose el bleu pâle,
les quelques nuages gris qui s'altardaienl
taisaient, par la fenêtre ouverle derrière elle, uu fond lel que Raphaël n ' e n s u t jamais peindre.
Le j e u n e h o n m i e fut ébloui; il b a l b u t i a :
— Ce II esl rien. Mademoiselle, mais ce
sont vos fleurs, elles sonl belles el pures
coiuma vous, elles vous ressemblent... Permettez-moi de vous les offrir pour qu'elles
vivent auprès de vous en... e n . . . h o m m a g e
de... de... m o n amour 1
Les derniers mots étaient à peine perceptibles, mais Thérèse les entendit. Elle vit
briller les bons yeux de J e a n n o u comme ils
brillaient le soir où il a v a i t comparé ses
joues auxi roses du grand vase. Le' sang
l'empourpra. Aucun mot ne lui vint. 11 lui
parut aussi cruel de repousser cet h o m m e
que de piétiner les arums, blancs, et pourt a n t . . . Pourtant, il fallait dire une fois pour
toutes, à Jeannou Boiscagnes, qu'elle ne
voulait point de lui. 51 bon, si doux filt-il,
elle ne pourrait jamais l'aimer assez j o u r
l'épouser.
de
Saumur
E n exécution d ' u n e n o t e é m a n a n t de
l ' E t a l - M a j o r de la 9® Région, les m e m b i e s
do l'Amicale sonl informés q u ' i l est fait
appel aux Officiers de Réserve pour le contrôle international du t r a f i c m a r i t i m e vers
l'Espagne.
Ceux d ' e n t r e e u x qu'intéresserait
cette
question peuvent s'adresser au Secrétariat
général, 28, r u e du Temple, où ils prendront connaissance de la circulaire donn a n t tous renseignements.
Cette circulaire concernb spécialemen|l
les Officiers de Réserve el en retraite o u
assimilés.
— Agés dè m o i n s de 60 ans ;
— De t o u l grade à p a r t i r de capitaine ;
— Ayant u n e connaissance suffisante de
la l a n g u e anglaise.
•-•-•
Un deuil cruel éprouve douloureusement
notre camarade, le capitaine Merle.
Lo Président et les m e m b r e s de l'Amicale lui adressent l'expression de leur sympathie attristée.
§§§
CARNET DE L'ECHO
NAISSANCE
Nous avons le plaisir d'apprendre que
M. Robert Milliat, sous-préfet de S a u m u r ,
vienl d'être père d ' u n c h a r m a n t petit garçon qui a reu le p r é n o m de Bernard.
E n cette agréable circonstance, nous présentons à M. le Sous-Préfet et à Mme Robert Milliat, nos sincères félicitations et
formons les meilleurs voeux de b o n h e u r
pour le bébé.;
NECROLOGIE.
Nous apprenons avec regret le décès de
Mme Merle, m è r e de M! Albert Merle, le
bijoutier très c o n n u , demeurant à S a u m u r ,
rue d'Orléans, et veuve du regretté M.
Louis Merle q u i assura longtemps avec
tant de dévouement la charge si délicate
de trésorier du Syndical d'Initiative.
daille d ' h o n n e u r des socîSlés musicales et
chorales est attribuée a u x ^nusiciens dont
les noms suivent, savoir :
Maine-et-Loire V MM. Hulin Adolphe, à
Baugé; Ozouf Auguste, à S a u p i u r ; Rideau
Joseph, à Angers.
Nos bien sincères félicitations.
-—§§§-
D I N E R DU
VIN-D'ANJOU
DANS LK SAU.\11JR0IS
Nous sommes persuadés que cette septième excursion du V i n d ' A n j o u , organisée,
cette année, s u r les c o t e a u x du Layon et
à travers le S a u m u r o i s par les soins de l'actif M. Texier, délégué g é n é r a l de l'Association en Anjou, laissera u n souvenir durable dans la m é m o i r e de tous les participants.
A MONTRiEUIL ET A DOUÉ
Au cours de la randonnée, o n aperçut,
avec arrêt agréable, la stature élégante du
château de Montreuil, d o m i n a n t le Thouet
a u x rives verdoyantes et pittoresques.
Là, après la visile, sous la conduite de
M de G r a n d m a i s o n , n o u s descendîmes aux
caves où u n vin d ' h o n n e u r était servi et
au cours duquel M. Pierre Bricard, président du « Vin d ' A n j o u », élevé à la dignité
do chevalier de l'Ordre des Sacavins prêta
s e r m e n t s u r le portrait de Rabelais, accroché au m u r de la cave, lieu de réunion des
m e m b r e s de la confrérie :
« Devant n o t r e père à tous, j e j u r e dei
respecter les statuts de l ' o r d r e des Sacavins. Quand m o n verre sera plein, je la
viderai; q u a n d il sera vide, j e le pleindrai. »
Cette c o u r i e el a m u s a n t e cérémonie terminée, la caravane sc reforma et atteignit
Le Puy-Notre-Dame o ù une visite rapide de
l'église était prévu.
Le
déjeuner
E n f i n , à i 3 heures 3o, les excursionnistes étaient à Doué-la-Fontaine, où ils se
m i r e n t à lable, à l'hôtel de la Boule-d'Or.
Le m e n u était appétissant. Les vins étaient
offerts par MM. Roussîer, Hacault,
Roulleau, de Geoffre, la maison Chapin et Landais; q u a n t a u x liqueurs, elles étaient offertes, c o m m e d ' h a b i t u d e , par la maison
Cointreau.
Médaille
d'honneur
des sociétés musicales
et chorales
On notait à la table d ' h o n n e u r ; M. Pierre Bricard, président du et Vin d ' A n j o u » ;
à sa droite, MM. de Grandmaison, sénateur, Hacault, Bernier, ancien
président
du ((Vin d ' A n j o u » ; à sa gauche, MM. de
Grandmaison,
député, de Geoffre,
viceprésident du Conseil g é n é r a l de Maine-etLoire, Georges Bricard et Rlchefeu, ancien
président du (( \ i n d'Anjbu ».
A l'issue du déjeuner, M. Pierre Bricard
prononça u n e délicate alîocution.
E n t e r m i n a n t , le président a n o t a m m e n t
remercié M. de Grandmaison, sénateur, de
son liospitalité si cordiale puis M. de Geoffre.
M. Henry Coulant improvisa u n e courte,
mais spirituelle réplique. E t M. G. de
Grandmaison se félicita de l'heureuse circonstance qui amenait les ((Vin d ' A n j o u »
dans le Saumurois.
•
Par arrêté du 6 août 1988, pris en exécution de la loi du 24 juillet 1924, la mé-,
A 18 heures 20, e u l lieu la première disilocalion, et c ' e s t au n o m b r e de douze que
môme d'être franche.
Les yeux de la j e u n e fille se remplirent
de larmes devant l ' a i r m a l h e u r e u x du pauvre J e a n n o u . Celui-ci n e cherchait plus à
poser sa caisse immaculée. D ' u n mouvem e n t lent, il se tournait vers la porte, prêt
à emijorter, avec son c œ u r lourd, les fleurs
si pures q u ' i l voulait symboliques.
Alors, Thérèse reprit sa place dans son
fauteuil. Elle était à la fois m a l h e u r e u s e
et jierplexe.
— A-t-on j a m a i s entendu u n h o m m e remercier u n e f e m m e da cette façon et s'én
aller très calme, très naturel, c o m m e si
elle ne venait pas de lui dire qu'elle refu-i
sait de l ' é p o u s e r P a u v r e g a r ç o n !
Mais la situation devenait impossible
dans celle maison. Elle n e devail plus continuer à vivre chez les Boiscagnes.
— J e ne puis demeurer sous le mêmei
loil que lui. Ce serait cruel, ce serait lui
rappeler sans cesse m o n refus. Il n e faut
pas que je reste ici... Il ne faut pas...
Lorsque Ninette frappa à la porte, quelques heures plus tard, pour demander à la
jeune fille la raison de son absence du dîner familial, elle trouva Thérèse toute congestionnée par les larmes.
Stupéfaite, Mme Boiscagnes c r a i g n i t d'abord que la (( demoiselle » ne f û t malade.
— Mon D i e u ! mon Dieu 1 Mademoiselle!
Quesl-ce q u ' i l y a d o n c ? Vous avez la
fièvre, bien s û r ! Vous êtes toute r o u g e !
Vous avez [ileuré ! Où avez-vous mal ? J e
ne vous ai j a m a i s vue c o m m e cela I 11 faut
que Sylvia aille chercher le médecin, vile.
— Non, n o n . je vous en prie. Madame
Boiscagnes, ne dites rien à personne, je ne
suis pas malade... J e . . . je n e descendrai
point ce soir... J ' a i u n peu mal à la tête,
c'est tout. J e descendrai, c o m m e d ' h a b i t u de^ demain m a t i n .
suivre^
La défunte s'est éteinte mercredi soir, à
l'âge de 68 ans, à la suite d ' u n e courte
mais pénible maladie.
Nous offrons à ses ent'anis cl petils-enfants l'expression de nos sympathiques
condoléances.
*
*
*
On nous l'ail pari égalemeul de ia niorl
d'un autre concitoyen, M. Raymond HuIrel, négociant eu tissus, de la vieille maison
Hutrel-Bidault,
si
avantageusement
connue dans la région, décédé à la suite
d ' u n e courie maladie.
Les obsèques ont ou lieu co m a t i n samedi ;>7 août, à 9 heures 3o, en l'église SaintiMcolas.
DISTINCTION
HONORIFIQUE
— Laissez-moi les fleurs, laissez-les moi.
Monsieur Boiscagnes, je serai heureuse de
les avoir auprès de moi, m a i n t e n a n t que
vous m e comprenez. Comme vous avez été
bon de les faire pousser pour moi l
Elle posa la m a i n sur la caissette.
— Merci, dit .leannou toul bas, comme
s'il eût été trop é m u pour se faire entendre, elles ne diront rien... Qu'elles soient
simplement là, près de vous...
— J ' e n aurai beaucoup de plaisir, répondit la j e u n e fille, s'efforçant de parler
naturellement, c o m m e si ce don nouveau
ressemblait à tous c e u x que .Teannou lui
avail déjà faits.
Elle débarrassa u n e tablette pour qu'il
y posât sa caisse, et, pendant q u ' i l se penchait une dernière fois vers les fleurs, elle)
parla avec une volubilité
insoupçonnée
chez elle.
Il y eut, dans la voix de Thérèse, un son
J e a n n o u l'écoula. Quand elle ne sut
inaccoutumé de dureté quand elle dil :
plus quoi dire, il la regarda gravement^
— J e ne puis vous laisser m e donner ces
puis il répéta de son ton habituel, cette
fleurs avec une telle pensée. Monsieur Boisfois, c o m m e si rien ne s'était passé :
sagnes. J e regrelle de vous faire de la peiv j
— Merci, Mademoiselle.
ne, mais je vous dois et je
dois à mol- '
Et il sortit.
* •
LA JEANNE-D ARC DE SAUMUR
VOTRE DEVOIR ET VOTRE INTÉRÊT EXIGENT QUE VOUS
SOUSCRIVIEZ
AUX BONS DE LA CAISSE AUTONOME DE
LA DÉFENSE NATIONALE
Section
de
L'entraînement des joueurs de football
qui avait été prévu pour le dimanche 28
août, ne commencera par suite de circonstances diverses que le dimanche suivant 4
septembre.
H est rappelé que pour cette date, tous
les joueurs devront être munis de leur
équipement, en vue des rencontres ultérieures.
*
DURÉE
: 18 MOIS
D'INTÉRÊT
• 3 . 5 0
EXEMPTS
DE
TOUTES
O/O
A MILLOCHEAU
Coupe
POT GÉNÉRAL SUR LE REVENU
T I T R E S AU P O R T E U R , C O U P U R E S A P A R T I R
LA BOULE DE FORT
Société du Soleil-Levant
LE CHALLENGE <( MAISON BALME »
Les résultats des éliminatoires de 21 août
sont les suivants :
Cercle Saint-Florent bal La Villefranche,
I I à 7. Bel-Air b a t Union de Saint-Florent,,
11 à 3. Cercle Saint-Nicolas bat Saint-Joseph
de Nantilly, 11 à o. L'Union Hue Brault
bat Amis Réunis Bagneux, 11 à 10. La
Maison-Neuve Saint-Lambert b a t Bon Vigneron, I I à 5. Cercle Saint-Pierre b a t
Croix des Sables, n à 2. Cercle de la Visitation b a t .Jioyeux du Chapeau, 11 à 8. Soleil-Levant b a t Jardiniers
Saint-Lambert,
I I à 3.
Sont convoqués demain 28 août : à 8 h . .
Cercle Saint-Pierre contre La Visitation; 9
h . , Cercle Saint-Nicolas contre Le Bel-Air ;
10 h . . Cercle Saint-Florent contre La Maison-Neuve ; 11 h . , Soleil-Levant contre l'Union R u e Brault.
CIRQUE BUREAU
LE CIRQUE SANS
BLUFF
Présente cette année la plus sensationnelle exhibition sportive qu'il soit possible
de voir à ce j o u r avec
Charles Rigoulot
l ' h o m m e le plus fort du monde, le plus
célèbre athlète de tous les temps, l ' h o m m e
qui a étonné le m o n d e sportif, le seul homme au monde détenteur de 07 records de
force, le seul h o m m e au m o n d e qui a soulevé le poids pliénoménal et incroyable de
282 kilogs.
Et un véritable combat de lutte libre entre RIGOULOT et Emile
RIVOLLIER..
Public, BUREAU est le Cirque
qui
ne
vous a jcunaîs trompé, celui qui
présente
toujours
les plus beaux programmes,
les
plus nouveaux, les plus attrayants, avec les
meilleurs artistet
d'Europe.
Un programme
BUREAU, c'est une garantie qui ne se discute pas.
A S a u m u r , u n e soirée de gala, le Mardi
C Septembre.
L a Foire-Exposition de L a v a l
La 12® Foire-Etxposition de Laval aura lieu
en 1989 du i 5 au 28 Avril. Après le grand'
succès remporté par la Foire de 1988, cette'
manifestation
est
assurée
de
réunir
un
grand n o m b r e de vendeurs et d'acheteurs.
Nous conseillons
aux
industriels
et
com-
merçants qui désirent y participer de bien
vouloir retenir leurs stands dès m a i n t e n a n t
Pour tous renseignements, s'adresser aux
bueraux de la Foire, 2, rue de la Paix, à'
Laval.
FRANCS
Etat-Civil de Saumur
du 24 au 27 août 1988
NAISSANCES
Bernard Milliat, 33,
Monique Giboureau,
René.
Bernard Lamoureux,
Yvette Ménochet, 27,
fuite, cependant que Gandin proférait des
menaces à son égard.
Caudin interrogé, a réiwndu éva.-iivcment
aux gendarmes. Procès-verb;d lui a doue
été dressé.
L'hippodrome de la Boite-Molière n'estil pas u n des plus iigréahles cl un des
mieux aménagés depuis sa nouvelle transformation ?
§§§
Le programme, arrêté par le comité, est
très sportif, il comportera quatre épreuves
au trot, une course de haies, et une course
plate, avec 21.000 francs de prix.
Engagements j u s q u ' a u 28 août pour les
galopeurs et j u s q u ' a u 24,. août pour les
trotteurs.
Rjenseignements el, avant-programmes au
Secrétariat à La Pommeraye, téléph. : i 5 :
COURSES
rue Beaurepaire.
7, place du Roi27, rue Seigneur.
r u e Seigneur.
PUBLICATIONS DE MARIAGES
George Adraste, ouvrier en chaussures,
3, rue de l'Ile-Neuve, et J u l i e t t e Boutte,
sans profession, domiciliée à Bourlin (Pasde-Calais), résidant avenue de la Gare, Saumur.
Albert Pourias, ouvrier champignonniste à Brion et Angèle Ricoult, domestique,
domiciliée à Brion et résidant, 63, r u e StNicolas, à Saumur.
DECES
Raymond Hulrel, époux Fourault, 64
ans, 29, quai Carnot, Saumur.
J u l i e Bellanger, veuve Girard, 91 ans,
20, r u e Saint-Nicolas.
Célestine Guillon, veuve Merle, 68 ans,
23, rue Fardeau.
Théophile Puichaud, époux Menier, 77
ans, 20, rue de Lorraine.
Augustine Tiroir, 79 ans, 27, rue Seigneur.
§§§
AVIS DE
DÉCÈS
Madame Raymond HUTREL ;
Mademoiselle Marie-Anne HUTREL ;
Madame J u l e s HUTREL ;
Monsieur Georges HUTREL ;
Madame MAiRTET-BUDAULT ;
Monsieur Fernand BIDAULT ;
Monsieur Pierre PLOUZEAU ;
Les Familles HUET- MARIET, BIDAULT
et PLOUZEALl,
Ont la douleur de faire part de la perte
qu'ils viennent d'éprouver en la personne
de
Monsieur Raymond H U T R E L
Négociant
leur époux, père, fils, frère, neveu et cousin, décédé, m u n i des Sacrements de l'Eglise, le 24 août' 1988, dans sa 55® année, à
son domicile, 29, quai Carnot, à Saumury
La Cérémonie religieuse a eu lieu ce malin, en l'église Saint-Nicolas, sa paroisse.
Madame René BRETON ;
Monsieur et Madame Jean SIAUVE ;
Monsieur René BRETON,
Ont la douleur de faire part de la perte
cruelle q u ' i l s viennent d'éprouver en la
|)prsonne de
Les engagements seront reçus chez M.
Falloux, rue Saint-Jean, j u s q u ' a u vendredi 2 septembre.
Droit d'engagement : 10 francs.
SPORTING-CLUB SAUMUROIS
Les joueurs du S. C. Si. sont avisés que;
l ' e n t r a î n e m e n t commencera le mercredi 3i
août, à partir de 18 heures. Les séancqsl
d ' e n t r a î n e m e n t auront lieu les mercredi,
jeudi, de chaque semaine, à partir de 9
heures.
Les jeunes gens désireux de pratiquer ,1a
prochaine saison sous les couleurs du S.
C. S. pourront se faire inscrire au terrain
d'entraînement.
CYCLOTOURISTES SAUMUROIS
C'est demain dimanche q u ' a u r a lieu notre concentration amicale à Thouars. U|n
premier départ est prévu pour les cariipeurs lo samedi, à 17 heures 3o. Le dimanche m a t i n , départ à 7 heures précises. Espérons que le beau temps sera de la partie afin que les participants soient nombreux et cette manifestation thouarsaise'
réussie.
Nous rappelons que le prix All-Right de
cyclotourisme aura lieu le 4 septembre, i\
Angers. Retenons cette date dès m a i n t e n a n t
ainsi que le 18 septembre, jour de notre
brevet C. T. S. de 100 kilomètres. Cette
épreuve était fixée au n septembre et fut
reportée pour raison majeure.
LIGUE AERONAUTIQUE DE SAUMUR
Pendant qu'à Vernoil-Ie-Fourrier, dimanche dernier, le Potez 36 donnait le baptême à plus de 5o nouveaux m e m b r e s honoraires, les futurs pilotes de la section d'Aviation populaire avaient organisé un stand
de propagande à la Foire-Elxposition de
Baugé.
Comme à Saumur, le public a été vivem e n t intéressé par les travaux de nos jeunes modelistes.
Un chiffre éloquent entre tous : en 48
heures, Ics quatre représentants de la S .
A. P. ont distribué plus de 7.000 tracts de
•propagande.
Ils o n t en outre jeté les base» pour la
création de deux sous-sections de modèles
réduits et recruté plusieurs adhérents pour
les sections vol à voile et mécaniciens c^'avions.
La Ligue estime en effet qu'il faut, comme dans les pays étrangers, intéresser tous
les jeunes gens à l'aviation.
De m ê m e que ce n'est pas quelques «as»
qui forment l ' a r m é e do l'air, ce n'est pas
un record battu par un appareil u n i q u e
qui initiera bon nombre de jeunes à l'aviation.
Ce qu'il faut c'est une masse de bons pilotes. E n adhérant à la section d'Aviation
populaire, de nombreux jeunes gens atteindront ce but.
Propagande et action, telle est la devise
de la L. A. S.
Monsieur René B R E T O N ,
leur époux et père, pieiisoment décédé à
Saiiil-Martii\-(lo-]a-Place, le 24 août 1988,
dans sa 69® année.
L'Inhumation a eu lieu le vendredi 26
aoCll, !l Saint-Martin-de-la-Place (M.-et-L.).
Carrière
septembre 1988, à i4 heures
(légales^
1. — Prix des Souscripteurs (trot m o n t é
ou attelé). — 600 francs.
Distance : 2.000 mètres.
—
2. — Prix du Gouvernement (trot attelé).
1.800 francs.
Distance : 2.i5o mètres.
3. —' Prix du Loir (trot monté ou attelé). —, 4.5oo francs.
Distance ; 2 . 7 0 0 mètres.
4. — Prix des Eleveurs et de l'Association d'Encouragement à la Littérature, à
l'Agriculture et aux Arts (trot monté ou
attelé). — 900 francs.
Distance : 2 . 8 0 0 mètres.
5. — Prix de la Société d'Encouragement
(pour l'amélioration du Cheval français de
demi-sang, trot monté). — 6.000 francs.
Distance : 2.100 mètres.
6. — Prix des Amis de Durtal (trot monté ou attelé). — 2.000 francs.
Distance : 2.85o mètres.
Le pari mutuel fonctionnera sur l'hippodrome.
iiiiiiiirimîiiiliiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii I
¿ . F a i t a - ^ ä
Hivec
LES VOLS DANS L E CANI'ON DE DOUÉ
A la suite de l'enquête de la brigade do
gendarmerie ooncernant les cambriolages
commis à Concourson, voire mûme ii Douéla-Fonlaine, les coupables viennent d'être
arrêtés :
Maurice Chevalier, n é le 17 janvier igig
à Montreuil-Bellay, ouvrier mécanicien ii
Rochefort-sur-Loire, et b i e n , c o n n u de la
localité, où il a résidé de nombreuses années.
Louis Bretault, sans profession, né le 28
juillet 1916, à Savennières, où il résidait
chez ses parenfs.
Baptiste Doll, jardinier, né le 7 novembre 1916 à Ploujean (Finistère), camarade
de Chevalier, ayant travaillé à Doué et habitant à Angers.
TRIBUNAL CORRECTIONNEL
DE SAUMUR
Audience
du
25 aoiU
Il avait oublié de rendre le vélo. — Leroy Fernand, 87 ans, scieur, sans doniicilo
fixe, avait emprunté un vélo à M. Poquereau, de Doué; ayant oublié de le rendre,
Leroy comparaît devant le Tribunal qui lo
condamne à deux mois de prison.
Egalement poursuivi pour vagabondage,
Leroy est condamné à quinze jours de prison avec confusion des deux jieines.
Le coiti des va.gabonâs. — Proust Victor,
61 ans, ouvrier agricole, sans domicile fixe,
déjîi condamné plusieurs fois, est poursuivi pour mencîîcité, vagabondage, lin mois
de prison.
— Pour le m ê m e motif, Olivier Yves, 46
ans, nomade, sans domicile fixe, condamné également trois fois, purgera un mois
de prison.
Prestation
de serment.
— M. Itulu Alfred, du Coudray, a prôlé serment comme
garde-chasse de Ha Société de Chasse du
Coudray-M acou ard.
Elle promet...
— La n o m m é e M... M...,
16 ans, sans profession, fi Vernantes, déji\
condamnée, est poursuivie pour vols.
Après réquisitoire de M. le Procureur et
plaidoirie de M® (iislicr, le Tribunal l'acquitte comme ayant agi sans discernement
mais elle sera confiée au Bon Plastour jusquà 21 ans.
Il ne se présente pas. — Jouas Marcel,
3i ans, journalier à Souzay, inculpé de
vol do scie, ne se présente pas à l'appel de
son nom. 25 francs d'amende par défaut.
Outrages à la pudeur.
— Lo nommé
Alexandre Hamon, 83 ans, journalier à
Ambillou-Qiiltcau, comparait à la barre
pour outrages à la pudeur que d'ailleurs
l'inculpé reconnaît. Le Tribunal ayant prononcé le huis-clos, condamne Hamon à uu
an de prison.
— Poin- une m ê m e conduite et sous l'inculpation d'outrages publics h la pudeur,
le nommé Mi'archand Auguste, :)5 aus,
d'Ailonnes est condamné ii 2 mois de prison avec sursis.
Attention aux timbres oblitérés. — Mme
Blond Germaine, épouse Jousse, 4o ans, do
Doué-la-Fontaine, est ])oursuivie i)0ur emploi do lijubre posie oblitéré. Son mari se
présenle à la barre. A|)rès un réquisitoire
très modéré de M. le Procureur et jjlaidoirie de M® Gazeau, lo Tribunal relaxe la
femme Blond.
En famille. — T. J . , 87 ans, des Vcrchers, est poursuivi pour violences sur la
personne de Bcrsand Raymond, T6 ans.
L'inculpé nie énergiquement et préti'nd
m ê m e que c'est lo père du j e u n e Raymond
qui aurait frappé son fils.
M® Bauchard représente la partie civile
et M® Gazeau défond T.
Après en avoir délibéré, lo Tribunal condamne T. à 5o francs d'amende et la parlio
civile obtient 800 francs.
Tous les trois ont recoimu les faits el
ont passé des aveux complets au sujet des
vols de Concourson mais ils n i e n t énerg*iq u e m e n t les vols de Doué.
Le voleur en fuite. — Jean Barreau, s/i
ans, chiffonnier, sans domicile fixe, poursuivi pour vol de ferraille, ne se présenlo
pas à la barre : 16 francs d'amende.
S u r l'indication de Chevalier, q u i fut ar-,
rêté au garage Plassais, à Rochefort, où il
travaillait, les louis d'or, pièces d'argent
et les bijoux, ainsi q u ' u n attirail complel
de cambrioleur, des lampes électriques, furent trouvés dans u n e boîte en fer, cachée
dans un tas do ferrailles, derrière le garage, ainsi q u ' u n pistolet automatique 6/35,
chargé de deux balles, dont Doll était porteur au m o m e n t des vols.
Les mauvais voisins. — Bonneau MarieLouise, épouse Rouaull, 44 ans, cultivatrice à Bron, doit répondre d ' u n e affaire de
coups qu'elle aurait jwrlés à M. Branchu
Eugène. D'après les débals, il résidte que
la f e m m e Rouault et Branchu vivent en
mauvaise intelligence.
Après plaidoirie de M® Bauchard, elle
écope 25 francs d'amentle.
Doll,^ qui se prélassait au soleil, fut également cueilli à Rochefort, par les gendarmes de Doué, qui s'étaient déplacés dans
une auto mise gracieusement à leur disposition par M. Dutin, garagiste à Doué.
Bretault fut arrêté au domicile de ses
parents.
Les trois compères sont donc de bonne
prise el devront répondre de leurs méfaits
à dame Justice.
IL GliFLE... SA BELLE-MERE
Ces jours derniers,
Mme Beillard, nee
Esnault Jeanne, 61 ans, ménagère à SaintClément-des-Levées,
Courses de La Pommeraye
de la
COURSES AU TROT
Dimanche u
Falloux
Lo 4 septembre se disputera sur les
courts du Tennis-Primerose, la coupe Falloux, épreuve de simple messieurs, réservée aux joueurs non classés et n'ayant jamais gagné une épreuve.
DE D U R T A L
Hippodrome
Tennis Primerose
TAXES
L E U R S M O B I L I È R E S E T DE L'IM-
nous reprimes le chemin d'Angers par Bistré et Saumur.
Arrôt uu passage à l'église d© TrèvesCunault et à ig h . 45, les derniers excur-i
sionnistes se séparaient, en se félicitant du
succès de la journée et en se donnant rendez-vous pour l ' a n n é e prochaine.
•
Les élèves de la préparation militaire
sont priés de se présenter chez le capitaine
Guérin, r u e Saint-Jean, pour retirer leur
brevet, pour leur permettre d'aller au recrutement du I«'' au 3 septembrjî choisirj
leur régiment.
S P É C I A L E S F R A P P A N T L E S VA-
DE 1 0 0
Football
manche 4 septembre, une grande réunion
qui ne manquera pas de retenir l'attention ties turlistes et d'allirer dans l'accueillante localilé une loule de visiteurs de
toute la région.
a porté plainte
contre
son gendre, Gaudln Joseph.
Revenant de conduire son frère à la gare,
Encouragée par le gros succès remporté
quelle ne fut pas sa surprise de rencontrer
l'an dernier par sa première réunion, après
son gendre qui s'élança sur elle et la gifla
son classement officie], la société des cour- ' de telle façon qu'elle tomba à terre. &e reses de La Ponnneraye prépare pour le dilevant, elle ramassa son chape,ih et pri^ la
Bris de clôture. — Louis-Paul Léger, 2 5
ans, domestique de culture chez M. Augusle Cherbonnier, est poursuivi ])our bris de
clôture chez son patron.
En effet. Léger qui était ivre, voulut pénétrer chez M. Cherbonnier mais, c o m m e
la porte se trouvait fermée, il l ' a fait sau-i
ter, pénètre dans la maison et casse deux
assiettes. H doit donc répondre de ces gestes'devanl le Tribunal.
M® Bauchard présente la défense de l'inculpé, qui n'en n ' e s t pas moins condamné
à 8 jours de prison avec sursis et 16 francs
d'amende sans sursis.
Il fallait s'arrâter. — Le j e u n e G.. Yves,
16 ans, ouvrier peintre îi So\ilanger, ayant
été prié de s'arrêter par les gendarmes, ne
crut pas devoir obéir ; il est donc poursuivi pour refus d'obtention.
Jl est condamné à a5 francs d'amende
avec sursis, plus 5 francs pour le délit.
(à suivre).
SOCIÉTÉ NATIONALE
DES CIIExMINS DE FER FRANÇAIS
Eludes de M"" ROULANT) et
BÉZY, huissiers à S a u m u r .
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ASiSISTANGE JUDICIAIRE
Décision provisoire du 5 mars 1988.
Décision définitive du 0 avril 1988.
Etude de M° Raoul R.\IL'CHAR1> avoué, 12,
rue du Marché-Noir, à S a u m u r (M.-et-L.)
DIVORCE
D ' u n j u g e m e n t rendu par défaut par le
T r i b u n a l civil de première instance de
S a u m u r , en date du six m a i m i l neuf cent
trente-liuit, enregistré ;
Entre :
Madame Yvonne Michel, épouse de Monsieur Emile MO'NVOISIN, demeurant 25,
rue du Pressoir, à S a u m u r ,
Et :
" i
Monsieur Emile MON'VOISIN, domestique
agricole, demeurant à Preslos,
commune
de Dislré (Maine-et-Loire).
Il appert :
Que le divorce d'entre les époux MO'NVOISIN-MICHEL, a été prononcé au profit
de la f e m m e avec toutes ses conséquences
de droit.
Pour exlirait certifié conforme, par
youé soussigné.
A S a u m u r , le 22 août 1988,
R. BAUCHARD.
Cabinet de M" A. BOUVET,
syndic-liquidateur, 2З, rue du
Temple, ii S a u m u r .
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notaire, 28, ¡place de la Bilange
et par le ministère de M" THIBAULT,
notaire
sera procédé
à Saumur, i l
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La Direction du Journal déciine toutes resconsaoUités
pour les erreurs matérieilcs qui pourraient s'être giisséet
dans cet horaire.
A moins d'indication contraire, les htures indiquées sont
toujours les neures de départ.
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(?) Sauf le jeudi.
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2778
1 A. L.
EXPR.
MONTREUIL
—
Certifié par l'imprimeur
.Vu pftT nou8^ Maire de Saiimur, pour légalisation de la signature du gérant,
Uñtel-ie-Ville
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Angers St-L.
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15 45 20 48 lesVerchers.
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19 36 20 37 "i Ói
19 38 20 38 1 06
19
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728
536
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13-189 15-191
2781 EXPR
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Niort
Parthenay. . . . 1
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—
dép. 5 35
5 55
Montreuil.
6 05
Brézé-S'-C.
6 10
Chacé-Var.
6 13
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6 U
Nantilly d.
SAÜMUR(O) 6 20
—
dép. 7 07
7 16
Vivy
7 21
Blou
7 28
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