lie 14 Juillet - Presse régionale

.îpté sur conviés à la fêle ! Nênette et Bintintin étaient
_ voyés de RM. Mais s'ils <
AU REICHSTAG
; les divir bien sagement restés à la maison...
une jonction de eotto escad;
Si l'indépendancc-Day •avait pu produire cet
sions autrichiennes de
aiique, pour
do l'A
UN DISCOURS DE VON PAYER
diriger une offensive imprt uonnante con- heureux résultat de nous débarrasser à tout
L'ATTITUDE DES SOCIALISTES
MM. LLOYD GEOKCP ET QRLANOO
tro les forces navales alliées qui gardent la jamais de ces deux fétiches de laine, affreuseA propos de Réformes militaires
PARTICIPÈRENT
AUX
ÉMOTIONS
_ .
Râle, 5 juillet.
r
Modiborrcunoo, il» doivent .coiinmenicer à re- ment laids, plus encore affreusement ridiLe Reicbstag a commencé hier la troisième
cules
DU PEUPLE DE PARIS
M. La Cierva, ministre de la guerre, vient
venir de leur «o-reiur. Les coups portés par
lecture du budget par une discussion sur le
Nênette et Bintintin, çà aura (té la scie
les Italiens aux plus fortes unités de la
de soumettre à la signature royale la nouvelle
traité
avec
la
Roumanie.
Paris,
5
juillet.
insupportable pendant trois semaines, au
*Les journaux sont presque uniquement
marine auitriohLenne rendant
cette jonc- grand profit des camelots et à l'ahurissement
M. Sclieidemann, socialiste, a déclaré no- loi dite des réformes militaires.
remplis par la fête de rindéipendance-Day.
tamment :
tion de plus -en plus irréalisable.
des enfants.
Ces réformes sont-elles définitives 2 La
Hs
accompagnent
leurs
récits
de
commentaires
Quant à lia sortie des Dardanelles _ elleSi le discours de von KuMmann le 24
'Nênette et Bintintin naquirent à Paris et je variés dans la forme, mais assez semblables juin, a fait une aussi grande sensation, c est
même, elle constitue une opération si ha- gage qu'ils durent faire dans une cave humide pour le fond, car tous développent les mêmes
lourd fardeau qui est imposé au pays du fait
sardeuse et si dangereuse pour ceux qui la leur entrée sur la terrestre planète. Conçus ÎUèmes : Honneur et reconnaissance aux Amé- parce qu'il exprimait, sous la forme d'un programme, l'opinion déjà connue depuis long- des augmentations de soldes qui sont entrées
risqueront qu'on ne la voit pas tentée de dans l'imagination d'un loustic, doublé d'un ricains, Qui assureront la victoire des peuples
Ueur à partir du V juillet. Enfin la
temps du gouvernement. Malheureusement
sitôt." Derrière un barrage permanent de individu de sens pratique (bussiness " !...) Ne- démocratiques, confiance à nos frères d'outre- dès ie jour suivant, von Kuhlmann se vit ame- en vig
champ de mines, do sous-marins et de tor- nette et Bintintin ne tardèrent pas à devenir fteéan, dont l'afflux continue et dont le deu- né à atténuer l'impression produite par son promulgation de la loi militaire donne plus de
•L'annonce d'une .grande
allemande a été lancée il y ^quelque pilleurs, se tient une imposante . armée na- les indispensables porte-chance les jours où xième, million de soldats a déjà, commencé à discours. La retraite de von Kuhlmann devant confiance aux fonctionnaires civils qui de.
débarquer.
le grand quartier général ouvre les perspecti
temps, fvar l'amiral von Ti.rnitz. Elle ncst vale largement capable d'empêcher toute dame Bertha faisait si méchamment des sienPuis déjà longtemps, demandent eux aussi
1 De nombreux journaux observent que c'est
pas cîe natoe à émouvoir les marines incursion de la nouvelle escadre allemande nes. Bientôt, les Nênette et les Bintintin pullu- la première fois, depuis la guerre, que Paris ves les plus fâcheuses.
lèrent et des milliers s'embarquèrent pour la
« Ce qu'a dit M. von Kulmann, a ajoute w relèvement sensible de leurs traitements
alliées, qui sont arehirorâtes a en recevoir et de faire avorter toutes ses combinaisons province, fuyant l'excessif bombardement.
à pavoisé.
M. Scheidemann. c'est ce que pensent tous et qui maintenant, on le pense bien, vont rétte choc, n'importe où il se produira. On militaires.
les politiques raisonnables. Il est vrai qu'il clamer de plus belle.
Nous en avons eu un fort contingent à Tou« -Ni pour la Marne, ni pour aucune victoire
peut seulement se demander si 1 Amirauté
De toute façon, nous pouvons donc atten- louse. Mais, pudiquement, Nênette et Bintintin
a tenu ses paroles après avoir sans doute
a ents des diverse
germanique a réellement pris pour son dre de pied ferme, les flottes du Kaiser, et ont disparu de la circulation jeudi soir. Ils payée du sang de ses enfants, écrit l'Œuvre,
s administrations pu
subi un feu roulant formidable, au cours hifnL °
Paris n'avait voulu pavoiser, se réservant
duquel on lui démontra que ces choses-là s^t erâT aient même ' si nos renseignements
\pwte-,parole le prédécesseur do von La- nous devons même souhaiter leur appari- ont cédé la place aux petits drapeaux d'Amé- pour un unique jour de fête, celui où ses solpclle, remercié de ses services par son
' v sur mer. Par leur supériorité numéri- rique. Cette modestie de leur part ne nous dats victorieux descendraient l'avenue des se pensent mais ne se disent pas. Nous pou- sont exacts, envisagé la possibilité d'une grève
vons nous défendre contre tout un monde,
auguste maître au moment même- ou H.
Champs-Elysées.
des bras croisés s'ils n'obtenaient pas une
et matérielle, par la valeur de leurs déplaît pas du tout.
mais nous ne pouvons pas soumettre le monsemblait, que sa présence allait êtrr le pJ J
majors et de leurs équipage», les forChère Nênette, et toi, mon vieux Bintintin, ! «Mais pour fêter nos frères d'armes, la de entier à nos volontés. Il faut avoir, au Prompte satisfaction. Pourquoi a cux poids et
[nécessaire pour la conduite de il
juei .
ravales des Alliés sont certaines de si vous voulez être tout à fait gentils l'un et France oublia ses douieurs et retrouva l"en- préalable, cette vérité très clairement dans deux mesures ? disent-ils. Le projet de loi
sooi's-mari-n© à outrance. Il paru-u enim
«porter la victoire, le jour où elles se l'autre, ne vous montrez plus sur nos places piousiasme jeune et joyeux de son peuple,
l'esprit pour arriver à la paix. Ce qui nous nous concernant sommeille encore dan s les
publiques jusqu'au jour où sera terminée ï « Cette fête rappela le 14 juillet d'antan
assez étrange, si cette .grande offensive a mesureront enfin avec celles de l'emmenii.
manque, c'est une offensive de la vérité. La
l'affreuse tragédie et qu'il nous sera permis avec quelque chose de plus fervent, de plus paix mondiale ne pourra pas être obtenue cartons parlementaires . se réveillera-t-il seu
été décidée en haut lieu, qu'on veuille reintense, de plus averti. MM. Lloyd George et
Henry LAURIER.
lement ? Quelle sollicitude, pur contre pour
alors seulement de sourire.
noncer aux avantages de la surprise qui,
par l'épée, mais seulement par des actes poOrlando participèrent aux émotions du peu
Nos cousins d'outre-mer finiraient autrement pie de Paris ; ils pourront dire, retournés
litiques. L'état-major exerce sur la presse les militaires !
sur mer aussi bien que sur terre, _ est un
par se moquer de nous. Et çà nous serait très •chez eux, qu'ils virent un Paris enthousiaste,
une censure intolérable. Ce qui se passe à
des principaux facteurs de la réussite.
Et il y a du mécontentement chez les foncdésagréable...
vivant, animé, un
Paris
qui, la première l'intérieur n'est que la contre-partie des évé
Somme toute, on se s'eqplique donc pas
LIRE A. LA 4= PAGE NOS LISTES DE SOLnements à l'extérieur. Notre peuple,
dans tionnaires civils de la Péninsule.
fois
depuis
la
guerre,
avait
arboré
des
draLouis
BERTHAUD.
très bien le ocrap dte clairon .de l'amiral von
DATS
DISPARUS, DE SOLDATS RETROU
l'indigence, dans l'esclavage, souffre de la
On peut se rendre compte aujourd'hui de la
peaux à ses fenêtres, un. Paris, malgré tous
Tiupitz, à moins que celui-ci ne veuille
misère la plus atroce ;; ce
ce qu'on
qu'on exige
exige de lui faute énorme, grosse de conséquences nui fut
ses deuils presque joyeux, parce qu'il sent
**«
»•*
»*
*JÎ.
VÉS
ET
LES
NOUVEAUX
INTERNÉS
EN
pousser l'opinion publique à exiger la soren
outre,
dans
constamment
est
incroyable
;
en
outre,
dans
commise
auanrl le rfB OT .™«l
Oue ceux qui viennent lui rendre le geste de
cum
ces semaines critiques, dont ie ne ;fais
™ se Quana le gouvernement
autorisa la
ais pas
SUISSE.
tie de la flatte de haute mer des ports et
Lafayette et de Rochambeau apportent avec
création
des
juntes ou associations d'officiers
comment nous sortirons, nous soyons cette
des rades où dlle continue à s'abriter inaceux une force qui empêchera désormais la
tragédie d© la réforme électorale. Il règne formellement interdites par la Constitution.
victoire d'hésiter. »
tive, derrière les champs de mines qui prodans les masses une agitation, qui est arritègent .son .sommeil.
Le droit d'association, reconnu pour les ci
vée à son suprême degré. Ce n'est plus seuMalheureusement pour elle, cette flotte
LE PRINCE DE GALLES IRA-T-IL
e
lement des ouvriers que ie parle, mais de la. toyens, y compris les fonctionnaires, est une
1434
Jour
ft
me se sent pas soutenue et entraînée par ce
AUX ÉTATS-UNIS
masse des employés et des (fonctionnaires. H arme dangereuse aux mains de ceux qui déjà
qui décide les Allemands aux .attaques de
Londres, 5 juillet.
n'v a plus qu'un cri : « Une fin ! Une fin possèdent la force.
grand style, par ce qui fait la plus grande
On télégraphie de New-York au Daily News .honorable 1 »
COMMUNIQUE FfflNÇMS
Au Parlement de le rappeler sans tarder.
« A un gouvernement qui ne leva pas l'état
partie des années du kaiser : la supenoOn envisage, ici, l'éventualité d'une visite
de siège, nous ne pouvons pas accorder le C'est peut-être une façon de calmer bien des
Tzté des effectifs
du prince de Galles aux Etats-Unis. La presse
Paris, 5 juillet, 3 h. soir.
budget. Le gouvernement doit négocier aussi impatiences et de faire taire de légitimes inSans doute, un certain nombre de types
souligne la simplicité des manières du prince
NOS DÉTACHEMENTS ET NOS PATROUIL- et
suggère qu'il devrait , être reçu comme un vite que possible. Ce n'est pas là une parole quiêtuaés.
nouveaux est venu la renforcer, et un nou;
Tandis que d'un élan unanime et d'un cœur
LES, OPÉRANT ENTRE MONTDIDIER
ET jeune et brave officier représentant de tous prononcée à la légère, mais un avis, un
vel accroissement dte puissance lui a été
VARGAS.
avertissement. Rendez-vous-en compte ! C'est
débordant d'espérance, la population pariles britanniques ayant fait leur devoir.
L'OISE, EN CHAMPAGNE, SUR LA RIVE
apporté par ila mainmise sur une boninie
quelque chose d'énorme qui_ est en jeu : il
De
notre
correspondant
particulier
:
partie des meilleures unités de la flotte sienne faisait à ses frères d'Amérique un acs'agit de la vie de millions "d'hommes ! »
LES TROUPES FRANÇAISES
DROITE DE LA MEUSE ET EN LORRAINE,
russe de la Baltique. Mais elle n'ignore cueil triomphal, les soldats du Iront français
REGAGNENT LE FRONT
Le vice-chancelier, von Payer, a répondu
LES GRÈVES MINIÈRES
ONT RAMENÉ DES PRISONNIERS.
pas qu'elle a en face d'elle, veillant nuit et et anglais célébraient à leur manière l'indéen ces termes
Paris,
5
juillet.
jour, guettant -ses moindres mouvements,
pendance-Day, et ce n'était ni la moins utile
« Ce que dit M. Scheidemann de la ques
Madrid, 5 juilles.
Les troupes françaises qui ont pris part à tion de la paix ne m'amènera pas à faire de
un adversaire f ormidablement armé et dou- ni la moins brillante.
Les démarches officielles entreprises pour
la fête américaine sont reparties pour le .front nouveau une déclaration embrassant le problé, depuis quelque temps, par les puiséviter un conflit minier dans la province des
COMMUNIQUE 'W1TÏÏNNIQUE
aujourd'hui, à 8 heures.
gramme du gouvernement à ce sujet. A quoi
santes unités de la marine des Etats-Unis.
Ils infligeaient à l'ennemi deux 'échecs siUne foule immense, massée sur leur par- cela servirait-il asprès les expériences déjà fai- Asturies n'ont pas eu de succès.
Le comité exécutif du syndicat des mineurs
Les raids d'Ostende et de Zeebrugge
lui multanés qui, bien que ressortissant aux opéLondres, 5 juillet, 2 h. soir.
cours, les la chaleureusement acclamées et tes ? C'est pourquoi je m'abstiens de dévelops'est réuni dans la soirée à Oviedo et a mis
ont donné un aperçu de ce qu'elle avait à rations restreintes de redressement et de recLE NOMBRE TOTAL DES PRISONNIERS leur a jeté des bouquets. .
per à nouveau ce thème, mais je puis, sans aux voix l'acceptation ou le refus de l'arbiredouter de la nouvelle école de la marine
difficultés, adhérer à la formule des buts de trage du ministre des travaux publics.
tification dont j'ai parlé antérieurement, n'en
QUE NOUS AVONS FAITS DANS L'HEUREUanglaise, de .sa froide énergie, de son auguerre allemands présentés par M. SclieidePar un grand nombre de voix, l'Assemblée
ont
pas
moins
leur
importance
et
leur
signiSE
OPÉRATION
EXÉCUTÉE,
HIER,
SUR
LA
dace, de son superbe mépris die la mort
mann.
a décidé de rejeter l'arbitrage et a maintenu
fication.
« Une conclusion honorable est que l'Allema
au moment où elle voudrait tenter quelque
SOMME, DÉPASSE 1.300.
absolument toutes les propositions ouvrières.
gne ne soit pas désanvatagée dans les condi
entrepris© SOT le littoral britannique. Elle
En conséquence, la grève générale minière
Dans la partie nord 'du plateau de Villerstiens
de
paix.Je
crois
que
de
notre
côté
UN
CANON
ALLEMAND
DE
CAMPAGNE,
a été décrétée pour le 15 courant si à cette
se rend compte que, quoi qu'elle fasse, elle
Rome, 5 juillet.
nous
sommes
déjà
allés
plus
loin
dans
le
Bretonneux,
les
troupes
britanniques
ont
endate
les revendications ouvrières n'ont pas
n'a là auc«Ê chance de succès compensant
La fête nationale américaine a été célébrée
PLUS DE 100 MITRAILLEUSES ET UN CERsens de cette formule. Nous devons attendre été totalement acceptées.
hier, solennellement, par une imposante ma- jusqu'à
les. pertes qu'elle pourrait suibir. L'heure levé le village du Hamel et deux bois adjace
que
le
désir
de
guerre
et
les
idées
TAIN NOMBRE DE MORTIERS DE TRANnifestation.
n'est pas aux diversions sans profit et sans cents, avançant ainsi leur ligne de 500 mètres
d'écrasement de nos -adversaires aient dispaCHÉES ONT
ÉTÉ
DÉNOMBRÉS JUSQU'A
Place de Venise, sur l'autel de la Patrie du ru. Je crains que tous nos efforts pour arriver
résultat
sur un front de 1.500.
monument
de
Victor-Emmanuel,
M.
BissqPRÉSENT.
auparavant à la paix que nous désirons ne
Les certitudes d'une offensive navale
lati a parlé au nom dm gouvernement.
Entre Oise et Aisne, depuis Autresches jussoient vains.
TE-COUR
allemande ne se. dessineront donc, à mon
UNE
CONTREATTAQUE
ENNEMIE
SUR
qu'à
Moulin-sous-Touvent,
au
nord-est
d'Atti« Nous aussi, a dit M. Bissolati, nous somM. von Payer reproche ensuite à M. Schei
avis, que sous la pression d'événiemenits
ÇA VA ALLER VITE !
mes entrés dans la guerre pour les mêmes demann d'avoir critiqué à tort les relations
chy, nos troupes ont conquis un terrain qui
NOS NOUVELLES POSITIONS, A L'EST DE
rendant celle-ci impérieusement obligaprincipes
d'où nous sommes nés, et nous de l'état-major avec les dirigeants poilitiques
Paris, 5 juillet.
toire. ou à la .suite de certaines circonstan- ne mesure pas moins de 1.000 à 1.200 mètres
HAMEL, A ÉTÉ, LA HUIT DERNIÈRE, FACIpousserons la guerre jusqu'à la dernière de l'Empire et d'avoir manqué de la recon
La date du 16 juillet étant désormais défices pouvant la favoriser. Pour l'instant
de profondeur sur 5 kilomètres de largeur.
LEMENT REPOUSSÉE ; QUELQUES PRISON- goutte de notre sang. Quand nous, avons pris naissance due aux gténéraux et aux chefs,
nitive
pour
la
convocation
de la Haute-Couï
;
des hypothèse w réduit aux suiles armes, nous avons bien' .compris que cette
la question se pose de savoir comment se
M. Ledebour, de son côté, a attaqué viveNIERS SONT RESTÉS ENTRE NOS MAINS.
On remarquera le chiffre des prisonniers,
vantes, "tirées, la première, de la faillite
lutte n'était pas et ne pouvait pas être poul- ment la politique de Monsieur (sic) Hindendérouleront les débats.
des croiseurs, sous-marins, la seconde, de qui est de plus de 1.000 pour la première
ies nations dé l'Entente une guerre vieant
NOUS AVONS
EXÉCUTÉ AVEC SUCCÈS
Au Sénat, l'opinion de la majorité des memburg, qui veut que l'Alsace-Lorraine aille à
affaire et près de 1.100 pour la seconde.
l'embouteillage d'Ostende et de Zeebrugge.,
des buts nationaux restreints ou des conquêbres est que
l'affaire Malvy doit se juger
la
Prusse,
qui
interdit
toute
discussion
dans
UN COUP DE MAIN, DANS LE SECTEUR DE tes.
et la troisième, de l'organisation d'une
la presse sur le projet de former, avec la
sans désemparer ; à peine s'ajournera-t-on
Je
crois
qu'il
y
a
là
un
symptôme
à
ne
point
BEAUMONT-HAMEL, ET AVONS REPOUSSÉ
« Les buts nationaux y entrent : mais pour
le temps nécessaire pour prendre connaisescadre allemande dans la mer Noire.
Courtaude, la Lithuanie et l'Esthonie, un nouautant qu'ils sont des
reveadications de
sance des documents communiqués, rapport
vel "Etat baltique.
La faillite des croiseurs sous-marins peut négliger, non plus que l'inanité des contreUNE TENTATIVE ENNEMIE, AUX ENVIRONS
droit,
et
la
conquête
que
nous
rêvons,
que
Pérès et réquisitoire Mérillon.
M. Ledebour a protesté à l'avance certre
s'induire déjà non seulement des piteux attaques allemandes, lesquelles ont été préDE STRAZEELE.
nous voulons effectuer à tout prix, c'est la le gouvernement allemand, oui veut n'ainteLa deuxième audience pourrait être vrairésultats constatés dans leurs premières venues ou brisées.
conquête du droit d'exister, et d'être l'arbi- nant employer les prolétaires allemands à
semblablement fixée au 23 juillet ; l'arrêt,
actions sur les côtes des Etats-Unis, mais
tre de notre existence dans les imites et sous combattre les bolchevikis en Russie, afin de
dans ces conditions, serait rendu vers le 10
Grâce à ces reprises successives opérées
encore de ceux qu'ont donnés, en moyenne,
la garantie de la loi
internationale supéaoût.
rétablir un gouvernement réactionnaire.
COMMUNIQUE
ITALIEN
avec continuité et méthode, l'ennemi a été
les .précédentes .croisières de quelques sub
rieure.
Le député socialiste a conclu en C'isant '.
D'autre part, un certain nombre de séna« Nous savions que la libération des terres
mersiblcs de même type partis d'AÎlemiagn© privé de toute une série de positions ou domi« Si cela .devait se produire, ce serait pour teurs ont l'intention de demander le renvoi de
Rome, 5 juillet.
italiennes ne pouvait pas être séparée ; nous
vers la fin de 1917, et ayant sillonné les nantes ou avantageusement disposées, dont il
l'affaire Malvy, si on ne peut pas leur donner
(Communiqué du commandement suprême):
voulions même qu'elle ne fût pas séparée de nous un devoir, une obligation sacrée d'apmers équ-atoriales .pendant quatre mois enpouvait se servir utilement pour préparer les
peler le peuple à la révolution et à renver- l'assurance que les débats seront terminés
Sur la basse Piave, après avoir repoussé une la reconstitution de la Belgique et de la Serviron, il a été possible d'établir avec préavant la session des conseils généraux.
,
effets de surprise dont il fait la base de sa
bie, de la restitution de l' Alsace-Lorraine à. la ser le régime actuel. „
cision ce qu'ont (fait deiupc d'entre eux,
violente contre-attaque a t détruit de nouveaux
Nous croyons savoir que le ministère public
Selon le Strasburger Post, M. Ledebour a
France, des revendications de la Roumanie,
nouvelle
tactique.
après 240 jours de mer. La perte totale de
centres de résistance
ennemis, nous avons
des aspirations de la Bohême, de la Yougo- même encore déclaré plus nettement : « J'in- et la défense -ne s'opposeront pas au renvoi l
tonnage qu'ils ont causée a été de 29.000
slavie et de la Pologne. De même que les vite de cette tribune le prolétariat alle- s'il est demandé dès l'ouverture de la premièEt l'on conviendra aussi que ces échecs ré- élargi considérablement notre occupation, au
tonnes. Etant donné qu'au mois d'avril
Italiens, tous les peuples luttant contre les mand à la révolution. » Ce qui a provoqué re audience : mais le procureur général estipétés, si menus soient-ils, ne sont point très
sud-est de Chîesanuova e t au nord de Cava1917, les Alliés eurent à subir quoitidienneempires de proie, ont senti, ils sentent que un violent tumulte et un rappel à tordre de me que s'il est donné lecture du rapport et
du réquisitoire, l'affaire doit se poursuivra
encourageants pour des troupes auxquelles on zuccherina, capturant
413
Pfl!SON*.'? r"~
la Société des Nations, dessinée r- r le prési- la part du président.
anent des destructions s' élevant à ce même
Après plusieurs interventions, notamment jusqu'à la fin.
UNE BATTERIE DE 6 OBUSIERS DE 105 MILdent, Wilson, n'est pas une utopie, mais est
chiffre de 29.000 tonnes, on voit que SUIT la s'apprête à demander un très rude coup de
de MM. Westarf, conservateur, et Thomas, naen train de devenir une réalité. »
LIMÈTRES. ET UN TRÈS GRAND NOMBRE
base des résultats obtenus pair les deux collier.
tional libéral, la discussion généraie a été
croiseurs considérés, il faudrait soixante
DE MITRAILLEUSES.
Le sénateur américain Cotilla, parlant en- close.
Aussi Ludendorff les enregislre-t-il d'une
submersibles tenant la mer simultanément
suite, et rappelant que le 24 mai, date de
Au nord-est «Su Grappa, après une préparal'entrée en guerre de l'Italie, fut célébré en
pour infligea' aux Alliés autant de pertes plume légère et en évitant d'y insister.
tion d'artillerie, nos détachements ont pénéAmérique avec le plus grand enthousiasme,
qu'en avril 1917.
Genève, 5 juillet.
Pendant ce temps, nos amis Italiens ne resdit que l'Amérique est résolue à tout emtré dans les positions adverses, à la tête du
Or, le nombre des sous-marins en opéraAprès trois jours de débats, la Cour fédérale
tent pas non plus inactifs, élargisant contiployer afin d'atteindTe la victoire et de donLondres,
5
juillet.
tions, pendant une période déterminée, ne
a rendu son jugement dans le procès de l'esval Calcine. La réaction ennemie, qui se manuellement leurs lignes sur le plateau d'Asianer la liberté à toutes les nationalités oppriLes journaux reproduisent un télégramme
pion Bhem et de ses complices. Il s'agissait
varie guère, en général,
au-delà d'une
nifesta par un tir intense et par des contremées.
drAmsterdam, suivant lequel la Gazette du
d'une bande parfaitement organisée, opérant
vingtaine, et ce nombre ne pourrait désor- go. Ils ont voulu tâter l'ennemi sur la Piave
attaques,
ne
réussit
ooïnt
à
nous
enlever
les
Bhin
et
de
Westphalie
annonce
comme
cerau profit de l'Allemagne contre la France.
mais être accru que très aeciidemtelleimexut, inférieure, OÙ celui-ci, couvert par les stries
« Tant que
les fusils américains amont taine la démission de von Kuhlmann.
avantages
aux
portes
de
Salton.
UNE
TRENC'est le journaliste italien Perri, également
de terrain et les inondations, a pu se mainen diminuant la. durée du repos du perune cartouche, elle sera tirée pour leur lisur les bancs des
accusés, qui a dénoncé
TAINE
DE
PRISONNIERS, DONT 5 OFFIberté et leur indépendance. » (Applaudissesonnel et en faisant des réparations hâti- tenir
VON KUHLMANN
cheval sur le fleuve.
Rhem
à la police genevoise.
ments.
)
CONTRE SES DIFFAMATEURS
CIERS, ET 6 MITRAILLEUSES RESTÈRENT
ves, puisqu'il est acquis que les Alliés déLe tribunal a prononcé les peines suivanIl n'en a pas moins été obligé, ces jours-ci,
DANS NOS MAINS.
truisent plus de sous-im.arihs que les chanBàle, 5 juillet.
tes :
Jeudi matin, a commencé, à Berlin, devant
tiers allemands n'en construisent. D'autre de reculer quelque peu, laissant aux mains
Sur le plateau d'Asiago, nous repoussâmes
Hermann Rhem, un an de prison, 1.C0O fr.
la
septième
chambre
du
tribunal,
le
procès
part, 11 faut tenir compte que les convois de son adversaire 1.900 prisonniers et un assez
d'amende et deux ans d'expulsion; Léopold
deux contre-attaques,
au
Cornone (Sasso
intenté par M. de Kuhlmann contre le rédacaméricains naviguent maintenant si forte- gros butin.
New-York, 5 juillet.
Muller,
Badois, trois mois de prison, 250 fr.
teur responsable de la Deutsche ZeUung, M.
Rosso), en engageant l'ennemi dans des mêment escortés, que leur sécurité est presL'ambassadeur du Japon, le vicomte Ishii, May Lob an et M. Julius Dumeke, rédacteurs
d'amende ; Eugène Pocho-n, Vaudois, trois
Harcelé
sans
trêve
par
les
troupes
victoque absolue. Par conséquent, l'entrave du
lées à la baïonnette et à coups de grenades ©arlant à Fair-Haven (Massachusetts), a ga- de feuilles pangermanistes, pour diffamation mois de prison et 200 fr. d'amende ; Jacques
transport des troupes de nos alliés vers le rieuses du général Diaz, il a peine à reconstimain, quj lui firent subir de s pertes gra- ranti que le Japon contribuera à la guerre par des articles parus dans ces journaux, au
Thomas, Français, déserteur, trois mois de
champ de bataille, qui était l'objectif capi
prison et 200 fr. d'amende, : Faronoesco Pertuer ses unités dissociées dans la défaite et ves ; une patrouiiïe britannique surprit et dans une pleine mesure, par des moyens qui, sujet de Ea conduite de M. de Kuhlmann à
selon
l'idée
du
Japon,
seront
des
plus
efficari, quatre mois de prisonj 300 fr. d'amende
tal des croiseurs sous-marins, apparaît "de supporte assez mal les assauts qui lui sont
Bucarest.
détruisit un poste adverse, près de Canove.
ces pour conduire le plus sûrement au sucet deux ans d'expulsion ; Jeanne Messaje,
M. Loban ayant déclaré au président qu'il
plus en plus problématique. Aussi peut-il portés.
cès.
Française, un mois de prison et 50 (r. d'aavait cherché, par ses articles, à amener le
Ces derniers jours, nou s avons abattu 10
se faire que devant cet échec, et la néces>Le vicomte Ishii a dit que les rumeurs d'un départ de M. de Kuhlmann, qu'il considérait
mende- Jean-J. Challet, Genevois,
un mois
sité d'y remédier coûte que coûte, une
J'imagine que dans la situation précaire où avions B t 2 ballons captifs.
rapprochement possible entre le Japon et comme dangereux pour la politique alleman- de prison et 200 fr. d'amende.
grande partie des croiseurs de bataille re- il se trouve, un bon coup de boutoir finirait
l'Allemagne étaient un beau spécimen des in- de, le tribunal a prononcé le buis clos pour
Quatre inculpés ont été acquittés.
çoive bientôt l'ordre de briser le blocus peut-être par en avoir raison et je crains pour
trigues allemandes destinées à diviser les toute la durée du procès, parce que les débats
Avant la condamnation de l'espion alleAlliés.
NOS
A. S
anglais et d'aller porter ses ravages dans
pourraient mettre en danger la sécurité de
lui que vo-n Below. si tant est qu'il se soit
mand Rohm et de ses complices, M° Willeles rangs des convois, de façon à couler
« Elles dévoilent une ignorance complète du l'Etat.
mln, le défenseur de l'Italien Perri, a mis
BOYAU ABAT SON VINGTIÈME BOCHE
le plus grand, nombre posaiWe de trans- déjà mis en roule, risque fort d'arriver trop
caractère japonais. Quelles que soient les quaen cause l'attaché militaire allemand, voii
ports de troupes et à interrompre pendant tard.
lités
qui
lui
font
défaut,
le
peuple
japonais
Parie, 5 juillet.
Bismarck. Il a dit notamment :
Lloutonant-Colonei ROUSSET.
un certain temps les arrivages de .renforts.
A LA CHAMBRE DES COMMUNES
Le vaillant et sympathique Boyaui vient ne manque pas d'esprit chevaleresque. »
Nous étions, avant la guerre, déjà InMais soyons sans inquiétude. Ces possibide remporter sa vingtième victoire
'Le vicomte Ishii a remis un message du
LE DISCOURS DE M. DE KUHLMANN
festés à Genève d'espions allemands, qui enlités de combat ne prendront pas au déVoici les chiffres de son tableau en 1917 : peuple japonais au peuple des Etats-Unis, divoyaient en France des émissaires chargés
onze victoires, dont six Drachens.
pourvu les croiseurs anglais et américains.
Londres, 5 juillet.
sant :
de préparer la dévastation qui fait la déso3 ianvier, douzième victoire siir un DraLe député pacifiste Mason a demandé hier
Elles ont dû être examinées avec soin par
lation de l'Europe entière. M. Perri est eni Nous avons confiance en vous, nous vous
chen ; 20 février, treizième victoire, Drachen
à la Chambre des communes ce que compte
le Comité naval interallié, et la défensive
tré en relations avec l'attaché militaire alleaimons et si vous le permettez, nous marcheincendié avec Sardier ; mai, un Drachen défaire le gouvernement britannique à la suite
mand von Bismarck, et il lui fit croire, pour
saura arrêter l'offensive avant qu'elle ait
rons à vos côtés, en bonne et loyale camara- des déclarations des buts de guerre de l'Alletruit et deux avions abattus, dont l'un avec derie, pour toutes les années à venir. » .
capter sa confiance, qu'il était' expulsé de
atteint son but.
la collaboration de Sardier, seizième victoire.
magne par AI. de Kuhlmann. Lord Robert CeFrance. C'est à cette occasion que le major
La seconde circonstance pouvant provo1 er juin, un avion «.battu en flammes, dixcil répondit :
von Bismarck offrit un million à mon client
quer la sortie do la flotte allemande, serait
septième victoire • 4 juin, deux Dracliens dé« Je ne vois pas quelle mesure utile on peut
Dour fonder un journal de propagande pacl.
1 embouteillage complet et définitif des
truits, avec la collaboration de Sardier, dixprendre à la suite d'un discours aussi vague
fiste ; M. Perri refusa catégoriquement. »
TI
huitième
et
dix-neuvième
victoires
;
2
juillet,
ports d'Ostende et de Zeebrugge. « Le jour
et imprécis. Nos buts de guerre sont bien conL'avocat a parlé d'une lettre du major von
Comme tout le monde, j'ai voulu fêter l'Indê
un avion abattu, vingtième victoire.
ou cette éventualité se produira, déclarait
M. DENYS COCHIN EST REÇU PAR LE PAPE nus, et nous attendons toujours en vain une
Bismarck dans laquelle celui-ci donne des
Nous allons donc voir bientôt le nom de
récemment, à Bruxelles, un haut fonction- pendance-Day... J'ai pavoisé ma fenêtre ; j'ai
déclaration claire et sans ambiguité, de ceux
assisté à la réconfortante réception du Capi- Dovau inscrit au comriiiuiniqiué, et nous peninstructions à ses agents, et. , ce qui est' pins
naire allemand, nous prendrons l'Escaut toie, et j'ai parcouru à pas lents — il m'eut
de nos ennemis. »
Rome, 5 juillet.
sons, que selon l'usage, la rosette rouge ne
crave incite ces derniers à couvrir leur sercomm<j base sous-marino, quel qu'en «oit été, d'ailleurs, malaisé de prétendre à une
M. Denys Cochin a été reçu, hier, |;ar le
M. Mason, ayant insisté et demandé un dévice de renseignements du manteau de J_ arva pas tarder -, apparaître sur sa poitrine.
Pape, en au.'ienco privée : il s'est »ntr>jVj :i'. bat sur la question, se trouva seul à voter
le coût.
Nous entrerons en pourparlers course rapide sur les trottoirs encombrés de
mée suisse, en - y mêlant les autorités mili(ivant-hicr, durant trois quar.s d'heure, avec
en faveutr de sa propre motion. 11 dut se rasavec la Hollande, afin de régler la ques- toilettes claires — ce que tout bon Toulousain,
taires, au risque de compromettre gravele cardinal Gasparri. secrétaire d'Etar. au Va- seoir parmi les éclats de rire de la Chambre.
ment la neutralité suisse.
digne de ce nom, doit se faire un
l
™ ,!îv'0 'n 's 'Pas ce quio sera sa vraiment
tican.
devoir d'indiquer à tout Américain en rup
« M le major von Bismarck, dit M« WilC te
fe£w
K
™°shicn comme un lure. pour quelques heures, avec le camp de
lemin. n'a jamais été rappelé a l'ordre, qu«
Plœisancc-du-Touch : la rue d'Alsace, à proxiet e,n aw
A PARIS
je sache. »
aPt<* les con
mité a e la place « Président-WUson ».
Paris, 5 juillet.
Or, acceptée ou subi© par la Hollande
Certes le bonheur n'était pas dans l'air..
Le gouvernement militaire de Paris élabore
violation da sa neutralité ne peut manquer Le bonheur s'en est allé d e France depuis elles à présent, le programme de la fête du
LA MAINMISE DE L'ALLEMAGNE
LE SECTARISME!
Lisbonne, 5 juillet.
de provoquer aussitôt, de la part d™s mari- ae]a quatre ans. Mais les visages reflétaient 14 juillet.
Amsterdam, 5 juillet.
je ne sais quelle calme assurance, quelle con
Mgr Ragonesi. nonce du Vatican à Madrid,
nés alliées, des mesures energiq ueSl de dé
D'ores et déjà, nous croyons savoir qu'une
La
Gazette
du
Weser
publie
une
informa
fiance obstinée ; des blessés, qui passaient
LA MUNICIPALITÉ DE LYON
(rui a négocié à Lisbonne la reprise des rela- tion de source bien informée, disant que, lors
l-ense qui transformeront les bonnches. de avec leurs béquilles, me paraissaient moins revue aura lieu initiée des invalides.
Les trouipes tciliéco-slovaques et polonaises tions entre la République innlugaise et le de la discussion au quartier général allemand
l'Escaut et les côtes néerlandaises, en un souffrir dans leurs glorieuses plaies ; et quand
Paris, 5 juillet.
Saint-Siège,
a
(eçu
du
cardinal
Gasparri
le
y prendront part, avec des aielachements améau sujet de la situai ion alimentaire « Vienne,
ahamip de bataille 'naval, s'éteodamt inutile se montrait un grand gàillarà, en kaki et au ricains, anglais cl, italiens.
On a signalé le don de 35.000 francs effectué
télégramme suivant qu'il a fait parvenir à on a envisagé l'idée d'introduire le môme rade le dire, sur tout le front de la. mer diu large chapeau de feutre, c'était un « Vivat !
M. Sidonio l'acs :
Ces trouipes défileront ensuite dans Paris.
tionnement de vivres en Allemagne et en Au- par la Croix-Rongc américaine en faveur des
enfants de s (Voles de Lyon auxquels un seNord, du Pas-de-Calais et de la Manche, de gênerai ,- et les visages s'illuminaient.
L'itinéraire qu'elles suivront n'est pas entriche-Hongrie
î.
«
Le
Saint-Siège
est
très
satisfait
de
la
re*ftn"fl*nVttnôsé aussi d'Introduire l'organisa- I jour d'un mois à la. campagne pouvait être
aéra le moment pour la flotte alleman.diCi
'-oui, le A juillet aura bien été la fête de core connu.
prise des relations traditionnelles avec la nolûh
ali
'
œ
idlé,
a
le
,-\
Vienne
et
à
nécessaire. On sait aussi que ce don fut af oc<cto ciheiroher à jouer un rôle offensif. On la Iratcrnuê des armes !
,u
ble nation portugaise et vous charge de pré- tion alimenta™
''|. 0 'acUonuaU-e s
aile- | té exclusivement aux enfants des écoles laiverra alors si elle sera plus heureuse qu'au
Budapest
avec
des
1
1
4fcnter
mc
remerciements
du
président
de
la
ce
0 ** * '?
s
dues municipales par la municipalité sectaire
cilâï* Â'iï&Zi
1our-Uï : au scepti
manda,
1
Juitland, où sans uinc retraite précipitée,
République et au gouvernement. »
et que les catholiques, légitimement, protes- la c
rlr iïï ? 16 amil >ail P (ac « la CCTtitudl
elle eût été infailliblement anéantie.
— or, \l ul ude mathématique, pourrait-on dire
tèrent.
CZERNIN REVIENS "UH L'EAU
-Le secrétaire
des affaires étrangères est
Il est enfin possible que les Allemands
La protestation n'aura pas été vaine. La
victoire dïnnï !, e Vr0 ^ine et absolue, une
Lon.lros 5 juiiletillé rendre visite au nonce, pour le remercier
Amsterdam, 5 juillet.
Croix-Rouge américaine vient de doter d'une
•ongent à utiliser contre nous l'escadre
A la Chambre de.s Communes, répondant à au nom du gouvernement et le prier de faire
1
sur
les
somme importante k>s enfant s des écoles licorsaue* Set belle
On télégraphie do Vienne :
imisse de la mer Noire dont il9 se sont em- iîuneY mâ? »l Ua
une question, M. Boiiar Law a dit que le ca- part au Pape Benoît XV do la satisfaction du
bres pour une dest.inatinn identique,
W*^ÏLuWf&. f ° M. minuscule, le drapeau binet
De la longue audience du comte Czernin
de guerre, en présence du torpillage .président de la République.
parés, et qu'ils sont en train do réarmer ou scintillent plusieurs douzaines d'étoiles.
Cette leçon de nos alliés profitera-t-elle du
avec
l'eimpeivtir,
on
déduit
que
l
'ancien
mides navires-hôpitaux, examine s'il n'y aurait
On ignore qui sera chargé de représenter le
>W#tH des étatsTinajors et des équipages en
moins aux sectaires lyonnais ï
Car Nênette et Bintintin n'avaient pas êtù »a9 lieu de leur donner unv escorte. '
nistre reviendrait au pouvoir, »
Portugal
da Vatican,
LA GUERRE MARITIME
Autour
du
4
Juillet
LOffoasivo Navals
alloxnands
^ç» <ç« »j»
**
*j» ***
t,
SÉRIE DE PETITS SUCCÈS
Le Sort de Von Kuhlmann
a
L'Intervention du Japon
'C^S,0'^
lie 14 Juillet
SSce^^^
l@ Psr'ugai et le Vatican
-r
Le Torpillage des Navires hôpitaux
#
auprès
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
\'
,
H—MM——a MBÉHI ÎMMÉUMMI i
H" !<S
de Tepousser les conclusions du rapport et de
LE DI8COUR8 DE M. WILSON
do trouijM. déployant un activité au-dessus de tout
Obligations foncières 1879
renvoyer la proposition à la commission.
tloye. •
pi la Victoire (M. G. Hervé) :
M. Bralbant. — Au début, à La eommisslon,
Lo numéro 1 .068 .145 gagne 100 .000 francs.
Cette citation est 6olal«Jée et complétée pair celle
J'étais orposé à la levée do rTmmunHe, et \
» Jamais nous ne croirons que l'héritier
1 e numéro l.743.021 gagne loo.ooo francs.
cul a été discernée -audit S9» et a un groupe ikr
PRISONNIERS DE GUERRE
c'est après un très mûr examen, après «ne de Washington, juste au moment où il se
LES
_
Paris, 5 juillet.
190"
A. X... soulignant les circonstances tragiques et
Le nuiiniro 179.191 gagne 25.000 francs.
Paris. 5 juillet.
longue consultation de ma conscience que nroclamo si noblement le soldat de l'humai.a séance est ouverte à 3 h. 15. sous la
Le s 2 numéros suivants gagnent 10.000 fr. : les dangers couru* :
nité
entière,
ait
voulu
exclure
moraleuont
lo
j'ai voté a lovée de l'immunité parlementaire.
„ coinimlsslon «les prisonniers de guerre tarés tdenice de M. Deschanel.
« ...Botlres d'un secteur lôgendiaJro, oû ils avalent
1267.596
1010.991
grand peuple japonais, l'égal par la civiliM. Hesse, à M. Hritaiidei. — Vous tendez à
.'ïi réunie mercredi, sous la présidence do
La Ohainhre adopte sans débat : 1» La prosubi dos ipertes sévères sous le lionTnardonient, et,
sation
des
grands
peuples
d'Occident,
da
la
§*"%.«ji„
Les
5
numéros
suivants
gagnent
chacun
faire
faire
l'instruction
par
la
c.hnmihre
;
rccoui4>létés
on cruralcjU'es tours avec de Jcwnes reM Emile /^„„h«a
Cornheg. sénateur
position, de loi tendant à modifier, pendant
crues auxquelles Us ont su imposer do suite leur
livl Edouard Ignace, sous-seeretairo d'Etat la durée de la guerre, le régime des reprises c'est une confusion de pouvoirs. Il n'y amrait future Société de* Nations et de la grande 5.000 fraucs :
communion
humaine
1
»
moral
et
leur*
traditions, par un allant exceptionde ia Justice, militaire, est venu donner à la i OA •.*" lA Proposition de loi, adoptée par plus de justice si le Parlement pouvait don465.096
230.415
1100.124 1317.470
258.282 nel qui a provoqué
l'admiration et leur a acquis
De l'Humanité (Pierre Renaudel) :
commission toutes les explications sur l'exéle hènat modifiant les articles 15 et 10 de la ner son opinion dans une affaire judiciaire.
. £*a 00 numéros suivants gagnent chacun 1 entière confiance (te l'Infanterie; lancés en pleine,
cution des accords de berne.
M. Longuet. — Il n'y a plus de justice. »
————
T-fr-'*
«m
loi du Ji août 18M3, sur la réforme de l'orga1.000 francs :
mêlée, ils ont contribué par des tirs Ininterrompus
11 l'a mise au courant des correspondances iiisation Judiciaire ; 3» Le projet de loi tenLe président coupe court à la discussion, eu
de Jour et. de nuit, malorre des pertes sévères et dos
473.485
625.019
596.171
1008.681 fatigues ôtrasaates, à rétablir une situation diffi1366.000
diplomatiques échangée» depuis le 15 mai.
aant à la création d'officiers dentistes dans mettant aux voix la demande de renvoi a la
281.318 1076 162
221.854
1777.904
737.450 cile, à oontonir <ies forées très siiipéTleures et a, re11 lui a, en outre, fait connaître les mesures le cadre complémentaire du service de santé commission.
C83.417 1401.61»
130.8S7
317.329
1594.931 prendre à l'ennemi une partie du terrain .perdu. »
crises i>ar le gouvernement français pour hâPar 3% voix contre C9, le renvoi à la commilitaire ; 4» Le projet de loi tendant à mo117.052
805.169
899.717
mission est repoussé
Le docteur Seintotn est notro compatriote toulou1217.193
152.603
ter les rapatriements de civils et les échanges
1 8 ar cle 10
.
„
Du 5 juillet.
n
affiîL *
î'
«
« 36 de la toi sur les re828.157
758.152
234.353
do prisonniers.
PerpétrueLo
3
%,
61;
amortissauie
A
&o
671.990
1102.443 sain et le fUs du Juge-doyen du tribunal do Is'arLa proposition de résolution est adoptée à
traites ouvrières et paysannes, et l'article 4
; 219.317
bonne.
364. m
808.007
mains
levées.
La oommisslcn a donné a ces explications
«23.021
3
4
%.
88
75;
5
%.
88
4
%.
08
95.
—
Ouest177.615
A, M
î évTier mi - modifiant la loi
1546.542
4G5.784
1500.124
6on entière approbation.
'166.224
m 18S
Par suite d'une indisposition do M Abra- Etat, 401. — Tunisie, 18*2. 350 50. — Indochine
1332.985
— Ije caipltalne Jac<iiics-Stâpnane-\farle-René BerA» w. 1
^' et creant une caisse autonome mi. sonis-secrétairo d'Etat, la discussion des l'A)». 340. — Maroc, «14, 4sJl; 1918, 470 — Al110.567
1506.132
666.803
1319.633
724.334 fferon de «îaron, du &> régiment de cuirassiers, a
ue letraites des ouvriers mineurs.
1722.562
été
1 objet des d«UK citations qui suivent •
562.574
LES SERVICES PUBLICS D'AMIENS
66.9S8
interpellations de MM. Jobert et Paul Poucet gerte
%, 377. — Tunis, tMK, 358. — Ville oo
333.770
110.450
La (première à l'ordre du corps de cavalerie :
523.763
47.316
est renvoyée à vendredi prochain.
Pans : 1871. 372; quart. 87 75; 1875, 504; i «<0, 1467.784
1649.121
1889.100
LES POURSUITES CONTRE TURMEL
Paris, 5 juillet.
18.248
Séance mardi, 3 heures.
329.606
525.0U4
37.2t>5
•gî
874 50; quart, M 25; MtM, 22S 50; m&, 1«77.187:
Les services
municipaux d'Amiens vont
L'ordre du jour appelle la discussion de»
k'4.'U2.'
033.909
1331 .986
1692.067
516.620
La séance est lavée à 4 h. 45.
3«7 50; im. 295 tJÔ; 1904, 317; enquième, 64 50;
Être transférés de N&utc'hAt«l a Tours.
de
la
* n ?yaa ^ résistance aux différents élémir la demande
, conumsaton chargée d'exa1459.827
803. m
380.O21
1509.626
1772.134
La Cour d'appel, actuellement Installée à miner
1905.
359;
quart,
89
50;
2
/4
1910,
2«5;
%
1910,
ments venant successivement sur la li^rne de fou
en autorisation de pour143.289
5591.664 1101.810
1595.739
832.775 et a
Reauvaifi, se transportera à Mers, et le tribu- suites contre Turmed, pour intelligence avec
quart, 71 50; 1912, 23ti -5; 1917, 497; cinautome,
ainsi de contenir l'ennemi -pendant
46.357
500.197
1542.472
653.493 1361.802 (Plusieurs Ineiires. »
nal civil a Neuïchatel-en-Uray.
98 75. — Banque Algérienne. .348. — Banque
1 ennemi.
421.747
76.972
1055.049
e^c<>nde a l'ordre de l'armée oui vise lo capi812.540
732.499
Parisienne, 9z0. •— Compagnie Algérienne,
M. Hesse, rapporteur. — Je ferai connaître
91.642
985.286 1723.265
190.171
1631.716 taine -Bar^eron de Charou. commandant le 2- es1.351. — dédit Foncier, 7&>. — Foncières ;
les raisons qui ont décidé la commission à
cadron du c oiilrasslers:
««"«ui. i» ^ us
450.516
283.179
1S0.507
973.163
339.929
1879, 496; 1883, 336: 1885, 351; cinquième, 72.50;
coucOuie a. la levée de l'immunité parlemenAU PALAIS BOUBBOW
« Capitaine ayant un moral à toute énreuve
1895. 377; 1903, 409; 1909 224; 1913, 439; 4 % «13
taire. Je le dois d'autant plus, que M Tunnel
exemple d'entrain et d'éneraSe OiaSgô aveï trois
Obligations Foncsèras 18oS
447; libérée 1917. 359; non libérée, 327. — Comm a adressé, de la prison de la Santé, une
MM. KERENSKY ET BRANTINQ AU CROUPE rjiunales : 18 :9, 452; cinquième, 96 50; 1680
pelotoa.s sans officiers d'unis mission difficile dxî
PROHIBITION D'EXPORTATION DES
barrag» entre deuot corps éloignés l'un de l'aulettre de défense dont il m'a prié de donner
Le numéro 331.050 giagne 100.0PO francs.
493;
1891,
339;
18».
358;
1899,
352;
1906,
396;
1912,
BILLETS DE BANQUE ET D'ACTIONS
tre, a manoeuvré et tenu -pendant 91 heures. Bleasè
Le numéro 676.644 gagne 25.000 francs.
lecture à la Chambre. La Chambre ne peut
Paris, 5 juillet.
210. — Crédit Lyonnais, 1.062. — Crédit MobiLes six numéros suivants gagnent chacun a continué de commander jusqu'à ce que le pl.ui
se faire juge des faits : votre commission a
DES SOCIÉTÉS INDUSTRIELLES DE
Le groupe socialiste unifié a tenu une loiv lier, 409. — Société Générale, 529. — Banque
ancien sous-officie-r le voyant s'aflaiWir l'ait fait
5.000
francs
:
conclu a lal evée de l'immunité »
transporter de force à l'arrière »
gue séance, à la Chambre, au cours de la- Nationale de Crédit, 700. — Union Parisienne,
RUSSIE ET DES PAYS BALKANIQUES
236.555
M. Lucien Dumont. — A quelle majorité ?
422.738
418.201
683.830
709.003
quelle
U
a
entendu
MM.
Kerensky
et
Brao612. — Rente foncière. * 310. — Est Algérien,
M. Hesse. — De cinq contre trois.
hÎ2L*!2!î*1 !2 do 0naron
devenu notre c-a.Tipa37.4M>
ting.
tnote par son mariage avec la fille de M. Fn,ilo
540. —, Est. 76o. obligations, 378; nouvelles,
.
Paris, 5 Juillet.
M. Lucien Dumont. — Cimi sur une com0
Les numéros
M. Kerensky a fait un exposé de la situa- 344 75; 2 J %, 323..— Lyon, 940. — MéditerraPar arrêté, en date de ce jour, rendu en apsuivants
gagnent chacun ?^ ^,^ 0 î on Y aa ™ a la lête d e toutes ]*; ceuyres roUa;ieœ.es et sociales de notre ville. Qu'avoo
1.000 francs
plication
des
dispositions du décret du 29 mission de onze membres, cela ne constitue tion actuelle en Russie, où le baron Mirhach née, 5 %, 588;
%, 360; fusion, &15 • nouvelles,
les siens 11 veuille agréer nos sincères félicitations.
est maître, à Moscou, et où les bolcheviks 337 75 ; 2 'J %. 306 75. — Midi, 933; obligations,
mrai 1917 et conformément à l'avis de la com- Pas une majorité. Il est scandaleux que dans
85.322
154.791
132.607
58.272
104.464
une commission de cette importance tous les
— Le capitaine de cavalerie, affecté au 93* réet la bourgeoisie sont aux mains des Alle- 351; nouvelles, 352. — Nord, 1 .440; obligations,
mission des changes, le ministre des finan595.774
775.030
519.212
24 .079 «îmemt
535.762
membres ne soient pas présents.
d lnifanterie. Caston de Lassus Saint-<Mmands. Puis il a donné lecture d'un docu18.372
ces vient de prohiber la sortie de France,
2 * %, 305. — Orléans 1 .109: Obligations,
461.644
.%î.557
045.086
879.055
nlès.
vient d être promu chevalier de la Légion
M. Hesse. — Vos reproches s'adressent aux ment émanant des principaux groupes de ta 374 50; nouvelles, 334 50; 2
% 302. — Ouest, 915.785
sauf dans la limite d une somme de 1.000 fr. absents.
824.089
416.165
C92.785
456.783 d honneur avec les motifs suivants :
Constituante, réunis secrètement, le 13 mal obligations, 362; nouvelles. 346. — Ohest Algé- 293.960
par personne, pour les voyageurs munis d'un
1O0 .2T12
47.037
414.337
304.997
« Officier d 'une très grande valeur morale CfharM. Turmel, dan s sa lettre, dit qu'il n'a ladernier, et auquel H ressort que ce;te Assem- rien obligations, 335. — Sud de la France,
539.^23
X4.4G3
passeport, des billets de la Banque de Fran- mais vu M. de Bulow. qu'il n'est jamais ailé
97 .,-ia
606.218
207.920 grô de la défense d 'un point d 'appui Important 4nrw
200.874
(565.781
ce, de la Banque de Russie et des Etats-Unis en Allemagne, oue ne pouvant prouver le blée se refuse catégoriquement à reconnaître 117 50. — Docks de Marseille, 4S5. - Compa
407.337
995.635
613.563 un secteur attaqué a résisté énewfwiemeot dans
la paix de Brest-Litovsk, et, en se uéciara'it gnie Transatlantique, 270 25;
.5
d'Amérique.
4 %
456.744
354.016
571 084
494.251 des circonstances difficiles, combattant personnel
moindre commerce avec l'ennemi ou l'incultoujours fidèle à l'alliance, exprime que l'état 435 50. — Messageries Maritimes 248;
leanent à la tète da son unité ; ne s 'est replié que
711.037
J %
4-40.261
Ces interdictions
seront
d'ailleurs, sans per d'intelligence avec l'ennemi, c'est, dit-il,
673,344
729. S89
Ce
de t0,Ufts >arts ar a
de
guerre
subsiste
entre
la
Russie
et
l'Allema373
50
—
Métropolitain,
386
—
Nord-Sud,
115:
doute, étendues ultérieurement aux
billets
SSSKSi ™f
I
I>
«s effectifs conle républicain que l'on vise, et il proteste con6nsuile 16 •ommaiMtemei.t do
gne.
Foncières 1309
d'autres pays alliés.
4 %. 347. — Omnibus 4 %, 352. — Tramways
CT™ ,ï e JLSS
tre l'accusation.
résistance
commués d 'éléments divers
Kerensky a ensuite insisté sur la nécessité Français. 355; 4 %
t
25.
—
Var,
111.
—
BnDepuis plusieurs mois, en effet, 11 a été
Dois-je aiouter -nuelque chose ?
contwS^, Sf**S 3<iurs consécutifs, s'est battu
pour les Alliés de venir au secours de la Rus- léo, 830. — Jeumont, 182. — Cuivre Pyrite.
Le numéro 516.542 gagne 50.600 francs
constaté que les agents de l'ennemi rechercontinuellement, disput.'imt le terrain ipled à n 'ed
Voix nombreuses. — Cela suffit ! »
sie, impuissante à agir seule dans les circons- 235. — Elèctro-MétaJ, 970. — Penaroya, 1 .215
Le numéro 692.08' ge -gne 10.600 francs.
&c T n et forçant
chent, dans les pays limitrophes des empires
Le président donne lecture de l'article unido
tances présentes.
. hS. s uix numéros suivants gagnent chacun L ^T^V'*™ ^ , \ dang6r et l'admiration
— Suez. .080. — Pathé, 140. — OMahoma
centraux, nos billets de banque, au point que que de la proposition concluant aux poursui
8011 e6»'rit
lacriûce .
*"
1-000 francs :
M.
Branting
a
pris
ensuite
la
parole.
Il
a
120
75.
—
Gafsa,
1.090.
—
Thomson,
669.
ces billets sont payés avec une prime oonsidé- tes.
traduit son sentiment sur l'état d'esprit de di- Popp. 475; distribution, 315 ;
1263.865
457.SQ1
/4 %, 310. raible sur le cours du chèque ou du transfert
363.110
878.614
433.121 av^™^ 1 " 3;" 0 " '""""rte la .Croix de guerre
M. Lucien Dumont. — Je demande le renvoi
vers groupements socialistes en Allemagne
190.179
,>i a,n<î Gasto" de Lassus. qui
Electricité de Paris, obligations. 419. — Télé- 1012.9:-:9
télégraphique des devises correspondantes.
1197.875
309.860
709.984 ^tit éîiTéi-i
à la commission.
ô te "éJ4 I,^^
et, tout en reconnaissant la légitimité ' des phones 575. — Argentin : 1886, 539; 1900, 87
otojet d 'une citation,
à ses trois frô.
Le but précis de ces achats n'est pas netteLes soixante numéros suivants gagnent cha- ï j. „ P
n
M. Hesse. — La commission s'oppose au
M8
doutes
que
l'attitude
de
certains
de
ce
grou1907, 510; 1909. 519. — Belgique, 59 50. — Chine
"uerre l^
„Sr Hdo Lassus
décorès
Croixfront
de
cun 500 francs
ment défini. Mais outre qu'il y a lieu de pri- renvoi.
„uerre.
1*3 oquatre
sont'deTa
en nieln
pement
a
pu
entretenir
parmi
les
socialistes
1908,
425;
1913,
447.
—
Egvi:-te
unifiée,
100;
i
%
ver nos ennemis d'un instrument de paie318.737
M. Renaudel. — Je demande -au rapporteur français, il a envisagé la possibilité de la
831.739
312.674
104.553 112.626 depuas la mobilisation. Honneur à euTl
50.
—
Japon.
1905,
90
25;
1907,
103;
1910,
ment qui leur est précieux, puisqu'ils le re- d'expliquer les motifs pour lesquels il con416.103
24-6.254 1C3K.105
4*3.792
convocation d'une conférence socladiste inter- j 99 75; 1913, 531. — Maroc. 1904 , 475; 1910, 460. 437.209
cherchent activement en le payant très cher, clue à la levée de L'immunité parlementaire
12 :0.. S5
nationale, mais en la subordonnant aux cir- : Norvège, 87 50. — Portugal, o'blisrat'ons Ta- 1H3.0:5
179.881 1197.556
618.577
il n'est pas douteux que l'accumulation en- Je n'admets pas due l'on cherche
158.000
incrimi
334.738
constances et aux . événements.
824.906
630.789
593,276
rbacs 510. — Russes : 1889, 37; consolidé, 42 ;
tre leurs mains de stocks importants de nos ner M. Turmel d'intelligence avec l'ennemi
032.803
2-11.476
2.609
640.123
202.238
1991 35 50; 1896 32 50; 1906. 50 75; 1909, 45;
billets de banque peut présenter un danger lorsqu'on n'a m' prouver le commerce avec
7S2.243 1395.013
961.9T-3
331 -"32
331. 806
1914' 47 50. — Serbes : 1902, 389: 1909 311. — 1196.404
grave pour notre change.
321.502
l'ennemi. C'est une manœuvre du gouveme114.391
026.212
57.875
Turc unifié, 62 50; 1914, 38. — Banque EspaDes mesures avaient déjà été prises pour li- Lment uourprolonger les procès. (Tumulte sur
LES
«DOCJISS^I®
247.747 1245 273
685.821
620.504 1011 .608
Bsrn&
gnole Rip-Plata. 400. — Land -Banl<, 191. —
miter le plus possible le trafic dont il s'agit ; tous les banesl
886.350
966.304
128.092
34.578
193.490 séminariste 2*^??, K , ^ du diocèse d'Agen,
A SANTANDER
Espagne, 415.
l'arrêté ministériel qui vient d'être pris y
159.009
761.541
Si je ne m'étais pas levé, on aurait esicsmoté
378.025
250.674
331
3ii3
Générale Italienne, 655. — Mexique, 335. —
mettra définitivement fin.
199.907 1378.084 1033.424
Santander, 4 millet.
le vote de la Chambre dans 8e silence. (Pro
88.581
767.8>0 juin.
Il est a remarquer que les Etats-Unis et la testatioTis violentas à droite et »u rpitrp 1
Prix Cantabriico. — 1. Roi-de-Lalande (A. Lbndre'S-îVTexi'OO, 15(1. — Foncier Egypt'en, 770.
— L'aibbé Boulo, du diocèse de Vannes iïii«ir,n
748.930 1S90.399
600.427
1070.247
1111351011
511 .185
—
Atrii
'son,
555.
—
Central
Pacafic,
459
50.
—
Suisse
elle-même, pour des raisons analoM. Hesse. — C'est à cause de l'accusation Lane) ; 2. L'Incomparable (Soutlicomibe) ;
^T^ I,^' tamM le » awfi m? •
Chicago
Milwauikee,
491.
—
Lomlbard,
54.
—
gues, ont déjà pris des dispositions sembla- très grave, qui peut entraîner la peine de 3. Epsilon (le propriétaire).
— L abbé Jean-Marie Jjabreton vicaire À SaintFoncières 1913
No -vv-\ork Nevhiaven, 475. — Nitrate Railway,
bles.
Sulipice-des-Landes. diocèse de Reànès ififirmter.
Une encolure. Une tête.
mort, qtue je suis monté à la tribune pour
tué dans la nuit du 16 au H Juiu
_ Nord-E^Dagii". W- V* série, 495.
—
Le même arrêté prohibe également la sortie vous expliquer les conclusions de la eo-m
Prix Astillero. — 1. Hallmark (O'Neill) ;
Le numéro 403.976 gagne 250.000 francs
Latibé Luc.len-Célestin Mtctel curé de Mn
Pampelune, 486. — Ssragosse ex, 555; 1'" séd'un certain nombre de valeur, notamment mission. Je vais m'expliqner plus olairament
2. Brown-Egle (Garcia) ; 3. Ara CSumter).
Le numéro 37 .726 gagne 25.000 francs.
rie, 4212. — Wagons-Lits, |13. — Briamsk ordiS
numéros
Une longueur. Une encolure.
de sociétés industrielles de Russie et des pays Le 19 juillet 1017, une première demande a
5 000 f
suivants gagnent chacun
balkaniques. Il a paru en effet nécessaire, été lancée contre M, Turmel pour commerce
Prix -Sépares. — 1. M-eigs (O'Neill) ; 2. Gooh- "naire, 1S4. — Lag-unas, 42 50. — Lauta.ro ex,
3T0. — Azote, 798. — Naphte, 178. — Provodluk (Stern) ; 3. Galllon (Hirions).
pour sauvegarder l'influence française dans avec l'ennemi ; les poursuites ont été déci
503
.023
l
'7«'.189
nik 163 — Egytnte, 500 ; part. 981 '; Portugal,
ces sociétés, d'empêcher que leurs actions fus- dées par la Chambre : l'accusation était basée
Trois quarts de longueur. Une encolure.
suivants gagnent Chacun
Prix Martoralle. — 1. Kopeck (Garner) ; Tabacs, SCO. — 800. — Crédit Commercial, 660.
sent achetées dans les pays neutres par des sur le fait d'argent suisse trouvé dans sorti
F,ëu?,'tontblTe^Ju
— Câbles Télégrapttques. 388. — Energie Mé2. Ichad (O'Neill) ; 3. Souvenir-Royal tDebot).
intermédiaires de l'ennemi, qui
en recher- vestiaire ; M. Turmes! a varié dans ses ex.pîï
— Marcel Dixneuf. de Bouesay PLoire-Tnférte.urM
diterranée, 606. —
%, £02. — Eclairage Elec- 395.326
63-4.116
Une encolure. Trois ' longueurs.
315.166
chaient
manifestement un grand
nombre, entions ; il a lui-même avoué avoir touché
82-3.778
798.528
soœ-Ueutenant au es- de ligne, tué^HTi juin
4S9.007
Prix du Casino. — 1. Hel io-Gabalus (Stoc- trique, 1S5. — Energie du Sud-Ouest, 526 — 628.761
avec activité, depuis quelque temps.
271.155
281.833
88.760
350.000 francs comme commission sur une
— Emue Picaud. du 3T de 1 gne mort le 28 mii
770.685
kes) ; 2. Radames (Archibald) ; 3. Gaigeries Générale Electricité. 94 -S. — Havraise Energie, 600.084
Des dérogations aux interdictions d'expor- vente de mulets.
59.827
32.286
756.521
— Garard du Brœuille. du ?ay àlnfSiteri?
309.021
575.
—
Lens,
880.
—
Carmaux,
4
.000.
—
Grsuid(Garner.
R
845.596
tation de l'arrêté ministériel pourront être ac622,203
Or, l'enquête a dévoilé que toutes les allé411.797
614.027 ^oT
sous-lieutenaiit d'artiUerie comte Alfred
Camtoe, 3.0%. — Mines Loire, 640. — Mines 544.334
Une longueur et demie. Une longueur.
381.615
cordées par le comité exécutif de la commis- gations de Turmel étaient fausses • on n'a
544.133 •702.028
554.739 yan, den Brute, officier observateur, décoré de la
55. — Nickel, 1 .475 — Aciéries de Fiance, 79.373
904.808
sion des changes:
,
x
294.295
même pas trouivé les mulets. Turmel a reçu
175.148
804.884
Croix
de
guerre, tué le 4 Juin tes • il était le ne
830 — Chantiers Loire, 2.075. — Saint-Nazaire, 949.666
623.705
R P van aen Bru3e Cr
769.942
des démentis des hanques, des personnes avec
989.601
346.8?'.
^ ^ ' ,
"ce eit erne tel lo
408.793
1.910.
—
Fives-Lylle,
l.O'O
—
*
Vis,
487
50.
—
mot
d'ordre
dans la famille.
24
398
747.520
212.146
qui il a prétendu avoir traité. L'enquête judi178.50?
Languev'i
.'lP.
fi.
—
Creusot,
2.499.
—
Allège,
375.237
.
6.287
690.709
ciaire la plus détaillée a prouvé que Turmel
990.079
529.036
L'EXPRESS s'incline respeclueu^e-n^nt k>.
715 — TréfVeries du Havre, 237. — Mor.Uwf, 852.283
247.635
481.903
est démei^ti par les personnes et par les faits.
174.289
270.5S2
lu. glorieuse dëpouV.'-. de et* weroi es
478.
— Basse-Loire, 379. — Usines du Rhône,
Du
5
juillet.
M.
Darru
a
interrogé
les
personnes
en
cause,
LE RAVITAILLEMENT EN LAIT
a&esst aux familles gui les vlewent Ve™ -s— Le cardinal Martinelll est mort, hier, à 4.395- privilégiée. 1 .000. — Chargeurs, 1 .480.
aC SU vrolonde et
—*«(S> — -•
a vérifié les livres de la Banque Fédérale ; or,
thie'.
douloweuse syn^-a.
Paris, 5 juillet.
— Air -quide, 445. — Compteurs, 7«0. — Beraucune mention ne peut se rapporter aux soi- Rome.
Afin d'assurer, dès maintenant, le ravitailgouignan, 1 .500. — Galeries Lalavette, 11 ,6. —
disant -paiements effectués à M. Turmel.
— On mande, d'une part, de Berlin à Bâle
Nouvelles
Galeries, L25Ï. — Paris-France,
lement en lait frais de la population civile,
Au cours de l'instruction, certaines charges que le projet d'un nouveau crédit de guerre
1 .172. — Auer. 835. — Pétroles, 838; part, 910.
et surtout des enfants, des vieillards et des
ont été relevées qui ont incité la justice à
de 15 milliards de marks, qui doit êtie couSucreries
du
Brésil. 439.
malades pendant l'hiver prochain, le ministransformer l'accusation de commerce avec
vert paj un emprunt, a été soumis, hier, au
En banque : Argentin 6 %, 119. — Mexicain
tre de l'agriculture et du ravitaillement vient
l'ennemi en accusation d'intelligence avec Reichstag : d'autre part, que la Chambre des
— Le 23° régiment de dragons a été porté à l'or5
. — Baoku, 1 .130. — Balia, 324. —
de prendre deux importantes mesures.
itet-u e d» Ptuss^a confirmé, hier, en cinl'ennemi.
Cape-Copper, 87. — Chartered, dre de l'armée aTec les motifs suivants :
M. Victor Boret a demande aux préfets
quième lecture, toutes les décisions déià pri- Caoutchouc
Un procès-verbal de police du 11 mars 1916
«
Sous les ordres du lieutenant-solonol de Baze2.305.
—
Da
Beers
ordinaire,
'393préférence,
de lui Iciire connatre les quaxitités de lait
ses en quatrième lecture, concernant le promentionne la tentative de M. Tunnel pour
a fait preuve, pendant les journées du 23 au
410. — Diôtriich 249. — Eastern, 2.975. — Aast- laire.
nécessaires à chaque centre de consommajet de réforme électorale, et enfin, que le
3!
mare,
d'une ténacité et d'une énergie somibaentrer en relations avec M. von Bulow.
Rand, 725. — Estrelas, 104 50. — Gold Borse
tion, qui paraissent assurées pour l'hiver
toves admirables, disputant le terrain ,pied à pieu
Reichstaig a adopté définitivement le tai'é
Voilà un premier fait.
Shoe, 59. — GSfldfiefls, 46 50. — Hartmann. et ne reculant -grue par ordre A apporté à l'infanprochain et celles qu'il y aurait lieu de réde paix avec la Roumanie, ainsi que les trai- 330. — Huanchaca, 56. — Laurium, 42. — Lena.
Il y en a un second, sur lequel la justice
terie, dans an moment difficile, le "concours le n^us
cupérer par le contingentement des
fabrités additionnels ; les socialistes indépendaats
vous demande de vouloir faire la lumière.
;.925. — Lianosoff. 234. — Malnoea ordinaire, complet de ses unités combattant à pied et do sua
ques locales.
SERVICE QUOTIDIEN CRATU.T
ont voté contre.
Fin août 1916, M. Turmel aurait été en remitrailleuses. »
1.12:
préférence,
107.
—
Mex'c«n
Eag'-e
o
ifiEn même temps, 11 a fait signer un décret
lations, à Rome, avec Cavallini, condamné à
e
a
naire, 86 25; préférence, ex, 80 25. — Mexico
—
Lo
maréchal
des
logis
Guy
de
Eazelaire,
mu.qui impose diverses décir-rati »ns aux indusi£t £t£ ? ÎST"* aux de n>a»Êes ne uuri.
mort par contumace par un conseil de guerreex, 145 50. — Moderfontein , 228. — Mn-nti-Ca- tricule 4&ld, da 6' dragons, a été cité dans les ter- ijiian
tries de transformation du lait, et qui perLi
La justice vous demande l'autorisation de
tini, 117 — North-Gaueasian, 04. — Padanig, mes suivants :
mettra de procéder à un inventaire général
continuer et d'étendre son instruction et de
« Le 30 mai, a assuré avec une -belle c-rânerie ia
«10. — Phosribat-ps Tunisiens 289. — Platine,
de ces industries, des quantités de lait et de
rechercher s'il v a connexlté entre les faits
6M
i02. — Raisins, 3fl0. — Rsnd-Mines, 83. — Ro- liaison avec le capitaine dans une situation des
La réforme
crème qu'elles ramassent, des quantités de
plus
délicates. »
A /EZ ETE IUU *' T
vo* avez
dont
incriminés et le fait d'avoir touché 360.000 fr.
binson Gold, 2.750. — Shansy, 2.425. — Sim°*.
.
J^ e»t d-rfiaruve. v UuS Pousous-produits qu'elles fabriquent et de l'oud'argent étranger sur lesquels il n'a pu fourLe
maréchal
des
logis
Guy
de
Baaelaire
est
le
vez
GUXLU&VÇ
ue
resiutnic
uler,
735.
—
Spasfey,
3
.S95.
—
Tasnanrop.
1*0
e
oai^s
lane
ae
actillage dont elles disposent.
nir la moindre explication.
- Tanganiea. 111. — Tharzis, 147 50. — Toula< nis du l.eu-teiiant-colonel de Bazelaire, dont lo re- ciai d'ion. Hemis un nanc au journal
Les résultas de cette double enquête donSi ces 350 0 0 francs ont pour origine une
V*S — Transvaal. 2.12^. — Tribs-R Sosnowice, gimient a mérité la citation qui précède.
Après notre hommage au
régiment do draneront au gouvernement les moyens de régleopération commerciale, il est inadmissible
_ Uah-Copper, 624. — Wagons, 112. — gons, toutes nos félicitations à son chef, le coloneu
menter la fabrication et d'assurer nos apREPRÉSAILLES AÉRIENNES
que M Turmel ne le prouve pas.
HbtdtïMs, 794. — Moto -Bloc. 228. — Gnome, <to -Bazelaire, et au jeune maréchal des logis trui
provisionnements en lait et leur équitable réM. P. Meunier. — Mais c'est un réquisi39,10. — Peugeot, 784. — Albi, 785. — Kin- suit si brillamment l'exemple de bravoure de sou
partition.
« Trêve de sensiblerie, écrit M. Léon Daudet
ta jouissance, 590. — Suberbie. 143. — -Poln- ipère.
toire !
.
_
dans l'.-iciion française :
M. Hesse. — J'ajoute que s'il s'agissait d un
30 DALLS CE CAS
te^à-Pître, 612. — Sumatra. 7ttl. — Hutchin— Le docteur Voivenel, médecin chef d'une amcunvomîf* par
BW
^
^
citoyen, l'inculpation de commerce avec l'en« Ce qui est déprimant, pour les militaires
son, 1.0-0. — Omnium Pétroles, 237. — Mo- bulance aux armées, a été l'objet do la citation convoque
le comiiianaant de
racruteQui suit :
nemi se transformerait automatiquement en
comme pour les civils, ce n'est pas de recewem uevant la eommissioa ue reilriiic uo.it
naco. ? *W- cinquième, 485.
aoousation d'intelligence avec l'ennemi. La
Chailgas : Londres. 27 13 à 27 18. — Danevoir des coups : c'est de recevoir <tes Goajîs
« A. été continuellement un modè!-:- de bravoure
qualité de député ne doit pas le sauvegarder sans les rendre. Encaisser est parfois néces- mark, f« à
— Esroagne, 786 à 792. — Hol- d'énergie, aussi bien comme médecin de bataillon
Londres, 5 juillet.
crue
comme médecin-chef d'ambulance. Douo des
Sir Arthur Fell a présenté une motion desaire, quand l'adversaire ne se piésente pas lande. 292 à 296. — Italie. 62 à 64. — New-York
plus que cela.
'j-,
.
86
M. Renaudel. — J'estime qu'un député qui
dans une position telle que son châtiment
567 1 /2 à 172 1/2. — Norvège, 177 à 181. — Suè- I>lus hautes qualités professionnelies, intellectuelmandant la construction, aussitôt que possiles
et
morales, a, par son exemple personnel dans
esf -iTsuïnsaine"
U^
a touché 350.000 francs d'argent étranger doit
ble, du tunnel sous la Manche.
immédiat soit certain ; mais la certitude de
t ^.^^ 0 1
de, 198 1/2 à 202 1/2. — Suisse, 142 3/4 à 144 3/4.
les circonstances les plus diflicies et les plus pé- militaire d'apprécier. t££
^
^f - ^
être à môme de fournir à tout instant des
décaisser et décaisser avec usure est un bauCette motion, appuyée par MM. Lulghi, dérilleuses, obtenu de ses subordonnes un rendement
y
explications et des justifications. (Applaudisme pour l'âme du beiliigérant.
puté italien, et Honnorat, député français, a
exceptionnel, et fait de sa formation une forma- tS^S^ÊL^L u.ne :.proposition doit être étasements à droite et au centre).
tion citée comme modèle, s'acquittant brillamment blie en faveur de ImS ^^V
^r te
été votée à l'unanimité.
« Quand les Gothas commencèrent leurs
sans aranom
aleliWi
en toutes circonstances des tâches souvent lourdes acquis pendant la durée des services
>
M. Laval. — A la première réunion de la
Sur cette même question, le Daily Chronicle
grands raids d'intimidation sur Paris, le ci.'UIAUCtf BUBftfc Sa mèfer des imiiatlof.
et supplémentaires qui lui sont tmiposées. »
B
commission,
nous
'étions
six
;
j'ai
demandé
toyen
Mayéras,
l'élu
cher
a
la
Sozial
DémoMontréjeau.
—
En
raison
des
charécrit :
direction : 255» bouilevard Saint-Denis, Courcovok
Ces lignes éiogieuses sont la sixième citation mé- ges nouvelles survenues dans la fanniie il
au président de la réunir une seconde fois,
kratie boche, Gustave Téiy et quelques au« L'opposition britannique à la construction
ritée par le docteur Voivenel. Qu'il en soit félicité.
et alors, les memores étant plus nombreux,
tres déclarèrent qu'il ne fallait à aucun prix
est permis de réitérer la demande d 'affic"
du tunnel sous lia Manche disparaît rapidenous avons voté.
user de représailles, que cela serait contraire
— Le lieutenant Henry Jaudon, du 23? d'artille- tion, en 1 adressant à la commission cantoment. Cependant, nous ne sommes pas cerlnterœe
rie
de
camipagne,
Ingénieur
dss
arts
et
maLorsque, il v a un an, nous avons voté les
à la guerre du droit, et libre aux Allemands
micilè
diaire de la mairie du dotains si l'on reconnaît bien, même aiun'our- poursuites pour commerce avec l'ennemi,
nufactures, Vient d'-Mare cité à l'oi-dro de la divide massacrer chez nous vieillards, femmes
sion dans les termes' qui suivent :
d'-hui, combien le point de vue britannique a nous ne nous étions pas occupés du fond ; il
î 628
et enfants, nous devions nous garder de leur
Ville de Paris 1334-SS
riPmn^ri» H"^"' ; - 11 -fa -ut adresser cette
été jusqu'ici désuet et de oourte vue. »
« Excellent officier, a fait preuve d'iniliativo ne
n'en était puis de même aujourd'hui, et nous
demande à inspecteur régional des sursis
rendre la pareille.
sang-froid
et
de
courage',
pen'lant
les
journées'
du
Paris,
5
juillet.
avons demandé à M. Ignace des explications
« Quiconque se permettrait de n'être pas de
... au
et du ... au ... 1918, et a été pour son ca- de la région dans laquelle doit s'exercer la
Le numéro 251.184 est remboursé par cent pitaine,
qu'il nous a données avec pièces a l'appui.
cet avis était aussitôt traité de bourreur de
profession invoquée pour la mise en <<ursis
dans des circonstances difficiles un auxi
J'ai demandé au gouvern nrmt si rinci*
crânes par les pustuleux Ernest-Charles et mille francs.
liaire précieux. »
. inspecteur des sursis a son siètre au chèfLe numéro 6.658 est -remboursé par 20.000 fr.
pation de commerce avec l'ennemi se conses comères de la Vérité, du Journal du PeuHaa de la région territoriale. Remis 0 fr 50
Cette citation, la troisième méritée par le lieuLes deux numéros suivants sont remboursés tenant Jaudon, lui a valu une troisième etotio à la Maison du soldat. Remerciements
ioniait avec la nouvelle aeuuoaaon. 11 ma ple du Pays et de l'Humanité.
Zurich, 5 juillet.
« Vers le même temps, un parlementaire — par 10.000 francs : 3OT.388, 46.270.
été répondu- affirmativement.
^
d'argent; elle lui fut remise sur le ciliamn de b->
, Mi r e ™îi x- - Je ne connais pas de
1.^£^,?^,!? relatjve
Le prince Eddine, qui devient sultan de
turellement
!
—
demanda
ou'il
fût
conclu
D'autres faits m'ont poussé à demander
L&s trois numéros suivants sont remboursés taille; nous ajoutons que cette étoile a d'autan 1
mdTqtfez
à la question que vous
plus de prix que le 2ai« réstiment a obtenu la four
Turquie, est âgé de 57 ans. Il passait au
aivec les Boches une convention limitant de par 2.500 francs : 425.797, 137.207 , 307.336.
communication du dossier, puisque la comM- , 00,C<3tt
moins avant la guerre pour peu favorable
part et d'autre la zone des bombardements
Les quatorze numéros suivants sont rem- ragére. Nous adressons nos vives félicitations à Œt
mission m'y autorisait maintenant. M. André
exceUent officier, fils ainé de l'ancien procureur de
r,rnrt,.Hp T' o 1^
S «teroa^de ne peut être
aux Jeunes-Turcs. Toutefois, depuis la gueraériens à la plus longue distance des canons boursés par 1.000 francs :
liesse, en lisant des pièces de police, prononproduite. Le décès
du père, &ou s les drala République de Toulouse, que nous savons heudonne T,f,s
•re il a du donner des gages et envoyer par
çait un véritable réquisitoire, qu'il n'aurait à longue portée. Mais, peu de jours après, 183.183
433.958
303.654
63.404
48.410 reux et fier de voir la Jïan-ce vaillanuaent défenSSSÏwA
1?,
J ieu A un changement
cette plus longue distance, par l'emploi inatexemple ses fils dans les écoles militaires
d'affectation pour le Mk rrwiv>nisé
pas dû prononcer. Je n'ai, ni à incrimnier. ni
281.41-9
336.477
400.075
188.233
207.080 due par les siens.
allemandes.
tendu
des
Berthas,
passait
de
quarante
à
O. P. Toulouse. - L'allooaTinn a pour ont
à défendre M. Turmel ; mais je demanderai
93.830
9.060
348.927
166.624
— Le maréchal des logis Manaud de r.atz, du
cent vingt-cina kilomètres, de sorte que le
à la Ohamibre d'attendre un rapport plus
..' régiment d'artiillene lourde, fils de notre excel- selon la lm du 5 août 1914. de venir en ai 'là
814 numéros sont remboursables au pair.
candide parlementaire, domicilié à Paris, se
aux
familles nécessiteuses dont le soutien
lent ami le baron J. do Batz, vient d'être l'objet de
ét ld
cette jolie citation :
est appelé sous les drapeaux. Dès lors cette
M Renaudei. — Je demande à Ja Chambre condamnait ainsi lui-même aux bombardeVille
de
Paris
1312
de ne pas accepter les conclusions du rappor- ments sans réciprocité.
'« Excellent sous-officier, plein d'entrain. Le 12 allocation cesse d'être due aussitôt qu<> le
« En matière d'artillerie, comme en toute
Le numéro 406.749 gasme 200.000 francs.
mobilisé est rwictq à ses fovers C 'est ainsi
juin, est aUé reconnaître un observatoire a*ancô
teur. De l'accusation contre M. Turmel je ne
Besançon, 5 juillet.
autre
matière,
la
véritable
défensive,
la
plus
dune
région violemment Ibomibardée et s'est acLe
numéro
362.090
gafrhe
10.000
francs.
mie les agriculteurs R. A. T.. détachés •> la
m'en occupe pas ; mais, ce qui me paraît forLa cour d'assises du Doubs vient de conestutté de façon remarquable de cette périlleu-o terre sont privés de la jouissance de l'alloefficace,
celle
qui
requinque
le
mieux
te
modamner chacun à vingt ans de travaux forcés
mid'r.ible. c'est qu'on demande à la Chambre
Le.s clnn numéros suivants gagnent chacun mission rapportant, sur la situation des renseiral, consiste à attaquer: or, nous avons les l.OOO' francs :
cation. Cependant, elle neuf Cire maintenue
la femme Letondal, 40 ans. mère de huit ende .prendre une décision grave sur les docugnements nombreux et précis »
moyens d'attaquer ; et, d'après les renseignea la demande de l'intéressé si la commisfants, cultivatrice à
Arc-sous-Montenot et
ments dont on a parlé.
Au
bravo
sous-officier,
dont
l'héroïsme
jette
un
569.383
83.282
607.202
658.955
191.592
son fils Louis-Marcel, âgé de 17 ans.
Comment, c'est sur une carte de visite remi- ments que je possède; magistralement, les
nouvel éclat sur un nom couvert de gloire nos sion cantonale le iu -sre nécessaire • elle a
tout
nouvolr en in matière.
villes
du
Rhin,
en
attendant
les
autres,
sont
Les trente-cinq numéros suivants gagnent Plus sympathiques compliments.
Celui-ci — nous avons relaté le crime en
se à um concierge que nous allons ouvrir un
J. M. M. 32. Toulouse. — Information connouveau procès contre lui ? (Protestations à à notre portée.
...
.
chacun 500 francs :
son temps — sur les injonctions de sa mère,
— Le docteur Georges Seiuteln-Si-plère, aide-major trouvée • la presse l'a dit. récemment • a Tl
« Nous serions à la fois godiches et couavait tué son père à coups de revolver, puis
droite et au centre).
689.078
444.589 de première classe, chef de service du 2" groupe du n'est pas Question de visite nouvelle a ' fatr»
232.209
316.458
124.982
enfoui le cadavre dans une fosse ersusée en
Oui. et le sous-secrétaire d"Et.at nous récla- pables d'hésiter ou d'imaginer, conformément 546.103
119.435
120.485 S9* d'artillerie, déjà titulaire de la Croix de guerre subir aux auxiliaire^ mobilisée nul ont sa136.992
19.148
plein champ .
avec . palme, vient d'être l'objet d'une nouvelle
me maintenant les moyens de faire parler au désir boche, un eomparti nrjeotaffe du bom81.009
346.725 citsUon
224.243
10.348
tisfait aux prescriptions de la loi nnniez »
294.121
drès élogieuse (ordre du M juin) :
Craignant que les restes ne fussent découM. Turmel... pour lui appliquer la question bardement, qui ne permettrait d'opposer aux
282.256
583.274
364.743
562,270
471.138
« N'a pas hésite à in-staller, malgré la violence Remis 1 franc à la Maison du Soldat' Ra^
Gothas
que
des
avions,
et
aux
B-irtbas
que
verts, il alla le déterrer et les emporta, par
de l'eaiu, sans doute I (Rires).
480.0f>4
284.4S3
28-3.758
78.053
354.239
du bombardement, son poste de secours à proxi- merciements.
morceaux, sur une brouette, jusqu'à une maOn nous demande de prendre une responsa- 'd»e «-r»™- L'A"1 •mipd use de tout à la fois
, 701.386 mité des -batteries ; a pu ainsi prodiguer des soins
537.122
578.007
2V7.50S
suivre)
re où il les Jeta. Il avait reçu de sa mère
contre nous : usons do tout à la fois contre 586.477
bilité, à laquelle pour ma part je me refuse
277.122 immédiats à de nombreux blessés de divers corps
12.795
532.400
536.191
681.430
pour ce travail 20 francs.
de m'associer, et je demande à la Chambre - 1 Ai. émana. »
Commnnrinn* j Kf^lfVILt.9.
â^a^ar *» i« guerre]
BOURSE DE PARIS
3o;
3
^r,à n?
7
Iz
3
3
penttfl
3
journée jfarkïïiestaire
L'Exportation des valeurs
3
333:
4
e;;o ?o
3 %, 333;
3
375
5
francs
3 3
3
88
Lai Morts au Champ cThoaasu?
371
T|r nlaC' dU di0£èS6 de S^
5
feT,
;Ë
L'Alimentation civile
l^l
i
m
LES MERIDIONAUX AU FEU
'^r-
LES JOURNAUX
J75.
Le Tunnel sous la
178.
Tirages
F?i) ancîel*5
Le nouveau Sultan de Turquie
*
Épilogue d'un Crime odieux
M
59
Feuilleiton de l'Express du Midi.
Les Pas lis Mi
Par Christiane A1MERY
«
Quatrième I^eii'tiQ
CHAPITRE XXIII
MON
PREMIER
BILAN
(journal d'Alix)
Dans une des aillées bordées do buis qui reardent lie bols sombre où queliTues feuilles
lon<les parlent du déclin proche. Je m'étendis
awresseusement siur un pliant -de toile, un
Biinco ouvraig'e do rllot aux doigts. Sur lu »rflure crue des gazons fraîdlit'iiirait tondus, un
jardinier plus export que Jeansou a fait éoloM de multicolores corbeille». Une brise qui
ïonbie dwréo caresao
tttnoureuaemont mes
f
choveux -et frissonne dans la feudfflée ; une sérénité douce enveloppe la terre, à rapproche
d'un beau soir. C'est septembre, le mois que
j'.aime entre tous .car il me rappelle mes fiançantes.
Je suis seule il la Blancardière. Il n'y a pas
longtemps. Ce n''ast pas pour longtemps. Maman est partie, ce matin. Mon mari arrivera
ce soir.
Mais c'est la première fois, depuis
que
j'existe, que ]e me sens seule dans cette vieille
maison où nous étions toujours trois ensexnIble... Cette solitude me pèserait un peu, si je
ne la peuplais des pensées qni bourdonnent
en moi comme des abeilles sur les fruits. Et
je butine parmi les souvenirs de ces derniers
mois ; je fais te oomipte de ma v*o de maxiage, vieillie presque d'une année.
Je drosse mon premier Wlan.
J'aime trop mon mari pour n'avoir pas été
follement heureuse...
J aime trop mon mari, pour avoir été pleinement heureuse...
J'hésite entre ces deux formules, parce que
l'une ot l'antre renferment une port do vérité. Et d?abord tore heureux fo'fflement, n'est
pas toujours ôtro heureux pleinement. Quand,
on ainio tant, comment ne pas BeoUl avec
i vresse, qu'on possède le bien le plus précieux
au anonde ?.., Ouiand on aime trop, comment
n'être pas ingénieux à se faire souffrir T
« Trop est trop », comme disait ma tanie Eu>
saheth. C'est si dur, lorsqu'on voudrait avoir )
tout à donner, de comprendre qu on a surtout
reçu. Marc a comblé mon existence, j'ai diminué sa vie sociale.
La Rochefoucauld a dit : « Il y a de bons
mariages, il n'y a pas de mariages délicieux. »
Je fais appel. Amoureux comme nous „e sommes, notre vie intime nous a seinbM merveilleuse a certaines heures... C'est un mariage
délicieux, ce n'est .pas une union parfaite.
Marc est toujours aussi satisfait de sa femme et toujours aussi peu de ses antécédents.
Il m'épouserait -encore, si c'était il refaire,
parce qu'il m'aime, mais n sait maintenant
qu'il s est porté à lui-même un préjudice. Le
piteux échec de nos Invitations fi mon mariage, premier coup de sonde dans l'opinion, publique, et, pour
Marc, premier et cuisant
échec de sa vie, ont laisse à son orgueil un
trait empoisonné qui se corrompt et dont la
blessure s'étend. Il n'en parle jamais, mais
j'ai appris 4 le deviner. De mon cOtô. jo lui
dissimule la tristesse que j'en ressens. Ainsi,
au bout d'un an de. mariage, il y a 'entre mon
mari et moi une ombre que tout
notre
amour ne parvient pais à percer. Je sérails in«r-atc de m'en plaindre comme un pauvresse
(héritant tout a. coup d'un merveilleux diamant, s'arrêterait, a. pou de droit, d'y dôcouyri r une paille,
Et cependant, c'est cette ombre, encore léigère, que je vais retracer ici. Mes souvei rs
intimes et chers, 11 me semblerait les profaner en les éorivant. Et d'ailleurs ces coups
de crayon noir à mon bonheur, je les dois
tous au tragique secret de famillle, comme je
lui ai dû les quelques épines qui enveloppèrent les roses de mes fiançailles. Donc, ils
importent en ce croquis fidèle de ma vie soiidiaire des miens et dans laquelle le grand
drame passé continue à se jouer.
Mes pr-omiens mois à Parts me laissèrent
un poilt de fièvre. J'étais mal préparée à ceWe
trépidante existence dans laquelle tout était
nouveau- pour moi, jusqu'à mon modeste ménage A tenir. Les femmes des amis de Mi'Ç,
Mme de Laurençey, la femme de Maître le
Cornu et au très» me semblaient aussi éloignées de moi que si elles sortaient d'une mitre planète. Nous nous voyions pourtant,
dans ce (nv'on est convenu d'appeler « l'intimité. » Marc élargissait bientôt ce petit cercle
pouir me présenter à quelques douairières du
faubourg Saint-Gorenain.
« Il faut toujours avoir les douairières pour
soi », disait-il.
Mail la masse de nos irelations partait de
ce
Parts cosmopolite, si hoapiteJ&ar aux
« transatlantiques. » Lorsque j'ai pu. un salon
A moi, Il a été, grâce A Marc", vraiment compoaito,
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
Les invitations mondaines font la tache
d'huile ; bientôt la plupart de nos s «irées
furent prises. Je sentais qu'il s'en fallait de
beaucoup que je fusse vraiment « une femme
dans le train. » Il me manquait l'art de faire
sortir de ma tête une voix perçante,
je n'avais rien à dire, l'art de parler du livre
que je n'ai pas lu, de la pièce que je n'ai jxis
vue, l'art de dire une petite rosserie A une
antre femme, en ayant l'air do lui faire un
compliment ; d'envoyer un petit coup d'éventail sec sur les doigts d'un ami de mon mari,
oui se montre « un peu mutile » ; d'évaluer
d'un coup d'céil les meuibles et les bibelots
de l'amie qui me reçoit. Reaucoup do petites
j affectations ; indifférence élégante pour mon
mari que j'adore, convoitise pour la cigarette
1 orientale qui me barbouille le .cœur, passion
pour le bridge qui m'ennuie, exalltation pour
la musique de Wagner qui m'endort.
Telle que je suis, mon cher mari me trouve
délicieuse... mais il s'accommoderait aussi
que Mme Hautvilliers fût « une femme chic ».
Il est de ces maris — ils sont légion — qui
veulent que leur femme plaise aux autres.
Un soir où, pair exception nous étions restée dams nos pantoufles, j« formulai ainsi
mon impression :
— M-arc, je. rrois que voua êtes assez content
de moi... à domicile,..
IM mot le ravit
lorsque
— Assez content oui...
J'arrêtai son bras, à mi-chemin.
— Non... sérieusement.
En somme, vous
m avez aimée parce que j'étais très différente
des -poupées banales et frivoles et de certaines parisiennes lancées. Si vous me ranra.
ch-iez, maintenant, de ne pas leur ressembler
ce serait un peu logique.
™* •
,fi
l
JZsS&A t l0!ïifl" Av dit-il. C'est vmal, j'étais
n
ne ftHe
P
7l l,}' ]r ".
Relatée nouveau siè,rnuvA(
™ H
\ rafraîchissante comme un beau fruit sain.
— Eh bien, alors T
,r Klî ' hien... Je ne désire pas que mes
™! aient, auprès de vous, des impressions...
aussi neuves.
?i
îîoî. '"V
Je gardai quelques Instants le silence.
— Mlarc. dls-je tout A coup, vous ne tenez
pas assez compte de tout oe que j'ai dû apprendre en me mariant...
Il rit de nouveau.
— VoilA une ihrane qu'il ne faudra pas resservir è Miuxlnie de Laiiiroucey !
IA suivre.}
SAMEDI 6 JUli2.ET"1918i
erniere neure
LE COMMERCE ET LA PAIX
SUR L'AISNE ET LA SOMME
Conférence
Artillerie
Interalliée
et Aviation
lim
£C0LTE DE faiŒBIS
vr
Paris, 5 juillet, 11 h. soir.
té
^ s^
un coup de main et ramené des prisonniers
(Communique fiançais.)
v
COMMUNIQUÉ AMÉRICAIN
Paris, 5 juillet.
Nos patrouilles ont. fait d • nMJwaw PJ
r *
sonniers dans la région de chfte *,"V,7^ riy
où l'on signale une vive act.vite a'**' 116 "»
ainsi au en Picardie et <ians les Vosges.
Nous* avons repaussé dans ce dernier sec.
leur un coup de main ennemi et deux patrouilles qui ont essayé ae s'approcher de
nos lignes.
^
COMMUNIQUÉ BRITANNIQUE
Londres, 5 juillet, 11 h. 50 soir.
Le nombre des prisonniers faits hier, au
cours de I opération sur la Somme et ae la
contre-attaque allemande qui a suivi, depasse actuellement QUINZE CtNTS, DONT oRANTE OFFICIERS.
...
Rien à signaler, en dehors d'une activité
d'artillerie
ennemie
dans la région
de
Scherpenberg.
Le 4 juillet, nos appareils ont coopéré dans
l'heureuse attaque au sud de la Somme ; ils
les positions allemandes. Penom .,
dant la nuit précédente, au cours de l'opération elle-même, ils ont mitraillé les positions
ennemies et iancé des bornées à faible a.titudo sur les troupes ennemies et sur Ieur6
transporte.
.
Sur d autres points du front, nous avons effectué des reconnaissances et des opérations
de liaison avec l'artillerie S 11 appareils allemands ont été détruits et 10 forcés d'atterrir
désempsr s. Un ballon ennemi a été abattu ers
flammes • 4 de nos appareils engagés dans a
zone de combat manquent. Tous les appareils
engagés sur d'autres points du front sont revenus.
Nous avons lancé trente tonnes *>t dam je de
bombes au cours de la journée du 4 et dans
ta nuit du 4 au 5 juillet.
Salonlque, 4 juillet.
Grande activité de part et d autre sur le
front de Doiran et dans le secteur de Monastir. où nous avons exécuté, avec succès, des
tirs de destruction sur les batteries ennemies.
Notre artillerie
de défense
aérienne a
abattu deux avions ennemis.
de la Gu;r?a
SEPTIÈME SESSION
Paris, 6 juillet.
On nous communique la note suivante :
a Le Conseil supérieur de. guerre vient de
fenir sa première session ; il a exprimé ses
Sincères félicitations à l'armée italienne et au
peuple italien pour leur mùmoraible victoire
sur l'armée austro-hongroise.
« 11 estime que cette victoire, remportée à
un tournant critique de la guerre, apporte
une contribution précieuse à l'effort des Alliés vers le succès final de leur cause.
a Le trait distinctif de cette session a été
la présence, à la troisième séance, de sir Robert Borden, premier ministre du Canada ; de
M. W.-M. Hughes, premier ministre d'Australie : de M. F. Massey, premier ministre de
la Nouvelle-Zélande ; de M. F.-W. Lloyd,
premier' ministre de Terre-Neuve, et de plusieurs autres ministres des dominions de
l'Empire britannique, présentés au conseil
par M. Lloyd George.
Au nom du Conseil supérieur de guerre,
M. Clemenceau et M. Orlanflo ont exprimé à
ces représentants des dominions les remercie
ments des nations alliées pour les services
éclatants rendus sur les champs de bataille
par les troupes des grandes colonies britanniques.
« Le Conseil supérieur de guerre a examiné
la situation présente sous tous ses aspects,
avec le concours du général Focih et de ses
autres conseils militaires, et a pris d'importantes décisions.
« Pnrmi les personnes présentes se trou
vaieiït M. Clemenceau, M. LPvd George, M
Orlando, M. Pichon, M. Ba^ur, lord M-lner,
le baron Sonnino, le gênerai Foeîi, sir Henry
"VVilson. le feld-maréchal S'T Douglas Haig, V>
général
Pershing, le major général belge
Ctuillain et les représentants militaires permanents des Alliés à Versailles. »
SITUATION
estauCaion
Paris, G juillet.
La nuit du 4 au 5 juillet et la journée du 5
ont été calmes et marquées seulement par
des luttes d'artillerie. La canonm.de a affecté principalement les régions de Grivesnes e
d'Antheuil.
Entre Oise et Aisne, l'ennemi n'a fait aucune reaction d'infanterie, à la suite de notre
attaque, entre Autrèches et Moulin'sous-Toi
vent : il s'est borné à bombarder le terrain
occupé par nous. Le chiffre des prisonniers
dénombres est de 1.100 environ. Parmi le matêtiel tombe entre nos mains au cours de ceti&u
teniro ™'
58 mitrailleuses, lo
E .'i S E i s^er
8 mortiers de tranchée.
Sur
U TPe S K '
AU em a
£aft un reïoSr oiferfs?/^ ^ n01 ' vc le
- »^ ^
Jions conquises pâTno^nifi, A î , \ 5 ï^ 1'
Ha"
tnel ; ils ont été repousses
Les troupes britanniques "ont capturé également un nombreux butin « lia»^ prisonniers.
EM SIBSUiE
VICTOIRES
SUR LA SELLETTE
Baie, 6 juillet.
Au début de la séance d'hier, le président
a prononcé Une allocution, à l'occasion de la
mort du sultan Mehnied.
Le Reichstag a continué ensuite la discussion en deuxième lecture du traité de paix
avec la Roumanie.
Répondant à certaines questions faites par
M. Cohn, socialiste minoritaire concernant
la politique de l'Allemagne à. l'Est, M. von
Kuhlmann a répondu que l'occupation de la
Crimée et de Sébastopol est actuellement l'Objet de négociations avec le gouvernement de
Moscou, ainsi que les questions se rapportant
à l'emploi du butin.
« On est déjà sorti de la phase initiale et
confidentielle de ces pourparlers . j'espère, a
déclaré M. von Kuhtmcn, arriver aux négociations SUT de plus larges bases. Le fait que
nous négocions déjà sur la ligne de démarcation prouve que le désir de régler ces questions à l'amiable existe des deux cfttés »
M. von Kuhlmann a parlé -ensuite de la responsabilité de la guerre mondiale.
« Je puis dire que je tiens' cela pour une
question historique, et ma conviction repose
aussi sur des bases historiques. Là communication que m'ont
faite les personnalités
russes très proches,
politiquement, de M.
Cohn, ont contribué puissamment à orienter
mes convictions dans cette voie.
« En ce qui concerne la campagne contre
les Indes, je regrette de
devoir dire à M.
Cohn que, malgré les brillantes perspectives
qui, selon lui, en résulteraient pour notre ravitaillement en viande, la campagne contre
l'Inde n'a pas fait partie de notre politique
officielle. » (Hilarité.)
LE GÉNÉRAL PERSHINC
ET M LLOYD GEORGE
Londres, 6 juillet.
A l'occasion du 4 juillet, le générai Pershing a télégraphié à M. Lloryd George, qu'il
était heureux
d'apprendre
que le peuple
anglais s'était
joint au peuple
américain
pour célébrer le 4 juillet. Cela constitue une
manifestation de sympathie
internationale
faisant époque dans l'histoire des deux nations.
M. Lloyd George a répondu "« Nous nous,
joignons de tout cœur à cette célébration ;
l'entrée des Etats-Unis dans la tnierre constitue la preuve que les malentendus de jadis
se sont transformés en sincère amitié dans
la fournaise des sacrifices communs. »
ARMÉE D'ORIENT
T-.A
ALLOCUTION ROYALE
Londres, G juillet.
Le roi et la reine ont reçu hier, au palais
de Buekiiigham, une délégation de la Oonierencie interalliée parlementaire et commerciale. Après quelques cordiales paroles ae
bienvenue adressées à tous les délégués individuellement, le roi a prononcé 1 allocution suivante :
« C'est avec un grand plaisir que la reine
et moi vous
souhaitons la bienvenue
aujourd'hui
J'espère que le résultat de vos
délibérations eu conférence
sera d'encourager cette confiance mutuelle et l'estime en^ie
les Pailements et le s communautés commerciales de toutes les nations alliées qui sont
la base véritable dus accords et de s allianCGS
«'L'unité d'action qui a été établie parmi
les Alliés dans les questions économiques, de
même que dans les questions navales et militaires, se trouve être un des traits caractéristiques principaux de notre force.
< L'expérience que nous avons acquise de
ces avantages
dans les questions de commerce aura, je l'espère, lorsque cette guerre
aura été victorieusement terminée, pour résulat de nous
rappeler tous
l'importance
au'U y a à coordonner les intérêts mutuels.
« Puissions-nous, dans l'avenir,
travailler
ensemble aux arts de la paix aussi cordialement que nous l'avons fait parmi les dangers
et les vicissitudes de la
guerre, et puisse
notre action commune
être un instrument
aussi puissant pour favoriser le bonheur et
la prospérité de tous les peuples alliés, qu'il
l'a été pour faire échouer les plans de l'ennemi.
Le commerce est véritablement l'âme de
l'assimilation, et l'amélioration continue du
bien-être de nos peuples, qui est le but légitime de toui gouvernement avisé, dépend de
l'échange constant et non entravé des produits. Puisse
l'entente du
commerce que
vous avez pour but de faciliter être le guide
et le précurseur de cette
paix universelle
que nous espérons, avec confiance et patience, voir résulter
du triomphe de nos armées ».
COMMUNIQUÉ BELGE
Le Havre, 5 juillet.
L'activité de l'artillerie pendant les deux
derniers jours a été de moyenne intensité.
Dans la nuit du 3 au 4, après une préparation
d'artillerie, nos
troupes ont pénétré
dans les organisations ennemies au nord de
Kippe et en ont ramené quarante-trois prisonniers et deux mitailleuses, et mis hors
de combat un grand nombre d'Allemands.
Aujourd'hui
après-midi,
une
patrouilla
embusquée dans les lignes ennemies a ramené cinq prisonniers.
te Conseil supérieur
ENCORE KUHLMANN
TCHÉCO-SLOVAQUES
Londres, 6 juillet
L'agence Reuter apprend, que suivant un
télégramme reçu aujourd'hui de source britannique, d'IrkoiBtk, les Tchéco-Slovuques
ont infligé une sévère défaite aux forces bolôhevistes, et ouo celles-ci, complètement défaites à l'ouest d'Irkoustk
ont été chassées
de Nijni-Udlnsk et de Tulun, vers l'est lu
jftQ Baïkal.
Les Bolchevistee ont évacué irkoustk, emWttuit de grandes quantités de vivre».
AUSTRO-BOLCHEVISTE
Bâle, 6 juillet.
On mande de Vienne :
« Hier a eu lieu, à Berlin, entre MM. J-offe,
ambassadeur russe, et Lari-seh, chargé d'affaires d'Autriche-Hongrie, l'échange des actes
de ratification du traité de paix et des traités additionnels entre l'Auriche-Hongrie et la
République des Soviets russes.
TRAITÉ
Les Usines vacantes
La -Oham'bre de commerce de Toulouse, qûl avait
été Invitée, il y a quelques mois, a procéder à une
enquête concernant les usines vacantes ou les locaux disponibles pouvant être affectés à des usages industriels, doit maintenant rectifier ou compléter Jes dossiers alors établis. 'Elle prie donc les
personnes qui ont de tels locaux à vendre ou à
louer de 1© faire connaître A M. le président do
ia Ohamibre de -commerce de Toulouse, S, rue d'AlsacelLorraine, en lui indiquant : l'étendue des terrains ; la nature et la superficie des bâtiments ;
Jes voies de transports y donnant accès ; la force
motrice disponible sur place ou à proximité
A la Bibliothèque de la Ville
Le Comité d'inspection de la Bibliothèque publique de la ville a tenu, la semaine dernière, sous
la présidence de AL Julien, adjoint au maire, une
séance extraordinaire à laquelle assistait M. Pal
Neveux, inspecteur général des Bibliothèques. A
l'ordre du Jour figurait la réception de quatre
membres récemment nommés par le ministre : MM.
Angi-ade, professeur à l'Institut d'études méridional Én : Gray, doyen de la Faculté des Lettres ;
Hauriou, doyen de la Facm'té de Droit, et F. Pons,
direoteuir général de la Compagnie des tramways.
Le -bibliothécaire, M. Guitard, soumit à l'examen
du -Oomit-ê diverses questions relatives aux nouveaux catalogues, à la Uiliothèque circulante du
Soldat, à l'Exposition de Guerre et à l'Office de
renseignements économiques. Enfin, on procéda â
l'inauguoia'tiion d'un très ihe.au meuble offert par
M- Pons, pour contenir mille volumes précie-uot
Iftgués par son regretté ami, M. Cauvet, ancien
directeur de l'Ecole centrale, à la ville de Toulouse.
^
LA REPRISE DU SERV"*-*
DES COLIS POSTAUX MILITAIRE*
Paris. 6 juillet.
A partir du 7 juillet prochain, les colis-postaux adressés aux militaires aux armées' du
nord et du nord-est seront à nouveau acceptés, dans les conditions habituelles, par les
dépôts, le bureau central des colis-postaux
militaires de Paris et les différentes administrations de chemins de fer.
LE PRIX DE LA VIANDE
Paris, 6 juillet.
On nous communique la note suivante :
« En conformité des cours pratiqués sur le
marché aux bestiaux, le jeudi 4 juillet, les
prix de détail des viandes ont subi quelques
modificat, ; ors.
On note sur le bœuf de première qualité
une baisse de 0 fr. 10 à 0 fr. W'; suivant les
morceaux : sur le veau, la baisse s'applique
aux trois qualités ; elle est en moyenne de
0 fr. 40 par kilo.
Il y a, au contraire, une hausse de 0 fr. 20
à 0 fr. 20 sur le mouton de troisième qualité
Pour le porc, pas de changement.
IRLANDE
SAISIE DES ARMES
La
Guerre
VAPEUR
La Température
Du s juillet 1918
Situation générale : dans nos réglons, tesa^s nuageux et assez chaud.
Température : minima, + IV ; à midi, + 20* ;
maxlma, + 93'.
Probabilités : temps nuageux.
Scus-IYlarine
BRITANNIQUE
TORPILLÉ
Londres, 6 juillet.
On -annonce qu'un vapeur britannique a été
torpillé à 9 heures, par une nuit très obscure,
et a coulé en i^,iuze minutes. Trois de- ses canots ont pu s éloigner en sécurité, mais un
quatrième a été brisé. L'équipage a conservé
une discipline excellente et le capitaine est
resté sur la passerelle jusqu'à ce que le vaisseau coulât.
Le chalutier français Marie-Fréclérique s'est
dirigé rapidement vers les survivants et a
continué l'œuvre de sauvetage, en dépit du
l'ait qu'à tout moment il pouvait être lui-même torpillé. Grâce à l'action prompte et vailante des Français, les pertes se sont élevées
seulement à 18 personnes, la plupart étant
causées par le bris du quatrième canot du
vapeur.
Les
lords de l'Amirauté
britannique ont
xprimé aux autorités navales françaises leur
appréciation de la conduite de l'équipage du
chalutier français, ont déclaré que le capiiaine de ce vaisseau a agi, d'un hout à l'autre, d'une manière méritant les plus hautes
'ouanges, et que ce fut grâce à ses efforts
prompts et -continus que la plus grande parte de l'équipage du vapeur a été sauvée.
On a constaté que
tout l'équipage de la
Marie-Fréùérique a traité les hommes recueilliis avec la plus grande bonté possible.
EN TURQUIE
LA MORT
A TOULOUSE
NOS PRISONNIERS
DONS EN NATURE
Pour
les prisonniers nécessiteux
et les soldats du front
Mme M. O. : 1 uniforme, 2 paires chaussures.
Anonyme de Lavaur : 2 paires chaussettes.
Mme de Laportalière : h paires chaussettes.
Le Commandant et Mme Andriês : 1 manteau officier, 1 paire chaussures.
G. V. : 2 vareuses, 1 culotte, 2 képis.
Mme Tort : 40 déjeuners chocolat Dardenue.
Capitaine Ouignet : 1 vêtement militaire.
L'Ouivroir de Cazeaux, par Mme la Marquise de
Castelbajac : 6 chemises.
Mme Dubois : a dolmans.
Le Ravitaillement Civil
VENTE DE VIANDE DÉCONGELÉE. — La vente
de la viande décongelée de bœuf reprendra aujourd'hui samedi et Jours suivants :
1* Dans les loges aménagées à cet effet aux marchés Victor-Hugo, des Carmes et Roguet, de 7 heures du matin à midi;
2" Dans la salle des Jacobins, rue Pargaminiêres, de 7 heures à midi et de i heures a 7 (heures
du soir.
.>
,
Le Port des insignes
dans les Etablissements
Universitaires
Nécrologie
On annonce la mort de -M. S. Lattes, professeur â
la Faculté des Sciences, décédé à l'âge de 45 ans.
Les obsèques auront Heu lundi S juillet, à 3 h. 30.
LES
I
CONVOCATIONS
SPORTS
AMICALE SPORTIVE DU SUD. — Les membres
actifs pratiquant la boxe, l'athlétisme et la lutte
sont priés de se rendre, dimanche matin, à 9 heures, au Gymnase de la Société, 75, Grand'rue-StMichel. Les jeunes gens désirant pratiquer ces divers sports pourront se faire inscrire dimanche, a
la même adresse.
AMICAL BOXIX.G-CLUB. — Ce soir, à 8 11. 30. au
caîé Marty, 29, rue de la Concorde, grande réunion
mensuelle.
Les Gouttes d'Isis
Sont supérieures à l'Alcool de MentHe
S 'EMPLOIENT SANS [ SUCRE
3 fr. 50 le flacon ; franco poste, 4 francs
Pharmacie des Deux-Mondes. - 29, r. ds Mets
— T OULOUSE —
oQFFieF
/iFtiçtiqa
Plaies guéries
NOUVELLE SENSATIONNELLE. — Le public est prévenu que, le 6 juillet, un magasin,
ne vendant que la chaussure nationale française sera ouvert, rue Rivais, n° 8.
LA BUCHE MÉRIDIONALE
va ouvrir samedi 6 juillet, plusieurs succursales, à Toulouse notamment :
Rue
Rempart-St-Etienne,
place
Lucas,
Côte-Pavée-Montaudran,
rue
Saint-Henri,
place Marengo, place Bachelier, avenue de
Lyon.
Excellent vin rouge garanti pur jus de raisins frais à 1 fr. 20 le litre.
Les offres de locaux bien placés sont reçus
au siège de la Ruche Méridionale à Agen.
LA BOTTE ROUGE, Bd Strasbourg, 32, p. r.
Bavard. Chaussures, gr. choix, prix réduits.
/L
^^fi1^ 1*0,sS"8. eU
^7^ ^
M. IL PAS 8F Ri EU ?
LES CONCOURS DU CONSERVATOIRE
Chant et Déclamation Lyrique
Dépôt : P„. Bénit, 87, r. Matabiau, Toulousa
Iljjja
DU SULTAN
Nous avons reçu la protestation suivante :
Bâle, 6 juillet.
Monsieur le Rédacteur en Chef,
La cérémonie de l'avènement au trône <lu
Je suis étonnée de la manière de faire des dirinouveau sultan Vahid Bddin, qui prend le
geants
de certains établissements universitaires de
nom de Mehmed VI, a eu lieu.
région. Los chefs de ces établissements ont en effet
Le nouveau prince héritier, les princes im- la
défendu le port de toms les Insignes. Ceci n'aupériaux, les ministres, les députés et les hauts rait rien été si cet ordre avait été exécuté a la
fonctionnaires assistaient à la cérémoniie.
lettre. Mais on tolère l'Insigne de la L. M. F.,
Conformément à un iradô du nouveau sul- tout en interdisant celui du Sacré-Cœur.
Mon fils et plusieurs autres élèves do ces établistan, le coips du sultan défunt a été transporté au palais de Tep-Kapou, où ont été célé- sements ont reçu plusieurs observations à ce sujet.
L'EFFORT BRITANNIQUE
L'un
d'entre eux a même été sévèrement puai.
brées les -cérémonies religieuses pfcoctites.
Vous savez pourtant, Monsieur le Rédacteur en
ILés personnes qui désirent assister à la manifesLes obsèques officielles ont commencé à Chef, que douze arrêts du Conseil d'Etat ont pertation nationale en faveur de l'empire britannique
W heures du matin. Les hauts dignitaires, les mis lo port individuel d.u Sacré-Cœur dans les (conférence de M. Emile Boutroux, Théâtre des Vapersonnalités turques, le corps diplomatique, | endroits puiblies. Un établissement universitaire riétés, 10 juillet), pourront se procurer des cartes
les officiers turcs et étrangers v assistaient. peut être considéré comme tel.
d'entrée gratuite, au bureau du Syndicat d'InitiaL'Interdiction du port des insignes du Sacré- tive, au Capltolo.
La cérémonie s'est terminée par l e dépôt du
Coeur
est
donc
arbitraire
au
premier
chef.
corps au cimetière d'Eyoub, dans le mausoVeuillez agréer, Monsieur le Rédacteur, etc..
SOCIÉTÉ D'ASTRONOMIE POPULAIRE
lée, que le sultan défunt avait fait élever.
Une mère chrétienne.
Le nouvel héritier est Ablul-M.edj.id-EffenDimanche 7 Juillet, réunion, à 10 heures, au
di, quatrième enfant et deuxième fils
du
siège 2, rue d'Aussargues, Toulouse.
Ordre du jour : Observons les météores, par le
sultan
A'bdul-Azts, qmj fut le 'Prédécesseur
commandant Litre, conseiller ; Notes du général
d'AIxi-ul-Hamid, prédécesseur lui-même du
Cliapel, sur lo même sujet.
sultan qui vient de disparaître.
EGLISE DU SACRÉ-CŒUR (Patte-d'Ole). — DlOn sait que le frère aine du nouveil héritier manclie 7 .iuillet. Fête de l'Adoration Perpétuelle.
Lo matin, messes a 6 heures, 7 h. 30 et 10 heures,
était Youssouf Izedine, dont les Jeunes Tiir.cs.
qui Se ctàfiatemt de lui et qui redoutaient son messe chantée.
L'apres-midi, soirée du Sacré-Cœur et pèlerin.tgo
accession au trône,
se
déterrassèrent, en do dévotion et de pénitence. A 3 Ji 3D, vêpres, seriassasamant. Ah-dul-.Me-djid est né en 106»,
mon, .procession dans l'enclos du Sacré-Cœur, consécration. Monseigneur l'Archevêque présidera la
ASSOCIATION L\ PRIMEVERE. —
comité se
TALAAT RESTE AU POUVOIR
cérémonie du soir. Les chants populaires seront volt
obligé de reporter le tirage de. la tombola h
soutenus
par
les
(lemoLVîlles
de
la
Congrégation,
«no
date
ultérieure,
n'ayant
pu
faire
rentrer
tous
6 6 ÏW
la Ch-omle du Oercle de Saint Cyprlen et la fanfare les carnets. Los porteurs de billets qui ne vouOn mande de Constantinopfe ':
^'
de Saiat-Sarnln. On trouvera dans lo vestibule ae dront pas atteindre peuvent se faire rembourser
Un
16
°.
-oir^
22. su,lta'n confirme le grand- l'église Je .vêtit manuel du pèlerinage.
tous les Jours, île midi à 2 heures, chcj. M Rouch.
vuir Talaat pariha et l e cherk ul islam Murue Montesquieu. La date du tirage sera anLE JOUR DE PRIERES AU SAORÈ-CCEUR DES
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et Madame Roger JNAVES ; Monsieur et Madame Georges GAZEL ; Capitaine et Madame Marc GAZEL ; Monsieur Julien NAVES,
aux armées ; Monsieur Georges NAVES, Jeutenant au 10 e dragons, décoré de la Croix
de- guerre ; Mesdemoiselles Marie, Thérèse et
Henri ette NAVES ; Monsieur Charles GAZEL,
aux armées ;
Mesdemoiselles Suzanne et
Anne-Marie GAZEL ; . Mesdemoiselles Andrée
et Thérèse GAZEL ;
Monsieur et Madame
Henri BOSC ; Mesdemoiselles Marie-Joseph et
Henriette RECOULY ; Monsieur et" Madame
Joseph DUBRUEL ;
Monsieur et Madame
Gaston DETOURS et leurs enfants ;
Mee»
sieurs Georges, Pierre et Roger DETO'JT.S.
aux armées •
Monsieur Joseph DETOURS ;
Commandant WATRIN, Madame WATR1N et
leurs enlants ; Monsieur GALT1ER, conseiller à la Cour de Montpellier ; Madame GAUTIER et leur fils, aux -armées •
Messieurs
Pierre et Jean RECOULY ; Monsieur Georges
PUGE-NS, ingénieur en chef des Ponts et
Chaussées, Madame PUGENS et leurs enfants,
ont l'honneur de vous faire part do la perte
cruelle qu'ils viennent de faire en la personne de
Motïsieisr Joseph GAZEL
Sergent-fourrier aux tirailleurs sénégalais
Agent de liaison
tombé au champ d'honneur, le 4 juin MHS, a
l'âge de 23 ans, leur fils, frère, petit-fils, neveu et cousin.
Priez pour Lui !
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Voici les résultats des concours de chant et d'opéra-comique :
Chant. — Professeurs t Mme Bacquié, JEtt. Boulo
et J. Boyer. — r' Prix : Mlle Dussert. 2" Prix :
Mlle Gil. 1" Accessit : Mlles Oubradous, Izarié,
Laff-erayrie (rappel). 8f Accessit : .111 ïe Thoumières.
Opéra-comique. — professeur : M. Bladviel. —
2" Prix : Mlles Dussert, Izarié, Lafferayrie. 1" Accessit : Mlle GU.
Le jury était composé de M. Aymé Kunc, président ; MM. Jules Mazellier, Fiorent-Schmitt, grands
prix de Rome; Mmes Dalmayrac, Tournié; Mlle
Calvet ; MM. Battaille, Claude-Jean, Galinier, Bugène Sizes, Subra de Salafa.
Prix d'Honneur : M. Eamondou, 1 e ' prix de solfège, flûte, contrebasse et 2* prix d'harmonie.
Prix Maury — 1" Prix Maury (chant), 1.000 fr. :
Mlle Dussert ; 2- prix, 500 fr. : Mlle Gil. — Prix
Maury (piano), 500 fr. : Mlle Dunais ; (harmonie),
500 ïr. : M. Ramondou.
ÉTAT
toujours
en BLOUSES, PEIGNOIRS
MANTEAUX, COLIFICHETS
vendus en SOLDE
J
PETITS Tf>"! OUSAINS
AUX PYRÉNÉES
Il est. rappelé aux familles des enfants inscrits,
que l'Œuvre ne saurait, en aucune façon, accorder
des souliers ou galoches. Celles qui on ont réclamé
sont donc invitées à les fournir elles-mêmes. Depuis de langues années, aucune exception n'est
faite à cette règle.
e*e
..i
-
^'fd-'hui même
/Sfr
S
PU CaCh6té t0US 163 rensel e
Ss d es!rés
^ "
THEATRE DES VARIETES. — Nouveaux Pauvres, venez applaudir le plus grand succès de l'époque auquel vous convie M, Uourdln Profiteur, et
assister à ses mésaventures policières sentimentales. Cette joyeuse satire des Nouveaux Riches, qui
peut être entendue par tous, o petits et grands »,
Les Œuvres d'Assistance sera représentée sur notre scène Je vendredi 12, samedi 13 et dimanche lté juillet, en matinée et
soirée.
LES NOUVEAUTÉS. — «laque soir : çâ Ouï 1
c 8IGURO » AU THÉÂTRE DES VARIÉTÉS
TRIAiNOiN. — Domain dimandhe, A 3 h. : Un Soir
Ce soir, Si 8 Si. 30 précises, Sigurd, le chef-d'œu- dans l'Ambulance ! Galathéc ! de V. Massé, comvre de Rêver, sera (formé au profit de l 'Œuvre des mencera le spectacle. — Location ouverte, place du
Convalescents de la ÎT Région. Cette représentation Oapitole, 1.
se précise comme le plus grand succès de la saiAPOLLO-THEATRE. — De 2 h. à 6 h. et à S il. 45 :
son. Au caractère de bienfaisance de cette mani- Virtuose aveugle, drame ; Vivement, une Femme t
festation, s'ajoute le puissant attrait d'une distri- comédie ; Affaire ratée, conuqu-e ; Plante cruele,
bution de tout premier ordre, M. Tharaud, de document.
l'Opéra-Comique, dans le rôle de Sigurd, déploiera
OO-SIMOGR-AiPH. — A S h. 45 : Les Trois Mousqueles merveilleuses qualités de son organe unique,
toujours plus apprécié de ses compatriotes. Mile taires ; Un drame en Forêt, etc..
Matlilide Cornes, de l'Opéra, titulaire du rôle de
CINÉMA. LA.FAYETTE. - A 3 I. 30 et à 8'lt. « :
Erunehlld à Paris, admirable cantatrice. M. Va- Fauvette, 2» épisode ; Le naufrage de l'Aluen-Bess,
,
lette, puissant et vaillant baryton. Parareda Ha- etc., etc..
gen. ce jeune artiste, ancien élève de notre ConSAINT-CY'PIWEN-CINË.MA. — A 8 h. 45 ; Les Mysservatoire, nous revient couvert de lauriers. Mlle tères de Paris.
Javlnsky, Mme Dalcia, M. Espa compléteront une
. g>;«^j
..
intenprétatlon unique et que seul l'Opéra de Paris
pourrait réaliser.
LES
V
f
46. rur -defSefa Bordeaux" "(ffi
( ,r
oui répondra par Ve?ou?d eTourrilr
SPÉCIALISTE POUR VUES AFFAIBLI
HOUZ1L, opticien, breveté s. g. d. g., 11, rua
de Metz. Toulouse.
—
«MB*
—-
L'ŒUVRE DES MUTILÉS
L'assemblée générale statutaire de l'Œuvre des
Mutilés de la M" Région se tiendra le Jeudi 11 juillet à i heures et de-mie du soir, dans la salle de
réunion de la Société d'Agriculture, ». rue SaintAntoinedu-T. Tous les souscripteurs et les personnes s'intéressant à cette Œuvre, ainsi que les mutilés, sont tnvlj.es à assister à cette réunion dans laquelle Il sera donné le compte-rendu des résultats
acquis à ce jour.
9?1
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d'ufcèrés' var .?.e..J !?
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da m» u ; : ar."iueux, de plaies Incurables,
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lemènt
etc.. ont été radteaÉ
18
NOUVEAU TR
^P*
Les concours du Conservatoire viennent da se
terminer. Les amateurs de spectacle le regretteront ; les concurrents... et d'autres que je connais
ne seront pas de cet avis. Semaine d'émotions, semaine de latigue. Les vacances sont là et bleo
méritées, je vous l'assure.
Parions d abord du concours de chant qui fut,
sans conteste, très supérieur à celui de l'an dernier.
Mule
Izarié (possède une voix légère, facile et
agréable, dont elle fera tout ce qu'eUe voudra si
elle continue à travailler. Mlle lzarlê a peut-être
éc-ourté certaines respirations, mais elle trille et
vocalise avec adresse et sa voix, d'une justesse
parfaite, « iporte » sans effort.
.Mllo Gil est en grands progrès. Sa. voix, d'un
timbre chaleureux, est fort belle.
Une certaine
nervosité, des mouvements d'épaules involontaires
autant qu'inutiles, nuisent quelquefois à la pose
du son ; mais c'est un défaut qu'il est aisé de
combattre avec de ia volonté et un peu d'attention
Son jeune âge -permet d'espérer des progrès plus
grands encore.
Mlle Oubradous a, elle aussi, une fort jolie voix
qui semble très homogène dans tous ses registres.
Elle avait à chanter un air difficile, celui de la
Damnation de taust, dans lequel j'ai cru remarquer quelques erreurs de style qu'il lui sera facile
de réparer.
Mlle Dussert se contient plus que par le passe
et son clia-nt se ressent de cet heureux progrès. Sa
voix a ipuis de l'ampleur et elle dit avec intelligence, lin s'attatjuant à l'air de Robin des Bois,
n'avait-eile pas un peu présume de ses forces T
On aurait pu le croire, lille a cependant terminé
son concours sans faiblir et tout à son avantage.
Mlle Laffearayrie chante avec âme. Elle a au
charme, et le sentiment qu'elle apporte dans son
interprétation est musical et très expressif. Bon
concours a eu quelques faiblesses, mais je sais
qu'ello a eu beaucoup de courage en venant concourir, car elle était fort souffrante... et cela fait
aussi pardonner quelques fautes de mesure.
Mile Tiiounidères est um-e nouvelle venue. Dès son
premier concows, elle apporte une voix juste. Et
c'est bien. Mlle Thoumières à l'instrument ; à elle
d'en tirer parti et de profiter des sages conseils
qu'elle recevra au cours de sa prochaine année
d'études.
Passons au concours de déclamation lyrique englobant, sous cette dénomination, les anciennes
épreuves d'opéra et d'opéra-comique.
Là' aussi,
nous constatons un changement en faveur de ce
jernier concours (celui de i'an passé ayant été
d'une faiblesse extrême), et nous n'avons eu à déplorer nulle ridicule maladresse de la part des
concurrentes.
Mille ILaflerayrle, visiblement fatiguée, n'a pu
donner, malgré un intelligent souci do composition, toute la puissance dramatique désirable dans
la scène avec Georgio. Elle a dessiné de son personnage une silhouette.' sympathique et a joué avec
une émotion sincère et un sentiment juste la scène
des adieux.
Mlle Dussert, qui planait il y a quelques 1ns
tants sur les sommets de la musique dramatique
concourt maintenant dans le Maître de Chapelle.
opéira-buffa dl maestro Paer ! (je n'essaie pas de
comprendre). Elle fut dams Gertrude comédienne
adroite et d'une aimable exubérance.
M. Courtade lui a donné une amusante réplique
dans Barnabe.
Compositeur plein d'humour, M
Courtade a ajouté quel-nues petites fantaisies d'ail
leurs fort plaisantes mais qui, si j'ai bonne mémoire; ne se trouvent pas dans le texte primitif.
On a ri ; les mânes du bon Paer en durent être
désarmées.
L'air mutin et futé, Mlle Izarié, qui est inlatiga
Me, passe un second concours de chant, cette fois
dans Rosine du Baroier de Scville. Elle a de l'entrain et de la .jeunesse. Dans l'ancien répertoire
elle aurait vite conquis sa place.
|
Pour finir, Mlle Gil Joua, presque en son entier,
i le quatrième, acte & Orphée de Gluck avec Mlle Lafferayrie pour partenaire dans le rôle d'Eurydice
(Le programme portait Euricide (sic)... c'est peut
être moi qui nie trompe.) Jouer à vingt ans un
acte d'Orphée est un honneur, mais un honneur
périlleux, et je m'en voudrais d'insister le moins
du monde sur l'inexpérience bien comipréhensible
de la concurrente dans un tel rôle. Une remarque, cependant. La tradition veut (et je crois <rue
la tradition a raison dans le cas) que la troisième
reprise de l'air fameux : « J'ai perdu mon Eurydice ». soit clhantée avec une fièvre, une exaltation,
un emportement plus grands que les précédentes.
Helena Sanz prenait ce dernier couplet le double
plus vite ; l'effet était prodlglemc.
Sur ce, si Dieu nous prête vie, i l'an prochain.
G. U.
COURS ET CONFERENCES
I
ET
'SYNMOAT MES OUISUNIEStS. — Réunion ce soir
samedi, â 9 h. 30, boulevard de Strasbourg, 5.
ARSENAL HT -CA'RTOU-CH'BIUJE . — Assemblée générale extraordinaire des ouvrières, ouvriers, emUJioyés. etc^ nieisxjjirea du Syndicat de l'Arsenal et
'Oartoocherle, ce soir samedi, a 9 -heures, dans l'amlAi théâtre de l'.aucianme Faculté des Lettres, rue
de itémusat.
Les Distributions des Prix
LA CARTE DE TABAC
Paris, 6 juillet.
Au sujet de la carte de tabac, M. Fiancette,
rapporteur, au nom rte la deuxième commission, a saisi le Conseil municipal de Paris
du projet de délibération suivante :
Articie premier. — La carte de tabac sera
appliquée à Paris, en même temps que dans
toutes les autres communes de France.
Art. S. — Cette carte de tabac sera délivrée
aux personnes du sexe masculin âgées de
Plu s de 18 ans.
Art. 3. — Elle sera constituée par des courions portant les numéros 1 à 50, et qui seront utilisés au cours des périodes dont la
durée dépendra de l'état des approvisionnements des débits de tabac, et dont les dates
d'ouverture seront portées a la connaissance
du public.
Art. 4. — Chaque coupon divisible en quatre coupures donnera doit, au fur et à mesure de l'approvisionnement des détaillants
à l'achat de : 1 paquet de tabac de 40 à 50
gramme-s.d'un
prix égal
ou
inférieur à
1 fr. 40, ou 40 cigarettes d'un prix égal, ou
inférieur à 1 franc le paquet de 20 cigares,
ou 10 cigares à 0 fr. 15, ou 0 fr. 20, ou 20 cigares d'un prix inférieur à 0 fr. 15.
ET ARRESTATIONS
Londres. 6 juillet.
Hier matin de bonne heure, la police a opéré
sur une vaste échelle des perquisitions domiciliaires en
vue de rechercher des armes
dans le comté de Gallway et les comtés voisins, dans un rayon de 50 milles autour de
Ballinasloe. Elle a saisi des centaines de fusils et d'autres armes.
Généralement aucune
résistance
n'a été
apposée, quoique les quelques
arrestations
effectuées aient provoqué de l'opposition.
S
A L'INSTITUT DES JEUNES AVEUGLES. - AiUr
jourd'hui samedi, à 9 heures du matin, distribution des prix.
Programme : 1. Noces de Jeannette, fantaisie
pour instruments à corde et piano ; 2. Discours ;
3 Distribution des prix aux jeunes filles ;
Les
Bleïicts, choeur pour voix de femmes ; 5. Sérénade
de Saint-Saèns pour violon et piano ; 6. Le Loup
devenu Berner, chœur a 4 voix mixtes ; 7. Distribution des prix aux garçons ; 8. France, choeur à
4 voix d'hommes (Amhroise Thomas).
Autour de la Guerre
UN TÉLÉGRAMME DE M. CLEMENCEAU
AU GÉNÉRAL PERSHINC
Le président du conseil a adressé au général Pershing, la dépêche suivante :
« 5 juillet 1918.
<i Les contingents américains oui ont participé à la cérémonie du 4 juillet, avenue du
Président-Wilson. ont produit sur tout Paris
une impression profonde.
En ce jour de fête, célébrée d'un seul
cœur par tous les Alliés, la superbe allure de
vos soldats a excité l'enthousiasme autant
qu'elle exaltait la confiance.
o Je vous prie de vouloir bien transmettre
a vos troupes, avec mes félicitations, l'expression de mon affectueuse admiration. —
CLEMENCEAU. »
EU
Tirages d'Obligations
Voici Isa numéros des obligations de l'Emprunt
de tflO.WX) inames sorties au tirage du 5 juillet et
remboursables à partir du liâ juillet -.
Vingt et une obligations de 500 francs :
063
270
512
H»
307
735
m
33
4tt
594
505
932
780
353
417
193
713
m
537
7211
591
Soixante -quatre obligations de MO francs :
2*94
940
2206
2864
2973
1097
»VM
2935
ma
2805
2S50
1328
1*07
141,3
2913
2376
10Î-4
21183
2618
2323
1-185
1205
789
1V.3
833
1447
SOOO
SSM
934
2*36
1017
2830
2©1S
1472
2202
1285
?865
2606
9470
Viô3
842
2519
1123
139 1
1574
1C42
1650
9174
1785
1263
2385
50O4
20;O4
2719
2.333
1150
M40
2448
2836
1638
1850
1764
RUSSIE
BM
LE
Cette journée <lc prières, qui peu a peu devient
traditionnelle dans toute la France et -parttcuUAremant à Toulouse, sera ta Journée du 7 JulUet.
Messe die communion des agriculteurs, à 8 heareS, chapelle de la Visitation, rue de la Dalbade;
aUocutlon par le R. P. Dubruel.
Le soir, à 5 heures, dans la même chapelle, allocution et salut du Très Saint-Sacrement.
Monsieur et Madame RÉCUÉ Mademoiselle
Marie BEGUE ; Mademoiselle Hélène BE.GUS;
Monsieur Octave
BEGUE,
mob&Ué, armée
d'Orient • Monsieur Maximiïien BEGUE, mobilisé eu 57' d'artillerie-; les familles BEGL'E,
CABESTAING,
DELUC,
SAINT-BLANC AT,
SABR^UTE et DUPUY ont la douVur de faire part a. leurs amis et connaissances do la
perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en la
perseame de
Mademoiselle Angèîe BÉGUÉ
leur sœur, tante et cousine, décédée à Toulouse, le 5 juillet 1918, à l'âge de 51 ans. munie des Sacrements de l'Eglise, et les pinut
de vouloir bien assister à ses obsèques,
qu!
auront lieu à Toulouse, le dimanche 7 juillet
1S18. à deux heures -du soir, sur la jaroissi
Saiint-Etienne.
On se réunira à la maison mortuaire, rue
de la Pleau, n° 17.
11 ne sera pas fait d'autre invitation.
Pompes Funèbres Générales, 7, r. Lafayette, T. 10 55
Monsieur le Docteur GUIBAUD, Pharmacien ; Madame veuve GUIRAUD ; Monsieur
KUacSn CROUZET, Madame Isau.ro CROC
ZET : Mademoiselle Germaine CROU/'ET •
Monsieur
Sirius CROUZET ; les - tàniilléfl
PRAD1ES, CONTE, RERTHOMIEU. HOU?SEAU, SAREIX. CARAGUEL et BOR1ES ont
la douleur de faire part à leurs amis et connaissances de
la perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en la personne de
Madame Gaston GUIHAUD
Née Marie CBO'JZET
leur épouse, belle-fille,
scettr, be-iie-sceur,
tante, nièce et cousine, dccédôo
Toulouse le
5 iuillet 1918, h l'âge de -54 ans, munie des
Sacrements de l'Eglise, et les prient .le voitloir bien assister à ses obsèques qui auront
lieu
Toulouse, le samedi 0 juillet 191S ï
2 heures
du soir,
sur la paroisse
Sain*
Etienne.
On se réunira à la maison mortuaire, ris
de Castres, n° 6.
Il ne sera pas fait d'autre invitation.
Pompj Fuu&bres Générales, 7, r. Lafayette, T. 1«-S«r
Remerciement et AVIS de Neuvaine
Monsieur Georges ESPARBES • Monsieur
Léon DASQUE ; Monsieur et Madame P?«J
ROUCOLLE, née DASOUE • Messieurs
et François VARIOT ; Mademoiselle Gabuoil?
VABIOT ; les familles- 'E F^An^s
remerl
VARIOT, ROUCOLLE et ÇQJJMES. * em|£
cient stseèrement les P^sonnes oui leui o.«
témoigné des marques de sympatnie a 1 occa
sion du décès de.
Madame veuve François ESPARBÈS
Nés Marie DASQUE
„ l0 q pilent de vouloir bien assister à la
rnessè de neuvaine qui sera célébrée pour le
repos de son.àme le lundi 8 juillet 1918. à
9 heures du matin, en la chapelle du Couvent
de la Sagesse, 1.4, rue des Bûchers.
On se réunira à la chapelle
Il ne sera pas lait d'autre invitation.
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<ffis^iiSssr^ cap'-1330 "inf- «»»»««•* ' V©ySez-voys
ALBERT (François), sergent de renseig., 30'
tt-SMi'aSl?1^ H - H - ««Paru Je 25 avril 1918.
AWi 'AiME (Ernest-Vaientin),%>ut. adj. au colonel, m- inf., m oomip.. aans nouvelles
da:>uts ia 26 mai m».
ARutb (Henri-Jean-Louiié), fcranc
169" inf.,
b" comp,, sans
depuis le 88
nouvelles
fnal 19118.
ARiNOU (Alfred-Raymond), 21' inf., 7" comp.,
s nouvelles depuis le 23 mal 1918.
RAC (Baptiste), marécitial des logis, 203"
, 24' batt., sans nouvelles depuis le 25
i 'l&S.
ApitOUX (Ambroise), 74" inf. terr., 6' comp,
disparu le ,28 mai 1918.
BACHER AN
(Jean-Marie), caporal clairon,
2U4' toi disparu la 26 mai 1918.
BAILLE (Joseph-Louis), 214" inf., 24' comp.,
disparu le 29 mai 1913.
'BÂRD1ERE
(Joseph-Jean), brancardier
au
Xi. B. D
' divi., sans nouvelles depuis le.
26 mal 1918.
BARRANQUE
(Pierre-Cyprien),
command.,
131' inf., 1" bat., disparu le 9 juin 1918.
BÀYLE (Manus-Bernard), 410* inf., 1" comp.,
disparu le 29 mai 1918.
'BELIRIE
(Georges-Joseph-André),
caporal,
44' inf. col., 1" comp., disparu le 17 février
1915, à Boureuilles (Meuse). -» .
33#RGE
(Jean-Jules), aspirant, 367' inf., 14'
•'comp., disparu le 1" juin 1918.
BESSOU (Henri), 413' inf., 7* comp, disparu
le 25 avril 1918.
BIWBR
(Christophe-Paul), sous-lieut., 350"
tof., 4* comp. mit., disparu le 31 mars 1918,
BONNET (Félix), 174' inf., 10' comp., disparu le 13 septembre 1916.
BONNET
(Marius-EdouardrElie), 19' inf., 10*
comp., sans nouvelles depuis le 25 mal 1918.
BOURDON CLE (Urbain-Tiitéodore), cuisinier,
73' inf. terr., comp. H. R.,
disparu
fin
mai 1918.
BOUSQUET
(Pierre- Auguste), sergent, 403'
' inf., 10' comp., disparu le 27 mai 1918.
BOUTEILLE
(Raymond), 96' inf.. 9' comp,
présumé blessé et disparu le 7 mars 1915.
ÎBUFi-'AT i(André), 118' inf., 1" comp. mit., disparu ie 27 mars 1918.
BUiRGAN (Alexandre-Louis), 73* inf. col., 19"
comp., disparu le 27 mai 1918.
CiAILLAU
(Jules^Ludovtc-Raymond, en subsistance
au
14' train des équipages, 70'
comp., sans
nouvelles depuis le 26 mai
t 1918.
tÇiANuEiL
(Joseph), maréchal des logis, 248'
art., 28' comp., disparu le 9 juin 1918.
iQAPEL (Antoine), caporal-fourrier, 214" inf.,
comp. H. R., disparu fin mai 1918.
CA&ALS
(anomas-Denis), lieut. parmaoien
aide-major, ambulance 12/20, disparu le 25
mai 1918.
.
4DË CASTELBAJAC
(Charles-Marie-Jean-Arnaud-Raymond), serg., 214' inf., 21' comp.,
disparu le 27 mai 1918.
CAUHESA1GUEIS
(Wilfrid-Jean-Pierre-Antoine), serg. (élève Ecole Samt-Cyr), 33' inf.
col., 21' comp., disparu le 1" juin 1918.
CORNET
(Cbarles-Aventin-Rémy),
caporal,
2a4" inf., 17' comp., sans nouvelles depuis
le 26 mai 1918.
CÛURREGES (Jacques), brigadier, 68' arti.il.,
16' batt., disparu le 27 mai 1918.
COY
(Pierre-Edouard),
lieut., 152' inf., 3'
comp., sans
nouvelles
depuis le 30 mai
1818.
GROS (Aubin), 153' inf., 5' comp, disparu le
2)7 mai 1918.
CROS (Gilbert), 339' inf., 5' comp., disparu le
20 avril 1918.
DARDENNE (Dominique), 416' inf., 2' comp.,
disparu le 29 mai 1918.
DAROUX
(Louis-Aristide), 74' inf. terr., 18'
comp., disparu les premiers jours de juin
1918.
JDAUBAU
(Ferdinand:),
142* inf., 10' comp
disparu le 4 avril 1918.
DELLUC (Cyprien), 83' inf., 1" comp., dispa
ru le 24 avril 1918.
DENÊGRE
(Henri-Marie-Léon), 414' inf., 5'
comp., disparu le 27 avril 1918.
DÛPOUY
(Jean-René), caporal, 3" colon., T
comp.. disparu le 25 septembre 1915, olfen
sive de Champagne.
ESCANDE (Jean), 17' inf., 10" comp., disparu
Je 29 mai 1918.
j„ ,
FAJAL
(Paul-Joseph-Auguste),
adjud., 281
inf., 13" oomp., sans nouvelles depuis le 7
19
FAURË (François-Andrée), 113' inf., 2' comp
mitr., sans nouvelles depuis le 15 juin 1918.
FLEY (Elie-Jean), 281' inf., comp. H. R., canons 37, disparu le 9 juin 1918.
FONTENILLES (Alfred), capitaine, 214 inf.,
19' comp., disparu du 27 au 29 mai 1918.
iFOURMIGÙE
(Louis-Marius), 11'
mf.,
1
comp disparu le 19 avril 1917, cote 227, ré
trion d© Moronvilliers.
FRANC
(Paul-Henri-Léon), sergent, 14 mf.,
£ comp, disparu, dm 31 mai aux premiers
1ours de juin 1918.
, ,.
FRAYSSË (Guillaume), 153' inf., 4' comp, dis-
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1° Efficacité certaine .prouvée pur de très nombreuses dectarutions de niédeciuS de 1" ordre, et pnraea
milliers et des milliers de lettres spontanées de malades guéris apportant leurs remerciements et leur
témoignage de reconnaissance.
2" Innocuité absolue.— Aucun des nombreux inconvénients des piqûres. Aucun des dangers des Liquides
qui s'altèrent si facilement. Lu forme sous Comprimés est la seule qui donne toutes garantlos.
3* Traitement facile et discret même 9n voyage. — Aucun régime à suivre, on se r.-.uii't cl ou vi)
Comme à l'ordinaire.
La Ltoite de 40 Comprimes Huit francs — Ln Botte de 50 Comprimés Dix fronça
Knvoi franco contre espèces ou mnnual
X^ii «.ï-iïjL £s,cio f!rT-R« F» T\ la, XI vio <LL ' ZiviÎjnGiio, "_Vi t-.^ (BuiHa
Dépôt à Toulouse. Pharmacie Dupuy, 35. rue Gambetta.
^l&mesf *****
Ch
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vlfle ^Selne) ^
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° lût.',' AHortCayeux, Andre-phiL, 42° inf., Paris.
1
6
ttuS '^^? '? 1^' 6ûr £- 1308 lnf - Le Pertro
(Ule-et-Viliaine),
£° ul 9 n - Louis, 24» inf., Oully (Saône-et-Loire).
Cousin Camille, 35" Inf., R'uffec (Indre)
uanto, Julien, serg,, 256° Jnf Houdan (Éeineet-Ooise).
Dejçn Louis, 4» inf., Jar3 (Chers)
Deîichére, André-Mairius, 256» di
\inf.. Rosière
(Ardèche)
Deschamps,
Elie, 281= inf.. Notre-Damc-duPré (Savoie).
Dollfus, Roger, asp., 44» inf., Bardeaux (Girondeh
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S'adr
M
'Valia'
E
ux
sans
rivales
contre
toutes
les
maTêtard (Fernand), capit., 87' inf., Pans-15',
Aiguillon.
nifestations
de
l'arthritisme.
maladies
de
ta
régiss.
St-Clar,
par
Muret
(Haute-Garonne)
'
Bobin Philibert. 147° inf.. Montccau-les-MiWittemherg.
,
Marché aux fruits. — A notre marché aux nutrition (Goutte.Diabète).
Lfc b ...
Thibault (Athanase), cap., 103' mf., Alençon,
nes (Saône-ct-Loire)
fruits du jeudi 4 juillet, il a été apporté do
Bonuostéve, Joseph,
281° mf.,
Puyiaroque
A LOUER, chât meub. 9 -ch. s it. sup Aliène
L,i 1/2..
700
à
800
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de
i>êchcs
et
75
kilos
d'abricots
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nickelage
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