L`argent est un bon serviteur mais un mauvais maître Le maître est
Transcription
L`argent est un bon serviteur mais un mauvais maître Le maître est
L’argent est un bon serviteur mais un mauvais maître Le maître est une personne qui exerce une domination, qui détient une autorité, qui a un pouvoir sur quelqu’un pour se faire servir et obéir. C’est une personne qui a le pouvoir d’imposer aux autres sa volonté, c’est aussi la personne qui dirige la maison. Le serviteur est une personne qui sert quelqu’un d’autre, envers qui il a un devoir (aussi un droit). L’argent ne sert que quand il répond à nos besoins fondamentaux et nécessaires. Dans cette perspective, il est considéré comme utile. On en a besoin pour vivre. En manquer c’est s’exposer à la misère. Il devient un mauvais maître quand il n’est plus au service de l’homme et quand c’est celui – ci qui se met à son service. Alors l’homme est dirigé par l’argent, qui prend le dessus sur lui. Il obéit à sa loi et à sa logique. Cela a comme conséquence : la cupidité, l’égoïsme, l’avarisme. Chez cet homme, aucune notion d’éthique ou de moral n’est de mise. L’argent est un bon serviteur car il nous aide à vivre. Il faut un minimum de biens matériels pour servir les besoins vitaux et les vertus morales. ‘’ VENTRE AFFAME N’A POINT D’OREILLES « Nul ne peut servir Dieu et l’argent On ne sert l’argent que quand il est considéré comme son maître. Sinon, c’est l’argent qui sert l’homme quand il lui permet de répondre à ses besoins vitaux nécessaires. Dans la mesure où la logique de l’argent pousse l’homme à l’égoïsme, la cupidité, elle l’inscrit en faux par rapport aux voies de Dieu. Ce sont deux logiques totalement opposées. Servir Dieu, c’est agir dans le sens des valeurs évangéliques (l’amour, le respect, la justice, la bonté etc …) C’est partager son « avoir ». Dans la mesure où la logique de l’argent pousse l’homme à l’égoïsme, la cupidité, elle l’inscrit en faux par rapport aux voies de Dieu. Ce sont deux logiques