Stambruges

STAMBRUGES - GRANDGLISE :
La Terre des Légendes
La Terre des légendes et le Pays des Roches Rouges
Adossé à une grande forêt, le village est fier de son histoire et de ses légendes !
Stambruges ou « Estambruges » - littéralement « Etang des Bruyères » - porte on ne peut
mieux son nom.
FORET DE STAMBRUGES ET MER DE SABLE
La Mer de Sable était autrefois un grand étang de 40
hectares, appelé Mer de Sable. Aujourd’hui asséché, le
site est devenu une grande étendue de sable, bordée de
marais et de tourbières. L’intérêt biologique de ce
dernier vestige des landes de la vallée de la Maine
conduit la Région Wallonne à classer la Mer de Sable et à
en faire une réserve naturelle !
Stambruges avait ses fées et aussi ses sorcières : Le Rond
des Sorcières et l’Ottée des fées sont toujours deux buts de promenade dans une nature
particulièrement agréable. Les bois qui ont envahi les marais et les sites accidentés des
anciennes carrières donnent à bien des coins de
Stambruges un aspect de nature sauvage, ce qui n’a pas
empêché les responsables de la forêt indivise d’y
implanter un parcours « vita » et des jeux pour enfants.
Situé dans une vaste lande sablonneuse couverte de
bruyères, le village a eu une activité économique
partagée entre l’agriculture et l’extraction du sable et
du grès. Le grès de Grandglise a permis de construire
non seulement l’église locale mais aussi celles de Beloeil et
de Stambruges, l’Orangerie,… et bien sûr de nombreuses habitations.
La Carrière des Roches Rouges (rue du même nom) en est un exemple représentatif.
Grandglise est comme Basècles un pays de la pierre.
A Stambruges…
À Grandglise…
moitié du territoire.
Les Eglises
L’église Saint-Servais est une construction néo-gothique en grès de
Grandglise, datant de 1831, remplaçant un sanctuaire en gothique
tardif (16e s.) incendié en 1828. Le clocher est surmonté d’un gros
bulbe planté d’un clocheton carré à flèche pyramidale, le tout
recouvert d’ardoises. A voir à l’intérieur : la clé de voûte de la tour (16e
s.), la cuve octogonale des fonts baptismaux gothiques (16e s.) et la
statue de Saint-Servais en chêne polychromé (17e s.). Le sanctuaire est
le but d’un pèlerinage prisé des agriculteurs ayant pour objet la
protection du bétail contre les maladies.
L’église Saint-Martin (1854), édifice néo-gothique,
entièrement réalisée en grès de Grandglise, est
précédée d’une double rangée de peupliers
centenaires. A l’intérieur une charité de Saint-Martin,
statue gothique en bois polychromé (16e s.) et la cuve
hexagonale en pierre des fonts baptismaux (16e s.). Non
loin de l’église, le kiosque à musique est également
habillé d’un écrin de verdure ; Grandglise est traversé
par le canal Ath-Blaton. Attenante à celles de
Stambruges et Ville-Pommeroeul, la forêt couvre plus de la
A DECOUVRIR AUSSI
A l’intersection de la Grand-route et de la rue du Fayt, une
ancienne gentilhommière du 19e s. a été bâtie à partir
d’une tour carrée d’origine bien plus ancienne, qui
constituait peut-être un poste de garde le long de la
chaussée Brunehaut.
A l’angle de la rue du Fayt et de la route de Tournai,
ancienne ferme Coulon avec écuries voûtées, logis du
meunier et vestiges d’un moulin à eau que le Rieu
Bouillant faisait tourner.
A signaler aussi les chapelles Notre-Dame du perpétuel
secours, Saint-Martin (rue Saint-Martin) ; un Calvaire et plusieurs chapelles le long de la
chaussée, et la chapelle Notre-Dame de Lourdes, rue du Marais.
Grandglise et Stambruges ont fusionné en 1964, soit bien avant la fusion des communes. Les
limites précises des deux villages sont devenues pour beaucoup un peu floues au fil des ans.
La Maison et le Moulin Colmant, rue Albert Ier
Le Moulin du Rié, rue du Rieu Bouillant
Le Calvaire, rue du Calvaire
La Chapelle de l’Erconpuch (voir brochure adéquate)
La Fontaine bouillante (voir brochure adéquate)
Le Rond à Foyaux (voir brochure adéquate)
L’Ottée des Fées (voir brochure adéquate)
Chapelle Notre-Dame du perpétuel secours
Chapelle Saint-Martin, rue Saint-Martin
Chapelle Notre-Dame de Lourdes, rue du Marais
Un Calvaire et plusieurs Chapelles le long de la chaussée