la critique de premiere les autres avis de la presse

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la critique de premiere les autres avis de la presse
LA CRITIQUE DE PREMIERE

Christophe Narbonne
Quand elle chante, un sourire radieux éclaire son visage. Déficiente mentale, Gabrielle a l’oreille
absolue. Amoureuse de Martin, elle va devoir affronter les préjugés... Sur le papier, voilà un film
inattaquable qui, sous sa cuirasse d’humanité et de tolérance, en appelle à la générosité de
chacun. Le problème, c’est que Louise Archambault n’opte jamais totalement pour la fiction. Les
meilleures scènes sont ces instants volés à l’institut spécialisé où évoluent Gabrielle et Martin,
dont l’histoire d’amour apparaît un peu trop fabriquée.
LES AUTRES AVIS DE LA PRESSE
A nous Paris ( Fabien Menguy )
Ce film québécois dresse le portrait d’une jeune fille de 22 ans pas comme les autres, qui rêve
juste d’un peu d’indépendance, et aborde le handicap sans misérabilisme à travers une
resplendissante et très attachante histoire d’amour.
Version Femina ( Anne Michelet )
On craque pour cette histoire entre mélo et documentaire qui éveille notre regard à la différence.
Critikat.com ( Carole Millerili)
Gabrielle un feel-good movie intelligent sur un amour hors normes entre deux jeunes handicapés
mentaux. Malgré un ton parfois trop mélodramatique, la réalisatrice québécoise parvient à
transcender la matière sociétale de son sujet pour construire un film doux et empathique, dont les
enjeux dépassent la singularité de ses acteurs.
La Croix ( Jean-Claude Raspiengeas)
Film lumineux sur l’amour, la vulnérabilité et la force de personnages handicapés, transcendés
par l’art, à l’intérieur d’une chorale.
Nouvel Obs ( Marie-Elisabeth Rouchy)
Il passe, l'espace d'un instant, toute la douceur et la beauté du monde. (...) Louis Archambault
s'attache à ces "inséparables" avec une délicatesse rare, cerne au plus près leurs sentiments (...)
sans jamais juger les adultes, souvent embarrasés, qui les entourent.
Positif ( Nicolas Bauche)
(...) la peur de la facilité mélodramatique l'amène à tout mettre en sourdine. C'est cette pulsion du
coeur, nerveuse et échevelée, qui fait défaut à "Gabrielle" et peine à nous toucher.
Le Canard Enchainé ( La rédaction du canard enchaîné)
Sans jamais se caricaturée, cette histoire de passion, normale et hors norme, explore des
terrains inconnus. Une romance poignante et tonique.
Les Fiches du cinéma ( Thomas Fouet)
Autour de la question du handicap, Louise Archambault dilue ses vertus documentaires dans un
récit angélique et attendu. Reste l'enthousiasme et l'investissement sans failles de Gabrielle
Marion-Rivard.
Le JDD ( Jean-Pierre Lacomme)
Louise Archambault traite son sujet et ses personnages avec une rare délicatesse et l’émotion
pointe souvent son nez.
Elle ( Florence Ben Sadoun)
Depuis sa sortie au Québec, le film caracole à côté des blockbusters. Belle et juste récompense
d’un public touché par la grâce, la lumière et l’optimisme d’un film extraordinaire.
Le Monde ( Franck Nouchi )
Un petit moment de grâce.
Le Parisien ( Pierre Vavasseur)
Il y a de très belles scènes et de très beaux moments chantés dans ce film canadien qui mêle
documentaire et fiction. Gabrielle Marion-Rivard y joue son propre rôle au côté d’un acteur
professionnel, Alexandre Landry, qui s’est mis, avec une belle finesse, au diapason de sa
partenaire. En dépit d’une fin qui s’étire un peu, le résultat, souvent émouvant, est d’une grande
justesse.
Paris Match ( Alain Spira)
Naviguant entre le documentaire sensible et la fiction sentimentale, ce film québécois pose la
question du droit à disposer d’eux-mêmes de ces adultes en léger handicap mental. Vous
n’oublierez jamais ces Roméo et Juliette pas comme les autres.
Télérama ( Pierre Murat)
Tout le monde est ému par cette histoire : les spectateurs, mais aussi la réalisatrice, qui aime tant
ses personnages qu'elle en oublie son intrigue, par moments...
Le Figaro ( Marie-Noëlle Tranchant)
(...) le film rayonne (...), transmis avec beaucoup de vérité et de cœur par la réalisatrice.

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