LE CHAPITRE XII LES REMPARTS DE LA FOI, OU, LES CHOSES

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LE CHAPITRE XII LES REMPARTS DE LA FOI, OU, LES CHOSES
LE CHAPITRE XII
LES REMPARTS DE LA FOI, OU, LES CHOSES INÉBRANLABLES
Comme nous arrivons à la fin de cette réunion, je suis intéressé dans un grand
nombre de personnes qui ont entendu l’évangile tout au long de cette assemblée en
revanche ils n’ont rien fait à ce sujet. Le pouvoir persuasif de l’évangile devrait être
irrésistible pour ceux qui détiennent l’amour de la vérité. Ce n’est pas purement une
affaire de vous convaincre avec l’argument. Paul et Barnabas « parlèrent de telle manière
qu’une grande multitude de Juifs et de Grecs crurent. » (Actes 14, 1) Je suis plein
d’espoir que vous allez agir sur les choses que vous avez entendues et accepter l’évangile
en ce moment même. Beaucoup de personnes ont entendu la vérité qui n’ont jamais
connu ou l’entendre parler auparavant. Nombreux sont ceux qui suivront dans ces études,
mais il y a d’autres totalement convaincu qui devraient, et certainement elles, vont
accepter et obéir à l’évangile à présent.
Je vais vous lire maintenant le dernier texte de cette réunion. Hébreux 12, 25-29 :
« 25 Prenez garde que vous ne refusiez point celui qui vous parle. Car s’ils n’ont pas
échappé, ceux qui refusèrent celui qui leur parlait sur la terre, combien plus
n’échapperons-nous pas, nous seront punis beaucoup plus, si nous nous détournons de
celui qui parle des cieux; 26 Dont la voix ébranla alors la terre; mais à l’égard du temps
présent, il a fait cette promesse, disant : J’ébranlerai encore une fois, non seulement la
terre, mais aussi le ciel. 27 Or ces mots, encore une fois, signifient l’abolition des choses
muables, comme des choses qui ont été faites, afin que celles qui sont immuables
demeurent. 28 C’est pourquoi, recevant un royaume qui ne peut point être ébranlé, ayons
la grâce par laquelle nous puissions servir Dieu agréablement, avec révérence et une
pieuse crainte. 29 Car aussi notre Dieu est un feu consumant. »
Voilà la lecture de la dernière partie d’Hébreux 12. Le thème ce soir est : “Les
Remparts de la Foi – Ou, Les Choses Qui Sont Inébranlables.”
Nous vivons à une époque d’incertitude, et de doute. Tout ce qui est à l’entour de
nous est en mouvement, de secouer. Le sol sous nos pieds semble en train d’ébranler et
de trembler. Au temps de Paul le monde ébranlait, la société tremblait; la civilisation
tremblait; tout tremblait. Au moment où il a écrit le mot de ce texte, Paul se tenait sur le
site des empires mondiaux. La Babylone, la Médo-Perse et la Grèce, les royaumes
puissants de l’antiquité, avaient monté en gloire et en puissance, et furent tombés dans la
faiblesse et le déshonneur.
Le dernier grand empire du monde, la puissante Rome, la majestueuse Rome, la
Rome impériale, fut dans le processus de la désintégration. Paul le savait, et parce qu’il le
savait, il a dit : « C’est pourquoi, saisissant un royaume qui ne peut point être ébranlé. »
(Hébreux 12, 28) Il doit avoir été réconfortant aux premiers Chrétiens d’être assurés
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qu’au beau milieu des royaumes des hommes qui ébranlaient et des empires qui
tombaient de la terre, ils pouvaient se reposer les pieds sur quelque chose de solide – la
roche de la vérité, un royaume pas de la terre ni non plus des hommes, mais du ciel, un
royaume qui ne pouvait pas être déplacé ou ébranlé. « 28 C’est pourquoi, recevant un
royaume qui ne peut être ébranlé. »
L’attitude de Paul, que tout autour de lui tremblait, était simplement de laisser
secouer – le laisser secouer! Lorsque la secousse a été terminée, les choses inébranlables
et immuables resteront. Avant de discuter les choses qui ne peuvent pas être ébranlées,
permettez-nous d’examiner les quelques choses qui sont en train d’ébranler dans le
monde autour de nous.
I
CE MONDE QUI EST EN TRAIN D’ÉBRANLER
En premier lieu, le monde politique est en processus d’être secoué. Il n’est pas
rare d’entendre des références à notre constitution en tant qu’un “document suranné.” La
tendance est d’abandonner les principes posés par les pères fondateurs, les principes qui
ont fait cette nation forte et sécurisée, car la législation modernise et simplifie la société
et le gouvernement, même la réglementation de chaque individu, le foyer, les affaires, et
l’entreprise; en changeant notre constitution et notre gouvernement de ce qu’il était et a
été au cours des années à autre chose et quelque chose de nouveau.
En second lieu, la société est en train d’être ébranlée. Par exemple, le temps était
quand les personnes immorales divorcées (Notes du traducteur : qui n’avaient pas la
cause de divorce ou ont été surtout la cause de divorce) ne seraient guère admises dans la
société respectée. Actuellement, sur la meilleure façon d’être galvanisé en notoriété, si ce
n’est pas la respectabilité, est de se marier à partir de six à une douzaine de fois, avec la
cause de divorce ou pas de cause, et cela vous rendre socialement acceptable. Les
principes de jadis que la société s’en tenaient à et a soutenu ont été écartés. Les choses à
un moment donné qui ont été désapprouvées, rejetées, elles sont désormais tolérées, et les
choses une fois condamnées sont en ce moment excusées, sinon réellement pratiquées. Le
monde social est secoué.
Lorsque j’ai assisté au vieux Collège Chrétien de Thorp Springs, j’étais dans une
équipe de débat. Une fois le sujet était la question du “suffrage de la femme.” J’avais le
côté affirmatif de la proposition – affirmant le droit de suffrage pour les femmes, que les
femmes devraient avoir le droit de vote. Il y avait beaucoup de discussion en ce jour-là
quant à savoir si les femmes devraient voter ou non. Ce fut une grande question politique.
Eh bien, j’ai pris l’affirmative, et un argument que je me souviens d’avoir fait était que
c’est la femme, pas l’homme, qui nettoie une maison sale. Si la maison est en désordre
les femmes vont la mettre en ordre, lui donner la touche féminine. L’application a été que
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la politique était une maison sale. Les bars furent grands ouverts, la vilenie était sans
motif, l’ivrognerie et le jeu se déchaînait. Une femme non accompagnée fut exposée au
danger dans les rues de nos villes. Les ivrognes titubaient des saloons, fumant dans les
fumées de la salle de bar; les bagarres et les rixes ont été les scènes ordinaires de la rue.
La politique était une maison sale, les hommes ne l’avaient pas tout nettoyée. Il suffisait
seulement de laisser les femmes votées – elles mettraient de l’ordre dans cette maison
sale de la politique, et lui donner la touche féminine. Les femmes ont obtenu le droit de
vote. (Je ne veux pas dire que mon discours a obtenu le vote pour elles) – mais les
femmes ont reçu le droit de voter, et elles ont mis de l’ordre dans la sale maison de la
politique? Et comment! Quand au spiritueux, ce sont elles qui le boivent la plupart du
temps maintenant! Voici un exemple de l’abaissement des normes morales le long de
toutes les autres lignes. Il est une image sinistre de voir une femme avec un verre de
l’alcool dans une main et une cigarette dans l’autre. Elles ne sentent point de honte dans
les lieux publics. Je n’hésite pas à dire qu’une pareille femme tombe immédiatement à
zéro à mon avis, et j’estime qu’il est vrai de n’importe quel autre monsieur de bon ton. Si
les femmes de notre nation deviennent dévergondées, que pouvons-nous attendent de la
prochaine génération? Qu’est-ce que va être la moisson?
En troisième lieu, les choses sapent religieusement. L’Église elle-t-elle en train
d’être ébranlée? Ça dépend de qu’est-ce qu’on entend par le terme Église. Si nous
entendions par là le confessionnalisme – oui, il est en train d’être sapé. En outre, il
faudrait bien qu’il soit sapé. Par conséquent, laissez-le être ébranlé. De plus, permetteznous de l’aider à être sapé. Mais oui, fait en sorte que vous faites quelque action de
l’ébranler! J’ai essayé de faire un peu de cela cette semaine. En revanche si vous voulez
dire l’Église que Jésus-Christ a bâtie, l’institution du Nouveau Testament, l’Église de la
Bible, elle ne peut être sapée. Elle est immuable, un royaume de Dieu inébranlable, a fait
savoir Paul. « C’est pourquoi, recevant un royaume qui ne peut point être ébranlé. »
(Hébreux 12, 28) Et quand le confessionnalisme aura été secoué et enlevé, la vraie Église
restera. Ainsi nos pieds peuvent se tenir debout sur le roc inébranlable de la vérité solide.
II
LES CHOSES MATÉRIELLES DE LA TERRE
Qu’est-ce que sont, maintenant, les choses, précisément, qui seront inébranlables?
Tout d’abord, le mot « choses. » Je suis impressionné par le mot choses. Nous
mettons beaucoup de l’accent sur « les choses, » les choses matérielles. Nous ramassons
un grand nombre de choses autour de nous dans ce monde. Beaucoup de choses
deviennent sacrées et vénérées qui en réalité, sont plus ou moins, sinon entièrement peu
important quand en comparaison avec l’espoir supérieur. L’apôtre a dit, « Portez votre
affection aux choses d’en haut, et non aux choses sur la terre. » (Colossiens 3, 2) Il a
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employé le terme « les choses » deux fois là dans le même verset – les choses d’en haut,
les choses sur la terre.
Dans la parabole du riche insensé en Luc 12, 16-21, un certain homme avait une
parcelle de terrain, une superficie qui avait rapporté abondamment. Ses cultures furent
abondantes. Il a dit, « 17 Que ferai-je? Parce que je n’ai pas assez de place pour serrer ma
récolte (pour rentrer mes fruits).18 Voici, dit-il, ce que je ferai : j’abattrai mes greniers, et
j’en bâtirai de plus grands, et j’y amasserai toute ma récolte, et tous mes biens. 19 Et je
dirai à mon âme : Âme, tu as beaucoup de biens amassés pour un grand nombre d’années;
repose-toi, mange, bois et te réjouis. » Pourtant Dieu dit à cet homme, « 20 Toi insensé,
cette nuit même, ton âme te sera redemandée; alors, à qui seront ces choses que tu as
préparées » À qui seront ces « choses » ?
Avez-vous étudié cette question – « À qui seront toutes ces choses? » Jésus a
appelé cet homme un insensé. Pourquoi il fut un imbécile? Il ne fut pas un idiot dans le
sens qu’il fut un dément. Il n’était pas un cerveau dérangé. Il n’y a rien dans le texte pour
indiquer qu’il fut un greffeur. Il n’y a aucune indication qu’il a été dénué de scrupules
dans ses rapports. Un grand nombre de personnes présument que si un homme fait de
l’argent, il est un escroc. Cela ne s’ensuit pas. Certains des plus grands hommes de Dieu
furent des hommes de la richesse – Abraham et Job dans l’Ancien Testament, et
Barnabas, Jason, et Philémon dans le Nouveau Testament. Ils ont été des hommes de la
richesse. La richesse en elle-même n’est pas plus un vice que la pauvreté est une vertu.
L’argent n’a pas de caractère. Il tire son caractère de son propriétaire. Le caractère de
l’homme qui possède de l’argent est communiqué à son argent. Toutefois il y a une
tendance morale dans les richesses contre laquelle la Bible met en garde les hommes.
Dans la chimie il y a un processus nommé “alchimie” – le processus de la
transmutation de transformer la plus base dans les minéraux ou des métaux en les plus
purs. Il y a une telle chose comme l’alchimie spirituelle – le processus de changer notre
substance terrestre dans ce qui est à infiniment plus pure. Les actions que nous faisons,
l’argent que nous utilisions et que nous donnons pour le bien, est la transmutation
spirituelle.
L’argent est une matière particulière. Il est une étrange substance. Il (l’amour de
l’argent) draine le sang chaud à l’extérieure de l’être et de la rosée parfumée de l’esprit.
Il transforme une poignée de main cordiale dans un poing musclé manquant de cordialité.
Cela met des rides dans le visage, et fait des nœuds dans les rides. Même regardez dans la
figure d’un vieux grippe-sou? L’amour de l’argent qu’il a accumulé a gravé les rides
nouées dans la mine. Quelle différence dans les rides de dévotion dans le visage d’une
mère. Il y a une différence. L’argent a des effets de recroqueviller; il a toutes les qualités
de froncement d’un plaqueminier vert! [Notes du traducteur : Définition de Webster’s
New Collegiate Dictionary : Tout du genre (Diospyros) des arbres de la famille des bois
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d’ébène.] [Notes du traducteur : L’amour de l’argent est à éviter, le développement de
l’amour du prochain est à faire, mais l’argent en soit n’est pas un mal! Donc, l’idée que
nous sommes nés pour un petit pain, est fausse!]
Les choses – « à qui seront-elles? » (Luc 12, 20) Vous ne pouvez pas les prendre
avec vous quand vous allez trépasser. Votre linceul de mort n’aura pas de poches en lui
et si cela l’a fait vos bras seraient tellement raides que vous ne pourriez pas mettre vos
mains en elles!
Toutefois pourquoi cet homme fut un insensé?
Tout d’abord, il fut un sot parce qu’il a exclu Dieu de sa vie. Il a dit, mes biens et
mes biens et mon grain.
Deuxièmement, il fut un fou parce qu’il a écarté ses semblables de sa vie. Il a
parlé en termes de “je” et “mon” et “moi” ou “toi” (Notes du traducteur : actuellement, le
texte dit “toi” dans repose-toi, bien que cela est sous-entendu, pour indiquer lui-même) –
ce je nominatif, ce mon ou mes possessifs, ce moi ou toi objectif.
En troisième lieu, il a été un idiot parce qu’il pensait que son âme pouvait être
satisfaite sur les choses matérielles de cette vie. Il a exprimé, « 19 Âme, tu as beaucoup
de biens amassés pour un grand nombre d’années; repose-toi, mange, bois et réjouis. »
Pourtant l’âme ne peut pas être contenté avec les choses matérielles. L’âme de l’homme
est un réservoir insondable que rien de terrestre ne peut remplir. Il n’y a que Dieu qui
peut le remplir. Les choses de ce monde ne peuvent pas satisfaire. L’expérience
l’enseigne. Quand nous sommes enfants, nous aspirons à êtres des hommes; mais lorsque
nous devenions des hommes, nous soupirons après à redevenir des enfants. Ainsi les
imaginations de la jeunesse sont démenties par les réalités de la vieillesse. Tout ce qui
tend à montrer que les “choses” ne contentent pas.
Le poète a mis cela en vers,
“Ah, quand j’étais un tout petit garçon, O, when I was a tiny boy,
Mes jours et les heures ont été remplis de joie, My days and hours were full of joy,
Mes camarades étaient joyeux et gentils. My mates were blithe and kind.
Pas étonnant que je soupire parfois, No wonder that I sometimes sigh,
Et je donne un coup de larme de mes yeux, And dash a tear drop from my eye,
Et je jette un coup d’œil en arrière dans le temps. And cast a look behind.”
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Nous regardons en arrière, dans le passé, ou nous rêvons à l’avenir – le présent
est sans réalité (ça nous échappe) avec la plupart d’entre nous.
Cependant, quatrièmement, l’homme de la parabole fut un imbécile parce qu’il
pensait qu’il a eu un bail perpétuel sur la vie. Il a énoncé, « 19 Tu as un grand nombre de
biens en réserve pour beaucoup d’années. » Il traitait des choses à l’avenir, avec son âme
en tant que l’enjeu. En revanche au moment où l’homme dit “demain,” Dieu dit “ce soir;”
quand les hommes disent “un grand nombre d’années,” Dieu dit « aujourd’hui. » Mon
ami, ce soir votre âme peut être demandée de vous.
Contrastez les choses de la terre avec les choses incomparables de Dieu – les
choses incomparables. Afin de rendre ça clair je vais appeler ce mot in-com-par-able.
L’ancien Président Roosevelt a prononcé le mot in-com-par-able à la radio. Le président
avait assez de bon sens de parler ainsi pour que son auditoire de la radio puisse en saisir
qu’est-ce qu’il voulait dire. S’il l’avait nommé incomparable, les Démocrates ne lui
auraient pas compris! Quoi qu’il en soit, nous devons parler pour que les gens puissent
nous comprendre. L’enseignement supérieur peut devenir ridicule. Je suis partisan de
l’éducation, par contre le soi-disant “enseignement supérieur” n’est pas supérieur, plutôt
inférieur. Certains hommes tentent d’afficher leur éducation. La différence en disant une
chose en langue vernaculaire, et de le dire en langage instruit, par un exemple, est comme
le garçon de ferme qui a toujours exprimé de la sorte, “Ne jamais compter vos poulets
avant qu’ils n’éclosent.” Cependant lorsqu’il est revenu du collège, il a articulé, “Ne
jamais compter votre volaille mineure jusqu’à ce que le bon processus de l’incubation
soit pleinement matérialisé”! Ne serait-il pas encore mieux de juste dire, “Ne compter pas
vos poulets avant qu’ils n’éclosent”?
Considérons le Dieu incomparable. En Ésaïe 40, 18-25, le prophète parle d’un
Dieu qui ne peut pas être mis dans la balance. « À qui donc ferez-vous ressembler Dieu?
Ou à quelle ressemblance le comparerez-vous? » Il (le prophète Ésaïe) portait atteinte au
paganisme. Après tout, le paganisme est le plagiat, les idoles et les images de fonte, faites
à la ressemblance de la divinité furent les conceptions de qu’est-ce que l’idolâtre désirait
que Dieu soit comme. Toutefois Dieu ne peut pas être mis en comparaison, et rien ne peut
être comparé avec Lui. Il n’y a pas de dieux – mais uniquement le Dieu de la Bible.
Il n’y a aucun libre comme la Bible. Elle prend la première place parmi les
meilleurs livres à succès de librairie de n’importe quel mois. Il n’y a nul livre comme lui
du point de vue de l’âge. Ses contenus les plus récents sont de deux mille ans; ses
premiers contenus sont de trente-cinq cents ans, ou plus, le livre de Job portant la date de
2000 avant Jésus-Christ. Trente-cinq cent ans d’antiquité! [Notes du traducteur : C’est
plus que cela, parce qu’aujourd’hui nous sommes en 2015] Où y a-t-il de tels écrits de
l’homme?
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On dit que le temps est le tamis des livres. Un expert dans le domaine des
publications a fait la déclaration que le livre moyen vit un an sur le marché public. Si
c’est un bon libre, il peut vivre cinq ans. S’il est un livre extraordinaire, il peut vivre dix
ans. S’il est un livre rare, il peut vivre cinquante ans. Il est considéré comme la limite du
temps sur les livres à gros tirage – un à cinquante ans. Le temps crible les livres, mais le
temps n’a pas tamisé la Bible. Le livre ancien a résisté à l’épreuve des siècles, chenu
(blanchi) avec l’âge, lesté avec du poids de l’antiquité, tenant les siècles dans son sein,
bravant les tempêtes et portant les critiques, plus forte aujourd’hui que jamais dans
l’histoire du monde. Elle est étudiée dans les collèges; l’accès à elle peut être faite dans
les bibliothèques; mais la Bible est sur la table de centre à la maison, disponible dans les
moments de la maladie, les heures de chagrin, et prête dans l’événement fatal de la mort
pour clignoter sa lumière par la vallée des ombres, de “conduire la douce lumière, au
milieu entourant de la tristesse, que vous me guide.” Si la Bible est simplement un livre
de l’histoire d’une race obscure et une nation d’un peuple sur la face arrière de la
Méditerranée, comment tenir compte de l’influence indéniable qu’elle occupe dans le
monde? Il n’y pourrait avoir aucune explication.
Comment elle a été conservée et transmise à travers les âges! Quelqu’un a dit à
propos de Platon, qu’il doit être “rendu tendrement” – seulement quelques personne dans
une génération quelconque connaissent Platon. Il a été dit que pas plus qu’une douzaine
d’individus dans une génération comprennent Platon. Pourquoi? Parce que Platon ne peut
pas être compris? À peine. Bien plutôt parce que Platon ne tient point de place dans le
cœur des hommes, et est “rendu tendrement,” conservé attentivement, voire presque pas
du tout – en d’autres termes “fragile, manipulez avec soin!” Ce n’est pas ainsi avec la
Bible. Piétinez-la sous vos pieds, brûlez-la en tas et amas, persécutez ceux qui la croit,
recouvrez à tous les moyens de l’effacer. Elle n’a pas besoin d’être maniée tendrement,
faites qu’est-ce que vous souhaitez avec elle – le livre continu à vivre. Où sont les
hommes qui ont “démasqué” la Bible. Morts – partis avec les nations pâles du passé. Où
est la Bible. Elle vit – un témoignage au fait qu’elle est invulnérable. Personne, aucun
groupe d’hommes, n’ont jamais été en mesure de, par la critique lancée contre elle, de
même à faire une brèche dans ce Gibraltar inexpugnable de la révélation divine.
Envisagez sa composition. Elle traite environ 1600 à 2000 ans de temps, si ce
n’est pas plus. À peu près quarante hommes différents se sont misent à l’écrire. [Notes du
traducteur : Par l’inspiration de Dieu, ça va de soi.] Ils furent des hommes de diverses
positions sociales dans la société, qui ont eu des langues différentes, qui n’ont pas vécu
dans la même période de temps, qui n’ont pas connu le même langage; et du premier
jusqu’au dernier, qui ont vécu seize cent ans d’intervalle. Malgré tout, ramassez leurs
écrits, mettez-les dans un livre, et nous avons un livre qui produit un tout consistant.
Quant à son contenu, les hommes sont en procès devant la Bible, pas la Bible en
procès devant les hommes. Un homme a une fois visité un musée d’art qui ne connaissait
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pas des toiles, et lorsqu’il a critiqué un chef-d’œuvre de l’art, l’hôte a fait remarquer à
l’homme, “C’est le visiteur qui est en procès.” Ainsi est-il avec la Bible. C’est le lecteur
qui est en procès, pas le livre. [Notes du traducteur : je pense tout de suite aux mots de
Jésus : « … la parole que j’ai annoncée, celle-là même le jugera au dernier jour. » Jean
12, 48] Votre attitude à l’égard du livre détermine qu’est-ce que vous êtes dans le cœur,
en caractère, en comportement, et dans chaque phase de la vie.
Prenez en considération l’étendue de son contenu. En Osée 8, 12, Dieu a dit par
l’entremise du prophète, « Je lui ai écrit les grandes choses de ma loi; mais elles ont été
estimées comme une chose étrange. » Les « grandes choses » de la loi de Dieu – grandes
du point de vue de la majesté des choses qu’elle renferme; grandes du point de vue de
leurs ampleur; grandes du point de vue de leurs durabilité et l’indestructibilité. « Je lui ai
écrit les dix mille choses de ma loi. » (?) [Notes du traducteur : Je n’ai pas trouvé le
verset]
Examinez la science et l’histoire de la Bible, vous qui niez son historicité et
l’appelle peu scientifique, et voyez qu’elle est l’une et l’autre scientifique et historique.
Elle écrit l’histoire par avance, et révèle les faits de la science avant que la science soit
née. Avant que les hommes de la science ont vécu, avant que la magie et le mot mystique
“science” furent inventés; la Bible a communiqué l’information que la science moderne
corrobore avec l’influence et l’affluence de l’inspiration. Il y a des matières historiques,
scientifiques, géologiques, biologiques, astronomiques, zoologiques – dans chaque sphère
d’étude, dans chaque domaine de la connaissance que l’homme a jamais touché, la Bible
prévoit. Quel livre pour un chétif mécréant, soit un doctorat, soit un représentant de la
théorie ordinaire du singe de la société de 4A à critiquer. Quand leurs noms sont tous
oubliés, et le monde cesse de savoir qu’ils ont vécu, la Bible sera ici, ses bannières
déployées en majesté, en agitant dans la gloire sur les habitants de la terre. Lorsque les
doctorats, avec leur petits noms et importants degrés (grades), ont été oubliés, et tout ce
que leurs titres signifient ne sont plus, comme s’ils n’avaient jamais été, le livre
incomparable subsistera à travers le temps, et ne sera pas détruit malgré l’écoulement du
temps parmi les choses qui restent.
Il n’y a qu’un seul Seigneur Jésus-Christ – un seul Sauveur de l’homme. Le
monde a eu un grand nombre de personnes sociales qui élèvent l’esprit, beaucoup
d’éducateurs, un grand nombre de réformateurs, beaucoup de partisans de la culture
générale (de l’esprit), un grand nombre de bienfaiteurs, mais seulement un seul Sauveur.
Les éducateurs ne sauvent pas, les philosophes ne délivrent pas, les gens qui élèvent le
cœur ne sauvent pas, les bienfaiteurs ne délivrent pas, Jésus-Christ est le seul et unique
sauveur des hommes. Il ne peut pas être mis dans la balance avec Confucius, Bouddha,
Zoroastre, Mohammed, ou une autre personne quelconque. Il est le Christ incomparable.
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Il n’y a nulle institution pareille à l’Église du Christ. Le psalmiste David a dit,
« Si le Seigneur ne bâtit la maison, ceux qui la bâtissent travaillent en vain. » (Psaume
127, 1) N’importe quelle institution que Dieu n’as pas construite, toute institution de
laquelle l’homme est l’auteur et le chef, doit passer avec les choses qui sont ébranlables.
Par contre l’institution dont Dieu est l’auteur sera là quand tout le processus d’ébranler
est terminé – elle est le royaume immuable.
Envisagez la mission de l’Église. Sa mission est de sauver des gens. D’autres
institutions peuvent instruire. D’autres institutions peuvent profiter à l’homme
matériellement. Les organisations sociales peuvent donner un habit à un homme qui a
besoin d’un, ou un bain corporel à un clodo, mais tel n’est nul substitut pour le bain de la
régénération et les manteaux (robes) de la droiture, (notes du traducteur : un renvoi à
Ésaïe 61, 10) que l’Église seule accorde.
Considérez la nature spirituelle de l’Église. Étant spirituelle elle est d’autant plus
grande qu’une institution humaine que l’esprit d’un homme est plus supérieur que son
corps.
Envisagez son coût. Cela a coûté le ciel tout ce que le ciel avait. Dieu a envoyé
son Fils unique, de mourir sur la croix, la mort de l’ignominie et de la honte, pour le salut
d’une race pécheresse de l’homme par la voie de son corps acquis par le sang, l’Église. Il
n’y a aucune institution à laquelle l’Église de Jésus-Christ peut être rendue semblable.
Il n’y a pas de vie comme la vie d’un Chrétien, une vie qui est vécue en
conformité avec l’enseignement de Jésus-Christ, dans l’individu; dans la famille; dans
l’Église. On revêt le Christ dans les eaux du baptême (Notes du traducteur : l’immersion
totale des adultes) – l’individu, en Christ. « Car vous tous qui avez été baptisés en Christ,
vous avez revêtu Christ. » (Galates 3, 27) Cependant Paul nous informe que, « Christ soit
formé en vous. » (Galates 4, 19) C’est-à-dire le Christ dans l’individu – Christ est un lui
et il est en Christ, cela fonctionne dans les deux sens. En Colossiens 2, 6-7, Paul explique
que nous « recevons » Christ, et en Galates 4, 6, il indique que nous avons son « esprit, »
ou caractère, « 6 Et parce que vous êtes fils, » [Notes du traducteur : cela tombe dans le
sens de fils d’adoption, Romains 8, 15, ça va de soi!] il dit, « 6 Dieu a envoyé l’esprit de
son Fils dans vos cœurs. » L’esprit du Fils est le tempérament du Fils. Le Fils a le
caractère du Père. Nous avons l’esprit du Père, parce que nous sommes les fils adoptifs
(Romains 8, 15) de Dieu – enfin le naturel du Christ. En Philippiens 2, 5, Paul l’appelle
« la façon de penser » de Christ. [Notes du traducteur : Vine’s : Le nom phronẽma, et le
verbe phroneõ, qui signifient l’intelligence ou la manière de penser] de Christ.
Ainsi Christ est dans l’individu et l’individu est en Christ; Christ est dans la
famille; et la famille est en Christ; et la famille dans laquelle Christ habite vit dans les
relations domestiques bénies. Il s’agit de la conservation de la civilisation. Quand la
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famille est détruite et la maison est désertée, la civilisation ne sera plus. Le salut et la
civilisation dépendent de l’individu d’être dans le Christ, la famille dans le Christ, et
Christ dans tous les deux.
III
LES REMPARTS DE LA FOI
Il est important de toujours peser les preuves qui établissent les assertions du
Christianisme. Il n’y a aucune place pour la crainte dans l’acte de peser ces preuves.
Nous vivons à une époque de doute, et le scepticisme est plus courant, peut-être, que dans
n’importe quelle autre génération, par contre les croyants occupent un terrain solide, qui
n’a pas besoin d’être cédé à une catégorie quelconque de sceptiques. L’incertitude
honnête cède à la vérité, et les preuves invincibles de l’origine divine du Christianisme et
de l’inspiration de l’Écriture sainte vont corriger un pareil doute et rendent résolus les
hommes afin qu’ils croient qui prendront le temps et la peine d’examiner les preuves avec
l’intelligence. On dit que Hume se vantait d’être le “prince des sceptiques,” et que
Voltaire fut considéré comme le “prince des railleurs,” mais selon la rumeur publique ils
ont fait des aveux de n’avoir jamais lus la Bible dans son ensemble. Dans un résumé des
remparts de la foi, laissez-nous observer les faits fondamentaux qui forment les remparts
de la foi.
Premièrement : L’Être De Dieu, En Qualité De Créateur De Toutes Choses.
Il y a ceux qui déploieraient la Bible contre la science en préconisant les théories
de l’évolution. Toutefois une déclaration correcte de la question serait : La Bible et la
science contre les théories de l’évolution. Les théories de l’évolution ne sont pas la
science. Une définition de la science a été formulée en ses termes : “Un corps en
corrélation de la connaissance absolue.” Cette connaissance est acquise par l’observation;
prouvée par la démonstration; raffinée par l’expérience dans le traitement de tels faits; et
est en ce cas spécialisée sous un certain titre dans le champ de recherche. Donc une fois
de plus il est déclaré que “la science est la connaissance acquise et vérifiée.” Ceci
harmonise avec le sens du mot lui-même, car la science signifie d’avoir la connaissance
de – et il n’y a rien que n’importe quel homme puisse prouver qu’il connaît qui contredit
la Bible. Le fait est que, connu à tout homme qualifié dans de pareils champs d’étude, la
question des origines est philosophique plutôt que scientifique. Les hommes de science
vont admettre qu’effectivement il n’y a pas de la science des origines. La théorie de “la
cellule unique,” le dernier fruit (Notes du traducteur : ce fut le dernier fruit à ce temps
que l’auteur a écrit ce livre) de l’intelligence des évolutionnistes ne peut pas être prouvé
par la démonstration scientifique, et ne résistera pas sous l’examen rigoureux
philosophique. Les conclusions sont en opposition à cette théorie des origines. Sans tenter
de faire une étude exhaustive ou détaillée de ce sujet, permettez-moi d’indiquer quelques
10
objections simples mais solides à la théorie de la cellule unique de l’origine de toutes les
formes et phases de la vie.
(1) Le pouvoir absolu de l’esprit sur la matière.
L’évolution enseigne que la matière a fait l’esprit. Cependant les faits montrent
que la matière a été faite pour l’esprit et conservée pour l’esprit. Par l’esprit la foudre est
enchaînée; par l’esprit la puissance de la vapeur est contrôlée; par l’esprit la force du lion
est rendue faible, tout cela par le pouvoir de l’esprit. Si la matière a fait l’esprit, alors la
matière pourrait et a créée quelque chose plus grande qu’elle-même. Qui peut le croire?
(2) L’origine du sexe.
L’évolution enseigne que de quelque chose sans sexe, les choses qui ont des sexes
(ou ont des rapports sexuels) ont développé; et ces sexes ne se connectent en aucune
façon, sauf pour propager leur espèce; et ceci sans une prévoyance quelconque de la part
de la chose non sexe de laquelle les sexes ont évolués! Qui peut le croire?
(3) L’origine de la matière organique.
L’évolution enseigne que la matière inorganique est devenue la matière
organique, et que la matière organique a ensuite évolué dans un homme. La matière
inorganique est devenue la vie végétale; la vie végétale est devenue animale; et la vie
animale est devenue un homme – Qui peut croire cela?
Laissez l’évolutionniste infidèle trouver le commencement sur le changement de
l’inorganique à l’organique; du végétal à l’animal; et de l’animal à l’homme. Dès le tout
début de l’histoire, toutes les choses ont été pareilles, avec l’homme ayant le pouvoir sur
toute chair.
(4) La vie animale n’est pas à partir de cellules végétales.
L’évolution enseignes que toute vie vienne du même géniteur aborigène. Vu cette
théorie, je soumets ces considérations :
1. Les cellules animales et végétales sont radicalement différentes en structure.
La nourriture organique détruit les cellules végétales. L’aliment inorganique
détruit les cellules animales. Mettez le fumier putréfié de l’étable dans un coteau de
pommes de terre et il produira de meilleures pommes de terre, essayez de le mettre dans
la vache pour un meilleur beurre et voir comment cela va fonctionner, ou combien de
temps la vache vivra! En revanche donnez la viande crue à un chien et cela va
l’engraisser; mettez la même viande sur une plante de chou, et ça va le tuer.
2. Les exemples dans la vie végétale et animale ne sont pas pareils.
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Si la vie animale est arrivée de la vie végétale, pourquoi la vie dans le règne
végétal est la même dans tous les exemples, quand ceci n’est pas vrai dans le règne
animal? L’herbe verte et le grand bois sont nourris en exactement de la même manière.
Cependant ceci n’est pas ainsi de l’insecte et l’éléphant, ou d’une fourmi et un homme.
3. La théorie de la cellule unique ne tient pas compte de la loi de la résistance.
Donnez des coups de hache sur un arbre et il n’y a nulle résistance – essayez dont
l’expérience sur la jambe d’un mulet – sa patte arrière! Enlevez la peau de la main et elle
va guérir; enlevez l’écorce de l’arbre et l’arbre va mourir. Qu’est-ce qui s’est passé à
cette loi de la résistance et comment le changement s’est produit?
4. La théorie d’une cellule unique viole la loi de l’absorption.
L’arbre et la plante boivent la pluie et la clarté du soleil, et la pluie sur la terre l’a
rafraîchi, mais sur le cheval, le chien ou vous-même, il n’y aurait aucun résultat
semblable. Qu’est-il advenu de cette loi de l’absorption?
5. La théorie de l’évolution est contraire à la loi de « l’espèce produit selon son
espèce » (Notes du traducteur : Genèse 1, 11-12 [les plantes et arbres]; Genèse 1, 21-25
[les animaux]; Genèse 1, 26-28 [les êtres humains])
Si la vie animale provienne de la vie végétale, expliquez-moi pourquoi le pelage
pousse sur la vache et le cheval, la laine sur le mouton et les plumes sur l’oie – ils
mangent tous de l’identique nourriture.
6. L’hypothèse de l’évolution est à l’encontre de la loi du développement. Si la
vie animale provenait de la vie végétale pourquoi le développement est-il devenu
statique? Et quand est-ce que le changement a eu lieu? Quel pouvoir a commencé
l’inclinaison et a empêché le déclin? Si la vie animale provienne de la vie végétale,
pourquoi cela prend l’arbre beaucoup plus d’année à croître qu’un animal ou un homme?
Pourquoi une telle grande différence de longévité?
Dans les sortes de vers et de reptiles qui se divisent – comment ont-ils fait que
ceux qui proviennent d’un œuf de commencer cette forme? La mutation est dans les
espèces, ou genres. Il y a beaucoup d’exemples de la loi de la mutation, dans le monde
des poulets par exemple, mais pas un seul exemple où un poulet a été développée
(évoluée) en quelque chose qui n’est pas un poulet. Cela serait la transmutation, ou de
croiser des espèces pour que ces espèces puissent changer complètement à d’autres
espèces, tout à fait différentes que les espèces originales, [en anglais : the crossing over
of the species] une chose pour laquelle il n’y a pas un seul exemple qui puisse être
produit. Ce seul et unique fait constitue un obstacle insurmontable à la théorie de
l’évolution. Si les évolutionnistes pourraient trouver une chatte qui pond des œufs et fait
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éclore une portée de chatons, et une poule qui mise bas à une couvée de poussins, ça
serait un bon début vers la tâche devant eux de prouver la possibilité de la transmutation.
[Notes du traducteur : Une explication des difficultés insurmontables, voir impossible
quoi! de la transmutation vont être pris avec les exemples suivants : (Les définitions de
Larousse Lexis : Le Mulet. 1. Un animal hybride, toujours stérile, issu de l’accouplement
d’un âne et d’une jument. (Le produit du cheval et de l’ânesse s’appelle bardot.) La
Mule. 1. Produit femelle, rarement fécond, résultant de l’accouplement d’un âne et d’une
jument ou d’un cheval et d’une ânesse.) Le supposé processus inverse de la théorie d’une
unique cellule, devrait être possible, si par la théorie d’une unique cellule, toutes sortes
d’espèces sont évoluées, on devrait voir la preuve d’être capable d’aller dans le sens
contraire. Avec les exemples fournis de Larousse sur le mulet, le bardot et la mule, on
voit combien cela est difficile, même à l’intérieur d’une espèce apparentée, sans parler de
croiser des espèces entièrement différentes. Et cela ne s’accompli pas en ajoutant des
millions ou des milliards d’années pour que le processus soit fait; car le processus est bel
et bien bloqué, entre des espèces. Dieu l’a fait ainsi! Dieu a crée des espèces distinctes
qui sont différentes des unes des autres.]
Sur le sujet des genres (types) et variétés, il n’y a que quelques genres, mais de
nombreuses variétés. De la famille féline, sont les chats, les lions, les tigres, les léopards,
les pumas, et les lynx. De la famille des canidés sont les chiens, les loups, les chacals et
les renards. De la famille des chevalins (ou des équidés) sont le cheval, le zèbre et le
quagga (une sorte de zèbre). Des mastodontes sont l’éléphant, le rhinocéros et
l’hippopotame.
Les infidèles épiloguent sur l’idée que deux de tous les animaux furent pris dans
l’arche, pourtant la Bible ne dit pas ça. Elle révèle deux de chaque « espèce [kind]. »
(Genèse 1, 11.12.21.24.25; 6, 19-20) Elle ne dit même pas ça, les variétés, ou espèces –
elle dit sorte. (La version du roi Jacques « kind ») Il existe un grand nombre de variétés
d’une espèce [kind], mais seulement quelques sortes [kinds].
(5) La vie humaine n’a pas évolué de la vie animale.
En opposition à la théorie que l’homme est descendu d’un ordre inférieur de la vie
animale, je soumets ces considérations :
1. La Bible affirme la création directe.
Dieu a crée l’homme en tant que l’homme. Moïse a énoncé que l’homme a été
formé à partir de la poussière de la terre (Genèse 2, 7). Darwin a dit que l’homme a
évolué de certaines influences au fin fond de la mer. Moïse a dit la poussière de la terre –
Darwin a dit la boue. Juste une différence dans la terre sèche et la boue! La seule idée
correcte que Darwin a eu, il l’a empruntée de Moïse!
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Moïse a fait savoir qu’ « Il [Dieu] les créa mâle et femelle, » (Genèse 1, 27) au
début. Dans tous les animaux le mâle est le plus gracieux, en plumage, en allure, et en
beauté. Ceci n’est pas ainsi de l’homme – pourquoi? Si l’homme a évolué de l’animal, il
devrait suivre l’ordre de l’animal. Quand et comment le changement a commencé?
2. Les races de l’homme comparées à l’animal.
Il y a cinq genres humains. Le gouvernement les classe sous seulement trois titres
– la race Caucasienne ou la race blanche, la race Mongole ou mongoloïde, la race
Africaine ou négroïde ou la race noire. Toutes ces races de l’homme peuvent être
métissées en mariages, et le produit continuera à porter la semence selon son espèce. Ceci
n’est pas vrai des animaux. Le mulet, par exemple, est un croisement entre l’âne et d’une
jument ou le cheval et l’ânesse (bardot), mais il est un hybride et ne peut produire son
espèce. Malgré tout il devient beaucoup plus fort que l’un ou l’autre ancêtre. Si la vie
humaine a évolué de la vie animale, pourquoi ces différences? [Notes du traducteur,
prises de Wikipédia : L’âne Equus africanus asinus, est un membre domestiqué de la
famille de cheval, Équidés. Les mulets et les bardots ont 63 chromosomes, un mélange de
64 du cheval et 62 des ânes. La structure différente et le nombre empêchent
habituellement de correctement faire le jumelage et de créer avec succès les embryons, et
de rendre la plupart des mulets infertiles. Il n’y a pas de cas enregistré des étalons
muletiers fertiles … Le mulet et la mule sont des hybrides statistiquement stériles de la
famille des équidés, engendrés par un âne (Equus asinus) et une jument (Equus caballus).
Infécond (chromosomes issus de deux espèces proches mais différentes qui ne permettent
pas d’appariement lors de la méiose et donc l’impossibilité de fabriquer des gamètes). La
stérilité, les mulets sont le plus souvent stériles. En cinq siècles, la société muletière
britannique n’a enregistré que 60 naissances naturelles dues à des croisements spontanés
entre ânes et chevaux, ce qui montre la marginalité du phénomène et la quasi
impossibilité en pratique de créer une nouvelle espèce commercialement viable pour les
éleveurs. Contrairement à une idée particulièrement répandue, ce n’est pas le nombre
impair de chromosomes du mulet qui bloque la méiose mais la différence des structures
chromosomes chez les deux espèces parentales. Notes du traducteur : On voit ici la
grande difficulté seulement pour les espèces parentales, sans compter les espèces
carrément différentes. Imaginez d’essayer de croiser ces espèces qui sont entièrement
différentes? La théorie de l’évolution tourne les infidèles en ridicule! Ils ont plus de foi
que nous!!! Psaumes 14, 1 : « L’insensé a dit en son cœur : Il n’y a pas de Dieu. » Je
répète, encore une autre fois, Dieu a crée des différentes espèces, et cela est ainsi.]
Et si tous les animaux sont du même géniteur, puisque la vache va ruer pareil
qu’un cheval, pourquoi les chevaux n’ont pas les cornes comme une vache? Le cheval
n’a donc qu’une arme défensive, tandis que la vache en a deux – qui ressemble un peu à
la discrimination!
14
Si tous les exemples du royaume animal sont du même insecte animal ou géniteur
– pourquoi les ancêtres de certaines espèces ont deux jambes (pattes), et quelques autres
ont quatre? Pourquoi il n’y a pas des exemples d’oiseaux à quatre pattes, et les hommes
avec des ailes? Peut-être cela va être dans l’autre monde – vous dites – mais les
évolutionnistes ne tiennent pas à la croyance en la vie future!
3. Le principe de hasard.
Si le hasard et non pas l’intelligence est le principe directeur, nous nous
attendrions naturellement à trouver des animaux avec toute sortes de déformations : Les
yeux où les oreilles devraient être, le nez derrière les oreilles en avant; un cheval avec la
tête d’une vache et une vache avec les cornes d’un rhinocéros, un élan ou un orignal.
Permettez l’évolutionniste d’expliquer le cou de la girafe, la trompe d’un éléphant, et
l’œil d’un aigle, et la main de l’homme. Et si l’homme n’avait utilisé que sa main pour se
nourrir, aurait-il conservé ses pattes en avant, comme son ancêtre supposé le singe? Ces
illustrations démontrent le principe de l’adaptation par la loi, rien excepté de
l’Intelligence, dans l’origine de tous les êtres vivants.
4. La théorie de la tendance montante.
Si l’évolution est vraie, et la tendance est en montant, pourquoi n’a-t-il pas eu une
nouvelle espèce de l’humanité développée (évoluée) – une espèce angélique, avec une
sphère supérieure de l’existence et de demeure? Cependant il y a en fait plus de
différence entre le plus élevé chez le singe et le moins élevé dans l’homme, qui est le
prochain dans l’ordre de l’échelle ascendante, qu’il n’y en a dans le plus grand singe et le
plus petit dans la famille de singe. Pourquoi n’avons-nous pas une série d’intermédiaires?
Si la théorie de la tendance montante est vraie, et toute chose est de la même
origine, pourquoi qu’est-ce qui est le plus élevé est le sujet le plus dépendant? L’homme
travaille pour se nourrir et sa bête, en revanche la bête pourrait vivre sans l’homme si
lâchée avec la nature, avec l’homme hors du chemin. Par contre l’homme est dépendant
sur les autres animaux – tout de même il est plus élevé et plus important. Ainsi le plus
important est le plus dépendant.
Si l’homme est descendu de l’animal, pourquoi l’animal est grossi beaucoup plus
tôt? Un singe grandi dans deux ans. L’homme a vécu à une fin beaucoup plus ancienne,
tant l’une et l’autre la Bible et l’histoire. Pourquoi cela est ainsi, s’il venait à partir
d’animaux de beaucoup plus courte durée de la vie? Si des milliers d’années l’homme est
venu des animaux qui ont vécu de courte durée mais ont vécu si longtemps, pourquoi il
ne vive pas plus longtemps en ce moment-ci? Si l’évolution est vraie, le différent
développement dans les différentes nations ne pourrait pas être vrai, il devrait
inévitablement être la même. La tendance étant en montant, pourquoi certaines nations
ont, à ce titre, déclinées? Si l’ascendance de l’homme est le singe, puisque le sang de la
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race noire va paraître dans la 10ième génération, d’après la science, pourquoi les bébés ne
sont pas nés avec les longues queues à présent?
Moïse a dit que l’homme est arrivé par un miracle, non pas d’un singe, mais s’il
est venu d’un singe, il est toujours un miracle, parce qu’il n’est pas fait de cette façon
maintenant! Si l’amélioration est la loi de la nature, alors la perfection est la fin (le
résultat final), et s’il n’y a pas de Dieu, il y aura, quand la fin est atteinte.
Le récit biblique de l’origine de l’homme est simple et rationnel, et est en accord
avec la géologie que chaque espèce créée fut parfaite en nature lors de la première.
L’homme fut physiquement, mentalement et moralement pure au début, la corruption est
arrivée par le péché. Les socialistes infidèles racontent que l’immoralité est due à la lutte
de l’homme pour maintenir la vie. Pourtant sa théorie infidèle de l’évolution dit que de la
lutte pour la vie est venue la moralité et la vie réglée et saine. Comment la force morale
dans l’homme pourrait se développer de la grande lutte pour la vie, et puis être perdue par
la lutte pour la maintenir?
Ce sont juste quelques-unes des nombreuses illustrations qui contrecarrent la
théorie de l’évolution et la montrent qu’elle est non scientifique et fausse.
Deuxièmement : L’Intégrité De La Bible En Tant Que La Parole De Dieu.
Le Psalmiste a dit : « Pour toujours, Ô Seigneur, vôtre parole subsiste dans les
cieux. » (Psaumes 119, 89) Le témoignage de la Bible à elle-même est une preuve
suffisante de son intégrité inspirée. « Votre parole est vérité depuis le commencement. »
(Psaumes 119, 160) Bien qu’elle ne soit pas un manuel d’ou bien l’histoire ou bien la
science, tout de même elle ne confond jamais un fait avec la fable ni la science avec la
superstition. Un exemple de ceci est vu en ce que dans la Bible l’astrologie n’est jamais
prise par erreur pour l’astronomie – la première est une superstition, la dernière une
science; mais les auteurs de la Bible ne les confondent pas, quoiqu’ils aient vécu au
temps de la superstition, et ils ne furent pas eux-mêmes des hommes de science.
Comment expliquez-vous cette précision scientifique des auteurs de la Bible? La seule
bonne réponse est dans le mot révélation.
On nous a demandé si la seule preuve de la révélation est la Bible elle-même,
prouvant le livre par le livre. Nous répondons que la preuve dans le livre est tout à fait
suffisante, néanmoins il y a des preuves externes aussi bien qu’internes de la révélation
divine. Les deux la nature de l’univers et la nature de l’homme fournies des volumes de
preuves que Celui qui a construit l’univers et a fait l’homme, a également bâti le Livre et
a écrit la Parole. De nouveau, David a dit, « Vos témoignages sont des choses
merveilleuses; c’est pourquoi mon âme les a gardés. » (Psaumes 119, 129) Sur ces points
quelques considérations sont en ordre.
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(1) Le besoin de la révélation divine.
À la différence de l’animal en qualité d’une créature mourante, l’homme possède
de l’amour de la vie et de la crainte de la mort. (Notes du traducteur : Ceci est son
opinion pas la mienne). Il est peu satisfait d’être venu au monde seulement de
commencer à mourir le jour qu’il fut né. Dans sa nature il y a une envie pour un destin
au-delà des limites de la vie ici-bas, une aspiration vers la révélation de son origine et sa
destinée. La Bible répond à son désir, et révèle ce sort.
Contrairement à l’animal une fois de plus, comme un être qui aime adoré, il
possède le désir de rendre un culte à Dieu. Ceci réclame qu’il ait un objet de culte. Son
impuissance à créer le rend impossible pour l’homme de faire son propre idéal. De là,
l’objet de son culte doit être nécessairement révélé.
En tant qu’un être rationnel étant tout mais dépourvu d’instinct, et incapable de
subvenir à ses propres besoins, sa raison, l’affection et la conscience qui l’élèvent audessus de la créature d’instinct automatique, exige une religion révélée en langage appris.
Étant une créature universelle, pour obvier le préjudice de cette religion révélée elle doit
être non secte et internationale, toute distinction de secte surmontée, et tel est le
Christianisme – la religion révélée de la Bible. Et tel est le caractère de la Bible, en
qualité de le révélation de Dieu à toutes les races de l’homme dans chaque pays et climat
de la terre, révélant l’origine, l’histoire, et la destinée de la famille humaine, depuis le
commencement du temps jusqu’à l’aube de l’éternité. Il s’agit de la plus longue ligne de
pensée jamais tissée dans le métier de temps, tout de même exprimée dans les termes
clairs et faciles, qui à la différence des livres des hommes, les traductions sont dans
chaque langue de l’homme ne la faiblit pas – la preuve qu’elle est surhumaine, le livre
d’en haut.
(2) La preuve de la révélation divine.
Il y a un grand nombre de marques de l’origine divine qui se trouve sur les pages
de la Bible.
1. Son impartialité surhumaine.
À la différence des livres humains, dans les vies et les actes des héros Bibliques,
leur faiblesse de caractère, erreurs et méfaits sont enregistrés, et exposés; Adam a péché
et fut expulsé de son chez-soi primitif; l’ivresse de Noé a été relatée avec toute sa
répulsion; la transgression de David fut révélée en tant qu’une orgie de luxure; le
reniement de Pierre a été mentionnée comme un trait de lâcheté.
Où est-il un livre de l’homme comme elle? Laissez les infidèles expliqués
l’impartialité véridique de la Bible sur les simples raisons de l’identification de l’auteur.
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2. Ses récompenses et ses châtiments.
L’homme ne pouvait pas proposer des bénédictions ni menacer des châtiments
supérieurs à son imagination, ni écrire de l’avenir plus long que lui lui-même pouvait voir
une telle application. La durée étant éternelle, l’homme ne pouvait pas concevoir une
telle chose. L’enseignement de la Bible concernant l’éternité projette l’homme plus loin
et plus profondément dans l’avenir que son imagination pourrait inventer ou son esprit
concevoir.
3. Ses auteurs ne sont pas incompatibles.
Sans effort apparent pour éviter les contradictions, il n’y en a pas en elle. Elle ne
propose pas d’harmoniser les divergences apparentes que l’homme croit à découvrir. Il
n’y nulle contradiction en elle, et les divergences disparaissent dans la lumière de tous les
faits. Le fait que ses auteurs furent séparés par le temps et les climats, et la race et la
langue, sans aucune connaissance des uns des autres, malgré tout ont été convenues dans
tout ce qui est écrit, prouve que la Bible n’est pas l’œuvre des hommes.
4. Ses exigences sur l’individu.
La Bible revendique les cœurs, les vies et le respect religieux de tous les hommes
de toutes les générations, sans s’excuser pour la demande. Le plus inspirant de tous les
philosophes humains n’aurait jamais rêvé d’une pareille chose. L’homme n’a pas écrit la
Bible – elle est le livre d’un Dieu éternel et universel.
(3) Le caractère du témoignage.
Les témoignages à la divinité de la Bible ont passé tous les tests.
1. La vie de Jésus.
Il a vécu dans la peine et le sacrifice et a enseigné à ses disciples à faire de même.
« Travaillez, non pas pour la nourriture qui périt; » (Jean 6, 27) « Ne vous amassez-vous
point des trésors sur la terre; » (Matthieu 6, 19) « Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il
renonce à lui-même, et qu’il se charge de sa croix, et me suivre. » (Matthieu 16, 24)
Comment un enseignant humain quelconque pouvait s’attendre à des recrues
prêtes des appels qui offriraient seulement l’affliction et l’opprobre? Est-ce que l’histoire
du monde enregistre un tel cas comme ceci? L’honnêteté d’un pareil appel fut absolue, et
ne peut pas être discréditée.
2. Le test de la pureté.
La pureté de vie requise des disciples de Jésus est une preuve de base. Le fait du
Christianisme est attesté par les miracles; la profession de celui-ci est attestée par la
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moralité. Mohammed ne se souciait pas d’aucune évaluation de ces sujets quant à son
caractère moral et n’a fait nulle exigence quant à leur propre moralité. Cela lui marque
comme un prétendant. Christ exige la pureté au point qu’il n’y a point de communion
avec lui sans elle. Les infidèles peuvent-ils trouver quelque chose de semblable dans
l’histoire?
3. Le test de la véracité.
Quelques-uns reconnaissent la pureté du caractère de Jésus, en revanche nient ses
assertions de divinité et déité. Ils sont inconséquents. S’il ne fut pas divin, il a été un
imposteur. Il n’y a pas une telle chose comme Jésus étant un homme bon si ses
allégations ont été fausses. Cependant sa vie et son enseignement sont les références de la
divinité. Son labeur et son enseignement sur l’éternité – cette gloire dans l’autre vie
suivrait les souffrances et les sacrifices ici présentent. Où est l’homme qui allait passer sa
vie, tous ses jours, dans la fatigue et la faim pour un vain espoir de gloire après qu’il est
mort?
4. La sincérité des ses témoins.
Le zèle inflexible, accouplé avec leurs vertus, leur volonté de mourir, n’aurait pas
pu être fondés sur la supercherie et la duperie – ils auraient pu abjurer à tout cela et vivre.
Ce qu’ils enseignaient était vrai, soutenu par la vie et confirmé par la mort. Joseph Smith,
le chef Mormon, et son frère Hyrum se sont battus pour vivre quand la foule est arrivée
de les saisir pour leurs mauvaises actions, et ils sont morts en se battant avec des pistolets
pour échapper à l’assassinat. Comparez-le avec la mort de Jésus et le martyre des
Chrétiens. L’homme n’a pas écrit la Bible. Le Christianisme est de Dieu.
(4) La preuve de l’inspiration.
Le contenu de la Bible fourni suffisamment de preuve de la divinité.
1. L’harmonie de ses auteurs.
Les prophètes de l’Ancien Testament n’ont pas compris qu’est-ce qu’ils ont
prophétisé, mais ils ont tous parlé et écrit en harmonie, sans contradiction dans les faits
de la vie, de la mort et du règne du Messie à venir. Comment pouvons-nous expliquer
pour ceci s’ils n’avaient pas parlé par l’inspiration? (I Pierre 1, 10-12; II Pierre 1, 21)
Les auteurs du Nouveau Testament sont d’accord sur ce que les auteurs de
l’Ancien Testament voulaient dire. Nous nous faisons une idée claire de l’Ancien
Testament à la lumière du Nouveau Testament. Il n’y a jamais le moindre désaccord entre
les auteurs du Nouveau Testament par rapport à la signification ou l’application d’une
prophétie ou une déclaration de l’Ancien Testament. Mettez en balance aux
interprétations des hommes qui ne tiennent aucun compte du Nouveau Testament en
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traitant des prophéties de l’Ancien Testament. Cette harmonie peut-il être humaine, ou
est-elle la preuve d’une chose surhumaine? (Romains 16, 25; Éphésiens 3, 1-6)
Les auteurs du Nouveau Testament sont en accord sur les choses de l’avenir. Sur
les sujets de l’infinité, le second avènement du Christ, le jugement futur, la résurrection
des morts, la récompense et le châtiment, il n’y a jamais une différence dans
l’enseignement des auteurs du Nouveau Testament – pas la moindre divergence. (II
Pierre 3, 15-16)
Les Apôtres du Christ ont été en accord sur le sens et l’application des types et
des symboles de l’Ancien Testament. Sur les types du tabernacle et le temple, le sacrifice
et la Pâque, la ligne majestueuse et royale de David en Christ, et une légion d’autres, les
auteurs du Nouveau Testament sont d’accord inexplicable. (Hébreux 8-9-10-13; Actes
15, 13-18)
2. La précision de ses auteurs dans les déclarations accessoires.
L’historien des Actes est correct dans de telles expressions que « 5 descendit dans
une ville de Samarie » (d’Actes 8) de Jérusalem à Gaza, et « 17 montai à Jérusalem »
(Galates 1) de l’emplacement de Paul à Damas. Ce sont que de nombreux exemples, tous
exacts dans les moindres détails.
Les récits des quatre évangiles dans les détails de la naissance de Jésus (Matthieu
1, 17-25), la fuite en Égypte (Matthieu 2, 13), les mères qui pleurent (Matthieu 2, 16-18;
– Jérémie 31, 15), la résidence en Nazareth (Matthieu 2, 23; [Notes du traducteur :
aucune référence intrinsèquement dans l’Ancien Testament est donnée ici, étant donné
que le Nouveau Testament commence théoriquement à la croix du Christ (Colossiens 2,
14) et qu’il y avait des prophètes a ce temps-là, le Talmud mentionne Jésus en tant que
Yeshu Hannotzri (le Nazaréen) [information prise d’Apologetics Press] et Actes 24, 5 qui
mentionne que les Chrétiens furent appelé la secte des Naraziens, Matthieu 2, 23 et situé
du côté de l’Ancien Testament, car Christ n’est pas mort en Matthieu 2, 23, mais en
Matthieu 27, 50), l’enseignement en paraboles (juste un exemple ici : Luc 14, 15-24), les
circonstances du décès (Psaumes 22, 16; – Marc 15, 24; Matthieu 27, 35; Luc 23, 33;
Jean 19, 33.37; 20, 25; Psaume 22, 18; – Luc 23, 31l Jean 19, 24; Ésaïe 53, 3; 49, 7; 52,
14; – Marc 9, 12; Jean 16, 32; Ésaïe 53, 4; – Matthieu 8, 17; Ésaïe 53, 5; – 1 Pierre 2, 24;
Romains 4, 25; 1 Corinthiens 15, 3; 1 Pierre 2, 24; Ésaïe 53, 7; – Matthieu 26, 63; 27,
12.14; Marc 14, 61; 15, 5; Actes 8, 32; Ésaïe 50, 6; – Matthieu 26, 67; Zacharie 12, 10; –
Jean 19, 34; Apocalypse 1, 7 etc.), en tirant au sort (un exemple est Matthieu 27, 35), se
partagèrent ses vêtements (Matthieu 27, 35), les soldats qui se moquaient de lui (Matthieu
27, 28-29-31), la mise au tombeau (Matthieu 27, 59-60), la place de Judas (Actes 1, 16),
la descente de l’Esprit [l’Esprit a été répandu] (Actes 2, 17), et le nouveau nom (Ésaïe 62,
2; 65, 15; – Actes 11, 26; Actes 15, 15-17), ils sont tous des exemples de la multitude des
20
renvois exacts dans le Nouveau Testament des détails de l’Ancien Testament dans la
prophétie.
3. Les anticipations de ses auteurs.
Moïse a énoncé « faisons l’homme à notre image. » (Genèse 1, 26) – faisons (le
nous) qui? Le fait de la “Trinité” n’a pas été révélé jusqu’à 4000 ans après la déclaration
de Moïse. L’homme simple n’aurait pas pu utiliser le pluriel « nous » en Genèse 1, et
n’aurait jamais pu connaître son poids. (Matthieu 28, 19; Jean 1, 1-3; Hébreux 1, 2)
Jésus a fait une déclaration de l’exactitude scientifique impliquant le fait de la
rotondité de la terre. Le Seigneur a représenté son second avènement de survenir « 31 en
ce jour-là » et « 34 en cette nuit-là, » qui ne pourrait être vrai que sur la base du fait de la
rondeur de la terre – le jour sur un côté, la nuit sur l’autre – d’où, la déclaration du
Seigneur fut scientifiquement exacte, une déclaration qu’un simple homme n’aurait pas
pu faire, et que son auditoire n’aurait pas employée. (Luc 17, 31.34) Il n’aurait pas pu
venir « en cette jour-là » et « en cette nuit-là » dans un avènement sur n’importe quelle
autre supposition que la rotondité de la terre – un fait que personne n’a connu à ce
moment-là.
Moïse le législateur de l’Ancien Testament, a déclaré que « 23 le sang est la vie, »
(traduction française du roi Jacques) une déclaration de l’exactitude scientifique, la vérité
de laquelle a été réservée à la démonstration scientifique moderne. (Deutéronome 12, 23)
Paul, l’apôtre du Nouveau Testament, a affirmé devant la cour des Athéniens que
toutes les races de l’homme sont d’un sang commun, un fait inconnu aux hommes à
l’époque, que personne ne pouvait avoir déclaré par l’information humaine, et que seuls
les instruments modernes de la science et de l’invention pourraient confirmer. (Actes 17,
26) Comment rendre compte de l’exactitude des prévisions (anticipations) scientifiques
des auteurs de la Bible, s’ils ne furent pas des hommes inspirés?
Matthieu a déclaré que Jésus « a enseigné comme un ayant autorité » (Matthieu 7,
29), sans faire de la philosophie sur l’enseignement, en annonçant tout simplement les
vérités, sans le moindre argument pour le prouver. Des simples hommes écrivent-ils ou
parlent-ils d’après cette manière? L’inspiration seule parle avec l’autorité de
l’annonciation (la proclamation) sans la philosophie ou l’argumentation.
Lorsque Paul a cité un poète païen, il a raisonné à montrer que le poète avait
raison (Actes 17, 28), mais il n’a jamais fait ainsi quand il a annoncé les vérités inspirées.
Les prophètes de l’Ancien Testament ont administré (se sont occupés des) les
choses de l’avenir dont ils ne comprenaient pas eux-mêmes. (I Pierre 1, 11-12). Ils ont
témoigné à l’avance des choses « maintenant rapportées. » Cependant ils ont écrit avec la
21
déclaration positive, annonçant les choses futures comme étant des choses présentes, sans
appréhension, leur langage ne permettant pour aucune des exigences de l’affaire manquée
à la prévision humaine. Les auteurs de la Bible furent des hommes inspirés.
4. L’enseignement et la tenue des apôtres n’ont pas été les paroles et les actions
des simples hommes naturels.
Jean s’en sert invariablement la troisième personne quand il fait référence à luimême. Pierre a dit que le Seigneur Jésus lui a montré au lieu de s’attribuer le mérite et de
prendre la gloire pour lui-même. Pierre et Jean ont refusé l’honneur et ont désavoué un
pouvoir quelconque qui leur fut propre. Paul a renié un parti fondé sur son nom et a fait
des reproches aux adeptes partisans. Paul savait que les fers lui attendaient à Jérusalem
mais il est allé là quand même. Paul devant Félix, Festus et Agrippa a imploré seulement
pour leur conversion, pas pour sa propre défense et libération. Napoléon a accepté
l’adulation de ses sujets. Les apôtres rendaient tout l’honneur et gloire à Qui cela fut du.
Les infidèles peuvent-ils l’expliquer? Nous savons pourquoi. Ils (les apôtres) savaient
qu’est-ce qu’ils enseignaient fut vrai.
5. L’adaptation universelle du langage de la Bible.
Les paroles dans les différentes générations changent, par contre les mots de la
Bible ne sont pas affaiblis lorsqu’ils sont traduits dans les diverses langues, à la
différence des livres des hommes. Les mots de la Bible font des lois contre toutes les
dégradations du péché sans la vulgarité des hommes dans les termes qui désignent la
méchanceté des choses contre lesquelles elle légifère.
6. Les qualités surnaturelles de l’Église primitive.
La concorde et la discipline de l’Église primitive; les dotations (douer des dons)
miraculeuses attribuées aux membres de l’Église d’origine; les vertus des premiers
Chrétiens; l’influence de l’espérance de la vie dans l’au-delà; le zèle inflexible des
disciples du Christ entre les poursuites Juives d’une part et les persécutions païennes
d’autre part – l’uniformité dans la conduite des adeptes du Christianisme l’apporte en
dehors du naturel dans le domaine du surnaturel.
(5) La Bible n’est pas une fable.
Moïse a commencé à écrire (sous l’inspiration de Dieu, bien entendu) la Bible,
non pas avec l’histoire de sa propre vie, mais de la création; et au lieu de prendre la gloire
pour son propre âge du temps, il a attribue cela à 2500 ans avant, et il a omis les 1500 ans
de ses propres générations à un âge futur et éternel à venir. Cet esprit peut-il être humain?
Si la Bible n’est qu’une légende, pourquoi les infidèles cherchent sa destruction et à se
préoccuper de son renversement plus que tout autre fable? Il y a des milliers de légendes
22
qu’ils laissent passer – pourquoi ne pas laisser passer la Bible, si elle est une simple
fable?
Le scepticisme n’a jamais fait, ne fait jamais et ne jamais peut proposer de rendre
les hommes meilleurs. Il n’offre aucune récompense pour être bon et nul châtiment pour
être méchant. Il ne corrige pas les erreurs dans la vie, ni ne règle les empiètements sur les
droits de l’homme. Il est l’absence de la lumière, de la connaissance et de la foi. Cela est
de tâtonner sans lumière; c’est la maladie sans remède; le froid sans la chaleur; une
famine sans nourriture; et une soif sans eau. Le scepticisme est un système de refuser, de
résister, de nier et de mourir. Il ne peut pas régler quelque chose ni arranger quoi que ce
soit. Il est pauvre, misérable, nu et aveugle. Le scepticisme a fait quoi? Rien sous le
soleil. Pourquoi les sceptiques opposent-ils la Bible? Pourquoi rendent-ils si fureur à
l’encontre d’elle? Parce que le livre les condamne à chaque tour. Leurs esprits ne peuvent
pas trouver le repos. Le livre ne va pas les laisser en paix. Il les suit par jour et les hante
par nuit. Il est devant eux quand ils s’élèvent, et il est là lorsqu’ils s’allongent. Il tonne
dans leurs oreilles. Ils déclament avec extravagance et ils divaguent, ils se moquent et ils
ont du dédain pour ce livre – mais ils ont peur!
Le Christianisme est la seule religion sûre. Aucune autre ne répondra aux
nécessités pour la connaissance de l’origine, l’histoire et le destin de l’homme. Il n’est
pas raisonnable de penser que Dieu, même s’il est appelé la Nature, pourrait oublier la
révélation d’une telle chose, mais expose les matières de moindre importance. La Bible
est la révélation de Dieu éternel de l’univers.
En troisième lieu : La Déité De Jésus-Christ, En qualité Du Fils De Dieu.
Le fait de fondement des déclarations de Jésus-Christ est dans les mots, « Vous
êtes le Christ, le Fils du Dieu vivant » – Matthieu 16, 16. [Notes du traducteur : Vine’s :
Un peu de l’explication sur le terme Christ : Christos, Χριστός, littéralement l’Oint,
équivalent du hébreu Messie; (Larousse Lexis : Messie. 1. Envoyé divin chargé d’établir
sur Terre le royaume de Dieu annoncé par les prophètes et reconnu par les chrétiens en la
personne de Jésus.) 1 Timothée 3, 16 : « … que Dieu a été manifesté en chair … » Le
Messie est Dieu, seulement Dieu peut venir nous sauver! Et seulement Dieu est Divin!]
En tant qu’un oracle – il est l’énoncé le plus puissant jamais tomber des lèvres
humaines. Cinq cent fois le nom de Jésus se rencontre dans le Nouveau Testament; sept
cent fois le nom de Christ.
Comme une confession (c’est-à-dire, une profession de la foi en Jésus), ses
paroles, contiennent plus que n’importe quels autre dix mots possibles pour sélectionner.
23
En qualité d’un credo, il est le Seigneur, Jésus, Christ, Sauveur, et Roi. Il traite la
masse entière du domaine (royaume, sphère) spirituel. Enlève-le et la Bible est une coque
vide, une page vierge.
Comme un législateur, personne ne lui arrive à la cheville, remplaçant Moïse
(Matthieu 17, surtout les versets 1-5), au-dessus tous les potentats de la terre (1 Timothée
6, 15).
En qualité du Fils de Dieu, il a été né, toutefois il a bel et bien existé avant. Dans
l’existence de l’homme il doit raisonner d’un pas à pas dans la vie du berceau à la tombe,
de l’enfance jusqu’à l’âge d’homme, de là de la naissance jusqu’à la mort – et il ne peut
faire ainsi qu’en regardant les années qui s’écroulent entre-temps; ses années en tant
qu’un enfant, ensuite le pareil enfant comme un homme, et seulement par le processus de
la croissance et le développement dans la vie naturelle. Ce n’est pas ainsi de Christ. Il fut
né d’une femme, mais il a existé avant sa naissance. Il a été nourri à la manière ordinaire
des êtres humains, pourtant il a eu la vie et la gloire avec le Père avant le temps. Tout ceci
n’est pas humain.
Les preuves irréfutables de la déité de Jésus se trouvent dans ses faits et gestes
surhumains.
(1) Les maximes peu naturelles de Jésus.
Un homme naturel – un simple homme – ne peut pas dire et écrire les choses qui
sont peu naturelles. Les sentences peu naturelles de Jésus, les deux en posant des
questions et en répondant à ses critiques et en enseignant des multitudes, prouvent qu’il
fut plus qu’un homme naturel. Ses questions et réponses ne furent à aucun moment telles
que même le plus sage et le plus rusé des Juifs, parmi les docteurs de la loi et
enseignants, pourraient prévoir.
1. Son discours à Nicodème (Jean 3) est sans n’importe quel précédent humain.
2. Sa référence à sa mère et ses frères (Matthieu 12, 46-50) ne fut pas d’un point
quelconque de considération une déclaration humaine.
3. Sa réponse à un dirigeant du peuple qui l’a appelé bon (l’auteur cite Matthieu
18, 16-22; je crois qu’il voulait dire plutôt Matthieu 19, 16-22) n’a pas été une expression
humaine.
4. Sa prière à la tombe de Lazare (Jean 11, en particulier le verset 17) a été
extraordinaire. Quel artiste avec son tour de passe-passe a jamais prié avant ou après son
spectacle de rendre grâce pour le pouvoir de faire ce qu’il avait fait? Jésus a été (est)
divin – pourtant il n’a jamais revendiqué la gloire et le pouvoir pour lui-même, toujours
de Dieu le Père.
24
5. Ses premières déclarations publiques à ses docteurs de la loi et ses parents (Luc
2, 46-47.49) ne furent pas d’un enfant naturel, elles ont été surhumaines.
6. Sa réplique à Satan (Matthieu 4), « il est écrit, » (les versets 4.6.7.10) il a
honoré la parole de Dieu et la loi de Moïse plutôt que lui-même, contrairement à l’action
d’un législateur humain.
7. Sa réponse au dîner du publicain (Matthieu 9, 9-10-12-15), « 12 ceux qui sont
en santé, n’ont pas besoin de médecin, » alors qu’il aurait pu s’associer avec le plus
influent et le meilleur au lieu des pauvres, n’était pas naturelle.
8. Sa réponse sur un cas difficile (Marc 9, 29), « cette sorte de démons ne peut
sortir autrement que par la prière et le jeûne, » ne fut pas humaine – l’homme aurait dit,
“seulement moi, je peux chasser ce genre de démons”!
9. Sa réponse sur l’autorité (Marc 11, 29-33) aux scribes par la question sur le
baptême de Jean a été la perspicacité divine. Un égoïste qui voulait la gloire aurait
répondu par sa propre autorité. N’étant pas apte de voir à travers sa philosophie, les
scribes avaient peur de lui dont la réponse à y répondre ne fut pas comme un homme.
10. Sa réponse aux disciples sur la destruction de Jérusalem (Matthieu 24; Marc
13; Luc 21), parlée tandis que les édifices du temple furent encore debout, et ont été
attestée par les trois témoins d’avance, ajoutant foi à Jésus pour la déclaration
prophétique encore à l’avance de la circonstance, ce ne fut pas humain. Un simple
homme pourrait-il le faire? Si l’on a prétendu qu’elle était datée (notes du traducteur 70
après Jésus-Christ), pourquoi les incrédules ne l’ont pas exposée? Il a parlé avant
l’événement et a dit qu’est-ce qui va se produire; les auteurs ont noté cela avant l’incident
fut réalisé, et il arriva. Il a dit la vérité, ses témoins ont enregistré la vérité, ce qui prouve
que le récit d’être surhumain et inspiré, et Lui-même le Fils de Dieu.
11. Sa réponse à la foule moqueuse (Luc 23), « 34 Père, pardonne-leur, » sous la
pression de l’heure de leur acte, n’a pas été les paroles d’un simple homme, et ne fut pas
humaine.
12. Quand les Juifs ont pris des pierres pour lui lapider (Jean 10, 32) – quel
homme aurait pu poser ainsi des questions et ainsi répondre à une telle occasion?
13. Sa question aux disciples (Matthieu 16, 13) « Qui disent les hommes que je
suis? » et aux Pharisiens (Matthieu 22), « 42 Que vous semble-t-il du Christ? De qui estil fils? » ne sont pas humaines – quel simple homme aurait posé de pareilles questions s’il
a été qu’un homme, et non le Christ. Quelle réponse pouvait-il attendre? Pourquoi
interroger? Quel avantage, si seulement un homme, et non pas le Christ?
(2) Les faits et gestes non naturels de Jésus.
25
Le fait que les actions de Jésus ne furent pas les manières de celui qui ne fut
qu’un homme, prouve que Jésus fut (et est) surhumain, et ses paroles et actes surnaturels.
Cela étant vrai il est le Fils de Dieu.
1. Quand il a eu une ovation dans le temple, il a quitté la ville (probablement
Matthieu 12, 9-15; l’auteur a cité Matthieu 2) – quel genre d’homme s’enfuirait lorsque
le peuple a été enclins à le faire des éloges pour qu’est-ce qu’il pouvait faire – non, un
simple homme ne ferait pas cela, il attendrait pour plus! Cependant Jésus a échappé aux
gens pour s’échapper aux honneurs d’être un Roi terrestre. Il a accepté le respect et
l’honneur seulement avec mesure, et au-delà de certaines limites a interdit des
démonstrations. Il n’a pas été un homme, en revanche il fut (et est) le Fils de Dieu de
l’univers.
2. Lorsqu’il a été mis en jugement par les docteurs de la loi (Matthieu 22), Jésus a
donné son soutien à la grandeur de la loi à la place de sa propre proéminence et
réputation – qui ne fut pas comme un homme, n’importe quel homme.
3. La conduite de Jésus quand il a su qu’il va mourir (Matthieu 16, 21; Jean 18,
4), malgré tout n’a fait nulle préparation pour ça, n’était pas naturel dans les voies et les
actions des hommes. Quel simple homme aurait agi ainsi? N’est-ce pas la preuve qu’il
savait que sa résurrection fut un fait? De ce fait qu’il était (et est) surnaturel, surhumain,
et le Fils de Dieu.
Les hommes naturels ne peuvent pas dire et faire des choses qui ne sont pas
naturelles. Les faits et gestes non naturels de Jésus-Christ fournissent la preuve
irréfutable qu’Il n’a pas été un simple homme, mais le Fils de Dieu qu’il a fait
l’affirmation d’être, dont les prophètes de l’Ancien Testament ont prophétisé et les
apôtres du Nouveau Testament ont attesté de ce fait.
(3) L’enseignement peu naturel du Christ.
L’enseignement de Jésus traite des questions de l’éternité avant et après qu’il a
vécu sur la terre. Cette vie est aussi loin que le simple homme ne peut voir. Jésus a vu
plus loin. La déité de Jésus est attestée par son enseignement sur la vie après la mort –
l’immortalité dans le monde à venir.
1. « Avant qu’Abraham fût, je suis » (Jean 8, 58). Il serait impossible pour le
simple homme d’imaginer une telle vérité. Quel homme dirait, avant George Washington
fût, je suis! Ou, pourquoi Abraham Lincoln dans l’esprit m’a appelé seigneur? De croire
qu’un simple homme pourrait imaginer d’une telle chose est de croire plus dans l’absurde
que cela est de croire dans tous les miracles de l’ancien et le nouveau testaments.
26
2. « Ne craignez point ceux qui tuent le corps … plutôt craignez celui qui peut
perdre et l’âme et le corps, en les jetant dans la géhenne » (Matthieu 10, 28). [Notes du
traducteur de Vine’s : Pas la perte de l’être, mais du bien-être de l’individu, des deux
l’âme et le corps.] S’il n’y a aucune vie au-delà de cette vie et pas de la mort, mais ce qui
se termine cette vie, comment un homme pourrait-il penser de cela ou la possibilité de
ça?
3. « Et quiconque dira, Toi insensé, sera en danger du feu de l’enfer » (Matthieu
5, 22). Le mot grec gehenna est employé ici, et il se rapporte à l’état après la vie, la mort
et le jugement. De parler d’un pareil péril, ou de penser d’une telle condition, s’il ne
savait rien d’un jugement après la mort, est tout simplement hors de question.
4. « Mais amassez-vous des trésors dans le ciel » (Matthieu 6, 20). Ceci est une
exhortation de travailler ici-bas pour une récompense dans la vie future. Un simple
homme ne pouvait pas provenir la pensée. De nouveau, « Que profiterait-il à un homme
de gagner le monde entier, s’il fait la perte de son âme? » (Matthieu 16, 26) – l’homme ne
peut pas penser de la vie de l’au-delà sans la révélation – Jésus ne fut pas un simple
homme.
5. « Et ceux-ci s’en iront aux châtiments éternels; mais les droits s’en iront à la
vie éternelle » (Matthieu 25, 46). Ici Jésus se met en l’avenir, trop profond pour l’homme
de proférer et bien trop loin pour l’homme à concevoir. Un enfant qui parle du ciel doit
être enseigné. Les hommes apprennent par l’éducation, et parlent seulement qu’est-ce qui
leur est révélé. Jésus a parlé de ces choses – par l’autorité de qui – par le pouvoir de qui?
Jésus-Christ ne fut (et n’est) pas un simple homme – il est le Fils du Dieu éternel.
Quatrièmement : L’Identité Et La Perpétuité De L’Église, En Qualité Du
Royaume De Dieu.
Le plan du salut de l’évangile est une preuve de la révélation divine. (Éphésiens 1,
3-14). Le projet de la rédemption humaine tel que prédit par les prophètes de l’Ancien
Testament est accompli dans le Christianisme. Ce projet de la rédemption ne pouvait pas
tiré son origine de l’homme. Le plan du salut comme révélé dans le Nouveau Testament
ne peut pas être un plan humain. L’évangile n’est pas conforme à la sagesse humaine (1
Corinthiens 1, 18-31).
Dans les époques passées aucun œil ne l’a vu, nulle oreille n’a entendu, aucun
cœur n’a su les choses révélées par le Saint-Esprit dans le Nouveau Testament. (1
Corinthiens 2, 9). La révélation du Nouveau Testament est arrivée par l’inspiration
verbale des apôtres du Christ. (1 Corinthiens 2, 10-13.) L’homme naturel (ou les hommes
naturels) ne pouvaient pas recevoir la connaissance de ces choses par le moyen des
canaux naturels de l’information. (1 Corinthiens 2, 14). Le Chimiste est un homme
naturel et par le véhicule des expériences chimiques il peut recevoir les renseignements
27
scientifiques, toutefois il ne peut pas recevoir les choses de la révélation divine par des
expériences naturelles. Un géologue est un homme naturel et peut recevoir de
l’information sédimentaire par des découvertes géologiques, mais il ne peut pas recevoir
la connaissance des choses de la révélation divine par la voie de la recherche naturelle.
L’astronome est un homme naturel et à cause de sa lunette astronomique et sa
spectroscope il peut recevoir les renseignements astrophysiques par le moyen de
l’enquête astronomique, en revanche il ne peut pas connaître les choses de la révélation
divine grâce à l’intervention des enquêtes naturelles.
(1) L’Église en tant qu’un manifeste de la sagesse divine – (Éphésiens 3, 9-10).
Comme le firmament céleste déclare la gloire de Dieu et son ouvrage créatif
(Psaume 19), de cette façon l’institution spirituelle laisse voir, par l’exposition, son
origine divine – que c’est la sagesse infiniment variée de Dieu (notes du traducteur :
multiforme ou comme la version du roi Jacques française dit : « les nombreux aspects de
la sagesse de Dieu »), compréhensive des différentes caractéristiques du plan divin,
rendant perceptible aux hommes (Éphésiens 3, 9) le déroulement d’un dessein éternel.
La révélation divine contre la circonspection humaine est vue dans l’existence de
l’Église. Ce n’est pas d’une institution naturelle. Elle ne pouvait pas avoir été conçue par
l’esprit humain. D’où, l’architecture divine se fait voir, est manifesté, dans l’Église.
Comme une construction expose l’habilité de l’architecte, l’Église en qualité d’une
institution spirituelle manifeste la sagesse qui est divine, non humaine. « Laquelle il a fait
abonder envers nous en tout sagesse et intelligence. » (Éphésiens 1, 8) [Notes du
traducteur : Vine’s : Phronẽsis, intelligence, manière de penser; (Larousse Lexis : Sens
classique : la prudence. -2. Discernement, jugement. -1. Sagesse.] « Qui nous a béni en
toutes bénédictions spirituelles dans les lieux célestes en Christ. » (Éphésiens 1, 3).
La compréhensivité de l’Église est ici faite pour être de même étendu qu’à tout le
projet entier de la rédemption (Éphésiens 1, 10-11 – 20-23). La dignité de l’Église en
qualité du corps du Christ, sa magnificence en tant que la construction et l’habitation de
Dieu, embrassant le Juif et le Gentil dans une seule communauté spirituelle, dans lequel
royaume “la grâce élective” dépend de l’obéissance et caractère plutôt que l’apparence
des personnes par la partialité omnipotente, et tout ceci par un plan prédestiné – un plan
approuvé d’avance – « selon son propre dessein, » (II Timothée 1, 9; Éphésiens 1, 5) la
révélation de laquelle est l’évangile (Romains 16, 25-26), exalte l’Église à la plus haute
sphère de la connaissance divine et sagesse, au-delà de la prudence des hommes à
concevoir ou la puissance de l’esprit humain à planifier.
(2) La perpétuité de l’Église – Hébreux 12, 23-28.
L’identité de l’Église et le royaume est fondamentale à la perpétuité de l’Église.
28
1. Le royaume subsistera à jamais – Daniel 2, 44-45.
Le royaume de la prophétie de Daniel est identifié en Marc 1, 15 et Matthieu 16,
19 d’être le royaume du Christ – l’Église. Daniel a dit que cela « 44 subsistera pour
toujours. » Jésus a révélé que « 18 les portes du séjour des morts ne prévaudront point
contre elle. » (Matthieu 16, 18). Paul l’a appelé un royaume qui « ne peut être ébranlé. »
(Hébreux 12, 28) S’ils ne sont pas les mêmes, l’un ne peut pas finir à laisser l’autre
commencer, et l’autre ne peux pas être ébranlé pour permettre le premier à continuer –
alors une force irrésistible entre en contact avec un objet immobile!
Jésus a associé l’Église et le royaume dans Matthieu 16, 18-20; Paul a relié le
royaume avec l’Église en Colossiens 1, 13.18, et une fois de plus représente l’Église
d’être le royaume en Hébreux 12, 23.28.
2. L’Église à travers tous les âges – Éphésiens 3, 10.11.21.
Le passage nous informe « 21 à lui soit gloire dans l’Église … dans tous les
âges. » (Éphésiens 3, 21) Cependant la gloire du Christ ne se limite pas à la terre (Jean
17, 5; Luc 24, 46) Par conséquent la gloire de l’Église n’est pas toujours, ou n’a pas
toujours été, confinée à son existence visible sur la terre. (Luc 18, 8)
3. La gloire de l’Église peut être perdue dans l’apostasie – Aggée 2, 1-3.
Comme la sainte Shekinah ne fut pas présente dans le tabernacle, ainsi de l’Église
– sa gloire peut se retirer. Daniel 8, 12 se réfère à « la vérité jetée par terre, » et Paul dit
que l’Église est « la colonne et la base (le soutien) de la vérité » (I Timothée 3, 15) – dont
tous ceci indique que l’état d’apostasie était possible.
(3) Les caractéristiques divines de l’Église – Matthieu 16, 16-20.
La mise en place de l’Église du Christ sur la terre a été l’apogée de tous les plans
et les objectifs de Dieu dès le début jusqu’à la fin des siècles. (Éphésiens 3, 10.11.21)
Elle a été l’inauguration d’un royaume pas de ce monde – « mais maintenant mon
royaume n’est point ici-bas » (Jean 18, 36) – pourtant le « royaume du ciel » (Matthieu
16, 19). Ici le royaume du Christ est mis en parallèle, dans un sens, avec le royaume du
monde de Rome; mais il était infiniment plus noble en caractère, portée et pouvoir.
L’origine du royaume du ciel et sa perpétuité sur la terre « dans tous les âges, »
(Éphésiens 3, 21) communique à cela les caractéristiques divines qui ne sont attribués à
aucune autre institution.
1. L’origine de l’Église – (Éphésiens 2, 14-15)
L’Église fait référence à « un seul homme nouveau, » une création divine. La
création physique a été perfectionnée en Adam; la création spirituelle a été perfectionnée
29
dans l’Église, la nouvelle création. (Colossiens 1, 13-18) L’Église est venue à l’existence
par un acte de création; et par l’usage de la volonté divine (la contention d’esprit) et la
puissance directe, comme cela a été exercé dans la création physique. (Éphésiens 1, 20-23
– Colossiens 1, 16-18) Les miracles présents à l’inauguration de l’Église rendent
témoignage à ce fait. (Marc 9, 1; Actes 1, 8; Actes 2, 1-4; Éphésiens 4, 8-16) Par contre
les miracles furent provisoires, pas permanents. Le miracle de la création n’est pas
devenu une partie du monde crée, mais le moyen de créer le monde; donc les miracles
reliés à l’inauguration de l’Église et la révélation de l’évangile ne sont pas devenus une
partie de la volonté révélée de Dieu, toutefois le moyen de révéler la volonté de Dieu – ils
ont été provisoires, pas permanents. Le miracle de la création a fait place à la loi naturelle
– et les miracles du commencement de l’Église ont cédé à la loi spirituelle – la parole
révélée de Dieu.
La loi de la procréation, est la loi de la propagation, la loi établie de l’univers dans
tous les domaines, ou chaque semence selon son espèce. « 11 Que la terre produise
l’herbe … les herbes portant semence … selon son espèce … 12 et la terre produisit
l’herbe … portant la semence … et les arbres portant du fruit, dont la semence était en
soi, selon son espèce. » (Genèse 1, 11-12) Ceci est la loi invariable et l’ordre dans le
monde naturel.
2. La semence du royaume – Luc 8, 11.
La loi de la propagation s’applique au domaine spirituel aussi définitivement que
dans le naturel et fonctionne suivant le même principe. Ce fait est fait fondamental dans
la parabole du Semeur Et La Semence – Matthieu 13, 23. L’application de Luc de la
parabole lit comme suit : « La semence est la parole de Dieu » – Luc 8, 11. Matthieu
représente la bonne semence comme « les fils du royaume » (Notes du traducteur :
Vine’s : huios, fils, enfant, petit) – si bien que la parole de Dieu est la « semence du
royaume. »
3. La nouvelle naissance est par la semence – I Pierre 1, 23-25.
Jésus a dit à Nicodème : « Si quelqu’un n’est né de nouveau, il ne peut voir le
royaume de Dieu » (Jean 3, 3); et Pierre explique comment une pareille naissance est
produite : « 23 Étant né de nouveau (engendré de nouveau), non d’une semence
corruptible, mais d’une incorruptible, par la parole de Dieu. » (I Pierre 1, 23-25) Paul
indique que c’est « par l’évangile » (1 Corinthiens 4, 15), et Jacques dit « par la parole de
la vérité » (Jacques 1, 18).
4. La loi de l’Esprit affranchie du péché – Romains 8, 1-2-4.
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Ici, il est déclaré que la loi, et non pas des miracles, fonctionne dans le domaine
[ou royaume] spirituel; elle est « la loi de l’Esprit, » (le verset 2 de Romains 8)
l’évangile, qui rendre quelqu’un libre du péché.
5. La propagation de la vérité – Jean 8, 32.
Le principe par lequel l’Église, ou le royaume, est maintenu et perpétué et par la
prédication de la vérité, non pas par la succession charnelle. (Romains 8, 1-4; Jacques 1,
18-24; I Corinthiens 4, 15; I Pierre 1, 23-25; Jean 3, 5; Luc 8, 1; Matthieu 13, 23.28).
Où fut l’Église quand la vérité a été jetée vers la terre? Prenez l’illustration du blé
dans la pyramide de l’Égypte – la semence qui n’a pas été propagée pendant des siècles a
été dans un parfait état de conservation, lorsque elle qu’elle a été plantée elle a produit le
même blé, selon son espèce. Voilà qu’est-ce que Luc 8, 11; Matthieu 13, 23.28; 1 Pierre
1, 23-25 et de tels autres fragments de texte signifient. La succession visible de l’Église,
la succession charnelle, n’est pas essentielle à la vérité des expressions « subsistera
éternellement » (Daniel 2, 44; 7, 14.27; Luc 1, 33) et « ne prévaudront point contre »
(Matthieu 16, 18) – car le royaume existe dans la semence, de même que le blé a vécu
dans la semence conservée dans le grenier Égyptien pour des siècles, et non pas par
l’intermédiaire “d’une succession de l’Église” des assemblées visibles à travers des âges.
IV
LES CHOSES QUI RESTENT
Dans le texte lu d’Hébreux 12, 25-28, l’apôtre a cité trois promesses de l’Ancien
Testament pour ajouter la force au contraste entre les choses mobiles et immuables. Au
Mont Sinaï la voix de Dieu a causé Israël de frémir de peur, Moïse à craindre, le mont de
trembler et la terre d’être ébranlée. En faisant l’application, l’apôtre a ajouté : « Mais
maintenant il a promis, disant : Encore une fois, je secouerai non seulement la terre, mais
aussi le ciel. » (Hébreux 12, 26) La première citation incorporée dans la déclaration de
l’apôtre est tirée d’Aggée 2, 6-7. Le prophète Aggée a révélé, « 6 Car ainsi dit le Seigneur
des armées : Encore une fois, dans peu de temps, j’ébranlerai les cieux et la terre, et la
mer et la terre sèche. 7 Et j’ébranlerai toutes les nations, et le désir de toutes les nations
viendra. » Le « 7 désir de toutes les nations » fut Christ, et l’usage fait de cette prophétie
en Hébreux 12, 26-28, montre qu’Aggée a prophétisé de la nouvelle dispensation, la
nouvelle alliance, et le royaume établi sur la terre par Jésus-Christ, les principes desquels
ébranlaient « pas seulement la terre, mais aussi le ciel. » La prochaine citation au verset
27, l’apôtre dit, « 27 Or ces mots, Encore une fois, signifient l’abolition des choses
muables, comme ayant été faites, afin que ces choses qui sont immuables demeurent. »
(Hébreux 12, 27) Ce renvoi est tiré de Psaumes 102, 25.26, où David a dit, « 25 Vous
avez au temps ancien établi le fondement de la terre ([ou] Vous avez jadis fondé la terre);
et les cieux sont l’ouvrage de vos mains. 26 Ils périront, mais vous, vous subsisterez; oui,
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eux tous vieilliront comme un vêtement; vous les changerez comme un habit, et ils seront
changés. »
L’apôtre inspiré de la lettre d’Hébreux a appliqué la prophétie de David pour le
changement et le passage de chaque chose terrestre, y compris la terre elle-même,
« signifiant l’abolition des choses qui sont ébranlées comme des choses qui sont faites, »
par opposition aux principes éternels du royaume éternel du Christ, a parlé de « ces
choses qui ne peuvent pas être ébranlées, » et qui demeurent. Les choses qui restent sont
les choses de la nouvelle alliance. La Sinaï secoua, et l’ancienne alliance qu’elle a
symbolisée fut retirée, et les royaumes terrestres d’Israël ont péri dans le changement. La
nouvelle alliance a été inaugurée, et avec elle « le royaume qui ne peut être ébranlé. » La
référence est également ici faite au royaume de la prophétie de Daniel, « 44 qui ne sera
jamais détruit, » et, « 44 il subsistera pour toujours. » (Daniel 2, 44-45) Toutes ces
prophéties des choses immuables du royaume sont accomplies dans l’établissement de
l’Église de la nouvelle alliance, comme déclaré par l’apôtre en Hébreux 12, 22-28 : « 22
Mais vous êtes venus au Mont Sion, et à la cité du Dieu vivant, la Jérusalem céleste, et au
nombre innombrables (myriades) d’anges, 23 À l’assemblée générale et à l’Église des
premiers-nés … 24 Et à Jésus, le médiateur de la nouvelle alliance … 28 C’est pourquoi,
recevant (saisissant) un royaume qui est inébranlable, ayons la grâce par laquelle nous
puissions servir Dieu agréablement, avec révérence et une pieuse crainte. »
Mes amis, « les choses qui ne peuvent être ébranlées » sont les remparts de
l’évangile les choses immuables de la nouvelle alliance du Seigneur Jésus-Christ.
Il y a de la preuve mathématique, philosophique, et scientifique à l’appui de la
déclaration Biblique que « Dieu est. » L’univers lui-même est une preuve d’une grande
intelligence d’ingénierie, et les conditions de notre existence sur cette terre détient la
preuve que la vie n’est pas par hasard et ne peut pas être un accident. La rotation de la
terre autour de son axe, par exemple, est de 1000 miles (1609, 3 kilomètres) par l’heure à
l’équateur. Si elle était de 100 (160, 93 kilomètres par l’heure) à la place de cela, les jours
et les nuits seraient dix fois plus longs, la conséquence de laquelle serait le processus de
brûler entièrement toute la végétation chaque longue journée et le gel toute la longue nuit.
Le soleil, la source de la lumière, a une température de surface de 12000 degrés
fahrenheit (6648, 9 Celsius), la terre est suffisamment loin pour la bonne quantité de
chaleur, pas trop, ni trop peu. Si le soleil donne moins de l’irradiation le résultat serait
que nous gèlerons tous, et si plus de rayonnement il nous rôtirait tous. L’inclinaison de la
terre est à un angle de 23 degrés, ce qui donne des saisons, et si elle n’est pas ainsi
penchée le mouvement des vapeurs de la mer transformerait les continents en glace. Si la
lune était réglée à moins de distance des marées terrestres submergeraient tous les
continents deux fois par jour, et les montagnes éroderaient. Si la croûte de la terre était de
dix pieds (3, 0480 mètres) plus épaisse, il n’y aurait pas d’oxygène et toutes les formes de
vie mourraient, et si l’océan était quelques pieds (mètres) plus profond aucune vie ne
32
pourrait exister. Si l’atmosphère était plus mince au point de la précision, les météores
qui lancent de leurs orbites et se précipitent vers la terre, qui brûlent maintenant et se
consument dans l’espace, lanceraient à la terre et mettraient le feu sur la terre entière.
Dont tous ceci est la preuve que la vie a été créée, est régie par la loi mathématique et
n’est pas un accident. La puissance qui peut tourner la terre à la bonne vitesse, et
l’inclinez la terre à la bonne pente, et donnez à la croûte de la terre la bonne épaisseur, et
l’atmosphère le bon mélange, à l’océan la bonne profondeur, à la lune la bonne distance,
le soleil le bon rayonnement, cette puissance pourrait créer l’homme, cette puissance
pourrait lui donner une âme, lui révélée sa Parole, lui faire un ciel pour sa demeure
éternelle, et de lui ressusciter de la mort pour vivre éternellement.
Certains hommes regimbent contre l’idée de la maternité divine – la déité de
Jésus. Cependant ce fait implique pas plus que le fait de la création, et ne nécessite pas
plus de foi. Quand Dieu a crée Adam et Ève, il a placé le pouvoir de la reproduction dans
deux personnes au lieu d’une, mais dans la maternité divine de Jésus il a planté ce
pouvoir dans une personne plutôt que deux. Dieu pourrait faire les deux – le postulat de
base est le fait de Dieu. Et l’objet de l’incarnation du Christ a été de supprimer la distance
entre Dieu et l’homme. Dans cela le ciel fut en train de se baisser à la terre et Dieu fut en
train de se pencher à l’homme – et voilà la raison pour la maternité divine, et ça explique
la déité de Jésus le Christ.
La Bible n’est pas un manuel de la science, toutefois tout ce qu’elle dit touchant la
sphère de la science est scientifiquement vrai. Ce n’est pas un cours de l’astronomie mais
tout ce qu’elle explique concernant ce domaine de recherche est astronomiquement
conforme à la vérité, et chaque référence dans elle à la géologie est géologiquement
précise. « Toute parole de Dieu est la vérité dès le commencement, et tous ces justes
jugements durent pour toujours. » (Psaumes 119, 160) [Notes du traducteur : Tout ce qui
sort de la parole de Dieu est vrai, par contre, cela ne veut pas dire qu’il y a plusieurs
paroles de Dieu, il y a uniquement une parole de Dieu, la Bible]
La perpétuité de l’Église, le royaume inébranlable du Christ – Daniel a fait savoir
qu’il serait « éternel, » (Daniel 4, 3; 7, 27) « subsisterait éternellement, » (Daniel 2, 44) et
de cela il n’y aurait point de fin. Paul a énoncé, en Hébreux 12, 28 que nous avons reçu
un royaume qui ne peut être déplacé (ébranlé) – « C’est pourquoi, recevant un royaume
qui ne peut être ébranlé. » Il n’y a nulle différence dans un royaume qui subsistera
éternellement et un qui ne peut être ébranlé. Daniel a prophétisé l’un et Paul a dit que
nous recevions l’autre – pour cette raison, Hébreux 12, 28 affirme la réalisation de la
prophétie de Daniel 2, 44, et Paul a déclaré que le royaume que Daniel a prophétisé était
en existence quand l’épître aux Hébreux fut écrite. Jésus a dit qu’il bâtirait son « Église, »
(Matthieu 16, 18) et donnerait à ses apôtres les clés du « royaume. » (Matthieu 16, 19)
Paul a dit aux Colossiens qu’ils avaient déjà été transportés dans le « royaume, » et a
ajouté que Christ était le chef de « l’Église. » (Colossiens 1, 18) En Hébreux 12, 22-28, il
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a expliqué que tous ceux qui « viennent » (le verset 22) au mont Sion, l’Église,
« reçoivent » (le verset 28) le royaume. Donc, l’un et l’autre Jésus le Seigneur, et Paul
l’apôtre, ont enseigné en Matthieu 16, 18-20, Colossiens 1, 13-18, et Hébreux 12, 22.28,
que l’Église et le royaume sont les mêmes, et qu’ils ne peuvent être ébranlés.
En dernier lieu, l’espoir du ciel comme l’ancre de l’âme, est immuable et éternel,
et va être là lorsque l’action d’ébranler est terminée. « Or la foi est la substance des
choses qu’on espère » (Hébreux 11, 1) – la foi est soumise à l’espoir; la foi est le
fondement de l’espérance.
L’espoir du ciel est la promesse de la vie éternelle. Dans toutes les phases et les
formes de son existence, la vie est un mystère, mais elle est précieuse. Il n’y a aucune
définition; elle n’a pas de poids; point de dimension; et elle est invisible. Pourtant elle a
la force. La vie invisible dans la graine a le pouvoir de prendre racine dans la terre,
l’énergie d’enlever les mottes de la terre qui sont sur son passage, et la force pour fendre
une planche ou une roche. Elle germe; elle pousse à travers le sol; elle conquiert l’eau,
l’air, la terre – et elle vit! Si la graine plantée dans la terre peut ainsi soulevée dans la
fleur qu’elle produit – Dieu ne peut pas ressusciter des morts et donner à l’âme un corps
adapté à la vie immortelle dans le monde à venir?
Il y a un ciel pour l’âme. Qu’est-ce que c’est, ou où il est, nous ne pouvons pas
savoir. Il peut être quelque monde métropolitain lumineux dans le centre de l’univers,
autour duquel tournent les soleils et les systèmes, et où la gloire demeure intronisée. Si
oui nous pouvons apercevoir cela la nuit dans le dôme parsemé d’étoiles d’un firmament
cristallin – mais où que ce soit Dieu est là – Christ est là – les êtres chers sont là – et nous
désirons d’être là.
“Nous parlons des royaumes des bienheureux, Ce pays si lumineux et tellement agréable,
Et souvent ses gloires sont admises, Mais il sera comme quoi d’être là.”
“We speak of the realms of the blest, That country so bright and so fair, And oft are its
glories confessed, But what shall it be to be there!”
Dans ces vérités éternelles notre foi ne peut être ébranlée, et d’elles notre
espérance est inébranlable.
Dans cette dernière invitation, nous vous conseillons vivement de venir et de
prendre position sur les promesses de Dieu, pendant que nous chantons, “Exactement
comme je suis, sans une excuse, Ô Agneau de Dieu, je viens à vous!” “Just as I am,
without a plea, O Lamb of God, I come to thee!”
LA FIN
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[Commentaire du traducteur : Toute la gloire soit donnée au Père Céleste dans le nom de
son seul Fils engendré, Jésus-Christ pour l’œuvre présentée ici. Ce document est tiré du
livre : Les Remparts De La Foi (The Bulwarks Of The Faith), LE CHAPITRE XII, LES
REMPARTS DE LA FOI, OU, LES CHOSES INÉBRANLABLES, les pages 539
jusqu’à 579 de la SECTION DEUX. L’auteur défunt est Foy Esco Wallace, fils. Je
remercie M. Harold “Buster” Dobbs de la maison d’édition “Firm Foundation” de qui j’ai
octroyé les droits de traduire et diffuser ces livres ou ces parties des livres de théologie.
Pour
communiquer
avec
le
traducteur,
voici
mes
courriels :
[email protected] ou [email protected] Examinez ou
éprouvez toutes choses… 1 Thessaloniciens 5, 21. Pour tout téléchargement gratuit,
naviguez vers le site Internet : www.egliseduChristquebec.com Traducteur : Denis
Tarko. Nous avons également un facebook : Le Bastion de la Foi. Visitez notre
Facebook : https://www.facebook.com/pages/%C3%89glise-du-Christ-Qu%C3%A9becLe Bastion-de-la-Foi/576322415717761 ]
Actes 17, 10-11. 10 Et immédiatement les frères envoyèrent Paul et Silas, de
nuit, à Bérée, qui y arrivant, entrèrent dans la synagogue des Juifs.
11 Ceux-ci étaient [de sentiments] plus nobles que ceux de Thessalonique, en ce
qu’ils reçurent la parole avec une prompte pensée, et examinèrent les écritures
quotidiennement, [pour voir] si ces choses étaient ainsi.
Que Dieu vous bénisse en étudiant sa parole.]
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PREMIÈRE TRADUCTION FRANÇAISE
LE 09 MARS 2015
TOUS DROITS RÉSERVÉS © 1997 ALL RIGHTS RESERVED
FOY E. WALLACE, JR. PUBLICATIONS
5111 ROGERS AVENUE SUITE 504 FORT SMITH AR 72903
RICHARD E. BLACK, PUBLISHER
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