Rapport de stage à la Nouvelle-Orléans (USA) Du 25 février au 1
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Rapport de stage à la Nouvelle-Orléans (USA) Du 25 février au 1
Rapport de stage à la Nouvelle-Orléans (USA) Du 25 février au 1er avril inclus Je vous propose le rapport de stage de cinq semaines que j’ai effectué dans une école bilingue à la Nouvelle-Orléans I- Vie pratique Grâce à l’Université Lyon 1 qui nous a mises en relation avec une tutrice de stage, notre séjour a été facilité, notamment pour le logement, car celle-ci était en relation directe avec les personnes de notre lieu de stage, une école. • Logement Pendant la préparation du stage, nous étions en attente pendant un petit moment concernant notre logement, à savoir être logée dans une famille d’accueil ou devoir trouver un appartement. Finalement, j’ai été affectée dans une famille d’accueil de l’école, cela rendant plus facile les allers-retours sur le lieu de stage. Ma famille d’accueil vivait à vingt minutes en voiture de l’école mais leur maison se trouvait à deux blocs du fameux « street car », plus vieux tramway du monde, qui permet de relier le quartier Uptown au Quartier Français. Je pouvais donc le prendre pour faire les trajets école-maison très facilement. Je vivais donc dans le quartier Uptown, qui se situe au sud-ouest de la ville, à 30 minutes en voiture du centre-ville. C’est un quartier résidentiel tranquille, doté de commerces et d’habitations typiques de la Nouvelle-Orléans où il est bon de vivre. Je ne peux malheureusement pas parler du prix des appartements à louer, ne m’étant absolument pas penchée sur la question. • Argent Mon voyage n’ayant duré que cinq semaines, je n’ai pas eu à ouvrir de compte aux EtatsUnis. J’ai retiré mon argent en liquide grâce aux nombreuses banques présentes sur place (Chase, Bank of America, Whitney…) : les cartes de crédit Mastercard ou Visa fonctionnent parfaitement, certaines machines s’adaptant même à la langue de la carte de crédit insérée. Il faut cependant faire attention et se renseigner avant de partir car les banques tirent un petit pourcentage de chaque retrait et il faut donc voir laquelle prend le plus… De plus, certaines banques françaises ont des accords avec les banques américaines, il faut donc se renseigner au préalable auprès de votre banque pour savoir à quelle banque américaine il est plus intéressant de retirer. Par exemple, la BNP a un accord avec Bank of America qui permet à ses clients de ne payer aucun frais si ceux-ci retirent à Bank of America… Cela vaut le coup de se renseigner au préalable. Il est très facile de payer par carte bancaire aux Etats-Unis, pour de très petits montants. Selon les établissements, certains demanderont la carte d’identité au moment de payer pour des gros achats. Le dollar étant plus fort que l’euro, il est très facile de faire des économies sur les vêtements ou encore sur les produits technologiques. De plus, pour les voyageurs ayant un visa de moins de trois mois, la Louisiane a mis en place un système de remboursement de leur taxe (9% sur tous les produits excepté la nourriture). Il suffit de demander, à chaque achat que vous faites, si le magasin a mis en place la « Louisiana Free Taxe ». Si c’est bon, le vendeur vous fera un papier avec le montant de votre taxe et vous pourrez vous faire rembourser l’intégralité des taxes, sur présentation de votre passeport et de votre billet d’avion allerretour. C’est donc un bon moyen pour faire des économies si votre stage n’excepte pas trois mois, bien entendu. • Santé En un mois, j’ai (heureusement !) évité la visite à l’hôpital ou chez le docteur, je ne peux donc vous renseigner là-dessus. Mais si vous avez un mal de tête ou un problème quelconque, il y a des énormes magasins intitulés Walgreens où vous trouvez aussi bien de l’alimentation que des rangées de médicaments !!! • Télécommunications Tout d’abord, il faut penser à acheter un adaptateur de prise quand vous partez aux EtatsUnis. En effet, les prises américaines sont constituées seulement de deux tiges plates quand les nôtres sont rondes. Un adaptateur se trouve sur internet ou dans les grandes surfaces type Castorama. Seulement, il faut faire attention car ayant acheté un adaptateur là bas, j’ai été surprise de découvrir une fois aux Etats-Unis que mon adaptateur ne rentrait pas dans toutes les prises de la maison. En effet, certaines maisons sont dotées de vieilles prises qui ont un trou en plus et je ne pouvais donc faire fonctionner mon adaptateur là bas. Au cas où le votre ne marche pas, il est toujours possible de s’en procurer un une fois sur place. Il est intéressant d’acheter un portable quand on vit une année à la Nouvelle Orléans, pour pouvoir joindre qui l’on veut dans la ville. Il existe aussi des téléphones « jetables », seulement valable pour un mois que l’on paye à l’avance. Il est très préférable de ne pas utiliser son téléphone français une fois là bas car les communications sont très chères. Je l’ai malheureusement expérimenté : j’ai téléphoné pour des urgences huit minutes sur le mois et j’ai eu 20 euros de hors forfait… Un moyen très facile de maintenir le contact avec l’international est sans aucun doute de télécharger Skype, qui permet une visioconférence entre deux utilisateurs. C’est simple et gratuit alors il faut en profiter !! • Vie universitaire Deux grandes universités sont présentes à la Nouvelle Orléans : l’université Tulane et l’université Loyola, qui sont des universités privées assez prestigieuses, présentes dans de magnifiques bâtiments en pierre, près de la très chic Avenue Saint Charles. On trouve aussi une université publique, gérée par l’Etat de Louisiane. Je n’ai pas eu l’occasion d’en connaître une en particulier puisque j’étais seulement en stage dans une école. J’ai seulement visité l’extérieur des universités de Tulane et de Loyola, mais cela a été intéressant à voir pour connaître et « ressentir » une université typique américaine. • Stage J’ai été en stage durant quatre semaines (+ une semaine de vacances) à l’école bilingue de la Nouvelle-Orléans. Ce stage a été proposé par l’université Lyon 1 dans le cadre des études en Master 2 d’enseignement. Plusieurs destinations étaient proposées, on devait en choisir deux et attendre notre affectation. Une fois celle-ci connue, nous avons été mises en relation avec la directrice de l’école. Les échanges se sont faits principalement avec elle, tout d’abord pour mieux nous connaître et ensuite pour nous affecter à nos niveaux de classe et à notre famille d’accueil. J’ai pris contact avec le professeur des écoles de ma classe d’affectation pour parler de nos différents projets et envies. Nous sommes allées directement en classe le lendemain de notre arrivée (19h heure locale, 2h du matin heure française). Nous avons été en observation durant deux semaines et pour ma part, j’ai pris la classe en responsabilité durant les deux dernières semaines de stage. Nous n’avons pas été rémunérés pour ce stage et nous dépendions exclusivement de l’université Lyon 1. Les horaires de stages correspondaient aux horaires d’école, c'est-à-dire que l’on commençait la journée à 8h et qu’on l’a finissait aux alentours de 16h. Bien entendu, lors de ma période de responsabilité, ces horaires s’allongeaient car je devais préparer les cours pour la classe de façon plus approfondie. L’école bilingue est une école privée, homologuée et française, où des enseignants français dispensent un enseignement par rapport aux programmes de l’école française. Les petits américains étaient donc là pour parler et pratiquer la langue de Molière de huit heures du matin à quatre heures de l’après-midi. Pour les plus petits, la production orale est possible en anglais mais l’adulte interlocuteur doit absolument lui répondre en français. C’est une totale immersion dans la culture française, que les parents ont voulu pour leur enfant. Dans cette école, nous nous sentions donc dans une sorte « d’enclave française » au milieu de la société américaine. • Vie quotidienne Climat Notre stage s’est déroulé pour une grande partie durant le mois de mars qui correspond au milieu du printemps là bas. Il faut savoir que l’hiver des Néo-Orléanais ne dure que quelques semaines entre décembre et janvier, avec des températures frisant le 0°C ma is qu’ensuite, vient le printemps qui dure approximativement de février à mai. Après cela, vient l’été de juin à novembre, où les températures avoisinent les 35-40°C et où l’air est vraiment irrespirable (mélange d’air poisseux et de pollution). Nous sommes donc tombées dans une période très agréable, malgré l’air tropical environnant. Le matin, nous nous réveillions avec 68° Fahrenheit (ou 20°C) et l’après-midi, les températures pouvaient m onter jusqu’à 30°C. Il faut savoir que l’air tropical donne une sensation de chaleur plus forte et qu’il doit vraiment être difficile de respirer convenablement en plein été. Mais rassurez-vous, la fraicheur revient vite à la tombée de la nuit et il est donc très agréable de se promener à ce moment là. Les institutrices vivant là bas à l’année m’ont dit que c’était par ailleurs qu’à ce moment là de la journée qu’elles sortaient durant les mois chauds de l’été (juillet et août). Il faut aussi faire attention à la période fin août-fin septembre, car c’est la saison des ouragans qui peuvent faire beaucoup de dégâts quand ils passent sur la ville (Exemple de Kathrina en 2005…). Le mois de mars et d’avril est donc très agréable au point de vue du climat car malgré quelques averses tropicales qui peuvent créer des petites inondations dans certains quartiers de la ville, le soleil et la chaleur sont au rendez-vous. Rythme de vie C’est le climat qui rythme la vie. En effet, les Néo-Orléanais aiment passer du temps dehors à discuter avec leurs voisins, à lézarder sur les terrasses d’un bar ou à organiser des fêtes d’anniversaire ou de bienvenue dans leurs jardins. Dès l’arrivée du printemps, les parcs sont remplis de gens souhaitant prendre l’air et les glaciers ne désemplissent pas. Les habitants ont par ailleurs une devise de vie que vous verrez apparaître un peu partout : « laissez le bon temps rouler ». Cela veut dire ce que ça veut dire, il faut rester cool et laisser faire la vie, sans se prendre la tête. Ils veulent donc profiter de la vie sans contraintes, en profitant de ce que la vie leur apporte. Les seuls grands moments d’excitation des Néo-Orléanais se passent au moment de MardiGras, où la vie se pare de couleurs dorées, violettes et vertes pour célébrer le Carnaval, et quand l’équipe de football américain locale, les Saints, joue pour le plus grand plaisir des passionnés. Horaires d’ouvertures Aux Etats-Unis, il existe des magasins ne fermant pas de la nuit et la Nouvelle-Orléans n’y fait pas exception. Ce sont plus particulièrement des magasins d’alimentations comme Walgreen. Les grandes surfaces alimentaires de style Rouses ou Whole Foods ont des horaires d’ouvertures élargies, souvent de 6h du matin jusqu’à 22h le soir. Concernant les centres commerciaux, ceux-ci sont ouverts de 8h du matin à 21h le soir, mais les magasins de vêtements ont eux même ont des horaires plus habituels pour les Français (9h-18h). Transports Le réseau de transports en commun de la vie n’est pas très développé et il faut vous attendre à patienter si vous voulez prendre un bus ou un street car. Apparemment, les habitants de la ville ont appris à ne pas être trop à cheval sur les horaires. Cependant, la découverte de la ville dans le street car est super car en plus d’être dans le plus vieux tramway du monde (authentique et tout en bois), vous traverserez la ville en passant dans de très belles rues, bordées de magnifiques maisons. Le taxi est assez bon marché si vous le prenez à plusieurs, sans oublier les « tips » à donner au chauffeur ! La location de voiture est possible si vous souhaitez quitter la Nouvelle-Orléans pour voyager à l’intérieur de la Louisiane mais il vous faudra compter un supplément si vous avez moins de 25 ans. Si vous comptez avoir une voiture pour vous déplacer, les embouteillages ne sont pas énormes à l’intérieur de la ville mais le trafic peut s’avérer plus compliqué sur les autoroutes environnantes et lors d’inondations (où certains quartiers de la ville peuvent être totalement fermés). Il est aussi possible de se déplacer en vélo à travers la ville et ses nombreux parcs, ce qui vous permettra d’apprécier l’air environnant et d’éliminer les (nombreux) kilos que vous prendrez en venant ici (voir prochaine partie !). Nourriture et boissons Autant le dire tout de suite, une fois aux Etats-Unis, vous allez avoir envie de tout goûter, même ce qui ne parait pas fameux de prime abord ! La nourriture de New Orleans est un vrai melting pot : on y retrouve des influences françaises (les beignets, le café, les croissants, le "pain français"), espagnoles (les fruits de mer, le jambon, le riz, qui d'ailleurs se trouvent tous dans le jambalaya, une version cajun de la paella), italiennes (un sandwich italien nommé le mufuletta) et irlandaises (très fortes communautés d'immigrants), caribéennes (épices, piments, poivrons, patates douces, mangues), cajun (noix, tomates, viande, crevettes, haricots secs, saucisses)... Vous ne pourrez pas passer à côté du red beans and rice (mélange d’haricots rouges et de riz), du jambalaya (la paëlla locale), du gumbo, des crawfish (écrevisses cuites avec des saucisses, des épis de maïs et des saucisses, saupoudrés très généreusement d’épices locales), du blackened catfish, des beignets avec le café au lait, des pralines, des po' boy (grand sandwich populaire, contraction de « poor boy », le plus connu étant celui au roast beef dréssé avec des tomates et de la mayonnaise), et des centaines d'autres plats délicieux ! On peut même dire que la Nouvelle Orléans est la jumelle de Lyon, au niveau de la gastronomie et ses habitants le lui rendent bien. Cependant, les Américains mangent tôt et il ne faudra pas vous étonner de trouver des gens en train de diner à 17H30… Le cocktail emblématique de la Nouvelle Orléans se nomme l’Hurricane où l’on retrouve dans un immense verre un mélange de jus de fruits, de grenadine et de rhum. Attention, pour en consommer, et cela s’applique à tous les autres alcools, il faudra présenter sa carte d’identité pour prouver que l’on a l’âge légal pour boire, c'est-à-dire 21 ans. Quoi qu'il en soit, demandez un go cup (verre en plastique, le verre étant interdit dans la rue) et déambulez dans les rues du French Quarter, à la recherche de bonnes rencontres nocturnes. Loisirs Je vais donner quelques endroits à voir ou choses à faire durant votre séjour : Aller voir un match de basket ou de football américain, pour comprendre et ressentir la culture américaine Se promener au parc Audubon Aller flâner dans les rues du Garden District et admirer de belles maisons Visiter le zoo du parc Audubon Aller à des festivals, notamment au mois d’avril De goûter à la gastronomie qui propose la ville et ne pas se cantonner aux traditionnels burger-frites Aller au Preservation Hall pour écouter un bon groupe de jazz et au Funky’s pirate écouter du blues. Laisser le bon temps rouler et restez zen en toutes circonstances… II- Bilan et suggestions Je vais remplir cette deuxième partie en répondant à des questions à la manière d’une interview. A. Bilan Quel bilan faites-vous de ce séjour ? Je pense que mon séjour à la Nouvelle-Orléans a été une expérience professionnelle et personnel très enrichissante, me permettant de découvrir de nouvelles méthodes de travail, de découvrir une nouvelle culture, et de m’y insérer durant ces cinq semaines. Les personnes que j’ai rencontrées là bas ont été charmantes et pour la plupart très accueillantes et « friendly ». Pour la plupart, les gens sont beaucoup moins stressés qu’en France et vivent donc mieux. Quelles ont été les principales difficultés rencontrées ? La principale difficulté que j’ai rencontrée est la barrière de la langue. En effet, lors de mon cursus scolaire, la langue étrangère que j’ai le plus pratiqué est l’espagnol et me retrouver dans un pays anglophone n’a pas été chose aisée au début de mon stage. De plus, l’accent du sud des Etats-Unis est très particulier et ne m’a pas permis d’être tout à fait à l’aise au début de mon séjour. C’est pourquoi je suis ravie d’avoir été hébergée en famille d’accueil car cela me permettait de parler tous les jours dans un anglais certes approximatif mais un anglais tout de même. Une autre difficulté a été l’intégration dans ma famille d’accueil. Bien que très gentils, les parents ne souhaitaient pas spécialement me faire découvrir leur culture, leur ville ou leurs passions et passaient leur week-end cloitrés dans leur maison. Au début de mon séjour, dans une ville que je ne connaissais pas, je me voyais mal partir à l’aventure seule dans les rues de New Orleans. Heureusement que d’autres familles d’accueil m’ont pris sous leurs ailes et j’ai pu ainsi partager mes ressentis au fil de ma découverte de la ville. Peut-être faudrait-il mettre en place à chaque candidature de famille d’accueil une sorte d’entretien de motivation car je peux le dire : je me sens lésée par rapport aux autres stagiaires car j’ai du payé un hébergement pour une famille qui en contrepartie ne voulait pas « s’investir » pour moi. Vos projets personnels et professionnels ont-ils évolué au cours de ce séjour ? En quoi ? Ce stage a été indéniablement bénéfique pour la maitrise de l’anglais. Bien que je ne rentre pas en France avec un niveau de bilinguisme en anglais, je me sens un peu plus à l’aise pour parler avec des étrangers anglophones. Au niveau professionnel, ce stage confirme mon projet professionnel s’orientant vers l’éducation. B. L’encadrement Avez-vous eu besoin d’être encadré, préparé et orienté avant et pendant votre séjour ? Avant le séjour, il m’a été très utile d’être en contact avec la directrice de l’école, puis avec l’instituteur de la classe afin de préparer mon travail en amont. Nous avons pu établir un premier contact important lorsque l’on part à l’étranger. Pendant le séjour, j’ai, bien entendu, récolté le maximum d’informations auprès des instituteurs pour mon futur métier mais aussi auprès des enfants pour l’élaboration de mon mémoire de fin d’études traitant des rythmes scolaires. Comment cela s’est-il passé ? A part le problème de l’adaptation à la famille d’accueil qui n’a pas été facile, ces cinq semaines se sont bien déroulées. J’aurai voulu encore plus partager avec ma famille d’accueil mais le sort des affectations des familles d’accueil en a décidé autrement… J’ai heureusement compensé en me liant avec d’autres familles d’accueil et les instituteurs de l’école. Quel rôle a joué votre établissement Rhônalpin dans cette préparation ? Mon établissement est intervenu dans un premier temps pour proposer le stage à l’étranger. De plus, les quatre stagiaires partant à la Nouvelle-Orléans se sont vues attribuer une directrice de stage qui nous a mis en relation avec l’école par mail. Celle-ci est aussi venue pendant le stage durant une semaine pour s’assurer de notre bonne installation et pour nous voir en situation d’enseignement. Avant votre départ, êtes-vous entré en contact avec des étudiants rhônalpins ayant déjà effectué un séjour dans le même établissement d’accueil que vous ? J’ai lu le rapport de stage d’une stagiaire de l’année dernière qui était venue dans l’école. Son rapport de stage m’a donné envie de partir et après relecture après mon retour, je me suis rendue compte des nombreux points communs de notre séjour. Avec des étudiants étrangers venant de votre établissement d’accueil ? Non. C. Dans le futur, si… Si vous deviez repartir à l’étranger, quelles erreurs éviteriez-vous? Comment vous y prépareriez-vous ? Après recul, je ne pense pas avoir fait d’ « erreurs » de préparation. Je prendrai simplement davantage d’espèce ($500 à $1,000) pour pouvoir effectuer toutes les procédures sur place. Si je devais être logée dans une famille d’accueil, je demanderai explicitement à avoir des gens qui veulent accueillir quelqu’un, non pas pour l’argent, mais pour la découverte et l’accueil d’une autre personne. Que suggéreriez-vous à ceux qui vont partir ? Se renseigner sur la ville, les activités possibles, sorties possibles, que vous pourrez faire une fois arrivé. Photocopier tous les documents importants et les scanner de manière à pouvoir les imprimer à tout moment au cas où vous deviez subir un vol ou la perte de ceux-ci. Faites un budget dépense à l’avance et ajustez le une fois sur place, de manière à pouvoir gérer cela au mieux. N’oubliez pas votre permis de conduire français et international si vous en avez un. Prévoyez de la place et du poids dans vos valises pour le retour (prix de la surcharge excessif !) PROFITER !!! D. Améliorations possibles Quelles améliorations estimez-vous intéressantes d’apporter aux échanges internationaux ou à la bourse régionale ? Aucune