ADJUDICATION VOLONTAIRE, D ` I M M E U B L E S
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ADJUDICATION VOLONTAIRE, D ` I M M E U B L E S
vers ca(1*8(1chefs gardes , etc., 56 sous enveloppe, écrites en six langues, seron lancées en môme t e m p s ; elles prieront de faire reproduire, dans l'un des j o u r n a u x do la localité, la relation du voyage. Le ballon Nadar n'ira point se gonfler h Bade, c o m m e on l'avait dit, sa g r a n d e u r l ' e n chnîne à ce qu'il paraît aux rivages de la Seine, et il se dispose à p r e n d r e son vol au C h a m p d e Mars. Vous savez q u e d e n o m b r e u x o n c o u i a gcmenls sont venus à notre intrépide i n n o vateur; puisse le succès être acquis à sa c o u rageuse tentative. Observations météorologiques faites il Valence. le 23 septembre, à 7 heure* du îh\l l'Eli,\TIHE is 'B g ë lll.lliulil minima il. U.l mill. 749.2 Veut = S. il. 10.2 o . n t s 1. faible il 17. 0 q u ' u n e grande partie do la population se disposait à se r e n d r e h la distribution des prix du comice agricole, le temps, très beau dans la mminée a tout îi coup passé au mauvais, et une forte pluie mêlée de grêle est tombée sur Sétif. A la même heure, un véritable déluge d'eau mêlée de grêlons de la grosseur d ' u n e noix s'est abattu sur Ain-Tricq. En un instant les rues de ce village se sont transformées en t o r r e n t s ; l'eau pénétrait dans les habitations et causait q u e l q u e s dégâts, heureusement peu importants, aux récoltes qui y étaient enfermées. Vers les cinq heures et d e m i e du soir, de gros nuages couvraient Sétif : le ciel était menaçant. En effet, quelques instants après, une furieuse tempête enveloppait notre ville, le vent souillait avec violence, la pluie tombait par torrents. La grêle voulant être de la partie, rendait encore le tableau plus effrayant. matin. a 1 ETAT ou CIEL : Nuageux. NOTA. — Les indications b a r o m é t r i q u e s sont ramenées à 0 degrés, et sont corrigées des effets de la capillarité. La t e m p é r a t u r e est prise à l'ombre et au fiord. La quantité de vapeur d'eau e t calculée en prenant pour unité la saturation complète. H A U T E U R DU RHONE le 2 3 septembre : 0 m. 93. Pour la chronique locale : Abcl Céas. Un instant, nous avons cru que les désastres du 1 8 septembre 1862 allaient se r e n o u veler. Grâce .'i Dieu, il n'en a rien été, car le temps s'est vite remis au b e a u . Nous n'avons pas appris qu'il soit arrivé au cun malheur. Des voyageurs q u i se trouvaient dans la diligence Seigle nous ont assuré q u ' é t a n t à Bordj-Mamra, sur la roule de Sétif <i Constammo, ils avaient été assaillis par un orage qui Ics a f . r c e s ;i se réfugier dans une m a i son ; la pluie tombait par t o r r e n t s , accompagnée de grêlons de la grosseur des œufs de poule. — Voici un h o m m e qui donne sa vie pour son chat. M. Jean B . . . , âgé de 2U a n s , d e meurant avenue de Clicby, avait eu la j a m b e gauche amputée à la suite d ' u n e blessure qu'il avait reçue en combattant courageusement dans une de nos dernières guerres. Hier, on vint l'avertir qu'un chat qui lui appartenait et qu'il aimait beaucoup venait de tomber dans un puits très profond situé cité (l'Orléans. Malgré sa j a m b e de bois, il voulut aussitôt se faire descendre dans ce puits pour sauver son ¡ V l u r f l i é *if Si m » ' • m a du 18 sept. NATURE des denrées. ' c h a t . Ses voisins essayèrent vainement de le d é t o u r n e r de cette dangereuse résolution. Ils l'engagèrent à se procurer du moins une corde solide, mais B . . . n'écouta rien ; il craignait que le moindre temps perdu ne c o m p r o m î t la vie de l'animal. Furine 1 Ué|iâclici» T é l é g l ' a p H s 2 q «i e « . Paris, mercredi malin, .23 septembre. L e Moniteur d e ce matin publie un décret qui déclare M. E d m o n d S h a r p e définitivement concessionnaire du chemin de fer do Perpignan à Prades. L e Constitutionnel, s o u s la s i g n a t u r e de M. Paulin Limyarac, passe en r e vue les j o u r n a u x allemands et constate la c o n t i n u a t i o n d e l ' a c c o r d p a r fait d e s t r o i s p u i s s a n c o s a u s u j e t d e la P o l o g n e . E l l e s c o m p r e n n e n t Irop bien les e x i g e n c e s d o l'ordre e u r o péen et leur p r o pre dignité p o u r qu'il en s o i t a u t r e m e n t . B r e s l a u , 22 seplemb. L a Gazette de Breslau dit q u e la b o m b e j e t é e s u r la v o i l u r e d u g é n é r a l B e r g a ét i lancée par un h o m m e posté sur le t r o t t o i r , e t q u i s ' e s t s a u v é e n suite d a n s u n e v o i t u r e qui l ' a t t e n d a i t . Le p a l a i s Z a m o y s k i , q u i n ' é t a i t p o u r rien d a n s l ' a t t e n t a t , a é t é pillé e t s a c c a g é p a r l e s R u s s e s à la s u i t e d e c e t é v é n e m e n t ; tous les m e u b l e s et o b j e t s d'art ont clé détruits. H i e r , s u r le c h a m p d e m a r s d e Varsovie, un c o s a q u e p o r t e u r d e d é pêches a été f r a p p é d ' u n e balle et on s'est e m p a r é d e s d é p ê c h e s . La p o l i c e n'a p u r e t r o u v e r l ' a u t e u r d e c e c o u p hardi. N e w - Y o r k , 12 s e p t e m b r e . Les f é d é r a u x ont tenté d ' o c c u p e r lu f o r t S u i n t e r , m a i s i l s o n t é t é r e poussés. Ils disposent d e s batteries p o u r b o m b a r d e r la v i l l e . R o s e n k r a n z a n n o n c e o f f i c i e l l e m e n t la (irise d e Chattanoga. Burnside s'est démis de son c o m m a n d e m e n t . Jules titas ifOljl^Èî'du Hente — 4 »/« ¡S p. M l 23 p. P A R I S sept. •/* ÎM» "J0 FAITS «;» <>7 DIVERS Le Moniteur de l'Algérie du 1 5 , donne h'S nouvelles suivantes d ' u n orage qui a ton! ¿c|al6 s u r s 6 l j f . ^ ' m a n c h e , vers trois heures cl d e m i e , aloi ï S ' é t a n t fait attacher a u ' m i l i e u du corps à l'aide d ' u n e mauvaise c o r d e , il descendit et parvint à retirer son chat e n c o r e vivant. Alors il se fit remonter. Déjà il était arrivé près de la margelle , lorsque la corde sô rompit et le laissa retomber au fond du puits. On courut en toute hâte chercher les sapeurs-pompiers du poste de la rue Aluncey. Ils procédèrent sans p e r d r e de temps au sauvetage , mais le Droit assure qu'ils ne r a m e n è r e n t q u ' u n cadavre. — (Pairie ) — On lit dans le Courrier de Bourges : « Il y a vraiment des existences qui sont protégées ou sauvées d ' u n e façon presque miraculeuse. » Mardi d e r n i e r , vers midi, au moulin du P r é a u , appelé aussi la scierie , près de Mehun, le j e u n e Amédée B l i n , âgé de trois ans et demi s e u l e m e n t , fils du sieur Hippolyte Blin , chargé de la trituration du sable <i porcelaine, s'amusait seul près du moulin, lorsqu'il tomba dans l ' Y è v r e , en avant des vannes , passa sous la roue de l'usine et fut e n t r a î n é par les vagues .'i plus de 400 mètres d u lieu.où il était tombé. » Les parents, qui habitent précisément la maison près du moulin , et plusieurs ouvriers qui travaillaient dans l'intérieur ne s'aperçurent même pas de la disparition de l'enfant, et le pauvre petit aurait infailliblement péri sans J e d é v o u e m e n t du sieur Louis I-lurct, ouvrier porcelainier, demeurant ii Mehun , qui par hasard se promenait eu biiteau lorsqu'il aperçut le corps de l'enfant qui surnageait, Ils'etnpn-ssa de le recueillir et le transporta en toute hâte au domicile des parents où des soins intelligents lui f u r e n t prodigués par le docteur Bousquel ; grâce à de nombreuses frictions, il suspendit la réfrigération et la rigidité cadavérique et parvint enfin à r a m e n e r l'enfant à la vie. » En passant sous la roue du moulin , où il eût du cent fois trouver la m o r t , le pauvre petit avait icçu trois fortes contusions, l'une à l'œil gauche, l'autre à la tête, et enfin la troi sième au nez. Malgré tout, à cette heure ilo:-t en pleine voie d e g u é r i s o n . <> — Le j a r d i n d'acclimatation, pour compléter sa collection de faisans, vient d'acquérir letragopan ou napaul, phasianus satyrus. Ce bel oiseau, do In belle famille des phasianidées, a été ainsi appelé par Cuvier, parce qu'il paraît repioduire la description que Pline donne do l'oiseau qu'il nomme ains*. Le tragopan est o r i g i n a n e des montagnes de l'Himalaya. Par ¡a vivacité et la varié',é de couI t i r s c'est le rival du faisan d o i é de In Chine. Il est r e m a r q u a b l e par deux cornes minces situées and e s s u s des yeux et p a r t i n e très longue huppe d ' u n bleu noir b r o n z é , composée de plumes nombreuses et roides qui se dirigent, en a r rière. Le pourtour des yeux ainsi q u ' u n e p a r tie do la gorge, sont, au;si bleus. Le reste du plumage est d'un roux plus ou moins vif, o cellé de taches blanches encadrées de noir. Sa taille est celle du faisan ordinaire. Les tragopans ont été r a r e m e n t vus vivants en Europe. Ceux qui se trouvent en ce moment au Jardin d'acclimatation ont été e n voyés par M. Dabry , consul de France en Chine. Voici q u e l q u e s chiffres e m p r u n t é s p a r l e Daily Telegrap aux tableaux s u r le recensein.'in de 1861, et q u i donnent, une singulière idée de l'institut,ou d u mariage eu Angleterre. S u r une population totale de 2 0 , 0 0 6 , 2 2 4 i n dividus dans l'Angleterre et le pays de Galles, on compte 6 , 9 1 7 , 3 9 5 h o m m e s et femmes dans l'état de mariage, et 1 , 1 1 6 , 6 7 2 veufs et veuves. Dans le nombre des mariés, il se trouve 5 , 0 6 6 hommes au-dessous de vingt ans, et 2 9 , 7 1 9 femmes du m ê m e âge. Parmi les p r e m i e r s , il y en a 69 de 1 5 ans seulement ; mais p a r m i eux on n'en compte que 7 qui vivent avec leurs femmes, et 55 par conséquent, vivent séparés, sans q u e la raison de cette séparatiwn soit expliquée j parmi les 7 couples vivant en c o m m u n a u t é , il ne s'en trouvait que 2 dont l'âge était le m ê m e . Il y a 107 maris de 40 ans s e u l e m e n t , et, parmi eux, i l seulement vivent avec leurs femmes. Comme dans le cas p r é c é d e n t , la plupart des femmes étaient plus âgées q u e leurs maris, l'une d'elles même était parvenue à l'âge mûr de cinquante ans. Un j e u n e h o m m e de dixsept ans avait épousé une f e m m e de plus de quarante a n s ; deux autres de d i x - h u i t ans avaient épousé des f e m m e s âgées respectivement de cinquante a n s ; 237 maris de moins de vingt et un ans avaient épousé des f e m m e s de plus de quarante a n s ; un mari de vingt et un ans exactement avait épousé une femme de soixante-dix ans, et, un autre de vingt ans, une femme âgée de quatre-vingts à q u a t r e - v i n g t cinq ans. Il y a deux ou trois autres cas où le mari, j e u n e encore, épouse une f e m m e de plus de quatre-vingt-dix a n s . Les j e u n e s femmes épousent, en général, des hommes plus âgés qu'elles et les exemples de femmes épousant des maris de trois ou quatre fois leur âge sont fréquents. Deux filles de 17 ans o u i épousé des v ieillards do 7 5 et de 80 ans ; une fille de 16 ans a épousé un mari de 70 ans. Arrivés ù l'époque de la majorité, les c o u ples se marient à peu près au même âge. Les absents du domicile conjugal sont n o m breux. Le nombre des maris résidant au domicile conjugal pendant In nuit du recensement de 1861 était de 5 , 2 4 2 , 2 2 2 . Il y avait 1 8 6 , 0 2 1 maris dont -es femmes étaient absentes, et 2 6 6 , 5 3 0 femmes dont les mari s étaient ab- Bulletin de la Semaine extrait DU COMMENCE SÉRICICOLË. M i l a n , 1A s e p t e m b r e . Les affaires ont repris q u e l q u e activilôf e l c e l a d a n s t o u s l e s g e n r e s . O n p e u t d i r e c e p e n d a n t q u e les soies d e mérite ont m i e u x soutenu leur prix. Quant aux bonnes premières et s e c o n d e s q u a l i t é s c o u r a n t e s , il s ' e s t f a i t bien d e s ventes qui n'ont été d é t e r m i n é e s q u e p a r c e q u e les d é t e n t e u r s las d e s e r a i d i r ' d a n s leurs p r é t e n t i o n s o n t Uni p a r s e m o n t r e r plus coulants. L ' é t r a n g e r contribue pour sa part à r e n d r e l'état d e notre m a r c h é plus satisfaisant,, E n r é s u m é l'on peut bien dire q u e si la h a u s s e m a n q u e d e p r o b a b i l i t é , la baisse semble inadmissible. Les soies asiatiques sont toujours c a l m e s et les d é c h e t s fort r e c h e r c h é s . Turin, 18 septembre. L e b u l l e t i n officiel ne n o u s o f f r e a s i g n a l e r q u e la v e n t e d e d e u x p a t t i e s d e g r è g e s d e Picm'ont 1 2 | 1 3 a u x prix d e G8 et 7 0 f r . C e n e s o n t p a s là c e p e n d a n t l e s seules o p é r a t i o n s qui se soient faites s u r n o t r e p l a c e . E u e f f e t , o n c i t e la v e n t e d ' u n e f i l a t u r e d e Carmagnole à 7 3 f r . c e l l e d e d e u x filatures d e s e n v i r o n s d e Dogliani 7 2 fr.; celle enfin d'une partie en deuxième qualité d ' u n e filature d e Ceva à 6 2 fr. Ces v e n t e s en g r è g e s ont a m e n é celle de q u e l q u e s organsins courants en soie du p a y s 2 4 | 2 6 , depuis 77 jusqu'à 8 0 fr., et en soie de Naples, d e 7 0 à 7 8 fr. D u r e s t e , il f a u t b i e n r e c o n n a î t r e q u o la p o s i t i o n t e n d à s ' a m é l i o r e r p a r suite d e s nouvelles reçues de F r a n c e et d'ailleurs depuis quelques jours. Londres. Nous avons eu d e n o m b r e u x achats ces d e r n i e r s l e m p s . Aussi les c o u r s des soies de Chine el de Japon ont acquis une grande fermeté. Cette augmentation cause maintenant dans lei transactions un ralentissement d'autant plus c o n s i d é r a b l e q u e les besoins du m o m e n t sont satisfaits. D'un a u t r e côté les nouvelles d u J a p o n n o u s a n n o n c e n t q u e le M i k a d o a donné ordre d expulser tous les é t r a n g e r s d u J a p o n , i! e s t à c r a i n d r e que cet événement n'exerce une fâcheuse influence sur notre commerce. Mouvement tics soies dans les docks de Londres. DÉSIGNATIONS imporla lions livraisons STOCK du du (les 12 s e p t . ti au 12 s. 0 au 12 s. SOIES. 1863 1863 1863 SL'JitS. Sur 8 , 0 3 4 , 0 6 7 personnes qui avaient été mariées, le recensement constate 3 , 4 2 8 , 4 4 3 maris, 3 , 4 8 8 , 9 5 2 femmes, 3 5 9 , 9 5 5 veufs et 7 5 6 , 7 1 7 veuves. (Siècle). — Un d r a m e intime, qui n d u r é probablement plusieurs années , vient de se t e r m i n e r d ' u n e façon fatale, dans la c o m m u n e d ' O r g e rus, arrondissement de Rambouillet. Le 8 septembre , on trouvait, dans le bois do l'Ornière , pendu à un a r b r e , le corps d'un jeune h o m m e q u ' o n r e c o n n u t bientôt pour être c e lui de Louis-Marcel B . . . , âgé de vingt-quatre ans, ouvrier mécanicien, jouissant d ' u n e bonne réputation. Deux lettres écrites au c r a y o n , trouvées sous la chemise du malheureux j e u n e h o m m e , faisaient connaître les motifs de sa m o r t . Dans l'une, B... faisait ses adieux à sa famille; dan s l'autre, adressée ii M. le p r o c u r e u r impérial, il accusait son père de mauvais traitements envers sa m è r e . . . Celle plainte se terminait par ces mois : « Mère, dites la vérité; j e la dis à l'heure de la mort. » Confronté avec ie cadavre de son fils, le sieur B . . . n'a m o n t r é aucun c h a g r i n ; c'est en riant qu'il a répondu aux questions qui lui ont été adressées , tant sur l'accusation portée contre lui par son fils , q u e sur les motifs (jui ont décidé !e j e u n e homme à se suicider. L'enquête a établi q u e le j e u n e ouvrier, ii la suite d ' u n e g r a n d e maladie, pendant laquelle ton père s'était montré d'une dureté inqualifiable pour lui, avait dû quitter In maison paternelle , et q u e c'était à cette d u r e t é , aux soulTnuces qu'il éprouvait encore, comme aux mauvais traitements dont sa mère était l'objet, qu'il fallait attribuer la uiorl déplorable du pauvre Marcel B. . La mère est dans le plus piofond chagrin j q u a n t au sieur B . . . p è r e , il ne se montre nullement a fier, lé , et se contente de nier lis faits q u i lui sont reprochés par la clameur puhliqi e. Grège Bengale. iil. Chine. id. Japon,. id. Cantilli it!. Perse. hlne-Clnne. 111 172 » 50 40 58 830 301 89 59 12 1555 10310 8501 1289 1226 1445 A V I S : E n e n v o y a n t un f r a n c e n t i m b r e s - p o s t e à DISDIÎIU, p h o t o g r a p h e d e S . M . I'EMPEREUR, 8 , b o u l e v a r t des Italiens ; à P a r i s , on recevra f r a n c o , p a r le r e t o u r d u c o u r r i e r , le p o r t r a i t - c a r t e d e trois cent vingt-une (321) célébrités contemporaines, avec le n o m d e c h a c u n d e s p e r s o n n a g e s . (Affranchir.) 5699—5 T I R A G E MEUCUEDI PROCHAIN 30 S E P T E M B R E de la Nouvelle loterie autorisée toute la France, LA L O T E L U E F R A N Ç O I S BILLETS A 2 5 dans Ie'. C. C a p i t a l 2 0 0 , 0 0 0 IV.; l o i s d e 2 0 , 0 0 0 fr., 2 , 0 0 0 fr. e l a u t r e s lots, tous en e s p è c e s . — Premier tirage mercredi prochain 30 septembre. — Dans n o i r e ville (et t o u t e s l e s a u t r e s villes), b i l l e t s à 2 5 c . chez tous les libraires, débitants de tabacs, e t l ' o n p e u t d è s a u jourd'hui s'y faire inscrire pour billets à 25 c . d e la NOUVELLE GRANDE MOBILIÈRE LOTERIE : T-POINT-AIONCEAUX aux 5 5 3 l o t s , e l au gros loi de 1 2 0 , 0 0 0 f r . à- gagner pour 2 5 c. 5761—7 Le Traité des maladies des femmes ej des jeunes filles, p a r l e d o c t e u r L a n d r y , e s t écrit p o u r les p e r s o n n e s é t r a n g è r e s à la m é d e c i n e . Il s ' a d r e s s e a u x f e m mes du m o n d e el aux mères d e fam i l l e , q u i t r o u v e r o n t là l e s p l u s u t i l e s renseignements. 1 vol. a v e c figures g r a v é e s s u r b o i s , 5 IV. e t 6 f r . p a r la poste. Chez Jules Masson,. éditeur, 26, rue de l'Ancienne-Comédie, a Paris, 5462-3. La d e n t i t i o n d e s e n f a n t s n ' e s t p a s u n e m a l a d i e , m a i s u n e fonction na turello q u e l'on facilite d ' u n e m a nière t r è s - r e m a r q u a b l e en frictionnant leurs gencives avec le S i r o p (lu d o c t e u r D e l a b a r r e ( g r a n d e m é d a i l le d ' o r ) . P h . B É R A L , 1 4 r u e d e la Paix, Paris, el h Valenco, chez M M . GUICHARD e l D A R U T Y , e l À M o n télimar, chez M . Aug. BRUN, ph.chimiste. 11,741 62. . I j ' Ë t u d e d e M ' a v o u é , est transférée N e u v e , n° 1. l i o n place t o u x , Porte VmM'J'iB par ADJUDICATION VOLONTAIRE, En l'élude do Me d e B O N V A L , n o t a i r e il V a l e n c e , l e lundi cinq octobre mil huit cent soixantetrois, il d i x h e u r e s d u malin. DE l)FU\ AltTtCLES D ' I M M E U B L E S Situés à Valence, faubourg SaintJacques, route de Romans, numéro 12. 1" lin c o r p s d e Maison a v e c u n Jardin, d'une superficie do deux c e n t v i n g t - c i n q m è t r e s , s u r la m i se à prix de quatre mille francs, ci. 4,000 fr. 2" U n P a v i l l o n c o m p o s e d e trois p ' è c e s , a v e c u n [relit J a r d i n attenant, mise à prix deux mille francs, ci. 2 , 0 0 1 1 fr. S'adresser pour les renseignem e n t s à M. B U I S S O N , propriétaire, route de Romans, numéro 12, ou ii M" d.;" B O N V A L , n o t a i r e . AV I S . — La publication légale des actes de société est obligatoire pour l'année, ! i J ( i 3 , dans le C o u r r i e r d e l a D r ô r . i e ( t de l'Ardèchc. iV.u-;. a ¿ i d i c i a i i v » ¡Irrond, de Valence. ETUDE d e M e OLLIVIIÎH, l i c e n c i é e n d r o i t , avoué, Grand'Hnc, 35, A VALENCE. W I M T O l f i DE BIENS Par devant au DE Me FAILLI. REY, notaire Grand-Serre. L'adjudication aura lieu p a r d e v a n t et en l ' é t u d e d u d i t Me Hey, ¡ n o t a i r e a u G r a n d - S e r r e , le d i m a n c h e onze octobre mil huit cent soixante-trois, à une heure après midi. En exécution d'un jugement rendu contradictoirement avec le ministère p u b l i c p a r le t r i b u n a l civil de V a l e n c e , ie d i x a o û t mil h u i t c e n t s o i x a n t e trois, e n r e g i s t r é ; A la r e q u ê t e P c M. C h a r l e s , A r g o n d , avocat-agréé au tribunal de c o m m e r c e de ilomans, y demeurant, agissant en qualité d e syndic à l ' u n i o n des c r é a n c i e r s du sieur Frédéric A u r e u c h e , cx-rvoulinier e n soie, d o m i c i l i é a u m ê m e lieu ; Lequel persiste à constituer pour avoué Me O l l i v i e r , l i c e n c i é e u d r o i t , q u i o x e r c e e n c e l l e q u a l i t é p r è s le t r i b u n a l civil d e Valence, où il d e m e u r e ; Il s e r a p r o c é d é A In v e n t e nnx e n c h è r e s p u b l i q u e s d ' u n e u s i n e à soie, de ses d é p e n d a n c e s e: d e s i m m e u b l e s p a r d e s t i n a t i o n q u ' e l l e renferme, d é p e n d a n t de l ' a c t i f d e lu faillite d u d i t A u r e n c h e . C e t t e usine est s i t u é e a u G r a n d - S e r r e (DrÀme), d a n s la belle vallée de la G a l a u r e , et e s t m u e p a r u n c o u r a n t d ' e a u d ' u n e c h u t e do c i n q m è t r e s , r e p r é s e n t a n t u n e force de dix c h e v a u x environ. Elle c o m p r e n d f i l a t u r e à quarantedeux bassines , avec sa chaudière , plus u n r n o u t i n a g e à m o n t e r des o r g a n s i n s et d e s t r a m e s , ' c o m p o s é e d e six m o u l i n s filage, et f r o i s m o u l i n s à t o r s e a v e c t o u s ses a c c e s s o i r e s , s a v o i r : q u a l i c c e n t s o i x a n t e tavelles, (rois c e n i q u a r a n t e broches de purgeoir cl c e n t s o i x a n t e - c i n q b r o c h e s île d o u b l a g e , p l u s un flotteur q u i , a u b e s o i n , p e u se mettre à tours comptés. Les filages o n t q u a t r e v a r g u e s , q u a r a n t e huit b a g u e t s de sept f u s e a u x c h a c u n , soit trois c e n t t r e n t e - s i x p a r filage. Le* t o r s e s o n t t r o i s v a r g u e s et t r e n t e - s i x g u i n d r e s à sept f u s e a u x . La filature cl le m o u l i u n g o s o n t s é p a r é s p a r u n e b e l l e terrasse. D a n s les b â t i m e n t s se t r o u v e n t n u e m a i s o n de m a i t r e , u n o . a s t e c u i s i n e , u n vasle é l e n d a g e p o u r les c o c o n s , un vaste d o r t o i r et t o u t lu m o b i l i e r n é c e s s a i r e à l ' u s i n e p o u r la lilerie d e s o u v r i e r s et o u v r i è r e » .