Fabricant de compositions florales - Institut National des Métiers d`Art

Transcription

Fabricant de compositions florales - Institut National des Métiers d`Art
Armurier
Les métiers
du métal
Armurier
Bronzier
Carrossier
Coutelier
Décorateur sur métal
Ciseleur
Damasquineur
Doreur
Argenteur
Émailleur
Graveur
Dinandier
Ferronnier
Fondeur
Campanologue
Fondeur de cloches et
sonnailles
Médailleur
Potier d’étain
Sculpteur sur métal
Sculpteur ornemaniste
Sculpteur statuaire
Armurier
Métier
L’armurier forge, fore, assemble les canons, puis usine la garnie (crochets qui s’encastrent
dans la bascule). Après avoir fait la liaison entre les canons et la garnie, il conçoit la crosse et
le devant bois et affine les ajustages. Enfin, il assure la décoration après dessins et traçages.
Les armuriers assurent également les réparations des fusils pour la chasse, le tir sportif ou le
spectacle, leur entretien ou la restauration. Ces armes sont réalisées à partir d’acier fin. La
crosse est confectionnée dans un bois de noyer sélectionné pour sa résistance et sa beauté.
Autrefois, chaque armurier se spécialisait dans une technique particulière de l’arme :
canonnier, basculeur, équipeur, acheveur, monteur à bois, graveur.
Le canonnier : A partir de deux barres brutes forgées, le canonnier travaille les pièces par
fraisage. Il perce ensuite les canons et les assemble par soudage. Les deux canons sont limés
à l’aide d’un rabot à canon. Ils doivent être rectilignes. Le canonnier procède ensuite au
soudage des bandes entre les canons, une au dessous et une en dessus. Il termine par le
soudage de la tirette, pièce qui sera destinée à la fixation de la longuesse (pièce servant à
limiter le basculage des canons, à armer le chien et en général à supporter le mécanisme
d’éjection).
L’acheveur en canonnerie : La fonction de l’acheveur est de donner un bon état de surface
extérieure au canon. La première intervention s’effectue à l’aide d’une écouenne qui arrache
par petits copeaux les imperfections du métal. Il parachève le travail par l’emploi du rabot à
canon. Il examine la « queue de billard » afin d’obtenir un brillant parfait et polit le canon du
fusil au papier de verre pour sa finition.
Le basculeur : Son travail est une préparation à la lime des différentes pièces constituant
l’arme et nécessite au minimum trois jours.
La bascule, protégée par des mordaches en plomb (pièce de métal mou qu’on place entre les
mors d’un étau pour serrer un travail sans l’endommager), est travaillée avec diverses limes
selon l’importance des retouches. Il utilise d’abord une lime triangulaire ou tiers-point. Le
basculeur vérifie la pièce retouchée avec une équerre. Les différentes corrections
s’effectuent d’abord sur la pièce de bout, pour la préparation du tonnerre de la bascule, puis
sur le plat, pour l’aménagement des planches, et enfin sur l’arrondi, pour le façonnage de la
charnière. Ces retouches sont renouvelées plusieurs fois jusqu’à la perfection avant
d’entreprendre les ajustements. La bascule est ensuite polie avec une petite lime triangulaire
très fine, puis elle est passée à la toile émeri à grains fins.
Le basculeur vérifie ensuite, au pied à coulisse, le parallélisme de la cote d’ajustement. Il
s’agit de la préparation finale, avant le passage d’un premier mandrin « simple », inclus par
un léger va et vient. Un second mandrin « double », est engagé pour aligner les deux cages,
parties où viennent s’encastrer les crochets du canon. Ainsi quatre mandrins seront
successivement introduits dans un mouvement en arc de cercle.
La finition de la charnière s’effectue au rodoir qui consiste à polir par frottement deux pièces
l’une contre l’autre. On égalise ensuite la charnière de la bascule qui sera huilée, en
l’assouplissant doucement avec régularité. Pour l’élaboration de la découpe des crochets, on
procède au traçage sur le canon, à l’aide d’un gabarit et d’une pointe à tracer. Ce travail se
pratique sur l’étau. On lime en fonction du tracé, pour abattre les parties à rectifier. Une fois
poli, le crochet est prêt à recevoir la goupille dans son logement définitif. Les crochets sont
noircis, à la flamme d’une lampe mèche, pour une ultime vérification. Cette opération est
renouvelée de multiples fois jusqu’à l’obtention d’un assemblage parfait.
On ajuste ensuite les crochets avant la finition. L’assemblage canon-bascule, élément
essentiel de la fabrication du fusil de chasse à platines, est vérifié grâce au test du noir de
fumée. Après contact des deux pièces, on doit voir apparaître un huit absolument parfait. Les
parties à rectifier sont réduites à la lime.
Le basculeur passe ensuite à l’assemblage de la marche de clé, en vue de la fermeture
ultérieure du canon et de la bascule. On procède au montage du verrou, la pose de la clé sur
son axe, et à l’ajustage de la clé. Enfin, on introduit le ressort à la pince. Après chacune des
opérations, on vérifie le bon fonctionnement de l’assemblage réalisé.
L’équipeur effectue les réglages de la marche intérieure de l’arme et tous les traitements
thermiques. Le mécanisme intérieur des platines est réglé par une mise au point très délicate
qui répond à des normes précises, par exemple le calcul de l’armement des gâchettes, la
préparation des éjections. Après le traçage au trusquin (outil permettant de tracer sur une
pièce des lignes parallèles), le fusil est placé dans l’étau, protégé par des mordaches en bois,
et limé. L’intérieur de la bascule est poli à la toile émeri ainsi que la charnière. Toutes les
pièces sont affinées avec le plus grand soin. L’équipeur passe le tonnerre du canon au noir de
fumée. Le bruit du claquement des pièces au moment de la fermeture doit être très net. Il
procède ensuite au contrôle de la fermeture de la marche de clé, pour vérifier si les
entaillages des crochets sont corrects. La mise en forme de la coquille s’effectue au burin et
au marteau. Il s’agit de dégrossir régulièrement l’acier pour obtenir un arrondi harmonieux.
Après la finition du mécanisme et la vérification de son bon fonctionnement, l’arme sera
confiée au monteur à bois.
Le monteur à bois : La forme de la crosse correspond aux mesures exactes du client. Elle est
façonnée par le monteur à bois. Pour le repassage de la crosse, il pousse d’un large geste sa
râpe à bois. Il change plusieurs fois d’outils, selon la forme et l’évolution de son ouvrage. La
crosse est ensuite lissée au papier de verre. Le monteur à bois contrôle une fois encore la
mesure de la pente de la crosse, celle de la pente au talon et la mesure du busc (crête située
à l’arrière de la poignée).
L’équipeur récupère ensuite l’arme et contrôle toute la partie mécanique avec la mise à
bois. Il effectue la mesure du poids des départs, le réglage de l’éjection. L’arme est prête à
être éprouvée. Elle est poinçonnée et le canon est pesé au gramme près.
Le graveur établit un projet de décoration à partir d’éléments souvent fournis par
l’acquéreur. Pour obtenir des décors de trait ou de surfaces en creux ou en relief, le graveur
taille le métal avec différents outils : burin, onglette, échoppe. En creusant des traits plus ou
moins profonds, il élabore un motif décoratif et des effets de surface. Il grave également des
caractères typographiques. La gravure se distingue de la ciselure par l’enlèvement de
matière. Les outils de coupe : burins et onglettes incisent l’acier. Ils sont tenus par une main
et frappés au marteau. Les échoppes, outils coupant, sont conduites à la main. Elles sont
aussi en acier « trempé » mais emmanchées d’un petit pommeau en bois qui vient se caler
dans le creux de la paume. Le graveur réalise les modelés par enlèvement de matière avec
les burins, les échoppes permettent les petites finitions. La pièce à graver est fixée dans un
étau mobile nommé « boulet à vis ». Les outils sont sélectionnés en fonction du résultat
souhaité.
Le fusil revient dans les mains du finisseur qui comprend trois corps de métiers : le bronzeur
à canons, le finisseur et le trempeur. Le bronzeur à canons noircit les canons par couches
successives, on appelle cela « le bronzage à la couche ». Le finisseur s’intéresse à la partie en
bois. Il peut vernir la crosse selon la technique au tampon. Il est nécessaire d’appliquer de
nombreuses couches successives. Pour les plus belles armes, le bois choisi est la plupart du
temps de la ronce ou de la loupe de noyer. Elles possèdent, en effet, une grande fiabilité et
une variété de dessins qui leur confère une grande qualité esthétique. La deuxième technique
utilisée est le ponçage à l’huile qui demande une vingtaine de couches successives. Enfin, le
trempeur procède au traitement thermique de la bascule qui est plongé dans des bains afin
de lui donner sa dureté.
Une fois les traitements thermiques des différentes pièces effectués, le finisseur remonte les
différentes parties de l’arme et termine les réglages. Il remonte le fusil dans sa totalité, le
teste au tir. L’arme est enfin prête à être livrée au client.
Aujourd’hui, un armurier réalise de plus en plus d’opérations par lui même, car le nombre de
sous traitants diminue. Aussi le délai d’attente d’une arme sur mesure peut atteindre 2 ou 3
ans, car on évalue de 700 à 800 heures son temps de fabrication, sans compter la réalisation
des gravures.
Formations
Formation initiale
Niveau V (Niveau équivalent au brevet d'études professionnelles - BEP, au certificat d'aptitude
professionnelle - CAP)
CAP armurerie
Niveau IV (Niveau équivalent au Bac, au bac technologique, au brevet de technicien - BT, au
brevet des métiers d'art - BMA, au bac professionnel - Bac Pro)
BMA Armurerie
Formation professionnelle continue
Des formations non diplômantes, d'une durée variable permettent de suivre une
initiation, une formation complète ou un perfectionnement.

Retrouvez toutes les adresses des organismes de formations initiales et professionnelles
continues dans les métiers d’art en consultant notre base de données sur notre site Internet :
http://www.institut-metiersdart.org/

Retrouvez le schéma des formations aux métiers d’art sur notre site Internet :
http://www.institut-metiersdart.org/

Sur le site http://www.moveart.org/, retrouvez toutes les adresses des centres de
formations en Europe.
Environnement
Aujourd’hui, il reste une dizaine de fabricants d’armes en France. On dénombre plus de mille
points de vente d’armes dont environ la moitié propose des services de réparation et
restauration. Saint-Étienne reste la capitale de l’arme avec 20 à 30 armuriers, fabricant
et/ou réparateur, en activité.
L’armurier peut exercer son activité dans des entreprises de différentes tailles et dans divers
secteurs : entreprises de fabrication industrielle, artisans fabricants, commerçants de gros et
de détail, services après vente. Le salaire de l’armurier en début de carrière est équivalent
au smic. En fin de carrière, son salaire approche les 5 000 euros brut par mois.
La clientèle de l’armurier est variée : collectionneurs, chasseurs, tireurs sportifs, amateurs
d’armes, musées. Le prix d’un fusil peut aller de 6 500 à 170 000 euros.
Organismes professionnels
Chambre syndicale nationale des armuriers,
28, rue Lamartine, 75009 Paris.
Pour tout contact s’adresser à la permanence : Madame Ivan-Debouchaud, CSA, 18, rue
Chaudronnerie, 21000 Dijon.
Tél. : 03 80 65 17 24 (le matin).
[email protected]
http://www.syndicat-armuriers.com
Créée en 1885, la Chambre syndicale des armuriers Français a pour but de fédérer les
armuriers détaillants en armes et munitions afin de leur apporter information, soutien et
conseil. Son action s'étend notamment aux questions de formation, réglementation,
protection sociale et juridique, promotion de la chasse et du tir au travers des associations,
manifestations et expositions diverses. La Chambre syndicale nationale des armuriers compte
aujourd’hui plus de 400 adhérents qui travaillent dans la vente, la réparation et la
maintenance.
Chambre syndicale nationale des fabricants et distributeurs d’armes, munitions,
équipements et accessoires pour la chasse et le tir sportif (SNAFAM),
BP 40888, 60617 La Croix Saint Ouen Cedex.
Tél. : 03 44 30 06 72. Fax. : 03 44 91 04 95.
[email protected]
http://www.snafam.org
La Chambre syndicale représente les fabricants et distributeurs/importateurs français. Elle
défend les intérêts de ses adhérents, les représente auprès des pouvoirs publics, informe sur
l'environnement législatif et réglementaire, sur la formation, l’emploi, ses adhérents et leur
savoir-faire.
Syndicat national des artisans armuriers,
Roche Geffroy (SARL), 13, rue Franklin, 42000 Saint-Étienne.
Tél. : 04 77 33 39 16.
Le syndicat national des artisans armuriers est toujours inscrit en préfecture mais ses actions
sont pour le moment suspendues.
Salons et manifestations
Salon de l'Arme ancienne et du document historique à Castres,
Annuel, janvier,
Académie des armes anciennes, Jean-Pierre Bastié, BP 77057, 31702 Blagnac Cedex.
[email protected]
http://www.academie-des-armes-anciennes.com/
Créée en 1990, cette manifestation est le rendez-vous des passionnés d’histoire et d’art
militaire. Elle rassemble plus de 80 exposants.
Salon des armes anciennes à Rouen,
Annuel, mars/octobre,
Association Normandie expositions, 88, rue Arthur Hulme, 76500 Elbeuf.
Tél. : 06 84 58 97 64 ou 08 75 78 06 68.
[email protected]
Ce salon accueille plus de 70 exposants. Salon tout public.
Salon de la chasse à Rambouillet,
Annuel, mars-avril,
Rambouillet événement, ZA les chênes, 302, allée de Neuville, 78950 Gambais.
Tél. : 01 34 87 08 14. Fax : 01 34 87 01 05.
http://www.salondelachasse-rambouillet.com/
Salon International consacré à la chasse (armement, voyages, équipements, institutions) et à
l’art de vivre cette passion. Cet événement rassemble 300 professionnels autour
d’expositions, d’animations et de conférences.
Bourse européenne de l'arme ancienne et de collection à Lingolsheim,
Annuel, avril,
Centre plein air amitié, section tir, 19, rue de Geispolsheim, 67380 Lingolsheim.
Tél. : 03 88 78 25 23.
Cet événement rassemble plus d’une cinquantaine d’exposants. Salon tout public.
Salon Armeville à Saint-Etienne,
Annuel, mars,
Saint-Etienne Parc-Expo, Plaine Achille, 31, Bd Jules Janin, 42000 Saint-Étienne.
Tél. : 04 77 45 55 45. Fax : 04 77 25 54 63.
[email protected]
http://www.armeville.com/
Cette manifestation rassemble une centaine d’exposants : armuriers, fabricants,
distributeurs, chasseurs, tireurs et amateurs autour d’animations, expositions, vente aux
enchères. Le musée d’Art et d’Industrie de Saint-Étienne et l’école d’armurerie de Liège
participent également à cet événement.
Salon du couteau d’art et de l’arme ancienne à Montluçon,
Annuel, mai,
Association sportive de tir de la Treignatoise, Jean-Pierre Chaulier, Peige, 03380 Archignat.
Tél. : 04 70 06 30 74.
Cette manifestation réunit une soixantaine d’exposants.
Game fair, journées nationales de la chasse et de la pêche à Chambord,
Annuel, juin,
Larivière organisation, 12, rue Mozart, 92587 Clichy Cedex.
Tél. : 01 41 40 32 32.
http://www.gamefair.fr
Ces journées accueillent plus de 80000 visiteurs et 300 exposants autour des thèmes suivants :
armes, munitions, optiques, coutellerie, séjours de chasse en France et à l'Etranger,
vêtements et accessoires.
Les Fèvres, Salon européen des métiers d’art des métaux à Gruchet-le-Valassse,
Biennal, octobre 2007,
Institut de formation et de recherche pour les artisanats des métaux, IFRAM,
2973, route de Duclair, 76360 Villers-Ecalles.
Tél. : 02 35 64 42 30. Fax : 02 35 61 56 97.
[email protected]
http://www.ifram.fr
Cet événement rassemble des artisans français et étrangers (ferronniers, couteliers,
dinandiers, sculpteurs, fondeurs, métalliers, bronziers, orfèvres, graveurs-ciseleurs,
serruriers, taillandiers, potiers d’étain…) les principaux fournisseurs, les architectes et
décorateurs. Une bourse est attribuée aux jeunes artisans pour leur permettre de venir
exposer sur ce salon. Au programme : expositions, démonstrations, stages, grand prix de
création.
Concours
Concours Un des Meilleurs Ouvriers de France,
Société des Meilleurs Ouvriers de France, 16, rue Saint-Nicolas, 75012 Paris.
Tél. : 01 43 42 33 02. Fax : 01 43 42 20 41.
[email protected]
http://www.meilleursouvriersdefrance.info
Concours conduisant à l’attribution du diplôme d’Etat « Un des meilleurs ouvriers de
France », homologué au niveau III de la nomenclature interministérielle des niveaux de
formation. Il atteste l’acquisition d’une haute qualification dans l’exercice d’une activité
professionnelle dans les domaines de la restauration, de l’hôtellerie, de l’alimentation, du
bâtiment, de l’habitation, des structures métalliques, de l’industrie, de la terre et du verre,
du vêtement, de la bijouterie, des techniques de précisions, de la gravure, de la
communication, de la musique, des animaux, de l’agriculture, du commerce et des services.
Organisé tous les trois ans, les candidats aux épreuves de l’examen doivent avoir 23 ans
minimum. Le concours est ouvert à 138 métiers répartis en 19 groupes. Une exposition des
œuvres des lauréats est organisée par le comité.
Prix Avenir Métiers d’Art - INMA,
Annuel, remise de prix : date variable.
Remise des dossiers : 31 mai de l’année en cours.
Institut National des Métiers d’Art - 23, Avenue Daumesnil, 75012 Paris.
Tél. : 01 55 78 85 85. Fax : 01 55 78 86 17.
[email protected]
http://www.institut-metiersdart.org
Les Prix Avenir Métiers d’Art – INMA, en partenariat avec la Fondation Michelle et Antoine
RIBOUD, sont destinés à mettre en valeur de jeunes talents futurs acteurs de la vie
économique dans ces métiers d'excellence.
Ils ont pour objectif d'encourager et de valoriser les savoir-faire spécifiques aux métiers d'art
à travers les œuvres réalisées par les élèves de lycées professionnels, d’écoles techniques, les
jeunes en formation en alternance et les étudiants des écoles d'art, de niveau V, IV et III.
Le 1er Prix de chaque région et de chaque niveau recevra de l’INMA un chèque d’une valeur de
250€ ainsi qu’un diplôme. Les lauréats régionaux bénéficieront également des avantages du
CLUB Avenir Métiers d’Art, grâce au partenariat avec la Fondation Michelle et Antoine
RIBOUD : séjour de deux jours à paris, rencontres avec des professionnels, visite de musées,
ateliers, etc. et exposition de leurs œuvres à Paris, en vue du prix national.
Les 1ers Prix nationaux recevront 750€ ainsi qu’une bourse de 6000€ de la Fondation Michelle
et Antoine RIBOUD. Les deuxièmes Prix nationaux seront dotés d’une somme de 450€ et les
troisièmes d’une somme de 300€. Ces dotations seront complétées par un diplôme et un appui
en termes de communication et de promotion.
Sources d’information
Lieux ressources
L’Académie des armes anciennes,
Jean-Pierre Bastié, BP 77057, 31702 Blagnac Cedex.
[email protected]
http://www.academie-des-armes-anciennes.com/
Fondée en 1987, l’Académie des Armes Anciennes compte une vingtaine de membres. Elle a
pour buts : la recherche historique, la préservation du patrimoine historique et militaire
français, l’archéologie militaire et l’alimentation d’un centre de documentation spécialisé.
Ses activités sont nombreuses : expositions et conférences, publications, salon de l’arme
ancienne, centre de documentation.
Institut de formation et de recherche pour les artisanats des métaux (IFRAM),
2973, route de Duclair, 76360 Villers-Ecalles.
Tél. : 02 35 64 42 30. Fax : 02 35 61 56 97.
[email protected]
http://www.ifram.fr
Labellisé Pôle national d’innovation pour les artisanats des métaux, l’IFRAM est né de la
volonté d’un groupe de professionnels des métiers de la forge et de la métallurgie :
ferronnerie, serrurerie, coutellerie, maréchalerie, dinanderie, taillanderie, fonderie,
orfèvrerie… Ses missions se développent autour de la création d’un centre de formation, la
mise en place d’un centre de ressources techniques et d’un centre de recherches, l’appui aux
professionnels, l’organisation de manifestations et l’édition d’une revue trimestrielle
intitulée « Fèvres ».
La librairie le Hussard,
15, rue Cronstadt, 75015 Paris.
Tél. : 01 45 32 60 32. Fax : 01 45 32 59 00.
[email protected]
http://www.lehussard-librairie.com/
Créée il y a plus de 20 ans, la librairie « Le Hussard » propose une sélection de plus de 4500
titres sur l’histoire militaire, les armes, les uniformes.
Musée d’art et d’industrie,
2, Place Louis Comte, 42000 Saint-Etienne.
Tél. : 04 77 49 73 00. Fax : 04 77 49 73 05.
[email protected]
http://www.mairie-st-etienne.fr
Le Musée d’art et d’industrie de
Saint-Étienne abrite une collection d’armes de
dimension nationale et internationale. Des armes du Moyen-âge et de la Renaissance aux
armes du XXème siècle, la collection offre un large éventail de la production armurière et de
ses évolutions. Le musée propose un laboratoire d'étude du patrimoine industriel pour les
chercheurs et un centre de ressources ouvert à tous.
Presse
Cibles,
Mensuel,
Editions Crépin-Leblond, 14, rue du Patronage Laïque, 52000 Chaumont.
Tél. : 03 25 03 87 48.
[email protected]
Revue généraliste consacrée aux armes et au tir dans toutes leurs dimensions : actualités,
présentation d’armes, listes de sites Internet, salons.
Connaissance de la chasse,
Mensuel,
Editions Larivière, espace Clichy, immeuble Agéna, 12, rue Mozart, 92587 Clichy cedex.
Tél. : 01 40 40 32 32. Fax : 01 40 40 32 53.
[email protected]
http://www.connaissancechasse.fr
Revue spécialisée sur le monde de la chasse, des armes, informations sur les réglementations
et l’actualité du secteur.
Fèvres,
Trimestriel,
Institut de formation et de recherche pour les artisanats des métaux, (IFRAM),
2973, route de Duclair, 76360 Villers-Ecalles.
Tél. : 02 35 64 42 30. Fax : 02 35 61 56 97.
[email protected]
http://www.ifram.fr
Magazine sur l'artisanat des métaux qui propose une découverte des hommes, des savoir-faire
et des techniques dans le domaine de la transformation du métal en objet.
Jours de chasse,
Trimestriel,
Jours de chasse, 22, rue René Boulanger, 75472 Paris Cedex 10.
Tél. : 01 40 54 11 14.
[email protected]
http://www.joursdechasse.com
Cette revue conçue autour de la chasse propose des informations sur les techniques de
chasse, des conseils sur le matériel, l'habillement, les armes.
Sites Internet
http://www.academie-des-armes-anciennes.com/
Site de l’Académie des Armes Anciennes : actualités, liste des salons et bourses aux armes,
forum de discussion, petites annonces, liste des musées, présentation illustrée de différentes
armes, sélection d’ouvrages.
http://www.armeriaromero.com
Site de l’armurerie Romero : liste des salons, bourses et autres manifestations sur les armes
en France mais aussi en Europe et aux USA.
http://www.ifram.fr
Site de l’Institut de formation et de recherche pour les artisanats des métaux. Présentation
de l’IFRAM et de ses activités, agenda, annuaires de professionnels, librairie, fonds
documentaire, forum, petites annonces.
http://www.lehussard.fr/
Site de la société « Le Hussard » : informations sur les armes, librairie spécialisée (vente en
ligne d’ouvrages et de revues).
Les listes d’informations sont proposées à titre indicatif et ne sauraient prétendre à
l’exhaustivité.
Pour en savoir plus…
Consultez le Centre de ressources de l’Institut National des Métiers d’art, une ressource
unique sur les métiers d’art :

Des bases de données documentaires sur l’actualité des métiers d’art et des bases de
données sur les formations, accessibles sur son site internet.

Un fonds documentaire spécialisé : revues, dossiers, ouvrages et plus de 750 films sur
ce secteur.
Institut National des Métiers d’art,
23 avenue Daumesnil, 75012 Paris. Tél. : 01 55 78 85 85
Ouvert du mardi au vendredi de 14 à 18 heures
[email protected]
http://www.institut-metiersdart.org/
© Centre de ressources, Institut National des Métiers d’Art, 23, avenue Daumesnil 75012 Paris, 2010