CALI - Communiqué - SIX media marketing inc.

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CALI - Communiqué - SIX media marketing inc.
Communiqué
Pour diffusion immédiate
CALI
VERNET LES BAINS
Le nouvel album en magasin au Canada le 29 janvier
Montréal, janvier 2013 - Vous avez tous vu Cali courir sur une
scène de long en large, sauter, bondir dans le public. Vous avez tous
entendu Cali entonner un hymne héroïque, lancer sa voix dans
quelque diatribe politique. Cali, chanteur énervé. Cali, chanteur
engagé. Il est de retour avec Vernet Les Bains, son tout nouvel album
studio en magasin le 29 janvier.
Après quatre albums menés tambour battant, et des centaines de
concerts endiablés, notre Cali a tout à coup senti le souffle de
l’apaisement lui caresser les épaules. L’heure était venue de se
demander comment ses chansons existeraient dépouillées, presque
nues. « Je me suis rendu compte que cela me faisait du bien de ne
pas être obligé de pousser la voix pour être au-dessus du groupe »,
a-t-il remarqué.
Et on a découvert, en concert, le Cali acoustique, en piano-voix, avec le génial Steve Nieve, pianiste de
Costello. La tournée a duré. Cali a commencé à écrire de nouvelles chansons sur la route. Dans l’autobus
de tournée. Et puis, lors de pauses chez lui, dans le sud, à Rivesaltes près de Perpignan, où pendant ses
étapes parisiennes, il s’est mis à enregistrer, avec très peu de musiciens, sous l’oreille attentive du
réalisateur Fréderic Lô. Un, deux, trois pianos… une guitare, le violon historique des Waterboys, Steve
Wickham… Dans la retenue, l’épure. Une mélodie, un texte, une mélodie, un texte, une mélodie…
Ce nouvel album commence en douceur, chant apaisé, musique légère, tendre même. Un vrai bonheur.
Sauf que chez Cali, vous le savez bien, ce n’est pas encore maintenant le bonheur. Ses fantômes
l’accompagnent toujours. Une partie de ses textes est une nouvelle fois secouée de tempêtes amoureuses.
L’amour est un fardeau et notre Catalan le porte à genoux, avec sa ferveur habituelle. « On dit que la
souffrance forge le caractère/On dit ça… », chante-t-il dans « Venez me chercher ». Ou encore : « Je sais
que l’amour a tué plus de gens que tout un siècle de choléra », dans « Amour m’a tuer ».
Mais il s’aventure aussi - c’est si bien - dans d’autres domaines… Scènes de vie, images figées, voilà
l’émouvante « Une femme se repose »… « C’est inspiré par le regard d’une vieille femme assise sur sa
chaise pliante, devant sa maison, dans mon petit village. Elle offre un sourire. Sa vieillesse est belle. Sauf
qu’elle a peut-être perdu tous ses proches, ses enfants, ses petits-enfants. Elle subit la longue traversée de
la vie. Voilà ce que ça raconte. »
Il y a du Brel dans « La grotte des amoureux », où remontent de touchants souvenirs de ses années
d’adolescence. C’est le Cali à fleur de peau, poète des sentiments et des amitiés éternelles puisqu’elles
restent dans les mémoires. Dans le douloureux « Mes vieux cinglés », il aborde un sujet qui lui tient toujours
à cœur, le conflit entre les deux parents, avec la confession d’un enfant blessé, déchiré au milieu de cette
sale guerre. Après « L’amour est éternel », écrite au fin fond du Wyoming, Cali évoque la maladie dans « Je
rêve de voir l’été ». Quand il s’agit d’aller dans le dur, sa plume ne faillit pas. Tenace, précise.
Enfin, comme un clin d’œil, comme un éclat de rire, l’amitié s’invite en fin de disque. Pour « Happy end »,
Cali a appelé quelques-uns de ses potes. Un bouquet final d’où surgissent les chants de Miossec, Mathias
Malzieu, Dominique A, Rachida Brakni, Diastème et Bénabar… Un sommet d’auto-dérision à plusieurs voix.
Une gourmandise.
Cali a rechargé ses batteries. C’est une nouvelle histoire. Un RE-commencement.
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