N° 2011-04 - Ministère de l`Intérieur
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N° 2011-04 - Ministère de l`Intérieur
No 2011-04 (Avril 2011) 5 novembre 2011 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION BULLETIN OFFICIEL Sommaire thématique Sommaire chronologique Direction de l’information légale et administrative 26, rue Desaix 75727 Paris Cedex 15 ISSN : 1282-7924 Edité par : La délégation à l’information et à la communication du ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration Directeur de la publication : Monsieur Michel MOSIMANN, délégué à l’information et à la communication Application du titre Ier de la loi no 78-753 du 17 juillet 1978 relatif à la liberté d’accès aux documents administratifs NOTA Les annexes citées et non incluses dans le présent document peuvent être obtenues, sur simple demande, auprès des directions dont elles émanent. Il est important de donner les références précises (date et numéro de code). BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Sommaire thématique Textes Finances locales Concours financiers de l’État Circulaire du 4 avril 2011 relative à la répartition de la dotation globale de fonctionnement des régions pour 2011........................................................................................................................... 1 Circulaire du 8 avril 2011 relative à la dotation globale de fonctionnement 2011. Répartition de la dotation forfaitaire des communes............................................................................................. 2 Circulaire du 8 avril 2011 relative à la dotation globale de fonctionnement 2011. Répartition de la dotation de compensation des EPCI.......................................................................................... 3 Circulaire du 8 avril 2011 relative à la répartition de la dotation de solidarité urbaine et de cohésion sociale (DSU) au titre de l’année 2011.......................................................................... 4 Circulaire du 13 avril 2011 relative à la dotation globale de fonctionnement (DGF) des départements de métropole pour l’année 2011.............................................................................. 5 Circulaire du 14 avril 2011 relative à la dotation globale de fonctionnement (DGF) des départements et des collectivités d’outre-mer pour l’année 2011................................................. 6 Circulaire du 14 avril 2011 relative à la répartition de la dotation particulière « élu local » pour 2011........................................................................................................................................ 7 Circulaire du 14 avril 2011 relative à la répartition des quotes-parts DSU/DSR et DNP de la dotation d’aménagement des communes et circonscriptions territoriales d’outre-mer au titre de l’année 2011................................................................................................................................... 8 Circulaire du 21 avril 2011 relative à l’attribution de la dotation de solidarité rurale en 2011.... 9 Circulaire du 22 avril 2011 relative à la dotation globale de fonctionnement (DGF) des provinces de Nouvelle-Calédonie – exercice 2011........................................................................................ 10 Circulaire du 22 avril 2011 relative à la répartition de la dotation nationale de péréquation (DNP) pour l’année 2011............................................................................................................... 11 Circulaire du 26 avril 2011 relative à la dotation d’intercommunalité des EPCI à fiscalité propre – Année 2011................................................................................................................................. 12 Financements des transferts de compétence Circulaire du 13 avril 2011 relative à la dotation régionale d’équipement scolaire pour 2011.... 13 Circulaire du 13 avril 2011 relative à la dotation départementale d’équipement des collèges pour 2011........................................................................................................................................ 14 Circulaire du 19 avril 2011 relative à la répartition de la dotation générale de décentralisation (DGD) des départements pour 2011.............................................................................................. 15 Circulaire du 22 avril 2011 relative à la répartition de la dotation générale de décentralisation (DGD) des régions pour 2011........................................................................................................ 16 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – THE – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Textes Fiscalité locale Circulaire du 26 avril 2011 relative aux compensations à verser en 2011 aux collectivités locales pour les exonérations relatives à la fiscalité locale décidées par l’État........................................ Immigration Décret du 16 avril 2011 portant nomination du président du conseil d’administration d’Adoma. Arrêté du 1er avril 2011 portant agrément d’une association pour le placement de stagiaires étrangers au titre de l’article R. 313‑10‑5 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile..................................................................................................................................... Décision no 2011‑73 du 4 avril 2011 portant délégation de signature pour l’Office français de l’immigration et de l’intégration.................................................................................................... Décision no 2011-74 du 4 avril 2011 portant délégation de signature pour l’Office français de l’immigration et de l’intégration.................................................................................................... Décision no 2011-78 du 14 avril 2011 portant délégation de signature pour l’Office français de l’immigration et de l’intégration.................................................................................................... Décision no 2011‑86 du 14 avril 2011 portant délégation de signature pour l’Office français de l’immigration et de l’intégration.................................................................................................... Circulaire du 1er avril 2011 relative au droit d’asile. Application du règlement CE no 343/2003 du Conseil du 18 février 2003 dit « règlement Dublin ». Mise en œuvre des procédures d’examen prioritaire de certaines demandes d’asile mentionnées à l’article L. 741-4 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile (CESEDA).............................................................. Circulaire du 1er avril 2011 relative au nouveau modèle uniforme de titre de séjour pour étranger (TSE) adopté par l’Union européenne........................................................................................... Personnels d’État Arrêté du 8 avril 2011 portant affectation d’un officier commissionné recruté au titre de l’article L. 4132‑10 du code de la défense.................................................................................... Arrêté du 11 avril 2011 portant dissolution de l’escadron de gendarmerie mobile 12/9 d’Arras (Pas-de-Calais)................................................................................................................................ Arrêté du 11 avril 2011 portant dissolution de la brigade territoriale de Prauthoy (HauteMarne)............................................................................................................................................ Arrêté du 11 avril 2011 portant nomination à la Commission nationale d’orientation et d’intégration.................................................................................................................................... Arrêté du 12 avril 2011 portant modification des brigades territoriales de Brezolles, Châteauneufen-Thymerais, Courville-sur-Eure, La Loupe et Nogent-le-Roi (Eure-et-Loir)............................ Arrêté du 12 avril 2011 portant modification des compagnies de gendarmerie départementale de Châteaudun, Dreux et Lucé (Eure-et-Loir).................................................................................... Arrêté du 12 avril 2011 relatif au tableau d’avancement au grade de brigadier-chef de police pour l’année 2011........................................................................................................................... Arrêté du 12 avril 2011 relatif au tableau d’avancement au grade de major de police pour l’année 2011................................................................................................................................... Arrêté du 12 avril 2011 portant désignation des membres du comité central d’hygiène et de sécurité de la police nationale........................................................................................................ Arrêté du 22 avril 2011 portant admission de sous-officiers de gendarmerie dans le corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale.................................................... 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – THE – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Textes Décision no 9851 du 1er avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Haute-Normandie........................................................... Décision no 15564 du 1er avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon................................................... Décision no 22399 du 1er avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest..................................... Décision no 31395 du 1er avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général du commandement des écoles de la gendarmerie nationale............................................. Décision no 303 GSAN/EM/SAS/RH/PSO du 4 avril 2011 portant attribution, en 2011, de la prime de résultats exceptionnels à titres individuel et exceptionnel............................................. Décision no 687 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie de l’armement...................................................................................... Décision no 20424 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est......................................... Décision no 22690 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie des Pays de la Loire............................................................ Décision no 32124 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud........................................ Décision no 32129 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur......................................... Décision no 37548 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est.................................. Décision no 39804 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie d’Aquitaine......................................................................... Décision no 39834 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest.............................. Décision no 46255 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie d’Île-de-France.................................................................... Décision no 46259 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris.................................. Décision no 1210 du 5 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie maritime............................................................................................... Décision no 3861 du 5 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie de l’air................................................................................................. Décision no 6645 du 5 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Corse.............................................................................. Décision no 7686 du 5 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie d’Alsace.............................................................................. Décision no 18982 du 5 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie du Centre............................................................................. Décision no 19399 du 5 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord...................................... Décision no 19402 du 5 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie du Nord - Pas-de-Calais....................................................... 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – THE – Page 3 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Textes Décision no 21256 du 5 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Lorraine.......................................................................... Décision no 5534 du 6 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie des transports aériens.......................................................................... Décision no 23849 du 6 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Midi-Pyrénées................................................................ Décision no 1/4 du 7 avril 2011 portant attribution, en 2011, de la prime de résultats exceptionnels à titres individuel et exceptionnel.................................................................................................. Décision no 10550 du 7 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie d’Auvergne.......................................................................... Décision no 12999 du 7 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général du centre technique de la gendarmerie nationale............................................................. Décision no 10546 du 8 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Franche-Comté............................................................... Décision no 11090 du 11 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie du Limousin........................................................................ Décision no 21113 du 11 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de l’établissement central de l’administration et du soutien de la gendarmerie nationale – branche « administrative ».......................................................................................... Décision no 11570 du 12 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Picardie.......................................................................... Décision no 34200 du 13 avril 2011 portant attribution de l’échelon exceptionnel aux majors du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale..................................... Décision no 40106 du 15 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « aéronautique – pilotes ».............................................................................................. Décision no 40107 du 15 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « aéronautique – mécaniciens cellules et moteurs »..................................................... Décision no 40108 du 15 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « aéronautique – mécaniciens avionique ».................................................................... Décision no 40109 du 15 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « affaires immobilières »............................................................................................... Décision no 40110 du 15 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « montagne ».................................................................................................................. Décision no 40111 du 15 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « systèmes d’information et de communication »........................................................ Décision no 137/4 RGBOURG/RH/P/CHANC du 20 avril 2011 portant attribution, en 2011, de la prime de résultats exceptionnels à titres individuel, collectif et exceptionnel..................... Décision no 138/4 RGBOURG/RH/P/CHANC du 20 avril 2011 portant attribution en 2011 de la prime de résultats exceptionnels à titre exceptionnel................................................................ Décision no 570/2 COMGEND-NCWF/BRH du 27 avril 2011 portant attribution en 2011 de la prime de résultats exceptionnels à titres individuel, collectif et exceptionnel.............................. Décision no 47295 du 27 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Rhône-Alpes.................................................................. Décision no 595/2 COMGEND-NCWF/BRH du 28 avril 2011 portant attribution en 2011 de la prime de résultats exceptionnels à titre exceptionnel.................................................................... 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – THE – Page 4 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Textes Décision no 13830 du 28 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Champagne-Ardenne..................................................... Décision no 15094 du 28 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la garde républicaine – branche « cavalerie »............................................................. Décision no 15100 du 28 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la garde républicaine – branche « infanterie »............................................................ Décision no 47770 du 28 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est.................................. Décision no 12718 du 29 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Haute-Normandie........................................................... Décision no 45242 du 29 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des organismes centraux – branche « secrétariat ».......................................................... Décision no 45249 du 29 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des organismes centraux – branche « formations extérieures »....................................... Réglementation Circulaire du 2 avril 2011 relative aux orientations du ministère de l’intérieur en matière de lutte contre les dérives sectaires pour 2011................................................................................... Circulaire du 5 avril 2011 relative au décret no 2011‑167 du 10 février 2011 instituant une procédure de vérification sécurisée des données à caractère personnel contenues dans les actes de l’état civil................................................................................................................................... Circulaire du 6 avril 2011 relative aux orientations pour l’emploi des crédits du Fonds interministériel de prévention de la délinquance (FIPD) pour 2011............................................. Circulaire du 8 avril 2011 relative aux statistiques sur la fiscalité directe locale en 2011........... Circulaire du 8 avril 2011 relative aux statistiques sur la fiscalité directe locale en 2011........... Circulaire du 21 avril 2011 relative à la désignation d’un correspondant « laïcité » dans chaque préfecture et installation d’une conférence départementale de la liberté religieuse..................... Circulaire du 21 avril 2011 relative au pilotage des politiques locales de sécurité intérieure...... Sécurité et circulation routières Arrêté du 28 avril 2011 portant désignation des candidats admis à l’examen du brevet d’aptitude à la formation des moniteurs d’enseignement de la conduite des véhicules terrestres à moteur de la session 2010.......................................................................................................................... Circulaire du 6 avril 2011 relative aux fiches d’évaluation pour les épreuves du permis de conduire des cursus diplômants de l’éducation nationale............................................................. 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – THE – Page 5 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Sommaire chronologique Textes Arrêté du 1er avril 2011 portant agrément d’une association pour le placement de stagiaires étrangers au titre de l’article R. 313‑10‑5 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile..................................................................................................................................... Décision no 9851 du 1er avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Haute-Normandie........................................................... Décision no 15564 du 1er avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon................................................... Décision no 22399 du 1er avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest..................................... Décision no 31395 du 1er avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général du commandement des écoles de la gendarmerie nationale............................................. Circulaire du 1er avril 2011 relative au droit d’asile. Application du règlement CE no 343/2003 du Conseil du 18 février 2003 dit « règlement Dublin ». Mise en œuvre des procédures d’examen prioritaire de certaines demandes d’asile mentionnées à l’article L. 741-4 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile (CESEDA).............................................................. Circulaire du 1er avril 2011 relative au nouveau modèle uniforme de titre de séjour pour étranger (TSE) adopté par l’Union européenne........................................................................................... Circulaire du 2 avril 2011 relative aux orientations du ministère de l’intérieur en matière de lutte contre les dérives sectaires pour 2011................................................................................... Décision no 2011‑73 du 4 avril 2011 portant délégation de signature pour l’Office français de l’immigration et de l’intégration.................................................................................................... Décision no 2011-74 du 4 avril 2011 portant délégation de signature pour l’Office français de l’immigration et de l’intégration.................................................................................................... Décision no 303 GSAN/EM/SAS/RH/PSO du 4 avril 2011 portant attribution, en 2011, de la prime de résultats exceptionnels à titres individuel et exceptionnel............................................. Décision no 687 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie de l’armement...................................................................................... Décision no 20424 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est......................................... Décision no 22690 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie des Pays de la Loire............................................................ Décision no 32124 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud........................................ Décision no 32129 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur......................................... Décision no 37548 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est.................................. Décision no 39804 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie d’Aquitaine......................................................................... 19 36 37 38 39 24 25 87 20 21 40 41 42 43 44 45 46 47 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – CHR – Page 6 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Textes Décision no 39834 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest.............................. Décision no 46255 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie d’Île-de-France.................................................................... Décision no 46259 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris.................................. Circulaire du 4 avril 2011 relative à la répartition de la dotation globale de fonctionnement des régions pour 2011........................................................................................................................... Décision no 1210 du 5 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie maritime............................................................................................... Décision no 3861 du 5 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie de l’air................................................................................................. Décision no 6645 du 5 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Corse.............................................................................. Décision no 7686 du 5 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie d’Alsace.............................................................................. Décision no 18982 du 5 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie du Centre............................................................................. Décision no 19399 du 5 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord...................................... Décision no 19402 du 5 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie du Nord - Pas-de-Calais....................................................... Décision no 21256 du 5 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Lorraine.......................................................................... Circulaire du 5 avril 2011 relative au décret no 2011‑167 du 10 février 2011 instituant une procédure de vérification sécurisée des données à caractère personnel contenues dans les actes de l’état civil................................................................................................................................... Décision no 5534 du 6 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie des transports aériens.......................................................................... Décision no 23849 du 6 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Midi-Pyrénées................................................................ Circulaire du 6 avril 2011 relative aux orientations pour l’emploi des crédits du Fonds interministériel de prévention de la délinquance (FIPD) pour 2011............................................. Circulaire du 6 avril 2011 relative aux fiches d’évaluation pour les épreuves du permis de conduire des cursus diplômants de l’éducation nationale............................................................. Décision no 1/4 du 7 avril 2011 portant attribution, en 2011, de la prime de résultats exceptionnels à titres individuel et exceptionnel.................................................................................................. Décision no 10550 du 7 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie d’Auvergne.......................................................................... Décision no 12999 du 7 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général du centre technique de la gendarmerie nationale............................................................. Arrêté du 8 avril 2011 portant affectation d’un officier commissionné recruté au titre de l’article L. 4132‑10 du code de la défense.................................................................................... Décision no 10546 du 8 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Franche-Comté............................................................... 48 49 50 1 51 52 53 54 55 56 57 58 88 59 60 89 95 61 62 63 26 64 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – CHR – Page 7 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Textes Circulaire du 8 avril 2011 relative à la dotation globale de fonctionnement 2011. Répartition de la dotation forfaitaire des communes............................................................................................. Circulaire du 8 avril 2011 relative à la dotation globale de fonctionnement 2011. Répartition de la dotation de compensation des EPCI.......................................................................................... Circulaire du 8 avril 2011 relative à la répartition de la dotation de solidarité urbaine et de cohésion sociale (DSU) au titre de l’année 2011.......................................................................... Circulaire du 8 avril 2011 relative aux statistiques sur la fiscalité directe locale en 2011........... Circulaire du 8 avril 2011 relative aux statistiques sur la fiscalité directe locale en 2011........... Arrêté du 11 avril 2011 portant dissolution de l’escadron de gendarmerie mobile 12/9 d’Arras (Pas-de-Calais)................................................................................................................................ Arrêté du 11 avril 2011 portant dissolution de la brigade territoriale de Prauthoy (HauteMarne)............................................................................................................................................ Arrêté du 11 avril 2011 portant nomination à la Commission nationale d’orientation et d’intégration.................................................................................................................................... Décision no 11090 du 11 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie du Limousin........................................................................ Décision no 21113 du 11 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de l’établissement central de l’administration et du soutien de la gendarmerie nationale – branche « administrative ».......................................................................................... Arrêté du 12 avril 2011 portant modification des brigades territoriales de Brezolles, Châteauneufen-Thymerais, Courville-sur-Eure, La Loupe et Nogent-le-Roi (Eure-et-Loir)............................ Arrêté du 12 avril 2011 portant modification des compagnies de gendarmerie départementale de Châteaudun, Dreux et Lucé (Eure-et-Loir).................................................................................... Arrêté du 12 avril 2011 relatif au tableau d’avancement au grade de brigadier-chef de police pour l’année 2011........................................................................................................................... Arrêté du 12 avril 2011 relatif au tableau d’avancement au grade de major de police pour l’année 2011................................................................................................................................... Arrêté du 12 avril 2011 portant désignation des membres du comité central d’hygiène et de sécurité de la police nationale........................................................................................................ Décision no 11570 du 12 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Picardie.......................................................................... Décision no 34200 du 13 avril 2011 portant attribution de l’échelon exceptionnel aux majors du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale..................................... Circulaire du 13 avril 2011 relative à la dotation globale de fonctionnement (DGF) des départements de métropole pour l’année 2011.............................................................................. Circulaire du 13 avril 2011 relative à la dotation régionale d’équipement scolaire pour 2011.... Circulaire du 13 avril 2011 relative à la dotation départementale d’équipement des collèges pour 2011........................................................................................................................................ Décision no 2011-78 du 14 avril 2011 portant délégation de signature pour l’Office français de l’immigration et de l’intégration.................................................................................................... Décision no 2011‑86 du 14 avril 2011 portant délégation de signature pour l’Office français de l’immigration et de l’intégration.................................................................................................... Circulaire du 14 avril 2011 relative à la dotation globale de fonctionnement (DGF) des départements et des collectivités d’outre-mer pour l’année 2011................................................. 2 3 4 90 91 27 28 29 65 66 30 31 32 33 34 67 68 5 13 14 22 23 6 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – CHR – Page 8 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Textes Circulaire du 14 avril 2011 relative à la répartition de la dotation particulière « élu local » pour 2011........................................................................................................................................ Circulaire du 14 avril 2011 relative à la répartition des quotes-parts DSU/DSR et DNP de la dotation d’aménagement des communes et circonscriptions territoriales d’outre-mer au titre de l’année 2011................................................................................................................................... Décision no 40106 du 15 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « aéronautique – pilotes ».............................................................................................. Décision no 40107 du 15 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « aéronautique – mécaniciens cellules et moteurs »..................................................... Décision no 40108 du 15 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « aéronautique – mécaniciens avionique ».................................................................... Décision no 40109 du 15 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « affaires immobilières »............................................................................................... Décision no 40110 du 15 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « montagne ».................................................................................................................. Décision no 40111 du 15 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « systèmes d’information et de communication »........................................................ Décret du 16 avril 2011 portant nomination du président du conseil d’administration d’Adoma. Circulaire du 19 avril 2011 relative à la répartition de la dotation générale de décentralisation (DGD) des départements pour 2011.............................................................................................. Décision no 137/4 RGBOURG/RH/P/CHANC du 20 avril 2011 portant attribution, en 2011, de la prime de résultats exceptionnels à titres individuel, collectif et exceptionnel..................... Décision no 138/4 RGBOURG/RH/P/CHANC du 20 avril 2011 portant attribution en 2011 de la prime de résultats exceptionnels à titre exceptionnel................................................................ Circulaire du 21 avril 2011 relative à l’attribution de la dotation de solidarité rurale en 2011.... Circulaire du 21 avril 2011 relative à la désignation d’un correspondant « laïcité » dans chaque préfecture et installation d’une conférence départementale de la liberté religieuse..................... Circulaire du 21 avril 2011 relative au pilotage des politiques locales de sécurité intérieure...... Arrêté du 22 avril 2011 portant admission de sous-officiers de gendarmerie dans le corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale.................................................... Circulaire du 22 avril 2011 relative à la dotation globale de fonctionnement (DGF) des provinces de Nouvelle-Calédonie – exercice 2011........................................................................................ Circulaire du 22 avril 2011 relative à la répartition de la dotation nationale de péréquation (DNP) pour l’année 2011............................................................................................................... Circulaire du 22 avril 2011 relative à la répartition de la dotation générale de décentralisation (DGD) des régions pour 2011........................................................................................................ Circulaire du 26 avril 2011 relative à la dotation d’intercommunalité des EPCI à fiscalité propre – Année 2011................................................................................................................................. Circulaire du 26 avril 2011 relative aux compensations à verser en 2011 aux collectivités locales pour les exonérations relatives à la fiscalité locale décidées par l’État........................................ Décision no 570/2 COMGEND-NCWF/BRH du 27 avril 2011 portant attribution en 2011 de la prime de résultats exceptionnels à titres individuel, collectif et exceptionnel.............................. Décision no 47295 du 27 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Rhône-Alpes.................................................................. 7 8 69 70 71 72 73 74 18 15 75 76 9 92 93 35 10 11 16 12 17 77 78 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – CHR – Page 9 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Textes Arrêté du 28 avril 2011 portant désignation des candidats admis à l’examen du brevet d’aptitude à la formation des moniteurs d’enseignement de la conduite des véhicules terrestres à moteur de la session 2010.......................................................................................................................... Décision no 595/2 COMGEND-NCWF/BRH du 28 avril 2011 portant attribution en 2011 de la prime de résultats exceptionnels à titre exceptionnel.................................................................... Décision no 13830 du 28 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Champagne-Ardenne..................................................... Décision no 15094 du 28 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la garde républicaine – branche « cavalerie »............................................................. Décision no 15100 du 28 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la garde républicaine – branche « infanterie »............................................................ Décision no 47770 du 28 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est.................................. Décision no 12718 du 29 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Haute-Normandie........................................................... Décision no 45242 du 29 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des organismes centraux – branche « secrétariat ».......................................................... Décision no 45249 du 29 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des organismes centraux – branche « formations extérieures »....................................... 94 79 80 81 82 83 84 85 86 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – CHR – Page 10 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ MINISTÈRE CHARGÉ DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES _____ Direction générale des collectivités locales _____ Sous-direction des finances locales et de l’action économique _____ Bureau des concours financiers de l’État _____ Circulaire du 4 avril 2011 relative à la répartition de la dotation globale de fonctionnement des régions pour 2011 NOR : COTB1108106C Résumé : la présente circulaire a pour objet de préciser les modalités de répartition de la dotation globale de fonctionnement des régions pour l’année 2011. La fiche de notification de l’attribution individuelle de votre région vous a été adressée dans la messagerie Colbert Départemental. Le ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, chargé des collectivités territoriales, à Messieurs les préfets de région (métropole et outre-mer) ; secrétariat général aux affaires régionales. La loi de finances pour 2004 a mis en place une dotation globale de fonctionnement (DGF) des régions qui comprend deux composantes : une dotation forfaitaire et une dotation de péréquation. L’annexe unique présente les montants globaux de ces deux composantes. I. – LES COMPOSANTES DE LA DGF DES RÉGIONS Lors des exercices précédents, il appartenait au comité des finances locales (CFL) de fixer le taux de croissance de la DGF des régions dans une fourchette comprise entre 60 % et 90 % du taux d’évolution de la DGF. Dans un contexte de gel des dotations de l’État aux collectivités locales, la loi de finances initiale pour 2011 a reconduit l’enveloppe totale de la DGF des régions répartie en 2010 et prévu l’écrêtement uniforme de la dotation forfaitaire des régions de – 0,12 %. La somme écrêtée vient abonder la dotation de péréquation des régions qui correspond au solde de l’enveloppe totale de la DGF des régions minorée de la part correspondant à la dotation forfaitaire. Les règles de répartition de la dotation de péréquation demeurent identiques à celles appliquées depuis 2004. Il convient tout de même de noter que l’article 169 de la loi de finances pour 2009 a modifié l’année de référence des données fiscales utilisées pour le calcul du potentiel fiscal. Depuis 2009, la répartition se fait sur les données fiscales de l’année précédente et non plus celles de la pénultième année. En 2011, à titre dérogatoire, les bases et les taux de taxe professionnelle de l’année 2009 sont reconduits pour le calcul du potentiel fiscal. L’État a en effet versé aux régions en 2010 une compensation relais, dans l’attente de la perception à compter de 2011 des nouvelles impositions remplaçant la taxe professionnelle. En revanche, ce sont bien les bases et les taux des taxes foncières sur les propriétés bâties et non bâties de l’année 2010 qui sont prises en compte en 2011 dans le potentiel fiscal des régions. Les règles d’éligibilité à la dotation de péréquation Sont bénéficiaires de la dotation de péréquation les régions dont le potentiel fiscal par habitant est inférieur d’au moins 15 % au potentiel fiscal moyen par habitant de l’ensemble des régions. En 2011, les onze régions éligibles en 2010 conservent leur éligibilité. Par ailleurs, la loi de finances pour 2008 a introduit un mécanisme de garantie. En effet, lorsqu’une région cesse de remplir les conditions requises pour bénéficier de la dotation de péréquation, cette région perçoit, à titre de garantie non renouvelable, une attribution égale à la moitié de celle qu’elle a perçue l’année précédente. Les sommes nécessaires à cette garantie sont prélevées sur les crédits affectés à la dotation de péréquation. Comme indiqué précédemment, aucune région éligible à la dotation de péréquation en 2010 ne perd son éligibilité en 2011. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 1/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Les règles de répartition de la dotation de péréquation Une quote-part revient aux régions d’outre-mer déclarées éligibles. Il convient de préciser que l’article 28 de la loi de finances pour 2007 a modifié le mode de calcul de la quote-part de la dotation de péréquation destinée aux régions d’outre-mer. Son montant correspond au triple du rapport entre la population de ces régions, telle qu’elle résulte du dernier recensement général, et la population de l’ensemble des régions et de la collectivité territoriale de Corse. Pour les régions de métropole, la répartition s’opère pour moitié proportionnellement à l’écart au potentiel fiscal moyen par habitant, écart pondéré par l’effort fiscal et la population, et pour l’autre moitié proportionnellement au rapport entre le potentiel fiscal moyen par kilomètre carré de l’ensemble des régions et le potentiel fiscal par kilomètre carré de chaque région considérée. Pour les régions d’outre-mer, la première moitié du montant de la quote-part est répartie selon les mêmes modalités que pour les régions métropolitaines en fonction du potentiel fiscal, de la population et de l’effort fiscal. La seconde fraction de cette quote-part est répartie au prorata des dépenses réelles totales de chaque région ultra-marine. II. – LES MODALITÉS DE NOTIFICATION DE LA DGF DES RÉGIONS Les résultats de la répartition de la dotation globale de fonctionnement des régions sont en ligne sur le site internet de la DGCL (http://www.dotations-dgcl.interieur.gouv.fr). Toutefois, seule la notification officielle par vos soins de la dotation revenant à chaque région fait foi. Dès réception de cette circulaire, vous voudrez bien procéder à la notification de la DGF en informant le conseil régional des dispositions concernant les modalités et les délais de recours contentieux. Je vous signale, en effet, qu’en vertu des dispositions de l’article R. 421‑5 du code de justice administrative les voies et délais de recours doivent être expressément indiqués lors de la notification de chaque dotation aux collectivités bénéficiaires. Cette mention est donc inscrite sur la fiche de notification de la DGF que vous trouverez pour votre région dans la messagerie Colbert Départemental. Je vous invite néanmoins, afin de prévenir tout contentieux, à indiquer à chaque collectivité bénéficiaire que, durant le délai de deux mois mentionné sur la fiche de notification, un recours gracieux peut être exercé auprès de vos services. Ce recours gracieux interrompt le délai du recours contentieux qui ne courra à nouveau qu’à compter de la réception de votre réponse. Je vous rappelle, à cet égard, qu’en application de l’article R. 421‑2 du code précité « le silence gardé pendant plus de deux mois sur une réclamation par l’autorité compétente vaut décision de rejet ». Il vous appartient également de prendre les arrêtés de versement adressés au trésorier-payeur général. La dotation forfaitaire et, pour les régions qui y sont éligibles, la dotation de péréquation feront l’objet d’arrêtés distincts. Je vous rappelle que vous pouvez éditer les lettres de notification et les arrêtés de versement via l’intranet Colbert Départemental. Vous trouverez à cet effet dans la bibliothèque de documents un modèle d’arrêté de notification. S’agissant de la dotation forfaitaire, le versement par douzièmes avec acomptes est obligatoire en vertu de l’article 28 de la loi de finances pour 2007. La dotation de péréquation des régions fait quant à elle l’objet d’un versement unique intervenant avant le 31 juillet. Qu’il s’agisse de la dotation forfaitaire ou de la dotation de péréquation, vos arrêtés viseront le compte no 465.1211 1 « Dotation globale de fonctionnement – répartition initiale de l’année. Année 2011 » ouvert en 2011 dans les écritures du trésorier-payeur général. Je vous précise que l’inscription des deux composantes de la DGF des régions est à effectuer dans les budgets des régions aux comptes suivants (plan de comptes M71) : 7411 – Dotation forfaitaire ; 7412 – Dotation de péréquation. Vos arrêtés de versement ou de reversement à l’occasion d’une éventuelle rectification de la DGF des régions viseront le compte unique no 465.1212 « DGF – opérations de régularisation ». Toute difficulté dans l’application de la présente circulaire devra être signalée à votre correspondant au sein du bureau des concours financiers de l’État à la direction générale des collectivités locales, sous-direction des finances locales et de l’action économique, bureau des concours financiers de l’État, M. Aurélien DEHAINE, tél. : 01 49 27 36 09, fax : 01 40 07 68 30, mél. : [email protected]. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général des collectivités locales, É. Jalon AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 1/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE UNIQUE Masses de la DGF des régions pour 2011 Évolution de la DGF totale : + 0,00 % Évolution de la dotation forfaitaire des régions : – 0,12 % 2010 2011 DGF TOTALE 5 448 725 413 5 448 725 413 DOTATION FORFAITAIRE 5 271 740 528 (+ 0,50 %) 5 265 414 439 (– 0,12 %) 176 984 885 (+ 3,67 %) 183 310 974 (+ 3,57 %) DOTATION DE PÉRÉQUATION AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 1/95 – Page 3 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ MINISTÈRE CHARGÉ DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES _____ Direction générale des collectivités locales _____ Sous-direction des finances locales et de l’action économique _____ Bureau des concours financiers de l’État _____ Circulaire du 8 avril 2011 relative à la dotation globale de fonctionnement 2011 Répartition de la dotation forfaitaire des communes NOR : COTB1109217C Résumé : la présente circulaire a pour objet de préciser les modalités de répartition de la dotation forfaitaire des communes de la dotation globale de fonctionnement (DGF) pour l’année 2011. Le ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, chargé des collectivités territoriales, à Mesdames et Messieurs les préfets de département de métropole et d’outre-mer ; Monsieur le haut-commissaire de la République en Polynésie française ; Monsieur le hautcommissaire de la République en Nouvelle-Calédonie ; Messieurs les préfets de Mayotte, Saint-Pierre-etMiquelon et Wallis et Futuna. Conformément à la loi no 93‑1436 du 31 décembre 1993 portant réforme de la dotation globale de fonctionnement et modifiant le code des communes et le code général des impôts et au décret no 94‑366 du 10 mai 1994, la DGF des communes est composée d’une dotation forfaitaire et d’une dotation d’aménagement. I. – LA RÉPARTITION DE LA DOTATION FORFAITAIRE DES COMMUNES EN 2011 La dotation forfaitaire des communes atteint cette année 13,599 Md€. A. – Cette dotation se décompose en cinq parts Une dotation de base qui varie comme en 2010 de 64,46 € à 128,93 € par habitant en fonction de la taille des communes. La loi de finances initiale pour 2011 a en effet gelé les montants par habitant de la dotation de base. Une part proportionnelle à la superficie égale à 3,22 € par hectare en 2011. Cette part est calculée sur la base de 5,37 € par hectare pour les communes situées en zone de montagne. La loi de finances pour 2011 a, comme pour la dotation de base, décidé de geler cette dotation. Une part « compensations » correspondant à l’ancienne compensation « part salaires » (CPS) de la taxe professionnelle ainsi qu’à la compensation des baisses de DCTP supportées par certaines communes entre 1998 et 2001, incluses depuis 2004 dans la dotation forfaitaire. J’attire votre attention sur le fait qu’en cas d’adhésion d’une commune à un EPCI à FPU au 1er janvier 2011, la part de dotation forfaitaire de la commune correspondant à l’ancienne compensation « part salaires » est versée à l’EPCI en lieu et place de la commune. Les montants qui vous sont communiqués tiennent bien évidemment compte de cette disposition. Deux mouvements peuvent par ailleurs impacter la part « compensations » : 1. En 2011, les prélèvements France Télécom, opérés en 2003 sur la compensation « part salaires » et la fiscalité des communes et indexés du produit des taux d’évolution de cette part votés par le comité des finances locales (CFL) entre 2004 et 2010, sont réintégrés dans la part CPS des communes (1). (1) Cette réintégration est la conséquence de la prise en compte des prélèvements France Télécom dans le « panier de ressources avant réforme » calculé pour la détermination de la dotation de compensation de la réforme de la taxe professionnelle (DCRTP). AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 2/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 2. Parallèlement, cette part est prélevée, en application de la loi de finances pour 2010, du produit de la taxe sur les surfaces commerciales (TASCOM) perçu par l’État sur le territoire de la collectivité en 2010 (1). Si le montant de la part CPS est insuffisant pour assurer le prélèvement dans sa totalité, le solde est prélevé sur la part baisses de DCTP et, le cas échéant, sur les recettes fiscales directes de la collectivité. Par conséquent, la part dite « compensations » peut subir des variations substantielles : – un complément de garantie qui est minoré en 2011 de 130 M€. Les communes, dont le potentiel fiscal par habitant est supérieur ou égal à 0,75 fois le potentiel fiscal moyen par habitant constaté au niveau national, voient leur complément de garantie diminuer en fonction de leur population et de l’écart relatif entre leur potentiel fiscal par habitant et celui constaté au niveau national. Cette diminution est limitée à 6 % du complément de garantie perçu en 2010 ; – enfin une dotation « parcs nationaux et naturels marins » que la loi de finances pour 2011 a scindée en deux fractions. La première fraction qui s’élève à 3 200 000 € est perçue par les communes dont le territoire est pour tout ou partie compris dans le cœur d’un parc national. La seconde fraction d’un montant de 150 000 € est versée aux communes insulaires situées dans les surfaces maritimes classées en parc naturel marin mentionné à l’article L. 334‑3 du code de l’environnement. L’attribution individuelle est fonction de la part de la superficie de la commune comprise dans le cœur de parc, cette part étant doublée pour le calcul de la dotation lorsque cette superficie dépasse 5 000 kilomètres carrés. L’évolution globale de la dotation forfaitaire résulte des évolutions de chacune de ses composantes. Elle s’établit en moyenne à – 0,78 %, hors part « compensations ». Il convient également de noter que les groupements touristiques et thermaux bénéficiaires de la dotation touristique supplémentaire bénéficient d’une dotation forfaitaire. Celle-ci est calculée par indexation de la dotation forfaitaire perçue en 2010 selon le taux fixé à 50 % du taux d’évolution de l’ensemble des ressources affectées à la dotation globale de fonctionnement, soit + 0,208628 % en 2011. Le montant de cette dotation s’élève en 2011 à 21,3 M€. B. – Les modalités de notification de la dotation forfaitaire des communes pour 2011 Les résultats de la répartition de la dotation forfaitaire des communes sont en ligne sur le site internet de la DGCL (http:// www.dotations-dgcl.interieur.gouv.fr). Toutefois, seule la notification officielle par vos soins de la dotation revenant à chaque commune fait foi. Pour la métropole et les départements d’outre-mer, les fiches individuelles de notification des attributions de la dotation forfaitaire des communes vous ont été transmises dans la messagerie Colbert Départemental et non sur support papier. Je vous invite, dès réception de ce courrier, à télécharger les fiches de notification de la dotation forfaitaire des communes, qui prennent la forme de fichiers « PDF » à faire imprimer par vos services. La procédure de téléchargement est décrite sur la page d’accueil de Colbert Départemental. Il vous appartient de transmettre ces fiches, le plus rapidement possible, aux collectivités concernées, l’arrêté attributif pouvant intervenir ultérieurement. De même, vous pouvez éditer les lettres de notification et des arrêtés de versement via l’intranet Colbert Départemental. Vous trouverez à cet effet dans la bibliothèque de documents un modèle d’arrêté de notification. Concernant les communes de Polynésie française, de Nouvelle-Calédonie, de Mayotte, de Saint-Pierre-et-Miquelon et de Wallis et Futuna, mes services vous ont adressé par messagerie les fiches de notification de la dotation forfaitaire. Il vous appartient de transmettre ces fiches, le plus rapidement possible, aux collectivités concernées, l’arrêté attributif pouvant intervenir ultérieurement. Je vous rappelle que, pour permettre l’application des dispositions de l’article R. 421‑5 du code de justice administrative, les voies et délais de recours contre la décision d’attribution doivent être expressément mentionnés lors de la notification de chaque dotation aux collectivités bénéficiaires. Cette mention est donc inscrite sur chaque fiche individuelle de notification annexée à la présente circulaire. Néanmoins, afin de prévenir tout contentieux, vous voudrez bien indiquer dans la lettre type de notification que vous adresserez aux collectivités bénéficiaires que, durant le délai de deux mois mentionné sur la fiche de notification, un recours gracieux peut être exercé auprès de vos services. Ce recours gracieux interrompt le délai du recours contentieux qui ne courra à nouveau qu’à compter de la réception de votre réponse. Je vous rappelle, à cet égard, qu’en application de l’article R. 421‑2 du code précité « le silence gardé pendant plus de deux mois sur une réclamation par l’autorité compétente vaut décision de rejet ». (1) En application de l’article 77 de la loi no 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010, les communes et les EPCI perçoivent la TASCOM à compter du 1er janvier 2011. Cette taxe était perçue jusqu’à présent par l’État. Afin d’assurer la neutralité de ce transfert, la DGF des communes et EPCI est minorée du montant de la taxe. Cette minoration qui sera reconduite chaque année est figée à son montant 2010. Les collectivités bénéficieront au cours des années à venir du dynamisme de la taxe dont le taux pourra être modulé à compter de l’année 2012 (sur les modalités de modulation, voir circulaire no COT/B/11/07973/C du 17 mars 2011 relative aux informations fiscales utiles à la préparation des budgets primitifs locaux pour 2011). AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 2/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Toute difficulté dans l’application des présentes instructions devra être signalée à votre correspondant au sein du bureau des concours financiers de l’État dont l’organigramme est joint en annexe IV. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général des collectivités locales, É. Jalon AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 2/95 – Page 3 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR LISTE DES ANNEXES Annexe I. – Instructions Annexe II. – Modalités nécessaires à la notification et au versement de la dotation forfaitaire de calcul de la dotation forfaitaire des communes Annexe II. 1. Cas général Annexe II. 2. Cas des communes ayant fusionné au cours de l’exercice précédent Annexe II. 3. Cas des communes ayant défusionné au cours de l’exercice précédent Annexe II. 4. Communes dont les limites territoriales ont été modifiées Annexe II. 5. Évolution de l’ancienne dotation touristique particulière et de l’ancienne dotation ville- centre Annexe III. – Modalités de de l’ancienne Annexe IV. – Organigramme calcul de la dotation forfaitaire des groupements de communes bénéficiaires dotation touristique supplémentaire du bureau des concours financiers de l’État AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 2/95 – Page 4 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE I Instructions nécessaires à la notification et au versement de la dotation forfaitaire 1. Inscription dans les budgets L’inscription des différentes dotations dans les budgets est à effectuer, pour chacune des communes concernées, au compte suivant de la nomenclature comptable M14 : 74 – DOTATIONS ET PARTICIPATIONS 741 – DGF 7411 – Dotation forfaitaire 2. Versement de la dotation forfaitaire en 2011 Après avoir procédé à la notification du montant de la dotation forfaitaire, vous prendrez les dispositions nécessaires pour en assurer le versement. À cette fin, vous indiquerez par un arrêté le montant total de la dotation forfaitaire due au titre de l’exercice 2011. La dotation forfaitaire, comme les dotations perçues par les groupements à fiscalité propre, fait l’objet, conformément aux dispositions respectivement des articles L. 2334‑8 et L. 5211‑31 du code général des collectivités territoriales, de versements par douzièmes mensuels. Vos arrêtés de versement à l’issue de la répartition initiale de la dotation forfaitaire viseront le compte no 465‑1211 1 « Dotation globale de fonctionnement – répartition initiale de l’année. Année 2011 » ouvert dans les écritures du trésorierpayeur général. Comme l’année précédente, tous vos arrêtés de versement ou de reversement à l’occasion d’une rectification éventuelle de la dotation forfaitaire viseront le compte unique no 465‑1212 « DGF – opérations de régularisation » que les rectifications portent sur les dotations allouées au titre de l’exercice ou des années antérieures. ANNEXE II Modalités de calcul de la dotation forfaitaire des communes Il est tenu compte en 2011 pour le calcul des différentes parts de la dotation forfaitaire des fusions ou défusions de communes et des modifications des limites territoriales intervenues au cours de l’année 2010. Les modifications des périmètres intercommunaux sont également prises en compte pour la détermination de la part « compensations » de la dotation forfaitaire. II. 1. Cas général 1. Calcul de la dotation de base de la commune 1.1. Calcul du coefficient multiplicateur de la population de la commune Si population DGF 2011 < 500, le coefficient multiplicateur de la population de la commune est a = 1. Si 500 ≤ population DGF 2011 < 200 000, le coefficient multiplicateur de la population se calcule de la manière suivante : a = 1 + 0,384 310 89 × log (population DGF2011/500). Si population DGF 2011 ≥ 200 000, le coefficient multiplicateur de la population de la commune est a = 2. Ce coefficient est identique pour deux communes qui ont la même population DGF. Ce coefficient varie, en revanche, si la population DGF d’une commune varie d’une année à l’autre. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 2/95 – Page 5 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1.2. Calcul de la dotation de base de la commune Population DGF 2011 ........................................ × 64,46 291 197 € × ........................................ × a × ........................................ = Dotation de base de la commune en 2011 = ........................................ 2. Calcul de la dotation superficiaire de la commune Superficie de la commune (en ha) × = ........................................ 3,223 145 599 € (5,371 909 331 € si commune située en zone de montagne) × ........................................ Dotation superficiaire de la commune en 2011 = ........................................ Pour les communes de Guyane, dans l’hypothèse où la dotation superficiaire est supérieure au triple de la dotation de base, la dotation superficiaire est plafonnée au triple de la dotation de base. Pour les communes de Guyane : Si Dotation superficiaire 2011 > 3 × Dotation de base 2011 Alors : Dotation de base 2011 de la commune × 3 = ................................. × 3 Dotation superficiaire de la commune en 2011 = ........................................ 3. Calcul de la part « compensations » de la dotation forfaitaire correspondant à la compensation « part salaires » (CPS) et à la compensation des baisses de DCTP Montant de la part CPS en 2010 ........................................ + ontant du prélèvement France Télécom réalisé en 2003 sur M la compensation « part salaires » et indexé du produit des taux d’évolution de la part CPS de 2004 à 2010 (soit 1,06 517 961) + ........................................ = Sous-total 1 (soit CPS 2011 avant prélèvement TASCOM) = ........................................ + Montant de la part baisses de DCTP en 2010 + ........................................ – Prélèvement TASCOM – ........................................ = Part « compensations » de la commune en 2011 = ........................................ Il convient de préciser que le montant du prélèvement France Télécom est réintégré dans la part CPS. Quant au prélèvement TASCOM, il est réalisé en priorité sur la part CPS. Si celle-ci est insuffisante, le solde est prélevé prioritairement sur la part baisses de DCTP et le cas échéant sur la fiscalité directe de la collectivité. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 2/95 – Page 6 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 4. Calcul du complément de garantie de la commune La loi de finances pour 2011 a reconduit le principe d’un écrêtement du complément de garantie des communes. Toutefois alors qu’en 2009 et 2010 l’écrêtement concernait toutes les communes à hauteur de – 2 %, l’écrêtement est modulé en 2011 selon l’écart relatif entre le potentiel fiscal par habitant de la commune et le potentiel fiscal moyen par habitant constaté au niveau national. De plus, l’écrêtement ne concerne que les communes dont le potentiel fiscal par habitant est supérieur ou égal à 0,75 fois le potentiel fiscal moyen par habitant constaté au niveau national et ne peut être supérieur à 6 % du complément de garantie perçu en 2010. En 2011, le complément de garantie se calcule de la manière suivante : Si Pf/hab. < 0,75 × PF/HAB et complément de garantie 2010 > 0, alors Complément de garantie 2011 = Complément de garantie 2010 Si Pf/hab. ≥ 0,75 × PF/HAB et complément de garantie 2010 > 0, alors Écrêtement = Pf/hab { PF/HAB }× population DGF 2011 × VP Complément de garantie 2011 = Complément de garantie 2010 – Écrêtement Avec : – Pf/hab. = potentiel fiscal par habitant de la commune en 2011 ; – PF/HAB = potentiel fiscal moyen par habitant constaté au niveau national = 764,046 632 ; – VP = valeur de point = Masse totale à prélever (130 000 000 €) Σ { Pf/hab × population DGF 2011 PF/HAB = 3,139 474 156 863 } 5. Calcul de la dotation parcs nationaux et naturels marins En application de la loi de finances pour 2011, cette dotation est répartie sous enveloppes fermées : 3 200 000 € entre les communes ayant une part de leur territoire située dans un cœur de parc national et 150 000 € entre les communes situées dans les surfaces maritimes classées en parc naturel marin mentionné à l’article L. 334‑3 du code de l’environnement. L’attribution individuelle est fonction de la part de la superficie de la commune comprise dans le cœur de parc, cette part étant doublée pour le calcul de la dotation lorsque cette superficie dépasse 5 000 kilomètres carrés. 5.1. Calcul de la première fraction de la dotation Dotation parcs nationaux = (surface en cœur de parc [en ha] × coefficient) × VP1 superficie totale de la commune (en ha) Avec : – coefficient = 1 si surface du parc ≤ 5 000 km² (500 000 ha) ; – coefficient = 2 si surface du parc > 5 000 km² (500 000 ha) ; Masse à répartir (soit 3 200 000 €) – VP1 = valeur de point = = 43 967,085 251 superficies en cœur de parc × coefficient Σ superficies totales des communes éligibles { } 5.2. Calcul de la seconde fraction de la dotation Dotation parcs naturels marins = Surface en parc naturel marin (en ha) × VP2 Superficie totale de la commune (en ha) AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 2/95 – Page 7 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Avec : Masse à répartir (soit 150 000 €) – VP2 = valeur de point = = 50 000,000 000 superficies en parc naturel marin Σ superficies totales des communes insulaires éligibles { } 6. Calcul de la dotation forfaitaire de la commune La dotation forfaitaire de la commune en 2011 se calcule donc selon la formule suivante : Dotation de base de la commune en 2011 ........................................ + Dotation superficiaire de la commune en 2011 + ........................................ + Part « compensations » de la commune en 2011 + ........................................ + Complément de garantie de la commune en 2011 + ........................................ + Dotation parcs nationaux et naturels marins en 2011 + ........................................ = Dotation forfaitaire de la commune en 2011 = ........................................ II. 2. Fusion de plusieurs communes 1. Calcul de la dotation de base de la commune fusionnée La dotation de base d’une commune fusionnée se calcule comme dans le cas général, en prenant comme référence la population DGF totale de la nouvelle commune issue de la fusion. 2. Calcul de la dotation superficiaire de la commune fusionnée La dotation superficiaire d’une commune fusionnée se calcule comme dans le cas général, en prenant comme référence la superficie totale de la nouvelle commune issue de la fusion. 3. Calcul de la part « compensations » de la dotation forfaitaire correspondant à la compensation « part salaires » (CPS) et à la compensation des baisses de DCTP Somme des parts CPS 2010 des communes qui fusionnent + ........................................ ontant du prélèvement France Télécom réalisé en 2003 sur M la compensation « part salaires » des communes qui fusionnent et indexé du produit des taux d’évolution de la part CPS de 2004 à 2010 (soit 1,06 517 961) + ........................................ = Sous-total 1 (soit CPS 2011 avant prélèvement TASCOM) = ........................................ + omme des parts baisses de DCTP en 2010 des communes qui S fusionnent + ........................................ – Prélèvement TASCOM – ........................................ = Part « compensations » de la commune fusionnée en 2011 = ........................................ 4. Calcul du complément de garantie de la commune fusionnée Le complément de garantie d’une commune fusionnée se calcule comme dans le cas général, en prenant comme référence la somme des compléments de garantie perçus en 2010 par les communes qui fusionnent. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 2/95 – Page 8 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 5. Calcul de la dotation parcs nationaux et naturels marins de la commune fusionnée La dotation parcs nationaux et naturels marins d’une commune fusionnée se calcule comme dans le cas général, en prenant comme référence les superficies de la nouvelle commune issue de la fusion. 6. Calcul de la dotation forfaitaire de la commune fusionnée La dotation forfaitaire de la commune se calcule donc selon la formule suivante : Dotation de base de la commune en 2011 ........................................ + Dotation superficiaire de la commune en 2011 + ........................................ + Part « compensations » de la commune en 2011 + ........................................ + Complément de garantie de la commune en 2011 + ........................................ + Dotation parcs nationaux et naturels marins en 2011 + ........................................ = Dotation forfaitaire de la commune en 2011 = ........................................ II. 3. Division en deux ou plusieurs communes Soit A la commune initiale et B et C les communes résultant de la division de A. 1. Calcul de la dotation de base de la commune B La dotation de base d’une commune défusionnée se calcule comme dans le cas général, en prenant comme référence la seule population DGF de la nouvelle commune. 2. Calcul de la dotation superficiaire de la commune B La dotation de superficie d’une commune défusionnée se calcule comme dans le cas général, en prenant comme référence la seule superficie de la nouvelle commune. 3. Calcul de la part « compensations » de la commune B Part CPS 2010 de la commune A ........................................ + Montant du prélèvement France Télécom réalisé en 2003 sur la compensation « part salaires » de la commune A et indexé du produit des taux d’évolution de la part CPS de 2004 à 2010 (soit 1,06 517 961) + ........................................ = Sous-total 1 = ........................................ × Population DGF 2011 de B × ........................................ = Sous-total 2 = ........................................ ÷ Population DGF 2010 de A ÷ ........................................ = Sous-total 3 (soit CPS 2011 avant prélèvement TASCOM) = ........................................ Part baisses de DCTP 2010 de la commune A × Population DGF 2011 de B ........................................ × ........................................ AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 2/95 – Page 9 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR = Sous-total 4 = ........................................ ÷ Population DGF 2010 de A ÷ ........................................ = Sous-total 5 = ........................................ Sous-total 3 + sous-total 5 ........................................ – Prélèvement TASCOM = ........................................ = Part « compensations » de la commune B en 2011 = ........................................ 4. Calcul du complément de garantie de la commune B Le complément de garantie d’une commune défusionnée se calcule comme dans le cas général, en prenant comme référence le complément de garantie 2010 de la commune initiale multiplié par le rapport entre la population de la commune défusionnée et celle de la commune initiale. 5. Calcul de la dotation parcs nationaux et naturels marins de la commune B La dotation parcs nationaux et naturels marins d’une commune défusionnée se calcule comme dans le cas général, en prenant comme référence la seule superficie de la nouvelle commune. 6. Calcul de la dotation forfaitaire de la commune B La dotation forfaitaire de la commune B se calcule donc selon la formule suivante : Dotation de base de la commune B en 2011 + Dotation superficiaire de la commune B en 2011 + ........................................ + Part « compensations » de la commune B en 2011 + ........................................ + Complément de garantie de la commune B en 2011 + ........................................ + Dotation parcs nationaux et naturels marins B en 2011 + ........................................ = Dotation forfaitaire de la commune B en 2011 = ........................................ La dotation forfaitaire de la commune C se calcule de la même façon. II. 4. Modification des limites territoriales La dotation forfaitaire 2011 des communes qui connaissent une modification de leurs limites territoriales se calcule comme le cas général. Il convient simplement de prendre dans le calcul des cinq parts de la dotation forfaitaire les donnés physiques des communes concernées après la modification de leurs limites territoriales. II. 5. Évolution de l’ancienne dotation touristique particulière et de l’ancienne dotation ville-centre En application des dispositions du deuxième alinéa de l’article L. 2334‑7 du code général des collectivités territoriales, les montants correspondant à la dotation supplémentaire des communes et groupements de communes touristiques ou thermaux et à la dotation particulière des communes touristiques et des villes assumant des charges de centralité, intégrés dans la dotation forfaitaire, sont identifiés au sein de celle-ci. Les fiches individuelles de notification tiennent donc compte de cette disposition. Ces montants, mentionnés pour information, évoluent comme la dotation forfaitaire (hors part « compensations ») de chaque commune, c’est-à-dire que l’on applique le taux d’évolution de la dotation forfaitaire entre 2010 et 2011 (hors part « compensations ») de la commune à son montant de dotation touristique. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 2/95 – Page 10 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE III Modalités de calcul de la dotation forfaitaire des groupements de communes bénéficiaires de l’ancienne dotation touristique supplémentaire Conformément aux dispositions de l’article L. 5211‑24 du code général des collectivités territoriales, la dotation supplémentaire versée aux groupements touristiques évolue selon un taux fixé à 50 % du taux d’évolution de l’ensemble des ressources affectées à la dotation globale de fonctionnement, soit + 0,208 628 % en 2011. En cas de changement de statut du groupement ne permettant plus à celui-ci de percevoir la dotation supplémentaire, celle-ci est alors restituée aux communes membres et intégrée au complément de garantie 2011 des communes après application des règles précisées en annexe II. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 2/95 – Page 11 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE IV Organigramme du bureau des concours financiers de l’État AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 2/95 – Page 12 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ MINISTÈRE CHARGÉ DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES _____ Direction générale des collectivités locales _____ Sous-direction des finances locales et de l’action économique _____ Bureau des concours financiers de l’État _____ Circulaire du 8 avril 2011 relative à la dotation globale de fonctionnement 2011. Répartition de la dotation de compensation des EPCI NOR : COTB1109218C Résumé : la présente circulaire a pour objet de préciser les modalités de répartition de la dotation de compensation des EPCI pour l’année 2011. Le ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, chargé des collectivités territoriales, à Mesdames et Messieurs les préfets de département de métropole et d’outre-mer. La loi de finances pour 2004 a modifié l’architecture des dotations, en intégrant dans la dotation globale de fonctionnement (DGF) plusieurs dotations et compensations qui étaient auparavant autonomes. S’agissant des établissements publics de coopération intercommunale (EPCI), cette réforme a conduit à instaurer, aux côtés de la dotation d’intercommunalité, une dotation de compensation reprenant pour l’essentiel l’ancienne compensation de la suppression de la « part salaires » de la taxe professionnelle. La DGF des EPCI comporte donc depuis 2004 deux composantes : – la dotation d’intercommunalité, elle-même composée d’une dotation de base et d’une dotation de péréquation ; – la dotation de compensation. En application de l’article L. 5211‑28‑1 du code général des collectivités territoriales (CGCT), la dotation de compensation est indexée comme la part de la dotation forfaitaire des communes qui correspond à la compensation de la suppression de la « part salaires » de la taxe professionnelle et à la compensation des baisses de DCTP subies par les communes entre 1998 et 2001. L’article 177 de la loi de finances pour 2011 a gelé les montants de la part « compensations » perçus par les communes en 2011 et donc également ceux de dotation de compensation perçus par les EPCI. Par ailleurs, en application de l’article 77 de la loi de finances pour 2010, les prélèvements France Télécom, opérés en 2003 sur la compensation « part salaires » et indexés du produit des taux d’évolution de cette part votés par le comité des finances locales (CFL) entre 2004 et 2010, sont réintégrés en 2011 dans la dotation de compensation des EPCI (1). Parallèlement, cette dotation est minorée du produit de la taxe sur les surfaces commerciales (TASCOM) perçu par l’État sur le territoire de la collectivité en 2010 (2). Si le montant de la dotation est insuffisant pour assurer le prélèvement dans sa totalité, le solde est prélevé sur les recettes fiscales directes de la collectivité. Les résultats de la répartition de la dotation de compensation des EPCI sont en ligne sur le site internet de la DGCL (http://www.dotations-dgcl.interieur.gouv.fr). Toutefois, seule la notification officielle par vos soins de la dotation revenant à chaque EPCI fait foi. Les fiches individuelles de notification des attributions de la dotation de compensation des EPCI vous ont été transmises dans la messagerie Colbert Départemental. (1) Cette réintégration est la conséquence de la prise en compte des prélèvements France Télécom dans le « panier de ressources avant réforme » calculé pour la détermination de la dotation de compensation de la réforme de la taxe professionnelle (DCRTP). (2) En application de l’article 77 de la loi no 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010, les communes et les EPCI perçoivent la TASCOM à compter du 1er janvier 2011. Cette taxe était perçue jusqu’à présent par l’État. Afin d’assurer la neutralité de ce transfert, la DGF des communes et EPCI est minorée du montant de la taxe. Cette minoration qui sera reconduite chaque année est figée à son montant 2010. Les collectivités bénéficieront au cours des années à venir du dynamisme de la taxe dont le taux pourra être modulé à compter de l’année 2012 (sur les modalités de modulation, voir circulaire n° COTB1107973C du 17 mars 2011 relative aux informations fiscales utiles à la préparation des budgets primitifs locaux pour 2011). AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 3/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Je vous invite donc, dès réception de ce courrier, à télécharger les fiches de notification de la dotation de compensation des EPCI, qui prennent la forme de fichiers PDF à faire imprimer par vos services. La procédure de téléchargement est décrite sur la page d’accueil de Colbert Départemental. Il vous appartient de transmettre ces fiches, le plus rapidement possible, aux EPCI concernés, l’arrêté attributif pouvant intervenir ultérieurement. De même, vous pouvez éditer les lettres de notification et des arrêtés de versement via l’intranet Colbert Départemental. Vous trouverez à cet effet dans la bibliothèque de documents un modèle d’arrêté de notification. Je vous rappelle que, pour permettre l’application des dispositions de l’article R. 421‑5 du code de justice administrative, les voies et délais de recours contre la décision d’attribution doivent être expressément mentionnés lors de la notification de chaque dotation aux collectivités bénéficiaires. Cette mention est donc inscrite sur chaque fiche individuelle de notification. Néanmoins, afin de prévenir tout contentieux, vous voudrez bien indiquer dans la lettre type de notification que vous adresserez aux collectivités bénéficiaires que, durant le délai de deux mois mentionné sur la fiche de notification, un recours gracieux peut être exercé auprès de vos services. Ce recours gracieux interrompt le délai du recours contentieux qui ne courra à nouveau qu’à compter de la réception de votre réponse. Je vous rappelle, à cet égard, qu’en application de l’article R. 421‑2 du code précité « le silence gardé pendant plus de deux mois sur une réclamation par l’autorité compétente vaut décision de rejet ». À l’instar de l’ancienne compensation « part salaires », et conformément à l’article L. 5211‑31 du CGCT, vous verserez la dotation de compensation par douzièmes mensuels. Dans l’hypothèse où vous auriez déjà versé des acomptes en janvier, février et mars, il vous appartiendra naturellement de moduler les versements à venir en tenant compte des versements déjà effectués. Vos arrêtés de versement à l’issue de la répartition initiale de la dotation de compensation des EPCI viseront le compte no 465‑1211 1 « Dotation globale de fonctionnement – répartition initiale de l’année. Année 2011 » ouvert dans les écritures du trésorier-payeur général. Comme l’année précédente, tous vos arrêtés de versement ou de reversement à l’occasion d’une rectification éventuelle de la dotation de compensation des EPCI viseront le compte unique no 465‑1212 « DGF – opérations de régularisation » que les rectifications portent sur les dotations allouées au titre de l’exercice ou des années antérieures. Toute difficulté dans l’application des présentes instructions devra être signalée à votre correspondant au sein du bureau des concours financiers de l’État : M. Aurélien DEHAINE, tél : 01 49 27 36 09, fax : 01 40 07 68 30, mél. : aurelien. [email protected]. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général des collectivités locales, É. Jalon AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 3/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE Modalités de calcul de la dotation de compensation des EPCI pour 2011 I. – LE CAS GÉNÉRAL En application de l’article L. 5211‑28‑1 du CGCT et des dispositions de l’article 77 de la loi no 2009‑1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010, les prélèvements France Télécom réalisés en 2003 sur la compensation de la suppression de la « part salaires » de la taxe professionnelle sont supprimés. Ces prélèvements, qui ont évolué entre 2004 et 2010 selon les taux d’indexation de la part « compensations » de la dotation forfaitaire des communes votés annuellement par le comité des finances locales (CFL), sont donc réintégrés dans la part CPS de la dotation de compensation des EPCI. Dans le même temps, la part CPS de la dotation de compensation des EPCI à FPU ou à fiscalité de zone est diminuée en 2011 d’un montant égal pour chaque collectivité au produit de la taxe sur les surfaces commerciales perçu par l’État en 2010 sur le territoire de l’EPCI (ou sur la zone). Si cette part est insuffisante pour assurer le prélèvement dans sa totalité, le solde est prélevé sur la part baisses de DCTP de la dotation de compensation et enfin sur la fiscalité directe du groupement. La dotation de compensation de l’EPCI en 2011 se calcule donc de la manière suivante : Dotation de compensation notifiée à l’EPCI en 2010 ....................... + Montant du prélèvement France Télécom réalisé en 2003 sur la compensation « part salaires » et indexé du produit des taux d’évolution de la part CPS de la dotation forfaitaire des communes entre 2004 et 2010 (soit 1,06517961) + ....................... = Sous-total 1 (soit Dot. comp. 2011 avant prélèv. TASCOM) = ....................... – Prélèvement TASCOM – ....................... = Dotation de compensation de l’EPCI en 2011 = ....................... II. – LE CAS DES EPCI AYANT ADOPTÉ LE RÉGIME DE LA FISCALITÉ PROFESSIONNELLE UNIQUE AU 31 DÉCEMBRE 2010 Les EPCI qui ont opté pour le régime de la fiscalité professionnelle unique (FPU) au 31 décembre 2010 perçoivent à compter de 2011, en lieu et place de leurs communes membres, la part de la dotation forfaitaire de ces communes correspondant à la compensation « part salaires ». Toutefois, la part correspondant à la compensation des baisses de DCTP reste attribuée à la commune. La dotation de compensation de ces EPCI se calcule en 2011 de la manière suivante : Dotation de compensation notifiée à l’EPCI en 2010 + ∑ parts CPS des communes membres notifiées en 2010 + ....................... + ....................... = Sous-total 1 (soit Dot. comp. 2011 avant prélèv. TASCOM) = ....................... – Prélèvement TASCOM – ....................... = Dotation de compensation de l’EPCI en 2011 = ....................... + Montant du prélèvement France Télécom réalisé en 2003 sur la compensation « part salaires » et indexé du produit des taux d’évolution de la part CPS de la dotation forfaitaire des communes entre 2004 et 2010 (soit 1,06517961) AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 3/95 – Page 3 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR III. – LE CAS DES EPCI DÉJÀ À FISCALITÉ PROFESSIONNELLE UNIQUE DONT LE PÉRIMÈTRE EST MODIFIÉ AU 31 DÉCEMBRE 2010 Pour les EPCI déjà à FPU dont le périmètre est modifié au 31 décembre 2010, la dotation de compensation 2011 est calculée en ajoutant la CPS des communes nouvellement adhérentes et en retirant la CPS des communes qui quittent l’EPCI. Dotation de compensation notifiée à l’EPCI en 2010 ....................... + ∑ parts CPS des communes entrantes en 2010 + ....................... – ∑ compensations « part salaires » des communes sortantes en 2010 – ....................... + Montant du prélèvement France Télécom réalisé en 2003 sur la compensation « part salaires » et indexé du produit des taux d’évolution de la part CPS de la dotation forfaitaire des communes + ....................... = Sous-total 1 (soit Dot. comp. 2011 avant prélèv. TASCOM) entre 2004 et 2010 (soit 1,06517961) = ....................... – Prélèvement TASCOM – ....................... = Dotation de compensation de l’EPCI en 2011 = ....................... Les compensations « part salaires » des communes sortantes au 31 décembre 2010 sont recalculées à partir des bases compensées de la commune en 2003 et réattribuées : – à la commune si elle adhère à un EPCI à fiscalité additionnelle ou n’adhère à aucun autre EPCI ; – au nouvel EPCI auquel adhère cette commune s’il a adopté le régime de la FPU. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 3/95 – Page 4 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ MINISTÈRE CHARGÉ DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES _____ Direction générale des collectivités locales _____ Sous-direction des finances locales et de l’action économique _____ Bureau des concours financiers de l’État _____ Circulaire du 8 avril 2011 relative à la répartition de la dotation de solidarité urbaine et de cohésion sociale (DSU) au titre de l’année 2011 NOR : COTB1109400C Pièces jointes : 6 annexes. Résumé : La présente circulaire a pour objet de présenter les modalités de répartition et de versement de la dotation de solidarité urbaine et de cohésion sociale (DSU) au titre de l’exercice 2011. Elle tient compte des dispositions de l’article 178 de la loi de finances pour 2011 qui reconduit la quasi-totalité des modalités de répartition de la DSU en vigueur en 2010. Monsieur le ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, chargé des collectivités territoriales à Mesdames et Messieurs les préfets de département de métropole. I. – CONDITIONS D’ÉLIGIBILITÉ DE LA DSU L’éligibilité et la répartition de la DSU reposent sur la distinction de deux catégories démographiques : – d’une part, les communes de 10 000 habitants et plus ; – d’autre part, les communes de 5 000 à 9 999 habitants. La population prise en compte est la population DGF 2011, à l’exception de la population utilisée dans le calcul du revenu par habitant. Dans ce cas, est prise en compte la population INSEE 2011. 1. Éligibilité des communes de 10 000 habitants et plus Les communes de 10 000 habitants et plus sont classées par ordre décroissant selon un indice synthétique de charges et de ressources constitué : – pour 45 %, du rapport entre le potentiel financier moyen par habitant des communes de 10 000 habitants et plus et le potentiel financier par habitant de la commune ; – pour 15 %, du rapport entre la part des logements sociaux de la commune dans son parc total de logements et la part des logements sociaux dans le parc total de logements des communes de 10 000 habitants et plus ; – pour 30 %, du rapport entre la proportion par logement de personnes couvertes par des prestations logement dans la commune et la proportion de personnes couvertes par ces mêmes prestations dans les communes de 10 000 habitants et plus ; – pour 10 %, du rapport entre le revenu moyen des habitants des communes de 10 000 habitants et plus et le revenu moyen des habitants de la commune. S’agissant des logements sociaux pris en compte pour la répartition de la DSU, l’article 128 de la loi de finances pour 2010 a élargi la définition du critère, posée par l’article L. 2334‑17 du code général des collectivités territoriales (CGCT), aux logements qui appartenaient à la société ICADE au 1er janvier 2006 et qui appartiennent à la date du recensement à la Société nationale immobilière (SNI). Je vous invite en outre à vous reporter au 1 de l’annexe VI qui retrace les différences de définition entre cet article du CGCT et les dispositions de l’article 55 de la loi no 2000‑1208 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbain. Compte tenu de ces différences dans le dénombrement des logements sociaux, il convient de porter une attention particulière à cette annexe en prévision des recours relatifs à ce critère. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 4/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Le critère des bénéficiaires des aides au logement vise l’ensemble des personnes couvertes, c’est-à-dire l’allocataire, son conjoint et les personnes vivant habituellement dans son foyer. La formule de calcul de l’indice synthétique est précisée dans l’annexe III de la présente circulaire. Sont éligibles les communes classées dans les trois premiers quarts des communes de 10 000 habitants et plus, soit 731 communes en 2011. 2. Éligibilité des communes de 5 000 à 9 999 habitants La loi n 96‑241 du 26 mars 1996 a étendu aux communes de 5 000 à 9 999 habitants l’application de l’indice synthétique créé par la loi du 31 décembre 1993 pour les communes de 10 000 habitants et plus qui permet de classer l’ensemble des communes urbaines en fonction de leur richesse et de leurs charges. Il est procédé pour ces communes, comme pour les communes de 10 000 habitants et plus, à la détermination, pour chaque collectivité, d’un indice synthétique de ressources et de charges. Les critères qui composent cet indice et les pondérations retenues sont les mêmes que ceux précédemment évoqués pour les communes de 10 000 habitants et plus. Toutefois, les valeurs moyennes utilisées dans le calcul de l’indice sont celles constatées pour l’ensemble des communes de 5 000 à 9 999 habitants (voir annexe IV). Est éligible le premier dixième des communes de 5 000 à 9 999 habitants, classées par ordre décroissant de la valeur de leur indice synthétique, soit 113 communes en 2011. o II. – RÉPARTITION DE LA DSU 1. Détermination des crédits consacrés à la DSU L’article 178 de la loi de finances pour 2011 a fixé pour la présente année une évolution de la DSU s’élevant à 77 M€. La DSU pour 2011 s’établit donc à 1 310 738 650 €, soit + 6,24 % par rapport à l’exercice précédent. La somme effectivement mise en répartition au profit des communes de métropole s’élève à 1 241 892 569 €, soit + 6,22 %, après prélèvement de la quote-part réservée aux communes des départements et collectivités d’outre-mer. 2. Règles de répartition Les crédits consacrés à la DSU des communes de métropole sont répartis en deux enveloppes, l’une pour les communes dont la population est comprise entre 5 000 et 9 999 habitants, l’autre pour celles dont la population est supérieure ou égale à 10 000 habitants. a) Calcul des dotations individuelles des communes de 10 000 habitants et plus Les communes de 10 000 habitants et plus éligibles en 2011 à la DSU percevront une attribution au moins égale à celle de 2010. Les communes classées, en fonction de l’indice synthétique de ressources et de charges, dans la première moitié des communes de cette catégorie démographique, soit les 488 premières communes, bénéficieront quant à elles d’une dotation égale à celle de 2010 majorée de 1,5 %. De plus, les 250 premières communes de cette catégorie démographique bénéficieront en sus de leur attribution de droit commun d’une « DSU cible ». Celle-ci est répartie entre les deux catégories démographiques au prorata de leur population dans le total des communes bénéficiaires. Le montant de la « DSU cible » revenant à chaque commune est égal au produit de sa population DGF par la valeur de l’indice synthétique. Ce produit est pondéré par un coefficient variant uniformément de 2 à 1 dans l’ordre croissant du rang de classement de la commune. Enfin, pour les communes nouvellement éligibles à la DSU, les règles de répartition en vigueur l’an dernier demeurent inchangées. La dotation de ces communes est égale au produit de leur population par la valeur de l’indice synthétique, pondéré par l’effort fiscal dans la limite de 1,3 et par un coefficient multiplicateur propre à chaque commune. Ce coefficient évolue linéairement de 0,5 à 2 en fonction du rang de la commune dans le classement effectué en fonction de la valeur de son indice synthétique. Par ailleurs, la loi de programmation pour la cohésion sociale a introduit deux coefficients multiplicateurs, l’un proportionnel à la part de la population en zone urbaine sensible (ZUS) variant de 1 à 3, l’autre proportionnel à la part de la population en zone franche urbaine (ZFU) variant de 1 à 2. Les populations en ZUS et en ZFU de chaque commune, prises en compte pour la répartition de la DSU en 2010, ont fait l’objet d’une authentification par arrêté du 26 février 2009. Les formules de calcul de la DSU et de la « DSU cible » pour les communes de 10 000 habitants et plus sont détaillées respectivement en annexes III et V de la présente circulaire. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 4/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR b) Calcul des dotations individuelles des communes de 5 000 à 9 999 habitants Les communes éligibles à la DSU au titre de cette catégorie démographique percevront cette année un montant de dotation au moins égal à celui de 2010. Pour les communes nouvellement éligibles à la DSU en 2011, les règles de calcul des dotations sont identiques à celles appliquées pour les communes de 10 000 habitants et plus. Toutefois, les valeurs de référence sont celles des communes de 5 000 à 9 999 habitants. Enfin, les 30 premières communes de cette catégorie démographique, classées en fonction de l’indice synthétique de ressources et de charges, bénéficient elles aussi d’une « DSU cible » en plus de leur attribution individuelle de DSU. Les formules de calcul de la DSU et de la « DSU cible » sont détaillées respectivement en annexes IV et V. 3. Règles de garantie et d’écrêtement Les communes de 10 000 habitants et plus ou de 5 000 à 9 999 habitants qui perdent leur éligibilité à la DSU en 2011 bénéficient à titre de garantie de 50 % des montants perçus en 2010. Onze communes bénéficient de ce dispositif en 2011. Le mécanisme de garantie dégressive liée à la perte d’éligibilité d’une commune, consécutive au passage à TPU deux ans auparavant de l’EPCI dont elle est membre, continue de s’appliquer en 2011 (art. L. 2334‑18‑3, al. 3, CGCT). Une seule commune est concernée par ce dispositif. Enfin, il faut souligner que l’accroissement de l’attribution de droit commun (hors « DSU cible ») de chaque commune ne peut excéder 4 M€ par an. III. – NOTIFICATION ET VERSEMENT Le résultat de la répartition de la dotation de solidarité urbaine et de cohésion sociale est en ligne sur le site internet de la DGCL (http: //www.dgcl.interieur.gouv.fr) depuis le xx mars 2011. Toutefois, seule la notification officielle par vos soins de la dotation revenant à chaque commune éligible fait foi. Les fiches individuelles de notification des attributions de la dotation de solidarité urbaine des communes vous seront expédiées par l’intermédiaire de l’Intranet Colbert Départemental. Je vous invite donc, dès réception de cette circulaire, à télécharger les fiches de notification de la dotation de solidarité urbaine et de cohésion sociale des communes, qui prennent la forme de fichier PDF et à les faire imprimer par vos services. Il vous appartient de transmettre ces fiches le plus rapidement possible aux collectivités concernées, l’arrêté attributif pouvant intervenir ultérieurement. Je vous signale, en outre, qu’en vertu des dispositions de l’article R. 421‑5 du code de justice administrative, les voies et délais de recours doivent être expressément indiqués lors de la notification de chaque dotation aux collectivités bénéficiaires. Cette mention est donc inscrite sur chaque fiche individuelle de notification annexée à la présente circulaire. Je vous invite néanmoins, afin de prévenir tout contentieux, à indiquer à chaque collectivité bénéficiaire que, durant le délai de deux mois mentionné sur la fiche de notification, un recours gracieux peut être exercé auprès de vos services. Ce recours gracieux interrompt le délai du recours contentieux qui ne courra à nouveau qu’à compter de la réception de votre réponse. Je vous rappelle, à cet égard, qu’en application de l’article R. 421‑2 du code précité « le silence gardé pendant plus de deux mois sur une réclamation par l’autorité compétente vaut décision de rejet ». Vos arrêtés de versement à l’issue de la répartition initiale de la DSU viseront le compte, ouvert en 2011 dans les écritures du trésorier-payeur général, sous le numéro 465.1211‑1 « Fonds nationaux des collectivités territoriales – DGF – répartition initiale de l’année – année 2011 ». Comme l’année précédente, tous vos arrêtés de versement ou de reversement à l’occasion d’une rectification éventuelle de la DSU viseront dorénavant le compte unique no 465.1212 « Dotation globale de fonctionnement – opérations de régularisation », que les rectifications portent sur les dotations allouées au titre de l’exercice ou des années antérieures. Enfin, je vous rappelle que les collectivités doivent désormais être informées de la date à laquelle s’effectuera le versement de la dotation sur leur compte au Trésor public, dans la lettre leur notifiant leur attribution. La DSU est en effet concernée par les dispositions relatives aux dotations non mensualisées, pour lesquelles il vous appartient de fixer la date de versement, en accord avec les services de la direction départementale des finances publiques. Toute difficulté dans l’application de la présente circulaire devra être signalée à la direction générale des collectivités locales, sous-direction des finances locales et de l’action économique, bureau des concours financiers de l’État, Mlle Elen DERRIEN, tél. : 01 49 27 34 92, [email protected]. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général des collectivités territoriales, É. Jalon AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 4/95 – Page 3 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE I Calcul du potentiel fiscal et du potentiel financier 2011 La loi de finances pour 2010 prévoit dans son dispositif la suppression de la taxe professionnelle. Cette suppression n’est pas sans conséquences pour les dotations de l’État versées aux collectivités territoriales, dans la mesure où la taxe professionnelle est prise en compte dans le calcul du potentiel fiscal des collectivités afin de déterminer l’éligibilité à une dotation et le montant versé. Le nouvel article L. 2334‑4 du CGCT prévoit que, pour l’année 2011, le potentiel fiscal d’une commune est déterminé par application aux bases communales des quatre taxes directes locales du taux moyen national d’imposition de chacune de ces taxes. Pour la taxe foncière sur les propriétés bâties, la taxe foncière sur les propriétés non bâties et la taxe d’habitation, les bases retenues sont les bases brutes de la dernière année dont les résultats sont connus servant à l’assiette des impositions communales. Les taux moyens nationaux sont ceux constatés lors de la dernière année dont les résultats sont connus. Pour la taxe professionnelle, les bases et le taux moyen sont ceux utilisés pour le calcul du potentiel fiscal en 2010. Il est majoré de la part de la dotation forfaitaire de la commune correspondant à la compensation prévue au I du D de l’article 44 de la loi de finances pour 1999 (no 98‑1266 du 30 décembre 1998), et minoré, le cas échéant, des éventuels prélèvements fiscaux subis par la commune à la suite de la suppression des CCAS et de la banalisation de l’imposition de France Télécom. Le potentiel financier de la commune correspond à son potentiel fiscal majoré de la dotation forfaitaire (hors compensation « part salaires » et compensation des baisses de DCTP) perçue l’année précédente. 1. Calcul du potentiel fiscal quatre taxes des communes Bases brutes d’imposition 2010 Taxe d’habitation Taux moyen national × 0,1521 = (a) + Taxe foncière sur les propriétés bâties × 0,1967 = (b) + Taxe foncière sur les propriétés non bâties × Taxe professionnelle (bases brutes 2009) × 0,4594 = (c) + 0,1613 (taux 2009) = (d) + Part de la dotation forfaitaire correspondant à la compensation prévue au Ι du D de l’article 44 de la loi de finances pour 1999 (no 98‑1266 du 30 décembre 1998) (e) – Prélèvement sur la fiscalité (f) = Potentiel fiscal = total des lignes (a) + (b) + (c) + (d) + (e) – (f) (g) + Dotation forfaitaire 2010 hors part représentant l’ancienne « part salaires » (h) = Potentiel financier = (g) + (h) AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 4/95 – Page 4 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 2. Calcul du potentiel financier par habitant des communes Potentiel financier / Population DGF 2011 de la commune = Potentiel financier par habitant de la commune ANNEXE II Calcul de l’effort fiscal L’effort fiscal d’une commune est égal au rapport entre le produit de la taxe d’habitation, des deux taxes foncières, de la taxe ou redevance pour l’enlèvement des ordures ménagères, et le potentiel fiscal correspondant à ces trois taxes. Le produit et les bases de la taxe professionnelle ne sont pas pris en compte pour le calcul de l’effort fiscal. L’article L. 2334‑5 du code général des collectivités territoriales prévoit un mécanisme d’écrêtement du produit fiscal pris en compte pour le calcul de l’effort fiscal lorsque l’augmentation du taux moyen pondéré des trois taxes directes locales de la commune est supérieure à celle constatée pour les communes de même importance démographique. Le produit fiscal est alors calculé sur la base de cette augmentation moyenne. De manière symétrique est prévu un mécanisme destiné à ne pas pénaliser les communes qui baisseraient leur taux d’une année sur l’autre. Le taux pris en compte pour le calcul de la DGF est alors, non pas le dernier taux connu, mais celui de l’exercice précédent. Pour les communes membres d’un groupement de communes à fiscalité propre, l’effort fiscal est calculé en ajoutant au produit et au taux de chacune de leurs propres taxes communales ceux correspondant au groupement de communes. 1. Calcul de l’effort fiscal des communes Produit de la taxe d’habitation, de la taxe foncière sur les propriétés bâties, de la taxe foncière sur les propriétés non bâties, de la taxe ou redevance pour l’enlèvement des ordures ménagères majoré du produit des exonérations / Potentiel fiscal (trois taxes) = Effort fiscal de la commune 2. Modalités de l’écrêtement La loi a institué un mécanisme d’écrêtement du produit fiscal pris en compte pour le calcul de l’effort fiscal lorsque l’augmentation du taux moyen pondéré de la commune est supérieure à celle constatée pour les communes de même importance démographique. GROUPE DÉMOGRAPHIQUE T1 T2 0 à 499 habitants 0,156805 0,157922 500 à 999 habitants 0,157235 0,159096 1 000 à 1 999 habitants 0,159657 0,161643 2 000 à 3 499 habitants 0,164615 0,1669 3 500 à 4 999 habitants 0,170894 0,17326 5 000 à 7 499 habitants 0,1796 0,182643 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 4/95 – Page 5 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 7 500 à 9 999 habitants 0,186298 0,189599 10 000 à 14 999 habitants 0,195183 0,197432 15 000 à 19 999 habitants 0,198972 0,201329 20 000 à 34 999 habitants 0,204279 0,206875 35 000 à 49 999 habitants 0,2136 0,21634 50 000 à 74 999 habitants 0,200624 0,202987 75 000 à 99 999 habitants 0,176901 0,180101 100 000 à 199 999 habitants 0,224686 0,228664 200 000 habitants et plus 0,144038 0,149012 soit t1 le taux moyen pondéré de la commune en 2009 ; soit t2 le taux moyen pondéré de la commune en 2010 ; soit T1 le taux moyen pondéré de l’ensemble des communes de la strate en 2009 ; soit T2 le taux moyen pondéré de l’ensemble des communes de la strate en 2010 ; Si t2 – t1 est inférieur à T2 – T1, on conserve le produit fiscal de la commune ; Si t2 – t1 est supérieur à T2 – T1, le produit fiscal est écrêté dans les conditions suivantes : 1er cas Si t2 > t1, T2 – T1 > 0 et (t2 – t1) > (T2 – T1), le produit fiscal est ainsi écrêté : Base nette d’imposition à la taxe d’habitation de 2010 (a) + Base nette d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés bâties en 2010 (b) + Base nette d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés non bâties de 2010 (c) = Sous-total (a) + (b) + (c) (d) × {t1 + (T2 – T1)} = Produit fiscal écrêté 2e cas Si t2 > t1, t2 > T2 et T2 – T1 < 0, le produit fiscal est écrêté dans les conditions suivantes : Base nette d’imposition à la taxe d’habitation de 2010 (a) + Base nette d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés bâties en 2010 (b) + Base nette d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés non bâties de 2010 (c) AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 4/95 – Page 6 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR = Sous-total (a) + (b) + (c) si t2 + T2 – T1 > T2 alors (d) × t2 + (T2 – T1) ou si t2 + T2 – T1 < T2 alors (d) × T2 { (d) × × = Produit fiscal écrêté Dans les deux cas, il convient d’ajouter au produit fiscal écrêté le produit de la taxe ou redevance pour l’enlèvement des ordures ménagères ainsi que le produit des exonérations permanentes et temporaires retenues par l’article L. 2334‑6 du code général des collectivités territoriales. L’effort fiscal de la commune a été recalculé avec le produit fiscal écrêté. 3. Diminution du taux moyen pondéré des trois taxes locales Pour les communes dont le taux pondéré des trois taxes directes locales est en 2010 inférieur à celui de 2009, c’est ce dernier taux qui a été pris en compte pour le calcul du produit fiscal. ANNEXE III Fiche de calcul de la dotation de solidarité urbaine et de cohésion sociale allouée en aux communes de 10 000 2011 habitants et plus 1. Éligibilité des communes de 10 000 habitants et plus Rappel de la population DGF 2011 ............................................... Potentiel financier des communes de 10 000 habitants et plus (en €/hab.) ÷ potentiel financier de la commune (en €/hab.) = sous-total × pondération retenue pour le potentiel financier = part, dans l’indice, du potentiel financier 1 140,181983 ÷.......................................... ............................................... × 0,45 ........................................(a) Nombre de logements sociaux de la commune ÷ nombre de logements de la commune = part relative des logements sociaux de la commune ÷ part relative des logements sociaux dans les communes de 10 000 habitants et plus × pondération retenue pour les logements sociaux = part, dans l’indice, des logements sociaux ............................................... ÷.......................................... ............................................... ÷ 0,225244 × 0,15 ........................................(b) Nombre de personnes couvertes par les allocations logement de la commune ÷ nombre de logements de la commune = part relative des personnes couvertes par les allocations logement de la commune ÷ part relative des personnes couvertes par les allocations logement dans les communes de 10 000 et plus ............................................... ÷.......................................... ............................................... ÷ 0,526405 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 4/95 – Page 7 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR × pondération retenue pour les allocations logement = part, dans l’indice, des personnes couvertes par les allocations logement × 0,30 ........................................(c) Revenu moyen par habitant dans les communes de 10 000 habitants et plus (en €/hab.) ÷ revenu moyen par habitant de la commune (en €/hab.) × pondération retenue pour le revenu = part, dans l’indice, du revenu 13 655,687056 ÷.......................................... × 0,1 ........................................(d) Indice total des lignes (a) + (b) + (c) + (d) ........................................(e) Si (e) ≥ 0,89 636 alors la commune est éligible (avec (e) permettant à la commune d’appartenir aux trois premiers quarts du total des communes ≥ 10 000 habitants, classées dans l’ordre décroissant de l’indice synthétique). 2. Calcul de la DSU des communes de 10 000 habitants et plus a) Calcul de la dotation des communes éligibles en 2011 et déjà éligibles en 2010 Soit R le rang de la commune Si R ≤ 488, DSU 2011 = DSU 2010 × 1,015 Si 488 < R ≤ 731, DSU 2011 = DSU 2010 b) Calcul de la dotation des communes nouvellement éligibles à la DSU en 2011 – calcul du coefficient de majoration Rang de la commune ÷ nombre de communes de 10 000 habitants et plus = sous-total 1 ×2 = sous-total 2 (f) ............................................... ÷ 975 ............................................... × 2 ........................................ (f) 2 – sous-total 2 = coefficient multiplicateur 2 – ..................................... (f) ........................................(g) – calcul de la dotation Population DGF 2011 × indice de la commune (e) × effort fiscal dans la limite de 1,3 × valeur de point (en €) × coefficient de majoration (g) × coefficient ZUS (1) × coefficient ZFU (2) = DSU 2011 (en €) ............................................... × ..................................... (e) × ....................................... × 15,241363 × ..................................... (g) × ....................................... × ....................................... ............................................... (1) Coefficient ZUS = 1 + pop ZUS {2 × pop DGF} { } (2) Coefficient ZFU = 1 + pop ZFU pop DGF AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 4/95 – Page 8 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE IV Fiche de calcul de la dotation de solidarité urbaine et de cohésion sociale allouée en aux communes de 5 000 à 9 999 2011 habitants 1. Éligibilité des communes de 5 000 à 9 999 habitants Rappel de la population DGF 2011 ............................................... Potentiel financier des communes de 5 000 à 9 999 habitants (en €/hab.) ÷ potentiel financier de la commune (en €/hab.) = sous-total × pondération retenue pour le potentiel financier = part, dans l’indice, du potentiel financier 968,238278 ÷.......................................... ............................................... × 0,45 ........................................(a) Nombre de logements sociaux de la commune ÷ nombre de logements de la commune = part relative des logements sociaux de la commune ÷ part relative des logements sociaux dans les communes de 5 000 à 9 999 habitants × pondération retenue pour les logements sociaux = part, dans l’indice, des logements sociaux ............................................... ÷.......................................... ............................................... ÷ 0,141070 × 0,15 ........................................(b) Nombre de personnes couvertes par les allocations logement de la commune ÷ nombre de logements de la commune = part relative des personnes couvertes par les allocations logement de la commune ÷ part relative des personnes couvertes par les allocations logement dans les communes de 5 000 à 9 999 habitants × pondération retenue pour les allocations logement = part, dans l’indice, des personnes couvertes par les allocations logement ............................................... ÷.......................................... ............................................... ÷ 0,392886 Revenu moyen par habitant dans les communes de 5 000 à 9 999 habitants (en €/hab.) ÷ revenu moyen par habitant de la commune (en €/hab.) × pondération retenue pour le revenu = part, dans l’indice, du revenu 12 947,017157 ÷.......................................... × 0,1 ........................................(d) Indice total des lignes (a) + (b) + (c) + (d) ........................................(e) × 0,30 ........................................(c) Si (e) ≥ 1,481 625 alors la commune est éligible (avec (e) permettant à la commune d’appartenir au premier dixième du total des communes de 5 000 à 9 999 habitants, classées dans l’ordre décroissant de l’indice synthétique). 2. Calcul de la DSU des communes de 5 000 à 9 999 habitants a) Calcul de la dotation des communes éligibles en 2011 et déjà éligibles en 2010 Si commune éligible en 2011 et déjà éligible en 2010 : DSU 2011 = DSU 2010 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 4/95 – Page 9 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR b) Calcul de la dotation des communes nouvellement éligibles à la DSU en 2011 – calcul du coefficient de majoration Rang de la commune ÷ nombre de communes de 5 000 à 9 999 habitants = sous-total 1 × 15 = sous-total 2 (f) ............................................... ÷ 1 129 ............................................... × 15 ........................................ (f) 2 – sous-total 2 = coefficient multiplicateur 2 – ..................................... (f) ........................................(g) – calcul de la dotation Population DGF 2011 × indice de la commune (e) × effort fiscal dans la limite de 1,3 × valeur de point (en €) × coefficient de majoration (g) × coefficient ZUS (1) × coefficient ZFU (2) = DSU 2011 (en €) ............................................... × ..................................... (e) × ....................................... × 20,465766 × ..................................... (g) × ....................................... × ....................................... ............................................... (1) Coefficient ZUS = 1 + (2) Coefficient ZFU = 1 + pop ZUS { 2 × pop DGF } ZFU {poppopDGF } ANNEXE V Fiche de calcul de la progression de dotation de solidarité urbaine et de cohésion sociale, dite « DSU cible », allouée en 2011 1. Éligibilité des communes à la « DSU cible » a) Éligibilité des communes de 10 000 habitants et plus Si R ≤ 250, commune éligible à la « DSU cible ». b) Éligibilité des communes de 5 000 à 9 999 habitants Si R ≤ 30, commune éligible à la « DSU cible ». 2. Calcul des attributions de « DSU cible » a) Calcul de la « DSU cible » des communes de 10 000 habitants et plus – calcul du coefficient de majoration Rang de la commune ÷ 499 = sous-total 1 ............................................... ÷ 499 ............................................... AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 4/95 – Page 10 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ×2 = sous-total 2 (h) × 2 ........................................(h) 2 – sous-total 2 = coefficient multiplicateur 2 – .....................................(h) ........................................ (i) – calcul de l’attribution de la « DSU cible » Population DGF 2011 × indice de la commune (e) × valeur de point (en €) × coefficient de majoration (i) = « DSU cible » 2011 (en €) ............................................... × ..................................... (e) × 3,278102 × ..................................... (i) ............................................... b) Calcul de la « DSU cible » des communes de 5 000 à 9 999 habitants – calcul du coefficient de majoration Rang de la commune ............................................... ÷ 59 ÷ 59 = sous-total 1 ............................................... ×2 × 2 = sous-total 2 (j) ........................................ (j) 2 – sous-total 2 = coefficient multiplicateur 2 – ..................................... (j) ........................................(k) – calcul de l’attribution de la « DSU cible » Population DGF 2011 × indice de la commune (e) × valeur de point (en €) × coefficient de majoration (k) = « DSU cible » 2011 (en €) ............................................... × ..................................... (e) × 2,037431 × ..................................... (k) ............................................... ANNEXE VI Annexe technique retraçant les différences de champ des logements sociaux de l’enquête PLS et de l’inventaire SRU 1. Rappel des logements sociaux pris en compte pour la répartition des concours financiers de l’État (art. L. 2334‑17 du CGCT) S’agissant de l’exercice de référence, les logements sociaux prix en compte dans la répartition des concours financiers de l’État au titre d’un exercice sont ceux qui ont été recensés au 1er janvier de l’année précédente (R. 2334‑4 du CGCT). Dès lors, il existe un décalage de deux ans entre l’année de mise en service d’un programme sur le territoire d’une commune et sa prise en compte effective pour le calcul de la DGF. Conformément aux dispositions de l’article L. 2334‑17 du CGCT, sont retenus comme logements sociaux locatifs les logements appartenant aux organismes suivants : – offices publics HLM (recensement par les DRE via l’enquête PLS) : – offices publics d’aménagement et de construction (OPAC) ; AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 4/95 – Page 11 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR – offices publics de HLM (OPHLM) ; – sociétés anonymes (recensement par les DRE via l’enquête PLS) : – sociétés anonymes de HLM (SA HLM) ; – sociétés coopératives de production ou de location-attribution de HLM (SCP ou SCLA de HLM) ; – sociétés anonymes de crédit immobilier (SACI) ; – sociétés anonymes d’économie mixte immobilière (SEM ou SAEM). Au sein de cette catégorie, n’est retenu au sens de la DGF que le patrimoine des SEM locales. Dès lors, est exclu le patrimoine des SEM nationales, et en particulier ceux de la SNI et de l’ADOMA (ex-SONACOTRA). – les logements appartenant à divers organismes (logements recensés conjointement par la DGCL directement et les DRE via l’enquête PLS) : – entreprise minière et chimique (EMC) et sociétés à participation majoritaire de l’EMC ; – houillères de bassin (houillère du bassin du Centre et du Midi, houillère du bassin de Lorraine) et sociétés à participation majoritaire des houillères de bassin ; – sociétés à participation majoritaire des Charbonnages de France ; – établissement public de gestion immobilière du Nord - Pas-de-Calais ; – filiales de la société ICADE, elle-même filiale de la Caisse des dépôts et consignations (SA de HLM, SEM et SCI de la société ICADE) ; – sociétés mutualistes de HLM ; – fondations de HLM ; – logements de la Société nationale immobilière qui appartenaient au 1er janvier 2001 aux houillères du bassin de Lorraine et aux sociétés à participation majoritaire des houillères du bassin de Lorraine ; – logements de la Société nationale immobilière ou de ses filiales qui appartenaient au 1er janvier 2006 à la société ICADE et qui sont financés dans les conditions fixées par le dernier alinéa des articles L. 2335‑3, L. 5214‑23‑2, L. 5215‑35 et L. 5216‑8‑1 du CGCT ; – les logements locatifs appartenant à d’autres personnes morales et qui constituent, sur le territoire de la commune, des ensembles de 2 000 logements au moins et financés par des prêts spéciaux du Crédit foncier de France : cette disposition concerne des financements qui n’existent plus actuellement et ne s’applique en pratique qu’à une seule commune de l’Essonne (Saint-Michel-sur-Orge où est recensé un ensemble de 2 389 logements) ; – les logements étudiants construits par des organismes de HLM ou des SEM locales dans le cadre du plan Université 2000 ou des nouveaux programmes conventionnés sur des terrains propriétés de l’État mais loués aux organismes concernés par bail emphytéotique. Par ailleurs, sont à exclure de la définition des logements sociaux au sens de la DGF : – les logements-foyers de personnes âgées, de personnes handicapées, de jeunes travailleurs et de travailleurs migrants (ces logements ne sont pas pris en compte dans l’enquête PLS) : – il s’agit des logements répondant aux dispositions de l’article L. 351‑2 (5o) du code de la construction et de l’habitation, pour la perception de l’aide personnalisée au logement, et qui ne donnent lieu ni au versement d’un loyer ni à la conclusion d’un bail ; – les résidences universitaires dont la gestion est assurée par les centres régionaux des œuvres universitaires et scolaires (CROUS) (ces logements ne sont pas pris en compte dans l’enquête PLS). 2. Recensement des logements sociaux à travers l’enquête parc locatif social (PLS) 2.1. Caractéristiques de l’enquête PLS Contrairement à l’inventaire SRU, l’enquête PLS, déclarée d’intérêt général, est effectuée à titre statistique. Les organismes concernés ne sont donc pas ainsi obligés de répondre à l’enquête, alors qu’ils le sont pour l’inventaire SRU. Les données sont recensées chaque année au 31 décembre n – 1 par les directions régionales de l’équipement (DRE). Cette enquête couvre le parc des logements sociaux dont la gestion est assurée par les organismes HLM et assimilés. Cette enquête est donc a priori centrée sur les organismes gestionnaires (et non pas propriétaires) de logements sociaux, même si un retraitement des données permet d’extraire, pour les besoins de la DGCL, des fichiers par organismes propriétaires et non pas par organismes gestionnaires. Enfin, l’enquête PLS visant l’ensemble des organismes gestionnaires de logements sociaux, cette dernière concerne toutes les communes sans restrictions démographiques. 2.2. Patrimoine recensé dans l’enquête PLS Le patrimoine recensé au sein de cette enquête, et utilisé dans le cadre de la répartition des concours financiers de l’État conformément aux dispositions des articles L. 2334‑17 du code général des collectivités locales et L. 411‑2 du code de la construction et de l’habitation, figure en gras. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 4/95 – Page 12 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Sont recensés, aussi exhaustivement que possible, au sein de l’enquête PLS : – le patrimoine des offices publics HLM : – offices publics d’aménagement et de construction (OPAC) ; – offices publics de HLM (OPHLM) ; – le patrimoine des sociétés anonymes : – sociétés anonymes de HLM (SA HLM) ; – sociétés coopératives de production ou de location-attribution de HLM (SCP ou SCLA de HLM) ; – sociétés anonymes de crédit immobilier (SACI) ; – sociétés anonymes d’économie mixte immobilière (SEM ou SAEM) ; – le patrimoine de la société ICADE : – les logements appartenant à la société ICADE, filiale de la Caisse des dépôts et consignations, et à ses filiales (SA de HLM, SEM et SCI de la société ICADE). Sont recensés, dans la mesure du possible, au sein de l’enquête PLS : – le patrimoine de diverses associations, fondations et sociétés mutualistes : – associations de type PACT (protection, amélioration, conservation et transformation de l’habitat) ; – sociétés mutualistes de HLM ; – union d’économie sociale (UES) ; – fondations de HLM ; – le patrimoine des sociétés civiles immobilières (SCI) ayant bénéficié de financements aidés (principalement PLA) : – SCI sous égide SACI ; – société immobilière commerciale ; – société de gestion immobilière ; – le patrimoine des administrations publiques, lorsqu’il est géré par la SNI ou des organismes de HLM ou des SEM : – collectivités locales ; – établissements publics à caractère administratif ; – État ; – les logements appartenant à divers organismes : – les logements appartenant aux houillères de bassin (houillère du bassin du Centre et du Midi, houillère du bassin de Lorraine) et aux sociétés à participation majoritaire des houillères de bassin ; – sociétés à participation majoritaire des Charbonnages de France ; – établissement public de gestion immobilière du Nord - Pas-de-Calais. 3. Patrimoine recensé dans l’inventaire SRU N.B. : le conventionnement (aides spécifiques de l’État et/ou prêts aidés) de ces logements est soumis à des conditions de ressources pour les occupants, qui sont identiques à celles fixées pour l’octroi des aides personnalisées au logement. Sont recensés au sein de l’inventaire SRU : – les logements locatifs appartenant aux organismes de HLM : – logements locatifs sociaux appartenant aux organismes HLM définis à l’article L. 411‑2 du code de la construction et de l’habitation et construits avant le 5 janvier 1977 ; – logements locatifs sociaux appartenant aux organismes HLM définis à l’article L. 411‑2 du code de la construction et de l’habitation et construits ou acquis après le 5 janvier 1977 et conventionnés dans les conditions définies à l’article L. 351‑2 du code de la construction et de l’habitation ; – les autres logements conventionnés dans les conditions définies à l’article L. 351‑2 du code de la construction et de l’habitation : – au sens de l’article précité, il s’agit des logements dont la construction, l’acquisition ou l’amélioration a été financée au moyen d’aides spécifiques de l’État ou de prêts aidés (prêts locatifs aidés [PLA]) à l’exclusion des prêts locatifs intermédiaires (PLI) et de certains prêts conventionnés locatifs (PCL) sans plafond de ressources ; – logements appartenant à des personnes physiques améliorés avec le concours financier de l’ANAH, logements gérés par des bailleurs sociaux et ayant bénéficié d’une prime à l’amélioration (PALULOS), logements en accession à la propriété ; – les logements-foyers de personnes âgées, de personnes handicapées, de jeunes travailleurs et de travailleurs migrants, ainsi que les places des centres d’hébergement et de réinsertion sociale : – il s’agit des logements répondant aux dispositions de l’article L. 351‑2 (5o) du code de la construction et de l’habitation, et de l’article 185 du code de la famille et de l’aide sociale. Les logements d’urgence sont exclus. Dans les cas où sont répertoriés des lits, le taux de conversion applicable pour un logement social est trois lits ; AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 4/95 – Page 13 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR – les logements appartenant à divers organismes : – les logements appartenant aux houillères de bassin (houillères du bassin du Centre et du Midi, houillère du bassin de Lorraine) et aux sociétés à participation majoritaire des houillères de bassin ; – sociétés à participation majoritaire des Charbonnages de France ; – établissement public de gestion immobilière du Nord - Pas-de-Calais. 4. Différences du nombre de logements sociaux pouvant résulter des deux sources 4.1. Catégories de logements locatifs sociaux pris en compte dans l’enquête PLS qui ne le sont pas dans l’inventaire SRU Il s’agit des logements locatifs appartenant aux organismes de HLM, construits, acquis avec ou sans amélioration après le 5 janvier 1977 et qui ne sont pas conventionnés au 1er janvier de l’inventaire. En outre, l’enquête PLS couvre l’ensemble des communes alors que l’inventaire SRU n’est ciblé que sur les communes de plus de 3 500 habitants (1 500 habitants en Île-de-France) comprises dans une agglomération de plus de 50 000 habitants comprenant au moins une commune de plus de 15 000 habitants. 4.2. Catégories de logements locatifs sociaux pris en compte dans l’inventaire SRU qui ne le sont pas dans l’enquête PLS Les logements sociaux conventionnés (c’est-à-dire ayant bénéficié de prêts aidés et/ou d’aides spécifiques de l’État) et appartenant à des personnes privées ; ex. : logements améliorés avec le concours financier de l’ANAH. Les logements de type logements-foyers (à l’exclusion des logements d’urgence) donnant lieu à la perception d’une redevance, les places répertoriées dans les centres d’hébergement et de réinsertion sociale et les résidences sociales (un logement social pour trois lits répertoriés). AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 4/95 – Page 14 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ MINISTÈRE CHARGÉ DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES _____ Direction générale des collectivités locales _____ Sous-direction des finances locales et de l’action économique _____ Circulaire du 13 avril 2011 relative à la dotation globale de fonctionnement (DGF) des départements de métropole pour l’année 2011 NOR : COTB1109040C Résumé : la présente circulaire a pour objet de vous préciser les modalités de répartition de la dotation globale de fonctionnement (DGF) des départements de métropole pour 2011. La fiche de notification de l’attribution individuelle de votre département vous est adressée par l’intranet Colbert Départemental. Le ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, chargé des collectivités territoriales à Mesdames et Messieurs les préfets (métropole) ; secrétariat général. Depuis 2005, la DGF des départements comprend quatre composantes : – une dotation de compensation ; – une dotation forfaitaire ; – une dotation de péréquation urbaine (DPU) ; – une dotation de fonctionnement minimale (DFM). 1. La dotation de compensation La dotation de compensation, créée par la loi de finances pour 2004, correspond aux montants dus en 2003 au titre de l’ancien concours particulier compensant la suppression des contingents communaux d’aide sociale (CCAS) et de 95 % de la dotation générale de décentralisation (DGD) hors compensations fiscales. En 2011, la loi de finances a prévu que la dotation de compensation des départements en 2011 serait égale à celle perçue en 2010. Par ailleurs, la dotation de compensation pour 2011 du département de Saône-et-Loire a été minorée au titre des mesures de recentralisation sanitaire adoptées en 2011 dans ce département (pour un montant total de 940 146 €). Au total, la dotation de compensation des départements atteint donc en 2011 un montant de 2 835 763 331 €. 2. La dotation forfaitaire La dotation forfaitaire des départements comprend deux composantes depuis 2005 : – une dotation de base correspondant à 74,02 € par habitant en 2011 ; – un complément de garantie. 2.1. La dotation de base La loi de finances pour 2011 fixe le montant de la dotation de base à 74,02 € par habitant. Le montant de dotation de base par habitant perçu par chaque département est celui utilisé pour la répartition de l’année précédente. Compte tenu de l’augmentation de la population départementale, l’évolution moyenne de la dotation de base atteint ainsi + 0,56 %. 2.2. Le complément de garantie Pour 2011, la loi de finances prévoit que le complément de garantie des départements est égal à celui perçu en 2010. Ainsi, en tenant compte des accroissements annuels de population, la dotation forfaitaire atteint 8 034 924 235 € en 2011 pour évoluer en moyenne de + 0,33 % par rapport à 2010. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 5/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 3. La péréquation départementale : DPU et DFM 3.1. Les masses mises en répartition L’augmentation annuelle du solde de la dotation globale de fonctionnement des départements disponible après prélèvement de la dotation de compensation et de la dotation forfaitaire est répartie librement par le comité des finances locales entre la dotation de péréquation urbaine (DPU) et la dotation de fonctionnement minimale (DFM). Pour 2011, le comité des finances locales a choisi d’affecter 35 % de cet accroissement à la DPU, et 65 % de cette augmentation à la DFM. Il est à noter que la loi de finances pour 2009 a introduit une garantie de non-baisse individuelle des quotes-parts de DFM et de DPU versées à chaque département ou collectivité d’outre-mer. Ce dispositif, actionné en 2010, l’est également cette année. En effet, la collectivité de Saint-Pierre-et-Miquelon bénéficie d’une garantie de non-baisse de sa quote-part de DFM et de DPU, tandis que la Guadeloupe, la Martinique et Mayotte bénéficient d’une garantie de non-baisse de leur quote-part de DPU. Par ailleurs, l’article 113 de la loi de finances pour 2008 a introduit un mécanisme d’accompagnement des changements éventuels de catégorie de départements (passage de la catégorie des départements ruraux à celle des départements urbains, et inversement). Ce dispositif est actionné cette année du fait du passage du département de l’Oise de la catégorie des départements urbains à celle des départements ruraux. À ce titre, le montant de DPU touché par ce département en 2010 (11 900 746 €) a été soustrait de la masse à répartir en 2011 au titre de la DPU des départements de métropole pour être ajouté à la masse à répartir en 2011 au titre de la DFM des départements de métropole. Au total, les masses réparties en métropole au titre de la péréquation en 2011 sont égales à : Avant le changement de catégorie de l’Oise : 569 796 417 € au titre de la DPU. 813 149 934 € au titre de la DFM. Après le changement de catégorie de l’Oise : 557 895 673 € au titre de la DPU. 825 050 679 € au titre de la DFM. 3.2. Les règles de répartition de la DFM et de la DPU des départements de métropole Sont considérés comme départements urbains (et donc susceptibles de bénéficier de la DPU) les départements dont la densité de population est supérieure à 100 habitants au kilomètre carré et dont le taux d’urbanisation (nombre de communes comprises dans une unité urbaine au sens de l’INSEE) est supérieur à 65 %, ces deux conditions étant cumulatives. En 2011, 31 départements remplissent ces conditions. Sont considérés comme « non urbains », et donc potentiellement éligibles à la DFM, les départements ne répondant pas à ces deux conditions. En 2011, 65 départements remplissent ces conditions. a) Depuis 2009, la dotation de péréquation urbaine est versée aux départements urbains dont le potentiel financier par habitant est inférieur ou égal à 1,5 fois le potentiel financier par habitant moyen de l’ensemble des départements « urbains » (contre 2 fois le potentiel financier par habitant moyen des départements urbains jusqu’alors). Elle est répartie en fonction du potentiel financier par habitant, du revenu par habitant, de la proportion de bénéficiaires d’aides personnalisées au logement et de la proportion de bénéficiaires du RSA. Enfin, les départements perdant leur éligibilité à la DPU bénéficient d’une garantie de sortie égale, la première année, à deux tiers de la DPU perçue la dernière année d’éligibilité, et la deuxième année, à un tiers de ce même montant. En 2011, aucun département ne bénéficie de cette garantie de sortie, les départements de Paris et des Hauts-de-Seine n’étant plus éligibles à la DPU depuis 2008. b) La dotation de fonctionnement minimale est versée aux départements « non urbains » dont le potentiel financier par habitant est inférieur ou égal au double du potentiel financier par habitant moyen de l’ensemble des départements « non urbains ». Elle est répartie en fonction de la longueur de voirie, du potentiel financier par habitant et du potentiel financier superficiaire. Les départements éligibles à la DFM bénéficient cette année, comme en 2010, d’une garantie de non-baisse par rapport à la dotation perçue en 2010. En 2011, cette garantie bénéficie à 9 départements (1) (contre 58 en 2010). * * * Les montants de la DGF des départements sont mis en ligne sur le site Internet de la DGCL (www.dgcl.interieur.gouv.fr) depuis le 29 mars 2011. Toutefois, seule la notification assurée par vos soins fait foi. (1) Cantal, Corse-du-Sud, Haute-Corse, Creuse, Gers, Lot, Lozère, Meuse, Haute-Saône. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 5/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Dès réception de cette circulaire, vous voudrez bien procéder à la notification de la DGF en informant le conseil général des dispositions concernant les modalités et les délais de recours, rappelés dans la fiche de notification. Le versement de l’ensemble de la DGF des départements s’effectuera par douzièmes mensuels, conformément à la circulaire NOR : MCTB0600079C du 21 novembre 2006. Vos arrêtés de versement viseront le compte no 465.1211 1 « Fonds des collectivités locales – Dotation globale de fonctionnement – Répartition initiale de l’année – Année 2011 » ouvert en 2011 dans les écritures du trésorier-payeur général. L’inscription des différentes dotations composant la DGF des départements est à effectuer dans le budget du département aux comptes suivants : 7411 Dotation forfaitaire. 74121 Dotation de fonctionnement minimale. 74122 Dotation de péréquation urbaine. 74123 Dotation de compensation. Toute difficulté dans l’application de la présente circulaire devra être signalée à la direction générale des collectivités locales, sous-direction des finances locales et de l’action économique, bureau des concours financiers de l’État, Mme Alicia SAOUDI, tél. : 01 40 07 26 79, fax : 01 40 07 68 30 ; mél : [email protected]. Fait le 13 avril 2011. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général des collectivités locales, É. Jalon AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 5/95 – Page 3 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE I. – Masses de la DGF des départements pour 2011 Les choix opérés par le comité des finances locales du 8 février 2011 Masses de la DGF des départements pour 2011 ANNEXE II. – Fiches de calcul 1. La population DGF départementale 2011 (art. L. 3334‑2 du CGCT) 2. Potentiel financier de référence du département Potentiel financier quatre taxes 2011 Potentiel financier par habitant 2011 Potentiel financier superficiaire 2011 3. La dotation de compensation (art. L. 3334‑7‑1 du CGCT) 4. La dotation forfaitaire (art. L. 3334‑3 du CGCT) 5. Les dotations de péréquation (art. L. 3334‑6‑1 et L. 3334‑7 du CGCT) La dotation de péréquation urbaine (art. L. 3334‑6‑1 du CGCT) La dotation de fonctionnement minimale (art. L. 3334‑7 du CGCT) AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 5/95 – Page 4 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE I Masses de la DGF des départements pour 2011 Les choix opérés par le comité des finances locales du 8 février 2011 La DGF des départements mise en répartition en 2011, avant mesures de périmètre, est de 12 254 574 063 €, en progression de 0,54 % par rapport à 2010. Elle atteint après mesures de périmètre 12 253 633 918 € (soit + 0,54 %). Masses de la DGF des départements pour 2011 MASSE À RÉPARTIR TAUX DE PROGRESSION 2010-2011 DGF des départements (hors mesures de périmètre) 12 254 574 063 € + 0,54 % DGF des départements (après mesures de périmètre) 12 253 633 918 € + 0,59 % 2 835 763 331 € + 0,03 % Dotation de compensation Dont mesures de recentralisation sanitaire 2011 – 940 146 € Dotation forfaitaire 8 034 924 235 € + 0,33 % Dotation de base 4 812 093 181 € + 0,56 % Dont recensement 26 619 492 € Complément de garantie Dotation forfaitaire de Paris Dotation de péréquation 3 204 831 756 € +0% 17 999 298 € +0% 1 382 946 352 € + 3,01 % Dotation de péréquation urbaine (DPU) 557 895 673 € + 0,40 % Dotation de fonctionnement minimale (DFM) 825 050 679 € + 4,85 % ANNEXE II Fiches de calcul 1. La population DGF départementale 2011 (art. L. 3334‑2 du CGCT) La population départementale prise en compte pour la répartition des dotations de l’État est la population municipale publiée par l’INSEE majorée d’un habitant par résidence secondaire. La population DGF 2011 des départements est calculée de la manière suivante : Pop DGF 2011 départementale = Pop municipale 2011 départementale + Σ dépt des RS communales Avec : Σ dépt RS communales = total des résidences secondaires de l’ensemble des communes du département. 2. Potentiel financier de référence du département Le potentiel financier (art. L. 3334‑6 du CGCT) correspond au potentiel fiscal majoré de la dotation forfaitaire (hors part correspondant à l’ancienne part salaires) et de la dotation de compensation notifiée l’année précédente. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 5/95 – Page 5 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Le potentiel fiscal correspond à la somme des éléments suivants : – le produit des bases brutes des quatre taxes d’imposition locales par le taux moyen national de chacune de ces taxes ; – les montants correspondant à l’ancienne compensation « part salaires », intégrée depuis 2004 dans la dotation forfaitaire ; – depuis 2005, la moyenne des produits des droits de mutation à titre onéreux sur 5 ans (soit 2006‑2010 pour le potentiel fiscal 2011). Ces droits correspondent aux droits d’enregistrement et à la taxe départementale de publicité foncière visés aux paragraphes 1 et 2 de l’article 1594 A du code général des impôts et sont, par conséquent, différents de ceux inscrits dans le compte administratif de chaque département. NOUVEAU : la loi de finances pour 2011 a modifié les modalités de calcul du potentiel fiscal des départements en raison de la suppression de la taxe professionnelle : pour l’année 2011, les bases et le taux moyen de taxe professionnelle retenus sont ceux utilisés pour le calcul du potentiel fiscal 2010. Potentiel fiscal quatre taxes 2011 × Bases brutes d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés bâties de 2010 = + × Bases brutes d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés non bâties de 2010 25,48 % = Taux moyen national 2010 + × Bases brutes d’imposition à la taxe d’habitation de 2010 7,54 % = Taux moyen national 2010 + × Bases brutes d’imposition à la taxe professionnelle de 2009 10,14 % Taux moyen national 2010 8,96 % = Taux moyen national 2009 + = Moyenne sur cinq ans du produit perçu au titre des droits de mutation à titre onéreux (2006 à 2010) + = Part de la dotation forfaitaire 2010 correspondant à l’ancienne « part salaires » = Potentiel fiscal quatre taxes 2011 du département = AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 5/95 – Page 6 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Potentiel financier quatre taxes 2011 = Potentiel fiscal quatre taxes 2011 du département + = Dotation de compensation notifiée 2010 + = Dotation forfaitaire notifiée 2010 (hors part correspondant à l’ancienne « part salaires ») = Potentiel financier quatre taxes 2011 du département = Potentiel financier par habitant 2011 / = Potentiel financier quatre taxes 2011 Population DGF 2011 Potentiel financier par habitant 2011 Potentiel financier superficiaire 2011 / Potentiel financier quatre taxes 2011 = Superficie du département (en mètres carrés) Potentiel financier superficiaire 2011 3. La dotation de compensation (art. L. 3334‑7‑1 du CGCT) La dotation de compensation, introduite par la loi de finances pour 2004, évolue à compter de 2009 au plus comme la DGF mise en répartition. En 2011, la loi de finances a prévu que la dotation de compensation des départements en 2011 serait égale à celle perçue en 2010 hors mesures de recentralisation sanitaire. Par ailleurs, la dotation de compensation pour 2011 du département de Saône-et-Loire a été minorée au titre des mesures de recentralisation sanitaire adoptées en 2010 dans ce département. Dotation de compensation des départements 2011 Dotation de compensation notifiée 2011 = Dotation de compensation 2010 – Mesure de recentralisation sanitaire = Dotation de compensation 2011 notifiée AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 5/95 – Page 7 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 4. La dotation forfaitaire (art. L. 3334‑3 du CGCT) La loi de finances pour 2011 fixe le montant de la dotation de base à 74,02 € par habitant. Le montant de dotation de base par habitant perçu par chaque département est celui utilisé pour la répartition de l’année précédente. × (74,021 78 734 985 99 €) = Population DGF 2011 Dotation de base 2011 = Complément de garantie 2010 Complément de garantie 2011 = Dotation de base 2011 + = Complément de garantie 2011 = Dotation forfaitaire notifiée 2011 En 2011, la dotation forfaitaire du département de Paris est égale à celle perçue en 2010. = Dotation forfaitaire de Paris notifiée 2010 Dotation forfaitaire 2011 de Paris 5. Les dotations de péréquation (art. L. 3334‑6‑1 et L. 3334‑7 du CGCT) La loi de finances pour 2005 a classé les départements en deux catégories afin de déterminer à quelle part de la dotation de péréquation est potentiellement éligible le département : la dotation de péréquation urbaine (DPU) ou la dotation de fonctionnement minimale (DFM). Ainsi, sont considérés comme « urbains » les départements remplissant les deux conditions suivantes : – densité de population supérieure à 100 habitants par kilomètre carré ; – taux d’urbanisation supérieur à 65 %. 5.1. La dotation de péréquation urbaine (art. L. 3334‑6‑1 du CGCT) Depuis 2009, sont éligibles à la DPU, les départements urbains dont le potentiel financier par habitant est inférieur à 1,5 fois le potentiel financier par habitant moyen de l’ensemble des départements urbains. Les départements qui cessent d’être éligibles à la DPU bénéficient d’une garantie de sortie sur deux ans, calculée en prenant en compte le montant perçu lors de leur dernière année d’éligibilité au titre de la dotation de péréquation. Cette garantie de sortie leur assure : – deux tiers de leur dernière DPU la première année où ils perdent l’éligibilité à la DPU ; – un tiers de leur dernière DPU la seconde année d’inéligibilité. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 5/95 – Page 8 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR En 2011, deux départements ne perçoivent plus de garantie de sortie : Paris et les Hauts-de-Seine. Le comité des finances locales a fixé à 557 895 673 € le montant de la dotation de péréquation urbaine des départements. Après prélèvement de la quote-part en faveur des départements et collectivités d’outre-mer (y compris les garanties de non-baisse individuelles touchées par les départements de la Guadeloupe, de la Martinique, et collectivités d’outre-mer à l’exception de Saint-Martin), 517 442 480 € ont été répartis en métropole au titre de la DPU en 2011. La répartition de la DPU s’effectue en fonction d’un indice synthétique calculé comme suit : Potentiel financier de l’ensemble des départements urbains ..................................................................................................................................... 688,300 772 ÷ potentiel financier du département ................................................................................................................................................................................. ÷ ................................................ Sous-total ..................................................................................................................................................................................................................................... .................................................... × pondération retenue pour le potentiel financier .......................................................................................................................................................... × = part, dans l’indice, du potentiel financier ..................................................................................................................................................................... ............................................. (a) Nombre de personnes couvertes par les allocations logement du département ................................................................................................ .................................................... ÷ nombre de logements du département .......................................................................................................................................................................... ÷ ................................................ = part relative des personnes couvertes par les allocations logement du département ................................................................................... .................................................... ÷ part relative des personnes couvertes par les allocations logement dans l’ensemble des départements urbains .............................. 0,398 035 0,50 × pondération retenue pour les allocations logement ................................................................................................................................................... × = part, dans l’indice, des personnes couvertes par les allocations logement ..................................................................................................... ............................................. (b) 0,25 Nombre de bénéficiaires du RSA par habitant du département ................................................................................................................................ .................................................... ÷ Nombre de bénéficiaires du RSA par habitant de l’ensemble des départements urbains ........................................................................... 0,022 928 × pondération retenue pour le RSA...................................................................................................................................................................................... × = part, dans l’indice, du nombre de bénéficiaires du RSA ......................................................................................................................................... ............................................. (c) Revenu moyen par habitant de l’ensemble des départements urbains ................................................................................................................... 13 624,617 676 ÷ revenu moyen par habitant du département ................................................................................................................................................................ .................................................... × pondération retenue pour le revenu ................................................................................................................................................................................ × = part, dans l’indice, du revenu ............................................................................................................................................................................................ ............................................. (d) Indice synthétique = (a) + (b) + (c) + (d) ................................................................................................................................................................................. 0,10 0,15 ............................................. (e) La DPU est répartie comme suit : DPU = POP DGF × IS × VP1 Avec : POP DGF IS VP1 = = = Population DGF 2011. Indice synthétique du département. Valeur de point 2011, soit 14,265 761 821 683 €. 5.2. La dotation de fonctionnement minimale (art. L. 3334‑7 du CGCT) La dotation de fonctionnement minimale (DFM) bénéficie aux départements « non urbains » dont le potentiel financier par habitant est inférieur au double du potentiel financier par habitant moyen des départements « non urbains ». Les départements qui cessent d’être éligibles à la DFM bénéficient d’une garantie sur deux années, calculée en prenant en compte le montant perçu lors de leur dernière année d’éligibilité au titre de la DFM. Cette garantie de sortie leur assure : – deux tiers de leur dernière DFM la première année où ils perdent l’éligibilité à la DFM ; – un tiers de leur dernière DFM la seconde année d’inéligibilité. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 5/95 – Page 9 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR La loi de finances pour 2008 empêche toutefois le cumul de cette garantie de sortie avec le versement d’une nouvelle attribution. Aucun département n’est concerné par ce dispositif en 2011. Le comité des finances locales a fixé à 825 050 679 € le montant de la dotation de fonctionnement minimale des départements. Après prélèvement de la quote-part en faveur des départements et collectivités d’outre-mer (y compris la garantie de non-baisse individuelle touchée par les départements de la Guadeloupe, de la Martinique et des collectivités de Saint-Pierre-et-Miquelon et de Mayotte), 767 745 253 € ont été répartis en métropole au titre de la DFM. a) Montant avant redistribution du produit de l’écrêtement : La DFM est répartie comme suit : 1. Pour 40 % de son montant, la dotation est calculée selon la formule suivante : Fraction PFi = POP DGF 2011 × Avec : POP DGF 2011 PFi Pfi VP1 {( ) } 2– pfi PFi × VP1 = Population DGF 2011 du département. = Potentiel financier par habitant moyen des départements « non urbains », soit 556,113 905 € en 2011. = Potentiel financier par habitant du département 2011. = Valeur de point, soit 11,058 544 39 € en 2011. 2. Pour 30 % de son montant, la dotation est calculée selon la formule suivante : Fraction LV = (LVHM + (1,3 × LVM)) × VP2 Avec : LV LVHM LVM VP2 = = = = Longueur de la voirie départementale. Longueur de voirie hors montagne départementale. Longueur de voirie de montagne départementale. Valeur de point, 0,771 140 4 €. 3. Pour 30 % de son montant, la dotation est calculée selon la formule suivante : Fraction PfiS = PFiS Pfis Avec : PFiS Pfis VP3 × VP3 = Potentiel financier superficiaire moyen des départements « non urbains », soit 0,037 231 € en 2011. = Potentiel financier superficiaire du département. = Valeur de point, soit 2 784 143,170 988 11 € en 2011. La DFM est ainsi égale à : DFM avant redistribution = + + + Fraction potentiel financier Fraction LV Fraction potentiel financier superficiaire Garantie de non-baisse (1) (1) En 2011, les départements du Cantal, de Corse-du-Sud, de Haute-Corse, de la Creuse, du Gers, du Lot, de la Lozère, de la Meuse, de la HauteSaône bénéficient d’une garantie de non-baisse. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 5/95 – Page 10 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Avec : Garantie de non-baisse = montant attribué aux départements ruraux dont la DFM 2011 calculée sur la base des trois fractions est inférieure au montant de leur dotation notifiée en 2010. Le montant de cette garantie : – est égal à la différence constatée entre la somme des trois fractions 2011 et le montant notifié en 2010 ; – vient en déduction de la masse à répartir pour les autres départements. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 5/95 – Page 11 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ MINISTÈRE CHARGÉ DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES _____ Direction générale des collectivités locales _____ Sous-direction des finances locales et de l’action économique _____ Circulaire du 14 avril 2011 relative à la dotation globale de fonctionnement (DGF) des départements et des collectivités d’outre-mer pour l’année 2011 NOR : COTB1109046C Résumé : La présente circulaire a pour objet de vous préciser les modalités de répartition de la dotation globale de fonctionnement (DGF) des départements d’outre-mer et des collectivités de Mayotte, de Saint-Pierre-et-Miquelon et de Saint-Martin pour l’année 2011. La fiche de notification de l’attribution individuelle des départements d’outre-mer et de la collectivité de Saint-Martin vous est adressée par l’intranet Colbert Départemental. La fiche de notification de l’attribution individuelle des collectivités de Saint-Pierre-et-Miquelon et de Mayotte vous est adressée par mél. Le ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, chargé des collectivités territoriales à Messieurs les préfets des régions, préfets des départements d’outremer ; Monsieur le préfet de la Guadeloupe, représentant de l’État dans la collectivité de Saint-Martin ; Monsieur le préfet du département de Mayotte ; Monsieur le préfet de la collectivité territoriale de SaintPierre-et-Miquelon ; secrétariat général. Depuis 2005, la DGF des départements comprend quatre composantes, auxquelles sont éligibles les départements d’outremer et les collectivités de Saint-Pierre-et-Miquelon, de Mayotte et de Saint-Martin : – une dotation de compensation ; – une dotation forfaitaire ; – une dotation de péréquation urbaine (DPU) ; – une dotation de fonctionnement minimale (DFM). Il est à noter que l’article 104 de la loi de finances rectificative pour 2007, qui avait rendu la collectivité de SaintBarthélemy éligible à la DGF des départements pour 2008, a prévu sa non-éligibilité, à partir de 2009, à la DGF des départements. À ce titre, aucune DGF n’a été calculée pour cette collectivité en 2011. 1. La dotation de compensation La dotation de compensation, créée par la loi de finances pour 2004, correspond aux montants dus en 2003 au titre de l’ancien concours particulier compensant la suppression des contingents communaux d’aide sociale (CCAS) et de 95 % de la dotation générale de décentralisation (DGD) hors compensations fiscales. En 2011, la loi de finances a prévu que la dotation de compensation des départements en 2011 serait égale à celle perçue en 2010. Par ailleurs, la dotation de compensation pour 2011 du département de Saône-et-Loire a été minorée au titre des mesures de recentralisation sanitaire adoptées en 2011 dans ce département (pour un montant total de 940 146 €). Au total, la dotation de compensation des départements atteint en 2011 un montant de 2 835 763 331 €. 2. La dotation forfaitaire La dotation forfaitaire des départements comprend deux composantes : – une dotation de base correspondant à 74,02 € par habitant en 2011 ; – un complément de garantie. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 6/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR a) La dotation de base La loi de finances pour 2011 fixe le montant de la dotation de base à 74,02 € par habitant. Le montant de dotation de base par habitant perçu par chaque département est celui utilisé pour la répartition de l’année précédente. Compte tenu de l’augmentation de la population départementale, l’évolution moyenne de la dotation de base atteint ainsi + 0,56 %. b) Le complément de garantie Pour 2011, la loi de finances prévoit que le complément de garantie des départements est égal à celui perçu en 2010. Ainsi, en tenant compte des accroissements annuels de la population, la dotation forfaitaire atteint 8 034 924 235 € en 2011 pour évoluer en moyenne de + 0,33 % par rapport à 2010. 3. La péréquation départementale : la DPU et la DFM L’augmentation annuelle du solde de la dotation globale de fonctionnement des départements disponible après prélèvement de la dotation de compensation et de la dotation forfaitaire est répartie librement par le comité des finances locales entre la dotation de péréquation urbaine (DPU) et la dotation de fonctionnement minimale (DFM). Pour 2011, le comité des finances locales a choisi d’affecter 35 % de cet accroissement à la DPU et 65 % de cette augmentation à la DFM. Ces choix font progresser la DPU de 0,40 % et la DFM de 4,85 % par rapport à 2010. Les départements d’outre-mer, ainsi que les collectivités territoriales de Saint-Pierre-et-Miquelon, Mayotte et de SaintMartin bénéficient d’une quote-part de ces deux dotations, conformément aux dispositions des articles L. 3334‑4, L. 3443‑1 et R. 3443‑1 du code général des collectivités territoriales. Ces quotes-parts sont prélevées par application à la DPU et à la DFM d’un ratio égal au double du rapport, majoré de 10 %, entre la population municipale des départements et collectivités d’outre-mer éligibles à la DGF des départements et cette même population majorée de la population municipale des départements de métropole. En 2011, ce ratio de population est égal à 7,04 707 591 295 758 %. Par application de ce ratio : – le montant de la quote-part outre-mer de la DPU s’élève à 40 453 193 € ; – le montant de la quote-part outre-mer de la DFM s’élève à 57 305 426 €. 1o La quote-part de la dotation de péréquation urbaine est répartie de la façon suivante : Pour les collectivités d’outre-mer (Saint-Pierre-et-Miquelon et Saint-Martin) et le département de Mayotte : il est appliqué au montant total de DPU le double du rapport, majoré de 10 %, entre la population municipale de chaque collectivité et la population municipale de l’ensemble des départements et collectivités de métropole et d’outre-mer éligibles à la DGF des départements. Pour les autres départements d’outre-mer : la quote-part de DPU restante après répartition entre les collectivités d’outremer et le département de Mayotte est répartie au prorata de leur population municipale. 2o La quote-part de la dotation de fonctionnement minimale est répartie de la façon suivante : Pour les collectivités d’outre-mer (Saint-Pierre-et-Miquelon et Saint-Martin) et le département de Mayotte : il est appliqué au montant total de DFM le double du rapport, majoré de 10 %, entre la population municipale de chaque collectivité d’outre-mer et la population municipale de l’ensemble des départements et collectivités de métropole et d’outre-mer éligibles à la DGF des départements. Pour les autres départements d’outre-mer : la quote-part de DFM restante après répartition entre les collectivités d’outremer et le département de Mayotte est répartie entre les départements d’outre-mer reconnus éligibles à la DFM (selon les mêmes règles d’éligibilité que les départements ruraux de métropole) en fonction de leur longueur de voirie, de leur population DGF et de leur potentiel financier. 3o Garantie de non-baisse des quotes-parts individuelles de DFM et de DPU des collectivités et départements d’outre-mer Il est à noter que l’article 175 de la loi de finances pour 2009 a introduit une garantie de non-baisse individuelle des quotes-parts de DFM et de DPU versées à chaque département ou collectivité d’outre-mer. Les sommes nécessaires à l’application de cette disposition sont prélevées directement sur le solde disponible, selon les cas, pour la DFM ou pour la DPU des départements de métropole. Ce dispositif est actionné cette année. En effet, la collectivité de Saint-Pierre-et-Miquelon bénéficie d’une garantie de non-baisse de sa quote-part de DFM et de DPU, tandis que la Guadeloupe, la Martinique et Mayotte bénéficient d’une garantie de non-baisse de leur quote-part de DPU. À ce titre, le solde disponible à la DFM des départements de métropole est diminué de 2 133 €, et le solde disponible à la DPU des départements de métropole est diminué de 299 207 €. * * * Les montants de la DGF des départements sont mis en ligne sur le site internet de la DGCL (www.dgcl.interieur.gouv.fr) depuis le 29 mars 2011. Toutefois, seule la notification assurée par vos soins fait foi. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 6/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Dès réception de cette circulaire, vous voudrez bien procéder à la notification de la DGF en informant le conseil général ou territorial des dispositions concernant les modalités et les délais de recours, rappelés dans la fiche de notification. Le versement de l’ensemble de la DGF des départements s’effectuera par douzièmes mensuels, conformément à la circulaire no NOR MCT B0600079C du 21 novembre 2006. Vos arrêtés de versement viseront le compte no 465.1211 1 « Fonds des collectivités locales – Dotation globale de fonctionnement – Répartition initiale de l’année – Année 2011 » ouvert en 2011 dans les écritures du trésorier-payeur général. L’inscription des différentes dotations composant la DGF des départements est à effectuer dans le budget du département aux comptes suivants : 7411 Dotation forfaitaire ; 74121 Dotation de fonctionnement minimale ; 74122 Dotation de péréquation urbaine ; 74123 Dotation de compensation. Toute difficulté dans l’application de la présente circulaire devra être signalée à la direction générale des collectivités locales, sous-direction des finances locales et de l’action économique, bureau des concours financiers de l’État, Mme Alicia SAOUDI, tél. : 01 40 07 26 79, fax : 01 40 07 68 30, mél. : [email protected]. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général des collectivités locales, É. Jalon AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 6/95 – Page 3 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Annexe I. – Masses de la DGF des départements pour 2011 Les choix opérés par le comité des finances locales du 8 février 2011 Masses de la DGF des départements et collectivités d’outre-mer pour 2011 Annexe II. – Fiches de calcul 1. La population DGF départementale 2011 (art. L. 3334‑2 du CGCT) 2. Potentiels financiers de référence des départements d’outre-mer Potentiel fiscal quatre taxes 2011 Potentiel financier quatre taxes 2011 Potentiel financier par habitant 2011 Potentiel financier superficiaire 2011 3. La dotation de compensation (art. L. 3334‑7‑1 du CGCT) 4. La dotation forfaitaire 5. La dotation de péréquation urbaine 6. La dotation de fonctionnement minimale AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 6/95 – Page 4 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE I Masses de la DGF des départements pour 2011 Les choix opérés par le comité des finances locales du 8 février 2011 La DGF des départements mise en répartition en 2011, avant mesures de périmètre, est de 12 254 574 063 €, en progression de 0,54 % par rapport à 2010. Elle atteint après mesures de périmètre 12 253 633 918 € (soit + 0,54 %). Masses de la DGF des départements et collectivités d’outre-mer pour 2011 MASSE À RÉPARTIR TAUX DE PROGRESSION 2010-2011 DGF des départements pour l’outre-mer 772 785 143 € + 0,60 % Dotation de compensation 443 579 640 € +0% Dotation forfaitaire 231 446 884 € + 0,83 % 40 453 193 € + 0,66 % Quote-part de la dotation de péréquation urbaine Dont garanties de non-baisse 299 207 € Quote-part de la dotation de fonctionnement minimale 57 305 426 € Dont garanties de non-baisse + 3,87 % 2 133 € Les crédits réservés aux quotes-parts des départements et collectivités d’outre-mer pour les dotations de péréquation urbaine et de fonctionnement minimale se répartissent de la manière suivante : Dotation de péréquation urbaine 40 453 193 € Départements d’outre-mer 35 835 716 € Saint-Pierre-et-Miquelon 127 886 € Saint-Martin 715 933 € Mayotte 3 773 658 € Dotation de fonctionnement minimale 57 305 426 € Départements d’outre-mer 50 916 173 € Saint-Pierre-et-Miquelon 171 353 € Saint-Martin 1 021 699 € Mayotte 5 196 201 € ANNEXE II Fiches de calcul 1. La population DGF départementale 2011 (art. L. 3334‑2 du CGCT) La population départementale prise en compte pour la répartition des dotations de l’État est la population municipale publiée par l’INSEE majorée d’un habitant par résidence secondaire. La population DGF 2011 des départements est calculée de la manière suivante : Pop DGF 2011 départementale = Pop municipale 2011 départementale + ∑ dépt des RS communales Avec : ∑ dépt RS communales = total des résidences secondaires de l’ensemble des communes du département. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 6/95 – Page 5 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR N.B. : le nombre de résidences secondaires pris en compte dans le calcul de la population DGF a été actualisé cette année. 2. Potentiels financiers de référence des départements d’outre-mer Le potentiel financier (art. L. 3334‑6 du CGCT) correspond au potentiel fiscal majoré de la dotation forfaitaire (hors part correspondant à l’ancienne part salaires) et de la dotation de compensation notifiées l’année précédente. Le potentiel fiscal correspond à la somme des éléments suivants : – le produit des bases brutes des quatre taxes d’imposition locales par le taux moyen national de chacune de ces taxes ; – les montants correspondant à l’ancienne compensation « part salaires », intégrée depuis 2004 dans la dotation forfaitaire ; – depuis 2005, la moyenne des produits des droits de mutation à titre onéreux sur cinq ans (soit 2006‑2010 pour le potentiel fiscal 2011). Ces droits correspondent aux droits aux droits d’enregistrement et à la taxe départementale de publicité foncière visés aux paragraphes 1 et 2 de l’article 1594 A du code général des impôts et sont, par conséquent, différents de ceux inscrits dans le compte administratif de chaque département. La loi de finances pour 2011 a modifié les modalités de calcul du potentiel fiscal des départements en raison de la suppression de la taxe professionnelle : pour l’année 2011, les bases et le taux moyen de taxe professionnelle retenus sont ceux utilisés pour le calcul du potentiel fiscal 2010. Potentiel fiscal quatre taxes 2011 × Bases brutes d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés bâties de 2010 = + × Bases brutes d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés non bâties de 2010 25,48 % = Taux moyen national 2010 + × Bases brutes d’imposition à la taxe d’habitation de 2010 7,54 % = Taux moyen national 2010 + × Bases brutes d’imposition à la taxe professionnelle de 2009 10,14 % Taux moyen national 2010 8,96 % = Taux moyen national 2009 + = Moyenne sur cinq ans du produit perçu au titre des droits de mutation à titre onéreux (2006 à 2010) + = Part de la dotation forfaitaire 2010 correspondant à l’ancienne « part salaires » = Potentiel fiscal quatre taxes 2011 du département = AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 6/95 – Page 6 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Potentiel financier quatre taxes 2011 = Potentiel fiscal quatre taxes 2011 du département + = Dotation de compensation notifiée 2010 + = Dotation forfaitaire notifiée 2010 (hors part correspondant à l’ancienne « part salaires ») = Potentiel financier quatre taxes 2011 du département = Potentiel financier par habitant 2011 / = Potentiel financier quatre taxes 2011 Population DGF 2011 Potentiel financier par habitant 2011 Potentiel financier superficiaire 2011 / Potentiel financier quatre taxes 2011 = Superficie du département (en mètres carrés) Potentiel financier superficiaire 2011 3. La dotation de compensation (art. L. 3334‑7‑1 du CGCT) La dotation de compensation, introduite par la loi de finances pour 2004, évolue à compter de 2009 au plus comme la DGF mise en répartition. En 2011, la loi de finances a prévu que la dotation de compensation des départements en 2011 sera égale à celle perçue en 2010 hors mesures de recentralisation sanitaire. Par ailleurs, la dotation de compensation pour 2011 du département de Saône-et-Loire a été minorée au titre des mesures de recentralisation sanitaire adoptées en 2010 dans ce département d’un montant de 940 146 €. Dotation de compensation des départements 2011 Dotation de compensation notifiée 2011 = Dotation de compensation 2010 – Mesure de recentralisation sanitaire Dotation de compensation 2011 notifiée AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 6/95 – Page 7 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 4. La dotation forfaitaire (art. L. 3334‑3 du CGCT) La loi de finances pour 2011 fixe le montant de la dotation de base à 74,02 € par habitant. Le montant de dotation de base par habitant perçu par chaque département est celui utilisé pour la répartition de l’année précédente. × 74,0 217 873 498 599 = Population DGF 2011 Dotation de base 2011 = Complément de garantie 2010 Complément de garantie 2011 = Dotation de base 2011 + = Complément de garantie 2011 Dotation forfaitaire notifiée 2011 = 5. La dotation de péréquation urbaine La quote-part de la dotation de péréquation urbaine réservée aux départements d’outre-mer, à Saint-Pierre-et-Miquelon, à Mayotte et à Saint-Martin est déterminée par application au montant total de la DPU du double du rapport, majoré de 10 %, entre la population municipale des départements et collectivités d’outre-mer et cette même population majorée de la population municipale des départements de métropole. En 2011, ce ratio de population est égal à 7,04 707 591 295 758 %. Par application de ce ratio, 40 153 986 € ont été spontanément répartis au titre de la quote-part outre-mer de la dotation de péréquation urbaine en 2011. Cette répartition a été calculée de la manière suivante : – pour les collectivités d’outre-mer (Saint-Pierre-et-Miquelon, Mayotte et Saint-Martin) : il est appliqué au montant total de DPU (569 796 417 € en 2011) le double du rapport, majoré de 10 %, entre la population municipale de chaque collectivité et la population municipale de l’ensemble des départements et collectivités de métropole et d’outre-mer éligibles à la DGF des départements, c’est-à-dire : QPCOM = Masse DPU2011 × {2 × [(population COM/population DOM + COM éligibles + métropole) × (1 + 10 %)]} – pour les départements d’outre-mer : la quote-part de DPU restante après répartition entre les collectivités d’outre-mer (4 475 630 € en 2011) est répartie entre les départements d’outre-mer au prorata de leur population municipale. DPUDOM = QP DOM × [population dom/population totale DOM] – garantie de non-baisse des quotes-parts individuelles de DPU : la loi de finances pour 2009 a introduit une règle de garantie de non-baisse des quotes-parts individuelles de DPU des départements et collectivités d’outre-mer. À ce titre : Si QP DPU 2011 spontanée < QP DPU 2010 Alors : QP DPU 2011 répartie = QP DPU 2010 En 2011, ce dispositif a bénéficié aux départements de la Guadeloupe et de la Martinique, aux collectivités de SaintPierre-et-Miquelon et Mayotte pour un montant égal à 299 207 €. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 6/95 – Page 8 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR À noter : les disponibilités nécessaires à l’application de cette nouvelle règle sont prélevées sur la masse de DPU à répartir pour les départements de métropole. 6. La dotation de fonctionnement minimale (art. L. 3334‑7 du CGCT) La quote-part de la dotation de fonctionnement minimale réservée aux départements d’outre-mer, à Saint-Pierre-etMiquelon, à Mayotte et à Saint-Martin est également déterminée par application au montant total de la DFM du double du rapport, majoré de 10 %, entre la population municipale des départements et collectivités d’outre-mer et cette même population majorée de la population municipale des départements de métropole. Par application de ce ratio, 57 303 293 € ont été spontanément répartis au titre de la quote-part outre-mer de la dotation de fonctionnement minimale en 2011. Cette répartition a été calculée de la manière suivante : – pour les collectivités d’outre-mer (Saint-Pierre-et-Miquelon, Mayotte et Saint-Martin) : il est appliqué au montant total de DFM (813 149 934 € en 2011) le double du rapport, majoré de 10 %, entre la population municipale de chaque collectivité et la population municipale de l’ensemble des départements et collectivités de métropole et d’outre-mer éligibles à la DGF des départements, c’est-à-dire : QPCOM = Masse DFM 2011 × 2 × [(population COM/population DOM + COM éligibles + métropole) × (1 + 10 %)] – pour les départements d’outre-mer : pour bénéficier de la DFM, les départements d’outre-mer doivent être reconnus éligibles à cette dotation, selon les mêmes règles d’éligibilité qu’en métropole, à savoir disposer d’un potentiel financier par habitant inférieur au double du potentiel financier par habitant moyen des départements « non urbains ». Ensuite, la quote-part de DFM restante après prélèvement des quotes-parts des COM (50 916 173 € en 2011) est répartie entre ces départements en fonction de leur population DGF, de leur longueur de voirie, et de leur potentiel financier de la manière suivante (art. R. 3443‑2‑1 du CGCT) : – pour 80 % en fonction de leur population DGF avec : Fraction population = POP DGF 2011 × VP1 Avec : – POP DGF 2011 = population DGF 2011 du département d’outre-mer ; – VP1 = valeur de point en 2011 soit 21,97 848 103 €. – pour 10 % en fonction de la longueur de voirie classée dans le domaine public départemental, celle située en zone de montagne étant affectée d’un coefficient multiplicateur de 1,3 : Fraction voirie = [LVHM + (1,3 × LVM)] × VP2 Avec : – LVHM = longueur de la voirie hors montagne départementale ; – LVM = longueur de voirie de montagne départementale ; – VP2 = valeur de point en 2011, soit 1,96 664 947 €. – pour 10 % en fonction de l’inverse de leur potentiel financier : Fraction inverse PFi = Inverse PFi × VP3 Avec : – Inverse PFi = 1 000 000/Potentiel financier 2011 du département ; – VP3 = valeur de point en 2011, soit 229 807 606,6 863 530 €. – garantie de non-baisse des quotes-parts individuelles de DFM : comme pour la DPU, la loi de finances pour 2009 a introduit une règle de garantie de non-baisse des quotes-parts individuelles de DFM des départements et collectivités d’outre-mer. À ce titre : Si QP DFM 2011 spontanée < QP DFM 2010 Alors : QP DFM 2010 répartie = QP DFM 2010 En 2011, ce dispositif a bénéficié à la collectivité de Saint-Pierre-et-Miquelon (pour un montant de garantie égal à 2 133 €). À noter : les disponibilités nécessaires à l’application de cette nouvelle règle sont prélevées sur la masse de DFM à répartir pour les départements de métropole. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 6/95 – Page 9 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ MINISTÈRE CHARGÉ DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES _____ Direction générale des collectivités locales _____ Sous-direction des finances locales et de l’action économique _____ Bureau des concours financiers de l’État _____ Circulaire du 14 avril 2011 relative à la répartition de la dotation particulière « élu local » pour 2011 NOR : COTB1109345C Résumé : la présente circulaire a pour objet de vous présenter les conditions d’éligibilité ainsi que les modalités de répartition et de versement, pour 2011, de la dotation particulière « élu local ». Les fiches de notification vous sont adressées par l’intranet Colbert Départemental. Le ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, chargé des collectivités territoriales à Mesdames et Messieurs les préfets de département de métropole et d’outre-mer ; Monsieur le haut-commissaire de la République en Polynésie française ; Monsieur le hautcommissaire de la République en Nouvelle-Calédonie ; Messieurs les préfets de Mayotte, Saint-Pierre-etMiquelon et Wallis-et-Futuna. Afin d’assurer aux petites communes rurales les moyens nécessaires à la mise en œuvre de la loi no 92‑108 du 3 février 1992 relative aux conditions d’exercice des mandats locaux, une dotation particulière réservée aux petites communes rurales a été créée. Cette dotation, prévue à l’article L. 2335‑1 du code général des collectivités territoriales, est plus particulièrement destinée à compenser les dépenses obligatoires entraînées par les dispositions législatives relatives aux autorisations d’absence, aux frais de formation des élus locaux et à la revalorisation des indemnités des maires et des adjoints. Je vous rappelle que la loi no 96‑142 du 21 février 1996 relative à la partie législative du CGCT n’a abrogé l’article 42 de la loi du 3 février 1992 précitée qu’en ce qui concerne les communes de métropole et des DOM, comme le précisent ses articles 12 et 13. L’article 42 susmentionné demeure donc en vigueur pour les communes de Nouvelle-Calédonie, de Polynésie française, de Wallis-et-Futuna, de Mayotte et de Saint-Pierre-et-Miquelon. Prélevée sur les recettes de l’État, la dotation particulière « élu local » s’élève en 2011 à 65 006 000 €. L’article 43 de la loi de finances pour 2007 et les articles R. 2335‑1 et R. 2335‑2 du code général des collectivités territoriales précisent les modalités d’attribution de la dotation particulière « élu local ». Comme pour les dotations de péréquation communales, le critère du potentiel financier a été substitué à celui du potentiel fiscal par la loi de finances pour 2005. Il permet d’appréhender la capacité d’une commune à mobiliser des ressources, au-delà des seules recettes fiscales. Ainsi, il tient compte des ressources perçues au titre de la dotation forfaitaire. 1. Critères d’éligibilité En métropole, la dotation particulière « élu local » est attribuée aux communes : a) Dont la population DGF est inférieure à 1 000 habitants ; La population DGF utilisée est celle mentionnée à l’article L. 2334‑2 du code général des collectivités territoriales ; b) Dont le potentiel financier par habitant est inférieur à 1,25 fois le potentiel financier moyen par habitant des communes de moins de 1 000 habitants, soit 725,491 215 € en 2011. Dans les départements d’outre-mer, en Polynésie française, à Wallis-et-Futuna, en Nouvelle-Calédonie, à Mayotte et dans la collectivité territoriale de Saint-Pierre-et-Miquelon, la dotation particulière « élu local » est attribuée aux communes dont la population DGF est inférieure à 5 000 habitants. En 2011, 23 273 communes bénéficieront au total de cette dotation, dont 92 communes ultramarines. Par ailleurs, 142 communes sont nouvellement éligibles et 222 perdent leur éligibilité. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 7/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 2. Répartition de la dotation 2011 La dotation particulière « élu local » est attribuée sous la forme d’une dotation unitaire annuelle identique pour l’ensemble des communes : elle est égale au rapport entre le montant de la dotation ouverte en loi de finances et le nombre de communes bénéficiaires en 2011. Compte tenu de la baisse du nombre de communes éligibles, la dotation unitaire s’élève en 2011 à 2 793 €, soit une progression de + 0,36 % par rapport à 2010. 3. Modalités de notification et de versement de la dotation Afin de faciliter l’élaboration et l’adoption des budgets des communes et de donner accès le plus rapidement possible aux collectivités locales au montant des dotations leur revenant, le résultat de la répartition de la dotation particulière « élu local » est en ligne sur le site internet de la DGCL (http://www.dgcl.interieur.gouv.fr) depuis le 28 mars 2011. Toutefois, seule la notification officielle par vos soins de la dotation revenant à chaque commune fait foi. Les fiches de notification des attributions de la dotation particulière « élu local » pour les communes de métropole et des départements d’outre-mer vous seront expédiées par l’intermédiaire de l’intranet Colbert Départemental. Je vous invite donc, dès réception de ce courrier, à télécharger les fiches de notification de la dotation particulière « élu local », qui prennent la forme de fichier PDF. Il vous appartient de transmettre ces fiches le plus rapidement possible aux collectivités concernées, accompagnées d’une lettre de notification. Concernant les communes de Polynésie française, de Nouvelle-Calédonie, de la collectivité départementale de Mayotte, de la collectivité territoriale de Saint-Pierre-et-Miquelon et les circonscriptions territoriales de Wallis-et-Futuna, les fiches vous seront envoyées par messagerie. Dès réception, elles devront être transmises aux communes concernées, accompagnées d’une lettre de notification. Je vous rappelle qu’en vertu des dispositions de l’article R. 421‑5 du code de justice administrative, les voies et délais de recours doivent être expressément mentionnés lors de la notification de chaque dotation aux collectivités bénéficiaires. Vous veillerez donc à l’indiquer dans la lettre circulaire par laquelle vous notifiez aux communes le montant de leurs attributions. Je vous invite néanmoins, afin de prévenir tout contentieux, à indiquer à chaque collectivité bénéficiaire que, durant le délai de deux mois mentionné sur la fiche de notification, un recours gracieux peut être exercé auprès de vos services. Ce recours gracieux interrompt le délai du recours contentieux qui ne courra à nouveau qu’à compter de la réception de votre réponse. Je vous rappelle, à cet égard, qu’en application de l’article R. 421‑2 du code précité « le silence gardé pendant plus de deux mois sur une réclamation par l’autorité compétente vaut décision de rejet ». Le montant de l’attribution pour 2011 fera l’objet d’un versement unique. Par ailleurs, je vous rappelle que la circulaire interministérielle du 21 novembre 2006 relative aux versements des dotations de l’État prévoit que les collectivités doivent désormais être informées de la date à laquelle s’effectuera le versement de la dotation sur leur compte au Trésor public, dans la lettre leur notifiant leur attribution. La dotation particulière « élu local » est en effet concernée par les dispositions relatives aux dotations non mensualisées, pour lesquelles il vous appartient de fixer la date de versement, en accord avec les services du Trésor. Vos arrêtés de versement, au titre de la dotation unitaire 2011, viseront le compte no 465‑1261 « Dotation élu local – année 2011 » ouvert en 2011 dans les écritures du trésorier-payeur général. L’inscription de cette dotation dans les budgets est à effectuer au compte no 742 (en nomenclature M 14). En cas de rectification, vos arrêtés de versement ou de reversement rectifiant le montant de la dotation particulière « élu local » versée au titre des années antérieures ou au titre de l’année en cours viseront le compte no 465‑1261 « Dotation élu local – année 2011 », en précisant qu’il s’agit une opération de régularisation. Toute difficulté dans l’application de la présente circulaire devra être signalée à la direction générale des collectivités locales (sous-direction des finances locales et de l’action économique, bureau des concours financiers de l’État), Mme Claudy DAVILLE, tél. : 01 49 27 37 52, mél. : [email protected]. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général des collectivités locales, É. Jalon AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 7/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ MINISTÈRE CHARGÉ DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES _____ Direction générale des collectivités locales _____ Sous-direction des finances locales et de l’action économique _____ Bureau des concours financiers de l’État _____ Circulaire du 14 avril 2011 relative à la répartition des quotes-parts DSU/DSR et DNP de la dotation d’aménagement des communes et circonscriptions territoriales d’outre-mer au titre de l’année 2011 NOR : COTB1109852C Résumé : instructions relatives à la répartition des deux quotes-parts DSU/DSR et DNP de la dotation d’aménagement des communes des départements d’outre-mer, de la Polynésie française, de la Nouvelle-Calédonie, de Mayotte, de la collectivité territoriale de Saint-Pierre-et-Miquelon et des circonscriptions territoriales de Wallis-et-Futuna. Modalités de répartition et de versement. Montants à notifier aux communes et circonscriptions territoriales. Le ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, chargé des collectivités territoriales à Messieurs les préfets de région ; Messieurs les préfets des départements d’outre-mer ; Monsieur le haut-commissaire de la République en Polynésie française ; Monsieur le hautcommissaire de la République en Nouvelle-Calédonie ; Monsieur le préfet, administrateur supérieur des îles Wallis-et-Futuna ; Monsieur le préfet du département de Mayotte ; Monsieur le préfet de la collectivité territoriale de Saint-Pierre-et-Miquelon. La dotation d’aménagement de la dotation globale de fonctionnement (DGF) affectée aux communes d’outre-mer est composée d’une quote-part relative à la « dotation de solidarité urbaine » et à la « dotation de solidarité rurale » (DSU/ DSR) et d’une quote-part relative à la « dotation nationale de péréquation » (DNP). La présente circulaire a pour objet de vous présenter les règles afférentes à chacune des deux quotes-parts de la dotation d’aménagement des communes et circonscriptions territoriales ultramarines dont les montants ont été arrêtés par le comité des finances locales, le 8 février 2011, ainsi que ses modalités de répartition et de versement. 1. Les montants mis en répartition Le mode de calcul de la dotation d’aménagement ultramarine traduit la solidarité nationale en faveur des communes d’outre-mer, en leur affectant une quote-part plus favorable que celle résultant de leur strict poids démographique. Le montant de cette dotation est en effet calculé par application au montant mis en répartition au plan national du rapport, majoré de 33 %, entre la population d’outre-mer et la population nationale totale, conformément à l’article L. 2334‑13 du code général des collectivités territoriales (CGCT). Pour 2011, le montant de la dotation d’aménagement mis en répartition au plan national, après prélèvement de la DGF des groupements de communes, s’élève à 2 918 575 433 € (soit + 6,19 % par rapport à 2010). En application de l’article L. 2334‑13 du code général des collectivités territoriales (CGCT), la somme des deux quotes-parts destinées aux communes d’outre-mer, après application du rapport majoré de population précité, s’établit à 153 297 136 €, soit une progression de + 6,49 % par rapport à 2010). Par ailleurs, l’article 174 de la loi de finances initiale du 30 décembre 2008 a introduit un nouvel article dans le code général des collectivités territoriales (art. L. 2571‑3). Ce dernier précise que : « Pour l’application des quatrième et cinquième alinéas de l’article L. 2334‑13, la quote-part de la dotation d’aménagement destinée aux communes de Saint-Pierre-etMiquelon est calculée par application à la dotation d’aménagement du rapport existant, d’après le dernier recensement de population, entre la population des communes de Saint-Pierre-et-Miquelon et la population totale nationale. Le quantum de la population des communes de Saint-Pierre-et-Miquelon, tel qu’il résulte du dernier recensement de population, est majoré de 33 %. Le montant revenant à chaque commune de Saint-Pierre-et-Miquelon, calculé dans les conditions prévues par décret en Conseil d’État, est ensuite majoré pour la commune de Saint-Pierre de 445 000 € et pour celle de Miquelon-Langlade AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 8/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR de 100 000 €. Cette majoration s’impute sur le montant de la quote-part, prévue au quatrième alinéa de l’article L. 2334‑13, correspondant à l’application du ratio démographique, prévu au même alinéa, à la dotation de solidarité urbaine et de cohésion sociale et à la dotation de solidarité rurale. Compte tenu de ces éléments, la quote-part DSU/DSR des communes d’outre-mer mise en répartition pour l’année 2011 s’établit à 113 612 629 €. Elle progresse ainsi de 6,57 % par rapport à 2010 ; 80 031 637 € sont répartis au profit des communes des départements d’outre-mer et 33 580 992 € bénéficient à celles des collectivités de Polynésie française, de Nouvelle-Calédonie, de Wallis-et-Futuna, de Saint-Pierre-et-Miquelon et du département de Mayotte. La quote-part DNP des communes d’outre-mer s’établit quant à elle à 39 684 506 €. Elle progresse de + 6,24 % par rapport à 2010. 28 089 525 € sont répartis entre les communes des DOM et 11 594 981 € entre les communes des autres collectivités. 2. Les règles de répartition de la quote-part DSU/DSR Conformément aux dispositions de la loi no 93‑1436 du 31 décembre 1993, toutes les communes des départements d’outre-mer, de la Nouvelle-Calédonie, de la Polynésie française, de la collectivité territoriale de Saint-Pierre-et-Miquelon, de la collectivité départementale de Mayotte et les circonscriptions territoriales de Wallis-et-Futuna bénéficient de la quotepart DSU/DSR de la dotation d’aménagement, selon des règles spécifiques. Les articles R. 2334‑9‑1 à R. 2334‑9‑3, l’article R. 2571‑1 et les articles R. 2563‑3 à R. 2563‑4 fixent les critères de répartition de la quote-part DSU/DSR de la dotation d’aménagement affectée à l’outre-mer. 2.1. Répartition de la dotation revenant aux communes des départements d’outre-mer (à l’exception de Mayotte) Pour les départements d’outre-mer, la répartition entre les quatre départements et les communes de chacun d’eux s’effectue entièrement au prorata de la population DGF. 2.2. Répartition des dotations revenant aux communes de Polynésie française, Nouvelle-Calédonie, Saint-Pierre-et-Miquelon, Mayotte et aux circonscriptions territoriales de Wallis-et-Futuna La répartition de la quote-part s’effectue entre ces collectivités au prorata de leur population INSEE. La répartition de la quote-part entre les communes de ces collectivités s’effectue en fonction de critères spécifiques propres à chacun d’eux. La répartition de la quote-part s’effectue : – pour les communes de la Polynésie française, à raison de : 45 % proportionnellement à la population DGF de chaque commune ; 40 % proportionnellement au nombre de points attribués à chaque commune en fonction de son éloignement du cheflieu du territoire ; 15 % proportionnellement à leur capacité financière ; – pour les circonscriptions territoriales de Wallis-et-Futuna, à raison de : 50 % proportionnellement à la population DGF de chaque circonscription ; 45 % proportionnellement au nombre de points attribués à chaque circonscription en fonction de son éloignement du chef-lieu du territoire ; 5 % proportionnellement à la superficie de chaque circonscription ; – pour les communes de Nouvelle-Calédonie, à raison de : 35 % proportionnellement à la population DGF de chaque commune ; 10 % proportionnellement à la superficie de chaque commune ; 25 % proportionnellement à l’éloignement du chef-lieu ; 30 % proportionnellement à la capacité financière de chaque commune ; – pour les communes de Saint-Pierre-et-Miquelon, à raison de : 50 % proportionnellement à la population DGF des communes ; 50 % proportionnellement à la superficie des communes. Après application de ce mécanisme de répartition spontanée, la quote-part DSU/DSR de la commune de MiquelonLanglade est majorée de 100 000 € et celle de Saint-Pierre de 445 000 € ; – pour les communes de Mayotte, à raison de : 75 % proportionnellement à la population DGF des communes ; 25 % proportionnellement à la superficie des communes. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 8/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 3. Les règles de répartition de la quote-part DNP Toutes les communes des DOM bénéficient de la DNP. La loi no 2001‑616 du 11 juillet 2001 relative à Mayotte a étendu aux communes de Mayotte le bénéfice de la DNP (ancien FNP) à compter de l’exercice 2002. La loi de finances pour 2005 a étendu le bénéfice de la quote-part DNP de la dotation d’aménagement aux communes de la collectivité territoriale de Saint-Pierre-et-Miquelon, de la Nouvelle-Calédonie, de la Polynésie française et aux circonscriptions territoriales des îles Wallis-et-Futuna. 3.1. Les modalités de répartition dans les DOM (à l’exception de Mayotte) La répartition de la quote-part DNP entre les communes des DOM est effectuée à raison de : – 50 % proportionnellement à leur population DGF, – 50 % proportionnellement au montant total des sommes comprises dans les rôles généraux émis au profit de la commune au titre de l’année pour : – la taxe foncière sur les propriétés bâties, majorée des exonérations ; – la taxe foncière sur les propriétés non bâties (à hauteur de 30 %) ; – la taxe d’habitation ; – la TEOM ou la REOM. Les communes qui ne perçoivent pas de fiscalité au titre des impôts et taxes précités participent à la répartition en fonction du double de leur population. 3.2. Les modalités de répartition à Mayotte La répartition de la totalité de la DNP entre les communes de Mayotte est effectuée au prorata de leur population DGF, comme le précise l’article 16 du décret no 2002‑1504 du 24 décembre 2002 pris pour l’application de la loi no 2001‑616 du 11 juillet 2001 relative à Mayotte et modifiant la partie réglementaire du code général des collectivités territoriales. 3.3. Les modalités de répartition dans les collectivités territoriales de Saint-Pierre-et-Miquelon, de Nouvelle-Calédonie, de Polynésie française et dans les circonscriptions territoriales des îles Wallis-et-Futuna Conformément à la réforme des dotations inscrite dans la loi de finances pour 2005 et dans le décret no 2005‑298 du 31 mars 2005 relatif aux dotations de l’État aux communes et aux départements, l’attribution de la quote-part DNP de la dotation d’aménagement est étendue aux communes de Saint-Pierre-et-Miquelon, Nouvelle-Calédonie, Polynésie française et aux circonscriptions territoriales de Wallis-et-Futuna et répartie selon les mêmes modalités que la quote-part DSU/DSR. La répartition de la quote-part de ces collectivités entre leurs communes est donc effectuée au prorata des critères de population DGF, d’éloignement par rapport au chef-lieu, de capacité financière et de superficie, selon la pondération retenue pour la répartition de la quote-part DSU/DSR de la dotation d’aménagement décrite à la page 2 de cette circulaire. 4. Les modalités de notification et de versement des quotes-parts DSU/DSR et DNP de la dotation d’aménagement Afin de faciliter l’élaboration des budgets des communes et de donner accès le plus rapidement possible aux collectivités locales au montant des dotations leur revenant, le résultat de la répartition des deux quotes-parts DSU/DSR et DNP de la dotation d’aménagement des communes et circonscriptions territoriales d’outre-mer est en ligne sur le site internet de la DGCL (http://www.dgcl.interieur.gouv.fr) depuis le 5 avril 2011. Toutefois, seule la notification officielle par vos soins de la dotation revenant à chaque commune fait foi. Les fiches de notification relatives aux communes des départements d’outre-mer seront disponibles sur Colbert Départemental. Les fiches de notification des communes et des circonscriptions des collectivités d’outre-mer seront envoyées par messagerie. Vos arrêtés de versement viseront le compte no 465‑12111 « Dotation globale de fonctionnement. Répartition initiale de l’année. Année 2011 » ouvert dans les écritures du trésorier-payeur général. En cas de rectification, vos arrêtés de versement ou de reversement rectifiant le montant de la dotation d’aménagement versée au titre des années antérieures ou au titre de l’année en cours viseront le compte 465‑1212 « Dotation globale de fonctionnement. Opérations de régularisation ». Je vous rappelle que, pour permettre l’application des dispositions des articles R. 421‑1 à R. 421‑5 du code de justice administrative, doivent être expressément mentionnés, lors de la notification de chaque dotation aux collectivités bénéficiaires, les voies et délais de recours contre une telle décision. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 8/95 – Page 3 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Vous veillerez donc à les indiquer dans la lettre circulaire par laquelle vous notifiez aux communes le montant de leurs attributions. Je vous invite par ailleurs, afin de prévenir tout contentieux, à indiquer également que, durant le délai de recours contentieux, un recours gracieux peut être exercé auprès de vos services. Ce recours gracieux interrompt le délai de recours contentieux, qui ne courra à nouveau qu’à compter de l’intervention de votre réponse. Je vous rappelle, à cet égard, qu’en application de l’article R. 421‑2 du code précité « le silence gardé pendant plus de deux mois sur une réclamation par l’autorité compétente vaut décision de rejet. » L’inscription des dotations dans les budgets est à effectuer, pour chacune des communes concernées, au compte 74127 (comptabilité M14). Toute difficulté dans l’application de la présente circulaire devra être signalée à : direction générale des collectivités locales, sous-direction des finances locales et de l’action économique, bureau des concours financiers de l’État, Mme Claudy DAVILLE, tél : 01 49 27 37 52, mél. : [email protected]. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général des collectivités locales, É. Jalon AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 8/95 – Page 4 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ MINISTÈRE CHARGÉ DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES _____ Direction générale des collectivités locales _____ Sous-direction des finances locales et de l’action économique _____ Bureau des concours financiers de l’État _____ Circulaire du 21 avril 2011 relative à l’attribution de la dotation de solidarité rurale en 2011 NOR : COTB1109660C Pièce jointe : 1 annexe. Résumé : la présente circulaire a pour objet de vous présenter les conditions d’éligibilité ainsi que les modalités de répartition et de versement, pour 2011, des fractions « bourg-centre », « péréquation » et « cible » de la dotation de solidarité rurale. Les fiches de notification vous sont adressées par l’intranet Colbert Départemental. Le ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, chargé des collectivités territoriales, à Mesdames et Messieurs les préfets (métropole) ; secrétariat général. La loi no 93‑1436 du 31 décembre 1993 portant réforme de la dotation globale de fonctionnement (DGF) et modifiant le code des communes et le code général des impôts a créé une dotation de solidarité rurale (DSR) au sein de la DGF. La loi no 2010‑1657 du 29 décembre 2010 a modifié l’article L. 2334-20 du code général des collectivités territoriales et créé une troisième part de la dotation de solidarité rurale, destinée aux 10 000 communes les plus défavorisées parmi celles éligibles à au moins l’une des deux première fractions de la DSR. Ainsi, à partir de 2011, la dotation de solidarité rurale est composée d’une fraction « bourg-centre », d’une fraction « péréquation » et d’une fraction « cible » (art. L. 2334‑20 à 22‑1 du code général des collectivités territoriales). La première fraction est destinée aux communes de moins de 10 000 habitants, chefs-lieux de canton ou regroupant au moins 15 % de la population du canton, ainsi qu’à certains chefs-lieux d’arrondissement de 10 000 à 20 000 habitants. La deuxième fraction est destinée aux communes de moins de 10 000 habitants disposant d’un potentiel financier par habitant inférieur au double du potentiel financier par habitant moyen de leur strate démographique. La troisième fraction est destinée aux 10 000 premières communes de moins de 10 000 habitants classées en fonction croissante du rapport entre leur potentiel financier par habitant et le potentiel financier moyen par habitant des communes de leur strate démographique. La dotation de solidarité rurale est attribuée pour tenir compte, d’une part, des charges que supportent les communes rurales pour maintenir un niveau de services suffisant et, d’autre part, de l’insuffisance de leurs ressources fiscales. 1. Montant mis en répartition en 2011 Conformément à l’article L. 2334‑13 du code général des collectivités territoriales, il appartient au comité des finances locales de fixer la répartition de l’accroissement du solde de la dotation d’aménagement entre la dotation de solidarité urbaine (DSU), la dotation de solidarité rurale (DSR) et la dotation nationale de péréquation (DNP). Toutefois, en 2011, la loi de finances a fixé à 50 M€ l’accroissement de la DSR. Le comité des finances locales a ventilé dans sa séance du 8 février 2011 cet accroissement entre chaque fraction. Ainsi, la DSR répartie en métropole au titre de l’exercice 2011 s’élève donc à 807 529 535 €, soit une progression de + 6,22 % par rapport à 2010. 327 169 781 € sont répartis au titre de la fraction « bourg‑centre » (+ 3,75 %), 456 731 397 € au titre de la fraction péréquation (+ 2,66 %) et 23 628 357 € au titre de la fraction « cible » pour l’année 2011. 2. Calcul des attributions Les modalités d’éligibilité et de répartition vous sont présentées de façon détaillée en annexe. Au titre de l’année 2011, la population prise en compte pour le calcul de la DGF des communes, et plus particulièrement pour la détermination de l’éligibilité et la répartition de la dotation de solidarité rurale, est la population DGF 2011, définie à l’article L. 2334‑2 du code général des collectivités territoriales. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 9/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Je vous rappelle que les données à prendre en compte pour le calcul de la dotation de solidarité rurale s’apprécient au 1er janvier de l’année précédant l’exercice au titre duquel est effectuée la répartition, à l’exception de la population, calculée dans les conditions prévues à l’article L. 2334‑2 du code général des collectivités territoriales. 3. Notification aux collectivités Afin de faciliter l’élaboration des budgets des communes et d’informer le plus rapidement possible les collectivités locales du montant des dotations leur revenant, le résultat de la répartition de la dotation de solidarité rurale est en ligne sur le site internet de la DGCL (http://www.dgcl.interieur.gouv.fr) depuis le 1er avril 2011. Toutefois, seule la notification officielle par vos soins de la dotation revenant à chaque commune fait foi. Je vous demande de bien vouloir y procéder dès réception de la présente circulaire. Les fiches individuelles de notification des attributions de la dotation de solidarité rurale vous seront expédiées par l’intermédiaire de l’intranet Colbert Départemental (fiches au format pdf). Vous trouverez également ci-joint la liste des communes qui ne sont plus éligibles cette année à la fraction « bourgcentre » de la DSR, avec l’explication de leur sortie de ce dispositif. À partir de ces éléments, vous pourrez informer ces collectivités sur les motifs de leur perte d’éligibilité. Enfin, je vous rappelle que les dispositions de l’article R. 421‑5 du code de justice administrative, concernant les modalités et les délais de recours, s’appliquent également à la notification de la présente dotation. Vous voudrez bien veiller à ce que les collectivités bénéficiaires de la DSR en soient à nouveau informées. Vous veillerez donc à l’indiquer dans la lettre circulaire par laquelle vous notifiez aux communes le montant de leurs attributions. Je vous invite néanmoins, afin de prévenir tout contentieux, à indiquer à chaque collectivité bénéficiaire que, durant le délai de deux mois mentionné sur la fiche de notification, un recours gracieux peut être exercé auprès de vos services. Ce recours gracieux interrompt le délai du recours contentieux qui ne courra à nouveau qu’à compter de la réception de votre réponse. Je vous rappelle, à cet égard, qu’en application de l’article R. 421‑2 du code précité « le silence gardé pendant plus de deux mois sur une réclamation par l’autorité compétente vaut décision de rejet ». J’attire également votre attention sur les conséquences de la circulaire interministérielle du 21 novembre 2006 relative aux versements des dotations de l’État, qui prévoit que les collectivités doivent désormais être informées de la date à laquelle s’effectuera le versement de la dotation sur leur compte au Trésor public, dans la lettre leur notifiant leur attribution. La DSR est en effet concernée par les dispositions relatives aux dotations non mensualisées, pour lesquelles il vous appartient de fixer la date de versement, en accord avec les services du Trésor. Toute difficulté dans l’application des présentes instructions devra être signalée à : direction générale des collectivités locales, sous-direction des finances locales et de l’action économique, bureau des concours financiers de l’État, Claudy DAVILLÉ, tél. : 01 49 27 37 52, mél. : [email protected]. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général des collectivités locales, É. Jalon AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 9/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE I. – LE RÉGIME D’ATTRIBUTION DE LA DOTATION DE SOLIDARITÉ RURALE 1. Fraction bourg-centre 2. Fraction péréquation 3. Fraction cible II. – RÉPARTITION DE LA DOTATION DE SOLIDARITÉ RURALE 1. Fraction bourg-centre 2. Fraction péréquation 3. Fraction cible III. – INSTRUCTIONS NÉCESSAIRES À LA NOTIFICATION ET AU VERSEMENT DE LA DOTATION DE SOLIDARITÉ RURALE POUR 2011 1. Inscription dans les budgets 2. Versement de la dotation de solidarité rurale IV. – LISTE DES COMMUNES « SORTANTES » À LA FRACTION « BOURG‑CENTRE » DE LA DOTATION DE SOLIDARITÉ RURALE 2011 V. – CALCUL DU POTENTIEL FISCAL ET DU POTENTIEL FINANCIER VI. – CALCUL DE L’EFFORT FISCAL I. – LE RÉGIME D’ÉLIGIBILITÉ À LA DOTATION DE SOLIDARITÉ RURALE 1. Fraction bourg-centre L’effort en faveur du monde rural doit s’appuyer sur un certain nombre de pôles qui jouent un rôle structurant par la qualité et le nombre d’équipements et de services qu’ils regroupent, et par la capacité d’attraction qui en résulte. 1.1. La première fraction de la dotation de solidarité rurale est attribuée aux communes de moins de 10 000 habitants chefs-lieux de canton ou dont la population représente au moins 15 % de la population du canton La population à prendre en compte est la population DGF. Sont exclues du bénéfice de cette dotation les communes remplissant l’une des conditions suivantes : 1. Situées dans une agglomération ou unité urbaine : a) représentant au moins 10 % de la population du département ou comptant plus de 250 000 habitants ; b) comptant une commune soit de plus de 100 000 habitants, soit chef-lieu de département ; 2. Situées dans un canton dont la commune chef-lieu compte plus de 10 000 habitants ; 3. Ayant un potentiel financier par habitant supérieur au double du potentiel financier par habitant moyen des communes de moins de 10 000 habitants. 1.2. Sont également éligibles à la première fraction de la dotation de solidarité rurale les chefs-lieux d’arrondissement de 10 000 à 20 000 habitants, à l’exception de ceux qui remplissent les conditions décrites aux 1 et 3 ci-dessus La dotation de solidarité rurale des chefs-lieux d’arrondissement de 10 000 à 20 000 habitants est répartie selon les mêmes critères que celle des communes de moins de 10 000 habitants, en prenant en compte leur population dans la limite de 10 000 habitants. 1.3. Lorsqu’une commune cesse de remplir les conditions d’éligibilité à la fraction bourg-centre en 2011, elle perçoit, à titre de garantie non renouvelable, une attribution égale à la moitié de la dotation perçue en 2010 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 9/95 – Page 3 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 2. Fraction péréquation La seconde fraction de la dotation de solidarité rurale est attribuée aux communes de moins de 10 000 habitants dont le potentiel financier par habitant est inférieur au double du potentiel financier moyen par habitant des communes appartenant à la même strate démographique. La population à prendre en compte est également la population DGF. 3. Fraction cible La troisième fraction de la dotation de solidarité rurale est attribuée aux 10 000 premières communes de moins de 10 000 habitants parmi celles éligibles au moins à l’une des deux premières fractions de la dotation de solidarité rurale, classées en fonction croissante du rapport entre leur potentiel financier par habitant et le potentiel financier moyen par habitant des communes appartenant au même groupe démographique. II. – RÉPARTITION DE LA DOTATION DE SOLIDARITÉ RURALE 1. Répartition de la fraction bourg-centre La masse des crédits mis en répartition en métropole au titre de l’année 2011 s’élève à 327 169 781 €. Formule de répartition La dotation est attribuée à chaque commune selon les modalités de calcul suivantes : DSR fraction bourg-centre = (PFi – pfi) POP DGF × 1 + × EF × Coef ZRR × VP PFi { ( )} avec : POP DGF = population DGF 2011 dans la limite de 10 000 habitants. PFi = p otentiel financier moyen par habitant des communes de moins de 10 000 habitants, soit 752,708 364 en 2011. pfi = potentiel financier par habitant de la commune. EF = effort fiscal de la commune dans la limite de 1,2. VP = valeur de point, soit 25,398 95 € en 2011. Coef ZRR = coefficient multiplicateur égal à 1,3 appliqué lorsque la commune est située en zone de revitalisation rurale (ZRR). L’état de notification indique l’attribution complète de la première fraction de la DSR de la commune en 2011 (incluant la garantie de sortie d’éligibilité pour les communes concernées). 2. Répartition de la fraction péréquation La masse des crédits mis en répartition pour la DSR fraction péréquation en métropole s’élève en 2011 à 456 731 397 €. Les données physiques et financières prises en compte pour le calcul de la DSR deuxième fraction sont celles qui ont été recensées au 1er janvier 2010, à l’exception de la population prise en compte au 1er janvier 2011 dans les conditions prévues à l’article L. 2334‑2 du code général des collectivités territoriales. 1. Pour 30 % de ce montant, soit à hauteur de 137 019 419 €, la dotation est calculée d’après la formule suivante, en fonction du potentiel financier et de l’effort fiscal des communes concernées : Dotation PFi = POP DGF 1 + (PFi – pfi) × EF × VP PFi avec : POP DGF = population DGF 2011. PFi = potentiel financier moyen des communes appartenant à la même strate démographique. pfi = potentiel financier de la commune. { ( )} AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 9/95 – Page 4 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR EF VP = = effort fiscal de la commune dans la limite de 1,2. valeur de point, soit 3,602 36 € en 2011. POTENTIEL FINANCIER MOYEN PAR HABITANT POUR CHAQUE GROUPE DÉMOGRAPHIQUE POTENTIEL FINANCIER MOYEN 4 taxes par habitant (en euros) DOUBLE DU POTENTIEL FINANCIER MOYEN par habitant (seuil d’éligibilité) 0 à 499 habitants 546, 160 100 1 092, 320 20 500 à 999 habitants 610, 625 737 1 221, 251 47 1 000 à 1 999 habitants 670, 716 660 1 341, 433 32 2 000 à 3 499 habitants 779, 507 965 1 559, 015 93 3 500 à 4 999 habitants 853, 815 195 1 707, 630 390 5 000 à 7 499 habitants 948, 316 628 1 896, 633 256 7 500 à 9 999 habitants 997, 628 744 1 995, 257 488 STRATES 2. Pour 30 % de son montant, soit à hauteur de 137 019 419 €, la dotation est calculée selon la formule suivante en fonction de la longueur de voirie classée dans le domaine public communal : Dotation LV = LV × VP avec : LV = longueur de la voirie en mètres classée dans le domaine public communal (cette longueur est doublée pour les communes de montagne). VP = valeur de point, soit 0,210 363 183 € en 2011. 3. Pour 30 % de son montant, soit à hauteur de 137 019 419 €, la dotation est calculée selon la formule suivante, en fonction du nombre d’enfants de 3 à 16 ans recensés dans la commune : Dotation pop. 3 à 16 ans INSEE = population âgée de 3 à 16 ans INSEE × VP avec : VP = valeur de point, soit 25,459 226 6 € en 2011. 4. Pour 10 % de ce montant, soit à hauteur de 45 673 140 €, la dotation est calculée selon la formule suivante, en fonction du potentiel financier superficiaire : Dotation PFiS = POP DGF × 1 + (PFiS – pfis) × VP PFiS avec : POP DGF = population DGF 2011. PFiS =potentiel financier moyen par hectare des communes de moins de 10 000 habitants, soit 496,682 197 € en 2011. pfis = potentiel financier par hectare de la commune. VP = valeur de point, soit 2,061 298 667 € en 2011. La dotation totale attribuée aux communes est égale à : { ( )} DSR fraction péréquation = dotation PFi + dotation LV + dotation POP 3 à 16 ans INSEE + dotation PFiS L’état de notification indique, d’une part, les éléments physiques et financiers nécessaires au calcul de la fraction péréquation et, d’autre part, le montant total de la fraction ainsi que le montant pour chacune des quatre parts précitées. 3. Répartition de la fraction cible Les modalités de calcul et de versement des dotations attribuées au titre de la fraction cible, prévues à l’article L. 2334‑22 du CGCT, sont identiques à celles de la fraction péréquation. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 9/95 – Page 5 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR La masse des crédits mis en répartition pour la DSR fraction cible en métropole s’élève en 2011 à 23 628 357 €. Les données physiques et financières prises en compte pour le calcul de la troisième fraction de la DSR sont celles qui ont été recensées au 1er janvier 2010, à l’exception de la population prise en compte au 1er janvier 2011 dans les conditions prévues à l’article L. 2334‑2 du code général des collectivités territoriales. 1. Pour 30 % de ce montant, soit à hauteur de 7 088 507 €, la dotation est calculée d’après la formule suivante, en fonction du potentiel financier et de l’effort fiscal des communes concernées : Dotation PFi = POP DGF × 1 + (PFi – pfi) × EF × VP PFi avec : POP DGF = population DGF 2011. PFi =potentiel financier moyen des communes appartenant à la même strate démographique. pfi = potentiel financier de la commune. EF = effort fiscal de la commune dans la limite de 1,2. VP = valeur de point, soit 0,457 081 376 € en 2011. { ( )} POTENTIEL FINANCIER MOYEN PAR HABITANT POUR CHAQUE GROUPE DÉMOGRAPHIQUE POTENTIEL FINANCIER MOYEN 4 taxes par habitant (en euros) DOUBLE DU POTENTIEL FINANCIER MOYEN par habitant (seuil d’éligibilité) 0 à 499 habitants 546, 160 100 1 092, 320 20 500 à 999 habitants 610, 625 737 1 221, 251 47 1 000 à 1 999 habitants 670, 716 660 1 341, 433 32 2 000 à 3 499 habitants 779, 507 965 1 559, 015 93 3 500 à 4 999 habitants 853, 815 195 1 707, 630 390 5 000 à 7 499 habitants 948, 316 628 1 896, 633 256 7 500 à 9 999 habitants 997, 628 744 1 995, 257 488 STRATES 2. Pour 30 % de son montant, soit à hauteur de 7 088 507 €, la dotation est calculée selon la formule suivante en fonction de la longueur de voirie classée dans le domaine public communal : Dotation LV = LV × VP avec : LV = longueur de la voirie en mètres classée dans le domaine public communal (cette longueur est doublée pour les communes de montagne). VP = valeur de point, soit 0,042 488 368 € en 2011. 3. Pour 30 % de son montant, soit à hauteur de 7 088 507 €, la dotation est calculée selon la formule suivante, en fonction du nombre d’enfants de 3 à 16 ans recensés dans la commune : Dotation pop. 3 à 16 ans INSEE = population âgée de 3 à 16 ans INSEE × VP avec : VP = valeur de point, soit 3,938 232 345 € en 2011 4. Pour 10 % de ce montant, soit à hauteur de 2 362 836 €, la dotation est calculée selon la formule suivante, en fonction du potentiel financier superficiaire : Dotation PFiS = POP DGF × 1 + (PFiS – pfis) × VP PFiS avec : POP DGF = population DGF 2011. PFiS =potentiel financier moyen par hectare des communes de moins de 10 000 habitants soit 496,682 197 € en 2011. pfis = potentiel financier par hectare de la commune. VP = valeur de point, soit 0,285 816 418 € en 2011. { ( )} AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 9/95 – Page 6 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR La dotation totale attribuée aux communes est égale à : DSR fraction cible = dotation PFi + dotation LV + dotation POP 3 à 16 ans INSEE + dotation PFiS L’état de notification indique, d’une part, les éléments physiques et financiers nécessaires au calcul de la fraction cible et, d’autre part, le montant total de la fraction ainsi que le montant pour chacune des quatre parts précitées. III. – INSTRUCTIONS NÉCESSAIRES À LA NOTIFICATION ET AU VERSEMENT DE LA DOTATION DE SOLIDARITÉ RURALE POUR 2011 1. Inscription dans les budgets L’inscription de la dotation de solidarité rurale dans les budgets est à effectuer, pour chacune des collectivités concernées, au compte suivant : 74121 – Dotation de solidarité rurale (nomenclature M 14) 2. Versement de la dotation de solidarité rurale pour 2011 Après avoir procédé à la notification du montant de la dotation de solidarité rurale, vous prendrez les dispositions nécessaires pour en assurer le versement. À cette fin, vous indiquerez par un arrêté le montant total de la dotation de solidarité rurale pour 2011. Conformément aux dispositions de l’article L. 2334‑14 du code général des collectivités territoriales, la dotation de solidarité rurale fait l’objet d’un versement annuel, avant la fin du troisième trimestre de l’exercice au titre duquel elle est versée. Vos arrêtés de versement viseront le compte suivant, ouvert en 2011 dans les écritures du trésorier-payeur général, auquel ils seront aussitôt transmis : Compte no 465‑12111 l’année – année 2011 ». « Fonds nationaux des collectivités territoriales – DGF – répartition initiale de En cas de rectification, vos arrêtés de versement ou de reversement rectifiant le montant de la dotation d’aménagement versée au titre des années antérieures ou au titre de l’année en cours viseront le compte no 465‑1212 « Dotation globale de fonctionnement. Opérations de régularisation ». Je vous rappelle qu’en vertu des dispositions de l’article R. 421‑5 du code de justice administrative, les voies et délais de recours doivent être expressément mentionnés lors de la notification de chaque dotation aux collectivités bénéficiaires. Vous veillerez donc à l’indiquer dans la lettre circulaire par laquelle vous notifiez aux communes le montant de leurs attributions. Je vous invite néanmoins, afin de prévenir tout contentieux, à indiquer à chaque collectivité bénéficiaire que, durant le délai de deux mois mentionné sur la fiche de notification, un recours gracieux peut être exercé auprès de vos services. Ce recours gracieux interrompt le délai du recours contentieux qui ne courra à nouveau qu’à compter de la réception de votre réponse. Je vous rappelle, à cet égard, qu’en application de l’article R. 421‑2 du code précité « le silence gardé pendant plus de deux mois sur une réclamation par l’autorité compétente vaut décision de rejet ». IV. – LISTE DES COMMUNES SORTANTES DE LA FRACTION « BOURG-CENTRE » EN 2011 Les communes qui deviennent inéligibles à la première fraction de la DSR perçoivent en 2011, à titre de garantie non renouvelable, une attribution égale à la moitié de celle qu’elles ont perçue en 2010. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 9/95 – Page 7 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR DPT CODE INSEE POPULATION DGF N° STRATE DSR BC 2010 GARANTIE DE SORTIE 08 08311 MOUZON NOM COMMUNE 2 487 4 874 437 MOTIF SORTIE 11 11203 LÉZIGNAN-CORBIÈRES 10 281 8 303 044 151 522 12 12277 TAUSSAC 576 2 11 313 5 657 Pop < 15% canton 14 14020 ARGENCES 3 574 5 125 452 62 726 Pop < 15% canton 17 17484 PORT-DES-BARQUES 2 367 4 87 390 43 695 Pop < 15% canton 24 24240 LIMEUIL 526 2 28 815 14 408 Pop < 15% canton 26 26338 SAUZET 1 992 3 41 067 20 534 Pop < 15% canton 31 31495 SAINT-LÉON 1 082 3 55 002 27 501 Pop < 15% canton 33 33251 LOUCHATS 745 2 44 877 22 439 Pop < 15% canton 33 33438 SAINT-MAIXANT 1 450 3 53 128 26 564 Pop < 15% canton 41 41105 JOSNES 979 2 53 522 26 761 Pop < 15% canton 43 43043 CÉAUX-D’ALLÈGRE 565 2 27 230 13 615 Pop < 15% canton 44 44106 MOUTIERS-EN-RETZ 2 382 4 89 479 44 740 Pop < 15% canton 55 55519 TRONVILLE-EN-BARROIS 1 673 3 5 893 2 947 Pop < 15% canton 59 59647 WATTEN 2 760 4 108 826 54 413 Pop < 15% canton 63 63085 CHAPDES-BEAUFORT 1 090 3 42 601 21 301 Pop < 15% canton 63 63434 TOURS-SUR-MEYMONT 628 2 27 993 13 997 Pop < 15% canton 65 65168 ESQUIÈZE-SÈRE 996 2 36 320 18 160 Pop < 15% canton 67 67538 WINGEN-SUR-MODER 1 669 3 54 170 27 085 Pop < 15% canton 76 76178 CLÉON 5 734 6 2 448 1 224 pfi 81 81132 GUITALENS-L’ARBARÈDE 795 2 64 886 32 443 Pop < 15% canton 83 83086 MUY 10 145 8 247 474 123 737 Pop > 10 000 89 89124 COURLON-SUR-YONNE 1 285 3 38 177 19 059 Pop < 15% canton 90 90047 FONTAINE 638 2 253 127 Pop < 15% canton 20A 2A008 ALBITRECCIA 2 021 4 56 086 28 043 Pop < 15% canton 20B 2B093 CORBARA 1 370 3 28 638 14 319 Pop < 15% canton pfi Pop > 10 000 V. – CALCUL DU POTENTIEL FISCAL ET FINANCIER 2011 La loi de finances pour 2010 prévoit dans son dispositif la suppression de la taxe professionnelle. Cette suppression n’est pas sans conséquences pour les dotations de l’État versées aux collectivités territoriales, dans la mesure où la taxe professionnelle est prise en compte dans le calcul du potentiel fiscal des collectivités afin de déterminer l’éligibilité à une dotation et le montant versé. Le nouvel article L. 2334‑4 du CGCT prévoit que pour l’année 2011 le potentiel fiscal d’une commune est déterminé par application aux bases communales des quatre taxes directes locales du taux moyen national d’imposition de chacune de ces taxes. Pour la taxe foncière sur les propriétés bâties, la taxe foncière sur les propriétés non bâties et la taxe d’habitation, les bases retenues sont les bases brutes de la dernière année dont les résultats sont connus servant à l’assiette des impositions communales. Les taux moyens nationaux sont ceux constatés lors de la dernière année dont les résultats sont connus. Pour la taxe professionnelle, les bases et le taux moyen sont ceux utilisés pour le calcul du potentiel fiscal en 2010. Il est majoré de la part de la dotation forfaitaire de la commune correspondant à la compensation prévue au I du D de l’article 44 de la loi de finances pour 1999 (no 98‑1266 du 30 décembre 1998), et minoré le cas échéant des éventuels prélèvements fiscaux subis par la commune à la suite de la suppression des CCAS et de la banalisation de l’imposition de France Télécom. Le potentiel financier de la commune correspond à son potentiel fiscal majoré de la dotation forfaitaire (hors compensation « part salaires » et compensation des baisses de DCTP) perçue l’année précédente. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 9/95 – Page 8 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1. Calcul du potentiel fiscal quatre taxes des communes Bases brutes d’imposition 2010 Taux moyen national Taxe d’habitation × 0,1521 = Taxe foncière sur les propriétés bâties × 0,1967 = Taxe foncière sur les propriétés non bâties × 0,4594 = Taxe professionnelle (bases brutes 2009) × 0,1613 (taux 2009) = Part de la dotation forfaitaire correspondant à la compensation prévue au I du D de l’article 44 de la loi de finances pour 1999 (no 98‑1266 du 30 décembre 1998) Prélèvement sur la fiscalité + + + + (a) (b) (c) (d) (e) – (f) = Potentiel fiscal = total des lignes (a) + (b) + (c) + (d) + (e) – (f) (g) + Dotation forfaitaire 2010 hors part représentant l’ancienne « part salaires » (h) = Potentiel financier = (g) + (h) 2. Calcul du potentiel financier par habitant des communes Potentiel financier / Population DGF 2011 de la commune = Potentiel financier par habitant de la commune VI. – CALCUL DE L’EFFORT FISCAL 2011 L’effort fiscal d’une commune est égal au rapport entre le produit de la taxe d’habitation, des deux taxes foncières, de la taxe ou redevance pour l’enlèvement des ordures ménagères, et le potentiel fiscal correspondant à ces trois taxes. Le produit et les bases de la taxe professionnelle ne sont pas pris en compte pour le calcul de l’effort fiscal. L’article L. 2334‑5 du code général des collectivités territoriales prévoit un mécanisme d’écrêtement du produit fiscal pris en compte pour le calcul de l’effort fiscal lorsque l’augmentation du taux moyen pondéré des trois taxes directes locales de la commune est supérieure à celle constatée pour les communes de même importance démographique. Le produit fiscal est alors calculé sur la base de cette augmentation moyenne. De manière symétrique est prévu un mécanisme destiné à ne pas pénaliser les communes qui baisseraient leur taux d’une année sur l’autre. Le taux pris en compte pour le calcul de la DGF est alors, non pas le dernier taux connu, mais celui de l’exercice précédent. Pour les communes membres d’un groupement de communes à fiscalité propre, l’effort fiscal est calculé en ajoutant au produit et au taux de chacune de leurs propres taxes communales ceux correspondant au groupement de communes. 1. Calcul de l’effort fiscal des communes Produit de la taxe d’habitation, de la taxe foncière sur les propriétés bâties, de la taxe foncière sur les propriétés non bâties, de la taxe ou redevance pour l’enlèvement des ordures ménagères majoré du produit des exonérations / Potentiel fiscal (trois taxes) = Effort fiscal de la commune 2. Modalités de l’écrêtement La loi a institué un mécanisme d’écrêtement du produit fiscal pris en compte pour le calcul de l’effort fiscal lorsque l’augmentation du taux moyen pondéré de la commune est supérieure à celle constatée pour les communes de même importance démographique. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 9/95 – Page 9 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR GROUPE DÉMOGRAPHIQUE 0 à 499 habitants.................................................................................. 500 à 999 habitants.............................................................................. 1 000 à 1 999 habitants....................................................................... 2 000 à 3 499 habitants....................................................................... 3 500 à 4 999 habitants....................................................................... 5 000 à 7 499 habitants....................................................................... 7 500 à 9 999 habitants....................................................................... 10 000 à 14 999 habitants................................................................... 15 000 à 19 999 habitants................................................................... 20 000 à 34 999 habitants................................................................... 35 000 à 49 999 habitants................................................................... 50 000 à 74 999 habitants................................................................... 75 000 à 99 999 habitants................................................................... 100 000 à 199 999 habitants.............................................................. 200 000 habitants et plus................................................................... T1 T2 0,156 805 0,157 922 0,157 235 0,159 096 0,159 657 0,161 643 0,164 615 0,166 9 0,170 894 0,173 26 0,179 6 0,182 643 0,186 298 0,189 599 0,195 183 0,197 432 0,198 972 0,201 329 0,204 279 0,206 875 0,213 6 0,216 34 0,200 624 0,202 987 0,176 901 0,180 101 0,224 686 0,228 664 0,144 038 0,149 012 Soit t1 le taux moyen pondéré de la commune en 2009. Soit t2 le taux moyen pondéré de la commune en 2010. Soit T1 le taux moyen pondéré de l’ensemble des communes de la strate en 2009. Soit T2 le taux moyen pondéré de l’ensemble des communes de la strate en 2010. Si t2 – t1 est inférieur à T2 – T1, on conserve le produit fiscal de la commune. Si t2 – t1 est supérieur à T2 – T1, le produit fiscal est écrêté dans les conditions suivantes : Premier cas Si t2 > t1, T2 – T1 > 0 et (t2 – t1) > (T2 – T1), le produit fiscal est ainsi écrêté : Base nette d’imposition à la taxe d’habitation de 2010 + Base nette d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés bâties de 2010 + Base nette d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés non bâties de 2010 Sous-total (a) + (b) + (c) { t1 + (T2 – T1) } Produit fiscal écrêté (a) (b) (c) = (d) × = AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 9/95 – Page 10 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Deuxième cas Si t2 > t1, t2 > T2 et T2 – T1 < 0, le produit fiscal est écrêté dans les conditions suivantes : Base nette d’imposition à la taxe d’habitation de 2010 (a) + Base nette d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés bâties de 2010 (b) + Base nette d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés non bâties de 2010 (c) = Sous-total (a) + (b) + (c) (d) × Si t2 + T2 – T1 > T2 alors (d) × t2 + (T2 – T1) × Si t2 + T2 – T1 < T2 alors (d) × T2 = = Produit fiscal écrêté } ou Dans les deux cas, il convient d’ajouter au produit fiscal écrêté le produit de la taxe ou redevance pour l’enlèvement des ordures ménagères ainsi que le produit des exonérations permanentes et temporaires retenues par l’article L. 2334‑6 du code général des collectivités territoriales. L’effort fiscal de la commune a été recalculé avec le produit fiscal écrêté. 3. Diminution du taux moyen pondéré des trois taxes locales Pour les communes dont le taux pondéré des trois taxes directes locales est en 2010 inférieur à celui de 2009, c’est ce dernier taux qui a été pris en compte pour le calcul du produit fiscal. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 9/95 – Page 11 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ MINISTÈRE CHARGÉ DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES _____ Direction générale des collectivités locales _____ Sous-direction des finances locales et de l’action économique _____ Bureau des concours financiers de l’État _____ Circulaire du 22 avril 2011 relative à la dotation globale de fonctionnement (DGF) des provinces de Nouvelle-Calédonie – exercice 2011 NOR : COTB1109188C Références : loi organique no 99‑209 du 19 mars 1999 relative à la Nouvelle-Calédonie. Résumé : la présente circulaire a pour objet de vous rappeler les modalités de répartition de la dotation globale de fonctionnement des provinces de Nouvelle-Calédonie. Le ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, chargé des collectivités territoriales à Monsieur le haut-commissaire de la République en NouvelleCalédonie. 1. Rappel du cadre juridique de la dotation L’article 181 de la loi organique du 19 mars 1999 prévoit que l’État verse annuellement aux provinces de NouvelleCalédonie, hors contrat de développement, une dotation globale de fonctionnement. 2. Modalités de calcul du montant de la dotation Depuis 2001, le taux d’évolution de cette dotation est identique à celui de la dotation globale de fonctionnement prévue à l’article L. 1613‑1 du code général des collectivités territoriales. Pour l’année 2011, le montant de cette dotation a été fixé à 82 497 618 € en LFI (en AE = CP). 3. Modalités de répartition et de versement de la dotation aux collectivités concernées Depuis 2009, la gestion de cette dotation, auparavant assurée par le secrétariat d’État à l’outre-mer, relève de la direction générale des collectivités locales (DGCL), selon les modalités indiquées ci-après. Les crédits sont inscrits à la première sous-action de l’action 4 « dotations outre-mer » du programme 122 « concours spécifiques et administration » de la mission « relation avec les collectivités territoriales ». Le responsable de programme est le directeur général des collectivités locales, le responsable de BOP est le sous-directeur des finances locales et de l’action économique, et vos services constituent l’unique unité opérationnelle concernée par cette ligne. Pour tout renseignement complémentaire sur le cadre général, je vous invite à consulter la charte de gestion pour 2011 du programme 122, qui vous sera prochainement transmise. Les délégations de crédits s’effectueront de la manière suivante : – une première délégation, correspondant à 80 % de l’enveloppe, interviendra en début d’année ; – une seconde délégation, correspondant au solde (20 %), interviendra au second semestre, après la levée du gel opérée à hauteur de 5 % (en AE = CP) sur les crédits inscrits en LFI. Des lettres de notification précisant le montant et la date des délégations de crédits vous seront adressées systématiquement ; elles vous préciseront les modalités d’imputation comptable de la DGF des provinces de Nouvelle-Calédonie. Je vous rappelle que les engagements et les mandatements de ces crédits aux collectivités doivent impérativement être établis au niveau local sous la catégorie 63 et l’article d’exécution 34. La répartition de la DGF entre les provinces est assurée par vos soins ; vous voudrez bien adresser à cet effet aux collectivités copie des arrêtés de notification de leur dotation. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 10/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Compte tenu de l’attention portée sur le niveau de consommation des crédits en régime LOLF et de l’obligation légale qui s’attache au versement de la DGF des provinces de Nouvelle-Calédonie, aucun crédit sans emploi (CSE) ne devra être rendu en fin d’année. Toute difficulté dans l’application de la présente circulaire devra être signalée à : direction générale des collectivités locales (sous-direction des finances locales et de l’action économique, bureau des concours financiers de l’État), Mme Claudy DAVILLE, tél. : 01 49 27 37 52, mél : [email protected]. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général des collectivités locales, É. Jalon AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 10/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ MINISTÈRE CHARGÉ DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES _____ Direction générale des collectivités locales _____ Sous-direction des finances locales et de l’action économique _____ Bureau des concours financiers de l’État _____ Circulaire du 22 avril 2011 relative à la répartition de la dotation nationale de péréquation (DNP) pour l’année 2011 NOR : COTB1109435C Pièces jointes : 4 annexes. Résumé : la présente circulaire a pour objet de vous préciser les conditions d’éligibilité et les modalités de répartition de la dotation nationale de péréquation (DNP) pour 2011. Les fiches de notification vous sont adressées par l’intranet Colbert Départemental. Le ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, chargé des collectivités territoriales à Mesdames et Messieurs les préfets (métropole). La DNP comprend deux parts : une part dite « principale », qui vise à corriger les insuffisances de potentiel financier, et une part dite « majoration », plus spécifiquement destinée à la réduction des écarts de potentiel fiscal calculé par seule référence à l’ancienne taxe professionnelle, celle-ci ayant été supprimée par la loi de finances pour 2010. I. – DÉTERMINATION DE LA MASSE À RÉPARTIR Les crédits alloués à la DNP s’élèvent en 2011 à 755 540 700 € (contre 712 538 131 € en 2010). La somme effectivement mise en répartition entre les communes de métropole s’élève à 715 856 193 € (contre 675 219 622 € en 2010) après prélèvement de la quote-part réservée aux communes des départements et collectivités d’outre-mer. Cette masse à répartir en métropole se ventile de la manière suivante entre les deux parts de la DNP : – le montant de la part principale s’élève en 2011 à 556 389 642 € (contre 524 805 411 € en 2010) ; – celui de la majoration à 159 466 552 € (contre 150 414 211 € en 2010). II. – RÉPARTITION DE LA PART PRINCIPALE DE LA DNP A. – Les conditions d’éligibilité 1. Les conditions de droit commun Sont éligibles : – les communes qui satisfont cumulativement aux deux conditions suivantes (code 1) : – avoir un potentiel financier par habitant supérieur de 5 % au plus à la moyenne du groupe démographique correspondant ; – avoir un effort fiscal supérieur à la moyenne du groupe démographique correspondant ; – les communes de plus de 10 000 habitants qui répondent également aux deux conditions suivantes (code 6) : – avoir un potentiel financier par habitant inférieur ou égal à 85 % du potentiel financier du groupe démographique correspondant ; – avoir un effort fiscal supérieur à 85 % de la moyenne du groupe démographique correspondant. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 11/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 2. Les conditions dérogatoires Sont également éligibles les communes répondant à l’une des conditions suivantes : – avoir un potentiel financier par habitant supérieur de 5 % au plus à la moyenne du groupe démographique correspondant et un taux de taxe professionnelle égal en 2009 au taux plafond à savoir 32,26 %. Ces communes bénéficient d’une attribution à taux plein (code 3) ; À noter : en raison de la suppression de la taxe professionnelle par la loi de finances pour 2010, le taux plafond de taxe professionnelle pris en compte dans la répartition de la DNP 2011 est celui de 2009, à savoir 32,26 %. – avoir un potentiel financier par habitant supérieur au plus de 5 % à la moyenne du groupe démographique correspondant et un effort fiscal compris entre l’effort fiscal moyen des communes du même groupe démographique et 85 % de cet effort fiscal moyen. Ainsi, l’assouplissement des conditions de droit commun ne concerne que la condition liée à l’effort fiscal. La condition relative au potentiel financier reste impérative. Dans cette seconde hypothèse dérogatoire (code 2), les communes éligibles à titre dérogatoire perçoivent une attribution réduite de moitié. On notera au passage que, dans l’hypothèse où cet abattement induirait une diminution supérieure à 50 % du montant perçu en 2010 par les communes concernées, un total de 50 % du montant perçu en 2010 leur serait cependant garanti. B. – La répartition des ressources entre les strates Les ressources de la part principale de la DNP font l’objet d’une répartition entre, d’une part, les communes de 200 000 habitants et plus et, d’autre part, celles de moins de 200 000 habitants. C. – La répartition entre les communes 1. L’attribution d’une garantie d’inéligibilité (code 4) Elle est versée aux communes éligibles en 2010 qui ne remplissent plus les conditions d’éligibilité en 2011. Ces communes reçoivent, à titre de garantie pour 2011, une attribution égale à 50 % de leur part principale de 2010. 2. L’attribution des communes éligibles en 2011 Au regard de l’article L. 2334‑14-I-VII du CGCT, les communes qui ont un montant d’attribution de garantie inférieur ou égal à 300 € ne perçoivent aucune attribution. L'attribution des communes éligibles à la DNP selon les conditions de droit commun (codes 1 et 6) et la condition dérogatoire en cas de plafonnement de la taxe professionnelle (code 3). Part principale DNP = {1,05 ×PFiPFi – PFi} × Pop × VP1 Part principale DNP = {1,05 ×PFiPFi – PFi} × Pop × VP2 Ou Avec : PFi = Potentiel financier moyen par habitant du groupe démographique auquel appartient la commune. PFi = Potentiel financier par habitant de la commune. Pop = Population DGF 2011 de la commune. VP1 = Valeur de point, soit 64,69 168 € pour les communes de moins de 200 000 habitants. VP2 = Valeur de point, soit 39,918 838 € pour les communes de plus de 200 000 habitants. L'attribution des communes éligibles à la DNP en 2011 en cas d’effort fiscal compris entre 85 % et 100 % de l’effort fiscal moyen des communes du même groupe démographique (code 2) Ou { × Pop × VP1 × 1 } 2 Part principale DNP = {1,05 × PFi – PFi} × Pop × VP2 × 1 2 PFi Part principale DNP = 1,05 × PFi – PFi PFi Avec : PFi = Potentiel financier moyen par habitant du groupe démographique auquel appartient la commune. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 11/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR PFi = Potentiel financier par habitant de la commune. Pop = Population DGF 2011 de la commune. VP1 = Valeur de point, soit 64,69 168 € pour les communes de moins de 200 000 habitants. VP2 = Valeur de point, soit 39,918 838 € pour les communes de plus de 200 000 habitants. À l’issue de ce calcul, les communes éligibles, dont l’attribution 2011 est inférieure de 50 % à celle de 2010, bénéficient d’une garantie égale à 50 % du montant perçu en 2010 au titre de la part principale. Cette garantie est prélevée sur la masse à répartir. 3. Aucun versement inférieur ou égal à 300 € Conformément au VII de l’article L. 2334‑14-I-VII du CGCT, aucune attribution inférieure ou égale à 300 € n’est versée aux communes. III. – RÉPARTITION DE LA MAJORATION DE LA DNP A. – Les conditions d’éligibilité Sont éligibles à cette majoration les communes qui satisfont cumulativement aux trois conditions suivantes : – être éligibles à la part principale de la dotation nationale de péréquation (même si aucune attribution n’a été versée en raison d’un montant inférieur ou égal à 300 €) ; – compter moins de 200 000 habitants ; – avoir un potentiel fiscal taxe professionnelle par habitant inférieur de 15 % à la moyenne du groupe démographique auquel elles appartiennent. B. – La répartition de cette majoration entre les communes éligibles Le calcul de la dotation des communes éligibles s’effectue en appliquant la formule suivante : { } Majoration DNP = PFTP – PFTP × Pop × VP3 PFTP Avec : PFTP = Potentiel fiscal taxe professionnelle moyen par habitant du groupe démographique auquel appartient la commune. PFTP = Potentiel fiscal taxe professionnelle par habitant de la commune. Pop = Population DGF 2011 de la commune. VP3 = Valeur de point, soit 11,379 159 €. Comme pour la part principale, et ce conformément au VII de l’article L. 2334‑14-I-VII du CGCT, aucune attribution de la part majoration inférieure ou égale à 300 € n’est versée. IV. – MODALITÉS DE NOTIFICATION ET DE VERSEMENT DES DOTATIONS Les montants de la DNP sont accessibles sur le site internet de la DGCL depuis le 1er avril 2011. Toutefois, seule la notification par vos soins fait foi. A. – Les fiches de notification Vous trouverez les fiches de notification sur Colbert Départemental pour les communes bénéficiaires, c’est-à-dire éligibles à la DNP au titre des codes 1, 2, 3, 5 et 6 (cf. annexe I), ou sortantes et bénéficiant de la garantie de sortie (code 4). B. – Les modalités de versement des attributions Vous notifierez, dès réception de la présente circulaire, les dotations aux communes pour l’établissement de leur budget. J’attire également votre attention sur les conséquences de la circulaire interministérielle du 21 novembre 2006 relative aux versements des dotations de l’État, qui prévoit que les collectivités doivent désormais être informées de la date à laquelle s’effectuera le versement de la dotation sur leur compte au Trésor public, dans la lettre leur notifiant leur attribution. La DNP est en effet concernée par les dispositions relatives aux dotations non mensualisées, pour lesquelles il vous appartient de fixer la date de versement, en accord avec les services du Trésor. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 11/95 – Page 3 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR C. – Les modalités de notification des attributions Vos arrêtés devront viser le compte de la DGF, soit le compte no 465‑12111 « Fonds nationaux des collectivités territoriales – DGF – répartition initiale de l’année – année 2011 », ouvert en 2011 dans les écritures du trésorier-payeur général. En cas de rectification, vos arrêtés de versement ou de reversement rectifiant le montant de la dotation d’aménagement versée au titre des années antérieures ou au titre de l’année en cours viseront le compte no 465‑1212 « Dotation globale de fonctionnement – Opérations de régularisation ». L’inscription des dotations dans les budgets est à effectuer, pour chacune des communes concernées, au compte 74127 (comptabilité M14). Je vous rappelle que pour permettre l’application des dispositions des articles R. 421‑5 du code de justice administrative, doivent être expressément mentionnés, lors de la notification de chaque dotation aux collectivités bénéficiaires, les voies et délais de recours contre une telle décision. Vous veillerez donc à l’indiquer dans la lettre-circulaire par laquelle vous notifiez aux communes le montant de leurs attributions. Je vous invite, par ailleurs, afin de prévenir tout contentieux, à indiquer également que, durant le délai de recours contentieux, un recours gracieux peut être exercé auprès de vos services. Ce recours gracieux interrompt le délai de recours contentieux, qui ne courra à nouveau qu’à compter de l’intervention de votre réponse. Je vous rappelle à cet égard, qu’en application de l’article R. 421‑2 du code précité « le silence gardé pendant plus de deux mois sur une réclamation par l’autorité compétente vaut décision de rejet ». Toute difficulté dans l’application de la présente circulaire devra être signalée à la direction générale des collectivités locales, sous-direction des finances locales et de l’action économique, bureau des concours financiers de l’État, Mme Élodie DUCROHËT, tél. : 01 49 27 39 65, mél. : é[email protected]. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général des collectivités locales, É. Jalon AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 11/95 – Page 4 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE I Fiche technique relative aux codes DNP Code 1. – Communes éligibles de plein droit : – elles sont éligibles selon les conditions de droit commun ; – elles bénéficient d’une attribution intégrale à 100 %. Code 2. – Effort fiscal assoupli : – elles sont éligibles en raison de leur effort fiscal, compris entre 85 % et 100 % de l’effort fiscal de référence ; – elles bénéficient d’une attribution minorée, c’est-à-dire que l’attribution 2011 est réduite de moitié (tout en restant au moins égale à 50 % du montant 2010 pour la part principale). Code 3. – Communes possédant un taux de taxe professionnelle plafonné : – elles sont éligibles en raison de leur taux de taxe professionnelle ; – elles bénéficient d’une attribution de droit commun. Code 4. – Communes non éligibles en 2011 et bénéficiant de la garantie d’inéligibilité : – il s’agit des communes qui, éligibles en 2010, ne le sont plus en 2011. Code 5. – Communes éligibles à la part principale en 2011 mais bénéficiant de la garantie d’attribution : – il s’agit de toutes les communes éligibles en 2011 (selon les conditions de droit commun ou les conditions dérogatoires) et dont la référence pour le calcul de leur part principale correspond à 50 % de leur part principale en 2010, ce seuil étant supérieur à ce qu’aurait été leur dotation en 2011. Code 6. – Communes de plus de 10 000 habitants éligibles selon les conditions de droit commun : – il s’agit des communes dont le potentiel financier par habitant est inférieur ou égal à 85 % de la moyenne de la strate et dont l’effort fiscal est supérieur à 85 % de la moyenne de leur strate ; – elles bénéficient d’une attribution à hauteur de 100 %. ANNEXE II Calcul du potentiel fiscal et financier 2011 La loi de finances pour 2010 prévoit dans son dispositif la suppression de la taxe professionnelle. Cette suppression n’est pas sans conséquences pour les dotations de l’État versées aux collectivités territoriales, dans la mesure où la taxe professionnelle est prise en compte dans le calcul du potentiel fiscal des collectivités afin de déterminer l’éligibilité à une dotation et le montant versé. Le nouvel article L. 2334‑4 du CGCT prévoit que pour l’année 2011, le potentiel fiscal d’une commune est déterminé par application aux bases communales des quatre taxes directes locales du taux moyen national d’imposition de chacune de ces taxes. Pour la taxe foncière sur les propriétés bâties, la taxe foncière sur les propriétés non bâties et la taxe d’habitation, les bases retenues sont les bases brutes de la dernière année dont les résultats sont connus servant à l’assiette des impositions communales. Les taux moyens nationaux sont ceux constatés lors de la dernière année dont les résultats sont connus. Pour la taxe professionnelle, les bases et le taux moyen sont ceux utilisés pour le calcul du potentiel fiscal en 2010. Il est majoré de la part de la dotation forfaitaire de la commune correspondant à la compensation prévue au I du D de l’article 44 de la loi de finances pour 1999 (no 98‑1266 du 30 décembre 1998), et minoré le cas échéant des éventuels prélèvements fiscaux subis par la commune à la suite de la suppression des CCAS et de la banalisation de l’imposition de France Télécom. Le potentiel financier de la commune correspond à son potentiel fiscal majoré de la dotation forfaitaire (hors compensation « part salaires » et compensation des baisses de DCTP) perçue l’année précédente. 1. Calcul du potentiel fiscal quatre taxes des communes Bases brutes d’imposition 2010 Taxe d’habitation Taux moyen national 2010 × 0,1521 = (a) + AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 11/95 – Page 5 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Taxe foncière sur les propriétés bâties × 0,1967 = (b) + Taxe foncière sur les propriétés non bâties × 0,4594 = (c) + Bases brutes d’imposition 2009 Taux moyen national 2009 Taxe professionnelle × 0,1613 = (d) + Part de la dotation forfaitaire correspondant à la compensation prévue au I du D de l’article 44 de la loi de finances pour 1999 (no 98‑1266 du 30 décembre 1998) (e) – Prélèvement sur la fiscalité (f) = Potentiel fiscal = total des lignes (a) + (b) + (c) + (d) + (e) – (f) = (g) + Dotation forfaitaire 2010 hors part représentant l’ancienne « part salaires » (h) = Potentiel financier = (g) + (h) 2. Calcul du potentiel financier par habitant des communes Potentiel financier / Population DGF 2011 de la commune = Potentiel financier par habitant de la commune ANNEXE III Calcul de l’effort fiscal L’effort fiscal d’une commune est égal au rapport entre le produit de la taxe d’habitation, des deux taxes foncières, de la taxe ou redevance pour l’enlèvement des ordures ménagères, et le potentiel fiscal correspondant à ces trois taxes. Le produit et les bases de la taxe professionnelle ne sont pas pris en compte pour le calcul de l’effort fiscal. L’article L. 2334‑5 du code général des collectivités territoriales prévoit un mécanisme d’écrêtement du produit fiscal pris en compte pour le calcul de l’effort fiscal lorsque l’augmentation du taux moyen pondéré des trois taxes directes locales de la commune est supérieure à celle constatée pour les communes de même importance démographique. Le produit fiscal est alors calculé sur la base de cette augmentation moyenne. De manière symétrique est prévu un mécanisme destiné à ne pas pénaliser les communes qui baisseraient leur taux d’une année sur l’autre. Le taux pris en compte pour le calcul de la DGF est alors, non pas le dernier taux connu, mais celui de l’exercice précédent. Pour les communes membres d’un groupement de communes à fiscalité propre, l’effort fiscal est calculé en ajoutant au produit et au taux de chacune de leurs propres taxes communales ceux correspondant au groupement de communes. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 11/95 – Page 6 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1. Calcul de l’effort fiscal des communes roduit de la taxe d’habitation, de la taxe foncière sur les propriétés bâties, de la taxe P foncière sur les propriétés non bâties, de la taxe ou redevance pour l’enlèvement des ordures ménagères majoré du produit des exonérations / Potentiel fiscal (trois taxes) = Effort fiscal de la commune 2. Modalités de l’écrêtement La loi a institué un mécanisme d’écrêtement du produit fiscal pris en compte pour le calcul de l’effort fiscal lorsque l’augmentation du taux moyen pondéré de la commune est supérieure à celle constatée pour les communes de même importance démographique. STRATE DÉMOGRAPHIQUE T1 T2 1 0 à 499 habitants 0,156805 0,157922 2 500 à 999 habitants 0,157235 0,159096 3 1 000 à 1 999 habitants 0,159657 0,161643 4 2 000 à 3 499 habitants 0,164615 0,1669 5 3 500 à 4 999 habitants 0,170894 0,17326 6 5 000 à 7 499 habitants 0,1796 0,182643 7 7 500 à 9 999 habitants 0,186298 0,189599 8 10 000 à 14 999 habitants 0,195183 0,197432 9 15 000 à 19 999 habitants 0,198972 0,201329 10 20 000 à 34 999 habitants 0,204279 0,206875 11 35 000 à 49 999 habitants 0,2136 0,21634 12 50 000 à 74 999 habitants 0,200624 0,202987 13 75 000 à 99 999 habitants 0,176901 0,180101 14 100 000 à 199 999 habitants 0,224686 0,228664 15 200 000 habitants et plus 0,144038 0,149012 soit t1 le taux moyen pondéré de la commune en 2009. soit t2 le taux moyen pondéré de la commune en 2010. soit T1 le taux moyen pondéré de l’ensemble des communes de la strate en 2009. soit T2 le taux moyen pondéré de l’ensemble des communes de la strate en 2010. Si t2 – t1 est inférieur à T2 – T1, on conserve le produit fiscal de la commune. Si t2 – t1 est supérieur à T2 – T1, le produit fiscal est écrêté dans les conditions suivantes : 1er cas Si t2 > t1, T2 – T1 > 0 et (t2 – t1) > (T2 – T1), le produit fiscal est écrêté dans les conditions suivantes : Base nette d’imposition à la taxe d’habitation de 2010 (a) + Base nette d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés bâties en 2010 (b) + AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 11/95 – Page 7 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Base nette d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés non bâties de 2010 (c) = Sous-total (a) + (b) + (c) (d) × {t1 + (T2 – T1)} = Produit fiscal écrêté 2e cas Si t2 > t1, t2 > T2 et T2 – T1 < 0, le produit fiscal est écrêté dans les conditions suivantes : Base nette d’imposition à la taxe d’habitation de 2010 (a) + Base nette d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés bâties en 2010 (b) + Base nette d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés non bâties de 2010 (c) = Sous-total (a) + (b) + (c) × si t2 + T2 – T1 > T2 alors (d) × t2 + (T2 – T1) × si t2 + T2 – T1 < T2 alors (d) × T2 × } (d) (ou) = = Produit fiscal écrêté Dans les deux cas, il convient d'ajouter au produit fiscal écrêté le produit de la taxe ou redevance pour l'enlèvement des ordures ménagères ainsi que le produit des exonérations permanentes et temporaires retenues par l'article L. 2334‑6 du code général des collectivités territoriales. L'effort fiscal de la commune a été recalculé avec le produit fiscal écrêté. 3. Diminution du taux moyen pondéré des trois taxes locales Pour les communes dont le taux pondéré des trois taxes directes locales est en 2010 inférieur à celui de 2009, c’est ce dernier taux qui a été pris en compte pour le calcul du produit fiscal. ANNEXE IV Potentiels financiers, efforts fiscaux et DNP par strate 2011 Pour chaque strate démographique de communes, les valeurs moyennes de potentiel financier et d’effort fiscal retenues pour déterminer l’éligibilité des communes sont les suivantes : STRATE démographique EF MOYEN EF MOYEN 10 11 VAR EF % PFI/HAB 2010 PFI/HAB 2011 VAR PFI % DNP 10 DNP 11 VAR DNP % 1 : 0 à 499 habitants 1,007949 0,989153 – 1,865 % 538,000645 546,1601 1,517 % 48 456 874 51 747 004 6,790 % 2 : 500 à 999 habitants 1,048580 1,026172 – 2,137 % 601,29446 610,625737 1,552 % 64 983 682 69 600 720 7,105 % 3 : 1 000 à 1 999 habitants 1,083843 1,063502 – 1,877 % 662,325194 670,71666 1,267 % 79 722 276 85 675 323 7,467 % 4 : 2 000 à 3 499 habitants 1,120171 1,100803 – 1,729 % 770,431026 779,507965 1,178 % 74 484 704 79 593 857 6,859 % AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 11/95 – Page 8 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR STRATE démographique EF MOYEN EF MOYEN 10 11 VAR EF % PFI/HAB 2010 PFI/HAB 2011 VAR PFI % DNP 10 DNP 11 VAR DNP % 5 : 3 500 à 4 999 habitants 1,159803 1,138934 – 1,799 % 842,849422 853,815195 1,301 % 42 995 545 45 676 666 6,236 % 6 : 5 000 à 7 499 habitants 1,188939 1,175324 – 1,145 % 937,193532 948,316628 1,187 % 54 470 299 58 527 077 7,448 % 7 : 7 500 à 9 999 habitants 1,209207 1,208670 – 0,044 % 988,108876 997,628744 0,963 % 35 700 759 37 545 398 5,167 % 8 : 10 000 à 14 999 habitants 1,290021 1,264322 – 1,992 % 957,915429 980,10789 2,317 % 39 261 659 42 432 363 8,076 % 9 : 15 000 à 19 999 habitants 1,279578 1,269663 – 0,775 % 1 032,487026 1 049,982187 1,694 % 25 691 800 27 643 770 7,598 % 10 : 20 000 à 34 999 habitants 1,295220 1,282425 – 0,988 % 1 017,430009 1 038,130738 2,035 % 51 835 478 54 758 321 5,639 % 11 : 35 000 à 49 999 habitants 1,328553 1,317649 – 0,821 % 1 128,381942 1 147,171049 1,665 % 38 219 990 39 417 078 3,132 % 12 : 50 000 à 74 999 habitants 1,276107 1,261660 – 1,132 % 1 120,597242 1 127,895338 0,651 % 36 018 271 36 101 662 0,232 % 13 : 75 000 à 99 999 habitants 1,096243 1,121679 2,320 % 1 234,788711 1 247,981068 1,068 % 18 729 365 20 208 584 7,898 % 14 : 100 000 à 199 999 habitants 1,423764 1,414598 – 0,644 % 1 091,314124 1 118,735028 2,513 % 23 342 106 25 869 508 10,828 % 15 : 200 000 habitants et plus 0,915096 0,945900 3,366 % 1 323,022777 1 387,462357 4,871 % 41 085 806 41 058 925 – 0,065 % AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 11/95 – Page 9 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ MINISTÈRE CHARGÉ DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES _____ Direction générale des collectivités locales _____ Sous-direction des finances locales et de l’action économique _____ Bureau des concours financiers de l’État _____ Circulaire du 26 avril 2011 relative à la dotation d’intercommunalité des EPCI à fiscalité propre – Année 2011 NOR : COTB1109728C Résumé : la présente circulaire a pour objet de vous présenter les modalités de répartition de la dotation d’intercommunalité des établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) en 2011. Le ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, chargé des collectivités territoriales, à Mesdames et Messieurs les préfets de département, de métropole et d’outre-mer ; Monsieur le haut-commissaire de la République en Polynésie française. Afin de faciliter l’élaboration et l’adoption des budgets des EPCI et de leur donner accès le plus rapidement possible au montant des dotations leur revenant, le résultat de la répartition de la dotation d’intercommunalité est en ligne sur le site internet de la DGCL (http://www.dgcl.interieur.gouv.fr). Toutefois, seule la notification officielle par vos soins de la dotation d’intercommunalité revenant à chaque EPCI fait foi. Les fiches individuelles de notification des attributions de la dotation d’intercommunalité vous seront expédiées par l’intermédiaire de la messagerie Colbert Départemental. Je vous invite donc, dès réception de cette circulaire, à télécharger les fiches de notification de la dotation d’intercommunalité, qui prennent la forme de fichier « PDF ». La procédure de téléchargement est décrite sur la page d’accueil de Colbert Départemental. Il vous appartient de transmettre ces fiches le plus rapidement possible aux groupements. Je vous rappelle que pour permettre l’application des dispositions de l’article R. 421‑5 du code de justice administrative, les voies et délais de recours contre la décision d’attribution doivent être expressément mentionnés lors de la notification de chaque dotation aux collectivités bénéficiaires. Cette mention est donc inscrite sur chaque fiche individuelle de notification. Je vous invite néanmoins, afin de prévenir tout contentieux, à indiquer aux collectivités bénéficiaires que, durant le délai de deux mois mentionné sur la fiche de notification, un recours gracieux peut être exercé auprès de vos services. Ce recours gracieux interrompt le délai du recours contentieux, qui ne courra à nouveau qu’à compter de l’intervention de votre réponse. Je vous rappelle à cet égard, qu’en application de l’article R. 421‑2 du code précité : « le silence gardé pendant plus de deux mois sur une réclamation par l’autorité compétente vaut décision de rejet ». Vos arrêtés de versement viseront le compte, ouvert en 2011 dans les écritures du trésorier-payeur général, sous le numéro 465-1211-1 : « Dotation globale de fonctionnement/Répartition initiale de l’année – Année 2011 ». En outre, comme l’an passé et conformément aux instructions de la lettre circulaire interministérielle du 11 février 2002, tous vos arrêtés de versement ou de reversement à l’occasion d’une rectification éventuelle de la dotation d’intercommunalité. viseront le compte unique no 465‑1212 « Dotation globale de fonctionnement – Opérations de régularisation », que les rectifications portent sur les dotations allouées au titre de l’exercice 2011 ou des années antérieures. L’inscription de la dotation d’intercommunalité dans les budgets des établissements publics de coopération intercommunale est à effectuer, selon la nouvelle nomenclature budgétaire M14, au compte suivant : 74124 – Dotation d’intercommunalité. La bonification prévue à l'article 5211‑29-II, alinéa 2, du CGCT pour les communautés de communes à fiscalité professionnelle unique (FPU) est inscrite au même compte. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 12/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Toute difficulté dans l'application de la présente circulaire devra être signalée à la direction générale des collectivités locales, sous-direction des finances locales et de l'action économique, bureau des concours financiers de l'État. Mlle JARDIN Alexandra (tél. : 01 40 07 67 23), mél. : [email protected]. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général des collectivités locales, É. Jalon AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 12/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR SECTION 1 Présentation générale des modalités de répartition III. – DISPOSITIONS PRÉVUES PAR LE CGCT 1. Les différentes catégories d’EPCI 2. Le calcul des dotations par habitant 3. La majoration des CC à fiscalité additionnelle 4. La dotation d’intercommunalité des communautés urbaines III. – LES DONNÉES UTILISÉES 1. La population 2. Le coefficient d’intégration fiscale 3. Le potentiel fiscal III. – LES MODALITÉS DE RÉPARTITION DE LA DOTATION D’INTERCOMMUNALITÉ 1. La dotation spontanée 2. Les majorations et bonifications 3. Les garanties 4. Les fusions d’EPCI 5. Les dissolutions IV. – TABLEAU DE SYNTHÈSE SECTION 2 Fiches de calcul FICHE NO 1. – Les communautés urbaines FICHE NO 2. – Les communautés d’agglomération FICHE NO 3. – Les communautés de communes à fiscalité additionnelle FICHE NO 4. – Les communautés de communes à fiscalité professionnelle unique FICHE NO 5. – Les syndicats d’agglomération nouvelle AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 12/95 – Page 3 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR SECTION 1 Modalités de répartition de la dotation d’intercommunalité des EPCI à fiscalité propre I. – RAPPEL DES DISPOSITIONS PRÉVUES AUX ARTICLES L. 5211‑28 À L. 5211‑33 DU CGCT 1. Les catégories d’EPCI Les dispositions de la loi du 12 juillet 1999, codifiées à l’article L. 5211‑29 du CGCT précisent que cinq catégories d'EPCI peuvent percevoir la dotation d’intercommunalité. Il s’agit : – des communautés de communes à fiscalité additionnelle ; – des communautés de communes à fiscalité professionnelle unique (FPU) ; – des communautés urbaines ; – des communautés d’agglomération ; – des syndicats ou communautés d’agglomération nouvelle. 2. Le calcul des dotations par habitant La dotation par habitant de chacune des catégories d’EPCI était habituellement fixée par le comité des finances locales. Cependant, compte tenu de la stabilisation en valeur des concours de l’État aux collectivités territoriales, la loi de finances pour 2011 a prévu que les montants moyens de dotations par habitant soient cette année gelés. Par conséquent, l’ensemble des dotations par habitant permettant d’établir les enveloppes de chaque catégorie d’EPCI sont égales à celles de l’année dernière, à savoir : 2011 DOT/HAB MASSES TOTALES RÉPARTIES CA 45,40 1 089 417 310 SAN 48,42 16 738 034 CC 4T 20,05 264 833 719 CC FPU bonifiée 34,06 574 960 678 CC FPU simple 24,48 17 780 191 CU 60,00 626 555 029 TOTAL 42,13 2 590 284 962 De plus, afin d’absorber les surcoûts liés aux modifications des caractéristiques physico-financières des EPCI (telles que les augmentations de population, mouvements de périmètres, changements de catégorie...) et de dégager davantage de marges de manœuvre au profit de la péréquation intercommunale, les seuils des garanties accordées au titre des coefficients d’intégration fiscale des EPCI ont été relevés ; ce seuil passe de 0,5 à 0,6 pour les communautés de communes à 4 taxes et de 0,4 à 0,5 pour les communautés de communes à FPU et communautés d’agglomération. La mise en œuvre de la réforme des collectivités territoriales a en outre supprimé la garantie attribuée aux CA issues de SAN, elles ne font dès lors plus l’objet d’un traitement particulier. 3. La majoration des CC à fiscalité additionnelle La loi de finances rectificative pour 2001 a prévu un mécanisme visant à garantir aux communautés de communes à fiscalité additionnelle existant depuis au moins deux ans (soit toutes celles créées avant le 1er janvier 2010 pour l’exercice 2011) une dotation d’intercommunalité moyenne par habitant au moins égale à celle perçue par les mêmes EPCI l’année précédente et indexée comme le taux d’évolution de la dotation d’intercommunalité des communautés de communes à fiscalité additionnelle. La dotation de référence à prendre en compte pour les communautés de communes à fiscalité additionnelle de deux ans et plus en 2011 s’élève ainsi à 22,54 €. La dotation moyenne pour les communautés de communes à fiscalité additionnelle en 2011 s’établissant à 20,05 € par habitant, la majoration applicable aux communautés de communes de deux ans et plus se calcule de la manière suivante : Majoration = Pop EPCI (+ 2 ans) × (22,54 – 20,05) AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 12/95 – Page 4 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR La majoration dont bénéficient les CC à fiscalité additionnelle de deux ans et plus correspond par conséquent au produit de la population des communautés de communes d'au moins deux ans dans la catégorie par la différence entre la dotation moyenne minimale qui leur est due et celle fixée par le CFL au titre de l’exercice en cours. Cette majoration s'élève à 29,192 millions d'euros en 2011 et est répartie comme la dotation de base et de péréquation entre tous les EPCI percevant pour la deuxième année au moins la dotation d’intercommunalité dans la catégorie. 4. La dotation d’intercommunalité des communautés urbaines Entre 2003 et 2009, la dotation d’intercommunalité de chaque communauté urbaine était calculée par simple indexation, d’une année sur l’autre, sur le taux de progression de la dotation forfaitaire des communes (hors part « compensations »). L’article 167 de la loi de finances pour 2009 introduit un nouveau mode de calcul de la dotation d’intercommunalité des communautés urbaines. En effet, il prévoit qu’à compter de 2009, les communautés urbaines bénéficient d’une dotation de base de 60 € par habitant, majorée pour les communautés urbaines créées avant 2008 d’un dispositif de garantie calibré de manière à leur assurer le maintien en 2009 de leur montant de dotation d’intercommunalité pour 2008, indexé au plus sur le taux d’évolution de la dotation forfaitaire des communes pour 2009 (hors part « compensation »). À compter de 2010, le comité des finances locales décide, chaque année, de l’évolution de la dotation d’intercommunalité par habitant des communautés urbaines, dans la limite du taux d’évolution de la dotation forfaitaire des communes. Cependant, compte tenu du gel des dotations moyennes par habitant, le montant total de la masse à répartir s’établit donc à 626,55 M €, contre 623,45 M € en 2010. II. – LES DONNÉES UTILISÉES 1. La population Détermination des seuils de population La population à prendre en compte pour définir les seuils de population requis pour la constitution d’une communauté d’agglomération ou pour les communautés de communes à FPU bénéficiant de la bonification de leur dotation d’intercommunalité (34,06 € par habitant en moyenne en 2011) n’est pas la somme des « populations DGF » des communes membres mais la somme des populations totales communales, c’est-à-dire la somme des populations municipales augmentée des populations comptées à part (soit « la population INSEE »). On ne prend donc pas en compte le nombre de résidences secondaires sur le territoire de l’EPCI pour définir ces seuils de population. La population utilisée pour le calcul de la dotation d’intercommunalité La population d’un établissement public s’apprécie au 1er janvier de l’année au titre de laquelle la répartition est effectuée. Contrairement à la population retenue pour déterminer les seuils de population, le calcul de la dotation d’intercommunalité d’un groupement de communes s'effectue à partir de la « population DGF ». Il s’agit donc de la somme des « populations DGF » 2011 des communes membres. 2. Le coefficient d’intégration fiscale – CIF (art. L. 5211‑30 du CGCT) La loi du 12 juillet 1999 a généralisé l'utilisation du CIF à toutes les catégories d'EPCI à l'exception des SAN. Toutefois, afin de ne pas bouleverser la répartition de la dotation pour les communautés de communes à FPU, le CIF a été pris en compte progressivement par dixième sur dix ans. Il intervient à hauteur de 100 % depuis 2009. Pour mieux mesurer l’intégration fiscale effective des groupements, le CIF est minoré des dépenses de transferts versées par les EPCI aux communes membres (sauf pour les CC 4T). Les dépenses de transfert retenues pour déterminer le CIF sont, depuis 2005, l’attribution de compensation et la moitié de la dotation de solidarité communautaire telles que constatées dans le dernier compte administratif disponible (c’est-àdire celui de l'année 2009 pour la répartition de 2011). Depuis 2006, les dépenses retenues sont déduites du numérateur du CIF à hauteur de l’intégralité de leur montant (contre 75 % de ce montant en 2005). En revanche, les attributions de compensation dites « négatives » majorent le produit fiscal pris en compte. Compte tenu de la réforme de la taxe professionnelle et de l’instauration d’un régime transitoire mis en place pour compenser les pertes de ressources des collectivités (compensation relais), la définition des produits des taxes, redevances et allocations compensatrices pris en compte pour le calcul du CIF a légèrement évolué par rapport à 2010. Ainsi, le produit de compensation relais perçu en 2010 se substitue au produit de taxe professionnelle dans le calcul du CIF. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 12/95 – Page 5 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Il convient également de souligner que la compensation relative à la suppression des bases salaires de la TP est depuis 2004 intégrée dans la dotation de compensation des EPCI. C’est donc cette dotation de compensation qui est prise en compte dans le calcul du CIF (hors compensation des baisses de DCTP, également intégrée dans la dotation de compensation, mais qui ne compense pas la suppression des bases « salaires » de la TP). Il convient de préciser que le produit de taxe professionnelle exonéré au titre du statut fiscal de la Corse est pris en compte depuis 2005 dans le calcul du CIF pour les EPCI à FPU situés en Corse. Le tableau suivant rappelle la composition du CIF de chaque catégorie d'EPCI : PRODUIT CC 4T CC FPU CA Taxe sur le foncier bâti • • • Taxe sur le foncier non bâti • • • Taxe d’habitation • • • Compensation relais • • • TEOM • • • REOM • • • Redevance assainissement • Dotation de compensation (hors baisses de DCTP) • • Compensation ZRU ZFU ZFC et statut fiscal Corse • • Le coefficient d’intégration fiscale des communautés de communes et des communautés d’agglomération est donc égal au rapport entre : – les recettes de l'EPCI définies dans le tableau précédent minorées (sauf les CC 4T) des dépenses de transfert ; – les mêmes recettes perçues par les communes regroupées et l’ensemble des établissements publics de coopération intercommunale sur le territoire de celles-ci (c'est-à-dire syndicats intercommunaux inclus). Le CIF des EPCI à FPU intègre également les produits perçus par ces groupements au titre du foncier bâti, du foncier non bâti et de la taxe d'habitation puisque ces derniers ont depuis l'année 2000 la possibilité de lever une fiscalité additionnelle sur ces trois taxes en plus de leurs recettes de taxe professionnelle. 3. Le potentiel fiscal (art. L. 5211‑30 du CGCT) À compter de 2011, les collectivités ne percevront plus de compensation relais mais bénéficieront d’autres impositions. Le calcul du potentiel fiscal de l’ensemble des collectivités devra dès lors être entièrement revu. Par conséquence, afin de ne pas introduire de trop grands bouleversements dans les modalités de calcul du potentiel fiscal dès la DGF 2011, la loi de finances pour 2011 a prévu que les modalités d’estimation des ressources des collectivités restent inchangées en 2011. Le calcul du PF des EPCI intègre dès lors les dernières données connues relatives à la taxe professionnelle, à savoir celle relevant des impositions 2009 (c'est-à-dire que les bases, taux et produits de taxe professionnelle ainsi que les diverses attributions de compensations relevant de la taxe professionnelle retenus pour la répartition 2011 seront les mêmes que ceux utilisés pour la répartition 2010). Vous noterez cependant que les mouvements de périmètres (adhésion, retraits de communes) sont bien pris en compte dans la détermination des bases intercommunales. Le potentiel fiscal des communautés de communes et communautés d’agglomération Le potentiel fiscal des communautés de communes et communautés d’agglomération est déterminé par application à leurs bases brutes d’imposition aux quatre taxes directes locales du taux moyen national à ces taxes constaté pour la catégorie d’établissement à laquelle elles appartiennent. Il prend en compte, le cas échéant et pour les EPCI à fiscalité additionnelle, les bases situées dans une zone d'activités économiques avec taxe professionnelle de zone, et les transferts de fiscalité dans le cadre de la taxe professionnelle éolienne (l’année de référence étant 2009). Je vous rappelle que dans le cas des communautés d'agglomération, de certaines communautés de communes à fiscalité additionnelle issues de la transformation d'un district créé avant 1992, ou de communautés de communes à FPU issues d’une transformation d’ancien district à fiscalité additionnelle créé avant 1992 et passé à la FPU après le 1er janvier 2003, les bases de taxe professionnelle correspondant au versement effectué au profit du fonds départemental de péréquation de la taxe professionnelle (FDPTP) en contrepartie de la suppression de l'écrêtement des bases excédentaires sont déduites des bases brutes de taxe professionnelle prises en compte pour le calcul du potentiel fiscal (ces dernières étant égales à celle utilisées pour la répartition 2010, hors mouvements de périmètres). Le potentiel fiscal des EPCI à FPU est calculé sur les quatre taxes directes locales, pour tenir compte de la possibilité pour ceux-ci de lever une fiscalité mixte. Le taux appliqué à chacune de ces bases est le taux moyen national des communautés de communes à fiscalité professionnelle unique ou des communautés d’agglomération selon le cas de figure. Le nombre AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 12/95 – Page 6 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR de groupements ayant effectivement levé une fiscalité mixte étant assez faible, les taux moyens sur les trois taxes ménages sont assez faibles, de telle sorte que le potentiel fiscal des EPCI à fiscalité professionnelle unique reste encore largement conditionné par la seule taxe professionnelle. Par ailleurs, le potentiel fiscal des communautés d’agglomération issues de la transformation de syndicats ou de communautés d’agglomération nouvelle est pondéré par le rapport entre les bases brutes par habitant de taxe professionnelle des communautés d’agglomération et la somme des bases brutes par habitant des syndicats ou communautés d’agglomération nouvelle et de ceux d’entre eux qui se sont transformés en communautés d’agglomération, sous réserve que ce rapport soit inférieur à 1. Cette pondération a été instituée pour ne pas pénaliser les SAN qui se transformeront en communautés d’agglomération et qui, historiquement, ont un potentiel fiscal par habitant très élevé. Le potentiel fiscal des syndicats ou communautés d’agglomération nouvelle Le potentiel fiscal des syndicats ou communautés d’agglomération nouvelle est déterminé par application à leurs bases brutes de taxe professionnelle du taux moyen national d’imposition à cette taxe constaté pour la catégorie d’établissements à laquelle ils appartiennent (l’ensemble de ces éléments relevant de l’année 2009). Enfin, le potentiel fiscal de chaque catégorie est augmenté chaque année des montants correspondant à la compensation de la suppression progressive de la part salaires des bases de la taxe professionnelle (I du D de l’article 44 de la loi de finances pour 1999). Ces montants n’existent plus en tant que tels depuis 2004 : ils ont été intégrés dans la dotation de compensation des EPCI. Les montants pris en compte pour la dotation d’intercommunalité d’une année sont ceux correspondant à la dotation de compensation de l’année précédente (DGF 2010) à périmètre 2011, hors montants correspondant à la compensation des baisses de DCTP. Toutefois, concernant les communautés de communes à fiscalité additionnelle, cette compensation est pondérée par le rapport entre le taux moyen national de TP utilisé pour le calcul du potentiel fiscal et le taux de TP de l'année 1998 du groupement ayant servi au calcul de sa compensation. Pour les EPCI ayant institué une fiscalité professionnelle de zone, cette pondération ne s'applique qu'à la fraction de la compensation qu'ils ont perçue au titre des bases situées hors de la zone d'activité économique. Cette pondération revient à appliquer le taux moyen national de taxe professionnelle 2009 aux bases exonérées au titre de la suppression progressive de la « part salaires ». III. – LES MODALITÉS DE RÉPARTITION DE LA DOTATION D’INTERCOMMUNALITÉ 1. La dotation spontanée Depuis la loi de finances pour 2006 modifiant l’article L. 5211‑30 du CGCT, les sommes affectées à chacune des catégories EPCI autres que les CU sont réparties à raison de 30 % pour la dotation de base et de 70 % pour la dotation de péréquation. 1.1. La dotation de base (art. L. 5211‑30 du CGCT) L'attribution de chaque établissement public est calculée en fonction de la « population DGF » totale des communes regroupées, éventuellement pondérée pour les communautés de communes, et en fonction du coefficient d'intégration fiscale. Le CIF n’est toutefois pas utilisé pour le calcul de la dotation de base des SAN. La pondération applicable aux communautés de communes correspond à l’abattement de 50 % la première année d’attribution de la dotation d’intercommunalité à la suite d’une création ex nihilo. Cet abattement ne s’applique pas aux EPCI issus de fusions. 1.2. La dotation de péréquation (art. L. 5211‑30 du CGCT) La dotation de péréquation est répartie en fonction de l'écart relatif de potentiel fiscal, de la population éventuellement pondérée et du coefficient d'intégration fiscale du groupement pour les communautés de communes et les communautés d’agglomération. 1.3. La première année dans la catégorie (art. L. 5211‑32 du CGCT) Un abattement de 50 % est opéré sur les dotations de base et de péréquation des communautés de communes bénéficiaires pour la première fois de la dotation d’intercommunalité. Au titre de la première année d’attribution de la dotation dans une catégorie, le CIF à prendre en compte est égal, pour les communautés de communes et les communautés d’agglomération, au CIF moyen de la catégorie d’établissement à laquelle elles appartiennent. 1.4. La deuxième année dans la catégorie (art. L. 5211‑32 du CGCT) Les établissements publics de coopération intercommunale qui perçoivent pour la deuxième fois une dotation d’intercommunalité dans la même catégorie et qui font suite à une création ex nihilo ne perçoivent aucune garantie. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 12/95 – Page 7 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Toutefois, la loi de finances rectificative du 30 décembre 2000 a prévu qu'en cas de création ex nihilo en communauté d'agglomération, la dotation d’intercommunalité par habitant de deuxième année ne peut être inférieure à celle perçue la première année indexée comme la dotation forfaitaire des communes (hors part « compensations »). La deuxième année d’attribution de la dotation dans la même catégorie, les dépenses de transfert de l’EPCI de la pénultième année n’étant pas connues, le CIF de l’EPCI non corrigé des dépenses de transfert est pondéré par le rapport entre le CIF moyen de la catégorie et le CIF moyen non corrigé des dépenses de transfert de la même catégorie. Depuis 2005, il n’y a plus lieu de pondérer le CIF des communautés de communes à fiscalité additionnelle dans la mesure où leur CIF n’est plus minoré des dépenses de transfert. La pondération ne s’applique donc plus qu’aux communautés de communes à FPU et aux CA. 2. Les bonifications et majorations 2.1. La bonification des communautés de communes à FPU (c’est-à-dire ayant opté pour les dispositions de l’art. 1609 nonies C du code général des impôts) Une majoration est prévue aux articles L. 5214‑23‑1 et L. 5211‑29 du CGCT pour les communautés de communes à FPU exerçant quatre des sept groupes de compétences suivants : – en matière de développement économique : aménagement, entretien et gestion de zones d'activité industrielle, commerciale, tertiaire, artisanale ou touristique qui sont d'intérêt communautaire ; actions de développement économique d'intérêt communautaire ; – en matière d'aménagement de l'espace communautaire : schéma de cohérence territoriale et schéma de secteur ; zones d'aménagement concerté d'intérêt communautaire ; – création ou aménagement et entretien de voirie d'intérêt communautaire ; – politique du logement social d'intérêt communautaire et action, par des opérations d'intérêt communautaire, en faveur du logement des personnes défavorisées ; – élimination et valorisation des déchets des ménages et déchets assimilés ; – en matière de développement et d'aménagement sportif de l'espace communautaire : construction, aménagement, entretien et gestion des équipements sportifs d'intérêt communautaire ; – en matière d'assainissement : l'assainissement collectif et l'assainissement non collectif. Cette majoration s’applique aux communautés de communes à FPU répondant à l’une des conditions démographiques suivantes : – avoir une population comprise entre 3 500 habitants et 50 000 habitants au plus ; – ou, avoir une population inférieure à 3 500 habitants, être situées en zone de revitalisation rurale de montagne et comprendre au moins dix communes dont un chef-lieu de canton ou la totalité des communes d’un canton ; – ou bien, avoir une population supérieure à 50 000 habitants, et ne contenir aucune commune centre ou aucune commune chef-lieu de département de plus de 15 000 habitants. Cette majoration s’ajoute à leur dotation de base et est répartie comme cette dernière entre les communautés de communes concernées. La dotation moyenne étant de 24,48 €, la majoration moyenne est de 9,58 € (34,06 € – 24,48 €). Toutefois, l’attribution individuelle peut s’écarter de cette moyenne en fonction du CIF utilisé pour la répartition de cette bonification en 2011. 2.2. La majoration des communautés de communes à fiscalité additionnelle de deux ans et plus Une majoration est prévue à l’article L. 5211‑29 II du CGCT depuis 2002 pour les communautés de communes à fiscalité additionnelle percevant la dotation d’intercommunalité pour la deuxième année au moins dans la catégorie. Elle s’ajoute aux dotations de base et de péréquation et est répartie comme ces dernières entre les EPCI concernés. Le montant moyen de cette majoration est égal à la différence entre la dotation moyenne par habitant effectivement perçue en 2010 par les communautés de communes concernées. Le montant moyen de cette majoration est de 2,49 € par habitant en 2011. 3. Les garanties (art. L. 5211‑33 du CGCT) 3.1. Garantie en cas de changement de catégorie En cas de changement de catégorie, l'EPCI est assuré de percevoir les deux premières années d’attribution de la dotation d’intercommunalité dans sa nouvelle catégorie, une attribution par habitant au moins égale à celle de l'année antérieure, augmentée comme la dotation forfaitaire des communes (hors part « compensation »). Cette garantie de transformation s’applique également aux EPCI issus de fusions. L’ensemble des concours de l’État étant gelé en 2011, ce mécanisme leur garantit donc cette année une dotation par habitant au moins égale à celle de 2010. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 12/95 – Page 8 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Par ailleurs, si l'EPCI qui se transforme fait application des dispositions de l’article 1609 nonies C du code général des impôts (FPU), il ne peut, au titre des troisième, quatrième et cinquième années d’attribution dans la même catégorie, percevoir une attribution par habitant inférieure, respectivement, à 95 %, 90 % et 85 % de la dotation par habitant perçue l’année précédente. Ces garanties s’appliquent également aux CA créées ex nihilo et aux EPCI issus de fusions, lors de leur troisième, quatrième et cinquième année. 3.2. Garantie au taux de progression de la dotation forfaitaire des communes des SAN À compter de leur deuxième année, les SAN sont assurés de percevoir une dotation qui progresse, d'une année sur l'autre, dans la limite de la dotation forfaitaire des communes. Là encore, en 2011, ce mécanisme leur garantit de ne pas subir de baisse de leur dotation par rapport à 2010. 3.3. Garantie à 80 % de la dotation par habitant perçue l’année précédente Les communautés de communes et les communautés d’agglomération ne peuvent percevoir, à compter de la troisième année d’attribution de la dotation dans la même catégorie, ou à compter de la troisième année de fusion dans la catégorie, une attribution par habitant inférieure à 80 % de la dotation par habitant perçue l’année précédente. 3.4. Garantie sous conditions de CIF À compter de la troisième année de perception de la dotation d’intercommunalité dans leur catégorie, les CA ou CC à FPU dont le CIF est supérieur à 0,5 perçoivent une dotation par habitant progressant au moins comme la dotation forfaitaire des communes. Là encore, en 2011, compte tenu du gel des dotations, ce mécanisme leur garantit seulement de ne pas subir de baisse de leur dotation par habitant par rapport à 2010. Pour les communautés de communes à fiscalité additionnelle, le niveau du CIF de référence pour bénéficier de cette garantie est de 0,6. 3.5. Garantie d’évolution de la dotation spontanée Les établissements publics de coopération intercommunale dont la dotation par habitant spontanée (c'est-à-dire perçue au titre des dotations de base et de péréquation) est supérieure à la dotation spontanée perçue l’année précédente ne peuvent percevoir une dotation d’intercommunalité totale par habitant, c’est-à-dire garantie incluse, inférieure à celle de l’année précédente. Par ailleurs, pour les établissements publics de coopération intercommunale dont la dotation par habitant spontanée perçue au titre des dotations de base et de péréquation est en diminution par rapport à l’année précédente, le pourcentage de diminution de leur attribution totale par habitant par rapport à l’année précédente, c’est-à-dire garantie incluse, ne peut excéder celui constaté pour la somme des dotations de base et de péréquation. La garantie calculée dans ces deux cas ne peut représenter plus de 40 % de la dotation totale attribuée. 3.6. Garantie sous condition de potentiel fiscal À compter de la deuxième année d’attribution de la dotation dans la même catégorie, les EPCI dont le potentiel fiscal par habitant est inférieur d’au moins 50 % au potentiel fiscal moyen de la catégorie ne peuvent percevoir un montant de dotation d’intercommunalité par habitant inférieur à celui perçu l’année précédente. Dans l’hypothèse où plusieurs garanties sont applicables, seule est retenue la garantie la plus favorable puisqu’elle englobe de fait la ou les autres garanties en présence. 4. Les fusions d’EPCI (art. L. 5211‑32‑1 du CGCT) La loi relative aux libertés et responsabilités locales du 13 août 2004 a instauré le mécanisme de fusions d’EPCI. Pour le calcul des différents mécanismes de garanties des EPCI issus de fusions, il convient de retenir le montant de dotation d’intercommunalité par habitant le plus élevé des EPCI préexistants. Par ailleurs, la première année suivant la fusion, leur population n’est pas abattue de moitié comme pour les EPCI de première année. 5. Les dissolutions (art. L. 5211‑34 du CGCT) L’année suivant la dissolution d'un groupement, le montant de la dotation de péréquation qui aurait dû lui revenir augmenté, le cas échéant, de la garantie au titre de cette dotation dont il aurait été bénéficiaire, est partagé entre ses communes membres au prorata de la somme des produits des taxes foncières sur les propriétés bâties et non bâties, de la taxe d'habitation, de la taxe et la redevance des ordures ménagères constatés la dernière année de fonctionnement sur le territoire de chacune d'elles pour le compte de l'établissement public. Toutefois, aucune attribution n’est versée aux communes qui adhèrent, l’année de la dissolution, à un autre établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 12/95 – Page 9 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR IV. – TABLEAU DE SYNTHÈSE DONNÉES UTILISÉES CA CC 4T CC FPU SAN Population DGF • • • • Coefficient d'intégration fiscale • • • Potentiel fiscal 4 taxes • • • Potentiel fiscal professionnel • CA CC 4T CC FPU SAN Dotation de base • • • • Dotation de péréquation • • • • MODALITÉS DE RÉPARTITION Bonification • Majoration (sauf 1 année) • re Abattements de 1 année • re CIF pondéré de 2e année • • • • CA CC 4T CC FPU SAN Les deux premières années sur le taux de progression de la dotation forfaitaire (0 % en 2011) • • • • Puis 95 %, 90 % et 85 % de la dotation d’intercommunalité de l’année précédente en 3e, 4e et 5e années • • • GARANTIES Garantie en cas de changement de catégorie Garantie en cas de fusion Les deux premières années sur le taux de progression de la dotation forfaitaire (0 % en 2011) • Puis 95 %, 90 % et 85 % de la dotation d’intercommunalité de l’année précédente en 3e, 4e et 5e années • • • • Garantie en cas de création ex nihilo La 2 année sur le taux de progression de la dotation forfaitaire (0 % en 2011) • Puis 95 %, 90 % et 85 % de la dotation d’intercommunalité de l’année précédente en 3e, 4e et 5e années • e Garantie d’évolution sur le taux de progression de la dotation forfaitaire des communes, à compter de la 2e année (0 % en 2011) Garantie à 80 % à compter de la 3e année • • Garantie sous conditions de CIF À compter de la 2 année d’existence À compter de la 3 année d’existence • • • e e • • • Garantie en cas de PF/habitant inférieur de 50 % au PF/habitant moyen de la catégorie, à compter de la 2e année • • • Garantie d’évolution de la dotation spontanée, à compter de la 3e année • • • AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 12/95 – Page 10 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR SECTION 2 Fiches de calcul FICHE No 1 Calcul de la dotation d’intercommunalité des communautés urbaines De 2003 à 2009, la DGF des CU n’a pas été calculée en fonction des critères classiques de répartition (PF, CIF). Chaque dotation individuelle progressait en effet comme le taux d’évolution de la dotation forfaitaire des communes. La loi de finances pour 2009 a toutefois adapté le calcul de la dotation d’intercommunalité des CU. Ainsi, depuis le 1er janvier 2009, la somme affectée à la catégorie des communautés urbaines est répartie de telle sorte que l’attribution revenant à chacune d’entre elles est égale au produit de sa population par la dotation moyenne par habitant de la catégorie des communautés urbaines, augmenté, le cas échéant, d’une garantie (par les CU créées avant le 1er janvier 2008). En 2011, cette dotation moyenne reste fixée à 60 € par habitant. Pour les CU à FPU comme pour les CU à fiscalité additionnelle, les dotations individuelles se calculent comme suit : Dotation CU 2011 = POP DGF 2011 × Dotation par habitant 2010 × Taux d’évolution CFL (0 % en 2011) Les communautés urbaines créées avant le 1er janvier 2008 bénéficient toutefois d'une garantie, lorsque le montant de la dotation d'intercommunalité perçue par la communauté urbaine en 2010 est supérieur au produit de sa population au 1er janvier 2011 par le montant moyen par habitant de la catégorie. Garantie CU = (DI/hab. 2010 × POP DGF 2011) – (POP DGF 2011 × 60€) DI CU 2011 = DOTATION Spontanée + GARANTIE AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 12/95 – Page 11 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR FICHE No 2 Calcul de la dotation d’intercommunalité des communautés d’agglomération Potentiel fiscal x Base brute d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés bâties 0,002 5 = Taux moyen national des CA x Base brute d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés non bâties + 0,004 2 = Taux moyen national des CA x Base brute d’imposition à la taxe d’habitation + 0,001 8 = Taux moyen national des CA x Base brute d’imposition à la taxe professionnelle + 0,172 4 = Taux moyen national des CA + = Dotation de compensation (hors baisses de DCTP) Potentiel fiscal 4 taxes = Potentiel fiscal par habitant / = Potentiel fiscal 4 taxes Population DGF 2011 Potentiel fiscal par habitant Coefficient d’intégration fiscale de 3e année et plus /( + Produit des 3 taxes + compensation relais perçu par la CA + TEOM / REOM + RA + Dot comp (hors baisses DCTP) + ZRU / ZFU + Comp TP Corse + attributions compensation négatives – FDPTP – 100 % des dépenses de transfert Produit des 3 taxes + compensation relais perçu par la CA + TEOM / REOM + RA + Dot comp (hors baisses DCTP) + ZRU / ZFU + Comp TP Corse + attributions compensation négatives – FDPTP )= Produit des 3 taxes + compensation relais perçu par les communes membres + TEOM / REOM + RA des communes membres ou des syndicats Coefficient d’intégration fiscale Dotation de base x Population DGF x CIF ou CIF pondéré 38,574 972 € Valeur de point = Dotation de base CIF moyen de la catégorie des communautés d'agglomération : 0,327 577. Coefficient de pondération (à appliquer au CIF des EPCI de 2e année) : 0,628 8210. Dotation de péréquation Calcul de l’écart relatif de potentiel fiscal 2–( / 397,347 521 €) = Potentiel fiscal par habitant Potentiel fiscal moyen des CA Écart relatif de potentiel fiscal AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 12/95 – Page 12 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Calcul de la dotation x Écart relatif de potentiel fiscal x Population DGF x 88,997 489 € CIF ou CIF pondéré = Valeur de point Dotation de péréquation Dotations de garantie – Dotation de garantie des CA de 2e année et des CA de 1re et 2e années issues d’une transformation Les CA issues d’une transformation en 2009 ou en 2010 ne peuvent pas percevoir en 2011 une dotation d’intercommunalité par habitant inférieure à celle perçue l’année précédente, indexée comme la dotation forfaitaire des communes. En 2011, ce mécanisme garantit aux CA de 2e année de ne pas subir de baisse de leur dotation par habitant, par rapport à 2010. Calcul de l’attribution minimale (( + Dotation de base 2010 + Dotation de péréquation 2010 ) / Dotation de garantie 2010 ) x Pop DGF 2010 x Pop DGF 2011 (1 + 0 %) = Taux d’évolution de la garantie Dot interco minimale 2011 Calcul de la garantie – – Dot interco minimale 2011 Dotation de base 2011 = Dotation de garantie (si > 0) Dotation de péréquation 2011 – Dotation de garantie des CA de 3e année Les CA créées ex nihilo en 2008 ou issues d’une transformation ou d’une fusion en 2008 ne peuvent pas percevoir en 2011 une dotation d’intercommunalité par habitant inférieure à 95 % de celle perçue l’année précédente. Calcul de l’attribution minimale (( + Dotation de base 2010 + ) / Dotation de garantie 2010 Dotation de péréquation 2010 ) x Pop DGF 2010 x 0,95 = Dot interco minimale 2011 Pop DGF 2011 Calcul de la garantie – – Dot interco minimale 2011 Dotation de base 2011 = Dotation de garantie (si > 0) Dotation de péréquation 2011 – Dotation de garantie des CA de 4e année Les CA créées ex nihilo en 2007 ou issues d’une transformation en 2007 ne peuvent pas percevoir en 2011 une dotation d’intercommunalité par habitant inférieure à 90 % de celle perçue l’année précédente. Calcul de l’attribution minimale (( + Dotation de base 2010 + Dotation de péréquation 2010 ) Dotation de garantie 2010 / ) Pop DGF 2010 x x Pop DGF 2011 0,90 = Dot interco minimale 2011 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 12/95 – Page 13 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Calcul de la garantie – – Dot interco minimale 2011 Dotation de base 2011 = Dotation de garantie (si > 0) Dotation de péréquation 2011 – Dotation de garantie des CA de 5e année Les CA créées ex nihilo en 2006 ou issues d’une transformation en 2006 ne peuvent pas percevoir en 2011 une dotation d’intercommunalité par habitant inférieure à 85 % de celle perçue l’année précédente. Calcul de l’attribution minimale (( + Dotation de base 2010 + ) / Dotation de garantie 2010 Dotation de péréquation 2010 ) x Pop DGF 2010 x 0,85 = Dot interco minimale 2011 Pop DGF 2011 Calcul de la garantie – – Dot interco minimale 2011 Dotation de base 2011 = Dotation de garantie (si > 0) Dotation de péréquation 2011 – Dotation de garantie à 80 % Cette dotation de garantie est attribuée aux communautés d’agglomération de 3e année et plus (2008 et années précédentes) dont la dotation par habitant, garantie incluse, est inférieure à 80 % de la dotation par habitant, garantie incluse, de l’année antérieure. Calcul de l’attribution minimale (( + Dotation de base 2010 + ) / Dotation de garantie 2010 Dotation de péréquation 2010 ) x Pop DGF 2010 x 0,8 = Dot interco minimale 2011 Pop DGF 2011 Calcul de la garantie – – Dot interco minimale 2011 Dotation de base 2011 = Dotation de péréquation 2011 Dotation de garantie (si > 0) – Dotation de garantie sous condition de CIF En 2011, cette garantie est attribuée aux communautés d’agglomération de 3e année et plus dont le CIF est supérieur à 0,5. Calcul de l’attribution minimale (( + Dotation de base 2010 + Dotation de péréquation 2010 ) Dotation de garantie 2010 / ) Pop DGF 2010 x x Pop DGF 2011 (1 + 0 %) = Taux d’évolution de la garantie Dot interco minimale 2011 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 12/95 – Page 14 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Calcul de la garantie – – Dot interco minimale 2011 = Dotation de base 2011 Dotation de garantie (si > 0) Dotation de péréquation 2011 – Dotation de garantie d’évolution de la dotation spontanée 1. Si la dotation spontanée par habitant 2011 est supérieure à la dotation spontanée par habitant 2010 Si ( + / Dotation de base 2011 Dotation de péréquation 2011 ) > ( + Pop DGF 2011 Dotation de base 2010 / Dotation de péréquation 2010 ) Pop DGF 2010 Calcul de l’attribution minimale (( + + Dotation de base 2010 ) / ) Dotation de garantie 2010 Dotation de péréquation 2010 x Pop DGF 2010 = Dot interco minimale 2011 Pop DGF 2011 Calcul de la garantie – – Dot interco minimale 2011 = Dotation de base 2011 Dotation de garantie (si > 0) Dotation de péréquation 2011 2. Si la dotation spontanée par habitant 2011 est inférieure à la dotation spontanée par habitant 2010 Si ( + Dotation de base 2011 / Dotation de péréquation 2011 ) < ( + Pop DGF 2011 Dotation de base 2010 / Dotation de péréquation 2010 ) Pop DGF 2010 Calcul de l’attribution minimale (( + Dotation de base 2010 + ) / Dotation de garantie 2010 Dotation de péréquation 2010 ) Pop DGF 2010 x x Pop DGF 2011 T = Taux de baisse Dot interco minimale 2011 Avec ( + Dotation de base 2011 / Dotation de péréquation 2011 ) Pop DGF 2011 /( + Dotation de base 2010 / Dotation de péréquation 2010 )= Pop DGF 2010 Taux de baisse AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 12/95 – Page 15 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Calcul de la garantie – Dot interco minimale 2011 – Dotation de base 2011 = Dotation de garantie (si > 0) Dotation de péréquation 2011 La dotation de garantie calculée dans ces deux cas (1. et 2.) ne peut représenter plus de 40 % de la dotation totale attribuée. – Dotation de garantie sous condition de PF Les communautés d’agglomération de 2e année et plus dont le PF par habitant est inférieur d’au moins 50 % au potentiel fiscal moyen de la catégorie, soit 397,347521/2 = 198,673 760 5 €, bénéficient d’une dotation d’intercommunalité par habitant au moins égale à celle de l’année précédente. Si PF/hab. < 0,5 PFM Calcul de l’attribution minimale (( + Dotation de base 2010 + Dotation de péréquation 2010 ) Dotation de garantie 2010 / ) x Pop DGF 2010 = Pop DGF 2011 Dot interco minimale 2011 Calcul de la garantie – Dot interco minimale 2011 – Dotation de base 2011 = Dotation de péréquation 2011 Dotation de garantie (si > 0) AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 12/95 – Page 16 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR FICHE No 3 Calcul de la dotation d’intercommunalité des communautés de communes à fiscalité additionnelle Potentiel fiscal x Base brute d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés bâties 0,040 4 = Taux moyen national des CC x Base brute d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés non bâties + 0,108 2 = Taux moyen national des CC x Base brute d’imposition à la taxe d’habitation + 0,026 2 = Taux moyen national des CC x Base brute d’imposition à la taxe professionnelle + 0,030 3 = Taux moyen national des CC + 0,027 9 taux de TP 1998 x = Montants correspondant à la compensation de la part salaire hors ZAE* 2010 (1) + Montants correspondant à la compensation de la part salaire sur ZAE* 2010 (2) Potentiel fiscal 4 taxes = * ZAE = zone d’activités économiques. (1) et (2) Uniquement pour les CC 4T créées avant 1998. Potentiel fiscal par habitant / Potentiel fiscal 4 taxes = Population DGF 2011 Potentiel fiscal par habitant Coefficient d’intégration fiscale de 2e année et plus /( + Produit des 4 taxes perçu par la CC + TEOM / REOM – FDPTP Produit des 4 taxes perçu par la CC + TEOM / REOM – FDPTP )= Produit des 4 taxes perçu par les communes membres et les syndicats + TEOM / REOM Coefficient d’intégration fiscale CIF moyen de la catégorie des communautés de communes à fiscalité additionnelle : 0,323 636 Dotation de base Dotation de base des groupements créés avant 2010 x Population DGF x Coefficient d’intégration fiscale 15,876 241 € Valeur de point = Dotation de base AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 12/95 – Page 17 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Dotation de base des groupements créés en 2010 x 0,323 636 x 15,876 241 € Coefficient d’intégration fiscale moyen de la catégorie Population DGF x 0,5 = Valeur de point Dotation de base Dotation de péréquation Calcul de l’écart relatif de potentiel fiscal 2–( / 107,229 754 €) = Potentiel fiscal moyen des CC Potentiel fiscal par habitant Écart relatif de potentiel fiscal Calcul de la dotation de péréquation des groupements créés avant 2010 x Écart relatif de potentiel fiscal x x 35,208485 € Coefficient d’intégration fiscale Population DGF = Valeur de point Dotation de péréquation Calcul de la dotation de péréquation des groupements créés en 2010 x Écart relatif de potentiel fiscal x 0,323 636 x Coefficient d’intégration fiscale moyen Population DGF 35,208 486 € x 0,5 = Valeur de point Dotation de péréquation Majoration des EPCI d’au moins deux ans dans la catégorie Cette majoration est répartie comme les dotations de base et de péréquation aux seuls EPCI qui perçoivent la dotation d’intercommunalité pour la 2e année au moins dans la catégorie des communautés de communes à fiscalité additionnelle. Part « base » de la majoration x Population DGF x 2,2147 86 € Coefficient d’intégration fiscale = Valeur de point Dotation de base Part « péréquation » de la majoration x Écart relatif de potentiel fiscal x Population DGF x Coefficient d’intégration fiscale 4,912 074 € Valeur de point = Dotation de péréquation Majoration totale Majoration = part « base » + part « péréquation » Dotations de garantie 1. À compter de la 2e année de perception de la dotation d’intercommunalité dans la même catégorie – Dotation de garantie sous condition de PF Les communautés de communes à fiscalité additionnelle de 2e année et plus dont le PF par habitant est inférieur d’au moins 50 % au potentiel fiscal moyen de la catégorie des communautés de communes à fiscalité additionnelle, soit 107,229 754/2 = 53,614 877 €, bénéficient d’une dotation d’intercommunalité par habitant au moins égale à celle de l’année précédente. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 12/95 – Page 18 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Calcul de l’attribution minimale (( + Dotation de base 2010 + + Majoration 2010 Dotation de péréquation 2010 ) / Dotation de garantie 2010 ) x = Pop DGF 2010 Dot interco minimale 2011 Pop DGF 2011 Calcul de la garantie – – Dot interco minimale 2011 = Dotation de base 2011 Dotation de garantie (si > 0) Dotation de péréquation 2011 2. À compter de la 3e année de perception de la dotation d’intercommunalité dans la même catégorie – Dotation de garantie à 80 % Cette dotation de garantie est attribuée aux communautés de communes de 3e année et plus dont la dotation par habitant garantie incluse est inférieure à 80 % de la dotation par habitant garantie incluse de l’année antérieure. Calcul de l’attribution minimale (( + + Dotation péréquation 2010 Dotation de base 2010 + Majoration 2010 ) / Dotation de garantie 2010 ) Pop DGF 2010 x x 0,8 = Dot interco minimale 2011 Pop DGF 2011 Calcul de la garantie – Dot interco minimale 2011 – – Dotation de péréquation 2011 Dotation de base 2011 = Dotation de garantie (si > 0) Majoration 2011 – Dotation de garantie sous condition de CIF Cette garantie est attribuée aux communautés de communes de 2e année et plus dont le CIF est supérieur à 0,6. Calcul de l’attribution minimale (( + Dotation de base 2010 + Dotation péréquation 2010 + Majoration 2010 ) / Dotation de garantie 2010 ) Pop DGF 2010 x x (1 + 0 %) = Taux Pop DGF d’évolution 2011 de la garantie Dot interco minimale 2011 Calcul de la garantie – Dot interco minimale 2011 – Dotation de base 2011 – Dotation de péréquation 2011 = Majoration 2011 Dotation de garantie (si > 0) AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 12/95 – Page 19 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR – Dotation de garantie d’évolution de la dotation spontanée 1. Si la dotation spontanée par habitant 2011 est supérieure à la dotation spontanée par habitant 2010 Si ( + + Dotation de péréquation 2011 Dotation de base 2011 / ) > ( Pop DGF 2011 Majoration 2011 + + Dotation de péréquation 2010 Dotation de base 2010 / Majoration 2010 ) Pop DGF 2010 Calcul de l’attribution minimale (( + + Dotation de péréquation 2010 Dotation de base 2010 + ) / Majoration 2010 ) Dotation de garantie 2010 x Pop DGF 2010 = Dot interco minimale 2011 Pop DGF 2011 Calcul de la garantie – Dot interco minimale 2011 – – = Dotation de péréquation 2011 Dotation de base 2011 Dotation de garantie (si > 0) Majoration 2011 2. Si la dotation spontanée par habitant 2011 est inférieure à la dotation spontanée par habitant 2010 Si ( + + Dotation de péréquation 2011 Dotation de base 2011 / ) > Pop DGF 2011 Majoration 2011 ( + + Dotation de péréquation 2010 Dotation de base 2010 / Majoration 2010 ) Pop DGF 2010 Calcul de l’attribution minimale (( + + Dotation de péréquation 2010 Dotation de base 2010 + ) / Majoration 2010 ) Dotation de garantie 2010 x Pop DGF 2010 x T = Pop DGF 2011 Taux de baisse Dot interco minimale 2011 Avec ( + Dotation de base 2011 + Dotation de péréquation 2011 / Majoration 2011 ) Pop DGF 2011 /( + + Dotation de base 2010 Majoration 2010 / Dotation de péréquation 2010 )= Pop DGF 2010 T Taux baisse Calcul de la garantie – Dot interco minimale 2011 – Dotation de base 2011 – Dotation de péréquation 2011 = Majoration 2011 Dotation de garantie (si > 0) La garantie calculée dans ces deux cas (1. et 2.) ne peut représenter plus de 40 % de la dotation totale attribuée. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 12/95 – Page 20 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 3. Garantie en cas de fusion Les deux premières années suivant la fusion de deux EPCI ou plus à fiscalité additionnelle, l’EPCI issu de la fusion est assuré de percevoir un montant de dotation d’intercommunalité par habitant au moins égal à celui perçu l’année précédente augmenté comme la forfaitaire. Toutefois, en 2011, le taux d’évolution pris en compte pour la dotation par habitant garantie est donc nul. Calcul de l’attribution minimale (( + Dotation de base 2010 + Dotation de péréquation 2010 + Majoration 2010 ) / Dotation de garantie 2010 ) Pop DGF 2010 x x (1 + 0 %) = Pop DGF Taux d’évolution 2011 de la garantie Dot interco minimale 2011 Calcul de la garantie – Dot interco minimale 2011 – Dotation de base 2011 = Dotation de péréquation 2011 Dotation de garantie (si > 0) AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 12/95 – Page 21 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR FICHE No 4 Calcul de la dotation d’intercommunalité des communautés de communes à FPU Potentiel fiscal x 0,004 7 Base brute d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés bâties = Taux moyen national des CC x + 0,013 6 Base brute d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés non bâties = Taux moyen national des CC x + 0,003 0 Base brute d’imposition à la taxe d’habitation = Taux moyen national des CC x + 0,132 6 Base brute d’imposition à la taxe professionnelle = Taux moyen national des CC + = Dotation de compensation 2010 à périmètre 2011 (hors baisses de DCTP) Potentiel fiscal 4 taxes = Potentiel fiscal par habitant / = Potentiel fiscal 4 taxes Population DGF 2011 Potentiel fiscal par habitant Coefficient d’intégration fiscale de 3e année et plus /( Produit des 3 taxes + compensation relais perçu par la CC + TEOM / REOM + Dot. comp. (hors baisses DCTP) + ZRU, ZFU, ZFC + Comp. TP Corse + attributions compensation négatives – FDPTP – 100 % des dépenses de transfert + Produit des 3 taxes + compensation relais perçu par la CC + TEOM / REOM + Dot. comp. (hors baisses DCTP) + ZRU, ZFU, ZFC + Comp. TP Corse + attributions compensation négatives – FDPTP )= Produit des 3 taxes + compensation relais perçu par les communes membres + TEOM / REOM des communes membres ou des syndicats Coefficient d’intégration fiscale CIF moyen de la catégorie : 0,348 068. Coefficient de pondération (à appliquer au CIF des EPCI de 2e année) : 0,654 92. Depuis 2009, le calcul de la dotation spontanée des CC à FPU se fait à 100 % en fonction du CIF. Masse des crédits à répartir en 2011 Dotation de base des groupements créés avant 2010 x Population DGF x Coefficient d’intégration fiscale ou CIF pondéré 19,437859 € Valeur de point = Dotation de base AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 12/95 – Page 22 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Dotation de base des groupements créés en 2010 x 0,348 068 x Coefficient d’intégration fiscale moyen de la catégorie Population DGF 19,437 859 € x 0,5 = Valeur de point Dotation de base Calcul de la dotation de péréquation des groupements créés avant 2010 Calcul de l’écart relatif de potentiel fiscal 2–( / 227,842 623 €) = Potentiel fiscal moyen national des CC à TPU Potentiel fiscal par habitant x Écart relatif de potentiel fiscal x Population DGF Écart relatif de potentiel fiscal x 43,938 192 € Coefficient d’intégration fiscale ou CIF pondéré la 2e année = Valeur de point Dotation de péréquation Calcul de la dotation de péréquation des groupements créés en 2010 x Écart relatif de potentiel fiscal x Population DGF x Coefficient d’intégration fiscale moyen 43,938 192 € x 0,5 = Valeur de point Dotation de péréquation La bonification de la dotation d’intercommunalité (s’ajoute à la dotation de base déjà calculée) Dotation de base des groupements créés avant 2010 x x CIF ou CIF pondéré la 2e année Population DGF 27,798 785 € = Valeur de point Dotation de base Dotation de base des groupements créés en 2010 x Population DGF x CIF moyen de la catégorie 27,798 785 € x 0,5 = Valeur de point Dotation de base Dotations de garantie 1. Dotation de garantie en cas de transformation ou de fusion – Dotation de garantie des CC à FPU issues d’une transformation ou d’une fusion en 2009 ou en 2010 Les CC à FPU issues d’une transformation ou d’une fusion en 2009 ou en 2010 ne peuvent pas percevoir en 2011 une dotation d’intercommunalité par habitant inférieure à celle perçue l’année précédente indexée selon le taux d’évolution de la dotation forfaitaire des communes. Le taux d’évolution pris en compte pour la dotation par habitant garantie est donc nul. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 12/95 – Page 23 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Calcul de l’attribution minimale (( + Dotation de base (avec bonification) 2010 + + Dotation de péréquation 2010 Majoration 2010 ) / Dotation de garantie 2010 ) x Pop DGF 2010 x (1 + 0 %) = Pop DGF 2011 Taux d’évolution de garantie Dot interco minimale 2011 Calcul de la garantie – – Dot interco minimale 2011 = Dotation de base (avec bonification) 2011 Dotation de péréquation 2011 Dotation de garantie (si > 0) – Dotation de garantie des CC à FPU issues d’une transformation en 2008 Les CC à FPU issues d’une transformation ou d’une fusion en 2008 ne peuvent pas percevoir en 2011 une dotation d’intercommunalité par habitant inférieure à 95 % de celle perçue l’année précédente. Calcul de l’attribution minimale (( + + Dotation de base (avec bonification) 2010 ) / Dotation de péréquation 2010 Dotation de garantie 2010 ) x x 0,95 = Dot interco minimale 2011 Pop DGF 2011 Pop DGF 2010 Calcul de la garantie – – Dot interco minimale 2011 = Dotation de base (avec bonification) 2011 Dotation de péréquation 2011 Dotation de garantie (si > 0) – Dotation de garantie des CC à FPU issues d’une transformation en 2007 Les CC à FPU issues d’une transformation en 2007 ne peuvent pas percevoir en 2011 une dotation d’intercommunalité par habitant inférieure à 90 % de celle perçue l’année précédente. Calcul de l’attribution minimale (( + Dotation de base (avec bonification) 2010 + Dotation de péréquation 2010 ) / Dotation de garantie 2010 ) x x 0,90 = Dot interco minimale 2011 Pop DGF 2011 Pop DGF 2010 Calcul de la garantie – Dot interco minimale 2011 – = Dotation de base (avec bonification) 2011 Dotation de péréquation 2011 Dotation de garantie (si > 0) – Dotation de garantie des CC à FPU issues d’une transformation en 2006 Les CC à FPU issues d’une transformation en 2006 ne peuvent pas percevoir en 2011 une dotation d’intercommunalité par habitant inférieure à 85 % de celle perçue l’année précédente. Calcul de l’attribution minimale (( + Dotation de base (avec bonification) 2010 + Dotation de péréquation 2010 ) Dotation de garantie 2010 / ) Pop DGF 2010 x x 0,85 = Pop DGF 2011 Dot interco minimale 2011 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 12/95 – Page 24 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Calcul de la garantie – Dot interco minimale 2011 – = Dotation de base (avec bonification) 2011 Dotation de garantie (si > 0) Dotation de péréquation 2011 2. À compter de la 2e année de perception de la dotation d’intercommunalité dans la même catégorie – Dotation de garantie sous condition de PF Les communautés de communes à FPU de 2e année et plus dont le PF par habitant est inférieur d’au moins 50 % au potentiel fiscal moyen de la catégorie des CC à FPU, soit 227,842 624 / 2 = 113,921 312 €, bénéficient d’une dotation d’intercommunalité par habitant au moins égale à celle de l’année précédente. Calcul de l’attribution minimale (( + + Dotation de base (avec bonification) 2010 ) Dotation de péréquation 2010 / Dotation de garantie 2010 ) x Pop DGF 2010 = Dot interco minimale 2011 Pop DGF 2011 Calcul de la garantie – Dot interco minimale 2011 – = Dotation de base (avec bonification) 2011 Dotation de garantie (si > 0) Dotation de péréquation 2011 3. À compter de la 3e année de perception de la dotation d’intercommunalité dans la même catégorie – Dotation de garantie à 80 % Cette dotation de garantie est attribuée aux communautés de communes à FPU de 3e année et plus dont la dotation par habitant est inférieure à 80 % de la dotation par habitant de l’année antérieure. Calcul de l’attribution minimale (( + + Dotation de base (avec bonification) 2010 Dotation de péréquation 2010 ) / ) Dotation de garantie 2010 Pop DGF 2010 x x 0,8 = Dot interco minimale 2011 Pop DGF 2011 Calcul de la garantie – – Dot interco minimale 2011 – Dotation de base 2011 Dotation de base bonifiée 2011 = Dotation de péréquation 2011 Dotation de garantie (si > 0) – Dotation de garantie sous condition de CIF Cette garantie est attribuée aux communautés de communes de 3e année et plus dont le CIF est supérieur à 0,5. Calcul de l’attribution minimale (( + Dotation de base (avec bonification) 2010 + Dotation de péréquation 2010 ) Dotation de garantie 2010 / ) Pop DGF 2010 x x (1 + 0 %) = Pop DGF 2011 Taux d’évolution de la garantie Dot interco minimale 2011 Calcul de la garantie – Dot interco minimale 2011 – Dotation de base 2011 – Dotation de base bonifiée 2011 = Dotation de péréquation 2011 Dotation de garantie (si > 0) AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 12/95 – Page 25 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR – Dotation de garantie d’évolution de la dotation spontanée 1. Si la dotation par habitant spontanée 2011 est supérieure à la dotation par habitant spontanée 2010 Calcul de l’attribution minimale (( + + Dotation de base (avec bonification) 2010 ) Dotation de péréquation 2010 / Dotation de garantie 2010 ) x Pop DGF 2010 = Dot interco minimale 2011 Pop DGF 2011 Calcul de la garantie – Dot interco minimale 2011 – Dotation de base (avec bonification) 2011 = Dotation de garantie (si > 0) Dotation de péréquation 2011 2. Si la dotation par habitant spontanée 2011 est inférieure à la dotation par habitant spontanée 2010 Calcul de l’attribution minimale (( + + Dotation de base (avec bonification) 2010 Dotation de péréquation 2010 ) / Dotation de garantie 2010 ) x x T = Pop DGF 2011 Pop DGF 2010 Taux de baisse Dot interco minimale 2011 Avec ( + Dotation de base (avec bonification) 2011 / Dotation de péréquation 2011 ) / ( + / Dotation de base (avec bonification) 2010 Pop DGF 2011 Dotation de péréquation 2010 ) = Pop DGF 2010 T Taux de baisse Calcul de la garantie – Dot interco minimale 2011 – Dotation de base 2011 – Dotation de base bonifiée 2011 = Dotation de péréquation 2011 Dotation de garantie (si > 0) La dotation de garantie calculée dans ces deux cas ne peut représenter plus de 40 % de la dotation totale attribuée. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 12/95 – Page 26 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR FICHE No 5 Calcul de la dotation d’intercommunalité des SAN Potentiel fiscal x 0,214 9 = Taux moyen national des SAN Base brute d’imposition à la taxe professionnelle de 2009 + = Dotation de compensation 2010 à périmètre 2011 (hors baisses de DCTP) Potentiel fiscal Potentiel fiscal par habitant / = Potentiel fiscal TP Population DGF 2010 Potentiel fiscal par habitant Dotation de base x 11,933 206 € Population DGF 2011 = Valeur de point Dotation de base Dotation de péréquation Calcul de l’écart relatif de potentiel fiscal 2–( / 914,20) Potentiel fiscal par habitant = Potentiel fiscal moyen national des SAN Écart relatif de potentiel fiscal Calcul de la dotation de péréquation x Écart relatif de potentiel fiscal x Population DGF 2011 27,844 144 € = Valeur de point Dotation de péréquation Dotation de garantie (SAN de 2e année et plus) Calcul de l’attribution minimale ( + + Dotation de péréquation 2010 Dotation de base 2010 ) Dotation de garantie 2010 x0% Taux CFL 2011 = Dot interco minimale 2011 Calcul de la garantie – Dot interco minimale 2011 – Dotation de base 2011 = Dotation de péréquation 2011 Dotation de garantie (si > 0) AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 12/95 – Page 27 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale des collectivités locales _____ Sous-direction des finances locales et de l’action économique _____ Bureau du financement des transferts de compétences _____ Circulaire du 13 avril 2011 relative à la dotation régionale d’équipement scolaire pour 2011 NOR : IOCB1107655C Références : Article 49 de la loi no 2010‑1657 du 29 décembre 2010 de finances pour 2011 ; Circulaire no IOC/B/10/7338/C du 18 mars 2010. Résumé : La présente circulaire, qu’il vous appartient de transmettre pour information aux exécutifs régionaux, rappelle les modalités de mise en œuvre de la dotation régionale d’équipement scolaire, désormais gérée sur un compte de tiers alimenté par un prélèvement sur recettes. À l’instar des dispositions prévues par les LFI pour 2009 et pour 2010, le montant de la dotation de chaque région ne bénéficie pas en 2011 de l’actualisation basée sur l’application du taux de croissance de la formation brute de capital fixe des administrations publiques. Aussi, pour l’année 2011, le montant alloué à chaque région est égal à celui de 2010. Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration à Madame et Messieurs les préfets de région (métropole et ROM). Depuis 2008, le montant de la dotation de chaque région est forfaitisé et évolue chaque année selon les règles d’indexation prévues par l’article L. 4332‑3 du CGCT, sous réserve des aménagements apportés successivement par les lois de finances depuis 2009. Je rappelle également que la DRES est gérée selon le régime d’un prélèvement sur recettes qui alimente un compte de tiers. 1. La dotation pour 2011 1.1. Rappel du dispositif : le prélèvement sur recettes En application de l’article 41 de la loi no 2007‑1822 du 24 décembre 2007 de finances pour 2008 qui a réformé en profondeur le cadre budgétaire et les règles de répartition de la DRES, cette dotation est alimentée depuis 2008 par un prélèvement opéré sur les recettes de l’État. Un prélèvement sur recettes (PSR) donne lieu à l’ouverture annuelle de comptes dans les écritures des trésoriers-payeurs généraux, qui permettent à ces derniers d’effectuer le versement des sommes revenant aux bénéficiaires sans recourir à la procédure préalable habituelle de délégation ministérielle de crédits aux préfets. 1.2. Le montant de la dotation pour 2011 L’article 49 de la loi n 2010‑1657 du 29 décembre 2010 de finances pour 2011 modifiant l’article L. 4332‑3 du CGCT ne prévoit pas l’indexation du montant des dotations selon le taux de croissance de la formation brute de capital fixe des administrations publiques. Dès lors, le montant de la DRES alloué à chaque région en 2010 est reconduit en 2011. o S’agissant de la dotation de la région Guadeloupe, en application de l’article L. 4434‑8 du CGCT, le montant de la dotation 2011 correspond au montant de référence minoré de l’abattement définitif opéré dans le cadre du calcul de la dotation globale de construction et d’équipement scolaire allouée à la collectivité d’outre-mer de Saint-Martin en application de l’article L. 6364‑5 du CGCT. Le montant de la dotation de la région Guadeloupe alloué en 2011 correspond au montant de 2010. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 13/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 2. Les règles de notification et d’établissement des arrêtés d’attribution Conformément aux dispositions de l’article L. 4332‑3, cinquième alinéa, la DRES fera l’objet d’un versement unique aux régions au cours du troisième trimestre de l’année en cours. Dès réception de la présente circulaire, vous notifierez par courrier à la région le montant de la dotation qui lui revient et la date de son versement. À cette fin, la fiche de notification de la dotation revenant à la région au titre de l’exercice 2011 sera accessible sur l’application Colbert Départemental, que vous devez consulter. Je vous rappelle également qu’en application des dispositions de l’article R. 421‑5 du code de justice administrative, les voies et délais de recours contre la décision d’attribution doivent être expressément mentionnés lors de la notification de chaque dotation aux collectivités territoriales bénéficiaires. Cette mention est donc inscrite sur la fiche individuelle de notification. Je vous invite néanmoins, afin de prévenir tout contentieux, à indiquer à la région que, durant le délai de deux mois mentionné sur la fiche individuelle de notification, un recours gracieux peut être exercé auprès de vos services. Enfin, vous établirez également un arrêté notifiant le montant de la DRES attribuée à la région au titre de l’exercice 2011. Cet arrêté pourrait être rédigé de la manière suivante : « La dotation régionale d’équipement scolaire attribuée à la région [...], au titre de l’exercice 2011, s’élève à [...] euros. » Parmi les visas, les arrêtés devront mentionner la loi de finances initiale pour 2008 et la loi de finances initiale pour 2011, ainsi que l’article L. 4332‑3 du CGCT (également l’art. L. 4434‑8 du CGCT pour les régions d’outre-mer). Afin de permettre le versement de la dotation, l’arrêté visera obligatoirement le compte no 465 1292 1 « Dotation régionale d’équipement scolaire. Année 2011 ». Vous veillerez à ce que le versement unique de la dotation s’effectue entre le 1er juillet et le 30 septembre 2011. Bien entendu, mes services (Mme Élisabeth JOUGLA [DGCL/FLAE/FL5], tél. : 01 49 27 35 86, mél. : elisabeth.jougla@ interieur.gouv.fr) restent à votre disposition pour vous apporter tous les éléments d’information complémentaires qu’il vous paraîtra utile d’obtenir. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général des collectivités locales, É. Jalon AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 13/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale des collectivités locales _____ Sous-direction des finances locales et de l’action économique _____ Bureau du financement des transferts de compétences _____ Circulaire du 13 avril 2011 relative à la dotation départementale d’équipement des collèges pour 2011 NOR : IOCB1107683C Références : Article 49 de la loi no 2010‑1657 du 29 décembre 2010 de finances pour 2011 ; Circulaire no IOCB1007392C du 19 mars 2010. Résumé : la présente circulaire, qu’il vous appartient de transmettre pour information aux exécutifs départementaux, rappelle les modalités de mise en œuvre de la dotation départementale d’équipement des collèges, gérée sur un compte de tiers alimenté par un prélèvement sur recettes. À l’instar des dispositions prévues par les LFI pour 2009 et pour 2010, le montant de la dotation de chaque département ne bénéficie pas, en 2011, de l’actualisation basée sur l’application du taux de croissance de la formation brute de capital fixe des administrations publiques. Aussi, pour l’année 2011, le montant alloué à chaque département est égal à celui de 2010. Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration à Mesdames et Messieurs les préfets de département (métropole et DOM). Depuis 2008, le montant de la dotation de chaque département est forfaitisé et évolue chaque année selon les règles d’indexation prévues par l’article L. 3334‑16 du CGCT, sous réserve des aménagements apportés successivement par les lois de finances depuis 2009. Je rappelle également que la DDEC est gérée selon le régime d’un prélèvement sur recettes qui alimente un compte de tiers. 1. La dotation pour 2011 1.1. Rappel du dispositif : le prélèvement sur recettes En application de l’article 41 de la loi no 2007‑1822 du 24 décembre 2007 de finances pour 2008, qui a réformé en profondeur le cadre budgétaire et les règles de répartition de la DDEC, cette dotation est alimentée depuis 2008 par un prélèvement opéré sur les recettes de l’État. Un prélèvement sur recettes (PSR) donne lieu à l’ouverture annuelle de comptes dans les écritures des trésoriers-payeurs généraux, qui permettent à ces derniers d’effectuer le versement des sommes revenant aux bénéficiaires sans recourir à la procédure préalable habituelle de délégation ministérielle de crédits aux préfets. 1.2. Le montant de la dotation pour 2011 L’article 49 de la loi n 2010‑1657 du 29 décembre 2010 de finances pour 2011, modifiant l’article L. 3334‑16 du CGCT, ne prévoit pas l’indexation du montant des dotations selon le taux de croissance de la formation brute de capital fixe des administrations publiques. Dès lors, le montant de la DDEC alloué à chaque département en 2010 est reconduit en 2011. o S’agissant de la dotation du département de la Guadeloupe, en application de l’article L. 3443‑2 du CGCT, le montant de la dotation 2011 correspond au montant de référence minoré des deux abattements définitifs opérés dans le cadre du calcul des dotations globales de construction et d’équipement scolaire allouées aux collectivités de Saint-Barthélemy et de SaintMartin en application des articles L. 6264‑5 et L. 6364‑5 du CGCT. Le montant de la dotation de la Guadeloupe alloué en 2011 correspond au montant de 2010. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 14/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 2. Les règles de notification et d’établissement des arrêtés d’attribution Conformément aux dispositions de l’article L. 3334‑16, 5e alinéa, la DDEC fera l’objet d’un versement unique aux départements au cours du troisième trimestre de l’année en cours. Dès réception de la présente circulaire, vous notifierez par courrier au département le montant de la dotation qui lui revient et la date de son versement. À cette fin, la fiche de notification de la dotation revenant au département au titre de l’exercice 2011 sera accessible sur l’application Colbert Départemental, que vous devez consulter. Je vous rappelle également qu’en application des dispositions de l’article R. 421‑5 du code de justice administrative, les voies et délais de recours contre la décision d’attribution doivent être expressément mentionnés lors de la notification de chaque dotation aux collectivités territoriales bénéficiaires. Cette mention est donc inscrite sur la fiche individuelle de notification. Je vous invite néanmoins, afin de prévenir tout contentieux, à indiquer au département que, durant le délai de deux mois mentionné sur la fiche individuelle de notification, un recours gracieux peut être exercé auprès de vos services. Enfin, vous établirez également un arrêté notifiant le montant de la DDEC attribuée au département au titre de l’exercice 2011. Cet arrêté pourrait être rédigé de la manière suivante : « La dotation départementale d’équipement des collèges attribuée au département [...], au titre de l’exercice 2011, s’élève à [...] euros. » Parmi les visas, les arrêtés devront mentionner la loi de finances initiale pour 2008 et la loi de finances initiale pour 2011, ainsi que l’article L. 3334‑16 du CGCT (également l’art. L. 3443‑2 du CGCT pour les départements d’outre-mer). Afin de permettre le versement de la dotation, l’arrêté visera obligatoirement le compte no 465.1291 1 « Dotation départementale d’équipement des collèges. Année 2011 ». Vous veillerez à ce que le versement unique de la dotation s’effectue entre le 1er juillet et le 30 septembre 2011. Bien entendu, mes services (Mme Élisabeth JOUGLA [DGCL/FLAE/FL 5], tél. : 01 49 27 35 86, mél. : elisabeth. [email protected]) restent à votre disposition pour vous apporter tous les éléments d’information complémentaires qu’il vous paraîtra utile d’obtenir. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général des collectivités locales, É. Jalon AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 14/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale des collectivités locales _____ Sous-direction des finances locales et de l’action économique _____ Bureau du financement des transferts de compétences _____ Circulaire du 19 avril 2011 relative à la répartition de la dotation générale de décentralisation (DGD) des départements pour 2011 NOR : IOCB1105174C Pièce jointe : fiche de calcul de la DGD pour 2011. Résumé : la présente circulaire a pour objet de préciser les modalités de répartition de la dotation générale de décentralisation des départements pour l’année 2011. Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration à Mesdames et Messieurs les préfets de département. En application des dispositions de l’article L. 1614‑4 du code général des collectivités territoriales (CGCT), les charges résultant des transferts de compétences intervenus entre l’État et les collectivités territoriales depuis 1984 sont compensées par le transfert d’impôts d’État, par les ressources du Fonds de compensation de la fiscalité transférée (FCFT) et, pour le solde, par l’attribution de crédits budgétaires : la DGD. Le FCFT a été créé par l’article 31 de la loi de finances initiale pour 1997. Il s’agit d’un compte spécial du Trésor ayant vocation à accueillir le montant des prélèvements opérés sur la fiscalité transférée aux départements, lorsque cette fiscalité est supérieure au droit à compensation. Pour 2011, il s’agit des départements des Alpes-Maritimes, de Paris et des Hautsde-Seine. Les crédits ainsi collectés sont reversés aux départements dont le montant des ressources fiscales transférées ne couvre que partiellement leur droit à compensation. Nous vous rappelons par ailleurs que dans le cadre de la réforme d’ensemble des concours financiers de l’État aux collectivités territoriales, la DGD des départements (hors concours particuliers) a fait l’objet d’un transfert financier partiel vers la dotation globale de fonctionnement (DGF) des départements, selon les modalités suivantes : – 95 % des crédits de la DGD revenant à chaque département en 2003 ont ainsi été intégrés dans la dotation forfaitaire de chaque département pour 2004. – les 5 % de crédits de la DGD restants permettent de procéder aux ajustements que peut connaître annuellement la DGD, s’agissant des partages de services et de régularisations ponctuelles. Chaque département a ainsi perçu en 2004 et reçoit pour les années suivantes une DGD résiduelle égale à 5 % de la DGD 2003 indexée et ajustée le cas échéant. Cette mesure ne modifie pas le montant global des crédits affectés aux départements pour la compensation financière des transferts de compétences concernés. Si la quasi-totalité de ces crédits est désormais versée en DGF, la DGD demeure la dotation utilisée pour procéder aux ajustements liés aux partages de services ou pour compenser le transfert de certaines charges en application de la loi no 2004‑809 du 13 août 2004 modifiée relative aux libertés et responsabilités locales. Vous trouverez ci-après les modalités de calcul de la DGD des départements (Mission « Relations avec les collectivités territoriales » – Programme 120 « Concours financiers aux départements »), au titre de 2011, ainsi que les règles de gestion et de notification de cette dotation et du FCFT. 1. Le calcul de la DGD pour 2011 Le montant de la DGD allouée aux départements au titre de l’année 2011 est déterminé à partir du montant de la DGD due aux départements au titre de 2010, modifié ainsi qu’il suit : – prise en compte des différentes mesures liées à la poursuite de la mise en œuvre de la loi no 85‑1098 du 11 octobre 1985 relative à la prise en charge par l’État, les départements et les régions des dépenses de personnel, de fonctionnement et d’équipement des services placés sous leur autorité ; AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 15/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR – la fin de l’expérimentation par le département du Lot de la gestion des crédits d’entretien et de restauration des monuments historiques n’appartenant pas à l’État en application de l’article 99 de la loi du 13 août 2004 précitée ; – la nouvelle répartition des transferts de charges entre le département de la Guadeloupe et la collectivité de SaintMartin. a) L’indexation de la DGD L’article L. 1614‑1 du code général des collectivités territoriales (CGCT) et l’article 98 de la loi no 83‑8 du 7 janvier 1983 relative à la répartition de compétences entre les communes, les départements, les régions et l’État disposent que la DGD évolue, chaque année, comme la dotation globale de fonctionnement. Néanmoins, à l’instar des dispositions prévues par la loi de finances pour 2009 et par la loi de finances pour 2010 (1), l’article 48 de la loi no 2010‑1657 du 29 décembre 2010 de finances pour 2011 prévoit, pour 2011, la non-indexation de la DGD. Ainsi, le montant de la DGD allouée aux départements au titre de l’année 2011 est identique, hors mesures nouvelles, à celui dû au titre de l’année 2010. b) Les mesures prises en application de la loi du 11 octobre 1985 La loi n 85‑1098 du 11 octobre 1985 précitée a fixé le principe d’une négociation locale annuelle entre le préfet et le président du conseil général pour la mise en œuvre du droit d’option des personnels. o Une convention financière détermine les emplois dont chaque collectivité assume la prise en charge l’année suivante. Il s’agit, d’une part, des emplois correspondant à des vacances prévues et, d’autre part, des emplois d’accueil des fonctionnaires ayant exercé leur droit d’option. Ce mécanisme de prise en charge étant prévisionnel, une régularisation financière intervient, au plus tard, dans la loi de finances de la deuxième année suivant celle de l’estimation initiale. La vérification porte sur la réalité des mouvements initiaux, sur leur date d’effet et sur les éventuelles modifications ayant pu intervenir dans la situation des personnels intéressés. Les mesures prises en compte à ce titre pour le calcul de la DGD pour 2011 portent sur : – des mouvements initiaux prenant effet en 2011 en faveur du département de Loir-et-Cher et dont les crédits ont fait l’objet d’une ouverture en LFI 2011 à hauteur de 44 051 € ; – et des régularisations des mouvements intervenus en 2009 au profit de 19 départements et dont les crédits ont été inscrits en LFR pour 2010 à hauteur de 905 080 €. c) La fin de l’expérimentation par le département du Lot de la gestion des crédits d’entretien et de restauration des monuments historiques n’appartenant pas à l’État En application de l’article 99 de la loi du 13 août 2004 précitée, le département du Lot s’est porté candidat pour expérimenter, pendant quatre années, la gestion des crédits budgétaires affectés à l’entretien et à la restauration des immeubles, orgues et objets mobiliers classés ou inscrits au titre des monuments historiques n’appartenant pas à l’État ou à ses établissements publics. Cet engagement a été formalisé, d’une part, par le décret no 2007‑1343 du 11 septembre 2007 et, d’autre part, par la convention du 2 mai 2007. Cette dernière a prévu, pour la durée de l’expérimentation (2007‑2010), l’attribution d’une participation financière annuelle de l’État s’élevant à 550 000 € qui a été versée sous forme de DGD. La fin de cette expérimentation au 31 décembre 2010 a pour effet d’interrompre le versement de la participation de l’État et donc de minorer le montant de la DGD versée au département d’un montant équivalent à cette participation. d) La nouvelle répartition des transferts de charges entre le département de la Guadeloupe et la collectivité de Saint-Martin La LFI pour 2011 a tiré les conséquences sur la DGD du département de la Guadeloupe et sur la DGC de la collectivité d’outre-mer de Saint-Martin des ajustements des charges transférées entre les deux collectivités au titre du service départemental d’incendie et de secours (SDIS), conformément aux constatations de la commission consultative d’évaluation des charges de Saint-Martin réunie en juillet 2009. En effet, lors de la séance du 7 juillet 2009, la CCEC de Saint-Martin a fixé de manière définitive les montants des charges supportées respectivement par la commune et par le département au titre du SDIS. Il en ressort qu’en fonctionnement, les (1) Articles 43 de la loi n°2008-1425 du 27 décembre 2008 de finances pour 2009 et 41 de la loi n°2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 15/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR dépenses du département s’élèvent à 618 828 € en valeur 2006 et non à 1 452 409 € tandis qu’en investissement, elles s’élèvent à 61 662 € et non à 102 530 €. Le montant global des deux différences s’élève ainsi à 874 449 € en valeur 2006, soit 914 995 € en valeur 2008. La prise en compte de cette correction se traduit par : – une diminution du montant de la minoration appliquée sur la DGD du département qui s’établit à – 1 896 225 € en valeur 2008 (au lieu de – 2 811 220 €) (1) au titre des transferts de charges et de ressources intervenus entre le département de la Guadeloupe et la collectivité de Saint-Martin ; – la transformation de la dotation globale de compensation de Saint-Martin en une dotation négative qui s’établit à – 634 126 € en valeur 2008 (au lieu de 280 868 €). Compte tenu des règles d’indexation respectives de la DGD et de la DGC, le montant cumulé des sommes prélevées à tort de 2008 à 2010 sur la DGD du département de la Guadeloupe s’élève à 2 744 985 €, alors que le montant cumulé des sommes versées en trop sur la même période à la collectivité de Saint-Martin s’élève à 2 784 184 €. Tableau présentant pour le département de la Guadeloupe et la collectivité de Saint-Martin les sommes à régulariser : MONTANT À RÉTABLIR AU PROFIT du département de la Guadeloupe MONTANT DU TROP-VERSÉ à la COM de Saint-Martin 2008 914 995 € 914 995 € 2009 914 995 € 933 295 € 2010 914 995 € 938 895 € 2 744 985 € 2 787 184 € Corrections à opérer au titre de 2008-2010 Afin de régulariser la DGD du département de la Guadeloupe et la DGC de la collectivité de Saint-Martin, la LFI pour 2011 prévoit deux types de mesures à l’égard de ces deux dotations : – des régularisations pour les années 2008, 2009 et 2010 échelonnées sur deux ans, se traduisant en 2011 par le versement de la somme de 1 372 492 € au département de la Guadeloupe en remboursement des sommes prélevées à tort depuis 2008 (le solde d’un montant identique sera versé en 2012) et par l’application d’une minoration s’élevant à 1 393 592 € sur la DGC de la collectivité de Saint-Martin (le solde sera prélevé sur la DGC en 2012) ; – des ajustements pour l’avenir par un abondement pérenne de la DGD du département de la Guadeloupe d’un montant égal à 914 995 € et par une minoration pérenne de la DGC de Saint-Martin d’un montant égal à 938 895 €. Par ailleurs, je précise que les montants définitifs des charges supportées respectivement par le département et la commune au titre du SDIS sont reportés en valeur 2006 dans le projet d’arrêté fixant le montant des charges et le droit à compensation des compétences transférées à la collectivité de Saint-Martin qui a reçu un avis favorable de la part de la CCEC de SaintMartin à la majorité de ses membres au cours de la séance du 13 janvier 2011. 2. La gestion de la DGD Comme chaque année depuis 1998, la DGD est gérée de manière déconcentrée. Depuis 2007, les crédits de la DGD dus aux départements font l’objet d’une délégation unique. Les crédits devront être engagés localement, par vos soins, avant d’être mandatés au département. Il vous appartient de mandater les crédits correspondants selon le rythme que vous aurez choisi, sachant qu’il est préférable, par souci de simplification, qu’un mandatement unique soit effectué. Au mois de septembre, il devra être procédé à un premier versement des crédits du FCFT. Ces crédits, imputés pour 2011 sur le compte no 465‑115 1, seront directement versés au département par le trésorier-payeur général pour un montant égal à 50 % de l’attribution lui revenant et figurant dans la fiche individuelle de notification ci-jointe. Le solde des crédits du FCFT (50 %) sera versé en décembre. Dans ce cadre, il vous appartiendra donc de prendre, avant les 15 septembre et 15 décembre 2010, les arrêtés de versement des sommes du FCFT au profit du département afin que le montant figurant dans la fiche individuelle de notification cijointe soit intégralement versé pour la gestion 2010. 3. Les règles de notification de la DGD Afin d’assurer une parfaite transparence dans les relations financières entre l’État et le département, je vous demande de bien vouloir communiquer au président du conseil général les informations contenues dans la présente circulaire et son annexe. (1) Cf. ma circulaire IOC/B/09/09706/C du 30 avril 2009. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 15/95 – Page 3 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Je vous rappelle, en outre, qu’en vertu des dispositions de l’article R. 421‑5 du code de justice administrative, les voies et délais de recours doivent être expressément indiqués lors de la notification de chaque dotation aux collectivités bénéficiaires. Cette mention est inscrite sur chaque fiche individuelle de notification annexée à la présente circulaire. Elle devra également figurer sur vos arrêtés de versement du FCFT. Je vous invite, enfin, dans le souci de prévenir tout contentieux, à indiquer à la collectivité bénéficiaire que, durant le délai de deux mois mentionné sur la fiche de notification, un recours gracieux peut être exercé auprès de vos services. Ce recours gracieux interrompt le délai du recours contentieux, qui ne courra à nouveau qu’à compter de la réception de votre réponse. Je vous rappelle, à cet égard, qu’en application de l’article R. 421‑2 du code précité « le silence gardé pendant plus de deux mois sur une réclamation par l’autorité compétente vaut décision de rejet ». Je vous remercie de procéder à la notification de la fiche financière dès réception de la présente circulaire. Bien entendu, mes services (mél. : [email protected], tél. : 01-49-27-43-97) restent à votre disposition pour vous apporter tous les éléments d’information complémentaires qu’il vous paraîtra utile d’obtenir. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général des collectivités locales, É. Jalon AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 15/95 – Page 4 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale des collectivités locales _____ Sous-direction des finances locales et de l’action économique _____ Bureau du financement des transferts de compétences _____ Circulaire du 22 avril 2011 relative à la répartition de la dotation générale de décentralisation (DGD) des régions pour 2011 NOR : IOCB1105085C Références : Circulaire no IOC/B/10/32222/C du 31 décembre 2010 ; Circulaire no IOC/B/11/02819/C du 21 janvier 2011. Pièces jointes : Fiche de notification de la DGD 2011 ; Trois annexes réservées aux régions d’outre-mer. Résumé : la présente circulaire a pour objet de préciser les modalités de répartition de la dotation générale de décentralisation des régions pour l’année 2011. Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration à Madame et Messieurs les préfets de région, métropole, régions d’outre-mer. Les charges résultant des transferts de compétences intervenus entre l’État et les régions depuis 1984 sont compensées par le transfert d’impôts d’État et par l’attribution d’une dotation générale de décentralisation (DGD). Vous trouverez ci-après les modalités de calcul de la DGD des régions pour l’année 2011 ainsi que les règles de gestion et de notification de cette dotation. Les crédits relatifs à la DGD des régions pour l’année 2011 sont inscrits sur le programme 121 Concours financiers aux régions de la mission « Relations avec les collectivités territoriales ». Nous vous rappelons par ailleurs que dans le cadre de la réforme d’ensemble des concours financiers de l’État aux collectivités territoriales, la DGD des régions a fait l’objet d’un transfert financier partiel en 2004 vers la dotation globale de fonctionnement (DGF) des régions selon les modalités suivantes : – 95 % des crédits de la DGD revenant à chaque région en 2003 ont ainsi été intégrés dans la dotation forfaitaire de chaque région pour 2004 ; – les 5 % de crédits de la DGD restants permettent de procéder aux ajustements que peut connaître annuellement la DGD. Chaque région a ainsi perçu dès 2004 et reçoit les années suivantes une DGD résiduelle égale à 5 % de la DGD 2003, indexée et ajustée le cas échéant. I. – LE CALCUL DE LA DGD POUR 2011 Le montant de la DGD allouée aux régions au titre de l’année 2011 est déterminé à partir du montant de la DGD due aux régions en 2010, modifié ainsi qu’il suit : 1. L’indexation de la DGD L’article L. 1614‑1 du code général des collectivités territoriales (CGCT) et l’article 98 de la loi no 83‑8 du 7 janvier 1983 relative à la répartition de compétences entre les communes, les départements, les régions et l’État disposent que la DGD évolue, chaque année, comme la DGF. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 16/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Néanmoins, à l’instar des dispositions prévues par la loi de finances pour 2009 et par la loi de finances pour 2010 (1), l’article 48 de la loi no 2010‑1657 du 29 décembre 2010 de finances pour 2011 prévoit, pour 2011, la non-indexation de la DGD. Ainsi, le montant de la DGD allouée aux régions au titre de l’année 2011 est identique, hors mesures nouvelles, à celui dû au titre de l’année 2010. 2. Le calcul de la DGD des régions de métropole La LFI pour 2011 prévoit la compensation à la région Bourgogne des charges de personnel résultant du transfert, depuis le 1er janvier 2010, de trois agents du ministère de la culture travaillant au château de Châteauneuf à hauteur de 117 552 €. Une régularisation au titre de l’année 2010 est prévue par la LFR pour 2010 pour un montant strictement identique. 3. Le calcul de la DGD des régions d’outre-mer La compensation des transferts de compétences entrés en vigueur au 1er janvier 2005 a été financée par l’attribution d’une part de TIPP aux régions d’outre-mer. Depuis le 1er janvier 2006 et pour les seules régions d’outre-mer, la compensation financière des transferts de compétences prévus par la loi du 13 août 2004 précitée n’est plus assurée par l’affectation d’une part du produit de la taxe intérieure de consommation sur les produits pétroliers (TIPP). En effet, en raison de la régionalisation de l’assiette de TIPP, ces transferts sont compensés depuis 2006 par de la DGD et non plus par de la TIPP. Conformément à ce qui vous a été indiqué dans la circulaire du 31 décembre 2010 relative à la compensation financière prévue pour 2011 et dans la circulaire du 21 janvier 2011 relative aux ajustements prévus en LFR pour 2010 de compensations antérieures à 2011, le montant de la DGD pour 2011 des régions d’outre-mer prend en compte : La compensation des transferts intervenus au 1er janvier 2011 (cf. colonnes de la tranche 2011 de l’annexe I) et portant sur : Les effets de la reconnaissance du diplôme infirmier au niveau licence par l’arrêté du 31 juillet 2009 : la LFI pour 2011 ajuste la compensation initiale ouverte en LFI pour 2010 afin de compenser les charges nouvelles spécifiques à l’année universitaire 2010-2011, liées à l’entrée en 2e année de la 1re promotion d’étudiants concernée par le nouveau référentiel « LMD » de formation (cf. ma circulaire du 31 décembre 2010) ; La compensation des charges nouvelles intervient sur le fondement de l’article L. 1614‑2 du CGCT selon des modalités décrites par la circulaire du 31 décembre 2010 précitée. Le transfert des services de l’inventaire général du patrimoine culturel : la LFI pour 2011 prévoit le versement à la région Guyane de la dernière tranche de l’indemnité particulière de sujétion et d’installation qui est due au titre du détachement d’un agent du ministère de la culture auprès de cette région, Le transfert des services des RNIL au 1er janvier 2009 à la région Réunion et plus précisément sur : 1o le transfert des personnels titulaires ayant opté au 31 août 2010 au titre de la 2e campagne de droit d’option ; 2o la prise en charge des dépenses d’action sociale des personnels ayant opté au 31 août 2010. Les ajustements pérennes en LFR pour 2010 de compensations intervenues en 2007, en 2008, en 2009 et en 2010 ayant fait l’objet d’une consolidation définitive en LFI pour 2011 (cf. annexes I et II) et portant sur : L’allongement de durée de formation des ambulanciers : il s’agit de compenser aux régions, sur le fondement de l’article L. 1614‑2 du CGCT, les charges nouvelles résultant de l’allongement de la durée de formation des ambulanciers intervenu au 1er janvier 2007 (cf. mes circulaires du 31 décembre 2010 et du 21 janvier 2011) ; Le transfert des personnels TOS des lycées agricoles et plus précisément les postes devenus vacants au regard des droits d’option réellement exprimés ; Le transfert des services de l’inventaire général du patrimoine culturel et plus précisément la prise en charge par la région Guadeloupe d’un poste devenu vacant en 2007 (la régularisation pour les années 2007 à 2009 avait été inscrite en LFR pour 2010 sans faire l’objet d’une inscription pérenne dans la DGD). Le transfert des services des RNIL au 1er janvier 2007 aux régions Guadeloupe et Martinique et plus précisément : 1o le transfert des personnels ayant opté au 31 août 2008 au titre de la 2e campagne de droit d’option et la prise en charge des dépenses d’action sociale résultant de ce transfert ; o 2 le transfert des personnels ayant opté au 6 novembre 2008 au titre de la 3e et dernière campagne de droit d’option ; 3o la prise en charge des postes devenus vacants en 2009 après le transfert des services. (1) Articles 43 et 41 de la loi no 2008-1425 du 27 décembre 2008 de finances pour 2009 et de la loi no 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 16/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Le transfert des services des RNIL au 1er janvier 2009 à la région Réunion et plus précisément : 1o le transfert des personnels ayant opté au 31 août 2009 au titre de la 1re campagne de droit d’option ; 2o la prise en charge des postes devenus vacants en 2009 (ajustement de la compensation en année pleine) et en 2010 après le transfert des services. L’ensemble de ces mesures pérennes ont donc été consolidées en LFI pour 2011. Elles sont reportées en annexe I par tranche selon la date de leur transfert. Les mesures non pérennes résultant d’ajustements exceptionnels et ponctuels pour plusieurs transferts (cf. annexe III), dont le détail est le suivant : Les versements liés aux rattrapages, dus au titre des années 2005 à 2008, de la compensation des aides versées aux étudiants des formations sanitaires et de la compensation des aides versées aux étudiants des formations sociales : la LFR pour 2010 procède au versement de la 4e et dernière tranche du rattrapage, les trois premiers versements étant intervenus en LFR pour 2007, en LFR pour 2008 et en LFR pour 2009 (cf. ma circulaire du 21 janvier 2011). Le versement pour les régions d’outre-mer de la compensation des dépenses afférentes au transfert des personnels chargés de la formation professionnelle continue des jeunes de moins de 26 ans : la LFR pour 2010 procède au dernier remboursement de cette dette, le premier paiement étant intervenu en LFR pour 2009 (cf. ma circulaire 21 janvier 2011). Le versement aux régions Guadeloupe et Réunion de la compensation des charges nouvelles issues de la réforme du diplôme d’ambulancier : la LFR pour 2010 procède au versement unique du rattrapage de la compensation pour les exercices 2007, 2008 et 2009 des charges résultant pour ces régions de la réforme du cursus de formation des ambulanciers intervenue au 1er janvier 2007. Le détail de cette mesure figure dans mes circulaires du 31 décembre 2010 et du 21 janvier 2011. Les mesures non pérennes liées au transfert des services des RNIL au 1er janvier 2007 aux régions Guadeloupe et Martinique : la LFR pour 2010 régularise de manière ponctuelle la compensation résultant : 1o du transfert des personnels ayant opté au 31 août 2008 au titre de la 2e campagne de droit d’option ; 2o de la prise en charge des postes devenus vacants en 2009 après le transfert des services (ajustement de la compensation pro rata temporis). Les mesures non pérennes afférentes au transfert des services des RNIL au 1er janvier 2009 à la région Réunion : la LFR pour 2010 régularise de manière ponctuelle la compensation résultant de la prise en charge des postes devenus vacants en 2009 (ajustement de la compensation pro rata temporis). II. – LA GESTION DE LA DGD Comme chaque année depuis 1998, la DGD est gérée de manière déconcentrée. Depuis 2007, les crédits de la DGD dus aux régions font l’objet d’une délégation unique. Les crédits devront être engagés localement par vos soins avant d’être mandatés aux régions. Il vous appartient de mandater les crédits correspondants selon le rythme qui vous est habituel, sachant qu’il est préférable, par souci de simplification, qu’un mandatement unique soit opéré. III. – LES RÈGLES DE NOTIFICATION DE LA DGD Afin d’assurer la meilleure transparence dans les relations financières entre l’État et la région, je vous demande de bien vouloir communiquer au président du conseil régional les informations contenues dans la présente circulaire ainsi que sa fiche de notification individuelle. Je vous rappelle également que, pour permettre l’application des dispositions de l’article R. 421‑5 du code de justice administrative, les voies et délais de recours contre la décision d’attribution doivent être expressément mentionnés lors de la notification de chaque dotation aux régions. Cette mention est donc inscrite sur chaque fiche individuelle de notification. Je vous invite néanmoins, afin de prévenir tout contentieux, à indiquer à chaque collectivité bénéficiaire que, durant le délai de deux mois mentionné sur la fiche de notification, un recours gracieux peut être exercé auprès de vos services. Ce recours gracieux interrompt le délai du recours contentieux qui ne courra à nouveau qu’à compter de la réception de votre réponse. Je vous rappelle, à cet égard, qu’en application de l’article R. 421‑2 du code précité « le silence gardé pendant plus de deux mois sur une réclamation par l’autorité compétente vaut décision de rejet ». Je vous remercie de procéder à la notification de la fiche financière dès réception de la présente circulaire. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 16/95 – Page 3 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Bien entendu, mes services (mél : [email protected], tél. : 01 49 27 43 97) restent à votre disposition pour vous apporter tous les éléments d’information complémentaires qu’il vous paraîtra utile d’obtenir. Fait le 22 avril 2011. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général des collectivités locales, É. Jalon AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 16/95 – Page 4 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ MINISTÈRE CHARGÉ DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES _____ Direction générale des collectivités locales _____ Sous-direction des finances locales et de l’action économique _____ Bureau de la fiscalité locale _____ Circulaire du 26 avril 2011 relative aux compensations à verser en 2011 aux collectivités locales pour les exonérations relatives à la fiscalité locale décidées par l’État NOR : COTB1108769C Le ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, chargé des collectivités territoriales à Madame et Messieurs les préfets de région ; Mesdames et Messieurs les préfets de département (métropole et DOM). La présente circulaire fait le point sur les différentes compensations à verser en 2011 aux collectivités territoriales et à leurs groupements dotés d’une fiscalité propre en contrepartie des pertes de recettes résultant des exonérations et des allégements de fiscalité locale accordés par le législateur (les dispositions nouvelles sont signalées par un trait en marge). Cette année d’entrée en vigueur de la réforme de la fiscalité locale induite par la suppression de la taxe professionnelle pour les collectivités territoriales est marquée principalement par la disparition de nombreuses allocations compensatrices pour les départements et les régions et leur remplacement par une dotation unique pour perte de compensations d’exonérations calculées à partir des données 2010. Vous pouvez vous référer utilement à l’annexe II de la circulaire no COT/B/11/07973/C du 17 mars 2011 relative aux informations fiscales utiles à la préparation des budgets primitifs locaux pour 2011, ainsi qu’à la circulaire CD-3291 du 21 novembre 2006 relative à la périodicité des versements des dotations de l’État et des compensations fiscales aux collectivités territoriales, des avances sur douzièmes et du produit de fiscalité partagée. En 2010, malgré la disparition de la taxe professionnelle, le régime des allocations compensatrices des allègements de fiscalité locale n’avait pas subi de modifications. L’architecture des concours financiers de l’État aux collectivités territoriales était la suivante : – les dotations dites « sous enveloppe », i.e. relevant de l’enveloppe normée, qui étaient dans leur grande majorité indexées sur un taux d’évolution prévu par la loi, elles étaient de trois types : – les dotations de fonctionnement (1), qui évoluaient en fonction du taux d’évolution de la DGF ; – les dotations d’équipement (2), qui évoluaient selon le taux de formation brute de capital fixe (FBCF) des administrations publiques ; – les variables d’ajustement du « contrat de stabilité », qui diminuent chaque année de manière à rendre compatible la croissance des autres dotations avec celle de l’enveloppe globale ; ces compensations d’exonération de fiscalité locale peuvent être classées en deux catégories : – les compensations variables d’ajustement historiques (depuis 1999, la dotation de compensation de la taxe professionnelle [DCTP] (3) assume ce rôle de variable d’ajustement) auquel on ajoute désormais les trois dotations de compensation d’exonérations fiscales (4) transformées, en 2008, en variables d’ajustement ; – les compensations variables d’ajustement depuis 2009 (la loi de finances pour 2009 avait pour objectif que toutes les allocations d’exonération de fiscalité jouent le rôle de variables d’ajustement mais certaines continuent (1) La dotation globale de fonctionnement (DGF), la dotation spéciale instituteurs (DSI), la dotation particulière élu local, les dotations générales de décentralisation (DGD, DGD Corse, DGD formation professionnelle) et la compensation de la suppression de la part « salaires » de la TP bénéficiant aux FDPTP. (2) La dotation globale d’équipement (DGE) et les dotations d’équipement scolaire des départements et des régions (DDEC, DRES). (3) La dotation de compensation de la taxe professionnelle (DCTP) est un concours global de compensation de plusieurs exonérations de TP accumulées au fil du temps. Instituée, sous forme d’un prélèvement sur recette de l’État, par l’article 6 de la loi de finances pour 1987, la DCTP regroupe aujourd’hui la compensation du plafonnement du taux communal (institué en 1983), la compensation de la réduction de la fraction des salaires prise en compte dans les bases de TP (instituée aussi en 1983) et la compensation de l’abattement général de 16 % des bases de TP (institué en 1987). (4) La part de la DCTP liée à la réduction pour création d’établissement (DCTP-RCE), la dotation de compensation de la réduction de la fraction imposable des recettes de la taxe professionnelle (exonération des bénéfices non commerciaux des professions libérales-BNC) et la compensation des exonérations départementales et régionales de taxe foncière sur les propriétés non bâties afférentes aux terrains agricoles, hors Corse (TFPNB agricole). AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR d’être calculées selon les méthodes antérieures) – cf. la circulaire no INTB0900061C du 20 mars 2009 relative aux compensations à verser en 2010 aux collectivités locales pour les exonérations relatives à la fiscalité locale décidées par l’État. – les autres concours financiers de l’État, notamment le fonds de compensation pour la TVA (FCTVA), le produit des amendes de police, les subventions des divers ministères aux collectivités locales, ainsi que la fiscalité transférée, les compensations d’exonérations et les dégrèvements législatifs, qui étaient exclus de l’enveloppe normée (c’est-à-dire que par exception aux compensations variables d’ajustement depuis 2008, ces allocations restent calculées selon les méthodes classiques, sans intervention d’un coefficient de minoration). Les compensations versées aux collectivités territoriales et aux groupements de communes à fiscalité propre sont déterminées à partir des bases de taxe professionnelle qui résulteraient de l’application, au titre de l’année 2010, des dispositions relatives à cette taxe dans leur version en vigueur au 31 décembre 2009. En 2011, cette architecture évolue avec la réforme de la taxe professionnelle, comme il sera développé dans la circulaire ci-après : 1. Les compensations, variables historiques, vont être fusionnées au sein d’une nouvelle dotation unique : « la dotation unique des compensations spécifiques à la taxe professionnelle » (DUCSTP) (1). 2. Certaines allocations compensatrices régionale et départementale sont remplacées par une nouvelle « dotation pour perte de compensation d’exonérations » (DPCE) (2). 3. Les exonérations qui s’appliquaient exclusivement aux équipements et biens mobiliers et celles parvenues à leur terme sont abrogées. 4. Suppression des allocations compensatrices au profit du FDPTP (3). Hormis ces cas particuliers, développés ci-après, les exonérations applicables à la TP deviennent applicables à la CFE. La loi prévoit expressément un maintien de toutes les autres exonérations ou abattements en cours dès lors qu’il s’agit d’exonérations ou d’abattements temporaires dont, par hypothèse, le terme n’est pas atteint. En outre, et conformément aux dispositions de l’article 1586 nonies du code général des impôts (CGI), les entreprises qui exploitent un ou plusieurs établissements susceptibles de bénéficier d’exonérations ou d’abattements de CFE facultatifs peuvent bénéficier d’exonérations ou d’abattements de CVAE facultatifs, accordés sur décision ou en l’absence de délibération contraire des collectivités territoriales ou des EPCI à fiscalité propre, sauf exception et sous réserve que l’entreprise en fasse la demande. S’agissant des compensations de ces allégements de fiscalité, le remplacement de la TP par la CET ne remet pas en cause leur principe. Les modalités de calcul de chacune de ces compensations sont adaptées pour tenir compte du nouveau schéma de financement. Ainsi, les taux retenus pour le calcul des allocations compensatrices de la CFE à verser aux communes et EPCI seront majorés des taux départemental et régional retenus pour déterminer les compensations versées en 2010 aux départements et régions, puis multipliés par un coefficient de 0,84. Ce principe général est adapté selon qu’il s’agit d’une commune isolée ou non, d’un EPCI à fiscalité additionnelle ou à fiscalité professionnelle unique. De même, l’architecture des concours financiers de l’État aux collectivités territoriales n’a pas modifié le mécanisme d’intégration des compensations d’exonérations fiscales dans les variables d’ajustement du nouveau périmètre élargi. Au contraire, compte tenu du gel de ce périmètre, les variables d’ajustement sont d’autant plus importantes pour redéployer des moyens financiers au sein d’une enveloppe identique. Le B du IV de l’article 51 de la loi de finances pour 2011 (no 2010-1657 du 29 décembre 2010) fixe le montant global des dotations jouant ce rôle de variables d’ajustement des concours financiers dans l’enveloppe normée et détermine les conditions de leur évolution. En 2011, la somme des montants versés au titre de l’ensemble des dotations d’exonération mentionnées aux I à III de l’article 51 précité s’est élevée à 1 306 192 571 €. Il s’agit des montants de dotations versés en 2010 et inscrits, pour chaque collectivité, dans les états fiscaux communiqués en février. Le taux de minoration principal à appliquer pour le calcul de chaque dotation mentionnée à l’article 51 de la loi de finances pour 2011 résulte de la différence entre le montant prévu pour 2011 et le montant versé en 2010 : il s’élève donc à – 7,41 %. (1) I du III de l’article 51 de la loi de finances initiale pour 2011. (2) XVIII et XIX de l’article 77 de la loi de finances pour 2010. (3) Article 46 de la loi de finances initiale pour 2011 : compte tenu de la prise en compte des reversements de FDPTP (qui comportent les allocations compensatrices) dans le calcul de la DCRTP, d’une part, et dans la dotation alimentant le FDPTP 2011, d’autre part, la loi de finances pour 2011 vient supprimer l’ensemble des dispositions relatives aux allocations compensatrices de l’État au profit des FDPTP. Pour plus d’information, il convient de se reporter au V. 2.5 de l’annexe I de la circulaire no COT/B/11/07973/C du 17 mars 2011 portant informations fiscales utiles à la préparation des budgets primitifs locaux pour 2011. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Cette année, le Parlement n’a pas complété le financement des allocations compensatrices. Le V de l’article 51 précité opère déjà un prélèvement de 115 M€ au profit de la DGF. Procédure à suivre par les services préfectoraux : La nomenclature des comptes d’imputation des dotations de compensation aux collectivités locales a été peu modifiée pour 2011. Les comptes à utiliser, pour verser ces dotations financées par prélèvement sur les recettes de l’État, dont les montants vous sont communiqués par les services fiscaux au moyen d’un état récapitulatif, sont donc les suivants : – le compte 465-113 (1) « dotation de compensation de la taxe professionnelle – DCTP et DCTP-RCE » ; – le compte 465-114 (1) « compensation des exonérations relatives à la fiscalité locale » ; – le compte 465-1181 (1) « compensation d’exonération au titre de la réduction de la fraction de recettes prises en compte dans les bases de taxe professionnelle des titulaires de bénéfices non commerciaux » ; – le compte 465-12992 (1) « dotation pour transferts de compensations d’exonérations de fiscalité directe locale – Départements » ; – le compte 465-12993 (1) « dotation pour transferts de compensations d’exonérations de fiscalité directe locale – Régions ». Ces comptes étant subdivisés par exercice, le dernier chiffre correspond au millésime de l’année. Comme chaque année, vous prendrez, pour chacun des comptes d’imputation mentionnés ci-dessus, pour chaque collectivité territoriale ou EPCI à fiscalité propre bénéficiaire, un arrêté de versement à raison des compensations qui sont imputées sur ces comptes. Les arrêtés de versement devront être transmis aux trésoriers-payeurs généraux, accompagnés des états produits par les directions des finances publiques (DRFIP ou DDFIP). Il est toutefois admis, par dérogation à ces dispositions et sous réserve de l’accord de votre DRFIP/DDFIP, qu’un seul arrêté soit signé pour l’ensemble des compensations imputées sur chaque compte, puis transmis à la trésorerie générale, accompagné d’un état récapitulatif – classé par trésorerie – indiquant le montant de chaque compensation attribuée à chaque collectivité (cf. modèle joint en annexe). Chaque collectivité recevra alors la notification du montant de ses compensations par lettre individualisée, accompagnée d’une copie de l’arrêté préfectoral et de l’état récapitulatif des allocations compensatrices. Pour toute difficulté dans l’application des instructions suivantes, il vous est possible de saisir la direction générale des collectivités locales, sous-direction des finances locales et de l’action économique, bureau de la fiscalité locale. Tél. : 01 49 27 31 59, mél. : [email protected]. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général des collectivités locales, É. Jalon AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 3 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR SOMMAIRE COMPENSATIONS RÉSULTANT DE LA RÉFORME DE LA FISCALITÉ LOCALE INDUITE PAR LA SUP‑ PRESSION DE LA TAXE PROFESSIONNELLE III. – DOTATION POUR TRANSFERTS DE COMPENSATION D’EXONÉRATION DE FISCALITÉ DIRECTE LOCALE AU PROFIT DE LA RÉGION I. 1. Les éléments de la dotation pour transferts de compensations d’exonérations de fiscalité directe locale au profit des régions I. 2. M odalités de minoration de la dotation pour transferts de compensations d’exonérations de fiscalité directe locale au profit des régions III. – DOTATION POUR TRANSFERTS DE COMPENSATION D’EXONÉRATION DE FISCALITÉ DIRECTE LOCALE AU PROFIT DES DÉPARTEMENTS III. – DOTATION UNIQUE DES COMPENSATIONS SPÉCIFIQUES À LA TAXE PROFESSIONNELLE (DUCSTP) AU PROFIT DU BLOC COMMUNAL TAXE FONCIÈRE SUR LES PROPRIÉTÉS BÂTIES II. – COMPENSATIONS JOUANT LE RÔLE DE VARIABLES D’AJUSTEMENT I. 1. Compensation des exonérations de TFPB pour les personnes de condition modeste I. 2. C ompensation des exonérations de TFPB pour les immeubles professionnels situés dans les zones franches urbaines (ZFU) I. 3. Compensation des exonérations de longue durée de TFPB pour les constructions neuves et les logements sociaux I. 4. Abattements sur les bases de TFPB de certains logements I. 5. C ompensation de l’exonération de TFPB des logements faisant l’objet d’un bail à réhabilitation pris à bail à compter du 1er janvier 2005 II. – COMPENSATIONS NE JOUANT PAS LE RÔLE DE VARIABLES D’AJUSTEMENT II. 1. C ompensation de l’abattement sur les bases de TFPB des logements sociaux situés dans les départements d’outre-mer et faisant l’objet de travaux d’amélioration les confortant vis-à-vis des risques naturels TAXE FONCIÈRE SUR LES PROPRIÉTÉS NON BÂTIES II. – COMPENSATIONS JOUANT LE RÔLE DE VARIABLES D’AJUSTEMENT I. 1. Compensation de l’exonération de TFPNB pour les terrains plantés en bois (communes et EPCI) I. 2. C ompensation de l’exonération de TFPNB pour les terrains situés dans certaines zones humides ou naturelles (communes et EPCI) I. 3. C ompensation de l’exonération de TFPNB pour les terrains situés dans un site « Natura 2000 » (communes et EPCI) II. – COMPENSATIONS NE JOUANT PAS LE RÔLE DE VARIABLES D’AJUSTEMENT II. 1. C ompensation de l’exonération de TFPNB pour les terres agricoles (parts communales et intercommunales en Corse) II. 2. Compensation de l’exonération de TFPNB pour les terres agricoles (parts départementales en Corse) II. 3. C ompensation de l’exonération de 20 % de TFPNB des terres agricoles (parts communale et intercommu‑ nale en métropole) II. 4. C ompensation de l’exonération partielle de TFPNB pour certains terrains situés dans les départements de Guadeloupe, Guyane, Martinique et de La Réunion. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 4 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR TAXE D’HABITATION I. – COMPENSATION DES EXONÉRATIONS DE TH POUR LES PERSONNES DE CONDITION MODESTE (ECF) II. – COMPENSATION DES EXONÉRATIONS DE TH DE L’EX-PART RÉGIONALE FISCALITÉ PROFESSIONNELLE I. – COMPENSATIONS JOUANT LE RÔLE DE VARIABLES D’AJUSTEMENT I. 1. L a part de la dotation de compensation de la taxe professionnelle liée à la réduction pour création d’établis‑ sement (RCE) I. 2. Compensation des exonérations de CFE dans les zones de revitalisation rurale (ZRR) I. 3. C ompensation des exonérations de CFE des créations, extensions d’établissements intervenues entre le 1er janvier 1997 et le 31 décembre 2011, dans les ZRU I. 4. Compensation des exonérations de CFE dans les zones franches urbaines (ZFU) II. – COMPENSATIONS NE JOUANT PAS LE RÔLE DE VARIABLES D’AJUSTEMENT II. 1. C ompensation des abattements sur la base imposable des établissements exploités par certaines PME, situés en Guadeloupe, Guyane, Martinique et à La Réunion II. 2. C ompensation de la suppression de la fraction imposable des salaires dans les bases de taxe professionnelle (CPS) II. 3. Compensation de la réduction de la base d’imposition à la CFE en Corse II. 4. Compensation des nouvelles exonérations de CFE applicables en Corse DISPOSITION COMMUNE À PLUSIEURS TAXES DROITS D’ENREGISTREMENT ET TAXE DE PUBLICITÉ FONCIÈRE I. – C OMPENSATION DE L’ABATTEMENT SUR L’ASSIETTE DE LA TAXE DÉPARTEMENTALE DE PUBLICITÉ FONCIÈRE OU DU DROIT DÉPARTEMENTAL D’ENREGISTREMENT DANS LES ZONES DE REVITALISATION RURALE (ZRR) II. – C OMPENSATION DE LA SUPPRESSION DE LA PART RÉGIONALE DES DROITS DE MUTATION À TITRE ONÉREUX III. – C OMPENSATION DE LA DIMINUTION DU TAUX NORMAL DE LA TAXE DÉPARTEMENTALE IV. – C OMPENSATION DE L’EXONÉRATION TEMPORAIRE DE DROITS PERÇUS SUR LES ACQUISITIONS DE PROPRIÉTÉS EN NATURE DE BOIS ET FORÊTS V. – C OMPENSATION DE LA MODIFICATION DU BARÈME APPLICABLE EN MATIÈRE DE DROITS D’ENREGISTREMENT ET DE CERTAINES TAXES ADDITIONNELLES AUX DROITS D’ENREGISTREMENT VI. – C OMPENSATION DE L’EXONÉRATION DE DMTO PERÇUS SUR CERTAINES CESSIONS DE FONDS DE COMMERCE, DE CLIENTÈLES DES PROFESSIONS LIBÉRALES ET D’OFFICES MINISTÉRIELS TAXES DIVERSES Compensation versée en contrepartie du transfert à l’État de la taxation des appareils automatiques installés dans les lieux publics COMPENSATIONS SOUMISES À MINORATION EN 2011 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 5 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR COMPENSATIONS RÉSULTANT DE LA RÉFORME DE LA FISCALITÉ LOCALE INDUITE PAR LA SUPPRESSION DE LA TAXE PROFESSIONNELLE La réforme de la fiscalité locale induite par la suppression de la taxe professionnelle a eu pour conséquence de supprimer certaines allocations compensatrices et de les remplacer, en partie, par de nouvelles compensations spécifiques. Le XVIII et le XIX de l’article 77 de la loi de finances pour 2010 ont institué, à compter de 2011, deux dotations, respectivement au profit des départements (I) et au profit des régions (II), se substituant aux compensations de fiscalité directe locale supprimées, à l’occasion de la réforme de la fiscalité directe locale, par l’article 2 de la même loi. Dans le même esprit, le I du III de l’article 51 de la loi de finances initiale pour 2011 fusionne les allocations constituant la « dotation de compensation de la taxe professionnelle » au sein d’une nouvelle dotation unique : la dotation unique des compensations spécifiques à la taxe professionnelle (DUCSTP) (III). I. – DOTATION POUR TRANSFERTS DE COMPENSATION D’EXONÉRATION DE FISCALITÉ DIRECTE LOCALE AU PROFIT DE LA RÉGION Compensation : XIX de l’article 77 de la loi de finances pour 2010. La loi de finances pour 2010 a créé une dotation pour perte de compensation d’exonérations au profit des régions. Cette nouvelle dotation se substitue à de nombreuses compensations régionales (1). Elle est tout de même actualisée chaque année et, dans le cadre de calcul de mise à jour, les compensations qui la composent restent distinguées pour prendre en compte les variables d’ajustement (2). Avant de présenter les modalités de calcul de cette dotation régionale, il est précisé que le versement de la compensation est à effectuer par débit du nouveau compte spécifique : 465-12993 (1) « dotation pour transferts de compensations d’exonérations de fiscalité directe locale – Régions ». I. 1. Les éléments de la dotation pour transferts de compensations d’exonérations de fiscalité directe locale au profit des régions Pour les régions, cette dotation de compensation globale sera égale, en 2011, à la somme des allocations compensatrices versées au titre de l’année 2010 suivantes : 1. la compensation des exonérations de TFPB et de TH (1) pour personnes de condition modeste (ECF) prévue par l’article 21 de la loi de finances pour 1992 ; 2. les compensations des exonérations de longue durée de TFPB pour les constructions neuves et les logements sociaux, y compris celles situées en outre-mer, prévues au IV de l’article 92 de la loi du 18 janvier 2005 et au II de l’article 44 de la loi du 21 juillet 2003 ; 3. la compensation de l’exonération de TFPNB des parts départementale et régionale des terres agricoles (hors Corse) prévue par l’article 9 de la loi de finances pour 1993 ; 4. la DCTP et la compensation de TP pour la réduction pour création d’établissements (RCE) prévues aux IV et IV bis de l’article 6 de la loi de finances pour 1987 ; 5. la compensation de TP pour la réduction de la fraction des recettes prise en compte dans les bases de TP des titulaires de bénéfices non commerciaux (BNC) prévue par l’article 26 de la loi de finances pour 2003 ; 6. les compensations de TFPB pour les différentes générations de zones franches urbaines, respectivement régies par le III de l’article 7 de la loi du 14 novembre 1996, du A du III de l’article 27 de la loi du 1er août 2003 et du A du IV de l’article 29 de la loi du 31 mars 2006 ; 7. la compensation de l’abattement des bases de TFPB, dans les DOM, pour création ou extension d’établissement prévu au IV de l’article 6 de la loi du 27 mai 2009 ; 8. la compensation de l’abattement des bases de taxe professionnelle (puis de CFE), dans les DOM, pour création ou extension d’établissement prévu au VII de l’article 5 de la loi du 27 mai 2009 ; 9. la compensation de l’exonération de TP dans les zones de revitalisation rurale (ZRR) prévue par le III de l’article 95 de la loi de finances pour 1998 ; 10. la compensation de l’exonération dans les zones de redynamisation urbaine (ZRU) prévue par le III de l’article 52 de la loi du 4 février 1995 d’orientation pour l’aménagement et le développement du territoire ; 11. les compensations de TP pour les différentes générations de zones franches urbaines, respectivement régies par le B du IV de l’article 29 de la loi du 31 mars 2006 et le B du III de l’article 27 de la loi du 1er août 2003. (1) Bien que la TH ne soit plus affectée aux régions depuis 2000, la compensation de cette exonération continue d’être versée. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 6 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR I. 2. Modalités de minoration de la dotation pour transferts de compensations d’exonérations de fiscalité directe locale au profit des régions Cette dotation est recalculée chaque année car certains montants, représentatifs d’allocations de 2010 qui la composent, d’une part, cessent lorsque la durée d’application de l’exonération ou de l’abattement qu’elle compense cesse (a) ou, d’autre part, subissent une minoration du fait de leur rôle initial de variable d’ajustement (b). a) Les compensations dont le versement est limité à la durée d’application des allégements de fiscalité qu’elles dédommagent sont celles numérotées de 6 à 11 En effet, concernant l’allocation no 6, elle compense les exonérations de TFPB relatives aux zones franches urbaines (ZFU). Or, les exonérations de fiscalité locale au sein des ZFU sont comprises entre deux et cinq ans en vertu des articles 1383 B, 1383 C et 1466 A (I sexies) du CGI, les exonérations de l’abattement des bases de fiscalité locale, dans les DOM, pour création ou extension d’établissement sont valables jusqu’en 2018 en vertu des articles 1395 H et 1466 F du CGI, les exonérations de TP, puis de CFE, dans les zones de revitalisation rurale sont valables cinq ans en vertu de l’article 1465 A du CGI. Autrement dit, pour le calcul de la DPCE des régions, les éléments de calcul correspondant à ces exonérations demeurent le temps de l’existence de l’exonération à l’origine de la compensation. b) Les allocations compensatrices qui, à compter de 2011, se voient appliquer un taux de minoration sont celles numérotés de 3 à 6 et de 9 à 11 ainsi qu’une partie des numéros 1 et 2 La majorité des allocations compensatrices fusionnées au sein de cette nouvelle dotation unique étaient des variables d’ajustement. C’est pourquoi, comme cette dotation unique est actualisée chaque année, elle doit subir une minoration nécessaire à l’équilibre de l’enveloppe normée des concours financiers de l’État au profit des collectivités territoriales. Toutefois, il n’est pas possible d’établir un taux unique de minoration car les allocations compensatrices qui composent cette dotation régionale n’appartenaient pas au même groupe de variable d’ajustement. Comme cela est expliqué pages 2 et 3 de la présente circulaire, il existe différents types de compensation (les historiques et celles apparues à partir de 2009). Par conséquent, les allocations doivent continuer à être distinguées afin de pouvoir moduler leur actualisation en fonction de leur groupe de variable d’ajustement. Autrement dit, pour le calcul de la dotation régionale, il est pris le montant de l’année n – 1 de chacune des compensations la composant (dès lors qu’elles n’ont pas expiré comme vu au a ci-dessus) auquel est appliqué, le cas échéant, le coefficient de minoration correspondant. L’encadré ci-dessous présente pour chaque compensation le coefficient correspondant. Pour 2011, la dotation pour transferts de compensations d’exonérations régionale est égale à : 1. La compensation de l’exonération ECF Elle-même composée du montant 2010 de compensation de l’exonération de TH (à compter de 2011, cette compensation cesse d’être revalorisée en fonction du taux d’évolution de la dotation globale de fonctionnement (cf. supra). Et des compensations d’exonérations de TFPB (redevables bénéficiaires de l’allocation de solidarité des personnes âgées et redevables âgés de plus de 75 ans [1]) actualisées par le taux de minoration de 2011, qui s’élève à 0,725 923. + 2. Les compensations des exonérations de longue durée de TFPB pour les constructions neuves et les logements sociaux Dans ce calcul, seul le montant 2010 correspondant aux compensations des exonérations des logements sociaux situés en métropole fait l’objet d’une actualisation par le taux de minoration de 2011, qui s’élève à 0,725 923. Le montant correspondant aux exonérations de propriétés sises dans des départements d’outre-mer ne constitue pas des variables d’ajustement. + 3. Le montant 2010 de la compensation de l’exonération de TFPNB des parts départementale et régionale des terres agricoles (hors Corse) actualisé par le taux de minoration de 2011, qui s’élève à 0,925 895 (le coefficient diffère car cette compensation est une variable d’ajustement historique, comme il est expliqué page 2 de la présente circulaire) ; + 4. Les montants de la DCTP et de la compensation de TP pour la réduction pour création d’établissements (RCE) actualisés respectivement du taux de minoration égal à 0,92 895 et du taux égal à 0,551 821 ; + (1) Respectivement régies par les articles 1390 et 1391 du CGI. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 7 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 5. Le montant de la compensation de TP pour la réduction due aux BNC actualisé par le taux de minoration de 2011, qui s’élève à 0,925 895 (le coefficient diffère car cette compensation est une variable d’ajustement historique, comme il est expliqué page 2 de la présente circulaire). + 6. Les montants 2010 des compensations de TFPB pour les différentes générations de zones franches urbaines actualisés par le taux de minoration de 2011, qui s’élève à 0,725 923. + 7. Le montant 2010 de la compensation de l’abattement des bases de TFPB, dans les DOM, pour création ou extension d’établissement. + 8. Le montant 2010 de la compensation de l’abattement des bases de TP, dans les DOM, pour création ou extension d’établissement. + 9. Le montant 2010 de la compensation de l’exonération de TP dans ZRR actualisé par le taux de minoration de 2011, qui s’élève à 0,725 923. + 10. Le montant 2010 de la compensation de l’exonération dans les ZRU actualisé par le taux de minoration de 2011, qui s’élève à 0,725 923. + 11. Les montants 2010 des compensations de TP pour les différentes générations de ZFU actualisés par le taux de minoration de 2011, qui s’élève à 0,725 923. II. – DOTATION POUR TRANSFERTS DE COMPENSATION D’EXONÉRATION DE FISCALITÉ DIRECTE LOCALE AU PROFIT DES DÉPARTEMENTS Compensation : XVIII de l’article 77 de la loi de finances pour 2010. I de l’article 51 de la loi de finances pour 2011. Dans le même esprit que les régions, la loi de finances pour 2010 a instauré également une dotation pour perte de compensation d’exonération départementale qui fonctionne sur le même schéma que celle versée au profit des régions, bien qu’il y ait moins d’allocations compensatrices prises en compte (le département reste en effet affectataire de la taxe foncière sur les propriétés bâties ; les exonérations et les compensations liées restent en vigueur). Les éléments de calcul sont donc ici directement présentés dans l’encadré ci-dessous, avec leur taux d’évolution. Il convient de mentionner qu’à l’instar de la DPCE régionale, certains montants correspondant à des compensations d’exonérations dont la durée de vie est limitée sont eux-mêmes limités à cette durée. Il s’agit des allocations suivantes numérotées de 6 à 9. Avant de le présenter, il est précisé que le versement de la DPCE départementale est à effectuer par débit du nouveau compte spécifique : 465-12992 (1) « dotation pour transferts de compensations d’exonérations de fiscalité directe locale – Départements ». Pour 2011, la dotation pour transferts de compensations d’exonérations départementale est égale à : 1. La compensation de l’exonération ECF Elle-même composée du montant 2010 de compensation de l’exonération de TH (à compter de 2011, cette compensation cesse d’être revalorisée en fonction du taux d’évolution de la dotation globale de fonctionnement [cf. supra]). Et des compensations d’exonérations de TFPB (redevables bénéficiaires de l’allocation de solidarité des personnes âgées et redevables âgés de plus de 75 ans [1]) actualisées par le taux de minoration de 2011, qui s’élève à 0,725 923. + (1) Respectivement régies par les articles 1390 et 1391 du CGI. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 8 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 2. Le montant 2010 de la compensation de l’exonération de TFPNB des parts départementale et régionale des terres agricoles (hors Corse) actualisé par le taux de minoration de 2011, qui s’élève à 0,925 895 (le coefficient diffère car cette compensation est une variable d’ajustement historique, comme il est expliqué page 2 de la présente circulaire). + 3. Le montant 2010 de la compensation de l’exonération de TFPNB de la part départementale du département de la Corse. + 4. Les montants de la DCTP et de la compensation de TP pour la réduction pour création d’établissements (RCE) actualisée respectivement du taux de minoration égal à 0,928 95 et du taux égal à 0,551 821. + 5. Le montant de la compensation de TP pour la réduction due aux BNC actualisé par le taux de minoration de 2011, qui s’élève à 0,925 895 (le coefficient diffère car cette compensation est une variable d’ajustement historique, comme il est expliqué page 2 de la présente circulaire). + 6. Le montant 2010 de la compensation de l’abattement des bases de TP, dans les DOM, pour création ou extension d’établissement. + 7. Le montant 2010 de la compensation de l’exonération de TP dans ZRR actualisé par le taux de minoration de 2011, qui s’élève à 0,725 923. + 8. Le montant 2010 de la compensation de l’exonération dans les ZRU actualisé par le taux de minoration de 2011, qui s’élève à 0,725 923. + 9. Les montants 2010 des compensations de TP pour les différentes générations de ZFU actualisés par le taux de minoration de 2011, qui s’élève à 0,725 923. III. – DOTATION UNIQUE DES COMPENSATIONS SPÉCIFIQUES À LA TAXE PROFESSIONNELLE (DUCSTP) AU PROFIT DU BLOC COMMUNAL Compensation : I du III de l’article 51 de la loi de finances pour 2011. La loi de finances pour 2011 prévoit la création d’une nouvelle dotation, attribuée aux communes et aux EPCI à fiscalité propre qui se substitue aux compensations des dispositifs d’allégements de taxe professionnelle non transposable à la CFE ou à la CVAE. Cette dotation unique des compensations spécifiques à la taxe professionnelle (DUCSTP) est égale à la somme des allocations compensatrices versées en 2010 suivante : 1. La dotation de la compensation de la taxe professionnelle (DCTP) instituée par le IV de l’article 6 de la loi de finances pour 1987 (1) (hors RCE qui reste versée, cf. infra) ; 2. La compensation de TP pour la réduction de la fraction des recettes prise en compte dans les bases de TP des titulaires de bénéfices non commerciaux (BNC) prévue par le II du B de l’article 26 de la loi de finances pour 2003 (2). Cette somme est ensuite actualisée chaque année d’un taux de minoration, puis elle subit un prélèvement au profit du fonds de solidarité en faveur des collectivités territoriales touchées par les catastrophes naturelles (3). En 2011, le coefficient de minoration est égal à 0,925 895 et le prélèvement précité est supprimé en 2011. (1) Rappel : la DCTP regroupait les allocations compensatrices suivantes : la compensation du plafonnement du taux communal, instituée en 1983 ; la compensation de la réduction de la fraction des salaires prise en compte dans les bases de taxe professionnelle également instituées en 1983 ; la compensation de l’abattement général de 16 % des bases de TP, instituée par l’article 6 de la loi de finances pour 1987. Ces trois composantes de la DCTP évoluent de manière forfaitaire. Depuis 2002, la DCTP était scindée en deux parties : une première fraction (« DCTP 1 ») correspondant aux compensations versées au titre du plafonnement du taux de TP et de la réduction de la fraction des salaires prise en compte dans les bases de TP à compter de 1983 ; une seconde fraction (« DCTP 2 ») correspondant aux compensations versées au titre de l’abattement général de 16 %. (2) La réduction de taxe professionnelle pour création d’établissement était régie par le II de l’article 1478 du CGI. Elle consistait à exonérer de taxe professionnelle les établissements nouveaux en totalité l’année de leur création et à réduire de 50 % la base de TP du nouvel exploitant pour la première année d’imposition. Cette disposition ne s’applique pas aux bases d’imposition afférentes aux immobilisations qui proviennent d’un autre établissement de l’entreprise. (3) Ce fonds est régi par l’article L. 1613-6 du code général des collectivités territoriales. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 9 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR D’un point de vu comptable, le versement de cette DUCSTP reste divisé entre les anciennes dotations. Elle continue d’être versée par des débits des comptes suivants : – compte 465-1131 « Dotation de compensation de la taxe professionnelle – DCTP et DCTP-RCE » ; – le compte 465-11811 « Compensation d’exonération au titre de la réduction de la fraction de recettes prises en compte dans les bases de taxe professionnelle des titulaires de bénéfices non commerciaux ». À noter : la compensation de l’abattement de 16 % en fonction de l’indice de progression du produit des rôles généraux, majoré de certaines compensations, de chaque collectivité entre 1987 et 2008, est supprimé, rendant inutile le calcul des seuils de réfaction, habituellement présentée dans la présente circulaire (1). TAXE FONCIÈRE SUR LES PROPRIÉTÉS BÂTIES À la suite de la réforme de la taxe professionnelle, les régions ne sont plus bénéficiaires de cette imposition. Les compensations des allégements de taxes foncières sur les propriétés bâties (TFPB) ne concernent donc que les communes, les EPCI à fiscalité propre et les départements. I. – COMPENSATIONS JOUANT LE RÔLE DE VARIABLES D’AJUSTEMENT I. 1. Compensation des exonérations de TFPB pour les personnes de condition modeste Exonération : Articles 1390, 1391 et 1391 A du code général des impôts. Compensation : Article 47 de la loi de finances pour 2010. V de l’article 77 de la loi de finances pour 2010. D du III et B du IV de l’article 51 de la loi de finances pour 2011. → Article 21 (II) modifié de la loi de finances pour 1992. Commentaire : L’article 21 de la loi de finances pour 1992 a remplacé les dégrèvements totaux de TFPB concernant les personnes de condition modeste par des exonérations (dites « ECF ») et a prévu corrélativement le versement par l’État d’une compensation aux collectivités qui subissent de ce fait une perte de recettes. La compensation est égale au produit des bases exonérées l’année précédant l’année considérée par le taux de TFPB voté en 1991 par la collectivité. Cette compensation a été transformée, en vertu du IV de l’article 48 de la loi de finances pour 2009, en variable d’ajustement. Elle a donc fait l’objet, en 2009, d’une minoration de 16,151 % par rapport au montant de 2008 et en 2010 d’une minoration de 6,50 %, conformément à l’article 47 de la loi de finances pour 2010. Dans le même esprit, elle est à nouveau minorée en 2011 par l’article 51 de la loi de finances pour 2011. Par ailleurs, la réforme de la taxe professionnelle a modifié l’affectation de la taxe foncière sur les propriétés bâties. La part régionale de TFPB disparaissant au profit des départements, les taux à prendre en compte pour les départements sont majorés en fonction des taux retenus pour le calcul de cette allocation compensatrice, versée en 2010 au profit des régions (i.e. le taux de TFPB voté en 1991 par la région). Dispositif en vigueur pour 2011 : La dotation de compensation de chaque collectivité (sauf pour la région et compte tenu de la majoration de taux pour les départements précités) est calculée de la façon suivante : – produit des bases exonérées de TFPB 2010 multiplié par le taux de TFPB de 1991 ; – application du taux de minoration de 2009 (III de l’art. 48 de la loi de finances pour 2009), qui s’élève à 16,151 % (soit un coefficient déflateur de 0,838 49) ; – application du taux de minoration de 2010, qui s’élève à 6,50 % (soit un coefficient déflateur de 0,935 041) ; – application du taux de minoration de 2011, qui s’élève à 7,41 % (soit un coefficient déflateur de 0,925 895). (1) Voir la circulaire no IOCB1006781C du 30 mars 2010 relative aux compensations à verser en 2010 aux collectivités locales pour les exonérations relatives à la fiscalité locale décidées par l’État. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 10 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Il y a donc cumul des taux de minoration de 2009 à 2011 (27,41 %), selon les modalités suivantes : le coefficient déflateur cumulé applicable en 2011 est de 0,725 923, soit le produit du coefficient de 2009 (0,838 49), du coefficient de 2010 (0,935 041) et du coefficient de 2011 (0,925 895). Le montant des compensations à verser aux collectivités concernées, qui vous est communiqué par les services fiscaux au moyen des états 1253 et 1259, figure au sein du cadre III « Information complémentaire » dans le 1. « Allocations compensatrices » sur la ligne « Taxe foncière (bâti) : a. Personnes de condition modeste ». Le versement est à opérer par débit du compte 465-1141 « Compensations d’exonérations relatives à la fiscalité locale ». I. 2. Compensation des exonérations de TFPB pour les immeubles professionnels situés dans les zones franches urbaines (ZFU) Exonérations : Article 1383 B du code général des impôts (1re génération de ZFU). Article 1383 C du code général des impôts (2e génération de ZFU). Article 1383 C bis du code général des impôts (3e génération de ZFU). Article 62 de la loi du 5 mars 2007 instituant le droit au logement opposable. Compensation : Article 47 de la loi de finances pour 2010. Article 77 (V) de la loi de finances pour 2010. E du III et B du IV de l’article 51 de la loi de finances pour 2011. → Article 7 (III, 2e alinéa) modifié de la loi no 96-987 du 14 novembre 1996 relative à la mise en œuvre du pacte de relance pour la ville (1re génération de ZFU). → Article 27 (III A) modifié de la loi no 2003-710 du 1er août 2003 d’orientation et de programmation pour la ville et la rénovation urbaine (2e génération de ZFU). → Article 29 (IV A) modifié de la loi no 2006-396 du 31 mars 2006 pour l’égalité des chances (3e génération de ZFU). Commentaire : Rappel : les zones franches urbaines (ZFU) ont fait l’objet de trois textes successifs, le dernier ayant unifié le régime applicable. La 1re génération de ZFU (1997) (1) La loi no 96-987 du 14 novembre 1996 relative à la mise en œuvre du pacte de relance pour la ville a créé, à compter du 1er janvier 1997, 44 ZFU. Dans ces zones, l’article 1383 B du CGI prévoit, sauf délibération contraire des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre, une exonération de TFPB pendant cinq ans au profit des immeubles affectés à une activité exercée pour la première fois entre le 1er janvier 2002 et le 31 décembre 2007 inclus. La 2e génération de ZFU (2004) (2) La loi no 2003-710 du 1er août 2003 d’orientation et de programmation pour la ville et la rénovation urbaine a créé, à compter du 1er janvier 2004, 41 nouvelles ZFU. L’article 1383 C prévoit une exonération de TFPB, à compter de 2004, pour les immeubles affectés, entre le 1er janvier 2004 et le 31 décembre 2008, à une activité exercée dans un établissement remplissant les conditions pour bénéficier de l’exonération de taxe professionnelle (TP) prévue à l’article 1466 A I quinquies du CGI. La 3e génération de ZFU (2007) (3) La loi no 2006-396 du 31 mars 2006 pour l’égalité des chances a créé de nouvelles ZFU et institué un nouveau régime d’exonération de TFPB, qui unifie le régime applicable à l’ensemble des ZFU. Sont exonérés de TFPB, pour une durée de cinq ans : – les immeubles rattachés, entre le 1er janvier 2006 et le 31 décembre 2011, à un établissement remplissant les conditions pour bénéficier de l’exonération de CFE prévue à l’article 1466 A I sexies du CGI ; – les établissements existant au 1er janvier 2006 dans les nouvelles zones créés par la loi pour l’égalité des chances, dans les limites du règlement de minimis ; (1) Article 1383 B du CGI (2) Article 1383 C du CGI. (3) Article 1383 C bis du CGI. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 11 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR – les immeubles rattachés aux entreprises et établissements existant au 1er janvier 2007 dans les extensions des ZFU réalisées en 2007 (1). L’État compense la perte de recettes résultant de ces exonérations de TFPB pour les collectivités territoriales ou leurs groupements à fiscalité propre, à l’exception des anciens EPCI à fiscalité mixte. La compensation est égale au produit obtenu en multipliant la perte de bases, chaque année et pour chaque collectivité ou EPCI, par le taux de TFPB appliqué par la collectivité l’année de référence (soit 1996 pour les ZFU de 1re génération, 2003 pour les ZFU de 2e génération et 2005 pour les ZFU de 3e génération). Selon les cas, ce taux est majoré, pour les communes membres d’un EPCI à taxe professionnelle unique (TPU) qui percevait en 1996, en 2003 ou en 2005 une fiscalité additionnelle, du taux additionnel voté par l’EPCI en 1996, en 2003 ou en 2005. Pour les EPCI qui perçoivent pour la première fois, à compter de 2006, la taxe professionnelle en lieu et place des communes en application des dispositions de l’article 1609 nonies C ou du II de l’article 1609 quinquies C, la compensation est égale au produit du montant des bases nettes exonérées par le taux moyen pondéré des communes membres de l’EPCI constaté en 2005, éventuellement majoré dans les conditions précédentes. Ce dernier est déterminé en fonction des communes membres de l’EPCI au 1er janvier de la première année de perception de la taxe professionnelle unique ou de la taxe professionnelle de zone : ce taux est figé et n’est pas recalculé en cas de modification ultérieure du périmètre de l’EPCI. Cette compensation a été transformée, en vertu du IV de l’article 48 de la loi de finances pour 2009, en variable d’ajustement. Elle a donc fait l’objet, en 2009, d’une minoration de 16,151 % par rapport au montant de 2008 et en 2010 d’une minoration de 6,50 %, conformément à l’article 47 de la loi de finances pour 2010. Dans le même esprit, elle est à nouveau minorée en 2011 par l’article 51 de la loi de finances pour 2011. Par ailleurs, la réforme de la taxe professionnelle a modifié l’affectation de la taxe foncière sur les propriétés bâties. La part régionale de TFPB disparaissant au profit des départements, les taux à prendre en compte pour les départements sont majorés en fonction des taux retenus pour le calcul de cette allocation compensatrice, versée en 2010 au profit des régions. Dispositif en vigueur pour 2011 : Les dotations de compensation de chaque collectivité sont calculées de la façon suivante : – produit présenté supra, dont le calcul est variable en fonction des générations de ZFU ; – application du taux de minoration de 2009 (III de l’art. 48 de la loi de finances pour 2009), qui s’élève à 16,151 % (soit un coefficient déflateur de 0,838 49) ; – application du taux de minoration de 2010 qui s’élève à 6,50 % (soit un coefficient déflateur de 0,935 041) ; – application du taux de minoration de 2011, qui s’élève à 7,41 % (soit un coefficient déflateur de 0,925 895). Il y a donc cumul des taux de minoration de 2009 à 2011 (27,41%), selon les modalités suivantes : le coefficient déflateur cumulé applicable en 2011 est de 0,725 923, soit le produit du coefficient de 2009 (0,838 49), du coefficient de 2010 (0,935 041) et du coefficient de 2011 (0,925 895). Le montant des compensations à verser aux collectivités concernées, qui vous est communiqué par les services fiscaux au moyen des états 1253 et 1259 figure au sein du cadre III « Information complémentaire » dans le 1. « Allocations compensatrices » sur la ligne « Taxe foncière (bâti) : b, ZFU, ZUS, baux à réhabilitation ». Le versement est à opérer par débit du compte 465-1141 « Compensations d’exonérations relatives à la fiscalité locale ». I. 3. Compensation des exonérations de longue durée de TFPB pour les constructions neuves et les logements sociaux Exonérations : Articles 1384, 1384 A, 1384 C, 1384 D, 1385 I et 1385 II bis du code général des impôts. Compensation : Article 47 de la loi de finances pour 2010. Article 77 (V) de la loi de finances pour 2010. A du III et B du IV de l’article 51 de la loi de finances pour 2011. (1) Cf. article 62 de la loi « DALO » du 5 mars 2007. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 12 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR → Articles L. 2335-3 (2e et 3e al.), L. 5214-23-2 (3e al.), L. 5215-35 (3e al.) et L. 5216-8-1 (2e al.) modifiés du code général des collectivités territoriales. Article R. 2335-4 du code général des collectivités territoriales. Commentaire : I. 3.1. Les exonérations Sont exonérées pour une durée de dix ans : Les constructions neuves affectées à l’habitation principale, en accession à la propriété et financées, à concurrence de plus de 50 %, au moyen de prêts aidés par l’État (PAP), lorsque la réalisation de ces logements n’a pas donné lieu au dépôt d’une demande avant le 31 décembre 1983 (3e al. du I de l’art. 1384 A du CGI). Cette exonération ne s’applique pas aux logements financés au moyen de l’avance remboursable ne portant pas intérêt, destinée à se substituer au PAP (1). Sont exonérés pour une durée de quinze ans : 1. Les constructions neuves à usage locatif affectées à l’habitation principale : – qui ont été financées selon le régime propre aux HLM (art. 1384 du CGI) ; – qui ont été financées, à concurrence de plus de 50 %, au moyen de prêts aidés par l’État (art. 1384 A I, 1er al. du CGI) ; – qui ont été financées, à concurrence de plus de 50 %, au moyen de prêts prévus par l’article R. 331-1 du code de la construction et de l’habitation (2) et qui bénéficient du taux réduit de TVA prévu à l’article 278 sexies du CGI (art. 1384 A I, 2e al. du CGI) ; – qui ont été financées, en ce qui concerne, d’une part, les logements construits, acquis ou améliorés à compter du 5 janvier 1977 au moyen de formes spécifiques d’aides de l’État ou de prêts spécifiques et les logements à usage locatif construits à compter du 1er octobre 1996 ayant bénéficié d’une décision favorable (3), d’autre part, les logementsfoyers de jeunes travailleurs et les logements foyers assimilés (4), à concurrence de plus de 30 %, au moyen de prêts prévus par l’article R. 331-1 du code de la construction et de l’habitation, lorsque l’usufruitier a conclu une convention avec l’État (art. 1384 A I, 2e al. du CGI) ; – en Guadeloupe, en Guyane, à la Martinique et à La Réunion, qui ont été financées, à concurrence de plus de 50 %, au moyen d’un prêt prévu à l’article R. 372-1 du code de la construction et de l’habitation (art. 1384 A I, 2e al. du CGI) ; – qui ont été financées, en ce qui concerne, d’une part, les logements financés par une subvention de l’État (5), d’autre part, les logements financés par une subvention de l’État et des prêts accordés par la CDC (6), à concurrence de plus de 50 % au moyen de ces subventions et/ou prêts, ainsi que des subventions de l’ANRU, des collectivités locales et des subventions et prêts au titre du 1 % logement (art. 1384 A, 2e al. du CGI). 2. Les constructions de logements neufs, affectés à l’habitation principale par l’intermédiaire d’un contrat de locationaccession, lorsqu’elles font l’objet d’une convention et d’une décision d’agrément prise par le préfet (art. 1384 A, III du CGI). 3. Certains logements sociaux à usage locatif acquis à compter du 1er janvier 1998 et bénéficiant, soit d’une aide de l’État ou d’une subvention de l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU), soit d’une subvention de l’Agence nationale pour l’amélioration de l’habitat (ANAH), sous réserve du respect de conditions relatives au montant des ressources du locataire et au montant du loyer : – les logements acquis en vue de leur location avec le concours de l’État ou une subvention de l’ANRU, en application des 3o (opérations d’acquisition/amélioration) et 5o (logements-foyers de jeunes travailleurs et logements-foyers assimilés) de l’article L. 351-2 du code de la construction et de l’habitation (7) ; logements acquis au moyen de subventions ou prêts de l’État dans les DOM (8) (art. 1384 C I du CGI) ; (1) Cf. article R. 317‑1 du code de la construction et de l’habitation. (2) Les PLA, PLA-TS, PLA-LM, PCL-CFF, PPLS, PLA-I, PLUS et PLS ; article 1384 A I, 2e alinéa du CGI. (3) Cf. 3o de l’art L. 351-2 du CCH. (4) 5o de l’art L. 351-2 du CCH. (5) Articles R. 372-9 à R. 372-12 du CCH. (6) Articles R. 331-14 à R. 331-16 du CCH. (7) Il s’agit d’acquisitions financées au moyen des prêts PLA, PLA-LM, PLAI-I, PLUS et PLS. (8) Article R. 372-1 du CCH. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 13 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR – les logements qui, en vue de leur location ou attribution à titre temporaire à des personnes défavorisées, sont améliorés au moyen d’une aide financière de l’ANAH par des organismes à but non lucratif agréés par le préfet (2e al. du I de l’art. 1384 C du CGI). 4. Les logements détenus directement, ou par le biais d’une filiale à participation majoritaire, par l’établissement public de gestion immobilière du Nord - Pas-de-Calais, lorsqu’ils sont améliorés au moyen d’une aide financière de l’ANAH et font l’objet d’une convention avec l’État (art. 1384 C II, 1er al. du CGI). 5. Les locaux acquis ou aménagés avec une aide de l’État à la création d’hébergements d’urgence destinés aux personnes défavorisées (art. 1384 D, 1er al. du CGI). 6. Les logements locatifs appartenant à l’association foncière logements, chargée de réaliser des programmes de logements sociaux contribuant à la mixité des villes et des quartiers. Cette exonération de TFPB s’applique aux constructions pour lesquelles la décision de subvention a été prise à compter du 6 mars 2007, date de publication de la loi du 5 mars 2007 instituant le droit au logement opposable, dont l’article 48 a introduit cette nouvelle disposition dans le CGI. La durée de l’exonération est de quinze ans, à compter de l’année qui suit celle de l’achèvement de la construction des logements (art. 1384 A I quater, 1er al. du CGI). Sont exonérées pour une durée de vingt ans : Les constructions neuves à usage locatif et affectées à l’habitation principale, lorsque l’ouverture du chantier est intervenue à compter du 1er janvier 2002 et qu’au moins quatre critères de qualité environnementale sur cinq sont respectés (art. 1384 A, I bis du CGI) (1). Les logements en accession à la propriété situés dans un groupe d’immeubles ou un ensemble immobilier faisant l’objet d’un plan de sauvegarde (art. 1384 A II, 1er al. du CGI) (2). Sont exonérées pour une durée de vingt-cinq ans : En application de la loi du 18 janvier 2005 de programmation pour la cohésion sociale, la plupart des exonérations de quinze ans ont été portées à vingt-cinq ans, lorsque les constructions bénéficient de prêts aidés ou de subventions, à condition que la décision d’octroi de la subvention ou du prêt aidé soit prise entre le 1er juillet 2004 et le 31 décembre 2009, soit la durée du plan de cohésion sociale (art. 1384 A I ter, 1er al. du CGI). Pour les locaux acquis ou aménagés avec une aide de l’État à la création d’hébergements d’urgence destinés aux personnes défavorisées, l’exonération a été portée à vingt-cinq ans lorsque la décision d’octroi de l’aide de l’État intervient entre le 1er juillet 2005 et le 31 décembre 2009 (art. 1384 D, 1er al. du CGI). L’article 48 de la loi du 5 mars 2007 instituant le droit au logement opposable a porté à vingt-cinq ans la durée de l’exonération de TFPB pour les constructions de logements neufs à usage locatif, qui appartiennent à l’association foncière logements créée à l’article 112 de la loi de finances pour 2002 et qui bénéficient d’une décision d’octroi de subvention prise entre le 1er mars 2007 et le 31 décembre 2009 (art. 1384 A I quater, 2e al. du CGI). Bénéficient d’une exonération de vingt-cinq ans, lorsque la décision de subvention ou de prêt intervient entre le 1er juillet 2004 et le 31 décembre 2009 (art. 1384 C du CGI) : – les logements acquis en vue de leur location avec le concours de l’État ou une subvention de l’ANRU, en application des 3o (opérations d’acquisition/amélioration) et 5o (logements-foyers de jeunes travailleurs et logements-foyers assimilés) de l’article L. 351-2 du CCH, ainsi que les logements acquis dans les DOM au moyen de subventions ou prêts de l’État (3) (art. 1384 C I, 1er al. du CGI) (4) ; – les logements qui, en vue de leur location ou attribution à titre temporaire à des personnes défavorisées, sont améliorés au moyen d’une aide financière de l’ANAH par des organismes à but non lucratif agréés par le préfet (art. 1384 C I, 2e al. du CGI) ; – les logements détenus directement, ou par le biais d’une filiale à participation majoritaire, par l’établissement public de gestion immobilière du Nord - Pas-de-Calais, lorsque ces logements sont améliorés au moyen d’une aide financière de l’ANAH et font l’objet d’une convention avec l’État (art. 1384 C II, 1er al. du CGI). (1) Modalités de conception, notamment assistance technique du maître d’ouvrage par un professionnel ayant des compétences en matière d’environnement ; modalités de réalisation, notamment gestion des déchets de chantier ; performance énergétique et acoustique ; utilisation d’énergie et de matériaux renouvelables ; maîtrise des fluides. (2) Articles L. 615-1 à L. 615-5 du CCH. (3) Article R. 372-1 du CCH. (4) Il s’agit d’acquisitions financées au moyen des prêts PLA, PLA-LM, PLAI-I, PLUS et PLS. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 14 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Sont exonérées pour une durée de trente ans : Les constructions de logements neufs à usage locatifs, mentionnées au deuxième aliéna du I de l’article 1384 du CGI, pour lesquelles l’ouverture du chantier est intervenue à compter du 16 juillet 2006 (1) et qui bénéficient d’une décision d’octroi de subvention ou de prêt aidé prise entre le 1er juillet 2004 et le 31 décembre 2009 (art. 1384 A, I ter 2e al.). I. 3.2. Les compensations a) Les compensations versées aux communes (art. L. 2335-3 du CGCT) Les compensations versées aux communes, au titre de ces diverses exonérations, sont calculées comme suit. Font l’objet d’une compensation partielle, régie par les dispositions combinées du 1er alinéa de l’article L. 2335-3 du CGCT et de l’article R. 2335-4 du même code, les exonérations suivantes : – les exonérations prévues à l’article 1384 du CGI, quelle que soit leur durée ; – les exonérations prévues à l’article 1384 A du CGI, sauf celles d’une durée de vingt-cinq ans et celles d’une durée de quinze ans ou vingt ans afférentes aux logements locatifs sociaux bénéficiant d’une décision d’octroi de subvention ou de prêt aidé entre le 1er décembre 2005 et le 31 décembre 2009 ; – les exonérations prévues à l’article 1384 C du CGI, sauf celles d’une durée de vingt-cinq ans et celles d’une durée de quinze ans ou vingt ans afférentes aux logements locatifs sociaux bénéficiant d’une décision d’octroi de subvention ou de prêt aidé entre le 1er décembre 2005 et le 31 décembre 2009 ; – les exonérations prévues à l’article 1384 D du CGI, sauf celles d’une durée de vingt-cinq ans. L’exonération n’est compensée aux communes que dans les cas où la perte de recettes est « substantielle » (1er al. de l’art. L. 2335-3). La définition de la perte de recettes substantielle figure à l’article R. 2335-4 du CGCT : elle doit être supérieure à 10 % du produit communal total de la TFPB. La compensation est égale à la perte de recettes, mais subit un abattement égal à 10 % du produit communal de la TFPB. Ces dispositions n’ont pas été modifiées, elles s’appliquent donc à l’identique en 2011. Faisaient l’objet jusqu’en 2008 d’une compensation intégrale, régie par les 2e et 3e alinéas de l’article L. 2335-3 du CGCT, les exonérations suivantes : – les exonérations d’une durée de vingt-cinq ans prévues aux articles 1384 A, 1384 C et 1384 D (2e al.) ; – les exonérations d’une durée de quinze ans ou vingt ans afférentes aux logements locatifs sociaux bénéficiant d’une décision d’octroi de subvention ou de prêt aidé entre le 1er décembre 2005 et le 31 décembre 2009 prévues aux articles 1384 A et 1384 C. Cette compensation a été transformée, en vertu du IV de l’article 48 de la loi de finances pour 2009, en variable d’ajustement. Elle a donc fait l’objet, en 2009, d’une minoration de 16,151 % par rapport au montant de 2008 et en 2010 d’une minoration de 6,50 %, conformément à l’article 47 de la loi de finances pour 2010. Dans le même esprit, elle est à nouveau minorée en 2011 par l’article 51 de la loi de finances pour 2011. Par ailleurs, la réforme de la taxe professionnelle a modifié l’affectation de la taxe foncière sur les propriétés bâties. La part régionale de TFPB disparaissant au profit des départements, les taux à prendre en compte pour les départements sont majorés en fonction des taux retenus pour le calcul de cette allocation compensatrice, versée en 2010 au profit des régions. Dispositif en vigueur pour 2011 : Les dotations de compensation de chaque collectivité sont calculées de la façon suivante : – produit calculé comme indiqué supra ; – application du taux de minoration de 2009 (III de l’art. 48 de la loi de finances pour 2009), qui s’élève à 16,151 % (soit un coefficient déflateur de 0,838 49) ; – application du taux de minoration de 2010 qui s’élève à 6,50 % (soit un coefficient déflateur de 0,935 041) ; – application du taux de minoration de 2011, qui s’élève à 7,41 % (soit un coefficient déflateur de 0,925 895). Il y a donc cumul des taux de minoration de 2009 à 2011 (27,41 %), selon les modalités suivantes : le coefficient déflateur cumulé applicable en 2011 est de 0,725 923, soit le produit du coefficient de 2009 (0,838 49), du coefficient de 2010 (0,935 041) et du coefficient de 2011 (0,925 895). (1) Date de publication de la loi du 13 juillet 2006 portant engagement national pour le logement. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 15 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR b) Les compensations versées aux communautés de communes et aux communautés urbaines (art. L. 5214-23-2 et L. 5215-35 du CGCT) Pour les communautés de communes et les communautés urbaines, les règles de compensation applicables en 2008 et en 2009 sont identiques à celles appliquées aux communes, à l’exception du champ d’application de la compensation partielle régie par les dispositions des articles L. 2335-3 et R. 2335-4 du CGCT. En effet, ces EPCI bénéficient d’une compensation uniquement au titre des exemptions temporaires de TFPB dont bénéficient les constructions nouvelles et certains locaux (1). Comme pour les communes et les autres EPCI les deux compensations intégrales sont devenues, en 2009, des variables d’ajustement. c) Les compensations versées aux communautés d’agglomération (art. L. 2335-3 et L du CGCT) Pour les communautés d’agglomération, les règles de compensation applicables en 2008 et en 2009 sont identiques à celles appliquées aux communes, aux communautés de communes et aux communautés urbaines uniquement pour la compensation intégrale des exonérations d’une durée de vingt-cinq ans prévues aux articles 1384 A, 1384 C et 1384 D. En effet, elles ne bénéficient aucunement de la compensation partielle régie par les dispositions des articles L. 2335-3 et R. 2335-4 du CGCT. En revanche, elles bénéficient d’un champ d’application plus large de la compensation intégrale des exonérations d’une durée de quinze ans ou vingt ans afférentes aux logements locatifs sociaux bénéficiant d’une décision d’octroi de subvention ou de prêt aidé entre le 1er décembre 2005 et le 31 décembre 2009, puisqu’elle englobe, outre les articles 1384 A et 1384 C, l’article 1384 D, tandis que pour les communes, communautés de communes et communautés urbaines, cette compensation n’englobe que les articles 1384 A et 1384 C. Comme pour les communes et les autres EPCI les deux compensations intégrales sont devenues, en 2009, des variables d’ajustement. Le montant des compensations à verser par arrêté aux collectivités concernées vous est communiqué par les services fiscaux au moyen des états 1259, figure au cadre III « Allocations compensatrices » sur la ligne « Taxe foncière (bâti) : c. Exonération de certains immeubles » (NB : ce cadre regroupe plusieurs autres compensations). Le versement est à effectuer par débit du compte 465-1141 « compensation d’exonérations relatives à la fiscalité locale ». I. 4. Abattements sur les bases de TFPB de certains logements I. 4.1. Compensation de l’abattement de 30 % sur les bases de TFPB des logements à usage locatif situés en zone urbaine sensible (ZUS) appartenant à des organismes de HLM ou à des sociétés d’économie mixte Exonération : Article 1388 bis du code général des impôts. Compensation : Article 1er de la loi no 2009-323 du 25 mars 2009 de mobilisation pour le logement et la lutte contre l’exclusion. Article 47 de la loi de finances pour 2010. Article 77 (V) de la loi de finances pour 2010. C du III et B du IV de l’article 51 de la loi de finances pour 2011. → Article 42 (IV) modifié de la loi de finances pour 2001. Commentaire : L’article 42 de la loi de finances pour 2001 a institué un abattement de 30 % sur les bases d’imposition de TFPB de certains logements situés en zone urbaine sensible (ZUS). Il s’agit des logements à usage locatif appartenant à un des organismes d’habitation à loyer modéré (2) ou à une société d’économie mixte (SEM), et ayant bénéficié d’une des exonérations de longue durée visées aux articles 1384, 1384 A, 1385 II bis du code général des impôts ou acquis avant le 1er janvier 1998 avec le concours financier de l’État. Cet abattement s’appliquait au titre des impositions établies de 2001 à 2007 et à compter du 1er janvier de l’année suivant celle de la signature de la convention. Modifiée par l’article 1er de la loi no 2009-323 du 25 mars 2009 de mobilisation pour le logement et la lutte contre l’exclusion, cet abattement s’applique aux impositions établies au titre des années 2006 à (1) Locaux visés aux articles 1384 C et 1384 D du CGI. (2) Cf. article L. 411-2 du code de la construction et de l’habitation. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 16 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 2013 et à compter du 1er janvier de l’année suivant celle de la signature de la convention. Il a été applicable aux impositions établies au titre de 2010, lorsqu’une convention entre le propriétaire et l’État a été conclue ou renouvelée en 2009 (1). La mesure a été prolongée pour les années 2010 à 2013 en ce qui concerne les logements ayant fait l’objet d’une convention d’utilité sociale (2) conclue entre leur propriétaire et l’État. L’abattement s’applique à compter de la première année suivant celle de la convention. La compensation est versée uniquement aux communes et aux EPCI ; aucune compensation n’est versée aux départements et aux régions. La compensation est égale au produit du montant de l’abattement appliqué au titre de l’année d’imposition par le taux de TFPB voté par chaque commune ou EPCI au titre de l’année précédente. Pour les communes membres d’un EPCI sans fiscalité propre, le taux communal voté au titre de l’année précédant celle de l’imposition est majoré du taux de l’EPCI appliqué au titre de cette même année. Pour les communes membres d’un EPCI à fiscalité additionnelle qui opte pour la FPU, la compensation versée à la commune, la première année d’application de la FPU, est calculée en majorant le taux communal de l’année précédente du taux additionnel voté par l’EPCI préexistant la même année (3). Cette compensation a été transformée, en vertu du IV de l’article 48 de la loi de finances pour 2009, en variable d’ajustement. Elle a donc fait l’objet, en 2009, d’une minoration de 16,151 % par rapport au montant de 2008 et en 2010 d’une minoration de 6,50 %, conformément à l’article 47 de la loi de finances pour 2010. Dans le même esprit, elle est à nouveau minorée en 2011 par l’article 51 de la loi de finances pour 2011. Par ailleurs, la réforme de la taxe professionnelle a modifié l’affectation de la taxe foncière sur les propriétés bâties. La part régionale de TFPB disparaissant au profit des départements, les taux à prendre en compte pour les départements sont majorés en fonction des taux retenus pour le calcul de cette allocation compensatrice, versée en 2010 au profit des régions. Dispositif en vigueur pour 2011 : Les dotations de compensation de chaque collectivité sont calculées de la façon suivante : – produit calculé comme indiqué supra ; – application du taux de minoration de 2009 (III de l’art. 48 de la loi de finances pour 2009), qui s’élève à 16,151 % (soit un coefficient déflateur de 0,838 49) ; – application du taux de minoration de 2010 qui s’élève à 6,50 % (soit un coefficient déflateur de 0,935 041) ; – application du taux de minoration de 2011, qui s’élève à 7,41 % (soit un coefficient déflateur de 0,925 895). Il y a donc cumul des taux de minoration de 2009 à 2011 (27,41%), selon les modalités suivantes : le coefficient déflateur cumulé applicable en 2011 est de 0,725 923, soit le produit du coefficient de 2009 (0,838 49), du coefficient de 2010 (0,935 041) et du coefficient de 2011 (0,925 895). Le montant des compensations à verser aux collectivités concernées, qui vous est communiqué par les services fiscaux au moyen des états 1253 et 1259, figure au sein du cadre III « Information complémentaire » dans le 1. « Allocations compensatrices » sur la ligne « Taxe foncière (bâti) : b. ZFU, ZUS, baux à réhabilitation ». Le versement de la compensation est à effectuer par débit du compte 465-1141 « compensation d’exonérations relatives à la fiscalité locale ». I. 5. Compensation de l’exonération de TFPB des logements faisant l’objet d’un bail à réhabilitation pris à bail à compter du 1er janvier 2005 (4) Exonération : Articles 1384 B (communes et EPCI), 1586 B (départements) du code général des impôts. (1) Cette date a été repoussée une première fois par l’article 33 de la loi no 2007-290 du 5 mars 2007 instituant le droit au logement opposable et portant diverses mesures en faveur de la cohésion sociale puis à nouveau par l’article 1er de la loi no 2009-323 du 25 mars 2009 de mobilisation pour le logement et la lutte contre l’exclusion. (2) Terminologie qui remplace l’expression convention globale de patrimoine depuis l’entrée en vigueur de la loi no 2009-323 du 25 mars 2009 de mobilisation pour le logement et la lutte contre l’exclusion. (3) Cf. article 37 I.2 de la loi de finances rectificative pour 2001. (4) Aux termes de l’article L. 252-1 du CCH : « est qualifié de bail à réhabilitation et soumis aux dispositions du présent chapitre le contrat par lequel soit un organisme d’habitations à loyer modéré, soit une société d’économie mixte dont l’objet est de construire ou de donner à bail des logements, soit une collectivité territoriale, soit un organisme dont l’un des objets est de contribuer au logement des personnes défavorisées et agréé à cette fin par le représentant de l’État dans le département s’engage à réaliser dans un délai déterminé des travaux d’amélioration sur l’immeuble du bailleur et à le conserver en bon état d’entretien et de réparations de toute nature en vue de louer cet immeuble à usage d’habitation pendant la durée du bail. » AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 17 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Compensation : Article 47 de la loi de finances pour 2010. Article 77 (V) de la loi de finances pour 2010. B du III et B du IV de l’article 51 de la loi de finances pour 2011. → Articles 1384 B, 1586 B et 1599 ter E modifiés du code général des impôts. Cette exonération est facultative, donc non compensée, à l’exception des logements pris à bail à compter du 1er janvier 2005, pour lesquels l’exonération est de droit et donc intégralement compensée à toutes les catégories de collectivités (1). Le montant de la compensation est égal aux pertes de recettes. Cette compensation a été transformée, en vertu du IV de l’article 48 de la loi de finances pour 2009, en variable d’ajustement. Elle a donc fait l’objet, en 2009, d’une minoration de 16,151 % par rapport au montant de 2008 et en 2010 d’une minoration de 6,50 %, conformément à l’article 47 de la loi de finances pour 2010. Dans le même esprit, elle est à nouveau minorée en 2011 par l’article 51 de la loi de finances pour 2011. Par ailleurs, la réforme de la taxe professionnelle a modifié l’affectation de la taxe foncière sur les propriétés bâties. La part régionale de TFPB disparaissant au profit des départements (2), les taux à prendre en compte pour les départements sont majorés en fonction des taux retenus pour le calcul de cette allocation compensatrice, versée en 2010 au profit des régions. Dispositif en vigueur pour 2011 : Les dotations de compensation de chaque collectivité sont calculées de la façon suivante : – pertes de recettes de TFPB ; – application du taux de minoration de 2009 (III de l’art. 48 de la loi de finances pour 2009), qui s’élève à 16,151 % (soit un coefficient déflateur de 0,838 49) ; – application du taux de minoration de 2010 qui s’élève à 6,50 % (soit un coefficient déflateur de 0,935 041) ; – application du taux de minoration de 2011, qui s’élève à 7,41 % (soit un coefficient déflateur de 0,925 895) ; Il y a donc cumul des taux de minoration de 2009 à 2011 (27,41%), selon les modalités suivantes : le coefficient déflateur cumulé applicable en 2011 est de 0,725 923, soit le produit du coefficient de 2009 (0,838 49), du coefficient de 2010 (0,935 041) et du coefficient de 2011 (0,925 895). Le montant des compensations à verser aux collectivités concernées, qui vous est communiqué par les services fiscaux au moyen des états 1253 et 1259, figure au sein du cadre III « Information complémentaire » dans le 1. « Allocations compensatrices » sur la ligne « Taxe foncière (bâti) : b. ZFU, ZUS, baux à réhabilitation ». Le versement de la compensation est à effectuer par débit du compte 465-1141 « Compensation d’exonérations relatives à la fiscalité locale ». II. – COMPENSATIONS NE JOUANT PAS LE RÔLE DE VARIABLES D’AJUSTEMENT II. 1. Compensation de l’abattement sur les bases de TFPB des logements sociaux situés dans les départements d’outre-mer et faisant l’objet de travaux d’amélioration les confortant vis-à-vis des risques naturels Exonération : Article 1388 ter du code général des impôts. Compensation : Article 44 (II) de la loi de programme pour l’outre-mer du 21 juillet 2003. Commentaire : L’article 44 de la loi de programme pour l’outre-mer du 21 juillet 2003 institue, dans les quatre départements d’outremer, sauf délibération contraire des collectivités concernées, un abattement de 30 % sur la base d’imposition de la TFPB pour les logements locatifs sociaux faisant l’objet de travaux d’amélioration, avec le concours financier de l’État, afin de les conforter vis-à-vis des risques naturels prévisibles (travaux antisismiques). L’abattement est applicable aux impositions établies au titre des cinq années suivant celle de l’achèvement des travaux, ce dernier devant intervenir au plus tard le 31 décembre 2016. (1) Cf. article 108 de la loi no 2005-32 du 18 janvier 2005 de programmation pour la cohésion sociale. (2) L’article 1599 ter E du CGI qui envisageait cette exonération a d’ailleurs été abrogé par le 1 du C du XIX de l’article 108 de la loi de finances pour 2011. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 18 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR L’État compense, chaque année, la perte de recettes en résultant pour les collectivités territoriales ou leurs établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre. La compensation est calculée comme celle applicable à l’abattement sur les bases de TFPB des logements faisant l’objet d’une convention globale de patrimoine et à l’abattement sur les bases de TFPB de logements situés en ZUS (cf. supra, dispositions du IV de l’article 42 de la loi de finances pour 2001). Elle est donc égale au produit du montant de l’abattement appliqué au titre de l’année d’imposition par le taux de TFPB voté par chaque collectivité territoriale ou EPCI à fiscalité propre au titre de l’année précédente. Il convient de noter que la réforme de la fiscalité locale a modifié l’affectation de la taxe foncière sur les propriétés bâties. La part régionale de TFPB disparaissant au profit des départements, les taux à prendre en compte pour les départements sont majorés en fonction des taux retenus pour le calcul de cette allocation compensatrice, versée en 2010 au profit des régions. Le montant des compensations à verser aux collectivités concernées, qui vous est communiqué par les services fiscaux au moyen des états 1253 et 1259, figure au sein du cadre III « Information complémentaire » dans le 1. « Allocations compensatrices » sur la ligne « Taxe foncière (bâti) : b. ZFU, ZUS, baux à réhabilitation, ZFA-Dom ». Le versement de la compensation est à effectuer par débit du compte 465-1141 « Compensation d’exonérations relatives à la fiscalité locale ». TAXE FONCIÈRE SUR LES PROPRIÉTÉS NON BÂTIES À la suite de la réforme de la taxe professionnelle, les départements et les régions ne sont plus bénéficiaires de cette imposition. Les compensations des allégements de taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) ne concernent donc que les communes et les EPCI à fiscalité propre. Le montant de l’ensemble des compensations de taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) est notifié par les services fiscaux aux collectivités concernées au moyen des états 1259, dans le cadre III. 1 « Allocations compensatrices », ligne « Taxe foncière (non bâti) ». I. – COMPENSATIONS JOUANT LE RÔLE DE VARIABLES D’AJUSTEMENT I. 1. Compensation de l’exonération de TFPNB pour les terrains plantés en bois (communes et EPCI) Exonération : Article 1395 du code général des impôts. Compensation : Article 47 de la loi de finances pour 2010. Article 77 (V) de la loi de finances pour 2010. F du III et B du IV de l’article 51 de la loi de finances pour 2011. → Article 6 (IV) modifié de la loi du 9 juillet 2001 d’orientation sur la forêt. Commentaire : Les terrains ensemencés, plantés ou replantés en bois sont exonérés de TFPNB pendant les trente premières années du semis, de la plantation ou de la replantation. Le régime de cette exonération a été modifié à compter du 1er janvier 2002 (1) : – elle a été réduite à dix ans pour les peupleraies ; – elle a été étendue à cinquante ans pour les feuillus et autres bois, à l’exception des résineux, qui conservent une exonération de trente ans. Par ailleurs, les terrains boisés présentant un état de futaie irrégulière, en équilibre de régénération, sont exonérés pendant quinze ans, à concurrence de 25 % de la taxe. Enfin, sont exonérées pendant dix ans les terres incultes, vaines, vagues ou en friche depuis quinze ans et plantées en mûriers, arbres fruitiers ou mises en culture. L’article 6 de la loi du 9 juillet 2001 d’orientation sur la forêt régit la compensation par l’État de la perte de recettes supportée, l’année précédente, par les communes et les EPCI. Le montant de cette compensation est égal au produit des bases exonérées l’année précédente par le taux de TFPNB de la même année. (1) Cf. article 6 de la loi no 2001-602 du 9 juillet 2001 d’orientation sur la forêt. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 19 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Cette compensation a été transformée, en vertu du IV de l’article 48 de la loi de finances pour 2009, en variable d’ajustement. Elle a donc fait l’objet, en 2009, d’une minoration de 16,151 % par rapport au montant de 2008 et en 2010 d’une minoration de 6,50 %, conformément à l’article 47 de la loi de finances pour 2010. Dans le même esprit, elle est à nouveau minorée en 2011 par l’article 51 de la loi de finances pour 2011. Dispositif en vigueur pour 2011 : Les dotations de compensation de chaque collectivité sont calculées de la façon suivante : – produit des bases exonérées de l’année 2010 par le taux de TFPNB de la commune ou de l’EPCI adopté en 2010 ; – application du taux de minoration de 2009 (III de l’art. 48 de la loi de finances pour 2009), qui s’élève à 16,151 % (soit un coefficient déflateur de 0,838 49) ; – application du taux de minoration de 2010 qui s’élève à 6,50 % (soit un coefficient déflateur de 0,935 041) ; – application du taux de minoration de 2011, qui s’élève à 7,41 % (soit un coefficient déflateur de 0,925 895). Il y a donc cumul des taux de minoration de 2009 à 2011 (27,41%), selon les modalités suivantes : le coefficient déflateur cumulé applicable en 2011 est de 0,725 923, soit le produit du coefficient de 2009 (0,838 49), du coefficient de 2010 (0,935 041) et du coefficient de 2011 (0,925 895). Le versement de la compensation, dont le montant vous est communiqué pour chaque commune ou EPCI, doit être effectué par débit du compte 465-1141 « compensation d’exonérations relatives à la fiscalité locale ». I. 2. Compensation de l’exonération de TFPNB pour les terrains situés dans certaines zones humides ou naturelles (communes et EPCI) Exonération : Article 1395 D du code général des impôts. Compensation : Article 47 de la loi de finances pour 2010. Article 77 (V) de la loi de finances pour 2010. F du III et B du IV de l’article 51 de la loi de finances pour 2011. → Article 137 (II) modifié de la loi du 23 février 2005 relative au développement des territoires ruraux. Commentaire : Les prés, herbages, landes et marais situés dans les zones humides ou dans les zones naturelles définies par le code de l’environnement et faisant l’objet d’un engagement de gestion sont exonérés, respectivement à hauteur de 50 % et de 100 %, de la part communale et/ou intercommunale de TFPNB pour une durée de cinq ans renouvelable. Cette exonération de droit fait l’objet d’une compensation, dont le montant est égal au produit des bases exonérées de l’année précédente par le taux de TFPNB de la même année. Pour les communes membres d’un EPCI sans fiscalité propre, le taux voté par la commune est majoré du taux appliqué au profit de l’EPCI. Cette compensation a été transformée, en vertu du IV de l’article 48 de la loi de finances pour 2009, en variable d’ajustement. Elle a donc fait l’objet, en 2009, d’une minoration de 16,151 % par rapport au montant de 2008 et en 2010 d’une minoration de 6,50 %, conformément à l’article 47 de la loi de finances pour 2010. Dans le même esprit, elle est à nouveau minorée en 2011 par l’article 51 de la loi de finances pour 2011. Dispositif en vigueur pour 2011 : Les dotations de compensation de chaque collectivité sont calculées de la façon suivante : – produit des bases exonérées de l’année 2011 par le taux de TFPNB de la commune ou de l’EPCI adopté en 2011 ; – application du taux de minoration de 2009 (III de l’art. 48 de la loi de finances pour 2009), qui s’élève à 16,151 % (soit un coefficient déflateur de 0,838 49) ; – application du taux de minoration de 2010 qui s’élève à 6,50 % (soit un coefficient déflateur de 0,935 041) ; – application du taux de minoration de 2011, qui s’élève à 7,41 % (soit un coefficient déflateur de 0,925 895). Il y a donc cumul des taux de minoration de 2009 à 2011 (27,41 %), selon les modalités suivantes : le coefficient déflateur cumulé applicable en 2011 est de 0,725 923, soit le produit du coefficient de 2009 (0,838 49), du coefficient de 2010 (0,935 041) et du coefficient de 2011 (0,925 895). Le versement de la compensation, dont le montant vous est communiqué pour chaque commune ou EPCI, doit être effectué par débit du compte 465-1141 « Compensation d’exonérations relatives à la fiscalité locale ». AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 20 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR I. 3. Compensation de l’exonération de TFPNB pour les terrains situés dans un site « Natura 2000 » (communes et EPCI) Exonération : Article 1395 E du code général des impôts. Compensation : Article 47 de la loi de finances pour 2010. Article 77 (V) de la loi de finances pour 2010. F du III et B du IV de l’article 51 de la loi de finances pour 2011. → Article 146 (B) modifié de la loi du 23 février 2005 relative au développement des territoires ruraux. Commentaire : Depuis le 1er janvier 2006 (1), les propriétés non bâties faisant l’objet d’une convention de gestion, classées par l’instruction ministérielle du 31 décembre 1908 dans les catégories suivantes (terres, prés, vignes, bois, landes, lacs et étangs) et situées en zone « Natura 2000 », sont exonérées, pour une durée de cinq ans renouvelable, de la part communale et/ou intercommunale de TFPNB. Cette exonération de droit fait l’objet d’une compensation (sauf pour les EPCI à fiscalité mixte), dont le montant est égal au produit de la perte de bases de l’année par le taux de TFPNB voté en 2003 par la commune ou l’EPCI. Pour les communes appartenant en 2003 à un EPCI sans fiscalité propre, le taux voté par la commune est majoré du taux appliqué au profit de cet EPCI. Pour le calcul de la compensation au profit des communes membres d’un EPCI soumis, à compter du 1er janvier 2004, au régime fiscal de la TPU, la majoration du taux communal voté en 2003 par le taux voté en 2003 par l’EPCI est supprimée à compter du 1er janvier 2011 (2). Par ailleurs, les EPCI à FPU, antérieurement à fiscalité mixte au 31 décembre 2009, ne bénéficient d’aucune compensation. Cette compensation a été transformée, en vertu du IV de l’article 48 de la loi de finances pour 2009, en variable d’ajustement. Elle a donc fait l’objet, en 2009, d’une minoration de 16,151 % par rapport au montant de 2008 et en 2010 d’une minoration de 6,50 %, conformément à l’article 47 de la loi de finances pour 2010. Dans le même esprit, elle est à nouveau minorée en 2011 par l’article 51 de la loi de finances pour 2011. Dispositif en vigueur pour 2011 : Les dotations de compensation de chaque collectivité sont calculées de la façon suivante : – produit de la perte de bases de 2011 par le taux de TFPNB voté en 2003 par la commune ou l’EPCI (sous les réserves énoncées supra) ; – application du taux de minoration de 2009 (III de l’art. 48 de la loi de finances pour 2009), qui s’élève à 16,151 % (soit un coefficient déflateur de 0,838 49) ; – application du taux de minoration de 2010 qui s’élève à 6,50 % (soit un coefficient déflateur de 0,935 041) ; – application du taux de minoration de 2011, qui s’élève à 7,41 % (soit un coefficient déflateur de 0,925 895). Il y a donc cumul des taux de minoration de 2009 à 2011 (27,41 %), selon les modalités suivantes : le coefficient déflateur cumulé applicable en 2011 est de 0,725 923, soit le produit du coefficient de 2009 (0,838 49), du coefficient de 2010 (0,935 041) et du coefficient de 2011 (0,925 895). Le versement de la compensation, dont le montant vous est communiqué pour chaque commune ou EPCI, doit être effectué par débit du compte 465-1141 « compensation d’exonérations relatives à la fiscalité locale » (3). II. – COMPENSATIONS NE JOUANT PAS LE RÔLE DE VARIABLES D’AJUSTEMENT II. 1. Compensation de l’exonération de TFPNB pour les terres agricoles (parts communales et intercommunales en Corse) Exonération : Article 1394 B du code général des impôts. (1) Cf. article 146 de la loi no 2005-157 du 23 février 2005 relative au développement des territoires ruraux. (2) Cf. le X du 8 de l’article 77 de la loi de finances pour 2010. (3) Ce dispositif est commenté par l’instruction no 113 du 15 octobre 2007, publiée au Bulletin officiel des impôts sous la référence 6 B-1-07. Le modèle de contrat pour les sites proposés ou désignés au titre de « Natura 2000 » figure dans l’instruction no 18 du 14 février 2008 publiée au Bulletin officiel des impôts sous la référence 6 B‑1‑08. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 21 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Compensation : Article 3 de la loi du 27 décembre 1994 portant statut fiscal de la Corse. Commentaire : L’article 3 de la loi portant statut fiscal de la Corse institue une exonération totale, à compter de 1995, de la TFPNB grevant les terres agricoles situées en Corse (1). Cette exonération est compensée chaque année. Elle résulte du montant des bases exonérées, multiplié par le taux de TFPNB voté pour 1994 par la commune ou le groupement. Pour les communes qui, en 1994, appartenaient à un groupement sans fiscalité propre, le taux voté par la commune est majoré du taux appliqué au profit du groupement pour 1994. Le versement de la compensation, dont le montant vous est communiqué pour chaque commune ou EPCI, est à effectuer par débit du compte 465-1141 « Compensation d’exonérations relatives à la fiscalité locale ». II. 2. Compensation de l’exonération de TFPNB pour les terres agricoles (parts départementales en Corse) Exonération : Article 1394 B du code général des impôts. Compensation : Article 3 de la loi du 27 décembre 1994 portant statut fiscal de la Corse. Commentaire : Cette compensation a été abrogée par le XVII du 8 de l’article 77 de la loi de finances pour 2010, au profit de la DPCE départementale présentée infra. II. 3. Compensation de l’exonération de 20 % de TFPNB des terres agricoles (parts communale et intercommunale en métropole) Exonération : Article 1394 B bis du code général des impôts. Compensation : Article 13 de la loi de finances initiale pour 2006. Commentaire : L’article 13 de la loi de finances initiale pour 2006 a institué, pour les impositions établies à compter de 2006, une exonération de 20 % des parts communale et départementale de la TFPNB grevant les terres agricoles. Le champ de l’exonération de 20 % est identique à celui des exonérations précédentes (2). La perte de recettes résultant, pour les communes et leurs groupements à fiscalité propre, de la mise en œuvre de l’exonération est compensée par l’État. En 2006, la compensation était égale au produit des bases exonérées par le taux voté en 2005 par la commune ou l’établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre. Pour les communes qui appartiennent à un EPCI sans fiscalité propre, le taux voté par la commune est majoré du taux appliqué au profit de l’EPCI. Pour les communes qui étaient membres en 2005 d’un EPCI à fiscalité additionnelle soumis, pour la première fois en 2006, à la TPU, le taux appliqué en 2005 dans la commune est majoré du taux voté en 2005 par l’EPCI. Lorsque l’EPCI est soumis à la TPU à compter de 2007, les communes perçoivent la part de la compensation qui était allouée antérieurement à l’EPCI en contrepartie de la perte de recettes constatée sur leur territoire. Depuis 2007, elle évolue chaque année comme le taux de croissance de la dotation globale de fonctionnement. Or en 2011, ce taux n’a pas été valorisé. La compensation versée correspondra à celle versée en 2010. (1) Ces terres agricoles correspondent aux propriétés non bâties classées dans les première à sixième, huitième et neuvième catégories définies à l’article 18 de l’instruction ministérielle du 31 décembre 1908, non exonérées en application des articles 1395 à 1395 B du même code et qui sont situées en Corse. (2) Elle s’applique aux propriétés classées dans les première, deuxième, troisième, quatrième, cinquième, sixième, huitième et neuvième catégories définies à l’article 18 de l’instruction ministérielle du 31 décembre 1908. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 22 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Par ailleurs, les communes qui étaient membres en 2005 d’un EPCI à fiscalité additionnelle soumis, pour la première fois en 2006, à la TPU, la majoration du taux communal de 2005 par le taux voté en 2005 par l’EPCI cesse le 31 décembre 2010. D’autre part, à compter de 2011, les communes membres d’un EPCI soumis à la TPU depuis 2007 ne percevront plus la part de la compensation qui était allouée antérieurement à l’EPCI en contrepartie de la perte de recettes constatée sur leur territoire (1). Le versement de la compensation, dont le montant vous est communiqué pour chaque commune ou EPCI, doit être effectué par débit du compte 465-1141 « compensation d’exonérations relatives à la fiscalité locale ». II. 4. Compensation de l’exonération partielle de TFPNB pour certains terrains situés dans les départements de Guadeloupe, Guyane, Martinique et de La Réunion Exonération : Article 1395 H du code général des impôts. Compensation : → II de l’article 7 de la loi du 27 mai 2009 pour le développement économique des outre-mer. Commentaire : À compter de 2010, les propriétés non bâties classées par l’instruction ministérielle du 31 décembre 1908 dans les catégories suivantes (terres, prés, vignes, bois, landes, lacs et étangs) situées dans les départements de Guadeloupe, Guyane, Martinique et de La Réunion sont partiellement exonérées de TFPNB perçue au profit des communes et EPCI à fiscalité propre selon la répartition suivante : 80 % entre 2009 et 2015 ; 70 % pour 2016 ; 60 % pour 2017 ; 50 % pour 2018. Le II de l’article 7 de la loi du 27 mai 2009 susvisé, qui introduit cette exonération dans le CGI, a également instauré une compensation annuelle des pertes de recettes en résultant. Cette compensation, versée à chaque commune ou EPCI à fiscalité propre est égale, chaque année, au produit du montant de la base exonérée en application de cette exonération par le taux de la taxe foncière sur les propriétés non bâties voté par la commune ou l’établissement public de coopération intercommunale doté d’une fiscalité propre au titre de 2009. Pour les communes qui appartiennent à un EPCI sans fiscalité propre, le taux voté par la commune au titre de 2009 est majoré du taux appliqué la même année au profit de l’EPCI. Le versement de la compensation, dont le montant vous est communiqué pour chaque commune ou EPCI, doit être effectué par débit du compte 465-1141 « compensation d’exonérations relatives à la fiscalité locale ». TAXE D’HABITATION À la suite de la suppression de la taxe professionnelle, les départements ne sont plus bénéficiaires de cette imposition. Les compensations des allégements de taxe d’habitation (TH) ne concernent donc que les communes et les EPCI à fiscalité propre. I. – COMPENSATION DES EXONÉRATIONS DE TH POUR LES PERSONNES DE CONDITION MODESTE (ECF) Exonération : Article 1414 (I) du code général des impôts. Compensation : 7.2.9. de l’article 77 de la loi de finances pour 2010. → II de l’article 21 de la loi de finances pour 1992. (1) Cf. le IX du 8 de l’article 77 de la loi de finances pour 2010. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 23 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Commentaire : L’article 21 de la loi de finances pour 1992 a remplacé les dégrèvements de TH accordés à certaines personnes économiquement défavorisées par des exonérations. Les pertes de recettes subies par les collectivités locales et leurs groupements du fait de ces exonérations sont compensées par l’État. Ces compensations n’ont jamais été intégrées dans les variables d’ajustement. La compensation, pour les communes et les EPCI est égale au produit des bases exonérées l’année précédant l’année d’imposition (soit, pour 2011, l’année 2010) par le taux de TH voté en 1991 par la collectivité. Toutefois, ce taux est majoré du taux départemental, compte tenu du transfert de la part départementale de cette taxe au profit du bloc communal. C’està-dire que le taux utilisé sera égal à la somme du taux du bloc communal et du taux départemental adopté en 1991. Le montant de la compensation est communiqué par les services fiscaux à chaque collectivité ou groupement au moyen des états 1259, ligne « Taxe d’habitation : personnes de condition modeste » du cadre III « Allocations compensatrices ». Le versement de la compensation est à effectuer par débit du compte 465‑1141 « Compensation d’exonérations relatives à la fiscalité locale ». II. – COMPENSATION DES EXONÉRATIONS DE TH DE L’EX-PART RÉGIONALE Exonération : Article 1414 (I) du code général des impôts. Article 11 de la loi de finances rectificative du 13 juillet 2000. Compensation : B du I de l’article 51 de la loi de finances pour 2011. → II de l’article 21 de la loi de finances pour 1992. → Article 48 de la loi de finances pour 2004. Commentaire : Deux compensations concernaient la part régionale. La première correspondait à la suppression de la part régionale de taxe d’habitation effectuée en 2000. Depuis 2004, cette compensation est intégrée à la DGF des régions. La seconde, plus ancienne, concernait l’exonération de TH « personne de condition modeste », qui avait été maintenue malgré la suppression de la part régionale de la TH. Cette compensation est abrogée à compter de 2011. Elle est intégrée dans la DPCE régionale présentée infra, pour son montant 2010 et ne fait l’objet d’aucune actualisation d’une année sur l’autre. FISCALITÉ PROFESSIONNELLE La suppression de la taxe professionnelle a eu pour conséquence de transférer nombre d’allégements de taxe professionnelle aux nouvelles impositions créées par la loi de finances pour 2010. Il s’agit principalement de la cotisation foncière des entreprises (CFE), ce qui implique que la part de cotisation sur la valeur ajoutée correspondant à l’établissement exonéré de CFE soit aussi exonérée. Dans ces cas-là, les compensations correspondantes sont maintenues et présentées dans la présente partie et le remplacement de la TP par la CET ne remet pas en cause leur principe. Les modalités de calcul de chacune de ces compensations sont adaptées pour tenir compte du nouveau schéma de financement. Ainsi, les taux retenus pour le calcul des allocations compensatrices de la CFE à verser aux communes et EPCI seront majorés des taux départemental et régional retenus pour déterminer les compensations versées en 2010 aux départements et régions, puis multipliés par un coefficient de 0,84. Ce principe général est adapté selon qu’il s’agit d’une commune isolée ou non, d’un EPCI à fiscalité additionnelle ou à fiscalité professionnelle unique. En revanche, certains allégements de taxe professionnelle n’ont pu être transposés à la CFE ou à la CVAE. Sont ainsi supprimées les allocations correspondantes suivantes : la dotation de compensation de la taxe professionnelle (DCTP, hors RCE) et la part de la dotation de compensation de la taxe professionnelle liée à la réduction pour création d’établissement (RCE). Elles ont ainsi été intégrées dans le calcul de la dotation unique des compensations spécifiques à la taxe professionnelle présenté supra (DUCSTP). AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 24 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Par ailleurs, a également été supprimée, de fait, la compensation de la réduction de la fraction des recettes prise en compte dans les bases de TP des titulaires de bénéfices non commerciaux (BNC) (1) régie par l’article 26 de la loi de finances pour 2003. Concernant la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE), conformément aux dispositions de l’article 1586 nonies du CGI, les entreprises qui exploitent un ou plusieurs établissements susceptibles de bénéficier d’exonérations ou d’abattements de CFE facultatifs peuvent bénéficier d’exonérations ou d’abattements de CVAE facultatifs, accordés sur décision ou en l’absence de délibération contraire des collectivités territoriales ou des EPCI à fiscalité propre, sauf exception et sous réserve que l’entreprise en fasse la demande. Pour des raisons pratiques, étant donné le calcul tardif de la CVAE en 2011, le décret relatif à la CVAE, en cours d’élaboration, précisera qu’en 2011, les régularisations des versements de fiscalité effectuées à l’automne 2011 intégreront les compensations de CVAE pour 2011. Dans le régime de droit commun, à compter de 2012, les compensations d’exonérations seront notifiées comme les autres allocations. Vous n’avez donc pas d’arrêtés à prendre en matière de CVAE en 2011. I. – COMPENSATIONS JOUANT LE RÔLE DE VARIABLES D’AJUSTEMENT I. 1. La part de la dotation de compensation de la taxe professionnelle liée à la réduction pour création d’établissement (RCE) (2) Exonération : II de l’article 1478 du code général des impôts. Compensation : Article 47 de la loi de finances pour 2010. Article 51 de la loi de finances pour 2011. → IV bis de l’article 6 modifié de la loi de finances pour 1987. Commentaire : Le II de l’article 1478 du CGI exonère de CFE les établissements nouveaux en totalité l’année de leur création et a réduit de 50 % la base de CFE du nouvel exploitant pour la première année d’imposition. Cette disposition ne s’applique pas aux bases d’imposition afférentes aux immobilisations qui proviennent d’un autre établissement de l’entreprise. Pour les deux années suivant celle de la création, la base d’imposition est calculée d’après les biens passibles de taxe foncière dont le redevable a disposé au 31 décembre de la première année d’activité. La perte de recettes en résultant, pour les collectivités territoriales et leurs EPCI à fiscalité propre créés avant le 1er janvier 1987, est compensée par l’État dans les conditions prévues par l’article 6 de la loi de finances pour 1987 (3). Les collectivités locales et leurs groupements à fiscalité propre perçoivent, chaque année, une compensation d’un montant égal à la perte de bases résultant de la réduction multipliée par leur taux de TP de 1986, lui-même multiplié par 0,960 (coefficient déflateur). Depuis 2010, les autres réductions de cette dotation ne sont plus en vigueur. En vertu de l’article 36 de la loi de finances pour 2008, la dotation RCE a été intégrée dans le périmètre de l’enveloppe normée, devenant ainsi une variable d’ajustement. La dotation RCE de chaque collectivité a donc été calculée, en 2008, comme rappelé supra, puis minorée par l’application du taux d’évolution des variables d’ajustement de 2008, soit un coefficient déflateur de 0,760 164. En 2009, un nouveau taux de minoration a été introduit dans le IV bis de l’article 6 de la loi de finances pour 1987 (coefficient déflateur de 0,838 49) et en 2010 une minoration de 6,50 %, conformément à l’article 47 de la loi de finances pour 2010. (1) Avant la réforme, la taxe professionnelle des entreprises percevant des bénéfices non commerciaux (BNC = les professions libérales) de moins de cinq salariés était calculée différemment. Ces professions n’étaient pas uniquement assujetties à la part foncière mais également à un prélèvement de 6 % de leur bénéfice. Reconduit dans la réforme, ce dispositif particulier a été censuré par le Conseil constitutionnel, au nom du principe d’égalité devant l’impôt. Cette annulation a généré un manque à gagner de l’ordre de 600 à 700 millions d’euros pour l’État ; ce dernier prenant à sa charge cette moindre recette pour les collectivités par la DCRTP précitée. Cela explique en partie le surcoût de la réforme. (2) NB : à distinguer de la réduction pour embauche et investissement (REI), supprimée à compter de 2000. (3) Historiquement, la réduction de TP pour création d’établissement (RCE) était partie intégrante du dispositif, plus large, de réduction pour embauche et investissement (REI). À l’occasion de la réforme de la TP par l’article 44 de la loi de finances pour 1999, le dispositif REI a été supprimé sur deux ans, mais le volet RCE a été maintenu. Cette réduction a été compensée aux collectivités locales, comme la REI, par attribution de DCTP. Toutefois, le maintien de la RCE à compter de 2000 a conduit le législateur à lui réserver un sort distinct du reste de la DCTP. En outre, contrairement au reste de la DCTP, la part « RCE » évolue toujours en bases réelles, c’est-à-dire que la compensation versée à chaque collectivité est calculée en fonction de la perte de recettes réelle résultant de l’exonération des bases notifiées pour l’année considérée. La fraction de DCTP au titre de la RCE s’élevait en 2008 à 52,1 millions d’euros. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 25 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Dans le même esprit, elle est à nouveau minorée en 2011 par l’article 51 de la loi de finances pour 2011. Par ailleurs, les taux à prendre en compte, à compter de 2011, pour les communes et les groupements de communes à fiscalité propre pour le calcul des compensations ou des abattements susvisés sont majorés en fonction des taux retenus pour déterminer les allocations compensatrices versées en 2010 au profit des départements et des régions. Dispositif en vigueur pour 2011 Le IV bis de l’article 6 de la loi de finances pour 1987 précise que, au titre de 2011, la dotation de compensation de chaque collectivité est calculée de la façon suivante : – produit de la perte de bases résultant de la réduction par le taux de TP de 1986, majoré de ceux du département et de la région en 2010, lui-même multiplié par 0,960 ; – application du taux de minoration de 2008 (II et 2 du III de l’art. 36 de la loi de finances pour 2008), qui s’élevait à – 23,98 % (soit un coefficient déflateur de 0,760 164) ; – application du taux de minoration de 2009, qui s’élève à 16,151 % (soit un coefficient déflateur de 0,838 49) ; – application du taux de minoration de 2010, qui s’élève à 6,496 % (soit un coefficient déflateur de 0,935 042) ; – application du taux de minoration de 2011, qui s’élève à 7,41 % (soit un coefficient déflateur de 0,925 895). Il y a donc cumul des taux de minoration de 2008 à 2011 (44,82 %), selon les modalités suivantes : le coefficient déflateur cumulé applicable en 2011 est de 0,551 821, soit le produit du coefficient de 2008 (0,760 164), du coefficient de 2009 (0,838 49), du coefficient de 2010 (0,935 041) et du coefficient de 2011 (0,925 895). Le montant de la compensation est communiqué par les services fiscaux à chaque collectivité ou groupement au moyen des états 1259, ligne « CFE : réduction des bases des créations d’établissements » du cadre III « Allocations compensatrices ». Le versement de la compensation, dont le montant vous est communiqué pour chaque commune ou EPCI, doit être effectué par débit du compte 465-1131 « dotation de compensation de la taxe professionnelle – DCTP et DCTP-RCE ». I. 2. Compensation des exonérations de CFE dans les zones de revitalisation rurale (ZRR) Exonération : I de l’article 1465 A du code général des impôts. Article 7 de la loi du 23 février 2005 relative au développement des territoires ruraux. I. 2.1. L’exonération de CFE pour créations ou extensions d’activités dans des ZRR (depuis 1995) Compensation : Article 47 de la loi de finances pour 2010. V de l’article 77 de la loi de finances pour 2010. H du III et B du IV de l’article 51 de la loi de finances pour 2011. → III de l’article 52 modifié de la loi du 4 février 1995 d’orientation pour l’aménagement et le développement du territoire. Commentaire : Le I de l’article 52 de la loi du 4 février 1995 d’orientation pour l’aménagement et le développement du territoire a inséré dans le CGI l’article 1465 A, qui exonère de droit de TP les entreprises sises dans les ZRR qui procèdent, depuis le 1er janvier 1995, à des créations ou extensions d’activités industrielles ou de recherche scientifique et technique ou de services de direction, d’études, d’ingénierie et d’informatique. Cette exonération de cinq ans maximum, à compter de la création ou de l’extension, a été transposée à la cotisation foncière des entreprises (CFE) avec la réforme de la taxe professionnelle. Le III du même article 52 prévoit la compensation par l’État de cette exonération aux collectivités et à leurs groupements à fiscalité propre. Le montant de la compensation est égal au produit obtenu en multipliant, pour chaque année et chaque collectivité ou groupement à fiscalité propre, la perte de base par le taux voté par la collectivité ou le groupement en 1994. Si l’EPCI percevait la TPU en 1994, on applique le taux voté cette année-là ou, le cas échéant, le taux effectivement appliqué sur le territoire des communes concernées par les ZRR, dans le cas d’une intégration fiscale progressive. Si l’EPCI n’a perçu la TPU qu’à compter de 1995, on applique le taux moyen pondéré de TP de 1994 constaté pour l’ensemble des communes membres de l’EPCI. À compter de 2011, les taux à prendre en compte pour les communes et les groupements de communes à fiscalité propre sont majorés en fonction des taux retenus pour déterminer les allocations compensatrices versées en 2010 au profit des départements et des régions. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 26 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Cette compensation a été transformée, en vertu du IV de l’article 48 de la loi de finances pour 2009, en variable d’ajustement. Elle a donc fait l’objet, en 2009, d’une minoration de 16,151 % par rapport au montant de 2008 et en 2010 d’une minoration de 6,50 %, conformément à l’article 47 de la loi de finances pour 2010. Dans le même esprit, elle est à nouveau minorée en 2011 par l’article 51 de la loi de finances pour 2011. Dispositif en vigueur pour 2011 Les dotations de compensation de chaque collectivité sont calculées de la façon suivante : – produit de la perte de base par le taux voté par la collectivité ou le groupement en 1994 (sous les réserves énoncées supra) ; – application du taux de minoration de 2009 (III de l’art. 48 de la loi de finances pour 2009), qui s’élève à 16,151 % (soit un coefficient déflateur de 0,838 49) ; – application du taux de minoration de 2010 qui s’élève à 6,50 % (soit un coefficient déflateur de 0,935 041) ; – application du taux de minoration de 2011, qui s’élève à 7,41 % (soit un coefficient déflateur de 0,925 895). Il y a donc cumul des taux de minoration de 2009 à 2011 (27,41%), selon les modalités suivantes : le coefficient déflateur cumulé applicable en 2011 est de 0,725 923, soit le produit du coefficient de 2009 (0,838 49), du coefficient de 2010 (0,935 041) et du coefficient de 2011 (0,925 895). Le montant des compensations à verser aux collectivités concernées, qui vous est communiqué par les services fiscaux au moyen des états 1259, figure au sein du cadre III « Information complémentaire » dans le 1 « Allocations compensatrices » sur la ligne « Taxe professionnelle / CFE : c) Exonération en zones d’aménagement du territoire ». Le versement de la compensation, dont le montant vous est communiqué pour chaque commune ou EPCI, doit être effectué par débit du compte 465-1141 « Compensation d’exonérations relatives à la fiscalité locale ». I. 2.2. L’exonération de CFE des décentralisations, reconversions et reprises d’activités et des activités artisanales dans les ZRR (depuis 1998) Compensation : Article 47 de la loi de finances pour 2010. V de l’article 77 de la loi de finances pour 2010. H du III et B du IV de l’article 51 de la loi de finances pour 2011. → III de l’article 95 modifié de la loi de finances pour 1998. Commentaire : L’article 95 de la loi de finances pour 1998 a étendu le champ d’application de l’exonération de TP en ZRR : – aux « décentralisations » d’activités industrielles ou de recherche scientifique et technique, de services de direction, d’études, d’ingénierie et d’informatique, aux reconversions dans le même type d’activité et aux reprises d’établissements en difficulté exerçant le même type d’activité (1) ; – aux artisans qui effectuent principalement des travaux de fabrication, de transformation, de réparation ou de prestations de services, pour lesquels la rémunération du travail représente plus de 50 % du chiffre d’affaires global et qui créent une activité dans les ZRR. Cette exonération applicable aux opérations lancées après le 1er janvier 1998 a été transposée à la cotisation foncière des entreprises (CFE) avec la réforme de la taxe professionnelle. Le III du même article 95 dispose que ces exonérations sont compensées aux communes, à leurs groupements à fiscalité propre. Le montant de la compensation est égal au produit obtenu en multipliant, pour chaque année et chaque collectivité ou groupement à fiscalité propre, la perte de base par le taux voté en 1997. Pour les communes qui appartenaient en 1997 à un groupement sans fiscalité propre, le taux voté par la commune est majoré du taux appliqué au profit du groupement en 1997. Si l’EPCI percevait la TPU en 1997, on applique le taux voté en 1997 ou, le cas échéant, le taux effectivement appliqué sur le territoire des communes concernées par les ZRR, dans le cas d’une intégration fiscale progressive. Si l’EPCI n’a perçu la TPU qu’à compter de 1998, on applique le taux moyen pondéré de TP de 1997 constaté pour l’ensemble des communes membres de l’EPCI. Cette compensation fonctionne donc comme celle exposé juste au-dessus. À compter de 2011, les taux à prendre en compte pour les communes et les groupements de communes à fiscalité propre sont majorés en fonction des taux retenus pour déterminer les allocations compensatrices versées en 2010 au profit des départements et des régions. Elle dispose du même mécanisme de calcul, à savoir le produit de la perte de base par le taux voté en 1997 (sous les réserves énoncées (1) Cette modification n’apparaît pas dans l’article 1465 A lui-même, mais dans le 1465, auquel le I du 1465 A renvoie. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 27 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR infra) auquel est appliquée la minoration qui se caractérise par un cumul des taux de minoration de 2009 à 2011 (27,41%), selon les modalités suivantes : le coefficient déflateur cumulé applicable en 2011 est de 0,725 923, soit le produit du coefficient de 2009 (0,838 49), du coefficient de 2010 (0,935 041) et du coefficient de 2011 (0,925 895). Le montant des compensations à verser aux collectivités concernées, qui vous est communiqué par les services fiscaux au moyen des états 1259, figure au sein du cadre III « Information complémentaire » dans le 1 « Allocations compensatrices » sur la ligne « Taxe professionnelle / CFE : c) Exonération en zones d’aménagement du territoire ». Le versement de la compensation, dont le montant vous est communiqué pour chaque commune ou EPCI, doit être effectué par débit du compte 465-1141 « compensation d’exonérations relatives à la fiscalité locale ». I. 2.3. L’exonération de CFE des créations d’activités commerciales et non commerciales, ainsi que des reprises d’activités commerciales, artisanales ou non commerciales dans les communes de moins de 2 000 habitants dans les ZRR (depuis 2005) Compensation : Article 47 de la loi de finances pour 2010. V de l’article 77 de la loi de finances pour 2010. H du III et B du IV de l’article 51 de la loi de finances pour 2011. → III de l’article 95 modifié de la loi de finances pour 1998. 4 du IV de l’article 2 de la loi du 23 février 2005 relative au développement des territoires ruraux. Article 105 de la loi de finances rectificative pour 2005. Commentaire : Le I de l’article 2 de la loi du 23 février 2005 relative au développement des territoires ruraux a étendu le bénéfice de l’exonération de TP, dans les communes de moins de 2 000 habitants, aux créations d’activités commerciales et aux reprises d’activités commerciales, artisanales ou non commerciales réalisées par des entreprises exerçant le même type d’activité et employant moins de 5 salariés. L’article 7 de la même loi a étendu le bénéfice de l’exonération de TP aux créations d’activités réalisées par des entreprises non commerciales. Ces deux exonérations, qui s’appliquent aux opérations lancées après le 1er janvier 2004 ont été transposées à la cotisation foncière des entreprises (CFE) avec la réforme de la taxe professionnelle. Ces exonérations sont compensées uniquement aux communes et aux EPCI à fiscalité propre, les modalités de cette compensation étant celles prévues au III et au IV modifiés (1) de l’article 95 de la loi de finances pour 1998. Cela concerne aussi bien l’exonération prévue à l’article 7 que celle prévue à l’article 2. Par conséquent, cette compensation est soumise indirectement (via la référence au III de l’article 95 de la loi de finances pour 1998) au même régime que la précédente (seul le taux change) : à compter de 2011, les taux à prendre en compte pour les communes et les groupements de communes à fiscalité propre sont majorés en fonction des taux retenus pour déterminer les allocations compensatrices versées en 2010 au profit des départements et des régions. Elle dispose du même mécanisme de calcul, à savoir le produit de la perte de base par le taux voté en 1998 (sous les réserves énoncées infra) auquel est appliquée la minoration qui se caractérise par un cumul des taux de minoration de 2009 à 2011 (27,41%), selon les modalités suivantes : le coefficient déflateur cumulé applicable en 2011 est de 0,725 923, soit le produit du coefficient de 2009 (0,838 49), du coefficient de 2010 (0,935 041) et du coefficient de 2011 (0,925 895). Le montant des compensations à verser aux collectivités concernées, qui vous est communiqué par les services fiscaux au moyen des états 1253 et 1259, figure au sein du cadre III « Information complémentaire » dans le 1 « Allocations compensatrices » sur la ligne « Taxe professionnelle / CFE : c) Exonération en zones d’aménagement du territoire ». Le versement de la compensation, dont le montant vous est communiqué pour chaque commune ou EPCI, doit être effectué par débit du compte 465-1141 « compensation d’exonérations relatives à la fiscalité locale ». I. 3. Compensation des exonérations de CFE des créations, extensions d’établissements intervenues entre le 1er janvier 1997 et le 31 décembre 2011, dans les ZRU Exonération : I quinquies A de l’article 1466 A du code général des impôts (2). (1) Créé par le I de l’article 3 de la loi du 23 février 2005, le IV nouveau de l’article 95 de la loi de finances pour 1998 confirme que l’ensemble des exonérations visées à l’article 1465 A du CGI est compensé par l’État sur la base du III du même article, à l’exception de l’exonération des créations ou extensions d’activités, qui continue d’être compensée sur la base du III de l’article 52 de la loi du 4 février 1995. (2) Le 6.1.19 de l’article 2 de la loi de finances pour 2010 a abrogé les dispositions de I bis à I quinquies à compter du 1er janvier 2010. Le I quinquies A encadre désormais les exonérations en question qui sont compensées conformément au B de l’article 4 de la loi du 14 novembre 1994 cité supra. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 28 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Compensation : Article 48 (VI) de la loi de finances pour 2009. Article 77 (V) de la loi de finances pour 2010. H du III et B du IV de l’article 51 de la loi de finances pour 2011. → III de l’article 52 modifié de la loi du 4 février 1995 d’orientation pour l’aménagement et le développement du territoire. Le I quinquies A prévoit que les entreprises situées dans les bassins d’emploi à redynamiser sont exonérées de CFE (sauf délibération contraire de la commune ou de l’EPCI d’implantation) pour les créations et extensions d’établissements qu’elles réalisent entre le 1er janvier 1997 et le 31 décembre 2011. Il résulte du deuxième alinéa du III de l’article 52 de la loi du 4 février 1995 que l’État compense, chaque année, la perte de recettes résultant des exonérations liées aux créations d’activités susmentionnées. À compter de 2011, le prélèvement sur les recettes de l’État destiné à compenser la perte de recettes s’applique uniquement aux communes ou aux groupements dotés d’une fiscalité propre. Cette compensation est égale au produit obtenu en multipliant la perte de base résultant chaque année et pour chaque collectivité de l’exonération par le taux de la taxe professionnelle de la collectivité ou du groupement pour 1994. À compter de 2011, les taux à prendre en compte pour les communes et les groupements de communes à fiscalité propre sont majorés en fonction des taux retenus pour déterminer les allocations compensatrices versées en 2010 au profit des départements et des régions. Cette compensation a été transformée, en vertu du IV de l’article 48 de la loi de finances pour 2009, en variable d’ajustement. Elle a donc fait l’objet, en 2009, d’une minoration de 16,151 % par rapport au montant de 2008 et en 2010 d’une minoration de 6,50 %, conformément à l’article 47 de la loi de finances pour 2010. Dans le même esprit, elle est à nouveau minorée en 2011 par l’article 51 de la loi de finances pour 2011. Dispositif en vigueur pour 2011 Les dotations de compensation de chaque collectivité sont calculées de la façon suivante : – produit de la perte de base par le taux voté par la collectivité ou le groupement en 1994 (sous les réserves énoncées supra) ; – application du taux de minoration de 2009 (III de l’art. 48 de la loi de finances pour 2009), qui s’élève à 16,151 % (soit un coefficient déflateur de 0,838 49). – application du taux de minoration de 2010 qui s’élève à 6,50 % (soit un coefficient déflateur de 0,935 041). – application du taux de minoration de 2011, qui s’élève à 7,41 % (soit un coefficient déflateur de 0,925 895). Il y a donc cumul des taux de minoration de 2009 à 2011 (27,41%), selon les modalités suivantes : le coefficient déflateur cumulé applicable en 2011 est de 0,725 923, soit le produit du coefficient de 2009 (0,838 49), du coefficient de 2010 (0,935 041) et du coefficient de 2011 (0,925 895). Le montant des compensations à verser aux collectivités concernées, qui vous est communiqué par les services fiscaux au moyen des états 1259, figure au sein du cadre III « Information complémentaire » dans le 1 « Allocations compensatrices » sur la ligne « Taxe professionnelle / CFE : c) Exonération en zones d’aménagement du territoire ». Le versement de la compensation, dont le montant vous est communiqué pour chaque commune ou EPCI, doit être effectué par débit du compte 465-1141 « compensation d’exonérations relatives à la fiscalité locale ». I. 4. Compensation des exonérations de CFE dans les zones franches urbaines (ZFU) Exonération : I sexies de l’article 1466 A du code général des impôts (1). Article 62 de la loi du 5 mars 2007 instituant le droit au logement opposable. Compensation : VI et IX de l’article 48 de la loi de finances pour 2009. V de l’article 77 de la loi de finances pour 2010. H du III et B du IV de l’article 51 de la loi de finances pour 2011. (1) Les premières et deuxièmes générations de ZFU, régies respectivement par les articles 1466 A I quater et 1466 A I quinquies du CGI, sont abrogées par le 6.1.19 de l’article 2 de la loi de finances pour 2010. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 29 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR → B du IV de l’article 29 modifié de la loi no 2006-396 du 31 mars 2006 pour l’égalité des chances (3e génération de ZFU). Commentaire : Sans reprendre les différentes générations de zones franches urbaines (1), le I sexies de l’article 1466 A du code général des impôts prévoit que sont exonérés de CFE, pour une durée de cinq ans, à condition qu’ils soient rattachés à une entreprise comptant 50 salariés au plus au 1er janvier 2006 (ou à la date de sa création, si elle est postérieure) et dont le chiffre d’affaires réalisé ou le total de bilan détenu est inférieur à 10 M€ (2) : – les établissements créés ou étendus, entre le 1er janvier 2006 et le 31 décembre 2011, dans l’ensemble des ZFU (I sexies) ; – les établissements existant au 1er janvier 2006 dans les nouvelles zones créés par la loi pour l’égalité des chances dans les limites du règlement de minimis (I sexies) ; – les établissements existant au 1er janvier 2007, dans les extensions de ZFU opérées en 2007 (art. 62 de la loi DALO). L’exonération est accordée dans la limite d’un montant de base imposable revalorisé chaque année, fixé pour 2011 à 72 709 € (3), après actualisation en fonction de la variation des prix. L’État compense la perte de recettes résultant de ces exonérations de TP pour les collectivités territoriales, leurs groupements à fiscalité propre (à l’exception des EPCI à fiscalité mixte) et les FDPTP. La compensation est égale au produit obtenu en multipliant la perte de bases, chaque année et pour chaque collectivité ou EPCI, par le taux de TP appliqué par la collectivité en 2005. Selon les cas, ce taux est majoré, pour les communes membres d’un EPCI à fiscalité professionnelle unique (FPU) qui percevait en 1996, en 2003 ou en 2005 une fiscalité additionnelle, du taux additionnel voté par l’EPCI en 1996 ou en 2005. Pour les communes qui appartenaient, en 1996 ou en 2005, à un groupement sans fiscalité propre, le taux est majoré du taux appliqué au profit du groupement en 1996 ou en 2005. Pour les EPCI qui perçoivent pour la première fois, à compter de 2006, la taxe professionnelle en lieu et place des communes en application des dispositions de l’article 1609 nonies C ou du II de l’article 1609 quinquies C, la compensation est égale au produit du montant des bases nettes exonérées par le taux moyen pondéré des communes membres de l’EPCI constaté en 1996 ou 2005, éventuellement majoré dans les conditions précédentes. Ce dernier est déterminé en fonction des communes membres de l’EPCI au 1er janvier de la première année de perception de la taxe professionnelle unique ou de la taxe professionnelle de zone : ce taux est figé et n’est pas recalculé en cas de modification ultérieure du périmètre de l’EPCI. Cette compensation a été transformée, en vertu du IV de l’article 48 de la loi de finances pour 2009, en variable d’ajustement. Elle a donc fait l’objet, en 2009, d’une minoration de 16,151 % par rapport au montant de 2008 et en 2010 d’une minoration de 6,50 %, conformément à l’article 47 de la loi de finances pour 2010. Dans le même esprit, elle est à nouveau minorée en 2011 par l’article 51 de la loi de finances pour 2011. Dispositif en vigueur pour 2011 Les dotations de compensation de chaque collectivité sont calculées de la façon suivante : – produit de la perte de base par un taux comme énoncé supra ; – application du taux de minoration de 2009 (III de l’art. 48 de la loi de finances pour 2009), qui s’élève à 16,151 % (soit un coefficient déflateur de 0,838 49) ; – application du taux de minoration de 2010 qui s’élève à 6,50 % (soit un coefficient déflateur de 0,935 041) ; – application du taux de minoration de 2011, qui s’élève à 7,41 % (soit un coefficient déflateur de 0,925 895). Il y a donc cumul des taux de minoration de 2009 à 2011 (27,41%), selon les modalités suivantes : le coefficient déflateur cumulé applicable en 2011 est de 0,725 923, soit le produit du coefficient de 2009 (0,838 49), du coefficient de 2010 (0,935 041) et du coefficient de 2011 (0,925 895). Le montant des compensations à verser aux collectivités concernées, qui vous est communiqué par les services fiscaux au moyen des états 1259, figure au sein du cadre III « Information complémentaire » dans le 1 « Allocations compensatrices » sur la ligne « Taxe professionnelle / CFE : c) Exonération en zones d’aménagement du territoire ». Le versement de la compensation, dont le montant vous est communiqué pour chaque commune ou EPCI, doit être effectué par débit du compte 465-1141 « compensation d’exonérations relatives à la fiscalité locale ». (1) Pour en savoir plus sur les différentes générations de ZFU, il convient de se reporter à la page 50 de la circulaire no IOCB1006781C du 30 mars 2010 sur les compensations à verser en 2010 aux collectivités locales pour les exonérations relatives à la fiscalité locale décidées par l’État (2) À l’exception des entreprises dont l’activité principale relève de certains secteurs (construction de véhicules automobiles, sidérurgie, etc.). (3) Voir le I G de l’article 108 de la loi de finances pour 2011 (la baisse par rapport à l’année dernière s’explique par la suppression de la taxe professionnelle et son remplacement par la CFE qui comporte une assiette plus étroite). AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 30 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR II. – COMPENSATIONS NE JOUANT PAS LE RÔLE DE VARIABLES D’AJUSTEMENT II. 1. Compensation des abattements sur la base imposable des établissements exploités par certaines PME situés en Guadeloupe, Guyane, Martinique et à La Réunion Exonération : Article 1466 F du code général des impôts. Compensation : I de l’article 5 de la loi du 27 mai 2009 pour le développement économique des outre-mer. Commentaire : Les établissements exploités par certaines PME, situés en Guadeloupe, Guyane, Martinique et à La Réunion, existant au 1er janvier 2009 ou faisant l’objet d’une création ou d’une extension à compter du 1er janvier 2009, font l’objet d’un abattement partiel de leur base net imposable de CFE perçue au profit des communes et EPCI à fiscalité propre, selon la répartition suivante : 80 % entre 2010 et 2015 ; 70 % pour 2016 ; 65 % pour 2017 ; 60 % pour 2018. Cette exonération est accordée dans la limite de 160 000 euros par année d’imposition. Dans certains cas particuliers, ces taux d’abattement peuvent être majorés. Le I de l’article 5 de la loi du 27 mai 2009 susvisée, qui introduit cette exonération dans le CGI, a également instauré une compensation annuelle des pertes de recettes en résultant. Cette compensation, versée à chaque commune ou EPCI à fiscalité propre, est égale au produit obtenu en multipliant la perte de bases résultant, chaque année et pour chaque collectivité territoriale ou EPCI à fiscalité propre, de l’abattement par le taux de la taxe professionnelle appliqué en 2009 dans la collectivité territoriale ou l’établissement public de coopération intercommunale. Pour les communes qui, au 1er janvier 2009, étaient membres d’un établissement public de coopération intercommunale sans fiscalité propre, le taux voté par la commune au titre de cette année est majoré du taux appliqué au profit de l’établissement public de coopération intercommunale pour 2009. Pour les EPCI qui, pour la première fois à compter du 1er janvier 2009, étaient soumis au régime de la TPU ou de la fiscalité mixte, la compensation est égale au produit du montant des bases faisant l’objet de cet abattement par le taux voté par l’EPCI au titre de l’année 2009. À compter de 2011, les taux à prendre en compte pour les communes et les EPCI à fiscalité propre pour le calcul des compensations ou des abattements visés aux alinéas précédents sont majorés en fonction des taux retenus pour déterminer les allocations compensatrices versées en 2010 au profit des départements et des régions. Pour les EPCI soumis pour la première fois, à compter de 2012, au régime de la FPU ou de la FPZ, la compensation est calculée en retenant le taux moyen pondéré des communes membres de l’établissement public de coopération intercommunale. Le taux moyen pondéré est déterminé par le rapport de la somme des compensations versées aux communes membres au titre de l’année précédant la première année d’application des articles 1609 nonies C du CGI ou 1609 quinquies C du même code en vigueur au 1er janvier 2011 et de la somme des bases exonérées ou des abattements appliqués au titre de l’année précédant cette même première année d’application. À compter de 2011, le prélèvement sur les recettes de l’État destiné à compenser la perte de recettes s’applique uniquement aux communes ou aux groupements dotés d’une fiscalité propre. Le versement de la compensation, dont le montant vous est communiqué pour chaque commune ou EPCI, doit être effectué par débit du compte 465-1141 « compensation d’exonérations relatives à la fiscalité locale ». II. 2. Compensation de la suppression de la fraction imposable des salaires dans les bases de taxe professionnelle (CPS) Compensation : D de l’article 44 de la loi de finances pour 1999. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 31 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Commentaire : Le montant versé en 2003 aux collectivités au titre de la suppression progressive de la fraction imposable des salaires dans les bases de taxe professionnelle (CPS) a été intégré dans la dotation globale de fonctionnement (DGF) en 2004 et évolue depuis lors comme cette dernière. En 2011, le montant de cette compensation est égal à celui perçu en 2010, puisque la DGF n’évolue pas en 2011. Cette information est utile aux communes pour le calcul du reversement d’une part de cette compensation aux EPCI sans fiscalité propre qui perçoivent une contribution fiscale (c’est-à-dire les syndicats intercommunaux fiscalisés). II. 3. Compensation de la réduction de la base d’imposition à la CFE en Corse Exonération Article 1472 A ter du CGI. Compensation : Article 2 de la loi du 27 décembre 1994 portant statut fiscal de la Corse. Commentaire : La loi portant statut fiscal de la Corse a institué un abattement de 25 % sur les bases de TP imposées en Corse au profit des communes et de leurs groupements. Cette réduction a été transposée à la CFE par l’article 2 de la loi de finances pour 2010 et codifiée à l’article 1472 A ter du CGI. L’article 2 de la loi portant sur le statut fiscal de la Corse envisage une compensation versée par l’État aux communes et EPCI concernés par cet allégement. Elle est égale, chaque année, au produit de la perte de bases par le taux de TP voté en 1994. Pour les communes qui appartenaient, en 1994, à un groupement sans fiscalité propre, le taux de la compensation est majoré du taux appliqué au profit du groupement en 1994. La compensation versée aux EPCI à fiscalité propre qui étaient soumis, pour la première fois en 1995, à la TPU ou la TPZ est égale au produit de la perte de bases par le taux moyen pondéré des communes membres de l’EPCI constaté pour 1994, éventuellement majoré du taux appliqué en 1994, au profit du ou des EPCI sans fiscalité propre auxquels ces communes appartenaient en 1994. La compensation en 2011 Tout d’abord, pour les EPCI à fiscalité propre qui perçoivent, pour la première fois en 1995, en lieu et place de leurs communes membres, la TPU ou la TPZ (voir supra), la faculté de majoration du taux appliqué en 1994, au profit du ou des groupements sans fiscalité propre auxquels ces communes appartenaient en 1994, a cessé au 31 décembre 2010 (1). Deuxièmement, à compter de 2011, les taux à prendre en compte pour les communes et les groupements de communes à fiscalité propre pour le calcul des compensations ou des abattements visés aux alinéas précédents sont majorés en fonction des taux retenus pour déterminer les allocations compensatrices versées en 2010 au profit des départements et des régions, puis multipliés par un coefficient de 0,84 (2). Cette majoration n’est pas applicable aux communes appartenant en 2011 à un EPCI à TPU ou fiscalité mixte au 31 décembre 2010. Pour les communes qui ne sont pas membres en 2011 d’un EPCI à fiscalité propre et pour les EPCI qui ont adopté le régime de la FPU en 2011, les taux départementaux et les taux régionaux retenus pour déterminer les allocations compensatrices en 2010 viennent majorer, le cas échéant, le taux de la commune ou du groupement bénéficiant de la compensation en 2010. En présence d’EPCI à FA, les taux appliqués à compter de 2011 aux compensations versées aux communes membres sont majorés, le cas échéant, d’une fraction des taux des départements et des régions retenus pour déterminer les allocations compensatrices en 2010. Cette fraction est la fraction définie au neuvième alinéa du 1o du 3 du I de l’article 1640 C du CGI. Le montant des compensations à verser par arrêté aux collectivités concernées vous est communiqué par les services fiscaux au moyen des états 1259, cadre III « Allocations compensatrices » sur la ligne « CFE : Exonération spécifique et abattement de 25 % en Corse ». Ces compensations doivent être versées par virement du compte 465-1141 « compensations d’exonérations relatives à la fiscalité locale » vers les comptes des communes, groupements ou FDPTP concernés. (1) X du 8 de l’article 77 de la loi de finances pour 2010. (2) V et VI de l’article 77 de la loi de finances pour 2010. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 32 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR II. 4. Compensation des nouvelles exonérations de CFE applicables en Corse Exonération : Article 1466 C du code général des impôts. Compensation : A de l’article 48 de la loi du 22 janvier 2002 relative à la Corse. Commentaire : Le dispositif de zone franche de Corse a été remplacé, à compter du 1er janvier 2002, par une exonération de cinq ans, qui ne peut s’appliquer au-delà du 31 décembre 2012, des investissements réalisés en Corse par les PME exerçant une activité industrielle, commerciale ou artisanale. Les pertes de recettes sont compensées aux communes, EPCI à fiscalité propre et FDPTP. La compensation est calculée et versée selon les modalités indiquées supra pour la zone franche de Corse. La compensation en 2011 À compter de 2011, les taux à prendre en compte pour les communes et les groupements de communes à fiscalité propre pour le calcul des compensations ou des abattements visés aux alinéas précédents sont majorés en fonction des taux retenus pour déterminer les allocations compensatrices versées en 2010 au profit des départements et des régions, puis multipliés par un coefficient de 0,84 (1). Cette majoration n’est pas applicable aux communes appartenant en 2011 à un EPCI s’étant substitué à celles-ci pour percevoir la taxe professionnelle acquittée par les entreprises implantées sur le territoire des communes membres en application de l’article 1609 nonies C et du II de l’article 1609 quinquies C du code général des impôts en vigueur au 31 décembre 2010. Pour les communes qui ne sont pas membres en 2011 d’un EPCI à fiscalité propre et pour les groupements substitués en 2011 aux communes pour l’application des dispositions relatives à la taxe professionnelle en application de l’article 1609 nonies C du même code, les taux départementaux et les taux régionaux retenus pour déterminer les allocations compensatrices en 2010 viennent majorer, le cas échéant, le taux de la commune ou du groupement bénéficiant de la compensation en 2010. En présence de groupements de communes percevant une part additionnelle des quatre impôts directs locaux, les taux appliqués, à compter de 2011, aux compensations versées aux communes membres sont majorés, le cas échéant, d’une fraction des taux des départements et des régions retenus pour déterminer les allocations compensatrices en 2010. Cette fraction est la fraction définie au neuvième alinéa du 1o du 3 du I de l’article 1640 C du même code. Pour les groupements de communes percevant une part additionnelle des quatre impôts directs locaux, les taux appliqués aux compensations versées à compter de 2011 sont majorés, le cas échéant, d’une fraction des taux des départements et des régions retenus pour déterminer les allocations compensatrices en 2010. Cette fraction est la fraction définie au huitième alinéa du 1o du 3 du I de l’article 1640 C du même code. Le montant des compensations à verser par arrêté aux collectivités concernées vous est communiqué par les services fiscaux au moyen des états 1259, cadre III « Allocations compensatrices » sur la ligne « CFE : Exonération spécifique et abattement de 25 % en Corse ». Ces compensations doivent être versées par virement du compte 465-1141 « compensations d’exonérations relatives à la fiscalité locale » vers les comptes des collectivités locales, groupements ou FDPTP concernés. DISPOSITION COMMUNE À PLUSIEURS TAXES Perception des compensations d’exonérations par les EPCI à fiscalité propre issus de fusions Texte : Article 47 de la loi de finances pour 2010. K du III de l’article 51 de la loi de finances pour 2011. → II de l’article 154 modifié de la loi du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales. L’article 154 de la loi LRL précise les modalités de calcul des compensations versées aux EPCI issus d’une fusion, au titre des compensations d’exonérations auparavant perçues par les EPCI préexistants, que cet EPCI soit à fiscalité additionnelle (A), à TPU (B) ou à TPZ (C). (1) V et VI de l’article 77 de la loi de finances pour 2010. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 33 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Cette compensation a été transformée, en vertu du IV de l’article 48 de la loi de finances pour 2009, en variable d’ajustement. Elle a donc fait l’objet, en 2009, d’une minoration de 16,151 % par rapport au montant de 2008 et, en 2010, d’une minoration de 6,50 %, conformément à l’article 47 de la loi de finances pour 2010. Dans le même esprit, elle est à nouveau minorée en 2011 par l’article 51 de la loi de finances pour 2011. Il y a donc cumul des taux de minoration de 2009 à 2011 (27,41%), selon les modalités suivantes : le coefficient déflateur cumulé applicable en 2011 est de 0,725 923, soit le produit du coefficient de 2009 (0,838 49), du coefficient de 2010 (0,935 041) et du coefficient de 2011 (0,925 895). DROITS D’ENREGISTREMENT ET TAXE DE PUBLICITÉ FONCIÈRE I. – COMPENSATION DE L’ABATTEMENT SUR L’ASSIETTE DE LA TAXE DÉPARTEMENTALE DE PUBLICITÉ FONCIÈRE OU DU DROIT DÉPARTEMENTAL D’ENREGISTREMENT DANS LES ZONES DE REVITALISATION RURALE (ZRR) Exonération : Article 1594 F quinquies du code général des impôts. Compensation : Article 50-II de la loi d’orientation pour l’aménagement et le développement du territoire du 4 février 1995. Commentaire : Les conseils généraux peuvent instituer un abattement (compris entre 7 600 € et 46 000 €) sur l’assiette de la taxe départementale de publicité foncière ou du droit départemental d’enregistrement applicable aux acquisitions d’immeubles à usage d’habitation ou de garages pour les mutations portant sur des biens situés dans les ZRR. En contrepartie, les pertes de recettes pour les départements sont compensées à hauteur de 50 % par l’État. Les services fiscaux doivent vous transmettre les informations relatives à cette compensation, qui sera versée au département par débit du compte 465-1141 « compensation d’exonérations relatives à la fiscalité locale ». II. – COMPENSATION DE LA SUPPRESSION DE LA PART RÉGIONALE DES DROITS DE MUTATION À TITRE ONÉREUX Exonération et compensation : Article 45 de la loi de finances rectificative pour 1998. Article 39 de la loi de finances pour 1999. Article 48 de la loi de finances pour 2004. Commentaire : La taxe additionnelle régionale aux droits de mutation à titre onéreux a été supprimée : – à compter du 1er septembre 1998, pour les immeubles d’habitation ; – à compter du 1er janvier 1999, pour tous les autres immeubles. Une dotation budgétaire a été instituée, afin de compenser à chaque région la perte de produit résultant de cette mesure. En 2004, le montant de la compensation 2003 a été intégré dans la dotation globale de fonctionnement (DGF) des régions. Elle évolue depuis comme leur dotation forfaitaire. En 2011, la dotation de compensation sera égale au montant de 2010, en raison du gel de la DGF. III. – COMPENSATION DE LA DIMINUTION DU TAUX NORMAL DE LA TAXE DÉPARTEMENTALE Compensation : Article 39 de la loi de finances pour 1999. Article 49 de la loi de finances pour 2004. Commentaire : La réforme des droits d’enregistrement a eu des incidences sur les recettes des départements. Notamment, l’abaissement généralisé du taux normal du droit d’enregistrement se traduit par une perte de recettes pour les départements. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 34 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR La compensation, versée jusqu’en 2003 dans le cadre de la dotation globale de décentralisation, a été intégrée en 2004 dans la DGF des départements. Elle évolue depuis comme leur dotation forfaitaire. En 2011, la dotation de compensation sera égale au montant de 2010. IV. – COMPENSATION DE L’EXONÉRATION TEMPORAIRE DE DROITS PERÇUS SUR LES ACQUISITIONS DE PROPRIÉTÉS EN NATURE DE BOIS ET FORÊTS Exonération : Article 1137 du code général des impôts. Compensation : Article 7 de la loi de finances rectificative pour 2000. Commentaire : Aux termes de l’article 1137 du CGI, les conseils généraux et les conseils municipaux peuvent exonérer, temporairement et sous conditions, les acquisitions de propriétés en nature de bois et forêts et de terrains nus non frappés d’interdiction de boisement, constatées par un acte authentique signé avant le 1er janvier 2011. Cette exonération a donc disparu et n’implique donc plus de compensation pour les opérations réalisées depuis cette année. V. – COMPENSATION DE LA MODIFICATION DU BARÈME APPLICABLE EN MATIÈRE DE DROITS D’ENREGISTREMENT ET DE CERTAINES TAXES ADDITIONNELLES AUX DROITS D’ENREGISTREMENT Exonération et compensation : Article 4 de la première loi de finances rectificative pour 1993. Commentaire : Le présent article avait institué une réduction des seuils des fractions de valeurs taxables en matière de droits de mutation à titre onéreux des fonds de commerce et de taxes additionnelles à certains droits d’enregistrement. Ces seuils figurent aux articles 719, au 5o du I de l’article 1584 et au 5o des articles 1595 et 1595 bis du code général des impôts. Un prélèvement sur les recettes de l’État a été institué, à cette occasion, pour compenser, à hauteur de 80 %, aux communes et aux départements les pertes de recettes induites par cette mesure. Les services fiscaux doivent vous transmettre les informations relatives à cette compensation, qui sera versée par débit du compte 465-1141 « compensation d’exonérations relatives à la fiscalité locale ». VI. – COMPENSATION DE L’EXONÉRATION DE DMTO PERÇUS SUR CERTAINES CESSIONS DE FONDS DE COMMERCE, DE CLIENTÈLES DES PROFESSIONS LIBÉRALES ET D’OFFICES MINISTÉRIELS Exonération : Article 724 bis du code général des impôts. Compensation : Article 16 de la loi du 9 août 2004 pour le soutien à la consommation et à l’investissement. Commentaire : L’article 16 de la loi du 9 août 2004 a complété, en ce qui concerne les droits de mutation à titre onéreux perçus au profit des collectivités territoriales, le dispositif d’exonération des droits de mutation perçus au profit de l’État des cessions de fonds de commerce, de clientèles des professions libérales et d’offices ministériels. Le bénéfice de la mesure est notamment subordonné à la condition que la cession porte sur la transmission d’une branche complète et autonome d’activité, que la valeur taxable du fonds ou de la clientèle transmise n’excède pas 300 000 € et que l’acquéreur s’engage à exercer l’activité transmise pendant une durée minimale de cinq ans. L’exonération s’applique aux cessions réalisées entre le 16 juin 2004 et le 31 décembre 2005. Le législateur a ainsi prévu une exonération automatique de la taxe additionnelle aux droits d’enregistrement ou à la taxe de publicité foncière exigible sur les mutations à titre onéreux perçue au profit des fonds de péréquation départementaux dans toutes les communes, autres que les communes classées, dont la population est inférieure à 5 000 habitants. La perte de recettes, pour chaque fonds de péréquation départementale, est compensée par une majoration à due concurrence du prélèvement sur les recettes de l’État au titre de la compensation des exonérations relatives à la fiscalité locale, calculée selon le barème de taux de taxe additionnelle applicable au jour de l’entrée en vigueur de la loi du 9 août 2004. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 35 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Les services fiscaux doivent vous transmettre les informations relatives à cette compensation qui sera versée par débit du compte 465-1141 « compensation d’exonérations relatives à la fiscalité locale ». TAXES DIVERSES Compensation versée en contrepartie du transfert à l’État de la taxation des appareils automatiques installés dans les lieux publics Compensation : Article 25 de la loi de finances pour 2007. Commentaire : Depuis le 1er janvier 2007, les appareils automatiques ne figurent plus dans l’assiette de l’impôt sur les spectacles perçu par les communes. Désormais, le régime fiscal des appareils automatiques est fixé par les articles 613 ter à 613 duodecies du code général des impôts et les recettes sont affectées au budget général de l’État. La perte de recettes en résultant pour les communes est compensée par un prélèvement sur les recettes de l’État au titre de la compensation d’exonérations relatives à la fiscalité locale. Cette compensation est égale au produit perçu en 2006 par ces dernières et ne fait l’objet d’aucune indexation. En 2011, le montant sera donc identique à celui de 2010, lui-même identique à celui de 2007. Ces montants sont toujours accessibles à vos services sur l’intranet de la DGCL (rubrique finances locales ; la fiscalité locale ; les chiffres de la fiscalité locale). Cette compensation doit être versée, à l’exception des montants inférieurs à 10 €, par débit du compte 465-1141 « compensation d’exonérations relatives à la fiscalité locale ». COMPENSATIONS SOUMISES À MINORATION EN 2011 En 2011, les compensations soumises à minoration peuvent être classées en trois groupes : – les compensations soumises à minoration avant 2008 ; – les compensations soumises à minoration depuis 2008 ; – les compensations soumises à minoration à compter de 2009. Cette typologie permet de distinguer les différents algorithmes de calcul, qui ont parfois des exceptions au sein du même groupe. En préalable à ces calculs différenciés, il convient de déterminer le coefficient de baisse applicable en 2011. I. – DÉTERMINATION DU COEFFICIENT DE MINORATION APPLICABLE EN 2011 L’article 51 de la LFI 2011 donne : – le montant global des compensations d’exonérations qu’il est prévu de verser en 2011 et qui s’élève à 1 306 192 571 € ; – un taux d’évolution provisoire par rapport à l’année 2010, qui s’élève – 7,43 %. Par la suite, la DGFIP a transmis à la direction du budget le montant réel des allocations compensatrices consenties en 2010. Il en résulte le coefficient définitif de minoration qui sera utilisé en 2011 : 0,925 895, soit une baisse de 7,41 %. II. – LES DIFFÉRENTS ALGORITHMES DE COMPENSATION SELON LE GROUPE II. 1. Les compensations soumises à minoration avant 2008 La dotation de compensation de taxe professionnelle hors réduction pour création d’entreprises (DCTP hors RCE) regroupe plusieurs allocations compensatrices, liées : – au plafonnement du taux communal, institué en 1983 ; – à la réduction de la fraction des salaires prise en compte dans les bases de taxe professionnelle, instituée également en 1983 ; – à l’abattement général de 16 % des bases de taxe professionnelle, institué en 1987. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 36 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Les allocations perçues jusqu’en 2010 au titre des dotations de compensation de la taxe professionnelle hors réduction pour la création d’entreprise et de la réduction de la fraction des recettes retenues dans les bases de TP des titulaires de bénéfices non commerciaux sont, à compter de 2011, intégrées dans la dotation unique des compensations spécifiques à la taxe professionnelles créée au I du III de l’article 51 de la loi de finances pour 2011. Le coefficient de minoration est de 0,925 895, soit – 7,41%. II. 2. Les compensations soumises à minoration à compter de 2008 En 2008 trois nouvelles variables d’ajustement ont été intégrées à l’enveloppe normée : – en matière de taxe professionnelle : 1. la DCTP liée à la réduction pour création d’établissement ; 2. la compensation de la réduction de la fraction des recettes prises en compte dans les bases de TP des titulaires de bénéfices non commerciaux ; – en matière de taxe foncière sur les propriétés non bâties : 3. la compensation des exonérations de taxe foncière sur les propriétés non bâties afférentes aux terrains agricoles, parts départementales et régionales hors Corse. II. 2.1. La DC liée à la réduction pour création d’établissement La dotation de compensation est calculée chaque année en fonction de l’évolution des bases réelles, puis minorée depuis 2008, année d’entrée dans l’enveloppe normée, par application de taux de minoration cumulatifs. En 2010, le coefficient applicable à la DCTP RCE était de 0,595 986. En 2011, le coefficient applicable à la DC RCE est le produit du coefficient 2010 (0,595 986) par le nouveau coefficient de minoration 2011 (0,925 895), soit 0,551 821 (– 44,82 %). II. 2.2. La compensation de la réduction de la fraction des recettes prises en compte dans les bases de TP des titulaires de bénéfices non commerciaux La dotation de compensation est calculée, chaque année, en fonction des pertes de produits constatées par les collectivités en 2003, puis elle était minorée depuis 2008 par application de taux cumulatifs 2008, 2009 et 2010. Les allocations perçues jusqu’en 2010 au titre des dotations de compensation de la taxe professionnelle de la réduction de la fraction des recettes retenues dans les bases de TP des titulaires de bénéfices non commerciaux sont à compter de 2011 intégrées dans la dotation unique des compensations spécifiques à la taxe professionnelle créée au I du III de l’article 51 de la loi de finances pour 2011. Le coefficient de minoration en 2011 est de 0,925 895, soit – 7,41 %. II. 2.3. La compensation des exonérations de taxe foncière sur les propriétés non bâties afférentes aux terrains agricoles, parts départementales et régionales hors Corse Les allocations perçues jusqu’en 2010 au titre des dotations de compensation des exonérations de taxe foncière sur les propriétés non bâties afférentes aux terrains agricoles, parts départementales et régionales hors Corse sont, à compter de 2011, intégrées dans les dotations des compensations spécifiques à la taxe professionnelle départementale et régionale créées au I du III de l’article 51 de la loi de finances pour 2011. Le coefficient de minoration est de 0,925 895, soit – 7,41 %. II. 3. Les compensations soumises à minoration à compter de 2009 Le coefficient cumul des coefficients de minoration définis depuis 2009 est de 0,725 923, soit – 27,41 %. Les allocations concernées sont les suivantes : Taxe foncière sur les propriétés bâties : – personnes âgées et personnes de condition modeste ; – abattement de 30 % pour les logements situés dans les zones urbaines sensibles (ZUS) ; – logements faisant l’objet de baux à réhabilitation ; – exonération de cinq ans dans les zones franches urbaines ; – exonérations de 10, 15, 20, 25 ou 30 ans des logements à caractère social. Taxe foncière sur les propriétés non bâties : – terrains plantés en bois ; – terrains situés dans certaines zones humides ou naturelles / Natura 2000. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 37 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Fiscalité professionnelle : – réduction des bases des créations d’établissements (RCE) ; – zones de revitalisation rurale (ZRR) ; – zone de redynamisation urbaine (ZRU) ; – zones franches urbaines (ZFU), hors celles de Corse. Remarque : Il est rappelé que, par exception au principe posé au point précédent, les allocations suivantes restent calculées selon les méthodes habituelles, sans intervention d’un coefficient de minoration : Taxe foncière sur les propriétés bâties : – constructions antisismiques dans les DOM ; – zones franches dans les DOM. Taxe foncière sur les propriétés non bâties : – parts départementale et régionale sur les terres agricoles en Corse ; – parts communale et intercommunale sur les terres agricoles ; – parcs nationaux dans les DOM ; – zones franches dans les DOM. Taxe d’habitation : – personnes âgées ou de condition modeste. Fiscalité professionnelle : – suppression de la part départementale en Corse ; – investissement dans les PME en Corse ; – abattement de 25 % pour les établissements en Corse ; – zones franches dans les DOM. IV. – TABLEAUX RÉCAPITULATIFS Coefficients de minoration applicables en 2011 COMMUNES / EPCI DUCSTP (3) (DCTP hors RCE + BNC) 2011 0,925 895 0,925 895 Taux applicable en 2011 0,925 895 0,925 895 DÉPARTEMENTS TFPB DTCE-FDL des départements (1) Variables 2008 (TP : DCTP et BNC ; TFPNB : TA hors Corse) Variables 2009 DTCE-FDL DES RÉGIONS (2) Variables 2008 (TP : DCTP et BNC ; TFPNB : TA hors Corse) (TP : ZFU/ZRU/ZRR ; TFPB : ECF, ZFU, baux à réhabilitation) Variables 2009 RCE nouveau calcul (4) Allocations minorées depuis 2009 (ECF, ZFU, baux à réhabilitation) 0,925 895 0,925 895 0,925 895 0,925 895 0,925 895 0,925 895 0,925 895 0,725 923 0,925 895 0,925 895 0,925 895 0,925 895 0,551 821 (5) 0,725 923 (6) (TP : ZFU/ ZRU/ZRR) (1) Dotation de compensation pour transfert de compensations d’exonérations de fiscalité directe locale (dite dotation des départements) créée au XVIII du 8 de l’article 77 de la loi de finances pour 2010, en remplacement des allocations transférées au bloc communal concomitamment au transfert de fiscalité. (2) Dotation de compensation pour transfert de compensations d’exonérations de fiscalité directe locale (dite dotation des régions), créée au XIX du 8 de l’article 77 de la loi de finances pour 2010, en remplacement des allocations transférées au bloc communal ou aux départements concomitamment au transfert de fiscalité. (3) Dotation unique des compensations spécifiques à la taxe professionnelles créée au I du III de l’article 51 de la loi de finances pour 2011 en remplacement des allocations perçues, jusqu’en 2010, au titre des dotations de compensation de la taxe professionnelle, hors réduction pour la création d’entreprise et de la réduction de la fraction des recettes retenues dans les bases de TP des titulaires de bénéfices non commerciaux. (4) Défini au D du II de l’article 51 de la loi de finances pour 2011. (5) Application cumulative des coefficients de minoration définis depuis 2008 au calcul annuel de l’allocation. (6) Application cumulative des coefficients de minoration définis depuis 2009 au calcul annuel de l’allocation. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 17/95 – Page 38 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Décret du 16 avril 2011 portant nomination du président du conseil d’administration d’Adoma NOR : IOCV1106532D Le Président de la République, Sur le rapport du Premier ministre, de la ministre de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement, du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, de la ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, du ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l’État, porte-parole du Gouvernement et de la ministre des solidarités et de la cohésion sociale, Vu la loi no 83‑675 du 26 juillet 1983, relative à la démocratisation du secteur public, ensemble le décret no 83‑1160 du 26 décembre 1983 pris pour son application ; Vu la loi no 93‑121 du 27 janvier 1993 portant diverses mesures d’ordre social, et notamment son article 63 portant création d’une société d’économie mixte ; Vu le décret du 22 février 1985 relatif au conseil d’administration de la société d’économie mixte prévue à l’article 116 de la loi no 56‑780 du 4 août 1956 et approuvant des modifications aux statuts de cette société ; Vu le décret no 93‑1192 du 27 octobre 1993 approuvant les statuts de la société anonyme d’économie mixte prévue à l’article 63 de la loi no 93‑121 du 27 janvier 1993 portant diverses mesures d’ordre social modifiée par les décrets no 96‑266 du 22 mars 1996 et no 98‑1308 du 29décembre 1998 ; Vu le décret no 94‑582 du 12 juillet 1994 relatif aux conseils et aux dirigeants des établissements publics et entreprises du secteur public ; Vu le décret no 2008‑665 du 2 juillet 2008 approuvant les modifications des statuts de la Société nationale de construction de logements pour les travailleurs (SONACOTRA) ; Vu le décret no 2011‑46 du 2 mars 2011 portant nomination au conseil d’administration d’Adoma ; Vu la proposition du conseil d’administration d’Adoma en date du 4 mars 2011, Décrète : Article 1er M. Jacques Barthélémy, préfet hors cadre, conseiller d’État en service extraordinaire, est nommé président du conseil d’administration d’Adoma. Article 2 Le premier ministre, la ministre de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement, le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, la ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, le ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l’État, porte-parole du Gouvernement, la ministre des solidarités et de la cohésion sociale, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 16 avril 2011. Par le Président de la République : Le Premier ministre, François Fillon La ministre de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement, Nathalie Kosciusko-Morizet Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Claude Guéant La ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, Christine Lagarde AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 18/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Le ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l’État, porte-parole du Gouvernement, François Baroin La ministre des solidarités et de la cohésion sociale, Roselyne Bachelot-Narquin AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 18/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Arrêté du 1er avril 2011 portant agrément d’une association pour le placement de stagiaires étrangers au titre de l’article R. 313‑10‑5 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile NOR : IOCL1108955A Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Vu le code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, notamment son article L. 313‑7‑1, alinéa 2, et son article R. 313‑10‑5, Arrête : Article 1er L’agrément prévu à l’article R. 313‑10‑5 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile est délivré à l’association suivante : École internationale des arts culinaires. Article 2 Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 1er avril 2011. Pour le ministre et par délégation : Le directeur de l’immigration, F. Lucas AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 19/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR OFII OFFICE FRANÇAIS DE L’IMMIGRATION ET DE L’INTÉGRATION _____ Le préfet, directeur général _____ Décision no 2011‑73 du 4 avril 2011 portant délégation de signature pour l’Office français de l’immigration et de l’intégration NOR : IOCT1109968S Le directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration, Vu le code du travail, et notamment ses articles L. 5222‑2, L. 5223‑1 à L. 5223‑6 et L. 8253‑1 et L. 8253‑6 ; Vu le décret no 2009‑331 du 25 mars 2009 substituant la dénomination « Office français de l’immigration et de l’intégration » à la dénomination « Agence nationale de l’accueil des étrangers et des migrations » ; Vu le décret du 4 septembre 2006 (Journal officiel du 5 septembre 2006) portant nomination du directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration ; Vu la décision no 2010-359 du 20 décembre 2010 relative à l’organisation de l’Office français de l’immigration et de l’intégration ; Vu la décision no 2010‑269 portant nomination de M. Fabrice Blanchard, directeur de l’immigration, Décide : Article 1er Délégation de signature est donnée à M. Fabrice BLANCHARD, directeur de l’immigration, à l’effet de signer tous les actes, décisions et correspondances relevant du champ de compétence de la DIM tel que défini dans la décision relative à l’organisation de l’OFII, et notamment ceux se rapportant : – au regroupement des familles ; – à l’entrée, au séjour et au travail des étrangers ; – au titre de la mise en œuvre de la contribution spéciale : – les décisions d’application de ladite contribution dans la limite de trois infractions pour un même employeur, sauf cas de réitération ; – les titres de recouvrement correspondants ; – les décisions de rejet de recours gracieux dirigé contre la décision d’application de la contribution spéciale et l’état exécutoire joint à celle-ci ; – les documents d’annulation des dossiers contribution spéciale après leur prise en charge par l’agent comptable ; – les autorisations de menues dépenses relatives à la mise en œuvre de la contribution spéciale, notamment pour l’obtention des extraits de registre ; – les mémoires en réponse aux contestations relatives à l’application de la contribution spéciale devant les tribunaux administratifs et les cours administratives d’appel. Article 2 En cas d’absence ou d’empêchement de M. Fabrice BLANCHARD, directeur de l’immigration, délégation de signature est donnée à : Mme Véronique TOUCHARD, adjointe, à l’effet de signer tous les actes, décisions et correspondances se rapportant : – au regroupement des familles ; – à l’entrée, au séjour et au travail des étrangers ; – au titre de la mise en œuvre de la contribution spéciale prévue à l’article 8253‑1 du code du travail : – les décisions d’application de ladite contribution dans la limite de trois infractions pour un même employeur, sauf cas de réitération ; – les titres de recouvrement correspondants ; – les décisions de rejet de recours gracieux dirigé contre la décision d’application de la contribution spéciale et l’état exécutoire joint à celle-ci ; – les documents d’annulation des dossiers contribution spéciale après la prise en charge par l’agent comptable ; – les autorisations de menues dépenses relatives à la mise en œuvre de la contribution spéciale, notamment pour l’obtention des extraits de registre ; – les mémoires en réponse aux contestations relatives à l’application de la contribution spéciale devant les tribunaux administratifs et les cours administratives d’appel. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 20/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Mme Nathalie HAYASHI, adjointe, à l’effet de signer tous les actes, décisions et correspondances se rapportant : – au regroupement des familles ; – à l’entrée, au séjour et au travail des étrangers ; – au titre de la mise en œuvre de la contribution spéciale prévue à l’article 8253‑1 du code du travail : – les décisions d’application de ladite contribution dans la limite de trois infractions pour un même employeur, sauf cas de réitération ; – les titres de recouvrement correspondants ; – les décisions de rejet de recours gracieux dirigé contre la décision d’application de la contribution spéciale et l’état exécutoire joint à celle-ci ; – les documents d’annulation des dossiers contribution spéciale après la prise en charge par l’agent comptable ; – les autorisations de menues dépenses relatives à la mise en œuvre de la contribution spéciale, notamment pour l’obtention des extraits de registre ; – les mémoires en réponse aux contestations relatives à l’application de la contribution spéciale devant les tribunaux administratifs et les cours administratives d’appel. Article 3 La décision n 2010‑270 du 30 août 2010 est abrogée. o Article 4 La présente décision prend effet à compter du 4 avril 2011. Article 5 Le directeur de l’immigration, le directeur de la synthèse budgétaire, du contrôle de gestion et de l’administration générale et l’agente comptable sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente décision. Fait le 4 avril 2011. Le directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration, J. Godfroid AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 20/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR OFII OFFICE FRANÇAIS DE L’IMMIGRATION ET DE L’INTÉGRATION _____ Le préfet, directeur général _____ Décision no 2011-74 du 4 avril 2011 portant délégation de signature pour l’Office français de l’immigration et de l’intégration NOR : IOCT1109969S Le directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration, Vu le code du travail, et notamment ses articles L. 5222‑2, L. 5223‑1 à L. 5223‑6 et L. 8253‑1 et L. 8253‑6 ; Vu le décret no 2009‑331 du 25 mars 2009 substituant la dénomination « Office français de l’immigration et de l’intégration » à la dénomination « Agence nationale de l’accueil des étrangers et des migrations » ; Vu le décret du 4 septembre 2006 (Journal officiel du 5 septembre 2006) portant nomination du directeur général de l’Agence nationale de l’accueil des étrangers et des migrations ; Vu la décision no 2010‑359 du 20 décembre 2010 relative à l’organisation de l’Office français de l’immigration et de l’intégration, Décide : Article 1er Délégation de signature est donnée à Mme Véronique MAUPOINT, directrice territoriale à Clermont-Ferrand, à l’effet de signer, dans le cadre des instructions qui lui sont données et dans la limite de ses attributions, tous les actes, décisions et correspondances se rapportant : – aux missions dévolues à la direction à Clermont-Ferrand ; – à la gestion de la direction à Clermont-Ferrand, et notamment à : – l’engagement, la liquidation et le mandatement de toutes les dépenses relevant de la direction à Clermont-Ferrand ; – le renouvellement des contrats des agents vacataires (personnels infirmiers, enquêteurs logement) ; – les contrats des personnels recrutés pour deux mois maximum dans le cadre des renforts estivaux. Article 2 En cas d’absence ou d’empêchement de Mme Véronique MAUPOINT, délégation de signature est donnée à M. Pierre BRUN, adjoint, à l’effet de signer tous les actes, décisions et correspondances mentionnés à l’article 1er de la présente décision. Article 3 La décision no 2007‑932 du 11 septembre 2007 est abrogée. Article 4 La directrice territoriale à Clermont-Ferrand, le directeur de la synthèse budgétaire, du contrôle de gestion et de l’administration générale et l’agente comptable sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente décision. Fait le 4 avril 2011. Le directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration, J. Godfroid AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 21/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR OFII OFFICE FRANÇAIS DE L’IMMIGRATION ET DE L’INTÉGRATION _____ Le préfet, directeur général _____ Décision no 2011-78 du 14 avril 2011 portant délégation de signature pour l’Office français de l’immigration et de l’intégration NOR : IOCT1111494S Le directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration, Vu le code du travail, et notamment ses articles L. 5222‑2, L. 5223‑1 à L. 5223‑6, L. 8253‑1 et L. 8253‑6 ; Vu le décret du 4 septembre 2006 (JO du 5 septembre 2006) portant nomination du directeur général de l’Agence nationale de l’accueil des étrangers et des migrations ; Vu le décret no 2009‑331 du 25 mars 2009 substituant la dénomination « Office français de l’immigration et de l’intégration » à la dénomination « Agence nationale de l’accueil des étrangers et des migrations » ; Vu la décision no 2010‑359 du 20 décembre 2010 relative à l’organisation de l’Office français de l’immigration et de l’intégration ; Vu les décisions no 2009‑246 et no 2010‑77 du 5 janvier 2010 portant délégation de signature pour l’OFII, Décide : Article 1er Délégation de signature est donnée à Mme Isabelle BELEAU BRIARD, directrice territoriale à Bobigny, à l’effet de signer, dans le cadre des instructions qui lui sont données et dans la limite de ses attributions, tous les actes, décisions et correspondances se rapportant : – aux missions dévolues à la direction à Bobigny ; – à la gestion de la direction à Bobigny, et notamment à : – l’engagement, la liquidation et le mandatement de toutes les dépenses relevant de la direction à Bobigny ; – le renouvellement des contrats des agents vacataires (personnels infirmiers, enquêteurs logement) ; – les contrats des personnels recrutés pour deux mois maximum dans le cadre des renforts estivaux. Article 2 En cas d’absence ou d’empêchement de Mme Isabelle BELEAU BRIARD, délégation de signature est donnée à M. Pascal MERTZ et Mme Marie-Christine LE JEHAN, adjoints, à l’effet de signer tous les actes, décisions et correspondances mentionnés à l’article 1er de la présente décision. Article 3 Délégation de signature est donnée à Mme Valérie PROT, adjointe à la directrice territoriale de Bagnolet, pour tous les actes, décisions et correspondances se rapportant à la gestion de la délégation de Melun. Article 4 Les décisions no 2009‑246 et no 2010-77 du 5 janvier 2010 sont abrogées. Article 5 La directrice territoriale à Bobigny, le secrétaire général et l’agente comptable sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente décision. Fait le 14 avril 2011. Le directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration, J. Godfroid AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 22/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR OFII OFFICE FRANÇAIS DE L’IMMIGRATION ET DE L’INTÉGRATION _____ Le préfet, directeur général _____ Décision no 2011‑86 du 14 avril 2011 portant délégation de signature pour l’Office français de l’immigration et de l’intégration NOR : IOCT1111495S Le directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration, Vu le code du travail, et notamment ses articles L. 5222‑2, L. 5223‑1 à L. 5223‑6, L. 8253‑1 et L. 8253‑6 ; Vu le décret du 4 septembre 2006 (JO du 5 septembre 2006) portant nomination du directeur général de l’Agence nationale de l’accueil des étrangers et des migrations ; Vu le décret no 2009‑331 du 25 mars 2009 substituant la dénomination « Office français de l’immigration et de l’intégration » à la dénomination « Agence nationale de l’accueil des étrangers et des migrations » ; Vu la décision no 2010‑359 du 20 décembre 2010 relative à l’organisation de l’Office français de l’immigration et de l’intégration ; Vu la décision no 2010‑68 du 1er février 2010 portant délégation de signature pour l’Office français de l’immigration et de l’intégration, Décide : Article 1er Délégation de signature est donnée à Mme Laurie TONDI, directrice territoriale à Créteil, à l’effet de signer, dans le cadre des instructions qui lui sont données et dans la limite de ses attributions, tous les actes, décisions et correspondances se rapportant : – aux missions dévolues à la direction à Créteil ; – à la gestion de la direction à Créteil ; – à l’engagement, à la liquidation et au mandatement de toutes les dépenses relevant de la direction à Créteil. Article 2 En cas d’absence ou d’empêchement de Mme Laurie TONDI, délégation de signature est donnée à Mme Samia KHELIFI et à M. Philippe SUBRA, adjoints, à l’effet de signer tous les actes, décisions et correspondances relatifs à l’engagement, à la liquidation et au mandatement des dépenses de fonctionnement et d’intervention se rapportant à la direction de Créteil. Article 3 En cas d’absence ou d’empêchement de Mmes Laurie TONDI et Samia KHELIFI et de M. Philippe SUBRA, délégation de signature est donnée, dans le cadre de leurs attributions respectives, à l’effet de signer tous les actes, décisions et correspondances se rapportant à la direction à Créteil, à : Mme Véronique LAGARRIGUE, chargée de mission, responsable du bureau immigration. M. Franck GOMEZ DEL JUNCO, chargé de mission, responsable du bureau accueil et intégration. Mme Mariette SENIHJI, chargée de mission, chargée de suivi des marchés publics de formation. Article 4 La décision n 2010‑68 du 1 février 2010 est abrogée. o er Article 5 La directrice territoriale à Créteil, le secrétaire général et l’agente comptable sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente décision. Fait le 14 avril 2011. Le directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration, J. Godfroid AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 23/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Secrétariat général à l’immigration et à l’intégration _____ Circulaire du 1er avril 2011 relative au droit d’asile. Application du règlement CE no 343/2003 du Conseil du 18 février 2003 dit « règlement Dublin ». Mise en œuvre des procédures d’examen prioritaire de certaines demandes d’asile mentionnées à l’article L. 741-4 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile (CESEDA) NOR : IOCL1107084C Pièces jointes : 2. Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration à Monsieur le préfet de police ; Mesdames et messieurs les préfets (métropole et outre-mer s’agissant de la mise en æuvre des procédures prioritaires). La législation française sur le droit d’asile repose sur un principe général selon lequel toute personne qui sollicite l’asile en France bénéficie d’un droit de séjour jusqu’à l’issue de l’examen de sa demande d’asile par l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) et, en cas de recours contre une décision de rejet de l’office, jusqu’à la décision de la Cour nationale du droit d’asile (CNDA). Ce principe connaît cependant deux exceptions : – d’une part, lorsque l’examen de la demande d’asile relève d’un autre État membre de l’Union européenne en application du règlement CE no 343/2003 du Conseil du 18 février 2003 dit « règlement Dublin ». Dans ce cas, le demandeur d’asile ne peut en principe bénéficier ni du droit à l’admission provisoire au séjour, ni du droit à l’examen de sa demande d’asile par l’OFPRA (art. L. 741-4 [1o] et L. 723-1 1er al. du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile [CESEDA]) ; – d’autre part, dans un certain nombre de cas spécifiques, limitativement énumérés par la loi à l’article L. 741-4 (2o à 4o). Dans ces cas, le demandeur d’asile a droit à l’examen de sa demande d’asile mais sans être mis en possession d’une autorisation provisoire de séjour. Il a seulement le droit de se maintenir en France jusqu’à la décision de l’OFPRA qui statue alors de manière prioritaire, dans des délais rapides, l’éventuel recours devant la CNDA n’ayant pas un caractère suspensif (art. L. 741-4, L. 742-5, L. 742-6 et L. 723-1 2e al.). Ce dispositif est conforme aux exigences constitutionnelles, aux engagements internationaux de la France ainsi qu’au droit de l’Union européenne. La France, deuxième pays au niveau mondial en matière d’accueil de demandeurs d’asile, est confrontée pour la troisième année consécutive à une hausse importante de la demande d’asile, avec une augmentation de la demande globale de 20 % en 2008, 12 % en 2009 et 10 % en 2010 (+13,5 % pour les seules premières demandes). Le taux moyen de reconnaissance d’une protection n’était pourtant pas supérieur à 29,4 % en 2009 et, pour certaines nationalités fortement représentées dans la demande d’asile, n’atteignait pas 10 %. La hausse de la demande d’asile conduit à un allongement des délais d’instruction par l’OFPRA et la CNDA, les délais moyens étant aujourd’hui de l’ordre de dix-neuf mois. Elle conduit également à un engorgement du dispositif national d’accueil et seuls un peu plus de 30 % des demandeurs d’asile ayant vocation à un hébergement en CADA y ont aujourd’hui effectivement accès. Un certain nombre de mesures ont été prises au cours de l’année 2010 pour renforcer les moyens en personnel de l’OFPRA et de la CNDA afin de réduire les délais d’examen et pour renforcer les capacités d’hébergement des demandeurs d’asile. Cet effort budgétaire doit s’accompagner d’une gestion rigoureuse de l’ensemble des procédures d’asile, dans le respect de la législation en vigueur. Il est essentiel de garantir le respect du droit d’asile et d’offrir une protection aux personnes dont le besoin d’asile est avéré. Simultanément, il est indispensable de lutter contre les abus du recours à la demande d’asile et les détournements de procédure. Dans ce contexte, je vous demande d’améliorer la gestion de deux procédures dont vous avez la responsabilité : la mise en œuvre du règlement Dublin et le placement en procédure prioritaire. Il vous est donc demandé, d’une part, de vous assurer de l’application effective des dispositions du règlement Dublin, en vue de permettre l’examen par l’État membre AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 24/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR compétent de la demande d’asile. Vous veillerez, d’autre part, chaque fois que les conditions prévues par la règlementation sont remplies, à la mise en œuvre des procédures d’examen prioritaire afin d’assurer un traitement complet mais rapide des demandes relevant de cette modalité d’examen. L’application de ces dispositions n’ayant pas, conformément à la loi, un caractère automatique, vous devez procéder, pour chaque demande présentée, à un examen individuel pouvant vous conduire, si cela apparaît justifié au cas particulier, notamment pour des raisons humanitaires, à ne pas faire usage de la procédure prioritaire ou de la procédure Dublin. Je vous demande d’être particulièrement attentif à cette exigence d’examen individuel de chaque demande. Dans le cas où il sera fait application du règlement Dublin ou des procédures prioritaires, vous assurerez un suivi très vigilant de ces dossiers, de l’engagement de ces procédures jusqu’à leur accomplissement, dans le respect notamment du partage des compétences entre le préfet compétent territorialement en matière de première admission au séjour des demandeurs d’asile et le préfet de département du domicile du demandeur. Vous veillerez en particulier au respect des délais, qui constitue un élément essentiel de la problématique à laquelle nous sommes confrontés. Vous vous assurerez par ailleurs que les décisions de transfert prises en application du règlement Dublin ainsi que les décisions de rejet de l’OFPRA prises dans le cadre des procédures prioritaires, soient effectivement suivies d’effet soit par le départ vers l’État membre responsable de la demande d’asile, soit par l’éloignement des demandeurs d’asile déboutés. J’attire votre attention sur les conséquences de l’arrêt MSS c/Grèce et Belgique du 21 janvier 2011, qui fait obstacle désormais au renvoi vers la Grèce des demandeurs d’asile en provenance de cet État, en application des dispositions du règlement communautaire no 343/2003 du 18 février 2003, dit « règlement Dublin ». Vous vous reporterez donc au télégramme en date du 14 mars 2011, par lequel je vous ai demandé de cesser, à titre provisoire et dans l’attente de nouvelles instructions, les transferts vers la Grèce et de faire application des dispositions de l’article 3.2 du règlement CE no 343/2003 du 18 février (règlement Dublin) qui permet, en pareil cas et par dérogation, à chaque État membre d’examiner une demande d’asile qui lui est présentée, même si cet examen ne lui incombe pas en vertu des critères fixés par ce règlement. Cette mesure provisoire ne remet toutefois pas en cause l’application du règlement Dublin et le principe de responsabilité de chaque État membre dans toutes les situations où ceux-ci peuvent être mis en œuvre. Je vous prie de trouver ci-joint en annexe les instructions concernant l’application de ces procédures, qui pour certaines d’entre elles entraîneront une modification de votre organisation. Je vous demande de me rendre compte dans un délai de trois mois, puis de manière trimestrielle, sous le timbre SGII-SAS, de l’application de ces dispositions et des difficultés que vous aurez pu rencontrer. Pour le ministre et par délégation : Le secrétaire général à l’immigration et à l’intégration, S. Fratacci AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 24/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE I La procédure Dublin en préfecture I. – LA DÉTERMINATION DE L’ÉTAT RESPONSABLE 1.1. L’administration de la preuve 1.2. L’instruction de la demande 1.2.1. L’entretien 1.2.2. L’attente de la réponse de l’État membre 1.2.3. Les conséquences – La France est responsable de l’examen de la demande d’asile – Un autre État membre est responsable de l’examen de la demande d’asile II. – LA SAISINE DE L’ÉTAT MEMBRE RESPONSABLE 2.1. Les délais de saisine de l’État membre 2.2. La forme et le contenu de la saisine – La nature des données pouvant être transmises – Les modalités de transmission III. – LES RELATIONS AVEC L’ÉTAT MEMBRE RESPONSABLE 3.1. La réponse de l’État requis 3.1.1. L’acceptation formelle du transfert 3.1.2. La réponse négative et la demande de réexamen 3.1.3. L’absence de réponse de l’État requis dans les délais : l’accord implicite 3.2. Le transfert du demandeur d’asile vers l’État membre responsable 3.2.1. Les modalités du transfert 3.2.2. Le délai de transfert et les cas de prolongation 3.3. Le traitement d’une demande d’asile suite à l’échec de la procédure Dublin ANNEXE II Les procédures prioritaires I. – L ES TROIS CAS DE PLACEMENT EN PROCÉDURE PRIORITAIRE DOIVENT ÊTRE MIS EN ŒUVRE CHAQUE FOIS QUE LES CONDITIONS APPARAISSENT REMPLIES, APRÈS UN EXAMEN ATTENTIF ET CIRCONSTANCIÉ DES DOSSIERS DE DEMANDES D’ASILE 1.1. Article L. 741‑4 (2o) : clause de cessation/pays d’origine sûrs/protocole « Aznar » 1.2. Article L. 741‑4 (3o) : ordre public 1.3. Article L. 741‑4 (4o) : fraude délibérée, recours abusif, échec à une mesure d’éloignement II. – LES CONSÉQUENCES DE LA MISE EN ŒUVRE DE CETTE PROCÉDURE : UNE INSTRUCTION COMPLÈTE MAIS RAPIDE DE L’OFPRA ET LA NOTIFICATION IMMÉDIATE D’UNE OQTF S’AGISSANT DES DEMANDEURS D’ASILE DÉBOUTÉS PAR L’OFPRA 2.1. La mise en œuvre de la procédure prioritaire et l’examen par l’OFPRA Décision motivée de refus d’admission au séjour Documents remis à l’étranger et transmission de la demande d’asile à l’OFPRA Examen de la demande d’asile par l’OFPRA dans un délai de quinze jours Placement en procédure prioritaire en cours de procédure de demande d’asile AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 24/95 – Page 3 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 2.2. Les conséquences de la mise en œuvre de la procédure prioritaire s’agissant des déboutés du droit d’asile Absence de recours suspensif devant la CNDA Notification immédiate d’une OQTF ANNEXE I La procédure Dublin en préfecture Les dispositions du règlement Dublin doivent être mises en œuvre de façon rigoureuse en vue d’améliorer le taux de retour vers les États membres compétents pour l’examen de la demande d’asile. La mise en œuvre du règlement Dublin ne fait toutefois pas obstacle à tout examen de la demande d’asile par la France conformément à l’article 53‑1 de la Constitution. I. – LA DÉTERMINATION DE L’ÉTAT RESPONSABLE La détermination de l’État responsable s’effectue sur la base de critères objectifs hiérarchisés énumérés au chapitre III du règlement CE no 343/2003 du Conseil du 18 février 2003 établissant les critères et mécanismes de détermination de l’État membre responsable de l’examen d’une demande d’asile présentée dans l’un des États membres par un ressortissant d’un pays tiers. La multiplicité de ces critères conduira le préfet compétent au titre de l’article 1er des arrêtés relatifs à la régionalisation de la première admission au séjour des demandeurs d’asile (art. R.*741‑1 du CESEDA) à les mettre en œuvre en fonction des indications et des documents fournis par le demandeur d’asile et qui correspondent à la réalité de sa situation. Un double objectif doit être recherché : assurer un traitement effectif et rapide d’une demande d’asile d’une part, et déterminer la responsabilité d’un État membre avec fiabilité d’autre part. 1.1. L’administration de la preuve L’utilisation des éléments de preuve permettant la détermination de l’État responsable constitue un point fondamental pour la mise en œuvre du règlement Dublin II. Il vous appartient de rechercher pour chaque cas toutes les indications permettant de justifier votre démarche et de rassembler tout document et information vous permettant de bâtir une démonstration logique à l’appui de votre requête. En l’absence de documents d’identité, de voyage ou de toute autre pièce, les déclarations du demandeur d’asile devront être exploitées, mais le relevé d’empreintes digitales aura un caractère déterminant dans la recherche de l’État susceptible d’être responsable. L’entretien avec le demandeur d’asile est le moment essentiel de la procédure puisqu’il permet de constater une éventuelle responsabilité d’un autre État membre. Il a pour objet de recueillir l’état civil de l’intéressé, et de sa famille le cas échéant, de connaître les conditions de son entrée en France ainsi que son itinéraire depuis le départ de son pays d’origine. Vous veillerez à obtenir des déclarations plausibles. Lorsque les empreintes digitales du demandeur d’asile sont altérées et qu’elles ne vous permettent pas de déterminer son statut (première demande, multiples demandes en France, demandes dans un autre État membre...), vous lui demanderez de se présenter une nouvelle fois, un mois plus tard, afin de procéder à un nouveau relevé de ses empreintes, ainsi que le prévoit la circulaire IMIA 1000106C du 2 avril 2010. Ces précisions doivent vous conduire à présenter des dossiers motivés et complets. 1.2. L’instruction de la demande 1.2.1. L’entretien Lorsque l’examen de la demande d’asile relève de la compétence d’un autre État, il convient de notifier à l’étranger un refus d’admission au séjour en application de l’article L. 741‑4 (1o) du CESEDA sans qu’il soit nécessaire d’attendre la réponse de l’État membre concerné (CE no 344036 du 12 novembre 2010). Le préfet compétent procède à l’entretien, statue sur l’admission provisoire au séjour, et sollicite l’État membre qu’il estime responsable. Le demandeur d’asile doit, autant que possible, vous présenter tous les documents originaux en sa possession dont vous garderez une copie. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 24/95 – Page 4 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Afin de vous guider dans l’entretien et pour consigner l’ensemble des éléments apportés, vous devrez utiliser le questionnaire uniforme formalisé adopté par les États membres ; il permet d’étayer la demande de prise en charge par l’État concerné. Ce questionnaire devra être signé par le fonctionnaire ayant procédé à l’entretien, par le demandeur d’asile et par l’interprète le cas échéant. 1.2.2. L’attente de la réponse de l’État membre Le préfet du département de son domicile convoque périodiquement le demandeur afin de recueillir des éléments complémentaires si nécessaire ou, le cas échéant, de lui notifier sa décision de transfert, puis d’organiser son transfert vers l’État membre qui a reconnu sa responsabilité dans le traitement de sa demande d’asile. L’absence de réponse à ces convocations est susceptible d’être retenu comme élément caractérisant l’éventuelle fuite du demandeur d’asile placé en procédure Dublin. Vous devez cependant poursuivre la procédure et lui notifier, par voie postale, la décision de remise à l’État membre dès réception de sa réponse. Vous convoquerez de nouveau l’intéressé pendant la durée de l’organisation du transfert. 1.2.3. Les conséquences Première hypothèse : la France est responsable de l’examen de la demande d’asile S’il est établi, ou fortement présumé, que la demande d’asile relève de la France, le demandeur d’asile doit être admis au séjour (délivrance d’une APS ou d’un RCS) et bénéficier des conditions d’accueil dans les quinze jours suivant l’enregistrement de sa demande par vos services. Deuxième hypothèse : un autre État membre est responsable de l’examen de la demande d’asile Si la responsabilité d’un autre État membre vous paraît engagée, vous appliquerez les dispositions de l’article L. 741‑4 (1o) du CESEDA : le demandeur n’est pas admis au séjour et il ne peut saisir l’OFPRA le temps de la procédure de détermination de l’État responsable. Je vous rappelle que dans le cas où la responsabilité d’un autre État membre apparaît après la délivrance de l’autorisation provisoire de séjour ou de l’enregistrement de la demande d’asile par l’OFPRA, vous devez, après engagement d’une procédure contradictoire laissant au demandeur d’asile un délai raisonnable pour présenter ses observations, retirer l’autorisation provisoire de séjour ou le récépissé et informer parallèlement l’OFPRA de l’ouverture de la procédure de détermination de l’État membre responsable afin que celui-ci suspende l’instruction de la demande d’asile et se dessaisisse lorsque vous l’informerez de l’accord, implicite ou explicite, de l’État membre interrogé. Le temps de la procédure de détermination de l’État membre responsable de l’examen de la demande d’asile, le demandeur d’asile bénéficie d’un droit au maintien sur le territoire. En conséquence, vous lui remettrez un document portant la mention « Demandeur d’asile – procédure de détermination de l’État responsable, règlement CE 343/2003 du 18 février 2003 ». Ce document revêtu de sa photographie et comportant les indications complètes concernant son état civil, sa situation de famille et son domicile lui permettra de justifier de sa situation sur le territoire. Ce document mentionnera la date de son premier rendez-vous à la préfecture de département de son domicile, compétente pour le suivi de son dossier. Enfin, le demandeur d’asile doit être informé par écrit dans une langue dont on peut supposer qu’il la comprend, de l’ensemble de la procédure relative à l’application du règlement Dublin : effet sur sa demande d’asile, délais de réponse, délais de transfert et de prolongation possibles (art. 3‑4 du règlement Dublin). Il est de jurisprudence constante que l’ensemble de la procédure de détermination de l’État membre responsable et de transfert du demandeur d’asile est invalidé si, du fait d’une information insuffisante, l’intéressé n’a pas été mis à même de bénéficier de toutes les garanties procédurales prévues par le règlement européen (CE no 332585, 17 mars 2010). II. – LA SAISINE DE L’ÉTAT MEMBRE RESPONSABLE 2.1. Les délais de saisine de l’État membre La demande de prise en charge d’un demandeur d’asile, fondée sur les articles 5 à 14 du règlement Dublin du 18 février 2003, doit être transmise à l’État membre dans les trois mois qui suivent l’enregistrement de la demande d’asile par vos services. Aucun délai n’est prévu s’agissant de la demande de reprise en charge fondée sur les articles 4‑5 et 16‑1 du règlement Dublin. Cependant, vous veillerez dans tous les cas à saisir l’État membre que vous estimez responsable dès notification au demandeur d’asile de votre décision de refus d’admission au séjour. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 24/95 – Page 5 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 2.2. La forme et le contenu de la saisine La saisine doit être effectuée à l’aide des formulaires uniformes prévus par le règlement d’application 1560/2003 de la Commission du 2 septembre 2003 portant modalités d’application du règlement Dublin, à l’exclusion de tout autre document. Il convient de renseigner le plus complètement possible chaque rubrique du formulaire et d’y annexer une copie des pièces fondant votre demande. Vous veillerez notamment à transmettre à l’État membre requis les déclarations circonstanciées et pertinentes du demandeur d’asile sur son entrée et son séjour sur le territoire commun des États membres. Les requêtes aux États membres doivent impérativement être envoyées par transmission électronique, via le service de l’asile, point national d’accès du réseau DubliNet, pour signature électronique et chiffrement (art. 22 du règlement Dublin). L’accès à la messagerie dédiée est en cours de déploiement dans l’ensemble des préfectures compétentes pour l’admission au séjour du demandeur d’asile. III. – LES RELATIONS AVEC L’ÉTAT MEMBRE RESPONSABLE L’État membre saisi adresse sa réponse au préfet auteur de la requête. La réponse positive de l’État membre est immédiatement transmise au préfet du département compétent pour l’organisation du transfert. 3.1. La réponse de l’État requis 3.1.1. L’acceptation formelle du transfert Le transfert du demandeur d’asile est organisé dès la notification de la décision de remise, exécutoire d’office. 3.1.2. La réponse négative et la demande de réexamen La décision de refus de prise en charge de l’État membre doit être explicite, motivée et antérieure à la fin du délai de réponse. Par ailleurs, si cette décision paraît mal fondée, le préfet auteur de la saisine peut la contester dans le délai de trois semaines prévu par l’article 5 du règlement CE no 1560/2003 portant modalités d’application du règlement CE no 343/2003. Le service de l’asile (département de l’asile à la frontière et de l’admission au séjour) peut vous apporter l’aide nécessaire à cette demande de réexamen. 3.1.3. L’absence de réponse de l’État requis dans les délais : l’accord implicite Le silence gardé par l’État requis vaut acceptation tacite de sa responsabilité. Le délai est variable selon le fondement de la requête : – deux mois pour les demandes de prise en charge ; – un mois pour les demandes de reprise en charge (deux semaines si cette demande est fondée sur un résultat Eurodac positif). Par ailleurs, lorsque le demandeur d’asile est placé en rétention, vous devez saisir l’État membre selon la procédure d’urgence prévue à l’article 17-2 du règlement Dublin (délai de huit jours au moins pouvant aller exceptionnellement et sur justification jusqu’à un mois en cas de requête particulièrement complexe, sous réserve que l’État requis en informe l’État membre requérant dans le délai initialement demandé). Dès l’expiration du délai, le préfet à l’origine de la saisine demande aux autorités de l’État membre concerné de confirmer son accord implicite conformément à l’article 10 du règlement. À défaut d’une réponse sous quarante-huit heures, le préfet transmet ces éléments au préfet de département du domicile qui se chargera de la notification de la décision de remise. 3.2. Le transfert du demandeur d’asile vers l’État membre responsable Le préfet de département compétent notifie au demandeur d’asile, dès son prochain rendez-vous, une décision de remise aux autorités de l’État membre, fondée sur l’article L. 531‑2 du CEDESA. Vous veillerez, outre les indications de délai relatives à la mise en œuvre du transfert, à ce qu’elle soit suffisamment motivée et comporte, avec les dates de saisine et de réponse de l’État membre requis, la mention des dispositions tant en droit international qu’en droit interne qui la fonde en précisant les raisons pour lesquelles l’État requis doit être regardé comme l’État compétent pour examiner la demande d’asile. 3.2.1. Les modalités du transfert Ainsi que vous le savez, le règlement 343/2003 prévoit trois modalités de transfert : le transfert libre, le transfert contrôlé et le transfert sous escorte. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 24/95 – Page 6 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Aussi, si le demandeur d’asile n’a pas de lui-même quitté le territoire dans le délai raisonnable d’un mois après la notification de la décision de remise, vous organiserez son transfert, le cas échéant sous escorte. Une décision récente du Conseil d’État considère qu’à l’expiration du délai qui lui a été imparti pour rejoindre le pays vers lequel la réadmission a été prononcée en vertu du règlement (CE) no 343/2003 du 18 février 2003, un demandeur d’asile ne peut être regardé comme autorisé à demeurer sur le territoire en application de l’article 3 de la directive 2003/9/CE du 27 janvier 2003 relative à l’accueil du demandeur d’asile. En conséquence, il n’a plus droit, à l’expiration du délai imparti, aux conditions d’accueil réservées aux demandeurs d’asile (CE ord. ref., no 344723 et n° 344725, 14 décembre 2010). 3.2.2. Le délai de transfert et les cas de prolongation Le transfert du demandeur d’asile doit être réalisé dans un délai de six mois à compter de l’acceptation de la demande de prise en charge par l’État membre où a été effectuée la première demande. Toutefois, ce délai peut être porté : – à un an au maximum s’il n’a pas pu être procédé au transfert en raison d’un emprisonnement ; – à dix-huit mois au maximum si le demandeur d’asile prend la fuite. Selon une jurisprudence constante, un demandeur d’asile est en fuite au sens du règlement Dublin, lorsqu’il se soustrait de façon intentionnelle et systématique au contrôle de l’autorité administrative dans le but de faire obstacle à l’exécution d’une mesure de remise aux autorités de l’État responsable de sa demande d’asile (CE no 307 401 du 17 juillet 2007). Aussi, vous devez informer les autorités de l’État responsable que vous avez constaté la fuite du demandeur d’asile et que les délais de transfert sont portés à dix-huit mois : – dès que vous constatez qu’il ne défère plus à vos convocations et qu’il n’est pas possible de lui notifier votre décision de remise dans vos services ; – lorsque le demandeur d’asile ne défère pas à plusieurs convocations visant explicitement à mettre en œuvre la décision de remise qui lui a été notifiée. En conséquence, vous veillerez à informer les autorités concernées avant l’expiration du délai de six mois de la nécessité de prolonger les délais de transfert. 3.3. Le traitement d’une demande d’asile suite à l’échec de la procédure Dublin En cas d’échec du transfert, la France devient l’État responsable de la demande d’asile, laquelle doit être instruite conformément aux dispositions internes. L’absence de transfert du fait du demandeur d’asile ne peut être à elle seule assimilée à une fraude délibérée ou à un recours abusif aux procédures d’asile justifiant l’enregistrement de la demande d’asile en procédure prioritaire. En effet, le choix de la procédure d’examen de la demande d’asile dépend du comportement du demandeur, y compris au cours de la procédure Dublin (CE, no 334865, 31 décembre 2009). En conséquence, une demande d’asile doit être traitée en procédure normale, lorsque le comportement du demandeur d’asile ne constitue pas une fraude délibérée, ni un recours abusif aux procédures du droit d’asile. Inversement, elle peut être traitée en procédure prioritaire quand l’analyse globale du comportement du demandeur d’asile permet d’établir l’existence soit d’une fraude délibérée soit d’un recours abusif aux procédures d’asile. ANNEXE II Les procédures prioritaires I. – LES TROIS CAS DE PLACEMENT EN PROCÉDURE PRIORITAIRE DOIVENT ÊTRE MIS EN ŒUVRE CHAQUE FOIS QUE LES CONDITIONS APPARAISSENT REMPLIES, APRÈS UN EXAMEN ATTENTIF ET CIRCONSTANCIÉ DES DOSSIERS DE DEMANDES D’ASILE Je vous encourage à mettre très largement en œuvre les cas de placement en procédure prioritaire même s’il ne saurait y avoir d’automaticité au placement en procédure prioritaire, chaque cas devant faire l’objet d’un examen attentif et circonstancié. Même lorsque l’étranger se trouve dans l’une de ces trois situations des articles L. 741‑4, 2e à 4e paragraphe, vous conservez en effet la faculté de l’admettre provisoirement au séjour, si vous l’estimez justifié, notamment au regard de la situation humanitaire du demandeur. Par dérogation au droit commun, et dans les cas limitativement énumérés à l’article L. 741‑4, 2e à 4e paragraphe du CESEDA, un demandeur d’asile peut ne pas être admis au séjour et voir sa demande d’asile examinée par l’OFPRA en procédure prioritaire, conformément à l’article L. 723‑1, 2e alinéa du CESEDA. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 24/95 – Page 7 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR La dérogation à la règle de l’admission provisoire au séjour répond à la double exigence d’assurer un examen au fond de toute demande d’asile quelles que soient en particulier les circonstances dans lesquelles elle est formulée, et simultanément de parer à des détournements du droit d’asile à des fins étrangères à une problématique de protection. 1.1. Article L. 741‑4 (2o) : il s’agit des personnes ayant la nationalité d’un pays relevant de la clause 1 C- 5 de la convention de Genève ou figurant sur la liste des pays considérés comme des pays d’origine sûrs (POS) En vertu de l’article 1er C- 5 de la convention de Genève, cette convention cesse d’être applicable lorsque les circonstances qui ont justifié la reconnaissance du statut de réfugié ont cessé d’exister. La mise en œuvre de cette disposition relève de l’OFPRA. À ce jour, cette disposition ne concerne plus que le Chili, les autres États concernés étant désormais des pays d’origine sûrs. La liste des pays considérés comme des pays d’origine sûrs est établie, selon l’article L. 722‑1, par le conseil d’administration de l’OFPRA. Est considéré comme tel un pays qui « veille au respect des principes de la liberté, de la démocratie et de l’état de droit, ainsi que des droits de l’homme et des libertés fondamentales ». Cette liste comporte à ce jour les 16 pays suivants : – Albanie, – Bénin, – Bosnie-Herzégovine, – Cap-Vert, – Croatie, – Ghana, – Inde, – Kosovo, – Macédoine (ARYM), – Mali (en ce qui concerne les hommes), – Maurice, – Mongolie, – Sénégal, – Serbie, – Tanzanie, – et Ukraine. De plus, en vertu du protocole additionnel au traité d’Amsterdam signé le 2 octobre 1997, dit protocole « Aznar », les États membres de l’Union européenne « sont considérés comme des pays d’origine sûrs les uns vis-à-vis des autres pour toutes les questions juridiques et pratiques liées aux affaires d’asile ». Par conséquent, il convient de faire usage de l’article L. 741‑4 (2o) en cas de demande d’asile présentée par un ressortissant de l’Union européenne. 1.2. Article L. 741‑4 (3o) : il s’agit des personnes dont la présence constitue une menace grave pour l’ordre public, la sécurité publique ou la sûreté de l’État Cette appréciation doit relever d’un examen d’ensemble du comportement de l’étranger et la menace doit être caractérisée. L’existence de cette menace est constatée notamment après consultation d’AGDREF et du fichier des personnes recherchées. La notion de « menace grave à l’ordre public » est la même que celle qui justifie la mise en œuvre d’une procédure d’expulsion sur le fondement de l’article L. 521‑1 du CESEDA. 1.3. Article L. 741‑4 (4o) : il s’agit de personnes dont la demande d’asile repose sur une fraude délibérée ou constitue un recours abusif aux procédures d’asile ou n’est présentée qu’en vue de faire échec à une mesure d’éloignement prononcée ou imminente La fraude délibérée est notamment caractérisée lorsqu’une demande d’asile est présentée sous une fausse identité destinée à abuser les autorités auprès desquelles elle est formulée. Il s’agit essentiellement des demandes d’asile simultanées ou successives présentées sous des identités différentes. Cette manœuvre frauduleuse peut notamment être détectée au moyen de la prise systématique des empreintes digitales des demandeurs d’asile, conformément aux dispositions du règlement Eurodac. Par conséquent, lorsque vous êtes informés d’un rapprochement positif d’empreintes concernant des étrangers enregistrés sous des identités différentes, vous devez refuser de délivrer une APS ou le récépissé, ou procéder le cas échéant au retrait du document provisoire de séjour déjà délivré. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 24/95 – Page 8 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Il peut également s’agir de demandeurs d’asile ayant délibérément altéré leurs empreintes digitales afin de faire échec à la détermination de l’État membre responsable de l’examen de la demande d’asile en application du règlement Dublin (cf. circulaire NOR : IMIA1000106C du 2 avril 2010). La fraude peut également apparaître postérieurement, dans la décision de l’OFPRA (CE no 184099 Préfet du Rhône c/ Mme X. 17/12/1999), auquel cas le préfet peut procéder au retrait du récépissé initialement délivré, après engagement d’une procédure contradictoire laissant au demandeur d’asile un délai raisonnable pour présenter ses observations, et prendre sans délai une OQTF (voir ci-après). S’agissant du recours abusif aux procédures d’asile, la mise en œuvre de cette disposition ne peut être fondée que sur des considérations objectives extérieures à la demande d’asile elle-même. En aucun cas, l’appréciation ne peut porter sur les éléments de fond de la demande d’asile, qui relève de la compétence exclusive de l’OFPRA et de la Cour nationale du droit d’asile (CNDA). Il vous appartient donc de vérifier au cas par cas, au moyen d’un faisceau d’indices et au vu des circonstances, s’il convient d’admettre ou non l’étranger au séjour au titre de l’asile. Ainsi, la demande d’asile présentée par un étranger bénéficiaire d’une protection internationale dans un État membre de l’Union européenne et qui invoque des risques dans cet État, peut être considérée comme un recours abusif aux procédures d’asile. Cette procédure peut également s’appliquer au vu du caractère répétitif des demandes de réexamen. À cet égard, je vous rappelle que les demandes de réexamen peuvent être traitées en procédure prioritaire sur le fondement de l’article L. 741‑4 du CESEDA, même si le principe de l’admission au séjour préalable au dépôt d’une demande de réexamen demeure. Il vous appartient donc de vous prononcer au cas par cas sur la demande d’admission au séjour au regard du contexte dans lequel est présentée la demande de réexamen et de motiver spécifiquement l’inscription en procédure prioritaire, sans vous borner à relever l’existence d’une demande de réexamen. La demande présentée en vue de faire échec à une mesure d’éloignement prononcée ou imminente recouvre les demandes d’asile présentées lors d’une interpellation en situation irrégulière s’il apparaît que les raisons invoquées par l’intéressé pour justifier du retard à présenter spontanément la demande sont dénuées de fondement ainsi que les demandes d’asile présentées à l’occasion ou postérieurement à la notification d’une décision de refus de délivrance ou de renouvellement de titre de séjour, d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF) ou d’une mesure d’éloignement administrative ou judiciaire (expulsion, reconduite à la frontière, interdiction du territoire). Il peut s’agir d’une première demande d’asile présentée dans ces circonstances ou d’une demande de réexamen. La demande de réexamen peut être considérée comme présentée en vue de faire échec à une mesure d’éloignement lorsqu’elle est déposée dans des délais brefs après que vous ayez notifié à l’intéressé une décision de refus de séjour assortie d’une obligation à quitter le territoire français (OQTF). J’appelle enfin votre attention sur le fait que, si le recours à la procédure d’asile peut avoir dans ces cas comme unique objectif le maintien indu sur le territoire, il est également envisageable qu’un changement de circonstances dans le pays d’origine ou dans la situation personnelle de l’intéressé l’amène à craindre avec raison des persécutions. Vous resterez donc attentif à cette situation qui peut vous conduire à ne pas faire alors application de la procédure prioritaire. Je vous rappelle que les demandes d’asile présentées postérieurement à une mesure d’éloignement par des étrangers se trouvant en centre de rétention relèvent du régime spécifique prévu aux articles L. 551‑3 et R. 723‑3 du CESEDA. II. – LES CONSÉQUENCES DE LA MISE EN ŒUVRE DE CETTE PROCÉDURE : UNE INSTRUCTION COMPLÈTE MAIS RAPIDE PAR L’OFPRA ET LA NOTIFICATION IMMÉDIATE D’UNE OQTF S’AGISSANT DES DEMANDEURS D’ASILE DÉBOUTÉS PAR L’OFPRA Le demandeur d’asile placé en procédure prioritaire et débouté du droit d’asile après la décision de l’OFPRA n’ayant plus de droit à se maintenir sur le territoire, je vous encourage à notifier une mesure de refus de séjour et une OQTF immédiatement après la notification du rejet de la demande d’asile par l’OFPRA, sauf bien entendu s’il peut prétendre à la délivrance d’un titre de séjour sur un autre fondement que l’asile. Cette mesure est essentielle car elle permet de finaliser la procédure administrative applicable à ces personnes, dans des délais rapprochés suivant le dépôt de leur demande d’asile, ce qui devrait contribuer à faciliter leur éventuel éloignement. Je vous demande en conséquence d’assurer un suivi rigoureux et réactif de ces procédures. 2.1. La mise en œuvre de la procédure prioritaire et l’examen par l’OFPRA Décision motivée de refus d’admission au séjour Lorsque vous décidez de faire instruire par l’OFPRA une demande d’asile en procédure prioritaire, cette décision relevant de votre propre appréciation dans le respect de la loi, une décision motivée refusant l’admission provisoire au séjour de l’étranger doit lui être notifiée et indiquer qu’elle ne fait pas obstacle au dépôt de la demande d’asile auprès de l’OFPRA. Cette décision lui permet d’être protégé contre la mise à exécution de toute mesure d’éloignement avant l’enregistrement de sa demande d’asile par l’OFPRA et la prise de décision de l’office. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 24/95 – Page 9 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR En effet, dans le cas de refus d’admission provisoire au séjour d’un demandeur d’asile, l’intéressé a droit à l’examen de sa demande par l’OFPRA, selon les modalités particulières de la procédure prioritaire (art. L. 742‑5 et L. 723‑1 du CESEDA), et aucune mesure d’éloignement ne peut être mise à exécution avant que l’OFPRA n’ait statué sur cette demande (art. L. 742‑6 du CESEDA). Documents remis à l’étranger et transmission de la demande d’asile à l’OFPRA Afin d’assurer le traitement rapide de ces demandes d’asile, vous veillerez au respect des délais et en particulier à transmettre très rapidement la demande à l’Office (Mission accueil, enregistrement et numérisation – MAEN, section d’enregistrement en procédure prioritaire). Au préalable, vous aurez mis le demandeur en possession des documents suivants : – le formulaire spécifique de demande d’asile sur lequel vous aurez porté la mention « procédure prioritaire » et indiqué le numéro de votre département afin de faciliter les échanges avec l’OFPRA ; – le document lui rappelant les conditions d’enregistrement de sa demande ; – une convocation d’une durée de validité de quinze jours maximum pour qu’il vous restitue son dossier complet aux fins de transmission par vos soins à l’OFPRA (il ne vous appartient pas à cet égard de vous assurer de la complétude du dossier). Tout dossier en procédure prioritaire doit être transmis à l’OFPRA par vos soins accompagné de la fiche de saisine en procédure prioritaire. La transmission doit se faire par voie postale accélérée prévoyant un accusé de réception ou par porteur. Dans ce dernier cas, il appartient à l’office d’apposer un cachet « arrivée » sur le bordereau de transmission afin d’attester de la réception du dossier. Le dossier est transmis à l’office sous pli fermé, au moyen d’une double enveloppe, seul l’OFPRA pouvant avoir connaissance des motifs de la demande d’asile. L’office devra vous envoyer copie de la lettre précisant le numéro d’enregistrement ou vous retourner le dossier incomplet, le cas échéant. Examen de la demande d’asile par l’OFPRA dans un délai de quinze jours En application de la règlementation (art. R. 723‑3 du CESEDA), l’OFPRA dispose d’un délai de quinze jours pour traiter la demande d’asile d’une personne placée en procédure prioritaire. Ce délai, qui assure un traitement complet et entouré de garanties de la demande d’asile tout en permettant l’intervention d’une décision dans des délais plus rapides, constitue un des avantages majeurs de cette procédure. Cependant, aucune mesure d’éloignement ne peut être mise à exécution avant que l’OFPRA n’ait statué sur la demande d’asile, même si le délai de quinze jours n’a pu être respecté par l’office. Placement en procédure prioritaire en cours de procédure de demande d’asile Si le placement en procédure prioritaire s’effectue généralement au moment du dépôt de la demande d’asile à vos guichets, cette procédure peut également être mise en œuvre pendant l’instruction de la demande d’asile par l’OFPRA ou par la CNDA. Des éléments peuvent en effet être portés à votre connaissance (par exemple fraude à l’identité par la découverte d’un alias ou motif d’ordre public) et vous conduire à décider de placer la personne en procédure prioritaire. Dans ce cas, conformément aux dispositions de l’article L. 742‑2 du CESEDA, il vous est possible soit de retirer l’APS ou le récépissé, soit de refuser de renouveler le récépissé au moyen d’une décision notifiée par écrit, après engagement d’une procédure contradictoire laissant au demandeur d’asile un délai raisonnable pour présenter ses observations. Cette possibilité nécessite un suivi attentif des dossiers. Ce basculement en procédure prioritaire en cours de procédure d’examen de la demande d’asile doit automatiquement donner lieu à une information écrite de l’OFPRA, afin qu’il adapte ses délais de traitement, et de la CNDA si un recours est en cours d’examen, puisque le recours devient alors non suspensif devant cette juridiction. 2.2. Les conséquences de la mise en œuvre de la procédure prioritaire s’agissant des déboutés du droit d’asile Absence de recours suspensif devant la CNDA Conformément aux dispositions des articles L. 742‑3 et L. 742‑6 du CESEDA, le recours formé devant la Cour nationale du droit d’asile (CNDA) par le demandeur d’asile auquel l’admission provisoire au séjour a été refusée sur le fondement de l’article L. 741‑4 (2o à 4o), ne suspend pas le caractère exécutoire de la mesure d’éloignement. Notification immédiate d’une OQTF Du fait du caractère non suspensif du recours devant la CNDA, en cas de rejet par l’OFPRA de la demande d’asile d’un étranger placé en procédure prioritaire, celui-ci peut immédiatement faire l’objet d’une mesure de refus de séjour assortie d’une obligation à quitter le territoire français (OQTF), sans attendre la présentation et/ou l’issue d’un éventuel recours devant la CNDA. À l’issue du délai d’un mois imparti pour le départ volontaire, la personne peut faire l’objet d’un éloignement forcé, au besoin en étant placée en rétention administrative. Je vous encourage en conséquence à notifier à l’intéressé une mesure de refus de séjour et une OQTF immédiatement après la notification de la décision de rejet de la demande d’asile par l’OFPRA, sauf bien entendu s’il peut prétendre à la délivrance d’un titre de séjour sur un autre fondement que celui de l’asile. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 24/95 – Page 10 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Cette mesure est essentielle car elle permet de finaliser la procédure administrative applicable à ces personnes, dans des délais courts par rapport au dépôt de leur demande d’asile, ce qui devrait contribuer à faciliter leur éventuel éloignement. Je vous demande en conséquence d’assurer un suivi rigoureux et réactif de ces procédures. Je vous invite à consulter très régulièrement la base de données Telemofpra, qui recevra désormais une mise à jour hebdomadaire, afin d’obtenir les informations qui vous sont nécessaires sur les décisions individuelles prises par l’OFPRA. Enfin je vous rappelle que si l’un des motifs d’application de l’article L. 741‑4 (2o à 4o) apparaît alors qu’un recours a été formé devant la CNDA, le document provisoire peut également être retiré conformément à l’article L. 742‑2 du CESEDA après engagement d’une procédure contradictoire laissant au demandeur d’asile un délai raisonnable pour présenter ses observations, et une mesure de refus de séjour assortie d’une OQTF peut être notifiée sans attendre l’issue du recours. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 24/95 – Page 11 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Secrétariat général à l’immigration et à l’intégration _____ Direction de l’immigration _____ Circulaire du 1er avril 2011 relative au nouveau modèle uniforme de titre de séjour pour étranger (TSE) adopté par l’Union européenne NOR : IOCL1107122C Résumé : la présente circulaire décrit les modalités pratiques de mise en œuvre du nouveau modèle de titre de séjour pour étrangers adopté par l’Union européenne. Elle précise le calendrier de mise en circulation et expose les règles à observer en matière de demande de fabrication et de remise de ce document. Pièce jointe : 1. Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration à Mesdames et Messieurs les préfets (métropole et outre-mer) ; Monsieur le préfet de police. Le règlement du Conseil de l’Union européenne (CE) no 1030/2002 du 13 juin 2002 a établi un modèle uniforme de titre de séjour pour les ressortissants de pays tiers. Ce texte a été amendé le 18 avril 2008 par le règlement (CE) no 380/2008 qui fait obligation aux États membres de délivrer un titre de séjour qui devra comporter un composant électronique contenant deux données biométriques : une photographie numérisée et l’image de deux empreintes digitales du porteur. Aux termes de ce règlement, l’intégration de la photographie numérisée dans le composant électronique doit intervenir au plus tard le 20 mai 2011 et celle des empreintes digitales au plus tard le 20 mai 2012. Concernant la France, la délivrance du titre de séjour biométrique interviendra au fur et à mesure du déploiement de l’application AGDREF2 qui devrait débuter au troisième trimestre 2011 et se terminer à la fin du premier semestre de l’année 2013. Compte tenu de ce calendrier et pour respecter les échéances européennes, il a été décidé de mettre en place une solution transitoire consistant à délivrer, dès le deuxième trimestre 2011, un titre de séjour comportant le composant électronique avec la photographie numérisée du titulaire. Cette solution, conforme aux dispositions de la réglementation européenne qui laisse la latitude aux États membres d’introduire les éléments d’identification biométriques en deux étapes, sera mise en œuvre en utilisant l’application AGDREF1 qui a été modifiée pour répondre à cet objectif. I. – LES MODALITÉS PRATIQUES DE DEMANDE DE FABRICATION DU NOUVEAU MODÈLE DE TITRE DE SÉJOUR 1.1. Mise en œuvre du dispositif La mise en œuvre de ce dispositif transitoire a été confiée à l’Agence nationale des titres sécurisés (ANTS) qui est responsable de la fabrication et de l’acheminement de ce nouveau modèle de titre en liaison avec l’Imprimerie nationale. Ce changement d’opérateur n’occasionnera, toutefois, aucune modification de la procédure actuellement en vigueur pour vos services qui continueront à envoyer leurs demandes de fabrication au Centre national de production de titres (CNPT) du ministère de l’intérieur. Le CNPT récupérera dans l’application AGDREF les données alphanumériques qui devront apparaître sur le futur titre de séjour, procédera à la numérisation du talon photo/signature correspondant et transmettra la demande de fabrication à l’ANTS. Le titre ainsi produit sera de format « ID1 », c’est-à-dire du format d’une carte de crédit. Je ne manquerai pas de vous adresser dans les prochaines semaines une plaquette de présentation de ce nouveau modèle de document. 1.2. La qualité de la photographie Lors du recueil du dossier de demande de titre de séjour, vos services devront porter une attention toute particulière à la qualité des photographies fournies par les usagers. Ces photographies devront impérativement respecter la norme ISO/IEC 19794 : 2005 relative à l’apposition des photographies d’identité sur les documents d’identité et de voyage, notamment les cartes nationales d’identité et les passeports, ainsi que sur les permis de conduire et les titres de séjour pour étrangers. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 25/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR En conséquence, à compter de la mise en circulation du nouveau titre de séjour biométrique, toutes les demandes de fabrication comportant une photographie qui ne serait pas conforme à cette norme seront systématiquement rejetées par le CNPT. Afin d’éviter ces éventuels rejets, je vous invite à mettre en place, dès à présent, un contrôle de conformité des photographies fournies par les ressortissants étrangers tant pour les nouveaux dossiers de demande de titre que pour les dossiers déposés avant réception de la présente circulaire qui n’ont pas encore été transmis au CNPT. J’ajoute qu’il convient d’écarter systématiquement les photographies scannées, photocopiées ou réalisées à l’aide d’un téléphone portable, par exemple. Pour aider vos services à effectuer ce contrôle et pour la complète information des usagers, un modèle d’affiche imprimable détaillant la norme ISO/IEC 19794-5 : 2005 est joint à la version électronique de la présente circulaire. II. – LE RETOUR DE FABRICATION Le retour de fabrication sera assuré par l’ANTS qui est responsable de l’acheminement des titres produits vers la préfecture ou la sous-préfecture qui a effectué la demande. Le coût de l’expédition des titres étant à la charge de l’ANTS, aucuns frais supplémentaires ne seront facturés pour cette prestation. Un bordereau récapitulant le contenu de l’expédition, qu’il conviendra de vérifier avec attention, sera joint à chaque livraison qui devrait vous parvenir dans les mêmes délais que ceux actuellement en vigueur. Pour toute difficulté relative à l’établissement des titres (retard, demande incomplète...), le CNPT demeurera votre unique interlocuteur. III. – LA REMISE DU TITRE DE SÉJOUR 3.1. L’attestation de remise de titre Lors de la remise du titre de séjour, l’agent chargé de cette opération et le demandeur devront signer, aux emplacements prévus à cet effet, une attestation de remise de titre dont un spécimen vous sera adressé prochainement. Le volet daté et signé de cette attestation devra être versé au dossier papier ou numérisé de l’étranger tandis que l’autre volet devra lui être remis. Je vous rappelle, par ailleurs, que « la remise au bénéficiaire » signifie, outre l’acte matériel de remise du titre, une remise informatique qui consiste à saisir la date de cette action dans le champ dédié de l’application AGDREF comme c’est déjà le cas actuellement. Vous veillerez à ce que vos services procèdent bien à la saisie de cette information qui est une nécessité, y compris pour les titres remis en mairie. 3.2. L’acquittement du droit de timbre La loi de finances pour 2011 a introduit un article L. 311‑16 nouveau au code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile (CESEDA) à l’effet de soumettre la délivrance, le renouvellement, le duplicata ou le changement d’une carte de séjour ou d’un titre équivalent prévu par les traités ou accords internationaux à la perception d’un droit de timbre d’un montant de 19 euros. Dès la date d’entrée en vigueur de cette disposition qui sera fixée par décret, vous veillerez à recueillir et à apposer sur le volet versé au dossier de l’attestation de remise de titre les timbres fiscaux d’un montant correspondant à cette somme. IV. – CALENDRIER DE MISE EN ŒUVRE Ce dispositif sera testé à compter du deuxième trimestre 2011 dans deux départements pilotes : l’Aube et l’Oise. Il sera ensuite déployé à l’ensemble des départements suivant un calendrier qui vous sera communiqué en temps utile. Vous voudrez bien rendre compte à la direction de l’immigration ([email protected]) des difficultés que pourrait soulever l’application de la présente circulaire, qui sera publiée sur le site intranet du secrétariat général à l’immigration et à l’intégration à l’adresse suivante : http://intranet.immigration.gouv.fr/. Pour le ministre et par délégation : Le secrétaire général à l’immigration et à l’intégration, S. Fratacci AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 25/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale de la gendarmerie nationale _____ Direction des personnels militaires de la gendarmerie nationale _____ Sous-direction de la gestion du personnel _____ Bureau du personnel officier _____ Arrêté du 8 avril 2011 portant affectation d’un officier commissionné recruté au titre de l’article L. 4132‑10 du code de la défense NOR : IOCJ1110052A Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Vu le code de la défense, notamment son article L. 4132‑10 ; Vu le décret no 2008‑959 du 12 septembre 2008 modifié relatif aux militaires commissionnés ; Vu l’arrêté du 12 décembre 2008 conférant un grade à un officier recruté au titre de l’article L . 4132‑10 du code de la défense ; Vu l’arrêté du 8 juillet 2010 portant affectation d’un officier commissionné recruté au titre de l’article L. 4132‑10 du code de la défense (n.i. BO) ; Vu l’arrêté du 21 janvier 2011 fixant la liste des emplois d’officiers et de sous-officiers commissionnés recrutés au titre de l’article L. 4132‑10 du code de la défense au sein de la gendarmerie nationale, Arrête : Article 1er M. Charles Piroux (NIGEND : 00312590 – NLS : 0008092434) est promu au grade de commandant du corps des officiers du corps technique et administratif de la gendarmerie nationale en qualité d’officier servant au titre de l’article L. 4132‑10 du code de la défense à compter du 1er novembre 2010. Il exercera les fonctions d’inspecteur hygiène et sécurité au sein du groupe des inspecteurs hygiène et sécurité de l’inspection générale de la gendarmerie nationale à Paris, pour une durée de trois ans, à compter de cette même date. Article 2 L’intéressé sera rattaché au corps des officiers du corps technique et administratif de la gendarmerie nationale. Article 3 Cet arrêté annule et remplace l’arrêté du 8 juillet 2010. Article 4 Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 8 avril 2011. Pour le ministre et par délégation : Le général de corps d’armée, directeur des personnels militaires de la gendarmerie nationale, J. Delpont AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 26/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Arrêté du 11 avril 2011 portant dissolution de l’escadron de gendarmerie mobile 12/9 d’Arras (Pas-de-Calais) NOR : IOCJ1109242A Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Vu le code de la défense, notamment son article L. 3225‑1 ; Vu l’arrêté du 12 juin 2006 modifié fixant les attributions des commandants de région de gendarmerie, des commandants de groupement de gendarmerie départementale et de gendarmerie mobile et portant organisation des formations placées sous leur autorité, Arrête : Article 1er L’escadron de gendarmerie mobile 12/9 d’Arras (Pas-de-Calais) est dissous à compter du 1er septembre 2011. Article 2 Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 11 avril 2011. Pour le ministre et par délégation : Par empêchement du directeur général de la gendarmerie nationale : Le général de corps d’armée, major général de la gendarmerie nationale, L. Muller AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 27/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Arrêté du 11 avril 2011 portant dissolution de la brigade territoriale de Prauthoy (Haute-Marne) NOR : IOCJ1109313A Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Vu le code de la défense, partie réglementaire, III ; Vu le code de procédure pénale, notamment ses articles 15 et R. 15‑22 à R. 15‑26 ; Vu la loi no 2009‑971 du 3 août 2009 relative à la gendarmerie nationale ; Vu le décret no 2005‑850 du 27 juillet 2005 relatif aux délégations de signature des membres du Gouvernement, Arrête : Article 1er La brigade territoriale de Prauthoy est dissoute à compter du 1er juin 2011. Corrélativement, la circonscription de la brigade territoriale de Longeau-Percey (Haute-Marne) est modifiée dans les conditions précisées en annexe. Article 2 L’officier, les gradés et gendarmes de la brigade territoriale de Longeau-Percey exercent les attributions attachées à leur qualité d’officier ou d’agent de police judiciaire dans les conditions fixées aux articles R. 13 à R. 15‑2 et R. 15‑24 (1o) du code de procédure pénale. Article 3 Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 11 avril 2011. Pour le ministre et par délégation : Par empêchement du directeur général de la gendarmerie nationale : Le général de corps d’armée, major général de la gendarmerie nationale, L. Muller AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 28/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE BRIGADES TERRITORIALES CIRCONSCRIPTION ACTUELLE Longeau-Percey Aprey Aujeurres Baissey Bourg Brennes Cohons Flagey Heuilley-Cotton Leuchey Longeau-Percey Orcevaux Perrogney-les-Fontaines Verseilles-le-Bas Verseilles-le-Haut Villegusien-le-Lac Villiers-lès-Aprey Prauthoy Chalancey Chassigny Choilley-Dardenay Coublanc Cusey Dommarien Grandchamp Isômes Le-Val-d’Esnoms Maâtz Montsaugeon Occey Prauthoy Rivière-les-Fosses Saint-Broingt-les-Fosses Vaillant Vaux-sous-Aubigny Vesvres-sous-Chalancey CIRCONSCRIPTION NOUVELLE Aprey Aujeurres Baissey Bourg Brennes Chalancey Chassigny Choilley-Dardenay Cohons Coublanc Cusey Dommarien Flagey Grandchamp Heuilley-Cotton Isômes Le Val-d’Esnoms Leuchey Longeau-Percey Maâtz Montsaugeon Occey Orcevaux Perrogney-les-Fontaines Prauthoy Rivière-les-Fosses Saint-Broingt-les-Fosses Vaillant Vaux-sous-Aubigny Verseilles-le-Bas Verseilles-le-Haut Vesvres-sous-Chalancey Villegusien-le-Lac Villiers-lès-Aprey (dissolution) AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 28/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Arrêté du 11 avril 2011 portant nomination à la Commission nationale d’orientation et d’intégration NOR : IOCJ1111000A Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Vu le code de la défense, notamment son article R.* 4139‑21, Arrête : Article 1er Sont nommés membres de la Commission nationale d’orientation et d’intégration au titre de l’article R.* 4139‑21 du code de la défense, en qualité de représentants du ministre de l’intérieur : – le général JORRE (Pascal), titulaire ; – le colonel GOUDALLIER (Bruno), titulaire ; – le colonel GUICHARD (Serge), suppléant ; – le lieutenant-colonel CARRET (Jean), suppléant. Article 2 Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 11 avril 2011. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général de la gendarmerie nationale, J. Mignaux AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 29/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Arrêté du 12 avril 2011 portant modification des brigades territoriales de Brezolles, Châteauneuf-en-Thymerais, Courville-sur-Eure, La Loupe et Nogent-le-Roi (Eure-et-Loir) NOR : IOCJ1100208A Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Vu le code de la défense, partie réglementaire, III ; Vu le code de procédure pénale, notamment ses articles 15 et R. 15‑22 à R. 15‑26 ; Vu la loi no 2009‑971 du 3 août 2009 ; Vu le décret no 2005‑850 du 27 juillet 2005, Arrête : Article 1er Les circonscriptions des brigades territoriales de Brezolles, Châteauneuf-en-Thymerais, Courville-sur-Eure, La Loupe et Nogent-le-Roi (Eure-et-Loir) sont modifiées à compter du 1er juin 2011 dans les conditions précisées en annexe. Article 2 Les officiers, gradés et gendarmes des brigades territoriales de Brezolles, Châteauneuf-en-Thymerais, Courville-surEure, La Loupe et Nogent-le-Roi exercent les attributions attachées à leur qualité d’officier ou d’agent de police judiciaire dans les conditions fixées aux articles R. 13 à R. 15‑2 et R. 15‑24 (1o) du code de procédure pénale. Article 3 Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté. Fait le 12 avril 2011. Pour le ministre et par délégation : Par empêchement du directeur général de la gendarmerie nationale : Le général de corps d’armée, major général de la gendarmerie nationale, L. Muller AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 30/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE BRIGADES TERRITORIALES Courville-Sur-Eure CIRCONSCRIPTION ACTUELLE CIRCONSCRIPTION NOUVELLE Billancelles Billancelles Chuisnes Chuisnes Courville-sur-Eure Courville-sur-Eure Dangers Dangers Fontaine-la-Guyon Fontaine-la-Guyon Fruncé Fruncé Landelles Landelles Le Favril Mittainvilliers Mittainvilliers Orrouer Orrouer Saint-Arnoult-des-Bois Pontgouin Saint-Aubin-des-Bois Saint-Arnoult-des-Bois Saint-Denis-des-Puits Saint-Aubin-des-Bois Saint-Germain-le-Gaillard Saint-Denis-des-Puits Saint-Luperce Saint-Germain-le-Gaillard Vérigny Saint-Luperce Villebon Vérigny Villebon La Loupe Belhomert-Guéhouville Belhomert-Guéhouville Champrond-en-Gâtine Champrond-en-Gâtine Fontaine-Simon Fontaine-Simon Friaize Friaize La Loupe La Loupe Le Thieulin Le Favril Les Corvées-les-Yys Le Thieulin Manou Les Corvées-les-Yys Meaucé Manou Montireau Meaucé Montlandon Montireau Saint-Éliph Montlandon Saint-Maurice-Saint-Germain Pontgouin Saint-Victor-de-Buthon Saint-Éliph Vaupillon Saint-Maurice-Saint-Germain Saint-Victor-de-Buthon Vaupillon Châteauneuf-en-Thymerais Ardelles Ardelles Châteauneuf-en-Thymerais Châteauneuf-en-Thymerais Favières Favières AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 30/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR BRIGADES TERRITORIALES CIRCONSCRIPTION ACTUELLE CIRCONSCRIPTION NOUVELLE Fontaine-les-Ribouts Fontaine-les-Ribouts Le Boullay-les-Deux-Églises Le Boullay-les-Deux-Églises Maillebois Puiseux Puiseux Saint-Ange-et-Torçay Saint-Ange-et-Torçay Saint-Jean-de-Rebervilliers Saint-Jean-de-Rebervilliers Saint-Maixme-Hauterive Saint-Maixme-Hauterive Saint-Sauveur-Marville Saint-Sauveur-Marville Thimert-Gâtelles Serazereux Tremblay-les-Villages Thimert-Gâtelles Tremblay-les-Villages Nogent-le-Roi Boutigny-Prouais Boutigny-Prouais Bréchamps Bréchamps Chaudon Chaudon Coulombs Coulombs Croisilles Croisilles Faverolles Faverolles Le Boullay-Mivoye Le Boullay-Mivoye Le Boullay-Thierry Le Boullay-Thierry Les Pinthières Les Pinthières Lormaye Lormaye Néron Néron Nogent-le-Roi Nogent-le-Roi Ormoy Ormoy Saint-Laurent-la-Gâtine Saint-Laurent-la-Gâtine Saint-Lucien Saint-Lucien Senantes Senantes Villemeux-sur-Eure Serazereux Villiers-le-Morhier Villemeux-sur-Eure Villiers-le-Morhier Brezolles Beauche Beauche Bérou-la-Mulotière Bérou-la-Mulotière Brezolles Brezolles Châtaincourt Châtaincourt Crucey-Villages Crucey-Villages Fessanvilliers-Mattanvilliers Fessanvilliers-Mattanvilliers La Mancelière La Mancelière Laons Laons Les Châtelets Les Châtelets Montigny-sur-Avre Maillebois AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 30/95 – Page 3 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR BRIGADES TERRITORIALES CIRCONSCRIPTION ACTUELLE CIRCONSCRIPTION NOUVELLE Prudemanche Montigny-sur-Avre Revercourt Prudemanche Rueil-la-Gadelière Revercourt Saint-Lubin-de-Cravant Rueil-la-Gadelière Saint-Lubin-de-Cravant AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 30/95 – Page 4 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Arrêté du 12 avril 2011 portant modification des compagnies de gendarmerie départementale de Châteaudun, Dreux et Lucé (Eure-et-Loir) NOR : IOCJ1100211A Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Vu le code de la défense, partie réglementaire, III ; Vu le code de procédure pénale, notamment ses articles 15 et R. 15‑22 à R. 15‑26 ; Vu la loi no 2009‑971 du 3 août 2009 ; Vu le décret no 2005‑850 du 27 juillet 2005, Arrête : Article 1er Les circonscriptions des compagnies de gendarmerie départementale de Châteaudun, Dreux et Lucé (Eure-et-Loir) sont modifiées à compter du 1er juin 2011 dans les conditions précisées en annexe. Article 2 Les officiers, gradés et gendarmes des compagnies de gendarmerie départementale de Châteaudun, Dreux et Lucé exercent les attributions attachées à leur qualité d’officier ou d’agent de police judiciaire dans les conditions fixées aux articles R. 13 à R. 15‑2 et R. 15‑24 (1o et 4o) et R. 15‑27 du code de procédure pénale. Article 3 Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté. Fait le 12 avril 2011. Pour le ministre et par délégation : Par empêchement du directeur général de la gendarmerie nationale : Le général de corps d’armée, major général de la gendarmerie nationale, L. Muller AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 31/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE COMPAGNIE Lucé SITUATION ACTUELLE SITUATION NOUVELLE PSIG Lucé PSIG Lucé BR Lucé BR Lucé BT Thivars BT Thivars BT Chartres BT Chartres BT Courville-sur-Eure BT Maintenon BT Illiers-Combray BT Auneau BT Maintenon BT Hanches-Épernon BT Auneau BT Voves BT Hanches-Épernon BT Janville BT Voves BT Janville Châteaudun PSIG Châteaudun PSIG Châteaudun BR Châteaudun BR Châteaudun BT Châteaudun BT Châteaudun BT Bonneval BT Bonneval BT Orgères-en-Beauce BT Orgères-en-Beauce BT Brou BT Brou BT Cloyes-sur-le-Loir BT Cloyes-sur-le-Loir BT Illiers-Combray Dreux PSIG Dreux PSIG Dreux BR Dreux BR Dreux BT Dreux BT Dreux BT Saint-Rémy-sur-Avre BT Saint-Rémy-sur-Avre BT Brézolles BT Brézolles BT La Ferté-Vidame BT La Ferté-Vidame BT Senonches BT Senonches BT Nogent-le-Roi BT Nogent-le-Roi BT Châteauneuf-en-Thymerais BT Châteauneuf-en-Thymerais BT Anet BT Anet BT Courville-sur-Eure AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 31/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale de la police nationale _____ Direction des ressources et des compétences de la police nationale _____ Sous-direction de l’administration des ressources humaines _____ Bureau des gradés et gardiens de la paix _____ Arrêté du 12 avril 2011 relatif au tableau d’avancement au grade de brigadier-chef de police pour l’année 2011 NOR : IOCC1109263A Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Vu la loi no 83‑634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires, ensemble la loi no 84‑16 du 11 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’État, et notamment les articles 56, 58 et 59 ; Vu la loi no 95‑73 du 21 janvier 1995 modifiée d’orientation et de programmation relative à la sécurité ; Vu le décret no 82‑451 du 28 mai 1982 modifié relatif aux commissions administratives paritaires ; Vu le décret no 95‑654 du 9 mai 1995 modifié fixant les dispositions communes applicables aux fonctionnaires actifs des services de la police nationale ; Vu le décret no 2004‑1439 modifié du 23 décembre 2004 portant statut particulier du corps d’encadrement et d’application de la police nationale ; Vu l’avis émis par la commission administrative paritaire nationale compétente à l’égard du corps d’encadrement et d’application de la police nationale en sa séance du 24 mars 2011 ; Sur la proposition du préfet, directeur général de la police nationale, Arrête : Article 1er Le tableau d’avancement au grade de brigadier-chef de police pour l’année 2011 est arrêté conformément à l’annexe ci-jointe. Article 2 Le préfet, directeur des ressources et des compétences de la police nationale, est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration et sur le site intranet de la direction des ressources et des compétences de la police nationale. Fait le 12 avril 2011. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général de la police nationale, F. Péchenard La présente décision peut faire l’objet d’un recours administratif auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration ou d’un recours contentieux devant le tribunal administratif (art. R. 421‑1 et suivants du code de justice administrative) dans le délai de deux mois courant à compter de sa publication. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE LISTE UTILE 1 CHIARI Armand 2 ETIENNE Patrick 3 CANARD Patrick 4 PAPAIS Bernard 5 DUCROCQ Robert 6 REGY Marc 7 BERTUCCHI Alain 8 ADIN Victorien 9 FREY Daniel 10 LALLEMANT Gérard 11 LUSSEAU Thierry 12 NEUBERT Michel 13 LARRAT Jean-Louis 14 LE MOINE Yves 15 ELGER Georges 16 DELAS Patrick 17 DEMONCHAUX Philippe 18 LIEUTARD François 19 TEIL Yves 20 AYA Gilbert 21 THALMENSY Sylvain 22 AMAT Michel 23 LABOUREL Jean-Michel 24 MANRUBIA José 25 POUNEAU Gérard 26 GOUTAY Joël 27 MONFOUGA Claude 28 SCORCIONE Jean-Michel 29 BABEL Pascal 30 TOURRET Éric 31 PIOU LAPANDERIE Corinne 32 BASSO Rachel 33 DEGAND Gilles 34 PUYAU Marc 35 LE MERCIER Christophe 36 BENTOURE Philippe 37 PRETESEILLE Yvan 38 RENAUDIN Philippe 39 LAURENCON VILLECHANOUX THEAS Ingrid 40 JEANNE Sébastien 41 BOSCHER Caroline AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 42 LANGUERRE Philippe 43 LYCAON Luc 44 RAMPNOUX Laurent 45 LECLERCQ Frédéric 46 ANDRE Philippe 47 MAMOSA Mickael 48 AVUNDO Jean-Sébastien 49 FANACK Didier 50 CONSOLA Fabrice 51 BACHA Otmane 52 LAGRANGE Patrice 53 FOURNELLE Sylvain 54 DETEIX Helder 55 WALKOWIAK Sylvain 56 MEYER Frédéric 57 MERIALDO Éric 58 BONICI Franck 59 CHEIKH-BOUKAL Vania 60 ANTOINE Gaël 61 MICHEL Hermann 62 ARROYO Stephan 63 COUFFIGNAL Frédéric 64 CASTETS Nicolas 65 BODET Éric 66 LOTHE Laurent 67 CATTIAUX Éric 68 MORNAY Ludovic 69 LETELLIER LAUBY Fabienne 70 GUILLAUME Cyrille 71 LAVERSIN David 72 JORON Grégory 73 LESNE Christophe 74 MARTIN Frédéric 75 CHARLIER David 76 GUILLEMONT David 77 MICOULEAU Nicolas 78 KSIAZEK Jacquy 79 AYMONIER BOLE Karine 80 EVRARD Damien 81 CHEVALME Alexandre 82 BRAHMIA Akim 83 FAUTREL LEMOINE Patricia 84 NESTOUR Michel 85 CHRISTINA Jacques 86 JEGOUIC Stéphanie AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 3 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 87 ASPE Laurent 88 MACADOUX Anthony 89 NICOTRA DUFEU Vanessa 90 PELLIZZARI Laetitia 91 MOREAU Rudy 92 DESSOMME Willy 93 LE ROUX Hervé 94 BRELAY Grégory 95 FIAMENGHI Yvan 96 ROBERT Philippe 97 KAYSER Jean-Pierre 98 FAUGERE Patrick 99 CARPENTIER Lionel 100 PRESSE Arnaud 101 HAMEL Rose-Marie 102 BUCHARLES Bernard 103 PIERRE Francis 104 LECLER Philippe 105 GRANSARD Éric 106 KLIMEK Olivier 107 DECAMPS Alain 108 DABOUZI Bernard 109 RUHLMANN Stéphane 110 HUYGHE Philippe 111 PILPAY Sylvain 112 LEZEAU Jean-Luc 113 FEDERICI Stéphane 114 SELVA Françoise 115 MOISANT Jérôme 116 DEWITTE Fabien 117 GAUDON Stanislas 118 FERRACCI Étienne 119 JACQUEMOT Michel 120 ROUX Jean-Michel 121 GOUAULT Stephan 122 MORENO Jean 123 BESSET Louis 124 SAUTOT René 125 ENTZ Bernard 126 HUBERT Gérard 127 HUCHET Loïc 128 MOURRAT-CARRERE Bernard 129 FOUDRAIN Jean-Jacques 130 DUARTE Gérard 131 VAN MALDERGHEM Raymond AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 4 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 132 OZOUF Gérard 133 BOIDIN Philippe 134 GUILLOU Joël 135 SCHWAILBOLD BEDU Dominique 136 LIBESSART José 137 DULOU Gilles 138 ILARY Michel 139 RAVIZE Michel 140 MOLINA Bruno 141 PASQUIN Didier 142 GENESTE Serge 143 CARSEL Christian 144 SABOURIN Rolland 145 SEGUELA Jean-Paul 146 BESTAGNO Jean-Jacques 147 VERDIERE Serge 148 CHEVALIER Richard 149 CAVALIE Nicol 150 TROALE Rémy 151 COULOMBEAU Patricia 152 CESAIRE GEDEON Jean-Claude 153 BALTAYAN Jean-Marc 154 GELORMINI Patrick 155 BOLMONT Guy 156 NANTIER Daniel 157 FRANCART François 158 MOULIN Patrick 159 MARTY Gilberte 160 FICHAUX Jacques 161 MAGADUR Bruno 162 EX-MATHE VEQUAUD Stéphanie 163 DE MATTOS Éric 164 CANTREL Nathalie 165 FRIOUX Jan-Pascal 166 SCHMIDT Boris 167 LEMONNIER Francis 168 PASCO Philippe 169 FERNANDEZ Laurent 170 TABARIES Angel 171 JADAUT FEUGAS Agnès 172 CORNEVIN Carl 173 MALLET Béatrice 174 ROSSET Éric 175 BERNADET Christophe 176 AUDIAU Franck AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 5 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 177 CARVALHO Nicolas 178 JEZEQUEL Ronan 179 GUYOT COLLET Murielle 180 LAVOISIER Arnold 181 AUBISSE Laurent 182 BRAGATO Jean-Luc 183 PRIOUR Érik 184 TRAVESSET Pascal 185 BRUTILLOT Martial 186 WOLPERT Alexandra 187 BLANC Jean-Stéphane 188 GUILLOT Martial 189 BRAGER Laurence 190 PENIN FREMONT Virginie 191 GOMEZ Cyril 192 ABADIE Stéphanie 193 NARFIT Stéphane 194 LEMARIE Jean-Francois 195 LE FLOCH GILBERT Stéphanie 196 RODRIGUES Cédric 197 RENOU Stéphanie 198 LAMBERT Fabrice 199 VARNEY Laurent 200 WOYTACZKA SOHIER Céline 201 TOURNEUR POLARD Rachel 202 DUPONTREUE MALVOISIN Delphine 203 MARTINI Pierre 204 LAHOREAU William 205 BEGARIN Pascal 206 POINGT Marie-Laure 207 BENOIT Patrick 208 ZAGARRI Laurent 209 DELALIN Sandra 210 BOUTELOUP DUBOIS Christelle 211 MOREL Stéphane 212 SCAPS Marie-Hélène 213 ETIENNE Jean-Marc 214 HATTAB Grégory 215 MARTEAU Marc 216 LOUSTAU Samuel 217 JAUBERT Pierre 218 DEFOURS Gérald 219 TESTE David 220 LABBE Arnaud 221 DUPRE Samuel AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 6 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 222 PANABIERES Bertrand 223 GIACOMEL Jérôme 224 MALABREDA TASCA Stéphanie 225 GUILBERT Frédéric 226 DUFAUD Nicolas 227 OBLIN Arnaud 228 LIARD Jean-François 229 PIGEONNEAU David 230 RIEBEL CAYEZ Géraldine 231 OBRY Éric 232 DUFENIEUX DRILLET Sandra 233 CORRE Nathalie 234 JURION Carole 235 CHAILLEUX David 236 BRUYANT Romain 237 SAVARY Christophe 238 PIERREUSE Cédric 239 COMBES Stéphane 240 AUGE David 241 LEBRUN Grégory 242 LE CURIEUX Harry 243 OLLIVIER Stéphane 244 BERLAND Éric 245 MEURISSE Hubert 246 DOS SANTOS Stéphane 247 LEVANT Hugues 248 CHADAIGNE Maxime 249 CANAMAS Julien 250 DOMPNIER Éric 251 FOLLET Tony 252 DE CONCEICAO Stéphane 253 DONZE Olivier 254 DIDIER David 255 BONNOT Franck 256 CABAL Christophe 257 JACQUARD Arnaud 258 POINCIN Pascal 259 ARTICO Magali 260 FRANÇOIS Philippe 261 RIERA Philippe 262 BERKANE-KRACHAI Franck 263 CAPPELAERE Laurent 264 ALLEAUME Franck 265 HUGUE Grégory 266 TERRIER François AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 7 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 267 VERSCHOOTE Olivier Emerson 268 GAIGNARD Éric 269 BONNIN LAGRAULET Carine 270 ROQUES Cyril 271 DUBIEF Dominique 272 DE ZANET Laurent 273 RACON Frédéric-Jacque 274 POISSON Frédéric 275 REY Monique 276 MARTIN Serge 277 LEFEBVRE Éric 278 LAURANCE Nicolas 279 HENRIET Christine 280 VANHOUTTE Thierry 281 SOYEUX Jérôme 282 GALLOT Philippe 283 SANIEZ Bruno 284 DEBET William 285 GOUBAND Anthony 286 ROCQUET Thierry 287 MADOUX André 288 VERGOBBIO Laurent 289 TREGROM Sylvain 290 MATIGNON Gérôme 291 DORIDO Élie 292 LASSON Éric 293 PICOT Christelle 294 JULIA Chrystelle 295 ROUSSEL Pascal 296 PINCEEL Jean-Yves 297 SICARD Lionel 298 BOUKHALFA Laurent 299 PLUYART Bertrand 300 PROST Bruno 301 HAUROGNE Ludovic 302 DERNONCOURT Carl 303 BARRETTEAU Laurent 304 WOJTYNOWSKI Alexandre 305 CARAMELLE Yann 306 FANIEN BERGE Alexandra 307 LEMARIE David 308 GOUPY Jean-Christophe 309 BARD CHEVALIER Brigitte 310 MARTINACHE COLOMBO Florence 311 SCHEIBEL BOULAT Danielle AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 8 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 312 CZAJCZYNSKI Freddy 313 KOLASA Franck 314 MOUGIN Jacques 315 FREGIERS Stéphane 316 DESCHAMPS Philippe 317 ROSENSTEIN Thierry 318 LE CORRE Pascal 319 LIENARD Franck 320 MASSON Olivier 321 SOMMERFELD Philippe 322 LEBACQ Bertrand 323 ISNARD Jean 324 GIORGINI Éric 325 BRIAND Nicolas 326 DONZE Christophe 327 PETIT VILLEMUR Valérie 328 HOFSTETTER Daniel 329 EUSTACHE Patrice 330 COUPEZ Hervé 331 PAUMA Christophe 332 FOUET Bruno 333 FRANCHE LECONTE Karine 334 LANDILLON Fabrice 335 SAPIA AIRALDI Sophie 336 CONFORTO Christophe 337 DE MASSIA Philippe 338 FABIANO VERGNE Agnès 339 BERQUET Pascal 340 COCHAT Ludovic 341 MAZAURY Joël 342 TACHOIRES Alain 343 VALERIUS Jean-Jacques 344 GUILLERM Jean-Paul 345 MORTIER Emmanuel 346 BENOIT Richard 347 JACQUIER CLERC Laurence 348 LEBLOND Xavier 349 JAIS Didier 350 NEGREL Jérôme 351 JOLY Sébastien 352 SOURZAT Thierry 353 BARCELO Christophe 354 VEIGNIE Emmanuel 355 BRIMALDI Bruno 356 DUMONTEIL Christian AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 9 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 357 OUAHNOUNA Samuel 358 DUSSARPS GIOVANI Laurence 359 HEMONNOT MILLET Corinne 360 SPINELLI Lisa 361 MOLLER Cyril 362 TILLIER Régis 363 NABOULET BUSSIERE Virginie 364 SEXTIUS Fritz 365 TRINEZ Grégory 366 PLOUVIN Michael 367 PARMENTIER Alban 368 DEGUILHEN Franck 369 CAUDRON Patricia 370 KWIECIEN Nathalie 371 BERT CHALUMEAU Séverine 372 TRANNOY Bruno 373 DELSAUX Anthony 374 GUILLEMAIN Dominique 375 PEREZ Frantz 376 GIROUD Jean-Luc 377 PERNAR Marko 378 RUBLIN Gaëtan 379 ALBERT TISSOT Laetitia 380 MICHIELS Pierre 381 BLAQUE Patrick 382 ESCHERRY Thierry 383 BOUQUET Christophe 384 BARNIER Valérie 385 SANTA-MARIA Raphaël 386 GIGOT Yannis 387 OLIVIER Arnaud 388 HIERLE Jean-Francois 389 GUILLOT Céline 390 ROUBAUD SANTA-MARIA Patricia 391 PICQUART Pascal 392 MILOT Véronique 393 BRIOT David 394 BAUBAUT Florence 395 ALATIENNE Jean-Luc 396 TASIEMSKI Sylvain 397 MARTINEZ Christian 398 SICRE Franck 399 LUCCHESI Roland 400 MOULART Sébastien 401 STAAB Éric AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 10 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 402 BLANCHOT SOBIRAJ Sandra 403 SIX Ludivine 404 LEFEBVRE Fabrice 405 ARNAUD FABRE Nathalie 406 LE MEUR Stéphane 407 BLACHAS Jean-Marc 408 ESCALANT Franz 409 SAUVAT Laurent 410 CHEREAU Laurent 411 DEMAREST DHELIN Karine 412 MARTINS Georges 413 LAVIE Sébastien 414 TOUQUET Stéphane 415 HUGUES Olivier 416 TECHINE Franck 417 VALLIER Patrick 418 FAUQUET Frédéric 419 POIRIER BECHARD Anita 420 LACAILLE Roch 421 LECLERCQ Frédéric 422 DUREUTH Axel 423 CARELLA David 424 FLUSIN COQUELLE Christine 425 PITOT AIMARETTI Christophe 426 MARET Sylvain 427 MATELLI Jean-Philippe 428 SPACCESI Guy 429 TOMASI Jean-Jacques 430 SIMON Laurent 431 TISSOT Alain 432 BOULEY Laure 433 GARCIN-COUSTOLLE Pascal 434 CAZEAUX Cédric 435 PONCHANT Grégory 436 ATTYASSE Philippe 437 BASSI Kamel 438 DESRUMEAUX Gilbert 439 LEMAIRE Séverine 440 LLORET Sébastien 441 VANDEVOORDE Sébastien 442 CAYET Christophe 443 BERANGER Simon 444 POMART Marie 445 FOLI Dominique 446 BRANCHESI Sébastien AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 11 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 447 SALLES Arnaud 448 DECLERCK Caroline 449 VIAL Jérôme 450 FROISSART Sébastien 451 LEMANT Philippe 452 POLECINSKI Laurent 453 BUHR Christian 454 BOISARD Arnaud 455 BERGER Olivier 456 TIGNOL Philippe 457 LENNE Ludovic 458 GAMOT Ludovic 459 REZE Graziella 460 KROLIKOWSKI Laurent 461 ZIMERMANN Marc 462 BUARD Christophe 463 BUONO Laurent 464 BUISSON Franck 465 BALOCHE Aymeric 466 THORAL Coralie 467 LEBON Laurent 468 DHALENNE Frédéric 469 MAQUERRE Yvan 470 LECOINTE Benjamin 471 VASSARDS-MORELLI Laurent 472 BORDELAIS Franck 473 TAISNE Fabrice 474 VASSIER Jérôme 475 MASSO David 476 PARADIS Arnaud 477 GERARDEAUX GIRAUD Perrine 478 BERNARD David 479 BRENNEUR David 480 CABUT Philippe 481 BOUYE David 482 HUTEAU Benjamin 483 PANES Cédric 484 FRANCOIS Frédéric 485 BROC Fabrice 486 PAUPARDIN Sandra 487 LEMAIRE Nicolas 488 JANOT Christophe 489 BARTHOLOMOT Nicolas 490 GENESTIER Stéphane 491 LORIENTE Olivier AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 12 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 492 PATEY Yannick 493 MONNIER Stéphane 494 DUBREUCQ Grégory 495 BOUCHET Jérôme 496 VIVIER-MERLE Jérôme 497 LAPIERRE Sébastien 498 SINANYAN Vincent 499 CHEIZE Cédric 500 HOOTEN Christophe 501 AUCANTE Christophe 502 DESCOURQUEUX Erwan 503 SAFOURCADE Patrick 504 NIVOT Benoît 505 GRENIER Sylvain 506 DENIS Mickael 507 BOILLOT Sébastien 508 WILHELM Steeve 509 AMATO Jean-Baptiste 510 PETITJEAN Franck 511 CAMPLO Yannick 512 GRANGIE Bernard 513 COUNAN Jean-Michel 514 JOETS Olivier 515 MASUY Jérôme 516 RICHARTH Pascal 517 DUCHAND Hervé 518 LACOMBLEZ Tony 519 GRISON Olivier 520 DELUGA Frédéric 521 KEMPNICH Dominique 522 BONGARD Cédric 523 HABOUZIT Guillaume 524 EMEL Christophe 525 MAILLET Yannick 526 ZIMMERMANN Cedrik 527 CHAVANNE Emmanuel 528 COQUELIN Alexis 529 BERNARD Alex 530 ALAUZET Guilhem 531 DESCOUT Damien 532 BELLAHCENE Mohamed 533 DECHAVANNE Loïc 534 FABISCH Laurent 535 HAUMESSER Grégory 536 NALIN Laurence AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 13 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 537 JEROME HERRMANN Nathalie 538 SARAIVA Nicolas 539 DONGUY Régis 540 PHAROSE Isabelle 541 BUTIN Grégory 542 PAITA Jérôme 543 WEHRUNG Frédérique 544 SERRANO Samuel 545 BAIS Jérôme 546 MARIE Xavier 547 AGULLO Jean-Marie 548 DEMAREZ Jean-Jacques 549 FERAL PERRET Jocelyne 550 DOLMEN Valéry 551 WONG PIN Bernard 552 MOREAU Didier 553 BAKOWSKI Philippe 554 VALERA Alain 555 CANU Jérôme 556 VANNEREAU JUERY Caroline 557 GUITHON Claudine 558 MARECHAUX Christophe 559 VITTORI Philippe 560 LUGAS Catherine 561 VAN CUTSEM Vincent 562 BAUCELIN Thierry 563 ROCHE Christophe 564 CARBONE Elvis 565 VALLIANT Bertrand 566 FAR Hadel 567 BAULAN Mickael 568 RENO Richard 569 BESSERVE Olivier 570 CROCHET Sébastien 571 CHOUISNARD Laurent 572 CASTAGNA Éric 573 LASFARGEAS Pierre 574 BUTIN BARTH Sandra 575 BERGEAUD Cédric 576 HERVE Patricia 577 LE TOULLEC AUTIN Stéphanie 578 FIERQUIN Thierry 579 RATAJCZAK Benoît 580 GATEUIL Stéphane 581 BARBIER Adhemar AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 14 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 582 GAUBERT Sébastien 583 JOFFROY Christophe 584 TOULLEC Thierry 585 PASQUIER Philippe 586 BONNEAU Raphaël 587 BAUJON DRILLAUD Barbara 588 ALEXANDRE Stéphane 589 TEILH Hervé 590 DEVEAUX HIDE Karine 591 SABOUL Ludovic 592 BOULME Vincent 593 DIAZ Jean-Charles 594 CHARPIGNY Joffrey 595 LE BON Franck 596 PONSART Benoît 597 FASQUELLE Patrice 598 LESTAVEL Sylvain 599 GUILLARD Alain 600 TERRASSON Cédric 601 COLSENET Cédric 602 HOLGADO Tony 603 HURSTEL Cédric 604 LABARRE Christophe 605 TIRACHE Cyril 606 POGRZEBA Patrice 607 ADELIS Sandrine 608 JONDEAU Stéphane 609 BENKHIRA Céline 610 VEUX Guillaume 611 TALLET Hervé 612 GAGNY Fabien 613 LEROY Dimitri 614 LABARERE Fabien 615 LEPINEUX Sébastien 616 LEPINAY Frédéric 617 DUMAS-PEYRACHON Christophe 618 PETTE Michael 619 MAJDANSKI Nicolas 620 NICOLAS Alexandre 621 FIMBEL Xavier 622 AGUESSEAU Marc 623 EDELWEIN Alexandre 624 GRAILLOT Isabelle 625 BONHOMO Olivier 626 FAUCONNIER Daniel AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 15 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 627 JOURNET Guillaume 628 MARCALO Antonio 629 BIGAND Olivier 630 PANDION Yannick 631 HERNANDEZ Nicolas 632 GUERBER Jérôme 633 MAZE Yoann 634 FLORENT Christophe 635 TUZI Fabien 636 GUELLAFF Yann 637 LEDUC Grégory 638 MAUTZ Frédéric 639 BILSKI Étienne 640 BECLIN Jérôme 641 FOURQUET Jean-Michel 642 PAULIN Ludovic 643 LAURENT Patrick 644 DUMAS Christophe 645 CORSAIN David 646 COMBES Éric 647 PERNET Raynald 648 CHARPENTIER Sylvain 649 JACQUINOT Benoît 650 SMULKOWSKI POUPARD Céline 651 SURSIN Xavier 652 VAUDIN Michael 653 HY PIACENZA-HY Jessica 654 ZAKRZEWSKI Olivier 655 DIMITRIADES Constantin 656 FAJFAR Emmanuel 657 EMMANUEL Trevor 658 GEERSSEN ROY - GEERSSEN Sabrina 659 ROUSSEAU Cédric 660 RAVOLET Raphaël 661 RIGAUT Gérald 662 DINAN Gérald 663 BARRIERE Stéphane 664 MARTIN Lionel 665 MARTIN Gérard 666 LOISY Mathieu 667 DEZERE Olivier 668 SAIM Jean-Marie 669 BAILLY Florence 670 DE BRABANDERE Raphaël 671 HARET Philippe AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 16 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 672 AMABILE Lionel 673 HEBERT Jérôme 674 HENGUELLE Sabine 675 BERNARD Tony 676 BAINCONAU Laure 677 CHANAS Laurent 678 LECRIVAIN Vincent 679 AMAR Franck 680 ROLLY Pascal 681 PEUCAT Fabrice 682 THIRIONNET Stéphane 683 MARTIN Sébastien 684 SISSOKO Yann 685 HERTOUT Agnès 686 MAILLARD Jean-Charles 687 DUMEZ Olivier 688 CAFFARATTI Benoît 689 SCHINELLI Jean-Francois 690 SIRAUX Cédric 691 CAPIAU Anthony 692 CHATENAY Olivier 693 PLEURDEAU Hervé 694 CONTASSOT Noël 695 PALMIER Jean-Claude 696 BRIOUDE Cyril 697 PAYAN Michael 698 DARBOUX Philippe 699 HERNOT Cédric 700 SENICOURT Arnaud 701 MARTINEZ Michel 702 MONTFORT Pascal 703 VERDIER DELAIRE Nathalie 704 MONNIER WITTERKOER Élodie 705 BOITRELLE Gilles 706 CROTEL Guy 707 JACQUIN Pascal 708 LEBORGNE VANDENNIEUWEMBROUCK Hélène 709 KUTENICS Arnaud 710 DELANNOY Arnaud 711 HENNUYER Aurélie 712 BLAVIN Sébastien 713 GERIN Alexandre 714 BOHRER Bruno 715 MOURGUES Didier 716 MENDEZ Frédéric AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 17 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 717 HOARAU Émile 718 BERGS Philippe 719 REZZOUG Jamel 720 LAPOINTE Guy 721 DESTROST Patrick 722 LONGERINAS Philippe 723 DARONNE Didier 724 GAUDIN Fabrice 725 DA SILVA Isabel 726 LENGLET Fabrice 727 BESSON Yves 728 REINA Thomas 729 DE BROUWERE Vincent 730 GANGLOFF Emmanuel 731 DUBUC THOMAS Céline 732 RODRIGUEZ Michael 733 LEFEVRE Christian 734 NOGUERO Pablo 735 CLEMENT Arnaud 736 VIN Sandrine 737 ZAFRANI Fortunée 738 PRADEL David 739 COQUELLE Yann 740 RENARD Alexandre 741 BOYE Sébastien 742 ROMANO Vincent 743 VIGNERON Cédric 744 DEBRUYNE Michel 745 CARMINATI Cécile 746 BELLIER Arnaud 747 FRIEDEL Barbara 748 LAMADE Bruno 749 MONTAGNE Grégory 750 DARDE Thierry 751 ATLATI HARDY Nassera 752 MARX Rachel 753 BOUGARAN Yohan 754 EVANNO Frédéric 755 CORMIER ARGOUARCH Angélique 756 BELABAOUB Ali 757 BRUNNER Audrey 758 OTTAVI Toussaint 759 LEBRAS Ludovic 760 RIVIERE Christophe 761 MAIZIERES Cédric AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 18 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 762 GODARD Xavier 763 LEMAIRE Frédéric 764 MARIAMA Julien 765 MOREL Laurent 766 EMONIN GICQUEL Frédérique 767 DERET Dominique 768 CROMBEZ David 769 DA SILVA David 770 DEBONNEVILLE Francois 771 DAGUE Lydie 772 SCHMITT William 773 HUITELEC Yannick 774 BOYER Nicolas 775 JEANGEORGES Vincent 776 DENORME Fabrice 777 PELLETIER Véronique 778 PROFILI Patrick 779 ROUSSEAU Angelika 780 MAILLET Yannis 781 OSIKA Vincent 782 ROLLO Sébastien 783 LAMBRINIDIS Christophe 784 VON TSCHIRSCHKY Ève 785 MAISTO Laurent 786 TIGROUDJA Amar 787 GRASSET Thierry 788 MEZOELA Claude 789 LEBAS Laurent 790 RASTOLL Stéphane 791 CLABAUT Mehdi 792 GRANGE Emmanuel 793 PAPON Maximin 794 QUONIAM Jacques 795 MOUSSA Karim 796 DELY Franck 797 CHAUNAVEL Romain 798 DELABROYE CHAUNAVEL Stéphanie 799 BENOIST Renaud 800 DENAIS Christophe 801 KOUYOUMDJIAN Philippe 802 RADZINSKI Cédric 803 MARCOU Patrice 804 THERY Jean-Michel 805 LE PAPE Valéry 806 PEIX David AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 19 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 807 BELLIVIER Magali 808 STRAINCHAMPS Jérôme 809 DUCROQUET Olivier 810 ROGER Damien 811 LEBLED Laurent 812 DESPREZ Renald 813 SIMON Sandrine 814 CHOPIN Yann 815 CLAUDE Stéphane 816 MULA Arnaud 817 GUICHARD Sonia 818 CHAUMERLIAC Marc 819 SAVA Andrei 820 ADIGUE Abdel 821 FADEL GUEGUEN Nadia 822 LANOT Antoine 823 BRUNEL Guillaume 824 BOCH Stephan 825 POCO Mario 826 DAMOIS Fabien 827 BARRANCO Franck 828 HURTREL Julien 829 GWIZDEK Gabriel 830 SASSI Jean-Michel 831 LERICHE Christophe 832 CASSIER Ludovic 833 LAGANT Max 834 ROUX Adrien 835 MANENS Christophe 836 RAVANELLI Olivier 837 CARRERE Lionel 838 PASTORELLI Cédric 839 BECEIRO Ghislaine 840 BARAT Benoît 841 LALLEMAND Roger 842 GRUND Raynald 843 SEBAN Laurent 844 DELALANDE Laurent 845 STRAGAPEDE Pasquale 846 LE GUEUZIEC Olivier 847 SEIGNEURIE Christophe 848 TAQUET BLEUSE Sandrine 849 LAPASIN Carine 850 ALLET Laurent 851 ESPIN REQUENA Nicolas AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 20 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 852 ZAPPATORE Bruno 853 BERNE Valeryane 854 FERAY Nathalie 855 VALETTE Fabrice 856 CHARTON Philippe 857 SAVARY Delphine 858 LORENTE Alexandre 859 BASTIEN Anthony 860 FOULON Olivier 861 DOCHEZ Dorothée 862 PERNEL Cédric 863 QUESADA Antoine 864 FREGISTE Frantz 865 DISARBOIS KERBERENES Martine 866 CORDIER CORDIER-GUSINAC Johnny 867 JOACHIM ARNAUD Olivier 868 CORRE Michael 869 BRACONNIER Julien 870 BRIEND Nicolas 871 BRUNO Angelo 872 NAPOLEONI Muriel 873 GALIMARD Sylvie 874 DESCLAUX Frédéric 875 SALVI LEGLISE Sophie 876 TERRAL LASPOUGEAS Béatrice 877 LETANG Christophe 878 AKRICH David 879 LABRIET Stéphane 880 POISSON Yann 881 PLOS Arnaud 882 DOS SANTOS Jorge 883 LAJOYE Philippe 884 RANVOISE Olivier 885 GOMMIER Frédéric 886 ROUMIGUIERE Christophe 887 BRUNET Laurent 888 LEVEAU Xavier 889 BRANJONNEAU Franck 890 SANDANCE Jean-Pierre 891 COULANGES David 892 DRINAL Denis 893 BENARD Fabien 894 NATIVEL Jean-Pascal 895 FOUCHE Damien 896 BOREL Pascal AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 21 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 897 MARTIN Nicolas 898 ANTUNES GODISSEK Laetitia 899 BOIVENT BRIAULT Nadège 900 RAPANAKIS Stéphanie 901 GONZALEZ Christophe 902 VALETTE Sophie 903 BELFAN Matthias 904 BARBAUX Éric 905 PERUS Christophe 906 JARDAOUI Radoine 907 HOURDOUILLIE Rudy 908 OF Marion 909 THEZARD Moïse 910 BESSON SORO Stéphanie 911 CARCAU David 912 FURIGA Arnaud 913 BEAUGRAND Frédéric 914 MACCHIARINI Alain 915 QUIRIGHETTI Jérôme 916 CARON Frédéric 917 BOURDONCLE Fabrice 918 HENRIETTE Clarel 919 PONTOIZEAU Franck 920 SOYER Valérie 921 COYEZ Frédéric 922 VANDENNIEUWEMBROUCK Michael 923 LAZIZ Mohamed 924 TUAL Yohann 925 VALMORIN Nathanael 926 MUSSO Marc 927 LEDENTEC Yann 928 GUERRIN Laurent 929 LUTIGNEAUX Thomas 930 MARIANI Julien 931 DELUGEAU Cédric 932 NOEL Siegfried 933 GOUSSOT Martial 934 GUILLO Laurent 935 DHORDAIN Grégory 936 VISENTIN Thierry 937 RONCIN Sandrine 938 DUCHENE Philippe 939 MAJKA Marzena 940 LOESEL Johan 941 MALBLANC Jean-Baptiste AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 22 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 942 GIRAUDEAU Thomas 943 SIMON GIRAUD Hélène 944 GIRON Cyrille 945 HOUSSARD Rémy 946 DANIEL Nicolas 947 EL AZZI Patrick 948 COTELLE Jean-Emmanuel 949 EL MOHADAB Salih 950 GALLOIS Cédric 951 DIBOS Laurent 952 RIZZETTO Jérôme 953 DHALLUIN LEDENTEC Bénédicte 954 GALLET Michael 955 LEFEL Mario 956 MONTET Fabien 957 BOTTELLI DEBOST Estelle 958 AMBROSE Joseph 959 LE CALLOCH Cyrille 960 PRIVAT Philippe 961 ROBIN Didier 962 MORTIER Laurent 963 JACQUIN Laurent 964 MALLET Frédéric 965 PETRICIC Isabelle 966 MOREAU Cédric 967 PROUTEAU Jérôme 968 ADAM Frédéric 969 YUSTE David 970 BONNIN Cyrille 971 POITOUX BORNON Linda 972 PETIT Grégory 973 DURCUDOY Guillaume 974 RABIN Sébastien 975 BEAUDUCEL Richard 976 CAUVIN Cédric 977 DORDET Guillaume 978 LAPLACE Christophe 979 DE BRITO Chantal 980 CANALE Fabien 981 VALECCHI Albano 982 SARROUL Arnaud 983 TEXIER Éric 984 GIRARD Yoane 985 POULIQUEN Lionel 986 VALVERDE Rémy AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 23 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 987 MALDONADO François 988 LACOMARE Frédéric 989 MAGAIN Olivier 990 CHAUMETTE Thierry 991 MACQUIN Florent 992 GRAND Hervé 993 DEPLAIX Jorry 994 BARROO Erwan 995 LAMIAUX Norman 996 GLABIEN Jérôme 997 ALBRILE Gilles 998 JEAN-FRANCOIS Jean-Jacques 999 MOHR Laurent 1 000 MILLE Anthony 1 001 MANNESSIER Caroline 1 002 COINTAT Jean-Yves 1 003 MARTIN RAMADE Sylvia 1 004 LEGER Karine 1 005 DRUOT Daniel 1 006 DELION Cyrille 1 007 DE L’ECLUSE Christophe 1 008 FAURE Sébastien 1 009 BRULEY Alexandre 1 010 JOAO Fernande 1 011 PERIA SIMBIN Frédéric 1 012 CRASSOUS Didier 1 013 LEON Thierry 1 014 KRIEF Olivier 1 015 BACKES Éric 1016 CLIN Raphaël 1017 ALLEMAND Samuel 1018 KERBOUL Céline 1019 BLOT Jean-Mary 1020 LEROY Stéphane 1 021 MAZZOLI Michel 1 022 GOURBI Régis 1 023 LADRIERE David 1 024 NATIVEL Fabrice 1 025 BRETEL Christophe 1 026 ULYSSE Didier 1 027 TRULLA GUILMAIN Amélie 1 028 AGRET Céline 1029 CHARDA Ahmed 1 030 VIDAL Jérôme 1 031 TACHEBOUBET Nourdine AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 24 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1 032 VERDIER Éric 1 033 FRANCIN Olivier 1 034 TOSIC Alain 1 035 LAMANDE Mickael 1 036 CAVELL Élisabeth 1 037 LAPRUNE Christophe 1 038 BOUREL Christophe 1 039 FINOCIETY Frédéric 1 040 JEGOU Erwann 1 041 ADAMSKI GIRAUDEAU Alisson 1 042 RAFFIER Stéphane 1 043 MANFRINATO Jérôme 1 044 MOUCHEL Boris 1 045 LEONARDI Nicolas 1 046 PAGES Frédéric 1 047 FORTES Gustave 1 048 AUDEGOND Clément 1 049 RAIMBAULT Alexandre 1 050 MONTAGU Éric 1 051 THOMAS Marcel 1 052 CUSAN Iber 1 053 BONIKOWSKI NICOU Betty 1 054 BARDOCHAN Charly 1 055 GUIDICI Arnaud 1 056 LECHENAULT Hervé 1 057 DELPECH Éric 1 058 HOUZIAUX Laurent 1 059 HAQUET Virginie 1 060 ROBERT Philippe 1 061 CROS Stéphane 1 062 LAPORTE Arnaud 1 063 GEAY Philippe 1 064 STIL Bastien 1 065 THIRAULT RIMBERT Joëlle 1 066 GODIN Franck 1 067 SIMONIN Jean-Yves 1 068 CHAILLIE CHAILLIE-LAMERE Odile 1 069 JOUANNE Olivier 1 070 VALON Gilles 1 071 GAUTHIER Stéphanie 1 072 GUILLOU Bernard 1 073 PIERRE Alain 1 074 CORNILLE Vincent 1 075 DA SILVA PEREIRA Laurent 1 076 MANCINI Serge AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 25 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1 077 PITOUX-MASSON Alain 1 078 LE BARS Gaëtan 1 079 HABASQUE Francois 1 080 PARENTIN Sandrine 1 081 VICTOOR Olivier 1 082 DIF Olivier 1 083 SECOUE Mickael 1 084 CAMPENON Fabrice 1 085 MACCARI Olivier 1 086 COMMENE Yvan 1 087 PORQUIET Stéphane 1 088 TOQUE Patrick 1 089 BERRUYER Philippe 1 090 GUILLAIN Arnaud 1 091 COULANGE Davy 1 092 ROCH Guillaume 1 093 SORIN Ulrich 1 094 LE BOZEC Sébastien 1 095 PREJAN Vincent 1 096 LENOTTE Aurore 1 097 BRIE Yann 1 098 NEUHAUSER Cédric 1 099 CARO Patrick 1 100 CHENAUX Alain 1 101 BAILLY BAILLY-ROCHA Bélinda 1 102 MONCHECOURT Michael 1 103 VIDOT Thierry 1 104 MILITZEK Frédéric 1 105 HENNO Christophe 1 106 L HERRON Julien 1 107 PERRICHON Audrey 1 108 BIGNON Guillaume 1 109 MARTIN Jean-Michel 1 110 COUDERC BREMOND Sylvie 1 111 VIDBERG Christophe 1 112 BOY Thierry 1 113 ALEXANDRE ROCHART Corinne 1 114 LOCATELLI Carole 1 115 DUPUIS Jean-Philippe 1 116 JACA Arnaud 1 117 CHAUCHARD Henri-Paul 1 118 ROULON Philippe 1 119 EVDOKIMOV Igor 1 120 PERON Christophe 1 121 FARRE Pierre AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 26 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1 122 PETIT Jean-Philippe 1 123 BERNARDIN Frédéric 1 124 RIVARD Anthony 1 125 THIMONIER David 1 126 MONTAILLIE Christophe 1 127 BURON Julien 1 128 FUZELLIER Florian 1 129 ETEVE Laurent 1 130 COULON David 1 131 CELISSE Cyrille 1 132 DAVY François 1 133 BROGLIO Frédéric 1 134 AUMIS Guy 1 135 BARBIER Philippe 1 136 GILLON COUTARD Véronique 1 137 LAMBEC Jean-Noël 1 138 BARRY Mamadou 1 139 COUBRET Bruno 1 140 ANCONETTI Jean-Michel 1 141 RENNES Patrick 1 142 LEROY Hugues 1 143 PEROIS Bruno 1 144 SUCHET Jean-Jacques 1 145 BODDAERT Jérôme 1 146 CADORET Serge 1 147 MARTINEZ Éric 1 148 LABAYSSE Michel 1 149 GARBE Laurent 1 150 HULOT BALDET Laurence 1 151 LACOUTURE VANDENABEELE Sandrine 1 152 HEBERT François 1 153 DELFERRIERE Christian 1 154 GOMEZ Thierry 1 155 VOLETTE Bruno 1 156 CAGNIARD Raymond 1 157 WIECHOWSKI Dominique 1 158 LITZELMANN Patrick 1 159 MARIN Bruno 1 160 URBIN Emmanuel 1 161 BOICHE Philippe 1 162 DUMOT BETTINI Céline 1 163 LAMM FONTANELLE Michèle 1 164 KAJA David 1 165 LOIZEAU DELAMESIERE Valérie 1 166 FEL Jacques AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 27 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1 167 PRINGARBE Norbert 1 168 BELISSENT Jean-Luc 1 169 BESSONNIES Sylvain 1 170 LOQUET Jacques 1 171 DUPONT Jacques 1 172 NEROT Michel 1 173 MEGHAZI BATAILLE Stéphanie 1 174 BETTINI Bruno 1 175 BARJOLLE Éric 1 176 CHAPELLE Cyril 1 177 LECARDEUR Christophe 1 178 DOUBLET Yannick 1 179 DEMICHEL Jean-Marie 1 180 CHAUDRE Alexandre 1 181 PEROLINI Vetea 1 182 ALLARD-MEEUS Germaine 1 183 CALVEZ Sandrine 1 184 MARZEK Jean-Michel 1 185 FERRAND Vincent 1 186 FOURNEL Gilles 1 187 MIEZAN Richmond 1 188 MAUGET Philippe 1 189 GARNIER GILLET- GARNIER Sandrine 1 190 DEFAUX David 1 191 POUZELGUES Stéphane 1 192 LIEBERT Isabelle 1 193 DUBUCQ PERUS Anne-Charlotte 1 194 JEZEQUEL Stéphane 1 195 ANGEL Arnaud 1 196 MONTIALOUX Jean-Louis 1 197 WALLE Sandy 1 198 QUENSON VANDENBERGHE Isabelle 1 199 PLUCHART Cécile 1 200 DELORME Fabrice 1 201 SCHMIDT Patrick 1 202 PAUL Philippe 1 203 BERNEDE Michel 1 204 DUJARDIN François 1 205 LABONDE Guillaume 1 206 CESARD Pascal 1 207 LECAMUS Marina 1 208 SOLIS Alain 1 209 SIMARD Gérard 1 210 COPPEY Éric 1 211 DUBOIS Jean-Marc AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 28 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1 212 PERRIER Lionel 1 213 JOUBERT Hugues 1 214 PIERRE Rémi 1 215 GAUDIN Vincent 1 216 LILLO Christian 1 217 RAGOT Dominique 1 218 FIEVET Christian 1 219 GASTON Jérôme 1 220 RAKOTONDRAMASY Laurent 1 221 RANQUET Jean-Philippe 1 222 CHATELAIN MARCO Brigitte 1 223 DIOLOT Cyril 1 224 MALARD Dominique 1 225 MOZOLA Patrick 1 226 DE PASCALE Jean 1 227 JULE Philippe 1 228 POTTIER Franck 1 229 FOUBERT Philippe 1 230 FAIVRE Dominique 1 231 JAROSZYNSKI Jérôme 1 232 COULET Marie-Charles 1 233 HAMZA Saïd 1 234 RODIER Fabrice 1 235 TRAN THANH THIEN Thierry 1 236 MASCLET Claude 1 237 LECLOU Franck 1 238 DELROISE Patrick 1 239 RENOULLEAU Laurent 1 240 BATS Fabrice 1 241 PENOT Gilles 1 242 PINSON Olivier 1 243 CROES Sébastien 1 244 KOUKA Luyanga 1 245 HERAUD Lionel 1 246 GARNIER HUBY Isabelle 1 247 POMMIER - RENIA Dominick 1 248 MINNE Jean-Louis 1 249 PEUDENIER Vincent 1 250 BEAUFILS Wilfried 1 251 RAEL Mathieu 1 252 BELTRAN Arnaud 1 253 MILESI Xavier 1 254 RAYMOND Loïc 1 255 ANAGNOSTOPOULOS Georges 1 256 PETIT Christophe AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 29 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1 257 ILLICHE Michael 1 258 LEMONNIER Philippe 1 259 ALLEAUME Philippe 1 260 PASSOT David 1 261 GUINFOLLEAU Christophe 1 262 GONCALVES Manuel 1 263 KADARBI Radouan 1 264 HAJLI Youssef 1 265 ALEXANDRE Gaël 1 266 MODICOM Fabien 1 267 CABANIE Jérôme 1 268 COULOUMA Delphine 1 269 LIZEUX Laurent 1 270 TOUZARD Romuald 1 271 SAMARAN Lionel 1 272 COTREZ Mickael 1 273 LABONDE Willy 1 274 JAMES Patrick 1 275 CEA Serge 1 276 GARCIA Patrick 1 277 LE GUILLOU Jean-François 1 278 GEMELLARO Alexandre 1 279 BELLEUVRE Bruno 1 280 RACCA Nathalie 1 281 SALOU Gilles 1 282 DUPONT Joëlle 1 283 HENIN Jean-Louis 1 284 ABRIAL Patrick 1 285 DUPONT Thierry 1 286 NICOL Christophe 1 287 CRETEL Arnaud 1 288 SALVY Patrick 1 289 FORESTIER Jean-Charles 1 290 RAYMOND Romain 1 291 LE BRUMENT Philippe 1 292 PIEUX Christophe 1 293 VARLET Olivier 1 294 BUGADA Sébastien 1 295 KERMERGANT Yann 1 296 BOUR Philippe 1 297 GILLET Philippe 1 298 WECH Patrick 1 299 WASSELIN Dany 1 300 DOYEN Bernard 1 301 CHAIGNEAU Dominique AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 30 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1 302 LUSIER Claude 1 303 LE GRAND Daniel 1 304 THOMASSIN Régis 1 305 SCHWITZER Patrick 1 306 BRETEAUX Philippe 1 307 DURAND ARNOUX Brigitte 1 308 BONUTTO Richard 1 309 BENETREAU Jérôme 1 310 LE MOUEL Claude 1 311 REMY Éric 1 312 CAPART Claude 1 313 ROCHE Marcel 1 314 PRODHOMME Martine 1 315 POUCH Bernard 1 316 BOURREAU Cyrille 1 317 GUEDON Christophe 1 318 POUBLAN Serge 1 319 OLIVIER Michel 1 320 GOUTIERES Yvan 1 321 COLANGE Daniel 1 322 PEYRE Laurent 1 323 BANAS Étienne 1 324 LE NAOUR Patrice 1 325 SELLIER Patrick 1 326 BINEAU Jean-Marc 1 327 GIACALONE Francois 1 328 DELIENS Patrice 1 329 RICHARD David 1 330 FOURNET Laurent 1 331 LASSERRE Patrick 1 332 GRANADOS Serge 1 333 SABALOI Christian 1 334 ALLARD Michel 1 335 FANCHONE Luc 1 336 AMADIS Bruno 1 337 DESPLACES Alain 1 338 GEORGE Cyprien 1 339 FABRE Patrice 1 340 PEREIRA Alexandre 1 341 SYLVANISE André 1 342 GOUTHIER Éric 1 343 GOMEZ Jean-Claude 1 344 NATTIER François 1 345 FIOLET Luc 1 346 PIGEOT Didier AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 31 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1 347 YADAN Victor 1 348 PIERQUIN Olivier 1 349 BAUX Christophe 1 350 ROSAMOND Jean-Max 1 351 BAUDRY Jean-Jacques 1 352 BIEBERSTEIN Loïc 1 353 DURAND Jean-Marc 1 354 MARTIN Jacques 1 355 MITH Karicia 1 356 MONNIER Serge 1 357 GUENNAS Boualem 1 358 DUTHILLEUL Jean-Luc 1 359 AUSSENAC Jean 1 360 FOURMY Erik 1 361 COURTOIS Marie-Hélène 1 362 SAINT SOLIEUX Alain 1 363 BARNABA Albert 1 364 MOTILLON Gérard 1 365 JOURDAIN Thierry 1 366 BOYER Guy 1 367 BERTIN Jacques LISTE COMPLÉMENTAIRE 1 368 MAUDUIT GREBER Christiane 1 369 BEHAGUE Christophe 1 370 BLANC Marie-Pierre 1 371 AUGUSTYNEK Christophe 1 372 KUBLER Vincent 1 373 RIZZATO DROOLANS Laetitia 1 374 LAUDICO Louis 1 375 CARLES Alain AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 32/95 – Page 32 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale de la police nationale ________ Direction des ressources et des compétences de la police nationale ________ Sous-direction de l’administration des ressources humaines ________ Bureau des gradés et gardiens de la paix ________ Arrêté du 12 avril 2011 relatif au tableau d’avancement au grade de major de police pour l’année 2011 NOR : IOCC1109265A Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Vu la loi no 83‑634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires, ensemble la loi no 84‑16 du 11 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’État, et notamment les articles 56, 58 et 59 ; Vu la loi no 95‑73 du 21 janvier 1995 modifiée d’orientation et de programmation relative à la sécurité ; Vu le décret no 82‑451 du 28 mai 1982 modifié relatif aux commissions administratives paritaires ; Vu le décret no 95‑654 du 9 mai 1995 modifié fixant les dispositions communes applicables aux fonctionnaires actifs des services de la police nationale ; Vu le décret no 2004‑1439 du 23 décembre 2004 modifié portant statut particulier du corps d’encadrement et d’application de la police nationale ; Vu l’avis émis par la commission administrative paritaire nationale compétente à l’égard du corps d’encadrement et d’application de la police nationale en sa séance du 24 mars 2011 ; Sur la proposition du préfet, directeur général de la police nationale, Arrête : Article 1er Le tableau d’avancement au grade de major de police pour l’année 2011 est arrêté conformément à l’annexe ci-jointe. Article 2 Le préfet, directeur des ressources et des compétences de la police nationale, est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration et sur le site intranet de la direction des ressources et des compétences de la police nationale. Fait le 12 avril 2011. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général de la police nationale, F. Péchenard La présente décision peut faire l’objet d’un recours administratif auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration ou d’un recours contentieux devant le tribunal administratif (art. R. 421‑1 et suivants du code de justice administrative) dans le délai de deux mois courant à compter de sa publication. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE LISTE UTILE 1 ZAMI Alain 2 DELMAS Yvan 3 OGOR Christian 4 PUYBOURDIN Michel 5 LOHEZ Jean-Luc 6 JANRAITZ STOUFF Dominique 7 MICHEL Yvon 8 GUERIN Patrick 9 LENFANT Thierry 10 FOX Remy 11 GASPA Jacques 12 THERON Didier 13 CHABANAT Christian 14 SALVIN Joël 15 LOUAZEL Marie Thérèse 16 PERY William 17 BATAILLE Jean-Paul 18 CHASTELLIERE Jean Louis 19 CHEVROLAT Patrick 20 PARDI Patrick 21 BARBENTON Didier 22 MARELILLE Alberte 23 LEGER Yvon 24 QUEMET SIMON Marie Josée 25 BESIN Gérard 26 JEZEQUEL Patrick 27 COPPIN Philippe 28 BOULANT Bernard 29 OEILLET Alain 30 LUIT Léonce 31 PERALES Didier 32 PEIC TUKULJAC Gabriel 33 PETIT Jean Michel 34 CORNU Jean Marie 35 FLOURET Jean Louis 36 LUBIN Jean-Luc 37 ARCHAMBAULT Dominique 38 COURTECUISSE Yves 39 BASBAYON Philippe AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 40 RENAULT Guy 41 DERNIWEZ Michel 42 POTIER William 43 BERTON Michel 44 LEROY Denis 45 GLIZE Jean-Michel 46 HOURDEQUIN Patrick 47 ROUSSELLE Roger 48 DALAMIOT Jean 49 VIGNAUD Éric 50 RIOS François 51 MUNIER Éric 52 HUCKE Pierre 53 ORTEGA Claude 54 THIERRY Patrick 55 LAVIEC Bertrand 56 RAYNAUD Laurent 57 VIGUIER Jérôme 58 PARIS Geneviève 59 ZOUAOUI Hubert 60 GAZIER Philippe 61 BOIS Hervé 62 LASCHKAR Guy 63 BOUILLAUD Patrice 64 CHEZE Bernard 65 MAGRI Stéphane 66 PAGES Jacques 67 MULLER Dieter 68 POIRIER DAVID Sylvaine 69 GRANDJEAN Christophe 70 BOULEKFOUF Michel 71 CATHELAIN Laurent 72 JARZEMBOWSKI OLIVER Valérie 73 BOSREDON Roger 74 CYLLA Yves 75 DESCOUENS Fabrice 76 BLAISE Laurent 77 VIAL Gilles 78 FIXE Michel 79 COCHETEUX Thierry 80 CAUCHE Christophe 81 GODOT Jean-Michel 82 BOUZIGNAC Isabelle AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 3 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 83 SOEBANDI Sunarjo 84 OLIVARY Fred 85 BEDJA Ahamadi Ahamada 86 BUSIN Pascal 87 PORET Christophe 88 SAGIT Bernard 89 PACITTO André 90 VALLET Raphaël 91 CROMBEZ David 92 JOUGON Tony 93 LECOINTRE Éric 94 AUBARD Philippe 95 DEFOSSEZ Laurent 96 AGUADO Yvitch 97 FENIOUX Laurent 98 GINESTE Joël 99 PION Christophe 100 LUSSIAUD Franck 101 CUNIER Catherine 102 BERTRAND Yves 103 HENRY Pascale 104 FIEVEZ Franck 105 POLI Fabrice 106 MEKHALFI Michel 107 VAZQUEZ Jean 108 BROTO Dominique 109 OLIVA Éric 110 DE LA MOTTE DE BROONS DE VAUVERT Tanguy 111 CHIZAT Alain 112 ARMANT Louis 113 COLCHIDE Gilbert 114 LOQUIN Patrice 115 DAUMERIE Véronique 116 BERNHARD Christian 117 GILETTA Stéphane 118 GIL Bruno 119 GERBERON Patrick 120 HOURCAU Olivier 121 ALLEMAND Jean-Marie 122 DEPUYT Thierry 123 GARCIA RIBES Michèle 124 ORIOLI RUBAS Nathalie 125 GALEA Frédéric AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 4 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 126 ANTICH DUCHESNE Sandrine 127 BEAUBAT Pascal 128 MILLET Bruno 129 HARMENT Patrice 130 BRETON Bernard 131 CHARLES Étienne 132 GABORIAUD Josiane 133 LUVERA Bernard 134 CARTIER Laurent 135 SUANEZ Gérard 136 BOUTEILLE Philippe 137 BATTUT Jean-Louis 138 CORROY Patrick 139 FUSIL Jean Marie 140 DEBARGE Jean Marc 141 PFISTER Robert 142 TALBI Claude 143 GOGUILLON Robert 144 SOULES Michel 145 PRADINES Francis 146 ROGER Jean-Luc 147 CRES Serge 148 LE PAGE Philippe 149 FABRYKA Nadine 150 LOFFICIAL Joël 151 LECALVE Jacky 152 FONT Jean Paul 153 FAUCONNIER Éric 154 CAUMONT Francis 155 MARTIN Bernard 156 LABORDE Marc 157 NEURANTER Pascal 158 GALINDO Denis 159 BLATRIER Catherine 160 DOXIVILLE Jean Michel 161 GEFFRAY Laurent 162 HERNANDEZ Christian 163 SEGERS Thierry 164 DAUPHIN LEBLANC Claude 165 CHAMBONNET Franck 166 CHEVAL Joël 167 DE GUGLIELMO Jean Paul 168 CAPDET Jean AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 5 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 169 DURAND DURAND CHEVRIER Isabelle 170 LEPARQ Éric 171 VASSALLO Sauveur 172 SERVAT Hervé 173 PAYARD Jean Claude 174 MESMACQUE François 175 BOURGOIN Thierry 176 LAVOL Jean-Claude 177 VESTE Marcel 178 PAWLIK Jacques 179 VIELMAS Didier 180 HOURDIAUX Éric 181 VIOLAS Aldo 182 IAQUINTA Salvatore 183 LAZZARINI Pascal 184 RODRIGUEZ Antoine 185 VIOLAS Christophe 186 CARRE Éric 187 JEANJEAN Nicolas 188 OFFRE Philippe 189 FOKKE DE GOEDE Joël 190 BILLIOTTET Olivier 191 LILI Alain 192 EHRHARD Yves 193 MORIN Marie-Pierre 194 QUEVA Patrick 195 GEORGES Thierry 196 SALAVERT Jean-Richard 197 PONS Serge 198 NACER Rachid 199 DUARTE Joseph 200 THOREZ Jean-Philippe 201 GELLY Jean-Luc 202 CHEVRY Philippe 203 TERZIAN Patrick 204 GRAIN Patrick 205 LAFARGUE Laurent 206 CORNEE Jean Pierre 207 RADZIEJEWSKI Jean-Philippe 208 BLANQUET Thierry 209 QUERET Olivier 210 BULLIER CARRE BULLIER Laurence 211 DELATTAIGNANT Michel AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 6 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 212 WALCH Jean-François 213 ZURAWCZAK Joël 214 MARTI Pascal 215 RIDART Didier 216 DUPONT Jérôme 217 BERTIN Michel 218 PEYRETOUT Loïc 219 MARTINON Marcel 220 MARIE Alain 221 NOIRET Luc 222 RAYMOND Gérard 223 THALAMY Jean-Charles 224 LENEVEU HERY Marie Noëlle 225 PETIT Philippe 226 ERREBAU Jean-Claude 227 BARRE Albert 228 PERGAUD Didier 229 LASSERRE Gilles 230 FOURNIER Joël 231 MONTPELLIER Xavier 232 DRODE Michel 233 STEPHAN Patrick 234 FRESKO Claude 235 CANNESSON Vincent 236 THERIN Joël 237 CORION Alain 238 CERTA Marc 239 DEQUESNE Jérôme 240 ATTIMON Yves-André 241 ZANONI Patrick 242 MILESI Thierry 243 MARAIS Pascal 244 MARCHAND Laurent 245 BONNET Serge 246 FALGUIERES Norbert 247 VIVIEN Philippe 248 DESBIENS Olivier 249 ROUSSEL Jean-François 250 REMY Jean-Claude 251 BARTOSIK Jean-Paul 252 VILLEJOUBERT Luc 253 SABRIE Laurent 254 THOMAS Gilles AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 7 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 255 DELEGUE Francis 256 DUPONT Thierry 257 LEYMARIE Arnaud 258 SAUDRAIS GUMEZ Florence 259 MONNEAU Philippe 260 BIDON Laurent 261 LAPORTE Philippe 262 DHESSE Anne 263 LECLERCQ Frédéric 264 ROCH Philippe 265 EVRARD Hervé 266 MERCIER Arnaud 267 WALGER Gilbert 268 MARCKOWITZ Philippe 269 DEFIOLLES Éric 270 ROUSSEAU ROUSSEAU-ROY Ghislaine 271 GUILLOU Bernard 272 DECHAPPE Laurent 273 DUPAS Lionel 274 PAYET Jean-Marc 275 ADELE ADELAIDE Marie Reine 276 BOUTEAU Martial 277 BOENS Pascal 278 BERNARD Guy 279 HEMERY Hervé 280 CROUTE Jérôme 281 BOYCE Roland 282 BERGER Michel 283 ROBERT Serge 284 JACQUES Bruno 285 CATHELAT Yves 286 LOPEO Christian 287 DEMENGE Jean Philippe 288 MARTIN Harry 289 MESSIAEN Jean Michel 290 WANDE Guy Paul 291 BOUGHEDADA Abdelmadjid 292 DUMAS Patrice 293 ROLAND Jean Luc 294 SINDT Fabienne 295 SIGNORET David 296 NGUYEN VAN LONG Alexandre 297 PEVERE Jean-Louis AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 8 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 298 ENNAS Daniel 299 DUPONT François 300 BERONIGUET GIMENO Diana 301 NORMAND Yann 302 HERNANDEZ Serge 303 PILATE Sylvie 304 COLLIN Franck 305 PASSERI Jean-Marc 306 CHRYSANTHOS RIVIERE Michèle 307 CARON Ludovic 308 ZANCANARO Franck 309 TRUCHEMOTTE FERRARD Sylvie 310 RAMUS Dominique 311 MANCINI Sergio 312 FRANCOIS Frédéric 313 GOURMELEN Daniel 314 CAMPOURCY Gilles 315 VERDE Thierry 316 HENRY Claude 317 MIQUEL Raymond 318 BADLOU Philibert 319 PICCIN Bruno 320 TAZBIER Jean Michel 321 FERRIERES Gérard 322 HOUALLET Jérôme 323 NATALI François 324 BAILLEUL Thierry 325 LOPEZ Robert 326 TINTILLIER Cyrille 327 DUMETZ Jacky 328 LUSSIEZ Raymond 329 BOUDON Frédéric 330 SUCH Michel 331 PRICOT Philippe 332 FRAYSSINET Max 333 EPAULE Christophe 334 GAY Bruno 335 SOL Thierry 336 POULIQUEN Jean Michel 337 KLAUSZ José 338 GARCIA Marc 339 MAURICE Jocelyn 340 SIMONIN Albert AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 9 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 341 VERWAERDE Frédéric 342 BERGES Bruno 343 ABDOUL AZIZ Abdallah 344 JAGOU Bruno 345 NIETO Stéphane 346 FOUILLAUD Laurence 347 BENOIT Ghislain 348 LE SAOUT Yannick 349 AUBERT Patrice 350 NORMANDIN Xavier 351 BELOUAD Akim 352 LESEL Manuel 353 NUSSBAUM Philippe 354 JANELLO Philippe 355 VASSEUR Nicolas 356 LOSAT Nicolas 357 BURATTI Giovanni 358 GABARD Bruno 359 THOMAN Gordon 360 BARCELO Marc 361 VILLAIN Frédéric 362 PIESSET Stéphane 363 VUILLERME Jean Luc 364 BUSSIERE Philippe 365 LE RIVAGER Luc 366 PLE Stéphane 367 MAZIER Martine 368 DUPLAND Stéphane 369 M’LIMI Said 370 DELLISTE Sylvain 371 GUIEYSSE Hervé 372 AUDEGOND Philippe 373 FOURNIER Laurent 374 MOUCHEL VALLON Isabel 375 DUBIN Laurent 376 DESCAMPS Stéphane 377 MAZANCIEUX Éric 378 CAMPILLO Bernard 379 MACHADO Éric 380 PIRES Antoine 381 SARTORI René 382 DUMAS Patrice 383 SCHITTERER Christophe AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 10 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 384 PERRIER Franck 385 MARTEL Christophe 386 LETENEUR Yves 387 JACQUES Didier 388 VAROQUIER Hervé 389 CEBULSKI Frédéric 390 SOULODRE Laurent 391 PEROCHON Bruno 392 PETIT Alain 393 PIUBELLO Patrice 394 DABIN Édouard 395 DUMOULIN Christophe 396 VALLE Francisco 397 GUYON Maryan 398 LORRAIN Philippe 399 DALPONT Éric 400 LARDY Pierre 401 BRO Jean Pierre 402 RAGIVARU Patrick 403 FEVRIER Georges 404 POUPON Claude 405 RIVAUD Pascal 406 MAGERT Philippe 407 ENGEL Alex 408 MAZZUCATO Frédéric 409 DI MAIO Philippe 410 VOURIOT Michel 411 POUVREAU Jean Luc 412 SOL Christophe 413 MARQUES Jacques 414 GUILLAUME Jean-Claude 415 CAPUTO David 416 BERNARD Luc 417 PHILIPPE Gérard 418 DUROY David 419 BOGAERT Régis 420 SOULIER Martial 421 NICLAUSE François 422 SANTI Éric 423 MERCIER Thierry 424 PINCHON Éric 425 CHAVILLE Denis 426 BAUT Philippe AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 11 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 427 BRION Thierry 428 ROCHE Jean Paul 429 BINACCHI Éric 430 LEPELLETIER Dominique 431 ORTEGA ROSIER Marie-France 432 PAQUET Philippe 433 LHOSTE Hervé 434 DORME Jean-François 435 MARGAND Jean-Michel 436 DELARCHE Claude 437 JAMBON Christophe 438 MOKHEFI Cyril 439 DEVAUTOUR Christophe 440 LEGROS Alain 441 DUFAIT Michel 442 LE THERY Yves 443 BOYER Philippe 444 ASTESIANO Robert 445 SALAUN Laurent 446 DENIS Didier 447 ANCORA Robert 448 VIALLET Denis 449 DUBOIS Bruno 450 SCAVINO Jean-Marc 451 MULLER Philippe 452 ANGST Philippe 453 CARRIER Nathalie 454 MEZIERES Laurent 455 CHARLES Frédéric 456 ALFONSI Georges 457 MAZUY Pascal 458 BEDIER Éric 459 HIVART Yannick 460 NICOLAS Sauveur 461 VERGES Olivier 462 LE COSQUER Gilles 463 SIMEONI Didier 464 PORTET Philippe 465 BENAZERA Éric 466 MARTINEZ-Y-RUIZ Jacques 467 PAYET Jean Bernard 468 MOREAU Laurent 469 PEREZ Jean-Marc AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 12 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 470 TRIOREAU Éric 471 REGNIER Thierry 472 CANONNE Willy 473 COLLIN Anthony 474 LOUIS Pierre 475 DELABRE LACOUR Christine 476 LI John 477 COLOMBO DUPONT Martine 478 GRONDIN Eddie 479 MIRABAIL Georges 480 PHILIPS Jean-Marie 481 BLANCARD Jean Louis 482 GAILLARD Michel 483 MOUTON Régis 484 VERRY Michel 485 LALOY Thierry 486 LENNE Didier 487 LAURENT Patrick 488 COURTIAL Gilles 489 BLONDEAU Patrick 490 HELARY Didier 491 GUIOT Jean Marc 492 FEDELI Gilles 493 FREDES Gérard 494 RINALDI Vito 495 DOUBLET Pascal 496 PRATX Jacques 497 OLIVE Robert 498 LIARD Jean Michel 499 WATHIER Laurent 500 MAIZIERES Olivier 501 CHARTRES Jean-François 502 GIRARD Claude 503 LEVALOIS Jean-Claude 504 BRIOIT Patrick 505 REINEIX Christine 506 DESJEUNES Stéphane 507 KROUCHI Djamal 508 MULLER REGNIER Hélène 509 DE BOISVILLIERS Patrice 510 FLEURY Luc 511 HERVE Remy 512 JORE Patrick AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 13 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 513 VILCOCQ NOEL Muriel 514 PLAINEAU Alain 515 GRALL Jean Jacques 516 DUBOIS Didier 517 GIOCANTI Bernard 518 DUBOURG Thierry 519 VERRIER Éric 520 CHMARA Denis 521 DELANNOY Jean-Marie 522 LE NEUN Marc 523 DESHAYES Guy 524 VASSE Janick 525 OLIVIER Pascal 526 MONOD Olivier 527 GUYOT Dominique 528 VUILLIER Patrick 529 PICHONNEAU OUDOT Isabelle 530 DELANNOY Marc 531 ABOS Thierry 532 GEAIX Christophe 533 BAUDHUIN Alain 534 HAUDINGER Stéphane 535 GARAUDEL Jean Robert 536 COQUOZ Jean-Louis 537 JACQUES Yannick 538 FROHLICHER Wilfrid 539 JEHL Michel 540 COTINEAU Nathalie 541 MOLINA Valérie 542 TRITZ Laurent 543 KAMINSKI Éric 544 SCHALLER Jean-Luc 545 MASSELOT Philippe 546 PEYNAUD Hervé 547 ARVIEU Éric 548 PASTYN Philippe 549 LE BECHEC Fabrice 550 ALARY LEMOINE Nathalie 551 CORNU Alain 552 FERTE Richard 553 SENECAL Pascal 554 LEBIDAN Jean 555 CASANO Jean-Claude AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 14 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 556 CHAGNON Olivier 557 COLLIARD Éric 558 BLANC Jean-Michel 559 HAIF KHAIF Farouk 560 COUSSEN Thierry 561 BEGUE Didier 562 CHERAULT Christophe 563 PERRET Christophe 564 CARAYOL Gérard 565 ROUXEL Patrice 566 NEZ Gilbert 567 ERGAN Jean-Pierre 568 LEROY Bruno 569 EBERHART Christophe 570 GATIGNON Nathalie 571 BOEGEAT Arnaud 572 CHEREL Christophe 573 GUZ Catherine 574 GLOAGUEN Fabrice 575 LIGER Nathalie 576 LAURENT PEREZ Agnès 577 RICHOMME Thierry 578 MONESTIE Alain 579 BUGAUT Olivier 580 AZENAG Laurent 581 KREMER Didier 582 RENAULT LAIPE Pascale 583 MOURICHON Patrick 584 SILBERREISS Pascal 585 WOLEK Éric 586 JONDEAU Christophe 587 POUZOLLES Jean-Luc 588 DOBRENEL Stéphane 589 DELEVAQUE Emmanuel 590 MARGAT Michael 591 DENETRE Sandrine 592 BOUYSSES Jean Louis 593 FOULON Christian 594 CHAMBONNET Marie-Christine 595 AMIOT Christine 596 LANEUVILLE Christophe 597 CARPENTIER Frédéric 598 COUET Raphaël AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 15 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 599 DUFAUX David 600 TANCOGNE Stéphane 601 POREE Patrice 602 BRANCHUT Jacques 603 CAZOULAT Patrick 604 TREFLE Jean Pierre 605 SAYNAC Thierry 606 VIGUIER Daniel 607 CLARABON Laurent 608 CENDRIE Jean Marc 609 DOURNELLE Bruno 610 BLONDEAU Christophe 611 GILBERT Philippe 612 LENOIR Éric 613 DAMAS Stéphane 614 ADAM Sandrine 615 DIBOINE Franck 616 MAZURIER Joël 617 DANO Jean-Noël 618 HOMS Patrick 619 DELEUZE Remy 620 METLAINE Razis 621 LE GRAND Franck 622 RICHARD Denis 623 DUFOUR Fabrice 624 RICHARD Frédéric 625 LECONTE David 626 MUSSELECK Pascal 627 MILLOT Philippe 628 BELGHAZI Farida 629 SERRADJI Daniel 630 CASTELLANI Marc 631 GOUACHON Emmanuelle 632 YON Éric 633 BRENNER Stéphane 634 PARRA GEREL Jocelyne 635 DEGARDIN Pascal 636 MASTANTUONO Isabelle 637 LORTHIOIS Philippe 638 GOUDENHOOFT Franck 639 KERNINON Patrice 640 DELAVARENNE David 641 POUS Christian AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 16 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 642 BESSE Éric 643 GEAY Guy 644 PAGEAULT Emmanuel 645 ALARDIN Pascal 646 KUCZERA Patrice 647 COUSSEN Olivier 648 BOSSEBOEUF Marc 649 CHEDOTAL Sylvie 650 ROMAIN Gilles 651 GUERIN Stéphane 652 FARNER Yves 653 GUILLARD Patrick 654 CENTA Frédéric 655 GOUBE Christophe 656 DEVAUD Reynaldo 657 SAIZ Stephan 658 TICHON Fabrice 659 BILLIER Stéphane 660 WOLSKI Frédéric 661 DELANGLEZ Damien 662 DUMAS HULOT Christine 663 FUCHS Isabelle 664 LERAY Bertrand 665 MARCOS Thierry 666 AUDON Benoist 667 GALLETIER KONIECZNY Laurence 668 AIELLO Giovanna 669 FOURCHET Régis 670 PICANT Hervé 671 GARNIER Hervé 672 FAURE Jean-Christophe 673 RAMBAUT Philippe 674 CHASSARA Thierry 675 BARBE Simon 676 HEBERT POULET Catherine 677 JANUS Serge 678 TINEYRE SERRADJI Isabelle 679 CROCHU Pascal 680 DELECOEUILLERIE Ludovic 681 ORSINI Stephan 682 SOTTOVIA DELESCAUT Évelyne 683 DEMULLIER Pascal 684 MOYA Richard AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 17 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 685 FAURE François 686 CHANTRELLE Lionel 687 GAUVIN Patrice 688 TORNATO Fabrice 689 NERCE Stéphane 690 BRENET Jean-François 691 TREHIN Hervé 692 COSTE Luc 693 LEMAITRE Philippe 694 GAUTHIER Philippe 695 BURGAUD Frédéric 696 TURQUOIS Philippe 697 CARRON Christophe 698 BLASZCZYK David 699 BRIAND Stéphane 700 MAILLIER Patrice 701 FONTAINE Xavier 702 ROUX Michel 703 COSNARD Laurent 704 FICHOU FAUST Dominique 705 BONOT Marc 706 MEIGNEN GRASSULLO Brigitte 707 SAUVAGET Bruno 708 FISTACHE Michael 709 HIROUX Jean Yves 710 GROSSI CULLERON Marie-José 711 TOUSCH Frédéric 712 CHANEMOUGAM Soundar 713 NICOLAS BERTHO Jocelyne 714 DENOYELLE Frédéric 715 GEYER Étienne 716 VIVERGE Éric 717 VIDAL Laurent 718 DESREAUX Jérôme 719 ZANDER Benoît 720 GAYA Gilles 721 JEANNOT Philippe 722 POTEZ Jean Luc 723 MARCELLIN Jean-Robert 724 ESCARBELT Jean Michel 725 NAVE Antoine 726 DROUILLAT Patrick 727 SCHWEITZER BETTON Évelyne AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 18 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 728 PARRINELLO FLANDRY Martine 729 PERRIN DE ZOTTI Brigitte 730 VACCARO Jean-Marc 731 KIALIKI NERI Lusia 732 ANGLAS Maxime 733 RIPOLLES Claude 734 BINET Jean-Luc 735 GARCIA Philippe 736 BERARDINELLI Raphaël 737 LERT Jean-Louis 738 SERRANO Thierry 739 FORRAT Bruno 740 PHILIPPE Bernard 741 JEANDENAND GUINCHARD Florianne 742 LIGNON Alain 743 DEMBOWIAK Jean 744 PARTOUCHE Éric 745 TORRES Jacky 746 CHEVAIS FOLTIER Claudine 747 DUPONT Bruno 748 DELABY Emmanuel 749 ARCHAMBAUD Éric 750 CHAPITAUX Rémi 751 RUBIRA Pascal 752 HOARAU Didier 753 GRAZER Alain 754 BARRAS Patrick 755 PLACHEZ Michael 756 DI MAGGIO Éric 757 FEMINIER Alain 758 AGEDE Alain 759 ANDOLINA Paolo 760 REVELLAT Sylvain 761 BEVINI Giordano 762 CADET Éric 763 QUEILLE Philippe 764 COLOMAR Joël 765 LOPIN Daniel 766 PEREZ Alain 767 VANDAMME David 768 BIGOT Pierre 769 DEBAISIEUX Patrice 770 OSMONT Jean-Michel AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 19 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 771 GALLIEN Josick 772 GOETGHELUCK Francis 773 MAZEREEUW Laurence 774 HELARY Guy 775 GIRARDET Daniel 776 SICART Didier 777 LETOCART Éric 778 BRUNO Joël 779 CRETEL Frédéric 780 DEHON Alain 781 ARNOULD Bruno 782 JACO Dominique 783 OLIVIER Jean Luc 784 LEFEBVRE Jean Luc 785 ARNOULD Daniel 786 DASCOTTE BROUTIN Madeleine 787 BERVIALLE Patrice 788 ROSSARD VIGUIER Valérie 789 LEGRAND Denis 790 BOUTELIERE Stéphane 791 CARO Yannick 792 DEPAEPE Dominique 793 HANK Ahcene 794 CHAPONNAY François 795 ESTACHY Patrick 796 DUPUIS Marc 797 MANENT Alain 798 STOCK Jean Pierre 799 PHILBERT Bruno 800 CAZABAT Alain 801 HELES Florence 802 RICHARD Jean-Marc 803 GAVIRA José 804 ALEXANDRE AUGRAND Manuel 805 NANTY Gilles 806 DUFOSSE Gilles 807 DUTERTRE Fabrice 808 CLAUSSE Frédéric 809 LANNI Robert 810 LECOEUR Éric 811 RUYSSCHAERT David 812 GONON Valérie 813 HURE Jean-Loup AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 20 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 814 THUILLIER François 815 MARSAL Philippe 816 BONDIER Jean-Marc 817 GREPPI Jean Marie 818 BATTA Nestor 819 LAFONT Marc 820 LERONDEL Arnaud 821 MAUD’HUY Éric 822 HAUDECOEUR Patrick 823 GRESSET Laurent 824 QUEANT Franck 825 THOMAS GEOFFROY Fabienne 826 LE GAL Jean Luc 827 MOLLON Edith 828 DELAGNES Xavier 829 VAIRON Georges 830 MERLETTE PELTIER Sibylle 831 MOREL Gilles 832 GALVAN CELESTIN Marie-Rita 833 CORMAND KTORZA Virginie 834 VALLEE Franck 835 SILVA Pedro 836 FRANCAIS Christophe 837 TOMIS Laurent 838 MAES David 839 GRUMETZ Frédéric 840 BUCZKOWSKI Hervé 841 CORSI Marc 842 LECUTIEZ Gilles 843 DAVAL Yves 844 MESNARD Thierry 845 SOUBLET Stéphane 846 FAUCONNET Dominique 847 SEVIN Stéphane 848 BALDY Laurent 849 HENNEBELLE Philippe 850 DUCHAUSSOY Christophe 851 QUESSADA Alain 852 GEONGET Patrice 853 COUSSAN Lionel 854 LAMOUR Chantal 855 COLLET Frédéric 856 BOULEUX Philippe AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 21 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 857 COURNAC Frank 858 BAUDY Hubert 859 LELARGE Stéphane 860 GUERRINI Jean Baptiste 861 VIOT Thierry 862 HORY Alain 863 DEBBACHE Nordine 864 LAGARDE Éric 865 MANUEL Eddie 866 AURELLE Christophe 867 STEVENIN Denis 868 CROUZILLE BOULARD Fabienne 869 FIRMIN Élisabeth 870 CORTIJO Lionel 871 BOULANGER Véronique 872 GOFFART Roger 873 VOISELLE Vincent 874 TETART Stéphane 875 LE SCANFF Jean-Michel 876 MARTIN Didier 877 DEGLAVE Sylvie 878 CHAUFFOURNIER Serge 879 VAILLANT Pascal 880 JAOUEN David 881 DI BERNARDO Giny 882 CARACENA Patrick 883 AMALRIC Philippe 884 BRULE Philippe 885 DUMONT Patrice 886 MARCON Jean Michel 887 PEYREGNE Jean-Pierre 888 PEREIRA Manuel 889 GIET Catherine 890 AUCOULON Fabrice 891 MOISSON BASSO Christine 892 KEMPF Michel 893 ETIENNE Marc 894 VERZELE Franck 895 POUPIN Stéphane 896 HESPEL Olivier 897 DELAGRANDE COUSSEMACKER Murielle 898 NAVILLE Franck 899 TOMSIC Stanislas AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 22 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 900 BONTEMPS Christophe 901 RATIER Jean Pierre 902 MAYEUR Gérald 903 LEWANDOWSKI Éric 904 DESHAUTEURS Thérèse 905 KIHAL Mohamed 906 DELALANDE Florian 907 THIL Marc 908 ALLGEYER Marc 909 EDOUARD Sylvestre 910 GOUMAIN Bruno 911 PERON Yannick 912 PERE CHAUVEAU Véronique 913 TROPLENT Gilles 914 BOUCHET Jean Luc 915 PANZARELLA Patrick 916 MAGNAVAL Patrice 917 COLORE Philippe 918 HUTIN Stéphane 919 BIEGLE JOUCLARD Yolande 920 GRARE Dominique 921 NICODEME Olivier 922 CORBIER Philippe 923 VAUTRIN Serge 924 PREVOT Dominique 925 LECHAT Thierry 926 GIRAUD Lionel 927 PROCOLAM Aurelien 928 GUISSARD Alain 929 CUZIN Antoine 930 MOULIN Frédéric 931 GRENADOU Éric 932 RYO Stéphane 933 DEQUESNE Georges 934 IUGHETTI Jean Luc 935 SWIGON Jean-Marc 936 IGOUNENC Antoine 937 PARRET Thierry 938 FILLETTE Didier 939 DELPECH Jean Claude 940 FRATTAGLIA Jean Marie 941 LIETART Bruno 942 LAFABRIE Thierry AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 23 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 943 LEPLAT Philippe 944 LATCHMAN Aristide 945 ROGERE Stéphane 946 MONCONDUIT Michel 947 ADRASTE Marc 948 SPINAZZE Marc 949 LE CORRE Gilles 950 MICHEL Dominique 951 DEL RIO Augustin 952 SOUILLART CALLOCH Sandra 953 VESTRIS Harold 954 HAUSER BOITEUX Nathaly 955 BORDET Thierry 956 RAMET David 957 MARIZIER Laurent 958 FREMIN Laurent 959 BERNARD Bruno 960 SUREAU Philippe 961 MOELO Pascal 962 LAMARCHE Ludovic 963 MINELLA Pierre 964 SINGIER Jean Baptiste 965 MINOIS Pascal 966 SALA Andre 967 HERVIO Mickael 968 CULOT Éric 969 CAMBAY Andre 970 MAZZELLA Serge 971 CHAVANIE Laurent 972 BOULLONNOIS Patrick 973 TAMBONI Dominique 974 EX-BAINAUD ROBINEAU Laetitia 975 DELIENCOURT Fabrice 976 GUILLOUX Jean-Michel 977 GROPPOSO Marc 978 PECHIN Bruno 979 REYMONDAUD Patricia 980 MATHON Patrick 981 AKRA Djigre 982 CHUDY Frédéric 983 GARCIA Philippe 984 BOUROUROU Frédéric 985 MOLMY Pascal AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 24 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 986 DELDEMME Hubert 987 DAUTREY Éric 988 FONTEYNE Franck 989 JACQUEMART MECHIN Agnès 990 BOPP Laurent 991 PECHSTEIN Véronique 992 DEMAY Éric 993 BOUTELAA Bruno 994 PROST Marc 995 CHAILLOT Laurent 996 PAPANTI Yves 997 MARECHAU COURTILLE Sophie 998 BATISSE Christian 999 GUILHAUMON Philippe 1000 MARIE Philippe 1001 SBERRO Valérie 1002 FEDENSIEU Olivier 1003 XUEREB ROUDAUT Catherine 1004 KLEMENCZAK Christian 1005 GLINEUR Vincent 1006 WICKE Laurent 1007 DUENAS Richard 1008 SCHMITT Corinne 1009 GARRET Denis 1010 LEGRAND Gilles 1011 CHTOUNDER RENAUD Natacha 1012 DIDIOT Olivier 1013 CAUCHIE MOSSBACH Maryse 1014 GROS Pascal 1015 LACOTE Pascal 1016 KALEBJIAN Fabrice 1017 CRATER Henri 1018 BRACHOT Philippe 1019 CATALA Hervé 1020 FABBRO Stéphane 1021 DEFLANDRE Ghislain 1022 HENRY Franck 1023 BRISTEAU Frédéric 1024 BOUSCARAT Pascal 1025 CHAMEYRAT Barbara 1026 LUSARDI Robert 1027 DENEYER Anthony 1028 SANCHEZ Tony AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 25 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1029 PENIN MERLIN Fabienne 1030 GUICHE Patrice 1031 MARTY Didier 1032 COURTOIS Laurent 1033 LECOMPTE Nicolas 1034 REY Éric 1035 BELLIVIER Geneviève 1036 GUERIN Cyril 1037 SZWENGLER Jean François 1038 SOUQUET Jean Louis 1039 CARU Sabine 1040 KLINGLER Daniel 1041 ROLLAND Daniel 1042 GASTALDI Bruno 1043 BOYER Alain 1044 LE BRUCHEC Philippe 1045 INVERNIZZI Stéphane 1046 TILLARD Vincent 1047 BOSSU Laurent 1048 CATTIAUX Christophe 1049 PERVIEUX Stéphane 1050 BAYLON Éric 1051 CHAUVIN Lionel 1052 PORAS Valérie 1053 MARIZY ROCCIA Sonia 1054 STRZEPEK Jean-Pierre 1055 HONVAULT Claude 1056 DEBARGE Thierry 1057 RENNUIT THIVET Catherine 1058 FENECH Nicolas 1059 ROCHAT Franck 1060 GIOVANNONI Philippe 1061 BERTROU Marc 1062 CHAPELAIN Olivier 1063 PETOUX FAURIE Christine 1064 BENTH Bertrand 1065 DEFOIX Laurent 1066 DECLOQUEMENT Lilian 1067 ALTES ALTES PRUDHOMME Isabelle 1068 PAGEAUD Yannec 1069 BERGER Éric 1070 TERRIEN Philippe 1071 MILLET Karine AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 26 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1072 CARON DEGHMANI Chantal 1073 COUPIER Jean Christophe 1074 LEDIEU Alain 1075 LABADESSE Frédéric 1076 LE GAC Fernand 1077 COURTAY Yohann 1078 BOMBARD Loïc 1079 FONTENEAUD Éric 1080 CADE Carole 1081 LANGE Franck 1082 PRIAT HORY Marielle 1083 SOSCIA Évelyne 1084 SERENI Marc 1085 POUDEROUX Ollivier 1086 BRAULT Béatrice 1087 GOIN David 1088 LEO Stéfanie 1089 REYNAUD Jean François 1090 OLIVAN Thierry 1091 BARTHELEMIO Magali 1092 GOUGAUD MOTARD Nathalie 1093 LEROY Laurent 1094 TOURNOIS Francis 1095 LEFEBVRE Alexandre 1096 HERNANDEZ Christophe 1097 SIMONI CARETTE Marie José 1098 HEURTAUX Fabrice 1099 BIDAULT Patrick 1100 ROC Willy 1101 FAUCHERAND Stéphane 1102 ANNAERT Bruno 1103 DASTE Didier 1104 ULUI Soane 1105 TAMARIAN Loïc 1106 COURTOT Christophe 1107 LECLERCQ Marcel 1108 CAUGANT Bruno 1109 LEPAGNOL Philippe 1110 VIGNAU Thierry 1111 MERAULT Laurent 1112 DUTERTRE James 1113 GAFFEZ Manuel 1114 LARUE Jean Louis AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 27 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1115 NOEL Jean-Michel 1116 MARIE Bruno 1117 MERLIN Xavier 1118 RUFFONI Frédéric 1119 MOREAU Arnaud 1120 TARTE Fabrice 1121 BERNARDIN Olivier 1122 MAURICE Franck 1123 KALINOWSKI Michel 1124 LE MAGOROU Yvon 1125 NIVOIX Philippe 1126 THEVENET CHARPIGNY Valérie 1127 HERY Yann 1128 CREN Laurent 1129 BARON Benoît 1130 JARRY Jean Marc 1131 ERNEST Damien 1132 GHESQUIERE Michael 1133 ARNOULT David 1134 THERVILLE Christelle 1135 CLEMENT-CLERGET Nadine 1136 DESDEVISES Samuel 1137 LEROY Patrice 1138 CLEDIERE Arnaud 1139 SAISON Ingrid 1140 KERRAIN Bernard 1141 FICHTER Patricia 1142 ROSSIGNOL Charly 1143 HOAREAU Thierry 1144 BARROUQUERE THEIL Alain 1145 CREPIN FLITZ Florence 1146 MASSON Jean Michel 1147 PINGAULT Rodolphe 1148 MARS Olivier 1149 DEMAISON Jean-François 1150 ABDOU Siti 1151 BONPAIN Roland 1152 LHEUREUX David 1153 AUBERT Jean-François 1154 DIAS Chantal 1155 MORAULT-PANTALINI Jacques 1156 DURAND Guy 1157 LAUNAY Damien AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 28 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1158 VITRY LATAIX Michelle 1159 NOWICKI Jean Michel 1160 VITALI Philippe 1161 SEMERIA Patrick 1162 TOLILA Georges 1163 TERKI Redda 1164 DEBLOCK Ludovic 1165 LECLERC Stéphane 1166 HORLAVILLE Christophe 1167 BONNEAU ELOI Corine 1168 FORINI Laurent 1169 RENOUF Frédéric 1170 CIGARINI Bernard 1171 SALAUN GUERMEUR Catherine 1172 DELEU Jean 1173 VERANI Stéphane 1174 BERNARD Hubert 1175 MARBOEUF Emmanuel 1176 DARQUIE Pascal 1177 BOUTELOUP Arnaud 1178 GABORET Patrick 1179 SIMONNET Jean 1180 ROBIN Dominique 1181 POMPIDOR Jean Paul 1182 MORET Christophe 1183 DOLOY Sandrine 1184 GRYNIEWICZ Nathalie 1185 SETTESOLDI Jacques 1186 BOTTA Christophe 1187 BOITEL Éric 1188 LE PICARD Alain 1189 ROUSSELET Éric 1190 DOUAU Patrick 1191 CHARMET Jean Yves 1192 BAGOT Bernard 1193 VANBESELAERE Jean Luc 1194 RICHERT Raoul 1195 GIOVANNINI Alphonse 1196 ARTERO Serge 1197 PACHY Patrick 1198 POLLET CARAMELLE Maryline 1199 BACHMANN Patrick 1200 DAMBRINE Serge AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 29 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1201 MAZE Thierry 1202 PONCET CHALLIER Catherine 1203 RYCKEWAERT David 1204 PLUQUET Renald 1205 LIBRE David 1206 RUCH Patrick 1207 TIFFAY Jean-Marie 1208 ROTURIER Karine 1209 VALLART Arnaud 1210 LINEL Modeste 1211 BAIZET Alain 1212 JOURDIN Éric 1213 PAGNY Sébastien 1214 TOUCHARD TEYSSEYRE Yvonne 1215 BRISSON Hervé 1216 BEHR Claude 1217 PATTIER Sylvain 1218 GRAJON Alain 1219 PLANCKE Benoît 1220 DETKO Stéphane 1221 DRACH Véronique 1222 WABLE Philippe 1223 COURNE Pierre Yves 1224 VIGNEAU Géraldine 1225 VERNAY Patrick 1226 SUROT Alain 1227 STEPHAN Jean-Philippe 1228 SEGRETINAT Olivier 1229 CONIN Raphaël 1230 FENOT Christophe 1231 THEBES HELLEGOUARCH Pascale 1232 LEPARC Bruno 1233 ROBERT François 1234 ETEVE Frédéric 1235 ELEGOET Frédéric 1236 SALADIN Stéphane 1237 GLOTAIN Anthony 1238 GUIRAL Jean Christophe 1239 THIENOT THIENOT-GERAERT Sabine 1240 ARNAUD BOCQUET Nadia 1241 THERET Pascal 1242 HARDY Jérôme 1243 MOLINARI Raphaël AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 30 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1244 GOFFIN Olivier 1245 BLAHYJ Philippe 1246 LECROSNIER Jérôme 1247 FREVILLE Youri 1248 DUPUY Laurent 1249 VEYSSIERE Philippe 1250 NAESSENS DABBADIE Carole 1251 PALANDJIAN Pascal 1252 MILLOT Thierry 1253 CURIEN Philippe 1254 RIZZO Frédéric 1255 ROUX Mylène 1256 ROZE Ghislaine 1257 CRESSENVILLE Jean Yves 1258 PAPPENS PENDERIA Carole 1259 BOUCHARD GUERTIN Delphine 1260 SIMON Ludovic 1261 TECHER Jean Bernard 1262 ANTOLINI Philippe 1263 CARLIER Bernard 1264 BROUSSES Philippe 1265 HAUTENNE Jean Max 1266 LECOCQ Philippe 1267 SABOS Erick 1268 ETIENNE Ernest 1269 BOROWIEC Éric 1270 HOUCHOUA Bernard 1271 DURIEZ Jean Pierre 1272 FREMERY Régis 1273 LERIQUIER Marc 1274 DUFFO Jean-Louis 1275 CHOCTEAU Daniel 1276 SOLLILO Daniel 1277 MOAL Christophe 1278 SANCHEZ Alain 1279 GIOVACCHINI Philippe 1280 CHABBAT Jacques 1281 GNECCHI Jean Luc 1282 BARTHELEMY Bernard 1283 SARGIOTTO COMMUN Martine 1284 HUGOL Bruno 1285 SENDLAK Laurent 1286 SEJOURNE Joseph AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 31 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1287 DELMARRE Olivier 1288 GRAVES Pascal 1289 THEIS Jean-Marc 1290 GROMAT René 1291 ABBAD Kamal 1292 TOURTOIS Philippe 1293 CADET Daniel 1294 TRIBET Adrien 1295 LACOMBE Pascal 1296 CHALUMEAU Bruno 1297 BOTTOLACCIO Jean Jacques 1298 FENET Aimé 1299 DELABY Marc 1300 GARNON Bernard 1301 TRINTA François 1302 ROMIEN Philippe 1303 BARON Hervé 1304 ZITTEL Marc 1305 VENT Marie Laure 1306 ADRIAN Thierry 1307 VENEZIANO Jacques 1308 BARRAL Jean Marc 1309 MARIN MARIE LOUISE Estelle 1310 BADE Jean-Luc 1311 KOBRZYNSKI Robert 1312 PICARD Fabrice 1313 RAISIN Michel 1314 CORA Michel 1315 ABDOU Toianti 1316 BARDET Aline 1317 LORENZONI Paolo 1318 MAISON Franck 1319 LORIOT Stéphane 1320 GOUZENES Bernard 1321 RATIE Jean-Bernard 1322 LAURET Gérard 1323 DAL FARRA Jean-Luc 1324 DELATTRE Dominique 1325 BENARD Denis 1326 ETCHEVERRIA Christian 1327 GAGNARD Serge 1328 BILLOT André 1329 MAJCHRZAK Bernard AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 32 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 1330 ASCIONE Philippe 1331 CODOL Philippe 1332 LEGENDRE Gérard 1333 LEBRETON Jacques 1334 HAMON Christian 1335 WITEK Jean Philippe 1336 MARCHIENNE Jean-Michel 1337 DEGUIN DAWSON Claude 1338 DELATRE Jean Paul 1339 IBANEZ Joëlle 1340 PINVILLE Viviane 1341 IBO Bernard 1342 DELHAYE Alain LISTE COMPLÉMENTAIRE 1343 VIVIES Thierry 1344 DESJARDINS Jacky 1345 FLEURY Stéphane 1346 DECHENE Patricia 1347 CEGRETIN André 1348 BELZUNCE Hervé 1349 ETASSE Christophe 1350 BONANNO Jean Baptiste 1351 BIVOUAC Jean Luc AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 33/95 – Page 33 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Arrêté du 12 avril 2011 portant désignation des membres du comité central d’hygiène et de sécurité de la police nationale NOR : IOCC1110298A Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Vu la loi no 83‑634 du 13 juillet 1983 modifiée portant droits et obligations des fonctionnaires, ensemble la loi no 84‑16 du 11 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’État ; Vu la loi no 95‑73 du 21 janvier 1995 modifiée d’orientation et de programmation relative à la sécurité ; Vu le décret no 82‑453 du 28 mai 1982 modifié relatif à l’hygiène et à la sécurité du travail ainsi qu’à la prévention médicale dans la fonction publique ; Vu le décret no 95‑654 du 9 mai 1995 modifié fixant les dispositions communes applicables aux fonctionnaires actifs des services de la police nationale, notamment ses articles 53 et 54 ; Vu l’arrêté du 5 mars 1985 portant création d’un comité central d’hygiène et de sécurité compétent à l’égard des personnels et des services de la police nationale, modifié par l’arrêté du 4 avril 1996 ; Vu les résultats des élections professionnelles qui se sont tenues les 25 et 28 janvier 2010 pour la désignation des représentants du personnel à la commission administrative paritaire compétente à l’égard du corps de commandement de la police nationale, du corps d’encadrement et d’application de la police nationale, du corps des ingénieurs de la police technique et scientifique de la police nationale, du corps des techniciens de la police technique et scientifique de la police nationale, du corps des agents spécialisés de la police technique et scientifique de la police nationale, du corps des adjoints techniques de la police nationale, du corps des ouvriers cuisiniers de la police nationale et à l’égard des adjoints de sécurité et des agents contractuels de droit public de la police nationale ; Vu les résultats des élections professionnelles qui se sont tenues le 4 mai 2010 pour la désignation des représentants du personnel à la commission administrative paritaire compétente à l’égard du corps des attachés de l’intérieur et de l’outre-mer, du corps des secrétaires administratifs de l’intérieur et de l’outre-mer, du corps des adjoints administratifs de l’intérieur et de l’outre-mer ; Vu les résultats des élections professionnelles qui se sont tenues le 6 mai 2010 pour la désignation des représentants du personnel à la commission administrative paritaire compétente à l’égard du corps de conception et de direction de la police nationale ; Vu l’arrêté en date du 14 février 2011 portant répartition des représentants du personnel au comité central d’hygiène et de sécurité de la police nationale ; Sur la proposition du directeur général de la police nationale, Arrête : Article 1er Sont désignés en qualité de représentants titulaires de l’administration au comité central d’hygiène et de sécurité de la police nationale : Monsieur le préfet, directeur général de la police nationale ; Monsieur le préfet, directeur des ressources et des compétences de la police nationale ; Monsieur le directeur, chef de l’inspection générale de la police nationale ; Monsieur le préfet, secrétaire général pour l’administration à la préfecture de police ; Monsieur le sous-directeur de l’action sociale et de l’accompagnement du personnel de la direction des ressources et des compétences de la police nationale. Article 2 Sont désignés en qualité de représentants suppléants de l’administration au comité central d’hygiène et de sécurité de la police nationale : Monsieur le directeur central de la sécurité publique ; Madame le directeur adjoint, direction des ressources et des compétences de la police nationale ; Monsieur le directeur central des compagnies républicaines de sécurité ; AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 34/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Monsieur le directeur des ressources humaines à la préfecture de police ; Monsieur le sous-directeur de l’administration des ressources humaines de la direction des ressources et des compétences de la police nationale. Article 3 Sont désignés en qualité de représentants titulaires du personnel au comité central d’hygiène et de sécurité de la police nationale : Au titre de la Confédération générale du travail – Force ouvrière – Union SGP – Unité police & Syndicat national indépendant des personnels administratifs et techniques de la police nationale (SNIPAT) / FO-préfectures / FO centrale M. Jean-Pascal STADLER, brigadier-chef. M. Didier MANGIONE, major. M. Bernard ELBAZ, major. Au titre du Syndicat national des officiers de police (SNOP) M. Pierre DARTIGUES, commandant. Au titre de la Confédération française de l’encadrement – Confédération générale des cadres (CFE-CGC) (Alliance police nationale, Synergie officiers, Alliance SNAPATSI) Mme Stéphanie LA ROSA, brigadier. M. Philippe SEBAG, major. Au titre du Syndicat des commissaires de la police nationale (SCPN) M. Emmanuel ROUX, commissaire divisionnaire. Article 4 Sont désignés en qualité de représentants suppléants du personnel au comité central d’hygiène et de sécurité de la police nationale : Au titre de la Confédération générale du travail – Force ouvrière – Union SGP – Unité police & Syndicat national indépendant des personnels administratifs et techniques de la police nationale (SNIPAT) / FO-préfectures / FO centrale M. Jean-Pierre COLIN, secrétaire administratif. M. Georges LITTORIE, major. M. Olivier PLENET, gardien de la paix. Au titre du Syndicat national des officiers de police (SNOP) Mme Chantal PONS-MESOUAKI, commandant. Au titre de la Confédération française de l’encadrement – Confédération générale des cadres (CFE-CGC) (Alliance police nationale, Synergie officiers, Alliance SNAPATSI) M. Jean-Paul NURY, commandant fonctionnel. M. Richard DADOUCHE, secrétaire administratif de classe supérieure. Au titre du Syndicat des commissaires de la police nationale (SCPN) Mme Céline BERTHON, commissaire divisionnaire. Article 5 Est désignée en qualité de médecin de prévention au comité central d’hygiène et de sécurité de la police nationale : Mme le docteur Florence FOULLON, médecin de prévention, coordonnateur des services centraux. Article 6 Est désigné en qualité d’inspecteur hygiène et sécurité au comité central d’hygiène et de sécurité de la police nationale : M. Jean PEDICA, coordonnateur national du réseau des inspecteurs hygiène et sécurité. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 34/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Article 7 L’arrêté en date du 29 février 2008 modifié portant désignation des membres du comité central d’hygiène et de sécurité de la police nationale est abrogé. Article 8 Le directeur général de la police nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 12 avril 2011. Le directeur général de la police nationale, F. Péchenard AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 34/95 – Page 3 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale de la gendarmerie nationale _____ Direction des personnels militaires de la gendarmerie nationale _____ Sous-direction de la gestion du personnel _____ Bureau du personnel sous-officier du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale _____ Arrêté du 22 avril 2011 portant admission de sous-officiers de gendarmerie dans le corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale NOR : IOCJ1109305A Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu le décret no 2008‑953 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers et officiers mariniers de carrière des armées et du soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale ; Vu l’arrêté du 4 août 2010 pris pour l’application dans la gendarmerie nationale des articles 5 et 18 du décret no 2008‑953 du 12 septembre 2008 portant statut particulier des corps de sous-officiers mariniers de carrière des armées et du soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale ; Vu les demandes formulées par les intéressés ; Vu les propositions formulées par la commission chargée d’examiner les candidatures relatives au changement d’armée ou de corps pour intégrer le corps des sous-officiers du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale en date du 16 mars 2011, Arrête : Les sous-officiers de la gendarmerie désignés ci-après sont admis dans le corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale, spécialité « administration et gestion du personnel », au grade de maréchal des logis à compter du 1er août 2011 : Gendarme Arnoult Mylène Nigend : 175 610 Numéro de livret de solde : 8 028 502 Gendarme Meriaux Aurélie Nigend : 233 508 Numéro de livret de solde : 8 086 189 Gendarme Mielet Justine Nigend : 210 523 Numéro de livret de solde : 8 063 128 Fait le 22 avril 2011. Pour le ministre et par délégation : Le général de corps d’armée, directeur des personnels militaires de la gendarmerie nationale, J. Delpont AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 35/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Haute-Normandie _____ Décision no 9851 du 1er avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Haute-Normandie NOR : IOCJ1102564S Le commandant de la région de gendarmerie de Haute-Normandie, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 39095 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029413S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2011 : Turpin Michel Nigend : 124 940 Numéro de livret de solde : 5 270 289 Kinet Patrick Nigend : 109 560 Numéro de livret de solde : 5 149 955 Letienne Thierry Nigend : 139 517 Numéro de livret de solde : 5 323 539 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Flamand Denis Nigend : 149 407 Numéro de livret de solde : 8 007 242 Féret Laurent Nigend : 142 557 Numéro de livret de solde : 5 281 958 Pilard François Nigend : 99 329 Numéro de livret de solde : 5 108 460 Lenouvel Michel Nigend : 145 694 Numéro de livret de solde : 8 004 050 Ropers Reynald Nigend : 151 571 Numéro de livret de solde : 8 009 679 Fort Laurent Nigend : 139 215 Numéro de livret de solde : 5 305 141 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Ryo Anthony Nigend : 178 784 Numéro de livret de solde : 8 029 480 Moinet Frédéric Nigend : 175 531 Numéro de livret de solde : 6 591 476 Mahieu Olivier Nigend : 181 609 Numéro de livret de solde : 8 031 139 Boisseau Olivier Nigend : 138 624 Numéro de livret de solde : 5 325 209 Prevoteau Benoît Nigend : 151 299 Numéro de livret de solde : 8 009 374 Malfilatre Nathalie Nigend : 157 313 Numéro de livret de solde : 8 014 855 Caens Claire Nigend : 168 409 Numéro de livret de solde : 8 024 221 Laurent Alexandre Nigend : 188 255 Numéro de livret de solde : 8 038 658 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 36/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Havard Antoine Nigend : 193 542 Numéro de livret de solde : 8 047 475 Berenger Julie Nigend : 205 306 Numéro de livret de solde : 8 055 179 Fraioli Arnaud Nigend : 174 535 Numéro de livret de solde : 8 028 146 Bouclé Jennifer Nigend : 227 102 Numéro de livret de solde : 8 059 308 Lemarneur Davy Nigend : 194 856 Numéro de livret de solde : 8 059 825 Le Pape Gwenaëlle Nigend : 219 201 Numéro de livret de solde : 8 071 808 Riochet Frédéric Nigend : 213 533 Numéro de livret de solde : 8 063 822 Legrand Emmanuel Nigend : 213 512 Numéro de livret de solde : 8 063 801 Record Guillaume Nigend : 198 468 Numéro de livret de solde : 8 053 598 Lebourgeois Mickaël Nigend : 209 920 Numéro de livret de solde : 8 062 985 Claudepierre Aurélien Nigend : 224 224 Numéro de livret de solde : 8 083 921 Fait le 1er avril 2011. Le colonel, commandant la région de gendarmerie de Haute-Normandie, J.-C. Goyeau AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 36/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon _____ Décision no 15564 du 1er avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon NOR : IOCJ1102577S Le commandant de la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 60787 du 17 décembre 2010 (NOR : IOCJ1032685S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2011 : Andre Bruno Nigend : 145 745 Numéro de livret de solde : 5 304 507 Losson Philippe Nigend : 143 644 Numéro de livret de solde : 8 002 764 Jorda Patrick Nigend : 126 658 Numéro de livret de solde : 5 280 642 Lamy Philippe Nigend : 96 046 Numéro de livret de solde : 5 106 777 Lajarrige Jean-Claude Nigend : 95 636 Numéro de livret de solde : 5 106 522 Tisseyre Bernard Nigend : 116 981 Numéro de livret de solde : 5 219 792 Tremoulet Pascal Nigend : 123 574 Numéro de livret de solde : 5 244 787 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Diot Emmanuel Nigend : 152 961 Numéro de livret de solde : 8 010 837 Vizzone Stéphane Nigend : 152 751 Numéro de livret de solde : 8 010 698 Gerard Christophe Nigend : 150 537 Numéro de livret de solde : 5 304 005 Joulia Didier Nigend : 129 323 Numéro de livret de solde : 5 283 840 Ruiz Ginès Nigend : 134 019 Numéro de livret de solde : 5 295 987 Martiquet Philippe Nigend : 102 971 Numéro de livret de solde : 5 148 955 Morla Franck Nigend : 131 826 Numéro de livret de solde : 5 282 256 Perrin Laurent Nigend : 148 515 Numéro de livret de solde : 8 006 383 Scannapieco Jean-Luc Nigend : 148 401 Numéro de livret de solde : 8 006 371 Dorel Wilfrid Nigend : 132 541 Numéro de livret de solde : 5 294 626 Malié Stéphane Nigend : 150 899 Numéro de livret de solde : 8 009 062 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 37/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Renault Carole Nigend : 164 126 Numéro de livret de solde : 8 020 882 Savary Christian Nigend : 168 921 Numéro de livret de solde : 6 537 830 Martyn Pierre Nigend : 162 946 Numéro de livret de solde : 8 019 769 Vincent Olivier Nigend : 168 613 Numéro de livret de solde : 8 024 397 Vern François Nigend : 133 029 Numéro de livret de solde : 5 295 788 Guyot Arnaud Nigend : 165 223 Numéro de livret de solde : 8 021 840 Veyre Jean-Paul Nigend : 167 140 Numéro de livret de solde : 8 023 280 Cellier Frédéric Nigend : 161 946 Numéro de livret de solde : 8 018 917 Rozier Franck Nigend : 161 175 Numéro de livret de solde : 8 018 189 Bayle Bruno Nigend : 153 043 Numéro de livret de solde : 8 010 904 Aubry Stéphane Nigend : 160 730 Numéro de livret de solde : 8 017 802 Sarazin Nathalie Nigend : 164 660 Numéro de livret de solde : 8 021 384 Pradié Éric Nigend : 166 374 Numéro de livret de solde : 8 022 579 Giron Laurent Nigend : 167 095 Numéro de livret de solde : 8 023 233 Huguet Michel Nigend : 139 776 Numéro de livret de solde : 5 296 161 Vercher Éric Nigend : 103 923 Numéro de livret de solde : 5 171 987 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Dugue Romain Nigend : 179 436 Numéro de livret de solde : 8 037 906 Rosinski Nicolas Nigend : 210 259 Numéro de livret de solde : 8 065 684 Jonvel Anne-Sophie Nigend : 191 636 Numéro de livret de solde : 8 044 925 Pitou Oswald Nigend : 228 389 Numéro de livret de solde : 6 695 452 Besse Céline Nigend : 227 417 Numéro de livret de solde : 8 075 730 Bayle Anthony Nigend : 199 044 Numéro de livret de solde : 8 046 852 Troalen Erwan Nigend : 194 694 Numéro de livret de solde : 8 049 592 Ladurelle Luc Nigend : 190 536 Numéro de livret de solde : 8 039 351 Caillaud Delphine Nigend : 207 050 Numéro de livret de solde : 8 062 313 Sobczak Sébastien Nigend : 170 400 Numéro de livret de solde : 8 025 789 Girod Roux Yannick Nigend : 152 849 Numéro de livret de solde : 8 010 751 Plouquet Vincent Nigend : 202 013 Numéro de livret de solde : 8 054 628 Voyat Nicolas Nigend : 165 138 Numéro de livret de solde : 8 021 797 Mas Jean-Philippe Nigend : 171 933 Numéro de livret de solde : 8 027 054 Migliore Fabien Nigend : 148 628 Numéro de livret de solde : 8 006 477 Nacer Cherif Slimane Nigend : 185 368 Numéro de livret de solde : 8 045 205 Fait le 1er avril 2011. Le colonel, commandant la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon, M. Lévêque AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 37/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Bretagne et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest _____ Décision no 22399 du 1er avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest NOR : IOCJ1102562S Le commandant de la région de gendarmerie de Bretagne et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 79819 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029412S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2011 : Fernandez Michel Nigend : 102 142 Numéro de livret de solde : 5 126 242 Clément Yannick Nigend : 111 076 Numéro de livret de solde : 5 157 114 Article 2 L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Bonnacie André Nigend : 102 868 Numéro de livret de solde : 5 108 594 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Korngut Philippe Nigend : 152 866 Numéro de livret de solde : 8 010 761 Conchon Nicolas Nigend : 152 437 Numéro de livret de solde : 8 010 524 Quenon Laurent Nigend : 156 503 Numéro de livret de solde : 8 013 879 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Besson Nicolas Nigend : 216 693 Numéro de livret de solde : 8 070 284 Lemercier David Nigend : 212 666 Numéro de livret de solde : 8 063 601 Harle Sylvain Nigend : 200 764 Numéro de livret de solde : 8 044 084 Fait le 1er avril 2011. Le général de division, commandant la région de gendarmerie de Bretagne et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest, S. Caillet AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 38/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Commandement des écoles de la gendarmerie nationale _____ Décision no 31395 du 1er avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général du commandement des écoles de la gendarmerie nationale NOR : IOCJ1102599S Le commandant des écoles de la gendarmerie nationale, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 115877 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029450S) ; Vu la décision no 40103 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029437S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2011 : Barthelet Philippe Nigend : 123 935 Numéro de livret de solde : 5 243 844 Seigneurin Christian Nigend : 110 047 Numéro de livret de solde : 5 174 292 Le Borgne Alain Nigend : 117 211 Numéro de livret de solde : 5 219 980 Pasquelin Jean-Pierre Nigend : 113 574 Numéro de livret de solde : 5 191 889 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Hascoat Pascale Nigend : 137 726 Numéro de livret de solde : 5 281 861 Mathes Éric Nigend : 132 585 Numéro de livret de solde : 5 294 665 Bourguignon Christophe Nigend : 138 768 Numéro de livret de solde : 5 305 106 Gény Patrick Nigend : 121 918 Numéro de livret de solde : 5 242 943 Lallemand Jean-Paul Nigend : 120 477 Numéro de livret de solde : 5 220 157 Brugneaux Corinne Nigend : 70 547 Numéro de livret de solde : 5 293 717 Desveaux Christophe Nigend : 147 937 Numéro de livret de solde : 8 006 216 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Van Durme Laurent Nigend : 166 218 Numéro de livret de solde : 8 022 695 Prémel-Hascoët Christelle Nigend : 167 578 Numéro de livret de solde : 8 023 387 Boucheron Frédéric Nigend : 200 133 Numéro de livret de solde : 8 043 883 Jacquet Olivier Nigend : 174 037 Numéro de livret de solde : 8 027 844 Merle Thierry Nigend : 163 351 Numéro de livret de solde : 8 020 167 Laurent David Nigend : 151 519 Numéro de livret de solde : 8 009 645 Verbiale Sylvie Nigend : 192 114 Numéro de livret de solde : 8 040 093 Quilliot Christophe Nigend : 188 827 Numéro de livret de solde : 8 038 880 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 39/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Fiorina Franck Nigend : 178 567 Numéro de livret de solde : 8 032 685 Sablé Sébastien Nigend : 165 901 Numéro de livret de solde : 8 022 388 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Ghazi Nathalie Nigend : 167 093 Numéro de livret de solde : 8 023 231 Vandevelde Frédéric Nigend : 190 490 Numéro de livret de solde : 8 039 390 Tribet Philippe Nigend : 200 838 Numéro de livret de solde : 8 044 130 Sirgent Isabelle Nigend : 198 710 Numéro de livret de solde : 8 053 683 Meye Pauline Nigend : 210 525 Numéro de livret de solde : 8 063 127 Fait le 1er avril 2011. Le général de division, commandant les écoles de la gendarmerie nationale, C. Métais AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 39/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Gendarmerie de la sécurité des armements nucléaires _____ Décision no 303 GSAN/EM/SAS/RH/PSO du 4 avril 2011 portant attribution, en 2011, de la prime de résultats exceptionnels à titres individuel et exceptionnel NOR : IOCJ1114529S Le commandant de la gendarmerie de la sécurité des armements nucléaires, Vu le code de la défense ; Vu la loi no 2002‑1094 du 29 août 2002 d’orientation et de programmation pour la sécurité intérieure ; Vu le décret no 2004‑1073 du 11 octobre 2004 portant création d’une prime de résultats exceptionnels dans la gendarmerie nationale ; Vu l’arrêté du 11 octobre 2004 portant application du décret no 2004‑1073 du 11 octobre 2004 portant création d’une prime de résultats exceptionnels dans la gendarmerie nationale, Décide : Article 1er Les personnels de la gendarmerie en activité de service dont la liste est jointe percevront, à titres individuel et exceptionnel, au titre de l’année 2010 une prime de résultats exceptionnels. Article 2 Une prime de 500,00 € (cinq cents euros) est attribuée, à titre individuel, aux militaires dont la liste figure en annexe I. Article 3 Une prime de 400,00 € (quatre cents euros) est attribuée, à titre individuel, aux militaires dont la liste figure en annexe II. Article 4 Une prime de 500,00 € (cinq cents euros) est attribuée, à titre exceptionnel, aux militaires dont la liste figure en annexe III. Article 5 La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 4 avril 2011. Le colonel, commandant la gendarmerie de la sécurité des armements nucléaires, G. Forgues AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 40/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE I Liste des militaires bénéficiant d’une prime de résultats exceptionnels à titre individuel d’un montant de 500,00 euros pour l’année Bernabo Frédéric Nigend : 163 612 Nls : 8 020 309 Bodilis Pascal Nigend : 150 846 Nls : 8 009 012 Boy Stéphane Nigend : 168 046 Nls : 8 023 917 Gabriele Marcel Nigend : 155 804 Nls : 8 013 339 Le Gac Loïc Nigend : 129 466 Nls : 5 281 450 Thomas Frédéric Nigend : 129 665 Nls : 5 282 595 2010 ANNEXE II Liste des militaires bénéficiant d’une prime de résultats exceptionnels à titre individuel d’un montant de 400,00 euros pour l’année Curtinot Virginie Nigend : 182 424 Nls : 8 037 512 Denis Hervé Nigend : 106 264 Nls : 5 174 018 Le Bloa Dominique Nigend : 102 428 Nls : 5 126 349 Lebreton Roger Nigend : 108 414 Nls : 5 151 024 Loyer Laurent Nigend : 138 067 Nls : 5 281 665 Moguen Jean-Michel Nigend : 154 408 Nls : 8 012 060 Pascault Joël Nigend : 143 657 Nls : 8 002 779 Renault Christophe Nigend : 161 798 Nls : 8 018 783 Violo Alessandro Nigend : 154 345 Nls : 8 012 187 2010 ANNEXE III Liste des militaires bénéficiant d’une prime de résultats exceptionnels à titre exceptionnel d’un montant de Gougeon Gérard Nigend : 107 828 500,00 euros pour l’année 2010 Nls : 5 150 821 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 40/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Gendarmerie de l’armement _____ Décision no 687 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie de l’armement NOR : IOCJ1102610S Le commandant de la gendarmerie de l’armement, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 2801 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029453S), Décide : Article 1er L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er mai 2011 : Mahy Francis Nigend : 140 987 Numéro de livret de solde : 8 000 456 Article 2 L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Delattre Éric Nigend : 108 609 Numéro de livret de solde : 5 156 794 Article 3 Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Hermenier Hervé Nigend : 139 498 Numéro de livret de solde : 5 323 526 Article 4 Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Brière Simon Nigend : 167 512 Numéro de livret de solde : 8 023 319 Fait le 4 avril 2011. Le colonel, commandant la gendarmerie de l’armement, C. Fritsch AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 41/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Lorraine et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est _____ Décision no 20424 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est NOR : IOCJ1102582S Le commandant de la région de gendarmerie de Lorraine et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 77169 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029434S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2011 : Rokitowski Richard Nigend : 109 268 Numéro de livret de solde : 5 157 012 Lami Thierry Nigend : 122 528 Numéro de livret de solde : 5 270 135 Baijot Frédéric Nigend : 137 401 Numéro de livret de solde : 5 324 202 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Lefief Pascal Nigend : 111 370 Numéro de livret de solde : 5 174 665 Renoit Emmanuel Nigend : 150 801 Numéro de livret de solde : 8 008 087 Jacquin Philippe Nigend : 133 081 Numéro de livret de solde : 5 295 128 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : François David Nigend : 171 298 Numéro de livret de solde : 8 026 835 Loiseau Alain Nigend : 118 159 Numéro de livret de solde : 5 207 946 Guihard Alain Nigend : 128 050 Numéro de livret de solde : 5 281 247 Janiec Christophe Nigend : 161 865 Numéro de livret de solde : 6 022 634 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Formet Stéphane Nigend : 211 275 Numéro de livret de solde : 8 063 181 Bornier Laurent Nigend : 216 695 Numéro de livret de solde : 8 070 286 Royer David Nigend : 172 487 Numéro de livret de solde : 8 027 194 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 42/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Paul Cédric Nigend : 226 389 Numéro de livret de solde : 8 084 395 Cirillo Joseph Nigend : 169 145 Numéro de livret de solde : 8 024 816 Fait le 4 avril 2011. Le général de corps d’armée, commandant la région de gendarmerie de Lorraine et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est, G. Deanaz AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 42/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie des Pays de la Loire _____ Décision no 22690 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie des Pays de la Loire NOR : IOCJ1102567S Le commandant de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 72319 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029416S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2011 : Keerle Éric Nigend : 119 655 Numéro de livret de solde : 5 241 051 Richard Patrice Nigend : 124 617 Numéro de livret de solde : 5 213 385 Péquin Frédéric Nigend : 70 190 Numéro de livret de solde : 5 293 570 Sourcin Philippe Nigend : 108 803 Numéro de livret de solde : 5 175 184 Abraham Dominique Nigend : 103 147 Numéro de livret de solde : 5 173 201 Olmo Jacky Nigend : 109 360 Numéro de livret de solde : 5 175 273 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Bonnin Laurent Nigend : 145 282 Numéro de livret de solde : 8 003 733 Delarbre Bruno Nigend : 139 198 Numéro de livret de solde : 5 305 232 Philbois Cédric Nigend : 163 359 Numéro de livret de solde : 8 020 175 Pincédé Thierry Nigend : 101 865 Numéro de livret de solde : 5 148 687 Renou Érold Nigend : 109 266 Numéro de livret de solde : 5 157 010 Griffon Daniel Nigend : 111 479 Numéro de livret de solde : 5 150 570 Pineau Didier Nigend : 156 642 Numéro de livret de solde : 8 013 967 Beausse Michaël Nigend : 162 178 Numéro de livret de solde : 8 019 105 Pinaudeau Pascal Nigend : 122 686 Numéro de livret de solde : 5 220 271 Mollion Jean-Marc Nigend : 111 139 Numéro de livret de solde : 5 157 170 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Cavinato Bruno Nigend : 153 537 Numéro de livret de solde : 8 011 125 Corneil Fabrice Nigend : 153 775 Numéro de livret de solde : 8 011 520 Justet Richard Nigend : 150 033 Numéro de livret de solde : 8 007 746 Chamaillet Jean-Philippe Nigend : 162 884 Numéro de livret de solde : 8 019 717 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 43/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Beccavin Stéphane Nigend : 168 516 Numéro de livret de solde : 8 024 306 Le Moullec Serge Nigend : 132 419 Numéro de livret de solde : 5 295 562 Bazantay Frédéric Nigend : 164 148 Numéro de livret de solde : 8 020 704 Chari Alban Nigend : 176 120 Numéro de livret de solde : 8 028 618 Renaudin Jérôme Nigend : 161 912 Numéro de livret de solde : 8 018 884 Bougouin Joël Nigend : 146 449 Numéro de livret de solde : 8 004 307 Voisin Christophe Nigend : 156 004 Numéro de livret de solde : 8 013 599 Berthomé Jérôme Nigend : 157 512 Numéro de livret de solde : 8 015 016 Couillard Cyril Nigend : 165 990 Numéro de livret de solde : 8 022 428 Mabil Stéphane Nigend : 168 098 Numéro de livret de solde : 8 023 953 Decourt Cyrille Nigend : 172 137 Numéro de livret de solde : 8 027 227 Goyer Jacky Nigend : 100 991 Numéro de livret de solde : 5 111 532 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Cadiou Aurore Nigend : 228 319 Numéro de livret de solde : 8 058 479 Feuillafeix Patrick Nigend : 105 687 Numéro de livret de solde : 5 127 243 Staszewski Sébastien Nigend : 163 213 Numéro de livret de solde : 8 019 992 Biotteau Gaétan Nigend : 162 990 Numéro de livret de solde : 8 019 812 Cru Grégory Nigend : 189 796 Numéro de livret de solde : 8 045 352 Sidolle Sébastien Nigend : 218 368 Numéro de livret de solde : 8 064 979 Lobry Patrice Nigend : 115 950 Numéro de livret de solde : 5 191 188 Rizio Julien Nigend : 175 510 Numéro de livret de solde : 8 028 481 Lara Mickaël Nigend : 217 848 Numéro de livret de solde : 8 064 683 Boisseau Vincent Nigend : 193 605 Numéro de livret de solde : 8 047 196 Bizon Damien Nigend : 169 251 Numéro de livret de solde : 8 024 913 Bonati Stéphanie Nigend : 217 643 Numéro de livret de solde : 8 064 594 Jules Christophe Nigend : 174 880 Numéro de livret de solde : 8 031 770 Fait le 4 avril 2011. Le colonel, commandant la région de gendarmerie des Pays de la Loire, F. Alègre de La Soujeole AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 43/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud _____ Décision no 32124 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud NOR : IOCJ1102576S Le commandant de la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 117002 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029427S) ; Vu la décision no 159198 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029375S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2011 : Sabatier Frédéric Nigend : 136 266 Numéro de livret de solde : 5 323 967 Léonardis Serge Nigend : 115 643 Numéro de livret de solde : 5 190 122 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Casimirius Pierre-Yves Nigend : 132 256 Numéro de livret de solde : 5 295 013 Carton Stéphane Nigend : 145 517 Numéro de livret de solde : 8 003 814 Duforet Jean Nigend : 132 128 Numéro de livret de solde : 5 295 325 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Bénard Stéphane Nigend : 158 000 Numéro de livret de solde : 8 015 205 Meignal Florent Nigend : 161 048 Numéro de livret de solde : 8 017 872 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Gester Alexandre Nigend : 206 265 Numéro de livret de solde : 8 062 255 Marin Gaëtan Nigend : 212 017 Numéro de livret de solde : 8 063 513 Scano Fabien Nigend : 206 474 Numéro de livret de solde : 8 060 522 Calamia Cyril Nigend : 196 607 Numéro de livret de solde : 8 053 280 Gaillard Frédéric Nigend : 190 883 Numéro de livret de solde : 8 039 746 Fait le 4 avril 2011. Le général de division, commandant la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud, M. Mondoulet AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 44/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud _____ Décision no 32129 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur NOR : IOCJ1102573S Le commandant de la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 117004 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029426S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2011 : Leroy Stephan Nigend : 107 880 Numéro de livret de solde : 5 150 852 Sarkissian Jean-Daniel Nigend : 104 965 Numéro de livret de solde : 5 173 483 Frechin Jeannick Nigend : 117 043 Numéro de livret de solde : 5 218 847 Lucas Cebrian Michel Nigend : 102 437 Numéro de livret de solde : 5 126 358 Zimmerlin Frédéric Nigend : 116 455 Numéro de livret de solde : 5 244 198 Buonaccorsi Laurent Nigend : 141 343 Numéro de livret de solde : 5 272 013 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Villa Pascual Nigend : 136 583 Numéro de livret de solde : 5 324 094 Lefebvre Cécile Nigend : 151 392 Numéro de livret de solde : 8 009 470 Dupouy Jean-Charles Nigend : 128 167 Numéro de livret de solde : 5 271 129 Piquemal Michel Nigend : 110 773 Numéro de livret de solde : 5 150 370 Le Huu Nho Jonas Nigend : 133 645 Numéro de livret de solde : 5 311 703 Marti Victor Nigend : 101 327 Numéro de livret de solde : 5 148 564 Barthes Nicolas Nigend : 142 858 Numéro de livret de solde : 8 002 208 Closse Frédéric Nigend : 140 194 Numéro de livret de solde : 5 296 212 Touahir Abdelkader Nigend : 153 036 Numéro de livret de solde : 8 010 898 Platarets Patrick Nigend : 98 191 Numéro de livret de solde : 5 107 069 Bretnacher Claude Nigend : 90 704 Numéro de livret de solde : 5 101 324 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Bauer Fabien Nigend : 192 077 Numéo de livret de solde : 8 040 003 Burnichon Éric Nigend : 168 161 Numéo de livret de solde : 8 023 714 Burgel Julien Nigend : 183 877 Numéo de livret de solde : 8 043 085 Delavier Carole Nigend : 152 445 Numéo de livret de solde : 8 010 531 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 45/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Le Gallo Hervé Nigend : 164 094 Numéo de livret de solde : 8 020 853 Hutte Martial Nigend : 147 849 Numéo de livret de solde : 8 008 656 Guglielmi Philippe Nigend : 162 221 Numéo de livret de solde : 8 019 150 Plumel Christian Nigend : 162 000 Numéo de livret de solde : 8 018 965 Macarry Jean Nigend : 157 908 Numéo de livret de solde : 8 015 345 Baud Patrick Nigend : 176 331 Numéo de livret de solde : 8 028 702 Raybier Jean-Martin Nigend : 140 027 Numéo de livret de solde : 5 305 074 Gaidon Sébastien Nigend : 186 748 Numéo de livret de solde : 8 038 227 Moreau Fabrice Nigend : 161 636 Numéo de livret de solde : 8 018 672 Puccini Sébastien Nigend : 208 529 Numéo de livret de solde : 8 062 578 Ruffi Sébastien Nigend : 168 801 Numéo de livret de solde : 8 024 587 Grosjean-Moretti Didier Nigend : 118 027 Numéo de livret de solde : 5 243 039 Delaunay Aurélien Nigend : 172 534 Numéo de livret de solde : 8 031 725 Haulbert Sonia Nigend : 162 727 Numéo de livret de solde : 8 023 353 Verdonck Laurence Nigend : 151 724 Numéo de livret de solde : 8 009 597 Kazins Frédéric Nigend : 157 738 Numéo de livret de solde : 8 015 162 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Rolland Sébastien Nigend : 200 788 Numéro de livret de solde : 8 044 119 Dubus Thomas Nigend : 198 327 Numéro de livret de solde : 8 055 468 Rocher Jean-Marc Nigend : 195 060 Numéro de livret de solde : 8 047 794 Kimmel Christophe Nigend : 167 547 Numéro de livret de solde : 8 023 359 Rochelle Cyrille Nigend : 184 737 Numéro de livret de solde : 8 034 283 Maizieres Stéphane Nigend : 207 011 Numéro de livret de solde : 8 062 345 Viau Séverine Nigend : 211 438 Numéro de livret de solde : 8 063 467 Maurino David Nigend : 193 672 Numéro de livret de solde : 8 047 569 Rebufat Éric Nigend : 174 276 Numéro de livret de solde : 8 027 985 Biffard Oswald Nigend : 208 655 Numéro de livret de solde : 6 040 713 Fouilhac Jérémy Nigend : 226 633 Numéro de livret de solde : 8 084 546 Imbert Isabelle Nigend : 220 945 Numéro de livret de solde : 8 073 107 Paulin Sylviane Nigend : 156 950 Numéro de livret de solde : 8 014 779 Uraga Aurélie Nigend : 199 127 Numéro de livret de solde : 8 049 907 Cazier Matthieu Nigend : 209 047 Numéro de livret de solde : 8 050 710 Molina David Nigend : 164 111 Numéro de livret de solde : 8 020 868 Bentabet Khaled Nigend : 139 460 Numéro de livret de solde : 5 323 505 Boulanger Stéphane Nigend : 160 410 Numéro de livret de solde : 8 017 409 Perrot Grégory Nigend : 214 144 Numéro de livret de solde : 8 068 447 Mirc Nicolas Nigend : 204 505 Numéro de livret de solde : 8 055 306 Soppelsa Florian Nigend : 202 720 Numéro de livret de solde : 8 057 958 Fait le 4 avril 2011. Le général de division, commandant la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud, M. Mondoulet AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 45/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Rhône-Alpes et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est _____ Décision no 37548 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est NOR : IOCJ1102570S Le commandant de la région de gendarmerie de Rhône-Alpes et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 132969 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029423S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2011 : Laroche Christian Nigend : 114 615 Numéro de livret de solde : 5 189 852 Thinot Olivier Nigend : 118 829 Numéro de livret de solde : 5 242 089 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Jirot Denis Nigend : 137 208 Numéro de livret de solde : 5 323 155 Chhieng Dara Nigend : 161 828 Numéro de livret de solde : 6 014 051 Courtin Bruno Nigend : 132 815 Numéro de livret de solde : 5 294 724 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Lopez Christian Nigend : 118 586 Numéro de livret de solde : 5 241 967 Romary Nicolas Nigend : 169 078 Numéro de livret de solde : 8 024 787 Domergue Franck Nigend : 168 430 Numéro de livret de solde : 8 024 243 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Guiry Sébastien Nigend : 226 643 Numéro de livret de solde : 8 084 556 Schindler Thierry Nigend : 215 853 Numéro de livret de solde : 6 591 608 Braun Nicolas Nigend : 217 883 Numéro de livret de solde : 8 064 717 Coutellec Franck Nigend : 173 168 Numéro de livret de solde : 8 032 299 Fait le 4 avril 2011. Le général de corps d’armée, commandant la région de gendarmerie de Rhône-Alpes et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est, J. Grandchamp AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 46/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie d’Aquitaine et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest _____ Décision no 39804 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie d’Aquitaine NOR : IOCJ1102553S Le commandant de la région de gendarmerie d’Aquitaine et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 144796 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029391S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2011 : Fedrigo Serge Nigend : 122 641 Numéro de livret de solde : 5 243 237 Burel Marc Nigend : 121 550 Numéro de livret de solde : 5 241 614 Sengenes Serge Nigend : 116 440 Numéro de livret de solde : 5 219 086 Rautureau Patrick Nigend : 111 151 Numéro de livret de solde : 5 157 179 Wautier Paul Nigend : 103 727 Numéro de livret de solde : 5 126 396 Delcamp Thierry Nigend : 114 890 Numéro de livret de solde : 5 218 431 Leurgorry Marcel Nigend : 114 920 Numéro de livret de solde : 5 218 457 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Labrouche Jean-Paul Nigend : 124 080 Numéro de livret de solde : 5 269 569 Bayens Jean-François Nigend : 113 348 Numéro de livret de solde : 5 190 987 Jasmin Michel Nigend : 104 344 Numéro de livret de solde : 5 126 779 Simonetto Michel Nigend : 104 729 Numéro de livret de solde : 5 172 191 Camy Alexa Nigend : 154 143 Numéro de livret de solde : 8 011 917 Sxay Emmanuel Nigend : 137 247 Numéro de livret de solde : 5 323 079 Mielczarek Bruno Nigend : 143 372 Numéro de livret de solde : 8 000 569 Labourdette Jacques Nigend : 109 671 Numéro de livret de solde : 5 150 049 Saulnier Sébastien Nigend : 154 438 Numéro de livret de solde : 8 012 088 Gossiaux Frédéric Nigend : 158 556 Numéro de livret de solde : 6 016 343 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Handy Hervé Nigend : 158 934 Numéro de livret de solde : 8 016 240 Regagnon Nicolas Nigend : 175 605 Numéro de livret de solde : 8 028 592 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 47/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Hebrard Frédéric Nigend : 191 128 Numéro de livret de solde : 8 039 842 Saint-Picq Philippe Nigend : 114 517 Numéro de livret de solde : 5 189 785 Thomas Patrick Nigend : 154 116 Numéro de livret de solde : 8 011 896 Magne Ludovic Nigend : 171 846 Numéro de livret de solde : 8 030 412 Vandomme Jean-Luc Nigend : 100 193 Numéro de livret de solde : 5 111 394 De Gracia Gilbert Nigend : 92 267 Numéro de livret de solde : 5 102 825 Thomas Stéphane Nigend : 174 595 Numéro de livret de solde : 8 028 094 Renaudin Joël Nigend : 176 185 Numéro de livret de solde : 8 028 682 Desgroux Guillaume Nigend : 159 779 Numéro de livret de solde : 8 016 934 Biard Alain Nigend : 111 417 Numéro de livret de solde : 5 150 607 Turpin Cyril Nigend : 165 482 Numéro de livret de solde : 8 022 092 Foucard Franck Nigend : 137 575 Numéro de livret de solde : 5 323 244 Girod David Nigend : 157 408 Numéro de livret de solde : 8 014 332 Cano Joseph Nigend : 153 206 Numéro de livret de solde : 8 011 026 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Belkacem Nour-Eddine Nigend : 161 457 Numéro de livret de solde : 8 018 507 Gaiser Michaël Nigend : 209 390 Numéro de livret de solde : 8 055 200 Langlois Christophe Nigend : 226 336 Numéro de livret de solde : 8 084 335 Sessa Chrystel Nigend : 217 623 Numéro de livret de solde : 8 064 578 Barraud Pascal Nigend : 157 836 Numéro de livret de solde : 8 015 603 Carville Laurent Nigend : 191 066 Numéro de livret de solde : 8 039 812 Kermarc Christelle Nigend : 210 522 Numéro de livret de solde : 8 063 116 Gourcilleau Gwladys Nigend : 220 211 Numéro de livret de solde : 8 083 445 Lechat Hélène Nigend : 205 814 Numéro de livret de solde : 8 058 614 Paga Lionel Nigend : 198 700 Numéro de livret de solde : 8 053 671 Nolleau Loïc Nigend : 204 439 Numéro de livret de solde : 8 060 365 Fait le 4 avril 2011. Le général de division, commandant la région de gendarmerie d’Aquitaine et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest, B. Carmichael AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 47/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie d’Aquitaine et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest _____ Décision no 39834 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest NOR : IOCJ1102555S Le commandant de la région de gendarmerie d’Aquitaine et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 144797 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029396S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2011 : Giquel Didier Nigend : 140 409 Numéro de livret de solde : 5 281 736 Contentin Philippe Nigend : 113 193 Numéro de livret de solde : 5 189 424 Machu Christian Nigend : 103 220 Numéro de livret de solde : 5 158 630 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Bertarres Jean-Pierre Nigend : 127 671 Numéro de livret de solde : 5 279 070 Ducuing Patrick Nigend : 112 877 Numéro de livret de solde : 5 174 932 Creton Marc Nigend : 114 762 Numéro de livret de solde : 5 191 919 Touquet Sylvain Nigend : 106 342 Numéro de livret de solde : 5 127 299 Bardot Éric Nigend : 122 236 Numéro de livret de solde : 5 244 608 Dauba Gérard Nigend : 107 039 Numéro de livret de solde : 5 127 237 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Le Gouguec Fabien Nigend : 147 974 Numéro de livret de solde : 8 006 149 Lapergue Jean-Bernard Nigend : 91 800 Numéro de livret de solde : 5 090 346 Gourdon Nicolas Nigend : 183 269 Numéro de livret de solde : 8 033 942 Szalka Érick Nigend : 160 126 Numéro de livret de solde : 8 017 192 Ratinaud Patrick Nigend : 95 170 Numéro de livret de solde : 5 110 349 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Boxus Jonathan Nigend : 180 376 Numéro de livret de solde : 8 033 302 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 48/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Veyron-Churlet Sylvain Nigend : 225 568 Numéro de livret de solde : 6 592 941 Frachet Frédéric Nigend : 190 964 Numéro de livret de solde : 8 051 787 Fait le 4 avril 2011. Le général de division, commandant la région de gendarmerie d’Aquitaine et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest, B. Carmichael AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 48/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie d’Île-de-France et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris _____ Décision no 46255 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie d’Île-de-France NOR : IOCJ1102541S Le commandant de la région de gendarmerie d’Île-de-France et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 159196 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029373S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2011 : Gallen Gildas Nigend : 131 777 Numéro de livret de solde : 5 282 223 Salvat Thierry Nigend : 108 902 Numéro de livret de solde : 5 158 080 Anderlin Paul Nigend : 107 701 Numéro de livret de solde : 5 172 901 Modelo Bernard Nigend : 110 197 Numéro de livret de solde : 5 190 511 Havez Michel Nigend : 98 156 Numéro de livret de solde : 5 107 040 Christ Dominique Nigend : 111 689 Numéro de livret de solde : 5 135 107 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Bernier David Nigend : 142 689 Numéro de livret de solde : 8 001 511 Lefebvre Éric Nigend : 152 348 Numéro de livret de solde : 8 010 346 Mathevet Thierry Nigend : 153 359 Numéro de livret de solde : 8 011 265 André Charles Nigend : 162 172 Numéro de livret de solde : 8 019 101 Hanquez Frédéric Nigend : 154 750 Numéro de livret de solde : 8 012 338 Malherbe Jean-Pierre Nigend : 126 853 Numéro de livret de solde : 5 279 267 Bouillon Jean-Michel Nigend : 150 101 Numéro de livret de solde : 8 007 907 Fischer Gilbert Nigend : 116 025 Numéro de livret de solde : 5 218 036 Stricot Arnaud Nigend : 161 556 Numéro de livret de solde : 8 018 587 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Mayet Cyrille Nigend : 137 100 Numéro de livret de solde : 5 324 460 Lejeune Harold Nigend : 169 191 Numéro de livret de solde : 8 024 862 Ruelleux Sébastien Nigend : 170 009 Numéro de livret de solde : 8 025 483 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 49/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Joséphine Frédéric Nigend : 159 802 Numéro de livret de solde : 8 016 955 Duhautois Emmanuel Nigend : 164 177 Numéro de livret de solde : 8 020 730 Branchu Isabelle Nigend : 183 156 Numéro de livret de solde : 8 033 818 Lavigogne Jérôme Nigend : 192 045 Numéro de livret de solde : 8 040 051 Brunot Jean-Christophe Nigend : 123 380 Numéro de livret de solde : 5 244 904 Gilibert Didier Nigend : 100 258 Numéro de livret de solde : 5 125 231 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Coulmier Nicolas Nigend : 216 706 Numéro de livret de solde : 8 070 295 Schmitt Thierry Nigend : 225 240 Numéro de livret de solde : 8 084 032 Rossi-Amouroux Julien Nigend : 184 815 Numéro de livret de solde : 8 042 350 Busset Olivier Nigend : 229 220 Numéro de livret de solde : 8 084 752 Le Gouez Solenn Nigend : 231 149 Numéro de livret de solde : 8 085 342 Akriche Nora Nigend : 194 268 Numéro de livret de solde : 8 049 708 Culus Guillaume Nigend : 185 895 Numéro de livret de solde : 8 045 838 Le Mallet Nicolas Nigend : 147 051 Numéro de livret de solde : 8 005 366 Chambrelan Nicolas Nigend : 198 945 Numéro de livret de solde : 8 053 709 Baylot Nathalie Nigend : 220 042 Numéro de livret de solde : 8 072 585 Godet Yann Nigend : 167 412 Numéro de livret de solde : 8 023 154 Cornaud Emmanuelle Nigend : 198 775 Numéro de livret de solde : 8 053 714 Moret Morgan Nigend : 188 518 Numéro de livret de solde : 8 043 296 Petit Sébastien Nigend : 185 235 Numéro de livret de solde : 8 040 981 Jurgens Sébastien Nigend : 176 800 Numéro de livret de solde : 8 036 114 Ribot David Nigend : 145 727 Numéro de livret de solde : 8 004 085 De-Rouck David Nigend : 142 710 Numéro de livret de solde : 8 001 437 Allouard Cédric Nigend : 155 140 Numéro de livret de solde : 8 012 901 Freslon Arnaud Nigend : 186 140 Numéro de livret de solde : 8 038 141 Sivet Édouard Nigend : 186 471 Numéro de livret de solde : 8 035 068 Paris Arnaud Nigend : 203 740 Numéro de livret de solde : 8 054 769 Potel Benjamin Nigend : 208 986 Numéro de livret de solde : 8 050 780 Fait le 4 avril 2011. Le général de corps d’armée, commandant la région de gendarmerie d’Île-de-France et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris, C. Brachet AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 49/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie d’Île-de-France et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris _____ Décision no 46259 du 4 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris NOR : IOCJ1102542S Le commandant de la région de gendarmerie d’Île-de-France et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 159198 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029375S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2011 : Boisaubert Pascal Nigend : 111 060 Numéro de livret de solde : 5 157 099 Boillet Laurent Nigend : 136 460 Numéro de livret de solde : 5 324 114 Deternoz Jean-Marie Nigend : 134 241 Numéro de livret de solde : 5 310 763 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Samy François Nigend : 135 488 Numéro de livret de solde : 5 311 570 Vianello Patrick Nigend : 134 546 Numéro de livret de solde : 5 295 996 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Lhoste Thierry Nigend : 140 242 Numéro de livret de solde : 5 296 236 Gabin Wilfred Nigend : 157 880 Numéro de livret de solde : 8 015 324 Guilloux Julien Nigend : 166 346 Numéro de livret de solde : 8 022 544 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Richoux Arnaud Nigend : 226 465 Numéro de livret de solde : 8 084 528 Leduc Sébastien Nigend : 203 587 Numéro de livret de solde : 8 059 064 Miletti Gérald Nigend : 212 680 Numéro de livret de solde : 8 063 612 Niang Amadou Nigend : 217 496 Numéro de livret de solde : 8 064 452 Fait le 4 avril 2011. Le général de corps d’armée, commandant la région de gendarmerie d’Île-de-France et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris, C. Brachet AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 50/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Gendarmerie maritime _____ Décision no 1210 du 5 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie maritime NOR : IOCJ1102612S Le commandant de la gendarmerie maritime, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 4836 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029455S), Décide : Article 1er Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Mevel Guillaume Nigend : 70 278 Numéro de livret de solde : 5 283 179 Penhoet Daniel Nigend : 123 082 Numéro de livret de solde : 5 270 260 Article 2 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Quillivic Alain Nigend : 148 519 Numéro de livret de solde : 8 006 385 Montech Jean Marc Nigend : 147 980 Numéro de livret de solde : 8 006 155 Article 3 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Stéphan Robin Nigend : 175 069 Numéro de livret de solde : 8 032 166 Mazier Patrice Nigend : 156 236 Numéro de livret de solde : 8 013 772 Jouffrey Nicolas Nigend : 224 975 Numéro de livret de solde : 8 084 064 Fait le 5 avril 2011. Le colonel, commandant la gendarmerie maritime, G. Strub AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 51/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Gendarmerie de l’air _____ Décision no 3861 du 5 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie de l’air NOR : IOCJ1102613S Le commandant de la gendarmerie de l’air, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 14011 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029456S), Décide : Article 1er Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Migot Stéphane Nigend : 159 989 Numéro de livret de solde : 8 017 077 Dulion Xavier Nigend : 94 752 Numéro de livret de solde : 5 106 359 Article 2 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Rébéca Pédro Nigend : 160 484 Numéro de livret de solde : 8 017 481 Manginot Raphaël Nigend : 161 304 Numéro de livret de solde : 8 018 363 Fait le 5 avril 2011. Le colonel, commandant la gendarmerie de l’air, G. Cazenave-Lacroutz AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 52/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Corse _____ Décision no 6645 du 5 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Corse NOR : IOCJ1102579S Le commandant de la région de gendarmerie de Corse, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 25348 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029430S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2011 : Henning François Nigend : 126 039 Numéro de livret de solde : 5 280 437 Schmitt Patrick Nigend : 110 394 Numéro de livret de solde : 5 150 308 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Carus Philippe Nigend : 145 167 Numéro de livret de solde : 8 003 815 Petit-Laurent Didier Nigend : 151 949 Numéro de livret de solde : 8 009 783 Bonafé Patrick Nigend : 117 504 Numéro de livret de solde : 5 220 622 Albertini Andrée Nigend : 138 686 Numéro de livret de solde : 5 325 201 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Vuaille Jean-Luc Nigend : 138 199 Numéro de livret de solde : 5 324 497 Robak Delphine Nigend : 164 893 Numéro de livret de solde : 8 021 493 Vincensini Michel Nigend : 152 531 Numéro de livret de solde : 8 010 396 Mandine Daniel Nigend : 133 781 Numéro de livret de solde : 5 294 360 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Rocton Pierre Nigend : 147 086 Numéro de livret de solde : 8 005 386 Quintard Hervé Nigend : 172 314 Numéro de livret de solde : 8 031 298 Heve Olivier Nigend : 186 044 Numéro de livret de solde : 8 038 150 Fait le 5 avril 2011. Le colonel, commandant la région de gendarmerie de Corse, C. Rodriguez AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 53/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie d’Alsace _____ Décision no 7686 du 5 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie d’Alsace NOR : IOCJ1102583S Le commandant de la région de gendarmerie d’Alsace, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 25902 du 1er décembre 2010 (IOCJ1029435S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2011 : Pitrosky Éric Nigend : 120 153 Numéro de livret de solde : 5 220 475 Kayser Jean Nigend : 102 418 Numéro de livret de solde : 5 126 340 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Perrin Fabien Nigend : 119 027 Numéro de livret de solde : 5 220 877 Baumann Frédéric Nigend : 133 415 Numéro de livret de solde : 5 208 935 Goldstein Rémy Nigend : 125 615 Numéro de livret de solde : 5 244 434 Sutter Daniel Nigend : 109 383 Numéro de livret de solde : 5 175 293 Neubeck Frédéric Nigend : 160 365 Numéro de livret de solde : 8 017 374 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Klein Bruno Nigend : 188 232 Numéro de livret de solde : 8 038 654 Bruno Didier Nigend : 200 767 Numéro de livret de solde : 8 044 066 Koebel Guillaume Nigend : 166 019 Numéro de livret de solde : 8 022 456 Magdelaine David Nigend : 157 444 Numéro de livret de solde : 8 014 367 Le Buhe Jean-Claude Nigend : 181 364 Numéro de livret de solde : 8 030 149 Pereira Da Silva Anne-Laure Nigend : 162 253 Numéro de livret de solde : 8 019 177 Tischmacher Christophe Nigend : 158 110 Numéro de livret de solde : 8 014 998 Gavanon Frédéric Nigend : 169 160 Numéro de livret de solde : 8 024 831 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Margerin Benoît Nigend : 230 591 Numéro de livret de solde : 8 085 073 Bollwein Karine Nigend : 205 238 Numéro de livret de solde : 8 058 655 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 54/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Péguet Frédéric Nigend : 200 006 Numéro de livret de solde : 6 019 399 Meyer Stéphane Nigend : 203 286 Numéro de livret de solde : 8 058 352 Geib Sébastien Nigend : 192 071 Numéro de livret de solde : 8 040 031 Helm Jean Nigend : 163 654 Numéro de livret de solde : 8 020 345 Demangeat Matthieu Nigend : 179 875 Numéro de livret de solde : 8 035 668 Ricou Amélie Nigend : 187 038 Numéro de livret de solde : 8 043 438 Fait le 5 avril 2011. Le général, commandant la région de gendarmerie d’Alsace, M. Robiquet AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 54/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie du Centre _____ Décision no 18982 du 5 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie du Centre NOR : IOCJ1102568S Le commandant de la région de gendarmerie du Centre, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 75171 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029418S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2011 : Baulande Frédéric Nigend : 157 362 Numéro de livret de solde : 8 014 302 Depril Jean-Marc Nigend : 131 116 Numéro de livret de solde : 5 283 319 Launay Emmanuel Nigend : 144 435 Numéro de livret de solde : 8 003 567 Dupré Olivier Nigend : 145 054 Numéro de livret de solde : 8 003 720 Lemaire Philippe Nigend : 111 124 Numéro de livret de solde : 5 157 158 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Olcina Jean-Louis Nigend : 161 422 Numéro de livret de solde : 8 018 481 Paris Benoît Nigend : 132 594 Numéro de livret de solde : 5 254 652 Lequeux Philippe Nigend : 100 583 Numéro de livret de solde : 5 148 353 Besse Éric Nigend : 151 231 Numéro de livret de solde : 8 009 311 Beaudouin Christophe Nigend : 149 975 Numéro de livret de solde : 8 007 502 Bouquet Olivier Nigend : 116 474 Numéro de livret de solde : 5 219 394 Le Roux Patrick Nigend : 138 567 Numéro de livret de solde : 5 324 967 Pinault Jean-Michel Nigend : 108 124 Numéro de livret de solde : 5 175 075 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Gallinetti Baptiste Nigend : 189 137 Numéro de livret de solde : 8 039 040 Paruch Laurent Nigend : 159 078 Numéro de livret de solde : 8 016 378 Poquet Émilie Nigend : 190 618 Numéro de livret de solde : 8 038 981 Chauvin Renan Nigend : 161 473 Numéro de livret de solde : 8 018 018 Baranger Bernard Nigend : 157 105 Numéro de livret de solde : 8 014 604 Conti Gabriel Nigend : 210 416 Numéro de livret de solde : 8 063 023 Remise Laurent Nigend : 181 398 Numéro de livret de solde : 8 030 183 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 55/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Da Silva Goncalves Daniel Nigend : 168 527 Numéro de livret de solde : 8 024 331 Audebert Fabrice Nigend : 160 849 Numéro de livret de solde : 8 017 902 Renaudon Olivier Nigend : 141 427 Numéro de livret de solde : 5 323 592 Dubois Christophe Nigend : 150 970 Numéro de livret de solde : 5 298 628 Cinamman Gaspard Nigend : 200 828 Numéro de livret de solde : 8 044 072 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Petit Cédric Nigend : 211 507 Numéro de livret de solde : 8 066 652 Thomas Sébastien Nigend : 189 288 Numéro de livret de solde : 8 038 498 Tasserie Laurent Nigend : 161 807 Numéro de livret de solde : 8 018 792 Bibaut Éric Nigend : 177 754 Numéro de livret de solde : 8 032 661 Valat Christophe Nigend : 170 404 Numéro de livret de solde : 8 025 793 Margerin Frédéric Nigend : 221 058 Numéro de livret de solde : 8 083 601 Minard Sophie Nigend : 198 688 Numéro de livret de solde : 8 053 426 Cunha Da Silva José Nigend : 193 659 Numéro de livret de solde : 6 566 727 Dufau Élodie Nigend : 225 525 Numéro de livret de solde : 8 084 251 Pinçon Mickaël Nigend : 170 502 Numéro de livret de solde : 8 025 680 Lapeyre Christelle Nigend : 204 233 Numéro de livret de solde : 8 055 101 Poulichet Olivier Nigend : 213 113 Numéro de livret de solde : 8 064 950 Jacoberger Nathalie Nigend : 224 443 Numéro de livret de solde : 8 083 834 Dubreuil Sébastien Nigend : 183 644 Numéro de livret de solde : 8 036 898 Forton Pascal Nigend : 182 946 Numéro de livret de solde : 8 036 823 De Saint Riquier Benoît Nigend : 229 048 Numéro de livret de solde : 8 084 924 Soulary Romain Nigend : 224 477 Numéro de livret de solde : 8 083 868 Montauban Emmanuelle Nigend : 205 343 Numéro de livret de solde : 8 058 693 Lasselin David Nigend : 198 906 Numéro de livret de solde : 8 053 651 Miraton Hervé Nigend : 197 381 Numéro de livret de solde : 8 048 868 Robert Laëtitia Nigend : 189 768 Numéro de livret de solde : 8 044 847 Fait le 5 avril 2011. Le colonel, commandant la région de gendarmerie du Centre, S.-P. Baradel AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 55/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie du Nord - Pas-de-Calais et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord _____ Décision no 19399 du 5 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord NOR : IOCJ1102596S Le commandant de la région de gendarmerie du Nord - Pas-de-Calais et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 74040 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029443S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2011 : Lombard Sylvain Nigend : 118 922 Numéro de livret de solde : 5 220 774 Codron Didier Nigend : 113 951 Numéro de livret de solde : 5 191 624 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Ruchon David Nigend : 158 344 Numéro de livret de solde : 8 015 787 Samson Bruno Nigend : 116 071 Numéro de livret de solde : 5 218 079 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Godin Jean-Christophe Nigend : 183 389 Numéro de livret de solde : 8 034 035 Gallet Julien Nigend : 173 183 Numéro de livret de solde : 8 032 592 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Fremaux Mathieu Nigend : 183 585 Numéro de livret de solde : 8 040 609 Caron Sébastien Nigend : 198 264 Numéro de livret de solde : 8 055 744 Fait le 5 avril 2011. Le général de division, commandant la région de gendarmerie du Nord - Pas-de-Calais et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord, P. Lunet AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 56/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie du Nord - Pas-de-Calais et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord _____ Décision no 19402 du 5 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie du Nord - Pas-de-Calais NOR : IOCJ1102593S Le commandant de la région de gendarmerie du Nord - Pas-de-Calais et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 74041 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029441S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2011 : Bétrémieux Reynald Nigend : 070 005 Numéro de livret de solde : 5 282 514 Mereaux Marc Nigend : 124 607 Numéro de livret de solde : 5 244 270 Brogniart Philippe Nigend : 117 364 Numéro de livret de solde : 5 241 714 Duthoit Pascal Nigend : 110 269 Numéro de livret de solde : 5 150 139 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Simon Gérard Nigend : 124 327 Numéro de livret de solde : 5 243 290 Boussemaëre Patrick Nigend : 142 406 Numéro de livret de solde : 8 001 706 Plé Frédéric Nigend : 139 379 Numéro de livret de solde : 5 296 081 Reco Lionnel Nigend : 146 823 Numéro de livret de solde : 8 005 260 Norguez Pascal Nigend : 111 616 Numéro de livret de solde : 5 150 765 Rivière Ludovic Nigend : 157 205 Numéro de livret de solde : 8 014 674 Pourchez Olivier Nigend : 149 947 Numéro de livret de solde : 8 007 881 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Debarge Manuel Nigend : 170 443 Numéro de livret de solde : 8 025 629 Dellay Yann Nigend : 196 998 Numéro de livret de solde : 8 048 499 Plataux Cyril Nigend : 174 574 Numéro de livret de solde : 8 028 074 Pluta Christian Nigend : 163 780 Numéro de livret de solde : 8 020 483 Liétard Franck Nigend : 155 095 Numéro de livret de solde : 8 012 459 Petit Laurent Nigend : 153 371 Numéro de livret de solde : 8 011 274 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 57/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Fromont Mickaël Nigend : 158 292 Numéro de livret de solde : 8 015 739 Lemaitre Franck Nigend : 149 063 Numéro de livret de solde : 8 006 944 Leprince Pascal Nigend : 179 806 Numéro de livret de solde : 8 032 710 Bocquillon Bruno Nigend : 179 654 Numéro de livret de solde : 8 032 673 Pollien Alexandre Nigend : 174 274 Numéro de livret de solde : 8 027 983 Pruvost Michel Nigend : 204 249 Numéro de livret de solde : 8 054 860 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Toupet Dany Nigend : 173 709 Numéro de livret de solde : 8 032 821 Bonne Rodolphe Nigend : 213 030 Numéro de livret de solde : 8 067 522 Matéo Frédéric Nigend : 225 213 Numéro de livret de solde : 8 084 016 Caplier Ludovic Nigend : 217 415 Numéro de livret de solde : 8 064 427 Holin Céline Nigend : 201 289 Numéro de livret de solde : 8 052 438 Dufour Thierry Nigend : 168 069 Numéro de livret de solde : 8 023 937 Fournier Michel Nigend : 143 190 Numéro de livret de solde : 8 002 559 Dubois Nicolas Nigend : 203 593 Numéro de livret de solde : 8 059 111 Knieczak Christophe Nigend : 183 416 Numéro de livret de solde : 8 034 046 Bayard Éric-Amicet Nigend : 168 822 Numéro de livret de solde : 8 024 606 Fait le 5 avril 2011. Le général de division, commandant la région de gendarmerie du Nord - Pas-de-Calais, et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord, P. Lunet AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 57/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Lorraine et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est _____ Décision no 21256 du 5 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Lorraine NOR : IOCJ1102580S Le commandant de la région de gendarmerie de Lorraine et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 77168 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029432S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2011 : Drogo Lino Nigend : 115 240 Numéro de livret de solde : 5 190 120 Guérard Claude Nigend : 111 213 Numéro de livret de solde : 5 175 730 Egloff Patrick Nigend : 114 087 Numéro de livret de solde : 5 191 737 Gillard Patrick Nigend : 122 856 Numéro de livret de solde : 5 244 040 Cosserat Alain Nigend : 113 724 Numéro de livret de solde : 5 189 428 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Bernot Marc Nigend : 119 929 Numéro de livret de solde : 5 242 506 Longo Muriel Nigend : 140 729 Numéro de livret de solde : 8 000 361 Cavazza Pascal Nigend : 138 773 Numéro de livret de solde : 5 324 621 Crauser Nadine Nigend : 141 079 Numéro de livret de solde : 8 001 129 Schuler Patrick Nigend : 96 609 Numéro de livret de solde : 5 124 570 Salagnat Didier Nigend : 114 028 Numéro de livret de solde : 5 191 677 Laurent Patrick Nigend : 119 011 Numéro de livret de solde : 5 220 862 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Marchand Stéphane Nigend : 193 853 Numéro de livret de solde : 8 047 669 Bannwart Dominique Nigend : 190 903 Numéro de livret de solde : 8 039 702 Collin Bruno Nigend : 160 425 Numéro de livret de solde : 8 017 421 Heitzmann Jocelyn Nigend : 152 223 Numéro de livret de solde : 8 010 252 Peureux Grégory Nigend : 153 732 Numéro de livret de solde : 8 011 672 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 58/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Lepetit Christophe Nigend : 163 183 Numéro de livret de solde : 8 019 965 Courte Cyrille Nigend : 165 201 Numéro de livret de solde : 8 021 819 Weber Renaud Nigend : 157 956 Numéro de livret de solde : 8 015 390 Kontzler Éric Nigend : 150 757 Numéro de livret de solde : 8 007 957 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Girie Denis Nigend : 182 564 Numéro de livret de solde : 6 544 472 Schneider Damien Nigend : 193 535 Numéro de livret de solde : 8 047 515 Morand Carole Nigend : 173 108 Numéro de livret de solde : 8 027 567 Guidi Nicolas Nigend : 190 082 Numéro de livret de solde : 8 043 600 Devillard Valérie Nigend : 225 608 Numéro de livret de solde : 8 084 192 Bernier Guillaume Nigend : 199 759 Numéro de livret de solde : 8 053 462 Ehrenfeld Éric Nigend : 203 888 Numéro de livret de solde : 8 055 006 Deharbe Muriel Nigend : 201 175 Numéro de livret de solde : 8 044 009 Fait le 5 avril 2011. Le général de corps d’armée, commandant la région de gendarmerie de Lorraine et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est, G. Deanaz AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 58/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Gendarmerie des transports aériens _____ Décision no 5534 du 6 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie des transports aériens NOR : IOCJ1102605S Le commandant de la gendarmerie des transports aériens, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 20854 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029452S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2011 : Pernot Alain Nigend : 125 355 Numéro de livret de solde : 5 270 692 Cannière Gérard Nigend : 96 513 Numéro de livret de solde : 5 124 358 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Leblond Philippe Nigend : 155 093 Numéro de livret de solde : 8 012 456 Julien Philippe Nigend : 138 254 Numéro de livret de solde : 5 322 342 Le Duc Didier Nigend : 102 731 Numéro de livret de solde : 5 126 647 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Dagand Florian Nigend : 173 577 Numéro de livret de solde : 8 025 943 Guilhaumon Rémi Nigend : 172 160 Numéro de livret de solde : 6 534 475 Sellier Franck Nigend : 168 923 Numéro de livret de solde : 8 024 694 Baligand Patrice Nigend : 149 485 Numéro de livret de solde : 8 007 304 Delmas Emmanuel Nigend : 188 691 Numéro de livret de solde : 8 038 725 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Van de Wouw Alexandre Nigend : 169 600 Numéro de livret de solde : 8 025 193 Jouniaux Michael Nigend : 161 759 Numéro de livret de solde : 8 018 747 Fleurence Cyril Nigend : 191 069 Numéro de livret de solde : 8 039 832 Fait le 6 avril 2011. Le colonel, commandant la gendarmerie des transports aériens, D. Striebig AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 59/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Midi-Pyrénées _____ Décision no 23849 du 6 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Midi-Pyrénées NOR : IOCJ1102556S Le commandant de la région de gendarmerie de Midi-Pyrénées, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 91130 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029399S) ; Vu la décision no 72319 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029416S) ; Vu la décision no 75171 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029418S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2011 : Albo Henri Nigend : 99 224 Numéro de livret de solde : 5 108 368 Laroche Éric Nigend : 69 921 Numéro de livret de solde : 5 282 136 Bost Patrick Nigend : 135 117 Numéro de livret de solde : 5 312 226 Barrabès Jean-Michel Nigend : 149 735 Numéro de livret de solde : 8 007 405 Girard Patrice Nigend : 107 282 Numéro de livret de solde : 5 172 948 Duraud Philippe Nigend : 114 085 Numéro de livret de solde : 5 191 735 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Galibert François Nigend : 132 137 Numéro de livret de solde : 5 295 329 Bras Dominique Nigend : 153 765 Numéro de livret de solde : 8 011 510 Sanchez Patrick Nigend : 154 328 Numéro de livret de solde : 8 012 174 Daurignac Philippe Nigend : 129 583 Numéro de livret de solde : 5 282 520 Vieillescazes Jean-Marc Nigend : 157 491 Numéro de livret de solde : 8 014 398 Le Morvan Gérald Nigend : 158 569 Numéro de livret de solde : 8 015 850 Gouatarbes Pascal Nigend : 70 151 Numéro de livret de solde : 5 293 548 Sarraute Sébastien Nigend : 156 658 Numéro de livret de solde : 8 014 181 Georgevail Patrice Nigend : 163 024 Numéro de livret de solde : 8 019 844 Fabre Dominique Nigend : 126 818 Numéro de livret de solde : 5 279 338 Frigoul Philippe Nigend : 121 584 Numéro de livret de solde : 5 241 642 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Villereal De Lassaigne Mathieu Nigend : 176 843 Numéro de livret de solde : 8 034 968 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 60/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Cabanac Alain Nigend : 168 280 Numéro de livret de solde : 8 024 018 Lerousseau Christophe Nigend : 167 110 Numéro de livret de solde : 8 023 247 François Laurent Nigend : 161 742 Numéro de livret de solde : 8 018 040 Waszak Frédéric Nigend : 162 856 Numéro de livret de solde : 8 019 697 Jallet Philippe Nigend : 143 486 Numéro de livret de solde : 5 272 520 Pracht Nathalie Nigend : 134 055 Numéro de livret de solde : 5 295 979 Segur Cédric Nigend : 203 691 Numéro de livret de solde : 8 055 048 Perez Ingrid Nigend : 170 140 Numéro de livret de solde : 8 025 371 Douillet Ludovic Nigend : 149 277 Numéro de livret de solde : 8 007 033 Lohier Franck Nigend : 142 078 Numéro de livret de solde : 5 272 267 Butin Jérôme Nigend : 146 331 Numéro de livret de solde : 8 005 020 Roumegoux Benoît Nigend : 151 128 Numéro de livret de solde : 8 009 089 De Haro Olivier Nigend : 151 464 Numéro de livret de solde : 8 009 720 Empeyrou-Arruhat Stéphane Nigend : 147 023 Numéro de livret de solde : 8 005 425 Art. 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Clarac Jean-Michel Nigend : 157 129 Numéro de livret de solde : 8 014 627 Gilbert Frédérique Nigend : 225 537 Numéro de livret de solde : 8 084 264 Soares Tony Nigend : 197 689 Numéro de livret de solde : 8 048 931 Binche Sébastien Nigend : 182 543 Numéro de livret de solde : 8 041 294 Devos Olivier Nigend : 146 474 Numéro de livret de solde : 8 004 222 Dezou Régis Nigend : 163 499 Numéro de livret de solde : 8 020 222 Terrasse Laétitia Nigend : 209 032 Numéro de livret de solde : 8 064 582 Dethoor Virginie Nigend : 142 819 Numéro de livret de solde : 5 281 916 Denat Cyril Nigend : 175 554 Numéro de livret de solde : 8 028 530 Sarthou Jérôme Nigend : 188 659 Numéro de livret de solde : 8 038 785 Bousquet Christophe Nigend : 212 631 Numéro de livret de solde : 8 063 567 Boissinot Anne Nigend : 193 927 Numéro de livret de solde : 8 053 874 Selidoniau Patrick Nigend : 167 134 Numéro de livret de solde : 8 023 274 Pons Sébastien Nigend : 196 399 Numéro de livret de solde : 8 052 855 Matile Denis Nigend : 210 370 Numéro de livret de solde : 8 063 058 Desmartes David Nigend : 162 791 Numéro de livret de solde : 8 019 636 Pons Olivier Nigend : 184 010 Numéro de livret de solde : 8 043 152 Fait le 6 avril 2011. Le colonel, commandant la région de gendarmerie de Midi-Pyrénées, L. Tavel AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 60/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Commandement de la gendarmerie pour Saint-Pierre-et-Miquelon _____ Décision no 1/4 du 7 avril 2011 portant attribution, en 2011, de la prime de résultats exceptionnels à titres individuel et exceptionnel NOR : IOCJ1114491S Le lieutenant-colonel Philippe GUISSET, commandant la gendarmerie de Saint-Pierre-et-Miquelon, Vu le code de la défense ; Vu la loi no 2002‑1094 du 29 août 2002 d’orientation et de programmation pour la sécurité intérieure ; Vu le décret no 2004‑1073 du 11 octobre 2004 portant création d’une prime de résultats exceptionnels dans la gendarmerie nationale ; Vu l’arrêté du 11 octobre 2004 portant application du décret no 2004‑1073 du 11 octobre 2004 portant création d’une prime de résultats exceptionnels dans la gendarmerie nationale, Décide, Article 1er Les personnels de la gendarmerie en activité de service dont la liste est jointe percevront, à titres individuel et exceptionnel, au titre de l’année 2011, une prime de résultats exceptionnels. Article 2 Une prime de 400,00 € (quatre cents euros) est attribuée, à titre individuel, aux militaires dont la liste figure en annexe I. Article 3 Une prime de 300,00 € (trois cents euros) est attribuée, à titre individuel, aux militaires dont la liste figure en annexe II. Article 4 Une prime de 200,00 € (deux cents euros) est attribuée, à titre individuel, aux militaires dont la liste figure en annexe III. Article 5 La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 7 avril 2011. Le lieutenant-colonel, commandant la gendarmerie de Saint-Pierre-et-Miquelon, P. Guisset AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 61/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE I Liste des militaires bénéficiant d’une prime de résultats exceptionnels à titre individuel d’un montant de Camblong Jean-Christophe 400,00 € pour l’année Nigend : 165 362 2010 Numéro de livret de solde : 8 021 911 ANNEXE II Liste des militaires bénéficiant d’une prime de résultats exceptionnels à titre individuel d’un montant de 300,00 € pour l’année 2010 Bouret François Nigend : 125 899 Numéro de livret de solde : 5 271 018 Bosson Luc Nigend : 133 714 Numéro de livret de solde : 5 294 316 Carrere Thierry Nigend : 127 465 Numéro de livret de solde : 5 280 816 Foschia Walter Nigend : 165 056 Numéro de livret de solde : 8 021 742 Krempff Pascale Nigend : 152 003 Numéro de livret de solde : 8 008 931 ANNEXE III Liste des militaires bénéficiant d’une prime de résultats exceptionnels à titre individuel d’un montant de 200,00 € pour l’année 2010 Agnoux Jean-François Nigend : 137 660 Numéro de livret de solde : 5 281 802 Danto Bruno Nigend : 157 535 Numéro de livret de solde : 8 015 032 Dumontet François Nigend : 155 559 Numéro de livret de solde : 8 013 056 Giacomazzi Stéphane Nigend : 148 727 Numéro de livret de solde : 8 006 530 Hadey Thierry Nigend : 103 203 Numéro de livret de solde : 5 173 169 Jalowoï Jean Nigend : 180 040 Numéro de livret de solde : 8 029 739 Jehanno Grégory Nigend : 192 483 Numéro de livret de solde : 8 039 650 Pelloquin Jérôme Nigend : 209 715 Numéro de livret de solde : 8 062 844 Person Maryan Nigend : 149 451 Numéro de livret de solde : 8 007 172 Pluchon Philippe Nigend : 141 683 Numéro de livret de solde : 8 001 379 Trehout Catherine Nigend : 153 658 Numéro de livret de solde : 8 016 692 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 61/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie d’Auvergne _____ Décision no 10550 du 7 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie d’Auvergne NOR : IOCJ1102571S Le commandant de la région de gendarmerie d’Auvergne, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 36568 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029424S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2011 : Voulhoux Patrick Nigend : 128 953 Numéro de livret de solde : 5 282 884 Aniort André Nigend : 106 240 Numéro de livret de solde : 5 127 301 Ferronato Jean-Luc Nigend : 104 416 Numéro de livret de solde : 5 126 934 Cunin Claude Nigend : 104 893 Numéro de livret de solde : 5 173 521 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Bost Valérie Nigend : 131 455 Numéro de livret de solde : 5 324 319 Nunez Patrick Nigend : 128 534 Numéro de livret de solde : 5 280 974 Bernard Thierry Nigend : 145 757 Numéro de livret de solde : 8 004 121 Tissot Marc Nigend : 125 053 Numéro de livret de solde : 5 244 385 Droullé Éric Nigend : 148 338 Numéro de livret de solde : 8 006 324 Joachim Olivier Nigend : 149 177 Numéro de livret de solde : 8 006 740 Tire Francis Nigend : 139 914 Numéro de livret de solde : 5 272 194 Strauss Jacques Nigend : 133 135 Numéro de livret de solde : 5 235 396 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Hesse Didier Nigend : 210 438 Numéro de livret de solde : 8 063 048 Hiegel Philippe Nigend : 187 932 Numéro de livret de solde : 8 038 436 Poupon Anthony Nigend : 170 391 Numéro de livret de solde : 8 025 781 Jammes Max Nigend : 157 300 Numéro de livret de solde : 8 014 842 Forestier David Nigend : 152 335 Numéro de livret de solde : 8 010 141 Hauswald Laurent Nigend : 159 492 Numéro de livret de solde : 8 016 750 Tscheulin-Konig Karine Nigend : 152 792 Numéro de livret de solde : 8 016 693 Cormann Cathy Nigend : 173 873 Numéro de livret de solde : 8 027 715 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 62/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR De Min Christophe Nigend : 168 723 Numéro de livret de solde : 8 024 526 Hugel Didier Nigend : 138 560 Numéro de livret de solde : 5 324 958 Levigne Olivier Nigend : 166 767 Numéro de livret de solde : 8 022 948 Ramuz Michèle Nigend : 171 106 Numéro de livret de solde : 8 026 680 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Auroy Nicolas Nigend : 178 826 Numéro de livret de solde : 8 036 770 Visini Pierre-Gilles Nigend : 212 804 Numéro de livret de solde : 8 063 721 Wissenmeyer Richard Nigend : 176 403 Numéro de livret de solde : 8 028 792 Fraize Marie-Ève Nigend : 185 984 Numéro de livret de solde : 8 034 633 Rennemann Yves Nigend : 175 059 Numéro de livret de solde : 8 031 575 Fait le 7 avril 2011. Le général, commandant la région de gendarmerie d’Auvergne, J.-P. Blachon AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 62/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Centre technique de la gendarmerie nationale _____ Décision no 12999 du 7 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général du centre technique de la gendarmerie nationale NOR : IOCJ1102603S Le commandant du centre technique de la gendarmerie nationale, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 34833 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029451S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2011 : Saunier Dominique Nigend : 105 209 Numéro de livret de solde : 5 172 309 Pruvot Jean-François Nigend : 110 537 Numéro de livret de solde : 5 175 567 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Noloy Thierry Nigend : 140 903 Numéro de livret de solde : 8 000 976 Boyer Annie Nigend : 140 816 Numéro de livret de solde : 8 000 913 Perrin Jean-Marie Nigend : 141 531 Numéro de livret de solde : 8 000 582 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Deberque Laurence Nigend : 163 722 Numéro de livret de solde : 8 020 423 Santos José Nigend : 148 530 Numéro de livret de solde : 8 006 290 Loillier-Ildebrand Philippe Nigend : 136 381 Numéro de livret de solde : 5 322 539 Remillon Christophe Nigend : 183 411 Numéro de livret de solde : 8 033 979 Le Gall Olivier Nigend : 149 554 Numéro de livret de solde : 8 007 263 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Piquemal Catherine Nigend : 190 257 Numéro de livret de solde : 8 039 369 Lamusse Pascal Nigend : 218 676 Numéro de livret de solde : 8 065 012 Cren Séverine Nigend : 190 668 Numéro de livret de solde : 8 039 532 Deslandes Déborah Nigend : 183 246 Numéro de livret de solde : 8 033 925 Fait le 7 avril 2011. Le colonel, commandant le centre technique de la gendarmerie nationale, O. Guerif AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 63/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Franche-Comté _____ Décision no 10546 du 8 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Franche-Comté NOR : IOCJ1102592S Le commandant de la région de gendarmerie de Franche-Comté, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 32110 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029440S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2011 : Muret Laurent Nigend : 126 863 Numéro de livret de solde : 5 279 276 Brischoux Yves Nigend : 105 531 Numéro de livret de solde : 5 173 609 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Bergere Denis Nigend : 117 243 Numéro de livret de solde : 5 219 112 Perros Jean-Christophe Nigend : 111 262 Numéro de livret de solde : 5 175 674 Chenevoy Patrick Nigend : 114 438 Numéro de livret de solde : 5 189 623 Rousse Stéphane Nigend : 131 958 Numéro de livret de solde : 5 294 484 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Deck Thierry Nigend : 120 433 Numéro de livret de solde : 5 220 223 Wittmer Daniel Nigend : 172 106 Numéro de livret de solde : 8 027 396 Rochette Karine Nigend : 160 007 Numéro de livret de solde : 8 016 590 Frossard Gérald Nigend : 159 482 Numéro de livret de solde : 8 016 742 Pagnoz Cyrille Nigend : 152 369 Numéro de livret de solde : 8 010 162 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Barrier Olivier Nigend : 223 880 Numéro de livret de solde : 6 584 575 Beluche Christian Nigend : 128 384 Numéro de livret de solde : 5 280 314 Kussler Caroline Nigend : 226 375 Numéro de livret de solde : 8 084 381 Tessier Anthony Nigend : 194 747 Numéro de livret de solde : 8 054 138 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 64/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Mathieu-Leonard Alain Nigend : 225 214 Numéro de livret de solde : 8 084 017 Rabasse Sébastien Nigend : 210 138 Numéro de livret de solde : 8 050 294 Gelez Myriam Nigend : 189 075 Numéro de livret de solde : 8 043 546 Fait le 8 avril 2011. Le général, commandant la région de gendarmerie de Franche-Comté, A. Coroir AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 64/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie du Limousin _____ Décision no 11090 du 11 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie du Limousin NOR : IOCJ1102558S Le commandant de la région de gendarmerie du Limousin, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 37325 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029403S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2011 : Mathieu Pierre Nigend : 104 367 Numéro de livret de solde : 5 126 891 Rhodde Denis Nigend : 109 016 Numéro de livret de solde : 5 149 794 Article 2 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Burlion Philippe Nigend : 133 303 Numéro de livret de solde : 5 295 920 Grimaud Damien Nigend : 168 079 Numéro de livret de solde : 8 023 942 Castagnede Arnaud Nigend : 160 617 Numéro de livret de solde : 8 017 619 Dussour Christophe Nigend : 139 748 Numéro de livret de solde : 5 296 045 Article 3 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Dupré Jérôme Nigend : 158 163 Numéro de livret de solde : 8 015 540 Philippe Émeline Nigend : 202 579 Numéro de livret de solde : 8 054 381 Borie Dominique Nigend : 186 685 Numéro de livret de solde : 8 053 701 Cormenier Claire Nigend : 219 190 Numéro de livret de solde : 8 071 797 Fait le 11 avril 2011. Le colonel, commandant la région de gendarmerie du Limousin, M. Labbé AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 65/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Établissement central de l’administration et du soutien de la gendarmerie nationale _____ Décision no 21113 du 11 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de l’établissement central de l’administration et du soutien de la gendarmerie nationale – branche « administrative » NOR : IOCJ1102602S Le directeur de l’établissement central de l’administration et du soutien de la gendarmerie nationale, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 1034406 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029448S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2011 : Dujardin Patrick Nigend : 125 708 Numéro de livret de solde : 5 269 726 Leulier Francis Nigend : 96 718 Numéro de livret de solde : 5 046 098 Article 2 L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Govin François Nigend : 132 691 Numéro de livret de solde : 5 295 657 Article 3 Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Thevenot Jean-Marie Nigend : 95 573 Numéro de livret de solde : 5 106 695 Fait le 11 avril 2011. Le colonel, directeur de l’établissement central de l’administration et du soutien de la gendarmerie nationale, F. Rondot AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 66/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Picardie _____ Décision no 11570 du 12 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Picardie NOR : IOCJ1102597S Le commandant de la région de gendarmerie de Picardie, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 40365 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029444S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2011 : Maurice Robert Nigend : 149 819 Numéro de livret de solde : 8 007 282 Monnini Christophe Nigend : 159 320 Numéro de livret de solde : 8 016 458 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Couvez Philippe Nigend : 135 817 Numéro de livret de solde : 5 322 117 Lesage Olivier Nigend : 150 762 Numéro de livret de solde : 8 008 059 Aubry Jean-François Nigend : 158 246 Numéro de livret de solde : 8 015 800 Scaviner Stéphane Nigend : 153 494 Numéro de livret de solde : 8 011 489 Pasquier Jean-Pierre Nigend : 158 085 Numéro de livret de solde : 8 015 288 Doyen Philippe Nigend : 125 090 Numéro de livret de solde : 5 279 634 Houzet Pascal Nigend : 137 327 Numéro de livret de solde : 5 324 751 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Pinchon Laurent Nigend : 191 260 Numéro de livret de solde : 8 039 973 Madec Laurent Nigend : 218 327 Numéro de livret de solde : 8 064 898 Williot Fabrice Nigend : 147 526 Numéro de livret de solde : 8 005 498 Bihet Stéphane Nigend : 187 098 Numéro de livret de solde : 8 046 039 Georgin Jean Nigend : 109 317 Numéro de livret de solde : 5 175 324 Chardavoine David Nigend : 169 656 Numéro de livret de solde : 8 025 207 Fraise William Nigend : 155 290 Numéro de livret de solde : 8 012 736 Dupont Alexandre Nigend : 217 950 Numéro de livret de solde : 8 064 777 Leu Virginie Nigend : 185 300 Numéro de livret de solde : 8 046 629 Huet David Nigend : 183 087 Numéro de livret de solde : 8 037 593 Salasc Jérôme Nigend : 170 395 Numéro de livret de solde : 8 025 785 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 67/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Gallet Jérôme Nigend : 213 065 Numéro de livret de solde : 8 067 556 Gouédard Anthony Nigend : 220 460 Numéro de livret de solde : 8 072 715 Lhoir Denis Nigend : 147 606 Numéro de livret de solde : 8 005 665 Brunet Nicolas Nigend : 197 184 Numéro de livret de solde : 8 048 375 Carette Sandrine Nigend : 190 649 Numéro de livret de solde : 8 038 922 Lelouard Cédric Nigend : 181 948 Numéro de livret de solde : 8 036 204 Leblond Matthieu Nigend : 231 288 Numéro de livret de solde : 8 085 199 Laloyer Vincent Nigend : 137 872 Numéro de livret de solde : 5 323 359 Ali Gérald Nigend : 230 554 Numéro de livret de solde : 8 085 034 Fivez Laurent Nigend : 171 170 Numéro de livret de solde : 8 026 735 Heudre Kévin Nigend : 229 844 Numéro de livret de solde : 8 085 002 Potin Norbert Nigend : 148 956 Numéro de livret de solde : 8 006 687 Burguet Vincent Nigend : 195 108 Numéro de livret de solde : 8 047 733 Thienpont Guillaume Nigend : 226 660 Numéro de livret de solde : 8 084 573 Fait le 12 avril 2011. Le général, commandant la région de gendarmerie de Picardie, P. Mazy AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 67/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale de la gendarmerie nationale _____ Direction des personnels militaires de la gendarmerie nationale _____ Sous-direction de la gestion du personnel _____ Bureau du personnel sous-officier du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale _____ Décision no 34200 du 13 avril 2011 portant attribution de l’échelon exceptionnel aux majors du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale NOR : IOCJ1109221S Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑953 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers et officiers mariniers de carrière des armées et du soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale ; Vu l’arrêté du 4 août 2010 fixant pour la gendarmerie nationale la composition et l’organisation de la commission prévue à l’article L. 4136‑3 du code de la défense ; Vu la circulaire no 121768 du 6 décembre 2010 relative à l’attribution de l’échelon exceptionnel aux majors du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale au titre de l’année 2011 ; Vu les propositions formulées par la commission chargée d’examiner l’attribution de l’échelon exceptionnel aux majors du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale en date du 16 mars 2011, Décide : L’échelon exceptionnel est attribué aux majors du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale dont le nom figure ci-après, à compter du 1er mai 2011. Amiel Jean-Paul Nigend : 169 780 Numéro de livret de solde : 5 112 134 Babuleaud Sylvie Nigend : 202 801 Numéro de livret de solde : 5 114 633 Boissart Jean-Richard Nigend : 175 935 Numéro de livret de solde : 5 117 180 Bouillaud Christine Nigend : 112 527 Numéro de livret de solde : 5 149 354 Brunet Guylene Nigend : 112 439 Numéro de livret de solde : 5 108 604 Carrier Christine Nigend : 112 573 Numéro de livret de solde : 5 156 700 Castets Patrick Nigend : 169 839 Numéro de livret de solde : 5 046 238 Desplechin Didier Nigend : 193 468 Numéro de livret de solde : 5 097 020 Dolatabadi Serge Nigend : 170 289 Numéro de livret de solde : 5 116 615 Ferras Martine Nigend : 175 126 Numéro de livret de solde : 5 079 030 Friedrich Edith Nigend : 112 606 Numéro de livret de solde : 5 149 447 Gonde Muriel Nigend : 112 454 Numéro de livret de solde : 5 149 401 Henrieux Brigitte Nigend : 112 509 Numéro de livret de solde : 5 125 034 Patout Eric Nigend : 176 968 Numéro de livret de solde : 8 033 716 Pelois Hervé Nigend : 166 837 Numéro de livret de solde : 5 186 731 Pennetier Philippe Nigend : 174 608 Numéro de livret de solde : 5 196 468 Quiers Jean-Paul (Conditionnel) Nigend : 176 486 Numéro de livret de solde : 5 067 740 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 68/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Salomé Jean-Claude Nigend : 186 564 Numéro de livret de solde : 5 096 889 Vassallo Marie-Hélène Nigend : 112 540 Numéro de livret de solde : 5 149 383 Fait le 13 avril 2011. Pour le ministre et par délégation : Le colonel, sous-directeur de la gestion du personnel, J. Ribaud AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 68/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale de la gendarmerie nationale _____ Décision no 40106 du 15 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « aéronautique – pilotes » NOR : IOCJ1110729S Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 4 août 2010 relatif à la répartition des sous-officiers de gendarmerie par subdivision d’arme, par branche ou par spécialité et fixant les branches et spécialités au sein desquelles l’avancement intervient de façon distincte ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 130285 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029914S), Décide : Article 1er L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er mai 2011 : Gola Frédéric Nigend : 149 294 Numéro de livret de solde : 8 007 041 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Gervasoni Lionel Nigend : 181 113 Numéro de livret de solde : 6 032 067 Gucciardi Laurent Nigend : 185 282 Numéro de livret de solde : 6 548 019 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Perdu Franck Nigend : 167 575 Numéro de livret de solde : 8 023 384 Caussain Laurent Nigend : 234 613 Numéro de livret de solde : 6 534 389 Flandin Walter Nigend : 209 938 Numéro de livret de solde : 6 038 934 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Frogin Alexandre Nigend : 302 315 Numéro de livret de solde : 6 562 090 Dubois Régis Nigend : 303 691 Numéro de livret de solde : 6 574 126 Fait le 15 avril 2011. Pour le ministre et par délégation : Le colonel, sous-directeur de la gestion du personnel, J. Ribaud AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 69/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale de la gendarmerie nationale _____ Décision no 40107 du 15 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « aéronautique – mécaniciens cellules et moteurs » NOR : IOCJ1110732S Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 4 août 2010 relatif à la répartition des sous-officiers de gendarmerie par subdivision d’arme, par branche ou par spécialité et fixant les branches et spécialités au sein desquelles l’avancement intervient de façon distincte ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 130289 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029918S), Décide : Article 1er L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er mai 2011 : Keck Gilles Nigend : 94 212 Numéro de livret de solde : 5 109 857 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Mothes Philippe Nigend : 198 869 Numéro de livret de solde : 6 022 996 Bonnet Christian Nigend : 147 923 Numéro de livret de solde : 8 006 209 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Petit Laurent Nigend : 180 612 Numéro de livret de solde : 8 029 872 Riottot Charles Nigend : 172 215 Numéro de livret de solde : 8 027 285 Le Bihan Érik Nigend : 171 072 Numéro de livret de solde : 8 026 647 Morel Éric Nigend : 164 490 Numéro de livret de solde : 8 020 961 Mourot Pierre-François Nigend : 174 263 Numéro de livret de solde : 8 027 973 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Cassagnaud Stanislas Nigend : 225 504 Numéro de livret de solde : 8 084 114 Grondin Rémy Nigend : 228 073 Numéro de livret de solde : 8 076 212 Pattyne Alexandre Nigend : 247 351 Numéro de livret de solde : 6 636 454 Fait le 15 avril 2011. Pour le ministre et par délégation : Le colonel, sous-directeur de la gestion du personnel, J. Ribaud AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 70/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale de la gendarmerie nationale _____ Décision no 40108 du 15 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « aéronautique – mécaniciens avionique » NOR : IOCJ1110733S Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 4 août 2010 relatif à la répartition des sous-officiers de gendarmerie par subdivision d’arme, par branche ou par spécialité et fixant les branches et spécialités au sein desquelles l’avancement intervient de façon distincte ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 130287 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029922S), Décide : Article 1er L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er mai 2011 : Dupart Pascal Nigend : 139 749 Numéro de livret de solde : 5 305 244 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Jeannin Bertrand Nigend : 188 095 Numéro de livret de solde : 6 536 196 Petitjean Étienne Nigend : 98 423 Numéro de livret de solde : 5 098 360 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Page Florent Nigend : 192 327 Numéro de livret de solde : 8 040 469 Bard Adrien Nigend : 216 524 Numéro de livret de solde : 8 064 359 De Grave Christian Nigend : 186 000 Numéro de livret de solde : 8 034 621 Houyoux David Nigend : 162 384 Numéro de livret de solde : 8 019 349 Article 4 Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Pégand Sébastien Nigend : 219 046 Numéro de livret de solde : 6 539 757 Fait le 15 avril 2011. Pour le ministre et par délégation : Le colonel, sous-directeur de la gestion du personnel, J. Ribaud AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 71/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale de la gendarmerie nationale _____ Décision no 40109 du 15 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « affaires immobilières » NOR : IOCJ1110734S Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 4 août 2010 relatif à la répartition des sous-officiers de gendarmerie par subdivision d’arme, par branche ou par spécialité et fixant les branches et spécialités au sein desquelles l’avancement intervient de façon distincte ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 130278 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029930S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2011 : Bogard Noël Nigend : 126 601 Numéro de livret de solde : 5 280 708 Durand Patrick Nigend : 99 794 Numéro de livret de solde : 5 103 528 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Henry Jean-Marc Nigend : 134 901 Numéro de livret de solde : 5 312 034 Roca Rémy Nigend : 136 423 Numéro de livret de solde : 5 322 572 Dessailly Olivier Nigend : 121 444 Numéro de livret de solde : 5 221 343 Fait le 15 avril 2011. Pour le ministre et par délégation : Le colonel, sous-directeur de la gestion du personnel, J. Ribaud AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 72/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale de la gendarmerie nationale _____ Décision no 40110 du 15 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « montagne » NOR : IOCJ1110736S Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 4 août 2010 relatif à la répartition des sous-officiers de gendarmerie par subdivision d’arme, par branche ou par spécialité et fixant les branches et spécialités au sein desquelles l’avancement intervient de façon distincte ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 130282 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029933S), Décide : Article 1er Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Victorin Jean-Marc Nigend : 137 963 Numéro de livret de solde : 5 322 196 Roth François Nigend : 94 125 Numéro de livret de solde : 5 109 959 Article 2 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Laoût Stéphane Nigend : 168 453 Numéro de livret de solde : 8 024 268 Colliaut Laurent Nigend : 172 023 Numéro de livret de solde : 8 027 323 Garnier Philippe Nigend : 138 014 Numéro de livret de solde : 5 322 147 Parriaux Jérôme Nigend : 163 775 Numéro de livret de solde : 8 020 479 Louis Jean-Nicolas Nigend : 166 178 Numéro de livret de solde : 8 022 656 Boric Philippe Nigend : 183 154 Numéro de livret de solde : 8 033 816 Bernard-Jacquet Fabrice Nigend : 180 453 Numéro de livret de solde : 8 029 808 Article 3 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Duffort Olivier Nigend : 171 164 Numéro de livret de solde : 8 026 728 Lehmes Lionel Nigend : 188 030 Numéro de livret de solde : 8 038 444 Issartel Jérôme Nigend : 190 657 Numéro de livret de solde : 8 039 258 Riebel Simon Nigend : 208 527 Numéro de livret de solde : 8 062 705 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 73/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Paddeu Emmanuel Nigend : 225 221 Numéro de livret de solde : 8 084 023 Ganry Frédéric Nigend : 197 056 Numéro de livret de solde : 8 048 514 Fait le 15 avril 2011. Pour le ministre et par délégation : Le colonel, sous-directeur de la gestion du personnel, J. Ribaud AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 73/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale de la gendarmerie nationale _____ Décision no 40111 du 15 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « systèmes d’information et de communication » NOR : IOCJ1110737S Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 4 août 2010 relatif à la répartition des sous-officiers de gendarmerie par subdivision d’arme, par branche ou par spécialité et fixant les branches et spécialités au sein desquelles l’avancement intervient de façon distincte ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 130281 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029925S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2011 : Rodriguez Patrick Nigend : 143 261 Numéro de livret de solde : 8 002 625 Dréano Patrice Nigend : 148 709 Numéro de livret de solde : 8 006 520 Godin Bernard Nigend : 114 102 Numéro de livret de solde : 5 191 749 Camus Patrick Nigend : 116 348 Numéro de livret de solde : 5 219 009 Hartmann Marius Nigend : 133 761 Numéro de livret de solde : 5 294 350 Lemasson Jean-Philippe Nigend : 128 430 Numéro de livret de solde : 5 280 355 Courtin Jean-Jacques Nigend : 115 363 Numéro de livret de solde : 5 219 270 Stéfanuto Daniel Nigend : 119 696 Numéro de livret de solde : 5 241 092 Pageard Alain Nigend : 124 099 Numéro de livret de solde : 5 244 882 Randour David Nigend : 143 254 Numéro de livret de solde : 8 002 618 Article 2 L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2011 : Terracol Emmanuel Nigend : 143 792 Numéro de livret de solde : 8 000 888 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2011 : Legrand Lylian Nigend : 164 005 Numéro de livret de solde : 8 020 563 Genais Franck Nigend : 162 077 Numéro de livret de solde : 8 019 047 Vinson Jérôme Nigend : 167 594 Numéro de livret de solde : 8 023 299 Pincellotti Jean Nigend : 151 560 Numéro de livret de solde : 8 009 669 Loubieres Damien Nigend : 175 582 Numéro de livret de solde : 8 028 565 Marthon Thierry Nigend : 157 188 Numéro de livret de solde : 8 014 659 Defours Emmanuel Nigend : 154 647 Numéro de livret de solde : 8 012 423 Batko Eddy Nigend : 141 885 Numéro de livret de solde : 8 000 606 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 74/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Daumer Yves Nigend : 169 148 Numéro de livret de solde : 8 024 819 Christophe Éric Nigend : 162 888 Numéro de livret de solde : 8 019 721 Boulier David Nigend : 166 597 Numéro de livret de solde : 8 022 812 Perez Henry-Emmanuel Nigend : 173 113 Numéro de livret de solde : 8 027 572 Rego Antonio Nigend : 138 858 Numéro de livret de solde : 5 324 688 Rosier Antoine Nigend : 166 380 Numéro de livret de solde : 8 022 585 Sanchez Patrice Nigend : 190 540 Numéro de livret de solde : 8 039 295 Bénard Jean-Christophe Nigend : 131 104 Numéro de livret de solde : 5 283 302 Alonso Laurent Nigend : 165 519 Numéro de livret de solde : 8 022 100 Trautmann Christophe Nigend : 161 191 Numéro de livret de solde : 8 018 296 Flambard Éric Nigend : 160 885 Numéro de livret de solde : 8 017 934 Lestave Philippe Nigend : 160 659 Numéro de livret de solde : 8 017 658 Le Saout Dominique Nigend : 149 061 Numéro de livret de solde : 8 006 942 Zimmert Marc Nigend : 163 384 Numéro de livret de solde : 8 020 198 Argence Olvier Nigend : 165 181 Numéro de livret de solde : 6 041 949 Rosset Philippe Nigend : 162 428 Numéro de livret de solde : 6 011 596 Bousquet Pascal Nigend : 160 189 Numéro de livret de solde : 8 017 214 Berthonneau Michel Nigend : 107 363 Numéro de livret de solde : 5 149 339 Raquin Marc Nigend : 181 143 Numéro de livret de solde : 8 030 080 Morizur Ludovic Nigend : 164 759 Numéro de livret de solde : 8 021 271 Raimbault Fabrice Nigend : 156 504 Numéro de livret de solde : 8 013 880 Fior Romuald Nigend : 165 669 Numéro de livret de solde : 8 022 227 Antczak Grégory Nigend : 190 272 Numéro de livret de solde : 8 039 203 Wirth Jean-François Nigend : 161 349 Numéro de livret de solde : 8 018 398 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2011 : Viart Cédric Nigend : 213 962 Numéro de livret de solde : 8 063 904 Jouille Yoann Nigend : 233 492 Numéro de livret de solde : 8 086 175 Brunot François Nigend : 215 884 Numéro de livret de solde : 8 069 642 Arrivé Bertrand Nigend : 185 361 Numéro de livret de solde : 8 034 409 Dubosc Cédric Nigend : 194 360 Numéro de livret de solde : 8 047 829 Guerin Fabrice Nigend : 207 048 Numéro de livret de solde : 8 062 334 Boutevin Frédéric Nigend : 229 033 Numéro de livret de solde : 8 084 908 Vergne Olivier Nigend : 195 887 Numéro de livret de solde : 8 056 538 Prat Cédric Nigend : 220 768 Numéro de livret de solde : 8 083 565 Anquez Yoann Nigend : 232 200 Numéro de livret de solde : 8 085 427 Faure Patrick Nigend : 119 850 Numéro de livret de solde : 5 242 359 Fait le 15 avril 2011. Pour le ministre et par délégation : Le colonel, sous-directeur de la gestion du personnel, J. Ribaud AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 74/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Bourgogne _____ Décision no 137/4 RGBOURG/RH/P/CHANC du 20 avril 2011 portant attribution, en 2011, de la prime de résultats exceptionnels à titres individuel, collectif et exceptionnel NOR : IOCJ1114530S Le commandant de la région de gendarmerie de Bourgogne, Vu le code de la défense ; Vu la loi no 2002‑1094 du 29 août 2002 d’orientation et de programmation pour la sécurité intérieure ; Vu le décret no 2004‑1073 du 11 octobre 2004 portant création d’une prime de résultats exceptionnels dans la gendarmerie nationale ; Vu l’arrêté du 11 octobre 2004 portant application du décret no 2004‑1073 du 11 octobre 2004 portant création d’une prime de résultats exceptionnels dans la gendarmerie nationale, Décide : Article 1er Les personnels de la gendarmerie en activité de service dont la liste est jointe percevront, à titres individuel, collectif et exceptionnel, au titre de l’année 2010 une prime de résultats exceptionnels. Article 2 Une prime de 400,00 € (quatre cents euros) est attribuée, à titre individuel, aux militaires dont la liste figure en annexe I. Article 3 Une prime de 400,00 € (quatre cents euros) est attribuée, à titre collectif, aux militaires dont la liste figure en annexe II. Article 4 Une prime de 500,00 € (cinq cents euros) est attribuée, à titre exceptionnel, aux militaires dont la liste figure en annexe III. Article 4 Une prime de 300,00 € (trois cents euros) est attribuée, à titre exceptionnel, aux militaires projetés en Afghanistan dont la liste figure en annexe IV. Article 5 La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 20 avril 2011. Le général, commandant la région de gendarmerie de Bourgogne, J.-R. Bauquis AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 75/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE I Liste des militaires bénéficiant d’une prime de résultats exceptionnels, à titre individuel, d’un montant de 400,00 euros pour l’année 2010 Abdelhadi Pascal Nigend : 148 158 Nls : 8 006 001 Adaoust Isabelle Nigend : 229 066 Nls : 8 084 836 Aldebert Emmanuel Nigend : 145 267 Nls : 8 003 704 Allard Hervé Nigend : 125 374 Nls : 5 270 800 Allary Christelle Nigend : 203 356 Nls : 8 054 896 André Noël Nigend : 136 065 Nls : 5 322 502 Antoine Morgane Nigend : 190 291 Nls : 8 039 302 Antonucci François Nigend : 205 734 Nls : 8 055 339 Argenton Rémy Nigend : 159 913 Nls : 8 017 004 Artaux Marcel Nigend : 120 773 Nls : 5 241 501 Aubertin Kévin Nigend : 245 876 Nls : 8 098 012 Aucourt Gérard Nigend : 117 634 Nls : 5 241 802 Azmi Yacine Nigend : 238 913 Nls : 8 083 252 Bacqué Jérôme Nigend : 231 486 Nls : 8 085 376 Badenas Gessica Nigend : 211 290 Nls : 8 063 147 Balme Matthieu Nigend : 301 588 Nls : 8 090 486 Baranowski Nicolas Nigend : 229 811 Nls : 8 084 973 Baudoin Sylvain Nigend : 116 222 Nls : 5 189 719 Beau Maxime Nigend : 174 742 Nls : 8 033 412 Beault Johan Nigend : 247 488 Nls : 8 099 035 Beauvois Vincent Nigend : 158 136 Nls : 8 015 522 Bejean Stéphane Nigend : 160 500 Nls : 8 017 602 Bejon Pierrick Nigend : 229 595 Nls : 8 077 290 Bellache Farid Nigend : 220 045 Nls : 8 072 588 Berlot Romary Nigend : 320 775 Nls : 8 112 653 Bermond Georges Nigend : 305 981 Nls : 8 104 073 Bernardin Serge Nigend : 112 951 Nls : 5 175 011 Beroud Jérôme Nigend : 217 337 Nls : 8 064 472 Berry Sylvain Nigend : 165 186 Nls : 8 021 803 Bertrand Émilie Nigend : 205 243 Nls : 8 058 654 Besombes Patrice Nigend : 101 172 Nls : 5 108 486 Besson Carine Nigend : 171 020 Nls : 8 026 608 Bilquey Christophe Nigend : 137 813 Nls : 5 323 309 Blanc Alexandrine Nigend : 181 058 Nls : 8 030 018 Blondy Laurent Nigend : 142 017 Nls : 5 272 304 Bochard Cyriaque Nigend : 157 514 Nls : 8 015 017 Bogard Jean Nigend : 123 305 Nls : 5 244 815 Boiché Jérôme Nigend : 163 954 Nls : 8 020 514 Bonin Nicolas Nigend : 187 248 Nls : 8 038 309 Bory-Souveton Stéphane Nigend : 178 932 Nls : 8 041 639 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 75/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Bottin Christophe Nigend : 161 094 Nls : 8 018 212 Bouilleveaux Thierry Nigend : 111 421 Nls : 5 150 611 Bourdon Frank Nigend : 187 157 Nls : 8 045 256 Bourgeois Philippe Nigend : 118 866 Nls : 5 220 817 Bouriot David Nigend : 146 194 Nls : 8 004 605 Bourlot Julie Nigend : 300 507 Nls : 8 100 528 Bourru Franck Nigend : 174 633 Nls : 8 028 212 Bouvot Michel Nigend : 97 707 Nls : 5 102 650 Brailly Nicolas Nigend : 185 342 Nls : 6 560 712 Braux James Nigend : 189 318 Nls : 8 039 110 Bretin David Nigend : 179 241 Nls : 8 030 375 Breuillard Patrick Nigend : 117 648 Nls : 5 241 908 Briant Emmanuel Nigend : 137 287 Nls : 5 322 819 Brochet Jessica Nigend : 232 221 Nls : 8 085 437 Bronchy Gilles Nigend : 223 881 Nls : 8 083 764 Brunelli Alexandre Nigend : 184 591 Nls : 8 037 007 Bussy Raphaël Nigend : 183 495 Nls : 8 038 057 Cadet David Nigend : 156 697 Nls : 8 014 217 Calas Laurent Nigend : 141 765 Nls : 8 001 920 Camier Laurent Nigend : 159 763 Nls : 8 016 918 Canette Dominique Nigend : 96 811 Nls : 5 107 924 Carteret Christophe Nigend : 133 585 Nls : 5 311 644 Casano Valéry Nigend : 144 635 Nls : 8 002 317 Casanovas Patrick Nigend : 102 383 Nls : 5 126 312 Caussanel Olivier Nigend : 167 471 Nls : 8 023 119 Cellier Sébastien Nigend : 232 650 Nls : 8 085 782 Chalicarne Georges Nigend : 100 223 Nls : 5 125 207 Challier Damien Nigend : 177 761 Nls : 8 037 076 Chapuis Pascal Nigend : 118 530 Nls : 5 243 121 Chartier David Nigend : 143 968 Nls : 8 002 922 Chatelet Philippe Nigend : 115 225 Nls : 5 190 112 Chevalier Philippe Nigend : 136 738 Nls : 5 324 227 Chevanne Hélène Nigend : 233 302 Nls : 8 085 880 Chrétien Hélène Nigend : 199 748 Nls : 8 053 511 Claudel Didier Nigend : 175 441 Nls : 8 028 416 Clément Thierry Nigend : 69 752 Nls : 5 271 314 Colas Hervé Nigend : 97 296 Nls : 5 124 723 Collot Fanny Nigend : 196 993 Nls : 8 053 209 Constantin-David Jean-Pierre Nigend : 108 367 Nls : 5 150 984 Cosse Thierry Nigend : 120 672 Nls : 5 242 726 Cottier Bruno Nigend : 164 057 Nls : 8 020 814 Coulomb Michel Nigend : 95 090 Nls : 5 110 455 Coussy Jean-Luc Nigend : 108 398 Nls : 5 150 985 Couturier David Nigend : 177 513 Nls : 8 029 121 Cureaux Daniel Nigend : 95 738 Nls : 5 108 657 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 75/95 – Page 3 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Da Rocha Carlos Nigend : 170 083 Nls : 8 025 329 Damongeot Hervé Nigend : 139 733 Nls : 5 305 236 Darlet Olivier Nigend : 166 613 Nls : 8 022 827 Deborre Nicolas Nigend : 171 284 Nls : 8 026 322 Decoeur Marie-Ange Nigend : 306 344 Nls : 8 104 213 Dehollain Thomas Nigend : 303 911 Nls : 8 102 789 Delacre Romain Nigend : 306 003 Nls : 8 104 090 Delatronchette Grégory Nigend : 234 468 Nls : 8 080 158 Delbecq Jean-Marc Nigend : 142 712 Nls : 8 001 435 Delompré Philippe Nigend : 126 484 Nls : 5 280 515 Delon Patrick Nigend : 154 041 Nls : 8 011 833 Delval Vincent Nigend : 171 158 Nls : 8 026 721 Dercourt Bruno Nigend : 127 264 Nls : 5 279 416 Deschamps Sandra Nigend : 239 055 Nls : 8 087 243 Descombes Virginie Nigend : 228 923 Nls : 8 076 970 Desmaris Franck Nigend : 126 161 Nls : 5 243 696 Despoulain Régis Nigend : 92 416 Nls : 5 101 895 Dessolain Julie Nigend : 240 498 Nls : 8 094 493 Destrumel Patrick Nigend : 139 076 Nls : 8 000 021 Detouillon Jean-Claude Nigend : 136 110 Nls : 5 322 456 Deveau Sébastien Nigend : 198 366 Nls : 8 055 464 Deveaux Sébastien Nigend : 178 232 Nls : 8 029 015 Dillies Alexandre Nigend : 309 726 Nls : 8 106 962 Doin Emmanuel Nigend : 308 328 Nls : 8 105 788 Domecq Alexandre Nigend : 212 563 Nls : 8 067 271 Doucet Emmanuel Nigend : 199 947 Nls : 8 048 613 Douine Clément Nigend : 186 909 Nls : 8 045 251 Drillaud Damien Nigend : 301 249 Nls : 8 090 297 Dubois Éric Nigend : 121 680 Nls : 5 244 526 Dufour Guillaume Nigend : 172 419 Nls : 8 027135 Dufour Frédéric Nigend : 118 552 Nls : 5 241 938 Dufresne Jean-François Nigend : 102 496 Nls : 5 173 111 Dumas Sophie Nigend : 182 955 Nls : 8 040 965 Dumont Jimmy Nigend : 314 544 Nls : 8 109 733 Dumoutier Bruno Nigend : 148 878 Nls : 8 006 655 Duneveu Ludovic Nigend : 147 938 Nls : 8 006 117 Dupuis Séverine Nigend : 156 906 Nls : 8 014 755 Dupuy Bruno Nigend : 178 954 Nls : 8 033 471 Durande Maxime Nigend : 192 992 Nls : 8 047 262 Durcaze Alain Nigend : 140 848 Nls : 8 001 029 Duval Xavier Nigend : 144 816 Nls : 8 003 128 Fargeot Sébastien Nigend : 213 496 Nls : 8 063 786 Fauconnet Benjamin Nigend : 175 185 Nls : 8 033 606 Faure Richard Nigend : 197 723 Nls : 8 048 908 Filloux Valérie Nigend : 141 782 Nls : 8 001 934 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 75/95 – Page 4 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Fleury Emmanuel Nigend : 144 820 Nls : 8 003 133 Fontes Thierry Nigend : 179 314 Nls : 8 029 544 Fortunat David Nigend : 155 949 Nls : 8 013 550 Fournerie Hervé Nigend : 155 438 Nls : 8 013 125 Freville Yves Nigend : 118 016 Nls : 5 243 027 Furio Ludovic Nigend : 201 989 Nls : 8 044 204 Gabet Jean-Claude Nigend : 205 327 Nls : 8 058 668 Gaillard Laurent Nigend : 129 607 Nls : 5 282 543 Garbel Gilles Nigend : 116 915 Nls : 5 218 218 Garcia Jérémy Nigend : 320 549 Nls : 8 112 461 Garcia Cécile Nigend : 208 714 Nls : 8 062 680 Garnier Éric Nigend : 113 519 Nls : 5 191 569 Garrabos Stéphane Nigend : 186 172 Nls : 8 038144 Gaud Christopher Nigend : 243 571 Nls : 8 088 714 Gaule Armelle Nigend : 187 681 Nls : 8 045 280 Gaurois Jean-Louis Nigend : 111 713 Nls : 5 175 739 Gauthier Jacques Nigend : 142 431 Nls : 8 001 818 Gauthier Olivier Nigend : 173 070 Nls : 8 027 545 Gazon Frédéric Nigend : 119 966 Nls : 5 242 439 Georgeon Patrick Nigend : 70 037 Nls : 5 282 641 Gevrey Alban Nigend : 164 464 Nls : 8 020 937 Giraud Matthieu Nigend : 184 899 Nls : 8 045171 Gomes Caroline Nigend : 195 349 Nls : 8 056 464 Gorini Morgan Nigend : 184 636 Nls : 8 034 242 Gorret Pascal Nigend : 124 794 Nls : 5 270 879 Gouhier Jérôme Nigend : 194 566 Nls : 8 049 601 Gras Fabrice Nigend : 193 153 Nls : 8 047 369 Gréault Sébastien Nigend : 140 109 Nls : 5 323 545 Gucciardi Jean-Marc Nigend : 208 690 Nls : 8 062 555 Guerreiro Pascal Nigend : 163 743 Nls : 8 020 447 Guhur Charlotte Nigend : 206 776 Nls : 8 060 775 Guilbert Laurent Nigend : 238 555 Nls : 8 087 006 Guillemin Sébastien Nigend : 163 511 Nls : 8 020 232 Guillet Julien Nigend : 303 302 Nls : 8 090 652 Guy Fabrice Nigend : 171 919 Nls : 6 002 710 Guyot Pascal Nigend : 137 724 Nls : 5 281 860 Hasiak Bruno Nigend : 138 135 Nls : 5 324 720 Heraud Jean-Luc Nigend : 128 419 Nls : 5 280 346 Hiernaux Jessy Nigend : 178 115 Nls : 8 028 950 Houdinet Alain Nigend : 109 329 Nls : 5 175 252 Hue Stéphane Nigend : 146 109 Nls : 8 004 461 Hugon Nathalie Nigend : 169 818 Nls : 5 308 553 Humbert Olivier Nigend : 162 637 Nls : 8 019 543 Huré Robert Nigend : 104 672 Nls : 8 043 734 Ienzer Jean-Luc Nigend : 118 580 Nls : 5 219 061 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 75/95 – Page 5 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Itier Patrice Nigend : 188 052 Nls : 8 038 548 Jacquelin Serge Nigend : 168 086 Nls : 8 023 746 Jacquey Gilles Nigend : 164 475 Nls : 8 020 948 Jacrot Norbert Nigend : 116 392 Nls : 5 219 045 Janin Jannic Nigend : 137 867 Nls : 5 323 255 Jannier Sandra Nigend : 165 162 Nls : 8 023 460 Jannot Emmanuel Nigend : 214 719 Nls : 8 068 597 Janvier Jacques Nigend : 154 063 Nls : 8 011 852 Jebari Sonia Nigend : 203 927 Nls : 8 059 355 Jobard Frédéric Nigend : 237 330 Nls : 8 086 840 Joly Xavier Nigend : 181 764 Nls : 8 033 508 Keller Pascal Nigend : 166 756 Nls : 8 022 937 Knysz Stéphane Nigend : 220 757 Nls : 6 560 126 Koronkiewicz Yvan Nigend : 142 453 Nls : 8 001 832 Lacarelle Jean-Sébastien Nigend : 209 009 Nls : 8 050 757 Lachkar Louis-David Nigend : 203 856 Nls : 8 055 016 Lacombe Christophe Nigend : 145 684 Nls : 8 004 040 Lagarrue Michel Nigend : 94 220 Nls : 5 109 866 Lagoutte Pierre Nigend : 181 404 Nls : 8 030 147 Lahaye Marc Nigend : 117 168 Nls : 5 219 977 Lalanne Christophe Nigend : 165 690 Nls : 8 022 247 Lapomarda Christian Nigend : 143 889 Nls : 8 002 054 Laporte Didier Nigend : 144 839 Nls : 8 003 164 Lapotre Philippe Nigend : 144 966 Nls : 8 103 665 Lardière Olivier Nigend : 169 458 Nls : 6 017 006 Laskowski Vincent Nigend : 319 898 Nls : 8 112 151 Launay Aurélien Nigend : 273 986 Nls : 8 112 483 Laurent Thierry Nigend : 131 048 Nls : 5 283 256 Le Gars Yann Nigend : 212 663 Nls : 8 063 598 Le Goff Michel Nigend : 302 618 Nls : 8 102 151 Lebeuf Christophe Nigend : 161 875 Nls : 8 018 850 Lecomte Magalie Nigend : 248 486 Nls : 8 089 597 Leconte Julien Nigend : 313 060 Nls : 8 108 604 Lecroix Laura Nigend : 179 371 Nls : 8 029 559 Lefort Jean-Luc Nigend : 107 428 Nls : 5 149 490 Léoty Jesse Nigend : 315 150 Nls : 8 110 148 Letizi Frédérick Nigend : 203 710 Nls : 8 054 759 Létondal Pierre Nigend : 138 835 Nls : 5 325 268 Leveillé David Nigend : 242 946 Nls : 8 096 024 Levisse Cyrille Nigend : 174 056 Nls : 8 027 863 Lhor Serge Nigend : 140 586 Nls : 5 325 332 Liabeuf Stéphanie Nigend : 301 823 Nls : 8 101 148 Liottet Antoine Nigend : 237 839 Nls : 8 086 908 Logerot Dominique Nigend : 117 420 Nls : 5 241 761 Magrangeas Dominique Nigend : 142 202 Nls : 8 001 474 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 75/95 – Page 6 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Magré Gérard Nigend : 102 066 Nls : 5 125 474 Maire Vincent Nigend : 300 257 Nls : 8 100 753 Malaise Julien Nigend : 191 922 Nls : 8 043 723 Mallo Laurent Nigend : 225 209 Nls : 8 084 012 Malord Sébastien Nigend : 193 135 Nls : 8 047 387 Margerin Jean-Michel Nigend : 129 857 Nls : 5 283 868 Marin Jean-Michel Nigend : 143 761 Nls : 8 000 858 Martin Cyrille Nigend : 151 110 Nls : 5 316 718 Martin Delphine Nigend : 242 491 Nls : 8 088 525 Masson Éric Nigend : 104 947 Nls : 5 173 570 Masson Bruno Nigend : 207 757 Nls : 8 062 503 Masson Bernadette Nigend : 123 650 Nls : 5 270 457 Mathelin Morgan Nigend : 320 593 Nls : 8 112 498 Meneghelli Giovanni Nigend : 243 260 Nls : 8 096 140 Mennessier Véronique Nigend : 142 769 Nls : 8 001 566 Merle Sylvain Nigend : 185 611 Nls : 8 037 261 Mestre Mickaël Nigend : 179 922 Nls : 8 036 312 Mestre Pascal Nigend : 134 523 Nls : 5 310 966 Miancien Mélanie Nigend : 199 271 Nls : 8 046 717 Michaut Alain Nigend : 126 858 Nls : 5 279 271 Millière Laurent Nigend : 188 227 Nls : 8 038 668 Milot André Nigend : 112 805 Nls : 5 191 836 Minnaert Anthony Nigend : 223 683 Nls : 8 073 598 Moitel Mathieu Nigend : 213 844 Nls : 8 068 236 Montaron Didier Nigend : 105 602 Nls : 5 173 656 Montenot Christophe Nigend : 201 143 Nls : 8 043 971 Mora Franck Nigend : 132 062 Nls : 5 294 072 Morvan Philippe Nigend : 149 201 Nls : 8 006 762 Mouchoux Rémi Nigend : 131 282 Nls : 5 294 060 Moutanin Jean-François Nigend : 308 997 Nls : 8 091 692 Muller Audrey Nigend : 196 339 Nls : 8 048 334 Mussier Cédric Nigend : 307 055 Nls : 8 104 704 Nicloux Bruno Nigend : 181 697 Nls : 8 040 803 Niquet Éric Nigend : 125 126 Nls : 5 279 673 Nowak Vincent Nigend : 312 251 Nls : 8 107 726 Olbrich Dominique Nigend : 152 366 Nls : 8 010 159 Ombret Guy Nigend : 143 520 Nls : 5 325 136 Orlandini Marion Nigend : 236 665 Nls : 8 086 797 Paillard Raphaël Nigend : 303 594 Nls : 8 090 845 Panicali Francis Nigend : 139 263 Nls : 5 305 169 Parisot Thierry Nigend : 124 615 Nls : 5 244 277 Passarotto Michel Nigend : 113 251 Nls : 5 189 474 Passepont Frédéric Nigend : 108 325 Nls : 5 184 675 Peil Dominique Nigend : 113 876 Nls : 5 189 652 Pereira Freddy Nigend : 309 010 Nls : 8 091 698 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 75/95 – Page 7 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Pernot Jean-Marie Nigend : 110 206 Nls : 5 190 520 Perret Hervé Nigend : 148 513 Nls : 8 006 382 Perrier Gérard Nigend : 110 901 Nls : 5 150 469 Perrin Alexandre Nigend : 198 880 Nls : 8 053 435 Perrin Christophe Nigend : 180 611 Nls : 8 029 871 Perrot Laurent Nigend : 193 600 Nls : 8 047 502 Perruche Christophe Nigend : 158 969 Nls : 8 016 274 Piani François Nigend : 190 198 Nls : 8 050 176 Pierrard Maxime Nigend : 245 113 Nls : 8 097 517 Plisson Rémy Nigend : 95 550 Nls : 5 106 673 Ponsot Éric Nigend : 142 233 Nls : 8 001 688 Popille Franck Nigend : 148 766 Nls : 8 006 572 Poreaux Guillaume Nigend : 187 528 Nls : 8 045 267 Poupard Jean-Pierre Nigend : 155 489 Nls : 8 013 170 Poyen Pascal Nigend : 099 731 Nls : 5 125 858 Poyer Vincent Nigend : 301 875 Nls : 8 101 266 Primorin David Nigend : 181 042 Nls : 8 029 948 Prioux Christophe Nigend : 164 989 Nls : 8 021 585 Prouillet Jean-Yves Nigend : 126 454 Nls : 5 279 798 Proville Sandrine Nigend : 156 152 Nls : 8 002 461 Prudent Jean-Luc Nigend : 99 848 Nls : 5 103 456 Pruvost Éric Nigend : 182 935 Nls : 8 040 920 Rabieczynski Hervé Nigend : 175 508 Nls : 8 028 479 Radière Éric Nigend : 144 338 Nls : 8 003 276 Raja Patrick Nigend : 118 594 Nls : 5 241 976 Rapita Philippe Nigend : 145 601 Nls : 8 003 963 Raymond Thierry Nigend : 123 443 Nls : 5 244 964 Regazzoni Marc Nigend : 142 500 Nls : 8 001 857 Renot Loïc Nigend : 248 108 Nls : 8 099 673 Reverdy Yves Nigend : 70 833 Nls : 5 293 876 Rigaudier Éric Nigend : 126 230 Nls : 5 279 031 Rives Christophe Nigend : 164 650 Nls : 8 021 379 Robert Davina Nigend : 218 694 Nls : 8 065 030 Robin Déborah Nigend : 309 280 Nls : 8 106 834 Roche Patrice Nigend : 188 278 Nls : 8 038 686 Rolin Laurent Nigend : 181 145 Nls : 8 030 084 Rondet Éric Nigend : 154 993 Nls : 8 012 682 Rören Cédric Nigend : 164 231 Nls : 8 020 781 Roulette Mélanie Nigend : 231 864 Nls : 8 078 891 Rouvray Sébastien Nigend : 304 575 Nls : 8 090 779 Roy Gérald Nigend : 124 622 Nls : 5 244 283 Royal Béatrice Nigend : 170 922 Nls : 8 029 085 Russo Marie Nigend : 159 533 Nls : 8 016 779 Rzetelny Claire Nigend : 180 834 Nls : 8 029 879 Saint-Jost Patrice Nigend : 116 433 Nls : 5 219 082 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 75/95 – Page 8 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Sanchez Nathalie Nigend : 311 293 Nls : 8 092 255 Sarrubba Frédéric Nigend : 148 651 Nls : 8 006 495 Schmit Olivier Nigend : 195 784 Nls : 8 047 971 Schmitt Olivier Nigend : 155 354 Nls : 8 012 785 Schneider Sylvia Nigend : 302 159 Nls : 8 101 960 Schutz Isabelle Nigend : 147 268 Nls : 8 005 581 Segaux Hervé Nigend : 146 710 Nls : 8 004 993 Semeteys Pascal Nigend : 138 874 Nls : 5 305 096 Simonnet Jacky Nigend : 110 553 Nls : 5 175 582 Sohier Dominique Nigend : 193 101 Nls : 8 047 413 Stephan Anthony Nigend : 239 320 Nls : 8 093 863 Taupin Marie-Bénédicte Nigend : 191 866 Nls : 8 044 965 Teixeira Alexandre Nigend : 133 692 Nls : 5 311 744 Terreaux Sylvain Nigend : 169 764 Nls : 5 298 431 Teuruarii Maraeura Nigend : 315 188 Nls : 8 110 178 Thibon Régine Nigend : 128 598 Nls : 5 281 090 Thoulouze Aurélie Nigend : 238 738 Nls : 8 083 125 Toumeyragues Stéphane Nigend : 170 017 Nls : 8 025 491 Trocson Josselin Nigend : 212 613 Nls : 8 067 315 Undreiner Denis Nigend : 99 753 Nls : 5 125 875 Valacci Dimitri Nigend : 209 628 Nls : 8 062 171 Valette Jean-Philippe Nigend : 167 139 Nls : 8 023 279 Valy Nicolas Nigend : 204 295 Nls : 8 054865 Vaudiau Christophe Nigend : 139 405 Nls : 5 296 096 Vaudour Marie-Claire Nigend : 142 845 Nls : 8 007 897 Venin Christophe Nigend : 152 268 Nls : 8 010 294 Verdier Mickaël Nigend : 217 924 Nls : 8 083 709 Vernet Pierre-Henri Nigend : 241 285 Nls : 8 088 131 Verron Patrice Nigend : 159 696 Nls : 8 016 897 Verse Stéphane Nigend : 157 097 Nls : 8 014 597 Vesperini Cyrille Nigend : 163 793 Nls : 8 020 495 Vidal Laurent Nigend : 303 626 Nls : 8 102 308 Wagner Fabien Nigend : 202 702 Nls : 8 054 700 Weinkopf Denis Nigend : 132 755 Nls : 5 295 699 Weissenbach Magali Nigend : 200 402 Nls : 8 042 931 Willmann Frédéric Nigend : 165 487 Nls : 8 022 098 Wo Yen Delphine Nigend : 301 508 Nls : 8 100 601 Zanelli David Nigend : 166 827 Nls : 8 022 999 Zaworski Pierre Nigend : 125 373 Nls : 5 270 799 Zielinski Éric Nigend : 176 404 Nls : 8 028 793 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 75/95 – Page 9 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE II Liste des militaires bénéficiant d’une prime de résultats exceptionnels, à titre collectif, d’un montant de 400,00 euros pour l’année 2010 Communauté de brigades de Saint-Jean-de-Losne (21) Benicourt Sébastien Nigend : 191 508 Nls : 8 050 212 Bordenave Thierry Nigend : 126 912 Nls : 5 280 015 Chapuis Sébastien Nigend : 235 952 Nls : 8 081 139 Droulez Thomas Nigend : 190 754 Nls : 8 044 876 Ducrocq Xavier Nigend : 210 205 Nls : 8 065 589 Flucher Régis Nigend : 174 221 Nls : 8 027 935 Hainaud Vanessa Nigend : 195 949 Nls : 8 056 512 Lardy Nicolas Nigend : 163 336 Nls : 8 019 254 Leduc Xavier Nigend : 164 205 Nls : 8 020 756 Magret Hervé Nigend : 149 193 Nls : 8 006 753 Malter Séréna Nigend : 208 329 Nls : 8 050 439 Perrin Magalie Nigend : 204 274 Nls : 8 055 116 Steulet Christian Nigend : 95 568 Nls : 5 106 690 Thery Michel Nigend : 101 577 Nls : 5 126 186 Vidal Ludovic Nigend : 301 366 Nls : 8 090 089 Vidal Michel Nigend : 125 060 Nls : 5 244 392 Peloton de surveillance et d’intervention gendarmerie de Dijon (21) Billiard Nicolas Nigend : 208 511 Nls : 8 062 669 Biraud Michaël Nigend : 159 921 Nls : 8 017 012 Bizouard David Nigend : 143 691 Nls : 8 000 810 Camp Fabrice Nigend : 300 521 Nls : 8 100 535 Cottin Jean-Philippe Nigend : 70 709 Nls : 5 282 818 Diolot Mickaël Nigend : 315 274 Nls : 8 110 292 Drouot Martial Nigend : 121 270 Nls : 5 242 319 Gibaldi Jean-Christophe Nigend : 302 583 Nls : 8 102 128 Lagneau Yannick Nigend : 303 730 Nls : 8 102 513 Leroy Philippe Nigend : 161 878 Nls : 8 018 853 Mourot Cédric Nigend : 237 129 Nls : 8 082 195 Payet Guillaume Nigend : 316 740 Nls : 8 110 934 Potel Bertrand Nigend : 247 039 Nls : 8 098 680 Rochette Stéphane Nigend : 197 336 Nls : 8 048 887 Sonnois Yann Nigend : 152 914 Nls : 8 010 790 Vichot Julien Nigend : 192 928 Nls : 8 047 318 Viellard Alain Nigend : 133 275 Nls : 5 295 197 Violand Anthony Nigend : 302 188 Nls : 8 101 971 Brigade territoriale autonome d’Auxonne (21) Arbeltier Frédéric Nigend : 157 232 Nls : 8 014 801 Baugey Michaël Nigend : 169 332 Nls : 6 531 272 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 75/95 – Page 10 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Bouillaguet Philippe Nigend : 220 998 Nls : 8 083 628 Boulanger Stéphan Nigend : 186 160 Nls : 8 038 113 Carlier Nicolas Nigend : 194 302 Nls : 8 047 812 Duriez Lilian Nigend : 151 364 Nls : 8 009 443 Fabrol Laëtitia Nigend : 204 190 Nls : 8 055 085 Gatinel Gaël Nigend : 172 153 Nls : 6 537 795 Jandot Jean-Baptiste Nigend : 208 694 Nls : 8 062 560 Louet Yves Nigend : 108 098 Nls : 5 157 732 Magnin Thierry Nigend : 141 142 Nls : 8 001 065 Peyrouset Stéphane Nigend : 175 596 Nls : 8 028 580 Verney Stéphane Nigend : 135 921 Nls : 5 322 098 Vouillot Laurent Nigend : 158 243 Nls : 8 015 598 Zoogones Anne-Emmanuelle Nigend : 242 281 Nls : 8 095 584 Brigade territoriale autonome d’Arc-sur-Tille (21) Brigand Frédéric Nigend : 141 894 Nls : 8 000 612 Carteret Jérôme Nigend : 138 088 Nls : 5 324 505 Garcia Guilhem Nigend : 318 520 Nls : 8 111 598 Kairet Hervé Nigend : 142 749 Nls : 8 001 555 Lahaye Alain Nigend : 110 176 Nls : 5 190 493 Lescarret Jean-Daniel Nigend : 174 372 Nls : 8 033 569 Mazué Stéphane Nigend : 172 302 Nls : 8 033 368 Omnes David Nigend : 193 976 Nls : 8 085 286 Pietra Michaël Nigend : 187 935 Nls : 8 038 458 Poirier Roger Nigend : 105 622 Nls : 5 173 581 Portrat Dominique Nigend : 146 283 Nls : 8 004 575 Querlin Sylvain Nigend : 163 205 Nls : 6 001 737 Brigade de recherches d’Is-sur-Tille (21) Boutron Fabrice Nigend : 145 285 Nls : 8 003 237 Jessen Fabrice Nigend : 164 622 Nls : 8 021 351 Jomas Christophe Nigend : 129 322 Nls : 5 283 740 Laty Yann Nigend : 181 767 Nls : 8 041 558 Communauté de brigades de Châtillon-sur-Seine (21) Beauchamp Thierry Nigend : 241 620 Nls : 8 088 156 Boichot Jérôme Nigend : 181 754 Nls : 8 032 714 Carvalho Élisabeth Nigend : 245 436 Nls : 8 097 806 Chambiet Yannick Nigend : 160 049 Nls : 8 017 122 Colson Jean-Pierre Nigend : 311 363 Nls : 8 092 276 Coyette Franck Nigend : 155 270 Nls : 8 012 726 Crimmers Christophe Nigend : 149 271 Nls : 8 007 130 Dominguez Jean-Louis Nigend : 121 572 Nls : 5 241 631 Dubus Pascal Nigend : 128 631 Nls : 5 283 518 Goudot Philippe Nigend : 119 315 Nls : 5 242 244 Perrin Jérôme Nigend : 169 997 Nls : 8 025 472 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 75/95 – Page 11 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Rabot Pierre Nigend : 147 508 Nls : 8 004 794 Rollé Christophe Nigend : 243 734 Nls : 8 088 800 Rouvenacht Maud Nigend : 309 846 Nls : 8 106 914 Roy Bertrand Nigend : 180 870 Nls : 8 033 564 Stepien Nicolas Nigend : 224 740 Nls : 8 073 756 Tahiri Katiba Nigend : 215 601 Nls : 8 069 403 Vincent Jean-Yves Nigend : 156 672 Nls : 8 014 195 Vuillaume Grégory Nigend : 162 027 Nls : 8 018 998 Zebbar Amel Nigend : 205 338 Nls : 8 055 243 Brigade de recherches de Montbard (21) Béreau Philippe Nigend : 122 714 Nls : 5 243 907 Boussard David Nigend : 155 415 Nls : 8 013 109 Chappa Gilles Nigend : 152 055 Nls : 8 010 112 Daumerie Richard Nigend : 156 038 Nls : 8 013 628 Finot Pascal Nigend : 158 286 Nls : 8 015 734 Koch Gérard Nigend : 106 421 Nls : 5 173 891 Braghini Patrice Nigend : 99 097 Nls : 5 111 212 Cattel Cyrille Nigend : 149 018 Nls : 8 007 014 Charlot Martial Nigend : 146 618 Nls : 8 005 125 Giliberto Patrick Nigend : 70 338 Nls : 5 293 629 Gillot Mickaël Nigend : 177 534 Nls : 8 029 139 Gounand Frédéric Nigend : 156 212 Nls : 5 258 546 Honorat Joël Nigend : 99 289 Nls : 5 108 426 Huselstein Mikaël Nigend : 179 520 Nls : 8 041 394 Husson Philippe Nigend : 128 191 Nls : 5 271 154 Montagney Bernard Nigend : 116 291 Nls : 5 190 376 Muet Franck Nigend : 134 695 Nls : 5 311 862 Roche Bernard Nigend : 108 558 Nls : 5 149 693 Thomas Jocelyn Nigend : 129 279 Nls : 5 282 894 Brigade motorisée de Dijon (21) Brigade motorisée de Châtillon-sur-Seine (21) Bellenger Damien Nigend : 193 195 Nls : 8 049 386 De Bigault des Foucheres Fabien Nigend : 134 876 Nls : 5 312 009 Gourbiere Olivier Nigend : 133 756 Nls : 5 294 248 Hartmann Jean-Marc Nigend : 114 108 Nls : 5 191 754 Rigoct Eric Nigend : 152 259 Nls : 8 010 285 Vincent Eric Nigend : 199 030 Nls : 8 049 913 Brigade rapide d’intervention de Beaune (21) Bintz Christian Nigend : 116 758 Nls : 5 218 110 Brouette Jean-Charles Nigend : 148 168 Nls : 8 006 009 Chevalier Cédric Nigend : 155 425 Nls : 8 013 115 Courbot Jean-Luc Nigend : 129 437 Nls : 5 281 424 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 75/95 – Page 12 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Meneghetti Michaël Nigend : 166 779 Nls : 8 022 957 Prétet Jérôme Nigend : 160 379 Nls : 8 017 388 Communauté de brigades de Saint-Saulge (58) Bigourdan Magali Nigend : 300 078 Nls : 8 089 968 Bouveret Cédric Nigend : 177 252 Nls : 8 064 412 Carreras Laurent Nigend : 238 595 Nls : 8 087 036 Costa José Nigend : 181 097 Nls : 8 030 030 Doumerc-Guillet Loïc Nigend : 161 381 Nls : 8 018 436 Felbacq Christian Nigend : 96 679 Nls : 5 124 643 Franchet Damien Nigend : 312 449 Nls : 8 108 414 Gondry Éric Nigend : 158 043 Nls : 8 015 246 Lecuyer Jean-Baptiste Nigend : 313 233 Nls : 8 108 841 Mackowiak David Nigend : 230 589 Nls : 8 085 071 Nicolas Franck Nigend : 162 556 Nls : 8 019 462 Perez Hervé Nigend : 206 232 Nls : 8 062 282 Rouet Guillaume Nigend : 241 460 Nls : 8 088 147 T’joen Mallory Nigend : 241 402 Nls : 8 094 987 Thomas Erwan Nigend : 203 467 Nls : 8 059 139 Voltz Bénédicte Nigend : 241 132 Nls : 8 087 849 Communauté de brigades d’Imphy (58) Boton Vincent Nigend : 171 509 Nls : 8 031 267 Etienne Amélie Nigend : 215 839 Nls : 8 064 267 Fontverne Steeve Nigend : 224 791 Nls : 8 074 165 Fourquet Bruno Nigend : 131 908 Nls : 5 294 536 Guéguen Aurélie Nigend : 220 212 Nls : 8 083 446 Hecq Pascal Nigend : 201 977 Nls : 8 044 210 Lallemand Denis Nigend : 160 911 Nls : 8 017 958 Lopes Aurélien Nigend : 242 059 Nls : 8 088 345 Marcelot Aurore Nigend : 218 544 Nls : 8 071 434 Moline Frédéric Nigend : 146 000 Nls : 5 272621 Moysset Pascal Nigend : 177 458 Nls : 8 037 677 Pouget Grégory Nigend : 309 679 Nls : 8 092 029 Rameau Stéphane Nigend : 189 310 Nls : 8 038 492 Royer Bryan Nigend : 241 588 Nls : 8 095 446 Tondeur François Nigend : 113 904 Nls : 5 187 160 Brigade de recherches de Cosne-Cours-sur-Loire (58) Akhrib Serge Nigend : 148 667 Nls : 8 006 500 Chanliau Stephan Nigend : 175 440 Nls : 8 028 414 Dalaudiere François-Xavier Nigend : 163 298 Nls : 8 020 116 Lavieu Frédéric Nigend : 157 746 Nls : 8 014 967 Leborgne Marc Nigend : 144 447 Nls : 8 003 573 Lienhard Gilbert Nigend : 116 041 Nls : 5 218 050 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 75/95 – Page 13 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Pucelle Loïc Nigend : 153 735 Nls : 8 011 675 Vey Jean-Marc Nigend : 143 676 Nls : 8 002 793 Brigade de recherches de Nevers (58) Audeau Stéphane Nigend : 200 841 Nls : 8 044 057 Caron René Nigend : 109 174 Nls : 5 156 883 Cornu Hervé Nigend : 164 599 Nls : 8 021 324 Lesage Christophe Nigend : 134 920 Nls : 5 312 054 Ligerot Hervé Nigend : 144 699 Nls : 8 002 275 Pinot Pascal Nigend : 119 030 Nls : 5 145 525 Poizat Bruno Nigend : 194 343 Nls : 8 047 876 Brigade motorisée de Nevers (58) Bertrand Christian Nigend : 120 916 Nls : 5 221 310 Bode Serge Nigend : 124 133 Nls : 5 269 622 Breuille Rémy Nigend : 95 841 Nls : 5 124 365 Dumoulein Laurent Nigend : 142 724 Nls : 8 001 541 Genty Dominique Nigend : 125 944 Nls : 5 243 358 Level Yannick Nigend : 247 551 Nls : 8 099 081 Michon Gérard Nigend : 141 148 Nls : 8 001 070 Noël Ronald Nigend : 160 803 Nls : 8 017 758 Rozen Sébastien Nigend : 168 246 Nls : 8 023 886 Soltysiak Robert Nigend : 114 395 Nls : 5 190 860 Vanderlinden Dominique Nigend : 121 646 Nls : 5 241 591 Brigade de recherches de Château-Chinon (58) Degraeve Frédéric Nigend : 143 174 Nls : 8 002 683 Faure Jean-Michel Nigend : 146 088 Nls : 8 004 441 Gambart Christophe Nigend : 184 714 Nls : 8 034 238 Pouviaud Fabrice Nigend : 216 587 Nls : 8 064 402 Communauté de brigades de La Charité-sur-Loire (58) Ballereau Francis Nigend : 91 500 Nls : 5 101 382 Barlet Patrick Nigend : 119 603 Nls : 5 235 211 Beauvois Yannick Nigend : 152 159 Nls : 8 010 202 Berthe David Nigend : 146 444 Nls : 8 004 204 Brouillaud Marc Nigend : 147 439 Nls : 8 005 444 Burat Marion Nigend : 199 631 Nls : 8 046 790 Calvez Franck Nigend : 154 259 Nls : 8 012 110 Coste Christophe Nigend : 195 792 Nls : 8 047 917 Delage Jean-Michel Nigend : 104 403 Nls : 5 127 022 Gautheret Gilles Nigend : 125 315 Nls : 5 270 751 Gazo Sébastien Nigend : 227 545 Nls : 8 075 864 Hérault Aline Nigend : 186 002 Nls : 8 034 644 Laurent Denis Nigend : 121 929 Nls : 5 242 948 Lempire Chloé Nigend : 233 207 Nls : 8 085 838 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 75/95 – Page 14 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Letondal Agnès Nigend : 185 277 Nls : 8 045 233 Lévêque Franck Nigend : 164 486 Nls : 8 020 958 Lo Scalzo Stéphanie Nigend : 310 274 Nls : 8 092 093 Petitdidier Carole Nigend : 201 385 Nls : 8 056 873 Sarthou Maïder Nigend : 233 323 Nls : 8 085 921 Taillé David Nigend : 174 594 Nls : 8 028 093 Thiers Magali Nigend : 208 841 Nls : 8 062 458 Vedel Eric Nigend : 170 018 Nls : 8 025 492 Communauté de brigades de Saint-Germain-du-Plain (71) Begaudeau Vincent Nigend : 197 422 Nls : 8 048 790 Chevolleau Grégory Nigend : 211 587 Nls : 8 063 313 Claudel Didier Nigend : 124 464 Nls : 5 244 127 Cuvelier Mickaël Nigend : 313 434 Nls : 8 108 918 Dumont Christophe Nigend : 150 870 Nls : 8 009 034 Dumont Enora Nigend : 300 180 Nls : 8 100 713 Dumortier Alain Nigend : 122 705 Nls : 5 220 235 Greuzard Sylvain Nigend : 178 110 Nls : 8 029 247 Labolle Fanny Nigend : 226 880 Nls : 8 075 321 Legger Joël Nigend : 119 554 Nls : 5 221 078 Maréchal Philippe Nigend : 154 968 Nls : 8 012 656 Miché Robert Nigend : 126 205 Nls : 5 279 013 Milleron Christian Nigend : 99 968 Nls : 5 148 081 Miot Fabrice Nigend : 158 323 Nls : 8 015 767 Morillo Richard Nigend : 150 907 Nls : 8 009 069 Pacaud Delphine Nigend : 179 377 Nls : 8 029 578 Paufert Patrice Nigend : 168 902 Nls : 8 024 681 Riche Jérôme Nigend : 180 432 Nls : 8 040 721 Soumillon Hélène Nigend : 308 701 Nls : 6 707 913 Brigade motorisée de Chalon-sur-Saône (71) Bak Éric Nigend : 132 354 Nls : 5 295 507 Beuzon Alain Nigend : 118 511 Nls : 5 242 005 Blot Dominique Nigend : 149 982 Nls : 8 007 705 Bonfanti Arnaud Nigend : 115 347 Nls : 5 219 250 Bully Emmanuel Nigend : 146 613 Nls : 8 005 119 Calmand Thierry Nigend : 166 731 Nls : 8 022 915 Cannet Philippe Nigend : 165 816 Nls : 8 022 314 Cartier Damien Nigend : 101 161 Nls : 5 108 497 Clerc Marion Nigend : 245 296 Nls : 8 097 683 Colnat Julien Nigend : 316 675 Nls : 8 110 870 Devidet Jacques Nigend : 117 270 Nls : 5 219 134 Duquesne Daniel Nigend : 123 727 Nls : 5 270 346 Goncalves Jean Nigend : 132 553 Nls : 5 294 638 Hatchi Manette Nigend : 247 002 Nls : 8 098 646 Huart Michel Nigend : 107 640 Nls : 5 157 745 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 75/95 – Page 15 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Lamberti Richard Nigend : 161 138 Nls : 8 018 252 Laurent Patrick Nigend : 123 750 Nls : 5 270 361 Machuret Pascal Nigend : 122 786 Nls : 5 243 880 Masse Philippe Nigend : 122 538 Nls : 5 270 041 Mourey Teddy Nigend : 312 249 Nls : 8 107 724 Pernot Nicolas Nigend : 189 199 Nls : 8 039 173 Pitoux Christian Nigend : 120 152 Nls : 5 220 474 Segura Marcel Nigend : 103 915 Nls : 5 171 980 Sivert Jean-Luc Nigend : 102 565 Nls : 5 173 093 Tant David Nigend : 165 736 Nls : 8 022 292 Varlot Christian Nigend : 107 577 Nls : 5 157 596 Peloton de surveillance et d’intervention gendarmerie d’Autun (71) Champeil Romain Nigend : 302 909 Nls : 8 101 765 Delville Louis-Pierre Nigend : 100 972 Nls : 5 147 519 Gaudiller Christophe Nigend : 181 108 Nls : 8 030 041 Gimeno Sarah Nigend : 318 526 Nls : 8 111 601 Gosset Maxime Nigend : 318 578 Nls : 8 111 604 Guillou Yann Nigend : 313 557 Nls : 8 109 047 Kowalczyk Christophe Nigend : 154 295 Nls : 8 012 143 Lamirand Régis Nigend : 124 881 Nls : 5 270 850 Malbec Julien Nigend : 304 837 Nls : 8 103 266 Paris Yvon Nigend : 241 777 Nls : 8 095 054 Revel Serge Nigend : 160 485 Nls : 8 017 482 Roquel Anthony Nigend : 304 563 Nls : 8 102 980 Simon Cyril Nigend : 313 103 Nls : 8 108 643 Vincent Claude Nigend : 188 585 Nls : 8 053 694 Communauté de brigades de Tournus (71) Allexant Dominique Nigend : 94 268 Nls : 5 110 001 Born Sylvain Nigend : 156 173 Nls : 8 013 715 Brocard Gilles Nigend : 159 928 Nls : 8 017 020 Ciszewski Jean Nigend : 149 997 Nls : 8 007 513 Citerne André Nigend : 176 349 Nls : 8 028 723 Corradi Mickaël Nigend : 239 749 Nls : 8 087 724 Coulon Jean-Michel Nigend : 115 895 Nls : 5 191 139 Daunes Laetitia Nigend : 198 051 Nls : 8 055 962 Di Salvo Stéphanie Nigend : 189 760 Nls : 8 045 336 Domeracki Natacha Nigend : 196 074 Nls : 8 052 981 Dynak Damien Nigend : 192 545 Nls : 8 040 227 Faivre Sandrine Nigend : 300 125 Nls : 8 089 981 Floret Adrien Nigend : 309 121 Nls : 8 106 138 Forget Véronique Nigend : 125 479 Nls : 5 270 788 Gagniarre Franck Nigend : 159 643 Nls : 8 016 848 Garnier Christophe Nigend : 120 099 Nls : 5 220 423 Jambrusic Sébastien Nigend : 187 153 Nls : 8 044 633 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 75/95 – Page 16 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Millet Aurélie Nigend : 243 723 Nls : 8 088 793 Millot Quentin Nigend : 233 985 Nls : 8 079 715 Morand Régis Nigend : 149 568 Nls : 8 007 270 Perroux Bernard Nigend : 140 015 Nls : 5 305 060 Plassard Frédéric Nigend : 164 499 Nls : 8 020 969 Prénéta Jean-Jacques Nigend : 96 886 Nls : 5 107 876 Regnier Philippe Nigend : 147 768 Nls : 8 005 985 Communauté de brigades de Saint-Germain-du-Bois (71) Desormeaux Guillaume Nigend : 309 377 Nls : 6 663 298 Dessaigne Joël Nigend : 238 302 Nls : 8 082 849 Dugauquier Nicolas Nigend : 306 804 Nls : 8 104 343 Gomet Gilbert Nigend : 148 896 Nls : 8 006 662 Guillemier Benoit Nigend : 208 746 Nls : 8 062 756 Guilloteau Guillaume Nigend : 209 901 Nls : 8 062 976 Herouart Thierry Nigend : 139 602 Nls : 8 000 132 Joonnekindt Alexis Nigend : 144 178 Nls : 8 003 441 Juillerat Jacques Nigend : 109 335 Nls : 5 175 257 Lefort Bruno Nigend : 138 152 Nls : 5 281 939 Lind Fabrice Nigend : 141 514 Nls : 8 000 570 Perrier Patrick Nigend : 135 898 Nls : 5 294 387 Sixdenier Arnaud Nigend : 189 762 Nls : 8 042 457 Zelenkauskis Pierre-Alexandre Nigend : 150 604 Nls : 8 008 398 Brigade territoriale autonome de Bourbon-Lancy (71) Auger Pascal Nigend : 142 127 Nls : 8 001 601 Bonnabaud Mickaël Nigend : 215 430 Nls : 8 069 246 Brosseau Nicolas Nigend : 309 229 Nls : 8 106 744 Courdy Arnaud Nigend : 309 275 Nls : 8 106 756 Degéry Hervé Nigend : 163 403 Nls : 8 020 032 Frizot Didier Nigend : 133 332 Nls : 5 295 640 Guilbert Bruno Nigend : 314 094 Nls : 8 109 548 Muscat Jean-Louis Nigend : 151 687 Nls : 8 009 562 Pouletaud Laurent Nigend : 150 061 Nls : 8 007 774 Raymond Jean-Marc Nigend : 183 292 Nls : 8 033 978 Vernet Fançois Nigend : 136 579 Nls : 5 324 090 Brigade de recherches de Louhans (71) Duriez Damien Nigend : 159 385 Nls : 8 016 635 Kepka Christine Nigend : 205 301 Nls : 8 055 213 Madelrieu Benoît Nigend : 190 579 Nls : 8 039 270 Rinaldis Frédéric Nigend : 165 260 Nls : 8 021 880 Vivant Sylvie Nigend : 123 686 Nls : 5 270 492 Brigade territoriale autonome de Sennecey-le-Grand (71) Bartollino Angélique Nigend : 305 977 Nls : 8 104 070 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 75/95 – Page 17 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Biheauro Charles Nigend : 171 653 Nls : 8 026 116 Blanchot Fabrice Nigend : 246 018 Nls : 8 098 353 Boissard David Nigend : 143 145 Nls : 8 002 654 Brando Xavier Nigend : 239 387 Nls : 8 093 901 Carnaille Anthony Nigend : 229 870 Nls : 8 077 410 Dejean Robert Nigend : 103 565 Nls : 5 125 653 Druette Jean-Michel Nigend : 137 846 Nls : 5 323 136 Dubois Élodie Nigend : 303 715 Nls : 8 102 485 Fortrie René Nigend : 116 797 Nls : 5 218 146 Fouchet Céline Nigend : 198 714 Nls : 8 053 728 Goux Philippe Nigend : 145 978 Nls : 5 272 605 Grandjean Régis Nigend : 94 434 Nls : 5 107 258 Griviaud Hervé Nigend : 135 156 Nls : 5 323 653 Guilloux Charlotte Nigend : 203 334 Nls : 8 054 935 Jacqueron Jean-Yves Nigend : 94 206 Nls : 5 109 851 Martens Benjamin Nigend : 194 543 Nls : 8 049 846 Mondange Philippe Nigend : 158 438 Nls : 8 015 679 Naveau Romuald Nigend : 210 509 Nls : 8 063 130 Noiray Philippe Nigend : 171 857 Nls : 8 026 125 Parmentier Pascal Nigend : 153 125 Nls : 8 010 982 Communauté de brigades de Charolles (71) Augagneur Emmanuel Nigend : 307 958 Nls : 8 105 532 Birot Damien Nigend : 237 060 Nls : 8 082 136 Caurette Jean-François Nigend : 110 314 Nls : 5 116 976 Descotes Bernard Nigend : 139 484 Nls : 5 223 618 Durand Anne Nigend : 190 241 Nls : 8 039 236 Ferrant Laurent Nigend : 147 829 Nls : 5 226 562 Gallou Élodie Nigend : 306 816 Nls : 8 104 355 Griere David Nigend : 160 898 Nls : 8 017 946 Lannier Karine Nigend : 164 877 Nls : 8 021 462 Laour Sébastien Nigend : 194 257 Nls : 8 047 855 Maillot Frédéric Nigend : 145 224 Nls : 8 003 853 Masse David Nigend : 172 738 Nls : 8 030 461 Messina Anthony Nigend : 207 891 Nls : 8 061 339 Meunier Michel Nigend : 115 661 Nls : 5 190 138 Paolone Dorothée Nigend : 217 040 Nls : 8 070 496 Pernin Éric Nigend : 110 085 Nls : 5 150 184 Picot Philippe Nigend : 228 388 Nls : 8 084 646 Vernusse Didier Nigend : 150 357 Nls : 8 008 192 Watrelot Michaël Nigend : 200 962 Nls : 8 066 208 Communauté de brigades de Seignelay (89) Avarguez Thierry Nigend : 151 442 Nls : 8 009 704 Benvel Mathias Nigend : 188 007 Nls : 8 038 510 Brenot Laurent Nigend : 170 073 Nls : 8 025 319 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 75/95 – Page 18 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Chaput Aurélie Nigend : 231 194 Nls : 8 085 248 Cheval Laurent Nigend : 149 498 Nls : 8 007 317 Collinet Laura Nigend : 307 074 Nls : 8 091 274 David Fabrice Nigend : 152 183 Nls : 8 010 220 Fourdain Céline Nigend : 241 080 Nls : 8 087 801 Gorneau Vanessa Nigend : 239 226 Nls : 8 083 368 Gourdet Laurent Nigend : 180 849 Nls : 8 037 989 Grosdemange Régis Nigend : 117 555 Nls : 5 219 858 Hirtzmann Geoffroy Nigend : 161 394 Nls : 8 018 454 Humblot Nicolas Nigend : 124 802 Nls : 5 270 886 Kazan Sophie Nigend : 301 947 Nls : 8 101 233 Lamarche Olivier Nigend : 149 303 Nls : 8 007 048 Longeras Alexis Nigend : 161 150 Nls : 8 018 264 Maryniak Rudy Nigend : 159 313 Nls : 8 016 451 Molteni Stéphan Nigend : 147 245 Nls : 8 005 558 Poussierre Laurent Nigend : 209 297 Nls : 8 063 884 Rigaud Philippe Nigend : 143 528 Nls : 5 272 542 Sierra Jean Nigend : 132 204 Nls : 5 295 371 Surieux Christophe Nigend : 228 404 Nls : 8 084 661 Thouvenot Stéphane Nigend : 161 559 Nls : 8 018 590 Communauté de brigades de Pont-sur-Yonne (89) Basset Damien Nigend : 242 549 Nls : 8 088 429 Bertin Philippe Nigend : 114 958 Nls : 5 218 505 Comparot Amélie Nigend : 242 563 Nls : 8 088 442 Fernandes Mario Nigend : 147 716 Nls : 8 008 541 Flond Eddy Nigend : 236 645 Nls : 8 086 778 Fournier Nicolas Nigend : 184 669 Nls : 8 034 234 Heuret Olivier Nigend : 146 654 Nls : 8 005 154 Jeuilly Thomas Nigend : 192 061 Nls : 8 040 042 Jourdain Thierry Nigend : 195 107 Nls : 8 047 765 Lapka Bertrand Nigend : 148 742 Nls : 8 006 545 Louvet Fabrice Nigend : 144 848 Nls : 8 003 071 Mellano Bernard Nigend : 108 537 Nls : 5 149 672 Moine Dany Nigend : 313 251 Nls : 8 108 857 Pernin Gilles Nigend : 95 544 Nls : 5 106 668 Pichon Sébastien Nigend : 217 724 Nls : 6 564 452 Pieri Céline Nigend : 178 772 Nls : 8 029 468 Pignalet Magali Nigend : 225 658 Nls : 8 024 227 Poyau Sébastien Nigend : 197 050 Nls : 8 048 558 Rossignol François Nigend : 201 144 Nls : 8 044 041 Roulet Gil Nigend : 233 290 Nls : 8 086 054 Stègre Michel Nigend : 96 617 Nls : 5 124 580 Thébault Stéphane Nigend : 168 487 Nls : 8 024 295 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 75/95 – Page 19 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Communauté de brigades de Tonnerre (89) Beaulieu Thierry Nigend : 197 382 Nls : 8 048 789 Bukhory-Lecomte Lauren Nigend : 249 222 Nls : 8 100 192 Ceneda Sébastien Nigend : 207 039 Nls : 8 062 314 Couveinhes Émile Nigend : 115 770 Nls : 5 219 421 Fischer Vaïk Nigend : 248 601 Nls : 8 089 647 Fort Magali Nigend : 239 200 Nls : 8 087 292 Gaspard Gérard Nigend : 102 149 Nls : 5 126 246 Gibert Patrice Nigend : 150 639 Nls : 6 012 894 Huck Candy Nigend : 194 157 Nls : 8 049 748 Lafouge Olivier Nigend : 231 747 Nls : 8 078 765 Liminet Jennifer Nigend : 234 147 Nls : 8 086 392 Loire Zacharie Nigend : 247 769 Nls : 8 099 465 Muthelet Christophe Nigend : 146 272 Nls : 8 004 568 Plantier Frédéric Nigend : 228 343 Nls : 8 084 606 Sion Grégory Nigend : 197 502 Nls : 8 055 946 Théophile Mike Nigend : 315 189 Nls : 8 110 179 Thivet Jessica Nigend : 199 571 Nls : 8 047 114 Tourbier David Nigend : 161 921 Nls : 8 018 892 Vasseur Éric Nigend : 138 991 Nls : 5 323 497 Véron Ludovic Nigend : 181 322 Nls : 8 030 285 Wagner Frédéric Nigend : 198 757 Nls : 8 053 454 Zambrana Joaquin Nigend : 119 801 Nls : 5 241 299 Brigade de recherches d’Auxerre (89) Aristidou Bernard Nigend : 98 099 Nls : 5 056 446 Benoît Emmanuel Nigend : 142 014 Nls : 5 272 303 Bourrely Bernard Nigend : 109 513 Nls : 5 150 513 Bouthemy Joffrey Nigend : 166 728 Nls : 8 022 912 Calon Olivier Nigend : 106 788 Nls : 5 149 242 De Priester Sylvain Nigend : 156 201 Nls : 8 013 740 Degoix Yannick Nigend : 168 541 Nls : 8 024 332 Kaniak Marie-France Nigend : 146 114 Nls : 8 004 463 Kardes Régis Nigend : 145 682 Nls : 8 004 038 Peloton de surveillance et d’intervention gendarmerie de Sens (89) Bésencourt Fabien Nigend : 167 920 Nls : 6 011 951 Chailler Christophe Nigend : 125 906 Nls : 5 271 024 Chatelain Jean-Pierre Nigend : 128 290 Nls : 5 279 537 Clavel Étienne Nigend : 151 629 Nls : 8 009 611 Dauzin Antony Nigend : 237 463 Nls : 8 082 253 Fromont Nicolas Nigend : 247 519 Nls : 8 099 052 Gremet Thierry Nigend : 159 791 Nls : 8 016 945 Hoyau Grégory Nigend : 166 644 Nls : 8 022 847 Jégou Anthony Nigend : 304 279 Nls : 8 103 069 Nival Alexandre Nigend : 245 830 Nls : 8 098 308 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 75/95 – Page 20 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Pereira José-Manuel Nigend : 307 060 Nls : 8 104 709 Thibault Camille Nigend : 313 369 Nls : 8 108 994 Brigade motorisée de Joigny (89) Aubert Rémi Nigend : 166 714 Nls : 8 022 900 Bourcier Rodolphe Nigend : 231 248 Nls : 6 623 058 Deroy Marc Nigend : 135 823 Nls : 5 322 123 Désarménien Josserand Nigend : 170 754 Nls : 8 026 435 Guillot Philippe Nigend : 114 234 Nls : 5 218 372 Legendre Franck Nigend : 151 281 Nls : 8 009 358 Papillon Jean-Pierre Nigend : 170 383 Nls : 8 025 773 Schalbretter Christophe Nigend : 161 551 Nls : 8 018 582 Berchet Régis Nigend : 149 612 Nls : 8 007 605 Berton Samuel Nigend : 197 212 Nls : 8 048 368 Chapelle Didier Nigend : 121 047 Nls : 5 241 519 Chapuis Nicolas Nigend : 174 105 Nls : 8 033 405 De March Olivier Nigend : 153 315 Nls : 801 328 Decorny Lionel Nigend : 126 811 Nls : 5 279 332 Desnoues Éric Nigend : 151 250 Nls : 8 009 330 Erard Philippe Nigend : 132 826 Nls : 5 294 738 Fabre Patrick Nigend : 135 553 Nls : 5 323 750 Fouillen Nicolas Nigend : 207 134 Nls : 8 061 114 Fredolière Rémi Nigend : 199 741 Nls : 8 047 128 Frouard Lionel Nigend : 144 822 Nls : 8 003 136 Gautherin Pierre Nigend : 104 659 Nls : 5 172 139 Hairon Cédric Nigend : 168 195 Nls : 8 023 834 Jaafar Sofia Nigend : 311 416 Nls : 8 107 597 Jonquoy Éric Nigend : 159 971 Nls : 8 017 059 Labaume Frédéric Nigend : 145 569 Nls : 8 004 845 Landreat Patrick Nigend : 113 108 Nls : 5 189 350 Leteurtre William Nigend : 107 432 Nls : 5 149 493 Milesi Stéphane Nigend : 143 650 Nls : 8 002 771 Pommier Aurélien Nigend : 234 539 Nls : 8 080 225 Quenet William Nigend : 147 258 Nls : 8 005 570 Racickas James Nigend : 146 164 Nls : 8 004 339 Roullier Bruno Nigend : 113 780 Nls : 5 189 589 Thorin Guillaume Nigend : 157 485 Nls : 8 014 395 Vienne Aurélie Nigend : 321 976 Nls : 8 113 347 Brigade motorisée de Sens (89) AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 75/95 – Page 21 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE III Liste des militaires bénéficiant d’une prime de résultats exceptionnels, à titre exceptionnel, d’un montant de 500,00 euros pour l’année Allexant Dominique Nigend : 94 268 Nls : 5 110 001 Anspach Antony Nigend : 136 840 Nls : 5 322 702 Bach Céline Nigend : 180 270 Nls : 8 030 876 Baran Régis Nigend : 131 738 Nls : 5 294 203 Barbier Charles-Henry Nigend : 232 211 Nls : 8 085 430 Bayen Luc Nigend : 109 850 Nls : 5 175 505 Bernhard-Bègue Patrice Nigend : 310 574 Nls : 8 107 443 Bezkorowajnyj Didier Nigend : 151 331 Nls : 8 009 410 Blanc Justine Nigend : 243 189 Nls : 8 096 074 Blanchon Christophe Nigend : 156 866 Nls : 8 014 717 Bleuart Nicolas Nigend : 169 635 Nls : 8 025 859 Bourdon Bernard Nigend : 91 859 Nls : 5 091 006 Broch Didier Nigend : 133 579 Nls : 5 311 732 Burdet Adrien Nigend : 201 521 Nls : 8 052 598 Buzzi Julie Nigend : 306 627 Nls : 8 091 154 Calais Régis Nigend : 165 535 Nls : 8 022 117 Cersot Pascal Nigend : 104 775 Nls : 5 125 757 Coeurdevey Thierry Nigend : 143 682 Nls : 8 002 812 Comble Yann Nigend : 145 043 Nls : 8 003 211 Culot Bruno Nigend : 126 153 Nls : 5 243 688 Dailly Jean-Claude Nigend : 143 455 Nls : 5 325 104 Dardouillet Jean-Charles Nigend : 101 732 Nls : 5 148 440 De Lamper Emmanuel Nigend : 155 273 Nls : 8 012 728 Deulvot Élodie Nigend : 309 658 Nls : 8 106 874 Dupont Olivier Nigend : 177 525 Nls : 8 029 132 Dutheil Bertrand Nigend : 170 228 Nls : 6 575 683 Duval Gilles Nigend : 69 890 Nls : 5 271 222 Frosio Béatrix Nigend : 151 998 Nls : 8 005 909 Gens Patrick Nigend : 96 539 Nls : 5 124 559 Goichot Romuald Nigend : 153 806 Nls : 8 011 552 Graf Béatrice Nigend : 312 458 Nls : 8 108 419 Grazi Bruno Nigend : 155 441 Nls : 8 013 128 Grimmer Daniel Nigend : 128 640 Nls : 5 283 545 Haentjens Jean-Noël Nigend : 115 826 Nls : 5 219 484 Hans Francis Nigend : 99 586 Nls : 5 125 113 Herbiet Éric Nigend : 160 643 Nls : 8 017 643 Jacquemard Renaud Nigend : 218 670 Nls : 6 590 738 Juillet Thierry Nigend : 103 215 Nls : 5 173 179 Kissel Denis Nigend : 125 219 Nls : 5 269 648 Laustriat Sébastien Nigend : 171 555 Nls : 8 026 121 2010 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 75/95 – Page 22 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Lavaire Florence Nigend : 123 638 Nls : 5 270 445 Le Bianic Olivier Nigend : 154 462 Nls : 8 012 431 Le Gallo Marc Nigend : 133 226 Nls : 5 131 165 Leblanc Patrick Nigend : 88 390 Nls : 5 106 156 Leisen Julien Nigend : 225 625 Nls : 8 084 208 Lescot Pascal Nigend : 158 063 Nls : 8 015 267 Lévèque Dominique Nigend : 131 929 Nls : 5 294 556 Martinet Stéphane Nigend : 163 672 Nls : 8 019 268 Michelot André Nigend : 128 343 Nls : 5 279 571 Morisset Éric Nigend : 135 887 Nls : 5 322 081 Motteau Rémy Nigend : 212 239 Nls : 6 565 225 Mougin Bruno Nigend : 94 906 Nls : 5 133 315 Mulc Maryan Nigend : 100 708 Nls : 5 148 378 Nury Pierre Nigend : 121 730 Nls : 5 244 480 Papillaud Patrice Nigend : 160 928 Nls : 8 017 974 Piel Édouard Nigend : 100 119 Nls : 5 148 232 Pommier Michel Nigend : 96 881 Nls : 5 107 871 Pouviaud Fabrice Nigend : 216 587 Nls : 8 064 402 Putigny Hervé Nigend : 167 698 Nls : 8 023 580 Raux Philippe Nigend : 108 021 Nls : 5 135 562 Rousseau Claude Nigend : 127 980 Nls : 5 281 072 Roux Christelle Nigend : 149 098 Nls : 8 006 978 Roy Joël Nigend : 129 064 Nls : 5 283 593 Sandanassamy Egile Nigend : 169 783 Nls : 8 025 053 Seye Marine Nigend : 228 348 Nls : 8 084 611 Sibille Pascal Nigend : 164 653 Nls : 8 021 386 Thibault Franck Nigend : 135 915 Nls : 5 322 095 Watremez Philippe Nigend : 164 802 Nls : 602 203 Zanin Maxence Nigend : 300 247 Nls : 8 090 024 ANNEXE IV Liste des militaires projetés en afghanistan et bénéficiant d’une prime de résultats exceptionnels, à titre exceptionnel, d’un montant de 300,00 euros pour l’année Bach Frédéric Nigend : 171 142 Nls : 8 026 706 Catania Philippe Nigend : 148 437 Nls : 8 006 814 Chardonnet Thierry Nigend : 176 093 Nls : 8 033 419 Mariaud Denis Nigend : 167 434 Nls : 8 023 173 Redel Constant Nigend : 134 433 Nls : 5 311 378 Thil Laurent Nigend : 166 401 Nls : 5 318 651 2010 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 75/95 – Page 23 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Bourgogne _____ Décision no 138/4 RGBOURG/RH/P/CHANC du 20 avril 2011 portant attribution en 2011 de la prime de résultats exceptionnels à titre exceptionnel NOR : IOCJ1114533S Le commandant de la région de gendarmerie de Bourgogne, Vu le code de la défense ; Vu la loi no 2002‑1094 du 29 août 2002 d’orientation et de programmation pour la sécurité intérieure ; Vu le décret no 2004‑1073 du 11 octobre 2004 portant création d’une prime de résultats exceptionnels dans la gendarmerie nationale ; Vu l’arrêté du 11 octobre 2004 portant application du décret no 2004‑1073 du 11 octobre 2004 portant création d’une prime de résultats exceptionnels dans la gendarmerie nationale, Décide : Article 1er Les militaires de la gendarmerie de la réserve dont la liste est jointe en annexe percevront, à titre exceptionnel, au titre de l’année 2010 une prime de résultats exceptionnels d’un montant de 500,00 € (cinq cents euros). Article 2 La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 20 avril 2011. Le général, commandant la région de gendarmerie de Bourgogne, J.-R. Bauquis AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 76/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE I LISTE DES MILITAIRES BÉNÉFICIANT D’UNE PRIME DE RÉSULTATS EXCEPTIONNELS À TITRE EXCEPTIONNEL D’UN MONTANT DE 500,00 EUROS POUR L’ ANNÉE 2010 Aubague Jacques Nigend : 85 905 Nls : 9 575 577 Glorel Richard Nigend : 138 555 Nls : 9 556 761 Mothe Vincent Nigend : 269 708 Nls : 9 539 771 Molard Stéphane Nigend : 269 651 Nls : 9 541 876 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 76/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Commandement de la gendarmerie outre-mer _____ Commandement de la gendarmerie pour la Nouvelle-Calédonie et les îles Wallis-et-Futuna _____ Décision no 570/2 COMGEND-NCWF/BRH du 27 avril 2011 portant attribution en 2011 de la prime de résultats exceptionnels à titres individuel, collectif et exceptionnel NOR : IOCJ1114475S Le commandant de la gendarmerie pour la Nouvelle-Calédonie et les îles Wallis-et-Futuna, Vu le code de la défense ; Vu la loi no 2002‑1094 du 29 août 2002 d’orientation et de programmation pour la sécurité intérieure ; Vu le décret no 2004‑1073 du 11 octobre 2004 portant création d’une prime de résultats exceptionnels dans la gendarmerie nationale ; Vu l’arrêté du 11 octobre 2004 portant application du décret no 2004‑1073 du 11 octobre 2004 portant création d’une prime de résultats exceptionnels dans la gendarmerie nationale, Décide : Article 1er Les personnels de la gendarmerie en activité de service dont la liste est jointe percevront, à titres individuel, collectif et exceptionnel, au titre de l’année 2010 une prime de résultats exceptionnels. Article 2 Une prime de 500,00 € (cinq cents euros) est attribuée, à titre individuel, aux militaires dont la liste figure en annexe I. Article 3 Une prime de 400,00 € (quatre cents euros) est attribuée, à titre individuel, aux militaires dont la liste figure en annexe II. Article 4 Une prime de 300,00 € (trois cents euros) est attribuée, à titre individuel, aux militaires dont la liste figure en annexe III. Article 5 Une prime de 400,00 € (quatre cents euros) est attribuée, à titre collectif, aux militaires dont la liste figure en annexe IV. Article 6 Une prime de 500,00 € (cinq cents euros) est attribuée, à titre exceptionnel, aux militaires dont la liste figure en annexe V. Article 7 Une prime de 400,00 € (quatre cents euros) est attribuée, à titre exceptionnel, aux militaires dont la liste figure en annexe VI. Article 8 La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 27 avril 2011. Le colonel, commandant la gendarmerie pour la Nouvelle-Calédonie et les îles Wallis-et-Futuna, P. Bonnaud AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 77/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE I Liste des militaires bénéficiant d’une prime de résultats exceptionnels, à titre individuel, d’un montant de Dedeyne Mickaël 500,00 euros pour l’année Nigend : 176 129 2010 Nls : 8 028 627 ANNEXE II Liste des militaires bénéficiant d’une prime de résultats exceptionnels, à titre individuel, d’un montant de 400,00 euros pour l’année Ancète Marie Nigend : 168 389 Nls : 8 024 201 Asi Soane Nigend : 127 563 Nls : 5 243 413 Bautrau Jean-Luc Nigend : 139 040 Nls : 8 000 004 Bejot Jean-François Nigend : 124 548 Nls : 5 244 213 Bellanger Dominique Nigend : 119 060 Nls : 5 241 104 Beltran Didier Nigend : 121 769 Nls : 5 269 831 Berly Alain Nigend : 150 844 Nls : 8 009 010 Berrou Olivier Nigend : 165 807 Nls : 8 022 305 Boisnard Pascal Nigend : 162 140 Nls : 8 019 202 Boutillier Jérôme Nigend : 183 705 Nls : 8 034 113 Bracha Philippe Nigend : 238 797 Nls : 8 083 152 Bruché Nicolas Nigend : 159 929 Nls : 8 017 021 Calais Frédéric Nigend : 175 437 Nls : 8 028 412 Canard Sylvestre Nigend : 300 688 Nls : 8 100 414 Caradec Thierry Nigend : 132 252 Nls : 5 295 010 Chardigny Damien Nigend : 163 132 Nls : 8 019 922 Charlet Bruno Nigend : 106 794 Nls : 5 149 248 Chevet Christophe Nigend : 166 610 Nls : 8 022 824 Cibot Bertrand Nigend : 155 925 Nls : 8 013 532 Ciszewski Christophe Nigend : 148 442 Nls : 8 008 518 Coudert Olivier Nigend : 167 397 Nls : 8 023 439 Coutard Laurent Nigend : 118 397 Nls : 5 218 931 Crouvizier Gilles Nigend : 143 704 Nls : 8 000 822 Dantin Frédéric Nigend : 194 382 Nls : 6 556 516 De Lacoste de Laval Sabine Nigend : 186 680 Nls : 8 035 092 Debez Guy Nigend : 102 835 Nls : 5 173 673 Defoly Franck Nigend : 148 334 Nls : 8 006 322 Delooecker Éric Nigend : 140 205 Nls : 5 296 217 Delrieu Meidi Nigend : 319 717 Nls : 8 112 409 Dos Santos José Nigend : 166 488 Nls : 8 021 651 Dubar Anthony Nigend : 166 139 Nls : 8 022 619 Dubois Xavier Nigend : 154 832 Nls : 8 012 528 Duljan Olivier Nigend : 143 859 Nls : 8 002 043 2010 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 77/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Élisabeth Dominique Nigend : 152 454 Nls : 8 009 038 Farnolle Pierre Nigend : 203 190 Nls : 6 030 684 Faure Pierre-Hugues Nigend : 215 112 Nls : 6 561 539 Fersi Samira Nigend : 318 432 Nls : 8 111 467 Fraisse Régis Nigend : 133 978 Nls : 5 310 838 Gallouedec Michel Nigend : 70 718 Nls : 5 282 824 Galvez Olivier Nigend : 170 182 Nls : 8 030 399 Garnier Lionel Nigend : 170 041 Nls : 8 025 519 Geiller Guillaume Nigend : 309 694 Nls : 8 106 885 Goisnard Jean-Michel Nigend : 139 220 Nls : 5 305 247 Gorce Philippe Nigend : 113 646 Nls : 5 174 953 Grasser Gilles Nigend : 167 647 Nls : 8 023 532 Grimault Robert Nigend : 157 034 Nls : 8 014 533 Groizeleau Franck Nigend : 138 131 Nls : 5 324 619 Guilhot Luc Nigend : 155 299 Nls : 8 012 840 Ihage Victor Nigend : 145 495 Nls : 8 004 989 Izabelle Maxime Nigend : 148 908 Nls : 8 006 666 Jeanneau Prisca Nigend : 183 762 Nls : 8 034 142 Kaman Gisèle Nigend : 300 737 Nls : 8 100 440 Kaman Stevens Nigend : 320 310 Nls : 8 112 408 Kays Francky Nigend : 145 496 Nls : 8 004 890 Kazo Joseph Nigend : 127 613 Nls : 5 243 417 Lartigue Jean-Marc Nigend : 129 712 Nls : 5 283 046 Le Ny Stéphane Nigend : 139 871 Nls : 5 272 250 Leblond Patrice Nigend : 123 522 Nls : 5 269 550 Leca Eddy Nigend : 197 442 Nls : 8 048 852 Lecigne Mickaël Nigend : 163 341 Nls : 8 020 157 Lefebvre Patrick Nigend : 98 883 Nls : 5 050 813 Leparquier Jean-Michel Nigend : 168 668 Nls : 8 024 457 Lescieux Pascal Nigend : 115 647 Nls : 5 190 125 Mahé Yannick Nigend : 138 274 Nls : 5 322 362 Marquet Anthony Nigend : 187 138 Nls : 8 045 857 Martin Richard Nigend : 177 372 Nls : 8 030 777 Massias Sébastien Nigend : 161 777 Nls : 8 018 762 Mori Roger Nigend : 126 208 Nls : 5 279 046 Orezzoli Nicolas Nigend : 233 282 Nls : 8 086 046 Païta Murielle Nigend : 304 119 Nls : 8 102 728 Paluch Éric Nigend : 162 152 Nls : 6 031 708 Panuve Falakika Nigend : 249 162 Nls : 8 100 147 Perdrix Sébastien Nigend : 195 522 Nls : 8 048 047 Phocas Guilhem Nigend : 166 465 Nls : 8 022 888 Piquaud Jean-Louis Nigend : 146 282 Nls : 8 004 574 Pourchayre Frédéric Nigend : 151 013 Nls : 8 009 280 Proix David Nigend : 170 970 Nls : 8 026 572 René-Corail Philippe Nigend : 185 804 Nls : 8 031 034 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 77/95 – Page 3 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Saïd Xavier Nigend : 318 292 Nls : 8 111 345 Scornet Franck Nigend : 133 015 Nls : 5 295 582 Sio Raymond Nigend : 145 613 Nls : 8 003 987 Souliman François Nigend : 147 651 Nls : 8 005 684 Tattu Damien Nigend : 175 357 Nls : 8 025 924 Taupin Hervé Nigend : 118 848 Nls : 5 241 186 Thely Jean-Marc Nigend : 135 623 Nls : 5 323 795 Thevel Olivier Nigend : 141 996 Nls : 8 000 089 Tinois Patrice Nigend : 205 679 Nls : 8 058 557 Tirtaine Françoise Nigend : 183 776 Nls : 8 034 165 Verheyde Franck Nigend : 191 170 Nls : 8 039 996 Verneau Laurent Nigend : 132 625 Nls : 5 294 596 ANNEXE Liste III des militaires bénéficiant d’une prime de résultats exceptionnels, à titre individuel, d’un montant de 300,00 euros pour l’année Aboulin Patrick Nigend : 155 890 Nls : 8 013 501 Adam Hervé Nigend : 114 044 Nls : 5 191 701 Alvès Franck Nigend : 153 400 Nls : 8 011 402 Aubourg Thierry Nigend : 137 265 Nls : 5 322 601 Baderot Gérard Nigend : 114 296 Nls : 5 167 895 Brajot Joël Nigend : 109 968 Nls : 5 174 310 Carceles Patrick Nigend : 158 261 Nls : 8 015 711 Cornu Christophe Nigend : 180 496 Nls : 8 029 824 De Smedt Cédric Nigend : 197 237 Nls : 8 048 386 Delhumeau Kareen Nigend : 195 502 Nls : 8 048 007 Formentin Frédéric Nigend : 156 580 Nls : 8 014 138 Gervais Olivier Nigend : 147 463 Nls : 8 005 464 Gouriou Rodolphe Nigend : 190 503 Nls : 6 025 652 Grosson Lionel Nigend : 155 179 Nls : 8 012 938 Hennion Éric Nigend : 151 379 Nls : 8 009 458 Hudin Jérôme Nigend : 162 226 Nls : 8 019 155 Idiart Jean-Bernard Nigend : 133 986 Nls : 5 310 849 Jaffre Jacques Nigend : 114 607 Nls : 5 189 947 Landurein Philippe Nigend : 138 826 Nls : 5 249 952 Le Goff Yann Nigend : 149 555 Nls : 8 007 363 Leroux Odile Nigend : 156 938 Nls : 8 014 472 Ménard Guy Nigend : 107 442 Nls : 5 149 504 Mendez Nicolas Nigend : 188 300 Nls : 8 038 666 Menez Linda Nigend : 208 756 Nls : 8 062 432 2010 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 77/95 – Page 4 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Mutricy Emmanuel Nigend : 141 525 Nls : 6 015 855 Paheroo Tina Nigend : 202 681 Nls : 8 054 686 Parent Jérôme Nigend : 162 118 Nls : 8 019 083 Perrier Jean-Christophe Nigend : 123 899 Nls : 5 243 621 Pinchon Thomas Nigend : 302 519 Nls : 8 101 699 Piris Frédéric Nigend : 158 586 Nls : 8 015 872 Plouchart Damien Nigend : 166 194 Nls : 8 022 671 Renou Vanessa Nigend : 183 120 Nls : 8 033 873 Soares Georges Nigend : 169 232 Nls : 8 024 495 Thirouard Laurent Nigend : 202 683 Nls : 6 587 141 Tuifua Yannick Nigend : 174 096 Nls : 8 027 896 Uveakovi Jessica Nigend : 210 756 Nls : 8 066 005 Vea Nopeleto Nigend : 145 624 Nls : 8 003 994 Vialle Stéphane Nigend : 217 926 Nls : 6 551 315 ANNEXE Liste IV des militaires bénéficiant d’une prime de résultats exceptionnels, à titre collectif, d’un montant de 400,00 euros pour l’année 2010 Brigade territoriale autonome de Yaté (98). Bousquet Jerry Nigend : 233 798 Nls : 8 079 542 Cabanes Anthony Nigend : 246 621 Nls : 8 098 831 Durupt Arnaud Nigend : 158 545 Nls : 8 015 825 Le Bihan Stéphane Nigend : 156 072 Nls : 8 013 659 Brigade territoriale autonome de Fayaoué (98). Brand Christophe Nigend : 170 313 Nls : 8 025 716 Estublier Cédric Nigend : 247 729 Nls : 8 099 435 Guittet Lionel Nigend : 122 059 Nls : 5 220 590 Paul Dimitri Nigend : 225 369 Nls : 8 074 449 Brigade territoriale autonome de Bourail (98). Gawlowicz Didier Nigend : 188 044 Nls : 8 038 431 Honore Fabrice Nigend : 176 073 Nls : 8 062 493 Idoux Dominique Nigend : 115 618 Nls : 5 190 260 Jadeau Dominique Nigend : 154 392 Nls : 8 012 044 Masei Akatoto Nigend : 151 111 Nls : 5 177 550 Matarin Christophe Nigend : 159 984 Nls : 8 017 071 Matz Christophe Nigend : 134 409 Nls : 5 311 262 Mondin Jean-Philippe Nigend : 160 472 Nls : 8 017 469 Saint Pol Sandrine Nigend : 194 505 Nls : 8 049 558 Sarmadi Dany Nigend : 176 073 Nls : 8 030 762 Brigade territoriale autonome de Koné (98). Bienne David Nigend : 166 595 Nls : 8 022 810 Daye-Vigouroux Fabien Nigend : 192 946 Nls : 8 047 253 Jizdny Jesse Nigend : 196 909 Nls : 8 052 773 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 77/95 – Page 5 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Lome Filimoehala Nigend : 217 855 Nls : 8 064 689 Lubat Laurent Nigend : 154 193 Nls : 8 011 969 Pouveroux Thierry Nigend : 141 295 Nls : 8 001 185 Wahmetu Léonard Nigend : 145 628 Nls : 8 003 996 Brigade territoriale autonome de Touho (98). Cruzol Frédéric Nigend : 203 821 Nls : 8 054 738 Godau Aurélie Nigend : 303 215 Nls : 8 102 249 Marchand Laurent Nigend : 164 972 Nls : 8 021 569 Plébin Alain Nigend : 70 607 Nls : 5 293 768 Sparapan Francis Nigend : 124 017 Nls : 5 244 101 ANNEXE Liste V des militaires bénéficiant d’une prime de résultats exceptionnels, à titre exceptionnel, d’un montant de 500,00 euros pour l’année Boivin Cédric Nigend : 183 150 Nls : 8 033 812 Cayetano Bernard Nigend : 140 193 Nls : 5 296 112 Combaud Gilles Nigend : 112 868 Nls : 5 174 925 Doddoli Franck Nigend : 197 440 Nls : 8 048 823 Fossey-Cherrière Marc Nigend : 138 059 Nls : 5 281 645 Gitié Sandrine Nigend : 220 505 Nls : 8 072 810 Iwa Carlos Nigend : 197 441 Nls : 8 048 849 Kozlowski Jean-Pierre Nigend : 96 347 Nls : 5 107 768 Poitevin Pascal Nigend : 186 579 Nls : 8 041 041 Rybarczyk Jessica Nigend : 300 566 Nls : 8 100 973 Song Endrick Nigend : 182 003 Nls : 8 030 948 2010 ANNEXE VI Liste des militaires bénéficiant d’une prime de résultats exceptionnels, à titre exceptionnel, d’un montant de 400,00 euros pour l’année Mainfroi Olivier Nigend : 157 184 Nls : 8 014 456 Ozika Pascal Nigend : 174 185 Nls : 8 025 936 2010 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 77/95 – Page 6 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Rhône-Alpes et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est _____ Décision no 47295 du 27 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Rhône-Alpes NOR : IOCJ1102701S Le commandant de la région de gendarmerie de Rhône-Alpes et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 132950 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029422S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2011 : Gamache Éric Nigend : 146 236 Numéro de livret de solde : 8 004 534 Vial Pierre-Louis Nigend : 98 055 Numéro de livret de solde : 5 124 883 Avenel Jacky Nigend : 123 695 Numéro de livret de solde : 5 270 303 Kollibay Patrick Nigend : 96 043 Numéro de livret de solde : 5 106 720 Meunier Philippe Nigend : 162 408 Numéro de livret de solde : 8 019 371 Genivet Éric Nigend : 156 446 Numéro de livret de solde : 8 013 824 Benac Patrice Nigend : 153 664 Numéro de livret de solde : 8 011 605 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2011 : Guillet Thierry Nigend : 163 325 Numéro de livret de solde : 8 020 142 Degletagne François Nigend : 163 850 Numéro de livret de solde : 8 020 619 Monet Philippe Nigend : 152 479 Numéro de livret de solde : 8 010 354 Doillon Fabienne Nigend : 145 794 Numéro de livret de solde : 8 002 538 Corbière Pascal Nigend : 110 710 Numéro de livret de solde : 5 150 423 Martinato Christophe Nigend : 141 665 Numéro de livret de solde : 8 001 363 Panades Lionel Nigend : 161 053 Numéro de livret de solde : 8 017 877 Meunier Michel Nigend : 114 373 Numéro de livret de solde : 5 190 840 Chabardes Violaine Nigend : 157 256 Numéro de livret de solde : 8 014 814 Ravoire Julien Nigend : 170 392 Numéro de livret de solde : 8 025 782 Defever Éric Nigend : 121 150 Numéro de livret de solde : 5 242 817 Bonvallet Frédéric Nigend : 148 318 Numéro de livret de solde : 8 006 312 Catherin Éric Nigend : 137 930 Numéro de livret de solde : 5 282 009 Charpin Lionel Nigend : 143 445 Numéro de livret de solde : 5 272 571 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 78/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2011 : Laouar Toufik Nigend : 190 361 Numéro de livret de solde : 8 039 264 Neveu Pascal Nigend : 138 288 Numéro de livret de solde : 5 322 376 Talbot Gérald Nigend : 169 346 Numéro de livret de solde : 8 024 995 Perona Christopher Nigend : 170 385 Numéro de livret de solde : 8 025 775 Blancart Laurent Nigend : 169 648 Numéro de livret de solde : 8 025 004 Berna Olivier Nigend : 185 053 Numéro de livret de solde : 8 037 321 Lebel Grégory Nigend : 170 781 Numéro de livret de solde : 8 026 461 Notéris Éric Nigend : 167 006 Numéro de livret de solde : 8 023 072 Chikhi David Nigend : 197 320 Numéro de livret de solde : 8 048 941 Chauveau Olivier Nigend : 149 872 Numéro de livret de solde : 8 007 822 Paturel Jean-Michel Nigend : 103 816 Numéro de livret de solde : 5 126 760 Gribi Samira Nigend : 199 917 Numéro de livret de solde : 8 048 739 Duval Arnaud Nigend : 159 636 Numéro de livret de solde : 8 016 842 Quarteroni Yannick Nigend : 176 941 Numéro de livret de solde : 8 031 691 Avazeri Jérôme Nigend : 177 242 Numéro de livret de solde : 8 037 740 Klein Frédéric Nigend : 166 647 Numéro de livret de solde : 8 022 749 Le Cot Philippe Nigend : 136 535 Numéro de livret de solde : 5 324 064 Degore-Pagnacco Jean-François Nigend : 165 041 Numéro de livret de solde : 8 021 727 Millet Yannick Nigend : 185 495 Numéro de livret de solde : 8 037 332 Beller Sylvain Nigend : 174 493 Numéro de livret de solde : 8 028 105 Gauberti Pascal Nigend : 150 138 Numéro de livret de solde : 8 007 935 Cusenier Alexandre Nigend : 191 146 Numéro de livret de solde : 8 039 819 Voinson Sascha Nigend : 171 363 Numéro de livret de solde : 8 026 897 Pierré Sylvain Nigend : 167 691 Numéro de livret de solde : 8 023 573 Vincent Éric Nigend : 173 714 Numéro de livret de solde : 8 031 494 Matheis Thierry Nigend : 165 095 Numéro de livret de solde : 8 021 674 Bourgeois Sébastien Nigend : 160 980 Numéro de livret de solde : 8 018 013 Saillier Isabelle Nigend : 141 304 Numéro de livret de solde : 8 001 289 Beringuer Gérald Nigend : 205 244 Numéro de livret de solde : 8 058 653 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2011 : Picard Sylvain Nigend : 217 613 Numéro de livret de solde : 8 064 571 Bosc Sébastien Nigend : 210 147 Numéro de livret de solde : 8 050 271 Didier Séverine Nigend : 187 863 Numéro de livret de solde : 8 041 207 Courtial Cyrille Nigend : 168 539 Numéro de livret de solde : 8 024 329 Morel Matthieu Nigend : 230 595 Numéro de livret de solde : 8 085 077 Gentes Angélique Nigend : 231 138 Numéro de livret de solde : 8 085 332 Gaillard Fabien Nigend : 165 847 Numéro de livret de solde : 8 022 336 Perrot Alexandre Nigend : 207 439 Numéro de livret de solde : 8 061 157 Gaillon Christophe Nigend : 162 376 Numéro de livret de solde : 8 019 342 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 78/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Darbion Christophe Nigend : 231 129 Numéro de livret de solde : 8 085 322 Engelvin Frédérique Nigend : 227 117 Numéro de livret de solde : 8 059 321 Biellmann Pierre Nigend : 226 234 Numéro de livret de solde : 8 084 359 Gerard Aline Nigend : 201 832 Numéro de livret de solde : 8 056 806 Compan David Nigend : 168 720 Numéro de livret de solde : 8 024 520 Boyer Patrick Nigend : 225 503 Numéro de livret de solde : 8 084 113 Tancrez Ludovic Nigend : 219 450 Numéro de livret de solde : 8 065 196 Delbano Amandine Nigend : 221 386 Numéro de livret de solde : 8 083 675 Hiroux Élodie Nigend : 176 503 Numéro de livret de solde : 8 033 712 Gastaud Cyril Nigend : 191 916 Numéro de livret de solde : 8 044 961 Bauer Fabien Nigend : 225 592 Numéro de livret de solde : 8 084 179 Oselin Jérôme Nigend : 229 169 Numéro de livret de solde : 6 590 798 Veyret Alexandrine Nigend : 187 615 Numéro de livret de solde : 8 038 490 Corberand Benjamin Nigend : 229 087 Numéro de livret de solde : 8 084 801 Lefebvre Alexandre Nigend : 185 884 Numéro de livret de solde : 8 034 135 Martin Jérémie Nigend : 180 864 Numéro de livret de solde : 8 041 674 Goulard Stéphane Nigend : 192 069 Numéro de livret de solde : 8 040 035 Barczyk Pierre Nigend : 186 722 Numéro de livret de solde : 8 046 043 Dufrenne David Nigend : 213 055 Numéro de livret de solde : 8 067 546 Branchut Nicolas Nigend : 229 217 Numéro de livret de solde : 6 695 892 Hallier Olivier Nigend : 213 321 Numéro de livret de solde : 8 067 669 Telleria Cédric Nigend : 172 221 Numéro de livret de solde : 8 027 291 Vaugon Franck Nigend : 212 616 Numéro de livret de solde : 8 067 317 Titah Yacine Nigend : 196 864 Numéro de livret de solde : 8 052 720 Annezer Arnaud Nigend : 174 736 Numéro de livret de solde : 8 031 949 Lavigne Frédéric Nigend : 187 199 Numéro de livret de solde : 8 038 342 Baudier Florence Nigend : 225 507 Numéro de livret de solde : 8 084 214 Piat Émeline Nigend : 220 993 Numéro de livret de solde : 8 083 656 Ducreuzet Stéphane Nigend : 206 891 Numéro de livret de solde : 8 060 596 Bouquet Maxime Nigend : 225 513 Numéro de livret de solde : 8 084 242 Lebecq Fabien Nigend : 217 852 Numéro de livret de solde : 8 064 687 Fait le 27 avril 2011. Le général de corps d’armée, commandant la région de gendarmerie de Rhône-Alpes et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est, J. Grandchamp AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 78/95 – Page 3 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Commandement de la gendarmerie outre-mer _____ Commandement de la gendarmerie pour la Nouvelle-Calédonie et les îles Wallis-et-Futuna _____ Décision no 595/2 COMGEND-NCWF/BRH du 28 avril 2011 portant attribution en 2011 de la prime de résultats exceptionnels à titre exceptionnel NOR : IOCJ1114484S Le commandant de la gendarmerie pour la Nouvelle-Calédonie et les îles Wallis-et-Futuna, Vu le code de la défense ; Vu la loi no 2002‑1094 du 29 août 2002 d’orientation et de programmation pour la sécurité intérieure ; Vu le décret no 2004‑1073 du 11 octobre 2004 portant création d’une prime de résultats exceptionnels dans la gendarmerie nationale ; Vu l’arrêté du 11 octobre 2004 portant application du décret no 2004‑1073 du 11 octobre 2004 portant création d’une prime de résultats exceptionnels dans la gendarmerie nationale, Décide : Article 1er Le brigadier de réserve Oumua Béléote (Hidèle) Yoan, Nigend 322814, matricule 98801577, titulaire d’un contrat d’engagé spécial de la réserve dans la gendarmerie, percevra à titre exceptionnel, au titre de l’année 2010, une prime de résultats exceptionnels d’un montant de 500,00 € (cinq cents euros). Article 2 La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 28 avril 2011. Le colonel, commandant de la gendarmerie pour la Nouvelle-Calédonie et les îles Wallis-et-Futuna, P. Bonnaud AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 79/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Champagne-Ardenne _____ Décision no 13830 du 28 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Champagne-Ardenne NOR : IOCJ1102715S Le commandant de la région de gendarmerie de Champagne-Ardenne, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 40103 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029437S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2011 : Choquet Didier Nigend : 137 973 Numéro de livret de solde : 5 143 811 Peth Hervé Nigend : 136 408 Numéro de livret de solde : 5 322 557 Hrynkiw Bernard Nigend : 97 875 Numéro de livret de solde : 5 063 746 Cola Daniel Nigend : 70 313 Numéro de livret de solde : 5 186 547 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2011 : Dubœuf Dominique Nigend : 139 078 Numéro de livret de solde : 8 000 022 Haynau Pascal Nigend : 123 856 Numéro de livret de solde : 5 243 583 Lefèvre Philippe Nigend : 150 316 Numéro de livret de solde : 8 008 157 Caëtano Christophe Nigend : 141 457 Numéro de livret de solde : 8 000 512 Jauniaux Patrick Nigend : 101 756 Numéro de livret de solde : 5 148 576 De Decker Franck Nigend : 147 201 Numéro de livret de solde : 8 005 614 Charmet Pascal Nigend : 122 731 Numéro de livret de solde : 5 243 922 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2011 : Baujard Laurent Nigend : 146 603 Numéro de livret de solde : 8 002 513 Hénaut Alain Nigend : 137 324 Numéro de livret de solde : 5 322 650 Denef Frédéric Nigend : 163 144 Numéro de livret de solde : 8 019 934 Munos Thierry Nigend : 156 089 Numéro de livret de solde : 8 013 368 Charoy Frédéric Nigend : 143 444 Numéro de livret de solde : 5 325 099 Laurency Christophe Nigend : 173 326 Numéro de livret de solde : 8 027 657 Frédéric Christophe Nigend : 148 080 Numéro de livret de solde : 8 008 750 Carpentier Morgane Nigend : 190 573 Numéro de livret de solde : 8 038 923 Sonatore Lucile Nigend : 171 991 Numéro de livret de solde : 8 027 085 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 80/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2011 : Charron Frédéric Nigend : 165 196 Numéro de livret de solde : 8 021 812 Beauvais Richard Nigend : 189 228 Numéro de livret de solde : 8 034 702 Bordes Sophie Nigend : 189 120 Numéro de livret de solde : 8 043 543 Houziaux Christophe Nigend : 191 227 Numéro de livret de solde : 8 039 940 Carrey Alexandre Nigend : 211 538 Numéro de livret de solde : 8 063 307 Blasius Lysiane Nigend : 210 716 Numéro de livret de solde : 8 065 828 De Almeida Helder Nigend : 172 136 Numéro de livret de solde : 8 027 226 Belair Alexandre Nigend : 164 150 Numéro de livret de solde : 8 020 706 De Sousa Philippe Nigend : 229 823 Numéro de livret de solde : 8 084 984 Morel Delphine Nigend : 187 040 Numéro de livret de solde : 8 062 367 Cante Olivier Nigend : 216 541 Numéro de livret de solde : 8 064 363 Fait le 28 avril 2011. Le colonel, commandant la région de gendarmerie de Champagne-Ardenne, D. Bolot AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 80/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Garde républicaine _____ Décision no 15094 du 28 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la garde républicaine – branche « cavalerie » NOR : IOCJ1102678S Le commandant de la garde républicaine, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 159201 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029384S), Décide : Article 1er L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juin 2011 : Leveque François Nigend : 129 334 Numéro de livret de solde : 5 283 754 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2011 : Tamisier Pascal Nigend : 133 940 Numéro de livret de solde : 5 294 791 Rannou Yannick Nigend : 69 951 Numéro de livret de solde : 5 282 164 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2011 : Paquereau Sébastien Nigend : 139 264 Numéro de livret de solde : 5 264 370 Jungas Thierry Nigend : 156 221 Numéro de livret de solde : 8 013 758 Fait le 28 avril 2011. Le général, commandant la garde républicaine, P. Schneider AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 81/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Garde républicaine _____ Décision no 15100 du 28 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la garde républicaine – branche « infanterie » NOR : IOCJ1102677S Le commandant de la garde républicaine, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 159200 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029380S), Décide : Article 1er L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juin 2011 : Bettini Philippe Nigend : 123 302 Numéro de livret de solde : 5 244 812 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2011 : Borie Patrick Nigend : 69 864 Numéro de livret de solde : 5 282 110 Le Leuch Jean-Jacques Nigend : 111 595 Numéro de livret de solde : 5 150 755 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2011 : Albarracin Olivier Nigend : 177 851 Numéro de livret de solde : 8 029 301 Lepietre Yannick Nigend : 169 562 Numéro de livret de solde : 8 025 170 Maurice Hervé Nigend : 173 334 Numéro de livret de solde : 8 027 465 Thevenot Marc-Emmanuel Nigend : 168 017 Numéro de livret de solde : 8 024 189 Pène Guillaume Nigend : 167 008 Numéro de livret de solde : 8 023 073 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2011 : Bisserbe Julien Nigend : 218 582 Numéro de livret de solde : 8 071 337 Romero Marine Nigend : 226 206 Numéro de livret de solde : 8 084 461 Rongere Romain Nigend : 213 537 Numéro de livret de solde : 8 063 826 Fait le 28 avril 2011. Le général, commandant la garde républicaine, P. Schneider AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 82/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Rhône-Alpes et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est _____ Décision no 47770 du 28 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est NOR : IOCJ1102702S Le commandant de la région de gendarmerie de Rhône-Alpes et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 132969 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029423S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2011 : Dupond Yannick Nigend : 121 157 Numéro de livret de solde : 5 242 825 Lerouge François Nigend : 114 625 Numéro de livret de solde : 5 189 259 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2011 : Besson Laurent Nigend : 134 620 Numéro de livret de solde : 5 311 806 Jouve Patrick Nigend : 141 125 Numéro de livret de solde : 8 001 156 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2011 : Lagrue Laurent Nigend : 158 947 Numéro de livret de solde : 8 016 252 Fleurier Stéphane Nigend : 144 155 Numéro de livret de solde : 8 003 051 Guillot Cyril Nigend : 166 983 Numéro de livret de solde : 8 023 049 Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2011 : Vuillemin Pierre Nigend : 212 086 Numéro de livret de solde : 8 066 469 Simonneau Cyril Nigend : 229 901 Numéro de livret de solde : 8 085 025 Fontaine Benjamin Nigend : 224 417 Numéro de livret de solde : 8 083 820 M’Garrech Habib Nigend : 225 629 Numéro de livret de solde : 8 084 212 Fait le 28 avril 2011. Le général de corps d’armée, commandant la région de gendarmerie de Rhône-Alpes et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est, J. Grandchamp AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 83/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Région de gendarmerie de Haute-Normandie _____ Décision no 12718 du 29 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Haute-Normandie NOR : IOCJ1102695S Le commandant de la région de gendarmerie de Haute-Normandie, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des sous-officiers de gendarmerie de carrière ; Vu la décision no 39095 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029413S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2011 : Millet Jean-Luc Nigend : 113 562 Numéro de livret de solde : 5 191 884 Crapez Jean-Claude Nigend : 137 172 Numéro de livret de solde : 5 323 132 Hirard Claude Nigend : 97 874 Numéro de livret de solde : 5 063 743 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2011 : Deschouvert David Nigend : 151 893 Numéro de livret de solde : 8 009 935 Gelé-André Éric Nigend : 163 507 Numéro de livret de solde : 8 020 229 Bodelet Laurent Nigend : 124 349 Numéro de livret de solde : 5 270 507 Roussel David Nigend : 158 873 Numéro de livret de solde : 8 015 991 Frappier Yann Nigend : 166 146 Numéro de livret de solde : 8 022 626 Labbé Dimitri Nigend : 166 986 Numéro de livret de solde : 8 023 052 Article 3 Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juin 2011 : Corolleur Anthony Nigend : 196 992 Numéro de livret de solde : 8 007 001 Boulanger Thomas Nigend : 179 656 Numéro de livret de solde : 8 036 646 Bons Sébastien Nigend : 183 324 Numéro de livret de solde : 8 037 517 Poncherot Fabien Nigend : 179 343 Numéro de livret de solde : 8 029 583 Barbarossa Daniel Nigend : 195 662 Numéro de livret de solde : 8 048 184 Leborgne Richard Nigend : 194 357 Numéro de livret de solde : 8 047 862 Ruault Grégory Nigend : 168 799 Numéro de livret de solde : 8 024 585 Panel Xavier Nigend : 175 501 Numéro de livret de solde : 8 028 472 AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 84/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Article 4 Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2011 : Wacogne Stéphane Nigend : 142 003 Numéro de livret de solde : 8 000 695 Aubert Emmanuel Nigend : 163 941 Numéro de livret de solde : 8 020 502 Sadot Bruno Nigend : 224 272 Numéro de livret de solde : 8 083 955 Lecointre Alexandre Nigend : 208 572 Numéro de livret de solde : 8 062 769 Noel Sébastien Nigend : 212 687 Numéro de livret de solde : 8 063 619 Duez Ludovic Nigend : 226 346 Numéro de livret de solde : 6 610 587 Flandrin Sébastien Nigend : 185 174 Numéro de livret de solde : 8 042 768 Potereau Christophe Nigend : 176 832 Numéro de livret de solde : 8 036 034 Maillot Ingrid Nigend : 229 148 Numéro de livret de solde : 8 084 882 Thuru Benjamin Nigend : 227 151 Numéro de livret de solde : 8 058 425 Banctel Thomas Nigend : 179 228 Numéro de livret de solde : 8 041 846 Fait le 29 avril 2011. Le colonel, commandant la région de gendarmerie de Haute-Normandie, J.-C. Goyeau AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 84/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale de la gendarmerie nationale _____ Décision no 45242 du 29 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des organismes centraux – branche « secrétariat » NOR : IOCJ1102731S Le sous-directeur de la gestion du personnel, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2005‑850 du 27 juillet 2005 relatif aux délégations de signature des membres du Gouvernement ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu la décision no 127257 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029257S), Décide : Article 1er Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juin 2011 : Dumas Patrick Nigend : 118 553 Numéro de livret de solde : 5 241 939 Augizeau Olivier Nigend : 138 043 Numéro de livret de solde : 5 281 601 Article 2 Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2011 : Heurtevent Franck Nigend : 151 503 Numéro de livret de solde : 8 009 638 Mandon Jean-Marc Nigend : 129 855 Numéro de livret de solde : 5 283 866 Lesueur Raynald Nigend : 137 453 Numéro de livret de solde : 5 324 569 Article 3 Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juin 2011 : Canick Yann Nigend : 189 189 Numéro de livret de solde : 8 039 112 Article 4 Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2011 : Niess Céline Nigend : 195 133 Numéro de livret de solde : 8 047 780 Fait le 29 avril 2011. Le colonel, sous-directeur de la gestion du personnel, J. Ribaud AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 85/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Direction générale de la gendarmerie nationale _____ Décision no 45249 du 29 avril 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des organismes centraux – branche « formations extérieures » NOR : IOCJ1102732S Le sous-directeur de la gestion du personnel, Vu le code de la défense ; Vu le décret no 2005‑850 du 27 juillet 2005 relatif aux délégations de signature des membres du Gouvernement ; Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ; Vu la décision no 127258 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029260S), Décide : Article 1er L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juin 2011 : Bourg Stéphane Nigend : 139 309 Numéro de livret de solde : 5 264 417 Article 2 Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juin 2011 : Azam Cécile Nigend : 183 219 Numéro de livret de solde : 8 033 901 Article 3 Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juin 2011 : Debret Jean-Pierre Nigend : 107 267 Numéro de livret de solde : 5 172 934 Fait le 29 avril 2011. Le colonel, sous-directeur de la gestion du personnel, J. Ribaud AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 86/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Circulaire du 2 avril 2011 relative aux orientations du ministère de l’intérieur en matière de lutte contre les dérives sectaires pour 2011 NOR : IOCD1102738C Références : Circulaire du Premier ministre NOR : PRMX0508471C du 27 mai 2005 ; Circulaires NOR : INTA0800044C du 25 février 2008, NOR : INTD0900022C NOR : IOCD0911319C du 15 mai 2009. du 23 janvier 2009 et Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration à Monsieur le préfet de police ; Mesdames et Messieurs les préfets (pour attribution) ; Monsieur le préfet, secrétaire général ; Monsieur le préfet, directeur général de la police nationale ; Monsieur le directeur général de la gendarmerie nationale ; Monsieur le directeur des libertés publiques et des affaires juridiques (pour information). Pour la troisième année consécutive, des orientations annuelles vous sont adressées pour rappeler l’importance de la vigilance et de la lutte contre les dérives sectaires. Le cadre juridique de votre action reste déterminé par la circulaire du Premier ministre du 27 mai 2005 NOR : PRMX0508471C et par la circulaire NOR : INTA0800044C du 25 février 2008 relative à la lutte contre les dérives sectaires. Vous veillerez, en 2011, à privilégier quatre axes de travail : 1. Les services territoriaux devront s’appuyer sur l’expertise des dispositifs de soutien opérationnel mis en œuvre au niveau national. Cela passe notamment par la cellule d’assistance et d’intervention en matière de dérives sectaires (CAIMADES) qui, placée au sein de l’office central pour la répression des violences aux personnes (OCRVP), est maintenant pleinement active. Ce dispositif permanent, composé de 6 officiers de police judiciaire, est composé de policiers et de gendarmes. Ils sont assistés en tant que de besoin par des psychologues, des psychiatres et des experts de ces questions. L’objectif principal de cette cellule est de favoriser l’application des dispositions de la loi du 12 juin 2001 (art. 223‑15‑2 du code pénal) relatives à la sujétion ou à l’emprise mentale en permettant la réunion des éléments formels pouvant caractériser ces notions et en établissant des éléments constitutifs des infractions pénales. La CAIMADES peut également être sollicitée à des fins de formation des personnels. Pour la gendarmerie nationale, les unités pourront continuer à s’appuyer sur l’expertise du département des sciences du comportement (DSC) du service technique de recherches judiciaires et de documentation (STRJD). Ce dispositif, qui existe depuis 2002 de façon permanente, assure également le suivi des dossiers relatifs aux dérives sectaires pour la gendarmerie. 2. La vigilance et la lutte contre les dérives sectaires passent par la mobilisation de vos services territoriaux. Vous veillerez donc à réunir en préfecture, au moins une fois par an et en tant que de besoin en fonction des nécessités locales, le groupe de travail spécifique mentionné dans la circulaire NOR : INTA0800044C du 25 février 2008. L’analyse de vos rapports d’application de la circulaire NOR : IOC/D/1002821/C du 10 février 2010 montre que, souvent, cette réunion du groupe de travail spécifique est remplacée de fait par l’évocation des questions de dérives sectaires lors des réunions de l’état-major de sécurité. Créée par la circulaire interministérielle NOR : JUS/D/0920871/C, cette instance permet effectivement de prendre en compte efficacement cette question. Quelle que soit la solution formelle choisie, je vous demande une mobilisation particulière pour cette problématique de la vigilance et de la lutte contre les dérives sectaires. 3. Le renforcement des liens avec tous les acteurs de la société civile (collectivités territoriales, associations d’aide aux victimes, etc.) concernés par cette question constitue le troisième objectif. Ces groupes de travail spécifique ou ces réunions de l’état-major de sécurité, qui réunissent les seuls services de l’État concernés par cette matière, ne sauraient, en aucun cas, supprimer les nécessaires relations avec les associations d’aide aux victimes et tous les acteurs de la société civile concernés. Vous veillerez donc à maintenir une relation soutenue avec les acteurs de la société civile en constituant, si le besoin s’en fait sentir localement, une cellule de suivi émanant du conseil départemental de prévention de la délinquance où siègent ces différents acteurs. Une telle relation permettra d’éviter le sentiment de certaines associations de voir la question des dérives sectaires diluée lors des réunions plénières du conseil départemental de prévention de la délinquance. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 87/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 4. L’importance de l’appui interministériel passe par une association plus grande des départements ministériels réunis au sein de la mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (MIVILUDES). Vous veillerez donc à solliciter les services relevant de l’administration centrale du ministère de l’intérieur (DLPAJ, DGPN et DGGN), mais aussi des autres départements ministériels concernés et réunis au sein de la MIVILUDES, dont l’expérience au niveau national vous permettra de favoriser la mise en commun des renseignements disponibles et d’optimiser leur exploitation. * * * Je vous remercie de votre implication personnelle dans l’application de ces instructions. Je vous demande de bien vouloir m’indiquer les difficultés éventuelles d’application et de m’adresser pour le 15 décembre 2011 un bilan d’ensemble. Fait le 2 avril 2011. Le directeur des libertés publiques et des affaires juridiques, L. Touvet AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 87/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Circulaire du 5 avril 2011 relative au décret no 2011‑167 du 10 février 2011 instituant une procédure de vérification sécurisée des données à caractère personnel contenues dans les actes de l’état civil NOR : IOCD1109855C Références : Décret no 62‑921 du 3 août 1962 modifiant certaines règles relatives aux actes de l’état civil ; Décret no 55‑1397 du 22 octobre 1955 modifié instituant la carte nationale d’identité ; Décret no 2005‑1726 du 30 décembre 2005 modifié relatif aux passeports. Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration à Monsieur le préfet de police ; Mesdames et Messieurs les préfets (métropole et outre-mer) et hauts-commissaires de la République ; Monsieur l’administrateur supérieur des îles Wallis-et-Futuna (pour attribution) ; Monsieur le directeur de la modernisation et de l’action territoriale ; Monsieur le directeur de l’Agence nationale des titres sécurisés (pour information). Le décret no 2011‑167 du 10 février 2011 instituant une procédure de vérification sécurisée des données à caractère personnel contenues dans les actes de l’état civil a été publié au Journal officiel de la République française le 12 février 2011. Ce décret met en place un mécanisme de vérification sécurisée des données à caractère personnel contenues dans les actes d’état civil. Il prévoit l’échange d’informations entre les officiers d’état civil dépositaires des actes et les administrations fondées à requérir ces données dans le cadre de l’instruction de leur dossier (art. 3 du décret). Ce nouveau dispositif peut être utilisé dans le cadre de nombreuses procédures administratives, et notamment pour la simplification de la délivrance et du renouvellement des cartes nationales d’identité (CNI) et des passeports (1). Il s’agit d’une contribution importante à la sécurisation de la délivrance des titres, et en particulier des CNI et des passeports, et à la lutte contre la fraude. La participation à ce mécanisme de vérification est facultative pour les communes. Il peut être dématérialisé ou non. Pour le cas où il ne l’est pas, les communes peuvent décider d’y adhérer et participer au dispositif par échange de lettre simple. En revanche, pour les actes de l’état civil des Français de l’étranger, le service central d’état civil, dépositaire des registres, sera uniquement sollicité par voie dématérialisée. Les modalités de cette communication dématérialisée entre le service demandeur et l’officier de l’état civil compétent feront l’objet d’une instruction et d’un arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice et des libertés. D’un point de vue technique, cette vérification se fera grâce à l’application COMEDEC, portée par l’Agence nationale des titres sécurisés (ANTS), auprès de laquelle vous pourrez obtenir la liste des communes adhérentes (2). Pour les cas où la commune qui détient les données d’état civil participe au dispositif, les agents de la commune de dépôt de la demande et ceux de la préfecture pourront désormais demander confirmation de l’exactitude des données d’état civil fournies par l’usager sur le formulaire de demande « CERFA » auprès de l’officier de l’état civil dépositaire de l’original de son acte d’état civil. Si l’application COMEDEC est opérationnelle dans les services intéressés, cette vérification pourra être dématérialisée. Lorsqu’une commune aura adhéré au dispositif, la vérification des données d’état civil se fera pour toutes les demandes de titres impliquant des actes d’état civil détenus par cette commune, dès lors cependant que la demande entre dans les cas de justification de l’état civil prévus par les décrets relatifs aux CNI et aux passeports. Par ailleurs, la mise en place de cette procédure dispense l’usager de produire son acte d’état civil. Il doit cependant être informé de cette vérification entre administrations. Vous demanderez en conséquence aux communes de veiller à cette information, selon les moyens que vous jugerez appropriés, et ce dès le dépôt de la demande de titre. En pratique, cela signifie que pour les demandes de carte nationale d’identité (CNI) ou de passeport qui nécessitent un acte d’état civil des personnes nées dans une commune adhérant au dispositif, la commune saisie de la demande de titre ou (1) Décret no 2010-506 du 18 mai 2010 ayant modifié le décret no 55-1397 du 22 octobre 1955 modifié instituant la carte nationale d’identité et le décret no 2005-1726 du 30 décembre 2005 modifié relatif aux passeports. (2) http://ants.mi/ AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 88/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR la préfecture devront saisir directement la commune de naissance pour vérification des données d’état civil déclarées par l’usager dans son formulaire de demande (CERFA). Aucun acte de l’état civil ne devra alors être demandé à l’usager qui aura été informé de la vérification. Cette demande de vérification ne pourra intervenir que pour les demandes de CNI ou de passeport qui requièrent un justificatif d’état civil (extrait d’acte de naissance de moins de trois mois comportant la filiation ou à défaut copie intégrale de l’acte de mariage) conformément à la simplification de la réglementation applicable à la délivrance et au renouvellement des CNI et aux passeports (1). Il s’agit notamment des cas de première demande de titre. En dehors de ces cas, vos services pourront néanmoins avoir recours à cette vérification dans les dossiers douteux, afin d’écarter une suspicion de fraude. L’officier de l’état civil qui vérifie la conformité des informations reçues avec celles contenues dans l’acte de l’état civil qu’il détient peut, le cas échéant, les compléter ou les rectifier dans les limites de la demande qui lui est adressée. Vous devez cependant être attentif au fait que d’éventuelles compléments ou rectifications ne viennent pas conforter une tentative de fraude. Si une rectification portant sur un tiret du nom ou du prénom peut être considérée comme matérielle et mineure, en revanche un complément portant par exemple sur la filiation du demandeur est potentiellement plus lourd de conséquences et doit appeler votre attention. Cette réforme s’applique aux demandes de CNI et de passeports déposées à compter de la date d’entrée en vigueur du décret du 10 février 2011, soit le 1er mars 2011. Les dossiers en cours d’instruction à cette date pour lesquels les actes de l’état civil auront déjà été demandés ou reçus ne pourront pas faire l’objet de cette procédure. Vous voudrez bien informer les communes intéressées par la délivrance des CNI et des passeports de ces dispositions nouvelles et les inciter à participer à ce mécanisme plus sûr. Je vous invite à me faire part des éventuelles difficultés que vous rencontreriez. Fait le 5 avril 2011. Le directeur des libertés publiques et des affaires juridiques, L. Touvet (1) Décrets du 30 décembre 2005 relatif aux passeports et du 22 octobre 1955 instituant la carte nationale d’identité. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 88/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Secrétariat général du comité interministériel de prévention de la délinquance _____ Circulaire du 6 avril 2011 relative aux orientations pour l’emploi des crédits du Fonds interministériel de prévention de la délinquance (FIPD) pour 2011 NOR : IOCK1103783C Annexes : Annexe I. – Note du directeur de cabinet du ministre de l’intérieur du 9 février 2010 sur la vidéoprotection. Annexe II. – Livret pratique à l’attention des préfectures pour la gestion des demandes de subvention relatives aux projets de vidéoprotection dans le cadre du FIPD 2011. Annexe III. – Liste des 13 bureaux d’aide aux victimes à financer en 2011. Le secrétaire général à Monsieur le préfet de police ; Mesdames et Messieurs les préfets de département ; Monsieur le directeur général de l’Acsé (pour information). Préambule En application de l’article 5 de la loi du 5 mars 2007 relative à la prévention de la délinquance, j’ai l’honneur de vous communiquer les orientations relatives à l’emploi des crédits affectés au Fonds interministériel de prévention de la délinquance pour l’année 2011, qui ont été mises au point avec le responsable de la mission de développement de la vidéoprotection. Elles s’inscrivent dans la continuité des actions menées en 2010, dans le cadre en particulier du Plan national de prévention de la délinquance et d’aide aux victimes du 2 octobre 2009, dont la mise en œuvre se poursuit en 2011. Le fonds comprend à nouveau deux volets distincts : le financement de la vidéoprotection et celui des autres actions de prévention, dont les conditions de mise en œuvre sont spécifiques. Ces deux volets sont traités successivement cidessous, après le rappel des principes généraux d’attribution et avant les précisions relatives aux modalités de bilan et d’évaluation. I. – LES MOYENS FINANCIERS DU FIPD EN 2011 Aux termes de la loi de finances pour 2011 et en application des décisions arrêtées par le Premier ministre, le FIPD est doté en 2011 de 51,034 M€ au total, provenant des sources de financement suivantes : 35 M€ prélevés sur le produit des amendes de police de la circulation et destinés aux seules collectivités territoriales ou à leurs regroupements ; 15 M€ de source budgétaire interministérielle qui peuvent être affectés à des projets portés par des collectivités territoriales ou des associations ; 1,034 M€ de reports de crédits non consommés en 2010. Par ailleurs 2 M€ de reports de crédits du Plan de relance vidéoprotection qui n’ont pu être engagés en 2010 viennent compléter ces engagements. Cette dotation sera répartie comme suit : 29,7 M€ dédiés au soutien de la vidéoprotection, auxquels s’ajoutent les 2 M€ du plan de relance ; 20,984 M€ dédiés au soutien d’autres actions de prévention de la délinquance (dont 5 M€ au minimum devront être affectés aux collectivités territoriales, cf. infra page 4) ; 0,35 M€ consacrés aux frais de gestion de l’Acsé. Les deux enveloppes consacrées à la vidéoprotection et au soutien des autres actions de prévention de la délinquance sont clairement distinctes dans leur objet et non fongibles. Elles devront être engagées séparément suivant les processus décrits ci-dessous. II. – LES PRINCIPES GÉNÉRAUX D’ATTRIBUTION L’expérience acquise au fil des exercices successifs de financement des projets dans le cadre du FIPD permet de dégager des principes généraux s’appliquant aussi bien aux domaines de la vidéoprotection qu’aux autres opérations. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 89/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR L’élaboration des projets et leur éligibilité doivent s’inscrire dans le cadre suivant : 1. l’existence de problèmes de délinquance importants, avérés ou potentiels, et/ou le développement de formes spécifiques de délinquance sur le territoire couvert par l’action projetée. Une attention particulière sera portée aux projets présentés dans les quartiers prioritaires de la politique de la Ville ; 2. la cohérence des actions : toute action proposée au financement du FIPD doit être compatible avec : – le plan national de prévention de la délinquance et d’aide aux victimes et s’inscrire dans ses quatre axes et ses cinquante mesures prioritaires ; – le plan départemental de prévention de la délinquance qui a dû être mis en conformité avec le plan national ; – la stratégie territoriale de prévention de la délinquance adoptée au niveau d’une ou plusieurs communes, ou le cas échant le contrat local de sécurité (CLS) ou le plan d’action d’un conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance (CLPSPD ou CISPD), pour une bonne coordination des acteurs et des actions entreprises ; 3. la priorité aux projets des collectivités territoriales : le Parlement exige en effet que les crédits provenant des amendes de police de la circulation, pour ceux qui alimentent le FIPD, soient prioritairement destinés au financement des projets des collectivités territoriales ; 4. l’exclusion du champ du FIPD de la prise en charge de toute dépense de fonctionnement courant des services de l’État. III. – LE FINANCEMENT DE LA VIDÉOPROTECTION Je vous rappelle l’importance que le Gouvernement attache au développement de la vidéoprotection, dont l’efficacité est avérée comme moyen de prévention de certains types de délinquance, ainsi que comme moyen d’élucidation de certains crimes et délits et d’appui aux interventions des forces de sécurité. En 2010, 738 projets dont 9 sur crédits du plan de relance ont réellement fait l’objet d’un engagement de crédits. Les crédits qui, pour des raisons de calendrier, n’ont pu être engagés feront l’objet d’un report en 2011. Afin d’atteindre les objectifs de développement arrêtés par le Gouvernement, je vous demande d’être particulièrement mobilisés, avec le concours actif des sous-préfets, des chefs de services de police et d’unités de gendarmerie, pour la poursuite de cette action en 2011. Vous multiplierez les actions de sensibilisation des maîtres d’ouvrage potentiels au premier rang desquels les communes, et notamment celles qui vous paraissent particulièrement concernées et qui ne se sont pas encore engagées dans de tels programmes d’équipement. Vous leur apporterez votre appui et celui des experts de ces services, en particulier des référents sûreté, pour la mise au point de leurs projets. A. – Modalités d’attribution L’attribution des crédits de subvention restera individualisée par projet et centralisée, conformément aux principes fixés par la note du directeur de cabinet du ministre de l’intérieur en date du 9 février 2010 (Annexe I). Sur la base des choix opérés par le ministère de l’intérieur (mission de développement de la vidéoprotection), l’Acsé est chargée de procéder aux délégations de crédits afférents aux préfets de département concernés. Le délai de réalisation des actions qui feront l’objet d’une décision de subvention et d’une convention de financement en 2011 pourra intervenir sur une durée maximale de deux années, selon les modalités d’exécution financière adaptées et simplifiées qui vous ont été précisées par l’Acsé le 24 mars 2011. B. – Projets éligibles Les projets sont éligibles en fonction du porteur et de la nature de l’équipement. 1. Les porteurs de projets concernés En 2011 pourront être financés les projets portés par : – les collectivités territoriales, les établissements publics de coopération intercommunale, et le cas échéant les associations de collectivités territoriales constituées à cet effet ; – les établissements publics locaux d’enseignement (EPLE) pour lesquels un diagnostic de sécurité préconise l’équipement en vidéoprotection ; – les bailleurs sociaux (organismes HLM publics, privés ou SEM) ou les syndics de copropriété pour les sites que vous considérez comme particulièrement sensibles ; vous tiendrez compte également de la situation financière des porteurs du projet, et du taux de vacance des logements. Pourront être financés, à titre exceptionnel et dans la limite des crédits disponibles, les projets portés par : – les personnes morales gestionnaires d’espaces commerciaux ouverts au public ou de lieux ouverts au public et très fréquentés, en cas d’exposition particulière et marquée aux risques, pour les caméras extérieures protégeant les accès de ces sites ; AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 89/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR – les entreprises de transport en commun exerçant en délégation de service public, pour les projets constituant des expérimentations particulièrement innovantes sur le plan technique ou fonctionnel pour leurs réseaux « lourds » (métros, trams et trains). 2. Les investissements éligibles Vous veillerez à ce que les implantations envisagées par les maîtres d’ouvrage s’intègrent dans un ensemble d’actions visant à améliorer la tranquillité publique, et répondent à des objectifs clairement identifiables, par référence aux usages permis par la loi (en particulier la protection des lieux exposés à des risques d’agression, de vol ou de trafic de stupéfiants), validés par les responsables locaux de la sécurité publique (police ou gendarmerie) au cours de l’instruction. Sous ces réserves, les opérations suivantes sont éligibles au fonds : – les études préalables (dans la limite d’un plafond de subvention, sauf s’agissant des études nationales) ; – les projets d’installation de caméras sur la voie publique (création ou extension) ; – les projets de création ou d’extension de centres de supervision urbains (CSU) ; – les raccordements des CSU aux services de police ou de gendarmerie territorialement compétents à un taux dérogatoire ; – l’achèvement du déploiement de la vidéoprotection concernant les 75 sites municipaux types définis en 2009 et les établissements scolaires particulièrement exposés. Sont également éligibles dans la limite des crédits disponibles : – les projets concernant les infrastructures (lieux ouverts au public) utilisées par les réseaux de transports en commun urbains et dont les collectivités locales sont propriétaires (NB : les caméras installées dans les véhicules, même leur appartenant, n’ont pas vocation à être financées) ; – les projets visant à permettre, en secteur rural ou périurbain, la surveillance des axes de circulation de la délinquance itinérante ; – les projets relatifs à la sécurisation des parties communes des immeubles collectifs ; – les projets visant à sécuriser certains équipements à la charge des collectivités locales ouverts au public, à condition que le projet prévoie également la sécurisation des abords de ces lieux (cimetières, centres culturels ou sportifs, terrains de sport municipaux, parkings souterrains ou extérieurs non concédés, déchetteries) ; – les projets relatifs à des sites appartenant à un exploitant privé auquel une collectivité a confié la gestion d’un service public, pour des caméras situées à l’extérieur du site considéré ; – la participation aux formations initiales des opérateurs de CSU selon des modalités particulières (cf. infra : Taux de subvention). C. – Taux de subvention Le taux de subventionnement applicable aux opérations énumérées ci-dessus varie entre 20 et 50 % du coût total HT de l’opération d’équipement. Au sein de cette fourchette, le taux qui pourra être retenu est susceptible de varier en fonction de plusieurs critères : – l’intérêt du projet ; – le coût global de l’opération, le degré de maîtrise des coûts par l’opérateur et le niveau de sa contribution financière, le caractère économe des projets (choix de caméras raisonnables sur la base du meilleur rapport qualité/prix, modes de transmission particulièrement étudiés...) ; – la situation financière de l’opérateur. Tout projet concernant le remplacement de caméras fera l’objet d’un examen portant sur les choix initiaux et l’ancienneté du dispositif. Le montant du financement sera apprécié en fonction de ces éléments. Sauf exception motivée par l’analyse des critères qui précèdent, le taux habituel appliqué aux projets des communes ou de leurs groupements sera de 40 %. Ce taux pourra être modulé afin de tenir compte du caractère innovant du projet. En tout état de cause et à titre tout à fait dérogatoire, un taux de subvention supérieur à 50 % pourra exceptionnellement être accordé, sur décision du cabinet du ministre, au cas par cas, sur présentation à la mission de développement de la vidéoprotection de justifications très précises. Quelques spécifications sont à respecter : 1. Le subventionnement des études préalables à l’installation de caméras de vidéoprotection est plafonné à 15 000 € dans la limite maximale de 50 % du coût HT. 2. Les raccordements des CSU aux services de police ou de gendarmerie territorialement compétents au taux de 100 % pour les dépenses inhérentes au raccordement de la ligne, la première année ; les dépenses annexes au raccordement (aménagement du local, mobilier) seront financées selon un taux modulable en fonction des choix opérés (les aménagements d’un coût raisonnable seront financés à 100 %). AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 89/95 – Page 3 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 3. Les formations initiales des opérateurs de CSU sont finançables au taux de 50 % pour un montant maximum de 1 000 € par agent. D. – Rappel de procédure Vous devrez veiller, dès le mois suivant la mise à votre disposition des délégations de crédits qui vous seront notifiées pour le financement des opérations retenues, au suivi des engagements de subventions. Vous tiendrez informée de toute difficulté rencontrée la mission de développement de la vidéoprotection, qui est à votre disposition pour toute précision ou appui. Un livret pratique destiné à aider vos services à procéder à la pré-instruction des dossiers est joint en annexe (cf. annexe II) de la présente circulaire. Par ailleurs, l’Acsé vous a communiqué des instructions spécifiques relatives aux modalités d’engagement et de mandatement des crédits concernés. * * * Vous pouvez engager dès maintenant les consultations et appels à projets, procéder à l’examen des dossiers reçus, les sélectionner dans le respect des critères d’éligibilité et des orientations données par la présente circulaire. Il vous appartient comme l’an passé de transmettre à la mission de développement de la vidéoprotection, au fur et à mesure, après instruction complète par vos soins, les projets qui vous sont adressés et qui correspondent aux actions éligibles, en formulant votre avis circonstancié sur chacun des projets en fonction de leur caractère plus ou moins prioritaire au plan départemental et de la pertinence des réponses qu’ils constituent au regard des problématiques de sécurité identifiées. IV. – LE FINANCEMENT DES AUTRES ACTIONS DE PRÉVENTION A. – Répartition des crédits, réserve nationale, modalités d’attribution Une réserve nationale de 3 M€ environ est constituée afin d’assurer à la fois : – le financement des projets de niveau national ; – le financement (hors dotations départementales) des 13 bureaux d’aide aux victimes auprès des TGI mentionnés dans l’annexe III ; en accord avec le ministère de la justice, 2011 sera la dernière année de financement par le fonds ; – le financement d’actions innovantes de prévention de la délinquance, notamment dans les quartiers sensibles, suivant des instructions complémentaires qui nous seront adressées dans quelques semaines. La dotation globale qui vous est attribuée vous est communiquée par fiche spécifique. Vous en avez la libre disposition sous réserve du respect des dispositions de la présente circulaire. Il vous appartient toutefois de réserver sur cette enveloppe un pourcentage minimal de 25 % aux projets présentés par les collectivités territoriales, pour respecter les règles fixées par le législateur (cf. supra page 1). Les crédits vous seront délégués par l’Acsé dans les conditions habituelles, dès que possible. Une répartition globale et unique entre les départements est faite à hauteur de 17 M€ environ sur la base de la part de chaque département dans la délinquance globale (atteintes volontaires à l’intégrité physique [AVIP] + atteintes aux biens), corrigée dans quelques cas ponctuels par référence aux engagements effectifs des années antérieures. Elle a vocation à couvrir tous vos besoins, sauf situation exceptionnelle dont vous seriez amenés à me saisir. B. – Actions éligibles La programmation 2011 s’inscrit dans la continuité de la mise en œuvre du Plan national 2010‑2012, dont les priorités – auxquelles je vous recommande de vous référer – demeurent. Dans ce cadre, une attention particulière sera portée aux projets visant à prévenir la délinquance des mineurs et à ceux concernant les violences intrafamiliales et faites aux femmes. Les actions que vous retiendrez dans votre programme devront donc s’inscrire dans le cadre défini l’an passé en termes d’éligibilité et d’objectifs poursuivis. Il est rappelé que les Etablissements publics locaux d’enseignement (EPLE) notamment, peuvent en être les porteurs. Les modifications ponctuelles suivantes doivent être prises en compte : – intervenants sociaux dans les commissariats de police et unités de gendarmerie : l’ensemble de ces postes ou actions devront être pris en charge dans les conditions habituelles par le seul FIPD, et ne sont plus éligibles aux crédits du BOP 147 (Ville). Il reste nécessaire par ailleurs de sensibiliser les conseils généraux à l’intérêt de la présence de ces professionnels dans les services de police et de gendarmerie, pour mobiliser leurs cofinancements ; – harcèlement à l’école : il s’agit, dans le cadre de la priorité affichée par le ministère de l’Éducation nationale, de soutenir les projets locaux, notamment des établissements scolaires (EPLE) qui contribuent à lutter contre ces phénomènes. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 89/95 – Page 4 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR La mise en œuvre des dispositions de la loi du 5 mars 2007 doit être encouragée sans relâche. Aussi vous veillerez à donner priorité dans la programmation aux actions proposées par des collectivités qui ont fait le choix de s’engager dans une démarche dynamique à cet égard. Devront être particulièrement pris en considération les choix des municipalités de mettre en place et de faire fonctionner un « conseil des droits et devoirs des familles » ou une structure permettant de répondre aux mêmes objectifs (par exemple un groupe restreint du CLSPD, sur le modèle des « cellules de citoyenneté et de tranquillité publiques » expérimentées dans les Bouches-du-Rhône et les départements voisins), ou bien de recourir à d’autres approches individualisées comme les « rappels à l’ordre », ainsi qu’à la mise en place d’alternatives aux poursuites ou à l’incarcération (mesures de réparation, accueil de TIG, etc.). D’une façon plus générale les affectations du fonds devront manifester que l’État entend accompagner ceux qui assument effectivement les responsabilités que la loi leur a conférées et qui utilisent effectivement la « boîte à outils » qui a été mise à la disposition des élus. Vous apporterez toutes précisions à ce sujet dans les bilans que vous établirez. Vous demanderez aux communes à qui vous décidez d’attribuer une subvention du FIPD pour des actions qu’elles mettent en œuvre, mais qui ne respectent pas les obligations fixées par la loi (création des CLSPD et CDDF au-delà de certains seuils de population) de se mettre en conformité avec elle dans un délai fixé d’un commun accord. Il convient en outre de veiller à ce que les financements intervenant dans le cadre du FIPD soient étroitement coordonnés avec les autres financements attribués à d’autres titres et ne s’y cumulent pas (BOP 147 et volet « prévention de la délinquance » des CUCS, MILDT, PDASR). C. – Taux de subvention Le taux de subventionnement applicable peut varier entre 20 % et 50 % du coût total HT de chaque projet. Au sein de cette fourchette, le taux que vous retiendrez sera fonction des critères suivants : – l’intérêt du projet et son adéquation aux caractéristiques de la délinquance locale ; – le coût global, le degré de maîtrise des coûts par l’opérateur, le niveau de sa contribution financière et la présence d’autres financements ; – la situation financière de l’opérateur. Le financement des études, des actions de formation et de communication, des recours à des prestataires de services externes (aide à la confection des stratégies territoriales notamment) est forfaitairement plafonné à 15 000 € par action dans la limite de 50 % du coût total hors taxe. Ce plafond ne s’applique pas aux actions nationales conduites dans le cadre de partenariats répondant aux objectifs du Plan national de prévention de la délinquance et d’aide aux victimes (enquêtes de victimation réalisées par l’INHESJ...). À titre tout à fait exceptionnel une dérogation au taux plafond de 50 % pourra être accordée par mes soins, au cas par cas, sur présentation de justifications très précises. D. – Procédure d’instruction – concertation Sauf circonstances exceptionnelles, pour être éligibles au FIPD les projets devront avoir été préalablement débattus en CLSPD (CISPD) de la ou des communes concernées. Les services de l’État compétents seront étroitement associés à l’instruction des dossiers, et vous recueillerez expressément l’avis du procureur de la République sur la programmation. Il est nécessaire de favoriser une meilleure implication des conseils généraux, dont les services notamment sociaux sont en lien avec les publics et les acteurs de la prévention de la délinquance. Vous leur proposerez donc une concertation sur les actions susceptibles d’être financées pour promouvoir les partenariats locaux et garantir une approche globale et intégrée. La procédure financière applicable aux actions du FIPD, hors vidéoprotection, vous a été précisée par l’Acsé dans le « Guide de l’ordonnateur secondaire – version 2011 » qui vous a été récemment diffusé. V. – BILAN ET ÉVALUATION DES ACTIONS MENÉES Le plan national a fait de l’évaluation une nouvelle exigence qui doit être progressivement généralisée. Une mission permanente d’évaluation a été créée. Elle comprend des représentants des corps d’inspection des ministères concernés. Elle mène actuellement des travaux de mise au point d’un « guide de l’évaluation » à destination notamment des maires, qui sera disponible au début du second semestre 2011 et vous sera communiqué en vue d’une mise à disposition des élus locaux. Une version utilisable par les représentants de l’État pour des évaluations à leur niveau, en sera tirée dans un second temps. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 89/95 – Page 5 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR La mission permanente développe également un programme d’évaluations thématiques pour le compte du Gouvernement, qui portera notamment en 2011 sur les thèmes suivants : – l’absentéisme et le décrochage scolaire ; – le soutien à la parentalité ; – l’intercommunalité et la prévention de la délinquance ; – le rappel à l’ordre, le rappel à la loi, les relations parquet-maire ; – la contribution de la police et de la gendarmerie à la prévention ; – le rôle des bailleurs sociaux. S’agissant des actions financées par le FIPD, les instructions de 2010 concernant l’évaluation sont reconduites. Vous veillerez de plus à ce que chaque projet financé comprenne effectivement un dispositif, même simplifié, d’évaluation. Pour les actions autres que la vidéoprotection vous ferez procéder, dans les conditions définies l’an passé, aux visites et rapports prévus. Pour la vidéoprotection, les opérations financées donneront lieu sélectivement à un contrôle sur place réalisé par vos soins et portant sur la réalisation du projet et sur la conformité de ce dernier aux engagements pris. Le suivi de l’utilisation du fonds doit être amélioré. Je vous demande donc de veiller à l’envoi ponctuel des comptesrendus prévus ci-dessous. Vous me transmettrez, ainsi qu’à l’Acsé, dès qu’il sera arrêté et au plus tard le 31 mai 2011, le programme que vous aurez retenu, en précisant la part des subventions destinées aux collectivités territoriales. Vous m’adresserez fin 2011, ainsi qu’à l’Acsé, un bilan de l’évaluation des actions financées. La partie du bilan consacrée à la vidéoprotection sera également adressée à la mission vidéoprotection. Toute modification importante de votre programmation en cours d’année devra m’être communiquée, ainsi qu’à l’Acsé. Le cas échéant, vous assortirez votre programme des précisions et remarques quant aux évolutions de fond qui le caractérisent et aux éventuelles difficultés que vous auriez rencontrées dans la répartition de votre dotation. S’agissant du suivi de l’engagement des actions, vous me transmettrez, au terme de chaque trimestre, au regard des actions programmées, celles qui ont d’ores et déjà fait l’objet d’un engagement et/ou d’un mandatement en les totalisant. * * * Je vous invite à engager sans délai la mise en œuvre de ces dispositions. Je vous rappelle que des instructions complémentaires vous seront transmises dans quelques semaines qui donneront lieu à des délégations supplémentaires ciblées. Je suis à votre disposition, avec l’équipe du secrétariat général du CIPD et avec celle de la mission vidéoprotection, pour toute demande de précision ou d’appui, y compris sur place, qui vous paraîtrait utile. Fait le 6 avril 2011. L’inspecteur général de l’administration, D. Chabrol AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 89/95 – Page 6 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’intérieur A nne x e I Note du directeur de cabinet du ministre de l’intérieur du 9 février 2010 sur la vidéoprotection avril 2011. – intérieur 2011/4 – Texte 89/95 – Page BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 89/95 – Page 8 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE II Livret pratique à l’attention des préfectures pour la gestion des demandes de subvention relatives aux projets de vidéoprotection dans le cadre du FIPD 2011 (22 mars 2011) Depuis la note du directeur de cabinet du ministre de l’intérieur en date du 9 février 2010, les demandes de subvention au titre du FIPD pour l’installation de systèmes de vidéoprotection doivent être adressées à la mission de développement de la vidéoprotection qui a pour mission d’en approuver l’éligibilité et de fixer le montant du financement à déléguer, après réception du dossier instruit par les services préfectoraux et transmis avec l’avis du préfet. Ce dispositif est reconduit en 2011. Le présent document a pour objet de préciser les éléments nécessaires à la constitution des dossiers afin qu’ils puissent être instruits rapidement dans le respect de la circulaire relative aux orientations pour l’emploi de l’enveloppe FIPD 2011 pour sa part dédiée à la vidéoprotection, et permettre de répondre, si nécessaire, à tout contrôle ultérieur. 1. La constitution des dossiers de demande de subvention La mission pour le développement de la vidéoprotection recommande un pilotage et un suivi des dossiers au niveau du cabinet du préfet. Cet échelon, qui est aussi l’interlocuteur naturel des membres de la mission vidéoprotection, doit veiller à respecter le circuit des procédures décrites au point D de la circulaire d’orientations pour l’emploi du Fonds interministériel de prévention de la délinquance 2011 et à n’adresser que des projets comprenant les éléments décrits ci après. Tout projet devra être adressé à la mission de développement de la vidéoprotection avec la fiche de présentation (modèle en annexe) complétée. S’y ajouteront : a) Les éléments concourant à démontrer l’engagement du porteur du projet a-1) délibération du conseil compétent (municipal, communautaire, général, régional ou d’administration) ; a-2) la demande officielle de subvention du maître d’ouvrage ; a-3) la copie de la demande d’autorisation pour les projets relevant de la loi 95‑73. Il sera précisé si les obligations de mise en place d’un CLSPD, d’un conseil pour les droits et devoirs des familles ou d’une cellule de citoyenneté ont bien été remplies ou sont en passe de l’être. b) Les éléments permettant d’appréhender la pertinence du projet et de déterminer la nature de l’aide à apporter b-1) toute étude ayant conduit le porteur du projet à finaliser celui-ci ; b-2) la nature du projet et les raisons justifiant l’installation d’un dispositif de vidéoprotection : – s’il s’agit d’une création ou d’une extension (et dans ce dernier cas, préciser l’existant) ; – le nombre de caméras ; – leur positionnement ; – leurs finalités ; b-3) une évaluation financière poste par poste : – coût des caméras, logiciels, coûts de connexion, main-d’œuvre, coûts détaillés de génie civil ou de transmission par d’autres modes (ADSL, Hertzien) ; – en cas de création de CSU, coût du mobilier, coût des aménagements, descriptif des actions de formation prévues et leur coût détaillé ; – en cas de déport, coût du raccordement ; b-4) toute information relative au financement du projet : – plan de financement de l’action ; – capacité financière du maître d’ouvrage ; – éventuellement, autres subventions sollicitées. L’ensemble de ces éléments sera complété par : – l’avis obligatoire du référent sûreté ; – l’avis du préfet sur l’intérêt du projet et éventuellement son aspect prioritaire. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 89/95 – Page 9 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR 2. Les procédures à respecter a) L’Acsé Vous devrez suivre la procédure financière de cette agence, nécessaire à la mise en place des délégations de crédits et à leur suivi. Ces dispositions, simplifiées pour 2011, vous ont été précisées dans la note qui vous a été adressée le 24 mars 2011 par le directeur général de l’Acsé. Les services de la préfecture ou, le cas échéant, de la direction départementale de la cohésion sociale, veilleront au respect de l’instruction sur le logiciel GIS mis à leur disposition par l’Acsé, et aux étapes prévues conformément aux formalités de procédure financière de cette agence. b) L’instruction par la mission de développement de la vidéoprotection Dès leur instruction terminée au niveau de la préfecture, les projets seront transmis à la mission de développement de la vidéoprotection par courrier sous forme papier à l’attention de M. le préfet, responsable de la mission pour le développement de la vidéoprotection – Ministère de l’intérieur – 14, rue de Miromesnil, 75008 PARIS. Parallèlement, afin d’éviter tout risque de perte, vous adresserez un message électronique à Mme Élisabeth SELLOSCARTEL ([email protected]) avec copie au secrétariat de la mission (sec-video-protection@interieur. gouv.fr) annonçant ces envois (nom du projet, son montant, son éventuelle priorité). Dès réception, un accusé de réception de chaque projet sera envoyé à la préfecture. L’instruction sera ensuite menée par la mission qui pourra être conduite, en fonction des dossiers, à demander des compléments d’information ou des précisions. Ces échanges pourront se faire par messagerie. L’ensemble des décisions prises fera l’objet, tous les deux mois au plus, d’une instruction à l’Acsé donnant à cette agence les montants des subventions approuvées par le comité à déléguer aux préfectures. Ces subventions, décidées pour chaque projet, seront notifiées et détaillées par courrier. J’appelle votre attention sur le fait que, pour les subventions supérieures à 40 000 €, le montant de la subvention est indicatif puisque calculé sur une estimation financière a priori. Le taux appliqué à l’opération est, quant à lui, fixe. Si le coût des travaux est inférieur à ce qui était prévu, le montant de la subvention à verser sera calculé en appliquant le taux à cette nouvelle base et le reliquat de crédit devra être reversé à l’Acsé ou affecté à une autre opération après validation de la mission. S’il devait y avoir augmentation du coût par rapport à la prévision initiale (renchérissement des travaux, nouveaux choix techniques...) la mission devrait être à nouveau saisie pour, éventuellement, envisager un abondement. 3. Les documents utiles Annexe ci-jointe : la fiche synthèse à retourner à la mission de développement de la vidéoprotection, complétée, accompagnée des éléments du dossier décrits en 1a et 1b. La mission de développement de la vidéoprotection se tient à la disposition du directeur de cabinet et de ses collaborateurs pour répondre à toute question ou difficulté (Mme Élisabeth SELLOS-CARTEL : 01 40 07 66 96, ou, à défaut, secrétariat : 01 49 27 32 54 ou 01 49 27 39 45). AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 89/95 – Page 10 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ANNEXE III Liste des 13 bureaux d’aide aux victimes à financer en 2011 Liste limitative des 13 bureaux d’aide aux victimes auprès des tribunaux de grande instance financés en 2011 sur dotation exceptionnelle LIEU D’IMPLANTATION DES BAV DÉPARTEMENT TGI de Bourg-en-Bresse 01. – Ain TGI de Marseille 13. – Bouches-du-Rhône TGI de Quimper 29. – Finistère TGI de Nîmes 30. – Gard TGI de Châteauroux 36. – Indre TGI de Cambrai 59. – Nord TGI de Lille 59. – Nord TGI de Senlis 60. – Oise TGI de Pau 64. – Pyrénées-Atlantiques TGI de Mulhouse 68. – Haut-Rhin TGI de Lyon 69. – Rhône TGI de Bonneville 74. – Haute-Savoie TGI des Sables-d’Olonne 85. – Vendée BAV : Bureau d’aide aux victimes. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 89/95 – Page 11 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ MINISTÈRE CHARGÉ DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES _____ Direction générale des collectivités locales _____ Département des études et des statistiques locales _____ Circulaire du 8 avril 2011 relative aux statistiques sur la fiscalité directe locale en 2011 NOR : COTB1109208C Le ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, chargé des collectivités territoriales à Mesdames et Messieurs les préfets de région et de département. La direction générale des collectivités locales effectue chaque année une collecte sur la fiscalité directe locale afin de disposer, dès la fin du premier semestre, d’informations sur l’évolution annuelle des taux et des produits votés. Une telle information alimente le rapport annuel de l’observatoire des finances locales présenté fin juin au comité des finances locales. Dans le cadre de cette collecte, je vous serais obligé de bien vouloir me transmettre les photocopies des états 1253 de votre département dûment remplis dès qu’ils seront disponibles. Ces états comprennent deux documents : – l’état de notification des taux d’imposition des taxes directes locales pour 2011 ; – l’annexe D où figurent les données 2010 nécessaires au calcul de la dotation de compensation de la réforme de la taxe professionnelle et de la garantie individuelle de ressources. Ces états devant faire l’objet d’une saisie informatique, il est important de veiller à ce que ces documents soient parfaitement lisibles. Il convient d’éviter, si possible, les transmissions par télécopie ; ces documents, s’ils sont correctement scannés ou dématérialisés, peuvent nous être envoyés par messagerie : [email protected]. Je vous remercie de faire parvenir ces états au plus tard le mardi 10 mai prochain sous le timbre suivant : Mme MarieChristine FLOURY, direction générale des collectivités locales, département des études et des statistiques locales, 2, place des Saussaies, 75008 Paris. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général des collectivités locales, É. Jalon AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 90/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ MINISTÈRE CHARGÉ DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES _____ Direction générale des collectivités locales _____ Département des études et des statistiques locales _____ Circulaire du 8 avril 2011 relative aux statistiques sur la fiscalité directe locale en 2011 NOR : COTB1109213C Le ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration chargé des collectivités territoriales à Mesdames et Messieurs les préfets de département et de région. La direction générale des collectivités locales effectue chaque année une collecte sur la fiscalité directe locale afin de disposer, dès la fin du premier semestre, d’informations sur l’évolution annuelle des taux et des produits votés. Une telle information alimente le rapport annuel de l’observatoire des finances locales présenté fin juin présenté fin juin au comité des finances locales. Dans le cadre de cette collecte, je vous serais obligé de bien vouloir me transmettre les photocopies des états 1259 de votre département qui concernent d’une part les communes de plus de 50 000 habitants et d’autre part des groupements de communes à fiscalité propre suivants : communautés urbaines, communautés d’agglomération, SAN et communautés de communes interdépartementales. Ces états comprennent deux documents sur 3 pages : – l’état de notification des taux d’imposition des taxes directes locales pour 2011 sur 2 pages ; – l’annexe C (communes) ou l’annexe E (groupements) où figurent les données 2010 nécessaires au calcul de la dotation de compensation de la réforme de la taxe professionnelle et de la garantie individuelle de ressources. Afin de respecter les délais de parution des résultats, je vous demande de ne pas attendre que les états de toutes les communes et de tous les groupements concernés par la présente demande vous soient parvenus pour me les transmettre. Ces états devant faire l’objet d’une saisie informatique, il est important de veiller à ce que ces documents soient parfaitement lisibles. Il convient d’éviter, si possible, les transmissions par télécopie ; ces documents, s’ils sont correctement scannés ou dématérialisés, peuvent nous être envoyés par messagerie : [email protected] Je vous remercie de faire parvenir ces états au plus tard le mardi 10 mai prochain sous le timbre suivant : Mme MarieChristine FLOURY, direction générale des collectivités locales, département des études et des statistiques locales, 2, place des Saussaies, 75008 Paris. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général des collectivités locales, É. Jalon AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 91/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Circulaire du 21 avril 2011 relative à la désignation d’un correspondant « laïcité » dans chaque préfecture et installation d’une conférence départementale de la liberté religieuse NOR : IOCK1103788C Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration à Mesdames et Messieurs les préfets (pour action) ; Monsieur le préfet, secrétaire général ; Monsieur le directeur des libertés publiques et des affaires juridiques (pour information). À l’issue du débat sur la laïcité, j’ai présenté, le 15 avril, au nom du Gouvernement, une série de mesures pour rappeler l’importance du principe de laïcité et les conditions de son application. Je vous ai, d’ailleurs, transmis le texte de mon intervention devant les représentants de la conférence des cultes de France. Je vous demande de désigner un membre du corps préfectoral comme correspondant local « laïcité ». Il sera le référent des élus et des chefs de service de l’État sur l’ensemble des questions liées à l’application du principe de laïcité et notamment de la mise en œuvre du principe de neutralité du service public à l’égard des opinions religieuses. Ce correspondant sera aussi l’interlocuteur des cultes présents dans votre département. Vous veillerez donc à en valoriser l’existence auprès de vos interlocuteurs. Dans sa mission, il pourra utilement s’appuyer sur l’expertise du bureau central des cultes de la direction des libertés publiques et des affaires juridiques. Il pourra, également, utiliser le code de la laïcité et de la liberté religieuse qui devrait répondre, dans les prochaines semaines, à l’essentiel des questions juridiques et pratiques qui se posent quotidiennement en matière de laïcité. D’ores et déjà, le site intranet de la DLPAJ (thématique cultes) constitue une ressource documentaire pertinente, susceptible de l’aider dans sa mission. Enfin, un module de formation spécifique, en cours de préparation, sera proposé dans le cadre de la formation continue des sous-préfets. Il aura également la mission d’animer la conférence départementale de la liberté religieuse que je vous demande d’installer à l’automne puis de réunir, en fonction des enjeux locaux, à un rythme régulier. Même dans un régime de séparation, il y a, et il doit y avoir dialogue entre les cultes et l’État. C’est le sens de cette conférence départementale qui rassemblera des élus locaux (association des maires, président du conseil général...), les responsables des services publics (inspecteur d’académie, organismes sociaux, centres hospitaliers, centres pénitentiaires...), ainsi que les représentants des cultes présents dans votre département. Le format précis de cette conférence départementale est laissé à votre appréciation locale. J’attache beaucoup d’importance à la qualité des échanges qui devra caractériser cette conférence départementale. Elle constitue en effet le cadre approprié, sans formalisme juridique, pour évoquer notamment les questions relatives à la création, l’entretien et l’utilisation des lieux de culte, celles des aumôneries dans les services publics, et tout sujet d’intérêt local. C’est d’abord au plus près des réalités du terrain que les questions en matière de laïcité se posent, que ce soit à l’école, dans le fonctionnement des services publics locaux, ou encore pour l’utilisation d’espaces publics. Là où les besoins existent, la conférence départementale permettra notamment de poursuivre le travail de sensibilisation auprès des élus locaux pour faciliter la création de carrés confessionnels. Les maires ont déjà été incités, par plusieurs circulaires du ministère de l’intérieur, à créer des regroupements des sépultures des personnes de même confession. Les efforts doivent se poursuivre. Je vous remercie de veiller personnellement à la mise en œuvre de ces instructions et de m’en rendre compte sous le timbre de la direction des libertés publiques et des affaires juridiques – sous-direction des libertés publiques – bureau central des cultes. Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Claude Guéant AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 92/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Circulaire du 21 avril 2011 relative au pilotage des politiques locales de sécurité intérieure NOR : IOCK1103790C Référence : circulaire interministérielle du 7 septembre 2009 relative aux états-majors de sécurité. Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration à Mesdames et Messieurs les préfets et Monsieur le préfet de police. Lors de la réunion organisée le 28 mai 2009, avec les principaux acteurs de la sécurité, de la chaîne pénale et de l’éducation nationale, le Président de la République a souhaité que « se constitue dans chaque département un état-major de sécurité regroupant les principales autorités concernées, qui se réunira chaque mois pour définir la politique publique en matière de sécurité ». Placées conjointement sous votre autorité et celle du procureur de la République, ces instances, adossées aux comités départementaux de sécurité, font intervenir l’ensemble des acteurs de la chaîne de sécurité : responsables de la police et de la gendarmerie nationales, inspecteur d’académie, directeur départemental des finances publiques et directeur des douanes. Elles peuvent associer ponctuellement d’autres acteurs de la sécurité en fonction des thèmes abordés (bailleurs sociaux, transporteurs publics...). Les états-majors de sécurité ont apporté la preuve de leur efficacité pour établir des coopérations opérationnelles permanentes entre les services de l’État et favoriser un pilotage fin des priorités opérationnelles dans les différents champs de la sécurité intérieure (sécurité publique, sécurité routière, prévention de la délinquance). Je vous rappelle donc l’importance de réunir, avec le procureur de la République, l’état-major de sécurité tous les mois. Vous êtes chargés, par la loi, de l’animation et de la coordination de l’ensemble du dispositif de sécurité intérieure ; il vous appartient donc de conforter les capacités de pilotage des politiques locales de sécurité et d’impliquer les acteurs concernés, en vous référant notamment aux orientations de la DNO 2010‑2015 des préfectures. Dans le cadre des remontées semestrielles du tableau de bord de la DNO au secrétaire général du ministère de l’intérieur, vous veillerez ainsi à mentionner le nombre de réunions de l’état-major de sécurité. Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Claude Guéant AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 93/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Délégation à la sécurité et à la circulation routières _____ Arrêté du 28 avril 2011 portant désignation des candidats admis à l’examen du brevet d’aptitude à la formation des moniteurs d’enseignement de la conduite des véhicules terrestres à moteur de la session 2010 NOR : IOCS1111040A Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, Vu le code de la route ; Vu l’arrêté du 23 août 1971 modifié relatif au brevet d’aptitude à la formation des moniteurs d’enseignement de la conduite des véhicules terrestres à moteur ; Vu l’arrêté du 17 mai 2010 fixant les dates de l’examen du brevet d’aptitude à la formation des moniteurs d’enseignement de la conduite des véhicules terrestres à moteur de la session 2010 ; Vu l’arrêté du 26 octobre 2010 portant désignation des membres du jury de l’examen du brevet d’aptitude à la formation des moniteurs d’enseignement de la conduite des véhicules terrestres à moteur de la session 2010, Arrête : Article 1er Sont déclarés admis à l’examen du brevet d’aptitude à la formation des moniteurs d’enseignement de la conduite des véhicules terrestres à moteur de la session 2010 les candidats dont les noms suivent : M. AKARKACH Smaïl M. BAUMLER Stéphane M. BELMERDJA Kadda Mlle BEYNE Pauline M. BRACONNOT Benoit M. BROUARD Alexandre Mme BURNER Pöle épouse GREGO Mme CHAMBE Nathalie épouse FERNANDES RIOS M. COTARD Franck Mlle COUROUNEAU Valérie M. DALHER Mathieu Mlle DALPRA Olivia M. DESCHAMPS Michel M. DURMAZ Baris M. FORETS Mathieu M. FOSSEY Arnaud M. GAMMELIN Stéphane M. GARLANTEZEC Evan M. GAUTHIER Philippe M. GRECH Georges M. GREGOIRE Frédéric M. JAMARD Alexandre M. KUSTNER Christian M. LAISNEY-GUILLET François M. LAUSSY Olivier Mlle LORRAIN Léa AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 94/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Mlle LOURDELLE Aurélie M. MAESO Pierre M. MASSON Didier M. MOURRA Martial Mlle MULLON Julie Mme NERIEUX Véronique épouse FOURNIER Mme NICOLAS Valérie épouse WALLET M. NIVET Régis M. PERRIGOUARD Sébastien Mlle POLI Alexandra Mlle RABET Séverine M. RENDA Damien M. RIOU Xavier Mme ROSENTHAL Corinne M. ROUXEL Matthieu Mme TALBOTIER Laurence épouse GUILLEM M. VARIN Stéphane Article 2 La préfète, déléguée à la sécurité et à la circulation routières, est chargée de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Fait le 28 avril 2011. Pour le ministre et par délégation : Par empêchement de la préfète, déléguée à la sécurité et à la circulation routières : L’adjoint à la déléguée, chef de service, H. Prevost AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 94/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR, DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L’IMMIGRATION _____ Délégation à la sécurité et à la circulation routières _____ Sous-direction de l’éducation routière _____ Bureau du permis de conduire _____ Circulaire du 6 avril 2011 relative aux fiches d’évaluation pour les épreuves du permis de conduire des cursus diplômants de l’éducation nationale NOR : IOCS1107638C Résumé : Depuis la rentrée scolaire 2010, la formation professionnelle de conducteurs s’est enrichie de nouveaux diplômes. Ces cursus diplômants nécessitent, lors de l’évaluation des compétences des élèves par les inspecteurs du permis de conduire et de la sécurité routière, l’utilisation de nouvelles fiches. Ces nouveaux documents devront être rapidement mis en œuvre. Catégorie : circulaire d’information. Domaine : sécurité routière. Mots clés liste fermée : fiches d’évaluation pour les épreuves du permis de conduire des cursus diplômants de l’éducation nationale. Mots clés libres : permis de conduire, formation diplômante aux métiers de la conduite, fiche recueil résultat. Texte(s) de référence : Arrêté du 19 février 2010 relatif aux modalités de l’épreuve pratique de l’examen du permis de conduire de la catégorie B et de la sous-catégorie B1 ; Arrêté du 3 juin 2010 portant création de la spécialité « conducteur transport routier marchandises » du baccalauréat professionnel ; Arrêté du 10 juin 2010 définissant la spécialité de certificat d’aptitude professionnelle « déménageur sur véhicule léger ». Date de mise en application : 18 avril 2011. Pièce(s) annexe(s) : trois. Publication : BO ; site : circulaires.gouv.fr. Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration à Mesdames et Messieurs les préfets des départements métropolitains et d’outre-mer ; Monsieur le préfet de police (pour exécution) ; directions régionales de l’environnement, de l’aménagement et du logement ; directions départementales des territoires et de la mer ; direction régionale et interdépartementale de l’équipement et de l’aménagement d’île-de-France ; directions de l’environnement, de l’aménagement et du logement ; direction des territoires, de l’alimentation et de la mer (Saint-Pierre-et-Miquelon) ; direction générale de l’enseignement scolaire, ministère de l’éducation nationale (pour information). Depuis la rentrée scolaire 2010, l’éducation nationale a fait évoluer la formation professionnelle de conducteurs. Deux nouveaux diplômes ont été créés : – BAC professionnel conducteur transport routier de marchandises (CTRM) ; – CAP déménageur sur véhicule utilitaire léger (VUL). Ils s’ajoutent aux CAP conducteur livreur de marchandises (CLM) et CAP conducteur routier de marchandises (CRM) déjà existants. Ces cursus diplômants intègrent des épreuves du permis de conduire évaluées par les inspecteurs du permis de conduire et de la sécurité routière. Le recueil des résultats nécessite l’utilisation de fiches qu’il convient de mettre en adéquation avec les dispositions de l’arrêté du 19 février 2010 relatif aux nouvelles modalités de l’épreuve pratique de l’examen du permis de conduire de la catégorie B ainsi que de l’arrêté du 3 juin 2010 portant création de la spécialité « conducteur transport routier marchandises » du baccalauréat professionnel et de l’arrêté du 10 juin 2010 définissant la spécialité de certificat d’aptitude professionnelle « déménageur sur véhicule léger ». AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 95/95 – Page 1 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Les services de la délégation à la sécurité et à la circulation routières ont actualisé ces fiches. Vous voudrez bien faire procéder à leur reprographie sur du papier de couleur blanche (format A3 recto verso pour la fiche destinée au recueil, format A4 recto pour la fiche évaluation conduite B, recto verso pour la fiche évaluation EB). Je vous remercie de diffuser rapidement ces nouveaux documents, qui doivent être utilisés à compter du lundi 18 avril 2011. Enfin, vous voudrez bien informer de cette mise à jour les inspecteurs du permis de conduire et les lycées professionnels concernés. Fait le 6 avril 2011. Pour le ministre et par délégation : La préfète, déléguée interministérielle à la sécurité routière, M. Merli AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 95/95 – Page 2 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Délégation à la sécurité et à la circulation routières _____ BAC professionnel conducteur transport routier marchandises (CTRM) CAP conducteur livreur de marchandises (CLM) CAP conducteur routier « marchandises » (CRM) CAP déménageur sur véhicule utilitaire léger (VUL) CANDIDAT NOM : Prénom : AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 95/95 – Page 3 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Document destiné aux DDI et à l’éducation nationale Recueil des avis pour la validation des niveaux de conduite B, C, E(C), E(B) dans le cursus des diplômes de l’éducation nationale Épreuve théorique générale Date : Établissement : 1 Expert : Résultat : Résultat série no 1 : FAVORABLE (1) Signature FAVORABLE (1) /40 Résultat série no 2 : INSUFFISANT (1) FAVORABLE (1) Date : INSUFFISANT (1) Signature Expert : Résultat : Résultat série no 1 : FAVORABLE (1) /40 INSUFFISANT (1) Résultat série no 2 : INSUFFISANT (1) FAVORABLE (1) Date : /40 INSUFFISANT (1) Signature Établissement : 3 Expert : Résultat : Résultat série no 1 : FAVORABLE (1) /40 Établissement : 2 FAVORABLE (1) INSUFFISANT (1) /40 INSUFFISANT (1) FAVORABLE (1) INSUFFISANT (1) Résultat série no 2 : FAVORABLE (1) /40 INSUFFISANT (1) (1) Rayer la mention inutile. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 95/95 – Page 4 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Épreuve pratique B Date : 1 Signature Établissement : Expert : Résultat : FAVORABLE (1) Date : 2 Signature Établissement : Expert : Résultat : FAVORABLE (1) Date : 3 INSUFFISANT (1) INSUFFISANT (1) Signature Établissement : Expert : Résultat : FAVORABLE (1) Épreuve pratique INSUFFISANT (1) C Établissement : 1 Date Résultats Expert Signature Professionnel Signature Enseignant Signature H. CIR FAV. (1) INS. (1) CIR FAV. (1) INS. (1) Établissement : 2 Date Résultats Expert Signature Professionnel Signature Enseignant Signature H. CIR FAV. (1) INS. (1) CIR FAV. (1) INS. (1) Établissement : 3 Date Résultats Expert Signature Professionnel Signature Enseignant Signature H. CIR FAV. (1) INS. (1) CIR FAV. (1) INS. (1) (1) Rayer la mention inutile. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 95/95 – Page 5 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Épreuve pratique E(C) Établissement : 1 Date Résultats Expert Signature Professionnel Signature Enseignant Signature H. CIR FAV. (1) INS. (1) CIR FAV. (1) INS. (1) Établissement : 2 Date Résultats Expert Signature Professionnel Signature Enseignant Signature H. CIR FAV. (1) INS. (1) CIR FAV. (1) INS. (1) Établissement : 3 Date Résultats Expert Signature Professionnel Signature Enseignant Signature H. CIR FAV. (1) INS. (1) CIR FAV. (1) INS. (1) Épreuve pratique E(B) – VUL Établissement : 1 Date Résultats Expert Signature Professionnel Signature Enseignant Signature H. CIR FAV. (1) INS. (1) CIR FAV. (1) INS. (1) Établissement : 2 Date Résultats Expert Signature Professionnel Signature Enseignant Signature H. CIR FAV. (1) INS. (1) CIR FAV. (1) INS. (1) Établissement : 3 Date Résultats Expert Signature Professionnel Signature Enseignant Signature H. CIR FAV. (1) INS. (1) CIR FAV. (1) INS. (1) DSCR/ER2-V4-01.2011 (1) Rayer la mention inutile. AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 95/95 – Page 6 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Délégation à la sécurité et à la circulation routières _____ Janvier 2011 _____ FICHE RECUEIL ÉPREUVE EN CIRCULATION CATÉGORIE E (B) DATE DE L’EXAMEN : Établissement Expert Professionnel Enseignant Candidat NOM : NOM : NOM : NOM : Prénom : Prénom : Prénom : Prénom : Signature : Signature : Signature : Signature : AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 95/95 – Page 7 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Catégorie E (B) FICHE RECUEIL ÉPREUVE HORS CIRCULATION I. – VÉRIFICATIONS À EFFECTUER • Système de direction du véhicule tracteur (assistance) (1) (1 p.d.c.) • Niveau du liquide de frein (1 p.d.c.) • Suspension de la remorque (1 p.d.c.) • Le flanc, la bande de roulement, la pression d’un pneu du véhicule tracteur et d’un pneu de la remorque (6 p.d.c.) • Tous les feux, dispositifs réfléchissants et indicateurs de changement de direction de l’ensemble (9 p.d.c. au minimum) • Rétroviseurs additionnels : état, fixation (2 p.d.c.) • Lave-glaces, essuie-glaces (2 p.d.c.) • Porte, fenêtres et/ou vanteaux (caravane), hayon (p.d.c. : point de contrôle) II. – DÉTELAGE - ATTELAGE • Frein, roue jockey, filin, câble électrique, ouverture tête d’attelage (5 p.d.c.) Séparation du véhicule tracteur et de la remorque (1 mètre minimum) • Vérifications du système d’attelage : stabilisateurs (1), plots et prise électrique, état et fixation de la ferrure, graissage de la boule (1) (4 p.d.c.) • Positionnement du véhicule tracteur ou positionnement de la remorque, verrouillage de la tête d’attelage, mise en place du filin et du câble électrique, remontée de la roue jockey, desserrage du frein (5 p.d.c.) (p.d.c. : point de contrôle) ÉVALUATION Note A Vérifications correctes ou 2 erronées ou oubliées B 3 à 5 vérifications erronées ou oubliées C Plus de 5 vérifications erronées ou oubliées Note A Vérifications correctes ou 2 erronées ou oubliées B 3 à 5 vérifications erronées ou oubliées C Plus de 5 vérifications erronées ou oubliées Note III. – INTERROGATION ORALE A IV. – MANŒUVRE • Maniabilité réussie • Dépassement du temps de référence (+ de 5 min) • Piquet déplacé, incliné ou inversé • Sortie de terrain • Dépassement de l’arrêt de précision (point A) • Arrêt de précision effectué en dehors de la zone blanche matérialisée VUL B C Note A Maniabilité réussie C Dépassement du temps de référence (+ de 5 min) Piquet déplacé, incliné, renversé Sortie de terrain Dépassement arrêt précision Arrêt de précision effectué en dehors zone blanche (1) Éventuellement. POUR ACCÉDER À LA CIRCULATION LA NOTATION MINIMALE DOIT ÊTRE : I + II + III + IV = ou > à 2 A et 2 B AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 95/95 – Page 8 BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR AVRIL 2011. – INTÉRIEUR 2011/4 – Texte 95/95 – Page 9