DP Corps de femme 2

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DP Corps de femme 2
CORPS DE FEMME 2
LE BALLON OVALE
Conception et mise en scène
Judith Depaule
17- 23 JANVIER 2011
Nouveau théâtre de Montreuil / Centre dramatique national
SALLE MARIE CASARES 63, RUE VICTOR HUGO 93100 MONTREUIL
M° Mairie de Montreuil
Montreuil ligne 9
sortie avenue Pasteur puis 1ère rue à gauche, derrière la mairie
Réservation : 01 48 70 48 90 / www.nouveauwww.nouveau -theatretheatre -montreuil.com
Tarifs : de 9 € à 19 €
Représentations de Corps de femmes 2 : lundi et vendredi à 20h30 ; mardi et jeudi à
19h30 ; samedi à 21h ; dimanche à 19h.
Intégrale Corps de femmes 1 et 2 : samedi 22 à 19h et dimanche 23 à 17h
Relâche : mercredi 19 janvier
CONTACT PRESSE Désirée Faraon 06 18 51 30 78 / [email protected]
CORPS DE FEMME 2
le ballon ovale
C onception, scénographie, mise en scène Judith
Depaule
Denis Gaubert et Jordane Chouzenoux
Lumière Bruno Pocheron
Musique Laurent Dailleau
Vidéo Olivier Heinry
Costumes Ultra Petita
Assistante mise en scène Maylis Laharie.
Prise de vues
Avec Johanna Korthals Altes et l’image des joueuses de l’Athletic Club
Bobigny 93 Rugby et du Rugby Club SoisySoisy-Andilly
Andi llylly-Margency 95.
Coproduction Mabel Octobre Compagnie conventionnée par la DRAC Île-de-France et la Région Île-deFrance, Nouveau théâtre de Montreuil-Centre dramatique national, Confluences-Maison des Arts urbains.
Dispositif In Situ CG93.
NOTE D’INTENTION
Dans l’histoire du sport, la morphologie et les résultats des sportives ont très tôt éveillé des
soupçons quant à leur excès de virilité. Quand leurs performances ont menacé les records
masculins, certaines ont été suspectées d’être des hommes. En 1948, les sportives,
disputant des compétitions internationales, sont tenues de fournir un certificat médical
attestant de l’authenticité de leur sexe. En 1964, elles doivent subir un examen
gynécologique avant les épreuves. En 1967, l’examen gynécologique est remis en cause et
remplacé par le test de Barr qui met en évidence les chromosomes X des sportives à partir
d’un prélèvement buccal. Les athlètes qui réussissent le test se voient délivrer un certificat
de féminité. En 1992, un nouveau test consistant à repérer la présence du chromosome Y
le remplace. En 1999, le Comité International Olympique suspend les tests de féminité,
mais de nombreuses fédérations continuent à les appliquer. Aux jeux olympiques de Pékin,
un laboratoire de détermination du sexe contrôle les sportives à la morphologie suspecte
et, en 2009, Caster Semenya, jeune coureuse de 18 ans, a dû subir, à son corps défendant,
des tests pour éliminer les soupçons qui pesaient sur sa personne suite à sa performance
sur 800 m aux Championnats du monde. Une absence de poitrine, une voix grave, des
biceps plutôt avantageux et des chronomètres étonnants ont suffi à mettre en émoi le
monde de l’athlétisme. Aucun test de masculinité n’a été à ce jour envisagé, mais plus la
femme s’émancipe, plus elle doit prouver qu’elle reste une femme authentique et adopter
les marqueurs obligés de la « féminité »
En suivant des sportives dans quatre pays de l’Union Européenne (Pologne, France,
Turquie, Allemagne), Corps de femme cherche à explorer les différentes perceptions du
corps de la femme et les critères de féminité, à interroger et à combattre un certain nombre
d’idées reçues. Quelle est la situation de la femme dans l’Union Européenne, à l’heure où
celle-ci revendique l’égalité hommes femmes comme principe fondateur de son programme
politique ? Le projet se tourne volontairement vers des sportives qui s’adonnent à des
sports considérés comme physiques et masculins (lancers, lutte, haltérophilie, rugby..).
Quelle relation ces sportives entretiennent-elles avec leur corps et leur féminité, comment
vivent-elles le regard des autres, la question du désir, à quels sacrifices sont-elles prêtes
pour pratiquer leur sport, comment vivent-elles leur vie de femme? Quelle est la place de
ces sportives, rarement considérées à juste titre ? Les médias les délaissent. Les sportives ne
deviennent des vedettes qu’au jour de leur victoire ou d’un record, eu égard aux enjeux
nationaux que représente une médaille ou un titre mondial.
En dialoguant avec ces femmes, en les filmant sur leur lieu d’entraînement et dans leur vie
quotidienne, il s’agit d’explorer l’intime, le dit et le non-dit, voire l’indicible, d’interroger
la question du genre et de la bicatégorisation des sexes : qu’est-ce que c’est qu’être femme
aujourd’hui, peut-on réduire le féminin à une notion absolue ? Nos corps de femmes sontils modelés par des normes ?
Judith Depaule
UNE QUADRILOGIE
• En Pologne, j’ai suivi Kamila Skolimovska, première championne olympique du marteau
féminin, discipline homologuée en 2000 aux JO de Sydney. “Carte de visite de
masculinité”, le lancer du marteau était strictement réservé aux hommes jusqu’à dans les
années 90, car considéré comme la discipline athlétique la plus physique après le saut à la
perche. Kamila est morte le 18 février 2009 à l’âge de 26 ans d’une embolie pulmonaire, 4
mois après la création du spectacle...
• En France, je m’attache à un sport collectif, le rugby à XV, en reconstituant mon équipe,
dans un portrait multifaces afin de comprendre quels sont les enjeux qui poussent
aujourd’hui les femmes à pratiquer ce type de sport, quel est le rapport qu’elles
entretiennent avec leur corps et comment sont elles considérées.
• En Turquie, je vais m’intéresser à une haltérophile ou à une lutteuse de haut niveau,
issue d’un milieu défavorisé. Dans une société, où la situation de la femme oscille entre
féodalisme et émancipation (zones rurales/grandes villes), comment une femme plus forte
qu’un homme se perçoit et quel est le regard que la société porte sur elle quand elle en
devient le porte-drapeau ?
• En Allemagne, je désire me consacrer à une sportive de l’ex-RDA qui a fait partie du
programme médical de la STASI, principalement orienté vers la performance des sportives,
en tant qu’enjeu politique sur la scène internationale. Traitées à leur insu aux anabolisants
et aux hormones masculines, dépossédées de leur corps et de leur féminité, ces femmes ont
encore du mal à se faire entendre. Les quatre étapes de la quadrilogie sont autonomes,
mais finiront par fusionner dans un seul et même cinquième spectacle où les quatre
parcours se croiseront, se heurteront, dialogueront.
RUGBY FEMININ : CHIFFRES ET HISTOIRE
Le rugby féminin à XV suit exactement les mêmes règles que son homologue masculin. Il
demeure une pratique sportive amateur. On compte, toutes sections confondues, avec une
très forte progression depuis 2000, 14027 licenciées (9621 joueuses et 4406 encadrantes).
Cette discipline, qui n’a pas encore acquis le même statut que son homologue masculin en
France et qui ne dispose pas des mêmes moyens (en raison de sa non médiatisation et de la
fossilisation des mentalités), possède sa propre histoire, marquée par des tentatives
masculines d’exclure les femmes du jeu.
Le colonel Crespin, directeur national de l’éducation physique et des sports annonçait la
couleur en 1969 : « Le rugby est contre-indiqué pour les joueurs filles et les femmes pour
des raisons physiologiques évidentes. Cette pratique présente des dangers sur le plan
physique et sur le plan moral... Aussi, je vous demande instamment de ne pas aider les
équipes de rugby féminin... ».
On trouve, en France, des traces de rugby féminin au début du 20e siècle. En 1965 des
équipes d’étudiantes se créent pour participer à une campagne “contre la faim dans le
monde”. Des clubs se constituent et donnent naissance en 1970 à l’association française de
rugby féminin. Deux ans plus tard, le premier championnat de rugby féminin a lieu (80
ans après celui des hommes). Il faut attendre 1989 pour que le rugby français fasse sa
révolution avec l’intégration des féminines au sein de la Fédération française de rugby.
Le rugby peut se pratiquer dès 6 ans, l’entraînement restant mixte jusqu’à l’âge de 15 ans.
Le rugby féminin s’organise en 3 divisions et un top 10 des meilleurs clubs.
L’équipe de France féminine participe à 3 compétitions officielles.
- La Coupe du Monde de rugby féminin à XV existe depuis 1991, elle se déroule tous les
quatre ans. L’équipe de France s’y est classée troisième en 1991, 1994, 2002 et en 2006.
Celle de 2010 se tiendra à Londres du 25/08 au 05/09 2010.
- Le championnat d’Europe FIRA est organisé depuis 1995. Il a été remporté par la France
en 1996, 1999, 2000 et 2004 (grand chelem).
- Le Tournoi des cinq nations féminin, créé en 1999, est devenu Tournoi des six nations
depuis 2001.
L’équipe de France féminine y a remporté le Grand Chelem en 2002, 2004 et 2006.
- En 2012, le rugby fait son entrée aux jeux Olympiques, dans sa version à 7.
NOTES DE MISE EN SCENE
Je souhaite recréer une équipe de rugby à XV fabriquée de toutes pièces, à partir de
joueuses issues de 2 clubs : un club de troisième division et un club classé dans le top 10
dont certaines des joueuses jouent en équipe de France. Ce choix se veut le plus
représentatif possible de l’état du rugby féminin aujourd’hui et tentera de couvrir le spectre
le plus large possible sans limitation d’âge ou de niveau. Cette équipe regroupera des
joueuses en activité : aussi bien des très jeunes et des débutantes comme d’autres en fin de
« carrière », aussi bien des joueuses de troisième division que des joueuses de l’équipe de
France. Chacune de ces joueuses sera interviewée sur son rapport à ce sport, à son corps et
à sa féminité. Elle sera filmée en situation rugbystique (échauffement, entraînement,
accompagnement d’autres joueuses, match, troisième mi-temps…) et dans sa vie privée.
Qui dit sport collectif, implique la participation et l’implication, ne serait-ce qu’en images
de l’ensemble du club dont chaque joueuse « sélectionnée » fait partie.
Ces 15 portraits seront à la fois présents en image et restitués en paroles par une interprète
unique, Johanna Korthals Altes qui déclinera tour à tour 15 identités.
Ces portraits alterneront avec des considérations sur l’histoire du rugby féminin et ses
caractéristiques recueillies auprès d’entraîneurs, de cadres de la FFR, d’anciennes joueuses,
ainsi qu’avec des interrogations sur le genre, apportées par des sociologues spécialisés.
L’ensemble du spectacle sera ponctué par une gestuelle empruntée au rugby (exercices, jeu,
arbitrage), des situations collectées sur le terrain et par un jeu de société sur le rugby
auquel le public sera invité à participer et qui sera illustré en images (séquences mises en
scène avec la complicité d’équipes partenaires).
La scénographie du spectacle s’organisera autour de 3 éléments :
- un « terrain de jeu » figuré par un rectangle de gazon synthétique, tel qu’on en retrouve
sur certains terrains de sport ;
- un plateau supportant le jeu de société sur le rugby, filmé en direct afin d’être retransmis
en « grand » et visible par tous ;
- une projection vidéo grand format et des tours d’écran LCD petit format, permettant
d’opposer des images de nature, de valeur et de dynamique différentes
En partenariat avec la marque Ultra Petita, ligne de vêtements sportifs tournée notamment
vers les tenues de rugby, un costume évolutif, projeté en vidéo sur la comédienne,
personnalisera chacun des portraits.
L’EQUIPE ARTISTIQUE
JUDITH DEPAULE >conception et mise en scène
Écrit une thèse en Arts du spectacle sur « Le théâtre dans les camps staliniens » (Paris III). Au
théâtre collabore avec le collectif Sentimental Bourreau (théâtre musical : Strip et boniments, les
carabiniers, La grande charge hystérique, Va-t’en chercher le bonheur et ne reviens pas les mains
vides) de 1990 à 1996, co-dirige avec Véronique Bisciglia Aglaée Solex (théâtre & vidéo :
Incidences, Accrochez-moi) de 1996 à 2001, assiste Robert Cantarella et Oleg Matveev, joue avec
Pascal Rambert, Jacques Vincey, Eva Doumbia, Arnold Pasquier, traduit du russe pour Yves
Beaunesne, Bernard Sobel, Alain Fourneau, Ivan Viripaev. Conçoit avec les Alternateurs Volants
Illuminations (exposition-spectacle). Fonde le groupe Mabel Octobre : Desesperanto (spectacle
interactif multimedia, 2002), Matériau Goulag (lecture, concert, 2003), Qui ne travaille pas ne
mange pas (revue de théâtre au Goulag, 2004), Ce que j’ai vu et appris au Goulag d’après des
entretiens de Jacques Rossi (exercice de mémoire, 2005), La Folie de Janus de Sylvie Dyclo-Pomos
(hommage aux disparus du Beach, 2006)), Qui a tué Ibrahim Akef ? (rêve de danse orientale,
2007), Vous en rêvez (Youri l’a fait) (chronique épique du premier homme cosmique, 2007), Corps
de femme, le marteau (2008), Même pas morte, histoire d’une enfant de la guerre (2010). Anime
des ateliers avec les détenus de la Maison d’arrêt de la Santé (Hamlet, 2003 ; Arturo Ui, 2004), des
primo-arrivants (Identité(s), 2006).
Lauréate de la Villa Médicis Hors les murs.
LAURENT DAILLEAU > composition musicale
Après une formation en orgue classique et une longue pratique de synthèse analogique, il se tourne
vers le theremin en 1996, qu’il utilise hybridé avec un ordinateur. Il travaille avec des compositeurs
intéressés par l’instrument (Christophe Havel, Atau Tanaka, Todor Todoroff, Stevie Wishart,
Kasper T. Toeplitz, Francis Faber, Riccardo Nova, Phil Von, Giuliano d’Angiolini…). Il compose
depuis 1982 pour le théâtre, notamment pour Vous en rêvez, Youri l’a fait de Judith Depaule
(commande musicale de l’Etat, 2007) et travaille avec le chorégraphe Michel Schweizer de 1989 à
1994. Trois de ses pièces sont des commandes d’Etat. Il fonde avec Isabelle Duthoit et David
Chiesa Triolid (1998-2004). Il joue avec Art Zoyd depuis 2001 et l’ensemble Proxima Centauri. Il
se produit en solo, et fonde avec Cécile Babiole (vidéo, capteurs) et Atau Tanaka (BioMuse),
S.S.S/Sensors_Sonics_Sights en 2003. Il enregistre une dizaine de CD, dont son 1er disque solo, «
supersternal notch », en 2001. En 2003, il organise l’exposition 33 RPM / Ten Hours of Sound
from France, au San Francisco Museum of Modern Art. Il collabore avec Jean Michel
Bruyère/LFKS, et enseigne la musique électronique aux Beaux- Arts de La Réunion. En 2008, il
crée avec Cécile Babiole le duo musique/image Mexican Standoff.
BRUNO POCHERON > lumière
Vit à Berlin. Après des études aux Beaux Arts de Dijon, il travaille comme régisseur pour divers
lieux et festivals. Depuis 1996, il est directeur technique, éclairagiste, scénographe ou performer
aux côtés de Christine de Smedt (9 times 9), Judith Depaule (Illuminations, Accrochez-moi), Lilia
Mestre et Davis Freeman (Untitle Me, Too Shy To Stare), Mette Edvardsen (Standing People),
Felix Ruckert (Hautnah, Krapplack, Deluxe Joy Pilot), Isabelle Schad (The Better You Look The
More You See, Good Work series), Xavier Le Roy (Projet, Le Sacre du Printemps), Eszter Salamon
(Reproduction), Marten Spangberg (Powered By Emotion), Alice Chauchat et Anne Juren (J’aime),
Alice Chauchat et Alix Eynaudi (Crystalll), Lito Walkey (The Missing Dance n°7), Akemi Takeya
(Feeler), Alix Eynaudi (Supernaturel).En 2003, il initie avec Isabelle Schad et Ben Andersen la
structure collaborative Good Work qui rassemble des artistes du monde entier et qui présente 5
pièces : California Roll, White Trash, Revolver, Leistung et Still Lives.
JOHANNA KORTHALS ALTES
ALTES > comédienne
Après une formation d’actrice à l’ERAC, au CNSAD de Paris et au SNDO (« School for new dance
development ») à Amsterdam, Johanna Korthals Altes joue avec Eric Vigner, Robert Cantarella,
Frédéric Fisbach, Bernard Sobel, Matthew Jocelyn, Célia Houdard, Christophe Feutrier, Béatrice
Houplain, Patrick Corillon, Marielle Pinsard, Alain Ginztburger ; danse avec Emmanuelle Huynh.
Avec un complice berlinois, elle crée un collectif WOJO qui travaille aussi bien pour le théâtre que
pour la mode en réalisant des performances in-situ ou des chorégraphies de défilé. Fréquemment
sollicitée pour remplacer des actrices et artistes, elle crée une agence professionnelle de
remplacement sous le nom de Violaine Rolthas qui vend de la présence et non de la compétence.
Elle réalise une installation au Cent-Quatre autour de l’histoire des pompes funèbres avec Adrien
Rovero.
ISABELLE SCHAD - > travail corporel
Etudie la danse classique de 1981 à 1990 à Stuttgart. De 1990 à 1996, elle travaille au sein de
compagnies de danse classique. Elle se met à créer ses propres solos et à enseigner. Membre
d’Ultima Vez/Wim Wandekeybus, elle travaille aussi avec Olga Mesa, Angela Guerreiro, Felix
Ruckert, Eszter Salomon. Depuis 1999, elle développe solos et projets en collaboration avec des
chorégraphes, performers, musiciens, plasticiens, présentés à l’international. Elle est récompensée
par de nombreux prix et distinctions. Elle collabore avec Bruno Pocheron et initie la structure
Good Work, qui rassemble des artistes du monde entier et qui présente 5 pièces : California Roll,
White Trash, Revolver, Leistung et Still Lives. Depuis 2003, elle a été artiste en résidence à
Podewil /TanzWerkstatt à Berlin et au Monty à Anvers. Elle participe à Vue imprenable avec
Germana Civera et Laurent Goldring, arrivé premier au Festival de Montpellier Danse 2006, et à
un solo pour Dalija Acin, qui a reçu le premier prix du Théâtre Bitef de Belgrade. En 2007, elle a
dirigé un projet de tutelle au Tanztage de Berlin et initie Praticable avec Alice Chauchat, Frédéric
de Carlo, Frédéric Gies et Odile Seitz.
OLIVIER HEINRY > vidéo
Etudie à l’ERBA de Rennes (DNSEP option Art) et à l’HfbK Hambourg (Institut für Telenautik).
Conçoit des sites internet, programmes audio & vidéo, bandes-son et dispositifs de diffusion.
Collabore notamment avec l’ENSA de Nancy, l’Association Internationale des Critiques d’Art,
Hartmann Architektur, le plasticien Carl Marquis (Il reste 3 minutes à jouer), Claire Pollet (Reste).
Pour la scène, collabore avec les chorégraphes Isabelle Schad (The Better You Look The More You
See, GoodWork/ Still Lives), Simone Aughterlony/ Isabelle Schad (Sweet Dreams), Nabih
Amaraoui & Mathieu Burner (One to One), David Rolland, la cie Notoire/Thierry Bédard,
Mastoc Productions/Vincent Gillois, Blanca Li, ainsi qu’avec Judith Depaule(Qui ne travaille pas
ne mange pas, Ce que j’ai vu et appris au Goulag, Qui atué Ibrahim Akef, La Folie de Janus, Vous
en rêvez - Youri l’a fait). Coopérateur de Servaux, association de logiciel libre et réseau, ainsi que
de Servideo . Performances avec les collectifs ex-TV et PlugAnd.play.

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