BTI 1er trimestre 2011
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BTI 1er trimestre 2011
Conjoncture Politique d’investissement Collecte de capitaux Etat du Patrimoine Marché des parts Informations générales SCPI FRUCTIFONDS IMMOBILIER Bulletin d’information Bulletin d'information 1er trimestre 2011 I - Conjoncture Le marché du travail en France a montré fin 2010 des signes de reprise mais risque de subir l’impact d’une croissance économique modérée en 2011. Amélioration du climat des affaires en France le PIB a augmenté de +1,5% pour l’année 2010 après une baisse de -2,5% pour 2009. L’année 2010 marque la reprise de la consommation française (augmentation des dépenses des ménages de +1,9% après une baisse de -3,7% en 2009). Cependant, l’arrêt de la prime à la casse, la suppression des niches fiscales et la faiblesse du marché du travail risquent de limiter les gains de pouvoir d’achat et ainsi inciter les ménages à conserver un taux d’épargne élevé. Le déficit commercial de 50 milliards d’euros en 2010 nuit à la croissance française. La hausse du prix des matières premières, guidée par la spéculation en raison des différentes révoltes au Maghreb et de la demande croissante des pays émergents, contribue à entretenir l’inflation en Europe. Ainsi, après la hausse de 0,25% des taux directeurs par la BCE une série de hausses trimestrielles de 25pb est attendue sur l’année à venir. Le ralentissement du pouvoir d’achat devrait ainsi pénaliser la croissance économique française principalement entretenue par la consommation des ménages. Dans un tel contexte, la croissance devrait rester positive mais modérée en 2011. L’amélioration de la croissance française s’est légèrement ressentie à la fin de l’année 2010 au niveau des chiffres de l’emploi en France. Baisse du taux de chômage de 0,1 point par rapport au troisième trimestre pour atteindre un taux de 9,2% de la population active en métropole. Les offres d’emploi collectées par Pôle Emploi en janvier 2011 sont en hausse de 9,8%. Stabilisation du taux d’emploi des CDI à 48,5% de l’ensemble de la population française après une baisse ininterrompue depuis l’automne 2008. L’amélioration du marché du travail en France demande toutefois à être confirmée dans les mois à venir afin de marquer définitivement l’arrêt de la période noire des plans sociaux et des restructurations. Au vue du manque de dynamisme de la croissance économique les créations d’emplois attendues devraient rester modérées. MARCHE DES BUREAUX EN ILE DE FRANCE : LE NIVEAU DE TRANSACTIONS DE CE DEBUT D’ANNEE CONFIRME LA REPRISE DE 2010 Un premier trimestre dynamique mais contrasté suivant les secteurs En dépit du contexte économique instable de ce début d’année 2011 la reprise du marché de l’immobilier d’entreprise de 2010 semble se confirmer. Les regroupements de sites constituent une des principales motivations de déménagements des grands groupes. Notons que les entreprises ayant consommé le plus de surfaces ces derniers temps appartiennent aux secteurs suivants : ‐ les services financiers ‐ le secteur public ‐ les TIC (Technologie de l’Information et de la Communication) En 2010, 2,16 millions de m² ont été placés en Ile-de-France, soit une progression de 15 % par rapport à 2009 Fin 2010, Paris représentait 43 % dans la demande placée francilienne, soit une proportion jamais atteinte. Dans le reste de l’Ile-de-France, le marché a été en demi-teinte. Au premier trimestre 2011, 613 130 m² ont été loués, c’est le meilleur début d’année depuis 2007. Deux transactions majeures ont marquées ce début d’année : ‐ l’installation de Thalès à Gennevilliers sur plus de 80 000 m² dans l’immeuble « Carré 92 » ‐ l’installation de Coface à Bois Colombes sur environ 30 000 m² dans l’immeuble « Europe Avenue ». Elles ont permis aux surfaces de plus de 5 000 m² de constituer avec 38% la majeure partie de la demande placée. Paris et le Croissant Ouest ont regroupé les trois quarts des transactions depuis le début de l’année. Des sous marchés comme ceux de la Boucle Nord ou de Péri-Défense aux loyers attractifs ont affiché des signes de reprise. Toutefois, certains secteurs tels que la Défense, Paris 14/15 et Paris 12/13 ont moins bien performé en raison notamment d’une activité moins soutenue des surfaces de plus de 5 000 m². L’écart se creuse entre l’offre neuve et l’offre de seconde main Avec 3,7 millions de m² disponibles au premier trimestre 2011, l’offre immédiate d’Ile de France a progressée après cinq trimestres de relative stabilité. L’offre s’est alourdie sur l’ensemble des secteurs franciliens, excepté Paris (-4% en un an) et la Première couronne (-13%). Le taux de vacance francilien est ainsi en légère hausse et s’établit désormais à 7,2% contre 6,8% fin 2010. L’offre future neuve certaine est toujours réduite malgré une reprise des mises en chantier ce trimestre. En effet, sur les 440 000 m² livrables d’ici fin 2011, à peine 140 000 m² sont encore disponibles un niveau très faible par rapport à 2010 à la même période. L’offre neuve trouvant rapidement preneur tend à diminuer en dépits des dernières livraisons. A contrario, l’offre de seconde main peine davantage à s’écouler. L’obsolescence de certains immeubles prochainement libérés devient un sujet majeur sur le marché de bureaux. La réalisation de rénovations lourdes par les propriétaires semble nécessaire sans quoi on observera prochainement une hausse du taux de vacance. Le Grenelle 2 devrait notamment inciter les propriétaires à des mises aux normes. Des loyers faciaux « prime » en phase de stabilisation contrairement aux loyers de seconde main. Avec 734 € HT HC/m²/an, le loyer moyen « prime » de Paris Centre Ouest était quasi stable au 4ème trimestre 2010 (+ 1 %) et affichait une progression de + 11 % sur l’année 2010. La hausse de + 27 % sur laquelle le loyer moyen « prime » termine l’année à La Défense (511 €) est à relativiser dans la mesure où peu de transactions à des valeurs élevées avaient été observées fin 2009. Les avantages commerciaux sont restés élevés en 2010 avec, en moyenne, 1,5 à 2 mois de franchise par année d’engagement sur les grandes surfaces. Ils ont permis aux valeurs locatives « prime » faciales de se maintenir en 2010. Toutefois on note depuis le premier trimestre 2011 que les loyers de seconde main souffrent davantage compte tenu du niveau d’offres toujours élevé sur ce type d’actifs. Etant donné le dynamisme confirmé du marché locatif du QCA au premier trimestre 2011 et le manque d’offre de grande taille de qualité sur ce secteur, le Loyer « prime » facial estimé par JLL et DTZ est maintenu à 750€/m²/an. JLL maintient également la valeur du loyer « prime » facial de la Défense à savoir 530€/m²/an. Début 2011, les mesures d’accompagnement restent importantes et variées suivant le locataire, le secteur considéré, la durée du bail… 2 On attend une diminution prochaine des mesures d’accompagnement consenties pour les actifs neufs/ restructurés/rénovés mais pas pour les actifs de secondaires. Notons que le loyer moyen de seconde main estimé à 307€/m²/an au début de l’année 2011 a évolué à la baisse depuis 2008 (317€/m²/an). L’écart entre les loyers « prime » et de seconde main risque de se creuser. Une hausse modérée du loyer prime du QCA pourrait être actée dans le courant de l’année. Evolution des loyers moyens depuis 2001 (en €/m²/an) Loyers moyens (en €/m²/an) 600 500 400 Paris QCA 300 La Défense Croissant Ouest 200 Première Couronne IDF 100 20 01 20 02 20 03 20 04 20 05 20 06 20 07 20 08 20 09 20 1 T1 0 2 01 1 0 Sources Immostats, AEW Europe LE MARCHE DES BUREAUX EN REGIONS : LYON AFFIRME SA POSITION DE LEADER Hausse des volumes de transactions en régions de +30% en 2010. L’aboutissement de négociations engagées durant les deux années précédentes constitue une première explication à cette hausse. Autre facteur explicatif, le regroupement des services administratifs : la part du secteur public a représenté plus de 30% des volumes de transactions de bureaux de plus de 1 000 m² signées en 2010. Bonnes performances pour le marché du neuf bien que certains reports ont eu lieu sur des actifs de seconde main bien localisés. Le palmarès des agglomérations régionales reste inchangé et le marché lyonnais affirme sa position de leader – marché francilien exclu – avec une demande placée en 2010 de l’ordre de 220 000 m². Cette performance s’explique par un nombre élevé de transactions supérieures à 1 000 m². Viennent ensuite les agglomérations de Toulouse et Bordeaux, où l’écoulement dynamique de l’offre neuve a permis d’atteindre respectivement 141 000 et 100 000 m² placés. Sur plusieurs marchés, comme à Marseille, Strasbourg, Reims, ou Montpellier, les mouvements des administrations publiques ont joué un rôle significatif dans le volume de transactions. Le bon niveau de commercialisation de 2010 n’a pour l’instant pas eu d’impact sur le stock vacant et les disponibilités demeurent élevées. L’obsolescence peut représenter un enjeu grandissant dans le cadre des nouvelles règlementations environnementales. Dès lors, une dichotomie se crée sur certains marchés, avec d’un côté une offre neuve de qualité, présentée à des prix compétitifs et assez aisément commercialisable, et de l’autre, des surfaces de seconde main dans des immeubles anciens, Peu d’immeubles de bureaux sont aujourd’hui lancés en blanc et les premiers signes d’assèchement de l’offre neuve apparaissent sur certains marchés, 3 Actuellement seules deux villes sont en situation de sous-offre : Rennes et Bordeaux. Malgré certaines tensions sur l’offre les loyers de bureaux neufs n’ont pas augmenté mais ont trouvé des compensations en termes de franchises et de réalisation de travaux. De plus, on note un élargissement de la fourchette des loyers de bureaux de seconde main. REPRISE DU MARCHE DES COMMERCES A NUANCER AU REGARD DE L’INSTABILITE DE LA CONJONCTURE ECONOMIQUE En 2010, les difficultés de financement persistantes et le climat économique fragile expliquent la différence entre le volume des ouvertures effectives et les prévisions de début d’année. Source : Cushman & Wakefield A Paris, retour des transactions de grandes surfaces après une période de désaffection en 2008 et 2009. Demande ciblée sur les emplacements n°1 de Paris et des grandes métropoles régionales. Dynamisme des principaux marchés de la capitale (Champs-Elyséees, Opéra, Marais, Boulevard SaintGermain) Succès des formats de proximité alimentaire et de restauration rapide. La reprise de l’économie mondiale ainsi que l’augmentation du nombre de touristes en provenance des pays émergents ont permis au secteur du luxe de bien performer en 2010. Baisse de -1,4% du chiffre d’affaire des commerces au mois de janvier 2011. La hausse de + 4% du chiffre d’affaire des commerces en France au mois de février 2011 a donc constitué un phénomène de rattrapage. Au début de l’année 2011, l’équipement de la personne et de la maison ont été particulièrement dynamiques contrairement aux secteurs de la Santé/ Beauté et des loisirs qui ont connu des évolutions négatives. Fin 2010, les opérations de restructuration se sont raréfiées dans la capitale et l’offre sur les emplacements n°1 se réduit. Dans les grands centres-villes de France, les valeurs locatives devraient se maintenir sur les emplacements « prime » et n°1. Cela s’explique par le manque d’offres disponibles et le dynamisme des grandes enseignes, en particulier internationales, qui s’activent à ouvrir des flagships ou des concept-stores En effet, la France reste perçue comme une destination sécurisée et attractive pour la rentabilité du réseau. 4 CENTRES COMMERCIAUX : UN MARCHE TOUJOURS CONVALESCENT En 2011, limite de l’offre future de centres commerciaux de plus de 30 000 m² avec seulement deux ouvertures prévues à savoir celle de Lyon Confluence et du Millénaire à Aubervilliers. En compensation, multiplication d’opérations de taille modeste. Fin 2010, selon CBRE les loyers dans les centres commerciaux régionaux sont stables par rapport au 3ème trimestre 2010 (pour des boutiques d’environ 200 m², de 700 € à 1 400 € HT HC/m²/an en Ile-deFrance et de 600 € à 1 100 € en régions). La majorité des centres commerciaux ont subit fin 2010 une légère pression à la baisse. En effet, le démarrage difficile de plusieurs centres commerciaux ouverts récemment a incité les enseignes à négocier les valeurs locatives. Afin de limiter la vacance, augmentation des mesures d’accompagnement. II - Politique d’investissement Le patrimoine immobilier de la société est diversifié dans sa composition et dans sa localisation afin d’assurer l’objectif de distribution régulière de la SCPI Fructifonds Immobilier. Situé pour partie à Paris, en région parisienne et en Province, son patrimoine est constitué de bureaux, de locaux d’activité et de logistique, de locaux commerciaux et de locaux divers (hôtellerie, résidences services). III – Collecte de capitaux Nous vous rappelons que FRUCTIFONDS IMMOBILIER a lancé une nouvelle collecte de capitaux le 10 novembre 2010 jusqu’au 16 décembre 2011. Cette opération porte sur la collecte de 29.997.000 € (prime d’émission incluse), soit l’émission de 2.222 parts de 10.000 € de nominal et 13.500 € prime d’émission incluse. Au 31 mars 2011, 74 parts ont été souscrites pour un montant de 999.000 €. 5 IV - Etat du patrimoine au 31 mars 2011 Au terme du premier trimestre 2011, 37 actifs représentant 187.236.328 € en valeur d’acquisition et 205.852.500 € en valeur d’expertise, soit l’équivalent de 93.397 m² de bureaux, activités et commerces et 1.353 parkings, ont été acquis en pleine propriété, copropriété et indivision. Ad resses Affectation Parkings en nombre Prix d 'acquisition en € hors frais hors taxes récupérables Surfaces en m² Expertises au 31.12.10 Ecart % 20, rue de la Villette‐le‐Bonnel ‐ Lyon (69) (quote‐part 20%) Bureaux 27 2 452 8 480 134 8 560 000 +0,9% 1, rue Lénine ‐ Ivry sur Seine (94) Bureaux 40 2 320 3 080 000 5 140 000 +66,9% 26 bis, avenue Léonard de Vinci ‐ Pessac (33) Bureaux 44 1 176 1 515 000 1 710 000 +12,9% 22, quai Gallieni ‐ Suresnes (92) (quote‐part 25%) Bureaux 55 2 331 6 250 000 6 950 000 +11,2% +13,5% 33, avenue du Maine ‐ 75015 Paris (7ème ‐ Tour Montparnasse) Bureaux 17 1 668 8 174 528 9 280 000 Rue Joliot Curie ‐ Saint Priest (69) Bureaux 65 1 763 2 900 000 3 520 000 +21,4% Rue Michel Labrousse ‐ Toulouse (31) Bureaux 113 2 536 3 308 690 4 170 000 +26,0% Axe Europe ‐ Bâtiment Euronord ‐ Lille (59) Bureaux 63 3 712 7 941 931 9 800 000 +23,4% 2 rue du Bac (angle Quai Galliéni) ‐ Suresnes (92) (quote‐part 25%) Bureaux 22 1 121 2 712 500 3 042 500 +12,2% 8/10 rue Barbette ‐ 75003 Paris Bureaux 25 1 966 7 750 000 14 010 000 +80,8% 100/104 avenue Galliéni ‐Bondy (93) Bureaux 61 2 043 3 100 000 3 840 000 +23,9% Parc d’activité du Haut de Wissous ‐ Wissous (91) Activités 5 472 6 500 000 7 830 000 +20,5% 4/4bis rue G.Besse ‐ Batiment A et B ‐ Genas (69) Bureaux et Activité 115 8 632 5 900 000 5 150 000 ‐12,7% Activités 140 9 123 6 000 000 5 800 000 ‐3,3% 13 rue Colbert ‐ Versailles (78) Comm erce 60 353 2 550 000 2 620 000 +2,7% Bld de l’Europe ‐ Livry‐Gargand (93) +19,3% Lieu dit Champ Dolin ‐ Saint Priest (69) Comm erce 232 4 015 7 931 081 9 460 000 115, avenue de l’Arche ‐ Courbevoie (92) Bureaux 45 2 296 10 450 000 10 190 000 ‐2,5% Boulevard de Lezennes ‐ Hellem nes (59) Comm erce 113 3 500 4 150 000 4 790 000 +15,4% ‐13,0% 85 avenue Albert 1er ‐ Rueil Malmaison (92) Bureaux 15 980 4 400 000 3 830 000 Place Berthe Morisot ‐ Bâtiment B2 ‐ Saint Priest (69) Bureaux 78 1 782 3 970 714 3 730 000 ‐6,1% 7 200 11 763 750 12 650 000 +7,5% Lac d’Avoriaz ‐ Morzine (74) (quote‐part 50%) Hôtels 99/101 rue Leblanc ‐ 75015 Paris 1 515 8 350 000 8 490 000 +1,7% Comm erce Bureaux 478 1 770 000 1 850 000 +4,5% 72 rue d’Alésia ‐ 75014 Paris Comm erce 122 1 420 000 1 430 000 +0,7% 74 rue d’Alésia ‐ 75014 Paris Comm erce 216 2 840 000 3 010 000 +6,0% ‐23,5% 36 bis rue Ernest Renan ‐ Issy les Moulineaux (92) 23 105 rue d’Alésia ‐ 75014 Paris Comm erce 44 797 000 610 000 2 rue des Gamelines ‐ Buchelay (78) Comm erce 742 972 000 960 000 ‐1,2% 33 avenue de la Victoire ‐ Meaux (77) Comm erce 1 350 2 071 000 1 850 000 ‐10,7% +2,3% Zac de Valm y ‐ Villeneuve d'Ascq (59) Comm erce 1 020 2 394 000 2 450 000 Route de Cartignies ‐ Avesnes sur Helpe (59) Comm erce 1 007 1 427 000 1 320 000 ‐7,5% Zac des Sars ‐ Lumbres (62) Comm erce 1 936 1 811 000 1 790 000 ‐1,2% Route de Samer ‐ Desvres (62) Comm erce 2 639 2 057 000 2 060 000 +0,1% Rue du Canton de Caillouti ‐ Loon Plage (59) Comm erce 1 970 1 877 000 1 910 000 +1,8% +0,7% Centre Com mercial Leclerc ‐ Cap Caer ‐ Norm anville (27) Comm erce 1 222 894 000 900 000 53 rue d’Italie ‐ Zac du Coudoulet ‐ Orange (84) Comm erce 2 234 2 865 000 2 810 000 ‐1,9% Bureaux 4 519 28 375 000 29 970 000 +5,6% 37‐39 avenue Ledru Rollin ‐ 75012 Paris 5 boulevard des Arpents ‐ C oignières (78) Retail Park Surface totale TOTAL GENERAL 1 353 5 942 8 488 000 8 370 000 ‐1,4% 93 397 187 236 328 205 852 500 +9,9% Localisation et affectation du patrimoine en valeur vénale Affectation Paris Région parisienne Province Total Activités 0 7 830 000 5 800 000 13 630 000 Bureaux 61 750 000 32 992 500 31 490 000 126 232 500 Bureaux et Activité Commerce 0 0 5 150 000 5 150 000 5 050 000 16 740 000 18 030 000 39 820 000 12 650 000 Hôtels 0 0 12 650 000 Retail Park 0 8 370 000 0 8 370 000 66 800 000 65 932 500 73 120 000 205 852 500 6 Gestion du patrimoine Taux d’occupation physique Le taux d’occupation s’élève au 31 mars 2011 à 95,4 % contre 91,6 % au titre du trimestre précédent. Affectation 31/03/2011 Commerce 0 Bureaux 3 558 Activités 738 Bureaux et Activité 0 Surfaces vacantes 4 296 Surface totale 93 397 Taux d'occupation 95,4% Taux d’occupation financier Le taux d’occupation financier (*) s’établit au 31 mars 2011 à 92,6% contre 92,1% par rapport au trimestre précédent. (*) Le taux d’occupation financier correspond au rapport entre le montant des loyers facturés et le montant qui pourrait l’être si le patrimoine était entièrement loué (loyers potentiels). Surfaces vacantes Au 31 mars 2011, les surfaces vacantes représentent 4.296 m² et se répartissent comme suit : Immeuble 37‐39 avenue Ledru Rollin ‐ 75012 Paris 2 rue du Bac (angle Quai Galliéni) ‐ Suresnes (92) (quote‐part 25%) 22, quai Gallieni ‐ Suresnes (92) (quote‐part 25%) 33, avenue du Maine ‐ 75015 Paris (7ème ‐ Tour Montparnasse) 4/4bis rue G.Besse ‐ Batiment A et B ‐ Genas (69) Rue Joliot Curie ‐ Saint Priest (69) Lieu dit Champ Dolin ‐ Saint Priest (69) (1) surface en quote‐part Affectation 31/03/2011 50 Bureaux Bureaux 1 095 (1) 273 (1) Bureaux Bureaux 1 423 Bureaux et Activité Bureaux 717 738 Activités Surfaces vacantes 4 296 Surface totale 93 397 Taux d'occupation 95,4% Taux de provision des créances douteuses rapportées aux loyers facturés Au 31 mars 2011, aucune provision pour créances douteuses n’a été enregistrée dans les comptes. Pour rappel, la dotation de l’exercice au compte provision pour créances douteuses rapportée aux loyers facturés en 2010 était de 0,24%. Evolution de la situation locative Suresnes 22 Quai Gallieni (quote-part détenue par la SCPI Fructifonds Immobilier égale à 25%) • Un bail a été signé avec le locataire HABITA + à effet du 1er mars 2011 pour une surface de 67 m² et un loyer de 16.740 €/an. 4/4bis rue G.Besse - Bâtiment A • Un bail a été signé avec le locataire SCP France à effet du 1er janvier 2011 pour une surface de 2.716 m² et un loyer de 156.650 €/an. 7 Plusieurs baux ont été signés pour des dates d’effet postérieures à la clôture du 1er trimestre, ils concernent : • La Tour Montparnasse (716 m²), • Le bâtiment de Saint-Priest Champ Dolin (738 m²), • et les seules surfaces qui étaient vacantes dans l’immeuble de bureaux de Saint-Priest Joliot Curie (717 m²). la Tour Montparnasse (716 m²), le bâtiment de Saint-Priest Champ Dolin (738 m²), et les seules surfaces qui étaient vacantes dans l’immeuble de bureaux de Saint-Priest Joliot Curie(717 m²). V - Marché des parts Le fonctionnement du marché des parts Le marché des parts de votre SCPI à capital fixe est organisé sur la base : o de la centralisation, par la société de gestion, des ordres d’achat et de vente ; o de la détermination, à échéances régulières, d’un prix résultant de leur seule confrontation ; seuls les ordres de vente inscrits à un prix inférieur au prix d’exécution et les ordres d’achat inscrits à un prix supérieur sont susceptibles d’être exécutés. La durée de la période de centralisation a été déterminée de façon à assurer la profondeur du marché et, ainsi, d’éviter une trop forte volatilité. Elle est de trois mois pour FRUCTIFONDS IMMOBILIER et la confrontation est fixée au dernier jour ouvré du trimestre calendaire à 15 heures. En l’absence de parts à la demande, aucun prix n’a été déterminé lors de la confrontation du 31 Mars 2011. Frais à la charge de l’acquéreur L’acquéreur acquitte, en outre, le droit d’enregistrement de 5 % et les frais de transfert de 2 % HT, soit un total de 7,392 % TTC. Par ailleurs, les parts peuvent être cédées de gré à gré sans intervention de la société de gestion. Dans ce cas, l’acquéreur acquitte les droits d’enregistrement et des frais de dossier qui s’élèvent à compter du 1er janvier 2011 à 160,23 € TTC. Marché secondaire au 31 mars 2011 Aucune part échangée au cours du 1er trimestre 2011. 8 Situation au 31 mars 2011 Situation au 31 mars 2011 Parts à l’offre 0 % de la capitalisation 0,00% 14 065 Nombre de parts au 31.03.2011 Associés au 31.03.2011 33 139 910 000 Capital social au 31.03.2011 (en euros) Capital social au 31.03.2011 (en euros) y compris les 74 parts souscrites dans le cadre de l'augmentation de capital en Capitalisation (en euros)(*) Valeur de marché au 31.12.2010 (en euros) Valeur de réalisation unitaire au 31.12.2010 (en euros) Valeur de reconstitution unitaire au 31.12.2010 (en euros) 140 650 000 173 126 085 12 309,00 12 425,44 13 745,21 (*) Sur la base du prix net cédant au 30/09/2010 VI - Informations générales Vie sociale de la SCPI Assemblée Générale Mixte à caractère ordinaire et extraordinaire La prochaine assemblée sera réunie le 20 juin prochain. Chaque associé recevra en temps utile une convocation à cette assemblée. Nous vous rappelons que pour cette assemblée votre société de gestion est dans l’obligation de présenter une résolution statuant sur la proposition de transformation de la SCPI FRUCTIFONDS IMMOBILIER Distribution Revenus pour une part 1er acompte 2011 Rappel 1er acompte 2010 Revenu annuel 2010 170,00 € 170,00 € 750,00 € Revenu prévisionnel 2011 (1) 750,00 € (1) revenu prévisionnel établi à ce jour, dans le contexte actuel du marché, compte tenu de la situation locative, des congés reçus et des perspectives de cessions d’actifs Le solde de dividendes relatif à l’exercice 2010, représentant 230 € par part, a été versé le vendredi 4 février. Sur la base du revenu 2011, le rendement rapporté au prix de souscription déterminé dans le cadre de l’augmentation de capital ressort à environ 5,56 % (750 euros / 13.500 euros). 9 Frais Frais Fructifonds Immobilier TTC au taux de TVA en vigueur de 19,60% Commission de souscription Commission de cession Commission de gestion 3,588% du prix de souscription (prime d'émission incluse) dont 2,392% reviennent au distributeur 7,392% 5% de droit d'enregistrement et 2,392% de commissions de placement 7,176% du montant des produits locatifs hors taxes et des produits financiers nets Profil de risques Principaux risques : - Les risques généraux : la gestion discrétionnaire mise en place dans le cadre des SCPI repose sur l’anticipation de l’évolution des différents marchés immobiliers. Aussi, il existe un risque que les SCPI ne soient pas investies en permanence sur les marchés ou immeubles les plus performants. - Le risque immobilier : les investissements réalisés par les SCPI seront soumis aux risques inhérents à la détention et à la gestion d’actifs immobilier étant précisé que, par exemple, le marché des actifs de bureaux est marqué par des cycles conjoncturels liés à l’économie générale et à l’évolution des taux longs. A cet égard, les SCPI ne présentent aucune garantie de capital ou de performances. - Le risque lié à la liquidité : c’est à dire la difficulté que pourrait avoir un épargnant à céder ses parts. Les SCPI ne garantissent pas la revente des parts. La cession des parts dépend de l’équilibre entre l’offre et la demande de parts sur le marché organisé prévu à cet effet. - Le risque lié au crédit : Le financement bancaire souscrit s’accompagne d’engagements contractuels dont le non respect rendrait la dette éligible. En outre, il peut augmenter le risque de perte en cas de dévalorisation des actifs et peser sur la distribution de la SCPI. L’application de la Directive MIF par AEW EUROPE SGP La Directive sur les marchés d’instruments financiers (MIF) est applicable à l’ensemble des pays de l’Union Européenne depuis le 1er novembre 2007. La MIF vise la construction d’un marché européen en définissant dans un cadre règlementaire homogène, une plus grande transparence sur les marchés d’instruments financiers ainsi qu’un renforcement accru de la protection des investisseurs. AEW EUROPE SGP, société de gestion de votre SCPI entre dans le champ d’application de la Directive. A ce titre, la société de gestion a mis en place un dispositif de classification de la clientèle, et d’organisation interne permettant à celle-ci de respecter ces nouvelles contraintes réglementaires. Les dispositions en matière de classification de la clientèle s’appliquent à l’ensemble de nos investisseurs. Pour assurer une plus grande protection de ses clients, porteurs de parts de SCPI, en termes d’information et de transparence, AEW EUROPE SGP a fait le choix de classer, lors de l’entrée en vigueur de cette Directive, l’ensemble de ses clients porteurs de parts de SCPI « en client non professionnel » et laisse la possibilité à ceux qui le souhaitent de changer de catégorie. A leur demande et sur proposition documentée, ces mêmes clients pourront à l’issue de contrôles de la société de gestion demander le changement de catégorie. 10 En ce qui concerne les nouveaux clients en SCPI, ils sont également classés par défaut « en client non professionnel ». Les demandes de souscription sont désormais accompagnées d’un questionnaire à remplir par le client ayant pour objectif d’apprécier son expérience en matière d’investissement et de l’adéquation du produit souscrit / acheté à son profil et à ses objectifs. Pour répondre aux obligations de la directive MIF en termes d’organisation, AEW EUROPE SGP s’est doté d’un dispositif de gestion des conflits d’intérêts pour prévenir l’existence de tels conflits, les traiter en cas de survenance et, en tant que de besoin, en informer les investisseurs. Par ailleurs, la société de gestion dispose d’une procédure de traitement des réclamations des investisseurs. Comment joindre votre Société de Gestion Télécopie : 01.78.40.66.24 AEW EUROPE SGP 1/3 rue des Italiens 75009 PARIS Vous pouvez également utiliser le lien « contact »sur le site www.aeweuropesgp.com et nous laisser un message CONTACTS Jean‐Pierre NOBLE Marché des parts Carlos DA COSTA Succession Zverdan MILOSEVIC Revenus et fiscalité Guillaume BUREL Sophie DEUDON Tel. 01.78.40.33.01 Tel. Tel. 01.78.40.33.25 Tel. Tel. 01.78.40.33.06 01.78.40.33.23 01.78.40.33.09 Fax : 01.78.40.66.24 www.aeweuropesgp.com 11 FRUCTIFONDS IMMOBILIER Société Civile de Placement Immobilier régie par la partie législative du Code monétaire et financier, les textes subséquents et par les articles 1832 et suivants du Code civil. Siège social : 1/3 rue des Italiens 75009 PARIS Visa de l'Autorité des Marchés Financiers SCPI n° 10-36 en date du 22 octobre 2010 D 449 134 857 RCS Paris Agrément de la société de gestion en qualité de société de gestion de portefeuille n° GP-10000008 du 9 février 2010 Responsable de l’information : Monsieur Jean-Pierre NOBLE- Tél : 01.78.40.33.01 12