Dossier de presse
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Dossier de presse
Une Aanna Films présente production Thirukumaran Entertainment (Titre original: Soodhu Kavvum traduction : « L’Argent Dévore ») Film indien en langue tamoule Avec Vijay Sethupathi Sanchita Shetty Ashok Selvan Bobby Simha Ramesh Tilak Un film réalisé par Nalan Kumarasamy Scénario de Nalan Kumarasamy et Srinivasa Kavineyam Produit par C.V. Kumar Durée : 2h05 Matériel disponible sur www.aannafilms.fr/movies/mm/presse/ AANNA FILMS 27 Avenue de L’Opéra 75001 PARIS [email protected] www.aannafilms.fr La véritable arnaque, c’est celle du politiquement correct dans lequel nous vivons ! L’HISTOIRE L’argent, L’argent, L’argent. C’est tout ce qui compte, qu’on soit pauvre ou riche. D’ailleurs, Das (Vijay Sethupathi), sa femme Shalu (Sanchita Shetty) et ses amis ne veulent pas en rester là. Ils veulent monter un coup et s’en sortir pour de bon. SYNOPSIS Das (Vijay Sethupathi) est un kidnappeur original avec une conscience sociale et une prudence de mise le poussant à demander des rançons raisonnables. Affublé d’une femme imaginaire (Sanchita Shetty), ce gangster de petite envergure, dont les techniques de rapt se révèlent peu concluantes, recrute une équipe de bras cassés. Au détour d’une nuit de beuverie, se clôturant en un pugilat général, il rencontre un trio de chômeurs. Ses futurs comparses de crime ! Le premier, Pagalavan (Bobby Simha) fut contraint de quitter son village après avoir attisé la colère des habitants. Au grand dam de sa famille, celui-ci fit construire un temple à la gloire de son actrice préférée, Angelina Jolie ! (L’édifice sacralise l’actrice Nayantara dans la version originale). Kesavan (Ashok Selvan) a, quant à lui, perdu son travail faute d’avoir repoussé les avances sexuelles de sa collègue. Enfin, le troisième et dernier trublion, Sekar (Ramesh Thilak), fut limogé de son emploi de voiturier. La tentation d’une virée au volant de la Jaguar d’un client étant insoutenable, il ne put réprimer ses pulsions et partit avec le bolide. Das, Pagalavan, Kesavan et Sekar entreprennent ainsi de maitriser les rouages du kidnapping en peaufinant leur méthode d’enlèvement. Seul problème, le jour où ils kidnappent le fils unique du ministre Gnanodayam, Arumai, ils découvrent que celui-ci échafaudait son propre enlèvement. Arumai souhaite ravir à son père une coquette somme d’argent afin de monter une entreprise. Das et sa bande devront ainsi composer avec Arumai pour mener à bien la transaction. Or, la tâche se complique davantage. Le ministre Gnanodayam est incorruptible et ne souhaite pas céder à la requête des kidnappeurs. De surcroit un policier véreux, Bramma (Yog Japee), ne respectant guère les lois, vient s’interposer en corsant la tâche des gangsters en herbe. Connu pour éparpiller façon puzzle, il rend sa propre justice en tuant sans vergogne et avec fracas les coupables et présumés coupables. De là s’orchestrent un micmac de rebondissements et une course poursuite haletante ! LE FILM Au premier abord, Micmac Masters est une comédie noire peuplée de personnages décalés qui ne semblent pouvoir se dépêtrer de leurs problèmes. Le film nous tient en haleine en intégrant à l’intrigue des gags narratifs. Mais, si le film se dévoile sous les atours d’une comédie, c’est en fait une satire corrosive de la société qui nous est présentée. Gangrenée par l’égoïsme, la violence, la corruption, l’avidité, cette fable se dessine en réquisitoire implacable sur notre société déshumanisante. Nos mœurs et le politiquement correct dans lequel nous vivons sont bafoués et s’avèrent être un miroir aux alouettes. Les personnages ne sont, au final, que des transfuges de ce que refoule la bassesse de l’être humain destiné à n’être qu’un animal condamné à « penser ». Micmac Masters, un film culte Le temps où le cinéma commercial, broyeur d’originalité et d’imaginaire, ne laissait guère de marche de manœuvres aux réalisateurs, est révolu. C.V. Kumar et sa société de production Thirukumaran Entertainment, a pour dessein de changer la donne et de proposer un divertissement de qualité. Micmac Masters est l’exemple concret de la démarche de cette jeune société cinématographique. Pariant sur de jeunes réalisateurs prometteurs, elle laisse le champ libre à la création en mettant l’accent sur la qualité et l’originalité de ses scénarios. Ainsi dépourvu d’un casting de stars, d’un budget conséquent, mais ayant pour sujets des thèmes tabous et prenant à revers la critique sociale, Micmac Masters a su défier les lois du box-office en devenant un succès populaire. Depuis le film est devenu culte. Si le film choque certains et dénonce les vices et maux d’une nation, il permet aussi à tout un chacun de s’identifier par les maints problèmes que traversent les protagonistes : harcèlement, accident, humiliation, alcoolisme… Nalan Kumarasamy, scénariste et réalisateur propulsé sous les feux de la rampe en remportant, en 2011, le concours télévisé « le réalisateur de demain » réalise ici son premier long-métrage en s’associant à une pléiade de nouveaux talents tels que l’acteur Vijay Sethupathi et le compositeur Santhosh Narayanan, révélés comme stars montantes. Mais, le périple du film ne s’arrête point ici. Les droits d’adaptation du film ont été vendus. Des versions kannada, télougou et hindi poindront bientôt le jour. Alors que pour la version télougou, des acteurs de renommée se battent pour obtenir le rôle convoité de Das, en langue hindi, c’est Imran Khan qui devrait le reprendre. Rohit Chetty, le Michael Bay indien, réalisateur de Chennai Express est pressenti pour réaliser cette adaptation. Devenu culte au Tamil Nadu, Micmac Masters a de même permis à son producteur C.V. Kumar d’être révélé comme un producteur influant contribuant à l’émergence d’un cinéma tamoul créatif. Une comédie réaliste et subversive 3 juillet 2014, Jagannath Bind alias Khunti, gangster chevronné, connu pour extorsion et kidnapping, fait ériger sa statue, dans un village situé dans le district de Saint Ravidas Nagar dans l’Uttar Pardesh. Suivant ainsi la folie des statues instiguées par l’ancienne ministre en chef et corrompue de l’Uttar Pradesh, Mayawati Kumari, Khunti relance l’entreprise d’un sculpteur et la folie des grandeurs et des égos chez les hommes d’état et crapules. Les hommes politiques et bandits en mal de reconnaissance font ainsi appel au savoir-faire de l’artisan pour passer commande d’effigies les glorifiant. Mais à défaut d’orner le Mont Rushmore, celles-ci viendront parasiter le visuel des indiens. Ce phénomène relate et atteste des dérapages incessants, dans un pays, où politique, corruption et invraisemblance sont inéluctablement liées. Ainsi, de nombreuses anecdotes telles que celle-ci « égayent » le quotidien des indiens et inspirent le cinéma et en l’occurrence l’industrie cinématographique tamoule. Micmac Masters fait allusion à cette frénésie des statues puisque le personnage Pagalavan (Bobby Simha) doit fuir son village natal suite à son entreprise d’érection d’une statue honorant son actrice préférée. D’autre-part, le kidnapping auquel s’essayent les protagonistes de Micmac Masters est un fléau indien séculaire dans lequel s’illustrent aussi bien de petits gangsters tout comme de célèbres entités indiennes du grand banditisme. Le bandit tamoul Veerappan, dont la série de kidnappings secoua le sud de l’Inde, enleva en l’an 2000 des hommes politiques et l’acteur Rajkumar. Le personnage de Raavanan, se matérialisant dans une version moderne du Ramayana, réalisée par Mani Ratnam (Raavanan, 2010), fait écho aux méfaits de ce bandit. Si l’enlèvement est devenu un sport national chez les bandits indiens, la propension créative de leurs malfaisances et de celle de la classe politique pallient ainsi aux manques d’inspiration des scénaristes indiens ou deviennent le point de départ de leur récit. Ainsi si Micmac Masters peut sembler présenter une suite d’événements improbables, il en est tout autre. Nalan Kumarasamy dépeint les mots de la société indienne : corruption politique, banditisme, alcoolisme, chômage et hypocrisie rampante. Certes, la comédie apporte au film une légèreté et un ton cocasse mais au final il émane de ce long-métrage un regard universel sur nos mœurs. La conduite morale, codifiée par la société, a atteint ici ses limites. Micmac Masters provoque et renverse ainsi les préceptes et ordre établi de notre univers normé pour célébrer un monde amoral où les héros survivent grâce à leurs propres règles. Micmac Masters questionne donc notre mode de vie en envoyant valser la bienséance et témoigne de la crise morale de notre siècle. Le film de Gangster made in India Le film de gangster, sous genre courtisé, s’est propagé dans de nombreuses productions indiennes au fil des ans. Vecteur comique, satirique, stylistique… Le crime ne paie peut-être pas mais devient, un des grands genres peuplant le cinéma indien. Adapté au masala, celui-ci révèle d’étonnantes surprises. Instigué en 1998 par Ram Gopal Varma avec le film hindi Satya (dont le scénario a été en partie ourdit par Anurag Kashyap), le film de gangster ou « Mumbai noir » prend de l’ampleur dès cette date. Nombreux réalisateurs indiens exploiteront le genre en tentant diverses approches. En 2012, la société Capital Film Works contribue à relancer le néo-noir tamoul avec Aaranya Kaandam en présentant un gangster vieillissant. Micmac Masters reprend et déconstruit le film de gangster sous la formule d’un masala allégé et modernisé. On croise ainsi dans ce film comique un mélange de genre et sous-genre propre au masala avec le drame, le mélodrame, l’action mais aussi quelques chansons s’insérant inéluctablement dans la trame narrative. Des films calibrés à destination de la jeunesse urbaine Une mouvance grandissante se confirme d’année en année : La production de films ciblant la jeunesse des mégapoles indiennes. Phénomène tout à fait normal et inéluctable lorsque l’on étudie la démographie de l’Inde ! Un des initiateurs, le producteur Ronnie Screwvala a notamment participé à renverser la donne avec des œuvres hindi telles que Rang De Basanti (2006), Dev D (2009) ou Kaminey (2009). Anurag Kashyap, réalisateur du thriller That Girl in Yellow Boots, figure, de même, parmi les notables instigateurs de ce courant en ayant produit Shaitan où un groupe de jeunes, égarés, est mis face à un événement inattendu. Fox Star Studios entreprend aussi le pari de dépoussiérer les codes en parodiant notamment les westerns curry et films d’action indiens d’antan avec Quick Gun Murugan (2009). Un mélange de genre qui fait mouche auprès du public d’adolescents et de jeunes adultes. Au Tamil Nadu, S.P.B. Charan produit en 2007 Chennai 600028, un film qui fera maints adeptes et dont la formule du budget réduit et du casting résonne avec celui de Micmac Masters. Y NOT Studios étonnera aussi en parodiant, dans la lignée de Quick Gun Murugan, les stéréotypes indiens avec Tamizh Padam (2010). Certes, si la jeunesse est représentée à l’écran, il en est tout autre derrière la caméra. Il faudra tout de même attendre 2011 et un jeu télévisé pour permettre à une vague de jeunes réalisateurs de prendre la manivelle afin de proposer un nouvel élan cinématographique. DEVANT LA CAMERA VIJAY SETHUPATHI (Das) Né en 1978, cet ancien comptable d’une éminente compagnie de théâtre tamoule y fait ses classes en tant qu’acteur. En effet, lorsqu’il ne scrute pas les chiffres de la société il observe les acteurs de KOOTHU-P-PATTARAI avec minutie. Suivant un jour, des acteurs de cette troupe à un casting, il y décroche un petit rôle dans Pudhupettai (2006 de Selvaraghavan) au côté de Dhanush, acteur phare du cinéma tamoul. Malheureusement, si l’expérience est enrichissante, Vijay Sethupathi restera cantonné durant plusieurs années à des rôles de figurants ou secondaires ne lui permettant guère de s’affirmer en tant qu’acteur. Il faudra attendre 2012 pour qu’un tournant s’opère irrémédiablement. Naduvula Konjam Pakkatha Kaanom où il interprète un amnésique et le thriller, Pizza, mêlant horreur et film d’arnaque, s’incarnent comme les fers de lance de sa carrière d’acteur. Dans Pizza où il campe un livreur confronté à une demeure hantée, il s’impose auprès du réalisateur. Il demande ainsi de tourner certaines séquences dans l’ordre chronologique afin de graduer son jeu. Résultat sa performance lui vaut une nomination aux Filmfare Awards, équivalent des Oscars en Inde, et remporte un SIIMA Award dans la catégorie meilleur acteur. Micmac Masters le couronne du prix spécial du jury des VIJAY en y incarnant un rôle de kidnappeur déphasé et vieilli. Méconnaissable, d’un rôle à l’autre, ce film confirme son statut de star montante et incontournable du cinéma tamoul tandis que la profession l’encense. Ses choix de rôles et longs-métrages aux sujets détonants lui promettent une ascension fulgurante. Un de ses prochains films, Purampokku, produit par les fameux Ronnie Screwvala et Siddharth Roy Kapur traitera ainsi de la pertinence de la peine de mort dans un pays démocratique ! Vijay Sethupathi se lance enfin dans une carrière de scénariste et producteur. Il prépare actuellement un long-métrage intitulé Orange Mittai dans lequel il exercera ses nouvelles fonctions. Il y donnera de même la réplique à un autre acteur de Micmac Masters : Ramesh Thilak. FILMOGRAPHIE SETHUPATHI SELECTIVE de VIJAY 2010 Thenmerku Paruvakaatru de Seenu Ramasamy 2011 Varnam de Raju S.M. 2012 Naduvula Konjam Pakkatha Kaanom de Balaji Tharaneetharan 2012 Pizza de Karthik Subbaraj 2013 Micmac Masters de Nalan Kumarasamy 2013 Idhakuthane Aasaipattai Balakumara de Gokul P. S. 2014 Pannaiyarum Padminiyum de S.U. Arun Kumar SANCHITA SHETTY (Shalu) Débutant en 2006 dans des films kannada, c’est néanmoins en 2012 dans un film tamoul qu’elle interprète un premier rôle. Kollaikaran de Tamil Selvan lui permet ainsi de faire ses armes. Certes, le tremplin qu’attend tout acteur se matérialise pour Sanchita Shetty sous la forme d’un contrat de trois films avec Thirukumaran Entertainment, la maison de production de Micmac Masters. Le public la découvre ainsi dans Micmac Masters en une entité fantomatique et énigmatique, prénommée Shalu avant de la retrouver dans Pizza II : The Villa de Deepan Chakravarthy. FILMOGRAPHIE SELECTIVE de SANCHITA SHETTY 2007 Milana de Prakash (Kannada) 2010 Thillalangadi de M.Raja 2010 Orange de Bhaskar (Telugu) 2012 Kollaikaran de Tamil Selvan 2013 MicMac Masters de Nalan Kumarasamy 2013 Pizza II : The Villa de Deepan Chakravarthy BOBBY SIMHA (Pagalavan) Cherchant à tout prix à devenir d’une manière ou d’une autre un acteur, Bobby Simha rencontre par l’intermédiaire d’un réalisateur de court-métrage, Karthik Subbaraj. C’est le début d’une longue amitié et collaboration qui se nouent entre les deux compères. Bobby Simha jouera ainsi dans de nombreux courts-métrages mis en scène par Karthik Subbaraj. En 2012, alors que ce dernier signe son premier long-métrage, Pizza, avec Thirukumaran Entertainment, il offre un rôle à son ami. Fort de leur collaboration et épatée par la palette du jeu de Bobby Simha, la société de production l’engage de nouveau pour interpréter un personnage lunaire dans Micmac Masters. En 2014, Karthik Subbaraj refait appel à l’acteur en lui confiant, cette fois-ci, le premier rôle de son film Jigarthanda : celui d’un gangster sanguinaire à mille lieux de son personnage au visage poupon de Micmac Masters. FILMOGRAPHIE SELECTIVE de BOOBY SIMHA 2012 2013 Kumarasamy 2013 2014 2014 Pizza de Karthik Subbaraj MicMac Masters de Nalan Neram d’Alphonse Putharen Jigarthanda Aadama Jaichomada de Badri ASHOK SELVAN (Kesavan) Ashok Selvan est révélé avec Micmac Masters. A l’instar de sa co-star Sanchita Shetty, il signe un contrat de trois films avec la société de production Thirukumaran Entertainment. Il enchaîne ainsi avec deux films sous cette bannière. Sa performance dans Pizza 2 : The Villa lui vaut d’être acclamé par la critique et une nomination aux VIJAY Award comme meilleur espoir masculin. FILMOGRAPHIE SELECTIVE d’ASHOK SELVAN 2013 MicMac Masters de Nalan Kumarasamy 2013 Pizza II : The Villa de Deepan Chakravarthy 2014 Thegidi de P. Ramesh RAMESH THILAK (Sekar) Avant de passer devant la caméra, Ramesh Thilak est avant tout connu pour sa voix. Il officie en effet sur les ondes d’une station de Pondicherry, nommée Suryan FM. Micmac Masters est sa première aventure en tant qu’acteur après avoir fait de la figuration dans divers métrages. Il retrouvera Vijay Sethupathi dans Orange Mittai avec qui il partagera l’affiche. Le film sera réalisé par un aficionado des festivals : Biju Viswanath. FILMOGRAPHIE SELECTIVE de RAMESH THILAK 2013 2013 MicMac Masters de Nalan Kumarasamy Neram d’Alphonse Putharen DERRIERE LA CAMERA NALAN KUMARASAMY Réalisateur et scénariste Issu du milieu de l’immobilier et de l’événementiel, Nalan Kumarasamy quitte tout lorsqu’il prend connaissance du lancement d’une émission télévisée : « le réalisateur de demain ». Il n’a que 10 jours pour envoyer son court métrage. Il décide de relever le défi en mettant en scène l’histoire d’un réalisateur s’astreignant à ne pas dépasser sa date butoir. Le film s’intitule ainsi : Oru Padam Edukkanum (Il faut que je fasse un film). Il effectuera sept autres courtsmétrages. Son dernier court-métrage Nenjukku Neethi lui permettra de gagner la première édition de cette émission. Grâce à cette expérience, il gagne en confiance et trouve son producteur visionnaire : C.V. Kumar. Un an plus tard, il fait trembler l’industrie avec Micmac Masters son premier long métrage. Il travaille actuellement sur une comédie romantique produite par le même producteur : C.V.Kumar. C.V. KUMAR Producteur Le producteur C.V.Kumar s’est construit une renommée fulgurante dans l’industrie du cinéma tamoul et au-delà. Avec ses trois premières productions, Attakathi, Pizza et Micmac Masters, il défraye la chronique en remplissant les salles avec des films à petits budgets et sans star de renom. Pour miser sur les talents de demain, il exploite la manne de réalisateurs en herbe concourant à coup de bobines sur une chaîne de télévision tamoule : KALAIGNAR TV. Du programme Naalaya Iyakkunar, signifiant « le réalisateur de demain », il en extirpera deux réalisateurs : le gagnant de l’émission Nalan Kumarasamy (Micmac Masters) et son dauphin Karthik Subbaraj (Pizza). Il propose ainsi un cinéma atypique et divertissant, osant s’affranchir des conventions, et ayant à tout prix un œil neuf, un point de vue original. C.V.Kumar s’adosse ensuite aux ficelles du marketing viral. Pour son premier film, Attakathi, des réalisateurs émérites en firent la promotion. Le dernier film en salle de C.V.Kumar, Mundasupatti, proposa une application permettant aux internautes de se créer des avatars ayant des atours similaires à ceux des personnages du film. La stratégie de promotion eut un succès retentissant. Depuis la création de Thirukumaran Entertainment, en 2012, la société de production de C.V.Kumar prend de l’essor. Les maisons de production et de distribution concurrentes scrutent avec attention le développement et le cap de Thirukumaran Entertainment. Fox Star Studios œuvrant dans une même optique et ayant ainsi produit en 2011 Vathikuchi (L’allumette de Kinslin) et en 2014 Cuckoo (Coucou de Raju Murugan) s’est allié à la société de C.V.Kumar en coproduisant Mundasupatti. C.V.Kumar et Thirukumaran Entertainment se positionnent dorénavant en « initiateurs de tendance » poussant de nombreuses maisons de production à se remettre en question. C.V.Kumar n’a pas fini de nous surprendre, il se lance en parallèle dans la réalisation. Son premier film, Mayavan, est en cours de tournage. SANTHOSH NARAYANAN Compositeur Santhosh Narayanan suit des études d’ingénieur à Trichy qu’il complète par un diplôme en ingénierie du son. Compositeur remarqué mais encore peu connu, il fait ses gammes sur le courtmétrage Advaitham avant d’être débusqué pour composer des musiques de longs-métrages. Sa première collaboration avec Thirukumaran Entertainment sur Attakathi dévoile une vaste palette de genres musicaux. Santhosh Narayan y mélange tout aussi bien du funk que de la musique du folklore tamoul. Dans Pizza, il réitéra selon les demandes du réalisateur des ambiances variées en distillant de la musique classique occidentale ou électronique de part et d’autre du métrage. Avec Micmac Masters, il ose des ballades nostalgiques en hommage aux mélodies tamoules d’antan (Ellam Kadanthu Pogumada) puis de passer à un autre registre avec un rap comique (Kaasu Panam) rythmé par un beat désuet. Santosh Narayanan se dévoile en un caméléon musical prolifique pouvant explorer des airs traditionnels du répertoire tamoul, puis oser basculer dans un genre contemporain complètement revisité. Alors qu’il est FILMOGRAPHIE SELECTIVE de C.V.Kumar coutume, en Inde, que de nombreux compositeurs de musique de films 2012 Attakathi de Ranjith copient sans scrupule les mélodies 2012 Pizza de Karthik Subbaraj d’autrui, Santosh Narayanan a le 2013 MicMac Masters de crédit d’être original. La bande Nalan Kumarasamy originale de Micmac Masters a 2013 Pizza II : The Villa de remporté un franc succès. Pour la Deepan Chakravarthy sortie du film en hexagone, une 2014 Thegidi de P. Ramesh version française de deux morceaux 2014 Mundasupatti de Ram est en train d’être enregistrée. 2014 Sarabham d’Arun Mohan 2014 Lucia de Prasad Ramar FILMOGRAPHIE SELECTIVE de Santosh 2014 Mayavan de C.V.Kumar Narayanan 2014 Irudhi Suttru de Sudha 2012 Attakathi de Ranjith Kongara 2012 Pizza de Karthik Subbaraj 2013 MicMac Masters de Nalan Kumarasamy 2013 Pizza II : The Villa de Deepan Chakravarthy 2014 Cuckoo (Coucou) de Raju Murugan 2014 Jigarthanda de Karthik Subbaraj 2014 Lucia de Prasad Ramar 2014 Mayavan de C.V.Kumar 2014 Irudhi Suttru de Sudha Kongara Aanna Films Distributeur Aanna Films est une société de distribution spécialisée dans le cinéma indien. Elle s’évertue, depuis 2011, à sortir les films indiens en simultané de leur date de distribution mondiale. Une première en France ! Alors que les sorties de films indiens étaient anecdotiques dans l’hexagone, Aanna Films ravit un public de niche issue de la diaspora indienne et s’ouvrant de plus en plus aux spectateurs français. Avec sa moyenne annuelle de 60 000 entrées, Aanna Films a pour but d’élargir son public et de promouvoir toutes les facettes du cinéma indien : du blockbuster hindi aux facéties cinéphiliques tamoules. Aanna Films est heureux de vous présenter une des merveilles du cinéma tamoul. Micmac Masters est notre coup de cœur de l’année ! LISTE ARTISTIQUE Vijay SethupathiDas Sanchita Shetty Shalu / Shalini Gupta Ashok SelvanKesavan Bobby SimhaPagalavan Ramesh ThilakSekar KarunakaranArumai Pragasam M.S.BhaskarMinistre Gnanodhayam RadhaMère d’Arumai Yog Japee K.Bramma, le policier Aruldass Docteur rêvant de réaliser des films et Frère de Das Radha RaviPremier Ministre SivakumarNambikkai Kannan Gana Bala apparition dans la chanson Kaasu Panam Karthik Subbaraj Propriétaire de la jaguar LISTE TECHNIQUE RéalisateurNalan Kumarasamy Scénario Nalan Kumarasamy / Srinivasa Kavineyam ProducteurC.V.Kumar Directeur de la photographie Dinesh Krishnan Chef monteur Leo John Paul MusiqueAnthosh Narayanan Relations presse : AugurArt Audrey Hadorn : [email protected] Vanessa Ceroni : [email protected] AugurArt : agence de communication et d’attachées de presse. www.augurart.com