Revue de Presse SLP 26 novembre et sortie d`album
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Revue de Presse SLP 26 novembre et sortie d`album
SLP (Sébastien Lépine Project) Revue de presse – SLP et sortie d’album 1. Communiqué envoyé aux médias. 2. Digifilm, « Sébastien Lépine nous surprendra une fois de plus avec SLP, son nouveau bébé! », 2 novembre 2010 3. Marie-Josée, Montminy, « Sébastien Lépine Project: Entre classique et rock progressif», Le Nouvelliste, 22 novembre 2010 4. Karine Gélinas, « Comme une tonne de briques », Journal Voir, 25 novembre 2010 5. Page frontispice, Journal Voir, 25 novembre 2010 6. Elisabeth Caron et Eric Lachapelle, « Tout l’monde debout », Rock-détente 94,7 FM, 26 novembre 2010 7. Catherine Brisson, « Bulletin de nouvelles 12h »,TVA,26 novembre 2010 8. Catherine Brisson, « Bulletin de nouvelles 18h »,TVA,26 novembre 2010 9. Nathalie Boudreau, « Bulletin de nouvelles 18h », Radio-Canada télévision, 26 novembre 2010 10. Catherine Brisson, « La vie en Mauricie », TVA, 29 novembre 2010 11. Andrés Puentes, «Renacer Electrico», Espagne, 22 février 2011 12. Gert Hulshof, «Sea Of Tranquility» UK, 23 mars 2011 13. Jean-François Lamarre, « Big Bang» No 79, France, Avril 2011 14. Gert Hulshof, «Ducht Progressive Rock Page» Volume 23, 2011 15. Robert "Morfina" Węgrzyn, «MLWZ», 16 avril 2011 16. Jerry Lucky, «ProgressiveRockFiles», 2011 Sébastien Lépine Project: Entre classique et rock progressif Le batteur Denis Marchand, le violoncelliste Sébastien Lépine, le bassiste Ian Peterson et le guitariste Martin Carbonneau unissent leurs influences pour présenter leur projet Perception. MaMarie-Josée Montminy – Le Nouvelliste, 22 novembre 2010 (Trois-Rivières) L'un est associé à la musique classique, l'autre au métal, un autre au jazz et le dernier au rock progressif. C'est autour du violoncelliste Sébastien Lépine que s'est constitué le SLP (pour Sébastien Lépine Project), un quatuor aux influences pour le moins éclectiques, qui se dévoilera au public le 26 novembre à la salle Anaïs-Allard-Rousseau. Sébastien Lépine est diplômé du Conservatoire de musique de Trois-Rivières et a perfectionné la maîtrise de son instrument aux universités McGill et de l'Indiana. En plus d'enseigner à l'Académie Les Estacades et au Cégep de Drummondville, il est invité à jouer avec différents orchestres et ensembles et au sein de festivals reconnus. On le connaît aussi pour le duo qu'il forme avec le violoniste Antoine Bareil. Les deux musiciens ont conçu et promènent leur spectacle Cordes en délire et enregistreront leur deuxième album sous peu. C'est d'ailleurs au contact d'Antoine Bareil que le violoncelliste a réanimé sa curiosité pour l'électrique, au centre de son projet actuel. Sébastien Lépine avait d'abord été ébloui par la prestation du violoncelliste Eric Longsworth il y a presque 20 ans au Cégep de Trois-Rivières. «Il jouait du violoncelle électrique dans un spectacle jazz. Je suis allé le voir après et j'ai essayé l'instrument. J'ai vraiment aimé ça, mais c'est resté dans l'oubli», raconte celui qui poursuivait alors ses études au conservatoire. «Puis en faisant des spectacles avec Antoine Bareil, on est revenu à parler d'instruments électriques, dans une recherche de nouvelles sonorités, dans un désir d'aller plus loin. On a intégré une pièce pour instruments électriques dans Cordes en délire», continue Sébastien Lépine. C'est une bourse du Conseil des arts et de la culture du Québec qui a permis au violoncelliste et compositeur de se lancer dans l'écriture d'un spectacle pour violoncelle électrique et autres instruments. Une première version a été présentée en juin 2007, puis le projet est tombé en dormance alors que l'agenda du musicien était davantage occupé par le classique. Finalement, Sébastien Lépine a retravaillé les pièces qu'il avait composées, puis s'est entouré des musiciens qui seront avec lui sur scène le 26 et qui ont joué sur le disque qui y sera lancé. Le batteur Denis Marchand, friand de rock progressif, le bassiste Ian Peterson, entre autres lié au style plus jazz, ainsi que le guitariste Martin Carbonneau, de la formation métal Martyr, complètent le SLP. Quand il décrit la musique de son groupe, Sébastien Lépine évoque le rock progressif, tout en parlant d'une «musique de chambre électrique». Sa formation classique influence forcément sa façon de composer. «Un musicien classique qui écrit du rock, au niveau des structures, c'est différent de ce qu'on entend à la radio. Aussi, la basse a ses solos, joue une base plus mélodique», décrit-il. «Chaque membre du groupe amène ses couleurs. Il y a des portions plus jazz, d'autres un peu plus lourdes, mais ça demeure très lyrique, très mélodique», détaille le compositeur. On peut entendre la musique du SLP sur sa page MySpace et sur Facebook, mais le véritable événement de présentation se tiendra lors du spectacle à la conception élaborée. «C'est un concert pour lancer le disque, et non un lancement de disque avec une prestation. Ce sera un très bon show. Ça fait tellement longtemps qu'on travaille dessus! On a des fourmis dans les jambes, on est fébrile», confie Sébastien Lépine. Jean Marois a participé à la conception des éclairages et Daniel Savoie se chargera de la sonorisation du spectacle d'une durée d'une heure et demie. Réalisé par le trifluvien d'origine Marc Langis, l'album Perception a été enregistré aux studios Piccolo de Montréal et paraîtra sous l'étiquette Unicorn Digital. Ma cote: SLP Jazz Vendredi 26 nov 2010 à 20h Salle Anaïs-Allard-Rousseau 1425, place de l'Hôtel-de-Ville, Trois-Rivières partager 0 écrire une critique du spectacle ! Sébastien Lépine / SLP Comme une tonne de briques ARTICLE - 25 novembre 2010 Karine Gélinas [+] agrandir Sébastien Lépine: "Quand je me suis mis à jouer ce que j'avais composé, je me suis dit: "Je suis niaiseux d'avoir écrit ça parce que ce n'est pas jouable!"" photo: Éric Gélinas / Violoncelliste trifluvien issu du milieu classique, Sébastien Lépine se débarrasse de ses habits proprets en lançant SLP, un projet de rock progressif. Sur une affiche, le nom de Sébastien Lépine est habituellement accolé à un concert de musique classique. Cette fois-ci, il en est autrement. Le 26 novembre prochain, le violoncelliste de Trois-Rivières montera sur les planches de la Maison de la culture de TroisRivières non pas pour y interpréter des oeuvres de Bach ou de Schubert, mais pour y dévoiler les compositions qu'il a créées pour SLP, son nouveau projet de rock progressif. On peut se demander ce qui a poussé le musicien, qui a le privilège de jouer sur un Stradivarius (1699) et qui est très apprécié dans son milieu, à explorer un créneau plus moderne. "Au début des années 1990, j'ai vu un musicien jazz qui jouait sur un violoncelle électrique: Eric Longworth. L'instrument m'avait complément séduit par les possibilités qu'il offrait, qui sont différentes de celles de l'instrument acoustique, se rappelle Lépine. Comme le concert était au Cégep de Trois-Rivières, j'avais rencontré Longworth et il m'avait fait essayer son violoncelle. Le coup de foudre! Sauf que j'étais embarqué dans des études classiques... Mais, c'est toujours resté dans ma tête." Quelque part autour de 2006, alors qu'il travaille avec le violoniste Antoine Bareil sur le spectacle Cordes en délire, le Mauricien voit soudainement son vieux fantasme refaire surface. "C'est à ce moment-là que j'ai commencé à explorer. Comme on s'était donné le mandat d'écrire une pièce pour le spectacle, j'ai fait d'une pierre deux coups: j'ai écrit pour l'instrument électrique. Le besoin de composer est alors devenu encore plus criant. J'ai donc commencé à écrire, mais plus pour un band: violoncelle, guitare, basse et batterie. Puis, en 2007, j'ai eu une bourse du Fonds dédié des arts pour écrire de la musique et produire un spectacle. C'est là que SLP a débuté." LE SON D'UNE ÉQUIPE Ceux qui ont assisté au premier concert de la formation en juin 2007, dans un parc de Pointe-du-Lac, remarqueront que plusieurs visages ont changé depuis. De la cuvée originale, il ne reste que le batteur Denis Marchand. "Après le show de Pointe-du-Lac, on a dû trouver d'autres membres, confie le violoncelliste. Deux des musiciens du départ ne voulaient pas investir plus de temps là-dedans. Parce que ça demande beaucoup de temps pour trouver un son de band. Ian Peterson est arrivé à la basse, puis Martin Carbonneau à la guitare. Ian vient plus du monde du jazz. Martin fait partie de Martyr, un groupe métal. Denis a une formation classique, mais c'est un amoureux du rock progressif. Il tripe sur les mesures irrégulières. Chacun amène sa couleur et ses sonorités. Et c'est comme ça qu'on a réussi à travailler un son qui nous est propre." King Crimson, Gentle Giant, The Dream Theater et Porcupine Tree sont quelques-uns des groupes avec lesquels SLP entretient des liens de parenté. "Mais ils ne m'ont pas influencé, insiste Lépine. Je suis tellement dans mon monde classique que ce que j'ai écrit vient vraiment de ce que j'avais à l'intérieur de moi." Il ajoute: " Au départ, l'oeuvre qui m'a le plus incité à composer et ce vers quoi j'allais, c'est The Way Up de Pat Metheny. C'est une pièce qui dure à peu près 50 minutes et qui part d'une cellule mélodique, que Metheny a réarrangée. Il a fait toutes sortes de variations rythmiques et mélodiques autour d'elle. C'est tellement bon! Ça a complètement bouleversé l'artiste en moi. Par la suite, j'ai écrit. Je ne savais pas du tout comment ça allait sortir. Le but du départ, c'était de ne pas se sentir en zone de confort." De fait, les compositions de Lépine demandent une certaine dextérité de la part de ses interprètes. "C'est assez virtuose! Il y a beaucoup de notes. Ce n'est pas du Pink Floyd où tu flottes. C'est assez actif. C'est d'ailleurs mon problème! Quand je me suis mis à jouer ce que j'avais composé, je me suis dit: "Je suis niaiseux d'avoir écrit ça parce que ce n'est pas jouable!"" Malgré cela, le public devrait avoir beaucoup de plaisir à entendre le contenu de Perception, le premier album de SLP (réalisé par Marc Langis), vendredi. "On dit souvent que le rock progressif touche les hommes, les baby-boomers. Mais je me suis aperçu qu'avec le violoncelle, ça touche plus de gens. Peut-être parce que l'instrument a un côté plus lyrique..." Le 26 novembre à 20h À la salle Anaïs-Allard-Rousseau Voir calendrier Jazz/Actuelle SLP (Unicorn Digital) martes 22 de febrero de 2011 SLP - Perception (Unicorn Digital, 2011) Desde Canadá llega el cuarteto SLP dispuesto a dar un nuevo giro de tuerca a la escena experimental. Al frente de esta banda se encuentra el chelista Sébastien Lépine (de ahí las siglas que denominan el grupo, bautizado como Sébastien Lépine Project), lo cual ya es un punto importante a tener en cuenta. Las referencias a destacar en este Perception son múltiples y variadas, haciendo de este álbum una grabación de lo más apetecible para todo seguidor de la escena progresiva. Si bien podríamos definir a grandes rasgos la música de SLP como un imposible cruce entre Mahavishnu Orchestra y Apocalyptica, sería demasiado simplificar el incluir solamente estos dos nombres en la ecuación. Ya el primer tema, “Good Evening”, una larguísima suite que se extiende más allá de los veinte minutos de duración, es en sí mismo una fusión de subgéneros experimentales, llegando a adentrarse en terrenos propios de Dream Theater o unos Kansas más retorcidos de lo habitual. Afortunadamente, Sébastien Lépine ha sabido dar el espacio suficiente a sus compañeros de grupo, manteniendo siempre un interesante juego entre todos los instrumentos (guitarra, bajo, batería, el propio chelo eléctrico y unos muy ocasionales teclados). Ya en composiciones como “Cello Tornado”, “Perception” o “Malapou” se detecta una querencia por aquellos King Crimson de un álbum como Larks’ Tongues In Aspic, aunque siempre manteniendo un núcleo claramente jazz-rockero. Más aún, se nota en Perception un gusto especial por rememorar las hazañas de Robert Fripp y sus compinches en aquellos ProjeKcts. Aunque quizás sea excesiva la duración del LP –una hora y cinco minutos– para la clase de música que contiene (totalmente instrumental), es seguro que cualquier seguidor de la escena experimental disfrutará escuchando una obra como Perception. Una vez más, nuestra enhorabuena a los chicos de Unicorn Digital por sacar adelante propuestas como esta. por Andrés Puente Mardi 22 février 2011 SLP - Perception (Unicorn Digital, 2011) Du Canada nous arrive le quatuor SLP prêt à apporter du renouveau à la scène expérimentale. À la tête du groupe se trouve le violoncelliste Sébastien Lépine (d’où les initiales qui désignent le groupe, pour Sébastien Lépine Project), qui est un point important à considérer. Les références à faire ressortir sur le disque Perception sont nombreuses et variées, faisant de cet album un enregistrement indispensable pour tout fan de la scène progressive. Nous pourrions définir d’un trait la musique de SLP comme un croisement impossible entre Mahavishnu Orchestra et Apocalyptica, mais y inclure seulement ces deux noms dans l’équation serait trop simplifier le tout. Déjà la première plage avec “Good Evening”, une très longue suite qui se poursuit sur plus de 20 minutes et qui est en soi une fusion de sous-genres expérimentaux, nous transporte en des terres propres à Dream Theater ou un Kansas plus tordu que d’habitude. Heureusement, Sébastien Lépine a su laissé suffisamment de place à ses musiciens, tout en maintenant une interaction intéressante entre tous les instruments (guitare, basse, batterie, le violoncelle électrique lui-même, et quelques autres claviers occasionnels). Dans une composition comme “Cello Tornado”, “Perception” ou “Malapou”, on détecte une affinité avec l’album Larks’ Tongues In Aspic de King Crimson, bien que le noyau soit toujours maintenu clairement jazz-rock. Mais encore, on note avec l’album Perception une couleur nous rappelant les prouesses de Robert Fripp et ses acolytes dans l’album ProjeKcts. Bien que la longueur de SLP est peut-être excessive – une heure et cinq minutes – pour le genre musical présenté (entièrement instrumental), il est certain que tout adepte de la scène expérimentale se délectera en écoutant une œuvre telle que Perception. Une fois de plus, nos félicitations à l’équipe de Unicorn Digital de continuer à nous envoyer des projets comme celui-ci. par Andrés Puente – Renacer Electrico, Espagne (traduction, Danielle Lefebvre) by Gert Hulshof - Sea Of Tranquility - UK SLP: Perception SLP or Sebastien Lepine Project is a group of musicians from Canada gathered around Cellist Sebastien Lepine. In his normal musical life Sebastien plays with Orchestras the classical music of the great old composers. Classics if you will. He had always set his mind on playing modern Rock. This album now playing in my CD player is the first example of Sebastien's venture into the world or rock music, titled Perception . The music is best described as progressive Metal with an edge. The edge being the Cello of Sebastien as well as all tracks on the album are instrumental. Helping him on his first solo outing are guitarist Martin Carbonneau, bassist Ian Peterson, and drummer Denis Marchand. This first experiment with the modern rock, progressive style is one that may easily pass you by, Not that the music is boring or non inspiring, no it is of a high standard indeed, with solid compositions, lots of twists and turns, epic length songs, so what more can you ask for? Well I'll be blunt if I may, the album is solid as I stated but can go relatively unnoticed as we have so many albums that sound similar these days. It would be a shame though to let it pass you by, specially if you like instrumental tunes. These guys are excellently skilled to play a great song. I would recommend everyone to at least take your time and listen to the samples on the SLP myspace page. You should be ready and willing to hear the album after that. Oh, before I forget be prepared for the longer type of song, as there are only 6 songs on the album but they do pass the hour quickly. Track listing: 01 Cello Tornado 02 Good Evening 03 Gulf Stream And Golf Stream 04 Malapou 05 Perception 06 Rising Moon Added: March 23rd 2011 Reviewer: Gert Hulshof Score: 3 1/2 Related Link: Band MySpace Page Hits: 139 Language: english DPRP - Dutch Progressive Rock Page, Volume 23 http://www.dprp.net/reviews/201123.php#slp SLP - Perception Country of Origin: Canada Format: CD Record Label: Unicorn Records Catalogue #: UNCR 5073 Year of Release: 2011 Time: 64:48 Info: SLP Samples: Click here Tracklist: Cello Tornado (5:11), Good Evening (21:35), Gulf Stream And Golf Stream (13:55), Malapou (7:17), Perception (6:31), Rising Moon (10:15) SLP aka Sebastien Lepine Project is a group of musicians from Canada gathered around cellist Sebastien Lepine. In his day to day musical life Sebastien plays with orchestras performing classical music of the great old composers - classics if you will - however he has always set his mind on playing modern rock. The album now playing in my CD player is the first example of the music and Perception of Sebastien Lepine. The music is best described as instrumental progressive metal with an edge - the edge being the cello of Sebastien. Helping him on his first solo outing are guitarist Martin Carbonneau, bassist Ian Peterson, and drummer Denis Marchand. As I already stated in my opening, Mr Lepine thought it time to release a solo album, but not with a classically oriented repertoire but with a high profile rock song format. This first experiment with modern rock in a progressive style is one that may easily pass you by. First of all it might pass by you because most people tend to have a leaning towards song orientated music with lyrics and therefore vocals - something this album lacks. Secondly the album is good, but not outstandingly good. This is an album holding solid compositions, the usual extravaganza of soloing artists but not over-rated as such. The album contains of six songs and almost all of them have an epic length, and that is another bothersome fact here, some of the songs have a length that is simply too much, too spun out. If I take the longest song on the album as the prime example of this fact, it would have made more sense to make that one about half the length it is now. Do not mistake my words, it still is a good song just overdone. Having stated as much I will not bother everyone with song details, just some additional remarks in general about the playing. The band know what it takes to make a song work, they are skilled, everyone of them. It is because of this that you can surely and positively enjoy this album, especially if you like instrumentals - as I do. Lots of musical enjoyment is to gained from this album with over an hours worth of fun. Now I cannot recommend it to everyone but what I will do is recommend everyone to at least check out the band as I think it is well worth the effort. A good solid debut album. Conclusion: 7.5 out of 10 GERT HULSHOF MLWZ – 16 avril 2011 http://www.mlwz.ceti.pl/index.php?option=com_content&task=view&id=6299&Itemid=26 SLP - Perception | Drukuj Email | Autor: Robert "Morfina" Węgrzyn 16.04.2011. Dziś na tapetę bierzemy panów z Kanady. Panów skupionych wokół wybitnego wiolonczelisty Sebastiena Lepine’a (SLP oznacza Sébastien Lépine Project). No i cóż tu mamy? Progres i jazz? Hmm…, ale brzmi to znakomicie. Ależ ta wiolonczela daje czadzik, jakże cudne brzmienia słychać na tej płycie. Oj, rozmarzyłem się wiosennie… Ale przejdźmy do samej muzyki. Krótko i na temat: panowie są świetnymi technikami, którzy żonglują muzyką progresywną, jazzową i klasyczną. Wiola sprawuje się wyśmienicie, nadając oryginalny charakter muzyce, jaką tworzą. Jest w produkcjach Kanadyjczyków zadzior, jest czasami wręcz metalowo, progres kwitnie, no i mamy przestrzeń. Muza bez zastrzeżeń. Jedyne co mnie jeszcze ciekawi, to fakt, co by było gdyby muzyce towarzyszył wokal? SLP to świetny zespół, gra doskonale technicznie, a numer nr 3 nieomal „zabija”. Taki z niego killer. Zresztą na „Perception” słychać same świetne kompozycje. Muzyka, jaką tworzy Sebastien Lepine Project to prawdziwa mieszanka wybuchowa. Czy brakuje jeszcze zapalnika? - ocenicie sami. Czy ta muzyka jest sprzedawalna? Bo komercyjna raczej nie jest, wierzę jednak, że jest spore grono ludzi o takiej wrażliwości i estetyce, których takie granie zachwyci. Z pewnością muzyką zamieszczoną na płycie „Perception” SLP jest w stanie trafić w przychylne gusta. Mój już mają. Panowie, a może napiszecie coś do filmu? Bo na waszej płycie mamy sześć kompozycji zdecydowanie różnych od tego, co słyszy się na „zwykłych” albumach, a każda z nich dopracowana jest w każdym dźwięku i każdym szczególe. Co za oddech, co za powiew świeżego powietrza… Mocno polecam. http://www.jerrylucky.com/reviews%20s-t_055.htm Band: SLP CD Title: “Perception” Band Website: http://www.myspace.com/officialslp Label: Unicorn Digital Label Website: www.unicorndigital.com Release Date: 2011 SLP stands for Sebastien Lepine Project. Lepine is an established cellist on the Quebec classical music scene but on Perception he takes his considerable talents in a completely different direction. Here he uses an electric cello which easily allows him to be on the same level as everyone else, especially the guitars. For this project Lepine has the assistance of Martin Carbonneau (guitars), Ian Peterson (bass) and Denis Marchand (drums). As for the music, while there is no denying a certain classical sensibility it actually displays more of a jazz-fusion influenced progressive rock, where musicianship is very much at the forefront. There is a lot playing going on here. Perception has six-tracks mostly on the long side including the opener “Good Evening” [21:35]. It starts with a heavy blues riff, with the cello very much front-and-centre, not played softly but rather quite aggressively. The juxtaposition of these instruments creates a rather unusual overall tone. It isn’t long before the guitar takes over for one of the many searing solos sprinkled throughout the disc. Like most of the compositions, this one is rather complex. The arrangement features all kind of musical change-ups with different instruments trading off time in the spotlight. The music changes on a dime from fast to slow to groovy to angular from rocky to, well, not rocky. Given the lengthy nature of this opening track it is as you might expect is full of shifts in time, tempo and tone. Track two, “Rising Moon” [10:15] starts off with moody atmospheric cello sounds as it slowly builds in intensity. You don’t even really notice the other players until about the 2:30 mark and even then they’re simply adding more sounds. Then at the 3:15 mark everyone launches into a heavy bluesy Led Zeppelin-esque riff made original with the grinding cello. While there is every effort to make these musical selections musically conventional there are also times where they get pretty dissonant or crushingly powerful. Perception turns out to be a very captivating disc. The use of the cello gives the music a haunting, melancholy feeling that creates a very unique mood. SLP have come up with quite a unique proggy approach and one hopes this is not just a one-off project. It certainly had me captivated and I look forward to where Lepine can take his music. http://www.progmontreal.com/fre/mainfr.html SLP - Perception: Suite à leur prestation phénoménale à la Convention Terra Incognita au mois de Mai, Unicorn Digital présente SLP. Sébastien Lépine s'est mérité une solide réputation dans le monde de la musique classique, mais il est un artiste des plus versatiles, qui n'hésite pas à s'aventurer sur le chemin aléatoire de l'improvisation et l'expérimentation. SLP (Sébastien Lépine Project) est un projet pour lequel le violoncelliste échange son précieux Stradivarius pour un violoncelle électrique, accompagné par les musicien Martin Carbonneau à la guitare, Ian Peterson à la basse et Denis Marchand à la batterie. Au sein de cet ensemble de musique de chambe éléctrique, si l'on peut le qualifier ainsi, il offre ses propres compositions de rock progressif aux accents jazz fusion, et crée un amalgame éclectique et accrochant de thèmes originaux. Inspiré par des artistes tels que King Crimson, Pat Metheny, et Gentle Giant, l'ancien apprenti du mâitre du violocelle Janos Starker explore les différents aspects du violoncelle électrique grâce a ses compositions remarquables qui mettent bien en évidence son spectaculaire instrument. Avec l'addition de guitare électrique, de basse et de batterie, leur son est aussi innovateur que surprenant. L'album est disponible chez tous les bons disquaires, dont Archambault.ca et via Unicorn Digital. Perception http://music.douban.com/subject/6518685/ 表演者: SLP / Sébastien Lépine Project 版本特性: Import 介质: Audio CD 发行时间: 2011-04-19 出版者: Unicorn Digital 唱片数: 1 条型码: 0629048139727 http://www.myspace.com/officialslp SLP stands for Sebastien Lepine Project. Lepine is an established cellist on the Quebec classical music scene but on Perception he takes his considerable talents in a completely different direction. Here he uses an electric cello which easily allows him to be on the same level as everyone else, especially the guitars. For this project Lepine has the assistance of Martin Carbonneau (guitars), Ian Peterson (bass) and Denis Marchand (drums). As for the music, while there is no denying a certain classical sensibility it actually displays more of a jazz-fusion influenced progressive rock, where musicianship is very much at the forefront. There is a lot playing going on here.