Revue de Presse SLP 26 novembre et sortie d`album

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Revue de Presse SLP 26 novembre et sortie d`album
SLP (Sébastien Lépine Project)
Revue de presse – SLP et sortie d’album
1. Communiqué envoyé aux médias.
2. Digifilm, « Sébastien Lépine nous surprendra une fois de plus avec SLP, son nouveau bébé! », 2
novembre 2010
3. Marie-Josée, Montminy, « Sébastien Lépine Project: Entre classique et rock progressif», Le
Nouvelliste, 22 novembre 2010
4. Karine Gélinas, « Comme une tonne de briques », Journal Voir, 25 novembre 2010
5. Page frontispice, Journal Voir, 25 novembre 2010
6. Elisabeth Caron et Eric Lachapelle, « Tout l’monde debout », Rock-détente 94,7 FM, 26 novembre
2010
7. Catherine Brisson, « Bulletin de nouvelles 12h »,TVA,26 novembre 2010
8. Catherine Brisson, « Bulletin de nouvelles 18h »,TVA,26 novembre 2010
9. Nathalie Boudreau, « Bulletin de nouvelles 18h », Radio-Canada télévision, 26 novembre 2010
10. Catherine Brisson, « La vie en Mauricie », TVA, 29 novembre 2010
11. Andrés Puentes, «Renacer Electrico», Espagne, 22 février 2011
12. Gert Hulshof, «Sea Of Tranquility» UK, 23 mars 2011
13. Jean-François Lamarre, « Big Bang» No 79, France, Avril 2011
14. Gert Hulshof, «Ducht Progressive Rock Page» Volume 23, 2011
15. Robert "Morfina" Węgrzyn, «MLWZ», 16 avril 2011
16. Jerry Lucky, «ProgressiveRockFiles», 2011
Sébastien Lépine Project: Entre classique et rock progressif
Le batteur Denis Marchand, le violoncelliste Sébastien Lépine, le bassiste Ian Peterson et le guitariste Martin Carbonneau
unissent leurs influences pour présenter leur projet Perception.
MaMarie-Josée Montminy – Le Nouvelliste, 22 novembre 2010
(Trois-Rivières) L'un est associé à la musique classique, l'autre au métal, un autre au jazz et le dernier au rock progressif.
C'est autour du violoncelliste Sébastien Lépine que s'est constitué le SLP (pour Sébastien Lépine Project), un quatuor aux
influences pour le moins éclectiques, qui se dévoilera au public le 26 novembre à la salle Anaïs-Allard-Rousseau.
Sébastien Lépine est diplômé du Conservatoire de musique de Trois-Rivières et a perfectionné la maîtrise de son instrument
aux universités McGill et de l'Indiana. En plus d'enseigner à l'Académie Les Estacades et au Cégep de Drummondville, il est
invité à jouer avec différents orchestres et ensembles et au sein de festivals reconnus. On le connaît aussi pour le duo qu'il
forme avec le violoniste Antoine Bareil. Les deux musiciens ont conçu et promènent leur spectacle Cordes en délire et
enregistreront leur deuxième album sous peu. C'est d'ailleurs au contact d'Antoine Bareil que le violoncelliste a réanimé sa
curiosité pour l'électrique, au centre de son projet actuel.
Sébastien Lépine avait d'abord été ébloui par la prestation du violoncelliste Eric Longsworth il y a presque 20 ans au Cégep
de Trois-Rivières. «Il jouait du violoncelle électrique dans un spectacle jazz. Je suis allé le voir après et j'ai essayé
l'instrument. J'ai vraiment aimé ça, mais c'est resté dans l'oubli», raconte celui qui poursuivait alors ses études au
conservatoire. «Puis en faisant des spectacles avec Antoine Bareil, on est revenu à parler d'instruments électriques, dans une
recherche de nouvelles sonorités, dans un désir d'aller plus loin. On a intégré une pièce pour instruments électriques dans
Cordes en délire», continue Sébastien Lépine.
C'est une bourse du Conseil des arts et de la culture du Québec qui a permis au violoncelliste et compositeur de se lancer dans
l'écriture d'un spectacle pour violoncelle électrique et autres instruments. Une première version a été présentée en juin 2007,
puis le projet est tombé en dormance alors que l'agenda du musicien était davantage occupé par le classique. Finalement,
Sébastien Lépine a retravaillé les pièces qu'il avait composées, puis s'est entouré des musiciens qui seront avec lui sur scène
le 26 et qui ont joué sur le disque qui y sera lancé. Le batteur Denis Marchand, friand de rock progressif, le bassiste Ian
Peterson, entre autres lié au style plus jazz, ainsi que le guitariste Martin Carbonneau, de la formation métal Martyr,
complètent le SLP.
Quand il décrit la musique de son groupe, Sébastien Lépine évoque le rock progressif, tout en parlant d'une «musique de
chambre électrique». Sa formation classique influence forcément sa façon de composer. «Un musicien classique qui écrit du
rock, au niveau des structures, c'est différent de ce qu'on entend à la radio. Aussi, la basse a ses solos, joue une base plus
mélodique», décrit-il. «Chaque membre du groupe amène ses couleurs. Il y a des portions plus jazz, d'autres un peu plus
lourdes, mais ça demeure très lyrique, très mélodique», détaille le compositeur.
On peut entendre la musique du SLP sur sa page MySpace et sur Facebook, mais le véritable événement de présentation se
tiendra lors du spectacle à la conception élaborée. «C'est un concert pour lancer le disque, et non un lancement de disque
avec une prestation. Ce sera un très bon show. Ça fait tellement longtemps qu'on travaille dessus! On a des fourmis dans les
jambes, on est fébrile», confie Sébastien Lépine.
Jean Marois a participé à la conception des éclairages et Daniel Savoie se chargera de la sonorisation du spectacle d'une durée
d'une heure et demie. Réalisé par le trifluvien d'origine Marc Langis, l'album Perception a été enregistré aux studios Piccolo
de Montréal et paraîtra sous l'étiquette Unicorn Digital.
Ma cote:
SLP
Jazz
Vendredi 26 nov 2010 à 20h
Salle Anaïs-Allard-Rousseau
1425, place de l'Hôtel-de-Ville, Trois-Rivières
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Sébastien Lépine / SLP
Comme une tonne de briques
ARTICLE - 25 novembre 2010
Karine Gélinas
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Sébastien Lépine: "Quand je me suis mis à jouer ce que j'avais composé, je me suis dit: "Je suis niaiseux
d'avoir écrit ça parce que ce n'est pas jouable!""
photo: Éric Gélinas /
Violoncelliste trifluvien issu du milieu classique, Sébastien Lépine se débarrasse de ses
habits
proprets
en
lançant
SLP,
un
projet
de
rock
progressif.
Sur une affiche, le nom de Sébastien Lépine est habituellement accolé à un concert de
musique classique. Cette fois-ci, il en est autrement. Le 26 novembre prochain, le
violoncelliste de Trois-Rivières montera sur les planches de la Maison de la culture de TroisRivières non pas pour y interpréter des oeuvres de Bach ou de Schubert, mais pour y
dévoiler les compositions qu'il a créées pour SLP, son nouveau projet de rock progressif.
On peut se demander ce qui a poussé le musicien, qui a le privilège de jouer sur un
Stradivarius (1699) et qui est très apprécié dans son milieu, à explorer un créneau plus
moderne. "Au début des années 1990, j'ai vu un musicien jazz qui jouait sur un violoncelle
électrique: Eric Longworth. L'instrument m'avait complément séduit par les possibilités qu'il
offrait, qui sont différentes de celles de l'instrument acoustique, se rappelle Lépine. Comme
le concert était au Cégep de Trois-Rivières, j'avais rencontré Longworth et il m'avait fait
essayer son violoncelle. Le coup de foudre! Sauf que j'étais embarqué dans des études
classiques... Mais, c'est toujours resté dans ma tête." Quelque part autour de 2006, alors
qu'il travaille avec le violoniste Antoine Bareil sur le spectacle Cordes en délire, le Mauricien
voit soudainement son vieux fantasme refaire surface. "C'est à ce moment-là que j'ai
commencé à explorer. Comme on s'était donné le mandat d'écrire une pièce pour le
spectacle, j'ai fait d'une pierre deux coups: j'ai écrit pour l'instrument électrique. Le besoin
de composer est alors devenu encore plus criant. J'ai donc commencé à écrire, mais plus
pour un band: violoncelle, guitare, basse et batterie. Puis, en 2007, j'ai eu une bourse du
Fonds dédié des arts pour écrire de la musique et produire un spectacle. C'est là que SLP a
débuté."
LE SON D'UNE ÉQUIPE
Ceux qui ont assisté au premier concert de la formation en juin 2007, dans un parc de
Pointe-du-Lac, remarqueront que plusieurs visages ont changé depuis. De la cuvée
originale, il ne reste que le batteur Denis Marchand. "Après le show de Pointe-du-Lac, on a
dû trouver d'autres membres, confie le violoncelliste. Deux des musiciens du départ ne
voulaient pas investir plus de temps là-dedans. Parce que ça demande beaucoup de temps
pour trouver un son de band. Ian Peterson est arrivé à la basse, puis Martin Carbonneau
à la guitare. Ian vient plus du monde du jazz. Martin fait partie de Martyr, un groupe métal.
Denis a une formation classique, mais c'est un amoureux du rock progressif. Il tripe sur les
mesures irrégulières. Chacun amène sa couleur et ses sonorités. Et c'est comme ça qu'on a
réussi à travailler un son qui nous est propre."
King Crimson, Gentle Giant, The Dream Theater et Porcupine Tree sont quelques-uns des
groupes avec lesquels SLP entretient des liens de parenté. "Mais ils ne m'ont pas influencé,
insiste Lépine. Je suis tellement dans mon monde classique que ce que j'ai écrit vient
vraiment de ce que j'avais à l'intérieur de moi." Il ajoute: " Au départ, l'oeuvre qui m'a le
plus incité à composer et ce vers quoi j'allais, c'est The Way Up de Pat Metheny. C'est une
pièce qui dure à peu près 50 minutes et qui part d'une cellule mélodique, que Metheny a
réarrangée. Il a fait toutes sortes de variations rythmiques et mélodiques autour d'elle.
C'est tellement bon! Ça a complètement bouleversé l'artiste en moi. Par la suite, j'ai écrit.
Je ne savais pas du tout comment ça allait sortir. Le but du départ, c'était de ne pas se
sentir en zone de confort." De fait, les compositions de Lépine demandent une certaine
dextérité de la part de ses interprètes. "C'est assez virtuose! Il y a beaucoup de notes. Ce
n'est pas du Pink Floyd où tu flottes. C'est assez actif. C'est d'ailleurs mon problème! Quand
je me suis mis à jouer ce que j'avais composé, je me suis dit: "Je suis niaiseux d'avoir écrit
ça parce que ce n'est pas jouable!""
Malgré cela, le public devrait avoir beaucoup de plaisir à entendre le contenu de Perception,
le premier album de SLP (réalisé par Marc Langis), vendredi. "On dit souvent que le rock
progressif touche les hommes, les baby-boomers. Mais je me suis aperçu qu'avec le
violoncelle, ça touche plus de gens. Peut-être parce que l'instrument a un côté plus
lyrique..."
Le 26 novembre à 20h
À la salle Anaïs-Allard-Rousseau
Voir calendrier Jazz/Actuelle
SLP (Unicorn Digital)
martes 22 de febrero de 2011
SLP - Perception (Unicorn Digital, 2011)
Desde Canadá llega el cuarteto SLP dispuesto a dar un nuevo giro de tuerca a la escena experimental.
Al frente de esta banda se encuentra el chelista Sébastien Lépine (de ahí las siglas que denominan el
grupo, bautizado como Sébastien Lépine Project), lo cual ya es un punto importante a tener en cuenta.
Las referencias a destacar en este Perception son múltiples y variadas, haciendo de este álbum una
grabación de lo más apetecible para todo seguidor de la escena progresiva. Si bien podríamos definir a
grandes rasgos la música de SLP como un imposible cruce entre Mahavishnu Orchestra y
Apocalyptica, sería demasiado simplificar el incluir solamente estos dos nombres en la ecuación. Ya el
primer tema, “Good Evening”, una larguísima suite que se extiende más allá de los veinte minutos de
duración, es en sí mismo una fusión de subgéneros experimentales, llegando a adentrarse en terrenos
propios de Dream Theater o unos Kansas más retorcidos de lo habitual. Afortunadamente, Sébastien
Lépine ha sabido dar el espacio suficiente a sus compañeros de grupo, manteniendo siempre un
interesante juego entre todos los instrumentos (guitarra, bajo, batería, el propio chelo eléctrico y unos
muy ocasionales teclados). Ya en composiciones como “Cello Tornado”, “Perception” o “Malapou” se
detecta una querencia por aquellos King Crimson de un álbum como Larks’ Tongues In Aspic, aunque
siempre manteniendo un núcleo claramente jazz-rockero. Más aún, se nota en Perception un gusto
especial por rememorar las hazañas de Robert Fripp y sus compinches en aquellos ProjeKcts.
Aunque quizás sea excesiva la duración del LP –una hora y cinco minutos– para la clase de música que
contiene (totalmente instrumental), es seguro que cualquier seguidor de la escena experimental
disfrutará escuchando una obra como Perception. Una vez más, nuestra enhorabuena a los chicos de
Unicorn Digital por sacar adelante propuestas como esta.
por Andrés Puente
Mardi 22 février 2011
SLP - Perception (Unicorn Digital, 2011)
Du Canada nous arrive le quatuor SLP prêt à apporter du renouveau à la scène expérimentale. À la tête
du groupe se trouve le violoncelliste Sébastien Lépine (d’où les initiales qui désignent le groupe, pour
Sébastien Lépine Project), qui est un point important à considérer.
Les références à faire ressortir sur le disque Perception sont nombreuses et variées, faisant de cet
album un enregistrement indispensable pour tout fan de la scène progressive. Nous pourrions définir d’un
trait la musique de SLP comme un croisement impossible entre Mahavishnu Orchestra et
Apocalyptica, mais y inclure seulement ces deux noms dans l’équation serait trop simplifier le tout. Déjà
la première plage avec “Good Evening”, une très longue suite qui se poursuit sur plus de 20 minutes et
qui est en soi une fusion de sous-genres expérimentaux, nous transporte en des terres propres à Dream
Theater ou un Kansas plus tordu que d’habitude. Heureusement, Sébastien Lépine a su laissé
suffisamment de place à ses musiciens, tout en maintenant une interaction intéressante entre tous les
instruments (guitare, basse, batterie, le violoncelle électrique lui-même, et quelques autres claviers
occasionnels). Dans une composition comme “Cello Tornado”, “Perception” ou “Malapou”, on détecte une
affinité avec l’album Larks’ Tongues In Aspic de King Crimson, bien que le noyau soit toujours
maintenu clairement jazz-rock. Mais encore, on note avec l’album Perception une couleur nous
rappelant les prouesses de Robert Fripp et ses acolytes dans l’album ProjeKcts.
Bien que la longueur de SLP est peut-être excessive – une heure et cinq minutes – pour le genre musical
présenté (entièrement instrumental), il est certain que tout adepte de la scène expérimentale se délectera
en écoutant une œuvre telle que Perception. Une fois de plus, nos félicitations à l’équipe de Unicorn
Digital de continuer à nous envoyer des projets comme celui-ci.
par Andrés Puente – Renacer Electrico, Espagne (traduction, Danielle Lefebvre)
by Gert Hulshof - Sea Of Tranquility - UK
SLP: Perception
SLP or Sebastien Lepine Project is a group of musicians from Canada gathered around Cellist Sebastien Lepine. In his
normal musical life Sebastien plays with Orchestras the classical music of the great old composers. Classics if you will. He
had always set his mind on playing modern Rock. This album now playing in my CD player is the first example of
Sebastien's venture into the world or rock music, titled Perception .
The music is best described as progressive Metal with an edge. The edge being the Cello of Sebastien as well as all tracks
on the album are instrumental. Helping him on his first solo outing are guitarist Martin Carbonneau, bassist Ian Peterson,
and drummer Denis Marchand.
This first experiment with the modern rock, progressive style is one that may easily pass you by, Not that the music is
boring or non inspiring, no it is of a high standard indeed, with solid compositions, lots of twists and turns, epic length
songs, so what more can you ask for?
Well I'll be blunt if I may, the album is solid as I stated but can go relatively unnoticed as we have so many albums that
sound similar these days. It would be a shame though to let it pass you by, specially if you like instrumental tunes. These
guys are excellently skilled to play a great song.
I would recommend everyone to at least take your time and listen to the samples on the SLP myspace page. You should be
ready and willing to hear the album after that. Oh, before I forget be prepared for the longer type of song, as there are only
6 songs on the album but they do pass the hour quickly.
Track listing:
01 Cello Tornado
02 Good Evening
03 Gulf Stream And Golf Stream
04 Malapou
05 Perception
06 Rising Moon
Added: March 23rd 2011
Reviewer: Gert Hulshof
Score: 3 1/2
Related Link: Band MySpace Page
Hits: 139
Language: english
DPRP - Dutch Progressive Rock Page, Volume 23
http://www.dprp.net/reviews/201123.php#slp
SLP - Perception
Country of Origin: Canada
Format:
CD
Record Label:
Unicorn Records
Catalogue #:
UNCR 5073
Year of Release:
2011
Time:
64:48
Info:
SLP
Samples:
Click here
Tracklist: Cello Tornado (5:11), Good Evening (21:35), Gulf Stream And Golf Stream (13:55), Malapou (7:17), Perception
(6:31), Rising Moon (10:15)
SLP aka Sebastien Lepine Project is a group of musicians from Canada gathered around cellist Sebastien Lepine. In his
day to day musical life Sebastien plays with orchestras performing classical music of the great old composers - classics if
you will - however he has always set his mind on playing modern rock. The album now playing in my CD player is the first
example of the music and Perception of Sebastien Lepine.
The music is best described as instrumental progressive metal with an edge - the edge being the cello of Sebastien. Helping
him on his first solo outing are guitarist Martin Carbonneau, bassist Ian Peterson, and drummer Denis Marchand.
As I already stated in my opening, Mr Lepine thought it time to release a solo album, but not with a classically oriented
repertoire but with a high profile rock song format. This first experiment with modern rock in a progressive style is one that
may easily pass you by. First of all it might pass by you because most people tend to have a leaning towards song
orientated music with lyrics and therefore vocals - something this album lacks. Secondly the album is good, but not
outstandingly good. This is an album holding solid compositions, the usual extravaganza of soloing artists but not over-rated
as such.
The album contains of six songs and almost all of them have an epic length, and that is another bothersome fact here,
some of the songs have a length that is simply too much, too spun out. If I take the longest song on the album as the
prime example of this fact, it would have made more sense to make that one about half the length it is now. Do not mistake
my words, it still is a good song just overdone.
Having stated as much I will not bother everyone with song details, just some additional remarks in general about the
playing. The band know what it takes to make a song work, they are skilled, everyone of them. It is because of this that
you can surely and positively enjoy this album, especially if you like instrumentals - as I do.
Lots of musical enjoyment is to gained from this album with over an hours worth of fun. Now I cannot recommend it to
everyone but what I will do is recommend everyone to at least check out the band as I think it is well worth the effort. A
good solid debut album.
Conclusion: 7.5 out of 10
GERT HULSHOF
MLWZ – 16 avril 2011
http://www.mlwz.ceti.pl/index.php?option=com_content&task=view&id=6299&Itemid=26
SLP - Perception
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Autor: Robert "Morfina" Węgrzyn
16.04.2011.
Dziś na tapetę bierzemy panów z Kanady. Panów skupionych wokół wybitnego wiolonczelisty Sebastiena Lepine’a
(SLP oznacza Sébastien Lépine Project). No i cóż tu mamy? Progres i jazz? Hmm…, ale brzmi to znakomicie. Ależ ta
wiolonczela daje czadzik, jakże cudne brzmienia słychać na tej płycie. Oj, rozmarzyłem się wiosennie… Ale
przejdźmy do samej muzyki. Krótko i na temat: panowie są świetnymi technikami, którzy żonglują muzyką
progresywną, jazzową i klasyczną. Wiola sprawuje się wyśmienicie, nadając oryginalny charakter muzyce, jaką
tworzą. Jest w produkcjach Kanadyjczyków zadzior, jest czasami wręcz metalowo, progres kwitnie, no i mamy
przestrzeń. Muza bez zastrzeżeń. Jedyne co mnie jeszcze ciekawi, to fakt, co by było gdyby muzyce towarzyszył
wokal?
SLP to świetny zespół, gra doskonale technicznie, a numer nr 3 nieomal „zabija”. Taki z niego killer. Zresztą na
„Perception” słychać same świetne kompozycje. Muzyka, jaką tworzy Sebastien Lepine Project to prawdziwa
mieszanka wybuchowa. Czy brakuje jeszcze zapalnika? - ocenicie sami. Czy ta muzyka jest sprzedawalna? Bo
komercyjna raczej nie jest, wierzę jednak, że jest spore grono ludzi o takiej wrażliwości i estetyce, których takie granie
zachwyci. Z pewnością muzyką zamieszczoną na płycie „Perception” SLP jest w stanie trafić w przychylne gusta. Mój
już mają.
Panowie, a może napiszecie coś do filmu? Bo na waszej płycie mamy sześć kompozycji zdecydowanie różnych od
tego, co słyszy się na „zwykłych” albumach, a każda z nich dopracowana jest w każdym dźwięku i każdym szczególe. Co za oddech, co za powiew świeżego powietrza…
Mocno polecam.
http://www.jerrylucky.com/reviews%20s-t_055.htm
Band: SLP
CD Title: “Perception”
Band Website: http://www.myspace.com/officialslp
Label: Unicorn Digital
Label Website: www.unicorndigital.com
Release Date: 2011
SLP stands for Sebastien Lepine Project. Lepine is an established cellist on the Quebec classical music scene but on
Perception he takes his considerable talents in a completely different direction. Here he uses an electric cello which
easily allows him to be on the same level as everyone else, especially the guitars. For this project Lepine has the
assistance of Martin Carbonneau (guitars), Ian Peterson (bass) and Denis Marchand (drums). As for the music, while
there is no denying a certain classical sensibility it actually displays more of a jazz-fusion influenced progressive
rock, where musicianship is very much at the forefront. There is a lot playing going on here.
Perception has six-tracks mostly on the long side including the opener “Good Evening” [21:35]. It starts with a
heavy blues riff, with the cello very much front-and-centre, not played softly but rather quite aggressively. The
juxtaposition of these instruments creates a rather unusual overall tone. It isn’t long before the guitar takes over for
one of the many searing solos sprinkled throughout the disc. Like most of the compositions, this one is rather
complex. The arrangement features all kind of musical change-ups with different instruments trading off time in the
spotlight. The music changes on a dime from fast to slow to groovy to angular from rocky to, well, not rocky. Given
the lengthy nature of this opening track it is as you might expect is full of shifts in time, tempo and tone. Track two,
“Rising Moon” [10:15] starts off with moody atmospheric cello sounds as it slowly builds in intensity. You don’t
even really notice the other players until about the 2:30 mark and even then they’re simply adding more sounds.
Then at the 3:15 mark everyone launches into a heavy bluesy Led Zeppelin-esque riff made original with the
grinding cello. While there is every effort to make these musical selections musically conventional there are also
times where they get pretty dissonant or crushingly powerful.
Perception turns out to be a very captivating disc. The use of the cello gives the music a haunting, melancholy
feeling that creates a very unique mood. SLP have come up with quite a unique proggy approach and one hopes this
is not just a one-off project. It certainly had me captivated and I look forward to where Lepine can take his music.
http://www.progmontreal.com/fre/mainfr.html
SLP - Perception:
Suite à leur prestation phénoménale à la Convention Terra Incognita au mois de Mai, Unicorn Digital
présente SLP. Sébastien Lépine s'est mérité une solide réputation dans le monde de la musique
classique, mais il est un artiste des plus versatiles, qui n'hésite pas à s'aventurer sur le chemin aléatoire
de l'improvisation et l'expérimentation. SLP (Sébastien Lépine Project) est un projet pour lequel le
violoncelliste échange son précieux Stradivarius pour un violoncelle électrique, accompagné par les
musicien Martin Carbonneau à la guitare, Ian Peterson à la basse et Denis Marchand à la batterie. Au
sein de cet ensemble de musique de chambe éléctrique, si l'on peut le qualifier ainsi, il offre ses propres
compositions de rock progressif aux accents jazz fusion, et crée un amalgame éclectique et accrochant
de thèmes originaux.
Inspiré par des artistes tels que King Crimson, Pat Metheny, et Gentle Giant, l'ancien apprenti du
mâitre du violocelle Janos Starker explore les différents aspects du violoncelle électrique grâce a ses
compositions remarquables qui mettent bien en évidence son spectaculaire instrument. Avec l'addition de
guitare électrique, de basse et de batterie, leur son est aussi innovateur que surprenant.
L'album est disponible chez tous les bons disquaires, dont Archambault.ca et via Unicorn Digital.
Perception http://music.douban.com/subject/6518685/
表演者: SLP / Sébastien Lépine Project
版本特性: Import
介质: Audio CD
发行时间: 2011-04-19
出版者: Unicorn Digital
唱片数: 1
条型码: 0629048139727
http://www.myspace.com/officialslp
SLP stands for Sebastien Lepine Project. Lepine is an established cellist on the Quebec classical music scene but on Perception he takes his considerable
talents in a completely different direction. Here he uses an electric cello which easily allows him to be on the same level as everyone else, especially the guitars.
For this project Lepine has the assistance of Martin Carbonneau (guitars), Ian Peterson (bass) and Denis Marchand (drums). As for the music, while there is no
denying a certain classical sensibility it actually displays more of a jazz-fusion influenced progressive rock, where musicianship is very much at the forefront. There
is a lot playing going on here.