ESPION LEVE TOI !
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ESPION LEVE TOI !
JUIN 2013 ESPION LEVE TOI ! La quasi-totalité des entreprises utilisent aujourd’hui des solutions informatiques, des ressources internet et les environnements mobiles de type tablettes ou téléphone…, mais peu d’entre elles sont suffisamment attentives aux risques encourus, risques liés non seulement à leur propre faiblesse de victime mais aussi à la force des attaquants ou « Hackers » Il n’existe plus de différence entre la sphère privée (familiale, personnelle) et la sphère professionnelle, et les outils et techniques d’attaque sont librement accessibles et à la portée de tous. Les risques informatiques (Pc et réseaux) purs sont généralement identifiés et donnent lieu à la mise en place de logiciels antivirus, de solutions anti intrusion, ainsi que de procédures de sauvegarde et de conservation des systèmes d’exploitation, des applications et des données. Encore faut-il s’assurer du respect de ces procédures !!! Concernant les outils périphériques connectés, la surveillance est moindre. Tentons d’identifier certains risques et les solutions de bon sens permettant leur neutralisation : se méfier de tout message ou mail douteux (numéros inconnus, bruit ambiant en arrière fond, durée de la charge régulièrement basse, augmentation de l’activité GPS, appareil anormalement chaud hors activité, consommation et facture hors norme...). L’espionnage matériel se propage via la capture de clavier ou d’écran, l’espionnage par caméra, l’écoute à distance par micro. Les imprimantes et télécopieurs sont dotés de cartes mères et cartes mémoires totalement assimilables à des composants informatiques d’ordinateurs. L’ensemble de ces périphériques sont donc susceptibles d’être « violés », captés ou modifiés par des professionnels et/ou de plus en plus par des amateurs plus qu’avertis… Une simple recherche sur Google « Gadgets espionnage informatique » illustrera à l’envi la multiplicité des outils existants (de la cravate caméra au cendrier magnétophone…) nés de l’imagination débridée des admirateurs de James BOND. N’oublions pas qu’une étude du CREDOC réalisée en 2008, montrait que les poubelles d’au moins 65 % des entreprises contenaient des documents confidentiels et que … l’affaire Dreyfus a commencé dans une poubelle. La téléphonie mobile est susceptible d’être piratée (écoute, scan, prise de contrôle, insertion de messages fictifs ou fabriqués…). Commençons donc par en surveiller le contenu. Les principes de précaution consistent à ne pas prêter son téléphone, ne pas le laisser sans surveillance, le configurer pour en interdire l’utilisation, éviter de stocker des données sensibles, utiliser les SMS avec mots de passe, Une lutte anti espionnage efficace passe d’abord par la prudence et la discrétion professionnelle ; c’est la connaissance des risques qui guidera naturellement les bonnes pratiques à mettre en œuvre. DUO Solutions peut vous aider !!! TALENTS MULTIPLES, CONSEILS UNIQUES, 1 Sommaire : FISCAL / COMPTABLE Page 2 . TVA sur marge / auto-liquidation – autofacturation : ne pas oublier les nouvelles mentions sur les factures . Impôt sur le revenu et prélèvements sociaux : 1 seul avis d’imposition au lieu de 2 SOCIAL Pages 3 - 4 . Focus sur compléments de rémunération « sans charges sociales » : deuxième partie épargne salariale . Le mariage pour tous . Sécurisation de l’emploi AGRICOLE Page 4 BENEFICES NON COMMERCIAUX Page 5 ECHEANCIER Page 5 CHIFFRES CLES Page 6 . Crédits d’impôts pour les activités agricoles . BNC et barème kilométrique pour les véhicules électriques : changement de cap FISCAL / COMPTABLE TVA SUR MARGE / AUTO-LIQUIDATION – AUTO-FACTURATION : NE PAS OUBLIER LES NOUVELLES MENTIONS SUR LES FACTURES spécifique mais il reste toutefois recommandé de porter sur la facture une mention du type «Facture établie par X au nom et pour le compte de Y ». Les mentions obligatoires sur les factures sont à leur tour touchées par l’harmonisation européenne. Les nouvelles dispositions prévoient que dans certains cas une facture simplifiée peut être établie. Ainsi, lorsque le montant de la facture est inférieur ou égal à 150 € HT certaines des mentions précitées ne sont pas obligatoires. Jusqu’à présent en cas d’exonération, d’auto-liquidation de la taxe par le client ou d’application du régime de la marge bénéficiaire, devaient être portées sur les factures des références à des dispositions, directives, … Si vous êtes concernés par l’une ou l’autre de ces dispositions, nous vous conseillons vivement de vous rapprocher du collaborateur en charge de votre dossier. Rien ne change pour les cas d’exonération. Pour les cas d’auto-liquidation quels qu’ils soient, il y a lieu désormais d’indiquer sur les factures non plus la référence à la disposition applicable mais la seule mention « Auto-liquidation » IMPOT SUR LE REVENU ET PRELEVEMENTS SOCIAUX : 1 SEUL AVIS D’IMPOSITION AU LIEU DE 2 En cas d’application du régime de la marge, ce régime devra être précisé par une mention expresse de type : « Régime particulier – Agences de voyages » (CGI ann. II art.242 nonies A) « Régime particulier – Biens d’occasion » (CGI …) « Régime particulier – Objets d’art » (CGI …) A compter de 2013, l’avis d’imposition des prélèvements sociaux sera fusionné avec celui de l’impôt sur le revenu. Lorsque l’acquéreur des biens ou le preneur des services émet la facture à la place du fournisseur ou du prestataire, la facture devra porter la mention « Auto-facturation ». En revanche, si la facture est établie par un tiers (soustraitance de la facturation) il n’est pas prévu de mention Il semblerait que la date de paiement retenue soit celle de l’impôt sur le revenu. Les contribuables recevront un seul document avec : - le détail du calcul des 2 impôts ; - et le montant total à régler. 2 SOCIAL FOCUS SUR COMPLEMENTS DE REMUNERATION « SANS CHARGES SOCIALES » : DEUXIEME PARTIE EPARGNE SALARIALE Comme annoncé dans notre lettre du mois précédent, l’épargne d’entreprise est une piste pour un complément de salaires avec charges sociales limitées. Comme promis, voici un rapide aperçu des divers modes d’épargne ouverts aux salariés dans le cadre de l’entreprise. Petit rappel terminologique : le Plan d’Epargne d’Entreprise (PEE), fondé par une entreprise ou un groupe, devient : - un plan d'épargne interentreprises (PEI) s’il est fondé en commun entre plusieurs entreprises ne constituant pas un groupe ; - un Plan d'Epargne pour la Retraite Collectif (Perco), soit d'entreprise, soit interentreprises, s’il est ouvert en vue d’une épargne longue venant en complément de la retraite. Mais le PEE, le PEI et le PERCO gardent beaucoup de points communs. C’EST QUOI L’EPARGNE D’ENTREPRISE ? Système d'épargne collectif, le plan d’Epargne permet au salarié, avec l’aide de l'entreprise, de se constituer une épargne sous la forme d’un portefeuille de valeurs mobilières. QUI PEUT METTRE EN PLACE UN PEE ? Il est par principe facultatif dans les entreprises de moins de cinquante salariés, et obligatoire dans les entreprises assujetties à la Participation, soit de droit, soit par assujettissement volontaire. Toute entreprise peut donc mettre en place un PEE : les TPE et PME sont aussi concernées. COMMENT METTRE EN PLACE UN PEE ? C’est très simple : soit par décision unilatérale de l’employeur dans les entreprises sans représentants du personnel, soit après négociation avec le CE ou le délégué syndical s’il en existe. COMMENT CA MARCHE PRATIQUEMENT UN PEE ? Le salarié alimente son plan à sa guise, soit avec des versements libres, soit par affectation des sommes dont il bénéficie au titre de la participation ou de l’intéressement. L’entreprise peut compléter le versement de son salarié par un versement complémentaire appelé abondement qui : o n’a pas le caractère d’un complément de salaire ; o échappe aux charges sociales « traditionnelles » ; o est assujetti à la CSG-CRDS 8 % et au forfait social 20 %. Dans le Perco, une contribution particulière de 8,2 % s’applique également à la partie de l’abondement qui excède 2 300 € par adhérent et par an. L’abondement constitue bien entendu une charge déductible du résultat imposable de l’entreprise. Les versements annuels d'un salarié à son PEE sont limités : ils ne peuvent excéder un quart de sa rémunération annuelle. Les abondements sont également contingentés (plafonds différents selon qu’il s’agit de PEE ou de Perco). Pour bénéficier des exonérations fiscales et sociales, il y a bien entendu quelques contraintes. Sauf cas de déblocages anticipés limitativement énumérés par la loi, l’épargne est bloquée, soit pendant 5 ans (PEE, PEI), soit jusqu’au départ en retraite (Perco). Selon le niveau d’abondement accordé par l’entreprise, ces modes d’épargne sont en général attractifs pour les salariés. On doit reconnaître, toutefois, qu’ils favorisent les salariés ayant déjà une facilité d’accès à l’épargne. 3 LE MARIAGE POUR TOUS Pouvait-on faire l’impasse sur ce sujet ? Il a imprégné le discours politique au cours de ces derniers mois et fait s’opposer parfois violemment certaines franges de la société civile ! Mais nous n’entrerons pas dans le débat ; si la Loi sur le Mariage pour Tous est évoquée dans ces pages, c’est pour ses impacts sur divers points du droit social. Retenons que, voté et applicable, le texte permet aux couples mariés de même sexe d’accéder aux droits jusqu’alors réservés aux couples mariés hétérosexuels. En pratique, cela recouvre des domaines assez divers : - accès aux congés pour événements familiaux, dont le congé pour mariage (ordonnance en cours) ; accès au congé d’adoption ; majoration de durée de l’assurance vieillesse en cas d’adoption ; droit à la pension de réversion en matière de retraite (ordonnance en cours) ; protection contre les discriminations : droit de refuser une mutation vers un pays qui incrimine l’homosexualité (recours en annulation en cours devant le Conseil constitutionnel, à suivre). SECURISATION DE L’EMPLOI Elle a pour objet de sécuriser certains droits des salariés, d’apporter plus de flexibilité aux entreprises et de renforcer le dialogue social. Elle est la traduction de la plupart des mesures prévues par l’accord national interprofessionnel qu’évoquait notre lettre de février dernier. Voici les grands thèmes abordés : Mesures en faveur de l’emploi Licenciements économiques Chômage Formation professionnelle Représentation du personnel Prévoyance complémentaire Durée du travail Contentieux Le format de cette lettre mensuelle ne permet pas d’aborder ces thèmes en détail ; les publications professionnelles ne parviennent pas à les résumer en moins de deux pages !, et les exposent en cinquante pages ! Par pragmatisme, nous reviendrons sur chacun des thèmes abordés à mesure de la parution des décrets d’application les concernant. Retenons les grandes nouveautés : - La loi de sécurisation de l’emploi vient d’être adoptée. refonte du chômage partiel ; modification de la procédure de licenciement de plus de 10 salariés dans les entreprises de plus de 50 salariés ; régulation du travail partiel subi ; généralisation des garanties santé et prévoyance à l’horizon 2016. AGRICOLE CREDITS D’IMPOTS POUR LES ACTIVITES AGRICOLES CREDIT D’IMPOT EN FAVEUR DE L’AGRICULTURE BIOLOGIQUE Le crédit d’impôt prévu en faveur des entreprises agricoles dont 40 % au moins des recettes proviennent d’activités relevant du mode de production biologique est reconduit pour 2 ans, soit jusqu’au 31 décembre 2014. Ce crédit d’impôt est maintenu à 2 500 euros pour 2013 et 2014. CREDIT D’IMPOT CONGE Le crédit d’impôt au titre des dépenses de remplacement, lorsque l’activité requiert une présence quotidienne sur l’exploitation, est prorogé jusqu’au 31 décembre 2016. Ce crédit d’impôt est égal à 50 % des dépenses engagées par l’exploitant en vue de son remplacement pour congés (maladie, accident, vacances) dans la limite annuelle de 14 jours. 4 BENEFICES NON COMMERCIAUX BNC ET BAREME KILOMETRIQUE POUR LES VEHICULES ELECTRIQUES : CHANGEMENT DE CAP Le 17 avril dernier, l’Administration, dans son Bulletin Officiel des Finances Publiques – Impôts (BO), document qu’il est loisible à tout citoyen de consulter, notamment sur le net, prenait officiellement position pour la première fois sur l’éligibilité des véhicules électriques au barème kilométrique forfaitaire, considérant que ce barème ne pouvait s’appliquer. Notre dernier article en faisait déjà état. Le 5 mai dernier, elle est revenue sur sa position dans ce même BO. Désormais est-il considéré que « s’agissant plus spécifiquement des frais de carburant (qui sont inclus dans le barème), ceux-ci doivent être entendus au sens large, c’est-à-dire comme correspondant à toute dépense destinée à fournir une alimentation aux véhicules utilisés par le contribuable. Ainsi, en ce qui concerne les véhicules électriques, la location de batterie et les frais liés à la recharge de la batterie (fourniture d'électricité) sont assimilés à des frais de carburant. Ces frais sont donc inclus dans le barème forfaitaire et ne peuvent donner lieu à une déduction complémentaire pour leur montant réel et justifié. » ECHEANCIER DE L’ETE 2013 JUILLET 2013 Délai variable : Déclaration et paiement de la taxe sur le chiffre d'affaires afférente aux opérations de juin 2013 ou du deuxième trimestre. 05.07.2013 : Entreprises d'au moins 50 salariés : paiement des cotisations U.R.S.S.A.F. et POLE EMPLOI afférentes aux salaires de juin 2013. 08.07.2013 : Entreprises d'au moins 50 salariés : déclarations à la D.D.T.M.O. des mouvements de personnel de juin 2013. 12.07.2013 : Dépôt auprès du service des douanes de la déclaration d'échanges des biens intra-communautaires relative aux opérations de juin 2013. 15.07.2013 : Sociétés soumises à l'impôt sur les sociétés ayant clos leur exercice le 31 mars 2013 : liquidation et paiement du solde de l'impôt. Entreprises de moins de 50 salariés : paiement des cotisations U.R.S.S.A.F. et POLE EMPLOI afférentes aux salaires de juin 2013 ou du deuxième trimestre 2013. Tous employeurs : versement des cotisations de retraite du deuxième trimestre 2013. 31.07.2013 : Sociétés soumises à l'impôt sur les sociétés ayant clos leur exercice le 30 avril 2013 : dépôt de la déclaration des résultats et des documents annexes. AOUT 2013 Délai variable : Déclaration et paiement de la taxe sur le chiffre d'affaires afférente aux opérations de juillet 2013. 05.08.2013 : Entreprises d'au moins 50 salariés : paiement des cotisations U.R.S.S.A.F. et POLE EMPLOI afférentes aux salaires de juillet 2013. 08.08.2013 : Entreprises d'au moins 50 salariés : déclaration à la D.D.T.M.O. des mouvements de personnel de juillet 2013. 11.08.2013 : Dépôt auprès du service des douanes de la déclaration d'échanges des biens intra-communautaires relative aux opérations de juillet 2013. 14.08.2013 : Entreprises de plus de 9 salariés et moins de 50 salariés : paiement des cotisations U.R.S.S.A.F. et POLE EMPLOI afférentes aux salaires de juillet 2013. 16.08.2013 : Sociétés soumises à l'impôt sociétés ayant clos leur exercice le 30 avril 2013 : liquidation et paiement du solde de l'impôt. 31.08.2013 : Sociétés soumises à l'impôt sur les sociétés ayant clos leur exercice le 31 mai 2013 : dépôt de la déclaration des résultats et des documents annexes. 5 LES CHIFFRES CLES DU CHEF D'ENTREPRISE J F S.M.I.C. HORAIRE ET MINIMUM GARANTI 2013 . S.M.I.C. horaire euros 9,43 9,43 . Minimum garanti euros 3,49 3,49 M A 9,43 3,49 9,43 3,49 INDICE DES PRIX "TOUS MENAGES" 2013 . Indice des prix 126,11 . Hausse sur 12 mois 1,2% 126,47 1,0% 127,43 1,0% 127,24 0,7% TAUX D'INTERETS 2013 . Taux d'intérêt légal . Taux EURIBOR à 1 mois (ex PIBOR) . Taux EONIA (ex TMM : Moy Mens) 0,04 0,1200 0,0683 0,04 0,1180 0,0702 0,04 0,1180 0,0819 0,04 0,1120 0,0709 Cotisations sur salaires bruts au 01.01.13 URSSAF Base . C.R.D.S. et C.S.G. 98,25% salaire +(1) . C.S.G. déductible 98,25% salaire +(1) . Assurance maladie & veuvage salaire total . Contrib. de Solidarité autonomie salaire total . Ass. vieillesse plafonnée tranche A . Ass. vieillesse non plafonnée salaire total . Forfait social divers exo SS . Allocations familiales salaire total . Accident du travail salaire total . FNAL :- tous employeurs tranche A - 20 salariés et plus tranche A - 20 salariés et plus tranche B . Vers.transport (si +9 salariés) salaire total . Réduction FILLON cot. patronale Pole emploi . Chômage tranches A+B . FNGS tranches A+B Retraites complémentaires (taux minimum) . Non cadres (ARRCO) tranche 1 tranche 2 . AGFF (ARRCO) tranche 1 tranche 2 . Cadres: - ARRCO tranche A : - AGFF tranche A - AGIRC tranche B - AGFF tranche B - Cadres supérieurs tranche C - CET tranches A à C - Prévoyance cadres tranche A - GMP (5) 326,39 €/mois - APEC tranches A + B M 9,43 3,49 J 6,75% 0,10% 12,80% 0,30% 8,40% 1,60% 8,00% 5,40% taux variable 0,10% 0,40% 0,50% taux variable (4) 2,40% 4,00% 0,30% 3,00% 8,00% 0,80% 0,90% 3,00% 0,80% 7,70% 0,90% 7,70% 0,13% 4,50% 12,00% 1,20% 1,30% 4,50% 1,20% 12,60% 1,30% 12,60% 0,22% 1,50% 12,60% 0,036% 7,70% 0.024% d* = distance parcourue à titre professionnel sur l'année, Véhicule : . Vélomoteurs et scooters Jusqu'à : 2 000 km 0,266 de à de 2 001 à 5 000 (d x 0,063) + 406 Plus de: 5 000 0,144 . Motos 1 ou 2 CV 3 CV 4 CV 5 CV plus de 5 CV 3 000 km 0,333 0,395 0,511 de 3 001 à 6 000 (d x 0,083) + 750 (d x 0,069) + 978 (d x 0,067) + 1 332 6 000 0,208 0,232 0,289 . Voitures 3 CV et 4 CV 5 CV 6 CV 7 CV et + 5 000 km 0,405 0,487 0,536 0,561 0,587 de 5 001 à 20 000 (d x 0,242) + 818 (d x 0,274) + 1 063 (d x 0,3) + 1 180 (d x 0,316) + 1 223 (d x 0,332) + 1 278 20 000 0,283 0,327 0,359 0,377 0,396 Mise à jour : 07.06.2013 O N D Plafond de Sécurité Sociale 2013 - mensuel - annuel 3 086 37 032 S.M.I.C. mensuel Nombre d'heures mensuelles SMIC au 01.01.13 (brut) valeurs en euros horaire base 35 h/semaine : soit 151,67 h 1 430,25 horaire base 39 h/semaine, soit 169 h et majoration de salaire à 10 % ou bonification en repos (si accord de branche) ou majoration de salaire à 25 % 1 609,44 1 593,67 1 634,53 Indice du coût de la construction (INSEE) 1e T 2e T 3e T 4e T 2010 1508 1517 1520 1533 2011 1554 1593 1624 1638 2012 1617 1666 1648 1639 (1) et sur 100 % des cotisations patronales de retraite supplémentaire + prévoyance. Au-delà de quatre fois le plafond annuel SS, prendre 100 % du salaire et non plus 98,25 %, (2) Pour dépt. Rhin - Moselle, cotis. suppl. de 1,60 % due s/ totalité du salaire. (3) Non déductible . (4) Deux formules intégrant les Heures supplémentaires depuis janvier 2012. Entreprises de plus de 19 salariés : 0,26 SMIC annuel sur horaire total Coefficient : ------- x [(1,6 x -------------------------------------------------------------) - 1] 0,6 rémun. brute annuelle, dont HS et Hcomplt Entreprises de 1 à 19 salariés : 0,281 SMIC annuel sur horaire total Coefficient : ------- x [(1,6 x -------------------------------------------------------------) - 1] 0,6 rémun. brute annuelle, dont HS et Hcomplt (5) salaire charnière en-dessous duquel le GMP est appelée : 3 412,39 € / mois pour un temps plein. Barème fiscal des indemnités kilométriques 2012 S 0,04 0,1120 0,0784 (3) (2) A 9,43 3,49 Cotisations à la charge du Salarié de l'Employeur 2,90% 5,10% 0,75% J 2010 2011 2012 Indice des loyers commerciaux (ILC) 1e T 2e T 3e T 101,36 101,83 102,36 103,64 104,44 105,31 107,01 107,65 108,17 2011 2012 2013 Indice de référence des loyers 1e T 2e T 3e T 119,69 120,31 120,95 122,37 122,96 123,55 124,25 4e T 102,92 106,28 108,34 4e T 121,68 123,97 Evaluation forfaitaire des avantages en nature 2013 Nature 1 repas / jour 2 repas : 1 journée Logement * Forfait 4,55 9,10 Valeur réelle Forfait ou Valeur locative + valeur réelle des avantages accessoires Fourniture véhicule Forfait Valeur réelle Matériel informatique et de communication Autres avantages Forfait Valeur réelle Valeur réelle ATTENTION ! votre Convention collective peut prévoir des valeurs supérieures. Remboursement forfaitaire des frais professionnels (limite d'exonération SS) 2013 Frais de nourriture Indemnité de restauration sur le lieu de travail 6,00 Indemnité par repas si déplacement professionnel 17,70 Indemnité de repas ou de restauration hors des locaux de l'entreprise ou sur chantier 8,60 Indemnités forfaitaires de grand déplacement en métropole Indemnité par repas 17,70 Logement et petit déjeuner : . Paris/Hts-de-Seine/Seine-St-Denis/Val-de-Marne 63,30 . Autres départements 47,00 Grand déplacement : au delà de 3 mois Forfait réduit de 15 % Grand déplacement : au delà de 24 mois Forfait réduit de 30 % Mobilité professionnelle Dans la limite de neuf mois, par jour 70,40 ATTENTION ! Ces chiffres constituent des limites légales d'exonération. Votre Convention colllective peut prévoir des valeurs supérieures. 6