Bibliographie-Discographie Duke Ellington

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Discographie - Bibliographie
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Un
Duke,
le jazz et nous
Mars - Avril 2015
Duke,
Parcourez le jazz et le swing à travers la figure
incontournable de Duke Ellington (1899-1974),
compositeur ayant marqué profondément la
musique et le jazz du XXè siècle, défendant
l’idée d’un art pour tous au-delà du style et des
époques. Les médiathèques et conservatoires
du Val d’Orge, ainsi que le Ciné 220 et le
Rack’Am vous convient à plusieurs semaines
de découverte ou redécouverte de son œuvre,
et du jazz contemporain de son époque, tout
en rendant hommage aux grands orchestres
de jazz.
Tous ces documents peuvent être empruntés dans
les médiathèques du Val d’Orge avec le Bibliop@ss.
Vous trouverez également un choix plus important
de documents en médiathèque et sur le portail
lireenvaldorge.fr
Bibliographie « Duke, le jazz et nous »
le jazz et nous
Ouvrages généraux ................................. p. 5
Duke… ce concepteur innovant .............. p. 8
Duke… et les suites concertantes........... p. 12
Duke… ce pianiste.................................. p. 15
Duke… le jazz et les films........................ p. 18
Duke… et les autres............................... p. 20
Compositeur américain, pianiste et chef d’orchestre
de jazz (Washington 1899 - New York 1974)
Pilier de la musique américaine du XX siècle avec
une carrière qui dura plus de cinquante ans, Duke
Ellington est un des noms incontestables de la
musique de jazz. Son œuvre, d’environ trois-mille
compositions, est la plus large de l’histoire du
jazz et nombre de ses morceaux sont considérés
aujourd’hui comme des standards incontournables.
e
Ellington a su faire du jazz un art et non simplement
une musique, donnant à la fois une intelligence
à une musique de danse et un déhanchement à
une musique intellectuelle. Les premiers concerts
en 1926 au Cotton Club le mènent vite vers une
renommée fulgurante, déjà à la direction de son
propre « big band » composé de musiciens tels que
le saxophoniste Johnny Hodges, et le trompettiste
Cootie Williams. En 1933, après une tournée avec
son orchestre en Angleterre, Duke Ellington obtient
la reconnaissance de nombreux compositeurs de
musique dite « sérieuse », ce qui éveille en lui un
désir de composer de manière plus approfondie.
A la fin de la seconde guerre mondiale, la notoriété
d’Ellington s’estompe au profit de nouveaux
groupes de jazz « bebop » et de crooners ; ce n’est
qu’après le festival de jazz de Newport en 1956
- un concert légendaire dans sa carrière - qu’il
trouve l’appréciation d’un nouveau et plus large
public. Récompensé à de nombreuses reprises par
des distinctions telles que le Prix Pulitzer ou la
Légion d’Honneur, Duke Ellington a non seulement
contribué à l’évolution du jazz au XXe siècle, mais
a joué également un rôle primordial dans l’histoire
de ce genre.
Duke Ellington
Billard, François (1948-....)
Seuil, 1994
Une biographie très complète retraçant l’ensemble de
la carrière du grand jazzman, tout en présentant son
influence majeure sur le jazz contemporain.
Duke Ellington
Rouy, Gérard (1948-....)
Vade-retro, 1996
Un livre cd offrant un panorama bien fourni de sa carrière
avec de nombreux encarts sur les musiciens ou styles
musicaux, le tout abondamment illustré. L’ensemble
s’accompagne d’un CD de dix-huit titres, proposant des
pièces maîtresses tout en évitant le piège d’un «best of»
de morceaux trop populaires.
Le grand Duke
Bergerot, Franck (1953-....)
Jazz Magazine : n° 660 et 661
Dossier très complet réalisé par le magazine en 2014.
The Birth of a band vol. 1 (1924-1926)
Ouvrages généraux
Duke Ellington
Ellington, Duke (1899-1974)
EPM Musique, 1988
Enregistrements des œuvres de Duke avant qu’il ne
développe son propre style musical. Duos piano-voix, et
instrumentaux.
Source : www.francemusique.fr/personne/duke-ellington
Plus d’informations sur le site officiel :
www.dukeellington.com/
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Jazz moods : hot
Greatest hits
Compilation de classiques de Duke Ellington.
33 tours retraçant en
incontournables de Duke.
La Légende
Ouvrages généraux
BMG Music, 1999
Accompagné des musiciens Harry Carney et Russel
Procope.
CBS Records, 1983
quelques
morceaux
les
morceaux
les
The legendary
Vogue Records, 1976
33 tours retraçant en
incontournables de Duke.
quelques
Ouvrages généraux
Sony Bmg Music Entertainme, 2005
Will big bands ever come back ?
Warner Bros. Records, 2009
Duke Ellington et son orchestra reprennent 11 classiques
des Big Bands.
Duke Ellington : Montréal 1964
CODAEX, 1964
Captation video d’un concert de Duke Ellington regroupant
plusieurs de ses classiques.
Duke Ellington, the best of
Carisch Musicom Publications, 2003
Partition de quelques œuvres représentatives de Duke
Ellington.
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Ellington, Duke (1899-1974),
BDJazz, 2005 (P)
Engagé en 1939 par Ellington, Billy, pianiste et compositeur
admirateur du Maestro, devint très vite son collaborateur
indispensable, auteur de l’indicatif de l’orchestre, « Take The
«A» Train », et de centaines d’œuvres et d’arrangements du
monde musical ellingtonien. Le récit de cette collaboration
raconté en bandes dessinées.
Ko-ko
The Okeh Ellington
Columbia, 1991
Enregistrement de ses classiques, accompagné des
musiciens Joe Nanton, Fred Guy, Louis Metcalf, Bubber
Miley et Otto Hardwick.
The complete Ellington Indigos
Duke Ellington (1899-1974)
Le style mood créé par Duke Ellington fait référence à
sa composition Mood indigo (1930), qui peut être défini
comme une musique d’atmosphère douce et lumineuse,
au tempo lent et aux subtiles associations de timbres.
Dreyfus-Motors, 1941 - 2000
Accompagné des musiciens Jimmy Blanton et Barney
Bigard, la composition est bluesy, et d’une construction
inhabituelle.
The Complete Duke Ellington
vol. 1 et 2 (1947-1952)
Avid Jazz, 1989
Tous les enregistrements de Duke Ellington durant cette
période.
Duke Ellington at Newport
The complete 1938-1939 et 1939-1940
CBS Records, 1979/1981
Outre la presence de Duke Ellington et son orchestra sur
ce 33 tours, on y retrouve aussi l’orchestre de Rex Stewart,
Johnny Hodges et Cootie Williams, puis Jimmy Blanton et
Ben Webster
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Duke Ellington joue Billy Strayhorn
Columbia, 1958/1999
Album incontournable de sa carrière, il est notamment
célèbre pour les 27 chorus de Paul Gonsalves sur
Diminuendo in Blue and Crescendo in Blue, qui ont failli
provoquer une émeute.
Duke... ce concepteur innovant
En collaboration étroite avec ses musiciens, solistes hors pairs triés sur le
volet, Duke Ellington peut être qualifié de créateur de l’esthétique du grand
orchestre en donnant au jazz quelques-uns de ses joyaux aux orchestrations
somptueuses, aux thèmes raffinés, et à une palette sonore inimitable. Fidèle
à la tradition musicale noire américaine du blues et du swing, il donne à
entendre une musique parfois très érudite et très construite (polytonalité,
chromatismes), sans toutefois oublié son appartenance au monde du
music-hall ni céder à la mode.
A la fois arrangeur et concepteur au style très personnel, son registre
s’étend de la musique jazz de danse aux grandes suites concertantes, tout
en passant par le style mood et surtout le style jungle, caractéristique
principale de son œuvre.
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Ellington, Duke
Abeille Musique, 2007
Captation video du concert de Newport donné en 1958 par
le Duke et son orchestra.
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Blues in orbit
Columbia, 1960
Il s’agit d’un album très représentatif de la volonté de Duke
d’orienter sa musique vers le concept des suites, le tout
chargé de spontanéité, et teinté d’ambiance nocturne.
Ellington 65
Warner Bros. Records, 1964
L’album comprend des enregistrements de chansons
populaires d’Ellington et Billy Strayhorn, dans une formule
qui a été revisitée sur Ellington ‘66.
Duke Ellington at the Côte d’Azur with
Ella Fitzgerald and Joan Miro
Eagle Vision, 1966/1973/2007
La captation video du concert mythique.
And his mother called him Bill
Sony Bmg Music Entertainment, 1967
Ce disque a été enregistré en hommage à Billy Strayhorn
(mort en 1967), proche ami, collaborateur de Duke, et qui
a grandement contribué au génie concepteur d’Ellington.
The popular
RCA Records, 1967
33 tours enregistré en studio accompagné de Cootie
Williams, Cat Anderson, Lawrence Brown, Buster Cooper,
Johnny Hodges, Paul Gonsalves et Jimmy Hamilton.
Ellington ‘66
Warner Bros. Records, 1965/s.d.
L’album a obtenu un Grammy Award pour le Meilleur
album de performance jazz instrumental avec un grand
orchestre en 1966.
Carte blanche à Étienne Klein
Duke Ellington : Live in 58
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Afro-bossa
Reprise Records, 1963
Afro-Bossa est le premier album du grand Duke pour
Reprise Records (label fondé par Frank Sinatra en 1960)
qui, chose rare à l’époque, lui donnera carte blanche pour
le contrôle artistique.
The complete orchestral suites 1931-1960
(coffret 5cd)
United Archives, 2001
Ce coffret rassemble les suites d’orchestre de Duke
Ellington gravées entre 1931 et 1960.
Such sweet thunder
My people
Jazz Flying Dutchman Records, 1963
L’album comprend des enregistrements réalisés lors d’un
spectacle donné à Chicago dans le cadre du Century of
Negro Progress Exposition. Ellington y est à la baguette
d’un autre orchestre que le sien.
Sony Music, 1956-2011
Invité avec son orchestre en 1956 au Shakespearean
Festival de Stratford, il fut chargé par les organisateurs
d’écrire une oeuvre d’après Shakespeare : « Le songe d’une
nuit d’été ». Il la conçue comme une suite de courtes pièces,
comme une galerie de portraits shakespeariens.
Concert in the virgin islands
Reprise Records, 1965
Il s’agit d’enregistrements studio que Duke composa après
avoir joué à Sainte-Croix et Saint-Thomas dans les îles
Vierges d’où le morceau « Virgin islands suite » en quatre
parties.
Black, brown and beige
Legacy, 1958
Avec la voix bouleversante de cette immense chanteuse
de gospel qu’était Mahalia Jackson, «Black, Brown And
Beige» raconte l’histoire du peuple noir aux Etat-Unis, de
l’esclavage à la vie dans les ghettos de Harlem avec toute
l’emphase qui caractérise le Duke.
Duke Ellington’s far east suite
Sony Music, 1966-2011
Constitué d’une «suite» de neuf morceaux cet album
de 1966 est probablement l’un des plus importants
enregistrements d’Ellington pendant les années 60. La
pièce la plus connue du disque, la ballade «Isfahan» qui
met en avant l’exceptionnel talent de Johnny Hodges.
Duke... et les suites concertantes
Après une période plus « impressionniste (1945-1954), toujours accompagné
de son arrangeur Billy Strayhorn, il compose des suites concertantes
(Perfume suite, Deep south suite…), à la recherche d’une communication
universelle et avides d’expériences nouvelles . A un certain classicisme, se
mêle des influences exotiques…
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WEA Music, 1971/1991
« Afro-eurasian Eclipse » (sous-titré « Une suite en huit
parties ») est un des albums les plus intrigants des
productions de l’artiste en fin de carrière.
Masterpieces by Ellington /
Liberian suite / Ellington Uptown
Un coffret de trois albums essentiels de la discographie
du Duke enregistrés entre 1951 et 1952, notamment son
approche autour des suites concertantes.
A partir de 1956, il tient de plus en plus la partie de piano avec son orchestre,
qu’il emmène jouer à travers le monde, qu’il s’agisse de salles de concert
prestigieuses ou de dancings populaires, pour des publics les plus variés.
Il se produit en petites formations avec quelques musiciens de son
orchestre… ou lors de rencontres, toujours en petites formations avec
d’autres « pointures » du moment !
Retrospective : the piano sessions
Lone Hill Jazz, 2009
Une compilation regroupant quelques-uns des meilleurs
titres du Duke enregistré au piano solo, ou petite forme.
The 1956-58 small group recordings
Cet album compile toutes les sessions en petits groupes
(du quartet au septet) enregistrés par Duke Ellington en
studio pendant les années 1950.
Piano in the background
Columbia Record, 1961
On y trouve Ellington en trio, loin des enregistrements en
big band qui ont fait sa célébrité.
Duke... ce pianiste
The Afro-eurasian eclipse
Piano in the foreground (rééd./remast.)
Columbia, 1961
Son style évoque l’époque du Boogie-woogie et du stride,
avec des ajouts d’impressionnisme, de blues et de gospel
et d’Improvisation libre. Son influence sur des musiciens
tels que Thelonious Monk, Abdullah Ibrahim ou Stan
Tracey est ici claire.
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The pianist
Duke Ellington & John Coltrane
Un bel exemple de son talent de pianiste, au style à la fois
moderne et traditionnel.
Coltrane s’offre un moment de répit dans sa carrière en
pleine apogée en rejoignant Duke Ellington pour cet album
intimiste. Une profonde harmonie entre deux visionnaires
du jazz : le lyrisme chez Coltrane, la discrétion et l’efficacité
chez Duke Ellington
Fantasy, 1974
Impulse! - MCA Records, 1962/1995
The great Summit : complete sessions
Duke... ce pianiste
Roulette Jazz/ EMI Music, 2000
Rencontre de 2 géants pour cet album de 1961. Armstrong
à la tête d’une de ses petites formations accueille Duke
Ellington au piano et ensemble, ils interprètent la musique
du Duke, notamment « Mood Indigo » et « Black and Tan
Fantasy ».
Verve, 1963/2005
Johnny Hodges et Duke Ellington jouent le blues…
This one’s for Blanton !
Duke Ellington (1899-1974) & Ray Brown
Money jungle
Blue Note Records, 1962
En 1962, Duke Ellington a surpris son monde avec ce trio
historique où il est accompagné de Charles Mingus et Max
Roach. D’autant qu’il ne s’agît pas d’une relecture de ses
classiques mais de nouvelles compositions !
Pablo, 1974
Duke Ellington et Ray Brown rendent ici hommage au
contrebassiste Jimmy Blanton, musicien remarquable
pour avoir modifié de façon significative le jeu et le rôle
de son instrument dans le jazz. Il avait rejoint la formation
d’Ellington en 1939 mais décède trois ans plus tard.
Jazz violin session
Duke Ellington meets Coleman Hawkins
MCA Records, 1995
La rencontre, enregistrée en août 1962 entre Duke Ellington
et Coleman Hawkins . En 1995, Peter Watrous écrit pour
le New York Times que cet album est « L’un des meilleurs
albums d’Ellington, l’un des meilleurs albums de Hawkins et
l’un des meilleurs albums des années 60 » !
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Back to back
Duke... ce pianiste
Ellington, Duke (1899-1974) &
Louis Armstrong (1901-1971)
Warner Bros. Records Inc., 1976
L’album initialement enregistré en 1963 n’est sorti chez
Atlantic qu’en 1976. Dans cet album, des petites formations
constituées d’Ellington et quelques-uns de ses musiciens
accompagnent les violonistes Svend Asmussen, Ray Nance
et surtout Stéphane Grappelli.
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Retour de flamme v.02 - Black and Tan
Cotton Club : le film
Dudley Murphy - Duke Ellington Orchestra
Coppola, Francis Ford
Duke Ellington et son orchestre du Cotton Club apparaissent dans cette courte fiction, où chacun cependant
joue son propre rôle. Il essaie en vain de dissuader son
amie, la danseuse de son spectacle Fredi Washington,
de travailler avec ses problèmes cardiaques. Effectivement le soir même, lors de la représentation, la danseuse
s’effondre sur scène…
Les années folles à New York dans un club de jazz et, au
loin, les événements en Europe.
Le club est réputé pour avoir reçu notamment les meilleurs
musiciens noirs de l’époque tels que Duke Ellington, Cab
Calloway, Louis Armstrong ou Ethel Waters.
Studio Canal Video, 1984
The artist
Hi De Ho
Mack, Roy
Bach Films, 1947
Une comédie burlesque interprétée par le maître incontesté
du jazz, Cab Calloway, entouré par un véritable orchestre,
le Cotton Club Orchestra... On y retrouve également des
extraits du Newport Festival de «Count Basie» et «Duke
Ellington».
Michel Hazanavicius
Warner Home Video, 2011/2012
Citons également ce grand succès pour son atmosphère
héritée de la musique de jazz de cette époque et en
particulier pour l’utilisation du thème d’Ellington « Jubilee
Stomp » qui illustre l’une des scènes.
Autopsie d’un meurtre (musique de film)
Sony Music, 1959/1999
La musique du film, composée par Duke Ellington a reçu
le Grammy Award de la meilleure bande originale de film
en 1959.
Duke… le jazz et les films
Duke… le jazz et les films
RKO Radio Pictures - USA 1929
Mary Poppins
Warner Bros. Records Inc. , 1964
L’album contient des enregistrements de morceaux du
film musical Mary Poppins interprétés par Duke Ellington
et Billy Strayhorn.
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Les grands orchestres de son époque
Big band legends
Duke… et les autres
Cristal Records, 2009
Une sélection de morceaux interprétés par les grands big
bands qui ont marqué l’histoire du jazz.
Fletcher Henderson and his orchestra
1924-1927 with Louis Armstrong
Henderson, Flectcher (1897-1952)
EPM Music /Masters series
Orchestre créé à peu près au moment que le Duke Ellington
Orchestra
Sing, sing, sing
Goodman, Benny (1909-1986)
Basie, Count (1904-1984)
Sony Bmg Music, 1961
La rencontre entre deux géants ne pouvait décemment
pas aboutir à autre chose qu’un monument.
Ses musiciens, sans le Duke
Masters of Jazz : Cambridge blue
Hodges, Johnny (1906-1970)
Masters of Jazz vol. 9, s.d., 1960
On retrouve ici principalement des compositions de
Johnny Hodges, avec en bonus 2 reprises du Duke.
Gettin’together / saxo
T Paul Gonsalves ; p Wynton Kelly ; batt. James
Cobb ; cornet Nat Adderley ; cb Sam Jones.
Jazzland , 1960
Album contemporain de l’époque où il jouait avec le Duke.
Don’t get around much any more
RCA Records, 1935/1987
Johnny Hodges, Billy Strayhorn.
En 1934, le clarinettiste Benny Goodman crée un big band
qui deviendra un des orchestres les plus populaires de l’ère
du swing
Les deux anciens musiciens du Duke se retrouvent ici avec
leur orchestre pour interpréter des classiques d’Ellington.
The complete Atomic Basie
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First time! The Count meets the Duke
Polygram Music, 1999
Every body knows Johnny Hodges
Basie, Count (1904-1984)
Johnny Hodges, Billy Strayhorn.
EMI 1957/1994
Impulse, 1964
Album mythique de Count Basie.
Johnny Hodges, un des plus grands saxophonistes alto de
l’histoire du jazz, en compagnie de l’orchestre d’Ellington !
A partir de 1956, il tient de plus en plus la partie de piano avec son orchestre,
qu’il emmène jouer à travers le monde, qu’il s’agisse de salles de concert
prestigieuses ou de dancings populaires, pour des publics les plus variés.
Il se produit en petites formations avec quelques musiciens de son
orchestre…
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Les albums hommage
A celebration of Duke
Vaughan, Sarah
Monk plays Ellington
Thelonious Monk (1917-1982)
Concord Records, 2007
À travers cette œuvre de 1955, Thelonious Monk rend
hommage à Duke Ellington. L’album trouve son paroxysme
dans Caravan, œuvre majeure d’Ellington.
Pablo Records, 1990
Enregistré en 1980, Sarah Vaughan est entourée de Clark
Terry, Zoot Sims et du quartet Quadrant composé de Joe
Pass, Mickey Roker, Milt Jackson, Ray Brown.
Promenade with Duke
Ella Fitzgerald sings the Duke Ellington
song book
Fitzgerald, Ella (1918-1996)
EMI Music 1993
Une célebration innovante et brillante de la musique
d’Ellington ! Piano solo !
Verve, 1957/s.d.
Cet album distingue des autres recueils de chansons
de Fitzgerald en ce qu’il est le seul album dans lequel le
compositeur participe activement. Des classiques de Duke,
magnifiés par sa voix.
Martial Solal Dodecaband
plays Ellington
Martial Solal Dodecaband
Francis Dreyfus Music, 2000
Mac Coy Tyner plays Ellington
Martial Solal donne des versions très personnelles des
standards de Duke Ellington.
Tyner, Mac Coy
Mca Records, 1997
Il a été enregistré en Décembre 1964 et publié
originellement sur le label Impulse en 1965. Il est
accompagné de Jimmy Garrison et Elvin Jones.
Portrait of Duke
Tonolo, Pietro (1959-....)
Label Bleu, 2000
Petrucciani, Michel
Interprétation par Pietro Tonolo, Gil Goldstein, et Steve
Swallow.
Memorial
Ellington – Reinhardt – Armstrong
Vogue Records, 1974
Un des derniers enregistrements de Duke, accompagné ici
des grands Louis Armstrong et Django Reinhardt.
Rockin’ in rythm
Pizzarelli, John
Concord Music Group, 2010
Un bel hommage rendu par le guitariste américain
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Sainte-Geneviève-des-Bois
Brétigny-sur-Orge
Fleury-Mérogis
Saint-Michel-sur-Orge
Villemoisson-sur-Orge
Le Plessis-Pâté
Leuville-sur-Orge
Morsang-sur-Orge
Longpont-sur-Orge
Villiers-sur-Orge

Bibliographie-Discographie Duke Ellington

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