Dossier Miracle en Alabama
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Dossier Miracle en Alabama
MIRACLE EN ALABAMA Une pièce de William Gibson Traduction : Marguerite Duras et Gérard Jarlot Création Janvier 2016 Production : Compagnie Ultreia 4 rue Claude Gelée 88000 Epinal 06 15 95 48 82 [email protected] www.compagnieultreia.fr Coproduction : Le Trait d’Union à Neufchâteau, la Scène Ernest Lambert à Châtenois, et l’Espace Salvador Allende à Palaiseau. Autres lieux de diffusion : Espace Georges Sadoul à Saint-Dié, L’auditorium de la Louvière à Epinal. Avec le soutien d’aide à la création de la Commune de Palaiseau et du Conseil Général des Vosges. Adaptation et Mise en scène : Lorelyne Foti Assisté de : Nicolas Lyan Avec : Clémence Viandier, Amandine Rousseau, Logann Antuofermo, Delphine Musch, Arthur Cosnefroy, Nicolas Lyan et Maryse Boiteau. Création Lumière : Sylvain Sechet Création Son : David Daurier Création Costumes : Giuseppa Orlando Création Coiffure Maquillage : Christine Laurent Création Décor : Thomas Verhaag Durée estimée : 1h45. Tout public. Sommaire : P.3 Avant Propos P.4 Portrait d’Helen Keller P.5 Parcours d’une oeuvre P.6 Note d’intention P.9 Présentation de l’équipe P.12 La compagnie AVANT PROPOS KATE Qu’allez vous essayer de lui apprendre en premier ? ANNIE En premier, en dernier, au milieu et dans tous les sens, à parler. KATE A parler ? ANNIE Oui, le langage est plus important que la vue. « Il compte plus pour l’esprit que la lumière ne compte pour la vue », c’est le docteur Howe qui l’a dit. (Acte 1) Parler, malgré le handicap. Parler, malgré les différences. Parler, malgré parfois l’incapacité de communiquer dans une même famille. Parler, malgré tout. Voilà tout l’enjeu autour duquel les personnages de cette pièce se confrontent. Sourde, aveugle et muette, Helen Keller a grandi dans une bulle noire, silencieuse et isolée, incapable de communiquer avec ses proches et le monde extérieur. Nous sommes en 1887, en Alabama, dans le sud des Etats Unis. Annie Sullivan, une jeune préceptrice, arrive chez les Keller pour tenter d’éduquer l’enfant. Malgré les hostilités d’Helen et de sa famille face à ses méthodes, Annie luttera avec détermination et acharnement pour percer cette bulle et y installer un peu de lumière. 3. PORTRAIT D'HELEN KELLER Helen Keller est née en 1880 à Tuscumbia, Etat de l’Alabama, dans le Sud des Etats Unis. A 19 mois, elle est frappée d’une maladie infantile qui la rend totalement aveugle et sourde. Elle ne développera donc pas la parole et grandira comme un animal sauvage que personne n’arrive à dompter. En 1887, Annie Sullivan, alors âgée de 20 ans et partiellement aveugle, est envoyée par l’Institut Perkins pour tenter de sortir cette enfant de son mutisme. Jusqu’à sa mort en 1936, Annie accompagne Helen et lui enseigne d’abord à identifier et à mettre des mots sur ce qui l‘entoure, puis à lire en Braille et enfin, invraisemblablement, à parler. Helen termine ses études supérieures comme lauréate de l’Université de Radcliffe à Cambridge, dans le Massachusetts. Elle devient la première personne handicapée à obtenir un diplôme. Elle consacrera sa vie à donner une voix aux opprimés, aux femmes, aux ouvriers, aux minorités et aux handicapés. Elle luttera pour les droits de la femme et pour améliorer la condition de ses semblables. Elle écrira une douzaine de livres et donnera des conférences à travers le monde. Membre de l’Ordre national de la Légion d’Honneur en France, elle recevra également de nombreuses distinctions internationales. Helen s’éteindra en 1968 aux Etats Unis. Sa détermination et son courage sont encore aujourd’hui une source d’inspiration et d’admiration pour des millions de personnes. « Ce n’est pas la cécité, ni la surdité, qui m’ont apporté mes heures les plus sombres, mais la déception de ne pouvoir parler normalement. Longuement, j’ai pensé combien j’aurais pu mieux faire si j’avais su apprendre à parler normalement. Mais au sortir de cette triste expérience, j’ai pleinement compris l’importance des efforts humains, des ambitions et de la capacité infinie de l’espoir. » Helen Keller 4. PARCOURS D’UNE OEUVRE William Gibson, dramaturge américain (1914-2008), s’est basé sur l’autobiographie d’Helen Keller, L’histoire de ma vie, pour écrire en 1957 Miracle en Alabama, une pièce en 3 actes. De son titre original, The Miracle Worker, la pièce s’est notamment jouée à Broadway au Playhouse Theatre de 1959 à 1961 (719 représentations) et au Circle in the Square Theatre en 2010. La pièce a été créée à Paris en le 10 septembre 1961 au Théâtre Hébertot dans une mise en scène de Francois Maistre, puis repris en 1962 au Théâtre Athénée - Louis Jouvet. L'adaptation cinématographique de la pièce réalisée par Arthur Penn en 1962 a été primée de deux oscars : Meilleure actrice : Anne Bancroft Meilleur second rôle : Patty Duty « Ce sont certains moments de silence - la lutte par exemple entre la jeune femme et son élève - qui m’ont attaché à Miracle en Alabama de William Gibson. » Marguerite Duras, qui signe la traduction française. 5. NOTE D'INTENTION ANNIE Je voudrais t’apprendre comment le monde est fait, tout ce qu’il contient, et tout le plaisir et aussi le déplaisir qu’il pourrait te donner durant ta vie. T’apprendre notre existence, ce que nous avons fait, ce que nous faisons… La lumière, la nuit… Tous les mots, tous les mots et, grâce à eux, tout l’univers. Il suffirait d’un seul mot, d’un seul… Mais comment ? Comment le faire arriver jusqu’à toi ? (Acte 3) Un texte qui mérite d’être adapté et rejoué aujourd’hui. Nous vivons dans un monde, une époque où il devient de plus en plus difficile de croire aux miracles. Et pourtant, des récits extraordinaires continuent de surgir parfois là où il ne semble aucun espoir. J’avais très envie de «dépoussiérer» cette pièce magnifique pour remettre au jour cette histoire vraie, incroyablement inspirante. Le handicap, peu importe la forme qu’il prend, a engendré des forces et des personnalités qui ont marqué l’Histoire. Helen Keller en est la preuve éclatante. S’inscrivant dans un théâtre humaniste sans toutefois donner de morale, cette pièce s’élève comme une lanterne du passé, un exemple de courage et de détermination. Un personnage enfermé. Les idées et la conscience n’ont pu encore ANAGNOS Elle est germer dans l’esprit d’Helen puisqu’elle ignore c o m m e u n p e t i t même que les choses ou les objets ont un coffre-fort fermé que nom. Son monde se limite à un espace personne ne peut sensoriel très restreint : le toucher, le goût et ouvrir. l’odorat. Comme un animal craintif et agressif, (Acte 1) elle s’exprime la plupart du temps par des gestes violents : une révolte intérieure face à son impuissance et une confrontation permanente à ce qui lui pose des limites. Helen, qui n’a d’avenir prévisible que la mort ou l’asile, voit s’ouvrir à la fin de la pièce un champ infini de possibles. Nous assistons à cette éclosion, touchante, bouleversante. Et si le miracle tenait dans l’impact que peut avoir une vie sur une autre ? 6. Plusieurs degrés de communication. La situation, au premier abord, ne semble trouver d’issue qu’à travers les mots, et pourtant ce qu’il se dit de plus profond réside dans le non verbal. Ceux qui ont l’usage normal de la parole sont ceux qui, au final, se parlent le moins : le Capitaine Keller et son fils James, ne sauront jamais se dire les choses en face, la mère d’Helen tiendra tête à la résignation de son époux et à l’ironie de James, et avec un trait d’humour, la tante Eve sera presque à contre rythme du reste de la famille. Parallèlement, le rapport musclé entre Annie et Helen rendra leur dialogue muet plus que parlant. Le langage jaillira là où on ne l’attendra pas, au détour d’une violence exagérée, d’un regard transparent, d’un corps perdu dans l’espace et puis dans un geste tendre, dans ces mots qui resteront coincés dans la gorge ou dans le cœur. Une expérience sensorielle. Le corps et le rapport aux sens s’imposent au centre du processus de création. Ce que William Gibson figure dans de longues didascalies, nous l’inscrirons dans les corps sur le plateau. Pour que la cécité et la surdité deviennent crédibles, nous avons commencé un premier travail de recherche. Avec un bandeau sur les yeux et un casque anti bruit sur les oreilles, la comédienne qui interprète le rôle d’Helen Keller s'est rapprochée du théâtre sensoriel : le but étant de développer un état au plateau quasi instinctif, viscéral, animal presque. Nous étudions également l’alphabet de la langue des signes. Le spectateur fera l’expérience d’être dans la tête d’Helen. En inversant les rapports de lumière, en n’ayant plus l’image ou le son, l’angle de vue ou d’écoute sera différé, décalé. Pour se faire, la lumière sera l’élément central de la scénographie. Des espaces découpés, un décor épuré, avec quelques accessoires pour figurer les situations quotidiennes et… de l’eau. 7. La musique, vecteur universel d’émotion, occupera également une place primordiale et fera l’objet d’une création. D’une part, des lignes de violoncelle ou de contrebasse viendront ponctuer, souligner, parfois s‘opposer à ce qui se joue sur scène. Ce type d'instrument me semble le plus approprié au propos. Les malentendants, sans entendre de son, perçoivent davantage de vibrations et de sensations provenant d'une source d'émission grave. Et d’autre part, des «sons sourds», comme un bourdonnement continu, une caisse de résonance, décaleront l’oreille du spectateur d’une réalité sonore auquelle il est habitué. Une adaptation plus proche d’aujourd’hui. Nous présenterons une adaptation de l’œuvre originale. Le réalisme quasi cinématographique de la pièce traduit une authenticité des faits et une poésie qui peut être sublimée si on ne tombe pas dans le piège du style littéraire un peu dépassé des années 60. Il n’est pas question ici d’une réécriture, nous tenons à rester fidèles à l’auteur, mais nous avons supprimé ou allégé certains passages pour resserrer le rythme et réduire le nombre de personnage. Il me semblait également plus intéressant de se focaliser sur le présent d’Helen que le passé d’Annie. Un discours d’Helen Keller a été rajouté à la fin pour mettre en relief le propos de l’œuvre et faire écho à la femme qu’elle est devenue par la suite. Il m’a paru essentiel cependant de conserver le contexte historique dans la pièce. La guerre de Sécession aux Etats-Unis vient de se terminer et les différents latents entre le Nord et le Sud sont encore très présents dans les mentalités. Cette toile de fond met en relief les difficultés d’avoir sa place en tant que femme à la fin du 19ème siècle, d’autant plus dans une famille bourgeoise de l’Alabama, un Etat du Sud. L’enjeu de l’éducation. Avec un thème aussi percutant que le handicap, cette pièce nous livre tout l’enjeu de l’éducation et de la communication. Comme disait Jean Jaurès : « Construire des écoles, c’est abattre les murs des prisons ». Un message d’espoir qui nous parvient bien au-delà des mots. N’est-ce pas l’enjeu premier du théâtre que de parler, de dire, et parfois, tout comme Helen, ouvrir une conscience ? Lorelyne Foti 8. PRESENTATION DE L’EQUIPE Lorelyne Foti Adaptation et Mise en scène Diplômée de l’Académie Internationale de Comédie musicale et de l’Ecole Claude Mathieu - Art et technique de l’acteur - à Paris, elle complète sa formation aux Etats-Unis auprès de Chet Walker, Ariane Mnouchkine au Théâtre du Soleil et Omar Porras à Lausanne. Elle intègre des spectacles telles que Un Violon sur le Toit, Cendrillon, ou Mamma Mia au Théâtre Mogador à Paris. Elle interprète les rôles de Sybil Vane dans Le portrait de Dorian Gray au Café de la Gare à Paris, Agnès dans Chance au Palais des Glaces, Daphné dans Coups de Foudre au Vingtième Théâtre ou encore Agathe Perreau dans Poil de Carotte en tournée. Elle chorégraphie également Touwongka (Festival d’Avignon, Ciné 13 Théâtre et La Grande Comédie à Paris) et dernièrement Jekyll & Hyde (La Chaux-de-Fonds, Suisse). Nicolas Lyan Assistant mise en scène / Docteur Anagnos Passionné d’Histoire, il entre à l’Université Blaise Pascal de Clermont-Ferrand. Il y suit deux années de licence en parallèle des cours du conservatoire régional d’art dramatique de la ville. Il intègre ensuite l’Ecole Claude Mathieu - Art et technique de l’acteur, à Paris. A sa sortie, il se voit offrir plusieurs rôles, dont celui de Louis dans Juste la fin du monde de Jean Luc Lagarce par la compagnie l’Ere de rien ou encore celui de Mesrine dans une adaptation de son autobiographie Instinct de mort par la Compagnie Olibres. Il fait ses premiers pas en tant que metteur en scène en adaptant la pièce Merlin ou la Terre dévastée de l’auteur allemand Tankred Dorst, dont une tournée se prépare pour la saison prochaine. 9. Clémence Viandier Helen Keller enfant Après une année d'Hypokhâgne au Lycée Fénelon, elle débute avec le rôle de Juliette dans un Roméo et Juliette mis en scène par Vincent Poirier de la Compagnie Dodeka, en tournée. Elle intègre ensuite l'Ecole Claude Mathieu pour parfaire sa formation. En parallèle, elle aborde un travail plus corporel en rejoignant la compagnie des Edulchorés, et joue et danse dans Vie de grenier dirigée par Emma Pasquer. Elle collabore avec la compagnie Habaquq pour la création de Dans la Jungle des villes, de Brecht, mis en scène par Jérémie Fabre. Elle est aussi la voix de l’enfant dans la web-série animée Baby Food Stories, réalisée par Tiffany Martin et Julien Katz. Elle joue également dans Merlin ou la Terre dévastée de Tankred Dorst mis en scène par Nicolas Lyan. On a pu la voir dernièrement dans le rôle de Gretel dans Hänsel et Gretel La faim de l’histoire, écris et mis en scène par Julien Daillère. Amandine Rousseau Annie Sullivan Titulaire d'un diplôme d’État, Amandine exerce pendant presque 15 ans en tant qu'éducatrice spécialisée auprès de personnes handicapées, défavorisées ou en difficulté. Elle décide de revenir à sa passion première pour le théâtre et se forme à l'école Claude Mathieu à Paris. Elle a joué entre autre dans Le jeu de l’amour et du hasard de Marivaux, Roberto Zucco de Koltés, Roméo et Juliette de Shakespeare,Le 10ème Homme de Greene, L’amour à mille temps, création et adaptation de Jacques Hadjaje, Fragments intimes, adaptation des cahiers secrets d’Anaïs Nin, mise en scène par Sandrine Maïzena, et dans Barbe Bleue, espoir des femmes. Elle a également participé à des films institutionnels et est assistante à la mise en scène, notamment auprès de Thomas Bellorini. Delphine Musch Kate Keller Après avoir obtenu une licence en Histoire de l’Art à Bruxelles, elle décide de suivre la formation théâtrale de l’Ecole Claude Mathieu à Paris. En parallèle de ses études, Delphine joue dans plusieurs pièces, notamment Barbe Bleue, espoir des femmes mis en scène par Philippine Guillon. Elle a également tourné dans plusieurs court-métrages. 10. Logann Antuofermo Capitaine Keller Il se forme au Conservatoire d’Art Dramatique de Versailles puis à l’Ecole Claude Mathieu à Paris. Parallèlement, il participe à Le Malade Imaginaire mis en scène par Jean Daniel Laval et joue Peter dans Le recréateur de Rémy Amy mis en scène Thierry Lavat ou Rousseau dans Rousseau, le Chemin de Jean Jacques, mis en scène de Jean Daniel Laval. Il s’attèle à la mise en scène avec Charlie et la Chocolaterie, adaptation de Roald Dahl, au Théâtre Montansier à Versailles et L’odyssée de bric et de broc au Théâtre Darius Milhaud à Paris et au Festival Le Mois Molière. Prochainement, il interprètera un extrait de Les diablogues de Dubillard dans C’est jouable, mis en scène de Sylvio Paccito ou un ensemble de poèmes dans Helium, mis en scène par Alexandre Rissot au Festival d’Avignon. Arthur Cosnefroy James Keller Il débute avec la troupe «Théâtre en ciel » avec la pièce Une petite entaille de Xavier Duringer, pour lequel il obtient le prix du Coup de cœur du jury du XVème festival de Théâtre amateur de Maisons Laffitte. En parallèle de ses études à l’Université de Psychologie puis de Droit, il est l’assistant caméra sur plusieurs court-métrages, publicités et clips musicaux. Il poursuit sa formation de comédien à l’Ecole Claude Mathieu à Paris. Il joue actuellement le rôle de Gauvain dans Merlin ou la Terre dévastée de Tankred Dorst mis en scène par Nicolas Lyan. Maryse Boiteau Tante Eve / Helen Keller adulte Formée à l’École Nationale Supérieure de Musique et Théâtre de Munich, Maryse travaille comme comédienne de la troupe Theaterhaus de Stuttgart, avant de partir pour Londres où elle approfondie sa formation vocale à l’Académie Royale de Musique. Elle travaille pour différentes scènes nationales et opéras en tant que danseuse (La bohème, Un bal masqué, Pierrot Lunaire…), chanteuse de comédies musicales (Hair, On the town, Into the woods, Evita, Mamma Mia…) ou comédienne (Arlequin serviteur de deux maitres, Dirty dishes, Gare Adieu, C’est quoi l’amour, Mademoiselle Scuderie…). En 2013, elle traduit et met en scène Ce soir : Lola Blau de Georg Kreisler. 11. LA COMPAGNIE Créée en mai 2013 à Epinal dans les Vosges, la Compagnie Ultreia est une compagnie professionnelle qui s’attache à promouvoir les arts de la scène et le théâtre sous toutes ses formes. Elle vise à réunir des artistes, des univers autour d’un collectif pour imaginer et créer un théâtre contemporain et humaniste. Elle a également pour vocation de transmettre à travers des ateliers de pratique artistique et mener des actions culturelles auprès du plus large public. La compagnie a un cercle de diffusion local et national et collabore avec une douzaine d’artistes et techniciens. Sa première création, CE SOIR : LOLA BLAU de Georg Kreisler, est une pièce de théâtre musical qui a reçu le soutien de la commune de Palaiseau, de la maison d’Edition Weinberger - Ltd Londres, et d’Arcadi Ile-de-France dans le cadre des plateaux solidaires. La pièce s'est jouée entre autre à Confluences, lieu d'engagement artistique à Paris, et à Gare au Théâtre à Vitry-sur-Seine. MIRACLE EN ALABAMA de William Gibson sera sa seconde création et a reçu le soutien de la commune de Palaiseau et du Conseil Général des Vosges. Plus d’info sur www. compagnieultreia.fr CONTACT ! Compagnie Ultreia 4 rue Claude Gelée 88000 Epinal 06 15 95 48 82 [email protected] Administration : 06 52 34 32 43 12.