IV.` 14 Premièj-c annéc LE NOUVELLISTE Jeudi 23 Juillel 1803 DE

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IV.` 14 Premièj-c annéc LE NOUVELLISTE Jeudi 23 Juillel 1803 DE
IV.'
14
Jeudi
Premièj-c
annéc
23
LE
DE
Journal
Seul
nolitiqne,
H.
propriétaire:
liltérnirc
RAUTENFEID.
Rédacteur eu chef: L.-A. DE HERCIAt.
Boreau: rue Direita n. 46, au s
Rio
de
«lanem).
ceux tjni loúruent sans
coaimercial,
paraissanl
Abonnemeiits
pour Rio de Janeiro
an
1(iSooo
six mois
85000
Trais raois
S5000
Le liou, au repôs, ne s'inquièle guère des
jappements d'un roquet; mais il s'en irrite
lorsqu'ils Plmportiment trop longtemps et un
coup de grilTe esl bien vile donnè.
cesse leu rs aspiratioiis
et leurs ospéraneos
vers la mère pátrio sont animes d'une sainle
joie et romplis d'un legitime orgucil,
Voiià quelqncs-unes des réflcxions
que
nous .inspire la prisa de Puebia. i\'dus les
terininons aveu Ia ferino conviction que les
Ge sont, cn cffet, nos írères rjui ont pris
Puebia I Ce sont eux qui ont aelievé cclte loinlaineot pénlleuseexpédition doiitla prudente
Angletcrresétait relirée! Ce soiueuxqui ont
prochaincsdúpei-.hes nous ap;inrteronl la ijouvelle oífieielle de la reddition de México,
ainsi que Ib font prèsager les renseignentenls
suivanls fouruia par la Presse.
ti La rouli' qui conduit de Puebia à la capilalc de la
venge lestrop nombreuses vexations dont nos
république est exctllente, fort bien cni: etenue; Ia discompatriotas et les Europóens, cn général,
tance cnl.e les deus villc.s est de» 76 inüles, em
étaient les viclimes au Mexique! Çe sont enx 35 licites.
" Kn partam de Puebia, In route bifurqiie, ct l'un des
qni assureront 1'avenir de cc pays, en le dódeux bras, s'inclinaiit vers lesud, Ira verse des massiís de
barrassant des perturbateursqui 1'agitent! Ce
montagne et se releve ensuiie vers Cliiilco, ou elle s'arsont eux qui constitueroiitsa force et sã splífn- rfle aux bords du lac d'Ayülla.
« I/aiilrc bras va tirai t à México. II Ira verse d'abord, à
deur! Ce sont eux qui rendrontan mpndeet à
la civilisalion une torre oíi débordent les ri- Tesncaies, uno eliaine qui pr^entn dVilroits délilés sans
(tanger auj.itirdliui, puisjue 1'armíe de Comonforl
aiictm
chesses, ct ou les ressources sont immenses!
est désorganisée. A près avoir traversé ce pàté dc monÀussi la France reserve à ses soldats des tagnes, la route débouche daus la rügijn des lacs,
par lesrecompenses dignes d'elle! Lo général Forey quels elle se trouve enserrée de ienips à aulre.
« He renseignomciils que nous croyons bien fondés, il
vã êlre nommé marechal; le général Bazaine
resulte que, daus 1'íial actuel des clioses, l'annüe fiansera sénatenr; beaucoup de nos braves vont
çaise «e peut rencoatier de séiietix obslacles pour arriver
tous
eníin
auront
rhonneur;
Téloilede
recevoir
à Me tico. »
"renípli
leur
laco^scièocedsavoirvaillammerit
devoir et d'avoir mérité la reconnaissance de
Gazctte
la patrie!
Quelle terrible leçonpour les Mexicains,
ces fanfarons.de bravo tire dont on chercliait
dejã à dous laire des hérus! Co íibicn. ils ont
dn rabattre de leurs prêtentions! qitand ou
les comparei" à nos
pense quon avait osò
troupos trancaises!
II faut espérer que cela'servira, en mème
temps, d'esemple à d autros pays d Araéririue
oú l'orsiiieil esl poussé à sou comble, peutêlre
plus epíau
sans
Mesique,
FEUILLETON
UlSTOllli:
Dü
êlre
mieux
NOUVELLISTE
ií't
IlOilMIi
PAR A.MÉDKE -\CI1ARD
(Suite. )
Deux licures après,' nous écliangions des coups de feu
avec une compagnie de volligeurs, flanquéede quelques
se battil conime un limigendaroies à clieval. Ffruand
cean. Oinle mes gardes tomba pour ne plus se relever.
üciu bailes avaient déchiré mes liabits. Le feutre dc
Pfll,lMI «;"= f"1'Fe,nana <uil iroué. " i"
inmiche, qull «Jl U» vral MUS * «w •«•*,•« '"'s
avec le marechal ue ^axe.
combatiaient
gentillioinines qui
Uans la soirte, et tan.lis que deux ou trois scntmelles
veillaieRt aar Ia lisière d'uo bois, nn ine donna par acclamaticns le commandeiuent de Ia ir iupe. Ine beure
après. ie dormais tranquille, le corps sur une brassée
de rameaiix vens. la W:c sur mie soucln». C,ram-d org>.
broutait 1'lieib.- a mon còié; Mowheron limiiail. de ma
j'ai conservé de ce rápido et douloiireux lipisode
vie un cahiei- de notes éciiles à la bate, «a et Ia, sous te
chaume ou dans le silenee des balliers: cllcs donueronet
dangoisse
peut-etre une idée exactc des senliments
In>d'exaltóli..n entre lesquelsse partageaient mesItcures.
mais dont
les lieures quieurent des éclairs d"enthousiasme,
bien dos larmes ont inarqué le passage!
leur
Voici ces notes telles que je les reirome ctdans
sans daie soment
áísfdre et leur franchise, quelquefol. à une autre epoque
mèléês de souvenirs qui se rapponent
nepuuvait elfacer la trace.
dont rien, mCmelaguerre,
« Dimanche.
1803
DEJANEIRO
Que ces pays saohcnl se laire! on
•n»tiw,
lo langagc de la moqu'ils parlem, úu
dération et du respect; sans quoi ils
pourraieílt á leür lour devenir viclimes de leur
outrecuidance.
22 Julllet 1863.
floiter leur drapeau,
et
RIO
justilié.
Les ilétracteurs de nolre yloire ont, une f iis
de plus, la bonche fermée, landis que les vrais
Français, ccux dont 1c cceur palfiito un voyant
Juillel
NOUVELLISTE
ile
iUo
dc
Janeira
du 19 au 22 juiliel 18tí3.
Le p.iqueboi Irançais Xtwarrt est entre ú Itio diinanclic passe, 17 du cuurant, á liuit lieures du matin.
— Sa Majeslé l'Kmpereur, accompagnée de ses olliciers de semaine, s'est rendue le 18 k !l b. fyb du
matin à rarsen.il de inarinc uii 1-aie a étó reçue par
les ministres de la inarine et de la guerre,, le gêutSral Ca-'
bral, 1'inspecteur de 1'arsenal et radjudant du quartier
général. Sa Majestê s'est ensuite enibarquée sur sa galiotte
à vapeur ct s'est rendue ;i Jurujiiba oü Klle s'est anètêe
ptmr visitei' fliòpitul de Santa Isabel, ses dé.ieudauces et
ve.... Oú dunc les liazarils de la v ie oiu-ils con luii M;" de
l.a Vauxelle? M. de liaudricuurl seia-l-il |tanni nus adversairesí Lu cjup dc fusil in'a liréde ma reverie.
« 2 Mai.
ti Mécliante nuit dans une grange abandonuée; ma
viugt-quatre
lieures;
le vieu.\
maiigddepuis
truupc ii'a pa»
cliouaú qui m'a comluit au feu a une balie dans le ventre.
II ne seplainl jias. au peiil jour il ufa la.t ap,»eler. J'ai >u
dans ses yeux la marque de ta m ,rt. II m'a pris la tnaiii et
ui'a demande s'il avait lait son devoir. Sur iua répunso atlirinative:—Alurs je meurs cuutent, a-l-il dit. II a fait le
signe de la cruiv et na plus leuiuê. Ce tivpas m'a rappelé
celui (tu capitaine Andri>au\. Mais run cnaú: » ivelc roí.'
taudis que 1'autre criait : Viw l HmperturDeux
camps.... deus peuplesf
« Oruin-d'orge n'a pas loiigtetnps vécii: une baile Ia
lande. i\os lioihmei ineurent l'un
jeté parierre Uans'une vient
presque pas pour remplaccr
après raulrc; il n'en
coux qui toiL-beul. Aulotir. des feuv des bivouacs, j»1iis de
repos
que niius preiuns au hasavd
ciiants; pemlaut les
dans lés uiétairies, plus sjuvent encore Uans les tlairtòres,
un silenee morue, le silenee des soldats qui prévoient une
défaite, et qui co.nba.leiit sain espoir pour l'iiouueur du
drapeau. Seul, feruand cjnserve un„- líãiicelle de la gaité
dos prentirr- jours
j
!
deus
fois
par
semaine
le
Dimanche
Abonnemeiits pour la province et í extérieur
189000
; Un an .
< Six mois
•
.
.
.
.... 95000
.
Trois mois.
.
.
.
.
.
6&000
et
Ir
Jeudi.
Áonoüces
80 reis la ligne pour les abonnés, 120 reis
pour les non-abonnés. Un numéro seul 300 reis.
Paris 1 franc la ligne. Londres 1 shilling la lig.
le cimelière;
Dc là Sa Majesté s'est rondue à Praia do littéralementinondé la scène desapplaudissemenls fréné;
pour examiner les trãvaiK des foriilications1; ptsis tiques ont éclaté de toule part et Adie Risette a dú lalsser
visite les forleresses de Toa Viagem ct (Imgoatá ; celtc tempêtese calmer avant d'ontoimer
les premières no:es
dei^íep cgcl^l, JÇIIe ^.;tassisié.-anx oxcrcices de de Ia musique
qu'elJe avait à chanter ct dont elle s esl, du
t'artillerie et de )'infanterie des appromis marins.
reste, fort bien tirée.
A 2 h. 1/2 dC raprès-mídi', Sa Xlájesté esl renlrée à
— A propos de la compagnie fiançaise de M.
Duchatil'arsenal.
niont, nous apprenoris avec cbagriii que les direeteurs et
On lit-dansle Jornal dá i1éèife"à\i"7•('onralUT
les arti.stcsse trouvent dans <ie gramles diíDcultés ei nous
i Le capitaine de la baripie anglaise Olinda arrivd» hier, engageons dc toutes nos forces le
public dc Rio de J. noiro
apporlc lu notivelhi que dans les preiniers jours du mois de íi sc. mon trcr gêiiéreux ot indulgent ente rs enx car ils
ne
;
"a
nati- mOritent nullement le mauvais sort
juin passdla bãíqiie an^aise1 sfriWTf W!'Timrs
qui les m^nace, à ce
fragtí près du pori Uariiur-Grace (Terie-Neuve); cette bar- qu'i) paralt.
que. venait d'AngleU<rrQt.et se reiulait à Teir.e-Oie.ive iorsqu'elle a renco.itré une moiiugue de glaci-. qui l'a inise rn
pièces; c'est à peini' si 1 equipage a pu se sauver Ce navire
éla t Irès-connu dans notre port oii il atail fait de ftéEsclayagi' et Scission.
qiienis voyage.s. »
Le. 20 juin passe, les Drésili. us rdsi !ani ;'i Paris ont
(nÉPOSSE AL' PROFESSEUH CAinSKS. )
olfert un banquei spleiicíide à M. ie conseiler Carvalho
Moreira. On a portd, à la (in du d.ii<'r, les t asls habitueis
[Si<ite.)
et la réúnion a été ati.-si briliante qu'animée.
L"S abolitionnistes dn Nurd sont tombís dans la utômc
PaiMii les passage rs du pa juebot français Savarrt
erreur, malgré leurs bnunes inleniions et leur zèle aciif.
nous remarquons les persounages suivanls :
ils ont nourrl leur ctBtrr de Ia dícevatilê esperance
de voir
1.° M. le coailede tinida, secriítaire d'a:nbass.ide qtn
l lienrt sl,fie,„c« 4,000,ora ,1'escl.v s serdienl liíclarés
vient prendre le posle de cbargií d\tlfaires tie l;i.uice, peulibres; oú de tendres tipuux, des fcmmes aimantes et
des
dam 1'absence de M. de Saiin-Üeurges qui esl ,n congé à
ei,l,i„:s en larmes ne se,-ai™,
bnnak-meni sé|,ards;
Paris.
oú le deuil de la race africaine verrait eníin son ter<»»<
2." M. le baron de ilesnil, si^créiaire d'uinbassatle de le soleil dc la liberté
l Antérique; oú le
Helgiipie, qui esl porieur de.s dé,ieebe> conlenani la déci- jionji!" i^onnerait de la joie du triomplie. Totil
cela élail
sioa de S. M. le rui Lêop 'ld ilans la queslion «uutnisc à son foit beau. Mais il n'est pas venu à 1'espril de
ccs utopistes
arhilrage royalsur 1'all'aire angly-brésilienne.
de se rendre compte des di:iicultás qu'ils rencontrcraient, le
3." Al. le l)jron tlc llolslein, seeriiiaire d'auibassa.le de j uir oú ils viendraiont prier le riche de devenir pauvre,
sous prélexte du bonheur de 1'humaniiií. Jamais ils ífout
Prusse.
propase ou plan rarsotiiiable puur'la réalisálidii de leurs
/i.J M. le comle de li.irral qui revient dc lSabia.
On vient dc livrei- au puL-l.c la partie la plus d.flicile de desseiiis; ils ne se sont jamais occupcs de donner une indemnilé aux propriétaires d'esclaves; bien plus, ils n'ont
la seconde section du ciiemiil de fer de i». Pedro II. Cette
qu'eIBeur(5 la question capitale de savoir ce que l'on allalt
partie coniient 13 inilles de rampe ascendaute cl naturelle- faire (les esclaves, une fois
retidus à la liberlü. Henfermés
nicut une ccrlaine quaniilé de tiiuiiels ; on continue à iradans les limites de 1'impuissance ct de la faiblesse biimaine,
vai.lerau grand lutinel que lou espere voir lermiuer I anuée
ils out joué i 1'omuipolence; ils oni prononcd un superber
proebaine. Ce sont des ira vau x uiagnitiqt.es par leur liar- « (Jue cela soit fait ainsi! » (et itbedone!
et naturelledies.se,mais qui inant|iieut peut-ètre de solidilé ; on ftéuiil meut cela
ne s est poiut lait ainsi. ÍNotis lisons avec intérét
en pensant au\ maibetirs que eauscrait un éboulemeut à
la réponse suivante de M. Cíav à une dépulation d"abolivisiter
fácile
ce:
de
role.
il
esl
Ou
une paretlle bauleur.
tionnisles qui venait le prier d,allVaiicbir ses esclaves
travanx, puisqtie pour utie soniiiie mini ne, ogüOJ. on p> u
pare-- qu'elle nous fait counatire la manière doiil le Stid reprendre un dimanebe le traiu de plaisir à ü b. du matin
soirà liio par it gurdail 1'mlerveution du Xord. Qu'oa ne «'.r„ie pas cepenpasser la journiíc à lloduio, et revenir le
dam q.ie nous adinirions le ton des remarques de cei ilumine
traiu de !i li. 1/2.
d'Llat émiucnt, surtoul lors pie naus nous rapp.luus ses
Itiselle a fait sa reutrée Itindi soir à IWIcazai
piiíucdenis discours sur le me ue sujei:
Lyrique au milieu des acclamalions enlliuusiasles de se:
« Vouí 110 connai>scz nulle:nent mes rclatiotis avec mes esclainoiiis
bionvciladniiraieurs.
Quelques
persunnes
nomlireu\
ves; vouí ignurez leur conditiun indivitluclle, el eepeiidaut, vous
lanles ont c.ssayê de iroubler sim succès par une dêniuns- M. .Mcndeiiltall el vos collègues, qai av.-i dépeusc laut d'activité
tralioii diainítraleuienl coutraire ; mais le trioiiiphe de puiir radigar eatte patitiou, v ms tvnez aujuurd nui mu dcraaudcr
1'anisie tTen a élé que plus couiplet. l.ne pluie de lleiirs a tuul buimciuenl de les rendre tous á la liberte. £h bi«ui, pcr.ueUezquei de oluVie;
Ia üruyère d
pour boisson, I'ean des sources ; p.uirl I,
L'.upee par la pluie ou louie i>ul)ibee de
ietaute. qui l.issc bi.-nid: u is re. rucs me
plail. J'v trcruvt I'aciiviie. remotinn, plus que cela, I'o iu.i
de inoi-méme. .1 : u'eu desire pas il'uutrc; il me la ti Ira it
üllcuielit la tiè re et IVxalUiiun d'tim: vi ae: bat-iiie. Ie.%
le gigaulesque en pleiii suleil, aruiee coum'efrt dii, a l'epu.|iie ou la
ques s0iitd"un au irc s.ecle. Q.ii
baiter, , qu'un
rfuiis inu d itinail sa iii.iin ii .
douairiòre de Cie
lour. mui, riiérilier d'uu des plus grauds nomsde Trance,
lloiiiu
llood
de la iégeuiic, uu oulle
comuie
je serais,
lua¦!
« Vcndredi.
« l!ne pelite paysanne qui liier a distribué quelques
miettes de pa n dur à mes compagnons. m a samé des yeux.
Je suis restá tout interdii sur e burd du seutier. il m'a
s.Miitilé revoir TüérèsC. CiStalt ie uiüine sourirc doux, le
iiteme regard litnpide cl lerine, la incute taille tine ei leste.
J'ai prisma lé.e tia us uies maius et me suis cachê dans
Pumbrc d'ua ; liaie... Pourquoi un son, une forme, un uiut
me raininent-ils tutijour.-,ei si violeuimenl, vers le passe?
Le présent esl-il douc pour moi canme sd n'éiait pas?
Ideu.ne m*y atiaclie... J'ai beau vouloir me faire illusiuu,
e.ettc iiisurrecti ul tf a poiul de raciues vivaces daus le pays.
J'irai jusqu"ati bout néaunuins.. Un Neuva ller a-t-il jamais reculé ?
a Sauiedi.
n Ccstauí ui,.'lnii 1'annivcrsairc du jour funeste oú j'ai
vu Loilise puur la prciiuòre lois. II ine sulTil de lermerles
la plaee deserte, les
yeux pouf revtiir la petile ê^lise,
vieux urines qúi l'ombr.:geaient. • Li s plis tlottanls de cone
« Six lieues de fuite à : avers les gcirôts et les bruyèrube liloue que portait Mi e il La Vauxelle passem dans res... La pluie cl Ia faligue ont arrcié la poursuite ites
et
hlluminenl.
J'ai marcliê toute
souvenirs
1'ombre de ines
qui nous harcelaient. Trois des iiòirvs maugrenadiers
la juurnée poursuiii |«r inille songes ; il y a des heuresoü quaieul le soir â 1'appel. Pas de paiu au bivouac, pas de
jcseiisinon âme latiguée... aucun espoir ne la soutient leu nou plus... II y a quaire ans, ma jout née in'eàl»em.blé
de
la
inort;
mais
si
au-devanl
elle
me
Jen'iiai
p.ts
plus.
mal reuiplie si je u'avais pas vu Mile üeLa Vauxelle !
f, app. it, ne serait-elle pas la bu nventieV yuelle cliose inyslírieuse y a-t-il dono daus la vie, que les meilieutes aspirations ne sufliseut pas à la remplir? Ali! Louise 1
« Ma pensée sc reporte inressammcnt sur mon petit comLouise!
. J-ai p«té 1» n«il à
paguon d'armes. Kerna-id ne se plamt pas plus que Médêric. II n'a pleure qu'une fois en voyant louiber Moua II ne reste plus que trois ou quatre chefs debout. cheron... Quand je le regarde marchant à mes còlés, les
Mon sccond «arde a troové la 111011 au co.n d'une liaie. pieds ineurtris. lesépaules convertesdune uiéchaute peau
Védéric. le fusil cn baudoulière, marche près de moi, de bique, j'ai des lieures cruclles oú je me demande si
de moi. Avaishà.e (lécharné, inipassibie. Cest un h.i.nme de fer. Les c'est bicil là ce que M. de Salbris^ilteudait
'"exemple el Centrai- I
villa^cs seuibleiit iniiabités, iam on y fait peu de bruit; je le drcil d'incliner, par la force dc
inétait coude loin eu l«i", quelques paysans qui bàient le pa<. Sur nemenl de la re onnaissance, lajeune àme qui
|
«Srfunl.™.
Kit
tontos les routes, des gendarmes et los ciiasseurs ã cheval liée vers les ch .ses el les idêe» qui ine séaui.sent le plus?
le guet. le mousquet au poing. Totijoursdes aler- Versquól avenir esl-elle ditigée ã présent ? I.i pais, dome |
rt * ânsia,KC. k bmte t* faisant
vaincre,
suis-je
le
lil.i..
sans
les
a.-sauls
des
rencontres
Ul,
subis
oú
des
embou-cades,
aifreux
dont
je
ie». «les e-carmouchos,
SSSSTteíl»
.
jaisoun,Je
buiigies..
cent
laquiüe
dans
feuxde
me
entreprise,
je
,3 wnes. les
man- nous laissons quelques-uus des nCires. Pour nourriture, un bien dans le vrai, et a-ite
.Mkiaii matin; je me suis roulé dans mon
t -,
morceaude pala deseigle, devore souslombie d'ua bou- suis jetá avec toute 1'ardeur d'une àme ulcérée, est-eUe
"**" ''tora°°
S au'plti «m V ***>« í*
jusu-, el tout ce sang que je >erse c.»ule-t-il pour une
'¦"{'"íde les gé..ür.«.ioiis duiveiit lileriielleuieut le sae leur ie?...
« Il y a deux uu irois jours, jVlaiscouché d.ins le crcux
d'11 n ai ore, alleiidant 1'lieure oú je Uevui» rallier mes cuinpagnons disperses... Passe uu suu»-.ieu.enau. couaii s.uit
qu.<lie uU ctitq pnsonniers que Ia petir Iü.sju treOactier...
t-11 regaruant ce» pauvres héic-s, arracuéa à Ia c.iurr,.e jwr
Ja g leireciviie, lomare^iie Ia pidé s'elen,.ii sur s..ii ..soge.
— Quand liuira cette équipje . uit Ie .vddai.
« J'ui tressailli... Seruit ce vraiaiem une équipje? i'ourquoi alors cette torce inésisiible qui ine pousse eiiaiaiu?
• 10 ni3i.
« Ce matin nous. étions groupés >ilencieu.sement dans
une íenne à demi ruinée; jilus ye üestiaux dans les étaüles, quelques ürins de pai.le dans. les granges. i;eux ou
trois a'eaue nous paiisaieui leurs blcasures à l'écart; d'auLres rougeaieiil des croütes «le pain à la liàie. Tom à cuup
une femme à cueval, euiourée ue tróis ou quatre cavaliers
parut à 1 exlrémilé du seutier dont te ruüan jauue s'effa ait
Uans ia latiae. tile était jiàle et triste. Mou . prender regard la recomiut. Lu une sccunde tous nous fúiues debout.
yuelle éuiouon dan» lous aio» Cíeurj l Elle passa. de»aut
nous lonteiiient ct nous s dua de. la rtiaiu. Je voe encore
son licr sourire oú le rayon de 1'espoir i,e brillail plus. Aia
uiain branda uion épée, ct je poussui vei-s le ciei te cri de
guerre des \ endéeiis. Tous les cliapeatix s'agiièrent au bout
ües fttsils. jNous avions oubliê nos faiigues, nos péiils, nos
biessures. Llle clait dcjà loiu, eniponée par sa coiirse
s«ins repôs, lorsque Feruuiid avisa umis l lieibe fuu ée
par
Ivs piedsdes clievau.v uu, gant lquibé de la uwiuqui u>utü
riieurè rijus Saluait. II le' rautassa ,le preuiier, el 1'auacltt:
aurubau de sou feutre. Lna-sse dò sa jeuue àme éciatait
dans ses yeux.
-''a'
rtampease I u'Écrii-l-11; i
1plfelll
puis luouru-1
. J a. taversé hiet un com de (erre «ú le co.nle
Jean
a 1'H'e fim Mt aeces f.ir.euses baiaillcs d„ui le
rtdl
mau 11,un enfance. ali! m les lie„» „
a! cnan-i les
hommes ne sanl plus les mêiiies I AnLüi.r di. u.ülaS,
„
jeunçs ga Çoi.s íe leme; íá el là, Cu„„„
uue lande, de vteuX chouaus qui ain.enl Toacurde
Ia oouil.e el q,H s eluünel.tde lenr peiil uonibre... ...alipiínVde
noms hisionques. Ou sont Caibelineau, Sn.lDel,
Cliareit^?
Quauu jc vois ce graud v.Ue autour de celtc
poiguée
u ilumines íulrépides qui ineurent
une idée, je me deniantle eu frissonnant si les temps pour.
clievalereques ne sont
pas liuis... Alais qu imporie. si uiou père esl content.'
(La suite au prochain
'•)
t»
^Eè '¦'Fioiivellístc
Ae. Rio cie Janeiro
•,-iirtr'T-i-
ruu
qn'avec la reconstriiction de celle grande pnissance esclave I I Ariigas, on n'a niiileiiieiuen riiiienliond'ínsiilier
1'autre des paviltons.
i-Unl
consulat
lalientat
commisconlrele
n
íatisfactlon
pour
Telle est Ea conclusion ü laquelle Tctude de Phisloire
ten lin à llontcvidiía et promesse formclle de proceder
d'Amérique a conduit les esprits éclairés de 1'Eoiope. Le
ure les coiipãbles et df les punir,
professeur Cai mes dit qu'il est tentií de demander à ceux
ii On íiíssera le pavillon oriental sur le loii íi. José, le
qiiidillèrent de son opinion: u s'ils supposent que la crise
>mc. jour (pi'on liisscra à Montevid«o le diupea-n argentin
iictuelíe est uu pliénumèue isole, indépiuidaiil du passe,
¦bandonnéi et prives des aoins des leurs mores, lies; Knrur.; uue
1'histoire d'AinérÍque. » iVous ferons observei- au
consulai, pour démonlrer que les tlciu goiíverneincnts
»utre classe deuoirs qui n' accepteraieiit point leur liberte, quan d dans
¦lalsir
,-llig
bíen niéiue jc vtiudrnis la leur doniicr. ,1'ai posíédi; pciiduiil dn professeur Caímos que c'est sur notre connaissancc de
longuei amióes un carlave quu j'i;.*pi;rjis décidor à um quilter; il riiistoire aiiitiricainc que nous basous aujounl'iiui les fon- qui pouvail iroubler !;i paix des deux pays.
ision. Genes il peut prétendre, tanl
ne I'» jamais veulu. Qui dois-jo feire de cetie clasie-là?... Per- demenis de cette tli
i Ce protocole est prácddií des prolo.slalions ilu gouvermellez-moi d'aj ou ler, M, Xlendoiili.il 1, que mus esclaviss .iuiiI aussi
i sonl erroniiiícs ct il ne néglige pas nenieul argentin (jui prõinct de continuei' à garder une
qn'il veut, que ces
bien nourris ei aussi bien soignés, qu ils sonl aussi propres et aussi de faire valoir ses
oits ã cel égunl; mais il nc doit slricte iKiilralilé dans l;i liitte qni alllige 1'Jilnl Oriental. Li
%i\m, quils sonl aussi oivils cl ivs|B'Cl_u'ii__. dans leurs miiniiiy-;,
point aller trop loin et regardei- comine un fait acquis que vapeur de guerre oiíenlal Artigos a élé relilclié.
.nt«i peu disposúi ii h.va :- bs si-nliinuiiís il'_iiilriií, qiiu
qu'ili
tom le monde, cxceptC lui, ignore les prenderes nolions de
vous pou rei 1'Èlrc vous-môme lo possfldo ou virou 311 esclaves
riiistoire de 1'Uniou, parce qu'Íls'expose en cc cas ã ètre
ijuí uni une valeur approiimalivc do 15,1)00 dollarn. Les lam.er
comme un étourdi et comme un sol. Les Iioinnies
daus lu sucifló sans ressouroes, sans aiimin inojen d'e_sislcnce, traitii
honneles et sages dcsirenl de tout leur ceeur la sèparalion
;
1
ou
ii
de
crunnlc.
ÍWs-vous
disposú
serait un acte
payer
garanlir
Nouvelles (VEurope.
les 14,000 dollarsà leur prolit, dau- ie casou je me déciderais à duJNord ctduSud, nonqirils ignoreiit riiistoit"edel'íJnioiit
les rendre libres ? Cerltis les sécurii"- que vous me doiuicriox pour. qu'ils sjnipatliisenl avec Pesclavage, uu qu'ils haissent les
le piiemenl de cetto somme, diminmiraÍPiU malérinllenirul l'obsla- insliiiitionslibres; mais parce qu'au contraireils connaiscie mis à leur éraancipation. »
sent celte histoire, parce qu'ils deplorem la manière donl le
Frniiee.
M. Clay exprime ici les idées, et represente les sentiineiits
gouverneuienl de Washington a souülé ses premiers prinde la plus intelligente cl de la plus respeeiable parlie des cipes, depuis un deini-sitclc.
du
^
nouvelle
cclteinlhience
agiMainlcnanl
jour, c'ost la prlee de Pueblo ;
grande
que
propriétairesd'esclaves.
elle a rédnil au silence tous ceux qui s'alarinaient de
(Traduil du Dublin Unicersitt/ Magazine.)
talríce du Nord a cesse, maintcniuil que Ic Sud reste entièexpÉdltion
se prolonger indélinhncnt;
voir
cette
loi
mai
ne
instiiiilions,
on a enleve
rement libre de réglerses propres
[La suíte au prooliain numiro.)
car dés ce mainent on peut la considerei' comme termiau íauatisme despro-esclavagislcs uu grand pretexte ei un
nêc, quoique Ton dise que riiiuperenr est rísolii í"i òceuviolent slimulaiil. Sous pouvons donc nous atlendreà voir
sMIever graduellemem, très-grailuellement, nous le craigper mi li tai rement Ic Mexique, j:is![ii'à ee ipie ce pays
soit délinitivemenl constituí. Dans tons les cas c'est un
nons, rinlluence véritablemcni eflicaee du parti de 1'aboliinagniliquc triomphe pour nos armes et l'Einperciir a de
tion, parce qu'il deviendia prudent et niortéré; ce parti, cn
i^iouvclles Ai- la 1'lala.
effet, va sc couiposcr de personnes dirccleuicm inlércssiíes
quei se consolei" alnpleuiciit de !'échec qn'il vient d*iípron ver aux éleclions de Paris.
dans la question ile 1'esclavage, cl ne pourra plus étre susOii lil daus le Jornal do Commercio du 22 Juillet:
On connail aujouivritui !c résullat diíiinitif des secondes
pecl dc sentimenls iiiiniotlérés pus plus que il'uue précipi. tation égoiste et iuconsidérée. i;¦_¦ parii, lorstprii parlara an
* Ce n'est quliier que Ton a re-;u quelques journaux, éleclions qui onl eu liou dans dix colléges, savoir : iJapeuple, ue lui reprochera plus lu crime cotnmis contre apporlés de Bio de la Piata par la corvelte poitugaise ris, llépiirlcmenti de 1'Aisne, de la Cbarcnte, dc la Giriiumanité, mais il déclareia quil partage avec luicete ca- Bartliolomeu Dias pour une personne dc cet.c ville qui a ronde, du llatit llitiu, tlu Nord, du liliónc, de Seinc-Cllamité; il avouera que lous, sans exception, cux les pie- bien voulu nous !cs coinnmniquer.
Oise ct de fieine-lnlCrieure. L'opposilion a remporlé la
miers, onl étô entralués, malgrè cux, à lu falisse, iiijustc et
u IjCs nouvelles de líuénos-Ayrcs vont jusqu'au 12 et víctoire dans six cóllégüs sur dix. M. tluéroult l'a emmisérable condiiion d'un peuple propriéiaire d'cscliives.
porte à Paris sur 11. FouclnS-Lepellelter avec une immensc
celles dfc Monievidéo jusqu'au 13 Juillet.
Dès ce moment les abolitiomiistes seront écouttís, parce
majoriié ; du reste cc rísnltal était facile à pré voir, du
ti Dans 1'Etat Oriental, Flores se irouvait au nord dc
moinem que M. Ilocliiu, ic caiiili l;il légilimisii'. ne se
qu'ils se souineLlrunt eux-méincs à la censure cominiine,
de
notre
Irunlicre,
cl
saus
llio-Negro
près
que
pcisoiiue
seront
raisonuahlcs
leurs
et
bien
proposiliüiis
parce que
rálliait pas du còté dn candidal ollieiel." Les autres
nillries, parce que la question les in té res ser a cux spiícialc- puisse comprendre ses piaus. Dans la Republique Argentine, candidats dc ropposillon qui out élé iiummtís sonl MM,
ment et non pas seulement leurs voisins. Toute leur ligue üepuis la ilérouie do l'eii>ilosa a Cordova, il n'y a cu en iVializieux, .Hiles Kavru, Uicliard, Planai et Ancel. Les Z|
de conduite será tracéo de niaiiiòre ã ètre bien accueülic campugiic aucun parti qui pflt causur de 1'alarmc au gou- candidals du gouveniemeiU sonl asse/, puu connus, ã
veriiemeiit; mais on parlait tCunc formidable levée cflndiens
parle peuple, parce quele peuple veria qu'on fait cause
1'exception de M. Boitclle qui esl le frere ciu préfct de
commune avec lui. Mais comttieiit cc parti pourra-l-il de Vhttco, depuis Oran jusqn'au rio Paraguay, au nombre police de Paris.
naltre et s'organiser dans les litats du Sud ? Le fanalisme de 10,000.
La nouvelle chambre lügislative comptera en tout 32
« L'uniquc nouvelle interessante esl, de plus, celle de
qui existe aujau^rimi dans ie Sud est Leliement violent
membros de Poppositíon; c'est beaucoup, qnoiquc ce
que, si cette question ne doitOlrc déciüee qu';m point dc l.i reconcilia liou des pouvernemenis dc IJuénos-Ayrcsetde
n'ait absolument rien d'alarmant. Les elections,
chiffre
vue de Ptuimanité, nous croyons qu'il faudra bien du temps Moriièvídío. Cette réçonclliaiimi s'esl faile an
inuyen d'un dit reste, sc sonl
passécs dans toute la France avec le
avant de faire prévuloir des couseÜs modérés dans la Conprotocole slgní dans la première dc ces villcs le 29 Juin
plus grand calme ;•¦'car on ne peut considerei" comine
fédéralioii. Le grand avantage 'ini, à nos yeux, resultará
par D, llulino de lílízalde, ministre des allaircs élrungères une manifestulíon élcclorale les troubles
qui ont éclalií á
de la scission, c'estquela quesllm sora envisagée alors sur et D. André Lamas, agent contidentiel du
gouvernement Bordeaux parmi la classe ouvrière ei
qui ont úlé, du
un autre importam point dc vue, et qu'il s'agira de 1'intiiict de 1'Etat Oriental. Ce protocole a élé ultérieuretnenl apreste, rdpriinés avec la plus grande énergie par M, Pieimmédial des gens du Sud eus-inümes. Le grand avantage
prouvé par les deus goavcriiemeuis.
tri, préfet tlu iléparlenienl de la Üiroiidc. Voici en quels
consistera en ceei, que Parènc de 1'esclavagc será tiram-i La Macion Argentina dn 12 Juillet publie cc pro to- termes cc liaul fonctioitnaire lermiiie 1'avis adressé aux
scrite et limilêe. Ces limites ne peuvcnt et nc doívent ètre
cole oú Pon voit que les bases de lu récoitciliation sem ouvriers du port, à la date tlu líj juin .
fixées que par le sorl de la guerre ; et jamais la eunvoitise
les suivanles:
ii L'aiitnrité, sachez-lc bien, écoulera toujours avee biendu pouvoir n'aura détotirné un peuple de Ia route de la
« Liberte des personnes et restitmion des objets retenus veillance vos riiclamaiiens, si vous vaus adressez à elle avec
justice d'nne laçou plus tiéptoruble qiren celle occasion
le
goutemanem oriental ;
calme cl cunliance ; elle vous éciairera si vous étes dans Teroü le Nord a pris pour enjeu Ia complete soumission du par
renr : elle vous doiincru satisfaciinii si vous avez ilroil ;
u Proinesse dc payer les indenuiilés sulTisantos
Sud, au lieu de borner son ambiliou ii des restriclions terponrles
mais, sachez-le bien ausd, elle ue eMe pas à 1'inliinidatioii,
ritoriales du Sud. Si M. Lincoln, dans Ic príncipe, avait violentes exi.ifées:
declare que lout cc qu'il voulait était de reduire farine
ti Obligation dc reslituer, au lieu ofi elles uuí élípri- et imites les íois que vau. terez appel á la violeuce, elle ue
verracn vuusque des pcrlurhateurs de fa iranquillílí pude 1'esclavage, la syinpallile et l'appu! dc 1'Jíurupc attraicnl ses, les nnncs enuiyéespar l.i répuMique
argentine ;
bliqtie, elle useivi sé verem eni outre vous des moyens de
élé aussi clialcureux en sa faveur que sa conduite y a exeile
ii Con:laninalion. par couséquent, des atlentais commis.
répresslon que lui tloiiue la loi.
d'inr_Uffiírcnce ou d'opposition. SujijMisons qu'aujourd'buÍ
n \lise en disponibilité du commaiidani du vapeur de
mème il vienne déclarcr que son but esl ce but raisonnable,
ii Cest son droit, c'esi son devnir ; elle n'y faillira
H pourra encore prétendre á I'estime des honimes libres. guerre oriental Vitta dst Salto jusqn'à ce qtfil passe de- pas'. •
Quoiqu'il en soii, il esl curtam ijue le Sud gagnera son in- vam les iribaiiaiiv pour y justifier les violcnces cxereées
ipicMiiiu paloiiüisi! préocctipi; lous les esprils; on s'alLa
dépendance, avec une rcsiriciiou de territoire, ct quelque conlic le vapeur argentin Salto ;
tend à dc graves é.vénmncifls, si la Hussie ue .veut pas
déíavorables que puissiíüi ctre les conditions de la separav Salul reciproque, devant Hartim Garcia, pour pron- acccdcr aux nouvelles proposiiions
qui viennent de lui
tion, la cause de la libeilé y aura toujours plus
gagnó ver qu'eii délenaul Ic Salto et le vapeur dc guerre orien- ètre soumises par les trois grandes puissauces, Ia France,
moi (la vous dire que j'ai une demirdouiaíne d'oacUves que 1 ãge,
la déurépiUidc ou les inlirmilés rondem compliteraonl ínoap.ihlcs
degagner leur vie et qui me sontitiw lourde cfcirge. Pensei-vous
que j'obéinis aui devoírs de 1'humnnitó en me dfharriissa.il de
cette charge et eu cuvoyiiil eas (murros ilinldcs dans b -mude,
avei_.ee prétundu bitíiifailde liberta jionr y uionrir dt- liim ei de:
raisère? Une seconde dnsse dc mes noirs so compnse denfauls
NOUVELLES ARTISTIPBSDEDROPB.
Nbw-Yob*. —La compaguie italienne, de retour
de la Havanc, a inaugure Ia saison à New-Yorlt, le
4 Mai, et a donné VArotdo, chanté par M. Mozzoleni et Mme Brignole-Ortelani. M. Mazxolcni, li¦ons-nous dans VEco d'Itália, e été salué íi son eutrée en scène des plus chaleureux applaudisseinenls.
Cet artiste est doué d'une voix puissante ct d'une
ènergie qui étonne et charme tout ú la fois l'auditoire; son jeu est naturel, intelligent, nuancé, ct
en fait un comédien remarquablu. On sent dans sa
tenue en scène Tailistc sür de lui-même,
qui a.eunscience de son talent. La piesse localc est unanime
dans les éloges qn'elle accorde à cet artisle dont
elleloueluphysionomie, 1'inspiratiori etla methodo
pleine de séduetion.
// Bailo in maschtra fut pour M. Alazzoleni uu second triomphe, ct il s*y est moiitré acteur et chanteur également inimitable, La direction
peut ètre
certaine que chaque fois qu'cllc offrira ce nom au
public,larecettes'éleveraaumaximum; i! seraitdiilicile d'imagiuer un fUclard plus parfail sous tous les
rapports. H™' Brignolc-Orlolani a seconde avec talent M. Jiazíoleni, tt Mmr Sulzer s'esl montrée, elle
aussi, une digne partenairc dc ces deux priiicipiuix
artistes.
La Jone, dc M. Petrclla, n'a pas été très-Iavorablement aecueillie. La rôlc de Glauco a été un vrai
triomphe pour M. fflazioleni. .lamais son talent ne
s'était montré plus complet; l'art du chanteur et du
comédien ne peut guére ètre
poussé plus loin qu*il
l'a été par cet artiste dans la scène finale du deuxiémc
acte. C'était d'autant plus rcmarquable que l*ezécution de ce morceau, siparfaitcment réussie, estd'une
dilllcullé extreme.
Milan.—Les Hitguenois viennentd'être representés à la Catiohiana; ce chef d'ceuvre avait été donné
déjà sur cette scène en 1855, et avait alors pour
interpretes MM. Giug-lini, Marini, Zacchi, Llorens,
Berlolini et M"" Boccherini et Viola. M. Bertolmi,
qui, á cette éjioque. chantait modestemeiit le sohl.it
liuguenot, personniíie aujourd*hui Ilaoul deNangis,
JJ Voir Jenuiuerü i.'l pour ie fouimencement des dernií-re*
j)Ouvel)e< arlisliijues dHurope.
et juslilie par le talent les promesses qn'il dnnnait
á ses débutsduns ia carrière. Cel artisle a une belle
voix dont Ü ne force pus les moyens; il diante et sail
nuancer ses eiVcls, ce qui est lepropre des artistes
qui onl l'expériencc de leur art ei veiilcnl durer
loiigLemps. M. Marini juuo ei diante cn vétéran
lyriqut-le role de Mareei; c'cst uu ancien qui donuc
le mcilleur exemple aux nouveaux, cl leur montre
eommeiil, lorsqivniin acquis une ccrlaiim cclébrité,
11 faut s'y prendre pour Ia conservei'.
Üll°" Majo s'est oroduilc dans Ic role «le Valenlinej
celle [iriina donna est à peu près nouvelle pour
1'ltalie. Lu Gazzella dei Tealrí écrit que sa voix est
bien limhrée, sympalhiqycllexible ; Mrar Majo s'oniiiinec bien ei peut espérer sc faire nn nom lionorable daus Ij carrière lyrique.—AI™- Corani, chargée du role de la princesse, ne s'en esl nas mal
acquitléc, et elle a mictix réussi i]ti'ellc ne l'avait lait
dans la Mucttc.
La compaguie IVançaise Meyuadiçr u termine ses
represe nla tions au lliéàlre lie ct s'est dirigée sur
Turiii.
Le ihéãtru Carcano, qui devait ouviir avec M.
Moriui, est encore silencieux; Santa-Kadegonda,
qui avait publié sou prospectus, et, voire même,
apposc ses allidics, esl égalmiient demeuré fermé.
Cela n'iii(liquo point qu'cn Italie les allaircs ftiéiUiales maréíient d'uuc laçou merveillcuse.
Foiíli. — M. Mamert Bilicyran, juemierdanscur,
cl M"' Emiliii llcllini sunt eiigugés a Rimini pourla
saison des baius; un nc sait pas encore pour quelle
ville M. ct M"* Vigano ont traité cn quittant Forli.
—Le second opera donné a été Lucta; MAI. V.
Sarti ct Si]iiarcias'y sont mou três três-remarquablcs:
Al"* Viluli est une Lucic d'un merite peu commun;
Al. Kossi -Galli. basse profonde, a partajé Ic suecés dc ses cainarades, et le liuale du second acte a
été rendu avec un lei ciisctnhle. que le public l'a redemande an milieu d'applaudissun\unts cntlioiisiastes.
Dans la repre senta tion dounéc au hénéGce dc
1'Ásile do 1'EiiI'aiicc, Milr Vilali. MSI. Sarti et RossiGalli ont chanté d'une tarou splcitdide le trio des
Lombardi.— Gingiiani, lénor, a été rappelé après tc
jiiemier acte des Masnadieri; Ia prima dnnna ;i en le
mallieur ile s<- faire silHer.
Le second bailei olíerl au public pendant Ia saison
a étc Masanietlo, de Al. Coriesi. =nunté
par Al. ViI,. principal ràle. Cet artisle esl
gano. ,|iii ou
1'Angleteri'e et PAutriche. Voici la stibslance tle ces proposilious, qui sont au nombre de six. .
1." Une amnislie complete et géitéialc.
2.* Une représenl stion nalionale sur les mGmes hases
que celle établie par Alexandre í", en vertu cl en exécution ilu Traité de Vienne. (II parall que 1'Aiilriche
n'csl point parfailemciil tl'uccor.1 sur ce paragrapbe avec les
deux anlrcs puissauces ; mais naus n'avtins pasà nous en
Inquietei' pour Ie moment.)
tles oloi
3.- II
mt i
IIX oflkf
!es |>olnt
public
ml iiispii
rdét
i"Clí|íÍO
loloi
qul
5." On cniplolerã la hu
: polonahic
Iransaclions publiques ei daus 1'éducation du peuple.
ti." Un syslème régulier tle recnitemcni será établi,
pour évilci" le veiniir des évéiiemcnts' qni onl amené
1'insurreclion.
Lu llussie accÈdera-t-elle ã ces propositions ? voilíi cc
dont il est permis tle tlouter I IJe tnus lescftiés, 1'emperem' Alexandre reçolt les pititestalions dc dcvoiicmeut et
dc pairiolisinc dc ses sujets ct nous n'avons que ton
peu dc gages des tlisposi lions pacifiques de Ia llussie,
tandis qu\iit contraire ceux ile ses disposilions belllqueitses nc nous manquem pas.
Cest ainsi que nous lisons dans Ic Jour, feuille qui se
public à Moscou :
i La question ile I alegue n'e8l ni une question diplomatique, ni une question européenne cl intemationale ; c'csl une question nalionale Misse.
i El si PEiirope s'iinit avec la Pologne contre la llussie,
alors la lime aura le caractère d'uiie lutledesdeux mondes, ei la question de Pologne deviendia une question
dVxistence ou de non exislence pour la llussie ct la nalionalilé rus.c, uue question oii il se decidem si ce sonl
les (lois latiiio-germaniques qui noieiont lc monde ortliodoxe-slave, ou bien s'il i si dévolu h Ia llussie de devenir le uiont Ararali du monde ortliodoxc-slave et de lc
sauver du déluge. »
Quelle scra la politique de ia France, dans le eas oü
la llussie lormulerail un refiis V Nous croyons 1'enlrevolr
ii 1'avance. l/empereur montre la plus grande pnulence
parce qu'il veut absolument faire de Ia question polonaise une question européenne ct non une question
simpleuicnl Irimijaise. 11 voit à merveille le plége que lui
lendcnt ses soi-disatit bons amis ei il n*a gartle d'y tomber; il ne marebera cn avant que lorsqiril aura parfallemeiit délini ct ctabli sa pusitiun, mais on ne rentralnera
imiut malgrè lui .'i une guerre dont les résultals seraieni
dotlteux cl pourrale.nl ménic Otre tcrriblcs.
IVim autre còté, mi ne [leul nier que Napoléon éprouvn
im ardem désir dcntieren eanipagne pour secotirir les Potonais; d'abord parce que celle cause lui semble une
cause sacréc, ensuite parce qn'il donnerait salisfaction à
1'Òpinion publique qui esl uu anime en France snr la guerre
de Pologne, enlin parce qiül irouverail là une uiagnifique
occasion dc nous duuuer uos froutiéres du lliiin et de a!aliser ainsi te réve si longtcnips caresse par la vieillc monarcltle.
Voilii qui serait elfcclivemeiil un couronnement de /Vrfí/ia: digne dc la poli lique du second empire ! Mais nous n*en
somines pas encore lá, inallieureuscmciil I uiuiiquil en soit
on coininetice dans les arsenaux des préparatils tbrmidables,
ce qui scmblerail indique.- une résolution déjà inébranlablc
d'enlrer cu cainpagnc si les circonstances 1'exlgent. On
prétentl quu Ia rigucur, les lioslilités poiirraient coinmencer
danslespremiersjouwdu moÍsd'aoill ; mais nous croyons
que c'esl aller beaucoup trop vite,
Apioposde rAméiiqiic,Ílparailqucl'Eiiro|H!iccommeiicc
ã sc lassei'. l)e nouvelles proposilions vont, dil-on, ètre faltes
aux deux parties belllgérantes. Daus lc casou ces démarebes
un mime supérieur, et. pendant les ciuq acles dc Icquel Hector Bcrlioi a dirige lui-uiêine les morceaux
l'ouvrage, il trouve le moyen de sc faire constam- suivants; ouverture du Roi Lear, Ie Câmara!
roment a|,|ilauJir et rnppeler. — Jl"- Fanny Vigano wtiin. Ia Spnfhonie Barotd en Italie, ei
des mortienl parlaiteme.nl le role ile laMuetto. Comme dan- ceaux de Romeo e! Julictte,
Tobjcl
il'ovalions mérilées,
scusc, elle esl
Brukschwie.—La Iteole, tle Guslnve Schmidt, a
que partaged'ailleurs M. Mamert. Ces deux artistes sc 1'onl eu
tle réussíte, La musiijucy principaleuient, a
rappeler trnis et quatre lois dans une tjiOiiie soirée. été peu
trouvée d*uue grande monotonie.
ee qui u'esl pas uu médiocre luinnour.
FaAfiCFonT-sim-i.'OnBn,—Dinora/t, de Meyerbeer,
Nous annoiioons que Al. Mamert est engagé ú a élé donné,
pour Ia première fois, avec beaucoup
Ríilitni; c'est la seconde luis qu*il traité avec Ia t|i- ile succès. Itésullat
prevu.
rection de co Lliéãtre, oü 1'aiiiiéc deriiiére, il était
VtKNNi:.— M'"" Sieniann-Seebal a déhulé dans (.de
M°"
Ferrnris.
Cetle
fois, il daiisera rôlc ile Margueriie dc Fausl. Lagruuilc cautatrice
paitcnaire
avec Al"" liellini, qui était sa première danseusc iléjà a obteuu uu legitime succès.
àllonic pendant le dernier carnaval.
FiiANCFoiu-sia-Lt-AlEis,— Le Grsangverriti, dc
Quand, en France, Ic public oti plutõl les direc- lliilil, a esécuté coiivenabletucut Josué, du Haudel.
teurs voudronl comprendre iju*il n'j a
point de bal- M. Fiiedrich a diiigé rexècution avec beaucoup dc
let sérieusenient possible saus Ic cínicours tles artis- lermelé, cl les solos
ont été ehantés a\ec gofit par
teshoinmes, MM. Mamert, Bilmyran et Vigano sc- Allle Lubitíkv, Schrcek
(dc Bonn), cl MM. Baunianu
ron tau premierrangdcceuxqu'ilfandra rechercher.
Cassei) et Hall.
(tle
Bealik.—Nous avons entendu MM. Bachmaan,
AVachlel ubtiçnt toujours un succès, digfiu do son
ténor, et Lindeck, hasse, dans les Hnguenots. Le
grand talent. II a dépasse même les esperances tln
premiei' a uès-hien rendu la romance du premier
dans le rüle d*Arnold de Guiltaumr. Teit.
aclc, et, dans le duo du quatrième, il a en les hon- public
SAiKT-PÉTEftSBouHG.—La MourawieíV letonruera
neurs tlu rappel. Le second a été un excetlont cet liiverà Saint-Pétcrsbotirg,
oú elle créera un nonMareei. Alais le succès de la soirée appartienl lou- veau bailei de Saint Léun, lc Kt/nek
gorbounck.
jours à M11* Luccu (Valenlinc), á laquelle la critiLe sujei de cel ouvrage esl liré tíun conte
popucomme
le
publie, décerue la palme.
que,
lairc et fantastique qui uffre tles situalions dom
un
ScnwBníK,—Nous avons entendu ici, pour la lin habile luaitiv dc bailei
saura bien lirerparii.
de la saison, Ic Martage </._¦ Pigara, de Mozart, qui
Deux autres nouveaux baileis, Saittmitndrr i-i to
a élé rendu nn uc peut mieux. Sesontparticuliè- Sept Corneiltes, seront representes
cel liiverà Moscou.
rement distingues AI. Hinge et M11* Haniscli.
M. Pctipa a campos ¦,
sa femme, un grand
WiESBADEs.—51"* Louise Fiscka adonné daus celte bailei: ks Datm e'. les pour
Maronita
ou tn benute da
ville sa dernière represen tation avec Ernani, role Lt ban.
tCEIvirc. L'entfaousiasme du public a élé incrnyaParmi les artistes Trancais qui voufallér cette anoêc
ble: bouquets, rappels, ovatious, ct même une complèter la Iroupo ,1,, théaiie
Mioliel, ou cite Henii
sérénadc donnéa à In cantairice aprés le spoctacle, Luguel, dr l'AmbÍgu.
pour le drume; Ocsüharaps
lui ont prouvé là vive sympathie de la population. íils.
Mlle Julictte Pelleticr, duègiie;
jeune
Miyence, -'i mai.—Les representa tions duthéülre Jllles Faunvpremier:
Lotlianl cl Tnal-Meimel. ieunesprede Ia Gour mit commencé avec le Propktte, tle iiiièrcs,
Meyerbeer, l/adiiiiiiislration avait fail mus ses clVorls
Lc tlieúlrc Michcl, dont Ia reconstruetion a i^oOlé
bien
mon
tor
ce
chef
d'<cnvre.
Elle
a admira- 100,000 r.
pour
IV.) il v a., peine quatro ans, va
blement réussi. Le Prophlte, comme Ic Tami/iaâser, Gire icslaiiré(1.600,000
de nouveau.—Une somme de 33,000 r.
qui l'a snivi. a élé represente, avec un grand luxe (IM.OOO IV.) esl assiBuec a cel ellet, lanilis i|u'o„ ,«¦
de mise cu scène, par une excellenle Iroiijic sc- iloiiue
pas 15,000 f- (liil.OOO tr.) pour lc tlié.itre Aleicondéc par uu brillant orchestre, ct le tout eoiirnmie andre, oú
jjue la lioupe russo, ei qui esl daus un
de succès.
état vraimeul pitiipble sous tous les rapports,
LoiiENuiac.—Le Kl Avril a eu lieu lc vingiconcerl
de
la
chapelle
de
la
Cour,
dans
FIN
qualriéuie
Le IVouvcUiste' dc Itio dc Janeiro
ne seraienl pas couronnées de succès, la france et PAiií;Icteire semblent décidées íi leconunllre le Sud imniédiaiement.
On a remarque avec une
grande surprise que lá reine
Victoria n'a pas encore atirasse ses félicilatlons augouvcriiement français à propôs dc la prise de Puebia, landis
que
íoutês les aulres puissances sc sont cmpressées de suisir
ÃMe hetireiise occaslon pour compi imcnicr Pempereur Salioléon ? Mais iPaltaelions pas, pour le momcni, une trop
grande importai.ee k celte bizarre contluite.
ía question de Plstbmcdc fucz repremt,
grace au ciei,
une bonne tournure. Lcsullan parait disposé h sancliouner
tontos les concessions accordées par le vice-roi d'Egypte. Cc
i|lii est certain, c'est que ies travaux ne sont niil-eim_.il arlèlés et qti'on les poursuil au contrairc aycc la
plus grande
.íelivité. Du resic, nons pouvons èlre parialleiuuiH tranipiillcs; Pempereur, ,'i Sue/ comme ailleurs, sátira fair.
respecler nos droits et notre lionneur.
Lc Monikuf du '2íi juin public des décrels fort imporlanl.v
.1. Biilaud qui était ministre sans porte-feuiltc ilevieut
ministre (PEiat et président du conseií. \l. lc comte Walewski quine le ininistère d'Elai puiir eire envoyé, díl-on,
iimbassadeur ,', Londres (mais ceei n'esl pas ofliciel). MM.
Itoudci, Duruy cl lléliic som nominés ministres de Pintei ieur, de 1'instruetfon publique et riu coiiimerre. Ce sont
des noms
qui n'onl poinl ime très-grande slgnilication.
\\, Ronlier reçoit la presidente du conseil iPElat, en remde
\l, Bnroche qui est mimou1 ministre de Ia
placeinenl
justice et des cubes, linlln Sl. le di de Mqi*nj' i
présideuee du Corps Législaiif.
On a fait, par la même wcasioii, des modilicaiions importa mes dans les mÍiiisli.resd,Ktal,derinstr.iet_oupublique
Maison impériale, Le premier perd ses aitrlbntions
le second acqulert de nouvelles branclies
et dela
administrai...»;
deservfce, quoiqu'oultil rellre Ia directlon
passe an minfslère de tu justice.
.'rance les plus Importantes
ei qui niilriteiii 1'attetition sérieuse de nus iecteurs.
21 mai Í8G3.
trois lienres du
Puebia s
veimei
par
riépéclie
Le roi des itelges est renommé par sa priidcnceet son
habileié diploniatiquesjil est infiitiment probable qti'ü iPaura
pas voulu se comp ron íeltre
Quant à cc- qui, tiiuclu; IVsciavage, lord Ikougliam, e:i
rieiiiatiii.ini à lord llussell i:i>'i]imuiieaiiim de-, jiüjiiers qui
concement celle alfairc, a rendu plt-ine justice ;i la contluite
dn gouvcriiemi.nl du ürésil, qu"il a déclarée admiralile, en
matin íi ia Vera-
reiidtie.
comparaison
> i\ part les queslions relaiivcsau UiésÜ, on s'occtipe beaucoup eu Anglelerre de la Pologne ei de lAiiiérique. Les
année.
ti-, p.irallèles fmcnt mitiinuée-i oi
poussées près de Pouvrage ei Inèclies faili-s, déjà sullisantes
pour 1'assaut,
icxicainiii
; '
liana.
Le lord-maire de
l-oiulrc.s viam
Parlant
chel
nos
colonnes aux
d'état-majur
du gébataillon de
et
triomplié
uni
notre
rirapcail
resplendit
cPuu
Forej iit son en-
—
le IS mai IWi.
loa etíaí..™*
piéecs de diver.s calibres ayant nnveii leur teu le Iti contre
<*e fort, ei riélruil eoniplèteuieni en deux lieu res son armemeitt, la sítintion de Ia place, contre laquelle étaient
gées deuv vlgouretises attaques, était des plus critiques
general Ortega m'a fait
des oiivcrtures piur que je lui a.corriasse une capitulaMais ses prétentions n*allant ã rien moins qu'S
lion.
élat
rie clioses te
siiriir de la place avec les lionneurs de Ia guerre, armes,
bagages et artlilerle rie campague, ct la faculte de sediriger sur Mcxícn,
et lui
ai
iléclaré
j'ai repoussé ees étraoges propositious
j*euteiidais qu'il surlit avec lm
que
lionneurs de la guerre, mais que sim armée riélilãi devam 1'armée .rançaise et quVll. riqios.il les armes en
restam prisoimière de guerre, lui proiuettaut davoir tous
les égards en usage cliei les pciipl > civilisés poui'
garnisou
tsluii a parier" dt. Pallidiice
ís, des garanties qu"elle oifre
qui avait fait bravenieiil si i devoir.
accepléi
pioposiliuns ne furem point
ral Ortega qui, (Ijiis ia lllltl de lli au 17 proiiouça la
dlísolutinn de sou armée, lit liriser les ar ies, enclouer
Ces
lei caiions, sauier ies magasius _ poudre, ei m'envoya
uu parlemenlaire m'annoncer «pie I» garnison avait lini
y déíense et qu'ell- se mettrait à ma riiserélinu.
Le jour se faisail à peine que douze mille hnliimes.
Ia plus grande partie sans armes, sans uniformes, saus
¦equipement, le lout ayuul élé brisé et jeté dans les rues
de la ville, sc constitualenl prisminiers dans nos cainps,
au nombre de mille . douze cents, dom
ollicicrs supégénéraux et plus de deux cetits
rleurs, me riisaitiui dlre quils étaient réunis au palals du
gouvenieinent, attendant mes ordres.
et,les oflkiers,
rues uux
evis de
Dans noliv prucliuin i
üruns la suiie-dts nom
les nouvelles <I*A11h'-p
\'ive ta [¦'rance:
lettre suivanle a été adret
¦lies ,l
ei
Incomplíi
¦
vive r/imperem'!
.alilaaa
ii Je sais combien il a faliu
Cotes oftlcielles du
la,¦mines— Londres
; ,\puli,Ys.—H6 °i°.
dêpéclu
Vo
d'envoyerr
m'empre_se
Je
un
Excellence avec ordre à Vei i-Crui rie 1'expédier par
h..iiiiieni bon uiarclieur à I» llavane. d'oü elle pourra
le
avant
-l
arriver
New-York,
parvenir en Kurop' par
'<
dí VttKSm lt 1" j_»
larkct aoglíls q»l PJ"'"
'" "!
situation.
de notre
rappor I Jéla
qni «ous portera uu
L'irm-c est au comble »ie Ia joie ei
de jours sur Mevico.
lar cher sous peu
séna.le suisavec ra|*<;l. Mc—Le srá.'r_l ile diràion.
ilu Sleteur, coninuiií-iil eu el.el le coi|n e»|iedilirniiiaire
ilque. — Forey.
—Lt ministre de la marine et des colonies a reçu du conilatee du 2- uiai Je la lera li,.-amiral Bo»»e um- .lepMl.e
une du comutanrui, par laquelle il ti
d<ml Uu Lltirieii.
20
Juiilei.
2(1 7/8 ;'i 90 j. Hambourg 665 à <è0 j.
I freis.— Canal
à ordre, 3(1 sli. (le 18) Hambourg, 30 sb.
"/„¦
Marseille 32 f. 1,2 et 10
Uirers. —Cale super ieur, 1" bonne ei un peu ifordin-ire 7j}250 1'arrobe.
ANECDOTES
\
12 Juin ibijo.
aux cheis ei ,)ii\ soldats rie
Ona effeciué quelques opera tions sur Londres à 26 7/8
| ei sur Hambourg ã 6tíõ rs.
un a negocie 53 apólices générales de 6 °/t à 88 "/„.
!
On a vendu 3.400 saes de eafé.
Louis XVI s'amusaii quelqi
llièvrc; dans un moment de s
lem bourg.
Sur quoi V dil de rie vre
Snr moi, répond leroi.
Sire, reprit-il. vous n'éti
Embarquements de cyafi
Decoster ct C. (Cap de liiinnc E
Johnston et C. (GibrallarJ. .
Uiveis (dillerents poris:. . .
prévujance ei d'énerj;i_ pour arriver à cet imporlan! ré'iOmoigiieen mou nom ã Paiinéc loute ina salissoltai.
factioii; dites-lui combien j'apprécie sa perseverante et
son courage dans um: exjíèdilioii si loinlaine, oíi elle avait
á Inlicr cuntiv
lc dimat,
contre
la difliculté
des lieux ei
.ieille coquelti
llo-ivemeut
nus succès au triomphe iPun parti quelconque. Je riésire
que le Meviijue i*eiiaissc »'i une viu nouvelle, ei que, bientòl
légéiiéré par un gouvernenieiit foudé sur la vulouié naiionale, sur les principe» d"urdre et de progrès, sur le respeci
du dmií *les ^eus, il reconnaissc pai* des relations amieales
devoir ii Ia france sau cepos et sa, prospérílé.
« J'alteuds les rapporls ulliciels pourrioim-.-r a Parméc
à son chef les récoiiipeuses méritées; mai», dès ii piései:
líéliérül, Kcevev. mes vives et sincère.s fé I ici la tions.
ii la lin du regue de
l\. le grand dauphin
: Irouvait PElat,
ailsurpris dela détre
- Mun lils. dit le roi
repartit
« .\APOLKÜ.\.
ll
sell
le daupliíu,
í-í«
(.Mainte- |
i
Lainiral de Vivonne, passam le ííliin ã Tollluyo
sou cheval qui bronchàit au milieu du llenve :
Frits....—Canal à oi*dre, à _ã sli.
Hãvre à ,r.o f.
et 10 _ (le 20).
Divers...— Café lave snpérieur á 8j}800 Parrobe ; farioe de S. Louis (séclie) a ilgõOll la barrique ; farine de Trieste S. S. S. F. à 25g
la barrique ; graisse de New-York en baril,
k 280 rs.
On a tire quelques
aux cotes officielles.
w
ieiil dVnvoycr
¦ uole fort inijwr-
des allaires di
.rande Bretagne à
i demandei* ses [tasseports et
[lio de Janeiro: il Pinvi
la lé-jaiion. _\ous avons élé fort
ceuv de lout le personnel
siirpris de vuirqiPon élicrchail au Brésil de nouvelles cliiclianes à propôs de prétendus africa ins libres que fon garen esclavag.; car le ton general de la déjicche, les
ensei^ieineuts paniculiers qui nous vieniieiit de Londres
deraii
plutòt nous prometire qu'oo labserail petit
uiber dans Peau tes iucidenls rcgrellables qui onl e
.eniblaieui
petit
Un Cascou qui daosait mal, oyant que Pon se tnoquait
de lui dans un bal, dit tout irn
Je danse mal. mais
je me
Une dame lui repartit:
Ba liei-vous l on
jours ei u
Un soldat eut la téim ¦iti''
Henri IV en ces lermes:
dire que cc lord. dont le riiscuurs du reste est fort remarqua ble, represente Popinion ei les ioléreis de Pimmense
iiiajorilé des anulais que cette question brésilienne i oue tie de
plus ou moins pres.
>ous ne savons jusqu'- qnel (>uiiii la léponsc du roi Léu-
de deniander
Sire, trois niol.s: ar
yen t au amgi.
II oblint sur le champ cetle belle repouse :
Soldai,
quatre móis: m Cun. ni 1'autre.
„il MaluiesbuiT .< violemmenl Interpellé le ministèreà
vis-à-vis du Brésil; on peui
propus ite la politique siiivie
Cn presidem
Henri IV.
de I
Le roi dil:
— II ue faut
pass'
a uitiiiquer de parok
di.
rs. íi 90 j. (payablc à Paris). Porto, 98 7,
a 00 j.
de 6 7. - SS •/..
Aclions. — Banque du Brésil k 38g et iü;} de prime.
pa-
iiainliendrons notre cou-
la livre (le 20).
peliles sommes sur Londres ei Paris
Snr Lisbonne et Porto,
comte
1,256
830
Navires
17
Cotes officiettes du 21 juitlet,
Uianges. - Londres 27 7/8 d. k 90 j. ; 27 d. k 90 j.
{le 20). Paria, 3Õ6 rs. à 90 j. Hâvre, 355
reprit
leur ninrt u'a élé inulile ni aux intéréls niá Plionneur de Ia
france, '"-J la civilisalion.
k \uirebiil, -.uns le savez, n'est pasd'iiuposer aux Mexicaiu» un gouverneuieiil con ire leur gré, ui ile faire servir
saes
»
Depuis le l"dumois
e in'en come/
contre un enuemi (Pautam plus opiui.ilre qifil était trompe
sur iii-» In lun tions. Je deplore amèreuient Ia peite probable rie lanl de bravos, mais j'ai la consolame pensée que
tante à M. :-Ufoi.
cel
cette
port.
19 Juitlet.
par I empereur au i
General, ln nouvelle rie la prise de I1 «Ia,,,;;, parva
nm' nvant-bier pae ta voie rie .\ew-lork. Cel événemenl
nous a comblés dc joie.
Le
deteriore.
Mui-venieiil du
nousdon¦ I üupope
I
• Pa
Tout
et
les conditions
de lirsion ont été unanimem, ni approuvées, et on vient d'effeciuer cette fusion. »
iuii des grantles queslions euiigiiilicaliís.
vlngt-six
le matériel de la place r<
parait n'avoir élé quen par
à co sujet qui dil ce qui
d Dans la réunion aiitioncce aujourd'hui
,„:,
que possédait Ia popniation, éjail aux abois.
cel
juin, une dépécbe télégraphique
Sllll:
Les marches de café üLumpe étaient généralement ires-
1-i'lÍllll i 17.
iH.Li s
'effet
ile la prise de celle place esl immei se. Sur toute
|
l.t
de
uutneile
a élé reçu avec enlhou- i
mte, le porleur
ue. Ona sonué les ciiocbes; les musique: parcouraicnl ;
IVun autre cole. la trancltée ayant été ouverte devant le
fort de .'eotiinéliuacan et nos batleries années de 30
plus interessantes
19 par le paque-
calmes aux dernières daies.
Je suis, ¦lc. — Hobi-rt, Cominandai
Puebia est en notre pouvoir!
Dans
le
de s<
¦opéennes, est un i"
.Mónsieur le marechal,
lontce
ile
anglo-française,
I coups de ca-
Le f"?»ibat de Sau Lorvii-o ayant disperse le corps d'armée de Goinonforl, qui prétendait forcer notre ligue d'inveetisseilienl et rnvilalllcr Puebia, Ia garnison qui s luffrait
déjà. depuis longtemps de la faim, bien qu'elle eilt enleve
avons recues le
Brésilienne et Anglo-Portugaise; on a reçu à Lisbonne, le 26
mis cn
oisds.
Puebia,
cominerciales les
presenteia une réduetiou iPimpút dont la bonne iníluence
ne tardera pas ã etre rcconnue par les classes laborieuses. »
1! parait qu'ouest arri.é à fusiouner les banques Anglo-
i com-
-.'iiisislance
Le marechal ministre de la guerre a recu du general
les nouvelles
On lit dans le Courrier de CEurope.
« Le Moniteur vient de public. un nouveau tarif
par lequei le café et tout ce qui concerne Palimentalion publique
cilcs :|iic_iíi>jisi|i: la
j que Pont fai
batimenls
627
1/íi à 1 7_ d'escompte.
Le taux de 1'cscompte de la banque d'Anglelerre se maintenail á 4 % ; le taux dr la banque de France se maintenailà 4 7„ également.
Jespére, dis-je, que
.¦ jusIÍlv et d. droit,
nouvel
4,000
'2,050
\ Londres, les dernières coles des londs brésilietis étaient:
5 /„ a 100, et íi 1/2 7. de 1852, 58 et (ÍO ã 90 3/i ex-di?.;
Chemins de ler de S. Paul ile 1 1/8 k 1 3/8 de
prime, de
Baliia de 20 3/8 à 20 l/á et de Pcniambouc 16 3/á.
On a cole; Banque Atifjlo-Brésllienne de 6 1/2 à 7 1/2
';„
dc prime ; Compagnie d'einbellissements de la ville de
Rio dc Janeiro de là 1 1,'j de d".; emprum confédéré de I
Ifiirs rapp_rl_ _i>
Londres (irourel
é-lat 1
hirey la dépécbe suivante :
Voici
i rie tol coups de canon
Hier 20, le general Üanaii , à la tule iPune d
oséc ile truupes prise». da i deux divisions,
larclie sur Alesicu.
du 17.
.
-tlouve^-pii.du port.
in«*l.s grandes i[nf,,,, ¦. a lAngletear».
rap-
ports du general 1'urcy et du coininandaut du fíarien sur
la prise de Puebia, ainsi qu'à la lettre dc á. M. PEmpereur
Celte íoU eulin, les incrédules opi,111 general Kurey.
tllfltres serout forces du recoiuiallre la vérité! Nos armes
.
30,617
pour lc Brésil que nous
boi français Navarre.
néral, lul envojé oecuper la place avec le 1"
cliasseins ii pied aux ordres du coinniiiuilanl rie C.oiircy n
un esciiiLon de hussaiits, ce qui eul lieu paLsiblemeai,
''¦ivill à
l.es Iiiiii|)i> Iraiirai
17, 18, v
lélégra-
de atfé
7,385
¦ letIit
pai
p|ioru
general (louxalez Ortega au general Kinej aimnnçant i|ii'il
sc rendraii à discrétion avec ses troupes.
second
68900;
peu ordiuaire 7gíô(); farine de fromeni de
Triesle, "":,'0íl0 la barrique ; sucre brut de
Campos eu (Misses. 1 Jjüòü 1'arrobi' ; heurre
Depuis le 1=' du i
cinq I
Lecoloncl ítlanèquc,
naire
peu de 1" or.linaire
1'arrobe, (le 17) 1" ordisupérieure, 1" bonne et un
ei 7S100
uu banquei
prospérité du pays. lord lalinerslon a (lit
quelle dépeiidait surtout riu main Lieu de Ia paix:
¦fusa formellemenl.
1" bonne et un
7,S0ãO
de la
pliíque à Lisbonne, nous apprenni'iil qne le general francais Bazaiue ei le general mexicaln .\l.uquesoni enleve
les posilions qui dominem ta ville rie .México,
ll est iuliniinent probablc qu'- 1'lisurc oú noinécrivoiis ces ligues,
les Franqflis en sont déjíi maitres,
Nous nons empressons d'oUvrir
de donner
Divers....—Café,
Iiipps Irmãos et C. líalliinorej
Jolinston et C. (Cilbr
Hoje et c. (Hãvre). . .
Dreyfus et C. (Canal;. .
Divers (di.férents poris),
oú des toasts portes à Parméc ei à la marine ont fourni
à lord 1'aluierston 1'jietasion dc primoneei' des parolesqui
mériien! ilèire sigualées.
aiors an ciinip, deman¦•
l"-i- II. I '¦ H|-
et une partie de leur aiüilesc rendrnil.
!¦ gén r«l Pnr. v a
la plm. grande anxiélé
qui pciivt-ut eiii:oiv avuir lieu cetle
reste Pallianee an glo-française iPa pas reçudV-
chec sérietix jiisqu'à présent.
'¦sfintii
ie ; ;'i cescondilioi
Dn
Cotes officieÜes da 18 juitlet 1863.
Apólices de 6 % à 88 % et 89 "/„, de 5 */„ 85 7,.
Aclions-.. — Banque du Brésil iOg de prime.
Frêts —Trieste, 'àò sli.
Embarquemvnts
hommes d'Kt.it semblent éprouver
sur les i:iéneini'ii[s
Le leudemain,
PARTIE COMMERGIALE
vieux d'isigny, íjãli rs. la livre.
On a negocie de petiis lols tPapolices
générales de 6 °/„
à S8 et S9 "/., iPapoliees provinciales de 5 "/„ k HÒ
%,
ei 54 aclions de la [ianque du Brésil ã Í|0,S rie
prime.
On * vendu 7,000 sues lie caie.
surioui
dc celle dc rF.spagi.cqm n'a jamais
(|i_uii)iiVI!_. uii reai une forte iiuíemuiié.
rien fait,
Les assines se dé rendi ren i bravemnil.
Le general .Mendi
uni an general l-'o
et (]u'il aura dom)'.: une de ces
repouses evasivos qui ne blessent aucune des deux parlies,
.ans que ni Pune ni Paiilre puisse étre satisfaíte. Ou resle,
nous saurons piocliaineiiient ú quoi nous eu lenir, puisi|iie
Ie baron dc Mesiul vient d'arriver a llio por;er les dépèches
de son gouvernement.
Lesamei i JU.
iroupes qui avaient ouverl une par.illeleà !B(l nutres du forl de Téoiiméluiacan omriroiil nn
leu iiourri iPartilleric sur celte
position et déinoulèrent
loules les pièces (les irois canoas ubusi.rsdc üu, düliarquês par vus ordres le •_. avril, ont produit un grand
aliai).
le IU, à ou/a' lieure riu matin, le general
trée dans 1'uebla.
Les d-rnii-res nouvelles,
pold est favorable au gouvernement de íia Majesté Don Pe- I
dro II, quoiqiii; d'apiès la « Corresponileucia dc Portugal•<, :
on presume qu'elle donne lort à 1'ünglelerre.
U'après la marche infírieure rie la Cèrés,
je compris de
suile que le Varíen, »|ui _n novembre avaii déjà apporte
Ia nouvelle de Ia
de
Tatnpico, devait se rendre
prise
prnmpiemem à la llavane; mais je soii{;eai (ei le commaudant Lefévre partagea mi n avi..) i\
passer pnr Cannen
pour vons eu informei* et vous donner moi-méme iesdi-
des cultes qui
les nouvelles de
Telleasoiit
Darieti,
Amiral,— \ cinq heures, ce matin, un avis oílicieux
m'appri! Ia icdilition du Puebia et «Pannonca la
deínande
da commaiiriiui
upérieur d'envoyer imm.idiatement In
nouvelle en [''rance.
son congé
i
10Õ "/
.
m %
103 "j
on a
liré,
au\
chillres
sui-
à
_0 jours
. à ÜO
x
à
90
Ori a negocie 30 apólices générales de 6 "/„ à 88 "/
60 aclions de la Banque du Brésil à 38S et un lot
de
idem à _|0,S de prime.
On a vendu i.OOO saes de café.
.
.
Emàarúuementi de cafi du 20.
I. 1'eclier ei C. (Canil)
aa
Decosterd et C. fd.°).
Divers. (dlflerent- ports),
Total
.
du móis
noiivemeuit du port
du 21.
Buénos-Ayres, H juitlet.
- Deroièrc vente au comptani.
!iõ\t.
iM-M
3,053
df
IXío
-
-I
?fiitjeir<irrr
SKUVICJ-S
MARITIMES
DES
MESSAGERIES
IMPERIALES
anngsnces
!in\
Avis
voyageurs
p«ur
4
1'Europc.
de
L'adminisiratioii
.Journal
ce
a pris les mesures nécessaires pour
ms
faire distribuía' le Nouvelliste
tons les
Rio de. Janeiro à bord de
pt návires de guerre qui
paquebots
eu soreiiíreront dans ce port ou
tiront.
JA"
Le ISODVELLiSIE DB'UlO BB
1 à
est déjà en circulatioi
neíro
à Bruxelles
Paris,
Colonne
La
et à Londres.
Annonces
des
eon-
des infowuiUiòns
préeieuqui semet-
tiendra
Ses pour les voyageurs
ou
tront en ronle'puirí- 1'Europe
ali |U*ésjI, et uos
arrivéròiit
qui
adresses
lecteurs y trouveront les
de predes rnaisóns de coiiimerce
bien
mier ordre... au Brésil, aussi
quen
liurope
RIO
DE .T. VNEIEO
Services Maritimes. Mcssáycries
Impériales.
AGfeNCE PIÍINCIPALE DE RIO DE JANEIliO.
a 1'honneor d-i.fcL'aíBMsli»Uo„ de Ia
dépai siles
mer le public qa'à partir <lu moiseourunt, les iieu
le Ik de
rçuropc auront
français
pour
paqnebots-poste
chaque mpis. , .
¦Le paquebot-posle U Hmmm. eomnundanl T. KM,
faisant escale i
partira de Rio de Janeiro pour Bordeauí,
®,n
Bahia, Pernambuco, S(. Vincont (ou il .ya.uu
Juil et180J,
comiiiunicalioii avec Govée) et l.istonnele 24 Pilom¦
(b)
à li lieures du soir.—I/agent principal, Amédée
P.
FAIKBAIliN AND
WelHiigtan foundry
C.°
Lec<ls.
Workshop Tools, may
Lists oi Engineering and Genural
Aüt.- cifisle de .Rio de Janeii-o,
beseen at tbe Oüice oí i.e
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