IV.` 14 Premièj-c annéc LE NOUVELLISTE Jeudi 23 Juillel 1803 DE
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IV.` 14 Premièj-c annéc LE NOUVELLISTE Jeudi 23 Juillel 1803 DE
IV.' 14 Jeudi Premièj-c annéc 23 LE DE Journal Seul nolitiqne, H. propriétaire: liltérnirc RAUTENFEID. Rédacteur eu chef: L.-A. DE HERCIAt. Boreau: rue Direita n. 46, au s Rio de «lanem). ceux tjni loúruent sans coaimercial, paraissanl Abonnemeiits pour Rio de Janeiro an 1(iSooo six mois 85000 Trais raois S5000 Le liou, au repôs, ne s'inquièle guère des jappements d'un roquet; mais il s'en irrite lorsqu'ils Plmportiment trop longtemps et un coup de grilTe esl bien vile donnè. cesse leu rs aspiratioiis et leurs ospéraneos vers la mère pátrio sont animes d'une sainle joie et romplis d'un legitime orgucil, Voiià quelqncs-unes des réflcxions que nous .inspire la prisa de Puebia. i\'dus les terininons aveu Ia ferino conviction que les Ge sont, cn cffet, nos írères rjui ont pris Puebia I Ce sont eux qui ont aelievé cclte loinlaineot pénlleuseexpédition doiitla prudente Angletcrresétait relirée! Ce soiueuxqui ont prochaincsdúpei-.hes nous ap;inrteronl la ijouvelle oífieielle de la reddition de México, ainsi que Ib font prèsager les renseignentenls suivanls fouruia par la Presse. ti La rouli' qui conduit de Puebia à la capilalc de la venge lestrop nombreuses vexations dont nos république est exctllente, fort bien cni: etenue; Ia discompatriotas et les Europóens, cn général, tance cnl.e les deus villc.s est de» 76 inüles, em étaient les viclimes au Mexique! Çe sont enx 35 licites. " Kn partam de Puebia, In route bifurqiie, ct l'un des qni assureront 1'avenir de cc pays, en le dódeux bras, s'inclinaiit vers lesud, Ira verse des massiís de barrassant des perturbateursqui 1'agitent! Ce montagne et se releve ensuiie vers Cliiilco, ou elle s'arsont eux qui constitueroiitsa force et sã splífn- rfle aux bords du lac d'Ayülla. « I/aiilrc bras va tirai t à México. II Ira verse d'abord, à deur! Ce sont eux qui rendrontan mpndeet à la civilisalion une torre oíi débordent les ri- Tesncaies, uno eliaine qui pr^entn dVilroits délilés sans (tanger auj.itirdliui, puisjue 1'armíe de Comonforl aiictm chesses, ct ou les ressources sont immenses! est désorganisée. A près avoir traversé ce pàté dc monÀussi la France reserve à ses soldats des tagnes, la route débouche daus la rügijn des lacs, par lesrecompenses dignes d'elle! Lo général Forey quels elle se trouve enserrée de ienips à aulre. « He renseignomciils que nous croyons bien fondés, il vã êlre nommé marechal; le général Bazaine resulte que, daus 1'íial actuel des clioses, l'annüe fiansera sénatenr; beaucoup de nos braves vont çaise «e peut rencoatier de séiietix obslacles pour arriver tous eníin auront rhonneur; Téloilede recevoir à Me tico. » "renípli leur laco^scièocedsavoirvaillammerit devoir et d'avoir mérité la reconnaissance de Gazctte la patrie! Quelle terrible leçonpour les Mexicains, ces fanfarons.de bravo tire dont on chercliait dejã à dous laire des hérus! Co íibicn. ils ont dn rabattre de leurs prêtentions! qitand ou les comparei" à nos pense quon avait osò troupos trancaises! II faut espérer que cela'servira, en mème temps, d'esemple à d autros pays d Araéririue oú l'orsiiieil esl poussé à sou comble, peutêlre plus epíau sans Mesique, FEUILLETON UlSTOllli: Dü êlre mieux NOUVELLISTE ií't IlOilMIi PAR A.MÉDKE -\CI1ARD (Suite. ) Deux licures après,' nous écliangions des coups de feu avec une compagnie de volligeurs, flanquéede quelques se battil conime un limigendaroies à clieval. Ffruand cean. Oinle mes gardes tomba pour ne plus se relever. üciu bailes avaient déchiré mes liabits. Le feutre dc Pfll,lMI «;"= f"1'Fe,nana <uil iroué. " i" inmiche, qull «Jl U» vral MUS * «w •«•*,•« '"'s avec le marechal ue ^axe. combatiaient gentillioinines qui Uans la soirte, et tan.lis que deux ou trois scntmelles veillaieRt aar Ia lisière d'uo bois, nn ine donna par acclamaticns le commandeiuent de Ia ir iupe. Ine beure après. ie dormais tranquille, le corps sur une brassée de rameaiix vens. la W:c sur mie soucln». C,ram-d org>. broutait 1'lieib.- a mon còié; Mowheron limiiail. de ma j'ai conservé de ce rápido et douloiireux lipisode vie un cahiei- de notes éciiles à la bate, «a et Ia, sous te chaume ou dans le silenee des balliers: cllcs donueronet dangoisse peut-etre une idée exactc des senliments In>d'exaltóli..n entre lesquelsse partageaient mesItcures. mais dont les lieures quieurent des éclairs d"enthousiasme, bien dos larmes ont inarqué le passage! leur Voici ces notes telles que je les reirome ctdans sans daie soment áísfdre et leur franchise, quelquefol. à une autre epoque mèléês de souvenirs qui se rapponent nepuuvait elfacer la trace. dont rien, mCmelaguerre, « Dimanche. 1803 DEJANEIRO Que ces pays saohcnl se laire! on •n»tiw, lo langagc de la moqu'ils parlem, úu dération et du respect; sans quoi ils pourraieílt á leür lour devenir viclimes de leur outrecuidance. 22 Julllet 1863. floiter leur drapeau, et RIO justilié. Les ilétracteurs de nolre yloire ont, une f iis de plus, la bonche fermée, landis que les vrais Français, ccux dont 1c cceur palfiito un voyant Juillel NOUVELLISTE ile iUo dc Janeira du 19 au 22 juiliel 18tí3. Le p.iqueboi Irançais Xtwarrt est entre ú Itio diinanclic passe, 17 du cuurant, á liuit lieures du matin. — Sa Majeslé l'Kmpereur, accompagnée de ses olliciers de semaine, s'est rendue le 18 k !l b. fyb du matin à rarsen.il de inarinc uii 1-aie a étó reçue par les ministres de la inarine et de la guerre,, le gêutSral Ca-' bral, 1'inspecteur de 1'arsenal et radjudant du quartier général. Sa Majestê s'est ensuite enibarquée sur sa galiotte à vapeur ct s'est rendue ;i Jurujiiba oü Klle s'est anètêe ptmr visitei' fliòpitul de Santa Isabel, ses dé.ieudauces et ve.... Oú dunc les liazarils de la v ie oiu-ils con luii M;" de l.a Vauxelle? M. de liaudricuurl seia-l-il |tanni nus adversairesí Lu cjup dc fusil in'a liréde ma reverie. « 2 Mai. ti Mécliante nuit dans une grange abandonuée; ma viugt-quatre lieures; le vieu.\ maiigddepuis truupc ii'a pa» cliouaú qui m'a comluit au feu a une balie dans le ventre. II ne seplainl jias. au peiil jour il ufa la.t ap,»eler. J'ai >u dans ses yeux la marque de ta m ,rt. II m'a pris la tnaiii et ui'a demande s'il avait lait son devoir. Sur iua répunso atlirinative:—Alurs je meurs cuutent, a-l-il dit. II a fait le signe de la cruiv et na plus leuiuê. Ce tivpas m'a rappelé celui (tu capitaine Andri>au\. Mais run cnaú: » ivelc roí.' taudis que 1'autre criait : Viw l HmperturDeux camps.... deus peuplesf « Oruin-d'orge n'a pas loiigtetnps vécii: une baile Ia lande. i\os lioihmei ineurent l'un jeté parierre Uans'une vient presque pas pour remplaccr après raulrc; il n'en coux qui toiL-beul. Aulotir. des feuv des bivouacs, j»1iis de repos que niius preiuns au hasavd ciiants; pemlaut les dans lés uiétairies, plus sjuvent encore Uans les tlairtòres, un silenee morue, le silenee des soldats qui prévoient une défaite, et qui co.nba.leiit sain espoir pour l'iiouueur du drapeau. Seul, feruand cjnserve un„- líãiicelle de la gaité dos prentirr- jours j ! deus fois par semaine le Dimanche Abonnemeiits pour la province et í extérieur 189000 ; Un an . < Six mois • . . . .... 95000 . Trois mois. . . . . . 6&000 et Ir Jeudi. Áonoüces 80 reis la ligne pour les abonnés, 120 reis pour les non-abonnés. Un numéro seul 300 reis. Paris 1 franc la ligne. Londres 1 shilling la lig. le cimelière; Dc là Sa Majesté s'est rondue à Praia do littéralementinondé la scène desapplaudissemenls fréné; pour examiner les trãvaiK des foriilications1; ptsis tiques ont éclaté de toule part et Adie Risette a dú lalsser visite les forleresses de Toa Viagem ct (Imgoatá ; celtc tempêtese calmer avant d'ontoimer les premières no:es dei^íep cgcl^l, JÇIIe ^.;tassisié.-anx oxcrcices de de Ia musique qu'elJe avait à chanter ct dont elle s esl, du t'artillerie et de )'infanterie des appromis marins. reste, fort bien tirée. A 2 h. 1/2 dC raprès-mídi', Sa Xlájesté esl renlrée à — A propos de la compagnie fiançaise de M. Duchatil'arsenal. niont, nous apprenoris avec cbagriii que les direeteurs et On lit-dansle Jornal dá i1éèife"à\i"7•('onralUT les arti.stcsse trouvent dans <ie gramles diíDcultés ei nous i Le capitaine de la baripie anglaise Olinda arrivd» hier, engageons dc toutes nos forces le public dc Rio de J. noiro apporlc lu notivelhi que dans les preiniers jours du mois de íi sc. mon trcr gêiiéreux ot indulgent ente rs enx car ils ne ; "a nati- mOritent nullement le mauvais sort juin passdla bãíqiie an^aise1 sfriWTf W!'Timrs qui les m^nace, à ce fragtí près du pori Uariiur-Grace (Terie-Neuve); cette bar- qu'i) paralt. que. venait d'AngleU<rrQt.et se reiulait à Teir.e-Oie.ive iorsqu'elle a renco.itré une moiiugue de glaci-. qui l'a inise rn pièces; c'est à peini' si 1 equipage a pu se sauver Ce navire éla t Irès-connu dans notre port oii il atail fait de ftéEsclayagi' et Scission. qiienis voyage.s. » Le. 20 juin passe, les Drésili. us rdsi !ani ;'i Paris ont (nÉPOSSE AL' PROFESSEUH CAinSKS. ) olfert un banquei spleiicíide à M. ie conseiler Carvalho Moreira. On a portd, à la (in du d.ii<'r, les t asls habitueis [Si<ite.) et la réúnion a été ati.-si briliante qu'animée. L"S abolitionnistes dn Nurd sont tombís dans la utômc PaiMii les passage rs du pa juebot français Savarrt erreur, malgré leurs bnunes inleniions et leur zèle aciif. nous remarquons les persounages suivanls : ils ont nourrl leur ctBtrr de Ia dícevatilê esperance de voir 1.° M. le coailede tinida, secriítaire d'a:nbass.ide qtn l lienrt sl,fie,„c« 4,000,ora ,1'escl.v s serdienl liíclarés vient prendre le posle de cbargií d\tlfaires tie l;i.uice, peulibres; oú de tendres tipuux, des fcmmes aimantes et des dam 1'absence de M. de Saiin-Üeurges qui esl ,n congé à ei,l,i„:s en larmes ne se,-ai™, bnnak-meni sé|,ards; Paris. oú le deuil de la race africaine verrait eníin son ter<»»< 2." M. le baron de ilesnil, si^créiaire d'uinbassatle de le soleil dc la liberté l Antérique; oú le Helgiipie, qui esl porieur de.s dé,ieebe> conlenani la déci- jionji!" i^onnerait de la joie du triomplie. Totil cela élail sioa de S. M. le rui Lêop 'ld ilans la queslion «uutnisc à son foit beau. Mais il n'est pas venu à 1'espril de ccs utopistes arhilrage royalsur 1'all'aire angly-brésilienne. de se rendre compte des di:iicultás qu'ils rencontrcraient, le 3." Al. le l)jron tlc llolslein, seeriiiaire d'auibassa.le de j uir oú ils viendraiont prier le riche de devenir pauvre, sous prélexte du bonheur de 1'humaniiií. Jamais ils ífout Prusse. propase ou plan rarsotiiiable puur'la réalisálidii de leurs /i.J M. le comle de li.irral qui revient dc lSabia. On vient dc livrei- au puL-l.c la partie la plus d.flicile de desseiiis; ils ne se sont jamais occupcs de donner une indemnilé aux propriétaires d'esclaves; bien plus, ils n'ont la seconde section du ciiemiil de fer de i». Pedro II. Cette qu'eIBeur(5 la question capitale de savoir ce que l'on allalt partie coniient 13 inilles de rampe ascendaute cl naturelle- faire (les esclaves, une fois retidus à la liberlü. Henfermés nicut une ccrlaine quaniilé de tiiuiiels ; on continue à iradans les limites de 1'impuissance ct de la faiblesse biimaine, vai.lerau grand lutinel que lou espere voir lermiuer I anuée ils out joué i 1'omuipolence; ils oni prononcd un superber proebaine. Ce sont des ira vau x uiagnitiqt.es par leur liar- « (Jue cela soit fait ainsi! » (et itbedone! et naturelledies.se,mais qui inant|iieut peut-ètre de solidilé ; on ftéuiil meut cela ne s est poiut lait ainsi. ÍNotis lisons avec intérét en pensant au\ maibetirs que eauscrait un éboulemeut à la réponse suivante de M. Cíav à une dépulation d"abolivisiter fácile ce: de role. il esl Ou une paretlle bauleur. tionnisles qui venait le prier d,allVaiicbir ses esclaves travanx, puisqtie pour utie soniiiie mini ne, ogüOJ. on p> u pare-- qu'elle nous fait counatire la manière doiil le Stid reprendre un dimanebe le traiu de plaisir à ü b. du matin soirà liio par it gurdail 1'mlerveution du Xord. Qu'oa ne «'.r„ie pas cepenpasser la journiíc à lloduio, et revenir le dam q.ie nous adinirions le ton des remarques de cei ilumine traiu de !i li. 1/2. d'Llat émiucnt, surtoul lors pie naus nous rapp.luus ses Itiselle a fait sa reutrée Itindi soir à IWIcazai piiíucdenis discours sur le me ue sujei: Lyrique au milieu des acclamalions enlliuusiasles de se: « Vouí 110 connai>scz nulle:nent mes rclatiotis avec mes esclainoiiis bionvciladniiraieurs. Quelques persunnes nomlireu\ ves; vouí ignurez leur conditiun indivitluclle, el eepeiidaut, vous lanles ont c.ssayê de iroubler sim succès par une dêniuns- M. .Mcndeiiltall el vos collègues, qai av.-i dépeusc laut d'activité tralioii diainítraleuienl coutraire ; mais le trioiiiphe de puiir radigar eatte patitiou, v ms tvnez aujuurd nui mu dcraaudcr 1'anisie tTen a élé que plus couiplet. l.ne pluie de lleiirs a tuul buimciuenl de les rendre tous á la liberte. £h bi«ui, pcr.ueUezquei de oluVie; Ia üruyère d pour boisson, I'ean des sources ; p.uirl I, L'.upee par la pluie ou louie i>ul)ibee de ietaute. qui l.issc bi.-nid: u is re. rucs me plail. J'v trcruvt I'aciiviie. remotinn, plus que cela, I'o iu.i de inoi-méme. .1 : u'eu desire pas il'uutrc; il me la ti Ira it üllcuielit la tiè re et IVxalUiiun d'tim: vi ae: bat-iiie. Ie.% le gigaulesque en pleiii suleil, aruiee coum'efrt dii, a l'epu.|iie ou la ques s0iitd"un au irc s.ecle. Q.ii baiter, , qu'un rfuiis inu d itinail sa iii.iin ii . douairiòre de Cie lour. mui, riiérilier d'uu des plus grauds nomsde Trance, lloiiiu llood de la iégeuiic, uu oulle comuie je serais, lua¦! « Vcndredi. « l!ne pelite paysanne qui liier a distribué quelques miettes de pa n dur à mes compagnons. m a samé des yeux. Je suis restá tout interdii sur e burd du seutier. il m'a s.Miitilé revoir TüérèsC. CiStalt ie uiüine sourirc doux, le iiteme regard litnpide cl lerine, la incute taille tine ei leste. J'ai prisma lé.e tia us uies maius et me suis cachê dans Pumbrc d'ua ; liaie... Pourquoi un son, une forme, un uiut me raininent-ils tutijour.-,ei si violeuimenl, vers le passe? Le présent esl-il douc pour moi canme sd n'éiait pas? Ideu.ne m*y atiaclie... J'ai beau vouloir me faire illusiuu, e.ettc iiisurrecti ul tf a poiul de raciues vivaces daus le pays. J'irai jusqu"ati bout néaunuins.. Un Neuva ller a-t-il jamais reculé ? a Sauiedi. n Ccstauí ui,.'lnii 1'annivcrsairc du jour funeste oú j'ai vu Loilise puur la prciiuòre lois. II ine sulTil de lermerles la plaee deserte, les yeux pouf revtiir la petile ê^lise, vieux urines qúi l'ombr.:geaient. • Li s plis tlottanls de cone « Six lieues de fuite à : avers les gcirôts et les bruyèrube liloue que portait Mi e il La Vauxelle passem dans res... La pluie cl Ia faligue ont arrcié la poursuite ites et hlluminenl. J'ai marcliê toute souvenirs 1'ombre de ines qui nous harcelaient. Trois des iiòirvs maugrenadiers la juurnée poursuiii |«r inille songes ; il y a des heuresoü quaieul le soir â 1'appel. Pas de paiu au bivouac, pas de jcseiisinon âme latiguée... aucun espoir ne la soutient leu nou plus... II y a quaire ans, ma jout née in'eàl»em.blé de la inort; mais si au-devanl elle me Jen'iiai p.ts plus. mal reuiplie si je u'avais pas vu Mile üeLa Vauxelle ! f, app. it, ne serait-elle pas la bu nventieV yuelle cliose inyslírieuse y a-t-il dono daus la vie, que les meilieutes aspirations ne sufliseut pas à la remplir? Ali! Louise 1 « Ma pensée sc reporte inressammcnt sur mon petit comLouise! . J-ai p«té 1» n«il à paguon d'armes. Kerna-id ne se plamt pas plus que Médêric. II n'a pleure qu'une fois en voyant louiber Moua II ne reste plus que trois ou quatre chefs debout. cheron... Quand je le regarde marchant à mes còlés, les Mon sccond «arde a troové la 111011 au co.n d'une liaie. pieds ineurtris. lesépaules convertesdune uiéchaute peau Védéric. le fusil cn baudoulière, marche près de moi, de bique, j'ai des lieures cruclles oú je me demande si de moi. Avaishà.e (lécharné, inipassibie. Cest un h.i.nme de fer. Les c'est bicil là ce que M. de Salbris^ilteudait '"exemple el Centrai- I villa^cs seuibleiit iniiabités, iam on y fait peu de bruit; je le drcil d'incliner, par la force dc inétait coude loin eu l«i", quelques paysans qui bàient le pa<. Sur nemenl de la re onnaissance, lajeune àme qui | «Srfunl.™. Kit tontos les routes, des gendarmes et los ciiasseurs ã cheval liée vers les ch .ses el les idêe» qui ine séaui.sent le plus? le guet. le mousquet au poing. Totijoursdes aler- Versquól avenir esl-elle ditigée ã présent ? I.i pais, dome | rt * ânsia,KC. k bmte t* faisant vaincre, suis-je le lil.i.. sans les a.-sauls des rencontres Ul, subis oú des embou-cades, aifreux dont je ie». «les e-carmouchos, SSSSTteíl» . jaisoun,Je buiigies.. cent laquiüe dans feuxde me entreprise, je ,3 wnes. les man- nous laissons quelques-uus des nCires. Pour nourriture, un bien dans le vrai, et a-ite .Mkiaii matin; je me suis roulé dans mon t -, morceaude pala deseigle, devore souslombie d'ua bou- suis jetá avec toute 1'ardeur d'une àme ulcérée, est-eUe "**" ''tora°° S au'plti «m V ***>« í* jusu-, el tout ce sang que je >erse c.»ule-t-il pour une '¦"{'"íde les gé..ür.«.ioiis duiveiit lileriielleuieut le sae leur ie?... « Il y a deux uu irois jours, jVlaiscouché d.ins le crcux d'11 n ai ore, alleiidant 1'lieure oú je Uevui» rallier mes cuinpagnons disperses... Passe uu suu»-.ieu.enau. couaii s.uit qu.<lie uU ctitq pnsonniers que Ia petir Iü.sju treOactier... t-11 regaruant ce» pauvres héic-s, arracuéa à Ia c.iurr,.e jwr Ja g leireciviie, lomare^iie Ia pidé s'elen,.ii sur s..ii ..soge. — Quand liuira cette équipje . uit Ie .vddai. « J'ui tressailli... Seruit ce vraiaiem une équipje? i'ourquoi alors cette torce inésisiible qui ine pousse eiiaiaiu? • 10 ni3i. « Ce matin nous. étions groupés >ilencieu.sement dans une íenne à demi ruinée; jilus ye üestiaux dans les étaüles, quelques ürins de pai.le dans. les granges. i;eux ou trois a'eaue nous paiisaieui leurs blcasures à l'écart; d'auLres rougeaieiil des croütes «le pain à la liàie. Tom à cuup une femme à cueval, euiourée ue tróis ou quatre cavaliers parut à 1 exlrémilé du seutier dont te ruüan jauue s'effa ait Uans ia latiae. tile était jiàle et triste. Mou . prender regard la recomiut. Lu une sccunde tous nous fúiues debout. yuelle éuiouon dan» lous aio» Cíeurj l Elle passa. de»aut nous lonteiiient ct nous s dua de. la rtiaiu. Je voe encore son licr sourire oú le rayon de 1'espoir i,e brillail plus. Aia uiain branda uion épée, ct je poussui vei-s le ciei te cri de guerre des \ endéeiis. Tous les cliapeatix s'agiièrent au bout ües fttsils. jNous avions oubliê nos faiigues, nos péiils, nos biessures. Llle clait dcjà loiu, eniponée par sa coiirse s«ins repôs, lorsque Feruuiid avisa umis l lieibe fuu ée par Ivs piedsdes clievau.v uu, gant lquibé de la uwiuqui u>utü riieurè rijus Saluait. II le' rautassa ,le preuiier, el 1'auacltt: aurubau de sou feutre. Lna-sse dò sa jeuue àme éciatait dans ses yeux. -''a' rtampease I u'Écrii-l-11; i 1plfelll puis luouru-1 . J a. taversé hiet un com de (erre «ú le co.nle Jean a 1'H'e fim Mt aeces f.ir.euses baiaillcs d„ui le rtdl mau 11,un enfance. ali! m les lie„» „ a! cnan-i les hommes ne sanl plus les mêiiies I AnLüi.r di. u.ülaS, „ jeunçs ga Çoi.s íe leme; íá el là, Cu„„„ uue lande, de vteuX chouaus qui ain.enl Toacurde Ia oouil.e el q,H s eluünel.tde lenr peiil uonibre... ...alipiínVde noms hisionques. Ou sont Caibelineau, Sn.lDel, Cliareit^? Quauu jc vois ce graud v.Ue autour de celtc poiguée u ilumines íulrépides qui ineurent une idée, je me deniantle eu frissonnant si les temps pour. clievalereques ne sont pas liuis... Alais qu imporie. si uiou père esl content.' (La suite au prochain '•) t» ^Eè '¦'Fioiivellístc Ae. Rio cie Janeiro •,-iirtr'T-i- ruu qn'avec la reconstriiction de celle grande pnissance esclave I I Ariigas, on n'a niiileiiieiuen riiiienliond'ínsiilier 1'autre des paviltons. i-Unl consulat lalientat commisconlrele n íatisfactlon pour Telle est Ea conclusion ü laquelle Tctude de Phisloire ten lin à llontcvidiía et promesse formclle de proceder d'Amérique a conduit les esprits éclairés de 1'Eoiope. Le ure les coiipãbles et df les punir, professeur Cai mes dit qu'il est tentií de demander à ceux ii On íiíssera le pavillon oriental sur le loii íi. José, le qiiidillèrent de son opinion: u s'ils supposent que la crise >mc. jour (pi'on liisscra à Montevid«o le diupea-n argentin iictuelíe est uu pliénumèue isole, indépiuidaiil du passe, ¦bandonnéi et prives des aoins des leurs mores, lies; Knrur.; uue 1'histoire d'AinérÍque. » iVous ferons observei- au consulai, pour démonlrer que les tlciu goiíverneincnts »utre classe deuoirs qui n' accepteraieiit point leur liberte, quan d dans ¦lalsir ,-llig bíen niéiue jc vtiudrnis la leur doniicr. ,1'ai posíédi; pciiduiil dn professeur Caímos que c'est sur notre connaissancc de longuei amióes un carlave quu j'i;.*pi;rjis décidor à um quilter; il riiistoire aiiitiricainc que nous basous aujounl'iiui les fon- qui pouvail iroubler !;i paix des deux pays. ision. Genes il peut prétendre, tanl ne I'» jamais veulu. Qui dois-jo feire de cetie clasie-là?... Per- demenis de cette tli i Ce protocole est prácddií des prolo.slalions ilu gouvermellez-moi d'aj ou ler, M, Xlendoiili.il 1, que mus esclaviss .iuiiI aussi i sonl erroniiiícs ct il ne néglige pas nenieul argentin (jui prõinct de continuei' à garder une qn'il veut, que ces bien nourris ei aussi bien soignés, qu ils sonl aussi propres et aussi de faire valoir ses oits ã cel égunl; mais il nc doit slricte iKiilralilé dans l;i liitte qni alllige 1'Jilnl Oriental. Li %i\m, quils sonl aussi oivils cl ivs|B'Cl_u'ii__. dans leurs miiniiiy-;, point aller trop loin et regardei- comine un fait acquis que vapeur de guerre oiíenlal Artigos a élé relilclié. .nt«i peu disposúi ii h.va :- bs si-nliinuiiís il'_iiilriií, qiiu qu'ili tom le monde, cxceptC lui, ignore les prenderes nolions de vous pou rei 1'Èlrc vous-môme lo possfldo ou virou 311 esclaves riiistoire de 1'Uniou, parce qu'Íls'expose en cc cas ã ètre ijuí uni une valeur approiimalivc do 15,1)00 dollarn. Les lam.er comme un étourdi et comme un sol. Les Iioinnies daus lu sucifló sans ressouroes, sans aiimin inojen d'e_sislcnce, traitii honneles et sages dcsirenl de tout leur ceeur la sèparalion ; 1 ou ii de crunnlc. ÍWs-vous disposú serait un acte payer garanlir Nouvelles (VEurope. les 14,000 dollarsà leur prolit, dau- ie casou je me déciderais à duJNord ctduSud, nonqirils ignoreiit riiistoit"edel'íJnioiit les rendre libres ? Cerltis les sécurii"- que vous me doiuicriox pour. qu'ils sjnipatliisenl avec Pesclavage, uu qu'ils haissent les le piiemenl de cetto somme, diminmiraÍPiU malérinllenirul l'obsla- insliiiitionslibres; mais parce qu'au contraireils connaiscie mis à leur éraancipation. » sent celte histoire, parce qu'ils deplorem la manière donl le Frniiee. M. Clay exprime ici les idées, et represente les sentiineiits gouverneuienl de Washington a souülé ses premiers prinde la plus intelligente cl de la plus respeeiable parlie des cipes, depuis un deini-sitclc. du ^ nouvelle cclteinlhience agiMainlcnanl jour, c'ost la prlee de Pueblo ; grande que propriétairesd'esclaves. elle a rédnil au silence tous ceux qui s'alarinaient de (Traduil du Dublin Unicersitt/ Magazine.) talríce du Nord a cesse, maintcniuil que Ic Sud reste entièexpÉdltion se prolonger indélinhncnt; voir cette loi mai ne instiiiilions, on a enleve rement libre de réglerses propres [La suíte au prooliain numiro.) car dés ce mainent on peut la considerei' comme termiau íauatisme despro-esclavagislcs uu grand pretexte ei un nêc, quoique Ton dise que riiiuperenr est rísolii í"i òceuviolent slimulaiil. Sous pouvons donc nous atlendreà voir sMIever graduellemem, très-grailuellement, nous le craigper mi li tai rement Ic Mexique, j:is![ii'à ee ipie ce pays soit délinitivemenl constituí. Dans tons les cas c'est un nons, rinlluence véritablemcni eflicaee du parti de 1'aboliinagniliquc triomphe pour nos armes et l'Einperciir a de tion, parce qu'il deviendia prudent et niortéré; ce parti, cn i^iouvclles Ai- la 1'lala. effet, va sc couiposcr de personnes dirccleuicm inlércssiíes quei se consolei" alnpleuiciit de !'échec qn'il vient d*iípron ver aux éleclions de Paris. dans la question ile 1'esclavage, cl ne pourra plus étre susOii lil daus le Jornal do Commercio du 22 Juillet: On connail aujouivritui !c résullat diíiinitif des secondes pecl dc sentimenls iiiiniotlérés pus plus que il'uue précipi. tation égoiste et iuconsidérée. i;¦_¦ parii, lorstprii parlara an * Ce n'est quliier que Ton a re-;u quelques journaux, éleclions qui onl eu liou dans dix colléges, savoir : iJapeuple, ue lui reprochera plus lu crime cotnmis contre apporlés de Bio de la Piata par la corvelte poitugaise ris, llépiirlcmenti de 1'Aisne, de la Cbarcnte, dc la Giriiumanité, mais il déclareia quil partage avec luicete ca- Bartliolomeu Dias pour une personne dc cet.c ville qui a ronde, du llatit llitiu, tlu Nord, du liliónc, de Seinc-Cllamité; il avouera que lous, sans exception, cux les pie- bien voulu nous !cs coinnmniquer. Oise ct de fieine-lnlCrieure. L'opposilion a remporlé la miers, onl étô entralués, malgrè cux, à lu falisse, iiijustc et u IjCs nouvelles de líuénos-Ayrcs vont jusqu'au 12 et víctoire dans six cóllégüs sur dix. M. tluéroult l'a emmisérable condiiion d'un peuple propriéiaire d'cscliives. porte à Paris sur 11. FouclnS-Lepellelter avec une immensc celles dfc Monievidéo jusqu'au 13 Juillet. Dès ce moment les abolitiomiistes seront écouttís, parce majoriié ; du reste cc rísnltal était facile à pré voir, du ti Dans 1'Etat Oriental, Flores se irouvait au nord dc moinem que M. Ilocliiu, ic caiiili l;il légilimisii'. ne se qu'ils se souineLlrunt eux-méincs à la censure cominiine, de notre Irunlicre, cl saus llio-Negro près que pcisoiiue seront raisonuahlcs leurs et bien proposiliüiis parce que rálliait pas du còté dn candidal ollieiel." Les autres nillries, parce que la question les in té res ser a cux spiícialc- puisse comprendre ses piaus. Dans la Republique Argentine, candidats dc ropposillon qui out élé iiummtís sonl MM, ment et non pas seulement leurs voisins. Toute leur ligue üepuis la ilérouie do l'eii>ilosa a Cordova, il n'y a cu en iVializieux, .Hiles Kavru, Uicliard, Planai et Ancel. Les Z| de conduite será tracéo de niaiiiòre ã ètre bien accueülic campugiic aucun parti qui pflt causur de 1'alarmc au gou- candidals du gouveniemeiU sonl asse/, puu connus, ã veriiemeiit; mais on parlait tCunc formidable levée cflndiens parle peuple, parce quele peuple veria qu'on fait cause 1'exception de M. Boitclle qui esl le frere ciu préfct de commune avec lui. Mais comttieiit cc parti pourra-l-il de Vhttco, depuis Oran jusqn'au rio Paraguay, au nombre police de Paris. naltre et s'organiser dans les litats du Sud ? Le fanalisme de 10,000. La nouvelle chambre lügislative comptera en tout 32 « L'uniquc nouvelle interessante esl, de plus, celle de qui existe aujau^rimi dans ie Sud est Leliement violent membros de Poppositíon; c'est beaucoup, qnoiquc ce que, si cette question ne doitOlrc déciüee qu';m point dc l.i reconcilia liou des pouvernemenis dc IJuénos-Ayrcsetde n'ait absolument rien d'alarmant. Les elections, chiffre vue de Ptuimanité, nous croyons qu'il faudra bien du temps Moriièvídío. Cette réçonclliaiimi s'esl faile an inuyen d'un dit reste, sc sonl passécs dans toute la France avec le avant de faire prévuloir des couseÜs modérés dans la Conprotocole slgní dans la première dc ces villcs le 29 Juin plus grand calme ;•¦'car on ne peut considerei" comine fédéralioii. Le grand avantage 'ini, à nos yeux, resultará par D, llulino de lílízalde, ministre des allaircs élrungères une manifestulíon élcclorale les troubles qui ont éclalií á de la scission, c'estquela quesllm sora envisagée alors sur et D. André Lamas, agent contidentiel du gouvernement Bordeaux parmi la classe ouvrière ei qui ont úlé, du un autre importam point dc vue, et qu'il s'agira de 1'intiiict de 1'Etat Oriental. Ce protocole a élé ultérieuretnenl apreste, rdpriinés avec la plus grande énergie par M, Pieimmédial des gens du Sud eus-inümes. Le grand avantage prouvé par les deus goavcriiemeuis. tri, préfet tlu iléparlenienl de la Üiroiidc. Voici en quels consistera en ceei, que Parènc de 1'esclavagc será tiram-i La Macion Argentina dn 12 Juillet publie cc pro to- termes cc liaul fonctioitnaire lermiiie 1'avis adressé aux scrite et limilêe. Ces limites ne peuvcnt et nc doívent ètre cole oú Pon voit que les bases de lu récoitciliation sem ouvriers du port, à la date tlu líj juin . fixées que par le sorl de la guerre ; et jamais la eunvoitise les suivanles: ii L'aiitnrité, sachez-lc bien, écoulera toujours avee biendu pouvoir n'aura détotirné un peuple de Ia route de la « Liberte des personnes et restitmion des objets retenus veillance vos riiclamaiiens, si vous vaus adressez à elle avec justice d'nne laçou plus tiéptoruble qiren celle occasion le goutemanem oriental ; calme cl cunliance ; elle vous éciairera si vous étes dans Teroü le Nord a pris pour enjeu Ia complete soumission du par renr : elle vous doiincru satisfaciinii si vous avez ilroil ; u Proinesse dc payer les indenuiilés sulTisantos Sud, au lieu de borner son ambiliou ii des restriclions terponrles mais, sachez-le bien ausd, elle ue eMe pas à 1'inliinidatioii, ritoriales du Sud. Si M. Lincoln, dans Ic príncipe, avait violentes exi.ifées: declare que lout cc qu'il voulait était de reduire farine ti Obligation dc reslituer, au lieu ofi elles uuí élípri- et imites les íois que vau. terez appel á la violeuce, elle ue verracn vuusque des pcrlurhateurs de fa iranquillílí pude 1'esclavage, la syinpallile et l'appu! dc 1'Jíurupc attraicnl ses, les nnncs enuiyéespar l.i répuMique argentine ; bliqtie, elle useivi sé verem eni outre vous des moyens de élé aussi clialcureux en sa faveur que sa conduite y a exeile ii Con:laninalion. par couséquent, des atlentais commis. répresslon que lui tloiiue la loi. d'inr_Uffiírcnce ou d'opposition. SujijMisons qu'aujourd'buÍ n \lise en disponibilité du commaiidani du vapeur de mème il vienne déclarcr que son but esl ce but raisonnable, ii Cest son droit, c'esi son devnir ; elle n'y faillira H pourra encore prétendre á I'estime des honimes libres. guerre oriental Vitta dst Salto jusqn'à ce qtfil passe de- pas'. • Quoiqu'il en soii, il esl curtam ijue le Sud gagnera son in- vam les iribaiiaiiv pour y justifier les violcnces cxereées ipicMiiiu paloiiüisi! préocctipi; lous les esprils; on s'alLa dépendance, avec une rcsiriciiou de territoire, ct quelque conlic le vapeur argentin Salto ; tend à dc graves é.vénmncifls, si la Hussie ue .veut pas déíavorables que puissiíüi ctre les conditions de la separav Salul reciproque, devant Hartim Garcia, pour pron- acccdcr aux nouvelles proposiiions qui viennent de lui tion, la cause de la libeilé y aura toujours plus gagnó ver qu'eii délenaul Ic Salto et le vapeur dc guerre orien- ètre soumises par les trois grandes puissauces, Ia France, moi (la vous dire que j'ai une demirdouiaíne d'oacUves que 1 ãge, la déurépiUidc ou les inlirmilés rondem compliteraonl ínoap.ihlcs degagner leur vie et qui me sontitiw lourde cfcirge. Pensei-vous que j'obéinis aui devoírs de 1'humnnitó en me dfharriissa.il de cette charge et eu cuvoyiiil eas (murros ilinldcs dans b -mude, avei_.ee prétundu bitíiifailde liberta jionr y uionrir dt- liim ei de: raisère? Une seconde dnsse dc mes noirs so compnse denfauls NOUVELLES ARTISTIPBSDEDROPB. Nbw-Yob*. —La compaguie italienne, de retour de la Havanc, a inaugure Ia saison à New-Yorlt, le 4 Mai, et a donné VArotdo, chanté par M. Mozzoleni et Mme Brignole-Ortelani. M. Mazxolcni, li¦ons-nous dans VEco d'Itália, e été salué íi son eutrée en scène des plus chaleureux applaudisseinenls. Cet artiste est doué d'une voix puissante ct d'une ènergie qui étonne et charme tout ú la fois l'auditoire; son jeu est naturel, intelligent, nuancé, ct en fait un comédien remarquablu. On sent dans sa tenue en scène Tailistc sür de lui-même, qui a.eunscience de son talent. La piesse localc est unanime dans les éloges qn'elle accorde à cet artisle dont elleloueluphysionomie, 1'inspiratiori etla methodo pleine de séduetion. // Bailo in maschtra fut pour M. Alazzoleni uu second triomphe, ct il s*y est moiitré acteur et chanteur également inimitable, La direction peut ètre certaine que chaque fois qu'cllc offrira ce nom au public,larecettes'éleveraaumaximum; i! seraitdiilicile d'imagiuer un fUclard plus parfail sous tous les rapports. H™' Brignolc-Orlolani a seconde avec talent M. Jiazíoleni, tt Mmr Sulzer s'esl montrée, elle aussi, une digne partenairc dc ces deux priiicipiuix artistes. La Jone, dc M. Petrclla, n'a pas été très-Iavorablement aecueillie. La rôlc de Glauco a été un vrai triomphe pour M. fflazioleni. .lamais son talent ne s'était montré plus complet; l'art du chanteur et du comédien ne peut guére ètre poussé plus loin qu*il l'a été par cet artiste dans la scène finale du deuxiémc acte. C'était d'autant plus rcmarquable que l*ezécution de ce morceau, siparfaitcment réussie, estd'une dilllcullé extreme. Milan.—Les Hitguenois viennentd'être representés à la Catiohiana; ce chef d'ceuvre avait été donné déjà sur cette scène en 1855, et avait alors pour interpretes MM. Giug-lini, Marini, Zacchi, Llorens, Berlolini et M"" Boccherini et Viola. M. Bertolmi, qui, á cette éjioque. chantait modestemeiit le sohl.it liuguenot, personniíie aujourd*hui Ilaoul deNangis, JJ Voir Jenuiuerü i.'l pour ie fouimencement des dernií-re* j)Ouvel)e< arlisliijues dHurope. et juslilie par le talent les promesses qn'il dnnnait á ses débutsduns ia carrière. Cel artisle a une belle voix dont Ü ne force pus les moyens; il diante et sail nuancer ses eiVcls, ce qui est lepropre des artistes qui onl l'expériencc de leur art ei veiilcnl durer loiigLemps. M. Marini juuo ei diante cn vétéran lyriqut-le role de Mareei; c'cst uu ancien qui donuc le mcilleur exemple aux nouveaux, cl leur montre eommeiil, lorsqivniin acquis une ccrlaiim cclébrité, 11 faut s'y prendre pour Ia conservei'. Üll°" Majo s'est oroduilc dans Ic role «le Valenlinej celle [iriina donna est à peu près nouvelle pour 1'ltalie. Lu Gazzella dei Tealrí écrit que sa voix est bien limhrée, sympalhiqycllexible ; Mrar Majo s'oniiiinec bien ei peut espérer sc faire nn nom lionorable daus Ij carrière lyrique.—AI™- Corani, chargée du role de la princesse, ne s'en esl nas mal acquitléc, et elle a mictix réussi i]ti'ellc ne l'avait lait dans la Mucttc. La compaguie IVançaise Meyuadiçr u termine ses represe nla tions au lliéàlre lie ct s'est dirigée sur Turiii. Le ihéãtru Carcano, qui devait ouviir avec M. Moriui, est encore silencieux; Santa-Kadegonda, qui avait publié sou prospectus, et, voire même, apposc ses allidics, esl égalmiient demeuré fermé. Cela n'iii(liquo point qu'cn Italie les allaircs ftiéiUiales maréíient d'uuc laçou merveillcuse. Foiíli. — M. Mamert Bilicyran, juemierdanscur, cl M"' Emiliii llcllini sunt eiigugés a Rimini pourla saison des baius; un nc sait pas encore pour quelle ville M. ct M"* Vigano ont traité cn quittant Forli. —Le second opera donné a été Lucta; MAI. V. Sarti ct Si]iiarcias'y sont mou três três-remarquablcs: Al"* Viluli est une Lucic d'un merite peu commun; Al. Kossi -Galli. basse profonde, a partajé Ic suecés dc ses cainarades, et le liuale du second acte a été rendu avec un lei ciisctnhle. que le public l'a redemande an milieu d'applaudissun\unts cntlioiisiastes. Dans la repre senta tion dounéc au hénéGce dc 1'Ásile do 1'EiiI'aiicc, Milr Vilali. MSI. Sarti et RossiGalli ont chanté d'une tarou splcitdide le trio des Lombardi.— Gingiiani, lénor, a été rappelé après tc jiiemier acte des Masnadieri; Ia prima dnnna ;i en le mallieur ile s<- faire silHer. Le second bailei olíerl au public pendant Ia saison a étc Masanietlo, de Al. Coriesi. =nunté par Al. ViI,. principal ràle. Cet artisle esl gano. ,|iii ou 1'Angleteri'e et PAutriche. Voici la stibslance tle ces proposilious, qui sont au nombre de six. . 1." Une amnislie complete et géitéialc. 2.* Une représenl stion nalionale sur les mGmes hases que celle établie par Alexandre í", en vertu cl en exécution ilu Traité de Vienne. (II parall que 1'Aiilriche n'csl point parfailemciil tl'uccor.1 sur ce paragrapbe avec les deux anlrcs puissauces ; mais naus n'avtins pasà nous en Inquietei' pour Ie moment.) tles oloi 3.- II mt i IIX oflkf !es |>olnt public ml iiispii rdét i"Clí|íÍO loloi qul 5." On cniplolerã la hu : polonahic Iransaclions publiques ei daus 1'éducation du peuple. ti." Un syslème régulier tle recnitemcni será établi, pour évilci" le veiniir des évéiiemcnts' qni onl amené 1'insurreclion. Lu llussie accÈdera-t-elle ã ces propositions ? voilíi cc dont il est permis tle tlouter I IJe tnus lescftiés, 1'emperem' Alexandre reçolt les pititestalions dc dcvoiicmeut et dc pairiolisinc dc ses sujets ct nous n'avons que ton peu dc gages des tlisposi lions pacifiques de Ia llussie, tandis qu\iit contraire ceux ile ses disposilions belllqueitses nc nous manquem pas. Cest ainsi que nous lisons dans Ic Jour, feuille qui se public à Moscou : i La question ile I alegue n'e8l ni une question diplomatique, ni une question européenne cl intemationale ; c'csl une question nalionale Misse. i El si PEiirope s'iinit avec la Pologne contre la llussie, alors la lime aura le caractère d'uiie lutledesdeux mondes, ei la question de Pologne deviendia une question dVxistence ou de non exislence pour la llussie ct la nalionalilé rus.c, uue question oii il se decidem si ce sonl les (lois latiiio-germaniques qui noieiont lc monde ortliodoxe-slave, ou bien s'il i si dévolu h Ia llussie de devenir le uiont Ararali du monde ortliodoxc-slave et de lc sauver du déluge. » Quelle scra la politique de ia France, dans le eas oü la llussie lormulerail un refiis V Nous croyons 1'enlrevolr ii 1'avance. l/empereur montre la plus grande pnulence parce qu'il veut absolument faire de Ia question polonaise une question européenne ct non une question simpleuicnl Irimijaise. 11 voit à merveille le plége que lui lendcnt ses soi-disatit bons amis ei il n*a gartle d'y tomber; il ne marebera cn avant que lorsqiril aura parfallemeiit délini ct ctabli sa pusitiun, mais on ne rentralnera imiut malgrè lui .'i une guerre dont les résultals seraieni dotlteux cl pourrale.nl ménic Otre tcrriblcs. IVim autre còté, mi ne [leul nier que Napoléon éprouvn im ardem désir dcntieren eanipagne pour secotirir les Potonais; d'abord parce que celle cause lui semble une cause sacréc, ensuite parce qn'il donnerait salisfaction à 1'Òpinion publique qui esl uu anime en France snr la guerre de Pologne, enlin parce qiül irouverail là une uiagnifique occasion dc nous duuuer uos froutiéres du lliiin et de a!aliser ainsi te réve si longtcnips caresse par la vieillc monarcltle. Voilii qui serait elfcclivemeiil un couronnement de /Vrfí/ia: digne dc la poli lique du second empire ! Mais nous n*en somines pas encore lá, inallieureuscmciil I uiuiiquil en soit on coininetice dans les arsenaux des préparatils tbrmidables, ce qui scmblerail indique.- une résolution déjà inébranlablc d'enlrer cu cainpagnc si les circonstances 1'exlgent. On prétentl quu Ia rigucur, les lioslilités poiirraient coinmencer danslespremiersjouwdu moÍsd'aoill ; mais nous croyons que c'esl aller beaucoup trop vite, Apioposde rAméiiqiic,Ílparailqucl'Eiiro|H!iccommeiicc ã sc lassei'. l)e nouvelles proposilions vont, dil-on, ètre faltes aux deux parties belllgérantes. Daus lc casou ces démarebes un mime supérieur, et. pendant les ciuq acles dc Icquel Hector Bcrlioi a dirige lui-uiêine les morceaux l'ouvrage, il trouve le moyen de sc faire constam- suivants; ouverture du Roi Lear, Ie Câmara! roment a|,|ilauJir et rnppeler. — Jl"- Fanny Vigano wtiin. Ia Spnfhonie Barotd en Italie, ei des mortienl parlaiteme.nl le role ile laMuetto. Comme dan- ceaux de Romeo e! Julictte, Tobjcl il'ovalions mérilées, scusc, elle esl Brukschwie.—La Iteole, tle Guslnve Schmidt, a que partaged'ailleurs M. Mamert. Ces deux artistes sc 1'onl eu tle réussíte, La musiijucy principaleuient, a rappeler trnis et quatre lois dans une tjiOiiie soirée. été peu trouvée d*uue grande monotonie. ee qui u'esl pas uu médiocre luinnour. FaAfiCFonT-sim-i.'OnBn,—Dinora/t, de Meyerbeer, Nous annoiioons que Al. Mamert est engagé ú a élé donné, pour Ia première fois, avec beaucoup Ríilitni; c'est la seconde luis qu*il traité avec Ia t|i- ile succès. Itésullat prevu. rection de co Lliéãtre, oü 1'aiiiiéc deriiiére, il était VtKNNi:.— M'"" Sieniann-Seebal a déhulé dans (.de M°" Ferrnris. Cetle fois, il daiisera rôlc ile Margueriie dc Fausl. Lagruuilc cautatrice paitcnaire avec Al"" liellini, qui était sa première danseusc iléjà a obteuu uu legitime succès. àllonic pendant le dernier carnaval. FiiANCFoiu-sia-Lt-AlEis,— Le Grsangverriti, dc Quand, en France, Ic public oti plutõl les direc- lliilil, a esécuté coiivenabletucut Josué, du Haudel. teurs voudronl comprendre iju*il n'j a point de bal- M. Fiiedrich a diiigé rexècution avec beaucoup dc let sérieusenient possible saus Ic cínicours tles artis- lermelé, cl les solos ont été ehantés a\ec gofit par teshoinmes, MM. Mamert, Bilmyran et Vigano sc- Allle Lubitíkv, Schrcek (dc Bonn), cl MM. Baunianu ron tau premierrangdcceuxqu'ilfandra rechercher. Cassei) et Hall. (tle Bealik.—Nous avons entendu MM. Bachmaan, AVachlel ubtiçnt toujours un succès, digfiu do son ténor, et Lindeck, hasse, dans les Hnguenots. Le grand talent. II a dépasse même les esperances tln premiei' a uès-hien rendu la romance du premier dans le rüle d*Arnold de Guiltaumr. Teit. aclc, et, dans le duo du quatrième, il a en les hon- public SAiKT-PÉTEftSBouHG.—La MourawieíV letonruera neurs tlu rappel. Le second a été un excetlont cet liiverà Saint-Pétcrsbotirg, oú elle créera un nonMareei. Alais le succès de la soirée appartienl lou- veau bailei de Saint Léun, lc Kt/nek gorbounck. jours à M11* Luccu (Valenlinc), á laquelle la critiLe sujei de cel ouvrage esl liré tíun conte popucomme le publie, décerue la palme. que, lairc et fantastique qui uffre tles situalions dom un ScnwBníK,—Nous avons entendu ici, pour la lin habile luaitiv dc bailei saura bien lirerparii. de la saison, Ic Martage </._¦ Pigara, de Mozart, qui Deux autres nouveaux baileis, Saittmitndrr i-i to a élé rendu nn uc peut mieux. Sesontparticuliè- Sept Corneiltes, seront representes cel liiverà Moscou. rement distingues AI. Hinge et M11* Haniscli. M. Pctipa a campos ¦, sa femme, un grand WiESBADEs.—51"* Louise Fiscka adonné daus celte bailei: ks Datm e'. les pour Maronita ou tn benute da ville sa dernière represen tation avec Ernani, role Lt ban. tCEIvirc. L'entfaousiasme du public a élé incrnyaParmi les artistes Trancais qui voufallér cette anoêc ble: bouquets, rappels, ovatious, ct même une complèter la Iroupo ,1,, théaiie Mioliel, ou cite Henii sérénadc donnéa à In cantairice aprés le spoctacle, Luguel, dr l'AmbÍgu. pour le drume; Ocsüharaps lui ont prouvé là vive sympathie de la population. íils. Mlle Julictte Pelleticr, duègiie; jeune Miyence, -'i mai.—Les representa tions duthéülre Jllles Faunvpremier: Lotlianl cl Tnal-Meimel. ieunesprede Ia Gour mit commencé avec le Propktte, tle iiiièrcs, Meyerbeer, l/adiiiiiiislration avait fail mus ses clVorls Lc tlieúlrc Michcl, dont Ia reconstruetion a i^oOlé bien mon tor ce chef d'<cnvre. Elle a admira- 100,000 r. pour IV.) il v a., peine quatro ans, va blement réussi. Le Prophlte, comme Ic Tami/iaâser, Gire icslaiiré(1.600,000 de nouveau.—Une somme de 33,000 r. qui l'a snivi. a élé represente, avec un grand luxe (IM.OOO IV.) esl assiBuec a cel ellet, lanilis i|u'o„ ,«¦ de mise cu scène, par une excellenle Iroiijic sc- iloiiue pas 15,000 f- (liil.OOO tr.) pour lc tlié.itre Aleicondéc par uu brillant orchestre, ct le tout eoiirnmie andre, oú jjue la lioupe russo, ei qui esl daus un de succès. état vraimeul pitiipble sous tous les rapports, LoiiENuiac.—Le Kl Avril a eu lieu lc vingiconcerl de la chapelle de la Cour, dans FIN qualriéuie Le IVouvcUiste' dc Itio dc Janeiro ne seraienl pas couronnées de succès, la france et PAiií;Icteire semblent décidées íi leconunllre le Sud imniédiaiement. On a remarque avec une grande surprise que lá reine Victoria n'a pas encore atirasse ses félicilatlons augouvcriiement français à propôs dc la prise de Puebia, landis que íoutês les aulres puissances sc sont cmpressées de suisir ÃMe hetireiise occaslon pour compi imcnicr Pempereur Salioléon ? Mais iPaltaelions pas, pour le momcni, une trop grande importai.ee k celte bizarre contluite. ía question de Plstbmcdc fucz repremt, grace au ciei, une bonne tournure. Lcsullan parait disposé h sancliouner tontos les concessions accordées par le vice-roi d'Egypte. Cc i|lii est certain, c'est que ies travaux ne sont niil-eim_.il arlèlés et qti'on les poursuil au contrairc aycc la plus grande .íelivité. Du resic, nons pouvons èlre parialleiuuiH tranipiillcs; Pempereur, ,'i Sue/ comme ailleurs, sátira fair. respecler nos droits et notre lionneur. Lc Monikuf du '2íi juin public des décrels fort imporlanl.v .1. Biilaud qui était ministre sans porte-feuiltc ilevieut ministre (PEiat et président du conseií. \l. lc comte Walewski quine le ininistère d'Elai puiir eire envoyé, díl-on, iimbassadeur ,', Londres (mais ceei n'esl pas ofliciel). MM. Itoudci, Duruy cl lléliic som nominés ministres de Pintei ieur, de 1'instruetfon publique et riu coiiimerre. Ce sont des noms qui n'onl poinl ime très-grande slgnilication. \\, Ronlier reçoit la presidente du conseil iPElat, en remde \l, Bnroche qui est mimou1 ministre de Ia placeinenl justice et des cubes, linlln Sl. le di de Mqi*nj' i présideuee du Corps Législaiif. On a fait, par la même wcasioii, des modilicaiions importa mes dans les mÍiiisli.resd,Ktal,derinstr.iet_oupublique Maison impériale, Le premier perd ses aitrlbntions le second acqulert de nouvelles branclies et dela administrai...»; deservfce, quoiqu'oultil rellre Ia directlon passe an minfslère de tu justice. .'rance les plus Importantes ei qui niilriteiii 1'attetition sérieuse de nus iecteurs. 21 mai Í8G3. trois lienres du Puebia s veimei par riépéclie Le roi des itelges est renommé par sa priidcnceet son habileié diploniatiquesjil est infiitiment probable qti'ü iPaura pas voulu se comp ron íeltre Quant à cc- qui, tiiuclu; IVsciavage, lord Ikougliam, e:i rieiiiatiii.ini à lord llussell i:i>'i]imuiieaiiim de-, jiüjiiers qui concement celle alfairc, a rendu plt-ine justice ;i la contluite dn gouvcriiemi.nl du ürésil, qu"il a déclarée admiralile, en matin íi ia Vera- reiidtie. comparaison > i\ part les queslions relaiivcsau UiésÜ, on s'occtipe beaucoup eu Anglelerre de la Pologne ei de lAiiiérique. Les année. ti-, p.irallèles fmcnt mitiinuée-i oi poussées près de Pouvrage ei Inèclies faili-s, déjà sullisantes pour 1'assaut, icxicainiii ; ' liana. Le lord-maire de l-oiulrc.s viam Parlant chel nos colonnes aux d'état-majur du gébataillon de et triomplié uni notre rirapcail resplendit cPuu Forej iit son en- — le IS mai IWi. loa etíaí..™* piéecs de diver.s calibres ayant nnveii leur teu le Iti contre <*e fort, ei riélruil eoniplèteuieni en deux lieu res son armemeitt, la sítintion de Ia place, contre laquelle étaient gées deuv vlgouretises attaques, était des plus critiques general Ortega m'a fait des oiivcrtures piur que je lui a.corriasse une capitulaMais ses prétentions n*allant ã rien moins qu'S lion. élat rie clioses te siiriir de la place avec les lionneurs de Ia guerre, armes, bagages et artlilerle rie campague, ct la faculte de sediriger sur Mcxícn, et lui ai iléclaré j'ai repoussé ees étraoges propositious j*euteiidais qu'il surlit avec lm que lionneurs de la guerre, mais que sim armée riélilãi devam 1'armée .rançaise et quVll. riqios.il les armes en restam prisoimière de guerre, lui proiuettaut davoir tous les égards en usage cliei les pciipl > civilisés poui' garnisou tsluii a parier" dt. Pallidiice ís, des garanties qu"elle oifre qui avait fait bravenieiil si i devoir. accepléi pioposiliuns ne furem point ral Ortega qui, (Ijiis ia lllltl de lli au 17 proiiouça la dlísolutinn de sou armée, lit liriser les ar ies, enclouer Ces lei caiions, sauier ies magasius _ poudre, ei m'envoya uu parlemenlaire m'annoncer «pie I» garnison avait lini y déíense et qu'ell- se mettrait à ma riiserélinu. Le jour se faisail à peine que douze mille hnliimes. Ia plus grande partie sans armes, sans uniformes, saus ¦equipement, le lout ayuul élé brisé et jeté dans les rues de la ville, sc constitualenl prisminiers dans nos cainps, au nombre de mille . douze cents, dom ollicicrs supégénéraux et plus de deux cetits rleurs, me riisaitiui dlre quils étaient réunis au palals du gouvenieinent, attendant mes ordres. et,les oflkiers, rues uux evis de Dans noliv prucliuin i üruns la suiie-dts nom les nouvelles <I*A11h'-p \'ive ta [¦'rance: lettre suivanle a été adret ¦lies ,l ei Incomplíi ¦ vive r/imperem'! .alilaaa ii Je sais combien il a faliu Cotes oftlcielles du la,¦mines— Londres ; ,\puli,Ys.—H6 °i°. dêpéclu Vo d'envoyerr m'empre_se Je un Excellence avec ordre à Vei i-Crui rie 1'expédier par h..iiiiieni bon uiarclieur à I» llavane. d'oü elle pourra le avant -l arriver New-York, parvenir en Kurop' par '< dí VttKSm lt 1" j_» larkct aoglíls q»l PJ"'" '" "! situation. de notre rappor I Jéla qni «ous portera uu L'irm-c est au comble »ie Ia joie ei de jours sur Mevico. lar cher sous peu séna.le suisavec ra|*<;l. Mc—Le srá.'r_l ile diràion. ilu Sleteur, coninuiií-iil eu el.el le coi|n e»|iedilirniiiaire ilque. — Forey. —Lt ministre de la marine et des colonies a reçu du conilatee du 2- uiai Je la lera li,.-amiral Bo»»e um- .lepMl.e une du comutanrui, par laquelle il ti d<ml Uu Lltirieii. 20 Juiilei. 2(1 7/8 ;'i 90 j. Hambourg 665 à <è0 j. I freis.— Canal à ordre, 3(1 sli. (le 18) Hambourg, 30 sb. "/„¦ Marseille 32 f. 1,2 et 10 Uirers. —Cale super ieur, 1" bonne ei un peu ifordin-ire 7j}250 1'arrobe. ANECDOTES \ 12 Juin ibijo. aux cheis ei ,)ii\ soldats rie Ona effeciué quelques opera tions sur Londres à 26 7/8 | ei sur Hambourg ã 6tíõ rs. un a negocie 53 apólices générales de 6 °/t à 88 "/„. ! On a vendu 3.400 saes de eafé. Louis XVI s'amusaii quelqi llièvrc; dans un moment de s lem bourg. Sur quoi V dil de rie vre Snr moi, répond leroi. Sire, reprit-il. vous n'éti Embarquements de cyafi Decoster ct C. (Cap de liiinnc E Johnston et C. (GibrallarJ. . Uiveis (dillerents poris:. . . prévujance ei d'énerj;i_ pour arriver à cet imporlan! ré'iOmoigiieen mou nom ã Paiinéc loute ina salissoltai. factioii; dites-lui combien j'apprécie sa perseverante et son courage dans um: exjíèdilioii si loinlaine, oíi elle avait á Inlicr cuntiv lc dimat, contre la difliculté des lieux ei .ieille coquelti llo-ivemeut nus succès au triomphe iPun parti quelconque. Je riésire que le Meviijue i*eiiaissc »'i une viu nouvelle, ei que, bientòl légéiiéré par un gouvernenieiit foudé sur la vulouié naiionale, sur les principe» d"urdre et de progrès, sur le respeci du dmií *les ^eus, il reconnaissc pai* des relations amieales devoir ii Ia france sau cepos et sa, prospérílé. « J'alteuds les rapporls ulliciels pourrioim-.-r a Parméc à son chef les récoiiipeuses méritées; mai», dès ii piései: líéliérül, Kcevev. mes vives et sincère.s fé I ici la tions. ii la lin du regue de l\. le grand dauphin : Irouvait PElat, ailsurpris dela détre - Mun lils. dit le roi repartit « .\APOLKÜ.\. ll sell le daupliíu, í-í« (.Mainte- | i Lainiral de Vivonne, passam le ííliin ã Tollluyo sou cheval qui bronchàit au milieu du llenve : Frits....—Canal à oi*dre, à _ã sli. Hãvre à ,r.o f. et 10 _ (le 20). Divers...— Café lave snpérieur á 8j}800 Parrobe ; farioe de S. Louis (séclie) a ilgõOll la barrique ; farine de Trieste S. S. S. F. à 25g la barrique ; graisse de New-York en baril, k 280 rs. On a tire quelques aux cotes officielles. w ieiil dVnvoycr ¦ uole fort inijwr- des allaires di .rande Bretagne à i demandei* ses [tasseports et [lio de Janeiro: il Pinvi la lé-jaiion. _\ous avons élé fort ceuv de lout le personnel siirpris de vuirqiPon élicrchail au Brésil de nouvelles cliiclianes à propôs de prétendus africa ins libres que fon garen esclavag.; car le ton general de la déjicche, les ensei^ieineuts paniculiers qui nous vieniieiit de Londres deraii plutòt nous prometire qu'oo labserail petit uiber dans Peau tes iucidenls rcgrellables qui onl e .eniblaieui petit Un Cascou qui daosait mal, oyant que Pon se tnoquait de lui dans un bal, dit tout irn Je danse mal. mais je me Une dame lui repartit: Ba liei-vous l on jours ei u Un soldat eut la téim ¦iti'' Henri IV en ces lermes: dire que cc lord. dont le riiscuurs du reste est fort remarqua ble, represente Popinion ei les ioléreis de Pimmense iiiajorilé des anulais que cette question brésilienne i oue tie de plus ou moins pres. >ous ne savons jusqu'- qnel (>uiiii la léponsc du roi Léu- de deniander Sire, trois niol.s: ar yen t au amgi. II oblint sur le champ cetle belle repouse : Soldai, quatre móis: m Cun. ni 1'autre. „il MaluiesbuiT .< violemmenl Interpellé le ministèreà vis-à-vis du Brésil; on peui propus ite la politique siiivie Cn presidem Henri IV. de I Le roi dil: — II ue faut pass' a uitiiiquer de parok di. rs. íi 90 j. (payablc à Paris). Porto, 98 7, a 00 j. de 6 7. - SS •/.. Aclions. — Banque du Brésil k 38g et iü;} de prime. pa- iiainliendrons notre cou- la livre (le 20). peliles sommes sur Londres ei Paris Snr Lisbonne et Porto, comte 1,256 830 Navires 17 Cotes officiettes du 21 juitlet, Uianges. - Londres 27 7/8 d. k 90 j. ; 27 d. k 90 j. {le 20). Paria, 3Õ6 rs. à 90 j. Hâvre, 355 reprit leur ninrt u'a élé inulile ni aux intéréls niá Plionneur de Ia france, '"-J la civilisalion. k \uirebiil, -.uns le savez, n'est pasd'iiuposer aux Mexicaiu» un gouverneuieiil con ire leur gré, ui ile faire servir saes » Depuis le l"dumois e in'en come/ contre un enuemi (Pautam plus opiui.ilre qifil était trompe sur iii-» In lun tions. Je deplore amèreuient Ia peite probable rie lanl de bravos, mais j'ai la consolame pensée que tante à M. :-Ufoi. cel cette port. 19 Juitlet. par I empereur au i General, ln nouvelle rie la prise de I1 «Ia,,,;;, parva nm' nvant-bier pae ta voie rie .\ew-lork. Cel événemenl nous a comblés dc joie. Le deteriore. Mui-venieiil du nousdon¦ I üupope I • Pa Tout et les conditions de lirsion ont été unanimem, ni approuvées, et on vient d'effeciuer cette fusion. » iuii des grantles queslions euiigiiilicaliís. vlngt-six le matériel de la place r< parait n'avoir élé quen par à co sujet qui dil ce qui d Dans la réunion aiitioncce aujourd'hui ,„:, que possédait Ia popniation, éjail aux abois. cel juin, une dépécbe télégraphique Sllll: Les marches de café üLumpe étaient généralement ires- 1-i'lÍllll i 17. iH.Li s 'effet ile la prise de celle place esl immei se. Sur toute | l.t de uutneile a élé reçu avec enlhou- i mte, le porleur ue. Ona sonué les ciiocbes; les musique: parcouraicnl ; IVun autre cole. la trancltée ayant été ouverte devant le fort de .'eotiinéliuacan et nos batleries années de 30 plus interessantes 19 par le paque- calmes aux dernières daies. Je suis, ¦lc. — Hobi-rt, Cominandai Puebia est en notre pouvoir! Dans le de s< ¦opéennes, est un i" .Mónsieur le marechal, lontce ile anglo-française, I coups de ca- Le f"?»ibat de Sau Lorvii-o ayant disperse le corps d'armée de Goinonforl, qui prétendait forcer notre ligue d'inveetisseilienl et rnvilalllcr Puebia, Ia garnison qui s luffrait déjà. depuis longtemps de la faim, bien qu'elle eilt enleve avons recues le Brésilienne et Anglo-Portugaise; on a reçu à Lisbonne, le 26 mis cn oisds. Puebia, cominerciales les presenteia une réduetiou iPimpút dont la bonne iníluence ne tardera pas ã etre rcconnue par les classes laborieuses. » 1! parait qu'ouest arri.é à fusiouner les banques Anglo- i com- -.'iiisislance Le marechal ministre de la guerre a recu du general les nouvelles On lit dans le Courrier de CEurope. « Le Moniteur vient de public. un nouveau tarif par lequei le café et tout ce qui concerne Palimentalion publique cilcs :|iic_iíi>jisi|i: la j que Pont fai batimenls 627 1/íi à 1 7_ d'escompte. Le taux de 1'cscompte de la banque d'Anglelerre se maintenail á 4 % ; le taux dr la banque de France se maintenailà 4 7„ également. Jespére, dis-je, que .¦ jusIÍlv et d. droit, nouvel 4,000 '2,050 \ Londres, les dernières coles des londs brésilietis étaient: 5 /„ a 100, et íi 1/2 7. de 1852, 58 et (ÍO ã 90 3/i ex-di?.; Chemins de ler de S. Paul ile 1 1/8 k 1 3/8 de prime, de Baliia de 20 3/8 à 20 l/á et de Pcniambouc 16 3/á. On a cole; Banque Atifjlo-Brésllienne de 6 1/2 à 7 1/2 ';„ dc prime ; Compagnie d'einbellissements de la ville de Rio dc Janeiro de là 1 1,'j de d".; emprum confédéré de I Ifiirs rapp_rl_ _i> Londres (irourel é-lat 1 hirey la dépécbe suivante : Voici i rie tol coups de canon Hier 20, le general Üanaii , à la tule iPune d oséc ile truupes prise». da i deux divisions, larclie sur Alesicu. du 17. . -tlouve^-pii.du port. in«*l.s grandes i[nf,,,, ¦. a lAngletear». rap- ports du general 1'urcy et du coininandaut du fíarien sur la prise de Puebia, ainsi qu'à la lettre dc á. M. PEmpereur Celte íoU eulin, les incrédules opi,111 general Kurey. tllfltres serout forces du recoiuiallre la vérité! Nos armes . 30,617 pour lc Brésil que nous boi français Navarre. néral, lul envojé oecuper la place avec le 1" cliasseins ii pied aux ordres du coinniiiuilanl rie C.oiircy n un esciiiLon de hussaiits, ce qui eul lieu paLsiblemeai, ''¦ivill à l.es Iiiiii|)i> Iraiirai 17, 18, v lélégra- de atfé 7,385 ¦ letIit pai p|ioru general (louxalez Ortega au general Kinej aimnnçant i|ii'il sc rendraii à discrétion avec ses troupes. second 68900; peu ordiuaire 7gíô(); farine de fromeni de Triesle, "":,'0íl0 la barrique ; sucre brut de Campos eu (Misses. 1 Jjüòü 1'arrobi' ; heurre Depuis le 1=' du i cinq I Lecoloncl ítlanèquc, naire peu de 1" or.linaire 1'arrobe, (le 17) 1" ordisupérieure, 1" bonne et un ei 7S100 uu banquei prospérité du pays. lord lalinerslon a (lit quelle dépeiidait surtout riu main Lieu de Ia paix: ¦fusa formellemenl. 1" bonne et un 7,S0ãO de la pliíque à Lisbonne, nous apprenni'iil qne le general francais Bazaiue ei le general mexicaln .\l.uquesoni enleve les posilions qui dominem ta ville rie .México, ll est iuliniinent probablc qu'- 1'lisurc oú noinécrivoiis ces ligues, les Franqflis en sont déjíi maitres, Nous nons empressons d'oUvrir de donner Divers....—Café, Iiipps Irmãos et C. líalliinorej Jolinston et C. (Cilbr Hoje et c. (Hãvre). . . Dreyfus et C. (Canal;. . Divers (di.férents poris), oú des toasts portes à Parméc ei à la marine ont fourni à lord 1'aluierston 1'jietasion dc primoneei' des parolesqui mériien! ilèire sigualées. aiors an ciinip, deman¦• l"-i- II. I '¦ H|- et une partie de leur aiüilesc rendrnil. !¦ gén r«l Pnr. v a la plm. grande anxiélé qui pciivt-ut eiii:oiv avuir lieu cetle reste Pallianee an glo-française iPa pas reçudV- chec sérietix jiisqu'à présent. '¦sfintii ie ; ;'i cescondilioi Dn Cotes officieÜes da 18 juitlet 1863. Apólices de 6 % à 88 % et 89 "/„, de 5 */„ 85 7,. Aclions-.. — Banque du Brésil iOg de prime. Frêts —Trieste, 'àò sli. Embarquemvnts hommes d'Kt.it semblent éprouver sur les i:iéneini'ii[s Le leudemain, PARTIE COMMERGIALE vieux d'isigny, íjãli rs. la livre. On a negocie de petiis lols tPapolices générales de 6 °/„ à S8 et S9 "/., iPapoliees provinciales de 5 "/„ k HÒ %, ei 54 aclions de la [ianque du Brésil ã Í|0,S rie prime. On * vendu 7,000 sues lie caie. surioui dc celle dc rF.spagi.cqm n'a jamais (|i_uii)iiVI!_. uii reai une forte iiuíemuiié. rien fait, Les assines se dé rendi ren i bravemnil. Le general .Mendi uni an general l-'o et (]u'il aura dom)'.: une de ces repouses evasivos qui ne blessent aucune des deux parlies, .ans que ni Pune ni Paiilre puisse étre satisfaíte. Ou resle, nous saurons piocliaineiiient ú quoi nous eu lenir, puisi|iie Ie baron dc Mesiul vient d'arriver a llio por;er les dépèches de son gouvernement. Lesamei i JU. iroupes qui avaient ouverl une par.illeleà !B(l nutres du forl de Téoiiméluiacan omriroiil nn leu iiourri iPartilleric sur celte position et déinoulèrent loules les pièces (les irois canoas ubusi.rsdc üu, düliarquês par vus ordres le •_. avril, ont produit un grand aliai). le IU, à ou/a' lieure riu matin, le general trée dans 1'uebla. Les d-rnii-res nouvelles, pold est favorable au gouvernement de íia Majesté Don Pe- I dro II, quoiqiii; d'apiès la « Corresponileucia dc Portugal•<, : on presume qu'elle donne lort à 1'ünglelerre. U'après la marche infírieure rie la Cèrés, je compris de suile que le Varíen, »|ui _n novembre avaii déjà apporte Ia nouvelle de Ia de Tatnpico, devait se rendre prise prnmpiemem à la llavane; mais je soii{;eai (ei le commaudant Lefévre partagea mi n avi..) i\ passer pnr Cannen pour vons eu informei* et vous donner moi-méme iesdi- des cultes qui les nouvelles de Telleasoiit Darieti, Amiral,— \ cinq heures, ce matin, un avis oílicieux m'appri! Ia icdilition du Puebia et «Pannonca la deínande da commaiiriiui upérieur d'envoyer imm.idiatement In nouvelle en [''rance. son congé i 10Õ "/ . m % 103 "j on a liré, au\ chillres sui- à _0 jours . à ÜO x à 90 Ori a negocie 30 apólices générales de 6 "/„ à 88 "/ 60 aclions de la Banque du Brésil à 38S et un lot de idem à _|0,S de prime. On a vendu i.OOO saes de café. . . Emàarúuementi de cafi du 20. I. 1'eclier ei C. (Canil) aa Decosterd et C. fd.°). Divers. (dlflerent- ports), Total . du móis noiivemeuit du port du 21. Buénos-Ayres, H juitlet. - Deroièrc vente au comptani. !iõ\t. iM-M 3,053 df IXío - -I ?fiitjeir<irrr SKUVICJ-S MARITIMES DES MESSAGERIES IMPERIALES anngsnces !in\ Avis voyageurs p«ur 4 1'Europc. de L'adminisiratioii .Journal ce a pris les mesures nécessaires pour ms faire distribuía' le Nouvelliste tons les Rio de. Janeiro à bord de pt návires de guerre qui paquebots eu soreiiíreront dans ce port ou tiront. JA" Le ISODVELLiSIE DB'UlO BB 1 à est déjà en circulatioi neíro à Bruxelles Paris, Colonne La et à Londres. Annonces des eon- des infowuiUiòns préeieuqui semet- tiendra Ses pour les voyageurs ou tront en ronle'puirí- 1'Europe ali |U*ésjI, et uos arrivéròiit qui adresses lecteurs y trouveront les de predes rnaisóns de coiiimerce bien mier ordre... au Brésil, aussi quen liurope RIO DE .T. VNEIEO Services Maritimes. Mcssáycries Impériales. AGfeNCE PIÍINCIPALE DE RIO DE JANEIliO. a 1'honneor d-i.fcL'aíBMsli»Uo„ de Ia dépai siles mer le public qa'à partir <lu moiseourunt, les iieu le Ik de rçuropc auront français pour paqnebots-poste chaque mpis. , . ¦Le paquebot-posle U Hmmm. eomnundanl T. KM, faisant escale i partira de Rio de Janeiro pour Bordeauí, ®,n Bahia, Pernambuco, S(. Vincont (ou il .ya.uu Juil et180J, comiiiunicalioii avec Govée) et l.istonnele 24 Pilom¦ (b) à li lieures du soir.—I/agent principal, Amédée P. FAIKBAIliN AND WelHiigtan foundry C.° Lec<ls. 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