Mekamag 2 - Nuage production audiovisuelle

Transcription

Mekamag 2 - Nuage production audiovisuelle
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Tout nouveau,
tout beau !
Le dernier jetboat Seadoo 150 Speedster - est plein de
promesses. Manoeuvrable à
souhait, ce bolide de 4,57 m
de long avance une agilité
exceptionnelle avec un temps de
réaction record. L’habillage aux graphiques audacieux et aux couleurs vives, vous
garantit au moins de ne pas passer inaperçu sur les mouillages funs de l’été !
New Mini Moke
Les inconditionnels
de « plage » et
de Mini peuvent
se réjouir,
puisqu’ une
nouvelle version de
la Moke vient de voir
le jour. Sur une base
de cabriolet dernière génération
équipée d’un moteur de 90ch,
la belle se barde d’arceaux de
sécurité, de renforts latéraux.
Un look décalé et décontracté
qui lui va à merveille. Karman et
Heulier font partis de la liste des
spécialistes du genre pressentis
pour la production en petite série
de cette nouveauté proposée
pour 15.000 € de plus (coût de la
transformation) avec un délai de
3 mois d’attente.
Renault Kangoo II
Après 10 ans de bons et loyaux
services la Kangoo première
génération passe la main à une
toute nouvelle mouture doté
notamment de portes arrière
coulissantes électriques.
Proposée en trois
carrosseries – normale,
longue et courte – l’auto
devrait montrer un confort
accru et recevra un bloc
diesel de 105 ch. Arrivée
prévue dans le 971 pour le
premier trimestre 2008.
Fiche technique
Premières photos officielles
de la nouvelle Laguna.
Malgré quelques changements significatifs, on ne peut s’empêcher de trouver les traits de
la nouvelle Renault plutôt discrets. Il faut croire que le N°1 français a probablement retenu
la leçon depuis l’échec commercial des VelSatis et Avantime, modèles pourtant novateurs
d’un point de vue stylistique. Dommage de ce côté là, du moins. En revanche, la Laguna
séduit en proposant un niveau de qualité optimal et un comportement routier du meilleur cru.
Côté motorisations, Renault assure avec la présence des 2.0 dCi de 130 à 175 ch sur cette
nouvelle génération. Le bloc essence 2.0 l 16 soupapes de 145 ch sera également de la partie.
À noter l’arrivée d’un 1.6 dCi de 110 ch répondant aux critères du nouveau programme eco²
de Renault. L’auto sera officiellement présentée
en septembre prochain au salon de Francfort.
Sa commercialisation dans l’archipel est prévue
avant la fin de l’année.
Mercedes SLR,
mieux que Marylin !
La blonde platine la plus célèbre
d’Hollywood, tête d’affiche du cultissime
« 7 ans de réflexion », vient d’être dépassée
par une autre bombe nommée SLR. En effet, il aura fallu
8 ans de méditation à Mercedes avant de nous annoncer l’arriver
de son sublime roadster. Fidèle au concept de 1999, sa ligne dores
et déjà intemporelle sera épaulée par un fabuleux V8 développant 650
ch et aux performances époustouflantes : 0 à 100 km/h en 3,6 s et 330 km/h en vitesse de
pointe ! Construite en partenariat avec McLaren, son prix au dessus de la barre des 500.000 E
laisse également rêveur…
Suzuki annonce l’arrivée de la
Le chiffre :
308
C’est le nom de la nouvelle berline
du Lion à découvrir en Guadeloupe
au mois de décembre.
Elle succède à la 307 vendue à
plus de 300.000 exemplaires à
travers le monde. Un joli cadeau
de noël annoncé en 3 et 5 portes
et doté d’un bilan environnemental
de haut vol.
Le Powerski
MOTEUR
Modèle : 4-TEC® 1503
Cylindrée : 1 494 cc
Puissance : 215 ch/155 ch
Type : 4 temps
Cylindres (par moteur) : 3
Régime max. (par moteur) : (215 ch) - 8 000 tr/mn
(155 ch) - 7 300 tr/mn
DIMENSIONS
Longueur hors-tout : 4,67 m
Largeur : 2,16 m
Tirant d’eau : 30,5 cm
Poids (à sec) : 659 kg
Capacité de rangement : 0,44 m
Nombre de places : 4
Capacité massique : 324 kg
Réservoir de carburant : 79,4 l
Réservoir d’huile : 3,5 l
COULEUR : Jaune/noir - Rouge Viper/noir
Ford Ka II
Une PRESTIGE 50 S
pour la rentrée.
La première Prestige 50 S destinée au
marché guadeloupéen sera mise à l’eau
début septembre. Signée du cabinet
Garroni designers, le nouveau fleuron du
chantier vendéen a beaucoup d’atouts
pour faire sa place sur le marché exclusif
des grands open Sportop. Technique
de pointe, habitabilité remarquable,
carène maison, aménagements 2 ou
3 cabines au choix, sélection de matériaux luxueux pour la déco et
une bi motorisation au top avec les tous nouveaux Volvo D9 de 575
chevaux… les amateurs de grand standing apprécieront ! Rendezvous est pris.
Le chevron passe au Sedan
pétillante Splash.
Avec sa plate-forme empruntée à la sportive Swift, sa hauteur relativement importante de 1,60 m,
sa longueur de 3,70 m et sa largeur de 1,70 m, la Suzuki Splash se veut habitable, confortable
et dotée d’un design moderne. De quoi en faire une petite compacte très polyvalente à même
de satisfaire une clientèle jeune mais exigeante en matière de compacité extérieure, de lignes
modernes, de maniabilité, de performances et de respect de l’environnement. Sans oublier la
sécurité, avec, un équipement de pointe comprenant entre autres six airbags et un correcteur
électronique de trajectoire. Trois moteurs cohabiteront dans la gamme, deux essences et un diesel.
En entrée de gamme, le trois cylindres 12 soupapes de 1.0 l développe la puissance maximale de
65 ch. Le deuxième moteur à essence est un quatre cylindres 16 soupapes de 1.2 l de cylindrée
offrant 86 ch. Ces moteurs à la courbe de couple généreuse à bas et moyens régimes, engendrent
un minimum de frictions internes. Enfin, les clients préférant le diesel pourront opter pour un
4 cylindres 16 soupapes de 1.3 l
doté d’une injection directe par
rampe commune, avec filtre à
particules en option. Ce moteur
développe 75 ch. L’auto sera
dévoilée en première mondiale à
l’automne prochain au Salon de
l’Automobile de Francfort pour
une entrée en concessions dès
le printemps 2008.
COQUE
Polyester renforcé à la fibre de verre composite
Angle de varangue : 20º
En voilà
un engin
à même
d’éclater
pas
mal de
furieux dans
l’archipel…
Imaginez une
planche de surf
équipée d’un
moteur hydrojet
de 45 ch, frisant
les 30 nd, avec laquelle il n’est
plus utile d’attendre « la vague »
pour profiter des joies de la glisse.
A 6800 E pièce, les américains
en sont fous. Pas encore de
distributeur en Guadeloupe, mais
si l’aventure vous tente, toutes les
infos sont disponibles sur : www.
powerski.com
Afin de compléter l’offre C4, déjà composée d’une berline
3 et 5 portes, Citroën commercialisera la C4 Sedan en
Guadeloupe à partir du dernier trimestre 2007. Cette berline
tricorps - format ô combien apprécié sous nos latitudes
- basée sur la plate forme de la C4, bénéficie notamment
d’un empattement allongé qui favorise l’espace aux places
arrières et d’un coffre de grande dimension.
Honda PanEuropean
Disponible en concession, l’impressionnante Honda 1300
PanEuropean. Reine des longs trajets !
Avec ses 4 cylindres en V son large carénage et son assise
confortable, elle est surtout destinée a ceux qui roule beaucoup.
17990 E.
KTM 690 Supermoto
Cette étonnante SM 690 aura la charge de perpétuer la culture
Supermotard de la marque sans trop oublier les nécessités
du quotidien. Avec ses 63 ch. et 152 kg à sec, elle offre une
alternative intéressante pour s’arsouiller sur nos routes !
La Ka était mignonne, mais
loin d’être aussi conviviale et
réussie que son illustre modèle,
la Twingo. 10 ans après son
lancement, Ford remet le
couvert pour nous proposer
sa remplaçante d’ici fin 2008.
Reprenant la même plateforme
que la nouvelle Fiat 500, les
premières indiscrétions du
constructeur suggèrent une Ka
II plus « classique » avec ses
courbes tendues. D’une longueur
ne dépassant pas 3,60m,
cette dernière devrait donc,
contrairement à sa devancière, se
montrer plus généreuse avec les
passagers arrières. Enfin, dès sa
commercialisation, la petite Ford
sera proposée au choix avec une
motorisation diesel ou essence.
Erratum
AUTOMOBILES
il semblerait que le caractère
équivoque du titre de la brève
concernant la future Ligier 4 places
dans notre précédent numéro
ait suscité quelque ambiguïté.
Précisons donc qu’un véhicule
sans permis ne peut transporter
plus de deux personnes. Au-delà,
comme pour cette Ligier 4 places,
voiturette ou non, le permis de
conduire est requis.
7
Porsche Cayenne TURBO
Quatre ans après son lancement, le Cayenne nous revient
« revu et corrigé » pour flirter avec les sommets. La recette
du docteur Porsche ? Un nouveau look, des performances
à la hausse et une consommation en baisse. Tous les atouts
nécessaires pour briguer la première place
du podium…
Attention,
gros calibre
!
Fiche technique
Moteur
Nombre de cylindres : 8
Cylindrée : 4 806 cm³
Puissance : 500 ch
Couple maximum :
71,35 mkg au régime de 2 250 - 4 500 tr/min
es modifications
d’ordre esthétique
concernent
l’extérieur avec des boucliers
élargis, des phares modifiant le
regard de la bête, des feux qui
soulignent ses galbes... Bref,
la Cayenne joue à fond le
registre de la surenchère
face à une concurrence
aiguisée, Q7 et X5 en tête.
Ce remaniement lui permet
de surcroît d’annoncer
de réels progrès en terme
d’aérodynamisme,
en gagnant 4 points sur le Cx
qui passe de 0,39 à 0,35 !
A l’intérieur, le changement est
beaucoup moins flagrant et l’on
cherche en vain les modifications.
Pour autant, l’ambiance chère à
la marque est là. De la planche de
bord atypique et à l’instrumentation
complète, au volant à trois branches
frappé du sceau de Stuttgart,
ou encore au neiman placé à gauche
de la colonne de direction, tradition
oblige. En résumé, l’art de cultiver la
différence pour la métamorphoser en
une distinction ! Magique…
Le standing est assuré par un intérieur
tout cuir du plus bel effet et une liste
d’équipements longue comme le bottin
mondain : jantes alliage de 17 pouces,
autoradio CD à douze haut-parleurs,
climatisation, sièges à réglages
électriques, aide au stationnement
avant et arrière, régulateur de vitesse,
système de navigation GPS…
La totale !
Mais pour les porschistes, c’est la
mécanique qui fait la Porsche. Et là
encore la Cayenne tape dans le mille.
Au sommet de la gamme, le V8 4.6 l
à double Turbo dernier cri avance la
puissance phénoménale de 500 ch et
Performances
Vitesse maximale sur circuit : 275 km/h
Accélération de 0 à 100 km/h : 5,1 s
transmission : 6 rapports tiptronic
Carrosserie
Longueur : 4 795 mm
Largeur : 1 928 mm
Hauteur : 1 694 mm
(suspension pneumatique niveau normal)
Empattement : 2 855 mm
Poids à vide (DIN) : 2 355 kg
Poids total en charge : 3 080 kg
Volume du réservoir : 100 l
Consommation
Cycle mixte (L/ 100 km) : 15 l
Emission CO2 g/km : 358 g
71,35 mkg de couple.
Soit 50 chevaux de plus que
son prédécesseur. Autant vous dire
que nous n’avons pas eu l’impression
de conduire un 4x4, mais plutôt un
missile « sol – sol ». Passé le léger
temps de réponse commun à toutes les
versions et propre à la boîte Tiptronic,
le Cayenne Turbo atomise tout ce qui
roule. Le 0 à 100 km/h est l´affaire de
5,1 secondes, soit un chrono de 911
Carrera 3.6 ! La vitesse maximum laisse
également rêveur avec ses 275 km/h...
Un tempérament explosif qui se paie
cash au chapitre consommation. Moins
qu’avant il est vrai avec l’adoption de
l´injection directe. Le V8 Turbo grimpe
tout de même au-dessus des 15 litres
annoncés par le constructeur, voire
davantage en
ville. A croire que la
SARA a des actions chez
Porsche !
Mais le plus bluffant, une fois
débarrassé de l’appréhension due à
ses mensurations et son poids, c’est la
facilité de prise en main du Cayenne.
Un vrai vélo ! La transmission de la
puissance aux roues est parfaitement
assurée par le système PTM qui, en
mode normal, répartit le couple entre
les roues arrières et avants selon un
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Voilà comment la Cayenne creuse
l’écart avec la concurrence directe
comme avec les grosses berlines de
luxe plus «classique». Elle cultive à
merveille ce dernier paradoxe : être
une voiture exclusive et polyvalente !
Une ubiquité facturée 136.800 E dans
rapport de 62/38. Un embrayage
multidisques permet de transférer,
si besoin, jusqu’à 100 % du couple
vers le pont avant ou le pont arrière.
Le châssis actif couplé à une
suspension pneumatique et un système
de stabilisation anti-roulis distille un
confort, une tenue de route et une
stabilité générale redoutable. Mieux,
en conduite tout-terrain, la garde au
sol variable de 215 à 271 mm permet
d’effacer nombre de difficultés avec
une facilité déconcertante. Même
chaussé en pneus routes, l’électronique
contrôle, veille et assure. De quoi rallier
les plus sceptiques… Enfin, il
y a le freinage, digne d’une Porsche,
« énorme » pour un véhicule de
cette catégorie.
10
cette version Turbo et 105.800 E pour
le Cayenne S. Un peu cher pour mon
banquier qui de toutes façons est
hermétique à toute philosophie,
y compris automobile. A ce propos,
si le votre est plus souple, envoyez moi
un mail…
Nouvelle Mercedes Classe C 200 Kompressor,
née sous une bonne étoile...
Un quart de siècle après la naissance la 190,
première compacte du constructeur allemand,
le best seller de Mercedes fait peau neuve sous le signe
de l’innovation avec un look à deux visages
et des motorisations plus puissantes.
ovatrice en la matière,
la nouvelle Classe C,
propose au choix
deux faces avant aux styles clairement
différenciés. Ainsi, les modèles
Elegance et Classic témoignent d’un
design volontairement conservateur en
arborant la sacro-sainte étoile au bout
du capot, surplombant une calandre
chromée aux lamelles resserrées.
L’Avantgarde que vous avez sous les
yeux tire au contraire son inspiration
des Classe S et CL, et adopte un
regard plus dynamique avec sa
grosse étoile intégrée à la calandre
3 lamelles. Un « détail » pour certains
qui transfigure réellement l’allure de
la voiture, et qui vous l’aurez compris
gagne très nettement les suffrages de
la rédaction. Un bon moyen dans tous
les cas pour s’adresser à des clientèles
bien différentes. Traditionnelle d’un coté
avec une ambiance cossue tournée
vers le confort, plus jeune de l’autre
avec des apparats et un équipement
des plus copieux d’orientation sportive.
Plus grande (4,58m), plus large
(1,77m), cette berline affiche également
un empattement revu à la hausse
(+4,5 cm). Une aubaine pour les
passagers qui disposent désormais
de plus de place à bord. Le tout
sans prendre un kilo sur la balance !
A l’avant, la planche de bord exhibe
des compteurs et autres combinés
d’instrumentation ronds - fond noir,
inscriptions blanches, cerclage chromé
et aiguilles oranges - du plus bel
effet. L’ensemble des commandes de
confort sont regroupées sur le volant
4 branches multifonctions. Un plus
en matière d’ergonomie qui profite au
conducteur et à la sécurité. La Classe
C bénéficie également du nouveau
système de commande par joystick
permettant de gérer les différentes
possibilités multimédia de la voiture.
La sellerie cuir et tissus nids d’abeille,
et plus généralement la finition de
l’habitacle n’appellent aucun reproche.
Simple acabit culturel propre à la
marque… Quant au coffre, à la fois
large et profond, son volume de 475
litres surclasse ses concurrentes
directes, Série 3 et A4 en tête.
Sous le capot de notre
200 Kompressor
Avantgarde, le
4 cylindres suralimenté
de 1 796 cc a pris du
muscle et développe
quelques 184 ch
(soit 21 ch
de plus que
l’ancienne version) et 25,5 mkg de
couple disponibles entre 2800 et
5000 tr/min. Toutefois, reconnaissons
qu’en dessous de 3000 tr/min, il ne
se passe pas grand-chose. La belle
aime être bousculée, ce qui n’est pas
pour nous déplaire ! Les accélérations
sont linéaires, par de franc coup de
pied aux fesses du « Kompressor »,
mais l’agrément est indéniable et c’est
bien l’essentiel ! Les chiffres parlent
d’eux-mêmes : 0 à 10km/h en 8,6s et
235 km/h en pointe. Sur la route, agilité
et confort sont les maîtres mots de ce
nouveau modèle. Il est vrai qu’il reçoit
en série les derniers équipements
technologiques présents sur le marché.
De l’ « Agility Control » qui régule
l’action des amortisseurs en fonction
de la situation de conduite ainsi que la
direction et les commandes de boîte,
à l’ « Adaptive Brake » qui active le
système de freinage dans les situations
critiques, en passant par l’ « ESP » plus
familier au demeurant.
Pour finir, sachez que la nouvelle
Classe C est disponible au prix
d’attaque de 39.900 E pour une
180 Kompressor Classic de 156 ch.
+
distincts,
deux styles
• choix entre
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• niveau te
raisonnable
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-
La nouvelle Classe C
en quelques chiffres
Un cahier des charges de 6.000
pages, 24 millions de kilomètres de
tests (trois fois plus que l’ancienne
version), des voies élargies de 7,6 cm,
une répartition des masses avant/
arrière atteignant quasiment 50/50
et une rigidité tortionnelle accrue de
13%. Autant de chiffres qui ont leurs
importances, c’est la Mercedes la plus
vendue dans le monde. La nouvelle
étoile de la marque n’a donc pas droit
à l’erreur ; la précédente version,
lancée en 2000, s’étant écoulée à
plus de deux millions d’unités dans
le monde dont un bon millier en
Guadeloupe.
Fiche Technique
Moteur : 4 cylindres en ligne
Cylindrée (cm 3) : 1796
Puissance (ch DIN à tr/min) :
184 à 5500
Vitesse maxi (km/h) : 235
Consommation moyenne
(l/100 km) : 7,9
Capacité du réservoir (l) : 66
Longueur (m) : 4,58
Largeur (m) : 1,77
Hauteur (m) : 1,44
Diamètre de braquage (m) : 10,8
Empattement (m) : 2,76
Volume du coffre (l) : 475
Poids à vide (kg) : 1560
13
+
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• Ligne raje
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• br
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sthétiquement,
le style de cette
Fabia tranche donc
complètement avec la précédente
version. Une ligne générale revue et
corrigée, plus moderne avec sa face
avant Roomsterisée, son profil à la ligne
de toit rectiligne cassé net au niveau du
pare-brise qui n’est pas sans rappeler
les Mini et Suzuki Swift, ou encore son
arrière aux attraits de petite Audi…
Comme références, on a vu pire ! Pour
ce qui est de l’harmonie générale, c’est
affaire de goût.
L’intérieur a été revisité dans le
même esprit. La planche de bord
est similaire à celle du Roomster.
L’ensemble inspire le sérieux,
la qualité perçue et les finitions
sont correctes, mais la fantaisie
est restée dans les cartons
des designers. En revanche,
question fonctionnalité,
rien à redire. La position de
conduite se trouve aisément
grâce aux sièges et volant
réglables sur différents
plans. Même chose au
rayon habitabilité où 4
adultes peuvent voyager
confortablement avec leurs
bagages puisque le volume
du coffre gagne 40 litres en passant à
300 litres. D’autant que ce dernier est
aussi pratique que volumineux avec
son cache bagages positionnable sur
deux niveaux, façon PT Cruiser, un plus
pour la modularité.
Des 5 motorisations retenues, nous
avons testé le petit 3 cylindres 1.4 TDI
de 80 ch et sa sonorité si spécifique qui
devrait rencontrer un beau succès en
Guadeloupe. Avec une consommation
moyenne de 4,6 litres, son appétit
d’oiseau assure à la Fabia
une autonomie
Coup de jeune…
La Fabia s’offre une seconde jeunesse avec une ligne directement
inscrite dans le nouveau design lancé avec le Škoda Roomster.
Objectif : s’attirer les faveurs d’une clientèle plus jeune.
proche des 1.000 km ! Couplée
à une boîte de vitesse mécanique
à 5 rapports, cette mécanique agréable
à l’usage permet à la Fabia de se
faufiler brillamment en ville,
son principal terrain de jeu. Sur route,
passé les 100 km/h, on regrettera
l’envolée des décibels tant au niveau
du moteur que des bruits d’airs en
provenance des fenêtres avant. La
tenue de route fait preuve d’une
belle homogénéité, même si certains
trouverons les suspensions un peu
fermes, elles assurent une bonne
stabilité du véhicule tout en limitant la
prise de roulis.
Et si la nouvelle Fabia fait le plein
d’équipements dès l’entrée de
gamme, notre version RS Line
embarque de surcroît les feux
directionnels, l’ABS de série et le
correcteur électronique de trajectoire
ESP, le contrôle de pression de
gonflage des pneus, six airbags plus
deux airbags rideaux et le radar de
stationnement. Proposée en quatre
finitions - Style, Style Pack, Sport et
RS Line - ce large éventail vous est
proposé au prix d’attaque de 13.900 E
pour la 1,2 litre 70 ch Style Pack, notre
modèle essayé grimpant à 18.600 E.
Dans ce registre, la nouvelle Skoda se
révèle être un choix intelligent et
devrait donc faire de nouveaux
adeptes, notamment
auprès d’une clientèle
plus jeune et plus
féminine.
Fiche Technique
Longueur : 3,99 m
Largeur : 1,64 m
Hauteur : 1,50 m
Empattement : 2,46 m
Volume du coffre : 300 l
Moteur : 1.4 TDI 80 ch
Vitesse maxi :
Capacité du réservoir : 45 litres
Consommation mixte : 4,6 l/100 km
Emissions CO2 (g/km) : 129
Poids à vide : 1 170 kg
15
Tourner la page et ranger toutes
ces années dans une boîte à
souvenirs fantastiques : «Oui,
j’ai été pilote, j’ai partagé des
moments merveilleux avec des
gens exceptionnels. Partenaire,
assistance, amis et famille, je
n’oublierai jamais ces instants
intenses et fabuleux».
Aujourd’hui tout va bien pour
Myriam. Vélo, pour la forme, bateau
pour le fun, amis et famille…
Son quotidien lui va bien. Même
si elle suit encore quelques rallyes
à la radio, elle regrette l’époque
des «bastons» mémorables des
années 90. Et si elle ne court plus
sur les routes, elle est restée dans
la sphère automobile. Chez Auto
Guadeloupe depuis 1986, elle est
certainement l’une des femmes les
plus compétentes pour présenter
des «Peugeot» à ses clients. Quant
à remonter dans un baquet ? «Il ne
faut pas tricher, on ne revient pas en
course sans passion. La compétition
automobile n’est pas un simple jeu
idéal pour briller ou fanfaronner en
société. En revanche, à celles qui se
sentent pilote avant d’être femme,
je leur dis foncez ! moi, je laisse très
volontiers la place… »
MYRIAM COYERE, “la Lionne”
hez elle aussi,
quelque chose s’est
brisé ce jour-là. Dans
sa tête défile ces quinze années
dévouées à sa passion.
Sa rencontre avec Max Berville en
1986, dans une cage d’escalier, qui
devient son mentor. Ses débuts à copiloter le maître et ses premiers tours
de voulant sur sa 205 GTI avec Max
à ses côtés, lui mettant des calottes
derrière la tête et la sermonant pour
qu’elle corrige son pilotage.
Pas facile mais certainement le
meilleur professeur qui soit. Toutes
ces années de passion 100 %
dévolues à la course automobile.
Ces heures à chercher des
partenaires, préparer ces voitures,
les kilomètres parcourus pour
apprendre et apprendre encore…
Myriam due mettre toute son
énergie, tout son cœur pour se faire
reconnaître et respecter dans un
milieu réputé «macho». Même si peu
de pilotes battus venaient la féliciter !
Myriam, en course c’était «la Lionne»,
c’est d’ailleurs sous les couleurs de
Peugeot (Auto Guadeloupe) qu’elle
a participé aux plus belles épreuves
- courses de cotes et rallyes Guadeloupéennes. Mais c’est surtout
pour son caractère combatif et
rageur derrière son volant que ce
surnom lui a été donné.
15 ans de sacrifice aussi,
où pour ses anniversaires et
Noëls, elle préférait recevoir
des pièces spéciales
ou des trains de slicks
retaillés pour faire
ses courses.
Retour dans sa
106 Maxi, même jour,
5 minutes plus tard,
Myriam a retrouvé son
calme car dans sa tête,
c’est fini ; envie de vivre
d’autres choses que la
course, tout simplement.
FICHE D’IDENTITÉ
Née a Pointe-À-Pitre
Le 30 nov. 1965
Célibataire
Début en compétition : 1986 (co-pilote) 1988
(pilote)
Dernière apparition en course : Karukéra 2000
1ère voiture de course : Peugeot 205 GTI
Dernière voiture de course : Peugeot 106 Maxi
Voiture au quotidien : Peugeot 207 Griff
Voiture préféré ; forcément une Peugeot…
Pilote préféré : Max BERVILLE évidemment
puis un peu Sébastien LOEB, mais je le connais
moins…
Signe particulier: un peu garçon manqué !
Qualité : Honnête, franche et sincère
Défauts : spontanée,( rire) trop spontanée…
Conseil de Myriam aux futurs pilotes et plus particulièrement aux femmes :
Être pilote, c’est un investissement personnel énorme qui nécessite une passion démesurée.
Si vous n’avez pas le feu sacré, passez votre chemin.
17
Bureau roulant !
À l’instar de certains artisans utilisant leur véhicule
afin de proposer leurs services dans les quartiers
les plus éloignés des grandes communes de
la Guadeloupe, certaines sociétés ont adopté
le principe du «bureau mobile».
du commercial qui l’utilise, tous
se disent agréablement surpris par
l’accueil de la population qui trouve
avec ce système un moyen d’accéder
à nos services sans avoir à perdre
sa journée».
Alors si vous en avez marre d’être
sédentaire, pourquoi ne pas adopter
ce système pour aller au-devant de vos
clients ou simplement pour changer
d’environnement au quotidien...
Merci à Sylvie Pinteur et Philippe Hureau pour
leur disponibilité.
’idée première est
simple : proposer au
plus grand nombre des
services jusqu’alors inaccessibles.
Comment ? En amenant son bureau
vers la clientèle potentielle. Pour ce
faire, il suffit de prendre contact avec
son concessionnaire, de consulter
et d’étudier la liste des véhicules
18
transformables pour que votre choix
soit le plus adapté à votre projet
et voilà qu’une banale camionnette se
métamorphose en «agence immobilière
mobile»… Une salle d’attente,
un bureau, tous deux climatisés, une
terrasse sous le auvent et le tour est
joué ! Et que ce soit de la voix du
responsable de l’enseigne,
!
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Yamaha YZF R1
R1 Super…
Sport
Selon Yamaha, « la puissance sans
agrément n’est pas une fin en soi ».
Les ingénieurs ont donc tablé
sur une répartition plus homogène
de la puissance.
Fiche technique :
• Moteur
- Moteur 4 temps à refroidissement
liquide, 4 cylindres en ligne, double
arbre à cames en tête, 16 soupapes
- Cylindrée 998 cm3
- Alésage x course 77 x 53,6 mm
- Taux de compression 12,7:1
- Puissance maxi 132 kW (180 ch)
sans admission d’air directe
(en France, la puissance maxi
est de 106 ch soit 78 kW)
- Admission Injection électronique
- Démarrage Électrique
• Transmission
- Transmission Boite à 6 rapports
- Transmission finale Chaîne
- Embrayage Multi-disques
à bain d’huile
• Partie cycle
- Cadre Deltabox, aluminium
- Suspension avant Fourche
télescopique inversée Ø 43 mm
- Suspension arrière Bras oscillant
avec suspension progressive
- Frein Av (étrier à x pist.) 2 disques
Ø 310 mm (fixation radiale 6 opp.)
- Frein Ar (étrier à x pist.) 1 disque
Ø 220 mm (2 opp.)
21
’un gabarit similaire
au modèle précédent,
le nouveau 4 cylindres
inaugure le YCC-I (Yamaha Chip
Controlled Intake), un système
de variation, motorisé et contrôlé
électroniquement, de la longueur des
tubulures d’admission de l’air forcé.
Ceci afin d’améliorer la délivrance de
la puissance à tous les régimes : une
tubulure courte améliore le rendement
à haut régime, une longue joue sur les
22
bas et moyens régimes. Concernant
la pure performance, le R1 2007
revendique 180 ch… sauf en France …
Si le cadre semble identique à l’ancien,
il a pourtant été entièrement redessiné
et repensé dans son assemblage pour
bénéficier d’une rigidité accrue, censée
s’adapter aux performances élevées
du moteur.
L’amortisseur arrière, entièrement
réglable, est nouveau. La fourche
change aussi. D’après Yamaha,
elle est « développée pour garantir
une harmonie optimale avec
le nouveau cadre Deltabox et la
nouvelle suspension arrière ».
Sur le papier, ça sonne plutôt bien.
Considérée comme une excellente
freineuse depuis le premier modèle,
la R1 porte la dimension de ses disques
avant à 310 mm, pincés par des étriers
à fixation radiale accueillant 6 pistons.
Esthétiquement, dès 1998, le dessin
du carénage de la R1 lui confère
un succès indéniable. Si elle reste
similaire au précédent millésime,
la ligne générale de la moto évolue
sensiblement. Du museau, redessiné
notamment en fonction du système
YCC-I, jusqu’à la ligne d’échappement,
toujours revue pour des raisons
techniques, l’esthétique évolue par
petites touches. Mais reste une
référence pour ces fans.
merci à Louisio BHIKI, pour sa disponibilité.
SH 300i - le Maxi Mini
Nouveau venu dans la famille des «Maxi-scooter»,
le SH 300i de Honda débarque sur nos routes avec
des arguments de poids pour se tailler
de belles parts de marché : un gabarit proche
d’un scooter 125 classique, avec la tenue
de route et la puissance d’un Maxi.
râce à son poids
contenu de 164kg,
ses grandes roues
et son moteur souple et puissant,
ce scooter se laisse aborder sans
difficulté. Son coffre sous selle et
son Top Case optionnel d’une bonne
contenance parfait son côté pratique.
Rare sur les «Maxi-scoot», le planché
du SH est resté plat, ce qui contribue
grandement à son confort.
Au rayon motorisation, le mono 4temps
de 300cc - issus directement des
moteurs des 250 et 450 CRF de cross
- offre une souplesse et une allonge
remarquable. Bien que couplé à un
variateur qui gomme pratiquement tout
effet de puissance, il suffit d’être attentif
au compteur pour se rendre compte
que l’on arrive très vite au-delà des
100 km/h et autorise des pointes bien
au-dessus des vitesses maxi tolérées
sur nos routes.
La partie cycle fait montre
d’un châssis qui, s’il n’est pas
celui d’une sportive, tient
parfaitement son rôle
pour un usage
urbain. D’autant
que le système
de freinage à
disques est
assisté par un
ABS, arrêtant
sans effort la
machine à la
moindre sollicitation.
Le confort du pilote
comme du passager
est excellent, même si la
proximité de l’échappement
chauffe un poil le pied droit
de ce dernier.
En résumé, ce «Maxi Mini» signé
Honda offre un bon compromis entre
agilité et performance et saura séduire
toute celles et ceux qui recherchent un
moyen confortable et rapide pour se
déplacer. Bien évidement, au regard de
sa cylindrée,
le permis A3
(moto) est requis
pour profiter
de tous ses
avantages.
Fiche technique :
(données constructeur)
• Moteur : Monocylindre refroidi par
eau, 4 T, 1 ACT, 4 soupapes
Cylindrée (al. x cse) : 279.1 cm3 (72 x
68,5 mm)
Puissance maxi ch (kW) : 27 (20) à 8
250 tr/min
Couple maxi m.kg (N.m) : 2,8 (26) à 6
000 tr/min
• Transmission : Variateur et courroie
Partie cycle
Frein avant : 1 disque Ø 256 mm (3
pistons opp.) ABS
Frein arrière : 1 disque Ø 256 mm (1
piston)
• Réservoir : 9 litres
Couvre chef idéal
pour le « scoot », le
casque «ZEUS» ZS 609, qui
offre une bonne protection
grâce a son écran de grande
dimension.
• Poids à sec : 164,7 kg
• Prix (hors immatriculation) : 5 890 E
Option Top Case : 280 E
Prix: 95 E
25
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Lég
1- 1970 - le première YZ250
2- 1974 - YZ 250 «cantilever»
3- 1976 - Bob Hannah la légende du cross US
remporte le titre AMA sur YZ 125
4- 1998 - Première Yamaha de cross 400cc
4 Temps YZ 400 F
5- 2007 - Jérémie SOULEZ, championnat
de Guadeloupe, YZ 450 F
6- 2007 - Michel ANTOINE, championnat
de Guadeloupe, YZ 250 F
5
Nous sommes en 1970, le Motocross - dit MX - est alors dominé par
les marques Européennes Husqvarna, Maïco, CZ et autres KTM. À la fin
de cette année, le Suédois Torsten Hallman, quadruple champion
du monde 250, est remercié par Husqvarna. Il propose alors au Japonais
de Yamaha de développer une vraie gamme MX…
1
2
3
4
’est l’avènement d’une
ère nouvelle pour le
motocross. En effet,
le géant japonais allait offrir une
production de masse permettant
la démocratisation de la discipline.
La gamme YZ vient de voir le jour.
En 1974, boosté par les succès
des YZ, en Europe comme aux ÉtatsUnis, la gamme MX reçoit un système
de suspension arrière inédit pour
la discipline. Nommé «Cantilever»,
ce dernier basé sur le principe
de porte-à-faux permet de rigidifier
le bras oscillant tout en favorisant le
centrage des masses. Son efficacité
fera référence jusqu’à la fin des années
1970. Depuis, toutes les motos de cross
ont adopté le principe du porte-à-faux.
Mais pour rester au top et offrir à ses
pilotes d’usine des machines à gagner,
Yamaha n’a cessé d’innover afin de
faire évoluer les performances de ses
motos de cross. Clapet d’admission,
refroidissement liquide, valves à
l’échappement, permettent au Yam’
de rafler trois titres US et le titre mondial
en 1978. Durant les années 80,
les autres constructeurs emboîtent
le pas et les japonais se lancent dans
une lutte acharnée pour produire des
engins de plus en plus efficaces.
Honda, Kawasaki et Suzuki proposent
des gammes cross adoptant des
procédés proches de ceux développés
par Yamaha.
Il faudra attendre 1998 pour voire
apparaître une autre Yamaha qui
révolutionnera à nouveau le motocross
mondial. À cette époque, la discipline
est exclusivement équipée de moteurs
2 temps. Mais lorsque la Yamaha
YZF 400, à moteur
4 temps course courte, s’impose dans
le championnat US et en mondial 500
l’année suivante, une autre révolution
est en marche. Cette moto
et sa petite sœur 250
sont à l’origine de
la modification du
règlement en MX
qui va permettre
aux motos
4 temps de
250 CC de courir
avec les 125
2 temps, et les
450 CC 4 temps
avec les 250
2 temps.
Aujourd’hui,
fort de 15 titres
mondiaux et 14 titres
US, Yamaha continue son
évolution permanente et propose
une gamme complète d’YZ débutant
pour les Kids avec les 85 2temps, pour
aller jusqu’à la redoutable 450 YZF, en
passant par la très appréciée 250YZF.
37 ans après son entrée officielle dans
l’univers du Motocross, Yamaha et ces
fabuleuses YZ sont aujourd’hui encore
au top de la discipline, très appréciées
des pilotes du monde entier.
Et pour voir évoluer la belle dans
l’archipel, rendez vous le week-end
à Merlande, au Lamentin, pour les voir
évoluer dans les mains expertes de
Jeremie SOULEZ – sur 450 YZF et de Michel ANTOINE – sur YZF 250 lors des manches du championnat
de Guadeloupe de MX ou encore
en statique chez
Motomania.
6
29
« Try Trial »
Peu connu et pratiqué
de manière confidentielle,
le TRIAL a quand même
quelques adeptes
en Guadeloupe. Ils sont une
petite dizaine, dit «trialistes»,
à se retrouver les week-ends
pour arpenter les sentiers
et rechercher des zones
appropriées à la pratique
de leur sport préféré.
ar le trial a cette
particularité de ne pas
avoir la vitesse comme
objectif mais le franchissement pur.
La vitesse d’évolution est donc très
lente et les machines ont une allure
bien singulière dictée par un cahier
des charges spécifique. Roues de
grand diamètre, centre de gravité
abaissé au maximum et, plus
spectaculaire, absence de selle
puisque le trial se pratique debout,
un point c’est tout !
30
Le but du jeu est de franchir les
obstacles les plus abrupts sans
mettre pieds à terre. Tout est question
d’équilibre. Rochers, ravines et mêmes
traversées de rivières, rien n’arrête une
moto de trial bien pilotée. Bien sûr,
cette pratique demande une bonne,
très bonne condition physique,
mais dès lors que la condition
est respectée, il n’est pas rare de
voir évoluer des pilotes ayant la
cinquantaine bien sonnée. Côté
nuisance, les moteurs sont
étudiés pour délivrer toute leur
puissance à bas régime en
travaillant sur le couple. Leur
niveau sonore est donc limité et la
faible vitesse d’évolution n’effraie
ni les personnes ni les vaches qui
se délectent du ballet
interprété par ces drôles de machines.
Alors, si la discipline vous tente,
n’hésitez pas à contacter «Hubert»
qui, en grand passionné, vous donnera
toutes les ficelles pour vous adonner
au Trial.
Budget de départ :
Une machine de trial coûte environ
5 000€ ; comptez 350 E pour
l’équipement et quelques 250 E de plus
pour une assurance Moto Verte.
WELLCRAFT SCARAB 35 SPORT :
Vice extrême !
Cette nouveauté de 35 pieds est
aujourd’hui le navire amiral de la
gamme Scarab, fameuse pour avoir
été le bateau de Don Johnson
dans la série «Miami Vice» et pour
représenter depuis 50 ans le top en
matière de fishing rapide américain.
Peu connu du grand
public sous nos
latitudes, la marque
Wellcraft renoue après une courte
interruption avec le nom Scarab
pour ses opens de pêche sportive
offshore. Difficile, donc, de trouver
une carène en V profond plus marine
que celle d’aujourd’hui, idéale pour
rallier au plus vite les spots de pêche
à quelques 100 milles de la côte.
Avec deux Verado de 275 chevaux
notre bateau frise les 42 noeuds, mais
la motorisation maxi proposée par
le chantier peut atteindre les
900 chevaux avec une triple
motorisation hors bord de
300 ch ! De quoi assouvir
la sensation de puissance
que dégage un tel engin…
Forte de ses 550 ch, cette unité trace
sa route sans se soucier du clapot
tant la carène fait preuve de qualités
époustouflantes et finalement le
plus dur est encore de s’accrocher
pour rester à bord ! Puisque nous y
sommes, signalons que le pont est
bien dégagé, facilitant
la circulation autour de la console
centrale, coiffée d’un superbe T
Top, qui abrite par ailleurs un wc à
dépression. Comme prévu, Wellcraft
fait la part belle à l’équipement de
pêche. Un grand vivier de 150 litres
prend place derrière le leaning
post. Un second avec évier et prise
d’eau sous pression se cache dans
l’épaisseur du tableau. Bref, pas
de place pour le hasard, c’est pro,
fonctionnel et cossu. Des boîtes à
leurres, divers rangements ainsi
qu’une cale pour entreposer les
cannes complètent l’aménagement.
Enfin presque puisque ce cuddy
reçoit sur l’avant une petite cabine.
A l’intérieur un grand couchage pour
deux personnes avec un confort et
une finition soignée.
La dotation de l’équipement en
standard se montre généreuse :
T Top rigide ou en toile au choix,
+ : carène exceptionnelle,
performances, équipement
et finition
- : prix, consommation
en triple motorisation
Fiche technique :
LOA = 10,76 m
Bau maxi = 3,02 m
V = 23°
Poids à vide sans moteur : 3992 Kg
Capacité carburant : 1514 L
Capacité eau : 49,21 L
Tirant d’eau moteur baissés : 0,84 m
- moteurs levés : 0,58 m
Couchage : 2 personnes
Motorisation :
Mercury Vérado 275 ch (x 2)
33
taquets inox rétractables, passe
coques inox, pompe eau de mer,
douche de pont, sièges leaning
post relevables, banquette arrière
relevable, coussins d’assise, WC
chimique, chargeur de batteries
30 amp, radio cd MP3, flaps avec
indicateurs, chauffe eau, lumières
de courtoisies… La version de notre
essai est équipée d’une pléthore
d’options complémentaires comme
la climatisation 5000 BTU, un groupe
électrogène 4 Kwa, des sièges et
banquettes additionnelles, l’échelle
de bain amovible renforcée, un rail
de protection inox-gomme, un pack
électronique 2 Raymarine C120, un
sondeur, une VHF, un set de porte
cannes supplémentaire sur tableau
arrière, des flaps deluxe compétition,
un guindeau électrique et pour finir
une coque de couleur avec marquage
décoratif du nom du bateau. Ouf !
Les fans guadeloupéens de fishing
offshore tiennent désormais leur
unité haut de gamme. Dans sa
version de base avec 2 Verado de
225 ch, le Scarab 35 est disponible
à partir de 159.000 E (rendu TTC
en Guadeloupe) ; le modèle Sport
(cuddy cabine) « full option » présenté
flirte avec les 196 000 euros (rendu
TTC à Pointe-à-Pitre). La qualité,
l’agrément et les performances de
cette unité « extrême » par excellence
ont un prix, certes, mais au regard
de la concurrence ce dernier est
bien moins explosif qu’il n’y parait.
D’autant qu’il inclut une garantie
allant jusqu’à 10 ans pour les
éléments structurels coque, tableau
arrière et liaison coque-pont.
Bénéteau Flyer 750 Open,
Avec sa fameuse carène Air-Step inaugurée sur ce
750, Bénéteau prend le pari de réduire les impacts
pour un meilleur confort à bord, tout en gagnant en
performances et en consommant moins ! Il n’en fallait
pas moins pour attirer l’attention de toute l’équipe,
prompte à vérifier ces dires au cours d’une rapide
sortie en mer. Embarquement immédiat…
n premier regard sur
le Flyer 750 suffit pour
avancer sans risque
que nous sommes face à une unité
qui à du caractère. Une impression
confortée par sa livrée blanche
rehaussée d’un stripping rouge et gris
résolument sportif. Une fois à bord,
l’espace et la largeur du cockpit laissent
présager d’un programme bien plus
polyvalent qu’il n’y parait. Le plan de
pont très protégé par de haut francsbords comporte une banquette en arc
de cercle ceinturant l’avant, idéale pour
manger en famille autour d’une table
revue et corrigée par le propriétaire.
Cette dernière s’abaisse et reçoit un
coussin supplémentaire, faisant place à
un grand bain de soleil, parfait pour le
farniente. Une seconde banquette est
adossée au tableau arrière.
De chaque côté de ce dernier, un
portillon permet d’accéder à une
plateforme recouvert d’un petit
caillebotis en teck. L’une d’elles
renferme l’échelle de bain télescopique
qui facilite l’accès à la mer. De la place
dans ce grand open donc, jusque dans
la console centrale qui dissimule une
cabine d’appoint dotée de banquettes
et de toilettes. Sans être exhaustif,
l’aménagement extérieur se montre
correct et les amateurs de pêche
apprécieront le porte-cannes et le
bac à poisson livrés en
standard. Notre version dispose en
plus d’un ingénieux taux en deux
parties de belle facture, fait sur mesure
chez Caraïbe Covering à la demande
du propriétaire. Conçu pour couvrir
la totalité du bateau, il retombe
généreusement de part et d’autre afin
de protéger, du soleil comme de la
pluie, le salon avant et la banquette
arrière. Un plus indéniable pour le
confort lorsqu’on part en virée le
week-end sur Caret ou Fajou. Autres
bons points, la finition générale est du
genre soignée et l’ambiance cossue,
en accord total avec la décoration et
l’agencement du bateau. Bien calé sur
le leaning-post, la position de conduite
se trouve naturellement. Le bloc réservé
à l’instrumentation, très rationnel,
Fiche technique
Longueur : 7,20m
Largeur : 2,53m
Poids : 1,8t
Puissance maxi : 300ch
Capacité de carburant : 285l
Catégorie de navigation : C/8 pers.
Vitesse maxi : 43 nds
Consommation moyenne : 40l/h
et la bonne disposition des manettes de
gaz facilite une rapide prise en main du
bateau. De part et d’autre du tableau
de bord et de la descente, de solides
mains courantes revêtues de cuir rouge
ajoutent une touche de sportivité. Une
griffe déjà fortement présente grâce
au volant sport cuir et alu, à
l’habillage de la planche
de bord façon carbone
ou encore à la
petite casquette
en pvc fumé
qui chapote
le tout.
Dernière
pierre à
l’édifice,
une sellerie
cuir bi-ton
rouge et crème
du meilleur effet.
Au chapitre des
performances, rien
à redire puisque l’on
grimpe aisément pour
atteindre les 40 nœuds avec
notre bi-motorisation Yamaha de
230 ch au total. La consommation en
vitesse de croisière demeure contenue
avec une moyenne de 40 l/h. En mer,
l’effet Air-Step est bien palpable. L’air
qui s’engouffre dans les deux écopes
situées de part et d’autre du moulage
intérieur de la coque s’introduit au
niveau du redan de la carène, assurant
une diminution des impacts avec l’eau
et une maniabilité redoutable. Même
dans le clapot, le Flyer 750 retombe
bien. Les flaps compensent l’assiette
de notre bateau pour lui offrir une
stabilité « aux petits oignons.»
Bref, le comportement est étonnant,
voir jouissif !
Au final, cette nouveauté Bénéteau
est une très bonne surprise.
Multiprogramme, conviviale et
familiale par excellence, elle propose
ça plane pour lui !!!
un compromis idéal pour celles et
ceux qui souhaitent ne rien sacrifier
aux plaisirs de la pêche, comme aux
sorties en famille. Et puisqu’une bonne
nouvelle n’arrive jamais seule, sachez
que jusqu’au 31 août une remise de
25% par rapport au Tarif 2007 permet
à notre Flyer 750 Open (modèle 2008),
équipé de 2 moteur 4temps de115ch,
d’afficher le prix canon de 53.179 E
(hors options.)
+ : carène performante et confortable
à la fois, plan de pont conviviale,
volume intérieur de la console,
réservoir carburant en pvc évitant la
condensation
: table d’origine un peu petite.
-
37
La
SNSM met en avant la
“Charte du Citoyen de la Mer”
La mer reste encore très largement un espace de liberté, faiblement
réglementé et accessible à tous. Pour préserver ce trésor, les Sauveteurs
en Mer s’engagent à promouvoir auprès de tous ceux qui la pratiquent
dans notre bel archipel, régulièrement ou occasionnellement, au large ou à
partir du littoral, une évolution des comportements fondée sur les valeurs
fondamentales du “Citoyen de la Mer” : Responsabilité, Solidarité, Respect.
Pour adhérer à cette charte : http://www.snsm.net/charte/charte.html
Les dix commandements
du Citoyen de la Mer :
Le citoyen de la mer responsable :
1- S’informe au mieux du milieu maritime qu’il va pratiquer :
météorologie, marées, courants, hydrographie, récifs,
phénomènes particuliers locaux, réglementations spécifiques...
Que ce soit ponctuellement - lors de l’achat d’un véhicule
d’occasion - ou plus généralement dans le cadre de l’entretien
courant de votre voiture, faire le tour de vos pneumatiques est
essentiel pour vous garantir une tenue de route et un niveau
de sécurité maximal.
Première chose à contrôler si l’auto
n’est pas achetée neuve en concession,
la dimension recommandée par le
constructeur. Des pneus trop gros ou
trop bas, faisant travailler les trains
différemment de l’utilisation prévue par
le constructeur, entraînent forcément
des modifications sur le comportement
du véhicule. En effet, si des pneus plus
larges donnent une meilleure accroche
en courbe, ils facilitent aussi les
décrochages et glissades sur chaussée
humide ou à haute vitesse.
Les performances pures sont
revues à la baisse alors qu’une
surconsommation de carburant est
prévisible. Pour être sûr de la bonne
dimension, consultez le manuel
d’instructions fourni par le constructeur.
Lors de la vérification de la pression
des pneus, profitez de l’occasion
pour contrôler l’usure de la bande
de roulement. Des indicateurs TWI,
ou une petite flèche, placés sur les
flancs des pneus signalent les témoins
2- Est conscient de ses possibilités et de ses limites.
3- S’il part en mer, connaît et maîtrise l’engin nautique qu’il met en oeuvre, ses
caractéristiques de tenue de mer, ses règles de conduite, ses installations de
sécurité. A partir du littoral il s’informe des consignes de sécurité en vigueur
localement.
4- Connaît l’état de préparation de son équipage et s’assure de son équipement
de sécurité individuelle adapté aux conditions de pratique de la mer.
Le citoyen de la mer solidaire :
5- Se prépare à l’éventualité de devenir lui-même un sauveteur ;
dans cette perspective, il s’informe sur les contacts à prendre
pour alerter les secours et connaît les premiers gestes
qui sauvent.
6- Surveille son environnement lorsqu’il est en mer, de manière
à détecter rapidement toute anomalie ou tout danger affectant
une personne en difficulté.
7- Porte spontanément secours aux personnes en difficulté
dans la mesure de ses capacités et donne l’alerte aux services
spécialisés de coordination des opérations de sauvetage.
Le citoyen de la mer respectueux :
8- Entretient sa connaissance sur les habitudes et contraintes
des autres acteurs qui pratiquent son environnement maritime.
9- Ne se départit jamais de sa courtoisie dans ses contacts
avec eux.
10- Respecte scrupuleusement l’environnement.
1.6 millimètres. En dessous, vous êtes
hors la loi et jouez surtout avec
votre sécurité.
L’état de vos pneumatiques peut
parfois être révélateur d’autres maux
présents sur votre auto. Voici les
exemples les plus fréquents :
• Bords du pneu usés : surcharge,
pression insuffisante ou conduite
sportive.
• Bande de roulement usée au milieu :
jantes inadaptées (étroite) ou pression
trop élevée.
LE TOUR DU PNEU
d’usure. Cette dernière ne doit jamais
atteindre les marqueurs placés au fond
des sculptures et doit être régulière
sur toute la surface. Rappelons que
la hauteur légale minimum est de
Astuce, « le coup de la pièce »
Si vous ne voyez pas les indicateurs TWI, pour savoir si l’usure de vos
pneus est au dessus ou en deçà du minimum légal (1,6 mm), placez une
pièce de 1 € entre les rainures en la calant bien dans le fond du pneu. Si le
bord intérieur du cerclage doré dépasse, vous êtes hors norme. Vous savez
ce qui vous reste à faire…
• Hernie sur le flanc: rupture de la
structure de carcasse.
• Usure régulière sur un seul côté:
suspension fatiguée ou carrossage
à régler.
• Usure irrégulière sur un côté:
parallélisme à revoir.
• Usure localisée (vagues, plats) :
jeu dans la direction, jante ou pneu mal
centrés, amortisseur ou équilibrage
défectueux, coup de frein brutal.
Magellan eXplorist 100,
le GPS accessible
Vous recherchez un
appareil tout temps
capable de vous donner
la position, la vitesse
et le cap, le tout à prix
serré ? L’eXplorist 100
est fait pour vous. Ce
modèle d’entrée de gamme
Garmin dispose d’un écran
monochrome de 46X36mm
et d’une touche unique donnant
accès à toutes les fonctions
pour une plus grande facilité
d’utilisation. Il offre également
la possibilité de programmer
20 routes et contient 8 écrans de
navigation dont 4 programmables.
Son alimentation indépendante
grâce à 2 piles AA autorise une
autonomie de 18h en continu.
Cerise sur le gâteau, l’appareil est
étanche (IPX7) et flotte en cas de
maladresse. Son « petit » prix :
139 E - Pochon, marina BDF.
Gilet, du nouveau pour
les enfants
Déchiffrer un pneu
(exemple : Tubeless 205/50/r15 -’ 82 h.)
Le type : Tubeless, littéralement
« pneu sans chambre à air » au
contraire des pneus «Tube type»
équipés de cette dernière
La largeur : 205 mm.
Le rapport hauteur/largeur :
pourcentage entre la hauteur du flanc
et la largeur du pneu, il est ici de 50%
La structure : la lettre R est
l’abréviation du mot radial
Le diamètre intérieur : exprimé en
pouces, il correspond normalement
au diamètre de la jante
Le sens de rotation : certains pneus
sont unidirectionnels, cette flèche
indique donc l’avant du véhicule
L’indice de charge : important pour
les poids lourds, camionnettes, gros
4X4 et autres monospaces
L’indice de vitesse : il indique la
vitesse maximale pour laquelle la
résistance du pneu est garantie.
Dans le cas présent 210 km/
h. Cette mesure croissante
dont la première lettre est le
J (100 km/h), grimpe par
tranche de 10 km/h jusqu’à la
lettre Z
(+ de 240 km/h)
Le Shorty 100 signé Four Water
propose un concept novateur en
la matière puisqu’il intègre une
culotte au traditionnel gilet pour
plus de sécurité et de confort.
Ainsi, ce dernier ne remonte plus
jusqu’aux oreilles. Son intérieur en
néoprène et tissu mesh favorise
l’évacuation et le séchage de
l’eau. La poignée de récupération
sur le col rassurera les parents
qui naviguent avec des jeunes
enfants. Enfin, trois tailles sont
proposées au catalogue en
fonction du poids de l’enfant (mini
10 kg/maxi 30 kg.) Plus d’infos
sur : www.clop.fr
39
« Ca y est, j’ai le côtier ! »
Voilà la phrase libératrice la plus entendue ce matin
là, vers 11h15, à la Marina de Bas du Fort. Il faut dire
que les douze éléments perturbateurs, tous membres
de la dernière session de l’Ecole de Navigation
Luc Coquelin, arboraient fièrement le petit papier
bleu obtenu quelques instants plus tôt, après deux
semaines de labeur et d’angoisses. Flash back…
vec un terrain de jeu
comme l’archipel,
difficile de ne pas
craquer à la tentation des plaisirs
nautiques. C’est un peu pour cette
même raison que nous étions tous réuni
en ce premier lundi du mois
au pied de l’école de navigation.
Quelques minutes pour se découvrir,
se filer des tuyaux, bref décompresser
avant de faire le grand saut vers
l’inconnu, la grande aventure de la
mer ! Certes par la petite porte de notre
salle de cours, mais il faut un début
à tout et nous avions fait le premier
Tarif :
La formation globale dispensée par notre
école a coûté 290 E. Elle comprend deux
sessions de 3h pour la pratique - voir
plus si besoin, Luc et Chantal ne sont
pas avares de leur temps et préfèrent
avoir des élèves à l’aise « car on ne
plaisante pas avec la mer ! »
- et six cours du soir de 2h pour la partie
théorique. A ce prix, ajoutons celui des
timbres fiscaux, 38 E de frais de passage
d’examen et 60 E pour l’obtention du
permis. Au rayon fourniture, un manuel
de base pour l’apprentissage du code
est requis (15 E en librairie.)
pas, peut être le plus important, celui
de s’inscrire pour passer le « côtier ».
Le cours commence, après une brève
présentation de Luc et Chantal, nos
deux professeurs, on entre dans le vif
du sujet. Sympa mais laborieux ! 2h sur
la terminologie de base, le balisage,
etc. Curieuse sensation en fin de
séance, croulant sous le flot d’infos
ingurgitées une question se pose sur
le chemin du retour : comment vais-je
assimiler les 206 pages du Code en
deux semaines ! La nuit porte conseil…
Le lendemain, même lieu, même heure,
rebelotte avec les feux, les signaux
sonores... On prend ses marques. Il faut
dire que la méthode employée par Luc
et Chantal, notre team pédagogique
bicéphale, est redoutable. Le cours
magistral sur DVD défile d’abord sur
l’écran, avant d’être repris et décortiqué
au tableau. De cette manière,
rien n’est oublié et chacun peut
mémoriser les choses selon ses
habitudes : visuelle, scolaire,
mémotechnique ou encore par le
biais de l’anecdote ou du vécu, dont
Luc et Chantal ne sont pas avares.
Diablement efficace ! Les cours
s’enchaînent en alternance avec la
pratique pour mettre à profit nos acquis
Et c’est avec le cœur gros mais rempli
de satisfaction qu’on se dit « salut, à
bientôt ! », ce matin là, vers 11h15,
le permis en poche, avec l’impression
de refermer trop vite le livre de cette
courte épopée. « La porte est toujours
ouverte, passez quand vous voulez ! »
lancent Chantal et Luc, en regardant
la meute de jeunes loups – de mer
– s’éloigner, rêvant de nouvelles
aventures... « Le hauturier » par
exemple ! Pour certains, c’est l’escale
suivante, une évidence. Sous la coupe
du team Coquelin, dernière certitude !
théoriques. Là encore, des moments
mémorables emprunts de convivialité,
de solidarité, d’esprits de corps : les
premiers tours d’hélices à la barre,
suivre un cap, manoeuvre de « l’homme
à la mer »… le rêve se profile. Nous
voilà déjà en deuxième semaine, les
cours du soir se font désormais autour
des QCM de préparation à l’épreuve
théorique. Toujours dans cette
ambiance chaleureuse, détendue et
paradoxalement studieuse. Les tests
blancs s’enchaînent, sans compter :
« on a encore oublié la pendule, mais
ça commence à sentir bon, vous êtes
prêt ! » Dixit Luc. Jour J-1, l’exam’
se profile et une petite matinée de
perfectionnement à la barre nous est
proposée par le staff ! 3h de bonheur
où le plaisir prend le pas sur les
automatismes naturellement. Cette fois
c’est sûr, le déclic s’est produit, nous
aussi on y croit et l’appréhension du
premier cours semble déjà bien loin.
Le bateau :
Un Fishing 19 Open avec T Top
(ou bimini) obligatoire pour faire passer
le permis. Homologué en catégorie C
pour 8 personnes, avec ses 5, 70 m
de long et son hors bord Suzuki de
140 ch, en plus de son look et de ses
autres caractéristiques, le « Topékol »
correspond à la majorité de l’offre
disponible sur les marchés du neuf,
de l’occasion et de la location. Cette
unité récente et bien entretenue est
fonctionnelle et facile à manoeuvrer.
Il semble donc avantageux de pouvoir
faire ses armes à bord d’un bateau
parfaitement adapté au programme
« plaisance du week-end », répondant
dans 90% des cas aux attentes des
détenteurs du permis côtier
en Guadeloupe.
Le Team :
A la tête de cette école de navigation
Luc et Chantal font figure d’oiseaux
rares. Tout môme, lui rêve déjà de
bateaux ; il rentre à l’école de la
marine marchande à 15 ans et demi
à Saint Malo et ne cessera dès lors
de naviguer, passant des cargos aux
unités de plaisances, pour s’adonner
enfin aux joies de la compét’ à bord de
voiliers avec le brio et le palmarès qu’on
lui connaît. Elle aussi est fascinée par la
mer dès son plus jeune âge et pratique la
voile pour le plaisir.
Elle devient équipière puis skipper
et compte pas moins de 15 transat
à son actif, avec Luc, depuis 1994.
Aujourd’hui, leur objectif commun est de
faire partager un savoir et un amour de
la mer à tous les guadeloupéens aussi
bien dans la plaisance qu’a travers des
formations plus professionnelles. Leur
philosophie : « vivre la mer pleinement !»
En responsabilisant leurs élèves, « pour
que le plaisir soit total, nous souhaitons
qu’ils acquièrent une autonomie
rapidement, sans brûler d’étapes. Voila
pourquoi on ne compte pas nos heures. »
Un bref sondage auprès de ces derniers
dégage les qualités et défauts de ce duo.
Commençons par ce qui fâche. Hormis
une propension à déborder du cadre fixé
par la pendule, rien à signaler !
mais honnêtement qui se plaindrait d’un
tel professionnalisme ? Mieux, tous
pensent que leur connaissance de la mer
ainsi que l’expérience de l’enseignement
et de l’encadrement de Luc sont
des atouts indéniables. La passion
d’apprendre et de transmettre chez ces
deux là est une seconde nature. Dans
des styles très différents, certes, mais
ô combien complémentaires et c’est
là leur force. Du reste, avec un taux de
réussite qui frise les 1OO%, les chiffres
parlent d’eux même ! Savoir, rigueur et
conseils, avec une touche d’humour et
de convivialité, voilà la recette.
Le permis côtier :
Permet de conduire une embarcation
sans limitation de puissance, ni de taille,
à moins de 5 milles d’un abri,
la navigation de nuit est autorisée.
Idéal par la diversité des programmes
qu’il couvre, il semble le plus adapté
à une première approche de la mer en
guadeloupe. Composé de deux modules
(pratique et théorique), faisant l’objet
d’un examen distinct, la réussite à ces
deux épreuves est obligatoire
à l’obtention du précieux papier.
41
Virée à La Biche
près avoir passé
quelques coups de fils
pour me renseigner
sur le sujet, Roger Delacaze me
propose de participer à une excursion
avec un groupe de touriste. Ca tombe
bien, j’avais prévu d’aller à la plage ce
week-end, mais pas forcément
à «Fajou».
Rendez-vous est pris pour dimanche
midi à la «Créole Beach». Après un
briefing expliquant aux participants
le maniement des machines et
les consignes de navigation en
groupe, Valentin et Thierry, nos
accompagnateurs diplômés
- obligatoires pour encadrer ceux qui
n’ont pas le permis - nous invitent
à monter sur les engins. 12h30 :
direction le pont de la Gabarre, puis
la mangrove où nous faisons une
première halte. Thierry en profite
pour nous expliquer avec précision
les bienfaits de cette dernière sur
l’équilibre de l’écosystème.
13h15 : moteur, direction Fajou pour
l’apéro. Le grand cul-de-sac en Jet,
c’est géant. Juste ce qu’il faut de
vagues pour filer un bon 30 nœuds.
Le pied total.
13h45 : Fajou en vue. Sauf que
le dimanche, l’îlet n’a rien d’une
île déserte.
Une centaine de
bateaux encercle
l’île où se retrouvent les
habitués du lieu. Rugby,
foot, grillade et bronzette, et bien
sûr le ti’ punch à volonté. Sauf pour
nous, on reste au jus de fruit car une
randonnée en jet, c’est sportif, donc
pas d’alcool.
14h45 : Apres l’apéro, on ré-enfourche
nos jets direction l’ilet La biche,
où nous attend notre déjeuner. Le lieu
est beaucoup moins fréquenté.
La biche, c’est juste une langue de
sable sur laquelle est érigée à cheval
sur la mer, une case de pêcheurs.
Malgré l’aspect pittoresque du lieu,
cette case propose quand même un
espace abrité où était dressé notre
repas. Pour digérer, petite séance de
plonger pour apprécier la richesse de la
faune et la flore aquatique.
16h30 : c’est déjà l’heure de rentrer.
En fait, cette pause nous a fait assimiler
le fonctionnement de nos jets et pour le
retour, on ouvre tous en grand. La mer
est quasiment plate, juste ce qu’il faut
de clapot pour s’envoyer en l’air,
« le pied. » D’autant que nos montures,
des Yamaha VX 110 et XL 700 sont
parfaitement adaptées à ces conditions
de mer.
17H 15 : on calme le jeu dans la rivière
salée pour arriver « pile poil » en bout
de piste au décollage de l’airbus A 330
d’Air Caraïbes. « Impressionnant !
Heureusement que l’on n’est pas passé
2mn plus tard, le souffle des réacteurs
nous aurait envoyé direct dans
l’écosystème ! »
17h 30 : direction le chenal
de Pointe à Pitre et cap sur Gosier.
Là, les conditions de mer ne sont
plus les mêmes et la courte distance
séparant le chenal de la baie de la
Créole Beach» s’apparente plus à un
rodéo aquatique qu’à une paisible virée.
17h45 : arrivé à la base, on attache
nos montures, rince nos gilets et,
probablement l’instant le plus pénible
de la journée, on rend les coupes
circuit.
L’un des moyens les plus sympas pour
découvrir notre littoral, c’est le scooter des
mers. On y retrouve un peu le feeling d’une
moto, mais sur l’eau. Et si vous ne possédez pas
de machine, de nombreuses sociétés proposent
un large éventail de prestations. De l’initiation
à l’excursion, en passant par les programmes
à la carte.
La journée se termine et pour tous,
une chose est sûre : Le jet est un
moyen exceptionnel pour découvrir
les plus belles facettes du littoral
Guadeloupéen. Rendez-vous pris pour
repartir très vite vers de nouvelles
aventures.
Merci à Valentin FRANC et Thierry
CAPEL pour leur professionnalisme et
leur gentillesse, à Roger DELACAZE
d’Atmosphère pour sa disponibilité
et un grand salut à mes compagnons
de virée.
43
43
ces débuts, la
discipline n’était pas
encore sur toutes
les lèvres. Il fallait user de patience en
attendant l’arrivée des commandes
- parfois plus d’un mois d’attente –
ou faire preuve d’ingéniosité et de
débrouillardise pour réaliser les
pièces dans son garage, en local.
« Ma première auto, une 205 GTI, était
d’origine. A l’époque, je ne jurais que
par les performances et les caractères
d’exclusivité ou d’esthétisme
m’importaient peu. »
Mais l’augmentation des accidents et la
répression des excès de vitesse lui font
changer de fusil d’épaule. Il profite alors
de toute l’expérience acquise au fil du
temps pour mener à bien son nouveau
projet. Une 206 2litres S16 achetée
neuve il y a 8 ans 120.000 francs.
Il définit son style et se met au travail…
Inutile de préciser le nombre d’heures
passées à choisir, adapter ou fabriquer
les pièces qu’il monte le soir ou les
week-end. Et voilà le résultat : nouvelles
jupes avant et arrière, bas de caisse
avec insert chromé sur les pare-chocs,
prise d’air sur le capot, becquet, coffre
lissé, jantes de 18 pouces chaussées
en 215/35, phares Angel Eyes avec
cerclage chromé, feux Cristal, rétro
M3, ligne d’échappement inox avec
double sortie, 4 néons sous la caisse.…
Edouard n’oublie pas de soigner
également la mécanique. Sous le capot,
plus de place, ambiance « usine à gaz »
garantie, avec barre anti rapprochement
réglable, des inserts carbone ou
couleur carrosserie à profusion et
l’indispensable filtre KN ! Un système
de freinage à 4 pistons comme en
« Orange Péyi »
Pour Edouard, 38 ans, le tuning relève
de l’art de vivre qu’il convient de pratiquer
au quotidien ; voilà pourquoi notre homme
entretient sa passion, au jour le jour,
depuis une vingtaine d’année et signe
en point d’orgue une 206 pour le
moins exceptionnelle.
compet’ remplace celui d’origine,
même chose pour la suspension avec
l’adoption d’amortisseurs combinés
filtrés. A bord, même punition
puisque l’intérieur est revu et
corrigé de fond en comble, jugez
plutôt : les portières élytres
s’habillent de cuir et
d’alcantara de couleur
crème, tout comme
les sièges baquet
Sparco, brodés au
prénom de notre
propriétaire
sur les
appuis tête,
la classe !
Plancher,
contres portes
et plafonnier
ont été lissés
en résine et
peints en orange
métallisé. Au
superbe volant
Isotta, digne d’une f1, s’ajoute un
pédalier alu et un bloc
d’instrumentation sur le montant du
pare-brise côté conducteur. Enfin, pour
ce qui est de l’équipement embarqué
son/multimédia, là encore notre ami
Edouard a mis le paquet : autoradio
dvd-dvix, caisson à l’arrière, baffles
au plafond (1000 watt), un ordinateur
avec écran 15’ aux
pieds du passager,
une caméra de
recul et pas moins
de 9 écrans
disséminés dans
la voiture - paresoleil, coffre,
sol, etc. - plus
un dixième
intégré au pare
choc avant du
ce passionné de tuning nous
avoue sa pensée profonde, une
philosophie toute particulière
de la discipline : « il
faut se renouveler
régulièrement car
une voiture n’est
jamais aboutie.
C’est important
pour moi de savoir
qu’il y a toujours
des modifications à
faire. Cette 206 a déjà
connu plusieurs styles
et sera très certainement
différente demain. »
La preuve, il a programmé
d’ici le mois prochain de
changer la sellerie pour une
version tout cuir avec assises
percées d’inspiration Racing,
tellement plus faciles à entretenir
que l’alcantara. Puis il passera
en 19 pouces et dotera la belle
de suspensions à air comprimé.
Une créativité sans fin pour ce
sympathique jusqu’au-boutiste qui
visiblement n’a pas fini de nous
étonner. Alors rendez vous en 2008
pour faire le point cher Edouard
et « keep the feeling » !
véhicule, une première en Guadeloupe !
Seule exception à la règle « self made »,
signée d’un professionnel dans les
petits papiers d’Edouard, la magnifique
peinture orange métal et son stripping
latéral coordonné au V
du capot noir. Coût total de l’opération :
25000 euros ! Ca calme… D’autant que
45
• Epuisette
9,82 e
Un shopping d’été
Longtemps en
tête des ventes
en France,
la Varadero
125 cm3 se veut
valorisante grâce
à son look de
grosse cylindrée.
Equipée du V-twin
de 15 ch refroidi par
eau, sa fiabilité est
remarquable.
consacré au loisir de la pêche,
concocté chez un spécialiste
du « fishing » - Dulac - où d’autres
surprises et conseils en la matière
vous attendent.
Honda 125 Varadero
Rappel :
+ : Certainement le meilleur
125 d’occassion.
- : Trés difficile à trouver
Panier Pièces
(prix : euros H.T.) :
1 plaquette de frein AV : 39,39
1 plaquette de frein AR : 50,63
1 litre d’huile : 6,00
1 filtre à huile : 9,77
2 bougies : 26,96
1 filtre à air : 63,69
1 levier de frein : 16,86
1 levier d’embrayage : 22,99
1 pneu AR : 119,35
1 pneu AV : 101,07
• Bulle d’eau
9,31 e
• Leurre Octopus
1,20 e le paquet de 5
Assurance :
• Canne du bord
26,21 e
• Fil Falcon Titanium
17,23 e la bobine de 600m
1- Personne n’ayant que le permis
auto, depuis 2 ans.
Le véhicule est agé de 3 ans
(année modele 2004)
50% de bonnus
Au tiers sans garantie vol : 479 E/ans
2- Personne ayant le permis auto
et moto , ayant déjà possedé
une moto.
Le véhicule est agé de 3 ans
(année modele 2004)
50% de bonnus
Au tiers sans garantie vol : 260 E/ans
Tarif de l’occasion :
3 000 euros pour un modèle 2004
4 000 euros pour un modèle 2005
46
’équipement complet et
fonctionnel se montre
digne d’une machine de
catégorie supérieure. Elle se distingue
également par un confort de selle
et de suspensions de très bonne
facture. À l’aise en ville où son poids
est compensé par sa maniabilité et
sa hauteur de selle raisonnable, elle
reste accessible au plus grand nombre.
Rien à redire également en matière de
freinage, même si certains reprochent
au simple disque avant de manquer
d’un peu de mordant.
Côté mécanique, malgré une zone
rouge à 11000 tours, le bi de la Varadero
n’est pas un foudre de guerre. Revers
de la médaille lorsque l’on affiche les
mensurations d’une machine de plus
forte cylindrée.
Pour autant, en dépit de ses régimes de
rotations élevés, celle-ci reste sobre et
son réservoir de 17,5 litres autorise une
autonomie impressionnante.
Fiable et sans défaut majeur, cette
125 se révèle au final, sur le marché
de l’occasion, être une excellente
première moto ou pourquoi pas un
second véhicule pour les automobilistes
désireux de mettre le pied à l’étrier
puisque sa cylindrée autorise sa
conduite avec un permis auto de plus
de 2 ans.
Fiche technique Honda
(données constructeur)
Moteur
Type : bicylindre en V refroidi par
eau, 4 T, 1 ACT, 4 soupapes par
cylindre
Cylindrée (al. x cse) : 124,7 cm3
(42x45mm)
Puissance maxi : 15 ch (11kW)
à 8.000 tr/min
Couple maxi : 1,9 m.kg (18N.m)
à 9.000 tr/min
Vitesse maxi : 115 km/h
Démarreur électrique
Transmission
Boîte de vitesses : 5 rapports
Transmission finale par chaîne
Partie-cycle
Frein Av : 1 disque (étrier à x pist.)
Ø 276 mm (2 juxt.)
Frein Ar : 1 disque (étrier à x pist.)
Ø 220 mm
Poids à sec : 149kg
Réservoir (réserve) : 17,5 litres (2)
Conso moyenne : 4 litres
Autonomie : 390 km (+50 km)
47
Tel : 0590 26 61 61
Toyota Hi-Lux, Double cabine,
année 1992, 2.4 Diesel,
178 000 km, Bon état général
9500 E à déb.Tel : 0690 72 19 66
dans
chaque mois
oints
près de 300 p
de dépôts :
auto,
concessions
,
moto, marine
s,
accessoiriste
e,
stations servic
etc, etc...
CONTACTS 74
30
Tél. : 05 90 38
40 19
38
Fax : 05 90
RÉDACTION
om
[email protected]
E. Gruszka : er
om
.c
ivier@mekamag
O. Rateau : ol
MERCIAL
SERVICE COM
.com
fia@mekamag
S. Rateau : so
SECRÉTARIAT
ag.com
leyne@mekam
S. Pierre : shar
Kawasaki KX 65 (motocross 8-10
ans), an 2002, T.B.E,
1 500 E, Tel : 0690 50 03 52
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Dépôt légal à parution
ISSN 1954 - 1627
48
1000 CBRR Repsol 20 000 km
excellent état 9 000 E
Tel : 0690 35 09 11
À Vendre Fourgon Fiat Ducato,
Diesel 2,8l JTD 12m3,
année 2003, 59 000 km
excellent état, première main,
9 800 E, visible à Saint Félix
Tel : 0690 56 26 31
Renault SCENIC noir, an 2005, ess.
15 000 km, 12 000 E
toutes options, cuir,
sous garantie ,
Tel : 0690 84 26 66
Yamaha XJR 1300, 2003,
15 430 km, 6 000 E
Suzuki Gsx 1000, 2003,
10 484 km, 8 999 E
Yamaha Fazer 600 Naked,
9 130 km, 5 999 E
Ducati Monster Dark 750 1998,
52 000 km, 4200 E à débattre .
Tel : 0690 91 89 86
TARIFS (25 mots maxi) :
• Petite annonce : 5 E
• Annonce + photo : 7,50 E
Yamaha YZF - R1, 2003,
8 645 km, 6 000 E
Envoyez vos éléments avec le
règlement à l’ordre de Nuage presse
avant le 25 de chaque mois
Adresse :
Im. Simkel - Bld Houelbourg Jarry
97122 Baie-Mahault
(aucun document n’est retourné)
Clin d’œil
Au terme du dernier concours
de tuning (1er mai à Goyave),
saluons la performance de Felix
Coco et sa splendide A 380,
vainqueur à l’applaudimètre
de la catégorie « Show Tuning ».
Une Saxo que nous aurons
le plaisir de vous présenter
d’un peu plus près dans un
prochain numéro.
se ?
Le modélisme vous interres
pter
Le KCM sera heureux de vous com
381396
0590
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info
.
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• Calendrier
JUILLET
• 1er juillet : Run moto
La rose - Goyave
• 8 juillet : Supermotard (repport de la
course du 24 juin) (jarry - Baie-Mahault)
• 8 juillet : course de côtes
de Caféière moto
• 8 juillet : Circuit de bellevue
courses poursuites sur terre
• 14 et 15 juillet : fishing club : tournois
intra-clubs : spécial ligne fine Côte sous le
vent (renseignement :
www.guadeloupefishingclub.com)
• 15 juillet : Course de côtes de Dolé
• 15 juillet : expo tuning - organisation
Gwadastra et Sensation tuning
(Calbassier - Basse Terre)
• 29 juillet : Run moto
La rose - Goyave
• 29 juillet : guad jet caraïbes :
2eme challenge par équipe de 4
info : 0690623102
SEPTEMBRE
• 9 septembre : course de côtes
de Dolé moto
50
• 9 septembre : circuit de Bellevue
courses poursuites sur terre
• 15/16 septembre : course de côtes
de Bananier
• 16 septembre : motocross Merlande
• 23 septembre : supermotard
(Jarry - Baie-Mahault)
• 30 septembre : course de côtes
de Boromée
• 30 septembre : Run moto
La rose - Goyave
OCTOBRE
• 7 octobre : course de côtes
des Mamelles moto
• 14 octobre : épreuve d’accélération
(Dép./ar. 200 m) Goyave la Rose
• 14 octobre : motocross Merlande
• 21 octobre : supermotard
(jarry - Baie-Mahault)
• 27/28 octobre : Rallye Karukéra (asag)
• 31 octobre : 2éme édition du tournois
internationnal de pêche sportive à la
Marina de PAP (inscription : 0690 55 46 62)
NOVEMBRE
• 1er, 2 et 3 novembre : Suite de la 2éme
édition du tournois internationnal de pêche
sportive à la Marina de PAP
• 11 novembre : motocross Merlande
• 11 novembre : épreuve d’accélération
(Dép./ar. 200 m) Goyave la Rose
• 17/18 novembre : Rallye
sud Basse Terre
• 18 novembre : supermotard
(jarry - Baie-Mahault)
DECEMBRE
• 9 décembre : Run moto
La rose - Goyave
• 16 décembre : motocross Merlande
• Agenda
Clubs & Associations : vous êtes comme
nous passionnés d’auto, de moto,
de bateau, bref de belles mécaniques et
de sport qui s’y rapporte ? Cette rubrique
est la vôtre. Pour nous faire part de votre
actualité, une adresse & un numéro :
[email protected]
Tél : 0590 38 30 74
• Résultats
EPREUVE D’ACCELERATION du 3 juin 07
• Série A :
1er VENTER Pascal sur Ford Sierra
2ème LESI Patrice sur Subaru Impreza
3ème GRAPIN Fabien sur Subaru Impreza
• Série B :
1er NAGAPIN Roby sur Honda Integra
2ème FIGARO Firmin sur Subaru Impreza
3ème MOULA Cédric sur Mitsubishi Lancer
• Série C
1er DE JAHAM Mickaël sur Honda S2000
2ème CHALDER Bénédict sur Peugeot 205
3ème ABSALON Olivier sur Peugeot 106
• Série D
1er QUILLIN Mickaël sur Seat Ibiza
2ème JERENT Saint-Cyr sur Renault R5
3ème CHAVILLE Jean-Marc sur Peugeot 205
MODELISME : challenge dockgames /
kcm : 17/06/07 :
• BIG FOOT : 1er SKEKBOUDOU Olivier
2ème ROSMATE Fabien
3ème MOREL Michel
• TT 1/8e loisir : 1er REYNAULT Bruno
2ème SAADA Bruno
3ème GOSSELIN Nicolas
• TT 1/8e compétition :
1er BLONDIN Frederic
2ème MENAPHRON Max-Henry
3ème ESPIR Chris
MOTO CROSS : 17/06/07 :
• Kilibibi : 1er : MECHIA Mehdi,
2ème : CASTORIX Clarence,
3ème : RESDEDANT Jeffy.
• 85 cc : 1er : PETRELLUZZI Mike,
2ème : ROSAN Nicolas ,
3ème : LATIL Anthony .
• Elite : 1er : LAURENT Cédric,
2ème : SOULEZ Jérémy,
3ème : MATHOURAPARSAD Mael .
• Challenger : 1er : MONTOUT Eric,
2ème : DABRICOT Christophe,
3ème : ROSAY Jean-Yves .
• Classement provisoire
du championnat 2007
Kilibibi : 1 MECHIA M, 2 RATEAU R,
3 CASTORIX C.
85 cc :1 ROSAN N, 2 BOURNOT L,
3. LATIL A.
Elite : 1 LAURENT C, 2 SOULEZ J,
3 VALERIUS O.
Challenger : 1 ANTOINE M, 2 MONTOUT E,
3 LABLANCHE P-J.
RALLYE DES GRANDS FONDS 23-24/06/07
• Classement scratch :
1er PRADEL Frantz - PRADEL Dominique
2ème PARDO Frédéric - Charneau Ludovic
3ème NEGRE Stéphane - BARBIS Laurent
• Vainqueur Groupe A :
PRADEL Frantz - PRADEL Dominique
• Vainqueur Groupe N :
NEGRE Stéphane - BARBIS Laurent
• Vainqueur Groupe F2000 :
NEGRE Henri - GUSTAVE DIT DUFLO Sylvia

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