Le film Tokyo Fiancée, inspiré du livre Ni d`Ève ni d`Adam
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Le film Tokyo Fiancée, inspiré du livre Ni d`Ève ni d`Adam
LE FILM TOKYO FIANCÉE FIANCÉE, INSPIRÉ DU LIVRE NI D’ÈVE NE D’ADAM ADAM AMÉLIE NOTHOMB SYNOPSIS DU LIVRE « Stupeur et tremblements pourrait donner l’impression qu’au qu Japon, à l’âge adulte, j’ai seulement été la plus désastreuse des employés. Ni d’Ève ni d’Adam révélera qu’à la même époque et dans le même lieu, j’ai aussi été la fiancée d’un Tokyoïte très singulier. »2. L'histoire est inspirée de sa vie; vie il a pour cadre le Japon, où Amélie Nothomb vécut durant son enfance. Chronologiquement, il se situe avant, pendant et après les événements relatés dans Stupeur et Tremblements. Tremblements Ni d’Ève ni d’Adam narre l’histoire amoureuse qu’a connue l’auteur avec un jeune Japonais de bonne famille rencontré dans le cadre de ses cours particuliers de français, Rinri va s’éprendre de la jeune Amélie, alors âgée de 21 ans,, qu’avec maladresse il commence par nommer « ma maîtresse » lors d'un de ces cours. » • Ni d’Ève ni d’Adam est sélectionné pour le Prix Goncourt 2007 et pour le Prix Renaudot 2007. • Ni d’Ève ni d’Adam a été récompensé par le Prix de Flore 2007 • Ce roman fait l'objet d'une une adaptation cinématographique de Stefan Liberski, Liberski Tokyo fiancée, avec Pauline Etienne, 2013 Extraits de Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ni_d%27%C3%88ve_ni_d%27Adam CRITIQUES PRESSE « Peut-être être le plus beau de ses romans. Parce qu’elle renoue avec la veine de Stupeur et tremblements,, la plus personnelle, la plus juste. Parce qu’en la lisant, on rit, on pleure, et on n’a qu’une envie : partir découvrir le Japon. » Tatiana de Rosnay « Drôle, étrange, vif… Un régal. » David Foenkinos Extrait de : http://www.amelie-nothomb.com/ http://www.amelie Traductions : Allemand Allema Croate Croat Castillan Camp littéraire de Baie-Comeau, Comeau, janvier 2015 1 TOKYO FIANCÉE. Le mariage d’une d caméra et d’une plume Il y a des films, comme ça, qui appellent à s’ouvrir à l’horizon, à s’initier, à découvrir d’autres cultures. Tokyo Fiancée de Stefan Liberski en fait assurément partie. Lui qui esquissait déjà l’idée du rêve japonais dès son premier film (Bunker ( Paradise avec Jean-Paul Paul Rouve) a atteint son but, voire même sa muse, au prix d’un fort bel effort. Ainsi sa caméra inspirée nous entraîne entraîne-telle sur lles traces d’Amélie Nothomb (le film s’inspire de Ni d’Ève ni d’Adam, roman autobiographique paru en 2007) dans un Japon de carte postale où les mendiants jouent de l’air de guitare, guitare où dès que tu ne travailles pas tu “joues”, à l’heure des chauffe chauffe-pizza et robots commandés (un univers rappelant au loin l’aspect gadget d’un réalisateur comme Michel Gondry). Ainsi, Amélie, dans la fraîcheur des vingt ans, se trouve projetée dans un Japon dont elle est tombée amoureuse. Pour parvenir à mener les deux bouts, elle décide de donner des cours particuliers de Français à la population locale. Une initiative qui va changer sa vie à jamais, lorsqu’elle rencontre Rinri, un jeune Japonais. Coup de foudre à la clé, amour fusionnel et aventures la menant du haut d’un sommet som enneigé à un rude retour en n Europe. Une expérience de l’extérieur, comme de l’intime, qui bouleversera sa vie et ne la laissera pas indemne. Pour le rôle d’Amélie, Liberski a choisi la charmante et pétillante (jamais elle ne l’a autant été) Pauline Étienne. Étienne Une chose est sûre, à mesure des films, elle prend de l’éclat. Et elle s’est prouvé qu’elle pouvait (se) faire rire, après une série de rôles dramatiques et forts. Pauline Camp littéraire de Baie-Comeau, Comeau, janvier 2015 2 Étienne fait ici une Amélie Nothomb parfaite. Ne fut-ce fut ce que par la voix off qui lui fait prendre le ton et la manière de la voix de l’écrivaine, bluffant ! Jolie performance aussi du côté de Taichi Inoue dont c’est la première apparition au cinéma dans le rôle de Rinri, sobre et précis. Si ça ne tient qu’à nous, sa carrière est lancée ! Personnage principal, la musique, elle aussi, joue un rôle majeur. Omniprésente dans les mains Casimir Liberski, elle réussit l’exploit de ne pas être pompante mais de plutôt renforcer l’ouvrage par une légèreté bienvenue, qui colle à l’ensemble. Et, entre une reprise hilarante de Sandra Kim (par la Baby Balloon Ambre Grouwels) et des interludes surréalistes mettant en scène les fantasmes et pensées d’Amélie, Stéfan Liberski signe peut-être être son film le plus inspiré. Rythmé (on lui pardonnera une légère baisse de rythme dans le creux du milieu) et créatif, Tokyo Fiancée est la preuve qu’un film et un livre peuvent sortir renforcés, sans trahir ni le livre, ni le talent de Libe Liberski, un alliage de charme dans une parfaite cohésion. Ces deux-là se sont trouvés. De là à parler de mariage peut peutêtre pas, mais de jolies fiançailles dans le royaume belge du 7ème art. Référence : https://branchesculture.wordpress.com/2014/10/08/tokyo-fiancee https://branchesculture.wordpress.com/2014/10/08/tokyo fiancee-le-mariage-dunecamera-et-dune-plume/ -Voir Voir la bande annonce sur le site - Camp littéraire de Baie-Comeau, Comeau, janvier 2015 3