au sanglier des ardennes - Le Sanglier des Ardennes

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au sanglier des ardennes - Le Sanglier des Ardennes
AU SANGLIER DES ARDENNES
Oignies-en-Thiérache
Gazette n°16 : Automne-Hiver 2009
Belgique-Belgïe
P.P. - P.B.
5600 Philippeville
BC 3742
Editeur responsable : Rudy Buchet,
4, rue Périquet, B-5670 Viroinval
) 060/399 089 - 060/390 294
Le chasseur maudit de Vierves
par Maurice Vandeweyer
Qu’on le veuille ou non, Voltaire
influença une grande partie de la bourgeoisie et de la noblesse par ses écrits.
Par son anticléricalisme, le dix-huitième
siècle sera celui de grands ou de petits
contestataires de l’ordre qu’avait établi la
religion catholique. Faut-il croire que le
petit baron de Vierves avait lu Voltaire ?
Nul ne le sait, mais sa manière de vivre,
ses idées et son comportement auraient
pu le laisser entendre. Il n’était pas foncièrement attaché aux idées nouvelles mais
rien ne prouvait le contraire.
À cette époque encore, les mœurs le
voulaient ainsi, les maîtres s’amusaient et
les paysans travaillaient d’arrache-pied.
Le seigneur de Vierves ne dérogeait pas
à la règle et son plaisir le plus grand, pour
ne pas dire son unique passion, était la
chasse, surtout celle à courre. Il avait à
son service un maître-chien avec lequel
il avait dressé une meute, enviée par
tous ses pairs et qui ne laissait aucune
chance à la bête débusquée. Son rêve
secret, accrocher à son tableau de chasse
la dépouille de la «Blanche-Biche». Une
bête mythique mais que d’aucun avait
rencontré déjà. Il ne désespérait pas de
la croiser lors d’une partie de chasse et
à chaque départ l’espoir naissait au fond
du cœur.
«Un jour», se disait-il, «je finirai bien
par rencontrer ce gibier insaisissable et
le tuer. Foi de Baron ! Je serai alors le
premier. Je promets que le village sera
alors en fête pendant une semaine». Il
se faisait cette promesse comme s’il allait
être récompensé en juste retour mais
jusque là, rien ne s’était passé.
Nous étions fin octobre, les jours
étaient de moins en moins longs et les
soirées de moins en moins courtes. Elles
morfondaient le baron coincé alors en
son château, privé de ses plaisirs cynégétiques quand un jour, entre chien et
loup, son garde chasse arriva haletant
et affairé.
- Seigneur ! Seigneur ! cria-t-il presque.
Je viens de voir à la lueur du soleil
couchant, un animal que j’aurai bien du
mal à décrire.
- Était-il blanc, questionna tout de suite
l’empressé seigneur ?
- Oui, seigneur. Enfin plutôt gris mais il
avait des cors énormes !
- En es-tu sûr, maraud ?
- Oui, seigneur !
- Alors décris-moi la bête, sans rien
omettre, tu entends. Je veux tout savoir
sur elle.
Le garde s’exécuta tandis que le cœur
du baron battait la chamade. Si celui-ci
disait vrai, la «Blanche-Biche» était sur
ses terres. Il ne tenait plus en place. «Et
peste que cette meute !» grogna-t-il en
son for intérieur, «Il faut deux jours pour
la préparer et je meurs d’envie d’aller
déjà la déloger. Là ! Maintenant ! Tout
de suite!»
Il dormit peu la nuit, se voyant cerner la
bête. Aussi, à l’aube, jour de la Toussaint
et s’en souciant comme d’une guigne, il
rassembla son personnel et les exhorta
à faire de leur mieux pour que sa chasse
soit fertile. Chacun avait un travail précis
à effectuer. L’un à panser son meilleur
cheval, l’autre à soigner les chiens, un
autre encore à les dérouiller. Ils avaient la
journée pour que le lendemain, aux aurores, il puisse enfin aller débusquer celle
qu’il attendait depuis si longtemps.
Or, son chapelain ne l’entendait pas de
la même oreille. C’était jour du Seigneur
et il se mit à tancer sévèrement le maître
des lieux.
- Monseigneur, de par ma fonction de
chapelain du château, je me dois de
vous dire qu’il est inconcevable de faire
travailler vos gens un jour consacré
non seulement à Dieu mais aussi à
ses saints. Plutôt que d’être dans vos
écuries, les domestiques devraient être
dans la chapelle, en prière pour louer
notre divin créateur ! Et j’apprends que
vous voulez chasser le jour des morts ?
Ai-je bien entendu ? Cela ne s’est jamais
vu ! Vous savez que vous allez perturber
les âmes errantes et Dieu, même dans
sa toute grande miséricorde aura bien
du mal à pardonner le pécheur que vous
allez devenir.
Le baron ne répondit même pas,
feignant n’avoir rien entendu. Outré
par ce comportement, le chapelain s’en
plaignait à tout qui voulait l’entendre,
maudissant le seigneur des lieux qui
n’avait cure de Dieu. Mais, toute patience
a ses limites et celles du baron n’étaient
pas bien grandes.
- Assez de tes jérémiades de bonne
femme, chapelain ! 2 novembre ou pas,
jour des morts ou pas, j’irai chasser !
C’est ma décision ! La proie annoncée
est trop belle et je ne vais pas la laisser
passer pour des ombres. Que les morts
restent avec les morts et les chapelains
dans leur chapelle ! Suffit, maintenant !
- Mais… Enfin !... Seigneur ! C’est le jour
des morts…
- Et moi, je suis vivant !
- Mais seigneur, j’insiste ! Vous ne
pouvez pas faire fi de la croyance de
vos gens ! Vous savez que les trépassés
reviennent sur les lieux où ils ont vécu.
La meute des chiens va sûrement les
déranger. Je vous en supplie, seigneur,
laissez libres les chemins ! Qu’est-ce
un jour de plus ou de moins alors que
l’éternité vous attend. Ne troublez pas
les morts, seigneur, ils vous nuiront…
- Qu’ils aillent tous au diable !... Et vous
aussi chapelain ! Le seigneur, le maître
de ces lieux, c’est moi ! Et je fais ce que
je veux sur mes terres ! Gare à celui qui
s’y opposerait. Compris !
- Oui, vous êtes le maître, seigneur, mais
attention !...
Le chapelain comprit au regard
du seigneur qu’il ne voulait plus rien
entendre. Il rentra dans ses appartements
en se signant. Le baron, resté seul, était
quand même légèrement troublé par
cette intervention mais pas longtemps,
juste celui qu’il fallu à la «Blanche
Biche» pour revenir à son esprit. «Que
voilà bien des idées puériles», pensa-t-il.
«Et puis, les lois de l’Église ne sont-elles
pas faites pour maintenir le peuple dans
l’ignorance ? Ne suis-je pas le maître
des lieux ? N’ai-je pas tous les droits ?
Quel manant oserait m’interdire pareille
chasse et au nom de quoi ? Ouais !
Le chapelain fait son devoir d’homme
d’église, c’est normal. Heureusement,
quand une bonne gigue se dresse
devant lui à table, il en oublie bien vite les
commandements, va et donne alors son
absolution ! Il est comme tous ceux de
sa race, sa foi s’arrête à son estomac !
Allez ! Ne nous laissons plus distraire !»
Le deux novembre arriva enfin. Il était
déjà réveillé alors que le soleil n’avait
pas laissé percer la moindre lueur à sa
lucarne. Il partit tout de suite aux écuries,
réveillant en passant ses gens. Il avait
décidé de prendre pour seule arme, un
épieu et pour l’accompagner, sa meute,
sans le maître-chien. Sa victoire, il voulait
d’abord la savourer seul.
Dans la cour, il n’y avait pas âme qui
vive si ce n’est le maître-chien, obligé
de par sa fonction. Palefrenier et laquais
restaient cloîtrés, trop peur de commettre
une faute le jour des morts. Bien campé
sur son cheval, l’arme à la main droite, il
piaffait autant que la bête d’impatience
de voir s’ouvrir les portes du château et
de foncer à travers la campagne derrière
sa meute. L’air frais de l’automne le
ravigotait et émoustillait son sang du
chasseur. Il humait à travers le brouillard
l’odeur de sa proie virtuelle.
- La chasse va être bonne, dit le maîtrechien, regardez comme les bêtes sont à
point. Le chef de meute n’en peut plus
d’attendre.
- Moi non plus, dit le baron. Ouvre
les portes et lâche-les que la chasse
commence, on n'a que trop traîné...
Le lourd portail du château grinçait
encore sur ses gonds que le baron
s’élançait au galop, pique en avant et
hurlant : «Sus à la Blanche-Biche !».
Vierves s’éveillait au bruit des sabots
des chevaux sur le grès des pavés et
aux aboiements de la meute. Il n’en avait
que faire. Chiens et monture dévalaient à
bride abattue la pente qui va de Vierves
à Olloy pour bifurquer, une fois en bas,
sur la gauche, vers la forêt. Dans les
chaumières, les paysans, femmes et
enfants se signaient, implorant le pardon
de Dieu pour leur mécréant de maître.
Sûr et certain que Dieu allait le punir.
À peine tourné pour se diriger vers
l’orée, le baron se rendit compte qu’il ne
pouvait continuer. Au travers de la brume
matinale, un homme en bure se tenait
debout, immobile et barrait le passage.
D’où venait ce moinillon ? Que pouvait-il
faire à ces heures dans ce sentier. Il était
imperturbable. Le baron avait beaucoup
de peine à maîtriser son cheval, énervé
par un départ aussi fougueux. Le moine
brandissait la croix du Christ.
- Tu ne passeras pas malheureux
pécheur que tu es ! Oserais-tu en ce jour,
bafouer les lois de Dieu ?
- Qui es-tu moinillon, pour oser ainsi
perturber ma chasse ?
- Qu’importe qui je suis. Je dis qu’on ne
chasse pas le jour des morts !
- Ôte-toi de mon chemin ou je te
pourfends, hurla le baron !
- Rentre chez toi, pécheur ! Il est encore
temps ! Nul ne peut troubler la promenade
des âmes le jour des morts !
- Va, moine ! Je te donne une seconde
chance. Je suis le baron de Vierves
et nul ne peut me contredire sur mes
terres !
- Baron ou manant, tu ne passeras pas !
Le seigneur de Vierves, impatient,
énervé, ne l’écoutait plus. Il siffla entre
ses dents et aussitôt la meute se rua sur
le malheureux moine qui fut déchiqueté
avant même d’avoir pu faire un seul
geste. Pour le baron, ce n’était pas
cruauté mais chose normale quand un
individu quelconque s’opposait à ses
desseins. Le gênant devait disparaître.
La basse besogne des chiens effectuée,
il relança son cheval. La chasse allait
enfin commencer.
À Vierves, les habitants entendaient
de loin le cor de leur seigneur par-dessus
les aboiements des chiens de la meute.
Ils pouvaient suivre la chasse à l’oreille.
Le baron se régalait quand enfin,
le brouillard dissipé laissa apparaître
comme une ouate qui entourait la
forêt. À travers celle-ci, le baron crut
apercevoir l’ombre d’un cerf et plus
assurément celle de la «Blanche-Biche».
Il sonna le cor, lança son cheval et ses
chiens puis disparut dans la brume. Le
galop infernal était commencé. L’ombre
du cerf se dissipait, réapparaissait
pour mieux s’estomper encore puis
réapparaître à nouveau. Le chasseur
n’en pouvait plus de voir ainsi la bête se
jouer de lui. Il était fou jusqu’à en oublier
les anciennes fosses creusées par les
carriers à la recherche de minerais de
fer. Mais, comme rien ne lui faisait peur,
il ne pensait même pas au danger.
Aveuglé par la chimère de la «BlancheBiche» qu’il savait maintenant plus que
réelle, il s’enfonça dans les «fondrys»
sans aucune hésitation. La tragédie ne
dura que quelques secondes. Cheval,
cavalier et chiens fidèles trouvèrent
la mort au fond d’une de celles-ci. Ce
n’est que le lendemain, intrigués du non
retour de leur seigneur que les Viervois
se mirent à sa recherche. Quand ils
découvrirent le drame, des corps à
moitié déchiquetés par la chute, il ne
restait que des lambeaux, des animaux
sauvages étaient venus se rassasier.
Longtemps on parla de ce jour funeste
dans les ménages, le soir au coin du
feu. Les jours, les nuits, les semaines,
les mois puis les saisons passèrent.
D’autres histoires venaient occuper les
soirées quand, le jour des morts, les
habitants entendirent au travers de la
brume de novembre, le son d’un cor
et les jappements de chiens. C’était le
seigneur maudit de Vierves qui revenait.
Ils se signèrent et verrouillèrent leur
porte, priant Dieu de les protéger.
Depuis, à la Toussaint, si vous êtes
à Vierves le jour des morts, et que
vous tendez l’oreille, vous pourrez
peut-être encore entendre le son du
cor et les aboiements. Peut-être ! Car,
dit-on, la télévision aidant, les films
d’épouvante ont eu raison du fantôme
du baron et de sa meute de chiens. Les
ondes hertziennes font de trop grandes
interférences.
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