Cellules souches et vieillissemen
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Cellules souches et vieillissemen
04/02/2014 Capacité régénératrice et vieillissement musculaire chez l’homme Le muscle squelettique adulte est formé de : - Cellules différenciées plurinucléées dont les noyaux sont post-mitotiques : les fibres musculaires - Cellules mononucléées déterminées dont les noyaux sont quiescents : les cellules satellites. -Les cellules satellites sont situées sous la lame basale Elles sont responsables de la croissance musculaire et chez l’adulte de la régénération après lésion (traumatisme, opération, maladie dégénérative) Vincent Mouly Institut de Myologie, Paris [email protected] Myonucleus Evolution en fonction de l’âge Cellule satellite From T.A. Partridge Vieillissement Humain SARCOPENIE 2002 : 21% de la population a 60 ans ou plus 2050 : plus d’un tiers de la population aura 60 ans ou plus Nombreux changements de l’organisme avec l’âge: • masse grasse • masse musculaire et masse osseuse • système immunitaire, mémoire et métabolisme • prévalence de nombreuses maladies • Nombreuses hormones circulantes • Facteurs locaux Impossible d’afficher l’image. Débute à 30 ans S ’accélère après 65 ans masse musculaire force endurance activité enzymatique (d’après Janssen, 2000) 1 04/02/2014 Au niveau cellulaire, la sarcopénie est caractérisée par : Atrophie musculaire liée au vieillissement : Un processus multifactoriel Force musculaire Masse musculaire 20-40% entre 20 et 70-80 ans,≥50% dans la neuvième décade ≥ 50% dans la neuvième décade Surface de section Nombre de fibres 10% à 50 ans,40% à 80 ans (Lexell et al., 1988) Taille des fibres Modification de l’innervation unités motrices (mort des motoneurones) Masse grasse Fibrose ( Synthèse, rigidité musculaire, fragilité musculaire) dégradation des protéines Modifications mitochondriales Une baisse du nombre de fibres Une baisse De la taille des fibres synthèse des protéines mitochondriales activités enzymatiques mitochondriales accumulation de mutations de l’ADN mitochondrial Régénération musculaire et cellules satellites Remplacement cellulaire important Potentiel régénératif fort Cellule satellite quiescente lésion Fibre musculaire Cellule satellite activée Remplacement cellulaire faible Potentiel régénératif fort Activation Remplacement cellulaire faible Potentiel régénératif faible Prolifération Contribution des progéniteurs à l’homéostase et à la réparation Division asymétrique Différenciation Maturation Cellules sanguines foie Epithelium mammaire Petits vaisseaux Epithelium intestinal Muscle squelettique Endothelium vasculaire Pancreas Epiderme Cortico-surrénales Parenchyme pulmonaire cerveau rein Rétine coeur Moelle épinière - Nombre de cellules satellites Capacité Régénératrice - Capacité des cellules satellites a être activées Aproliférer A se différencier Hétérogénéité tissulaire et fonction des progéniteurs pour l’homéostase et la réparation From Rando 2006 Nature In vivo Baisse du nombre de cellules satellites avec l’âge Determination du nombre de cellules satellites par immunofluorescence : Sélection au hasard des zones de comptage Leu-19 / Laminin au moins200 fibres comptées Leu-19, Lam Leu-19, Lam, DAPI 6.8 - 0.8% entre 20 et 83 ans (1 exception : CPM) Age moyen : 68-71 ans n = 4-6 2 04/02/2014 In vivo Nombre de cellules satellites chez les athlètes Prolifération Progéniteur quiescent Différenciation Myoblaste mononucléé Maturation Myotube plurinucléé Fibre régénérée In vitro Modèles in vitro Capacité proliférative des progéniteurs musculaires Prolifération Progéniteur quiescent Rappel : Différenciation Myoblaste mononucléé Maturation -Toutes les cellules somatiques humaines présentent une limite de prolifération (Travaux de Hayflick 1960-1965) -La sénescence proliférative est définie comme l’absence totale de divisions cellulaires pendant 3 semaines en milieu de croissance. Myotube plurinucléé Fibre régénérée Fusion Cellules somatiques Divisions « Les tissus ou organes blessés ne peuvent se réparer d’eux-mêmes indéfiniment car la capacité proliférative des cellules qui les composent est limitée » Sénescence (Weismann,1889) Isolation (explant, enzymes) Prolifération (GF, cytokines) Differenciation (cytokines) jours In vitro Approche in vitro : LA CAPACITE PROLIFERATIVE IN VITRO DES CELLULES SATELLITES HUMAINES EST LIMITEE ET VARIE AVEC L ’AGE -Etablissement de cultures primaires à partir de biopsies n div -Mesure du nombre de divisions moyen réalisé à chaque « passage » selon la formule log (N/n)/log2 ou N est le nombre compté et n le nombre ensemencé initialement. 70 Age (Q) Divisions 60 5j 5m 9 ans 15 ans 26 ans 28 ans 31 ans 81 ans 86 ans 50 -Détermination du nombre maximal de divisions que les cultures font in vitro avant d’atteindre la sénescence proliférative. 40 30 5 jours 5 mois 26 ans 81 ans 86 ans 20 10 0 Isolement (explants ou enzymes)) 20 40 60 80 100 55-65 46 30 28 19 21 17 15 15 120 jours Prolifération (GF, cytokines) Le nombre de divisions mesuré n’est pas absolu, mais peut être comparatif 3 04/02/2014 In vitro Potentiel myogénique des myoblastes sénescents LA CAPACITE PROLIFERATIVE IN VITRO DES CELLULES SATELLITES HUMAINES EST LIMITEE ET VARIE AVEC L ’AGE Desmine Hoescht Desmine & Hoescht n div 70 Age (Q) Divisions 60 5j 5m 9 ans 15 ans 26 ans 28 ans 31 ans 81 ans 86 ans 50 40 30 5 jours 5 mois 26 ans 81 ans 86 ans 20 10 0 20 40 60 80 Et en situation pathologique 100 jeunes 55-65 46 30 28 19 21 17 15 15 sénescentes 120 jours DMD : 7 ans (Q) 19 11 ans(Q) 14 PV 5 -Les myoblastes sénescents ne peuvent pas initier de cycle cellulaire mais peuvent toujours se différencier - Les myotubes formés par les myoblastes sénescents sont plus petits (93.2 % des myotubes jeunes, mais aucun des myotubes sénescents, contiennent plus de 50 noyaux) Modification du programme myogénique dans les myoblastes sénescents Régénération & Cellule Satellite Cellule Satellite Myoblaste Myofibre Sénescent Jeune MyoD MyoD DO 450 nm 1.5 Y S 1.0 Myogénine Quiescente Activée Proliferative 0.5 Differentiée 0.0 0 8 16 48 hours p57 Pax7 Myf5 DO 450 nm 3 Myf5 Emerine Y S 2 1 MyoD 0 15 30 45 60 15 30 45 60 0 Différenciation(heures) Myogenin 0 8 16 48 hours Western blot (D’après P.S. Zammit) Délai et diminution del’expression de MyoD, Myogénine et p57 Théorie de l’horloge mitotique Diminution de l’activité de liaison àl’AND de MyoDet Myf5 Télomères La durée de la vie d’une cellule est déterminée par le nombre de divisions cellulaires qui a été effectué et non par le temps chronologique passé en culture Composition DNA : séquences répétées TTAGGG - non codantes Double brin + 3’ simple brin à l’extrémité + protéines Participe à la structure des chromosomes et à leur stabilité (d’après de Lange et al., 2005) Protection de l’extrémité 3’ simple brin contre les fusions chromosomiques (structure T-loop) Télomères (from Ramirez et al., 2003) 4 04/02/2014 Sénescence réplicative: Théorie de l’horloge mitotique Sénescence réplicative: Théorie de l’horloge mitotique Divisions Taille critique Sénescence Réplication incomplète Raccourcissement des télomères jours Perte télomérique / division cellulaire Cellules somatiques Réplication incomplète Southern blot Taille des télomères Kb (d’après Campisi et al., 2001) Réplication de l’ADN = bidirectionnelle & ADN polymérase = unidirectionnelle synthétise de 5’ 3’ 50 à 200 bp de chaque chromosome non répliquées / division 6 Kb Taille critique Sénescence (fibroblastes) Nombre de divisions In vivo Athletes: Longueurs télomériques et nombre de cellules satellites LES TELOMERES RACCOURCISSENT REGULIEREMENT AU COURS DES DIVISIONS CELLULAIRES TRF m oyens (Kb ) 20 15 10 5 j 5 m. 2 6 ans 2 8 ans 8 1 ans 5 0 0 10 20 30 40 50 60 Exercise intensif: - TRFmin plus courts - Nombre plus élevé de cellules satellites 70 n divisions In vivo Les télomères mesurés in vivo sont dramatiquement plus courts dans les dystrophies TELOMERES ET TELOMERASE Il existe un mécanisme pour remettre l’horloge mitotique à zéro, par exemple à chaque génération : C’est la télomerase qui allonge les télomères Min TRF length 8 : Au cours du développement 7 - Les télomères sont longs - La télomèrase est active dans les cellules précoces 6 : Après la naissance et chez l'adulte 5 - Les télomères raccourcissent - La télomérase est inactive sauf : 4 dans certains tissus prolifératifs Control Muscular dystrophies 3 (couche basale de la peau, crypte intestinale, etc...) dans la lignée germinale 2 0 5 10 15 (n = 21), r = 0.64, m = -13 bp/ y. 20 25 30 Age - La télomèrase est active dans la grande majorité des tumeurs invasives ( n = 11) , r = 0.76, m = -164 bp/ y. 5 04/02/2014 La sénescence cellulaire peut être induite par des voies multiples Peut-on manipuler la capacité proliférative ? La télomérase exogène peut augmenter la capacité proliferative, mais n’est pas suffisante pour immortaliser les myoblastes humains Impossible d’afficher l’image. instabilité de la chromatine Signaux de stress Arrêt irréversible du cycle cellulaire Oncogènes, mutations oncogéniques Cassures d’ADN non télomérique Télomères courts/dysfonctionnels (Sénescence réplicative) Il existe un mécanisme supplémentaire qui provoque un arret prolifératif dominant sur l’horloge mitotique Cycle Cellulaire Voies impliquées dans l’arrêt l’arrêt prolifératif des myoblastes humains Telomerase pas d’immortalisation X Longueur télomérique critique = = p53 p21 p16INK4a Cycline D M CdK4/6 E2F Rb Cycline CDK X P P E2F Stress p16 + INK4 p18INK4c Sortie du cycle en G1 P p15INK4b G2 R G1 p19INK4d p21CIP1 S p27KIP1 Rb CIP-KIP p57KIP2 p16 se lie à cdk4 pour inhiber la progression du cycle cellulaire Implication de la voie p16? Implication de la voie p16 dans l’arrêt l’arrêt prolifératif? Inhibition de la voie p16 par surexpression de Cdk4 clonage + hTERT HSK LHCN LHCNM2 (donneur adulte)+ p16 population Clone myogénique Cdk-4 PDL TRF (Kb) 100 10.0 Control-CdK4 75 7.5 Control 50 Les myoblastes immortalisés ont dépassé les 200 divisions Pas de tumeurs observées in vivo. Telomeres = 18-20 kb 5.0 2.5 25 00 ** Taille critique 0.0 100 200 300 400 jours en culture Délai de l’arrêt prolifératif Contrôle Contrôle-CdK4 Les télomères atteignent la valeur critique L’arrêt prolifératif est déclenché par p16 avant que les télomères n’atteignent la taille critique LHCNM2 : myoblastes (TRFs 18-20 kb) LHCNM2 : myotubes (D33) Collaboration avec Woody Wright 6 04/02/2014 Implication de la voie p16 en pathologie Autres populations immortalisées : Dystrophie myotonique DM1 : Expansion de triplets CTG dans la région non codante du gène DMPK TRF moyens (kb) N div max 60 Ratio p16 / Emerin 10.0 ** ns 2.0 50 7.5 40 OPMD contrôle nouveau-né 1.5 ** 30 5.0 1.0 2.5 0.5 20 10 0 Contrôle Contrôle DM1 33% capacité proliférative FSH DMD (eligible pour le saut d’exon) Codon stop bientôt disponible 0.0 0.0 Cont-S DM1 DM1-S Même niveau de p16 Télomères plus longs à l’arrêt prolifératif à l’arrêt prolifératif Les myoblastes DM1 s’arrètent avant les contrôles Arrêt précoce Ils s’arrètent avec des télomères « long » Arrêt p16 ? Collaborations : F. Muntoni, J. Morgan, L. SweeneyJ. Lacau St Guily, S. Périé, S. Blumen Implication de la voie p16 en pathologie Conclusions 1 TRF moyens (kb) n div 10.0 60 Contrôle DM1-CdK4 50 DM1 30 -Le vieillissement est caracterisé par une baisse du nombre de cellules satellites 7.5 Taille critique 40 -Et par une baisse de leur capacité proliferative 5.0 2.5 20 -La sénescence (en fait l’arrêtproliferatif) perturbe le programme myogénique 10 0 100 200 300 0.0 400 jours DM1 DM1-Cdk4 L’inhibition de p16 supprime l’arrêt précoce : Les télomères atteignent la taille critique - n div DM1-hT∆ ∆ 175 S MAIS p16 150 125 GAPDH 100 - La prolifération des cellules humaines est contrôlée par l’érosion télomérique ∆ ∆5aza La voie de stress interfère avec la prolifération et peut déclencher, au moins in vitro, un arrêt précoce. 75 ∆ : clone defectif pour p16 50 DM1 DM1-hTERT 25 0 0 100 200 300 400 jours La voie p16 peut être activée précocemment en pathologie hTERT seule ne peut immortaliser les cellules DM1 Le seul clone immortalisé est défectif pour p16 Les répétitions CTG pourraient générer un signal de type stress qui déclencherait la voie p16. Q : Quelle est l’implication de la voie p16 in vivo ? Diminution de l’efficacité de régénération avec l’âge Capacité proliférative 1. Facteurs environnementaux Rongeurs Jeune Agé sédentaire Agé Actif - Greffe d’un muscle de rat âgé dans un rat jeune - Parabiose hétérochronique souris jeune - âgée (Carlson and Faulkner, 1989) (Conboy et al., 2005) l’efficacité de régénération du muscle âgé P16ARNm Dérégulation de facteurs systémiques avec l’âge: Nombre max de divisions Hormones, Facteurs de croissance 1. Les cellules des rongeurs sont plus sensibles au stress 2. Expression de la télomérase constitutive chez la souris Sensibilité à l'environnement Pas de vieillissement réplicatif -Pas de différences dans la capacité proliférative in vitro -Augmentation du niveau d’expression dep16 dans les cultures de sujets âgés sédentaires. 7 04/02/2014 Facteurs secrétés et vieillissement musculaire Sarcopenie • Caractérisation du secrétome des myoblastesHumains en différenciationin vitro Modification du comportement avec l’age Perte de masse musculaire (atrophie) force Contractions plus lente Réponse hypertrophique à la surcharge Jeune Les cultures de myotubes humains secrètent des molécules spécifiques Injury Soluble factors Myoblastse mononucléés Cellules Satellites Myotubes Descendance cellulaire ° Vieux Fusion Différenciation Vieillissement local Viellissement de l’environnement Paracrine & Autocrine Regeneration perturbée Maintien de la niche perturbée • Analyse du milieu conditionné de myoblastesdifférenciés Pucesàanticorps, LC-MS/MS et gels 2D couplésà la Mass spec (2DE/MS) Dérégulation de facteurs secrétés avec l’âge? IRM de sujets jeunes et agés Le “secretome” des myotubes humains Caractérisation du secrétome des myoblasteshumains en différenciationin vitro Les myotubes secrètent des vésicules : exosomes et microparticules Analyse du milieu de cellules en cours de différenciation (sans sérum) Exosomes 4% Microparticules MPs Secretées classiquement 42 666 Non classées MPs Exosomes Potentiellementsecrétées 257 24 3 Soluble Secreted 14 Secrétées sans signal Sécretion d’exosomes et de microparticules Qui contiennent des protéines, Mais aussi des mRNAs et des miRNAs NB : Ces vésicules contiennent aussi des mRNAs et des miRNAs Modification du programme myogénique dans les myoblastes sénescents 72H en milieu de différenciation Expression de Myosine à 72H de Differenciation 37produitsd’expressionde gènesdétectés Diminution de la taille des myotubes Jeunes Dramatique “secretion” 16secrétésdifferentiellement ensenescence de la 4 réprimées en Sen (comparéesàJeunes) Impossible d’afficher l’image. 12 35 surexprimées en Senescence ** 30 25 Jeunes Protein Secreted D ** 20 Senescentes 15 Sen ** 10 5 Low Value High 0 COL4 ECM Marqueurs CTGF de fibrose GAPDH 0 24 48 72 Time in Differentiation Conditions (H) Surexpression dans lesfibroblastes senescents : The senescent secretory phenotype (Campisi, J.) 8 04/02/2014 Exemples de modifications de la secrétion en vieillissementprolifératif IGFs Systems In Vitro Analysis Les myoblastes sénescents inhibent la différenciation in vitro & favorisent la prolifération via des facteurs secrétés 98facteurssecrétésdifférentiellement en (pré)sénescence Up-regulés • Transwell co-culture Down-regulés S S Parmi les voiesmodifiées, on trouve: Cytokines inflammatoires, ECM, IGF, protéases et leursinhibiteurs,épuration des radicauxlibres S J J J Differenciation Proliferation S S J S S J J J J S J J S J Les myoblastes ne sont pas tout seuls ! Stress p16 VIEILLISSEMENT Stress oxidatif Capacité régénératrice Renouvellement nucléaire ? Sénescencecellulaire Horlogemitotique Modifications du secrétome Inflamm-aging Baisse du nombre de progéniteurs Capacitéproliférative avec arrêtprématurépotentiel Retard et baisse de la capacitéà se différencier Altération du protéasome et du renouvellementprotéique (coll B. Friguet) Augmentation du stress oxidatif et de l’oxydation des protéines (coll B. Friguet) Modification du secrétome:Baisse du niveau de signalisation Augmentation de remodelage de l’ECM et des cytokines inflammatoires Comportement in vivo ? Co-injections avec des macrophages : Differenciationin vivo 5j in vivo Analyses post-injection Cryodommage Sur le TA + myoblastes humains P=0,055 précoce : 24hrs-5jours ** tardive :1-2 mois γc / Alymphoide, pas de NK RAG -/ Expression de MHC néonatale Lamine A/C humaine (noyaux) - C5- * Detection de fibres humaines (spectrine) Et de noyauxhumains (lamins A/C) à l’aided’anticorps ne reconnaissant quelesprotéineshumaines Les macrophages pro-inflammatoires retardent la differenciation, Les anti-inflammatoires favorisent la differenciation 9 04/02/2014 Régénération musculaire Cellule satellite quiescente lésion Conclusions 2 Inflammation Interactions cellulaires : secretome Cytokines, chemokines -Les cellules musculaires en différenciation secrètent des cytokines (myokines) -Le secretome varie en fonction de l’âge prolifératif -Les cellules sénescentes favorisent la prolifération et inhibent la différenciation Cellule satellite activée Autres types cellulaires Fibroblastes, etc Macrophages Facteurs secretés, vesicules Angiogénèse Facteurs circulants Innervation Facteurs trophiques -Les macrophages pro-inflammatoires favorisent la prolifération (cytokines) -Les macrophages anti-inflammatoires favorisent la différenciation (cytokines) Il existe un dialogue entre les acteurs cellulaires de la réparation, entre autre via des molécules secrétées ou des vésicules dédiées, qui participe à la régulation de la régénération musculaire. 10