au monde - Maison des Leaders

Transcription

au monde - Maison des Leaders
DOSSIER UNE VIE pour se mettre au monde
par
Marie-Josée
Tardif
Journaliste, auteure
et conférencière
POUR MIEUX LA CONNAÎTRE
Conférences-ateliers
en milieu de travail :
Découvrir la richesse
de notre être
Mieux se connaître pour pouvoir
mieux interagir
Ateliers grand public :
OSEZ être vous-même et faire ce
que vous aimez
Une VIE
pour se mettre
au monde
sont saccadés, mais je m’accroche et nous voilà enfin sur la rive,
le cœur battant, couverts de boue, mais heureux d’en être sortis.
Commençons cet article par une histoire. Une histoire vraie – et magnifiquement évocatrice – qui raconte une percée intérieure dans un moment de
découragement.
Madame de Hennezel, dans Une vie pour se mettre
au monde, vous expliquez que cette balade à cheval
vous a aidée à sortir de votre dépression. En fait, vous
avez soudain vu cette mésaventure comme un message symbolique vous invitant à faire confiance à votre élan vital. Vous êtes souvent à l’écoute de ce type
de messages ?
L’enseignement traditionnel chinois a influencé votre
pratique ?
Oui, lorsqu’on étudie les travaux du fondateur de la psychologie
analytique, Carl Gustav Jung, on découvre qu’un monde invisible
nous encadre et que tout un réseau de significations peut nous
apparaître dans la nature, dans nos rêves ou dans notre inconscient. Je savais que le symbole du cheval revient souvent dans
les rêves afin d’illustrer la force et la vitalité. J’ai donc interprété cet
étrange épisode comme s’il s’agissait d’un rêve : je croyais m’être
enfoncée dans les eaux boueuses de ma peur de vieillir et voilà
que cet évènement me disait de faire confiance à mon dynamisme
intérieur afin de sortir de la boue de ma dépression.
Lorsqu’on est appelé à côtoyer la précarité de la vie assez tôt dans
notre existence, on est conduit à apprécier davantage le moment
présent et à mieux relativiser les choses. Qui plus est, vieillir nous
oblige à développer ce regard. Jung expliquait que la première partie
Entrez sur votre chemin véritable
Rencontre avec Marie de Hennezell
Auteure du livre :
La Leçon de Sitar
chez Québécor.
Cette
Information : 819-326-3540
www.mariejoseetardif.com
histoire appartient au vécu
de la psychologue clini­
cienn­e Marie de Hennezel. Lorsqu’elle a
franchi la barre des 60 ans, cette célèbre
auteure française a traversé une crise à
laquelle elle ne s’attendait pas. Soudainement confrontée aux aspects angoissants
de la vieillesse, elle était passée par une
dépression dont beaucoup d’aînés seraient
atteints, paraît-il, parfois même sans le réa­
liser. « On perd sa joie de vivre, » écrit-elle,
« on broie du noir, tout vous fatigue ! »
APPRENDRE À
VOIR AUTREMENT
Au lieu de nous
accrocher à ce que l’on
connaît, nous devons
apprendre à nous
tourner constamment
vers le nouveau.
Dans son ouvrage
intitulé Une vie pour
se mettre au monde,
coécrit avec le philosophe Bertrand Vergely,
Marie de Hennezel
relate un évènement
marquant survenu lors
d’une balade à cheval.
Cette histoire permet
de voir comment nous nous embourbons parfois dans la vie et comment nous
pouvons tout transformer en changeant
simplement notre regard. Avant de vous
partager les perles de mon moment de
rencontre avec madame de Hennezel, j’ai
choisi de retranscrire cet extrait de son livre.
Peut-être vous frappera-t-il autant que
moi, en raison de son symbolisme
puissant :
J’étais partie avec ma petitefille Marie en Camargue. Nous
18 VIVRE
sommes allées faire une promenade
à cheval dans le marais. Une matinée
magnifique. Ma petite-fille caracole sur
sa monture avec le guide, devant moi.
Nos chevaux entrent au pas dans l’eau
grise du marais. Des gerbes étincellent.
Soudain, mon cheval s’immobilise. Nous
sommes tombés lui et moi dans un trou,
et ses pattes sont enfoncées dans la boue
jusqu’au ventr­e. J’appelle notre guide qui
est surpris. Il ne savait pas qu’il y a avait
un trou à cet endroit dans le marais. Après
avoir conduit Marie
sur le rivage, il revient
vers moi. Il comprend
vite qu’il ne peut rien
faire, il s’enfoncerait à
son tour. Nous envisageons toutes les solutions. Le cheval, dit-il,
s’en sortira toujours.
Mais moi ? Je ne peux
pas descendre, je ne
peux pas nager, car il
n’y a pas assez d’eau.
Je pourrais tout juste
m’allonger et me laisser tirer par une
corde qu’il me lancerait depuis la rive. Je
réfléchis, toujours assise sur mon cheval
embourbé, qui reprend son souffle doucement. Et si je laisse faire mon cheval ? Oui,
dit mon guide, tu peux essayer mais il faut
que tu t’accroches fort à la selle, parce que,
lorsqu’il va sortir de son trou, cela va être
violent. Je décide d’essayer. Deux coups de
talons vigoureux, et mon cheval a compris.
Il tente un premier bond en avant, puis un
deuxième, puis un troisième. Les bonds
Le soir, en repensant à cet épisode étrange, je me suis demandé
pourquoi pareille histoire m’était arrivée. J’ai compris que la vie
venait de me donner une fameuse leçon.*
FAIRE CONFIANCE À NOTRE ÉLAN VITAL
WU-WEI : LAISSER ADVENIR
Et nous portons tous cet élan ?
Oui, je crois que cette force, cet élan vital qui nous porte vers l’avant
existe en chacun de nous. Cependant, nous oublions de lui faire
confiance. Peu importe notre âge, la vie nous demande constamment de faire confiance au nouveau, savoir laisser les choses derrière soi, faire un avec ce qui vient. Les Chinois ont bien compris ce
principe en élaborant le concept du wu-wei, qu’on pourrait traduire
par « laisser advenir ». Tout change, tout se transforme. Au lieu de
nous accrocher à ce que l’on connaît, nous devons apprendre à
nous tourner constamment vers le nouveau.
Je voudrais partager une expérience que j’ai vécue, soit la première
fois que j’accouchai. À l’époque, la sophrologie n’existait pas, mais
j’avais compris que si j’allais contre les contractions, je souffrirais
pendant des heures et des heures. Évidemment j’avais une connaissance des mécaniques de l’accouchement, mais j’avais compris
qu’il ne fallait pas aller contre, qu’il fallait épouser. Ce qui fait qu’à
chaque fois qu’une contraction arrivait, j’avais mal, on sait que ça
fait mal, très mal, mais je visualisais en même temps l’ouverture.
C’­­est-à-dir­e que je savais à quoi ça servait, l’ouverture. Et au lieu de
me contracter pour refuser la souffrance qui arrive, je l’accompagnais,
je l’épousais. Eh bien, quand le médecin est arrivé, il était sidéré
parce que j’étais arrivée à dilatation complète en une heure. Alors
que généralement c’est cinq, six heures, peut-être plus. Mais j’avais
découvert dans mon corps l’expérience d’épouser. D’une certaine
façon, c’était vouloir la contraction, elle était tout aussi douloureuse,
cela n’empêchait pas la douleur, mais elle était efficace.
Peu importe notre âge, la vie
nous demande constamment
de faire confiance au nouveau,
savoir laisser les choses derrière
soi, faire UN avec ce qui vient.
Très tôt dans ma démarche, mon analyste m’avait demandé de lire
tous les jours un passage du Yi-King. Pendant dix ans, j’ai suivi sa
recommandation. Cela a complètement transformé ma vision de la
vie. J’ai compris qu’il fallait accepter son mouvement de transformation permanente.
Vieillir le cœur en paix...
Sentird’être
la joie
vivant!
Bien vieillir, ce n’est pas seulement faire de l’exercice,
occuper son temps et se divertir. C’est aussi être capable
• d’assumersespertes
• d’apprivoisersamort
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DOSSIER UNE VIE pour se mettre au monde
Parcelle de vie…
Marie de Hennezel est une psychologue et psychothérapeute française. Après avoir fait
des études de langues et enseigné l’anglais aux élèves du secondaire ; elle est retournée
à l’université pour y achever un DESS de psychologie clinique et un DEA de psychanalyse.
Sa carrière de psychologue commence en 1975.
En 1986, François Mitterrand lui propose alors d’intégrer la première équipe de soins palliatifs en Europe continentale. À l’Hôpital international de la Cité universitaire de Paris, elle
y a travaillé pendant dix ans. Elle anime des conférences et des séminaires de formation à
l’accompagnement de la fin de vie en France et à l’étranger.
En 1992, elle fonde avec Jean-Louis Terrangle l’Association Bernard Dunant — Sida et
R­essourcement. Elle est chargée de différentes missions d’études par les ministres de
la Santé Jean-François Mattéi et Xavier Bertrand. En 1999, Marie de Hennezel a reçu les
insignes de Chevalier de la Légion d’honneur, sur proposition du premier ministre Lionel
Jospin ; ils lui ont été remis par Soeur Emmanuelle. Parmi ses écrits :
Crédit photo : Hervé WATTIER
Co-écrit avec son
fils Édouard
Information :
www.toslog.com/
mariedehennezel/accueil
Une vie pour se mettre La chaleur du cœur empêche
au monde
les corps de rouiller
de notre vie est une dynamique d’action
et de projets ; elle se situe donc davantage sur le plan matériel. Petit à petit, nous
somme­s ensuite invités à nous intéresser à
l’intériorité. Nous prenons conscience que
tout ce qui relève de l’extérieur est appelé
à vieillir, à s’user, tandis que la vie intérieure
est appelée à grandir, à croître. On s’est graduellement donné des outils nous permettant de mieux accueillir les transformations
constantes de la vie. Le champ des perceptions peut alors se raffiner.
Si on n’a pas fait ce tournant autour de la
mi-temps de l’existence, c’est-à-dire vers
50 ou 60 ans, les choses risquent d’être
plus difficiles.
Malgré toutes ces connaissances
et vos transformations intérieures,
vous n’avez pas pu prévenir la dépression quand vous avez atteint
la soixantaine ?
C’est une erreur de croire que si nous
développons notre intériorité, nous serons
à l’abri des crises. Tout le monde a des
étapes à franchir. Par contre, si je n’avais
pas appris à être à l’écoute, je n’aurais pas
pu voir les signes qui m’ont aidée à sortir
de ma léthargie.
20 VIVRE
AFFINER NOTRE CHAMP
DE PERCEPTION
Comment peut-on développer cett­e
relation avec le monde des signes
ou des rêves ?
Il s’agit d’élargir le champ de notre conscience, en apprenant à se poser, à contempler, à ne rien faire, ce qui n’est pas simple !
On peut aussi développer cette acuité, en
notant nos rêves et en dialoguant avec eux.
Pour ma part, j’ai de plus en plus le goût
de m’arrêter dans la nature. Je m’émerveille
devant les choses simples. Un ami gé­riatre
m’a rapporté les confidences d’une patiente
Nous devons défaire l’écheveau de notre
vie et le relire. On peut ainsi s’alléger de
la culpabilité, du poids des émotions qui
n’ont jamais pu se libérer. Des regrets,
des rancunes, des culpabilités, nous en
avons tous. Nous traînons derrière nous
des valises qui deviennent de plus en
plus lourdes. Les identifier, les laisser
derrière soi, se pardonner ses échecs,
cela suppose un vrai ménage à faire à
l’intérieur de sa vie.*
Le souci de l’autre
Qu’allons-nous
faire de vous ?
de 75 ans qui affirme maintenant ressentir
un plaisir tout aussi intense à contempler
des enfants jouant dans un square, que
de déguster un bon gueuleton. Ce sens
de l’observation, de la contemplation, de
l’intériorité se développe en vieillissant.
Une vieille dame de 90 ans m’avait aussi
fait ce type de confidences. « La vieillesse
m’a apporté plus que ce qu’elle m’a retiré. »
m’avait-elle assurée. Cela était dû au fait de
pouvoir être désormais heureuse à travers
de petites choses, d’être dans l’accueil, de
ne plus vivre sous pression, de ne plus avoir
à prouver quoi que ce soit.
Elle ajoutait qu’elle ressentait de petites
douleurs physiques en permanence et
qu’elle était plus seule qu’avant. Par contre,
sa capacité d’aimer avait grandi.
Nous prenons conscience que tout ce qui
relève de l’extérieur est appelé à vieillir,
à s’user, tandis que la vie intérieure
est appelée à grandir, à croître.
Que la vie était précieuse. Que l’important
pour l’être humain, c’est vraiment l’amour.
Les personnes arrivées au dernier moment
de leur vie m’ont montré où était le cœur
des choses. En ce sens, elles étaient des
maîtres.
Or, je crois que ce qui m’a le plus surprise,
c’est que la majorité d’entre elles n’étaient
pas vraiment angoissées par l’au-delà. Ce
qu’il y avait de plus important pour elles,
c’était la question : « Ai-je accompli ce que
j’étais appelée à faire sur Terre ? » En fin de
vie, il y a beaucoup de retours sur soi, de
bilans. Il y a quelque chose de très beau,
dans cette honnêteté.
C’est pour cela que vous considérez qu’il faut toute une vie pour se
mettre au monde ?
Je comprends maintenant que toute vie
est une œuvre. Tout le monde est utile.
Si on a appris à aimer, si ce qu’on a fait
a eu un impact sur les autres, alors il est
faux de croire que notre vie — quelle qu’elle
soit — fut inutile. Si un bébé meurt à deux
jours, il a œuvré en changeant la vie de ses
parents. Tout un chacun d’entre nous fait
évoluer le monde. Quand j’accompagne
les personne­s en fin de vie et que je leur
explique cela, cette notion de contribution
résonne très fort en elles. Il faut toute une
vie pour se mettre au monde et notre vie
devient notre œuvre.
Et cette compréhension s’affine
lorsque le moment de la mort
s’approche ?
L’accomplissement d’une vie se joue aussi
dans les derniers moments. Le pressentiment de la fin engage l’individu dans un
dernier travail. Comme si le pressentiment
de la mort proche suscitait un dernier
élan de vie destiné à aller au bout de soimême, à aller au bout de l’œuvre de sa vie.
Comme le disait Michel de m’Uzan : « se
mettre complètement au monde avant de
disparaître ». Les derniers instants en sont
en quelque sorte la signature.
Nous ne choisissons pas notre destin, et
à plus forte raison nos maladies, ni notre
Dans l’avancée en âge, il nous faut
épouser les moments où l’on est déprimé
et triste. Puisqu’ils font partie du chemin,
ils font partie du travail. Et quand on
épouse les moments de dépression, on
les traverse.*
mort, mais nous avons la liberté et le choix
du niveau auquel nous allons le vivre : le
refuser ou l’épouser. Résister à la pente ou
la gravir, l’affronter. La vraie dignité, la vraie
liberté, c’est de dire oui à ce qui est. C’est
cela s’accomplir.
* Références : Une vie pour se mettre au monde,
Marie de Hennezel et Bertrand Vergely,
Éditions Carnetsnord, 2010.
VIVRE, c’est...
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DOSSIER
Une vie
RECETTES ENSOLEILLÉES
2. Mettre tous les ingrédients au mélan­geur et bien
mélanger.
Lait d’amande à la vanille
1 tasse d’amandes trempées 8 heures
3. Passez à travers un tamis fin, un sac à lait de
noix, une mousseline fine afin de retirer la pulpe
d’amande que vous pouvez conserver pour faire de
magni­fiques petites boules desserts.
4 tasses d’eau
1 c. à thé de vanille
1 datte
POUR SE METTRE AU MONDE
4. Le tour est joué, vous avez votre 1er lait d’amande
frais !
1. Pour un lait plus blanc, pelez les amandes une fois
qu’elles ont trempé. Sinon, vous pouvez sauter cette
étape si la couleur crème ne vous dérange pas.
Qui pourrait résister à l’idée
d’ajouter l’énergie du soleil
dans son assiette et dans son
corps grâce à une alimentation
préparée avec amour ?
Le lait d’amande se conservera environ 3 à 4 jours
au frigo. S’il n’y a pas de datte et de vanille, le lait se
conservera un peu plus longtemps.
18UNE VIE POUR SE
METTRE AU MONDE
Marie-Josée Tardif
Quelques minutes d’arrosage matin et soir pour quelques jours et
le tour est joué !
22DE LA SURVIE À LA VIE
VOYAGE INITIATIQUE
Sylvie Petitpas
La magie du trempage
Les noix et les graines ont également avantage à être trempées avant
d’être consommées. En plus d’être plus faciles à digérer, leur valeur
nutritive est amplifiée. Le fait de les tremper permet d’éliminer les
inhibiteurs d’enzymes qui sont naturellement présents, empêchant
ceux-ci de germer dans l’armoire. Après le trempage, ces petites
merveilles reprennent vie. Elles produiront plus d’enzymes, de vitamines et de minéraux, se préparant ainsi à devenir des plantes
matures. Mais elles n’auront pas le temps de s’y rendre, puisque
nous les aurons mangées avec grand plaisir bien avant !
25DEVENIR SOI-MÊME ?
UN BEAU DÉFI !
Jean-Paul Simard
Une fois les noix ou les graines trempées, vous pouvez en faire un
magnifique lait. Rien n’est plus simple pour ceux qui veulent élimi­
ner les produits laitiers de leur diète. Un verre de lait de sésame, par
exemple, contient dix fois plus de calcium qu’un lait de vache, en
plus d’être facilement assimilable ! Vous pouvez aussi en faire des
potages, des smoothies et des crèmes glacées.
38QUAND LA VIE
BASCULE
Michèle Morgan
28TRANSFORMER LE
MANQUE EN TALENT
Jean-Philippe Brebion
40ALPHABET D’UNE
NOUVELLE FAÇON
D’ÊTRE
Daniel Meurois
À vous de jouer !
Que ce soit pour améliorer votre pression sanguine, votre
cholestérol, vos douleurs arthritiques, contrôler votre poids,
augmen­ter votre énergie ou simplement ajouter couleur et variété
dans votre assiett­e, l’alimentation vivante est pour vous !
VIVRE, c’est...
Ajouter la vie dans mon assiette !
La vie nourrit la vie ! Plus on s’approche de l’alimentation
vivante, plus on s’éloigne de la maladie ! Une simple
question de choix…
16 VIVRE
Crédit photo : Vincent Pancol / Carnets nord
L’idée n’est pas de transformer votre alimentation du jour au lendemain, mais d’intégrer une meilleure qualité d’aliments dans le
plaisir de la découverte ! Vos cellules vous en seront non seulement
reconnaissantes, mais elles vous en redemanderont ! Qui pourrait
résister à l’idée d’ajouter l’énergie du soleil dans son assiette et
dans son corps grâce à une alimentation préparée avec amour ?
42RÉUSSIR DANS LA VIE
OU RÉUSSIR SA VIE
Christophe Roux-Dufort
44EXPÉRIMENTER,
ENCORE ET ENCORE !
André Harvey
Rencontre avec
Marie de Hennezel
46ACTEUR BIEN PLUS
QUE SPECTATEUR
Yves-Alexandre
Thalman
48VIVRE OU VIVOTER ?
David Ciussi
17 VIVRE
17
VIVRE

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