Le Moulin de la Galette

Dossier de presse
Au 83 rue Lepic, Paris 18ème
Renaissance d’un lieu mythique : Le Moulin de la Galette
Nouveaux propriétaires et nouveau décor
dans un écrin qui traverse le temps
Un vent de renouveau souffle en haut des marches de la colline de Montmartre. Au sommet des pavés de la
rue Lepic et à quelques mètres des vignes du 18ème arrondissement, un lieu culte renaît. Le symbole d’un Paris
d’antan aux mélodies de guinguette et de bal populaire reprend vie entre le charme authentique d’une
époque révolue et un nouvel air résolument contemporain.
Après quelques mois de travaux, le Moulin de la Galette, restaurant mythique et historique de Paris, vient de
rouvrir ses portes version bistrot chic avec une cuisine française traditionnelle.
Cédric Barbier et Nicolas Tourneville, amis de longue date, épicuriens et amoureux de Montmartre, sont les
acteurs de cette renaissance.
Les acteurs du renouveau du Moulin de la Galette
La nouvelle histoire du Moulin de la Galette s’écrit sur une histoire d’amitié entre Cédric Barbier et Nicolas
Tourneville, dit « Doudou ».
Un duo atypique entre un entrepreneur au profil high-tech, et un chef ambassadeur de la gastronomie
française à l’étranger, tous deux passionnés du bon et du beau, qui partagent les mêmes valeurs d’excellence,
de tradition et de travail bien fait.
Cédric Barbier a l’entreprenariat dans les veines :
de formation commerciale et informatique, il a
connu une réussite exceptionnelle avec la création
du site les jeudis.com et du salon « les jeudis de
l’informatique » qu’il a revendus en 2008.
Depuis il investit dans des fonds numériques, il a
créé un centre d’affaires dans le 9ème et il prend des
parts dans des sociétés.
Installé avec sa famille depuis plusieurs années sur
la Butte, cet hédoniste est devenu un Montmartrois
de cœur, très attaché à son côté village, calme et
pittoresque. Habitant rue Lepic, le Moulin de la
Galette lui « tendait les bras ».
Il en parle à son ami de longue date, Nicolas
Tourneville, dit « Doudou », chef cosmopolite
maintenant installé à Bali.
Pour eux, reprendre le Moulin, c’est plus qu’ouvrir
un restaurant : c’est faire revivre un mythe.
Nicolas Tourneville, dit « Doudou »
Formé à l’école Ferrandi, Doudou a été un ambassadeur de la gastronomie français à l’étranger. Après une
expérience dans les cuisines de la résidence de l’Ambassadeur de France en Angleterre, il devient chef des
cuisines des Ambassades de France en Algérie, puis en Indonésie.
C’est là qu’il concrétise son rêve en ouvrant un premier restaurant (le Kafé Warisan) puis une société de
traiteur, une épicerie fine et deux cafés. En 2009, c’est le début de la belle aventure du restaurant Métis, le
meilleur restaurant de Bali et une référence dans toute l’Asie.
Son expertise a été précieuse pour l’organisation des travaux, le choix du décor, le conseil sur les achats et
la mise en place de la carte du Moulin où il revient régulièrement pour suivre l’évolution.
Les talents du Moulin de la Galette
Cédric Barbier n’étant pas du métier, et Doudou étant reparti à Bali, il a souhaité s’entourer de personnes
expertes dans ce secteur qu’il découvre avec passion.
Cyril Carcenac est le directeur de salle avec à ses côtés la charmante Alice Gundersen.
Cet aveyronnais de 35 ans a déjà un parcours riche en belles expériences : ouverture du restaurant Hélène
Darroze (2001), Relais du Parc – Alain Ducasse (où pendant 7 ans, il a gravi les échelons de premier commis
à assistant du directeur) puis Frédéric Vardon (Zinc Opéra).
L’accueil est très convivial et chaleureux, par une équipe que l’on sent à l’écoute du client, contente de faire
plaisir et partager l’âme des lieux et de la cuisine avec laquelle elle est en harmonie.
Au Moulin de la Galette, chaque repas est une fête.
Cédric Barbier et Doudou ont fait appel à Anthony Detemmermann, pour diriger les cuisines.
Originaire du Loiret, ce jeune chef de 31 ans a travaillé avec Hervé Rodriguez au Domaine de la Corniche, à
Rolleboise (78), avant de le suivre au MaSa, à Boulogne Billancourt.
Il a poursuivi son parcours au sein de la brigade de Nicolas Beaumann chez Michel Rostang avant de
prendre son premier poste de chef au Moulin de la Galette.
Priorité aux produits, à leur qualité bien sûr, mais aussi à leur provenance et à la saisonnalité.
« La cuisine du Moulin est une combinaison de mes expériences. C’est une cuisine bistronomique, de tradition, au
goût du jour. Comme chez Rostang j’accorde beaucoup d’importance aux sauces et comme avec Hervé Rodriguez, je
continue de chercher de nouveaux accords, joue avec les saveurs et notamment avec les herbes que j’apprécie tout
particulièrement travailler» indique le chef.
Une carte courte et nette avec six entrées, six plats, trois viandes au four Josper et cinq desserts, réalisés
« maison » pour se régaler sans pour autant faire flamber l'addition.
Quant à la carte des vins, elle a été élaborée par Cyril Carcenac et propose un large choix de toutes les
régions françaises avec plus de 150 références (2.000 bouteilles en cave).
Il y en a pour toutes les bourses avec des bouteilles allant de 25 à 1.250 euros.
Et un bon choix de vins au verre à partir de 5 euros.
Nouveau décor type brasserie intimiste et bistrot chic
Le Moulin de la Galette arbore aujourd’hui un nouveau décor contemporain au style à la fois industriel et
chaleureux mêlant matériaux bruts avec plafond en béton et parquet au sol, alternance de fauteuils et
banquettes en velours gris et bleu, tables blanches aux bordures dorées…
Tout a été pensé pour donner à la salle (70 couverts) une ambiance bistrot-chic élégante et apaisante.
Le bar en étain face à l’imposant miroir ou encore le luminaire vintage préservent quant à eux l’esprit
brasserie du lieu.
Une brasserie qui reste un espace de vie dans lequel on peut évoluer en toute intimité grâce à l’espacement
des tables qui préserve cette pause à l’abri de la cohue parisienne.
Le cœur du moulin continue donc à battre : il est d’ailleurs visible au-dessus du bar où le plafond vitré
laisse apparaître les fondations de l’ancienne meunerie.
Pour perpétuer l’esprit des lieux, une petite plaque sur une des tables rappelle que Dalida fut une habituée
de cet endroit, du temps où il s’appelait Da Graziano, il y a 35 ans.
Terrasse bucolique : un air de campagne à Paris
L’un des charmes du lieu ? Son jardin-restaurant, caché à l’arrière cours dans un îlot de verdure et de fleurs
(environ 28 couverts).
Les beaux jours venus, déjeuner, dîner ou simplement prendre un verre à ciel ouvert, est un véritable
bonheur avec, en ligne de mire, le fameux Bal du Moulin de la Galette d’Auguste Renoir.
Loin du bruit, on se croirait à la campagne, comme une parenthèse bucolique si proche et pourtant si loin
de l’agitation parisienne.
Côté rue Lepic, à l’entrée du Moulin, figurent également une agréable terrasse d’une douzaine de couverts.
Un peu d’histoire…
Parmi les 13 moulins qui s’élevaient sur la Butte Montmartre, seuls deux existent encore : le Moulin BluteFin (1622) et le Moulin Radet (1717).
Rapprochés l’un de l’autre, ils abritent, à partir de 1834, la guinguette « Le Moulin de la Galette », où le
tout-Paris aimait se réunir.
Dans les années 60, l'adresse devient le théâtre de l'émission de variétés « La Piste aux Étoiles » puis, en
1980, un restaurant italien est ouvert sous les ailes du Moulin Radet : Da Graziano, très prisé des vedettes
de l’époque : Jean Marais, Claude Lelouch ou encore Dalida, voisine des lieux, qui y a ses habitudes.
Une référence dans l’histoire de l’art
Le XIXème siècle verra de nombreux artiste s’intéresser au Moulin et à sa guinguette sous l’impulsion
d’Auguste Renoir qui réalise, en 1876, le « Bal du Moulin de la Galette », l’un des chefs d’œuvre de
l’Impressionnisme.
S’en sont suivies de nombreuses œuvres représentant la fameuse guinguette, parmi lesquelles des toiles
célèbres de Toulouse-Lautrec, Van Gogh ou Picasso, faisant du Moulin de la Galette un nom mythique
dans l’Histoire de l’Art.
Informations pratiques
Le Moulin de la Galette
83 rue Lepic
75018 Paris
Tél. : 01 46 06 84 77
www.lemoulindelagalette.fr
Ouvert tous les jours au dîner et au
déjeuner.
Formules midi :
23 € (entrée /plat ou plat/dessert)
29 € (entrée – plat – dessert)
Plat du jour : 16 €
Au dîner :
Formule à 38 euros (entrée – plat – dessert)
Carte : 45 euros
70 couverts à l’intérieur
40 en extérieur, répartis sur 2 terrasses
Métros : Blanche (ligne 2) ou Abbesses (ligne 12)
Service voiturier midi et soir (sauf le dimanche)
Contacts Presse :
Maryse Masse et Pascaline Le Gal
Maryse Masse Communication
Tél. : 33 (0)1 40 54 72 50 ou
33 (0)6 22 468 468
E-mail : [email protected]
www.marysemasse.com
Carte été-automne
Tomate Ananas, burrata, basilic * 11 €
L’œuf de Marans poché
Crème d’oignon et poêlée de girolles * 12 €
Daurade royale en sashimi
Tarama maison et légumes en pickles 15 €
Chair de crabe, citron vert, framboise
Fromage blanc et concombre 16 €
Terrine de foie gras de canard
Chutney de saison 17 €
Dos de cabillaud rôti
Fenouil cuit et cru, sauce vierge * 22 €
Thon albacore mi-cuit à la biscayenne
Artichauts poivrade et tomates confites 26 €
Suprême de pintade fermière à l’estragon
Navets et radis * 22 €
Filet de porcelet
Pommes de terre confites au pied de cochon 25 €
Carré d’Agneau en croûte de nyora
Crème d’anchois, lumaconi farci à l’aubergine 32 €
 Fromages 
Les fromages affinés du moment
Salade verte 12 €
L’assiette de mignardises 9 €
Figues fraîches, crème vanille, biscuit façon pain d’épices* 10 €
Millefeuille au caramel au beurre salé* 10 €
Tarte au citron bio meringuée 11 €
Chocolat Kalapaïa/poivre de Sichuan 12 €
Glaces et sorbets 9€
« Préparés dans notre four Josper au charbon de bois naturel »
La côte de bœuf d’Ecosse
Pour 2 ou 3 pers Sauce Béarnaise (prix de vente au kilo) 92 €
Cœur d’entrecôte d’Argentine, Sauce Béarnaise 30 €
L’onglet de bœuf « Black Angus » à l’échalote 28 €
Garnitures
Frites maison
Gratin de pommes de terre
Cocotte de légumes de saison
Salade verte
Le Déjeuner
Le Plat 16 €
Entrée + Plat ou Plat + Dessert 23 €
Entrée + Plat + Dessert 29 €
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-----------------------------------Au Dîner *
Entrée + Plat + Dessert 38 €
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