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VOIR GRAND DEL, moteur de développement de l’agglomération de Longueuil DELagglo.ca @DELagglo Affaires Exportation VOIR ICI VOIR LOIN PyroWave Panama Une technologie qui donne de la valeur aux déchets page 2 Un carrefour pour le commerce page 7 Produlith Une suite de décisions audacieuses p. 3 À l’agenda Activités à venir p. 11 Vendre ses produits en Europe Recourir aux services d’un agent commercial p. 9 Votre entreprise a un projet d’exportation ? Septembre 2013 | Volume 6, numéro 1 | 12 pages DEL vous offre un accompagnement personnalisé pour faciliter et accélérer la réalisation de vos projets d’exportation en planifiant et en structurant de façon stratégique vos démarches à l’international. InnovationInvestissements Nouveaux PyroWave Une technologie qui donne de la valeur aux déchets P ME se spécialisant dans les procédés d’ingénierie novateurs, Kengtek est à mettre la dernière touche sur le prototype de ce qui pourrait bien devenir LA nouvelle façon de gérer nos déchets dans le futur. L’idée de cette technologie appelée PyroWave étant de transformer des déchets solides en énergie renouvelable sur place. Forte de son expérience dans l’extraction et la récupération de déchets pour le compte de divers clients et de quatre années de R et D, Kengtek a développé et conçu un appareil de la taille d’une machine à laver capable de traiter l’équivalent de deux à trois sacs d’ordures en une heure. Une méthode alternative « De nombreux gisements de déchets prennent la direction des sites d’enfouissement parce que leur traitement par procédés thermiques, notamment la pyrolyse, a ses limites à grande échelle », explique le fondateur de Kengtek, Jocelyn Doucet. D’où l’idée de plutôt procéder à petite échelle et directement sur place, éliminant du coup les obstacles techniques et procurant par la même occasion de multiples avantages. Parmi ceux-ci, diminuer le transport des déchets et donc réduire l’émission de gaz à effet de serre, apporter une solution de rechange aux sites d’enfouissement et finalement, valoriser les sous-produits résultant de l’opération. Premier marché ciblé, celui de la restauration où la gestion des déchets pose un réel problème. « Les gisements de déchets produits par les restaurants sont les moins recyclés parce qu’ils sont souillés par l’huile et la graisse. » Valorisation des sous-produits « Quand on fait la pyrolyse de déchets, on obtient trois sous-produits, le biocharbon, la biohuile et un biogaz », spécifie M. Doucet. Le gaz produit pourrait être récupéré par les restaurateurs qui en utilisent beaucoup pour la cuisson. « Le biogaz possède pratiquement les mêmes propriétés que le gaz naturel », souligne M. Doucet, ajoutant que Kengtek a prévu un système pour combiner le biogaz à 30 % avec le gaz naturel ou le propane que les restaurateurs utilisent. Résultat : une économie pour l’usager. Quant à la biohuile, selon le déchet traité, elle en ressortira avec une qualité acceptable pour la combustion ou alors elle nécessitera certains traitements pour pouvoir faire des essences. « Nous avons établi plusieurs partenariats avec des raffineurs et des entreprises de plastiques pour valoriser ces huiles-là », confie le fondateur. « Le biocharbon, lui, possède les mêmes propriétés thermiques que le charbon conventionnel, à la seule différence qu’il n’émet pas de gaz à effet de serre puisqu’il provient d’un déchet », explique M. Doucet qui a déjà conclu une entente avec le géant Holcim qui compte utiliser le biocharbon comme carburant alternatif dans ses fours. Prochaines étapes L’année 2014 en sera une de démonstration pour l’entreprise ayant deux brevets en instance et quelques autres déposés. De plus, Kengtek a déjà reçu plusieurs demandes de restaurants intéressés par PyroWave. Jocelyn Doucet conclut en indiquant que « sans l’aide de DEL, le processus aurait été beaucoup plus difficile. Ce sont des gens proactifs qui ont fait de la veille de programmes pour nous et qui ont lubrifié nos relations avec divers intervenants pour accélérer le projet. On ne s’en passerait plus. » Dépôt légal : ISSN 1913-4509 Tirage : 2 500 Bibliothèque et Archives nationales du Québec Distribué gratuitement Bibliothèque et Archives Canada Ce document est conforme à la nouvelle orthographe. 204, boulevard De Montarville Bureau 120 Boucherville (Québec) J4B 6S2 Tél. : 450 645-2335 Téléc. : 450 645-0960 Faites parvenir vos commentaires à : [email protected] 2 VOIR ICI / Septembre La mission de DEL est de sensibiliser, d’informer, d’appuyer et d’accompagner les entreprises dans la réalisation de leurs projets d’amélioration et de développement en vue de devenir plus compétitives, de collaborer et de contribuer avec les partenaires au dynamisme économique de l’agglomération de Longueuil en mettant en place des projets structurants ainsi que de participer, à titre de facilitateur, au développement immobilier et touristique du territoire. « Le traitement des déchets par procédés thermiques, notamment la pyrolyse, a ses limites à grande échelle, d’où l’idée de procéder à petite échelle et directement sur place. » Jocelyn Doucet, fondateur De la grosseur d’une machine à laver, PyroWave peut traiter deux à trois sacs d’ordures par heure Investissement Produlith L’entreprise de 33 employés exporte 25 % de son chiffre d’affaires aux États-Unis. Une suite de décisions audacieuses et… profitables A lors que des statistiques laissaient présager une baisse pour l’industrie de l’impression commerciale, le fondateur de Produlith, Paul Desmarchais, décidait en 2002 de changer complètement l’orientation de l’entreprise après 21 ans et de la diriger vers l’emballage. « C’était risqué. Au moment de la transition, nos affaires en imprimerie commerciale allaient très bien. Notre chiffre d’affaires provenait à 100 % de là. Mon père a fait un choix très audacieux et mon équipe et moi avons bâti la stratégie pour y arriver », indique Shawn Desmarchais, président depuis 2006. Aujourd’hui, seul 2 % du chiffre d’affaires est consacré à l’impression, la quasi-totalité étant destinée au design, à la conception et à la fabrication d’emballages cartonnés. « Il y a peut-être moins de joueurs dans l’emballage, mais il y a néanmoins une forte concurrence », admet le président pour qui le choix de se spécialiser dans la pharmaceutique fut une façon de tirer son épingle du jeu. De fait, Produlith en récolte maintenant les fruits; son nom est un gage de confiance et de qualité auprès de la clientèle. « Les bonnes décisions ne sont pas payantes sur le coup, c’est avec le recul qu’on réalise qu’on avait vu juste. » Shawn Desmarchais, président Outre le marché pharmaceutique, l’entreprise dessert principalement les secteurs de l’alimentation et des cosmétiques. Une entreprise qui se démarque Lorsqu’on demande à Shawn Desmarchais de quelle façon Produlith se démarque des autres, il répond sans la moindre hésitation « nous garantissons à nos clients que leur entreprise fera plus d’argent avec nos emballages ». Et pour y parvenir, Produlith ne mise pas uniquement sur la beauté de ses boites, bien que celles-ci soient conçues par une équipe ferrée en design et en structure. C’est qu’au fil des années, l’entreprise a développé une expertise lui permettant d’adapter et d’ajuster ses emballages en fonction des particularités des équipements de ses clients. « Nous allons voir leurs machines fonctionner pour faire les ajustements appropriés à nos emballages. Ce n’est pas tout d’avoir de belles boites, il faut qu’elles se conditionnent efficacement, qu’elles se transportent facilement et qu’elles restent en bon état jusqu’à leur destination finale », spécifie-t-il. Produlith double son espace de production Produlith a récemment emménagé dans une bâtisse acquise à Boucherville. « Notre superficie est passée de 19 000 pi2 à 43 000 pi2. Cela nous permettra d’augmenter notre efficacité de production, de faire l’achat de nouveaux équipements et ultérieurement, de procéder à l’embauche de personnel », informe-t-il. L’entreprise de 33 employés qui a dans sa mire d’investir dans une nouvelle technologie, dont elle sera la seule au Canada à en faire l’utilisation souhaitée, a fait appel à l’équipe de DEL pour ce projet. « Les gens chez DEL m’ont grandement aidé. Ils m’ont donné beaucoup de leur temps et ont fait preuve d’une grande rigueur. Ils m’ont permis de rencontrer des gens au fédéral, au provincial et au municipal », conclut Shawn Desmarchais qui ajoute que l’acquisition fait également partie de sa planification stratégique. Croissance en vue… Un segment de marché porteur « Diriger nos efforts vers le marché pharmaceutique a été une étape tout aussi importante que le changement de vocation de l’entreprise. Il fallait développer des structures et des processus de contrôle de qualité basés sur les normes pharmaceutiques qui sont complexes et strictes en termes de sécurité et de traçabilité notamment. Et évidemment, à tous ces efforts sont associés des couts », signifie-t-il en ajoutant que « les bonnes décisions ne sont pas payantes sur le coup, c’est avec le recul qu’on réalise qu’on avait vu juste. » Plusieurs produits développés et fabriqués par Produlith ont reçu des prix, notamment l’or et le bronze l’année dernière au Canadian Printing Awards et l’or au Gutenberg en 2012 et 2011. VOIR ICI / Septembre 3 Droit des affaires Transfert d’entreprise Éléments importants du processus Par Me Michael D’Souza, notaire, PFD notaires, Boucherville N ombreux entrepreneurs approchent l’âge de la retraite. Comment l’entrepreneur peut-il s’assurer une retraite bien méritée, tout en assurant la survie de son entreprise ? Tout passe par la planification de la relève. Un transfert d’entreprise se planifie au moins deux à cinq ans à l’avance. Voici en quelques mots certains éléments importants auxquels le vendeur et l’acheteur seront généralement confrontés dans un processus de relève. Point de vue du vendeur Le vendeur doit déterminer un échéancier quant à son retrait de l’entreprise. Désire-t-il tout vendre d’un seul coup, ou continuer à travailler au sein de l’entreprise durant quelques années ? Il doit déterminer son plan de relève. Qui achètera ? Un compétiteur ? La famille ? Des employés-clés ? Le compétiteur assurera un transfert très rapide et efficace. La famille ou les employés-clés, quant à eux, nécessiteront la mise en place d’un plan de relève plus complexe et à long terme. Ils sont de bons acheteurs, car ils travaillent déjà dans l’entreprise, mais les enjeux psychologiques liés au transfert des pouvoirs sont souvent plus complexes. Dans une structure typique de relève, l’acheteur voudra être rassuré sur la viabilité de l’entreprise. Il n’est donc pas rare que le vendeur soit contraint de financer lui-même une partie du prix de vente. On l’attache ainsi à l’entreprise pendant quelques années, ce qui rassure les bailleurs de fonds. Est-ce que la planification financière de retraite du vendeur concordera avec cette stratégie ? 4 VOIR ICI / Septembre Le vendeur doit mettre en place la structure juridique optimale en prévision de la vente. Pour celui-ci, une attention très particulière doit être consacrée à la fiscalité. Plusieurs structures, si elles sont mises en place suffisamment tôt dans le « Le vendeur et l’acheteur devraient se doter de trois alliés dans le processus de relève : un conseiller juridique, un expert-comptable et un fiscaliste. » Me Michael D’Souza, notaire processus, lui permettront de s’en tirer en limitant au maximum les impôts payables. Point de vue de l’acheteur Une vérification diligente s’impose. L’acheteur doit s’assurer que l’entreprise est en bonne santé financière, qu’elle ne soit pas sujette à des poursuites judiciaires, que ses actifs soient libres de charges hypothécaires, que les impôts, les taxes et les retenues soient payés, que le dossier d’employeur soit conforme, que les contrats importants soient valides, etc. Il doit établir clairement ses attentes envers le vendeur quant au processus de transition. Est-ce que le vendeur devra demeurer employé à la suite de la vente pour assurer le transfert des relations avec la clientèle et les fournisseurs ? Un contrat de travail pourrait devoir être élaboré à cet effet. Pour optimiser la transition, il n’est pas rare d’assujettir le paiement d’une portion du prix d’achat à la performance de l’entreprise ou du vendeur, post-transaction. L’acheteur doit trouver le financement requis. D’où proviendra sa mise de fonds ? Quelle banque offrira le meilleur produit adapté à ses besoins ? Est-ce que le vendeur financera une partie de la transaction ? Il est assez habituel qu’une transaction soit financée via plusieurs sources de financement distinctes. Il doit mettre en place la structure optimale en prévision de l’achat. Doit-il acheter via une société de gestion ? Doit-il se constituer une fiducie ? S’il y a plus d’un acheteur, une convention entre actionnaires sera essentielle pour déterminer le rôle de chacun et les règles concernant le décès, l’invalidité, etc. En conclusion, le vendeur et l’acheteur devraient se doter de trois alliés dans le processus de relève : un conseiller juridique, un expert-comptable et un fiscaliste. L’assistance de bons conseillers tout au long du processus assurera un transfert optimal, tant pour le vendeur que l’acheteur. Web Prenez votre place sur le Web, c’est une question de compétitivité Les ventes sur Internet dépassent 10 milliards de dollars annuellement et pourtant, moins de la moitié des PME possèdent un site Web. Pire encore, seulement 10 % d’entre elles font du commerce en ligne. Puisque 81 % des Québécois naviguent avant de consommer, on peut facilement imaginer à quel point les entreprises sans site Web perdent des clients tous les jours. De plus en plus, les PME et les travailleurs autonomes comprennent qu’Internet est un passage incontournable pour assurer la pérennité de leur entreprise. D’ailleurs, en mars dernier, 240 personnes assistaient à une conférence sur le sujet animée par François Charron, expert Web, animateur à la télé et entrepreneur. Devant le succès de cette activité, ce dernier sera de retour pour une autre conférence gratuite à l’Hôtel Mortagne le 26 septembre prochain. Ces conférences s’inscrivent dans le cadre de l’Opération Branchons les PME du Québec et visent à aider les PME de notre territoire à réaliser leur site Web et leur boutique en ligne. En complément à cette conférence, le Service aux entreprises de la Commission scolaire MarieVictorin (CSMV) diffuse deux formations (csmv. qc.ca/sae) appuyées sur les outils de votresite.ca afin de répondre aux besoins des PME : « Apprendre à faire votre site Web » et « Apprendre à faire votre boutique en ligne ». D’une durée de neuf heures chacune, ces formations comprennent une période consacrée à un suivi personnalisé qui permet une réelle appropriation des outils proposés. Comment faire un site Web à succès ? Comment « sortir » sur Google ? Attirer des visiteurs ? Rentabiliser son site ? Voilà les questions auxquelles les participants sont en mesure de répondre Produits Une « idée d’instinct » qui fait son chemin À l’époque où Internet n’était pas encore répandu, une entreprise distributrice de matériel d’automatisation comme Dicsa affirmait sa force concurrentielle par un service hors pair à sa clientèle en l’informant et en guidant ses choix. Toutefois, l’arrivée du cyberespace a obligé de nombreuses entreprises à revoir leur façon de faire, le client s’informant dorénavant lui-même. Consciente de cette nouvelle réalité technologique, Dicsa a multiplié ses efforts de R et D pour assurer sa compétitivité. En 2008, Dicsa lance un système d’extrusion modulaire qu’elle nomme Katim ©. « Nous n’avons pas inventé la technologie, nous nous sommes inspirés du modèle européen et l’avons adapté aux besoins du Québec », spécifie le président, Jean-Marcel Polis. Facilement modifiables, les produits Katim offrent des possibilités nombreuses. Une multitude de possibilités la même facilité d’assemblage, Bien que pensé pour le milieu industriel, par exemple pour des gardes de sécurité, le produit Katim peut être utilisé à moult fins. « La base de mon lit est une structure Katim, ma télévision est sur un meuble Katim… les possibilités sont quasi-infinies», explique M. Polis en ajoutant que ce produit est facilement modifiable et ne requiert ni soudure ni peinture. À l’hiver 2012, Dicsa fournit ses extrusions dans lesquels sont insérés des panneaux de couleurs pour décorer la place Émilie-Gamelin à Montréal. « Ce projet nous a permis de considérer le fait qu’il existait sans doute d’autres marchés que celui de l’industriel pour Katim. De là, l’idée de Katim Kolor © », raconte M. Polis. Les produits Katim Kolor proposent mais avec des couleurs vives et chaudes, ouvrant maintenant la porte aux créateurs, aux architectes et aux designers. « Notre présence au SIDIM nous a permis de valider que les concepteurs attendaient un produit comme Katim Kolor. » Jean-Marcel Polis, président Cibler le bon marché D’abord envisagé pour des meubles d’enfants, les produits Katim Kolor peuvent très bien être utilisés en décoration, dans les magasins par exemple ou les restaurants, dans les bureaux pour faire des cloisons démontables ou pour créer du mobilier de bureau unique, etc. En fait, le marché de Katim Kolor est à découvrir. « C’est un peu le problème de mettre un produit sur le marché qui a tellement de possibilités. C’est difficile de cibler le marché. On ne peut pas et on ne veut pas aller n’importe où, poursuit-il. DEL nous aide à bien structurer nos ventes et à établir un bon plan markéting. Pour le moment, ça démarre doucement, mais l’idée fait son chemin. » D’ailleurs, Dicsa a profité de sa présence au dernier Salon international du design de Montréal (SIDIM) pour présenter son nouveau produit. « Notre présence au SIDIM nous a permis de valider que les concepteurs attendaient un produit comme Katim Kolor », conclut M. Polis. Proposant la même facilité d’assemblage, les produits Katim Kolor ouvrent maintenant la porte aux créateurs, aux architectes et aux designers. Web Conférence de François Charron Expert Web et animateur télé au terme de ces formations. Résultats : 70 PME ont assisté à ces formations et plus de 50 sites et boutiques en ligne ont vu le jour en trois mois seulement sur notre territoire. Ces formations sont toujours accessibles et grâce à un partenariat avec Emploi-Québec, les entreprises, sous réserve de certains critères d’admissibilité, peuvent bénéficier d’une subvention pour profiter d’un tarif réduit. DATE : Jeudi 26 septembre 2013 LIEU : Hôtel Mortagne, Boucherville HEURE : 17 H 30 COUT : Gratuit INSCRIPTION OBLIGATOIRE : Sylvie Tremblay, 450 670-0730, poste 2150 Toutes les statistiques proviennent des études NETendances CEFRIO 2011 VOIR ICI / Septembre 5 Partenaire Rassemblement de manufacturiers Jeudi 10 octobre prochain É vènement incontournable, la Journée Donneurs d’ordres / Fournisseurs permet la rencontre entre des maitres d’œuvre influents et des sous-traitants industriels québécois qui œuvrent à différents niveaux de la chaine d’approvisionnement, et ce, dans les secteurs-clés de l’économie québécoise : aéronautique, transport, énergie électrique et ressources naturelles. Rencontres d’affaires planifiées Organisé depuis 2007 par STIQ, cet évènement unique est le lieu de rencontres individuelles entre des grandes entreprises québécoises et étrangères possédant de réels besoins en approvisionnement à court et moyen termes, et des PME d’ici. Ces rencontres, réalisées en formule speed dating, sont rigoureusement planifiées afin d’arrimer les besoins exprimés « Nous avons découvert de nouvelles à l’expertise offerte. Tous les compagnies et plusieurs des fourparticipants obtiennent ainsi nisseurs rencontrés promettent des des rencontres pertinentes et chacun optimise son temps. affaires à court et à long termes.» « Seules, les PME peuvent Jean-Paul Langevin, ingénieur spécialiste, MDA mettre des années à obtenir une rencontre avec un donneur d’ordres d’importance. Avec cet évènement, STIQ leur offre la chance de présenter directement leur expertise aux acheteurs de plusieurs grandes entreprises, et ce, au cours d’une seule journée, explique Normand Voyer, viceprésident exécutif chez STIQ. Les maitres d’œuvre découvrent ainsi des fournisseurs qualifiés qu’ils n’auraient peut-être jamais rencontrés et de nouveaux partenariats découlent fréquemment de ce premier contact fructueux. » Historique 55 donneurs d’ordres québécois et étrangers 550 PME québécoises 570 besoins en approvisionnement exprimés 2 350 rencontres d’affaires planifiées Plus de 80 demandes de soumissions (2012) Près de 50 contrats accordés (2012) Prenez part au plus important rassemblement de manufacturiers au Québec 6 VOIR ICI / Septembre « Cette journée nous donne la chance de rencontrer des gens qui sont très occupés dans le quotidien et qu’on a de la difficulté à rejoindre. » Renée Demers, présidente, Atelier d’usinage Quenneville Édition 2013 DATE : Jeudi 10 octobre LIEU : Hôtel Mortagne, Boucherville HEURES : 7 h à 17 h INFORMATION ET INSCRIPTION : www.jdof.ca / [email protected] / 1 888 875-8789 Parmi les donneurs d’ordres participants cette année, notons Aerolia Canada, Aluminerie Alouette, BAE Systems Hägglunds AB, The Boeing Company, CAE, Camoplast Solideal, Clean Current, Compagnie de dynamique avancée, Esterline CMC Électronique, LATECOERE Services Canada, MDA, Mercedes-Benz Canada, Rheinmetall Canada, Spectra Premium, Vestas Wind Syst, pour n’en nommer que quelques-uns. Conférences inédites En plus des rencontres d’affaires, trois conférences destinées aux entrepreneurs manufacturiers seront présentées lors de l’évènement, sous le thème : Innover pour optimiser la chaine d’approvisionnement au Québec. 1. Conférence AV&R-IMAC 2. Conférence Mecachrome Canada-Groupe Meloche 3. Conférencier d’honneur : M. Pascal Aguettaz, vice-président, services corporatifs, Cascades Les hauts gratte-ciels de Panama City. Profil socioéconomique Panama Un carrefour pour le commerce Panama Population : 3,571 millions Superficie : 74 340 km2 PIB : 36 G$ US (2012) Taux de chômage : 4,4 % (2012 est.) Revenu moyen par habitant : 15 900 $ (2012 est.) Source : EDC, CIA World Factbook S itué entre les deux Amériques, le Panama fait office de « pont » entre les océans Atlantique et Pacifique grâce au fameux canal de Panama. Le canal célèbrera son centenaire en 2014 signifiant par le fait même que le Panama s’impose comme une escale pour la majorité des produits et denrées qui transitent par voie maritime. Outre le canal, il existe une multitude de raisons pour lesquelles le Panama constitue un pays attrayant où conduire des affaires : Stabilité politique assurée depuis la déposition en 1989 du dictateur Manuel Noriega Économie figurant parmi les plus vigoureuses de l’Amérique latine Monnaie ancrée au dollar US réduisant grandement le risque associé au change Les occasions d’affaires potentielles À l’heure actuelle, le commerce bilatéral entre le Canada et le Panama se porte à merveille et ne cesse de croitre. En 2011, les deux pays se sont échangé pour 235,3 millions de dollars de biens ou de services, ce qui constituait une augmentation de près de 62 % par rapport à 2009. Le Panama est désormais le deuxième marché d’exportation du Canada en Amérique centrale, après le Costa Rica. Parmi les biens les plus exportés figurent les véhicules (aéronefs, navires), la machinerie électrique et électronique, le papier, les produits pharmaceutiques, les minerais et métaux précieux, les produits agricoles et agroalimentaires (porc, lentilles, pois, etc.). En 2008, lors de la crise financière mondiale, le PIB du Panama a tout de même crû de 9,2 %. L’accord de libre-échange Canada-Panama, signé en 2010, a éliminé les droits de douane pour les secteurs du bâtiment, de l’industrie, de l’agriculture, de la foresterie, et des produits de la mer. Il a de plus élargi l’accès au marché pour certains fournisseurs de services canadiens, notamment ceux œuvrant dans le domaine des technologies de l’information, des communications et des services financiers, énergétiques et environnementaux. L’accord permet en outre aux Canadiens de soumissionner sur les marchés publics du Panama, ce qui est une bonne nouvelle étant donné des investissements importants que le gouvernement panaméen a entrepris pour mettre à niveau ses infrastructures. Les secteurs en croissance Les trois quarts de l’économie panaméenne sont concentrés dans le secteur des services, où les banques, les compagnies d’assurance, le tourisme et les services logistiques entourant la gestion du canal jouent un rôle prépondérant. La présence du canal sur le territoire panaméen attire sa part de commerce bilatéral. Fort de ce levier économique puissant, le gouvernement panaméen a donné son feu vert en 2007 à un programme d’expansion (dont les couts estimés oscillent autour de 5,3 billions de dollars) qui doublera la capacité du canal ; un projet qui devrait être complété d’ici 2015. Le gouvernement du président Ricardo Martinelli a aussi établi un plan quinquennal (évalué à 13,6 billions de dollars) afin de renforcir le positionnement stratégique du pays à titre de centre d’échanges commerciaux et de logistique. Le plan accorde également une importance capitale aux secteurs du tourisme et de l’agriculture. La construction de nouvelles infrastructures fait également partie des priorités établies par l’administration actuelle, comme le démontrent les 2,8 milliards de dollars US qui ont été injectés dans le secteur des transports. Un système de métro pour la ville de Panama est d’ailleurs en cours de construction, avec une mise en service prévue pour 2014. Les systèmes de santé, correctionnels et d’éducation ne sont pas laissés pour compte et bénéficieront eux aussi d’investissements substantiels : cinq nouveaux hôpitaux s’ajouteront aux effectifs, de même que plusieurs centres de détention et des écoles. et logistique (expologistica.org), et Foodtech – transformation des aliments (foodtechpanama.com). Foires commerciales deleguescommerciaux.gc.ca ; Une façon de rencontrer des partenaires d’affaires potentiels ou de sonder le marché est de participer à une foire commerciale sur place. Voici deux évènements en lien avec les secteurs-clés, soit Expo Logistica Panama – transports Pour en savoir plus EDC a développé un guide intitulé Faire affaire au Panama afin que les entreprises canadiennes puissent se familiariser avec le marché panaméen. Il propose un survol des débouchés potentiels et traite des questions légales et financières propres à l’exportation dans ce pays. bit.ly/157hn1L Adresses utiles : Ambassade du Canada Torres de las Americas Tour A, 11e étage Panama City, Panama Tél. : 011 507-294-2526 Courriel: [email protected] Service des délégués commerciaux – Panama World Trade Center, Commercial Gallery First Floor Calle 53E, Marbella Panama, Panama Tél. : 011 507 294-2500 [email protected] Sources: EDC. 2013. «Aperçu du pays: Panama», en ligne: edc.ca; Gouvernement du Canada, «Relations Canada-Panama», en ligne: panama.gc.ca ; 11 aout 2009. «Le PM et le président Ricardo Martinelli annoncent la conclusion des négociations en vue d’un accord de libre-échange entre le Canada et le Panama», en ligne: pm.gc.ca ; Service des délégués commerciaux – Panama, en ligne: Agence de promotion économique du Canada atlantique, 1er avril 2012, «Des entreprises de l’Atlantique mènent une mission commerciale fructueuse au Panama», en ligne: acoa-apeca.gc.ca ; «Infrastructure Investments», en ligne : meetpanama.com.pa. Suite à la page 8 VOIR ICI / Septembre 7 Profil socioéconomique Conseils pour des relations d’affaires réussies au Panama Suite de la page 7 L’étiquette des affaires au Panama est un mélange des méthodes pratiquées en Amérique du Nord et en Amérique latine. La ponctualité est de mise, mais il ne faut pas se formaliser d’un retard. Aussi, il vaut mieux établir au préalable une rencontre en personne ou téléphonique avant d’amorcer une correspondance. L’anglais est largement répandu au Panama, mais l’espagnol demeure la langue d’affaires privilégiée. Bien que la corruption et le copinage soient considérés comme endémiques, il existe un mécanisme alternatif de règlements des différends mis sur place par le gouvernement. Le Centre pour la conciliation et l’arbitrage (CAC) jouit d’une bonne réputation auprès des investisseurs étrangers, qui reconnaissent son impartialité dans les litiges. L’Union européene, un marché de plus de 500 millions de consommateurs. À surveiller Portes ouvertes sur l’Union européenne À l’aube d’un accord de libre-échange avec l’Union européenne, DEL, en collaboration avec Exportation et développement Canada, organise, le 23 octobre prochain, un séminaire d’information d’une demi-journée sur ce marché de plus de 500 millions de consommateurs et la façon d’y faire affaire. Présentation du marché de l’Union européenne Stratégie et mode de pénétration de marché Introduction aux questions réglementaires et aux risques légaux Introduction au marquage CE La TVA dans la communauté européenne pour les entreprises étrangères Pour plus de renseignements, veuillez communiquer avec Melissa Alegria au 450 645-1203 ou à [email protected] À surveiller Mission commerciale au Mexique Du 11 au 15 novembre 2013 D EL, en partenariat avec quatre ORPEX (organismes régionaux de promotion des exportations) de la région du Grand Montréal, organise une mission commerciale au Mexique du 11 au 15 novembre 2013. Vous êtes une entreprise de l’agglomération de Longueuil et vous souhaitez entamer des démarches d’exportation au Mexique ou accélérer votre déploiement sur le terrain, cette mission est une occasion privilégiée d’explorer le potentiel de la deuxième puissance économique en Amérique latine et d’y rencontrer des partenaires. Cette mission vous offre de faire des rencontres locales ciblées selon vos besoins tout en bénéficiant de l’encadrement et de la visibilité accrue que confère une mission de groupe. Les activités à l’exportation sont rendues possibles grâce à nos partenaires 8 VOIR LOIN / Septembre Au programme Programme général Activités de réseautage Nuits d’hôtel prévues dans le programme Séminaire d’information Fiche dans le répertoire des participants Cartable d’information sur le marché mexicain Accompagnement personnalisé pour toute la durée de votre séjour Pour plus de renseignements, veuillez communiquer avec Ana Mejia au 450 645-1201 ou à [email protected]. Exportation Recourir aux services d’un agent commercial pour Vendre ses produits en Europe Par Me Xavier VAN OVERMEIRE, C.J.É., Chef régional du secteur du commerce international, Dentons –Canada (bureau d’avocats présent dans plus de 52 pays) et chargé de cours à l’Université de Montréal. U n agent commercial (ou sales representative aux États-Unis) peut être recruté par une entreprise québécoise dans le pays où elle entend faire des affaires. L’agent développe l’activité de l’entreprise sur ce marché et recueille les commandes auprès de la clientèle. Ensuite, il les transmet à la compagnie québécoise qui effectuera elle-même ou avec l’aide de l’agent la distribution de ses produits dans un ou plusieurs États européens. L’agence commerciale comme stratégie de pénétration de marché La compagnie québécoise s’appuie habituellement sur des ressources locales en recrutant un agent commercial dans le pays européen ou dans la région où elle entend commercialiser son ou ses produits. Elle bénéficie ainsi de la connaissance de l’agent, tant des coutumes que des besoins de la clientèle propre à ce marché qu’il connait généralement bien. Celui-ci pourra fournir de très bons conseils à la compagnie québécoise si des adaptations devaient être réalisées sur le produit ou son emballage. De plus, l’agent commercial ne génère aucune charge fixe puisque seules les ventes qu’il réalise entrainent le paiement de commissions. En outre, les risques que l’agent s’approprie la clientèle, qu’il délaisse le produit au profit d’un produit complémentaire ou concurrent, ou encore, qu’il renseigne, informe ou documente inadéquatement le produit en raison de la multitude de produits qu’il représente doivent être pris en considération. Le recrutement de l’agent comme clé de réussite Le succès de l’implantation de la compagnie québécoise va dépendre en majorité de la qualité de l’agent commercial recruté et de sa motivation à faire du projet de la compagnie québécoise son propre projet. Ce pourquoi il est primordial que l’entreprise prenne le temps de recruter, en contactant chaque candidat individuellement et en lui faisant part du projet de l’entreprise, de ses produits et de toutes les informations pertinentes. L’agent commercial protégé en Europe L’agent qui exerce ses activités en Europe bénéficie d’une protection basée sur une directive de droit européen transposée dans le droit national des États membres. En cas de rupture, ce texte prévoit notamment des préavis minima suivant l’ancienneté et qui seront compensés en cas de non-respect par des dommages calculés sur la base des commissions pro méritées durant la dernière année écoulée. « Le fait d’être mal représenté peut avoir des conséquences importantes sur le développement des activités de l’entreprise à l’étranger. » Me Xavier Van Overmeire Le choix initial de l’agence commerciale comme stratégie de pénétration de marché s’apparente souvent à un pari sans risque majeur. Pourtant, le fait d’être mal représenté peut avoir des conséquences importantes sur le développement des activités de l’entreprise à l’étranger. N’hésitez donc pas à vous faire conseiller ! Le saviez-vous ? 34 % des entreprises dans les parcs industriels de l’agglomération de Longueuil sont exportatrices. DELagglo.ca VOIR LOIN / Septembre 9 Chronique Exporter vers le Panama L’aspect logistique Pour nos exportateurs, la logistique est d’une importance primordiale, car nous devons livrer nos produits à temps, en bonne condition et à un cout raisonnable. Une logistique performante nous procure un avantage compétitif par rapport à nos concurrents, ses composantes principales étant le transport et les douanes. Concernant les douanes, l’Accord de Libre-échange CanadaPanama (ALÉCPA), entré en vigueur le 1er avril 2013, rend nos produits plus compétitifs. Sauf pour quelques produits agricoles, l’ALÉCPA élimine les droits de douane sur les importations, soit dès le 1er avril 2013, soit par une élimination progressive des tarifs. L’admissibilité au tarif préférentiel est déterminée par les règles d’origine de l’ALÉCPA. La justification de l’origine est le Certificat d’origine Canada-Panama (disponible en anglais, français et espagnol) rempli par l’exportateur, l’importateur devant le produire lors du dédouanement. Ainsi les produits québécois remplissant les critères entrent au Panama en franchise de droits de douane ou avec des droits de douane réduits. Un atout intéressant est la zone de libre-échange de Colon (Colon Free Trade Zone ou CFZ). Créée en 1948, la CFZ est la deuxième plus importante au monde. Transiger avec une entreprise qui y est installée permet de différer le paiement des droits et taxes à l’importation. Question transport, examinons les différentes options existantes par voies maritime et aérienne. Pour le maritime, le port d’entrée, Colon, possède un terminal moderne pour les conteneurs : Manzanillo. Il n’y a pas de service direct de Montréal vers Manzanillo, mais nous avons plusieurs services hebdomadaires via les ports d’Halifax, New York ou Freeport, avec des temps de transit d’environ deux semaines, selon la rotation des navires. Le transport depuis Manzanillo à Panama City se fait par une autoroute moderne ou par train (liaisons quotidiennes). Pour les envois plus petits (par exemple quelques palettes), on fait affaire avec des entreprises spécialisées, offrant des services de groupage via Miami (par camion de Montréal à Miami puis par bateau à Manzanillo). Pour le transport aérien, le service le plus pratique est celui du transporteur panaméen, Copa Airlines, qui opère deux vols directs hebdomadaires de Toronto et une liaison quotidienne depuis Newark. Les compagnies aériennes américaines ont également des services quotidiens de Montréal via Atlanta, Miami et Newark. Nos transporteurs aériens Air Transat et Sunwing ont des vols directs (seulement en hiver) et Air Canada dessert le Panama (mais transfère le cargo à une autre compagnie aux États-Unis). Christian Sivière Tél : 514 733-2557 Cell : 514 652-2557 [email protected] Chronique Développement économique Canada, partenaire des entreprises qui se tournent vers l’exportation C ’est connu, la présence des entreprises d’ici sur les marchés étrangers contribue à l’essor économique du pays. C’est pour cette raison que Développement économique Canada met en place des mesures concrètes qui soutiennent les entreprises dans leurs projets d’exportation et les aident à améliorer leur compétitivité. Installée à Brossard, Coencorp fait partie de ces entreprises qui se dotent d’une stratégie de commercialisation axée sur l’exportation. Coencorp, qui a réussi à s’imposer au 10 VOIR LOIN / Septembre Québec grâce à sa gestion automatisée de flottes de véhicules et de carburant, s’est donné pour objectif de conquérir le marché américain. Issue des travaux de R-D de l’entreprise, la technologie FuelZone, intégrée dans son système de gestion, permet de limiter les pertes, le gaspillage et le vol de carburant. Résultat : les clients qui possèdent une flotte importante de véhicules lourds évite des dépenses excessives. Partenaire privilégié de Coencorp, Développement économique Canada a accordé une aide financière à l’entreprise qui a notamment permis à celle-ci de participer à des foires commerciales, de rencontrer de potentiels clients, d’élaborer des outils promotionnels et de la publicité et d’embaucher deux représentants pour développer le marché américain. La réalisation de ce projet a mené à la création de six emplois à temps plein au Québec et de consolider les 15 déjà existants. Dans une optique de croissance, l’aide de Développement économique Canada a donné la possibilité à la compagnie établie sur la Rive-Sud d’effectuer ses premières démarches sur le marché de l’exportation. À l’agenda 25 septembre 10 octobre Déjeuner d’information avec Aéro Montréal MPA : Production à valeur ajoutée (PVA) Votre entreprise œuvre dans le secteur de l’aérospatiale, Aéro Montréal vous en fera connaitre davantage sur la grappe aérospatiale du Québec. Vous aurez un aperçu des projets de la grappe et une attention particulière sera accordée à l’initiative MACH, centrée sur les liens privilégiés de collaboration entre les clients et les fournisseurs. M. Daniel Cyr (VPDR) de l’entreprise Atlas Aéronautik sera présent pour partager son expérience en tant que participant à cette initiative. La production à valeur ajoutée (PVA) est une approche de fabrication globale et intégrée, qui a permis à plusieurs PME du Québec de réaliser, depuis 15 ans, des gains de productivité de l’ordre de 30 % à 40 %. Objectifs de la session : appliquer le modèle dans son ensemble ; apprendre à utiliser des outils de la PVA comme l’aménagement cellulaire et le kanban ; distinguer l’utilisation des outils et le développement de solutions ; reconnaitre les sources de gaspillage dans l’entreprise et les activités à non-valeur ajoutée, et ensuite les éliminer ; évaluer des bénéfices liés à l’implantation de la PVA ; amorcer une démarche d’implantation de la PVA dans l’entreprise ; entreprendre une démarche d’amélioration continue. LIEU : DEL – Boucherville HEURE : 7 h 30 à 9 h 40 COUT : Gratuit 3 octobre Fiscalité américaine, taxes de vente et visas Sur le plan de la fiscalité, vendre sur l’ensemble du territoire américain équivaut à vendre à une cinquantaine de pays. Ce séminaire permettra de prendre connaissance des règles minimales pour éviter des ennuis en tant qu’exportateur. Il sera question de la fiscalité américaine, de la taxe de vente par État, des implications d’avoir un agent/représentant aux É.-U., de l’obtention de visas de travail pour les représentants canadiens et les équipes techniques qui installent les produits vendus ainsi que de la passe Nexus, outil simplifiant les déplacements aux États-Unis. LIEU : DEL – Boucherville HEURE : 8 h à 10 h 30 CONFÉRENCIÈRES : MarieClaude Péthel, Demers Beaulne, Julie Lessard, BCF COUT : 40 $ tx. incl. En collaboration avec le MFEQ et Emploi-Québec LIEU: Hôtel Mortagne HEURE : 8 h à 15 h CONFÉRENCIER : Marc Chartrand, MC Conseil COUT : 150 $ par personne (diner inclus) tx. incl. 30 octobre Accueillir et encadrer les travailleurs immigrants Ce premier atelier de trois vise à mettre en place des pratiques et des outils facilitant la gestion en contexte de diversité culturelle. Les participants sauront comment transmettre leur vision, leurs attentes et les politiques de leur entreprise aux travailleurs issus de l’immigration afin d’éviter les malentendus culturels et accroitre la performance. Légende : Voir ici Voir loin En collaboration avec le Cégep Édouard-Montpetit LIEU : DEL – Boucherville HEURE : 7 h 30 à 10 h 30 COUT : 95 $ par atelier ou 257 $ pour trois ateliers (plus taxes) 5 novembre MPA : Cout de revient et prise de décision stratégique En raison d’un environnement de plus en plus complexe, il devient primordial de bien connaitre et de contrôler les différentes composantes de la structure de couts d’une entreprise, qu’il s’agisse des couts variables ou des couts fixes. Objectifs de la session : préciser les objectifs de l’établissement du cout de revient ; déterminer les bénéfices résultant de l’établissement du cout de revient ; distinguer les principales approches et comprendre à qui elles s’adressent ; définir les besoins en terme d’information utile à la prise de décision stratégique ; identifier des projets à mettre en œuvre au sein d’une organisation. En collaboration avec le MFEQ et Emploi-Québec LIEU : DEL – Boucherville HEURE : 8 h à 12 h CONFÉRENCIÈRE : Céline Dallaire, CDR Groupe Conseil COUT : 75 $ par personne ou 125 $ par entreprise (max. 3 participants) tx. incl. les méthodes de résolution de problèmes. À la fin de l’atelier les participants pourront cerner les contraintes et miser sur les talents des travailleurs issus de l’immigration. En collaboration avec le Cégep Édouard-Montpetit LIEU : DEL – Boucherville HEURE : 7 h 30 à 10 h 30 COUT : 95 $ par atelier ou 257 $ pour trois ateliers (plus taxes) 11 décembre Les Incoterms : clarifier ses responsabilités et obligations Formation pour mieux comprendre les différents mécanismes juridiques relatifs aux opérations internationales et pour maitriser davantage les Incoterms pour une utilisation maximale lors des négociations. Les Incoterms sont des termes commerciaux publiés par la Chambre de commerce internationale. Ils définissent les responsabilités et les obligations d’un vendeur et d’un acheteur dans le cadre des contrats de commerce international, notamment en regard du chargement, du transport, du transfert du risque, des assurances du dédouanement et de la livraison. LIEU : DEL - Boucherville HEURE : 8 h à 12 h COUT : 40 $ tx. incl. CONFÉRENCIER : Me Xavier Van Overmeire, Dentons (Canada) 4 décembre Miser sur la synergie des talents Pour inscription : DELagglo.ca Ce deuxième de trois ateliers aidera les participants à reconnaitre le potentiel des employés pour atteindre les objectifs de rendement de l’entreprise ainsi qu’à observer les méthodes de travail et À L’AGENDA / Septembre 11 Nous simplifions, facilitons et accélérons la réalisation de vos projets d’affaires 450 645-2335 DELagglo.ca @DELagglo