Jean Mermoz

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Jean Mermoz
Jean Mermoz
par Didier Daurat.
Pour les articles homonymes, voir Mermoz.
Jean Mermoz
1.2 L'épopée de l'aviation postale
Jean Mermoz en 1935
Jean Mermoz, né à Aubenton (Aisne) le 9 décembre 1.2.1 Le désert
1901 et mort dans l'océan Atlantique le 7 décembre
1936, est un aviateur français, figure légendaire de Mermoz commence comme mécano. Mais il est rapidel'Aéropostale, surnommé l'« Archange ».
ment affecté en qualité de pilote sur la ligne ToulouseIl est aussi un des fondateurs en 1936 du Parti social fran- Barcelone, sur Breguet XIV. La ligne franchissant les
Pyrénées est un défi pour les avions de l'époque. En 1925,
çais (PSF) avec le colonel de La Rocque.
Mermoz assure la liaison Barcelone-Malaga et, en 1926,
prend en charge le courrier sur la liaison CasablancaDakar. En mai 1926, perdu au milieu du désert avec
1 Biographie
son mécano, il est capturé par les Maures, puis est libéré
contre rançon. En novembre, il sauve Éloi Ville, contraint
Il est le fils de Jules Mermoz, maître d'hôtel, et de Ga- à atterrir dans le désert.
brielle Gillet dite « Mangaby » (1880-1955, chevalier de Les 10 et 11 octobre 1927, Mermoz et Négrin réussissent
la Légion d'honneur en 1952). Le couple se sépare dès un vol sans escale de Toulouse à Saint-Louis du Sénégal
1902 et divorcera en 1922. Mermoz passe une partie de à bord d'un Laté 26. Cependant, à la suite d'un incident à
son enfance chez son grand-père à Mainbressy, village si- l'atterrissage, sans dommage pour l'équipage, la traversée
tué au sud d'Aubenton avant d'intégrer l'École supérieure de l'Atlantique Sud est reportée.
professionnelle d'Hirson en tant que pensionnaire, puis
le lycée d'Aurillac. En 1917 sa mère l'amène à Paris où
il est admis au lycée Voltaire avec une bourse de demi- 1.2.2 L'Amérique du Sud et la cordillère des Andes
pensionnaire[1] .
En 1930, Jean Mermoz épouse Gilberte Chazottes, qui, En 1927, Marcel Bouilloux-Lafont, président et fondaveuve, se remariera avec l'ingénieur René Couzinet. Gil- teur de la Compagnie générale aéropostale (qui prend la
berte Chazottes et René Couzinet se suicideront le 16 dé- suite des Lignes aériennes Latécoère) envoie Mermoz à
Rio de Janeiro afin de développer de nouvelles liaisons
cembre 1956.
en Amérique du Sud. Pour cela, il faut franchir un obstacle majeur : la cordillère des Andes. Au cours d'une tentative de franchissement, Mermoz doit se résoudre à un
1.1 Engagement dans l'armée
atterrissage en montagne, puis parvient à redécoller acroEn avril 1920, Jean Mermoz signe un engagement dans batiquement en lançant son avion dans un précipice et à
l'armée pour quatre ans ; il choisit l'aviation sur les rebondir à trois reprises sur des crêtes en deçà, parvenant
conseils de Max Delty, un chanteur d'opérette. Après un ainsi à prendre de la vitesse en piquant. Le 15 juillet 1929,
passage à la 7e escadrille du 11e régiment de bombarde- il ouvre la ligne des Andes avec Henri Guillaumet.
ment de Metz-Frescaty, il a l'occasion de quitter les casernes et de partir en Syrie en 1922 : il y réalise six cents
heures de vol en dix-huit mois et découvre le désert, notamment lors d'un atterrissage forcé. Cependant, il doit
revenir en France au 1er régiment de Chasse à ThionvilleBasse-Yutz . Son dégoût pour la chose militaire se renforce. Il est démobilisé en mars 1924. C'est alors que
Mermoz connaît l'une des périodes les plus noires de son
existence. Ne trouvant pas d'emploi auprès des compagnies aériennes, il connaît la misère et doit vivre de petits
emplois. Enfin, il reçoit le 28 septembre 1924 une proposition de contrat des Lignes aériennes Latécoère, dirigées
En mai 1930, avec le radiotélégraphiste Léopold Gimié
et le navigateur Jean Dabry, il réalise sur avion Latécoère
28, la première liaison entièrement aérienne entre la
France, Dakar et l'Amérique du Sud. Il établit plusieurs
lignes régulières.
1.2.3 La traversée de l'Atlantique Sud
Les 12 et 13 mai 1930, il relie d'un trait Saint-Louis à
Natal au terme d'un vol de 21 heures et 10 minutes sur un
hydravion Latécoère 28-3 baptisé le Comte de la Vaulx,
1
2
2
1.3 L'engagement
d’ordre »
L'Arc-en-Ciel construit par Couzinet.
La Croix-du-Sud à bord duquel ont disparu Mermoz et ses compagnons.
du nom du président de la Fédération aéronautique internationale (FAI) qui venait de disparaître tragiquement
dans un accident d'avion. Mermoz prouve ainsi que le
courrier peut être transporté d'un continent à l'autre avec
le même appareil alors que, avant cet exploit, il fallait en
utiliser plusieurs.
Moins de trois ans plus tard, parti le 12 janvier 1933
de l'aérodrome de Paris-Le Bourget, Mermoz atterrit à
Buenos Aires le 22 à bord du Couzinet 70 Arc en Ciel.
dans
la
HOMMAGES
«
droite
Après la mise en liquidation de son employeur, la
Compagnie générale aéropostale en mars 1931, Mermoz
se fait, comme le montre Emmanuel Chadeau, « le défenseur acharné des anciens propriétaires de la compagnie,
par sentimentalité envers ses collègues navigants soudain dépourvus d'outil et d'emploi » et, dans les conflits
politiques qui président à la naissance d’Air France en
1933[4] , « considère que les soubresauts qui conduisent
l'aviation marchande de l'âge aventureux vers l'âge organisé ne sont pas les conséquences normales d'une évolution économique - la concurrence allemande et américaine sur les liaisons entre l'Ancien et le Nouveau Monde
-, mais le fruit d'une trahison des dirigeants[3] »
Il adhère aux Volontaires nationaux, dont il est le portedrapeau au défilé du 14 juillet 1935. Bientôt intégré par
La Rocque aux instances dirigeantes des Croix de feu, il
multiplie discours et articles dans Le Flambeau, l'organe
du mouvement. Après la dissolution des ligues en juin
1936, il figure enfin au nombre des membres fondateurs du Parti social français (PSF) dont il devient viceprésident[3] .
Dénonçant la démagogie parlementaire asservie par les
intérêts particuliers, adepte du culte du chef, il est ainsi
l’une des figures emblématiques de la « droite d’ordre. »
Il est cependant tout aussi bien intégré immédiatement
après sa disparition au panthéon républicain, en tant
« prototype de l'homme du peuple tiré de l'anonymat
par ses œuvres et son mérite ». Célébré de même par le
régime de Vichy, quelle qu'ait été son appartenance au
mouvement de François de La Rocque, il continue toujours aujourd'hui à être considéré comme un des héros
de la légende de l'aéronautique et de l'aviation de même
que Blériot, Lindbergh ou Guynemer[3] .
Entre 1930 et 1936, Mermoz aura effectué vingt-quatre
traversées de l'Atlantique Sud.
2 Hommages
2.1 France
La disparition L'avion qu'il pilote, la Croix-du-Sud,
un Latécoère 300, disparaît en mer le 7 décembre 1936
avec à son bord Alexandre Pichodou, copilote, Henri
Ézan, navigateur, Edgar Cruvelhier, radio, et Jean Lavidalie, mécanicien. À 10 h 43, Edgar Cruvelhier lance le
dernier message radio depuis la Croix-du-Sud : « Avons
coupé moteur arrière droit », sans détail supplémentaire,
et complète en répétant les coordonnées de position :
11°08 Nord, 22°40 Ouest[2] . Malgré de nombreuses recherches, on ne retrouva aucune trace de l'appareil ni de
son équipage.
L'événement est vécu en France comme une catastrophe nationale. Les obsèques nationales de l'équipage
de l'avion sont célébrées le 30 décembre 1936 en présence d'Édouard Daladier et de Camille Chautemps[3] .
• Jean Mermoz est fait commandeur de la Légion
d'honneur le 4 août 1934.
• En 1934, Il est lauréat du Prix Henri Deutsch de la
Meurthe de l'Académie des sports, qui récompense
un fait sportif pouvant entraîner un progrès matériel,
scientifique ou moral pour l’humanité.
• En 1937, trois timbres postaux, un vert-gris, un vertjaune valant tous deux 30 ct et un lilas valant 3
francs[5] sont émis.
• En 1998, l'équipage du Catalina (périple de Mermoz
et du Courrier du Sud), composé de Patrick Baudry,
Franklin Devaux et Patrick Fourticq, s’est vu décer-
2.2
Amérique latine
3
Montpellier, Saint-Louis, Aurillac, Dun-sur-Meuse
et Strasbourg portent le nom de Jean Mermoz.
Article connexe : Lycée Jean-Mermoz.
• L'ancien aéroport de Grenoble, fermé en 1967, s’appelait aéroport de Grenoble-Mermoz .
• Une frégate météorologique (1948-1958) a porté le
nom de Mermoz (sister-ship du Le Brix).
Mémorial Jean-Mermoz à Genas.
2.2 Amérique latine
Dans les pays latino-américains, la mémoire de Mermoz
est vive.
• À Buenos Aires, capitale de l'Argentine, une
plaque rappelle le lieu où se trouvait le bureau de
l'Aéropostale. À l'aéroport, un monument est dédié à « Jean Mermoz y sus compañeros ». Au
lycée franco-argentin qui porte son nom, construit
en forme d'avion, les élèves ont dessiné des épisodes
de sa vie pour le cinquantenaire de sa disparition.
Grâce au pont aérien qu'il organisa sur la cordillère
des Andes[Quoi ?] .
Musée Jean-Mermoz à Aubenton.
ner le Prix André de Saint-Sauveur de l'Académie
des sports pour son exploit commémoratif.
• Les pilotes d'Air France ont longtemps porté la cravate noire (mais depuis peu peuvent opter pour du
bleu marine), pour rappeler le deuil de Mermoz (et
de Guynemer pour les militaires).
• Le Chili reste reconnaissance de l'avoir sorti de son
isolement. Santiago, la capitale, a baptisé une de ses
artères en son honneur. On y trouve une stèle avec
cette phrase de Kessel : « La route céleste l'attirait
comme un aimant ».
• Une autre stèle lui est dédiée sur l'aéroport de Campos dos Alfonsos (aéroport militaire de Rio de Janeiro au Brésil).
2.3 Sénégal
• Parmi toutes les manifestations qui ont salué en
France le cinquantenaire de la disparition de Jean À Dakar, on trouve plusieurs lieux qui rappellent son pasMermoz, deux initiatives laisseront une trace plus sage :
durable : une plaque à l'effigie du pilote est dévoilée, le 4 décembre 1986, sur l'aéroport Paris• un hôtel sur l'avenue Albert-Sarraut porte le nom de
Charles-de-Gaulle, par Jacques Douffiagues, le mison avion, la Croix du Sud ;
nistre chargé des Transports. Quelques jours plus
tard, à Aubenton, où est né l'« Archange », le maire
• l'un des plus prestigieux quartiers situé à 4 km du
Christian Pillot et le docteur Alain Schlienger inaucentre-ville porte son nom ; ce quartier est au bord
gurent un musée Mermoz sur la place du village : « À
de l'ancienne piste d'atterrissage de la base franjamais, Aubenton gardera ta mémoire, Aubenton, ô
çaise ;
Mermoz ! que tu couvres de Gloire. » [6]
• Le stade du club de football de l'AS Orly (Val-deMarne) porte le nom de Jean-Mermoz.
• Des collèges à Laon, Yutz, Marly, Wittelsheim,
Biscarrosse, Faches-Thumesnil, Bois-Colombes,
Saint-Laurent-de-la-Salanque ainsi que des lycées à
• le lycée français de Dakar porte son nom.
3 Œuvres et citations
4
5
VOIR AUSSI
[3] Emmanuel Cheadeau, « Mermoz : un héros au pays des
Croix-de-feu. », L'Histoire, no 205, décembre 1995, p. 62.
[4] « A la conception d'une “aviation, école de chefs”, "école
sociale” où la “jeunesse aéronautique trouvera l'équilibre
physique, la santé morale [et] se pénétrera de toutes les
formes d'énergie et de courage”, selon la formule de Mermoz, s’oppose, avec l'avènement du Front populaire, celle
d'une “aviation populaire”, "école de la République”. »,
Emmanuel Cheadeau, « Mermoz : un héros au pays des
Croix-de-feu. », L'Histoire, no 205, décembre 1995, p. 62.
[5] Voir le timbre de 3 F de 1937
[6] Ainsi se termine ''l'Hymne à Mermoz de Blanche Gréhant,
figurant dans ce musée...
[7] Biographie de Jean Mermoz, sur le site civilisations.ca
[8] Ce sont les échecs bien supportés qui donnent le droit de
réussir, sur le site dicocitations.com
[9] Modernity - Modernité - Moderne, sur le site libertas.co,
consulté le 23 mars 2013
[10] à Joseph Kessel, Tu sais, je voudrais ne jamais descendre,
sur le site crash-aerien.aero
5 Voir aussi
Mes vols par Jean Mermoz
3.1
Citations de Mermoz
• « L'accident, pour nous, ce serait de mourir dans un
lit[7] . »
• « Ce sont les échecs bien supportés qui donnent le
droit de réussir[8] . »
• « La vie moderne autorise les voyages, mais ne procure pas d’aventure[9] . »
5.1 Articles connexes
• Antoine de Saint-Exupéry
• Fondation Jean-Mermoz au château d'Olmet
• Henri Guillaumet
• Liste des pilotes de l'Aéropostale
• Aéroport de Grenoble-Mermoz
• Musée Jean-Mermoz
• « Tu sais, je voudrais ne jamais descendre[10] . »
5.2 Bibliographie
3.2
Ouvrages
• Mes vols, Flammarion, 1937.
• Lettres de Mermoz regroupées sous le titre Défricheur du ciel, Archipel.
4
Notes et références
[1] Jacques Le Groignec, Jean Mermoz : l'Archange, Paris,
Nouvelles éd. latines, 2002, 174 p. (ISBN 2-723-32033-2
et 978-2-723-32033-7), p. 14
[2] René Chambre, Histoire de l'aviation, Paris, Flammarion,
1987 (1re éd. 1958), 250 p. (ISBN 2-080-10033-5)
• Jacques Mortane, Jean Mermoz, Paris, Librairie
Plon, 1937, 94 pages
• Joseph Kessel, Mermoz, Paris, Gallimard, coll.
« Folio », 1972 (1re éd. 1938) (ISBN 2-070-362329)
• Jean-Michel Charlier et Victor Hubinon, Mermoz,
bande dessinée, Dupuis, 1956, réédition : musée Air
France, 2001
• Jacqueline Ancy, Images de Jean Mermoz, Paris, Didier, 1963.
• Emmanuel Chadeau, Mermoz, Paris, Perrin, 2000
(ISBN 2-262-01420-5)
5.3
Liens externes
• Alexandre Couzinet, Mermoz Couzinet : Le rêve
fracassé de l'Aéropostale, Atlantica, 2000, 418 p.
(ISBN 2-84394-325-6, présentation en ligne)
• Jacques Le Groignec, Jean Mermoz, l'archange,
Nouvelle Éditions latines, 2002, 174 p. (ISBN 27233-2033-2, présentation en ligne)
• Jean-Paul Ollivier,
Mermoz,
l'esprit de
l'Aéropostale, Paris, Sélection du Reader’s Digest, 2002 (ISBN 2-709-81315-7)
• Bernard Marck, Jean Mermoz, défricheur du ciel,
l'Archipel, 2002, 432 p. (ISBN 2-84187-344-7,
présentation en ligne)
• Catherine Herszberg, Anne Proenza, Mermoz, Le
Cherche-Midi, 2002, 148 p. (ISBN 2-86274-910-9,
présentation en ligne)
• Bernard Marck, Il était une foi Mermoz : 19361945, Jean Picollec éditeur, 2003, 590 p. (ISBN 286477-189-6, présentation en ligne)
• François Gerber, Qui a tué Mermoz ?, Privat, 2009,
224 p. (ISBN 978-2-7089-9219-1, présentation en ligne)
• Michel Faucheux, Mermoz, Gallimard, coll. « Folio
biographies », 2013, 304 p. (ISBN 978-2-07-0447237, présentation en ligne)
• Olivier Poivre d'Arvor et Patrick Poivre d'Arvor,
Courriers de nuit : La légende de Mermoz et de
Saint-Exupéry, Paris, Mengès, 2004 (ISBN 978-2856-20438-2, lire en ligne)
5.3
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6.2
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