11 sites d`exception 1 lieu pour le futur Musée cantonal des Beaux
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11 sites d`exception 1 lieu pour le futur Musée cantonal des Beaux
11 sites d’exception 1 lieu pour le futur Musée cantonal des Beaux − Arts Synthèse du Groupe cantonal d'évaluation des sites pour le choix d'un emplacement pour le nouveau Musée cantonal des Beaux-Arts et décision du Conseil d'Etat Lausanne, 30 septembre 2009 A la suite du vote négatif du 30 novembre 2008 pour le projet de Bellerive, le Conseil d’Etat a invité l’ensemble des communes vaudoises, la société civile et les particuliers à faire acte de candidature pour proposer des sites susceptibles d’accueillir un nouveau Musée cantonal des Beaux-Arts (MCBA). Onze sites candidats ont été présentés : six d’entre eux sont situés dans des communes en dehors de la capitale, cinq à Lausanne ; sept des propositions supposent une construction entièrement nouvelle, quatre impliquent la transformation d’un bâtiment existant. A la fin d’un minutieux travail de documentation et d’expertise, qui a pris en compte un très large éventail de critères de comparaison, les onze sites candidats ont, chacun, révélé un potentiel remarquable pour recevoir un autre programme. Si un seul d’entre eux accueillera, in fine, le MCBA, tous les autres sont désormais munis d’une étude préalable de faisabilité. Si l’on y ajoute que le simple fait d’avoir présenté une candidature leur a procuré une visibilité nouvelle, tant aux yeux de l’administration que de la société civile, on peut estimer que chaque site a ainsi vu sa valeur intrinsèque se confirmer, voire se renforcer. Ecublens – Dorigny Palézieux – G'art Saint-Légier – La Chiésaz – Château de Hauteville Morges – La Prairie Ollon – Les Andonces Yverdon-les-Bains – La Gare Lausanne – NaCl Rumine Lausanne – BCV Chauderon Lausanne – Halle CFF aux locomotives Lausanne – Parc de la Solitude Lausanne – Musée-Cité De ce fait, la démarche de recherche d’un nouveau lieu d’implantation pour le MCBA aboutit à un résultat qui dépasse l’objectif initialement fixé. En effet, si quatre sites (Lausanne-Musée-Cité, Lausanne-Halle CFF aux locomotives, Yverdon-La Gare et Morges-La Prairie) ressortent plus particulièrement des analyses du groupe cantonal d'évaluation des sites, ce sont bel et bien onze sites qui sont aujourd'hui placés en situation favorable pour recevoir une nouvelle affectation de qualité, bâtie ou non bâtie. Ce portefeuille foncier, disponible et largement documenté, offre donc des opportunités multiples pour la promotion culturelle, touristique et économique du Canton de Vaud. Elire un site Afin d’analyser et d’évaluer les onze sites candidats, en vue de lui faire des recommandations pour accueillir le MCBA, le Conseil d’Etat a désigné un groupe cantonal d'évaluation des sites (GCES) composé de 32 personnes : des représentants des communes candidates, des collaborateurs experts de l’administration cantonale et des personnalités de la société civile (voir liste en fin du présent document). Deux représentants de régions n'ayant pas déposé de candidature ont également été sollicités. Ensemble, ces commissaires rassemblent des compétences dans les domaines de l’art, du patrimoine, de l’architecture, de l’urbanisme, des transports, de l’environnement, de la communication, de l’économie et de la finance. Ce groupe était appuyé par des mandataires chargés de documenter chacune des candidatures sur le plan technique, juridique et réglementaire. Sur la base de ces recommandations, la décision finale du choix du site appartenait au Conseil d'Etat. Méthode Pour permettre de comparer des sites ayant chacun leurs particularités propres, il s’agissait au préalable de définir une liste de critères d’analyse (voir ci-contre), de les discuter et de les amender. Les membres du GCES ont alors visité chacun des sites, suivi la présentation orale des porteurs de candidatures, auditionnés chacun à leur tour. Cette phase d’enquête a été complétée par un rapport des mandataires experts, dont les résultats ont été critiqués et amendés par les membres du groupe d’évaluation (rapport d'analyse détaillé disponible auprès du DINF-SIPAL). Chacun des membres a ensuite procédé à une évaluation individuelle de chaque site, selon les cinq catégories de critères de la méthode Albatros, notés suivant une gamme allant de vert foncé (avantage dominant) à rouge foncé (problème dominant) (voir tableau). Le tableau analytique de synthèse des opinions individuelles ne constitue pas un vote, mais indique les tendances dominantes de la perception des membres du groupe et permet de dégager les critères marquants sur lesquels pouvait alors se fonder une discussion. La méthode Albatros Le premier tour de discussions a permis d’identifier sept sites pour lesquels les aspects problématiques, relativement au programme d’un Musée des Beaux-Arts, paraissaient plus importants que les avantages. Mais il a également permis d’entrevoir, pour chacun d’entre eux, des potentiels qui pourraient rapidement être valorisés en fonction, par exemple, de programmes plus spécifiquement adaptés à leurs qualités identifiées (voir planches). 5 catégories de critères, eux-mêmes subdivisés en 55 sous-critères • • • • • Conformité (accessibilité, relation avec les environs, qualité du site ou des bâtiments à réhabiliter) Faisabilité (procédures nécessaires, acceptabilité et risques d’oppositions) Société (site et urbanisme, collectivité, identification au projet, représentativité) Economie (prix du terrain et de la construction, économie publique, soutien de la commune au projet) Environnement (impact des transports, potentiel énergétique du site, sol, paysage, nuisances) Pour le dernier tour d'évaluation, les représentants des quatre candidatures restantes ont fourni les compléments d'informations requis par les commissaires. Il convient enfin de rappeler que ce travail d’évaluation minutieux n’a pu se réaliser qu’au prix de l’investissement personnel et patient de l’ensemble des membres du GCES. Du 11 mai au 30 septembre 2009, ils se sont réunis une dizaine de fois, ce qui représente au total près d’une quarantaine d’heures de travail pour chacun d’eux. Entre chaque séance, les services de l’Etat et leurs mandataires experts ont produit une documentation analytique détaillée pour chacun des sites candidats. Avantage dominant Bon Moyen - bon Moyen Moyen - plutôt problématique Problématique Problème dominant Tableau analytique préalable (établi début septembre) permettant de dégager les critères marquants sur lesquels s'est fondé une discussion. FORCES incertitudes FAIBLESSES FAIBLESSES incertitudes FORCES FORCES Avantages prépondérants Facteurs d’incertitude •Accessibilité excellente (transports publics, autoroute, route cantonale) • Qualités paysagères (lac, domaine de Dorigny) •Synergies avec des installations énergétiques existantes •Hospitalité de l’UNIL sujette à caution •Engagement de la Commune d'Ecublens Inconvénients relativement à un programme de Musée des Beaux-Arts • Projet d’un musée à forte dominante académique •Implantation contraignante pour le développement futur de l’UNIL • Probables incompatibilités entre des objectifs élevés de fréquentation publique et le fonctionnement académique quotidien YA Le site proposé se situe sur le campus de l’Université de Lausanne à Dorigny (UNIL), plus précisément dans le prolongement d’implantation de deux bâtiments existants, la bibliothèque « Unithèque » et le rectorat « Unicentre », à l’ouest de l’allée arborée qui mène au bord du lac. Cette proposition défend l’idée de juxtaposer un Musée des Beaux-Arts, lieu de recherche et de valorisation, avec l'UNIL et ses études en histoire de l’art, ses bibliothèques et ses collections scientifiques. Une conception de musée académique qui réinterprète celle qui animait les promoteurs du programme de Rumine à la fin du XIXe siècle. Le problème, en l’espèce, est que l’UNIL n’a pas été consultée et qu'il convient également de préserver ce site pour les besoins futurs de l'UNIL en relation avec son plan directeur de développement. La commission a décidé de ne pas pousser ses investigations sur ce site dont les qualités paysagères, les conditions d’accessibilité et les synergies qu’il offre avec des installations énergétiques existantes sont par ailleurs tout à fait remarquables. YA YA YA Ecublens – Dorigny Tableau analytique préalable YA YA Palézieux – G'art YA Le site proposé jouxte les voies CFF sur leur versant nord, à proximité de la gare de Palézieux. Le projet est celui d’un Musée à la campagne, soit une inversion conceptuelle de l’œuvre de Benjamin Vautier, « Paysans au musée », 1867. Le développement récent de la fonction commerciale des gares CFF illustre très clairement leurs niveaux de centralité retrouvés. Leur business-plan a l’avantage de la clarté, vendre des produits de première nécessité à la clientèle captive des pendulaires. Du coup, placer un musée ou une autre fonction culturelle près d’une gare s’impose comme une évidence. Il reste que le tissu récepteur doit offrir de la cohérence en termes de voisinage et contribuer à renforcer la fonction que l’on souhaite implanter. A cet égard, en dépit de ses très grandes qualités, le site n’a pas été retenu pour le nouveau MCBA, mais le potentiel remarquable révélé par cette candidature n’en apparaît que renforcé. On peut penser notamment à un programme qui serait étroitement lié au réseau d’institutions et de villes situées dans l’environnement proche (Théâtre du Jorat à Mézières, Oron, Romont, Châtel-Saint-Denis, Bulle). Il faut également relever que la population a été associée à ce projet de candidature au moyen d'un questionnaire, auquel elle a répondu favorablement. Avantages prépondérants Facteurs d’incertitude •Excellente accessibilité en train • Forte acceptation de la population locale • Possibilité de réaliser un projet modèle sur le plan énergétique •Identification avec un projet de Musée cantonal des Beaux-Arts Inconvénients relativement à un programme de Musée des Beaux-Arts •Situation à proximité d’une zone industrielle •Situation éloignée du réseau culturel cantonal •Apports économiques locaux limités Tableau analytique préalable YA YA Saint-Légier – La Chiésaz – Château de Hauteville Avantages prépondérants Facteurs d’incertitude • Valeurs paysagères exceptionnelles • Qualité patrimoniale exceptionnelle •Acquisition à but d’utilité publique •Excellente accessibilité autoroutière • Politique cantonale d’acquisition de patrimoine •Risques d’oppositions Inconvénients relativement à un programme de Musée des Beaux-Arts •Accessibilité moyenne en transports publics •Incompatibilité du programme avec les contraintes patrimoniales •Atteinte aux abords du monument • Procédures YA Le site proposé est celui du domaine de Hauteville, un château du XVIIIe siècle et son parc, comprenant un jardin à la française, des vignes, des champs, une forêt et un étang offrant une vue en balcon sur le Léman. Cette candidature offre des hypothèses de construction hors les murs du château. Mais, du coup, ces développements se feraient au détriment de l’un des principaux atouts du lieu, le caractère intact d’une résidence de campagne de l’aristocratie. Outre des coûts de restauration que l'on peut estimer importants dans un contexte patrimonial aussi sensible, la valeur vénale de l'objet vient hypothéquer la proposition d'acquisition. Ajoutant cet élément au faisceau des autres critères d’évaluation, la commission n’a pas souhaité retenir ce site. Il demeure que cette candidature a attiré l'attention de la collectivité sur l’intérêt qu’il y aurait à augmenter l’accessibilité au public de ce domaine prestigieux. Tableau analytique préalable Pâqu is Ch. min Che M ora x en é R. . du Quai nd- Po ard Q int sin du o nc la t-B on M au R ns e Opi N Al lé e F. A. Fo re l Allée nr Av + ++ + + ++ + + Pr S L + Sa Av inten ue Pre + x/N + + + + yon + 13 14 Bie f s de Ro Ca ki y- He du Mouette des La us an ne Ig or -S tra win sk y Ave nue Ru e p Co uv alou e uv R. Ne Fos sés Savoie re Ru e de uai Q de- des - Ru te Pl Blu Ru Tan e des neu rs ale R. Al de pe s s e G Im Hô p. tel Châ Pl. R. Co du de l’Egli llèg se e R. d u Pa Lou ss. p Tra Ru ver e siè ntr Lo l’Enfant- ImRu Pro p. e uis dig de ue ra nd e de Su s iss 3 es c Par Vo ûte Ce Place Navig de la ation du Rue nn R. du Chemin Ch. Blanches-Vdes ignes de Ch. Au gu ste -F or el Br um Jul es-M ure t Aven ue Chemin de la Chenaillettaz du Ch arp en tie rs Ru e l’A ve nir de e R. des ue re Rue de la Ga Ru R uro de -d l’ e-V ille la Pl. de G ar e P Qu ai Jea n-L ou is-Lo ch ma nn Chemin M R. e PlacDufour rles- Cha Général -Gu Allée Françoisisan -Alphon se-Forel Av. e vu le Bel lon -g are de St-R och org es Sab t J. Sable de Marcelin Avenue Zize lett es s de Cla ud eChe min la he min s. Co O MORGES en om en ue ad e du Pe tit-B Ign ois ac e -P ad ere ws ki Chaudabro in de nnaz Chem Echiche ns Sig na l Ma rce lin de d’O rju z Ave nu e Ch s .d u Clo Va Ch ug . d ue es tte VaCh. s ug de ue s s z ot ta G la Av . de e Bo sson eH enry -Val lo tto Rion n d- Ane t e F. et es Chemin Bochat du Ch E .d te n C es m h C la hem erle anVig in ne d e de ns rsin l re Fo na ss. rdi nges Prévere Plac St-L e ouis Pa de s Ja Pas A. Ig le R. F. Rte tra e lé Al Pe up lie rs Ru e la G laci ère Ch. de ns Rte de Vuffle 99 avril 17 du 9 Ch. Che min Chem in d e la Mo Renc hes Chemin d es de s So urc Be es l-H ori Co zo n uc ha nt Ch em in de du Ch . z éa Ch . Va g la de in em Ch s Plantée uis ille l’ e-V -d Ch em in St-Jean Lo . Chupliers Pe de ean e Lausann nsky awi -D Ru om e ingu ur- N cieuse Gra aïn Ch. B.-J Rue de des des e nu Ave Ch. la Je St- z St Do cte es 15 a c 16 L é 17 m rs org e M sie de de a us an La sge drot Mor Ch. Cl.-Man St-J de re s-Ga sou r-Str ai Igo Lo hamCh. Abra velot Louis-Bu Pré. du ond Ch ym Re e e ss. Pa Plan du y Ch. ose it-R Pet de .d Av y na ute Ro ph e nu ey ev /V on rd Ch. des ve Peupliers e/Y nn e Av es nue Ave tegus Au rel Fo e -Pierr h C ot C Av. La Gracieuse o los Phi te uet l’Alo . ta du ge t ure s-M ule . Ro eJ hère nu Ch .R Ch e aîc llin Ave Mar Co des y na Lo uvett . Fa ier Sorb Ch. M assiaz de Gr Ch s yre des e Gross nu Ye de Pl. tel Hô al Floré Parc des Sports e Promenad de Ave e Ru ski Ch. la de t e Ru derew ce-Pa Ch. Pey r Cen Les Rivesde-la-Morges tit-B rola fe . de Sent Pé de üp e rons Vigne Igna Av.ois Pe des in em Ch -K euf t-N Pon lets dré Qu ou ile on 19 s ne Vig des e Rue Ru de R. du -An rt Ve Ut tins Alfred de in idt em hm Ch u-Sc ulo em la e Cha Av. ue t Lo ne Em llia u in x Sau m du Che min Che ug d la de e Ch. ang Més Chenail lettaz el an Ch on Ros Ch. la e e la en Av e èv -H de des n oïs in p. Im rerriè le De Vil la- Rio é All min d Che du Al e e Gar de de St- la Av. r Ru e des de na ome Pr nu em Ch Cart on ue de c. az Es yrol Pe en C Ave t - Ver i Banc sk êne Ch rew de oss d-B on in du em Ch Pa ntie Se od rby So la Lo d ngera ie ue en Av ce Ch. He . du Ch Molliau de te J.- J.- ette du Pins de en Av Pré et ch Bo s us so Des n/G R ou ue u yo de es .d Ch in e vu lle Be z na e Av e nu Les Résidencesde-la-Côte em de Av 69c l rra ss on -M nri La Prairie res e Ru Mo Longeraie em in du la n llio Pre nale -Va es tte ëse de Pré Ch ulin .des Te Mo ulin e taz Got nto du e du Ch. o M r nu Ave n elin Av. de Marc Pra ue en Mo du ute Ro • Cheminements piétons depuis la gare CFF • Proximité de l'autoroute Tableau analytique préalable et od z-R de Av e Av in de du Sentie nu Ca du ue ts es ch O •Développement urbain du secteur • Compensations écologiques •Impact des transports Av e ey el an Ch de stre He nry -Warn ery en Trui s de •Terrain libre dans un parc •Accessibilité excellente (transports publics, autoroute) •Acceptation et engagement de la Commune de Morges •Environnement économique • Possibilité de réaliser un projet modèle sur le plan énergétique Inconvénients relativement à un programme de Musée des Beaux-Arts z rro ue en s de i Pré de T 12 Facteurs d’incertitude an La Gottaz oll M in em Ch du n az de ute Ro bo en Les Vergers-de-la-Gottaz Ca au /N ne loch ini Ch em s he oc s-R de s Gr . de Av Av s Ch min Che Avantages prépondérants naz To de Ch. Prélionne x etau Em Ro ute R S taz So Vignes min Lully Le site La Prairie est une splendide et vaste propriété patrimoniale de quatre hectares, dont 13'000 m2 sont constructibles, située au nord de l’autoroute entre la gare CFF et le quartier de la Gottaz. Cette campagne est un symptôme paradoxal du développement de Morges au XXe siècle. Si elle a pu être préservée, c’est peut-être aussi en raison de la coupure urbaine de l’autoroute, qui la relègue en périphérie du centre historique. Par contre, celle-ci rend son accès piéton peu engageant et prétérite le site, du fait des nuisances phoniques et visuelles. La proposition belle et généreuse de Morges vient d’une certaine manière « avant la lettre », car il eût mieux valu résoudre d’abord la question de la couverture de l’autoroute et poser ensuite celle de la valorisation de ce domaine. Ces réserves sont présentes à l’esprit de la commission qui ne peut se résoudre à proposer ce site, en dépit de ses très belles qualités intrinsèques. z nta Pla ière ard us M + Au he loc . du Ch Ch. des bre Ch. de Beauso it-Dézaley Avenue Mot d . lei Pet Chemin du Che la la s tée la la re . de niè Ch rtig Bu e .d Ch e .d Ch de . Ch n Pla de Prélionne Vo gé az To Ch 67 e ev e M Che min min ux Riso du la Ca nto na le Ren du de Ave nu l L’Eglantine Ave nu e s de ve sta . Gu Av ier nt Se M Q ns Che Jour erey od -C min Che ott az Gra ssey Delay M n du du la mi ue Aven de Ro ute ’ . de l ine Eglant in so Ch BA P us Che Ch n mi Che es Morges Eco Che m Ch. des Oisillons min du Triolet Che tol gnol la Fauv Ch. des min des Che evon Corr vue org La duPoint- M O Chemin az de Mivel Ch. de Joulens La Morgette La Motte . Ch Ch. Morgette la de z arda la Ven Rossi Ch. de . de Belle de Chemin e ett Ch. du Sent t rg de 18 s de es Ch.velin Gra la Ch. de che Dent-d’O Ch. de En Orjuz ns Joule En Marcelin 17 l pane am Ch s de R ou e tre is in M in m de Cornettes 16 En Champanel du s + Che An Rue des Vignerons Ch. de ++ Chemin Rue de la Fontaine En Bel-Air 15 er nti Au Signal de de Monnaz Se ute du + N En Joulens 14 Ro Mont de Vaux emin Ch s en 13 az 12 l M n Mon Vu ff Cossonay YA Morges – La Prairie a 18 n 19 Avantages prépondérants Facteurs d’incertitude • Valeurs paysagères exceptionnelles • Forte acceptation de la population locale •Terrain libre de contraintes •Excellente accessibilité autoroutière • Possibilité de réaliser un projet modèle sur le plan énergétique •Identification avec un projet de Musée cantonal des Beaux-Arts Inconvénients relativement à un programme de Musée des Beaux-Arts •Accessibilité faible en transports publics •Inadéquation entre le public pouvant facilement être capté et le public cible •Situation éloignée du réseau culturel cantonal •Apports économiques locaux limités YA La carrière des Andonces est située entre Ollon et Aigle, aux abords du massif des collines de Saint-Triphon, un relief isolé de la plaine du Rhône apparu il y a 250 millions d’années lors de la formation des Alpes. Ce site reste très faiblement accessible par les transports publics, même si le projet induisait la réouverture de la halte CFF. En revanche, il offre un bon accès en voiture et possède la capacité de détourner le public des trajectoires touristiques saisonnières ou hebdomadaires. Demeure cependant le doute que la masse du public qui pourrait être ainsi captée corresponde réellement au public cible d’un Musée cantonal des Beaux-Arts. Ces motifs apparaissent suffisants aux yeux de la commission pour ne pas recommander ce site pour ce programme spécifique. Il apparaît clairement qu’une fonction d’un autre type, plus étroitement liée au public transitant en direction des stations vaudoises et valaisannes, pourrait trouver là un site absolument exceptionnel. On peut par exemple penser à un parc à thème lié à l’espace alpin (minéralogie, glaciologie, écologie, climat), offrant des activités culturelles ou sportives appropriées (arts et traditions alpines, murs de grimpe, etc.). YA YA Ollon – Les Andonces Tableau analytique préalable Avantages prépondérants Facteurs d’incertitude •Accessibilité excellente (transports publics, parking de proximité) •Terrain libre de contraintes •Acceptation et engagement de la Commune d'Yverdon-les-Bains • Contribution à un développement urbain cohérent • Possibilités d’extension •Synergies avec le tissu culturel local • Contraintes de l’ordonnance pour la prévention des accidents majeurs (OPAM), liées à la proximité du domaine ferroviaire Inconvénients relativement à un programme de Musée des Beaux-Arts YA Le site proposé se trouve à proximité immédiate de la gare CFF d’Yverdon, à l’articulation entre le centre historique, la place d’Armes et la ville neuve au bord du lac. L’analyse multicritère a fait apparaître une appréciation positive homogène de la part de l’ensemble des commissaires. Toutefois, on constate qu’elle comprend relativement peu de points marqués en vert foncé, lesquels dénoteraient des avantages dominants. On peut y déceler probablement la marque, dans l’esprit des commissaires, de ce que le choix de déplacer à Yverdon le MCBA, navire amiral des institutions culturelles vaudoises, constituerait un geste de politique territoriale majeur. Une telle décision, induisant une ouverture sur l’espace « Mittelland », relève clairement des compétences des instances politiques. Pour ces motifs, les commissaires ont renoncé à proposer formellement l’installation du musée sur ce site, sans préjudice de son potentiel remarquable, nettement identifié par l’analyse multicritère. YA YA Yverdon-les-Bains – La Gare Tableau analytique préalable YA YA YA Lausanne – NaCl Rumine Le Palais de Rumine est le siège actuel du Musée cantonal des Beaux-Arts, situé sur la place de la Riponne. Dans le cadre de la recherche d’un site pour le nouveau MCBA, en réponse à diverses interventions parlementaires, le Conseil d'Etat a jugé nécessaire de faire étudier les possibilités de reconversion des espaces offerts par ce bâtiment. Il convient également de rappeler que le bâtiment héberge quatre musées cantonaux et la Bibliothèque cantonale universitaire, institutions dont les potentiels de développement sont très importants dans l'hypothèse d'un départ du MCBA. Le mandataire, l'architecte Rodolphe Luscher, a livré une démonstration de principe cohérente. La proposition n’a cependant pas vraiment su convaincre les commissaires des conditions concrètes de sa faisabilité, corroborant en cela les études conduites antérieurement. Cependant, ces derniers considèrent que le projet NaCl offre des synergies intéressantes avec le projet Musée-Cité. Avantages prépondérants Facteurs d’incertitude •Situation privilégiée au cœur de la ville •Accessibilité excellente (transports publics, parkings de proximité) •Revalorisation de la substance patrimoniale, par des solutions architecturales convaincantes •Ouverture du bâtiment vers la place de la Riponne •Acceptation de la part des utilisateurs •Risques d’opposition •Impact sur la valeur patrimoniale •Impact sur l’exploitation des musées pendant la durée des travaux Inconvénients relativement à un programme de Musée des Beaux-Arts •Rénovation lourde et certainement très coûteuse •Difficultés considérables pour améliorer les performances énergétiques et climatiques du bâtiment •Identification du projet comme solution nouvelle pour le MCBA Tableau analytique préalable Avantages prépondérants Facteurs d’incertitude •Accessibilité excellente (transports publics, parkings de proximité) •Haute qualité patrimoniale • Procédures •Risques d’oppositions pour une construction annexe aux abords d’un monument Inconvénients relativement à un programme de Musée des Beaux-Arts •Nécessite une rénovation lourde, avec des contraintes spatiales importantes •Espaces exigus pour une construction annexe •Image du bâtiment peu adaptée à un musée des Beaux-Arts du XXIe siècle YA Situé au cœur de Lausanne, le bâtiment de la BCV de Chauderon, ancien siège du Crédit Foncier Vaudois, est bien connu de l'ensemble de la population et, à ce titre, représentatif d’une identité cantonale. Les commissaires ont été impressionnés par la qualité patrimoniale de ce monument, la richesse de ses décors et son excellent état d’entretien. Mais ils ont rapidement compris qu’il ne se prêtait que très difficilement aux transformations nécessaires pour abriter un musée moderne, confirmant en cela les études conduites antérieurement. Par exemple, la construction d’un second bâtiment, indispensable pour un tel programme, risque de soulever des oppositions, étant donné la sensibilité patrimoniale importante des abords du monument. Néanmoins, il apparaît assez évident que ce bâtiment offre d’intéressantes perspectives pour recevoir des affectations publiques plus en rapport avec ses qualités spatiales et à sa position centrale dans la ville de Lausanne. YA YA Lausanne – BCV Chauderon Tableau analytique préalable YA YA Lausanne – Halle CFF aux locomotives YA Le site de la halle CFF aux locomotives, voisin de la gare des voyageurs, offre l’avantage d’être connecté au réseau ferroviaire et situé au cœur de la capitale vaudoise. Le projet, soutenu avec détermination par la Ville de Lausanne, séduit immédiatement par sa situation, au point d’entrée central de la ville. Il devrait bénéficier d'un partenariat significatif de la part des CFF. Outre l'attractivité du développement d’enseignes commerciales dans les gares, déjà mentionnée pour d’autres projets bénéficiant d’une proximité ferroviaire, cet ensemble déploie, dans sa partie ancienne, une partie des charmes romantiques auxquels nos contemporains sont sensibles lorsqu’ils découvrent un espace industriel. La réaffectation d'un édifice reconnu du patrimoine offre un potentiel de développement urbain stimulant. Les contraintes patrimoniales restent à analyser, ainsi que la maîtrise des conditions de conservation et de présentation des œuvres. Les défis relatifs à l'aménagement de la place de la Gare, à l'accessibilité du MCBA et à sa visibilité future ont été relevés par le groupe d'évaluation. Avantages prépondérants Facteurs d’incertitude •Accessibilité excellente (transports publics, parking de proximité) • Contribution à la dynamique urbaine • Bilan positif des transports • Capacité de portance de la structure de la halle • Contraintes de l’ordonnance pour la prévention des accidents majeurs (OPAM), liées à la proximité du domaine ferroviaire •Site construit en voie de réaffectation •Engagement des CFF pour une mise à disposition rapide du site Inconvénients relativement à un programme de Musée des Beaux-Arts •Rénovation lourde et contraignante •Site spatialement confidentiel, offrant peu de points de vue sur les façades Tableau analytique préalable YA YA Lausanne – La Solitude YA Le Parc de la Solitude est situé au-dessous du carrefour entre la rue César-Roux et la rue de la Caroline, en vis-à-vis de la Cité. Il relie ce carrefour à la rue St-Martin, située en contrebas. La parcelle, très bien située au cœur de la ville, est une véritable friche, créée au XIXe siècle en prévision d’un projet de pont vers la colline de la Cité. De friche, elle est devenue un parc fragile, voire occasionnel, mais suffisamment présent pour avoir de farouches défenseurs, dont on peut craindre les oppositions. La topographie imposerait sans doute aux architectes un parti très démonstratif (une seule façade possible, côté St-Martin, couplée à la résolution du différentiel d’altitude). Les commissaires relèvent la difficulté de résoudre le paradoxe impliquant à la fois la nécessité de s'insérer dans la pente et le désir de se faire voir. Ces éléments défavorables dans la perspective d'un projet d’architecture pour un nouveau MCBA, ne prétéritent cependant en aucune manière les qualités du site, son intérêt pour le quartier et sa très grande valeur urbaine en tant qu'espace vert. Avantages prépondérants Facteurs d’incertitude •Situation privilégiée au cœur de la ville •Accessibilité excellente (transports publics, parkings de proximité) • Possibilité de réaliser un projet modèle sur le plan énergétique •Risques d’oppositions élevés •Nécessité de préserver des dégagements visuels sur la cathédrale Inconvénients relativement à un programme de Musée des Beaux-Arts •Suppression d’un parc public • Contraintes topographiques importantes pour un programme de MCBA •Incidences des contraintes topographiques sur les coûts de réalisation • Visibilité restreinte du projet Tableau analytique préalable La proposition, émanant du groupe RSVP, consiste à édifier le nouveau MCBA en superstructure du dispositif d’accès automobile au parking de la Riponne, vis-à-vis du Palais de Rumine. De la sorte, ce nouveau volume engendre une nouvelle délimitation spatiale pour la place, d’autant plus convaincante que les auteurs démontrent qu’elle correspondrait, dans ses dimensions, à de prestigieuses places urbaines en Europe : Piazza San Marco, Piazza Navona, Esplanade de Beaubourg, Plaça dels Angels. Le dossier met en évidence le plein accord de la Société Parking Riponne SA. D'autre part, les ingénieurs affirment catégoriquement que les structures sont susceptibles d’être renforcées dans des conditions raisonnables. Le site est par ailleurs au bénéfice d’évaluations très favorables en termes d’accessibilité, de proximité avec les réseaux culturels et offre un espace suffisant pour des développements spatiaux de différentes natures. Sur un plan historique, le projet s’inscrit dans une continuité de migration autour de la Riponne, qui a fait passer le MCBA du bâtiment Arlaud au Palais de Rumine, avant, peut-être, d’aboutir en situation de vis-à-vis de celui-ci. La proposition, qui pourrait également tirer profit des développements du Palais de Rumine, offre également une opportunité historique de résoudre le lancinant problème urbain de la Riponne. YA YA YA YA Lausanne – Musée-Cité Evolution historique de la place de la Riponne. Comparaison spatiale avec des place européennes. Avantages prépondérants Facteurs d’incertitude •Accessibilité excellente (transports publics, parking de proximité) •Situé au cœur d’un dense réseau culturel • Contribution à une solution urbanistique convaincante • Possibilité de réaliser un projet modèle sur le plan énergétique •Accord du bénéficiaire du droit de superficie •Influence du projet sur la réorganisation des accès au parking Inconvénients relativement à un programme de Musée des Beaux-Arts •Risques d'opposition élevés • Faibles possibilités d'extension Tableau analytique préalable conclusion Recommandations du groupe CANTONAL d’évaluation des sites Considérant l'enjeu prioritaire visant à réaliser, dans les délais les meilleurs, un projet culturel vaudois de première importance, les membres de la commission ont décidé de recommander au Conseil d’Etat la proposition « MuséeCité » – Riponne pour l’édification d’un nouveau Musée cantonal des Beaux-Arts. En second lieu, le GCES propose la halle CFF aux locomotives. Dans l’hypothèse d’une implantation en dehors du territoire lausannois, le site de la gare d’Yverdon s’est profilé comme la proposition la plus convaincante. Il reste que le processus d’élection d’un site pour le nouveau MCBA a confirmé que le canton de Vaud doit, plus que jamais, se percevoir de manière polycentrique. La soif de culture exprimée par les populations des différentes régions du canton, leur fort engagement derrière les candidatures défendues par leurs édiles, les conditions d’accessibilité très favorables dont celles-ci bénéficient, militent désormais fortement pour renforcer la mise en réseau territoriale de l’action culturelle. Les Beaux-Arts, une invitation aux voyages Le Conseil d’Etat a choisi le site de la halle CFF aux locomotives, à Lausanne, pour accueillir le futur Musée cantonal des Beaux-Arts Dans le but de développer un projet culturel de première importance et de renforcer le rayonnement du Canton dans le domaine des beaux-arts, le Conseil d’Etat a inscrit la création d’un nouveau bâtiment pour le MCBA dans les points forts de son programme de législature. Le site de la halle aux locomotives de la gare CFF de Lausanne est celui qui, selon lui, permettra de remplir au mieux ces objectifs, de créer un engouement général du public pour cette institution phare, et de concrétiser le désir de musée qui s’est clairement manifesté. Le Conseil d’Etat souligne le fort engagement des deux autres partenaires impliqués dans la transformation de l’affectation de la halle CFF aux locomotives. La Ville de Lausanne d’une part, dont ce projet était le « premier choix » parmi les sites qu’elle a soumis au groupe d’évaluation, et les CFF d’autre part, premiers à émettre l’idée d’installer le MCBA dans cette halle en voie de réaffectation. Nul doute que la forte implication des trois partenaires, Etat, Ville de Lausanne et CFF, permettra à ce projet d’être conduit avec dynamisme et dans les conditions les meilleures. Les membres du GCES (Groupe cantonal d’évaluation des sites) sont : L’ancrage au cœur de la capitale vaudoise, au centre de l’arc lémanique, sur un nœud ferroviaire tant national qu’international, dans un réseau muséal dense, sont autant d’éléments prépondérants pour le développement du futur musée. Le choix de la halle CFF aux locomotives de Lausanne permettra également, outre l’identification forte de l’institution dans un lieu connu de toutes les Vaudoises et de tous les Vaudois, une attractivité accrue du musée, notamment par une importante augmentation du nombre de visiteurs en lien direct avec l’accessibilité du site. Le choix de ce site permet de même une intégration dans un tissu bâti existant qui permettra de structurer une dynamique urbaine autour du MCBA. De plus, l’utilisation d’une surface déjà construite mais modulable aux besoins du futur musée, le potentiel – pour chacune et chacun, toutes générations et tous horizons confondus – de s’identifier positivement à cette institution dans ses nouveaux murs, sont autant d’avantages qui ont été relevés par le Conseil d’Etat et qui ont fondé sa décision. Le Conseil d’Etat remercie le GCES pour la qualité de l’expertise conduite. Il tient également à souligner les éléments relevés par le GCES quant à la valeur de chacune des candidatures soumises. En effet, onze lieux de très grande qualité ont été proposés. Si un seul accueillera le futur MCBA, le Conseil d’Etat souhaite que le potentiel des dix autres sites puisse se concrétiser dans d’autres projets qui contribueront également au rayonnement du Canton. Bernard Decrauzat, Président Bernard Attinger, Ancien architecte cantonal du Valais Lionel Baier, Réalisateur Martine Baud, Municipale, Prangins Daniel Berner, Chef du Service du développement territorial Pierre Marc Burnand, Conseiller communal, Morges Laurent Chenu, Conservateur des monuments et sites Jean-Luc Chollet, Syndic, Ollon Lorette Coen, Représentante du Manifeste Alain Dayer, Service immeubles, patrimoine et logistique Jean de Gautard, Syndic, Saint-Légier – La Chiésaz Francesco Della Casa, Rédacteur en chef « Tracés » Bernard Fibicher, Directeur du MCBA Pierre Frey, Professeur EPFL Pierre Kaelin, Syndic, Ecublens Etienne Krähenbühl, Artiste Friedemann Malsch, Directeur du Kunstmuseum Liechtenstein, Vaduz Stéphanie Manoni, Service de la mobilité Jean-François Mathier, Syndic, Avenches Thierry-Vania Menetrey, Municipal, Palézieux Chantal Ostorero, Collaboratrice personnelle de la Cheffe du DFJC Ruth Pfeiffer Junod, Collaboratrice personnelle du Chef du DINF Charles-André Ramseier, Directeur de l'Office du Tourisme Vaudois Didier Rittener, Artiste Pierre Santschi, Président du comité référendaire « Pas au bord du lac » Jean Scheurer, Artiste Olivier Steimer, Président de la Direction générale de la BCV Paul-Arthur Treyvaud, Municipal, Yverdon-les-Bains Bernard Verdon, Architecte cantonal a.i. Brigitte Waridel, Cheffe du Service des affaires culturelles Ariane Widmer, Cheffe de projet SDOL Malley Silvia Zamora, Municipale, Lausanne Le groupe d’experts est formé de : Marie-Christine Aubry, Service du développement territorial Laurent Chenu, Service immeubles, patrimoine et logistique, monuments et sites Alain Dayer, Service immeubles, patrimoine et logistique Bernard Fibicher, Musée cantonal des Beaux-Arts Flourentzos Flourentzou, Estia SA Stéphanie Manoni, Service de la mobilité Catherine Merz, EPIQR Rénovation Sàrl Michèle Tranda-Pittion, Topos urbanisme Pascal Vincent, Architecte COORDINATION ET COMMUNICATION : Elisabeth Wermelinger, Chargée de missions administratives et stratégiques Michael Fiaux, Délégué départemental à la communication Le Musée cantonal des Beaux-Arts aujourd'hui 63 ans d’existence au Musée Arlaud (1841-1904). 103 ans d’existence au Palais de Rumine (1906-2009). 464 expositions depuis 1906. 8874 œuvres – peintures, sculptures, dessins, estampes, photographies, objets, vidéos, œuvres sonores, installations – du 14e siècle à aujourd’hui. 1311 artistes représentés dans les collections. 920 membres de l’Association des Amis du musée. Plus de 3 millions de visiteurs depuis 1906. photos: YA © Yves André / sauf mention dossiers candidatures graphisme : www.atelierpoisson.ch synthèse des textes : Francesco Della Casa, revue « Tracés », Pierre Frey, Professeur à l'EPFL imprimerie: Campiche, Oron / imprimé sur papier label FSC www.mcba.ch/ www.musees-vd.ch/fr/musee-des-beaux-arts/futur-musee/