L`histoire d`un joli teint…. Comme souvent, deux écoles et deux

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L`histoire d`un joli teint…. Comme souvent, deux écoles et deux
L’histoire d’un joli teint….
Comme souvent, deux écoles et deux époques se confrontent au fil des modes, des temps et des
évolutions sociales.
Jusqu’aux années vingt, la blancheur était plus appréciée que le bronzage. Véritable canon de beauté
et de distinction, le teint pâle était également l’apanage des classes aristocratiques alors que la peau
brunie par le soleil marquait en général l’appartenance aux classes laborieuses qui n’avaient pas les
moyens de se protéger du soleil.
Mais les temps évoluent et l’on accorde de plus en plus d’importance aux bienfaits du soleil sur la
santé physique et psychologique des êtres humains. Être bronzé, c’est avoir l’air en belle et bonne
santé…et montrer aussi que l’on a les moyens de partir en vacances.
Au début du XXème siècle, c’est le teint hâlé de Coco Chanel de retour de la Riviera et la peau dorée
de Joséphine Baker qui suscitent la convoitise. La mode est lancée, et connait son apogée dans les
années 1990-2000.
Les photographes de mode shootent des mannequins à la peau ultra bronzée sur la plage. C’est le
reflet d’un corps sain et glamour. Mais, la course au teint hâlé va trop loin et connaît ses limites. La
photo de mariage de Victoria Beckham, teint orange foncé, est le témoin de ces années d’excès.
Au fur et à mesure des découvertes en matière de santé, on s’est bien sûr rendu compte que l’excès
nuit : pas assez de soleil et l’homme semble dépérir, trop de soleil et les maladies dermatologiques
vous attendent patiemment.
Il n’y a pas que les époques qui influencent les modes mais les habitudes culturelles ont aussi le pouvoir de pérenniser de vieilles traditions. Les orientaux tels que les Japonais, Coréens ou Chinois semblent imperméables à l’évolution de nos modes ; ils ne sont déjà pas aidés par une peau très blanche
au départ qui semble plus fragile que celle des Africains par exemple malgré les progrès en matière
de protection de la peau.
Il semble en tous les cas évident que les Européens que nous sommes préfèrent arborer une peau
mate et un teint halé, rien que pour s’entendre dire “qu’est-ce que tu as l’air en forme ! Où es-tu partie en vacances ?”
Il faut dire qu’avec le climat que nous connaissons, on serait bien fou de ne pas s’exposer au soleil
dès qu’il perce les nuages ou lors de nos voyages dans le sud.
Mais aujourd’hui les dermatologues tirent la sonnette d’alarme : les cancers guettent les addicts au
soleil, et ils conseillent énergiquement de limiter le nombre d’heures d’exposition et de se protéger
par un soin solaire à indice de protection suffisant.
Inutile cependant de s’abriter sous une ombrelle comme en Chine ou courir à l’ombre au moindre
rayon de soleil mais en évitant les excès et les réhausseurs de teints orangés, et en se protégeant on
prend le chemin de ce qui demain sera une esthétique recherchée.
Et puis de toute façon, aujourd’hui, il n’est plus vraiment chic de revenir “rouge écrevisse », le bronzage se transforme en teint bonne mine « d’un week-end au soleil ».
Le teint en dit long sur qui vous êtes et ce à quoi vous aspirez…
Un nouveau rituel beauté…
Et puis, ne l’oublions pas, une bonne alimentation donne un joli teint. Mais pour cela nous devrions
consommer cinq fruits et légumes (minimum !) de couleur variée, et ce tous les jours ! En Belgique, la
consommation annuelle de fruits et légumes par habitant a atteint son niveau le plus bas. La grande
majorité des Belges n’atteint donc pas la norme établie à 300 grammes de légumes et de 250 à 375
grammes de fruits par jour1.
En attendant de réviser nos menus, pouvons-nous compter, en toute sécurité, sur ces gélules qui
nous promettent plus de hâle ?
C’est à Marie Béjot, fondatrice d’Oenobiol, que l’on doit dès 1985 d’avoir entrevu tout le potentiel de
la «beauté de l’intérieur». Médecin très au fait de la recherche en nutrition, elle fut la première à encourager les Françaises à prendre des compléments nutritionnels pour prévenir le vieillissement de la
peau. La première aussi à incorporer du lycopène ‒ un caroténoïde de la tomate ‒ dans ses formulations. En associant compléments alimentaires et soins cosmétiques, on gagne en efficacité, assure
Marie Béjot. Ils agissent en synergie. Les premiers apportent leurs nutriments en profondeur, via la
circulation sanguine, dans le derme ; les seconds agissent dans les couches superficielles de l’épiderme.
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1
Rapport réalisé à la demande de Vlam (centre flamand de promotion agro-alimentaire)-mai 2015